Au Parloir - Épisode #18 Thao Neth
Episode Date: December 27, 2023Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations....
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Aujourd'hui, le podcast est une présentation de
Comparer ma prime.
Je te lis ça, puis après ça, je te fais un résumé.
Comparer ma prime simplifie le processus d'assurance
en fournissant une comparaison exhaustive et transparente
parmi les plus grandes compagnies d'assurance au Canada.
Ils ont une équipe qui regroupe des CPA,
des conseillers et des planificateurs financiers.
Bon, ça, c'est le bas de plate, là, mais c'est une belle plug.
Mais ce qui est cool, eux autres,
c'est qu'ils se spécialisent, dans le fond,
dans les cas refusés.
Tu sais, souvent, les anciens détenus,
c'est dur de se faire assurer.
T'as pogné une balloune,
après ça, c'est dur d'avoir de l'assurance.
T'as été cancellé pour non-payement des assurances.
Si t'es jeune, des fois, c'est dur de se faire assurer.
Et eux autres se font la mission du aucun cas refusé.
Il y a le site Internet ici en bas à l'écran.
Mais si tu vas sur YouTube,
dans la description de la vidéo YouTube,
ils ont tous leurs liens.
Tu cliques, tu vas tomber sur leur site Internet.
Rentre en communication avec eux autres
si t'as des problèmes d'assurance.
Puis même si t'as pas de problème d'assurance,
ils vont faire des comparaisons
puis ils vont trouver la meilleure prime possible.
Comparez votre prime.
Salut tout le monde,
c'est Dric Bergeron.
Bienvenue à un nouvel épisode
du podcast Au Parloir.
Avant de te présenter
mon invité,
je te rappelle,
meilleure façon
d'encourager le podcast,
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je comprends ça. Prends un petit deux secondes,
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plateformes, ça va te prendre deux secondes,
pour moi ça fait une grosse différence, c'est super
apprécié. Aujourd'hui j'ai reçu
Tao Net,
là je vous préviens, Tao,
c'est un vietnamien d'origine,
il a un accent assez fort, j'essaie souvent
de reprendre, peut-être que le fait que j'étais en face
de lui, j'avais,
je captais peut-être un peu mieux ce qu'il disait.
J'essaie beaucoup de revenir sur les choses
qu'il a dit. Mais ça vaut la peine
de vraiment écouter ce podcast-là
parce que son histoire est intéressante.
Il était sur son terrain.
Il chassait.
Il est supposé avoir personne d'autre sur son
terrain. Et il s'est fait
tirer dessus par la police. Pendant qu'il était sur son
propre terrain,
il a essayé de ramasser son arme à feu.
Il a été accusé
d'avoir ouvert le feu
sur les policiers.
Il a été acquitté de ça, mais
ça a été dans un engrenage, ça a été
complètement fou. Et encore aujourd'hui,
c'est un événement qui s'est passé en 2013.
En 2023, c'est pas encore terminé.
C'était vraiment intéressant comme podcast.
Un angle de vue où on voit que tu peux t'accuser à tort et à travers
pour des choses qui sortent de l'ordinaire des fois, on peut dire comme ça.
Je n'endosse pas nécessairement les gestes, les paroles, les idéologies de mes invités.
Je suis une personne qui prône la liberté d'expression. J'aime les gens
francs, qui parlent avec leur cœur.
Bienvenue au Parloir. Monsieur Tao Net.
Moi-même, en personne.
Je peux te tutoyer?
Ça te va?
Oui, oui, aucun problème.même, en personne. Je peux te tutoyer, ça te va? Oui, oui, aucun problème.
Oui, aucun problème.
Tao, tu as été accusé d'avoir ouvert le feu sur des policiers.
Ça, c'est une faux accusation inventée dans l'enquête indépendante de police de la Ville de Québec.
Bon, ça fait que c'est une invention de la police de Québec.
Mais ils ne t'ont pas accusé de ça pour rien.
Il s'est passé quelque chose.
Exact, il s'est passé quelque chose.
Avant qu'on rentre là-dedans,
tu n'es pas un Québécois de souche, je pense.
Non, on est d'accord.
On a compris.
Juste curieux, présente-toi, tu viens d'où,
c'est qui un peu Tao, avant qu'on rentre dans ton histoire?
Dans ma jeunesse, c'était une un peu Tao avant qu'on rentre dans ton histoire dans ma jeunesse
c'était une famille vietnamienne
on était vécu au Cambodge, au Laos
au Vietnam, fait qu'on le voyait dans le coin de l'eau
un peu plus tard
fait que, qu'au la guerre
il est déplacé
il reste en Europe
il est demeuré à Paris, en France, à Aïman
dans le coin de l'Europe
pendant deux ans et demi à peu près,
avant d'insérer au Québec.
OK, fait que partie de l'Asie, l'Europe,
à cause de la guerre.
C'est ça, exact.
C'est là que tu as commencé les premières fois
à parler français un peu?
Quand j'ai allé au Québec,
pas un mot français.
OK.
C'est la première, la famille m'a montré
parler le mot français.
Et quand j'ai vu quelqu'un,
il a dit le mot tabarnak.
Je ne m'en suis pas content.
Inclassique.
La première chose que t'entends quand t'arrives au Québec,
c'est Poutine ou tabarnak.
À quel âge t'es arrivé au Québec?
J'ai été ici à peu près
19 ans.
T'es arrivé à 19 ans.
Tout seul ou avec la famille?
Seul.
T'es arrivé seul?
La famille?
La famille, ma mère, elle est encore
pris au Vietnam. OK. Encore
aujourd'hui? Non, non. Elle est rendue au Québec.
OK, OK, OK. Elle est décédée même.
OK, OK, OK. Mais à l'époque, quand toi, t'es arrivée
ici, ta mère est encore au Vietnam?
C'est ça, oui. T'avais-tu juste ta mère
comme famille proche?
Je n'ai aucune parenté quand je suis rendue au Québec.
OK. À 18 ans,
19 ans, je ne parle pas français.
Il n'y a pas de métier, il n'y a rien
devant moi. J'en ai 4,5 $
dans ma poche. Tu as 4,5 $,
tu n'as pas de métier, tu ne parles pas français. Oui.
C'est drôle parce qu'on vient terminer
un podcast avec une demoiselle
qui gère le croisé,
puis elle travaille en milieu d'itinérance. C'est une place
où tu aurais pu te retrouver, finalement.
Exact. Tu aurais pu te retrouver dans la rue rapidement.
C'est ce qui est arrivé?
C'est difficile.
Ensuite de ça,
je ne débrouillais pas.
Je suis monté dans le Grand Nord,
Shefferville.
Tu es monté à Shefferville?
Oui.
Je travaille à Larkfire,
à Fairmont, dans le coin du Grand Nord.
En pendant deux ou trois ans,
je redescends à Trois-Villages.
Et depuis ce temps-là, je suis toujours à Trois-Villages. Et depuis ce temps-là,
je suis toujours à Trois-Villages.
Tu es allé faire quoi dans ce coin-là?
Mécanicien, malgré tout.
Tu avais-tu une base en mécanique?
Au Vietnam, oui. Au Vietnam, on a une base mécanique, mais
dans le Grand Nord, les mécaniques, il n'y a pas grand-chose
à faire là.
Ils changent la machine,
ils changent les taillades.
Tu changes des pièces et c'est tout. Ce n'est pas un problème. il change la machine il change les tailleuses ok
ok
tu changes des pièces
c'est tout
c'est pas un problème
ok
ok
c'est une drôle de mécanicien
mettons
fait que
2-3 ans
t'es fait un petit coussin d'argent
t'es
en pas capable d'établir
fait que t'es descendu à Trois-Rivières
t'es descendu à Trois-Rivières
oui
là où t'es encore
présentement
t'es encore à Trois-Rivières
oui puis après le Grand Nord Trois-Rivières non depuis que j'ai descendu à Trois-Rivières? Oui. Là où t'es encore? Présentement, t'es encore à Trois-Rivières, oui.
Puis,
après le Grand Nord,
Trois-Rivières,
t'as fait quoi?
Non, depuis que j'ai descendu
au Grand Nord,
j'ai jamais retourné.
Non, non, mais je veux dire,
t'as fait quoi comme métier?
Ah, après ça,
je suis descendu à Trois-Rivières.
Je travaille comme gérant
pour un commun de location
des outils.
OK.
Après ça,
je l'ai porté à mon compte
en réparation des machines de rouleau.
OK.
Des chaios-élévateurs, des forklifts, des boom trucks.
Des forklifts, des boom trucks, OK.
J'ai passé 14 ans de ma vie dans la AB,
sur la usine à Lignes-Bruits, Bécancour.
OK.
J'ai passé 14 ans.
Après ça, j'ai passé 15 ans en Orsidro.
OK.
Et après ça, j les circonstances,
les contextes économiques, mes clients
ont fait faillite, ils ne m'ont pas payé,
ils m'ont mis dans le trou, disons.
Et j'ai décidé de fermer la compagnie.
Et j'ai converti en
promoteur foncier.
Promoteur foncier.
Oui. C'est-à-dire que j'achète les fonds des terrains,
je subdivise les terrains pour la vente en parcelles.
OK.
Je ne vends pas la maison, là. Non, non, ça, tu achètes un terrain, j'ai cherché font des terrains de souples et les terrains pour l'avant en parcelle ok ok il
va pas le maison non non ça tu achètes un terrain de subdiviser un gros terrain c'est ça avec la
section à l'eau c'est exactement où il est en train de faire le projet que l'on va y aller
exactement on va partir du début parce que là, nous, on s'est
parlé un
quinzaine de minutes à peu près. Tu m'as
conté ton histoire en gros. Comme j'explique toujours
aux gens,
je n'aime pas trop
en savoir d'avance parce que
j'aime apprendre sur le tas. J'aime que mes questions
ne soient pas préparées. Mais j'aime au moins
savoir un peu dans quoi je m'embarque.
Je trouvais que ton histoire, ça n'avait
aucun sens. Ce n'est pas dans le sens que
quand toi, tu me l'as dit, je trouvais que je ne te croyais pas
ça n'avait aucun sens. Ce qui est arrivé,
ça n'a aucun sens
de ce qui est arrivé. Qu'est-ce qui est arrivé?
Le 13 septembre
2013, comme d'habitude,
je travaille sur mon terrain
d'en bas. J'ai commencé
maintenant vers 10-11 heures. J'ai fini vers 4-5 heures soir. OK. 2013, tu es sur mon terrain d'en bas. J'ai commencé normalement vers 10-11 heures.
J'ai fini vers 4-5 heures le soir.
OK. 2013, tu es sur ton terrain.
Sur mon terrain privé.
Ton terrain qui t'appartient.
Légalement, c'est ton terrain à toi.
Oui.
Parfait.
Pour rentrer chez nous, il y a un barrière.
Un chemin privé.
Quand je pars le barrière, je pars le barrière,
je vais travailler dessus seul.
Sur le terrain.
Le soir, je l'ai sorti
vers 4h30 à peu près
dans une colline qui descend comme ça
pour qu'on ait du chemin forêtier
parce que j'avais 6,5 km de chemin forêtier
sur mon terrain.
En descendant la vallée,
j'avais vu dans le bois
il y a des arbres qui bougeaient dans le bois.
Moi, dans ma tête, c'est l'orignal
parce que l'autre bord du chemin, il y a des arbres qui bougent dans le bout. Fait que moi, dans ma tête, c'est l'orignal parce que l'autre bord, le chemin,
il y a des salines.
Et je ralentis mon camion.
Le camion, il y a une remorque,
une quadrouille, là.
Je ralentis.
Là, je descends tranquillement.
J'ai arrêté.
J'ai ouvert la porte.
Je sors mon douze.
Le but, je l'ai vu, un patrick,
en descendant la côte.
T'es
sur ton terrain? Sur mon terrain.
Est-ce que c'est le temps de la chasse?
L'automne, temps de la chasse, oui.
T'es sur ton terrain, il y a un orignal,
t'as le droit. Il ne cherche pas l'orignal chez nous.
Non, non, non, mais tu dis t'arrêter parce que
t'avais un orignal. Moi, c'est
l'orignal, le but. Pourquoi j'arrête pour
l'orignal? Parce que j' j'arrête pour l'orignal?
