Mike Ward Sous Écoute - #239 - Denis Talbot et Jerr Allain

Episode Date: October 7, 2019

Cet épisode est une commandite de Antirouille Métropolitain (http://antirouille.com) et PlanetHoster (https://www.planethoster.com/fr/Hebergements-World/goph-deb586ca83a1857) Cette semaine à Sous Écoute, Mike reçoit Denis Talbot qui nous raconte anecdotes par dessus anecdotes de MusiquePlus et de l'industrie du jeu, ainsi que Jerr Allain qui nous raconte l'anecdote de "gaming" la plus incohérente ever. Un de ces épisodes qui passe trop vite. Pour acheter des billets du nouveau spectacle NOIR: https://mikeward.ca/ -------- Boutique en ligne - http://sorsavec.com Patreon - http://Patreon.com/sousecoute Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute Twitch - https://www.twitch.tv/sousecoute Discord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★

T'as le goût de me voir live, je vais être à Grambay le 11 octobre, à Thetford le 12 octobre, à Saint-Eustache les 18 et 19 octobre, pis un peu partout à travers le Québec. Si tu veux des billets, va sur mikeward.ca. Et j'aimerais, avant de commencer le show, vous parler de mes deux commanditaires cette semaine. Planet Hoaster, Antiruil Métropolitain. Planet Hoel, ça fait des années qu'ils me supportent. Ils sont là depuis, c'est quasiment mon premier sponsor. C'est eux qui hébergent mycroad.ca. C'est pour ça que je n'ai jamais eu de problème avec mycroad.ca. Si tu veux un hébergeur web qui ton site ne crashera pas, de la qualité pour pas cher,

va sur planethostel.com. Si tu vas sur planethostaster.com slash ward. Si tu vas sur planetroaster.com, tu vas avoir l'hébergeur, tu vas payer un bon prix. Si tu vas sur planetroaster.com slash ward, tu vas avoir 25% de rabais. 25% de rabais. Ça vaut la peine. J'ai pas de rabais pour Antiroil Métropolitain,

mais Antiroil Métropolitain, nouveau sponsor, eux sont, ils spécialisent dans la protection contre la rouille. C'est drôle que je le lis. Anti-rouille métropolitaine, on les connaît. Grouille avant que ça rouille. T'as entendu, c'est ta compagnie-là depuis des années. Si tu veux pas que ton char rouille,

va à antirouillemetropolitain.com. Ça fait 40 ans, plus de 40 ans qu'ils font ça. C'est des experts. Ils ont 165 000 clients par année. 165 000 clients satisfaits. C'est eux les vrais spécialistes de l'antirouille au Québec. Pour plus de détails sur les avantages d'un traitement antirouille métropolitain,

allez sur antirouille.com. En direct du Bordel Comédie Club à Montréal, voici Mike Ward, sous-écoute. Merci beaucoup. Bonsoir. Merci d'être là. Je veux vous remercier. La semaine passée, on a eu du fun dans le show.

Il y avait... Il y a bien du monde qui me demande comment ils peuvent faire pour supporter le show s'ils n'ont pas d'argent. Il y a une manière. Si tu as du cash, il y a le Patreon. Mais si tu n'as pas de cash,

parce qu'il y en a du monde qui n'ont pas de cash, écoute les pubs que je fais. Si tu écoutes la pub, moi, je fais du cash avec ça. Et là, ça, c'est un message pour Guynantel. Tabarnak! Si je fais faillite, personnellement, je blâme Guynantel. J'ai plus les moyens d'avoir ma BMW. Non, mais c'est vrai, c'est pas tout le monde qui a les moyens d'être...

Comme le public dans la salle, vous êtes tous des patrons. Qu'est-ce que tu fais dans la vie, toi? Police. Vois-tu, c'est un riche, asti. C'est un plein de cash. Police, vous gagnez quoi? 4-700 000 par année? Il gagne du gros crise de cash. Lui, en plus, c'est un policier louche.

Fait que, il est payé, est-ce que tu es en poudre? C'est une blague. T'es policier où? Trois-Rivières. Oh, Chris, fait que toi, les Hells, sont-ils encore forts les Hells à Trois-Rivières? Oui, OK. J'aime ça

que... Il était? Oui, OK. J'aime ça que... Il était comme... Ah oui, OK. Ah, bien, donc. Là, tout le monde est stresséiste. Personne n'est bien. Le show cette semaine,

une présentation des Hells, c'est... Non. Ça serait drôle, ça. Là, toi, Yann, t'as passé... Dans le fond, on vient d'enregistrer un show

il y a 20 minutes. J'allais te demander de te passer une belle semaine. Mais toi, ton nouveau char, t'es heureux. Moi, je suis heureux. Je viens d'apprendre, je viens de booker mon premier open mic pour le 18 décembre. C'est vrai? Ici?

Oui, elle vient de me lancer le défi. Elle dit, je te mets sur le show avec... J'ai des amis qui vont faire le open mic, Réal Chantoneuf et Daniel Marleau. Puis elle m'a dit, tu vas être sur le show. Puis j'ai fait comme, OK. Fait que mon premier open mic. Le 18.

Asti, d'habitude, je suis déjà parti. Je pense que je vais essayer de rester juste pour voir ça. Ça va être catastrophique. Il ne reste pas pour ça. Tu vas-tu faire un vlog? Ça serait le fun. Oui, je veux le vlogger.

Tu fais tout le temps des documentaires. Tu en as fait plusieurs sur Jer. Ça serait le fun que tu engages Jer pour qu'il fasse un documentaire sur toi. Ça serait malade, ça. Je ne sais pas s'il a du talent pour filmer. Oui, il a du talent. Là, Jared est insulté.

Jared, tu le ferais-tu, ça, faire un documentaire sur Ryan? Yes. Ça fait que ça, Chris s'est déjà booké, tabarnak. Ben oui. Il s'en passe des projets. Un open mic et un bloc.

Ça fait que le 18 décembre. Le 18 décembre, oui. Mais je ne sais pas encore. Je m'étais déjà lancé le défi, j'avais écrit du matériel, mais c'était tellement mauvais. Je pense aussi à Star. Vu que tu as ton

Daily Buffer qui est quand même pas mal écouté, tu as Sous-écoute, tu prends quand même une bonne place dans l'émission. On dirait que tu peux faire bien des insightsides de sous-écoute. Puis ça serait quasiment assez. Oui, oui. Mais il faudrait que t'ailles plus que juste

des insides, là. Non, non, non. Sinon, ça va être triste en STI après. Tu sais, là, ça va être... « Hey, c'est Yann de sous-écoute! Yeah! » Là, tu vas faire deux gags. Là, le monde va faire... Ah!

Sais-tu de quoi tu vas parler ou pantoute? Je pense que oui, j'ai deux, trois sujets que j'avais... que je m'étais dit. Je les ai dans ma tête, mais des liners, je suis pas bon. J'ai déjà fait un open mic avec Pierre-Luc Racine

pour un événement. J'avais fait un show d'humour avec lui. C'était des liners que j'avais écrits sur Twitter. C'était pas pire. Ah sur Twitter. C'était un premier tweet-up. En tant que Twitter, c'était encore cool. Je ne suis pas bon là-dedans. Je vais essayer de l'humour de raconter une histoire pour la première fois.

Quelle histoire vas-tu raconter? Je pense que je vais raconter mon gros chat. Le gros chat qu'on a à la maison. J'avais une couple de jokes là-dessus. J'en avais fait un là-dessus. Puis Jer, j'en avais fait un bout juste à parler de mon chat, puis il avait trouvé ça drôle. Il avait dit, « Faites quoi sur ton gros

criss de chat, ça n'a pas de bon sens. » Ah, mais justement, vu que tu parles de Jer, d'habitude, je ne dis pas c'est qui les invités avant de les présenter, mais il y en a un, il s'appelle Jer. Je ne vous dirai pas son nom de famille. Non, pour vrai, je suis vraiment content d'avoir Jer.

Jer, c'est souvent qu'il vient. L'autre, c'est sa première fois au podcast. Et depuis le début du podcast, le monde me dit, c'est un des noms qui revenait le plus souvent. C'est un des... Quand on passe au le plus souvent. C'est un des... Quand on passe au podcast au Québec, on pense automatiquement à lui. Mesdames et messieurs, voici Jer Alain

et Denis Talbot! Comment ça va, jeune homme? Comment ça va? Merci d'être là, Denis. Merci beaucoup. Viens là, là là Denis Talbot viens là ta maman viens là bien sûr

j'ai emmené ma famille merci les gars tu salueras ma tante de ma part c'est de l'amour c'est de l'amour le monde t'aime en esti écoute je le ressens vraiment

puis ça me fait plaisir. Je ne fais pas mon têteux. J'arrive du DreamHack parce qu'au moment où on regarde ça, c'est peut-être passé, mais il y a 15 000 personnes qui jouent à des jeux et ils arrêtent tous

et ils prennent des photos. Là, je lui dis, dépêchez-vous, j'achève et je vais prendre un selfie. Mais non, c'est le fun. Je le sens vraiment. Pourquoi? Parce que je joue à des jeux vidéo.

