Mike Ward Sous Écoute - #19 - Studio - Sébastien Dubé
Episode Date: March 3, 2022Cet épisode est une présentation de Polysleep ( https://bit.ly/3IoBIcZ ) et de la Boîte Végane ( https://www.laboitevegane.ca/ ) Pour vous procurer des billets pour Mike Ward Le Magnifiqu...e - ( https://bit.ly/3JUladb ) Après Vincent, c'est au tour de Sébastien Dubé d'être invité en Studio! Dédié à Koko B. Ware & Frankie. -------- Patreon - http://Patreon.com/sousecoute Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute Twitch - https://www.twitch.tv/sousecoute Discord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
L'épisode que vous allez regarder est avec, c'est un épisode en studio, avec Sébastien Dubé, Denis Barbu.
J'ai même pas besoin de dire, tu sais c'est qui Sébastien Dubé?
Avant il fallait dire Denis Barbu, tu sais le barbu des Denis, c'est plus ça.
Sébastien Dubé, vous savez c'est qui?
C'est la meilleure manière de le décrire, c'est l'homme le plus drôle de la planète.
Si t'es un fan de podcast et écouté bien des podcasts,
tu sais que quand il y a le nom
Sébastien Dubé, dans le titre,
tu vas te pisser
dessus. Je suis désolé pour
mes fans qui sont incontinents.
Là, c'était une discussion,
c'était le fun, c'était pas devant le public.
C'était plus le côté
humain. C'était comment moi
et Sébastien, on est quand on est seul ensemble.
C'était comme ça qu'on avait une date.
On avait une date. Il n'y avait pas de bouffe. Il n'y avait pas de boisson.
C'était juste deux
beaux hommes qui se fixent
dans les yeux. C'était très cool.
C'était très cool. Je veux remercier
Sébastien d'être venu. La sous-écoute
et merci à mes commanditaires
cette semaine. Mes commanditaires,
La Boîte Vegan et Parley Sleep.
Parley Sleep, c'est le fun qu'une compagnie de matelas commandite
un show avec un invité qui n'a pas de lit.
Parley Sleep, c'est les matelas les plus confortables sur le marché.
Et là, à partir de la semaine passée, depuis la semaine passée, depuis le 28 février,
Parley Sleep a lancé le hashtag Big21.
Big21, c'est 21 jours avec des thèmes spécifiques pour améliorer la qualité de vie
et construire des habitudes saines.
Chaque participant devra choisir une tâche et s'engager pendant 21 jours.
Ça marche plus, cette
liste de pub-là.
Asti de tabarnak.
T'as pas de machine. T'as-tu une machine à voyager
dans le temps? Non, t'as pas de machine
à voyager dans le temps.
Ça marche pas. Ça marche pas, cette
liste de pub-là. Comment ça en
calliste? Du hashtag
Big21, mais une affaire
qu'on s'en calisse pas,
c'est qu'il y a un code promo.
Il y a un code promo qui est valide jusqu'au 24 mars
qui est BigMike25.
BigMike25 qui est mon nom
sur Tinder.
BigMike25, si tu utilises
le code promo
BigMike25, tu vas avoir 25%
de rabais sur tout le site.
Fait que sur leur matelas,
leur oreiller, sur
toute leur... Ben, c'est les deux affaires
qu'ils ont. Mais sur ces deux affaires-là,
tu vas avoir 25%
de rabais. Merci par les slips
et la boîte vegan. La boîte vegan,
vous le savez comment que
j'aime les Impossible
Burger. Christ, que c'est bon!
Du Impossible Burger. Et là,
pour les gens de Québec,
il n'y a pas de
la boîte vegan encore.
À Québec, il va en avoir éventuellement.
Là, il y a un resto à Montréal
sur la rue Prince-Arthur
et un à la Prairie sur le boulevard
Tachereau. C'est la place
si tu veux goûter au Impossible Burger.
Tu vas capoter. Tu vas capoter.
Tu vas capoter. Et là,
depuis la semaine passée, ils ont
des pains à la viande. Comme
à Québec. Moi, là, moi, je suis un gars de Québec.
Moi, quand j'étais petit, on allait au Gros Hectare.
Je capotais
ses pains à viande. Et là,
maintenant, la boîte vegan fait
un pain à viande vegan.
Vegan fait à base d'Impossible Burger. Ça goû fait un pain à viande vegan. Vegan fait à base d'Impossible Burger.
Ça goûte le pain à viande, mais ce n'est pas la viande.
C'est du pain à Impossible.
C'est malade mental.
Si tu es à Montréal ou si tu es à la prairie
et tu t'ennuies du pain à viande quand tu étais petit gars à Québec,
va à la boîte vegan.
Si tu es à Québec et tu manges la viande,
va au Gros Hectare.
Ce n'est pas compliqué. Et si tu es vegan Si t'es à Québec et tu manges la viande, va au Gros Hectare. C'est pas compliqué.
Et si t'es vegan pis t'es à Québec,
ben là, viens-t'en à Montréal,
viens-t'en à La Prairie.
Ou, c'est ça, va sur laboisdevegan.ca. Pognez l'adresse
Labois de Vegan, boulevard Tachereau,
La Prairie, boulevard...
C'est pas un boulevard, mais c'est une...
Y'a des piétons pis ils marchent vite.
La rue Prince-Arthur.
À Montréal, fall asleep.
Merci.
Merci, Seb. Bon podcast, tout le monde.
Seb-Astin Dubé, merci beaucoup,
beaucoup, beaucoup d'être là.
Je suis vraiment heureux.
Bravo pour Rince Crème.
Merci. J'aime beaucoup.
Moi, je pense que je n'en ai pas parlé à Vincent,
mais moi, j'écoute
les épisodes en audio.
Puis ton père,
j'ai adoré
l'épisode, puis je l'ai écouté deux fois, puis après, j'ai fait, Christ,'épisode puis je l'ai écouté
deux fois puis après j'ai fait, Christ, il faut que
j'aille le voir. Mais je ne suis pas allé
le voir. Pas encore. Parce que je voulais,
je me suis fait un personnage dans
ma tête. Un casting. Fait que je veux
garder ça dans ma tête. C'est un look d'Alson Dren,
c'est mis dans la tête. Ouais, exact.
C'est un look de blond, ben, ben,
il est cote en tabarnak.
Non, ben, le casting,
je te laisse ton imaginaire.
C'était un bon bonhomme joufflu,
avec la moustache.
Ça a été magique, cet épisode-là.
C'était tellement ailleurs.
Y a-tu été dur à convaincre?
Zéro!
OK.
J'en parlais de même.
J'irais, moi, à ça.
Non, tu ne viendrais pas.
Oui, oui.
Oui, bien, Chris, il faut que tu viennes.
On va faire un spécial à un an.
Il est allé certain.
Il n'y a même pas de thème au début.
Ça a été direct ça.
C'est une entrevue.
J'avais un peu où l'emmener.
On parlait de sa job.
Pas eu trop de montage.
Il y a eu quatre minutes.
J'ai fait une j'enlève.
OK.
C'est un gars qui est quand même né dans les années 40.
Oui, c'est de son époque.
C'est un anecdote fun.
Il s'est fait crisser les tâches redondes en 2022. Mais on l'a gardé. Nous autres, on s'est un gars qui est quand même né dans les années 40. Ben oui, c'est de son époque. Une anecdote phonique.
C'est-à-dire que Chris Hale est entre deux en 2022.
Mais on l'a gardé, nous autres, on s'est retapés.
On va se faire écrire.
C'était quoi?
Non.
Puis, est-ce que c'est toi qui l'as amené?
T'es-tu allé le chercher chez eux pour l'amener à Montréal?
Non, j'avais de quoi avant en ville.
C'est mon frère Martin qui est là chaque semaine.
Il est arrivé avec.
Puis, on tournait le spécial Noël après. Fait qu'il est reparti direct. Il n'était pas sur le Martin. Il n'est mon frère martin qui est là chaque semaine il est arrivé avec qui ont tourné spécial noël après fait qu'ils repartent y dirait qu'ils étaient possibles martin est pas resté pour noël facilié montaigne avec mon frère qui l'a lifté aller-retour tout le long crié qui résout de
ville de pardus ah oui mon pécheur et venant ce petit cochonnerie là il trouve la ville
épouvantable mais il ya eu ben du fun. Il a fait parler rendu
chez eux à Saint-Jérôme.
Il a l'air d'être au métro.
Vous n'êtes pas Claude Dubé, le père de Sébastien.
C'est écœurant.
L'anecdote s'est faite crasser.
Un pensionnaire.
Un vrai rêve.
Toute dimension-là, d'une autre époque.
Il est très bûcheron. Il a l'air redneck,
mais il a une semi-sexualité ouverte.
J'adorais ça, moi, un gars qui me crasse.
Tout ça, c'était un clash de faire.
Il est comme bien moderne, mais bien aussi
assez mieux par-dessus.
Fait que ça a fait...
Non, non, il est parfait comme personnage.
Il est parfait comme humain.
Vous autres, ça fait...
Tout le monde le sait, ça fait
1000 ans que vous vous connaissez,
toi puis Vincent.
Puis ça, c'est une affaire que
je pense qui est importante
dans votre groupe, c'est le fait que
toi, en début de carrière,
tu t'en collissais plus
que Vincent.
T'es un gars sensible aussi,
mais quelqu'un qui t'aime pas,
tu vas être plus, bien, qui mange de la marde.
Oui, que Vince.
Oui, sur tout ça. Oui, là sur tout ça on s'en semble beaucoup sur plein d'affaires
mais là-dessus on est bien différents
Vince est vraiment un émotif
fragile
qui a besoin d'être approuvé
que ça se passe bien
d'embarquer dans ce ben là
où est-ce qu'on misait sur le malaise
ça devait être lourd pour lui.
Oui, surtout qu'il avait le personnage heureux, naïf,
et qui a l'énergie plus agressante.
Tu sais, par but, à la limite, tu relays,
t'es quasiment content qu'il ferme la gueule.
La gueule, c'est-tu de quoi tu parles?
Mais lui, comme tu sais, les gros délires absurdes
qu'on lui donne toujours à Vincent,
quand ça va pas bien, lui, il reste complice,
il est dans le clin d'œil avec le public.
Moi, je rentre en me disant, j'ai pas le goût d'être là.
Je me calisse de tout le monde.
Beaucoup plus facile à assumer.
Lui, il reste là. On a du fun, mais personne n'a.
Oui, ce mécanique-là,
rapidement, c'est quand on s'est fait tuer juste pour rire.
26 septembre,
c'est fini.
Il est resté positif
en son personnage
jusqu'à la coulisse.
Tabarnak!
Il est venu aussi en faisant, il faut retourner,
prendre les aplauds.
Tu fais, Chris, ça nous eut, on n'ira pas.
Retourner sur le bord, je suis comme dans
le demi-plus. Mais après,
il était un peu troublé dans Chris, on fera jamais ça.