Parce que j'ai déjà fait un film, un DVD
comment dépercer l'orignal
en l'année 2000.
Et dans mon idée, à moi, j'ai en fait préparé
un deuxième DVD.
Comment le colonial, tout ça, comme ça.
Parce que t'es un chasseur.
Ah, j'ai fait chasseur.
Tu connais la chasse, le déclin des animaux
et tout ça. C'est le 30e orignal qu'il a abattu.
30e, OK. Même pour qu'il ait des PCP
à la cour, il a monté
des dossiers du ministère de
chasse et poste, des registres.
Il est au 29e le jour du procès.
OK. La raison pour laquelle
je te pose ça, c'est juste mettre en contexte
que t'es sur ton terrain,
dans ton véhicule, t'as une arme
à feu enregistrée,
légale. Tout légal.
Pour la chasse, on est en période
de chasse, t'es sur ton terrain.
Donc, tu fais rien d'illégal au moment
où on se parle en ce moment,
tu fais rien d'illégal. Faut qu'il y ait un petit show.
Mettre un point, c'est pendu là-là.
Le moment que je retire le perdri.
Perdri. Oui,
t'impôles. Oui, oui. En guerre québécoise? oui, c'est un poule un gars québécois
ça c'est le 13 septembre, l'ouverture
c'était le 17 septembre
trois jours avant l'ouverture, la poule
mais par contre, à foire à action
dans le terrain privé
il a tué
ok, mais là attends
ça c'est la journée que tu me parles
parce que là tu m'as parlé d'un orignal, t'as vu les feuilles bouger
ça c'est le même temps
ok, là ce que je veux dire c'est
toi tu allais me parler de l'incident
quand t'as vu des feuilles bouger, t'as arrêté
tu pensais que c'était un orignal, c'était pas un orignal
je sais pas
c'est quoi
il a jamais vu l'orignal
il a vu juste en voir des feuilles qui bougent
ok, mais une couple de jours voir des fois qu'il bouge.
Mais une couple de jours,
ça veut dire qu'avant ça,
tu avais chassé la perdrie sur ton propre terrain, trois jours avant
l'ouverture de la chasse.
Non,
la journée même, j'ai tiré la perdrie,
mais trois jours avant, non, je n'ai pas tiré.
Non, mais c'est toi qui disais, l'ouverture de la chasse,
ça commençait le 17, la perdrie,
puis tu as tiré le 13. Moi, j'ai tiré
le 13, la perdrie, j'ai ouvert le 17.
C'est ça. Trois jours plus tard. Non, c'est ça.
Donc, t'as chassé sur ton terrain trois jours
avant l'ouverture de la chasse. Avant l'ouverture.
Bon, c'est, mettons, c'est illégal,
mais je veux dire, c'est pas de quoi se faire
tirer dessus, là. Ça, c'est
le règlement.
Le règlement. Ah oui.
Et c'est pas criminel. C'est écrit dans le jugement. C'est pas criminel du. Et c'est pas criminel.
C'est écrit dans le jugement.
C'est pas criminel du tout.
C'est pas criminel.
OK.
On va être clair.
Règlement et courte criminelle,
c'est deux choses.
Il y a eu des coups de feu
sur ton terrain.
C'est toi qui as tiré
ces coups de feu-là
pour chasser la perruque.
C'est qu'un dame.
Non, mais là,
c'est le 13, c'est ça?
Le 13, oui.
Le 13, c'est moi qui l'ai tiré, oui.
Là, ce qu'on parlait, que t'étais dans ton véhicule, t'as vu des feuilles. C'est quelle date, ça, déjà? Excuse-moi, tu l'as dit tantôt, mais là, c'est le 13, c'est ça? Le 13, oui. Le 13, c'est mon critéré, oui. Bon. Là, ce qu'on parlait, que t'étais dans ton véhicule,
t'as vu des feuilles. C'est quelle date, ça, déjà?
Excuse-moi, tu l'as dit tantôt, mais...
Le 13. Quand j'ai fait tirer, c'est le 13.
OK. Fait que tout ça, c'est la même journée.
Fait que t'es sur ton terrain, perdrix, bang, bang,
tu tires de la perdrix, tu t'en vas sur ton terrain,
tu vois des feuilles qui bougent, tu penses à un orignal,
t'arrêtes. Oui.
Vas-y. Je voulais juste nous mettre en contexte,
si on le faut. Parce que quand je l'ai tiré
de la péderie, il a poigné
au poste, je ne sais pas. La péderie
a commencé à joucher dans le bois.
Il s'en va tranquillement. Mais moi, normalement,
mais normalement, tous les chasseurs, ils savent
que les péderies, ils tiennent
en groupe. Quand on l'a tiré une,
on peut aller la chercher de suite.
On s'est cherché la deuxième.
Oui, ça, t'en tires une coupe tant qu'à...
Ouais, c'est ça, t'es vraiment droit plus tard, t'sais.
On va pas aller courir après la poule, là.
Fait que là, pendant qu'il promène comme ça,
il entend le premier coup de feu.
Pow!
Tout le monde fort dans le bois.
Il est vieux de bord pour regarder d'où ça vient,
parce que c'est mon terrain, t'es seul,
y'a pas un tabarnak, là, que tu iras sous mon terrain.
S'il y a un coup de feu sur ton terrain, c'est peut-être toi qui le donnes.
Exact. OK.
On vient de bord, le coup,
paf, il tombe sur le dos.
Il a touché
à deuxième balle.
Ensuite, il fait ta-ta-ta-ta-ta.
Après, ça continue encore.
C'est pas toi qui t'es, là.
T'entends tirer, là.
Il est en train de tirer, là.
Une première rafale, deuxième balle, je tombe sur la fesse
là j'entends tirer
là j'ai paniqué
je suis tombé en terre
le nuage a commencé à tourner dans la tête
j'ai touché, j'ai vu un noir et blanc
la balle est rentrée
là
ok
comme je t'ai dit
je veux juste que les gens comprennent
moi j'ai bien compris, je sais pas si les gens ont bien compris
je vais juste le reprendre
t'es sur ton terrain, tu tires de la perderie
3 jours avant l'ouverture de la chasse
oui
là tu vois quelque chose bouger, ça ressemble à un orignal
tu sors de ton camion
bang, t'entends tirer
what the fuck, tu te retournes, ça tire encore,
tu manges une balle dans l'épaule, tu tombes.
Oui.
Là, ça tourne, tu fais le pouf.
Ça tourne dans le ciel comme ça.
Fait que moi, j'étais, c'est pas ok.
J'ai vu d'abord, j'ai mis ma main comme ça
pour essayer de récupérer mon 12,
parce que j'étais pétri avec le 12.
Fait qu'un a poigné la main sur le 12,
mon dindin, il a accroché
sur le dos, le balle est partie.
Alors, le canon
est par là, l'accroche est vers moi,
quand il met la main dessus,
le dos, il va à l'autre bord de moi, comme ça.
OK. C'était à peu près
10 pieds,
mettons, 10-15 pieds. Je ne vais pas mesurer,
mais je sais qu'il tombe là, au bord du chemin.
Ça a fait comme... Ça a tiré dans la terre
là il continue de tirer
à un moment donné il entend crier
police, police
mais là il tire en même temps
tu attrapes ton 12
tu ne sais pas ce qui se passe
tu entends des coups de feu
tu reçois une balle
tu tombes, tu essaies de pogner ton 12
ça tire pendant que tu viens de manger une balle tu tombes, t'essaies de pogner ton 12 ça tire pendant que
tu viens de manger une balle, fait que t'es
sur les nerfs, tu pognes ton 12, bang
ça tire, ça s'en va dans terre
pis là t'entends d'autres rafales de coups de feu
pis t'entends la police
t'es crié police
il est encore en bois, il a rien vu
mais il a entendu crié police, police
tu comprends rien, toi tu dis peut-être
il y a du monde ici
c'est pas pour toi qu'il y a du monde ici.
C'est pas pour toi qu'on crie police dans ta tête.
Il y a du monde sur ton terrain qui vient de te tirer dessus pis la police est là pour les arrêter.
C'est un vrai police, je sais pas. Moi j'ai entendu tirer, il a pas vu police encore.
Fait que là, il a crié,
il a touché, il a paralysé,
il a touché, il a paralysé.
Là, il est à Chenoix,
dans le centre de flanc de montagne. Où il est tombé, c'est dans un vallon d'un chemin.
Dans le vallon d'un chemin qui est... Il était en bas. Le tireur était en haut de la top de montagne. Il m'a tiré à 45 degrés.
45 pieds de distance, 45 pieds de hauteur, ça fait 45 degrés. Carrément ça. Elle est descendue.
Le monsieur est habillé en rambo.
Il y a une toile sur la tête.
Il s'en vient à côté de moi.
Il m'a croisé. Il m'a vu à l'envers.
Il m'a mis deux genoux. Une en face,
une en cou. C'est pas très...
Il m'a vu à côté comme ça.
Là, il est comme l'aile. Ça voile.
Faut que le boucher d'yeux
tout blanc, le gars, là.
Une capote, là.
Là, vous voyez, c'est Dieu vraiment qui est en panique.
Il est en panique, là?
Lui, il est en panique.
OK.
Je vois ça, il est en panique.
Il a une mémoire très célestive et très bonne.
Là, je le regarde comme ça.
Je lui dis, qu'est-ce que t'as fait, toi?
T'es chez nous.
T'es à 1 500 pieds en arrière de ma barrière
tu es rentré 1500 pieds
là lui me regarde
il tabarnak c'est pas vrai
ta gueule
c'est carrément moi pour moi
là il a commencé
à chercher partout comme ça
il cherchait que ça je comprends pas
c'était pour les supports
parce qu'il n'a aucune place à écrire.
Il était bien en soit, en Rambo, lui, en camouflage.
Il avait toutes les couleurs de camouflage.
Sa figure, c'est cinq couleurs à travers,
comme ça.
Il dessine sa figure.
C'est vraiment Rambo.
Là, je me dis,
la première fois qu'il a vu des JTIs
qui avaient le même, il a pensé qu'il était au Vietnam.
C'est vrai.
C'est pas drôle, mais...
Il fait 50 ans ici.
Il n'en fait plus, il se fait rembourser.
Au Vietnam, t'aurais moins été surpris, mais au Québec, c'est comme pas supposé arriver, celle-là.
Il est couché en train, il regarde comme ça.
Je l'ai vu qu'il cherchait partout.
Moi, il a aussi cherché avec lui. C'est fin, hein? Comment il regarde partout comme ça, j'ai vu qu'ils cherchaient partout. Fakamou, il essaie aussi de chercher avec lui.
C'est fait, hein?
Fakamou, il y a partout comme ça.
Du coup, j'ai vu de loin,
à côté de mon camion,
les EVUS, mon truck.
Il y a 5-6 gars
avec un chien.
Et tout un gang, ils viennent à côté de mon truck.
Ils viennent tous à côté de moi.
Première chose, ils viennent à côté de moi. Une de la gang vient carabiner à vélo avec un silencieux.
Ils m'ont coté dans le front. Ils me disent « Vous êtes combien? » Faut que je garde le gars,
il était seul. Pour qu'on mette un silencieux dans le front, c'est pas la première fois
que j'ai fait ça.
Au Vietnam, j'ai déjà fait plusieurs fois.
Ça ne t'impressionne pas.
Tu en as vu des affaires.
Ça ne sert à rien. Moi, c'est ma survie.
J'étais seul.
Qu'est-ce que c'est que ça?
Les autres me répondent l'inverse de la question.
D'où je viens? Je viens de ma roulotte
et par là-bas.
Je n'ai pas connaissance.
Je ne sais pas combien de temps je sais pas
mais je réveille parce que j'entends
un gars qui part à côté de moi
dans la radio, fait de tour
fait de tour, fait de tour, il réveille
des tabarnaks, c'est quoi ça, il fait de tour
il regarde dans le ciel
fait des tours, c'est ça
fait un détour
il répète 3-4 fois dans son radio il est pas connaissant de tour. Je regarde dans le ciel. Fais des tours, c'est ça? Fais un détour. Oui, fais un détour.