Je ne le sais pas. Oh, c'est ma beauté incroyable. Mais toi, je savais que le monde t'aimait à l'époque que je travaillais à Musique Plus, mais quand M. Nett a arrêté à Musique Plus, là, j'ai

vraiment senti la vague d'amour. L'amour de mon père, ça a été les deux affaires les plus dures que j'ai faites de ma vie. T'as-tu tué ton père? L'amour de mon père, c'est la chose la plus dure que j'ai faite. Je voulais dire,

la plus dure des choses que j'ai vécues, j'y pense. Mon père est mort. Vous ne voulez pas mourir, le tabarnak? Je suis désolé, j'ai un des petits de même. La police est là, je m'excuse. Je viens de confesser un crime. C'est de prendre des cours de MMA, ce calice.

On peut ça recommencer. Non, mais sérieusement, écoute, il y avait tellement de monde, je pense, ça a surpris même le monde de Musique Plus. Parce que tu as eu le même boss que moi. Tu as eu, comment il s'appelle, les cheveux blancs, le bien gentils le belge antic a fait sa salle avec toi j'ai un blanc de mémoire mais toute façon c'est un des meilleurs boss que je l'ai que luc doyons le croyant le doyant je veux toujours me souvenir de la journée ce que c'est à

gré j'arrive à music j'avais ma routine je passe à côté j'en voyais à même salue voir deux secondes puis le show hier ouais ça a été pas pire attention attention ok salut c'est à ça mais OK, salut. C'était ça. À un moment donné, j'arrive le matin où j'apprends que je suis mis dehors. Là, je passe, il regarde à terre, puis tu vois, il est pas bien. Parce qu'on avait une bonne relation, t'sais, pas bien.

Là, il s'en vient dans la vlog, il fait, j'ai dit, c'est aujourd'hui? Il dit, je vais porter mon coat. Là, il y a un silence de mort dans la salle, mon ami, où est-ce que notre bureau, t'sais, dans la grande salle, où il y a toutes les équipes, là, j'arrive, là, il me regarde tout, il dit Luc, il me dit Luc il veut te voir,

ouais je sais je viens de voir, là il y a un silence, pas un mot qui parle, ok, que tu penses qu'il va arriver, je pense que c'est la fin, là tu vois la panique dans les gens, fait que je vais faire un tour, il me dit ouais j'ai essayé, vive, rien savoir, il change de modèle d'affaireai essayé, il ne veut rien savoir. Il change de modèle d'affaires carrément. Il me dit, veux-tu faire ton dernier show? Oui, tu ne feras pas de niaiserie. Je dis, voyons, je ne ferai pas de niaiserie.

Je vais faire le dernier show. OK, ça va être le 16 ou 17 décembre. Je ne me souviens plus. On se rend là, on fait le show. J'ai haï ça, par exemple, qu'ils ne t'ont pas laissé faire ton dernier show live. C'était live. OK, c'était live. Je pensaisont pas laissé faire ton dernier show live. C'était live. OK, c'était live.

Moi, tout, je pensais que ça avait pas été live. Non, non, non, c'était live. Moi, j'étais fâché après Music Plus depuis ce temps-là. Pour vrai, je n'arrive pas à dire que c'était juste une petite trouille de cul qui m'a fait la marde. Tu n'as jamais voulu refaire Clip Thomas. Là, t'es correct, là, avec eux autres. Oui, c'est ça. Clip Thomas n'a pas été cancellé.

C'est moi qui est parti en claquant la porte. Après qu'ils m'ont montré la lettre, je suis arrivé de l'autre bord. Je suis monté sur le bureau parce que tout le monde me regardait. Je lui ai dit, écoutez, c'est fini, M. Nett, c'est mort. On finit telle date. Là, il y a des couples là-dedans qui avaient acheté une maison. Une fille qui est enceinte.

Là, ça s'est mis à broyer. Ils ont dit, si toi, t'es dehors, ça veut dire que nous autres, on est dehors. Ça, c'est ce qui est arrivé. Mais le dernier show, il y avait tellement de monde. Il y a du monde qui sont venus de partout, de Gaspésie, de Latsuk, d'une réserve indienne pas loin de Québec

que je n'ai jamais entendu parler. Merci, monsieur. À Benaquet? Je ne sais pas. Je ne me souviens plus. J'avais de la difficulté à le comprendre. Il était super cool, le gars, mais il me donnait plein d'amour,

mais je ne comprenais rien. Je suis parti de là, il était deux heures moins quart. C'était mon party de Noël, en plus. Je suis arrivé au party, tout le monde broyait. C'était un petit beau party. Est-ce qu'ils t'ont booké toutes la même date? Genre, au cas où tu chies vraiment tout? C'était malade.

Denis, tu peux juste approcher ton micro. Oh, excuse-moi, je suis daltonien. Effectivement, ça'était un moment difficile mais j'ai signé j'avais dit au début du show tous ceux et celles qui sont ici je vais vous signer un autographe prendre un selfie avec avec vous autres à deux heures moins qu'à l'égal la sécurité sont restés bénévolement puis on a signé des autographes sabra y est c'est un moment très très dur mais animé un show quand tu sais que tu vas mourir à la fin C'est pas le fun

C'est pas le fun C'est dur en tête J'ai passé à travers Avec une gamme d'émotions Les autres je suis plus capable de parler La maquilleuse en haut Marie-Lou tu l'as connue Charmante

Amie de tout le monde dehors On a fait l'amour Non non Amie de tout le monde dehors On On a fait l'amour. Non, non. Mais non, sérieusement, elle a mis tout le monde dehors. On avait cette espèce d'intimité-là bien cool. Là, elle aussi, on ne parlait pas. Elle pleurait, elle me maquillait. Elle dit, « Christ, il y a une facelette. Ça va être long. » Mais non, sérieusement, ça a été un moment très difficile.

Mais on a passé à travers. Mais si les gens qui m'ont mis dehors n'étaient pas conscients de cet amour-là pour eux autres c'est un show, c'est fini mais quand ils ont vu la crowd qui ne voulait plus partir là ça a fait comme, oh, on a peut-être fait une erreur en plus c'était même pas juste l'amour mais c'était aussi le respect

de tout le monde à Musique Plus même mettons moi j'avais à cette époque-là j'avais mon show qui s'appelait « Ce Show ». Puis, je me rappelle, là, il parlait, il disait

« Là, Musique Plus, il va y avoir des gros changements. » La première chose que j'avais dit, j'avais fait « Chris, d'après moi, ils vont se débarrasser de tout le monde sauf Denis. » Moi, dans ma tête, tout le monde était de même. Chaque fois qu'il y avait un changement, on change tout le monde, mais Denis,

tu étais comme... Le vétéran, on ne touche pas à l'école. Oui, mais moi, j'ai une petite tête de cochon. C'est ça l'affaire. Je me suis toujours blindé. Ma gang, moi, je suis un gars de gang. Si tu es dans ma gang, tu es dans ma gang en crime. Si tu chies, moi, je vais être là entre toi et la personne qui te chie pour te défendre.

Mon équipe, c'était comme mes enfants, Calvert. C'était vraiment mes collèg Calvert. C'était vraiment mes collègues. Et puis, quand c'est arrivé ça, je les ai avertis d'avance un peu. Il y en a un qui a trois enfants. Momo qui était terrorisé. Son père venait de mourir

ça faisait pas longtemps. Tout arrive en même temps. J'ai travaillé, moi, en silo. Tout le temps. J'ai protégé. Faire des réunions, je m'excuse, je vais m'en dire des affaires plates, mais avec des madames qui ont préféré choisir ce qu'on va manger

sur l'heure de dîner que faire un meeting, je suis attenu à la calvaire de ça. J'ai dit à Luc à un moment donné, «Luc, ces meetings-là, moi je ne vois plus. Moi, je fais de la TV. Je ne fais pas de la cuisine. Je ne veux pas savoir

si le sushi est meilleur à telle place ou telle place. On va regarder des cassettes. Non. Je veux faire de la TV. Je veux faire de la techno. Je n'ai pas de temps à perdre. On était une petite équipe. On était quatre veux faire la TV, je veux faire la techno, j'ai pas de temps à perdre. On était une petite équipe, on était quatre.

C'est-tu pour ça que Music Plus est mort? Ses estimating de marde. Ça arrivait. Il arrivait jamais à quoi de concret? Les sushis sur Saint-Laurent, ils sont pas bons! Mais tu sais, la semaine passée,

il y a deux semaines, quand Music Plus, le nom est mort, il y avait tout le monde qui était triste, ses réseaux sociaux. Mais Music Plus, dans la tête du monde, est mort depuis un crise de bout. Depuis qu'il y a les Kardashians qui passaient là, c'est la calice de Mars.