Moi, je te dis, ben oui, c'est pas la bonne gang.
J'ai toujours été un peu
dans eux autres, le problème. Mais c'est fort, par exemple, esti. J'ai toujours été un peu dans eux autres, le problème.
Mais c'est fort, par exemple, que même à cet âge-là,
t'avais l'intelligence de savoir
que c'était pas vous autres le problème,
c'était eux autres.
Ben, tu sais, je sais pas si je l'entends transposer
que c'était un peu du jazz d'humoriste.
On était déjà à l'école d'humour.
On voulait apprendre les procédés pour les déconstruire.
Fait que c'est ça qui nous amusait avec l'humour,
d'un peu jouer avec les patterns, puis de faire. Fait qu'on se doutait ben que la crowd de vacanciers sont pas là pour faire on se pète à la tête on s'est découvert des nouveaux
patterns la vedette puis de la joke plus round plus le fun fait que c'était notre faute aussi
le numéro était zéro formaté pour ça fait qu' on a compris le d'aller à bonne place avec le bon stock avec les années on a fait dans le cas ces dégâts là on voit un peu on va moins se faire
plaisir à nous deux on va donner des clés à ce public pour avoir du fun un peu j'ai l'impression
c'est tellement qui rêve mais ben non je sais que je rêve pas mais tu es au début il fallait
être vraiment un soin un connaisseur d'humour pour apprécier. Puis là, j'ai l'impression que
vous êtes plus grand public
malgré vous autres, même si vous n'avez pas
fait un switch
un moment en se disant,
« Chris, on devient les fils de la prise
de cette idée du haut. »
Non, pas encore.
Mais pas encore, ça va venir.
Oui, on va rentrer sur des zones hawaïennes
dans le sens de même, mais non,
on n'a pas fait tant de compromis, je pense,
dans notre contenu, puis dans le contenant, oui.
Le fait qu'on fait de la pub, qu'on est à rouge,
qu'on est... Il y a un côté bien pop
qui a été alimentaire, un choix.
On a bu carré en faisant Christ, on veut ça,
on aurait pu tenir notre boutte en faisant on fait pas ça,
on est marginaux.
Au début, les pubs, c'était vraiment...
Vous aviez le choix de faire des pubs
de métro ou aller travailler dans un métro. Oui, pas loin, bien oui. vraiment... Vous aviez le choix de faire des pubs de métro ou aller travailler
dans un métro. Oui, pas loin.
Parce que vous n'étiez pas...
Comme moi, j'étais nulle part,
mais au moins, je vivais, vu que
je faisais des shows de bar.
Il y en a qui n'étaient pas connus qui faisaient des corpos,
mais vous autres, dans les bars et dans les corpos,
c'était tough.
À zéro, on n'en faisait pas. Rapidement,
on avait signé avec Jacques Primo, notre premier gérant,
qui disait « Moi, je ne suis pas là-dedans du tout, le réseau des bars.
Je ne peux pas tant vous aider. » Nous autres, on ne voulait pas
aller là non plus, tant que ce n'était pas notre face d'emporte
qui annonçait le genre.
On ne peut pas s'imposer dans les bars avec ce genre-là.
On l'a vécu à McMaster. On a vu de la place.
On a fait rapidement. Ce n'est pas ça notre chemin.
C'est la TV. On a été chanceux
rapidement, comme Brad Wake qui nous a amenés
à Fond Noir, puis sur
ces galops, puis à Radio, même si
le public trippait pas tant, lui faisait
m'apprendre, moi je trippe, ça fait que oui, ils sont
là. Mais c'est sûr que des contrats
de pub qui arrivaient à nous, un PFK,
c'était pas notre rêve. Mon été Chris,
ça va nous faire vivre.
Vous avez fait quoi comme pub? Vous avez fait PFK,
une pub de peinture?
Là, oui, assez récemment, SICO. On a eu Google dans le lot.
Google?
Oui.
C'est quoi que vous faisiez pour Google?
C'était deux pubs Google Home.
OK.
Puis deux petites pubs de 15 secondes, comme collées ensemble.
C'était slick. C'était Troji qui réalisait ça.
OK. Ah, Christ.
C'était un super beau concept. C'était avec Out of the Blue.
Fait que Google. Sinon, j'ai fait des voix-off.
Moi, Renaud Dépôt, des années de temps.
Vous n'avez pas fait Burger King?
Non. J'ai fait une pub de McDo.
C'est un peu too much.
Dans le look à peu près, je fais comme
c'est un peu slick pour les Denis.
C'est la seule fois, une pub de McDo,
c'était l'affaire Monopoly avec des cafés.
Je buvais des cafés.
Comme les cafés étaient empilés,
je faisais une joke genre, ouais, moi,
j'aime pas mal ça, le café.
Asti, c'était... c'était le point.
Ça aurait pu être n'importe qui, fait que ça avait comme
pas trop rapport jusqu'à là, ça peut pas trop ajouter
tes jokes. Mais sérieux, tu sais,
ça avait aucun bon sens de dire... c'était
25 000 piastres.
45 minutes de tournage, et
aller dans un McDo
pour des gagnants de Monopoly.
J'ai été là deux heures, malheureux.
Mais tu vois, ça n'a aucun bon sens,
ces gens-là, par rapport à...
25 000, oui.
Bien là, j'ai fait, bien oui.
Bien oui, mais après ça, tu files un peu,
c'est McDo en plus.
C'était même pas bon comme pub.
C'est la seule fois que j'ai fait.
J'ai eu un peu de remords, ça,
qui est chouette, un peu easy.
Mais tu sais, on était longtemps.
On a comme, on s'est donné ce goût-là en faisant.
On fait tellement de quoi à gauche.
On ne voit tellement pas tant de tickets.
Même après 20 ans, même là,
on a notre fan base, c'est des fidèles,
ils ont tout ça.
Mais ce qui fait qu'on a choisi aussi
des vies de famille, la maison, la banlieue, tout ça.
Ça, je n'ai jamais compris ça.
Pourquoi?
Votre dernier show, il a vendu combien de billets?
On est 50, je pense.
OK. Ou 25, j'avais-tu vu, je ne sais même pas de billets? On est 50, je pense. OK.
Ou 25, j'avais-tu vu, je ne sais même pas.
C'est 25 ou 50 000.
Mais j'ai l'impression
que tous vos shows seraient faciles à vendre.
J'ai l'impression que...
Tu sais, à chaque fois que j'entends
« ça vend mollo »,
je blonde tout le temps vos producteurs.
Bien, moi, je pense qu'on est d'une tale bizarre,
ce que le monde nous aime le plus.
Tu sais, on rentre en gala, on a une crise de clap.
Le monde est... Ils sont tous dans... Je les aime bien, Denis!
Bien, je n'irais pas y voir un spectacle,
mais je les aime bien. Ah oui, c'est vrai?
Je pense qu'on a un plafond, tu sais, pour...
Puis les autres, les vrais fans, nous autres,
les billets, soit à 7 piastres, soit à 120,
ils vont venir déguiser. Tu sais, il y a un côté très...
C'est comme nichéé. Ils nous aiment
en parcimonie. Quand on apparaît en surprise,
on clashe quelque part. Venez voir une heure et demie,
deux heures. Je pense
qu'il y a bien du monde qui ont semi-peur de ça.
Pourtant,
vos shows,
si tu aimes ça en sept minutes,
tu vas chier partout en une heure et demie.
Probablement.
Les fois que j'ai le plus
ri dans ma vie, dans des
shows, c'est à vos shows.
Parce que c'est pas juste des rires de
« Ah ah ah, c'est des... »
« Ah, carrément, c'est... »
Des moments de délai.
Des fois, mettons, t'entends une joke
pis après tu manques les six
autres minutes.
Oui, oui, pis ça roule vite depuis ça.
Tu es où?
Ça fait partie aussi de ce mécanique-là.
Qu'est-ce qui se passe?
Pourquoi ce bout-là est si long dans le délai?
C'est ce qu'on aime.
Puis oui, je pense que les choses sont moins pointues
et nichées.
Quelqu'un peut se faire une idée.
Hydrolis, ça va être du crise de délai.
Mais non, ça reste quand même bon enfant.
Le fun.
Ce n'est pas grand public, mais c'est accessible. Oui, exact. Ce n'est pas du théâtre expérimental. Non, oui. C'est pas grand public, mais c'est accessible.
Oui, exact.
C'est pas du théâtre expérimental.
Oui, non, non.
Non, non, c'est ça, c'est ça.
Puis on n'est pas de Mickey Martin.
C'est pas un stand-up.
Oui, oui. Ça fait qu'on se promet,
c'est du zappo.
Mettons, par exemple,
une couple de tonnes,
tu fais, OK, c'est pointu,
mais d'autres,
OK, il y a de quoi,
je peux m'accrocher, pareil.
Mais tu sais,
on a toujours aimé cette salle-là.
On a compris vite,
c'est pas là qu'on ferait nos sous,
ça fait qu'on n'avait pas le choix.
On ne voulait pas tomber à mer.
Je vous dirais, tabarnak, on ne vend pas de billets.
Non, on ne fera pas ça.
C'est le moyen de vivre et de continuer à écrire heureux.
Où est-ce qu'on va chercher de l'argent?
Les shows de TV, comme ils nous appellent.
Une collaboration là.
Sinon, on n'aurait pas pu continuer à faire ça.
On n'a pas de regrets.
Il n'y a rien de pire que quelqu'un,
surtout en vieillissant,
à 20 ans,
à être en mer, puis crie « je suis meilleur
que lui », puis « pourquoi lui, il est millionnaire »,
puis « moi, je suis pauvre », c'est cute,
c'est le fun. Moi, j'aime ça, des artistes
dans la vingtaine, un peu frustrés,
j'adore ça, mais
aussitôt que tu pognes une trentaine,
quarantaine, puis tu es encore frustré,
tu es encore en mer,
tu as le goût de leur dire soit ferme ta gueule
ou change.
Exact.
C'est un choix.
Mettons,
si tu es jaloux à ce titre
de Dominique Martin,
Chris devient Dominique Martin ou ferme ta gueule.
Oui, exact.
Il y en a qui vont nous dire
qu'ils ont fait des jokes.
Il y a une crise de différence. Je n'aime Il y en a qui vont nous dire « Oui, mais Chris, vous en faites des jokes. » Des fois, du name dropping,
il y a une crise de différence.
Je n'aime vraiment pas
tout ce qui se fait en humour,
mais il y a un respect
et une compréhension
que lui, il a pris
cette wave-là
qui est plus vedette
ou plus artiste
ou plus pop.
Même si ça ne me pâle pas,
il y a de la job
dans tout le monde.
Il faut respecter
ce patente-là.
On ne peut pas tout être
le fun artistiquement
et avoir tout unide d'angle
unique, ben non. C'est plus formaté
et faut-tu respecter ça pareil, sinon
tu deviens lourd sur un astide.
Si ça avait pas
marché en humour, qu'est-ce que tu penses
que tu ferais? Golfeur.