Il répète trois, quatre fois dans son radio.
Mais là, il est reconnaissant.
Il parle un mot de bon bout. Je ne sais pas ce qui est passé.
Quand je l'ai réveillé, il n'y en a plus.
Il n'y a plus rien. Il a moins été nu.
J'ai dû me déhabiller.
Oui, il a dû te soigner.
Il a tout mal.
Donc là,
il dit, fais un détour.
C'est quoi, faire un détour de tour, fin de tour. Il dit, c'est quoi fin de tour?
Parce que moi, je veux savoir.
Là, du coup, il voit un aïeux dans ses gants
et il sort une fusée clairante
pour faire un tache
de blanc dans le ciel.
Et en temps, le son fait
comme ça monter. C'est un long, on l'a vu au Vietnam
quasiment tous les jours.
C'est pas une nouveauté pour moi.
Là, j'ai essayé de suivre.
Il y a un hélicoptère.
Au Vietnam, c'est ma mère.
OK, OK, OK.
C'est probablement l'hélicoptère.
Fait que, l'hélicoptère,
il part dessus de moi comme ça,
il va comme un fou, l'hélicoptère.
L'hélicoptère, il commence,
il fait un tour, il retourne.
Là, il était en stationnaire.
En stationnaire, oui, en stationnaire.
Là, il a descendu, il est encore avec un gars. À un moment donné, il était en stationnaire. En stationnaire, oui, en stationnaire. Là, il a descendu encore avec un gars,
à un moment donné, il met
au droit, moins de deux jours,
dans un sac, dans un filet.
Dans un, oui, oui.
C'est pas un fait de sauvetage,
c'est un filet de poche,
mettons, avec des mailles
3-4 pouces. Des grosses mailles, OK.
Il était dedans.
Il met le clip, des mousses coton, un peu.
Ils mettent ça. Ils mettent sur lui.
Fait que nous autres, on est là.
Une des GTI.
Je ne sais pas son nom
à ce moment-là.
Il m'a fait monter sur le côté.
On est là dans les poches.
Ménotté dans l'eau.
Ah, t'es ménotté en plus?
Oui. Là, il'étais dans la position
de fauteuse.
M'énotter, position fauteuse.
Je m'en montais en haut.
Le gars en haut pointe le corps,
il rentre la poche, interdite le côté.
Là, je fais part.
Mes deux pattes
étaient encore dehors, le côté.
Tes deux, excuse-moi?
Mes deux pattes, mes deux jambes. Ah, tes deux jambes, tes deux pattes. Parti aux genoux, mes bott étaient encore dehors, les hélicoptères. Tes deux, excuse-moi? Mes deux pattes, mes deux jambes.
Ah, tes deux jambes, tes deux pattes.
Parti au genou, mes bottes étaient dehors, les hélicoptères.
Puis, les captains-flailles.
Là, je regarde le gars, il est tabarnak.
Tout le monde avance, bien qu'il va tomber en bas.
Au Vietnam, là, et puis chez le monde dehors,
les hélicoptères, là, ils sont pas rares.
Ah, peut-être que tu veux pas vivre ça, là. C' pas... J'ai déjà vu ça, fait que j'essaye, j'essaye que...
Mais tu sais toujours pas ce qui se passe là.
Ben, c'est pas ça non, ok, parce que moi j'ai vécu ça,
parce que c'est pour ça que je dis « ma mère beaucoup ».
Tabarnak, elle m'a piché dehors là, Christ.
Là je la garde comme ça, lui il est debout sur sa chaise,
sa chaise de corpette, il met deux pieds en bord de moi, il me prend ma ceinture, la ceinture que j'ai présentement là, elle m'a fait avancer unest jamais fermée, les deux bords. Des fois ils volent presque virés.
Je vois des top des maisons en bas, là du coup je vois la croix qui est devant l'hôtel Saint-Marie à Trois-Vieilles, les collines sont rendues à Trois-Vieilles.
Les gars ils se descendent sur le parking. C'est un parking, c'est pas un parking, c'est un parc. Les deux,
Rambo,
quand question, il me pointe chacun le bras, il me tire dehors.
Il dit, ah ouais, viens-t'en, on s'en va à l'hôpital.
Toujours menotté.
Toujours menotté.
Il fait deux pas, il tombe
dans la pleine face. Il dit, met, laisse-moi mourir
ici.
Parce que dans ma tête,
quand tu mouris là, nous mourons dans le bois et l'hôpital n'est pas loin.
Mais non toi. Le 2GTI, il fait la main avec la chaille, la croix comme ça, me pitchait dans ses bras,
il m'a monté 600 pieds avec un pan de 15 degrés jusqu'à la porte de la garage de l'hôpital de Troyes.
Il m'a pitché dans un bancal.
Dans la clé USB qu'il t'a donnée.
Il y a un bout de vidéo que quelqu'un a filmé quand il m'a pitché
au bord du trottoir sur le boulevard du Carmel.
Ce n'est pas moi qui ai filmé.
Parce que j'imagine qu'il y a un hélicoptère
qui a été dans un parc.
Il y a un gars qui a téléphoné.
Il prend un instant, il vient à la cour
pour témoigner comment les JTI
m'ont récupéré.
Là, il m'emmène à l'hôpital.
Quand je pars dans la porte de l'hôpital,
j'entends juste un voix.
À l'aide des menottes, à l'aide des menottes.
C'est des temps communautés.
À l'aide des menottes.
Tout ça, c'est qui n'aura pas l'hôpital de Trois-Vierges.
Parce que tu as une balle dans l'épaule et tu es menotté tout ce temps-là.
Oui, les mineurés sont exposés, il n'y a plus rien de vrai. Quand je rentre là, je le perds connaissance.
Quand je pars au scénario, il n'y a plus rien. Il m'a anesthésié ce père-là. À 10h00, à 11h00, il me dit qu'il m'a analysé la tête.
À 10h30, il m'a dit que j'étais réveillé.
Le docteur Naud, c'est N-A-U-D.
Il vient m'annoncer que je suis en état d'arrestation.
En état d'arrestation.
Oui, il y a un docteur qui m'a annoncé ça.
Pourquoi tu me dis ça?
Le police me dit que je vais faire le message.
C'est un docteur qui m'a annoncé en étant en arrestation.
Tu apprends que tu es en état d'arrestation
par le médecin parce que la police
a dû dire au médecin, dis-lui qu'il est en état d'arrestation.
La famille ne doit pas venir me voir.
Toute l'équipe.
Il n'y a personne qui va venir te voir.
Là, j'étais en article à mort
même le docteur il m'a dit
la balle il est rentre mais pas sortie
ou je sais pas
c'est pas bon ça
ça peut créer de l'infection rapidement
il a dit peut-être vous suffiquez
peut-être vous mourrez
mais je peux pas garantir rien
merci mais vous êtes bien fatigué
laisse moi dormir
pouvez-vous juste tasser un petit peu juste être sûr qu'on vous entend bien comme vous des mers. Il est bien fatigué. Laisse-moi dormir.
– Pouvez-vous tasser un petit peu? Juste être sûr qu'on vous
entend bien comme vous. – OK.
Il m'a laissé dormir pour qu'il
parte. Un lendemain,
il y a 11 heures,
il y a deux policiers
en civil. Une femme
et un gars. Elle est morte, elle est femelle.
OK?
Il vient me voir dans ma chambre. Il sort son plat de métal. Il est mort, il est femelle. OK? Il vient me voir
dans ma chambre. Il sort sa plaque
de métal. Il me dit, je suis
police de ville de Québec.
On est le mandaté
pour enquête indépendante
ministérielle. Merci beaucoup.
Oui, parce que quand la police tire
sur quelqu'un, c'est une enquête indépendante
automatiquement.
Première question, il je pose à lui.
Est-ce que je suis en état d'arrestation?
Il dit non.
OK. Contraire à ce qu'il m'a dit hier.
C'était un policier, c'était un médecin
qui t'a dit ça. À date,
il n'y a pas un policier qui t'a dit que tu étais en état
d'arrestation. Par contre, tout ça est écrit
dans un rapport d'enquête indépendant
que le policier t'a prononcé.
OK?
Là, le policier, c'estcer ok là le policier c'est joyeux mélange et dont le nombre de renforts joël mélange et me
dit non vous pas à être à l'étation il est commencé il ya deux clous de la
porte mot pour mot je pense bien pourquoi il ya deux clous de la porte
parce que c'est de polic a des policiers qui sont là.
Il y a un chat dans chaque côté
de la porte. Comment ça il y a deux
clowns à la porte? Non, non, quand il part,
il va partir.
Il va partir.
Il a quelque chose à dire. Il n'a rien à dire.
Est-ce qu'il y a un avocat?
Oui, peut-être. Non.
Mais qu'est-ce que l'avocat?
Moi, j'étais un business. Ça fait 30 ans que j'étais business. que l'avocat moi étant visionniste, ça fait 30 ans
que je suis visionniste, les avocats connaissent
mais les dossiers normal
les contrôles, les criminels connaissent pas ça
t'es pas un criminel toi?
jamais de dossier dans ma vie
jamais de dossier
alors là il est bon
il gratte sa tête, il se téléphone
en gauche à droite, on va vous fournir un
et non merci.
Si j'ai besoin d'un avocat,
ils m'ont engagé un.
Non, non, laisse-le. Merci, merci, merci.
Là, il est parti.
Vers 3h après-midi.
Le 2 mai,
il revient, Joey Bélanger,
il rit avec le sourire jusqu'aux oreilles.
Il dit, je vous portais
une surprise.
Vous rapportez une surprise. Je vous rapportais une surprise.
Vous apportez une surprise.
Oui, ma conjointe.
OK.
Elle est à Barnas.
Parce qu'il n'y a pas d'arrêtation.
Là, il est chez nous.
L'interrogateur est ma conjointe.
Il pose des questions avec des réponses dedans
pour qu'il réponde,
pour qu'il écrive dans le campagne-note.
Ça, c'est chiant.
Fait que vous n'êtes pas en état de restauration,
ils sont allés chez vous et ont interrogé votre conjoint.
Oui. Pendant que j'étais interrogé
ma conjointe, ma conjointe, déjà,
elle a des problèmes de vandalisme,
elle a des caméras cachées dans la boîte,
ma conjointe,
elle ne sait rien, là.
Elle a vu que j'ai détecté.
C'est ça que tu comptes. Elle a détecté. Le même moment... Elle a vu que les autres l'ont détecté elle l'a détecté
elle a vu ça sur les caméras
là elle l'a détecté dans la boite
pour le policier chercher des caméras
mais tout ça
le moment là il est blessé
c'est une histoire qu'elle va raconter après
quand le policier
il a parti c'est correct
je te coupe excuse moi mais elle savait que tu étais à l'hôpital?
Oui, j'étais toujours à l'hôtel.
Non, mais elle le savait. Ils l'ont averti à la manière que tu étais à l'hôpital.
Je ne sais pas comment elle a su que tu étais à l'hôpital.
Ma conjointe?
Oui.
Ma conjointe, cette soirée, elle a vu que je n'étais pas arrivé.
Pas dans mes habitudes, mais pendant cinq heures et demie, j'étais à la maison.
Elle était en panique. Elle appelle la police.
La police, elle n'a pas mon nom. À 10 heures,
soir et après, la police de Troyes
vient chez nous, qu'on l'a pas, et ma conjointe,
qu'elle a fait tirer par
Sûreté-Québec. En lien
avec le trafiquant drogue
et les amateurs.
Donc, la police,
elle te fait tirer dans l'après-midi.
À 7 heures, vous n'êtes pas à la maison, votre conjointe est inquiète. Elle appelle la police. Mon conjointe, honnête, pas aucune idée. À 10 heures le soir, la police arrive.
À 10 heures.
Cogne chez vous, votre conjointe ouvre. Votre conjoint a été atteint par balle par la police pour du trafic de stupéfiants et d'armes à feu. Exact, c'est ça qu'il a dit à ma conjointe.
Ma conjointe échec d'un euro.
Dans ce temps-là, ça ne fait pas longtemps qu'elle est avec moi.