Les premières années que le monde se sont mis à chialer, c'est quand la gang d'humoristes, on est arrivé. Mais parce que tout le monde voulait encore... Ils devraient mettre des vidéoclips, mais t'es comme tabarnak. Il y a un YouTube. Il y a une affaire qui est arrivée, c'est l'Internet qui est venu tuer tout ça.

Parce que les clips, t'es veu, tu regardes. Si je veux voir Lady Gaga, je n'attendrai pas deux semaines en espérant que Sonia Benesra a lu ma lettre. Pour pouvoir l'enregistrer sur ton bêta. Dans le temps, nous autres, quand on recevait

les Backstreet Boys, c'est nous autres. Moi, j'étais dans le boss avec eux autres. Je ne connaissais pas les ticus. C'est nous autres qui les a breakés à travers le monde. On a même roulé sous le pied d'un des gars. Il a cassé comme fou. C'est vrai? C'est vrai que c'est nous autres qui les a breakés à travers le monde. On a même roulé sur le pied d'un des gars. Il a cassé comme fou. C'est vrai? T'es backstreet boys?

T'es pas Nick? Non, je sais plus lequel. Brian? Je sais plus lequel, mais il a crassé le pied de la plante. Il y avait OJ aussi. J'espère que c'est OJ de poignée. Y'en a-tu un qui s'appelait OJ? Non, c'est peut-être Howie aussi.

Je pense que c'est Howie. Il méritait cet esti-là. Dans Backstreet Boys, c'est-tu OJ qui a tué sa femme d'un serveur? Ils ont trouvé le gars. C'est ça qu'il était petit de main. Y'avait aussi Kevin, un esti de grand slack.

Mais attends, je veux... Vous avez cassé le pied. Y'avait... On arrive, on avait fermé la rue Sainte-dedans. Mais attends, je veux... Vous avez cassé le pied. On sort. On arrive. On avait fermé la rue Sainte-Catherine. Puis je suis arrivé dans le gros boss de la SQ en sens contraire de Sainte-Catherine. Dans l'ancienne Musique Plus.

Fait que là, la rue, il y a 15 000, 16 000 petites filles qui crient. C'est la première fois en carrière que je sortais dehors avec un micro puis je ne m'entendais pas parler puis que les oreilles me saignaient parce que... Ça criait comme... C'était malade mental mental. Là je sors, je suis habillé en police, ça arrête de crier un peu, je dis qu'est-ce qui se passe, c'est Talbot, qu'est-ce qu'il fait là?

Là ils attendaient pour sortir, «Belamidjou, les Backstreet Boys!» Et c'est ça la crème fesse, là on rentre, on est en dedans, vite ils vibraient, tout le monde tapait dedans, c'était fourrette. Ça finit, là il faut les évacuer eux autres. Mais ils savent qu'il y a une porte par derrière. Les petites filles, elles sont pas folles. Elles sont allées en arrière. 15 000 personnes. « Eh! » Ils essaient de sortir. Impossible. Le caméraman, il est là. « Embarque dans le truck! Embarque dans le truck! »

Il n'a pas embarqué encore. Il recule et il passe sur le pied. « I did it my way. » « Backstreet's broke. All right. Mais c'était ça, Music Plus. En le disant, j'ai fait, j'espère que c'est le bon mot modé.

Je suis tellement fort que le fun, l'assidu. Mais c'était ça. Tu dois voir Metallica. Ils venaient à Music Plus. C'était malade. T'avais une petite vitre qui se séparait. Les vitres étaient blindées, mon ami. On n'avait pas le choix.

Il y a une année... Oh, we can get in! Non, non! C'était le fun de voir ces gens-là qui étaient à la pochettée. Toi, t'es arrivé en quelle année à Music Plus? Moi, j'ai commencé au tout début, début, début, début, début. J'ai trouvé des noms avec la gang, avec Pierre Parent. On était sur la rue Saint-Laurent. T'étais là début, début? Début, mais j'ai sacr au tout début, début, début, début, début. J'ai trouvé des noms avec la gang, avec Pierre Parent. On était sur la rue Saint-Laurent.

T'étais là, début, début. Début, mais j'ai sacré mon camp parce que j'étais payé, c'était 18 000 piastres par année. Qu'est-ce que c'est de la belle argent? Du gros cash. Puis là, t'as c'est quoi qui t'appelle? Tu dis, hey, veux-tu faire le décompte? On va te donner cinq fois le montant qu'on a. Ah, OK.

Moi, en plus, c'était les années que la radio ça payait pas possible puis j'ai l'impression que cette génération là ils vous traitaient comme c'est une école fait que tout le monde puis après 6 mois tu faisais tabarnak je me fais reconnect partout

puis je gagne 10 millions par année mais tu sais tu fais pas tes preuves si longtemps que ça. Moi, honnêtement, avec les années, je n'avais pas le choix. Je me négociais des contrats. C'était super bien payé. Je n'ai pas rien à dire là-dessus. J'avais des belles conditions parce que j'étais mon boss. Je faisais un show que personne ne comprenait.

Je te jure, j'en ai parlé un petit peu tantôt. On m'a dit que l'Internet, ça ne pognerait pas. Quelqu'un de Music Plus a dit ça? Oui,, ça pognerait pas. Quelqu'un de Music Plus a dit ça? Ouais, ça pognerait pas, ça,

l'Internet, ça, ça, ça, ça, ça, ça. C'est pour ça qu'ils ont pas vu

Vrac arriver. Ils ont rien vu arriver. Si, si tu penses qu'Internet, ça pognera pas. Fait que là, c'est ton boss qui t'arrive bien sérieusement,

j'en ai parlé à son podcast, d'ailleurs, son podcast, je vous invite à l'écouter, ça va pas être mal. J'ai découvert un homme plein de sensibilité. Ah, toi, là, là!

Une personne qui était sur le bord des larmes à un moment donné. Il l'a coupé, ça, l'assassin. Mais on a fait une psychothérapie. T'as-tu pensé pas que je pleurais quand tu veux?

Bien, plus qu'une fois. Non, non, non, non, non. Non, non, c'est vrai. Non, non, mais on a vraiment connecté. Non, non, c'est vraiment en cause. Il me faisait un calisme en rire. On a eu du fun. C'est drôle, parce, c'est vrai. Non, non, mais on a vraiment connecté. Non, non, c'est vraiment en cause. Il me faisait un calisme en rire. On a eu du fun, on a eu bien du fun.

C'est drôle parce que c'était comme genre, on se rencontrait, puis tu sais, moi, un peu tout croche, je rote dans le micro. Puis là, il est full professionnel. J'essayais de rester propre, le dos droit. Oui, oui, OK. Mets pas tes coudes sur la table, OK. Tu faisais ça pour vrai?

Non, mais le dos, j'essayais d'être droit. Après, il y avait deux pieds sur la table, mais je décretais les ongles d'orteil. Mais... Non, sérieusement, on est bien de son. Je dois te remercier pour ça. Mais je ne sais pas ce qu'on était rendu, mais au niveau de la liberté,

c'est que je faisais ce que je voulais. Mais imagine-toi, c'est drôle, parce qu'en fin de semaine, j'ai rencontré des gars de l'armée. Puis moi, je voulais faire, quand j'ai commencé, au début, début, début, c'est ça ta question, au début, début, je trouvais des noms comme Rock Velo. Je suis content d'avoir trouvé ça. Ah oui, je me rappelle de Rock Velo.

Le combat des clips, on trouvait des noms, tout ça. C'est quoi, moi, faire la job? Je suis allé à c'est quoi? Par la suite, il y a Paul Beauregard qui fait une crise d'apprentissage. Puis on m'appelle, on me dit que ça était temporaire. C'était très temporaire. On a tout notre staff, mais on a besoin de quelqu'un pour remplacer. J'ai remplacé à l'émission Fax. 27 ans plus tard, je suis encore temporaire.

J'étais là longtemps. J'étais tanné des clips. C'était le fun au début. Voici Madonna, voici ça. Tu présentes. Salut, Sophie. Là, on lisait des lettres parce qu'on recevait des lettres dans ce temps-là. Puis des faxes. Les faxes, c'était-tu magnifique? Il n'y avait pas de courriel encore? Pas encore.

Ça a commencé. Non, mais non. Courriel, ça a été... D'ailleurs, tu as été le premier que j'ai entendu nommer une adresse Internet, un URL, à la télé. Puis ça m'avait tellement marqué parce que ça avait l'air compliqué. OK, c'est HTTP

deux petits points, ligne, ligne. Là, j'étais comme, attends une seconde. Chris, sont où les W? Pas les lignes de ce bord-là. Les lignes de l'autre bord. Là, ils sont là sur le clavier. Mais comment on fait les lignes de l'autre bord? C'était super long.