Tu ferais un astide pour golfeur.
J'ai eu au golf. T'es-tu bon?
Non, zéro. J'aime un jeu de ma
crise de vie. J'allais tirer des balles un momentes-tu bon? Zéro. J'ai jamais eu de ma crise de vie.
J'allais tirer des balles à un moment donné.
Épouvantable.
Je ne sais pas. Je n'aurais fait aucune crise d'idée.
Déjà, rapidement,
la musique. Je suis plus un mélomane même qu'un fan d'humour.
J'avais déjà des frames de chansons.
J'aurais-tu été chanteur? Je ne pense pas.
L'humour était trop important.
Je n'avais pas de la toune assez substance substance pour me lancer. Je sais pas où ça
aurait déboulé, peut-être dans un band.
J'aurais sûrement tourné
à l'entour de ça.
Soit musique, soit...
Mais l'art... Ouais.
Tu sais, la mise en scène, peut-être.
Acteur, ça me parle pas tant. Je le vis
un peu par la bande dans les hauts. J'ai beaucoup de fun.
Mais j'espère zéro à ça. J'ai dit oui
parce que c'est Fabien que j'adore.
Son écriture. Puis Jeff.
Je ne vais pas vous parler de ça.
Jean-Lyon qui réalise.
L'équipe, ça me fait bien m'intriper.
C'est un gros nouveau projet, mais je n'irai pas
faire d'audition.
Ça demande combien de jours par année?
Moi, peut-être cinq à peu près.
Je vais par saison.
Ce n'est pas un personnage très, très très france fait souci une série qui arrive à lille et de non ça tu le ferais pas
non pas à moi à moins que ça soit assez riz exacte et patente ou quelqu'un que je tripe
chris ma son écriture qui le personnage est trop, il se passe de quoi? » Là, oui. Mais une journée de tournage, 14 heures,
tu attends.
Quand tu es libre, tu manques, tu attends moins.
Tu es tellement occupé.
Ça ne me fait pas assez triper, je pense,
pour investir des mois de temps.
Je ne trouve pas que j'ai le talent non plus
pour faire une partition.
C'est bien, bien, bien complexe.
Peut-être un maniaque.
Quelqu'un qui ne parle pas d'une vanne
et qui déchire des petits
en deux dans les parcs-écoles.
Ça, oui. Je le ferais gratuit.
Je le fais déjà.
Je ne fais rien. Personne ne fait rien.
Ça ne me dit rien. Je vais le doigt.
En termes de jeunes, j'ai déchiré.
Chris n'a pas assez de doigts pour compter ça.
Ça, tu as-tu peur
que, tu sais,
vu que vous allez loin en Christ, dans votre humour,
que quelqu'un,
puis vous êtes protégé, vu que
c'est sur Patreon, je te parle pour le podcast,
vu que c'est sur Patreon,
vous avez une protection
que sous-écoute a pas,
que c'est plus
tough pour M. et Mme
tout le monde de tomber sur
un extrait de Rince-Crème.
Mais est-ce que vous avez peur qu'à un moment donné,
quelqu'un va prendre un extrait
et le crisser sur Internet et vous le mettre dans la main?
Ben, écoute, pas peur.
Pas peur, à la limite, parce qu'aussi,
il y a ça qui nous protège de dire,
« Regarde, là, en plus,
faut-tu t'abonner,
faut-tu chercher le trouble en estie,
faut pas aimer ça, il y a comme plusieurs couches, fait que c'est ça qui nous patte jusque-là,
hors contexte, c'est sûr que ça nous nuit,
tu sais quoi, c'est des affaires sorties
du contexte, mais c'est écoute, en partant,
même nous autres, après, on vient vendredi,
on vient de tourner un épisode, un des
thèmes, c'était les places de stationnement pour
handicapés, pis on est partis dans le tapis, les handicapés, s'il y a de quoi de dégueulasse, un des thèmes, c'était les places de stationnement pour handicapés. On est partis
dans le tapis, les handicapés,
s'il y a de quoi de dégueulasse, puis qu'ils ne devraient pas
exister. C'est éveillé,
dans le tapis, mais tellement over the top,
quand j'ai fini l'épisode, moi, j'essaie de repenser
les thèmes, c'était too much,
mais genre trois thèmes avant, c'était
autant way out, puis autant dans le tapis,
mais Christ, c'est la gomme balloune, on est autant
crainqués sur le créateur de la gomme balloune
qui meurt du cancer du sang,
cette petite salle.
Après ça, c'est sûr que tous,
les coiffeuses à n'importe quoi,
on est tellement que si tu le pognes pas...
On a eu peur longtemps pour Instagram
vu qu'on n'a pas les costumes.
C'est comme un armeur qui te dédouane.
On s'appelle Seb et Vince,
mais c'est du Denis. Même à Puissance 1000,
on est vraiment dans le tapis.
On a vraiment du fun, on pense.
C'est pour ça qu'on garde ça quand même.
Abonne-toi, tu veux du Denis.
On va t'en donner, mais ça reste
entre nous autres.
Vous avez beaucoup de name dropping.
Souvent, le name dropping, c'est juste
parce que le son...
De la manière de l'extérieur, je le vois, c'est juste parce que le son... En tout cas, moi, de la manière de l'extraire, je le vois,
c'est que le son fit dans la gag.
Tu sais, j'ai jamais senti un name dropping
qui était dans le but de blesser.
Bien, soit dans le son ou dans ce que la personne représente.
Comme là, l'extrait de cette semaine, on parle des beaux gars.
Moi, je parle de Kenny Reeve, qui est beau dans Point Break.
Puis il se tombe dans Claude Charon.
Puis moi, je tombe gratuitement.
C'est un estilet, il n'est pas regardable, Claude Charon. Moi, je tombe gratuitement. C'est un style laid.
Il n'est pas regardable, Claude Charon.
Ça n'a rien à voir avec ça. C'est comme juste le casting
rapidement d'un homme écalé.
C'est normal de barbuyer. Il ne reste pas de même
qu'on s'habille. Il n'y a rien
d'attaché à Claude Charon. On ne le trouve pas laid.
Non, il doit avoir des beaux yeux. Mais je n'ai pas le temps.
Dans la mécanique d'humour, c'est bien plus drôle
de dire qu'il n'est pas regardable. C'est un style
vieux laid. C'est ça. C'est tellement dans le tapis. qu'il n'est pas regardable. C'est un vestige vieux.
C'est tellement dans le tapis.
C'est jamais attaché à personne.
Mais des fois, on fait ça. C'était too much.
Y'en a-tu, par exemple, des fois que, mettons,
le téléphone sonne?
Le téléphone ne sonne pas direct chez vous, mais Jeff reçoit un appel.
Quelqu'un qui a été blessé?
Oui, ou genre,
« Hey Seb, Claudeude Soron veut te parler.
Un message
en carrière qu'on avait reçu, c'était
Luc Sonnet. OK.
Qu'on avait blessé dans un gala juste pour rire
où est-ce qu'on faisait les deux bitches, l'hommage à RBO.
Ah oui, oui, oui.
Puis Luc avait trouvé la joke bien, bien rough
qui était une joke de poids.
Il avait pris beaucoup de poids en ce période-là.
Puis pourtant, il était prof à l'école d'humour. C'est un acteur qui joue dans des trucs bien éclatés. qui était une joke de poids. Il n'y avait plus beaucoup de poids en ce période-là.
Pourtant, il était prof à l'école d'humour.
C'est un acteur qui joue dans des trucs bien éclatés.
C'est un gros sensible.
Pourtant, il joue là-dessus.
Il fait des personnages en bédaine.
Je suis supposé être assumé.
On ne s'est pas obstiné sur ce mot-là.
On finit en disant
« Bref, c'est un beau gros paquet de marde. »
Lui, il avait écrit « Vous avez fini en disant
que j'étais un beau mangeux de marde. »
On a dit « Non, non, c'était pas ça.
Mangeux, c'est dans la personnalité,
mais le paquet, c'est comme la boule de peau. »
C'était pas plus fin, là,
mais j'ai essayé d'expliquer que c'est rien que physique et niaiseux.
Calisse que c'est trop ça d'essayer d'expliquer à quelqu'un
que t'es pas un mangeux de marde, t'es un paquet de marde.
Fait qu'on est pas méchants.
C'est ça, ça devient compliqué.
Puis souvent, on est plus dans les parents de Paul Arcand,
c'est des jouets.
Son père, c'est un jouet, il se roule dans les marches.
Fait que c'est dur d'être blessé.
Mais ouais, sûrement.
C'est comme c'est sûr qu'en a.
On écouterait et on fait Chris entre eux deux.
Parce que s'il n'y a pas quelqu'un,
on dit qu'il arrête pas de nous cracher dans le cul
quand on est dans un tournage TV.
Puis oui, Chris, elle-même,
elle nous baisse les jeans, elle nous crache dans le cul.
Tu fais là, là aussi, ça s'en va.
Après, on décanne, on voit que c'est tellement
over. Ça devrait bien aller.
Si on nous appellerait, on lui dira désolé,
gang.
Non, tu sais, on fait la pire.
Mais comme...
Le paquet de marde, j'ai déjà oublié son nom.
Luc.
Luc.
Tu vas recevoir un email.
C'était-tu un email ou c'était un appel?
C'était un email.
OK.
Oui.
Je pense que c'est plus facile d'élire avec un email qu'un appel.
Oui, pour ce bout-là aussi, c'était pas vraiment...
Pas ça le temps d'y penser, tu sais.
Oui, un peu.
Un appel, c'est juste...
Ben voyons.
Oui, nous autres, ça me fait de la peine.
Il avait écrit « J'adore votre univers depuis toujours,
je m'en détache maintenant ».
Ah, qu'est-ce?
Ça me surprenait, tu sais, dans le même humour,
de faire « Ben là, tu comprends, transposition,
oui, c'est gratuit, mais tu sais,
ce numéro-là, ça virait mal.
On disait que la compagnie créole puait.
Tu sais, c'est deux bitches à RBO,
puis c'est nous autres. On écrit ça avec 5-6 writers,
me semble, avec plein de...
C'était ça l'angle d'être choquant
à la RBO. Gratuit,
des jokes gratuits.
Fait que, bien sûr.
Mais non, pas d'autres.
Non, il y a des fois
qu'on fait ça. Peut-être qu'on a l'air de s'acharner
sur quelqu'un, mais... J Jérémy Demé peut-être
on commence des fois à le pluguer trop
« Salut les gars, ça va? »
« Hey, c'est Jérémy, je suis grand! »
« Ben oui! »
On a rien contre, il est super
quand on le croise, on a rien de personnel
on dirait que c'est drôle de le planter
parce que le fait qu'il est grand
« Tabarnak! »
« Tabarnak » avec un accent
« Bon, ben voilà, on capote sur Jérémy comme mais c'est pas une cd fois on fait faut changer parce qu'on
n'a rien on a l'air nos fans ont fait à oulaïs et ce grand christ le réno rien
comment que le monde sont quantiques à tite voix dans rue c'est vu que j'ai
l'impression que vos fans c'est des fans finis, finis, finis. Tu sais, puis même moi, je l'ai dit à Vince
quand il est venu,
le dernier show que j'ai fait avant le temps des Fêtes,
c'était en Beauce. Quand je suis arrivé sur scène,
ça criait « Rince-crème! Rince-crème! »
Ça criait « Rince-crème » avant que tu rentres?