Ça fait quatre ans qu'elle est en cours.
Elle connaît très bien mon parcours.
Elle dit impossible, mais là,
elle travaille dans les écoles.
Ma conjointe, dans l'école,
elle ne connaît pas l'histoire du droit criminel.
Échec de même.
Je pense que même si ton conjoint dans la vie estame criminel. Échec de même. Je pense que même
si ton conjoint dans la vie
est un criminel,
la police vient t'annoncer qu'il s'est fait tirer dessus
par la police et tu fais le pas bien.
Fait que là,
les autres vont faire voir parce qu'elle
est pas là-dessus.
Fait que là,
demain, il porte mon conjoint et je l'ai lâché.
Pendant qu'il était à l'hôtel,
ça c'est le 13,
le 16,
le journal de Montréal,
et gros titre. Le 16, donc trois jours plus tard.
Trois jours plus tard, journal de Montréal,
gros titre, et Traficandra,
un gardien de plantation,
pas l'intention
d'abandonner son
plantation pot,
fait tirer par le GTI.
Un gardien d'une plantation
qui n'avait pas l'intention
de lâcher sa plantation
s'est fait tirer par le GTI.
Oui. Et en plus,
il écrit dans l'article du journal,
disponible encore sur le Google
présentement, OK?
Il trouvait 2000 plantes potes
chez nous, sur mon terrain.
Donc, là, on revient.
Je recule en arrière.
Oui. Ils sont sur...
Ils étaient sur votre terrain.
Oui. Pourquoi ils étaient sur votre terrain?
À ce moment-là,
je ne sais pas. Aujourd'hui, je sais.
À ce moment-là, je ne sais pas. À ce moment-là, vous ne savez pas.
Mais si je vais par l'histoire, parce que là,
bon, là, on se comprend ça.
Il y a de l'inconnu.
Mais là, tout le monde fait comme,
OK, mais Chris, pourquoi?
Pourquoi il était sur votre terrain?
Est-ce que vous étiez un gardien d'une plantation de cannabis?
Je ne suis pas un gardien de cannabis.
Je ne suis rien d'autre.
Je suis un homme à faire.
Parfait.
Est-ce qu'il y avait une plantation de cannabis sur votre terrain?
Non.
Parfait.
Pourquoi il était sur votre terrain?
Il a retourné une question. Après ça, il Pourquoi il était sur votre terrain? Il est retourné
une question, après ça, il a
expliqué quelque chose et il est retourné.
OK, parfait. Le 17...
Le 16 septembre.
Il a le gros titre du journal de Montréal.
Non, ça c'est le 16 septembre.
Le 16 septembre.
Et la même journée, la police
de Ville-du-Québec, avec
la grande sécurité du Québec,
avec le hélicoptère le plus gros dans la province du Québec,
ils volaient 1,45 $ supplémentaire pour trouver la plantation.
Fait que quatre jours après cet incident-là...
Oui, ils n'ont pas trouvé un tabarnak.
Ils ont passé une heure et demie sur la Sûreté du Québec,
la police de Québec avec le plus gros hélicoptère du Québec de la police,
au-dessus de votre terrain pour trouver le tabarnak.
Aucun plan.
Ils ont jamais trouvé. Ils sont capables d'alimenter le journal Montréal
de 2000 plans.
Il est complicité, c'est quelque part.
Même le journaliste,
un an plus tard, il m'a écrit
sur ma part de Facebook, en privé,
il dit que c'est Sûreté Québec qui est allé
alimenter la nouvelle-là.
Il est prêt à aller à court
pour t'en témoigner n'importe quand.
Le journaliste,
c'est Simon Bosquet.
Quand il m'a écrit ça, il vient
renoncer son droit de privilège
de journaliste.
Le jour où il a besoin de lui aller témoigner à court,
il faut qu'il y va.
Parce qu'il est de renoncer son droit.
Donc, Simon vous a écrit
en disant, c'est la Sûreté du Québec qui nous a dit qu'il y avait 2000 plans sur le terrain.
Oui, je vais bougeter pour que lui écrive ça.
Ça va bien, hein?
Mais là, s'il n'y avait pas de potes sur votre terrain, pourquoi il était sur votre terrain?
C'est une question jusqu'à aujourd'hui.
C'est une question jusqu'à aujourd'hui.
Je n'ai pas le temps de la savoir.
Est-ce qu'il va sur mon terrain? Je ne sais pas.
Il y a une personne qui m'a dit, peut-ce qu'il va se montrer? Je ne sais pas. Il y a personne qui me dit,
peut-être,
tu as un gars au Vietnam
quand tu es jeune,
tu joues avec des Américaines,
il va t'éclater.
Non.
Peut-être,
il y a un paquet de promoteurs
frontiers à côté de moi,
ils vendent des affaires
pour me nourrir.
Peut-être pas.
Tu sais,
on ne sait pas.
Sauf dans le rapport de police.
Le rapport de police,
c'est accablant.
Accablant pour? Le témoin. Le témoin. Parce que les autres rapport de police. Le rapport de police, c'est accablant. Accablant pour?
Le témoin. Le témoin.
Parce que les autres, ils ont obtenu un mandat
illégal. Ils ont obtenu un mandat
illégal. Carrément illégal.
Et pas la fin chez nous. Mais
le mot-type pour demander le mandat,
il l'a inventé.
OK. Mais question. Est-ce qu'il y avait un
mandat pour votre terrain?
Attends. Je vous reviendrai après.
OK.
Le secteur où il est visé.
OK?
Il y a un terrain visé avec le numéro GPS précis.
OK.
Ce n'est pas mon terrain.
OK.
Mais dans le bois, on a des terrains tout autour comme ça.
OK?
Fait que j'ai deux terrains qui sont à mon nom.
Ça, je suis d'accord.
Mais dans le mandat, il est précis, le point de Mando, mais pas le nom du numéro.
Après ça, il y a des numéros des lots. Il y a 18 lots en tout. Donc, il y a mon terrain, mes terrains,
on en a deux ou trois. Terrain de Saint-Mathieu-du-Parc, municipal. Des autres personnes qui restent en Europe.
Mais tous les terrains là, c'est une vague de terrains forêtiers.
C'est possible d'identifier à qui ils appartiennent.
Pas de terrain cadastré
et des bonnes.
Il n'y en a plus depuis 60 ans.
C'est forêt.
Il n'y a pas de cadastre.
Il y a des cadastres, mais c'est juste des lots.
L'oubli est ça des bonnes.
C'est ça.
C'est pas nécessairement bien arpenté.
C'est pas délimité. C'est ça, c'est pas nécessairement bien arpenté, c'est pas délimité. C'est ça, exactement,
invisible, sauf moi je sais que ce sont des terrains
parce que je suis promoteur en coin,
vous connaissez les limites de vos terrains.
Oui, c'est ça.
Par contre, où il m'a tiré?
Le chemin là,
il n'a pas d'amende.
Il était à 1,2 km
le point d'amende.
Où il m'a tiré, où il m'a embusqué.
Et le point de mandat,
il y a 1,2 km.
Donc, ils ont un mandat pour
cette place-là X. Pour se rendre à cette
place-là, il faut qu'ils passent
par le terrain de quelqu'un.
Ils vont passer sur votre terrain
sans votre demande, sans votre permission,
sans mandat.
La question est bonne et vague.
Je vais répondre.
Quand
il demande le mandat,
il y a une, la Cité Québec,
il l'appelle Francis Trudel.
Moi, je ne le rends pas, je donne le nom.
Francis Trudel a inventé
un rapport d'enquête
pour appuyer pour les demandes
et mandats. Son rapport
est faux, falsifié,
fabriqué après la date
des événements de septembre 2013.
Ok. C'est grave, là.
Là,
la police vient du Québec.
Elle rencontre le témoin.
Au début, ils l'appellent anonyme.
Le travail, quand ils demandent le mandat,
ils l'appellent anonyme.
Le police du Québec,
ils appellent M. Maurice Bronsard.
Maurice Brassard?
Bronsard.
B-R-O-N-D-S-D.
Bronsard.
M. Bronsard, il rencontre la police.
Il donne un autre point de GPS.
C'est pas le même point de GPS.
Cette personne-là, c'est pas un policier, là.
C'est un citoyen, là.
Un citoyen, là.
OK.
J'ai jamais vu dans ma vie non plus.
Moi, il y a 10 ans plus tard,
puis un coup, on t'avait vu, gars, là.
OK.
Le DPCP, directeur pour site criminel pénal,
il n'a jamais voulu présenter son témoin à la cour.
OK.
Le gars, là, il donne un point de mandat,
sous-sectement, avec le police-ville de Québec. En disant, moi, à cette place-là... Là, il donne un point de mandat sous le segment avec le police
de Québec. En disant,
moi, à cette place-là... Là, il entend deux coups de feu.
Il entend des coups de feu, puis il a des plans de potes.
Non, même pas. OK, il fait juste dire...
Le gars, il entend deux coups de feu,
des coups, c'est utile pour la police.
Hé, moi, c'est un tabarnak, tout le monde tire d'en bas,
même en l'été.
On s'en va d'en bas, pourquoi?
Pour des foulées, c'est sûr, tout le monde tire d'en bas.ées c'est surtout mon outil d'emploi
mais c'est pas moi
peut-être
c'est un secteur
tellement grand
mais pourquoi
il a dit
là il a inventé
des plantations
aux potes
des amas forts
fait menacer
des amas forts
il a décidé
de faire l'opération
c'est ça la question
je suis jamais capable
de créer ça
à un moment donné
il faut
qu'ils expliquent
pourquoi ça produit ça.
Maintenant,
pourquoi ils passent chez nous?
L'erreur de toute la question, pourquoi ils passent là?
Parce que selon le témoin,
s'il faut caler le point où
il attend le couvert, résumé.
Donc, la place pour laquelle ils ont demandé.
Il faut passer de là à là.
C'est 8,5 kilomètres
à pied. La routeest 8,5 kilomètres à pied.
La route la plus proche.
La route à pied.
Ou que l'anonymé, dès qu'il s'en va en bicycle,
il est en tant qu'au faute.
Le chemin est long comme ça.
Le poulet, ça arrive à 4,5 heures,
il peut pas aller à pied d'en bas
à 7,5 kilomètres.
Il prend 3 jours.
Il est ici, même dans la Chris, il prend trois jours. OK? Faut dire qu'il est ici.
Même dans la cour, il a dit
le PCA
navigateur de GPS
de la Sûreté du Québec.
Jonathan Fauché. Il a dit
on choisit le chemin le plus court,
le chemin le plus dangereux.
Ben oui, tabarnak, t'as la chance.
Il parle fait chez nous.
Il y a un gars de la Sûreté du Québec qui est spécialisé là-dedans, qui fait comme le chemin le plus dangereux mais oui tabarnak t'as la chasse il parle fait chez nous ok
fait que là
il y a un gars
de la Sûreté du Québec
qui est spécialisé là-dedans
qui fait comme
au lieu de passer par là
il parle chez nous
c'est le plus plus court
7.5 kilomètres
on va passer par là
qui c'est
quoi 1.5 kilomètres
vous m'avez dit
de leur point de
non il y a juste
7
1.2
1.2 kilomètres
entre
l'entrée de votre terrain
puis le X.
Le site de mandat.
Le site de mandat.
Il y a deux choix.
Chez nous, c'est 1.2,
ou là, c'est 7.5.
Le monsieur, madame, tout le monde,
ils disent, tiens, on va dans 1.5.
Là où il y a une barrière,
avec une clôture,
puis un cadenas,
puis tout ça qui est chez vous.
Quand il a aventuré sur le chemin 1.5,
à un demi kilomètre,
il m'a croisé. C'est là qu'il m'a embusqué. Parce que quand il est arrivé avec mon truck, il entend de loin après moi. Il a dit toutes les versions différentes. Mais il a dit ma version, selon ce que je pense. Il entend que j'ai sorti d'un chemin forestier avec mon truck là, il y a quatre rou a un cadre-roue, fait que c'est une cabine-cabine.
Il est tout torsé, il est rendu complètement dans le bois,
il l'a caché dans le bois.
Fait qu'ils vous ont entendu, ils se sont cachés,
voir qu'est-ce qui se passe, c'est qui cette personne-là.