Mais ton premier gros show à Musique Plus, c'était Rockambolesque? Non, en fait, le premier gros show, ça a été Les aventures du Grand Albo. C'était avant Rockambolesque, le quiz? Oui, Rockambolesque, on va en parler tantôt. Mais j'appelle l'armée parce que je veux faire un show avec un punch. Tu sais, tu veux commencer fort. J'appelle l'armée, M. veux faire un show avec un punch. Tu sais, tu veux commencer fort. J'appelle l'armée. M. Sergent, Réjean Duchesneau.

Je me souviens toujours de son nom. Excuse-moi, c'est ma blonde qui dit. Oublie pas le... C'est James Bond. Donc, j'appelle Duchesneau à l'armée. Puis j'ai dit, salut, mon nom est Denis Talbot. Vous ne me connaissez pas encore. Je travaille à Musique Plus.

Mais je veux faire un tour de F-18. Un silence. Il dit, ah, OK, oui. C'est quoi? Où tu travailles? À Musique Plus. vous me connaissez pas encore, je travaille à MusicPlus, mais je veux faire un tour de F-18. Dans le silence, il dit « Ah, ok, oui, c'est quoi, où tu travailles? À MusicPlus? » Les autres pensent « On va aller chercher des nouveaux soldats. » Je te rappelle, dans quelques minutes, je me suis dit « Ok, donc Carlos, we'll call you, ça va être ça. » « Telephone sonne dans 20 minutes, il dit « Qu'est-ce que tu fais la semaine prochaine? » Là, je suis content, j'ai pas d'ordinateur encore pour faire mon montage ou rien mais j'ai une ride de F-18 qui m'attend. Lui il m'a bouqué ça puis la base de Bagotville

avec les gars, les filles là-bas, c'est devenu mon Disney World. J'étais allé m'amuser là-bas, j'ai fait des affaires et ils m'ont saucé au bout d'une corde dans le lac attaché au bout d'un truc de rescue. Il y a rien que j'ai pas fait là-bas. On a eu bien, bien du fun. Mais ça a été ça, le premier gros show. Mais aussi, le tour d'avion, il me contait, le gars faisait un test où il passait quelque chose. Lui, il est comme, moi, je m'en calisse ton émission, je vais passer mon test

à Bavard. C'est capable de faire un esti de tour d'avion. Il s'appelle Joël Roy. J'espère qu'il écoute le podcast. Je le tiens à saluer. Merci beaucoup de cette belle ride qui a duré une heure et demie. Je le rencontre. Lui, il ne veut pas rire parce qu'il Joël Roy. J'espère qu'il écoute le podcast. Je le tiens à saluer. Merci beaucoup de cette belle ride qui a duré une heure et demie. Je le rencontre. Lui, il ne veut pas rire

parce qu'il passe un grade. Dis-moi, Denis, si tu vas dormir en arrière. Ça fait une journée et quart que tu es en onde. Tu essaies d'être funny guy. Hey! C'est ça.

C'est ça. C'est ton hij C'est exactement ça. Tu as mis le doigt dessus. Mais avant de faire de m'asseoir les fesses dans l'avion, ils m'ont envoyé à Trenton. Ça, c'était un autre père d'amant. J'arrive et le colonel, qui me voit arriver en jeans,

me dit que ça ne prend pas un uniforme. Il me passe un de ses flight suits. Je ne sais pas, mais j'ai les grades qui sont là. Là, je me promène sur la base avec mes cheveux longs, mes running shoes. Là, le monde, il vient de redred quand je passe. Salut! Là, je pogne un lifer, un gars qui est là, puis c'est toute sa vie, c'est l'armée. Un Anglais d'Ontario, là, tu sais, lui, là, c'est sa job, c'est de mener des hommes.

Lui, il a connu les tranchées, le couteau d'embauche. Moi, j'arrive avec mes cheveux longs et le petit du chêneau qui me suivait, le sous-major, est en arrière et lui, il a échappé du chêne à chaussures sur son uniforme. Il était en jeans parce qu'il n'a pas le droit d'avoir du chêne à chaussures,

mais ça va plus vite. Il s'est fait pogner. Il était en jeans et il a son haut de chemise d'armée, mais il n'a pas l'air d'être un gars qui est dans l'armée trop trop. Moi, je suis devant et l'autre me regarde et dit « You are a disgrace to the uniform. » Ah!

On dirait un début de vidéoclip de Twisted System. C'est quasiment ça! What do you want to do with your life? I want to rock! Mais là, lui... » « Kébé! » « Mais là, c'est... »

« Là, moi, je me fais invectiver, puis il est sérieux, puis il est enchaîné, puis il est grand, il est vieux, puis il est solide. » « Il va m'en créer ses unes, il va me sortir, il va appeler les MP, puis je suis fini. » « Moi, là, je vais finir dans Bouilly, je sais pas, quelque part. » « Là, le major du chêneau, qui a ses jeans, puis sa petite chemise, il a pas encore sa... » « Il a rien. On vient d'arriver. » « Là, il dit... » « Come here! » « Là Là il voit les bananes sur sa chemise, là, là, là, il était red red pis il dit, major il est pas grand, excuse-moi Réjean, pis il essaye de se parler dans la face mais il est pas capable! Fait que là il tourne autour, il l'a emmené dans une autre pièce, il s'est fait engueuler, le gars il est revenu, il me dit, I'm sorry sir. Attends, il est parti. Le soir, quand on était prendre une bière au mess, j'aurais pas été m'asseoir à côté de lui.

J'aurais mangé une maudite. Ah, il était arrogant. J'ai appris comment éjecter. J'ai appris comment... Qu'est-ce que c'était d'être en... en... En hippopotame. En hippopotame.

Moi, j'avais hypothélie. Ça, c'est pas des démissions. Tu kiques un coup d'un côte, l'hippopotame panique! Il te montre, il simule 22 000 pieds d'altitude. Et là, c'est comme si tu manquais d'air. Donc en hypoxie. Donc là, tu... pouf! Là tes poumons font... Là tu t'évanouis un peu.

Pas de suite! Non, il faut que tu saches ce que ça va te faire. Parce que c'est surprenant. Tu n'as pas d'air. À un moment donné, ta cage te recycle. Voyons, qu'est-ce qui se passe? Tu as le vent dans la face. J'imagine que ça ne m'est pas arrivé. Tu es comme un cartoon

qui veut se battre. C'est ça. Après ça, ils te font faire l'inverse. Là, ils t'amènent dans un truc. Là, ils te montrent très haut. Là, ils te laissent longtemps sans oxygène.

C'est très le fun. Là, tu es dans ta pièce, et chacun de nous, on a un système d'alarme qui va nous avertir quand on a besoin d'air. Moi c'est un frisson dans le dos, là faut que je me plug dans l'oxygène, sinon tu perds la carte. Fait que là je me dis, moi je vais pousser ça un petit peu plus loin, je vais regarder ce que ça fait,

pour vrai, qu'est-ce qui arrive après. Là t'as un gars qui compte, 20 secondes, 20 secondes, à 30 secondes, faut qu'il te branche. 10 secondes. OK. 20, 20 secondes. Puis là, à 30 secondes, il faut qu'il te branche.

Plug him in. Là, je pars. Bang. Il y a un grand bout que j'ai fait, que j'ai été filmer que je ne me souviens pas. J'ai un V dans le front des veines.

Là, je suis comme comme Ger Alain. Oui, je pense que la moitié de mes podcasts que j'ai faits du site, c'est un peu ça que c'était.

Mais là, ils ils font dessiner pendant ce temps là faut écrire ton nom qui est vrai que je dessine un arbre de noël la fête a passé grande mon ami je dessinais j'avais même à faire moto ce qui est dans l'avion c'est « Dégue-moi Michel! » « Fuck, il dit qu'il a l'alcool, tabarnak! » Ça a été ça le premier show. On y a goûté. Après ça, je suis allé m'asseoir dans l'avion. C'est là que j'ai rencontré Joël qui me dit

« Je m'en sors que si tu dors en arrière, il y a des gros changes que tu vas dormir tout le long. Si tu vomis dans mon avion, c'est toi qui laves. Moi, je ne touche pas à ça. Je n'ai pas le goût de faire ça. J'ai une carade à passer. » Il a accepté et je me suis fait brasser mon ami pendant une heure et demie. Tu vois ça dans Top Gun, les gars sont en envers pis ils jasent.

« Jockey, c'est ça, attends, attends, y'a pas de danger, prends les missiles! » « Holy shit! » T'es collé dans le main, t'as la bouche genre... Pis c'est incroyable, ça fait mal physiquement là. J'avais l'impression d'avoir fait de l'entraînement avec Schwarzenegger. J'étais poqué partout. J'ai eu des ongles d'orteils qui sont devenus noirs. Ah non, j'ai goûté des veines

dans le coup de péter. Les G négatifs, c'est quand le sang part de tes pieds et monte dans ta tête. Tu ne peux pas contrôler ça. Le contraire est vrai. Tu peux contrôler avec les G-pants parce qu'ils te mettent des culottes pour serrer tes jambes Tu peux contrôler avec les G-Pants parce qu'ils te mettent des culottes pour serrer tes jambes, pour garder le sang

pour les G positifs dans ta tête. Les G-Pants! Ça, c'est que ça fait gangster. Même les G-Pants, ça se dit. I got my G-Pants on. Mais quand tu tournes, ça serre, ça serre. Faut que tu te places les talbotines comme il faut parce que ça squeeze en tabarnouche. Je trouve que ça fait comme des bas de diabétique

mais en plus. Genre que tu vas sur Wish. Mais y'a-tu juste ces G-Pants ou y'a un G-Code? Ça monte jusqu'ici. Mais ça serre vraiment très fort. Donc ça empêche le sang de quitter ton cerveau. Donc tu peux rester alerte plus longtemps.