Non, quand je suis arrivé,
pour me dire qu'il était heureux,
je me dis « Christ,
les Denis, ça doit être
à ce temps-là, quand vous arrivez sur scène,
les quatre premières minutes,
ça doit être juste Reims-Creme, Reims-Creme.
On n'a pas refait de jeu officiel depuis. On a fait notre gamme-là.
On a fait deux hommages à plumes,
puis c'était dehors, puis il y avait du monde avec des pancartes,
genre, Sébastien n'a pas de lit, il y en a un autre plus loin.
Oui, il y a un lit. Puis ça hurlait
Reims-Creme. Fait qu'on a fait, OK, ça, ça a créé
ça. Fait que, mais qu'on sorte le jeu
officiel. C'est pas calme. On commence un peu d'écriture. Fait que, oui, c'est sûr que ça a créé ça. Mais qu'on sorte le choix officiel, c'est pas carré. On commence un peu
d'écriture. Oui, c'est sûr,
ça a créé ça, mais qu'il te le crée à toi.
Arrêtez, call it.
Mais c'est magique parce qu'ils savent que tu es important
dans ce patente-là. Je trouve ça magique.
Oui, mais moi, j'étais vraiment
heureux. Parce qu'il aurait été vite
aussi, ça. Oui, non, non, c'est sûr
que je n'aurais pas été heureux si
j'étais renduu mon septième numéro.
Est-ce que j'étais...
Oui, oui, oui.
Il écrit ça au début.
Votre public est généreux.
Je ne parle pas
juste pour vous autres,
mais c'est un public qui ne veut pas
gâcher des shows.
C'est des crainqués,
mais s'ils vont voir
un show d'humour, ils comprennent que
s'ils crient Rince-Crème
pendant des prémices,
ça risque de m'offrir le show un peu.
T'as raison. On a fait deux lives.
Un plus gros, celui avec Pat Gros, qu'on a fait
à Drummondville.
On s'est dit
tabarnak, c'était sold out
et plein jusqu'en haut. Vous jouez dans la salle à Drummond. À Drummond. Puis, tu sais, on s'est dit tabarnak. Puis, c'était sold out. Puis, plein jusqu'en haut.
On a fait…
Vous jouez dans la salle
à Drummond, ça, là?
Oui, mais tu sais,
sur scène,
ils font comme
un cabaret sur le stage.
OK.
Avec, je pense,
250, 40 en formule cabaret.
Puis là, la salle,
t'es vide à cause du COVID,
mais le balcon,
t'es ouvert.
OK.
Fait que t'as le balcon
en background,
donc t'as un…
C'est une wave.
Puis, eux autres,
direct sur le stage,
je pourrais avoir le feeling un peu plus podcast. Fait que c'était comme bien, bien le t'as un « rouh » là, ce petit « wave », puis eux autres directs sur le stage pour avoir le feeling un peu plus podcast.
Fait que c'était comme bien, bien le fun comme mécanique,
mais on s'est dit, « Hey, là, ça va être le délai,
l'intro de ce show-là, c'est ça, c'est trivant.
À quel point on va perdre le contrôle? »
Maintenant, aussitôt que ça « drop »,
on fait, « OK, ça paraît que c'est nos fans,
on veut écouter, on comprend le gag. »
Mais ils ont compris le concept du podcast.
Oui, exact.
Ça a pris combien de temps avant d'établir le concept du podcast. Ça a pris combien de temps avant
d'établir
le concept?
Est-ce que
ça a-tu été genre,
vous vous êtes parlé 20 minutes, puis vous l'avez
trouvé? Ah, pour le flash? Oui.
Ça a été long, mais
quand j'ai eu le flash
après un bout de temps, parce qu'on était,
on se faisait un peu talonner,
on savait que tu nous en parlais pendant deux ans, puis je voulais pas
faire justement un podcast pour arriver,
puis je me questionnais beaucoup sur, on peut-tu
être là, pas en personnage,
à quel point nos fans nous aiment, puis là,
à quel point ça prend un invité,
ça nous met sans valeur, on va-tu tomber dans
on y aille quasiment l'invité, tu sais, tous ces layers,
je voulais que ça soit, fait que c'est pour ça que j'ai arrivé à,
OK, ça prend quand même la moitié du podcast,
c'est juste du Denis.
Cette bulle-là, il faut qu'elle existe,
sans invité.
C'est le fun d'avoir un invité,
ça vient taguer aussi un épisode,
de se rappeler tel épisode, c'est lui l'invité.
Puis de slacker aussi la pédale,
pour nous autres puis pour le public.
Il y en a qui disent, c'est pas long, une heure.
Mais après, si on faisait une heure et demie chaque semaine,
juste nous deux à délirer de même, tout le monde seraitûlé deux autres à nous autres aussi pour les thèmes c'est
un manet ton frère il y en chie pas des temps non c'est sûr même si tout est valable les effets
salades césar le lendemain manet c'est tout ce serait dilué fax je pense que la formule c'est
arrivé assez rapidement parce que belle nous avait offert un podcast.
Juste avant les Nitalonais.
Ça va être là. C'était avec
Félix Turcotte. On proposait ça.
On était sur le bord de signer.
Ils nous payaient chaque semaine. Les autres prenaient le pari.
Rapidement, ça me jouait dans la tête. Il fallait
aller signer le contrat. C'était là.
J'ai fait « Chris, non. Non, non, non, non. »
Il ne devait pas offrir
tant d'argent que ça. Ça devait être Non, non, non. Il ne devait pas offrir tant d'argent
que ça. Ça devait être un salaire décent.
Pour du podcast payé
par quelqu'un, ça devait être bon.
C'est combien?
1200 chaque par podcast.
Ça, d'habitude, comme Radio-Can,
je sais qu'il donne 400.
C'est le trip de...
Oui, puis il payait sûrement Félix.
Puis le studio, on n'avait pas payé. C'était dans les bureaux là-bas. Aucune dépense. C'est vraiment trip de oui puis tu sais il payait sûrement Félix puis le studio on avait pas payé
c'était dans les bureaux
là-bas
fait qu'on a aucune dépense
fait que c'est bien
vraiment bien payé
exact
Chris Paul a un podcast
c'est vraiment bien payé
c'est ça
mais ça grossit pas
si ça devient
le hit
que Reinscrème est devenu
ouais on serait arrêté perdant
c'est sûr
puis on aurait été
surtout aussi à un moment donné
même s'il était
oui on veut ça quand même éclater
ouais t'as des boss
tabarnak c'est pas là. C'est pas là.
C'est arrêté par qui, là, Chris Kreml?
Elle est belge à cause pour la cause.
Puis là, t'es en train de dire au monde de se suicider.
Marc, à tous les épisodes,
« Je veux me suicider, j'ai hâte de partir. »
« Nous autres, on a hâte que tu te tires. »
C'est un joke de meurtre sans arrêt.
Ça aurait été impossible.
J'ai dit « Ben non, Chris, on le fait. »
Même si on adore Félix, on a mis un writer.
On avait dans la tête, Chris, si on fait ça, que quelqu'un, c'était avec Marc. C'ai dit, non, Chris, on le fait. Même si on adore Félix, on a mis un writer, on avait dans la tête, Chris, on fait ça avec quelqu'un,
c'est avec Marc. C'est le moment idéal
de rentrer dans notre univers
avec un personnage qui parle.
C'est pas un acteur, mais lui, dans la vie,
il est fun en Chris.
Il est parfait là-dedans.
En plus, je trouve, pour ton franc,
il le remet à sa place.
Des fois, c'est un thème
entre deux. Si Marc ne trouve pas pour ton frère, il le remet à sa place. Des fois, c'est un thème et pas...
Si Marc ne trouve pas
que c'est à la hauteur...
Martin, il est étonné.
Il corrige des devoirs d'élève.
Oui, c'est d'un méclou aussi.
On trouve ça trippant
qu'il crée « c'est mon frère »
et Marc, on s'est connus.
J'ai connu Vincent Dernier là-dedans.
À 5 ans, mais Marc à 4 ans. Et ton frère. Puis Marc, on s'est connus, tu sais, même, j'ai connu Vincent Dernier là-dedans. À 5 ans,
mais Marc à 4 ans. Puis ton frère à naissance.
C'est exact. Fait que tu sais, on se connaît
vraiment depuis l'enfance. Jean-Philippe, ça fait des
années. C'est l'ami de Jean-Thomas qu'on a connu en
99. Fait que c'est une vingtaine d'années.
Fait que c'est vraiment,
tu sais, petite bulle familiale. En plus,
fait que non, c'est vraiment
un astuce de projet le fun qui ouvre
des portes, tu sais, à des places qu'on n'aurait jamais pensé
aller, c'est justement mon père
on a jamais parlé tant de nos vies
pis là Chris, c'est qui mon père
il y a des memes sur
ma blonde qui s'était faite claquer le cul
par un gars de Boston
ma blonde fait, c'est-tu moi là
Annie, mais c'est une autre fille
Annie, une fille avec le cul mauve
le gars de Boston
on est rendu, Chris, le gars de Boston.
On est rendus, Chris, nos gars.
Des fois, on ouvre des portes.
Jamais que ça partait de nous autres.
Puis là, beaucoup,
on leur parle direct.
Après 20 ans, on est comme ouverts.
On tripe comme que les gars existent.
Là, le fait que vous rouvrez autant,
vous ouvrez autant sur vos vies privées.
Vu que vous n'avez jamais fait de journaux à potin,
ou en tout cas, il me semble,
je ne me rappelle pas de t'avoir vu dans le séjour
avec ta blonde.
Ça, c'était une première de show.
Peut-être que moi et Annie, une fois.
C'est tout. Pas d'article dans le salon
de « On aime nos chiens et nos gars ».
Les quatre, on jase de chez nous.
Non, personne n'est rentré chez nous.
Sauf que là, avec le podcast,
moi, c'est pareil avec Sous-écoute.
Je déteste ça, des hosties d'entrevue
parler de mon diabète.
Je vais vous parler du végétarisme.
Mais là, à cette heure,
on dirait...
Tout le jugement, j'avais pour le monde
qui font ça.
Je suis ça fois mille.
Oui, c'est parce que tu n'as pas le choix, à un moment donné,
d'accrocher à ce que tu vis pour vrai.
Le monde te repitche là-dessus.
À un moment donné, c'est bien beau à m'entertainer,
mais tu fais « OK, mais qu'est-ce qui s'est passé?
Ma blonde m'a tant parlé là. »
Oui, c'est le fun à compter.