Le tireur est tellement aussi fou,
que l'édifice s'en court.
Pendant, quand il m'a tiré,
il ne sait pas où sont ses confrères.
Ses confrères, il est papillé partout,
même l'autre bord de la rue, l'autre bord du chemin.
Ils ont aussi tiré 10 balles de métrolière sans
savoir où ils étaient.
Ça, c'est quoi le criminel, ça?
C'est des arts criminels.
Lui, il a tiré, OK,
quand lui vous a tiré dessus, il ne savait même pas
où étaient les autres policiers, il aurait pu atteindre...
Il n'a pas trouvé
ses gangues carrément.
C'est dangereux
il dit à quoi
que tes autres mes confrères
ils papillent partout
même de l'autre bord de la chemin
le motif pour lequel il vous a tiré dessus
c'était quoi
le motif
il a dit que la manière dont je marche
le manière dont je regarde
la manière dont je tire mon dos je sors regarde, la manière dont il tient mon dos,
il sort ça
dans ma gardienne de plantes. C'est lui.
La façon que tu marches,
la façon que tu tiens ton gun,
c'est le gardien
d'une plantation.
Oui, c'est lui, finalement.
Il écrit ça dans le scénario.
C'est lui, finalement. Mais ils n'ont scénario. Ah, c'est lui, finalement.
Mais ils n'ont pas vu
de plantation de potes, en plus.
Ah, en plus?
Fait qu'un gars,
ta démarche,
ta façon de soutenir ton gun,
t'es un gardien
d'une plantation de potes
que j'ai pas vu.
Moi, c'est encore pire que ça.
Parce que, lui, il dit,
dans le scénario en 2015,
il a dit,
on a des missions
pour aller chercher
le gars qui a armé d'embour.
Fait qu'on a vu le gars, il a un gun, c'est lui aller chercher le gars qui est armé dans le bourg.
Quand on a vu le gars, il y a un gars, c'est lui.
Là, il était rendu qu'il cherchait un gars armé dans le bourg.
Deux ans plus tard, la version, c'était
la première année
en 2015. En 2015, il a dit ça.
La première enquête, il a dit ça.
C'était plus des coups de feu, c'était plus des plans de potes,
c'était un homme armé qu'on cherchait. C'est ça.
Suite d'entendre des coups de feu, il a cherché des plans de potes, c'était un homme armé qu'on cherchait. C'est ça. Suite à entendre des coups de feu, il a cherché deux hommes armés.
Il a cherché son oreille, mais il n'a pas beau de place.
Mais pas juste ça, tu es allé chercher un homme armé dans le temps de la chasse dans le bois.
Mais il y a un rapport en copie.
Un autre rapport, il l'a fait le 17 septembre par un gardien de carrière.
Il a dit que lui, il a eu des vandalismes
par deux hommes blancs, mais même
pour le gars qui était armé,
il n'a pas menacé personne.
La Sûreté Québec, elle a inventé
l'histoire qu'il y a deux hommes armés
blancs.
Chris, c'est pas blanc, moi!
T'es jaune!
Tu ne me dis pas de ça, madame!
Quand je vais te prendre une gorge d'eau
j'ai failli vous craquer dessus
je suis pas blanc
non
dans le fond, quelqu'un a fait une plainte
parce qu'il y avait eu
quelqu'un qui est venu faire du grabuge sur son terrain
puis
eux autres ont décidé de rajouter que
on a eu une plainte pour deux hommes
armés qui sont venus faire du grabuge sur son terrain.
Oui, mais quand il demande la mandat,
aucune rapport
qui parle de deux hommes armés.
Son rapport,
c'est le 16,
trois jours plus tard.
Entre le 13, le 16,
aucune rapport qui...
Fait qu'il y rapport... Avant le 13,
avant la date que vous êtes fait tirer dessus,
il n'y a aucun rapport qui parle
d'homme armé,
il n'y a rien de tout ça.
Toutes les inventions.
Le plus surprenant encore,
je le retrouve un peu dans le temps,
le 13 septembre 2013,
pendant qu'il est blessé à l'hôpital,
la soins de l'intensité,
trois directeurs de Sûreté du Québec, ils descendent à la quartier générale à Trois-Villages avec un avocmblay le tirait il l'a dit à la cour
il a reçu des conseils des avocats
pour faire des rapports
encore en 2019
le tireur il a dit
en cour qu'il avait reçu des conseils
oui
conseil d'une avocate
pour remplir son rapport
en 2013 en 2013
en 2013 il a participé
en 2019
il a dit qu'en 2013
quand il a fait son rapport suite à l'événement
il a été conseillé par l'avocate
de la Sûreté du Québec
avec trois hauts directeurs de Sûreté du Québec
le directeur de
crime contraire
un chef de directeur de synd contraire, crime contre la personne,
un chef de directeur de syndicat de socialité,
il y a beaucoup de choses dedans.
Il m'a fait le saut, il y en a trois dedans.
La question n'est pas, si on met Thomas Martin, toi ou moi,
on fait arrêter, est-ce qu'on peut te consulter en avocat
pour dire, tu m'expliques comment
j'ai parlé aux polices?
Pourquoi pas qu'il y aille en prison?
Non.
Tu n'as aucun droit. Tu ne peux pas consulter en avocat
avant la rencontre des enquêteurs.
Mais tu es supposé.
Pourquoi le Cité-Québec est droit?
Mais,
à quel moment...
Parce que là, il y a un médecin
qui vous a dit que vous étiez en état d'arrestation.
Un médecin qui vous a dit ça.
Le lendemain, il y a le DPCP qui vous dit que vous n'êtes pas en état d'arrestation.
Oui, c'est la police de la Ville de Québec.
La Ville de Québec?
Quand est-ce qu'on a fini?
Est-ce qu'il y a quelqu'un qui a fini par vous mettre en état de gestation?
Là, on ne sait pas.
Fait que, quand ils m'ont saisi mes armes à feu dans mon camion,
j'en ai trois carabines, je n'ai pas de soucis, j'en ai trois.
OK.
J'aime ça les carabines, ils sont légals.
Légals.
On a soucié le droit, on a permis, on va l'avoir.
J'en ai trois, ils m'ont saisi toutes les trois.
Deux mois plus tard, la police vient au Québec,
ils m'ont remis des armes à feu.
Sauf une.
La double que je l'ai tirée avec.
C'est tout à fait normal.
Il m'a remis ma permise
de possession des armes à feu et achète des armes à feu.
Trois mois plus tard.
Trois mois plus tard.
L'année suivante, 2014.
J'étais même à chasse avec un bras attaché comme ça.
J'ai su être éloigné à 1200 pieds, une balle en tête.
Mais, combien de temps?
Votre bras, c'est comme des gros dommages dans l'épaule.
J'ai pris trois ans.
J'ai pris en total quatre ans de l'hôpital et par pied sur 389 jours.
Au début, il a passé 21 jours sur l'incentive.
Il a sorti, il a opéré à l'hôpital Rosemont au décembre.
Il a sorti l'hôpital le 23 décembre.
Deux ans et demi plus tard, j'ai réopéré encore.
Chaque fois, c'est huit heures sur chaille d'opération.
Et j'ai encore des séquelles jusqu'à aujourd'hui.
C'est pas fini, là.
Il y a encore des séquelles jusqu'à aujourd'hui.
Il y a mal tous les jours.
21 jours de soins intensifs,
deux opérations de plus de huit heures.
Trois opérations.
Trois opérations de plus de huit heures.
Oui.
Puis encore aujourd'hui,
c'est impossible de réparer le dommage.
Impossible.
Par exemple, ta mère, ma mère ici, c'est brûlé à grandeur et c'est gel de me réparer le dommage. Par exemple, mon amant ici,
c'est brûlé à grandeur et c'est gel à grandeur.
Brûlé pareil comme tes poignées lighter.
C'est cette température-là.
Tout le temps?
En permanence 24 sur 24.
24 sur 24.
OK. Je vais revenir.
Un habitant, vous avez été à la chasse,
vous aviez le bras attaché.
Vous avez tiré un animal.
Le pire chose,
quand il m'a remis
des amas-feu,
il m'a remis aussi des cartes
SD qu'il a saisies
dans mes caméras cachées.
Mes caméras de soufflant.
Sur votre terrain, oui.
J'ai vérifié devant le policier
de la Ville de Québec qu'il n'avait pas de photo dedans.
Il a fait signer une formule.
Le policier, il l'a signé.
Il trouve que c'est fun.
Première fois, il y a un policier qui signe un document
qui est présenté par un civil.
Ça, c'est rare.
Le monsieur l'a signé.
Il avait fait signer un papier?
Il n'avait pas de photo dans le casque.
Il m'a remis.
Vous avez mis vos cartes SD dans m'a remis. OK,
il vous a remis
vos cartes SD
que vous avez mis
dans votre ordinateur
et que vous avez vu
qu'il était vide.
C'est ça?
Non, non,
devant lui,
dans mon caméra,
devant le policier.
OK,
vous l'avez remis
dans la caméra.
C'est ça,
j'ai payé ça,
il m'a mis aucune image,
des chums,
des garçons,
pas aucune image.
Lui,
il appelle Remy,
Bélé.
Il dit,
Remy,
M. Bélé,
garçon,
il n'a pas photo dedans,
c'est correct?
OK,
pas photo, c'est moi. Deuxième, non, il n'y a pas de photo dedans, c'est-tu correct? OK, pas de photo, c'est moi.
Deuxième, non, il m'a donné
une troisième carte.
Dans ma tête, je dis,
c'est quoi ça?
J'en ai deux caméras, il m'a donné une troisième carte.
Peut-être qu'il trouve ça dans mon train.
Ah, correct, donne-moi ça.
Quand tu n'as pas opéré, tu es sur pilule.
C'est normal.
Vous avez deux caméras sur votre terrain,
ils vous ramènent trois cartes SD, vous en checkez une carte,
elle est vide, l'autre carte est vide,
puis vous avez une troisième carte.
Vous avez pas checké celle-là.
Il y a pas photo non plus.
Toutes les trois.
Fais-moi penser,
il m'a vu une troisième carte tantôt, OK?
Fais-moi voir une troisième carte.
Fait que là, il m'a remis troisième quart tantôt, ok? Fait que moi, j'ai vu un troisième quart. Fait que là, il m'a remis
mes âmes à feu.
La même l'année,
j'étais à la chasse à moi cet homme.
J'ai tué un original
en un bureau à 1200 pieds,
une balle dans la tête.
J'étais avec mon avocat en plus.
Il y en a eu du père.
Le père vivant était avec moi.
René Duval. C'était été avec moi. René Duval.
René Duval est décédé
il y a un couple de mois.
Sympathie.
Quand tu es à chasse,
on est sur l'oignon,
les deux sont assis sur l'oignon,
ils prennent des belles photos,
ils l'exposent, c'est dans son bureau.
Ils ne savent pas pourquoi.
Le jour où je suis passé à la cour, ils savent. Ils savent pas pourquoi ils savent ça. Le jour passé à la cour,
ils sortent la photo.
Comment ça, t'as un bras,
t'es capable de tuer un orignal
à 1200 pieds,
une balle d'entraide, mais là,
le pédri, t'as 50 pieds, t'es pas
capable de tuer.
C'est une question de pieds,
de pourquoi t'as un PCC.
Là, il est tenté de répondre.
Pourquoi avec tes deux bras,
tu n'es pas capable de tirer une perdra à 500 pieds,
mais avec un bras, tu es capable de tirer une rignade à 1200?
C'est ma crédibilité.
Ce n'est pas vrai.
Je n'ai pas pour l'eau.
J'ai tenté d'expliquer pourquoi.
J'ai essayé pourquoi j'ai fait
et pourquoi je n'ai pas pogné.
Mais mon avocat m'a dit
non, ne merends pas.
Ne parle pas comme pour un mauvais tireur.
Et là, Christ t'engage en avocat. Quand tu es avocat,
il fait de la gueule, tu ne pars pas.
Non, non.