Mais l'inverse, t'as beau souffler, t'as beau tenir, y'a rien à faire. Le sang part de tes pieds quand tu fais des G négatifs et ça va dans ta tête et là ce que ça fait c'est que ta vision elle vient comme rouge, là ça fait là t'as l'impression de regarder dans un rouleau de papier toilette, tu vois vraiment plus rien tu deviens un hydrocéphale genre

c'est ça après ça normalement tu perds connaissance c'est un nouveau mot j'ai appris c'est quoi ça, c'est quoi ça bonjour j'ai appris. C'est quoi ça? C'est quoi ça? Bonjour! J'ai besoin d'un casque! Je veux manger de la soupe! C'est ça, on a vécu ça.

Tout le monde m'a posé la question. T'as-tu été malade? J'ai pas été malade dans l'avion, mais en mettant un pied à terre. C'est pareil comme virer une grosse brosse, ça, c'tu? Ouais. Moi, tout ce qu'elle s'est compté, ça m'est déjà arrivé dans un blanc-câble. T'sais, les veines, les varices, les pieds quand tu... Les ongles d'orteil.

Ben oui, c'tu, les bouts que t'oublies. Check ça! Ça, c'est son ongle d'orteil qui s'est rentré dans l'oreille. Elle s'est réveillée avec un épaule disloqué. Mais t'es arrivé, ça, c'tu? En tout cas, j'en vis pas ta vie, man. T'étais-tu un gars... Quand t'as pitché l'idée pour ce show-là,

t'étais-tu un gars de sport extrême? Moi, j'ai toujours bougé pas mal. Ma mère, elle me dit... J'ai posé la question. Moi, quand j'étais jeune, on avait 10 années. T'en souviens-tu? Quand t'avais 10 ans, t'as monté sur le top,

t'as sauté dans la montagne de sable en bas. Ouais. Je m'en souvenais plus. J'avais oublié ça, t'as monté sur le top, t'as sauté dans la montagne de sable en bas. Ouais. Je m'en souvenais plus, j'avais oublié ça. T'as monté sur le toit de ta maison. Pas la maison, nous autres. Ils construisaient des maisons. Moi, je viens de Ville-la-Salle. Il y a un gars qui construisait un duplex,

puis ils ont fait une excavation, puis ils avaient mis du sable. Fait qu'il y avait une belle montagne qui arrivait peut-être au premier étage, au deuxième étage, juste sur le bord du balcon. Fait qu'on montait sur le toit, puis on se jouait à une Jenna Jones, puis on sautait là-dedans, puis on avait du fun.

Fait qu'à un moment donné, on a dit, on va monter plus haut. C'est là qu'on a monté sur le toit. Fait que là, il dit, « Ah, il saute, c'est pas game. » « Ah, pas game, pas game, ouais. » Je tombe, mais pas tomber sur les pieds. Tomber sur la clavicule. « Oh, shit! » Ouais, ça crinque.

« Oh! » « OK, les gars, faut que je m'en vais à la maison. » Tu fais ton top. Là, j'arrive à la maison, puis mon père m'avertit, « Tu vas pas là. Si tu vas là, tu vas en manger une croustille, puis tu vas te faire mal, t' à la maison. » Tu fais ton top. Je vais à la maison. Mon père m'avertit. « Tu ne vas pas là. Tu vas manger une crostier. Tu vas te faire mal. Je vais au souper le soir. »

Tu fais comme si rien n'était. J'étais parfait. Tu manges la main gauche. Non, la main droite. Un peu. Mais je n'avais pas faim. Je n'avais pas faim. Ma mère regarde le coup.

Elle est tout sale. Elle dit « Avant de manger, va te laver les mains. Va te laver le cou. Tu es tout sale. » mains votre laver le cou t'es tu as la vie c'est dégueulasse la vie le club est ce l'épaule non j'ai pas de sens c'est juste que je n'étais plus capable ben ben bouger à claquement couler l'eau dans la chambre de bain je reviens je suis encore côté il fait le sandal devant la main, pis là, je dis, ah, tu sais, là, je reviens, pis je suis encore crotté. Ma mère, elle dit,

viens-en ici, toi. J'ai passé, je pense, c'est trois mois, pas de joke, le bras tapé dans le dos, comme ça. Dans le temps, ils mettaient comme des attelles, ils mettaient le pied dans le dos, pis ils tiraient. Alors ça, il était le tapé, mais c'est ça qui est arrivé. Combien de temps as-tu ça, Carlis?

Ah, j'avais 10 ans, ça fait 1 600... J'ai jamais entendu parler de quelqu'un qui... Tu dois avoir encore mal à l'époque. C'est sûr. Scientifiquement parlant, il n'y a pas un bon move pour le guérir. On va pousser le bras en arrière

comme s'il se faisait arrêter. C'est juste après qu'ils ont arrêté de couper des membres. Pour la gangrène. C'est ça. S'ils ont arrêté de couper des membres. Oui, oui. Pour la gangrène, genre. C'est ça, c'est ça. Non, mais sérieusement, je suis un peu casse-cou, effectivement. Moi, tu sais,

j'ai comme la clavicule un peu pétée. Je ne sais pas si... On va l'entendre. Hein? Oui, j'ai vraiment la clavicule de genre... Ça, c'est-tu le bruit

de ta clavicule? Oui, oui, oui. C'est Denis qui a fait un bruit, là, si tu veux. Ou quelqu'un a pété en s'en même temps. Mais ça fait... Attends, refais-le.

Attends, je ne sais pas si... Je ne sais pas. Un petit peu, mais... Pas assez pour impressionner du monde. C'est-tu en guerre, ça? Mais oui, ça s'est encore un peu pété. Bref, tu peux continuer. Non, c'est ça.

On va laisser les grandes personnes y aller. J'aimerais ça que chaque histoire qui compte, tu sais, attendez une seconde, j'ai de quoi rajouter. D'habitude, ça fait un bruit dans mon genou. Mais conte ton histoire. C'est un test. C'est un test, esti.

Mais non, c'est ça. Quand j'ai commencé ce show-là, j'avais même pas d'ordinateur pour faire le show encore. Musique Plus, je vais avoir un marchand. Oui, mais le show commence dans deux semaines. Pas d'ordinateur. Là, il me dit, qu'il aurait jamais dû me dire, débrouille-toi, fais du contre-échange, fais ce que tu veux.

J'ai fait le tour du monde. J'avais un budget de 14 000$ par année. J'étais allé partout que ça petit show-là, en contraire. « Salut, Delta. Oui, c'est Denis Talbot. Ah, c'est le gars qui a fait du jet. J'aimerais s'embarquer avec vous autres pour aller en Tunisie. Oui, on ne peut pas. Ah, OK. Appel en Tunisie.

Y'a-tu des moyens d'avoir des journalistes pour visiter votre magnifique pays? Oui, y'a pas de problème. Je vais te mettre en contact avec l'ambassade. » à l'ambassade, jase avec les gens de l'ambassade. Le lendemain, tu reçois un papier, va chercher ton passeport. Tu t'en vas dans Tunisie, Japon, tout ça. On a fait autour du monde, comme ça. Combien de pays t'as fait?

Ah, écoute, je suis allé, je pense que je suis allé une vingtaine de fois du côté de Paris. On avait un deal, fait qu'on y allait souvent. Japon, je suis allé plusieurs fois. Écoute, j'ai fait Japon, Australie, les États- plusieurs fois. J'ai fait le Japon, l'Australie, les États-Unis, on s'est fait pas mal aussi. Mais, tu sais, tout ça avec peu de moyens. Puis c'est ça que j'aimais

de Musique Plus, parce qu'on avait une belle liberté. Quand le show s'est mis à pogner, j'en avais encore plus. Tu sais, tu peux grossir l'équipe un peu, avoir une personne de plus, mais dans ce temps-là, on travaillait vraiment avec des moyens qui étaient... C'est ça qu'on dirait que

souvent, le monde de la nouvelle génération ne réalise pas. C'est que Musique Plus, à cette époque-là, c'était comme le web est là. On était l'Internet de l'époque. Effectivement, tu as raison là-dessus. Puis tu voulais avoir des artistes, mais tu savais, on les annonçait beaucoup d'avance. Hey, on va recevoir...