Tu te rends compte qu'on ouvre des portes,
puis c'est correct.
Dans le fond, je pense de la bonne façon.
Venez voir Mérino
avec une photo de même.
Ça, c'est vide en Asti, mais au moins
de l'attacher à quelque chose de
fun.
On a vraiment bien du fun avec ça.
Puis,
quand Vincent est venu, il a parlé
de...
Vous n'êtes pas sûr si le prochain projet,
ça va être un show ou un podcast en tournée.
Oui.
Un podcast, Reinscrime en tournée.
Là, est-ce que vous le savez plus ou vous êtes encore…
On est encore parce que c'est sûr que ça nous a joué dans la tête.
Ça nous parlait un peu de…
Là, on a comme le goût un peu de séparer ça.
Peut-être qu'on pourrait faire quasiment les deux en tournée,
mais d'offrir
Rince-Crème en tournée, aller faire une tournée partout,
aller voir le monde, puis d'avoir ce feeling-là.
Puis peut-être de faire de quoi de plus théâtral
avec les Denis, pour pas refaire
un peu comme la dernière chose, stand-up.
Peut-être de faire de quoi, même partir
sur plus vraiment
une autre plateforme que la'est la tournée
conventionnelle des shows d'humour le ventre plus comme un show de théâtre il écrit en se
disant vraiment plus sur une mécanique de hockey c'est un huis clos 5 4e et des bouts pas tarder
pendant huit minutes puis ça va savoir ailleurs de présenter plus comme un show de théâtre mais
c'est ce qu'on espère mais peut-être pour peut-être qu'on va des réflexes en tellement
chris non non ça prend un point de chose on a toujours'est ce qu'on espérait là, mais peut-être pas. Peut-être qu'on va des réflexes en finalement, Christ, non, non, ça ne prend pas une show
aux minutes 20.
On a toujours,
ça fait 20 ans qu'on fait ça,
mais on se demande juste
pour ne pas brouiller les cartes.
Il y a du monde
qui vient de réinscrire
et qui fait,
ben non,
si vous faites un show,
faites-le de même,
en 7,20,
vous n'avez plus besoin
tant de la misère.
Oui, ça doit être mêlant.
Oui, c'est mêlant en ce moment.
C'est ça,
c'est mêlant
parce que depuis longtemps, on dit, ben non, on ne peut pas faire du Denis en 7,20, c'est parceêlant en ce moment. Ça, c'est mêlant de... Parce que depuis longtemps, on dit, ben là, on peut pas faire
du Denis en Seb Vins, c'est parce que
on peut pas porter ce message-là, mais là,
on le fait en podcast. Mais tu sais, il y a un
méga clin d'œil.
Tu sais, il y a de quoi... M'appeler Sébast
comme un des gags les plus forts. Tout le monde nous écrit
Sébast! Parce que Vins, pour lui, c'était
un gag de me dire Sébast devant du monde.
Fait que le fait qu'on dit nos vrais noms, on trouve déjà...
Fait que c'est quasiment des personnages. Sébast et V monde. Le fait qu'on dit nos vrais noms, on trouve déjà... C'est quasiment des personnages.
Sébast, Sébast.
C'est ça. On est un peu
confiants en ce moment. On veut les protéger
de tout ça aussi.
On se presse pas.
On m'en dit mes conférences. C'est ça l'angle, on l'assume.
Ça vous prend combien de temps
écrire un show?
Parce que
quand vous êtes venu à mon
roast cet été, vous étiez
les seuls qui ne l'avaient pas.
Vous n'aviez pas rodé vos affaires.
Puis, qu'est-ce que c'était tête!
J'ai l'impression, quand j'ai vu
la qualité que vous avez sortie pour le
roast, sans roder,
écrire un show,
ça doit être moins long pour vous autres que
mettons pour moi ou une
personne normale.
Pour nous autres, je suis contre
le rodage. Ça nous a jamais
servi, même que ça nous nuit, ça nous
joue dans la tête, ça nous crée une anxiété.
De faire, ok, ça marche pas,
tabarnak, ils aiment pas ça.
Puis de faire, on l'a écrit un peu dans ce moment-là,
on était là au début, c'était comme ça l'angle, puis là d'y aller, puis finalement'aiment pas ça. Exact. Puis de faire, on l'a écrit un peu dans ce moment-là, on était là au début.
C'était ça l'angle, puis là d'y aller puis finalement, ça passe
weird, puis d'un rodage, des fois,
c'est un peu à des places imposées où le monde...
On a fait un peu
plus pour le dernier show, pour Entrer dans le beau temps.
C'est en ligne sur certains points,
mais moi, j'aime mieux répéter,
comme un show de théâtre,
dans un local,
ensemble de A à Z.
Le premier show, c'était la première médiatique.
C'était au Pays des Dénis.
On n'avait jamais joué ça devant personne.
Ah oui?
Oui, mais tous nos garages pourris aussi,
on ne va pas redire.
Tu demandes ça et on fait...
Bien non.
Si il y a une chose qui n'avait pas passé,
ce sera ça.
On va vivre avec.
Mais on répète énormément.
OK.
Puis vous répétez à une de vos maisons. Mais on répète énormément. OK. Puis vous répétez
à une de vos maisons?
Oui, dans mon garage.
C'est toujours la dernière étape d'un number
où est-ce qu'on a passé.
Sauf que l'écriture est faite. Souvent, Vince
qui écrit les premiers gestes, je repasse dessus,
punché là-dessus. Après ça, on se lève,
on le place, puis là, au complet,
on l'apprend. Parce qu'il y a des gars qui s'écrivent mal.
Il faut qu'on le vive en étant là,
puis en le plaçant, puis là, c'est la répétition tête.
Ton garage, il est-tu fait,
tu sais, il y a-tu un rideau en arrière
pour que ça aille un feeling?
Oui, bien, c'est toujours photo à ma blonde.
OK.
Fait que, exact, c'est une ambiance,
c'est gros rideau noir dans les bords.
OK, ah, c'est cool.
Grand plancher, fait que c'est un garage fin en studio.
Puis, est-ce que vous vous filmez
pour après le regarder ou vous le
sentez? Ça, c'est rare.
On le sent, on le place, puis
après ça, on verra un peu fou en char
les italiennes sans arrêt, parce qu'à deux aussi,
il y a ça. Tu n'as pas le choix d'être en temps.
Tu ne peux pas surfer sur de l'impro ou ailleurs.
L'autre, il attend le câble, puis
on travaille les mélodies. Des fois, c'est sûr qu'on
se trompe. Peut-être qu'on devrait roder certaines
affaires, mais on aime plus ça. Bien, c'était ça. C'était ça l'idée. Nous autres,. Peut-être qu'on devrait roder certaines affaires, mais on aime plus ça.
C'était ça.
C'était ça l'idée.
Nous autres, il y a 12 fois qu'on le fait.
On pense qu'il est bon de même.
Mais c'est vrai.
L'idée des Denis, c'était d'arriver et de faire,
regarde, vous autres, vous aimez ça.
Nous autres, on fait ça.
Adaptez-vous.
Oui.
Fait que là, dans le fond, c'est weird d'arriver là,
faire, OK, avant, on se crisse ça de vous autres
mais là, ah ouais
dites nous ce que vous voulez
autant qu'on a l'air de se crisser de la réaction
on se crisse de notre carrière aussi
c'est comme le projet qui prend
c'est ça qu'on va présenter
c'est pas tant important, c'est une tour
où c'est que ça va nous emmener
le public a-tu t'enri
c'était ça la patente on, puis on a dit qu'on était
messager du flash qu'on a eu.
On a toujours vu ça un peu de même. Le projet est bien plus important
que nous deux. Si ça avait planté, ça aurait planté.
Allons au bout de ce petit flash-là,
puis là, on est rendus là.
Puis, Jacques, tantôt, tu as parlé un peu
de Jacques Prémont, qui était votre premier gérant,
votre premier producteur, qui était
le...
Tu sais, c'était le sixième gars d'RBO.
Il était cinquième.
Il était combien?
Parce qu'à RBO, il était sept.
Ben, c'est ça.
Oui, c'est ça.
Puis, il y avait Jacques
qui était, je pense, aussi important.
Oui, au départ.
Lui, il vous a signé
à partir de l'École de l'humour.
Vous avez été avec quand même
longtemps, 4 ans, 5 ans?
Oui, au moins.
Un petit peu plus que ça.
Après ça, on est parti avec Sophie.
Sophie qui était par exemple
à base avec Jacques.
Elle est arrivée dans la première année.
C'était elle qui était beaucoup
au day-to-day avec nous autres.
On était super proches de Sophie.
Elle travaillait beaucoup sur la patente.
Puis après ça, elle est partie.
On l'a suivie plein de humoristes.
On était là.
Une couple d'années avec Sophie.
Super bien été.
C'était magique.
Puis après ça, on a eu le goût d'essayer d'autres choses.
On est partis d'une plus grosse boîte.
Puis là, tout ça se promène.
Puis là, on était avec Jacques les premières années.
Puis c'est ça, Jacques était majeur sur bien des breaks,
bien des bons flashs.
C'était fantastique.
C'est son flash. C'est lui qui a fait, non, c'est ça votre single. Ça va être ça. Le nom, les petitsères années. Puis c'est ça, Jacques était majeur sur bien des bons flashs. C'était fantastique, c'est son flash.
C'est lui qui a fait, non, c'est ça votre single, ça va être ça.
Le nom Les Petits Jeunes Hommes.
Bien du flash. Ah, c'est lui qui a trouvé
le nom Les Petits Jeunes Hommes? Oui.
Ah, c'est drôle ça.
Il était allumé, il était brillant.
Il aimait ça pour vrai. Il était impliqué dans Patan.
Oui.
On y en doit beaucoup, on l'adore.
Puis lui, qui était rendu dans sa carrière,
il pouvait faire
beaucoup pour vous autres,
puis ça n'y apportait rien.
Son nom était déjà fait,
il avait fait son cash avec
Guy A.
Oui, il ne voulait pas reprendre personne.
Après, il était dans... Non, non.
Il allait voir le show de l'humour, mais il n'était jamais chez personne.
Puis Guy a parlé, il a fait, je pense qu'eux autres, c'est de vrai. Puis il nous a dit,
genre, je vous ai pris au-delà, même si
je trippais le genre et tout, je vous ai pris parce que
vous vous connaissez depuis que vous avez 6 ans.
Il dit, moi, ça, j'ai fait. OK, ça, c'est
l'affaire qui me rassure. Puis c'est la vraie,
c'est purement un vrai duo
qui arrive avec une vraie patente. C'est pas juste un flash
de chum basé à l'école.
Oui, oui. Il y en a un qui va être jaloux de l'autre deux ans après.
Oui, ou n'importe quoi là-dedans, il a compris
qu'on le faisait, je pense, pour les bonnes raisons.
Oui.
Qu'on avait le goût de vivre.