Tout ça, il transformait
en histoire que la poule
qui n'existe pas, la niaque,
je suis excellent tireur
parce que je suis ex-tireur d'élite aussi. Et alors, la poule, ça n'existe pas parce l'orignal existe. Il y a ces excellentiéra, puis il y a ces exérosélites aussi.
Et alors, la poule,
ça n'existe pas, parce qu'il est lamenté à la cour.
OK, parce que vous, vous êtes capable de
tirer un orignal à 1200 pieds.
C'est impossible
qu'avec un 12, tu manques une perdrie à 50 pieds.
Fait que, Patrick, ça n'existe pas.
C'est histoire pour mourir, le DPCP.
Fait que moi, vu que je suis bon
pour conduire un auto, c'est impossible que je
prenne un accident mais ça ressemble à ça aucun accident pourtant c'est des pilotes
devrait pas ça aucun sens c'est ça maintenant retourner à pourquoi il m'a poursuite et moi
poursuite un an plus tard. 14 mois plus tard.
Après, j'étais à Lognal.
Fait que là, on aurait dû...
7 ans.
2 ans passés.
Non.
Normalement, il m'a tiré le 13 septembre 2013.
2013.
J'étais à Chasse le mois septembre 2013.
Quand je retournais en 2014.
2014.
Donc, un an plus tard.
Je retournais à Chasse en 2014.
Il est tabarnak. Il ne fait rien. Il est mal en chienne. 2014, donc un an plus tard. Il est retourné en 2014, il est tabarnak.
Il ne fait rien, il est mal en chienne.
Tu comprends-tu? C'est sûr.
Il est inquiet. Là, il ne travaille plus.
Il ne la chantera plus.
Tu sais.
Alors là, il appelle un gars que je connais
qui travaille pour TVA.
Je ne suis pas un temps inconnu
à Trois-Vieilles.
Il appelle, il en vient chez nous chez nous, à Morissette.
Ils font un reportage, ils disent comme de quoi la police m'a tiré un an jour pour jour.
Ils attendent toujours s'ils m'accusaient moi ou les GTI.
La histoire est remontée sur face dans mes yeux.
Deux semaines après, à 6h, je m'attends à 8h.
Il y a deux Colombiens qui ont la porte chez nous. Tac, tac, tac, tac, tac, tac. deux semaines après je m'attends à 8h on regarde le colombien
quand il est à la porte chez nous
ou la porte
c'est le jour où il est en jeu
le souper enquêteur
drive BAI présentement
c'est lui qui vous avait dit que vous étiez pas en activité
moi j'ai des vérités, le nom va sortir
j'ai pas de problème avec ça
mais de toute façon c'est des frais qui sont arrivés.
Il devrait faire ce qu'il a dit, le faire non, je n'y revends pas.
Ça, c'est la personne à l'hôpital qui vous a dit
que vous n'êtes pas en état d'arrestation.
C'est ça. Il ne connaît pas.
On a pas pu parler. Il dit, ben, rentre dans la maison.
Non, non, non, on ne rentre pas dans la maison.
On rentre dans notre chambre.
Là, il me dit, oui, il rentre dans notre chambre.
Tu sais, tes bagnoles, il n'a pas au côté.
Il faut qu'on l'aie. Il est en bas de la rue. Lui, il est assa dit, il a un trottinette. C'était bagnole, lui, deux portes aux côtés. Il faut connaître.
Il y a un bac de l'âne.
Lui, il s'est assis à côté de moi.
L'autre s'est assis avant, me jeter.
Il a la main sous son gilet.
Je ne sais pas pourquoi. Je sais, gang-gang.
Il n'est pas si violent que ça.
Je ne trouve pas personne.
Là, il m'a dit, vous êtes en état d'arrestation.
Là, il vous met en état d'arrestation.
Ah oui?
Plus qu'un an plus tard.
Ah oui, pourquoi?
C'est pas si grave que ça.
C'est pas si grave.
C'est pas si grave.
Ils m'ont donné le papier.
Les trois accusations sont pareilles.
Trois accusations.
Trois accusations.
Pareilles.
La même perroque, mettons.
OK.
Pas pareilles.
Trois accusations séparées,
mais c'est la même perroque.
Qui sont?
Le premier, c'est le tirer sur la police.
Décharger un arme à feu sur un policier.
Décharger un arme à feu sur un policier.
Oui.
89.1, c'est ça.
C'est le cas criminel.
Deuxième, possession d'armes à feu à dessein dangereux.
Possession d'armes à feu à dessein dangereux.
Dangereux.
OK.
Le troisième, insouciant. Utiliser un arme à feu, c'est dangereux. C'est dangereux. Les trois armes, insouciant, utiliser une arme à feu,
insouciant, c'est le même.
Utiliser une arme à feu insouciamment.
Oui.
Donc, juste la première accusation,
s'il est coupable, c'est 4 ans de prison minimum.
Les minimums.
Ouvrir le feu chez les policiers.
Le prix de bord.
Le prix de bord, OK.
Le prix de bord, c'est 4 ans.
Le prix de bord. Il peut rebaisser 30 policiers. Le prix de bord. Le prix de bord, c'est 4 ans.
Il peut rebaisser 30% encore.
Prix de bord.
Il m'a donné ça. Il est bon, mais c'est correct.
Il faut que tu trouves ton avocat.
Il n'a jamais demandé d'aller prendre un digital ni photo.
Et normalement, il vient en troisième
pour m'arrêter. Il ne peut pas m'annoncer ça.
Selon moi. Il ne connaît pas
tous les policiers qu'ils font.
Mais normalement, il faut aller voir la police
citoyenne avec le
mandat visé
à l'arrêtation et remettre au poste.
Pour rien qu'ils n'ont pas rentré
chez vous. Après ça, il va me prendre
des embruns. Il manque un doigt,
pas grave, il y en a.
Il va prendre ma photo.
Après ça, il va me libérer. Il me permet de comparer à un poste, il va prendre, il prend ma photo, après ça, il me libérait,
pour me comparer,
il me dit, il faut prendre des avocats pour sortir de là.
Il ne fait rien de ça.
Il trouve des avocats,
c'est correct.
Là, c'est ça qu'il n'a pas.
Là, il trouve une des avocats,
pour essayer de me défendre.
Le pays, maintenant, il trouve un avocat,
civil, par exemple,
il me défend. Les avocats, il m'a un avocat civil, par exemple, et moi,
je défends. Les avocats, ils m'ont enarqué. — J'ai pas compris. Vous avez trouvé
un avocat civil... — Pour que moi,
je défende. — Pour vous défendre. — On n'a pas pour défendre.
Pour le poursuivre, le Cité-Québec, parce que
j'ai fait mon blessure. Là,
il m'a poursuivi au criminel. Moi, j'essaie
de le poursuivre aux civils.
— Vous, vous essayez de les poursuivre aux civils,
puis eux, ils vous poursuivent aux criminels.
OK. Fait que là, vous avez un avocat
pour... C'est un avocat.
Un avocat, excusez-moi pourquoi j'ai dit avocat.
Vous avez un avocat pour les
poursuivre aux civils, mais vous n'avez pas d'avocat
à ce moment-là pour
vous défendre aux criminels.
J'en ai comme un univers,
mais tu sais, il est dans le dossier
parce que...
OK.
L'avocat en question, il m'a anarké en plus. du verre. Il est dans le dossier parce que... Je te reviendrai dessus un peu tantôt.
L'avocat en question,
il m'a arnaqué en plus.
Il vous a arnaqué? Oui, c'est ça.
Ses trois vidéos, j'ai sur YouTube,
sur mon compte.
Il fait l'incitation de fraude.
Il achète un taureau
de l'École nationale de police
pour mon dossier. Il demande l'argent aux Noirs.
Il dit tout ça à la cour, sous serment.
Et le juge, il ne fait rien.
Il l'entend, là.
Pareil comme je parlais avec toi, là.
Le avocat a commis des actes criminels.
Et le juge est d'accord.
Alors, ça, OK?
Cette histoire, écoute.
Le premier avocat
qui m'a marqué
là
Jean Bernier
c'est le nom
il a fermé son bureau
parce que j'ai mis
trois
vidéos
sur internet
ils m'ont donné
mon téléphone
là on prend ça en cours
parce que
c'est pour
remboursement
j'ai poursuivi
pour 15 000
mais en créant
parce que
j'avais pas moyen
de prendre un avocat
fin qu'on l'a joué
il a condamné 1200 pièces
1200? 15 000?
sur 15 000 mais pendant il m'a pris plus que ça
l'argent au noir
tu comprends les avocats ils prennent l'argent au noir
pas inquiète
fait que là il m'a remboursé
il fait condamner
1200 pièces
merde le gars il n'a pas 1200 pièces qu'il m'a remboursé et il fait qu'on a eu 200 pièces. Merde, le gars il n'a pas 200 pièces pour me payer.
C'est un avocat, criminaliste, spécialiste contre la police, c'est lui qui est impliqué
dans le dossier de Jocelyn Hutt, le garde de corps de J.D.Safe, c'est lui qui l'a tiré
la madame sur autoroute de 40 et 6,
20 ans de l'année, elle est morte.
J'ai pas le référent, mais en tout cas,
il est spécialisé contre la police.
Contre la police, comme même
l'argent de correctionnel au Canada.
Il a besoin de voter confiance en lui.
Il demande beaucoup de choses.
Ça, il fait confiance.
Un pétalite
dénommé, il n'a pas 1200 pièces dans son compte.
– Bullshit.
– Il a un carte de crédit pour aller au bûcher pour faire 200 pièces pour me payer.
– Oh, il a un bûcher.
– Là, il m'a écrit au courriel, il m'a dit, dans l'extension 30 jours,
moi j'ai toujours la bonne foi, moi c'est dans mon cœur,
je dis oui, 30 jours, tu me payeras. Au bout de 30 jours, je ne vais pas payer.
Il faut que je prenne des usines pour saisir ces deux comptes de banque.
Tu sais qu'il y a combien dans ton compte de banque?
600 piastres.
Tu es bachnasse, tu es avocat,
à l'aval, renommé,
tu as 600 piastres dans ton compte de banque.
600 piastres dans ton compte de banque.
Le papier, j'en ai pour les usines,
quand je ne saisis pas l'argent,
il faut me faire des rapports
à la cour et à moi
je l'ai vu il n'y a pas d'argent
et vous payez le vicié
pas fini
après le saisir il me téléphone
monsieur Nett
là vous pas gentil avec moi
Chris pourquoi je suis gentil avec toi
t'es maloué t'es payé ici
bon pas fini.
Là, ils ont déporté leur électro-en-sant encore 15 jours.
Pas de problème.
T'es en train de lui dire pas moi.
J'ai les autres dossiers.
J'en ai plus.
Bon, bye.
Pas ma job.
Le facture, il est grimpé à 1 900 et quelques poussières.
Il finit par payer.
Ça vous a coûté de l'argent pour récupérer votre 1 200?
Il coûte 700 piastres. Lui, il coûte. C'est pas moi qui paye. Cait que ça vous a coûté de l'argent pour récupérer votre 1200? Il coûte 600 piastres.
Lui, il coûte. C'est pas moi qui paye.
C'est lui. C'est lui qui coûte 600 piastres de plus.
Ok, au moins. Là, effectivement,
1900 piastres. L'histoire est cool,
là. Il a pris
le audio. C'est pas
un vengeur, mais c'est vérité.
Non, c'est ça. Là, il a pris l'audio.
Très bien que
lui, il est à la cour,
il achète un taureau dans l'école de police.
Il donne les noms.
Il a un citation fraude.
Le père, il l'a posé.
Le juif, il l'a vu.
Il dit que ma blonde, c'est propriétaire d'une pouvoirie.
Chris, on n'a jamais eu une pouvoirie.
Ma blonde, c'était éducatrice dans l'école.
Si, elle n'est pas directrice. Elle ne va même pas à charge. Elle n'est pas directrice. Elle estrerie. Ma blonde, c'était éducatrice dans l'école. Si elle n'est pas directrice,
elle ne va même pas en charge pour vous directer une pauvrerie.
Tout déconnerie,
il a inventé ça.
Je mets trois beaux vidéos.
Une coup de semaine,
je me téléphone.
Je me dis, mon état,
tu es chiant.
Je dis, pourquoi tu es chiant?