Quand on a reçu Michael Bublé, c'était fou, Red, Michael Bolton, il chantait tellement fort, « When a man loves a woman... » Il avait fait sauter un direct box. C'est vrai. Avec du soft rock, tu sais. Il a soft rocké the fuck out of the direct box.

Il a sauté la basse. Hey man, ça... Tu voyais, on était dans le studio, quand tu fais... Oh, il chante fort lui! » « Pow! What the hell happened here? » C'était une drôle de petite voix. C'était le fun, les gens étaient là. Ils venaient faire le show en ligne.

On faisait ça, on invitait des gens. On demandait au monde de nous envoyer des questions par fax. Christy connaissait la coche. Mais pour vrai, c'était avant-gardiste pour l'époque. Tu sais que les caméras dans les studios qu'on peut contrôler maintenant, j'étais un des premiers à installer ça à Musique Plus.

Il y a un gars qui vient me voir et dit « Moi j'ai un projet, je veux mettre des caméras sur les ponts à travers le Québec pour la circulation. J'ai besoin de quelqu'un pour m'aider à tester mes affaires. Je mettrais une caméra que les gens peuvent contrôler de la maison, chez eux, avec le clavier. » Sacrifice. Oh yeah! On met ça à MusicPlus! On installe ça.

J'pense que j'ai créé les premiers trolls aussi. Fait que là, c'était du monde en même qui contrôlait. Fait qu'ils filmaient juste ton bat ou ta poche. Genre des hackers genre? Non, non, c'était des gens qui étaient légitimes, mais à un moment donné les VJ oubliaient que ça roulait. Fait que tu veux te gratter, te placer le petit, mais à un moment donné, les VJ oubliaient que ça roulait. Tu veux te gratter et placer le petit paquet. C'est là que FreeStream... Oh, regarde, il se pogne la poche!

Ça a commencé. Il y a des gens qui étaient spécialistes. Ils filmaient tout. Ils se pognaient le moment où tu as le doigt dans le nez. Ils n'ont pas de vie, par exemple. C'est ça, j'ai créé les premiers trolls. Mais c'était-tu aussi dur que ça pour ne pas te rentrer le doigt dans le nez? C'est ça, j'ai créé les premiers trolls maintenant. Mais c'était-tu si dur que ça pour pas te rentrer le doigt dans le nez?

C'est pas ça. Mais se placer le bat, je comprends. Moi, je suis un placeux de bat. Moi, je le place souvent. Ça va avec le bien-être. Ça peut changer ta journée. Quand tu vas mourir, la première chose

que tu vas dire, c'est son batte est bien placée. C'est ça, on avait mis ça en place puis ça a duré un bout de temps. La directrice des programmes n'aimait pas ça parce qu'elle s'est faite pogner avec.

Fait qu'on a été obligés de débarquer ça. Là, j'ai dit au gars, tu peux te prendre juste un angle au-dessus de nous autres. Il a dit, ouais, mais c'était plat,

t'envoyais plus des affaires à la fin. Fait qu'on a débarqué ça puis il y a eu beaucoup de plaintes de la part des filles VJ parce que c'est normal, t'eson a débarqué ça puis il ya eu beaucoup de plaintes à part des filles vijay parce que normal c'est un cas avec une caméra puis la rire pas chez moi fait que tu as eu rocamboles est arrivé en quelle année

sur les années je suis pourri mais c'est que tu bien c'est que t'as eu les aventures du Grand Talbot ça a duré 5-6 ans 5-6 ans je pensais que ça allait juste durer 4 ans mais 5-6 ans il me semble que c'est 5-6 ans t'as-tu tu es après Rock'n'Bolles

ou t'as eu Rock'n'Bolles c'est une job de week-end on a fait ça à 4 fins de semaine c'est vrai ça a marqué le monde ah c'est malade

ben écoute bien la première fois qu'on a fait le show Rock'n'Bolles c'est qu'on avait jamais fait le show du début à la fin fait que commence le show pis là il y a des fois qu'on a fait le show rocambolesque, on n'avait jamais fait le show du début à la fin. Fait que, commence le show, pis là, il y a des situations qu'on n'avait pas prévues qui arrivent.

Fait que là, moi je faisais du live tout tape, on enregistre pis on n'arrête pas, on n'arrête pas, tu sais. Fait que, commence le show, alors les deux s'assoient pis les deux lumières s'allument. Ok, alors, vous avez le droit à répondre tous les deux? Non, non, la première réponse, non, non, non. Alors, stop tape! Qu'est-ce qu'il t'a dit?

Il faut prendre des notes. C'est la première fois que ça arrive. Il prenait des notes. On a ajusté les affaires. Mais une fois qu'on a fait le show au complet, il durait deux heures et quart. Pour un show de 22 minutes? Exactement.

Ça n'avait pas d'allure. Mais il s'est passé toutes sortes d'affaires dans ce show-là. Je travaillais avec Pérus. Oui, oui, oui. Il commençait là-dedans. C'est la première fois

que j'ai vu... Tu sais, vu que moi, je vivais à Québec, je pense qu'il était déjà à C'est quoi à cette époque-là, mais on ne le prenaitais à Québec, je pense qu'il était déjà à cette époque-là, mais on ne le prenait pas à Québec. Non, il commençait à percer avec ses affaires. C'était nouveau, c'était affreux. Là, il faisait toutes sortes de niaiseries.

Mais des niaiseries... Écoute, j'étais en train de faire le show un moment donné, on avait un gros zipper en foam core en arrière, dessiné, tout était en plastique, cheap, mais ça apparaissait beau. J'étais en train d'animer, puis le show, il me tombe sur la tête. Dang! Là, on était live tout de suite.

Alors, je continue, j'ai le zip sur la tête. On continue à faire le show. Je suis pas exprès, j'exploite ça. Il est arrivé ça. C'est arrivé sur mon podcast, ça, cette semaine. Qu'un gros zip tombait sur la tête. Oui, j'ai mon affiche WhatsApp podcast, ça a tombé sur le gars. Ah oui?

C'était qui ton héritier? C'était Adamo, Steve. Ça a tombé sur le gars. Ah oui? C'était qui ton héritier? C'était Adamo. Ça a tombé sur Adamo? Non, non, il était avec G7, son partenaire. Parce que lui, il a cette petite graine, il est déjà venu sur mon podcast, puis lui, il est perdu comme gay, man, il fait le tour, il fait « Ah, ça doit être la porte! »

Puis il rentre dans la porte, c'était la porte pour rentrer dans le bar. Ça a comme tout tombé sur son chum. Il a fait « Ah'était drôle. Je l'ai gardé sur le podcast parce que j'étais comme la pince où on coupe pour que je change des piles. C'est ça, on l'a gardé. Ça doit être ça ça une nouvelle étoile

de What's Up Podcast tu fais du beatbox avec tes genoux et tes épaules yo merde je vais être bon dans pas long merde

je travaille là-dessus c'est souvent ces moments-là, c'est ça qu'ils gardent pour le montage. Il y a une autre affaire qu'on avait aussi. C'est-tu toi, au début, c'est à partir de quand c'est toi qui s'occupais du montage,

que Musique Plus disait, OK, il sait ce qu'il fait plus que nous autres, on le sait. Oui, c'est dès le début. Tu pars à une idée, c'est toi qui fais tout. Ils s'en sacrent. Ils te donnent l'OK pour le faire. Tu te débrouilles pour arriver à ce que ça se fasse.

Même au début? Au début, oui. Moi, je ne sais jamais. Quand j'OK pour le faire. Tu te débrouilles pour arriver à ce que ça se fasse. Même au début? Au début, oui. Moi, je sais jamais. Quand j'ai commencé à faire de la TV, je faisais des entrevues de fond. J'étais vraiment sérieux. Des entrevues de fond. Comme moi, là? Exactement pareil. Très préparé, là. Préparé, là.

OK, j'ai pas payé mon compte. Puis de la tri. Mais t'arrives devant des gens importants, puis tu veux vraiment les impressionner. Alors tu poses la question, tu bafouilles. « Alors, votre nom, on va le refaire. » Là, c'est le caméraman qui fait... « Alors, monsieur... »

Là, ça roule pendant 10-15 minutes. L'entrevue va super bien. Là, je me trompe. « On va recommencer. » Tout le temps en arrière, on commence pas. Mais je faisais ça tout le temps. Je savais pas,pe. On va recommencer. Tout le temps en arrière, on ne commence pas. Mais je faisais ça tout le temps. Je ne savais pas, moi. On fait du montage.

Toi, en plus, quand tu es arrivé, moi, j'étais exactement le public cible de Musée Plus. Tu étais le seul qui était drôle. Ça me surprend que tu n'as jamais fait une carrière de stand-up. Je vais te faire une confidence que je n'ai pas dit à grand monde.