Ça, vous autres, d'ailleurs, là,
tu sais, mettons, faire un projet solo,
tu sais, comme toi, les premières fois
que t'allais faire des trucs tout seul,
tu sais, comme, mett mettons au Fantastique,
tu avais-tu un feeling
au début de « Ah, Chris,
c'est-tu weird que je parte
tout seul, tu sais, sans
vince? » Ben oui, sûrement
que les pubs radio, c'était les premières fois
que je faisais des affaires des fois sans vince,
mais les premières fois, oui.
Puis même ça, tu sais, les Fantastiques,
je ne voulais pas, je refusais ça pendant six mois,
un an, en me disant, ben non, je ne veux pas transposer
mon humour là. Finalement, oui, j'ai trouvé
comment. Je suis seul
à dire que je n'aime pas la musique qui joue là.
Je ne comprends pas pourquoi je suis là.
Les moments forts, je me suis passé la main dans les cheveux.
Véro trip sur le fait qu'il y en a un dans l'eau
qui a l'air de rire du show.
Mais ce n'est pas ça. Je les adore comme monde,
mais j'ai fait OK. Ça se transpose. Le gars qui vient
casser le chaud. Sinon, je serais pas là.
Ça fait que c'est
avec 20 soins. Puis lui-ci, au début, c'est sûr,
il va à tour.
On cherche un peu. C'est sûr de
qu'est-ce qui est où l'autre. Mais en même temps, on sait qu'on fait pas
justement du Denis
en solo.
Tout est dimé. C'est comme ça a des
teintes. C'est nous autres, mais ça a été long.
Avant, on se disait non, non, non.
Les dix premières années, on sortait pas de ça parce qu'on voulait pas.
C'est quoi la première chose
que vous avez faite, mettons,
soit toi tout seul ou soit Vince tout seul?
Tu te rappelles-tu?
C'était-tu genre un tricheur ou un...
Ça devait être des caméos dans des galas.
On veut juste, mettons,
Maïp et Mac qui rentrent. J'ai mon nouveau chum,
bien, c'était Denis Barbu, qui vient
crasher un sketch. Là, il utilisait...
Fait qu'on comprenait, OK, ils peuvent
nous sortir, mais c'était les premières fois,
puis on devait être shakés dans...
Pourquoi, bien, c'est pas là. On fait une joke
d'aller à un chum, puis elle sort pas avec les deux,
puis c'est drôle qu'elle sorte avec Barbu.
OK, ouais, ça doit être ça, la prévoisine
même d'apparaître dans des... Mais les premières années n'avait pas tant et après ça ça a été
c'est sûr ici et là dans des affaires comme le gros ce bateau des affaires
qui fit de même ou 20 justement j'ai été à taux si ça nous parle petit c'est que
si ça fait on sait jamais surtout des, on a comme ouvert à ça,
puis je pense que ça va aussi ça, en autant qu'on fait pas du Denis en solo.
Ouais, ouais, ouais, qui serait weird. Moi, à chaque fois je vois ça, mais d'habitude ça
arrive surtout quand un groupe se laisse là, tu sais. Mais tu sais comme RBO, quand je voyais,
tu sais, Bruno il avait, il était un peu parti en solo, puis là je fais je voyais Bruno, il était
un peu parti en solo.
Puis là, je faisais, Chris, il devrait
faire d'autres personnages.
Il est parti avec des personnages du groupe qui appartiennent
au groupe.
Moi, je trouvais qu'il aurait dû partir soit
en stand-up ou partir
avec huit nouveaux personnages.
Mais en même temps, je le comprends.
Tu es comme Chris, j'ai le chef gros lot
qui marche à mort, pis là,
j'arrive avec... Hey, vous me reconnaissez pas,
mais... Samuel!
Samuel le scout!
C'est quoi, ça, Chris? Ouais, t'as raison, c'est sûr, c'est le réflexe,
mais faut pas, t'sais. Mettons qu'on
arrête les Denis, je partirais pas un bout
de Chartier, parce que je suis en Denis-Barbu
tout seul, elle dit que moi, tu es le monde.
T'sais, comme, je trouve que Dan Grenier l'a bien fait, ça. Oui, vraiment. Barbu tout seul, elle a dit que moi, tu es le monde. Je trouve que Dan Grenier
l'a bien fait.
Lui, solo, ça n'a rien
à voir avec les chicks.
Tu comprends pourquoi
il était dans les chicks.
Tu vois la salle.
Les flashs sont rattachés là, mais
on voit sa partie des chickens.
C'est ça qu'il apportait, mais ce n'est pas du chick.
Vraiment, Daniel, c'est un bon exemple.
Comme toi, tout seul, tu pourrais
même quasiment pas te fâcher.
Ben, c'est ça.
Mettons, faire dire, je fais un show de stand-up,
faudrait que tu fasses genre
tu deviennes le nouveau
Pierre Légar.
C'est sûr, Chris, c'est sûr, je le remplace.
Mais je pense, dans l'écriture, ça serait
proche de ce que j'ai toujours fait.
T'as raison, dans l'énergie,
je ne serais pas un personnage.
L'univers bu, un stand-up,
c'est pas durable.
On ne comprend pas l'angle.
C'est tellement joué.
Je n'irais pas là.
C'est la même type d'écriture.
Est-ce que tu as quelque chose que tu penses
que tu vas faire un moment donné dans ta vie?
Un moment donné, juste un...
Number de même. Solo.
Ça ne m'appelle pas.
OK. Tu sais,
s'il arrivait quelque chose, bien, il se m'annonce qu'il n'a plus le goût de faire ça.
Là, tu n'as comme plus le choix.
Bien, c'est ça, le moment où tu fais comme à moins...
J'ai encore le goût de faire du stage, je la siffle dessus, puis l'essayer.
Oui, il faudrait que je sois plus mis au pied du mur
que par moi-même, parce que je me dirais
que je vais me mettre en danger. Pourquoi?
Tellement de fun encore.
Fait qu'il faut que Vincent meure ou qu'il abandonne.
Si possible, s'il y a des fans,
c'est pas souvent que tu es libre.
Tu es libre, vous allez avoir...
Il y a de quoi, par exemple, qui serait attachant de
mettons, si toi t'abandonnes
ou Vincent abandonne,
de voir l'autre comme
un Denis semi-dépressif
qui part en tournée.
Plus théâtral,
puis qui cherche l'autre, s'ennuie de l'autre.
Il est même plus en brun, il est comme en beige.
Il est tout seul,
puis il parle que de l'autre.
Il a tous les numéros, puis il est avec lui qui pleure.
Oui, il est juste dans...
C'est le fun à deux.
C'est le petit show low.
Il n'y a pas tant de jokes.
Il y a du piano sans arrêt.
C'est le fun à deux.
Il fume des cigarettes.
Il est dans le vide.
Ça, pour vrai,
mais je ne sais pas
si c'est tout le monde
que ça fait.
Mais moi, d'avoir,
mettons, quelqu'un
qui est en duo
comme Mario Tessier
que son prochain show
s'appelle juste
c'était le fun à deux.
Christ, que ça vient me chercher ça.
Mais Mario Tussauds
et tous les numbers finis.
Je le revois, il était là. Il était pas grand
José. Il disait ça,
je lui disais ça.
Ah oui, là ça. Mon meilleur show d'humour
à vivre. Mario qui s'ennuie.
Ça serait un vrai
rire, mais ils sont pas game.
Comment tu trouves ça
Rose Battle
toi t'es là depuis la deuxième
saison
puis
comment tu trouves ça
ben c'est le fun
moi je pense que
je pense plus que je le ferais
après 3 justement
3 back à back
j'ai eu vraiment du fun.
C'est une surprise. C'est mon gros coup de cœur.
Mon ogre. Chris, que je connaissais
zéro.
Puis d'avoir
découvert mon ogre-là, je riais en tabon.
C'était trop
parfait, cette découverte-là de les jokes
de me tuer, puis t'es laid.
Puis paf! Le ton de voix
aussi, qui est bien unique, bien punché.
C'était pour cette découverte-là.
Puis des combats, des revirements
le fun.
Je pense qu'il manque un...
Je pense que ce qui est plus triste avec ce show-là,
c'est que, puis je comprends, mais qu'il manque un peu de gros noms.
Des vieux de la vieille,
ou des humoristes qui devraient
un peu se laquer la peur de se faire blasser,
d'y aller, puis de jouer ce jeu-là.
Moi, je pense même pas que c'est la peur de se faire blasser.
Je pense que c'est la peur de perdre.
Oui, aussi, t'as raison.
Parce que, je pense,
vois-tu ça, j'ai trouvé ça admirable
de Fallu quand il l'a fait et il a gagné
sa saison, mais Fallu
avait plus à perdre qu'à gagner.
Ou tu sais, La Roque, cette année,
qui disent, « Chris, j'y vais.
J'y vais. » Puis, il avait plus à perdre qu'à gagner. Oui, exact. Ou tu sais, la rock cette année, qui disent, Christ, j'y vais, j'y vais,
puis il y avait plus
à perdre qu'à gagner.
Exact.
Puis le fait
que ça a bien été,
là, il sort de ça
pour tout le monde
faire, Christ,
il est drôle.
Oui, mais aussi,
je pense,
mettons,
si Steph était sortie
au deuxième combat,
ça n'aurait pas nuit non plus.
Non, vraiment pas.
Tu sais,
au Jean-Tom,
qui s'était fait péter
par Pierre-Yvroy,
qui n'était pas autant
connu à l'époque ça y est pas vraiment nuit
c'est moi ça m'ouïe allez puis même billy tellier esti c'est un bon moment
qui m'a fait puis finalement il mérite je vais écrire ce parfait même si tout
le monde s'attendait à moi il m'a le détruit tellement vieux méchant c'est
bien mais non mais c'est pas grave c'est partie du jeu manque un peu ça parce des
fois c'est un peu complexe découvrir quelqu'un en même temps qui blasse
quelqu'un qui a pas ses référents on a des fois, c'est un peu complexe de découvrir quelqu'un en même temps qu'il blasse quelqu'un
qui n'a pas ses référents.
Des fois, dans les choses, tu fais,
il l'écrit sur quoi? Je ne la connais même pas, ce fille-là.
Même eux autres écrivent des jokes sur Chris.
Je ne sais même pas ce qu'elle fait.
Il faut que tu ailles, je trouve,
vu que l'autre personne n'est pas connue
du monde qui écoute,
il faut que tu tombes dans le physique.
Puis en 2022, souvent,
les jokes de physique, le monde fait
« Chris, c'est pas cool.
Ta traite de grosse,
pourquoi t'es pas allé ailleurs? »
Mais Chris, il n'y en a pas d'ailleurs.
Exact. Pour le grand public, ils ne comprennent pas.
C'était bien dans l'interne. Oui, on sait qu'il a fait
tel show, mais ce n'est pas une joke sur du rodage
au jockey.
Je suis content, par exemple, que quand même Belle
assume de présenter un show de même
qui va quand même loin.
Oui, oui, oui.