Les trois vidéos,
le gamin, il t'a fait une affaire avec toi.
On fait une game,
on te joue avec.
Quand t'as trouvé 15 000 piastres,
t'es m'appelle,
il y a trois vidéos,
5 000 piastres la vidéo,
trois fait 15 000,
je vais te vendre les droits de l'auteur. »
Lui qui vous dit ça?
Moi aussi je dis ça à lui.
C'est vous qui dites ça? Je vais vendre trois vidéos que j'ai fait des montants à moi-même, des droits de d'auteur lui qui vous dit ça moi c'est ça lui qui dit ça il va vendre trois vidéos que j'ai fait des montants moi même des droits d'auteur
moi par qui il va t'en vendre trois droits d'auteur t'es m'a payé 15 000 et tu donnes la vidéo
ça c'est les vidéos qu'il incriminait lui pis qu'il faisait un mauvais nom finalement il fermait son bureau. Il en mettrau 15 000. Mais s'il va vendre les droits à l'auteur,
il va vivre.
Mais là...
Il y a une question. Il faut qu'on revienne.
À la carte SD.
Oui, mais avant...
Oui, je vais revenir. Parce que là, on est parti
avec l'avocat qui vous a fraudé.
Je comprends que c'est plate, mais moi, ce qui m'intéresse,
c'est le dossier avec la police.
Ça, c'est un à côté. En plus de toute la merde qui vous est arrivée,
vous avez été fait
fonder par un avocat pendant ça.
Oui.
Mais là, vous avez été
accusé au criminel.
Je n'ai pas été accusé au criminel, oui.
Il s'est passé quoi avec ça?
Le premier jour
du cours du criminel,
un de mes avocats
vient me dire,
« T'as au cuirard des PCP,
il fait un faveur. »
« Tabarnak, il m'a fait un vlot. »
« Il m'a fait un rôd. »
« Je ne vais pas te faire ta tête. »
Je ne vais pas vous traduire.
Je ne vais pas le répéter.
Il y a des PCP qui veulent vous faire un offre. pour vous traduire, mais en tout cas, je ne vais pas le répéter seul. OK.
Donc là, pour le QA...
Les PCP, ils veulent vous faire un offre.
Mon avocat, il partait dans le corridor, il s'en vient
à rapide avec son sac à dos
importe. Il m'a dit,
pour qu'il y ait des PCP, il t'a fait
une aubaine. C'est une sorte d'aubaine.
Si tu n'es pas aidé, le coupable,
le deuxième, le troisième,
il enlève le premier.
Accusation, le seul le plus lourd,
quatre ans de prison.
Si je fais un reminder,
la première accusation, ouvrir le feu
sur les policiers, le deuxième...
Insouciance d'un arme à feu.
Insouciance d'un arme à feu, puis mal...
Négligence d'un arme à feu.
Donc, il va vous laisser négligence.
S'il te plaît, coupable à négligence.
Non, non. Payez les coupables.
Le tir. Oui, c'est ça. Payez les coupables
négligence.
En tout cas, c'est ça.
Il enlève le plus grave.
Il vous en retire. Ouvrez le feu.
C'est pas ici. C'est ça. Il enlève le plus grave
quatre ans. Fait que là, il regarde moi beaucoup.
Il a rien fait de mal. Chris, pourquoi
il a passé le... Pourquoi il se plaîtrait grave moins vocal. Il a rien fait de mal. Chris, pourquoi il a passé le...
Pourquoi je l'aurais coupable?
J'ai rien fait de mal.
Ben, il n'avait pas coupable.
Tu sais, il était en guerre pour défendre les fantômes.
J'entends là, il a confiance totalement en moi.
Moi, je cherche la pèderie, je reçois une balle,
je ramasse mon gun.
C'est chez nous.
Même s'il n'a pas permis, là,
la pèderie, mettons, là,
est-ce que le mérite fait tirer?
Ben, Chris, non.
Le règlement de garde de chasse et sur un
métier pas pas permis le sac ou sans s'engager le ticket pour rentrer sur
votre terrain il ya une barrière une clôture marqué terrain privé dans votre
il ya pas il ya personne qui est ce que le terrain mais importe demain matin
nous mettons le d'ambois le fait intercepté par garde de chasse
j'en ai des pédis dans mon passage. Il n'est pas permis, là. Le pire cas, c'est 145 ou 164.
Oui, c'est ton étiquette, là.
Oui, ça, il ne m'a tout reposé.
Il ne m'a tout reposé.
Je ne pense pas, là.
Tu sais, pareil, comme tu promènes sur l'autoroute,
tu déposes 130.
Le flic, tu as un viaduc.
Il fait des regards.
Le radar, il pique dessus.
Il va trop vite.
Non, je roule.
Je roule autour.
Non, c'est ça.
C'est pas ça.
Non, non, ça ne fait pas de sens, effectivement.
C'est pour ça que là, il passe en cours
avec des faux témoignages,
des témoins, des vedettes,
des policiers, des parjures.
Fait que vous avez refusé l'offre du DPCP.
Oui, parce que là, il a fait poignée coupable.
Là, il a trois accusations.
Il a quitté la première.
Parce que la police n'est jamais capable
de prouver que je sais
qu'il y a la police dans le bois.
Donc, le DPCP vous a offert,
s'il vous plaît, des coupables aux deux
derniers. On vous enlève le premier.
Vous avez refusé. Au bout de la ligne,
vous avez été acquitté du premier,
mais trouvé coupable des deux suivants.
Exact. Un mois plus tard,
novembre, j'ai retourné
à la cour.
Le juge m'a donné
240 heures de travail
communautaire. 1500
pièces bénévoles pour donner
à n'importe qui.
Une demande de 1500 pour donner à un organisme
240 heures de travail communautaire.
Le premier jour,
quelques jours après.
Puis on va le dire,
c'est pas si pire comme sentence, mais pour quelqu'un qui a rien fait,
c'est énorme.
Énorme, mais il y a une chose certaine,
parce que c'est grave que le jugement du jeu,
le jeu, parce que quelques jours après,
il y a des sangs en ville, c'est marqué,
il y a des tenants,
des tenants, des tricots,
des supporters,
des trois vierges, tout supporters, les trois vieilles,
tout le monde me connaît.
Christ, c'est une fleur
pour nous autres.
Pourquoi?
Le vieux, il dit, si tu ne fais pas un policier,
c'est 240 heures,
on est content.
Au Christ, le gars de côté des oreilles,
il ne fait pas, il ne sait pas jouer.
240 heures.
Les tenants du coin,
ils sont contents.
Ah oui, ils sont contents, ils viennent me voir.
Ils me connaissent. J'ai été élu pendant 40 ans
en 3 ans. Tout le monde me connaît.
Quand t'es élu, t'as connu tout le monde.
T'as pas le choix.
Et ça court, parce que là, on s'en va en coup d'appel
maintenant. Mon avocat, il décide
de faire un appel. Il veut refuser
première fois, deuxième fois. Oui, ça part.
Pas au coup d'appel, c'est direct. 10 minutes.
Les trois jours
de coup d'appel,
ici, la première
accusation d'inquiété, automatique
de l'autre, c'est même vrai au tabarnak!
Exactement! J'étais là,
j'étais à la même place. Si t'es inquiété de la première,
il peut pas te retrouver coupable des deux
autres, ça fait pas de sens.
Le jour-là, j'ai fait le condamné.
Éric Thériault, des PCP,
il part à TVA, un gros sourire.
Il dit, mes policiers, ils sont très bien témoignés parce que M. Nett,
aussi, il part dans la radio,
dans la télévision,
il fait des interviews, on est capable
de le pogner parce que M. Nnet, il s'est menti.
C'est ça qu'il a fait même.
Mais dans le fond, Thériault lui-même a commis
des actes criminels.
Mais vous mentez sur quoi?
Mais comme l'histoire
est une histoire à la maison.
Il y a le vrai Cartemonnaie,
il y a le vrai Blanchet,
le chef de blocus.
L'Ile Blanchet.
Il y a le vrai tout lecus, Ligue Blanchette.
Il voit tout le monde là. Il est rendu là.
Encore.
Il est accueilli.
Même le procurateur de PCP
lui-même est commis des actes criminels
dans mon dossier.
Il ne va pas aller plus loin que ça.
Mais lui, il sait que c'est ça.
Mais le dossier, il ne finira pas là.
Parce qu'on a d'autres dossiers présentement en cours.
Parce que là,
quand je suis sorti de là,
c'est tout clean,
mais là, il y a des séquelles.
C'est qu'impermanent, c'est qu'un psychologiste,
il y a un rapport de psychologue,
que j'ai besoin
d'un soin impermanent.
J'ai phobie, là.
Plus des frères d'avocats, en plus.
Oui, je me ruinais. Le jour où j'ai une phobie. Plus des frais d'avocat, en plus.
Oui, je me ruinais.
Le jour où j'ai blessé ma maison,
je ne dois pas une scène.
Aujourd'hui, je dois aussi 200 000 pièces.
Votre maison était claire, puis vous avez été chercher des hypothèques.
Oui, pour payer des arnaquins, on m'appelle.
Des requins.
Des requins, bon.
Des requins coulonnois.
C'est eux autres qui m'ont mangé pas mal.
Ouais. Fait qu'à coups, ils sont capables aussi de les déconner que de les déposer à coups.
On va prendre un exemple. Ah mon traité là! On va prendre un exemple.
Le procureur de PCP, il a dit que tous les policiers au sud du Québec, c'est les crèmes de crème de la police.
Moi, j'arrive comme ça.
Tu le vois bien?
J'arrive comme ça.
J'ai débarqué là.
Il y a deux GTI de côté ici.
Vis-à-vis de la porte.
Selon le rapport signé et dessiné.
Il y a une fossée de 4-5 pieds de creux.
Entre les deux, des fougères
de 6 pieds d'eau.
La photo fournie par la police de la ville de Québec.
Une de nos filles
s'appelle Aileen Bouchard.
Si ma mémoire est bonne,
son matricule, c'est 1037.
Et dans la fossé.
Il est capable d'écrire dans son rapport
que quand je sortais de la traque,
il était ici, il me'a vu avec ceinture aux pieds.
Vous vous sortez de là.
Il est le bout de là.
Il est 5-6 pieds plus loin,
dans un fossé, avec...
6 pieds de hauteur réfugié.
Il m'a vu avec ceinture aux pieds.
Mais ça apporte quoi? Mettons. Le maximum qu'il peut m'avoir, c la ceinture au pied. Mais ça apporte quoi?
Mettons.
Le maximum qu'il peut m'envoier, c'est mes bottes.
Non, non, mais...
Même à ça, ça fait quoi
que vous auriez une ceinture au pied?
Ceinture au pied, c'est ça.
Oui, mais pas.
Il va se justifier,
il voit toutes mes actions,
qu'est-ce qu'il a fait sur le terrain,
comme qu'il est.
Je ne vais pas être vulgaire, mais même si tu étais dans ton truck,
tu avais la ceinture au pied, tu faisais
ce que tu voulais dans ton truck, sur ton terrain.
C'est ça, il sort de mon dos, oui, puis...
Puis ça, je suis en train de me crasser dans mon char,
j'ai bien le droit, si ça me tentait, je veux dire...
Oui, il va t'essayer à boire,
il te doit poigner, c'est ton problème.
Rendu là, ça change quoi?
Ça ne t'enlève pas
de la crédibilité.
Pourquoi t'es intelligent
que la crème de crème
de la police,
que les PCP le disent,
Éric Thériault le dit
à la cour,
que les GTI sont
des crèmes de crème
de la police?
Il est capable
pour signer un rapport
sous serment
avec les couches renforcées
situées au fougère.
Il m'a voir sortir
de la trottinette,
il m'a voir
scinter au pied.
Mais, puis rendu là, mettons,
si vous sortez et que vous avez un arme dans les mains,
si c'est le GTI, pourquoi?
Moi, c'est pas ça que je vais pointer.
Son rapport est faux.
Non, non, je comprends, mais rendu même là,
tu dis, mais pourquoi eux autres sont pas sortis
comme police, lâcher votre arme, est-ce que tu...
Exactement.