Je pense que j'en ai parlé à toi. J'avais préparé un numéro pour faire les mardis, juste pour rire dans le temps. Je faisais beaucoup de MCing. Je faisais la présentation et je faisais beaucoup de crowd work en attendant que ça arrive. Avant de présenter à l'Empire des Futures Stars, c'était moi le MC.

Les gars arrivaient avec les cheveux blonds et les sourcils noirs. « Mesdames et messieurs, vous n'avez pas eu le temps de se présenter, de se taindre les sourcils. Le voici! » Ils n'ont pas écrit ça après moi. On faisait toutes sortes de niaiseries comme ça. J'en ai fait énormément. Mais le stand-up, quand je suis arrivé pour déposer mon numéro et dire « Je vais essayer l'audition »,

j'ai chié dans mes culottes. J'ai eu peur. Ce n'est pas évident parce que moi d'apprendre des textes par coeur j'ai bien de la difficulté ceux qui me connaissent qu'on travaille avec moi ils savent que ok mettons faut je dise que le show est à 23 heures demain il va à telle personne telle personne je peux faire cette tête là dix fois mais fois différemment mais ça va un texte point dessus oui le show sera vir virgule, demain. » Qu'est-ce qui est plate? Moi, je suis exactement comme ça.

Je pense que tu aurais été super bon. Mais c'est juste qu'à l'époque, le monde faisait « Non, un humoriste, c'est tout le temps, virgule, prêt. » Je suis pas capable de faire ça. J'ai fait du théâtre au cégep. T'essaies de faire du Shakespeare en improvisant. Je savais où je m'en allais.

C'était drôle, hein, Christy? Ah oui? Oui, mais t'as le gars en avant qui attend ta réplique, puis il est pas capable, puis il sait pas. Tu vois les yeux qui font comme... Dis ça, là. Là, t'entends juste en coulisses, être ou ne pas être.

C'est ça. Mais il disait tout ça dans le temps? Je sais pas si c'est toi qui disais ça, qui disait ça à Jean-Marc Parent. C'est vrai que... C'était pas un vrai humoriste. Tu sais, Jean-Marc Parent, avec du recul, ce qu'il faisait, c'était parfait.

C'est ce qu'un humoriste doit être. Il était libre, il faisait ses affaires. Mais dans le temps, si toi, tu n'étais pas placé à virgule près, tu n'étais pas un vrai humoriste. Non, non. Le monde te faisait filer cheap de... Je t'ai vu la semaine passée pis ce punch là

tu regardais là, tu regardes ici tu es un amateur il fallait faire la chorégraphie parfaite tu sais cha cha cha cha cha cha punchline ce qui est exactement le contraire je n'ai jamais été capable de faire ça

moi c'est l'impro j'embarque sur une scène t'as-tu faitest l'impro. J'embarque sur une scène. As-tu fait de l'impro au cégep? J'en ai fait un petit peu, mais je la faisais à la radio, je la faisais dans mes shows. Le live, c'est la meilleure dope. Tu le sais.

Tu le sens. On le sent, l'énergie du monde. Apparemment, l'héroïne, c'est meilleur. Par exemple, Jim. Jim, il a gâché sa vie, mais pas avec le live. Je sais, mais John, il a gâché sa vie, mais pas avec le live. Mais tu sens l'énergie du monde.

C'est le fun de driver et d'entendre des rires comme ça, c'est agréable. Sur les rires aussi, tu le sens, Nasty. Ah oui? Mais je ne suis pas un stand-up. Je regarde, j'en écoute l'humour en masse. Moi, je marche beaucoup et j'écoute les podcasts. J'en écoute l'humour en masse moi je marche beaucoup puis j'écoute les podcasts j'en écoute en anglais en français moi je suis plus un raconteur

qu'un punchliner tu comprends-tu? mais c'est la meilleure affaire à faire tu sais de juste te laisser aller puis au fur et à mesure de tenter ta chance

ben là tu catches ok ça arrive quand j'ai fait ça puis je l'ai fait de cette façon-là puis là à force t'accumules tout le temps ça

puis là t'as un numéro de fait ouais c'est ça mais le problème c'est que je m'en souviens pas façon-là, puis là, à force, t'accumules tout le temps ça, puis là, t'as un numéro de fait. Oui, c'est ça, mais le problème, c'est que je m'en souviens pas des jokes. Tu sais, tu te souviens des situations, tu sens, il y a une mécanique qui s'installe au niveau du punch, tu te dis, OK, là, je vais puncher là, boum, mais le reproduire de façon systématique, à moins de la faire

souvent, souvent, vous autres, c'est ça votre métier aussi, vous la timez, vous la placez. Moi, j'ai de la misère à m'en souvenir, c'est peut-être l'âge. Mais à l'époque, tu sais, aussi que t'as commencé la placez. Moi j'ai de la misère à m'en souvenir, c'est peut-être l'âge. Mais à l'époque aussi que tu as commencé à MusicPlus, puis tu as été tellement populaire, c'est les années que le port du temps, le monde faisait MusicPlus une couple d'années, puis après il allait soit à TQS, c'est les premières années de TQS, TVA, Radio 4. Toi tu dois avoir eu des offres. J'en ai eu beaucoup, j'en ai eu des affaires qui m'ont été proposées mais dans lesquelles j'avais pas d'input

j'étais juste le gars qui était là pour lire un prompter soit le funny guy soit le funny guy, mais lis mes jokes lis mes jokes viens pas au meeting c'est ça, va là, tu vas lire ça, c'est correct pis ça, j'aimais pas ça j'avais le choix de me promener dans des avions

faire le tour du monde, aller m'amuser. Ou aller à Flash. Flash, j'avais passé une audition. C'est vrai? Oui, c'est Alain Dumas qui l'avait eue. J'ai bien guessé. Il y en a-tu parlé à ton podcast? Non, encore.

Ah, au moins, tu aurais pu être l'animateur de Flash. Tu t'es tout gâché avec ta spontanéité. Mais avec le recul, je pense que j'ai bien fait. Honnêtement, je regrette rien. J'ai eu du fun. Puis encore aujourd'hui, si quelqu'un voulait ramener des aventures, je suis trop vieux pour me maganer.

Ça serait malade. Par exemple, t'as quel âge? 60. T'as pas 60 ans. J'ai 60 ans. T'as 60 ans. Ah, Christ. C'est encore mieux. Un garsai 60 ans. Fuck you. Je te jure. T'as 60 ans. Ah, Christ. M'excuse. C'est encore mieux.

Un gars de 60 ans en parachute, ou en F-18. Cette émission est présentée par Depends pour adultes. Là, on t'a mis les Depends vraiment serrés. Faut pas que la marde... Cette semaine, cette portion de l'émission est présentée par... T'as-tu 60 ans? Voyons, tabarnak!

Qu'est-ce que je vieillis mal, là, c'est-tu? J'ai 27, connu! Ouais, ouais, ouais, c'est... Moi, j'ai 28, par exemple. Moi, c'est... Mais tu vieillis, tu vieai 28 ans. Oui. Mais tu vieillis. Oui, tu es correct. Souvent, l'alcool a dû brancher

une couple d'années dans la face. Non, non, non. Mais tu as des petits yeux de gars fatigué, mais tu as une peau jeune. Ah, OK. Tu as un beau jeune homme, avouez. Oui, oui. Ah!

Un crescent. Mais ça veut dire oui, tabarnak. C'est mon ego. C'est une affaire que je ne réalisais pas à l'époque. Tu sais, quand t'es petit, ils disent tout le temps que les oreilles continuent à... Check les miennes, man. Ça va me toucher aux épaules bientôt. Moi, j'ai remarqué, c'est ma face

qui grossit. Moi, quand j'avais ton âge, j'avais une petite face comme toi. Puis là, plus ça va, dans 5 ans, je vais être le personnage de The Mask avec Cher. C'est pas si pire que ça. Il y en a qui ont vraiment le brandy nose, ce gros nez qui tombe, comme une queue.

Je ne sais pas, dans les tavernes, tu les vois, ce brandy nose. Comme mon père. Non, non, je voulais... Non, mon père, il a un beau nez. Non, mon père, il a un beau nez. Non, mon père, il a un beau nez. On avait un comme ça. En face de Musique Plus, il y avait la taverne, une vieille taverne.

Et puis là, ça rouvrait à 10 heures. Puis on avait notre... On l'appelait Barfman. Barfman, c'est un monsieur, comme tu dis, gros nez, mais avec le cratère de la lune dans le nez. Il était énorme. Bien peigné, par exemple. Ah oui, c'est vrai?

Le polo, toujours le même, très serré, il n'y a pas le choix, parce qu'il y a une cristite grosse bédaine. Des jeans avec la craque de fesse, parce qu'il n'y a pas de fesse. Il y avait un banc d'autobus en avant de Musique Plus, mais il n'avait pas mis du bord de la rue, parce que le monde là-bas ne veut pas se sacrer dans la rue. Il s'assoyait et regardait dans le studio.