Il y a des bonnes jokes trash.
C'est assez lourd.
Même si c'est du montage, il garde au final.
Si il y a quelqu'un qui a eu un...
Si il y a un des participants qui a quelqu'un dans sa famille
qui s'est suicidé,
quelqu'un arrive avec une joke là-dessus.
C'est sûr. Et ça,
on n'aurait pas cru ça.
En ce moment, il n'y a pas tant de shows qui vont là.
Non, vraiment pas.
C'est ça qui m'a surpris un peu aussi.
Je me suis fait dire, un moment donné, je sais qu'il y a un épisode,
je ne sais pas si tu te rappelles, j'ai l'airé,
puis je pointais un des mannequins en disant, lui, j'aimerais ça,
j'aimerais manger les gosses ou je ne sais plus quoi.
Puis quand même l'équipe m'a dit, c''était drôle mais c'est sûr qu'on coupe ça.
Puis genre ça. Puis un autre Carl j'ai comme fait ok fait que mes Carl un peu LG
genre c'est sûr qu'on coupe ça. Puis je fais mais tu gardes les jokes justement de
suicide sur le stage. Fait que ça ça m'a enlevé un petit peu de magie de à quoi je cherche.
Sauf par exemple c'était tu un tech qui t'a dit ça? Non. Ok fait que c'est quelqu'un qui décide. Ouais quelqu'un de la prod un peu qui m'a dit.? Non. OK, ça fait que c'est quelqu'un qui décide.
Oui, quelqu'un de la prod un peu qui m'a dit.
J'ai dit deux, trois autres jours que je me rappelais.
J'en fais pas tant, en plus.
On n'a pas tant de temps quand on parle.
Ah non, Christ qu'on n'a pas de temps.
Bien, c'est ça.
Moi, j'avais oublié.
Tu sais, moi, je suis revenu cette année.
Tu sais, j'avais fait la première saison.
Puis, j'avais oublié c'était quoi de la télé de genre,
OK, dis tout ce que tu penses
t'as 3 secondes
c'est ça en christe
c'est super
on va juste regarder quand t'as dit super
bon ok si on regarde 4 secondes
12 secondes
c'est ça il y a ça un peu puis en plus de me faire
on regardera pas les jokes on va regarder quand tu dis
c'était bien écrit c'était le fun
c'est plus le fun
si je dis t'es pas regardable, t'es laid comme ta mère
c'est plus un bon show
que moi qui dis c'était bien tourné à la deuxième
me semble, ça j'ai un peu fait
je ne me rendais pas commentateur
fait en route
une fois et je n'ai pas aimé ça
en route tu n'avais pas aimé ça?
parce que tu avais l'impression
de briser des rêves?
Il y a une partie de ça.
Surtout qu'il y avait une pression.
Il va le rentrer dedans. Il ne mèche pas ça dans la vie.
C'est le genre de faire one-on-one,
travailler avec un artiste que j'aime, oui.
J'ai fait, OK, il y a des genres
qui me parleront.
Je ne suis pas Carl, mais je ne dirais pas.
Ça me parle zéro,
rien que de la mauvaise foi.
Je sentais un moment donné,
pas bullshit, mais on met du grévé.
Je me sentais un peu...
Je n'ai pas tant d'affaires, finalement.
Ça va être plus travailler avec certains humoristes
one-on-one.
Ça devait être stressant aussi,
parce que les deux,
vous êtes bien respectés.
Le monde sait...
En tout cas, tous les humoristes ont l'impression de savoir
ce que vous aimez, ce que vous n'aimez pas,
puis de savoir
que vous êtes assez intelligents pour
respecter des affaires
que vous n'aimez pas, mais ça doit être stressant
de savoir, je fais
un humour que je sais que les
Denis, ils comprennent que je travaille,
mais je sais qu'ils me méprisent un peu.
Bien, puis pourtant pas.
On s'est redit ça l'autre jour.
Bien, pas que me mépris, là, mais...
Parce que c'est drôle, tu sais,
Vince qui est tellement,
puis qui est le plus weird des deux,
est dans son écriture,
puis qui est plus niché.
Mais tu sais, son meilleur film,
c'est Plane Trains and Automobiles.
Capote, John Kennedy, Steve Martin.
On aime...
Ce qu'on consomme,
c'est souvent très cheesy,
plus formaté,
puis que ce soit cute
beaucoup de monde vont penser
qu'on aime ça, rien que c'est weird et que c'est pas vrai
même des trucs qu'on consomme on aime ça
c'est pas directement ce qu'on fait
même le cinéma trop weird
souvent ça me tanne
c'est quoi ton
lui son film préféré
c'est Plane Strange on a Harder Bills.
Toi, c'est quoi? Comédie, parce qu'on a fait un comédie.
Moi, je pense que ma meilleure comédie ever,
c'est le Dîner de cons. Ah oui, moi aussi.
Pour vrai? Ah oui.
C'est une comédie parfaite. C'est tellement bon.
C'est un chef-d'oeuvre. Aucun n'a-t-il de bon sens
comment que les... Tout est là.
L'écriture, le jeu, c'est un vaudeville. C'est du Molière,
mais moderne. Les prémices
t'amènent à Asti-Jossi où ça s'en va,
il appelle, il prend l'accent,
pas de soeur, il y a trop. Ça y est, on a les droits.
C'est tout.
C'est un crétin.
Ça n'a aucun sens, puis le jeu est parfait,
puis le cheval qui vient, son chum,
toutes les heures sont passées, une comédie parfaite.
Le casting est impeccable.
Je ne sais pas si tu as vu la version US
de ça. Je ne l'ai pas vu
ah je dis que c'est de ça
au moins s'il l'avait fait avec
Danny DeVito
là ça aurait pu aller à quelque part
mais là c'était Steve Carell
que j'adore dans The Office
mais c'est pas ça
ça prend un petit chubby
un petit chubby pas trop beau
pis tu le veux pas dans la maison
pis tout ça
c'est ça
c'est à mes lieux
j'avais pu te dropper
oui j'aime des trucs
l'horreur du CGB
le toxique
ça me fait brailler
pis Salt Park
c'est ma vie
Trip Parker
c'est peut-être pour moi
le plus grand auteur d'humour ever
pis on est dans le quoi de péter
qui se rapproche un peu d'Élonie
mais t'sais
pas tout
pis le cinéma weird
pourrait être weird
c'est André Forcier au Québec ou quand il y a trop de couches pis genre c'est pété c'est pas tout le cinéma will pourrait être weird cendres et forci au
québec ou un quai trop de couches puis j'en sais pas tu es c'est un nom souvent ça me donne j'aime
mieux de quoi j'aime j'aime c'est le jeu qu'à saison 13 parce que les simpson je veux que ça
finisse avec la morale c'est qu'ils ont sa famille je veux pas qu'elle dans l'absurde ou dans le weird
parce que ça fait pas partie du sony en fax pour ce que je pour ça que je me dis... J'ai vu Dîner de cons
il y a à peu près un mois et demi, deux mois.
Ça a super bien vie.
C'était aussi bon que c'était.
La seule affaire, je pense,
c'est que maintenant, ça serait dur.
Tu sais, même à l'époque,
l'idée du film, c'est que
les gars sont pas cool.
Ils se moquent des cons.
Mais il y a la moitié qui font
c'est correct, c'est des cons
ils servent à ça
mais aujourd'hui
j'ai l'impression que
ça passe moins
il y a rien là-dedans qui passe
l'idée de départ
ça parait que ça part du réel
je faisais ça moi dans la vie avec des chums
des dîners de cons
ça a l'air du festi, ça part de çael. Je faisais ça, moi, dans la vie avec des chums. Des dîners de con.
Ça a l'air du festi.
Ça part de ça. On invite quelqu'un et on rit.
Mais Chris, c'est tellement payant.
Au début, ça parle. Tu le vois en vieux français.
Il parle de boomerang.
C'est un capitaine à 1000 mètres.
Il a le goût de parler de boomerang, d'allumer,
de son passionné.
À la fin, il y a une petite morale qui revient. C'est lui qui était plus con de vouloir rire de lui.
Mais ça ne dédouane pas le fait
de crise de zouf.
Mais en même temps, moi, je regarde
je parle juste d'humour
tout le temps à tout le monde.
Mettons, dans cette gang-là,
je suis plus l'invité
que celui qui reçoit.
Oui, tu vas être celui qui reçoit.
Parle-moi d'humour.
En 82,
ben oui, on est le même.
C'est sa petite figurine. Moi aussi,
d'une part, d'un jeu vidéo, on devient ça.
Un amico, quand tu as le jeu puis le remake.
On est tous le con de quelqu'un.
Oui, exact.
Ce que j'aime,
pour la morale de ce film-là,
les cons sont tous
des connaisseurs
dans leur domaine.
Mais aussi, il y avait une affaire
en le regardant
avec mes yeux de 2022.
Je suis comme, tous les personnages
là-dedans, c'est des autistes.
C'est tous des autistes.
Oui, à peu près. Chris, mais ça.
Tout focus. On, mais ça, il y a tout focus d'une patente,
de ça, ça, ça.
Mais tu sais,
des mécaniques classiques,
son chum,
il a juste le blanc
qui arrive là.
Déjà qu'un nom,
déjà que le nom peut être
juste le blanc.
Il ouvre une porte
à mille gags,
mais lui qui rit aux larmes
de voir son chum
t'es pogné avec ça,
c'est sans...
Tous les build-ups
sont brillants.
Fait que,
ouais, c'est ça, on a fait
un top 10 de nos comédies.
Ouais, comédies. Avec moi, avec
Martin et Vincent, on sera sur ça dans une semaine,
je pense, des bonus.
T'es-tu le genre de personne
qui pleure facilement
quand tu regardes la télé ou le cinéma?
Ouais, moi, Pixar.
Toy Story 3 au cinéma
avec les kids, il fallait que je décalisse.
Ah oui?
Première lettre du générique,
je me dis,
je suis en larmes,
le flot,
oui, oui,
c'est ça,
moi,
babe,
ça me casse,
les animaux au cinéma,
ça n'a aucun bon sens,
les chiens,
les chiens,
mon chien,
il skip,
il n'est plus capable
de monter sur le lit à la fin,
finis,
j'ai en larmes,
oui, oui,
méga sensible.
Puis ça,
par exemple,
tu sais, tu n'es pas tout seul qui est de même
mais le fait d'être connu
pis t'sais surtout avant
t'sais quand on connaissait juste
le Denis Barbu
image agressive
ça devait être fucking weird pour le monde au cinéma
de faire
qu'est-ce que c'est Denis Barbu qui le prend
le fermier il peut peut pouvoir son cochon?
Ben oui,
mais tabarnak, il l'aimait.
Oui, j'avoue que c'est un peu...
Ben c'est ce qu'il fait, je suis tellement plus ça,
mais des fois, des fans qui nous approchent ou des semi-fans
de... Mon tabarnak!
C'est sûr, moi, ils m'approchent. Ah ben, mon astuce!