Ils font rien, puis l'autre est là-bas,
il y a certainement un gars qui...
T'es bien à bon point.
Merci que tu aies allumé ça.
À la cour,
Éric Thériault, procureur des PCP,
il lui demandait
est-ce que le policier a le droit de
supprétif caché dans le bois?
Le procureur des PCP
dit oui.
Le juge dit oui mais écrit où
il a écrit le mandat
mais non
ils n'ont jamais déposé le mandat
à la cour
même aujourd'hui 2019
il y a des poursuites encore à la cour
personne qui a déposé le mandat
ou discuté sur l'existence
du mandat de police sont légales ou pas légales moi mandat, les policiers sont légaux ou pas légaux.
Moi, je dis que les policiers
sont illégaux quand ils sont chez nous.
C'est pour ça qu'ils ne veulent pas déposer
le mandat.
Parce qu'ils n'ont aucune autre
liaison judiciaire chez nous.
Ils le cachent, ils le procurent
des PCP. Ils roussillent
au jeu que les policiers
doivent cacher dans le bois.
Là, je veux...
Il va y avoir deux choses.
On va essayer de rapper ça, mais je veux juste revenir
troisième carte SD.
La troisième carte SD,
il faut expliquer clair en première.
Quand il m'a retourné la troisième carte SD,
il a fait un plan au criminel
privé contre
25 policiers.
Il a remis la carte au le casque au juge.
Et le juge m'a dit, ça, c'est
Huitclot.
Le...
le plein commun privé.
Quand j'ai fait l'appel,
un autre juge, il n'est pas Huitclot.
Il dit, ouais, ouais, on parle.
Il faut qu'il reparle de la carte.
Le casque, est-ce que que elle m'appartient pas
qu'elle appartient à une enquête
au sud du Québec
et dans la carte
il y a une photo incriminante
de l'enquêteur lui-même
dans sa carte
il y a beaucoup d'affaires
c'est pas catholique
je sais pas si je dois le dire ou pas
mais la carte était catholique et pas catholique. Je sais pas qu'il doit l'aller ou pas, là, mais le car était catholique.
Il est pas catholique.
Dans le genre de?
Vous voulez pas, je sais pas.
Dans le genre de.
Mettons juste les critères de bord.
T'es pas pour parler
matériel au gouvernement pour faire des photos
famille, mettons.
OK, OK, OK.
Dans la photo famille, il y a d'autres choses aussi. Il y a d'autres choses, OK. C'est bon. du Québec, les PGQ. Pour récupérer la carte SD? Ils m'ont dit qu'il faut remettre la carte
ou qu'ils m'appuient au criminel.
Fait que là, de un...
Elle a eu
clôt pourquoi le procureur général savait.
De un procureur
général pour pas savoir.
Fait que là, il a réécrit le procureur général,
écrit pourquoi il savait, et ça, personne ne savait.
Moi, je vais te donner leur écrit le procureur général, écrit le procureur de savoir, et c'est le personne de savoir. Parce que personne n'est un autorité, c'est un véhicule.
Moi, je vais te donner le nom.
Le procureur du PCP, l'auditeur,
l'auditeur,
c'est Catherine Vincent.
C'est elle qui a alerté le Sûreté du Québec que j'en ai des preuves contre le Sûreté du Québec.
Des preuves incriminantes, pas con.
Incriminantes.
Bizarre.
Tu sais, des affaires bizarres. Je comprends, je comprends. J'ai fait la plainte, j'ai eu une question, incriminant. Bizarre. Il a fait bizarre.
Je comprends.
J'ai fait la plainte.
Je l'ai fait la plainte
à la Barreau du Québec.
J'ai fait la plainte à la Sûreté du Québec.
J'ai fait la plainte à la procure générale.
Tout le monde m'a écrit la lettre.
Fuck up. C'est pas notre problème.
Oui, il y a un problème.
T'as vu Claude?
T'es certain pourquoi il n'y a pas de problème par Catherine Vincent son père
c'est un juge de cour du Québec
on joue loin
on se protège entre nous autres
oui on est parenté
non on ne protège pas on est parenté
c'est pas pareil
c'est ça le cas
le fameux cas là j'écris pour le général mot pour mot C'est ça le cadre. Fais-moi le cadre.
J'écris pour le général.
Mot pour mot.
C'est le juge Rousseau qui a la carte.
Je la donne dans sa main.
Seule carte. Il n'y a aucune copie dedans.
Ne me demande pas.
Tu y vas, allez voir le jeu.
L'histoire est finie là.
Quand ils sont arrivés chez vous,
ils ont dit, ordonnez-nous la carte.
Je ne l'ai pas.
On va voir le jeu.
Tant qu'il est donné à lui, pas à moi.
On va t'accuser au criminel si tu ne m'en donnes pas.
Arrive avec ça à un juge.
Il va t'accuser au criminel si tu ne m'en donnes pas la carte SD.
Oui, il l'a vu.
Quelqu'un dedans, il l'a vu.
En date d'aujourd'hui,
en 2000...
On est en 2023.
En octobre 2023.
Oui. On est rendu où
dans cette histoire là
on est rendu dans l'histoire là
non mais ce que je veux dire
vous avez été acquitté
vous avez pas de dossier
il y a plus rien de ce côté là
mais vous
êtes-vous encore à essayer de
récupérer
quelque chose?
Après l'arc-en-ciel criminel,
je demande à mes avocats
qu'ils me défendent au cours
civil, pas de dommage.
Mes avocats
n'ont pas posé mes droits.
Il me semble
qu'il y a une collision avec la police. C'est pour ça qu'ils n'ont a collé avec la police
pour qu'il laisse
librement des policiers
qui comptent n'importe quoi
moi c'est un concept
ça devient incroyable
ma requête compte sur Québec
qui est rejetée.
Et j'en ai présentement une autre procédure
présentement. Fait que vous avez...
Vous faites pas des bons choix d'avocats, finalement, ça je comprends.
Non, non, non. Des avocats,
autour de l'oubli de ces avocats.
Présentement, la cour,
il les vend seuls sans avocat.
Fait que quand tu prends un avocat,
pense-y deux fois, ta vie est dans le même.
Fait que t'es plus droit de parler de la cour.
Pendant un mois, dans mon cas,
un mois, quand le policier a menti à la cour,
j'ai dit à mes avocats,
« Chris, il ment.
Pourquoi tu ne sors pas des scénarios dehors?
Pas besoin de ça. »
Mais je n'ai pas le droit de le dire.
Le juif, il entend que je parle.
Le juif me dit, « Hé, monsieur Nett. »
Vous n'avez pas le droit de le parler. Il ne faut pas avoir votre avocat. Ah, c'est ça. Quand « Hey, monsieur Nett, il ne faut pas devoir le parler,
il ne faut pas avoir votre avocat. »
Quand tu sais, mais eux autres, ils ne le font pas.
Tu prends l'avocat, tu es menotté avec.
Tu sais, ta vie dépend de eux autres.
Fait que là, encore aujourd'hui...
Oui, il y a encore des dossiers encore.
Ah oui, mais là, c'est très comique.
Pour que vous puissiez être indemnisé.
Indemnisé.
On est sûr?
Il est possédé d'avocat?
Oui. Présentement,
il est aussi en cours.
Il est possédé d'avocat pour ne pas
porter mes droits pour un montant
de 3,5 millions.
OK.
Il est aussi passé en cours
semaine passée. Très cocasse.
Très cocasse.
Fait que...
Pensez-vous avoir des bonnes chances?
200 %.
Puis contre le...
Il faut que je retourne pour ça avec toi.
Avec grand plaisir, vous nous donnerez
puis je vais à la limite,
je le partagerai sur mes réseaux
quand le jugement va être
sorti.
Puis sinon, contre Sûreté du Québec et tout ça,
est-ce que vous avez d'autres poursuites contre eux en ce moment?
Présentement, ils attendent le finir le dossier Mensec-Avocat.
OK.
Et il va retourner la poursuite pour le général,
la Sûreté du Québec, la police du Québec, le DPCP et les témoins
dans mon dossier.
Tout le monde, même l'expert
de l'École nationale de la police,
parce qu'ils ont fait un rapport,
semble-t-il, c'est correct,
il a écrit ça. Fait que tout le monde
qui va passer encore
dans le corridor de la Palais de justice
bientôt, il lâchera pas.
Il lâchera pas.
Lâchez les pas, justement.
Fait que si moi, je rap ça,
en gros,
vous étiez sur votre terrain, vous vous êtes fait tirer
par la police, vous aviez une maison payée,
et aujourd'hui, vous devez 200 000 sur votre maison
pour avoir payé des avocats,
pour ne pas avoir de dossier criminel,
vous vous êtes fait tirer dans l'épaule,
jamais avoir été indemnisé par la police
quand vous n'aviez absolument rien à vous reprocher.
En plus, j'ai déjà fait un plein
à Sûreté-le-Québec, deuxième plein à Sûreté-le-Québec,
pour conduire.
Ils m'ont écrit
qu'ils analysaient le dossier
et poursuivre pas les avocats,
le policier.
Ils ne vont pas me donner de rapport,
ni de décision, mais je n'ai pas rien à appeler. Tu ne va pas me donner de rapports, ni de décision,
mais je n'ai pas rien à appeler.
Tu ne peux pas voir des rapports,
ce n'est pas le motif de réfus,
mais tu n'as pas rien à appeler.
C'est quoi ça?
Le pire, c'est que vous n'êtes pas le premier que je reçois qui a vécu
des situations comme ça.
Je vais vous l'envoyer
à un autre podcast que j'ai fait ici. Je vais vous l'envoyer un autre podcast
que j'ai fait ici
je vous l'enverrai
parce que c'est une histoire pas similaire à la vôtre
mais il faudrait
des
demandeurs illégaux
des accusations qui ne tenaient pas en tout cas
il y a 15 accusations
puis tout a tombé
mais je pense que vous allez trouver ça intéressant
puis je sais qu'il va regarder le podcast
et je sais que tu vas trouver intéressant l'histoire de Tao.
Là, vous avez des vidéos de ça.
On va mettre dans la description de la vidéo.
Oui, oui, aucun problème.
Vous allez m'envoyer tous les liens de vos vidéos.
Si vous avez ici votre Facebook, votre courriel,
si il y a des gens qui veulent vous contacter,
quand même, avec plaisir.
Il n'y a pas de vous contacter quand même avec plaisir. J'ai profité
de quelques minutes de ton temps.
J'ai beaucoup...
Je vais m'adresser
à Docteur Lynn.
Un docteur.
Une de mes deux docteurs.
Monsieur Salit de l'hôpital Trois-Vierges.
Maison-Nôtre Rosemont.
Docteur Lynn et
Madame Sophie Mottard.
C'est elles qui m'ont sauvé mon bras
et sauvé ma vie.
On les remercie.
Je les remercie beaucoup.
Et deuxièmement aussi,
pourquoi je présente ici aujourd'hui
pour parler de tout ça?
Parce que j'ai encore senti
que ma vie était en danger.
Parce que je tiens un dossier clé
de la Sûreté du Québec.
Une corruption en grandeur.
La plus grosse corruption de Québec avec le police de Québec.
Parce que je ne tiens toutes les preuves.
Et j'ai senti que je suis en danger.
Parce qu'en 2014, les autres, ils sont retournés chez nous après l'événement,
en pleine nuit, sans mandat, ils fouillaient le terrain encore.
J'en ai des photos.
Et nos policiers, là, même,
à 2019,
même jusqu'à 2019,
ils m'ont intercepté à Louisville
pour me donner un ticket, une contravention,
61 piastres.
Juste pour m'intimider.
Ils sont tous fumés.
Ils soucrivent mes vidéos sont sur YouTube.
Il y aura le lien pour ça.
On va tous avoir les liens
dans la description
vidéo. Vous allez tous
m'envoyer. Si vous voulez en voir plus, en savoir plus,
vous pouvez rester en contact
et suivre. J'imagine qu'on
devrait m'entendre parler d'un journaux
incessamment.
Merci beaucoup de ta présence.
Merci de ton histoire qui est
complètement folle. Merci d'être venu partager ça
au Parloir.
OK. Merci. Bye. Thank you.