Dis-moi, tu vas me tuer!
Je suis dans ma tête, je suis le gars qui pleure en écoutant ta story,
je vais te tuer. C'est tellement des! » Je suis dans ma tête, je suis le gars qui pleure en écoutant ta story.
C'est tellement des doublants de personnalité.
Je suis tellement zéro, fuck-out violent.
Je me suis jamais battu à la primaire des conneries.
Je ne suis pas derrière les UFC,
ce n'est pas long, je vais tabarnak.
À peu près, je tombe vite dans... J'écoute des trucs violents, mais de la vraie violence,
je tombe plus vite dans « tabarnak! »
« Ouch! »
Je suis plus planant.
Je suis vraiment loin
de cette énergie-là.
J'ai l'air tellement...
C'est le fun à jouer.
La menace, ce style.
Je sais que je peux jouer l'inquiétant,
mais je ne suis pas ça dans la vie.
L'horreur. Le gore gratuit, je ris fort.
Je m'amuse.
Moins des vrais patins.
On dirait, mettons, pour la violence,
voir des vidéos de
monde qui se font mal,
ça, je ne suis pas capable.
Quand je vois, mettons, une vidéo,
ils font, un gars s'est fait tuer,
puis là, je suis comme,
je ne me rendrai pas jusqu'au bout.
Oui, oui, oui.
Ça ne vient pas me chercher.
Mais des combats, mettons UFC, j'accapote.
Je comprends.
Mais je n'écoute pas de sport.
À la limite, au-delà, je pense, de la violence.
Je ne veux pas que ce soit hockey, basket, tout ça.
C'est une mécanique-là que des fois, j'embarque
et je comprends ce qu'il y a là-dedans,
mais je ne suis pas porteur d'en écouter.
Je pense que c'est ça qui prête au-delà de la violence.
Je n'écoute pas le hockey de Chris.
Il est tombé dans la bande. Je n'écoute pas ça.
Ça fait partie de la patente.
On dirait que ce que j'aime du UFC, c'est que comparé à d'autres sports,
d'autres sports, tu fais hockey, lui, il mène, mais ça peut revirer.
Tandis que c'est comme si le hockey, des fois, ça faisait...
Bon, la game a fini après 15 secondes.
Parce que les Canadiens n'étaient pas bons,
donc ils se sont fait casser.
Oui, oui, je comprends.
C'est ça que j'aime.
J'ai eu l'UFC.
Il faut qu'il soit là tout le long,
sinon ça peut mal finir.
Oui, oui, oui.
Non, c'est ça, c'est intense, c'est short, c'est condensé,
mais je tombe vite plus dans ma tête.
Tabarnak, c'est simple.
Je l'imagine à près dans la loge, dans le vestiaire.
Tabarnak, le nez.
Je ne regarde même plus les mots de combat.
Je suis en style Sablon.
Je ne suis plus dans le combat.
Moi, j'ai découvert
le UFC vu qu'un des amis
à ma blonde était dans le UFC.
Il était
doorman dans le bar qu'elle travaillait
dans le temps.
Il s'appelle Joe Goulet.
Il a eu une belle carrière. Mettons début 2000, dans le temps. Puis après, il s'appelle Joe Goulet. Il a eu une belle carrière
dans, mettons,
début 2000, mettons dans le temps
que JSP est arrivé,
pas de côté. C'était un des Québécois.
Puis,
moi, j'étais comme,
c'est bien cool, je le connais, ce gars-là.
Puis là, je le regardais se battre,
mais avec ma blonde, vu qu'elle,
elle le connaissait mieux que moi
aussitôt que mettons l'autre gars
elle était comme oh non pauvre Joe
j'étais comme non non mais Chris
ça fait partie de la game
lui il tripe
à chaque fois qu'on regardait des combats
elle elle pleurait
on avait vu un combat
qu'il avait perdu
puis c'était serré au bout
puis moi après j'étais comme Chris c'était coolré au bout. Puis moi, après, j'étais comme, Christ, c'était cool.
C'est Blanc qui a perdu, mais
Asti, il était à ça.
Puis elle était comme, j'espère qu'il va être correct.
J'espère qu'il n'y a pas de commotion.
Puis j'étais comme, Christ,
t'es en train de gâcher mon fun.
Oui, parce que ça fait partie.
Ils savent, ils restent en allant là,
même s'ils aiment ça, probablement, les fighters.
Il faut que tu aies quelque part,
tu sais, du fun de ça, mais...
Oui, c'est un monde, là.
Mais vois-tu, moi,
je n'étais jamais allé le voir live, lui,
parce que
quand il nous avait invités, moi, j'étais comme,
« Yes, on va y aller. » Puis là, Marie,
tu sais, si elle venait
aller gâcher la soirée
à tout le monde dans la section... Le live aurait pris ça trop dur. Ben oui, si elle n' aller gâcher la soirée à tout le monde dans la section
le live aurait pris ça trop dur
si elle n'était pas capable
à la TV
elle allait dans la cuisine, tu me diras s'il a gagné
le live
le sang qui revolve
ça d'ailleurs
je me suis tout le temps demandé
quand je vois des fighters
qui vont avec leur femme,
ça, je comprends. La femme a vu supporter son homme.
Mais qui amènent leur kid.
Je suis comme, tabarnak,
que tu avais de la confiance
que tu allais gagner.
De voir papa créer ça une volée à quelqu'un d'autre,
ça peut être cool.
Mais de voir papa...
Ça rend si bien.
T'es comme, carré, ça...
Oui, c'est ça.
Il y a un danger.
Tout ce sport-là extrême de finir
mort.
Belle finale.
Bonsoir. On va être en feu. Fin.
C'est un beau souvenir aussi.
Tu vois papa mourir.
Il est mort en faisant ce qu'il aimait.
Oui, en perdant.
En perdant.
Chris de perdant.
Frère, on est aux jeunes à l'école.
Il aimait ça perdre, papa.
Il aimait ça perdre.
Il est mort.
Là, il a une vraie tapette, l'indicant.
J'aurais pas dû me battre.
Chris, tu brûles ça, ce monde-là.
Moi, j'avais une de mes amies au primaire.
Son père, c'est un lutteur.
Puis il perdait tout le temps.
C'était sa job.
C'était un contrat de petit père.
À cette heure, la lutte s'est faite qu'il n'y en a plus
qui perdent tout le temps. Mais dans les années
80, il y avait des perdants
puis lui, c'est un perdant.
C'était ça son rôle? Tout le temps.
Il fait valoir.
Mais il y avait quoi de magique? Parce que chez le petit gars,
il y avait dans le sous-sol des photos de son père
en train de se faire faire
une souplesse arrière.
C'est même pas une photo de lui qui en fait une.
Moi, quand j'étais jeune, j'avais pas compris
à quel point c'était un esti de concept, le fun.
Il y avait des photos, genre,
des gros noms. Il y en avait une,
c'est un de Sel Cogan qui faisait.
Il avait mangé une volée
par tout le monde.
Ah wow! Mais ça, c'est le fun.
Les faveurs de l'eau, vous les tournez en région.
Parce que tu peux pas, mettons qu'il y a deux vedettes.
Beefcake et Sel Cogan.
On va faire deux combats avec deux gars
qui rentrent avec des culottes bleues.
Dans ce temps-là, il se disait
on traînera pas nos losers.
On va prendre un loser local.
Lui, c'était le loser du Colisée de Québec.
Ah, Chris, c'est parfait.
C'était le job de rêve pour lui.
C'est magique.
Il devait avoir un autre job. Moi, dans ma tête, c'était ça.
J'étais comme, Chris, tu comptes
à Hogan, tu dois être millionnaire.
Chris, ça ne doit-tu pas.
Je n'ai jamais pensé
et demandé. Qu'est-ce que tu fais dans la vie?
Oui.
Luteur, tu dis non, mais pas vrai.
Pas tes hosties dragues,
t'es en culotte, t'es attiroyé.
Qu'est-ce que tu fais dans la vie?
Ah oui, c'est un monde pareil.
La lutte.
Just to win. Dans notre gang, dans notre entourage.
Mais il m'en parle beaucoup moins.
Jeff aussi.
Il a vu des Rumble partout.
Il parlait beaucoup de lutte, mais là, on dirait
depuis 2-3 ans.
Ça a-tu stoppé avec la COVID, ça?
À Montréal, oui.
Oui, mais le show continue à arriver.
Mais tu sais, moi, je me rappelle, la dernière fois
que je suis allé voir de la lutte au Centre Bell,
j'ai vu Jeff puis Marc-André
en avant.
Pas ringside,
mais tu sais, où le monde passait. Oui. Puis Marc, en avant. Ben, pas ringside, mais tu sais, où que
le monde passait. Oui.
Puis Marc était en just a bike.
Ah oui, c'est ça. Oui. Lunettes, moustache.
Puis là, j'étais comme, ah Chris,
ça doit être malade pour le monde
qui regarde ça. Tu sais, mettons,
le monde de Milwaukee. Ah oui, tu vois, Chris,
lui, c'est quoi? C'est un gars de même.
Il a sa pinotte en estime
avec la mousse.
Ah oui, il a le du gars, tu sais,
dans un spécial, ils vont me filmer,
Christian, sûrement ça, son mind-game.
Puis après, j'avais demandé,
puis je pense qu'il m'a dit qu'on le voyait
pas vraiment à l'écran.
Parce que, tu sais, c'est des Américains,
puis il devait dire, « Check l'autre qui se moque de nous autres. »
Ouais, j'avoue, c'est pas vrai.
Il est défoncé.
Ah, c'est-. Il est défoncé.
On va finir ça là-dessus.
Là qu'on a parlé de lutte,
je n'ai plus rien à dire.
Tu ne peux plus rien dire.
Coco Beware, tabarnak.
Coco Beware, tabarnak.
On repart pour un autre 20 minutes.
Coco Beware.
C'était parfait.
Le perroquet.
Coco Beware et la danse de Barbus
c'est un peu
oui c'est sûr qu'il y a des moves de lutte
ça doit venir de là, des moves de même
de rentrer bientôt des hommes
gros hommes avec du poil qui dansent un peu
en rentrant, ça doit venir de la lutte
ça nous amuse
ah Christ
on devrait dédier cet épisode-là
à Coco Beware.
Qui n'est pas mort, mais
qui mérite d'avoir son sous-écoute
à lui. C'est celui-là.
Merci
beaucoup. Merci,
Poseidon. Merci à
vous autres. Merci à Coco.
Qui est peut-être mort.
Il est peut-être mort, mais
ça nous regarde dessus. On peut m'en perdre un. Qu'il soit mort, qui est peut-être mort. Il est peut-être mort, mais ça nous regarde dessus.
C'est ça. On peut m'en perdre un.
Qu'il soit mort ou qu'il soit pas mort,
honnêtement, on s'en colle.
On a d'autres choses à faire. La mort de Coco,
Chris.
Allez, merci.
Merci, Marc.
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