Il fallait qu'il se mette un bras de main. Là, tu voyais, tu étais à côté, puis à un moment donné, il ne pouvait pas se sacrer dans la rue. Il s'assoyait et il regardait dans le studio. Il fallait qu'il se mette les bras de même. Il était à côté, puis à un moment donné, il faisait un petit sombre. Puis là, il se réveillait. Là, il vomissait. À tous les matins. À tous les fucking matins, c'était la même affaire. Là, ça ouvrait, il allait à l'autre bord.

Il ressortait à midi, il faisait son somomme, à tous les jours, à tous les jours, à tous les jours. C'est Barney dans Simpsons. C'est malade, c'est malade. On avait aussi Tata Man. Tata Man, lui, ce qu'il faisait, c'est qu'il se promenait pis il faisait des tatas. On monte dans la rue ou à Lévis-J? Partout. Il se promenait dans la rue. Pis les VJ? Partout. Il arrivait dans Musique Plus. Il y avait des TV. Des écrans.

Il y avait une caméra qui filmait dehors. Il se voyait. Il faisait des tatins. Nous autres, on mettait un compteur. Six. Dix. Il était là. Toute la journée.

Il y en avait un autre, c'était l'homme crabe. L'homme crabe, il marchait comme ça. Les mains, là. Mais de reculons. Il partait de Musique Plus, il allait jusqu'à l'ancien forum, puis il revenait. Comment? Ça, pour savoir jusqu'à où il allait, ça veut dire que tu l'as suivi. J'ai contribué à sa popularité.

Mais pour vrai, tu l'as suivi? Ben oui, on l'a suivi. On a fait une entrevue avec lui aussi. Pis là, il me regardait. Il rentrait dans son monde pis il repartait. Pendant l'entrevue, t'as-tu mis des élastiques sur les mains? T'es monsieur!

T'as mis des élastiques sur les mains. Fais au Québec. Tu rentres dans le bain de tourbillon avec. Il panique. Tu mets un couvercle mais écoute on faisait l'émission fax on faisait l'émission fax dehors dans le parc à l'arrière

c'était beau, c'était fantastique avec le soleil qui se couchait la réalisatrice était très inspirée par les rayons, les nuages qui filtraient justement ces rayons rangés et qui faisaient une image parfaite, digne de Radio-Canada, où elle espérait peut-être travailler. Et il faisait son démo en même temps. Mais là, je suis en train d'animer.

Et à un moment donné, tu entends en arrière... « Voyons ta mère, les coriaces! » « C'est Jerk! » « Une machine à voyager dans le temps! » « C'est pas de la même! » « C'est back to the Jerk! » Une machine a voyagé dans le temps. Elle se prend de elle-même. C'est « back to the chair ». T'es en train de m'endormir dans la ruelle. Devant un AW, là.

Il y avait une jolie madame aux allures autochtones qui était dans cette période de la semaine où ça coulait beaucoup. Période de la semaine? Du mois, pardon. Du mois, tu veux dire? Donc, elle a enlevé ses pantalons.

Pis, wouh, live. What the fuck is that congenery? Hey, t'as-tu dit que l'Inex? De retour à fax, dans un instant. Oh shit! Oh oui, c'était vraiment assez. Ça doit être la première fois que quelqu'un passe à la TV et n'est pas obligé de signer un release. Elle a signé avec son sang.

Dégueulasse. Moi, quand je suis déménagé à Montréal, c'était encore les années qu'il y avait le guichet Vox Pop. Et moi, à chaque fois que j'étais saoul, je rentrais, je dépensais tout mon argent. Envoie-tu un extrait?

Quand je suis arrivé à Music Plus, genre dix ans après, j'ai fait, asti, moi... Puis moi, j'aimais vraiment travailler à Music Plus, mais j'étais comme à Music Plus adjacent, mais je me disais, travailler à Music Plus, j'aurais passé mes fins de semaine

avec mes amis regarder les losers faire des demandes spéciales. Ce n'est pas juste des demandes spéciales qu'on voyait. Il y a une fille

qui s'appelle Louise. Louise, c'est un classique. Louise, elle arrivait. Salut les BJ! Mon nom, c'est Louise.

Ça, c'est mes tatars. Ça, c'est mes tatars. Ah, c'est Louise. Ça, c'est mes tatars. » « Ça, c'est mes tatars. » « Ah, c'est-tu. » « Louise. » « Louise. » « Avec le Sylvain Larocque des tatars. » « Oui. » « C'était pas joli, joli. »

« Où t'as le gars qui, visiblement, il est croche. » « T'sais, t'sais, les petits yeux, là, qu'il est là yeux, il check, il check, il check. Il y a un micro là-dedans, il sait qu'il y a un micro qui est cher. Il veut voler le micro. Il veut voler le micro, mais il sort le tournevis, man. Tu sais, THE tournevis. Puis là, il veut prailler ça parce que c'est bolté, c'est soudé, c'est à l'épreuve du vol. Moi, je pensais que ça filmait juste quand tu mettais de l'argent.

Non, non, non, on pèse le piton, ça filme quand tu veux. Fait que là, on le voit, puis Z-Gun, il repart, il revient avec une petite masse. Puis moi, « T'es calé, c'est ça, moi, le prendre, le micro, pas grand-chose. » Là, le gars qui était au master, lui, il pèse sur le piton. « Bon, t'achèves-tu ou on appelle la police? »

Il y avait beaucoup de faveurs sexuelles qui se faisaient là, parce qu'on était dans le quartier assez hot. Dans le sens de hot, en voulant dire, ben des putes, puis du mom-post. Le red light. Louise avait pas juste... Elle avait des prothèses dentaires

qui se retrouvaient dans sa poche lorsque elle faisait certains trucs avec les messieurs. C'était dégueulasse. Elle enlevait ses dents. Live live louise t'as-tu fini le maître du loft le gars pour vrai c'est j'aimerais mieux regarder ça que n'importe quelle occupation d'eau je suis excité à y penser dans les parties de noël on avait bien du fun J'aimerais mieux regarder ça que n'importe quelle occupation d'eau.

Je suis excité à y penser. Dans les parties de Noël, on avait bien du fun. À regarder ça, c'était super drôle. Mais il y en a, bien sûr, qui prenaient ça comme une toilette. Le gars qui lavait ça, le pauvre gars, il était courageux. Trouver des affaires là-dedans, c'est terrible. Il shootait à l'héroïne. Il y a eu des overdoses.

Il y a eu toutes sortes d'affaires. Y a-t-il du monde qui sont morts dans le guichet Voxpop? Je vais te conter un fait vécu. Moi, je suis porte-parole de l'IGQ, Intégration Jeunesse Québec. On trouve des jobs à ceux qui n'en ont pas, surtout les nouveaux arrivants. Il y a un gars qui fait des témoignages.

On recueille de l'argent, 100 000 $ par année, ou 120 000, 130 000, ça dépend. Il y a un gars qui vient faire un témoignage, puis il est bien nerveux. Il a son iPad dans les mains. Il arrive sur scène, il pèse sur le piton, puis il pèse son texte. Puis là, il y a quand même 400-500 personnes en avant. Il dit « Louise, as-tu moi? » « Ben, non, Louise, c'est pas la même. »

« Viens là, ton texte, c'est où je regarde! » Là, il capote, il n'y a plus de texte, il s'appelle sa fille, sa fille s'en vient, il dit « Non, non, laisse faire, on va faire une entrevue. » Là, il commence à me dire « Tu ne te souviens pas de moi? » Là, il est grand, il est planté, il est chauve, monsieur net, genre bien planté avec son petit t-shirt blanc, les tattoos, tout. Je dis « Non, je ne me souviens pas de toi, mais toi, tu m'as sauvé la vie. » « Ah ben oui, ah ah ah! » « Non, non, tu sais, Wichette toi, mais toi, tu m'as sauvé la vie. » « Ah ben oui, ah ah ah. »

« Non, non, tu sais, Wichette va au box-pop. » J'avais été me shooter, j'avais fait un overdose d'héros. « Ah! » Ça a fait un beau down dans la soirée. C'est toi que tu l'avais vu? Je m'en allais à mon auto, puis là, je l'ai vu tomber. Avec la seringue dans le bras, tu voyais qu'il était... Lui, en plus, quand tu fais un overdose,

je n'ai jamais fait d'overdose, mais tu dois dire « te dire qu'à les chiffres hockey on dirait que denis talbot mais c'est ça l'ambiance est arrivé puis moi j'avais jamais eu de nouvelles de ce gars là je les revues c'estu 25 ans plus tard. Il a une job, il est cook, il est un petit soleil. Ça a fait un moment d'émotion assez intense. Y a-tu des enfants? Oui, sa fille qui était là.

Était-tu plus jeune que l'âge que tu l'as sauvé? Non, il l'a eu après. Après? Si ce n'était pas de toi, elle serait pas... T'es un peu son père. Oups! C'est de ce qu'elle a dit. T'es un peu son père. Oups! Non, mais ça a été... C'est de l'inceste!

Il était pas nommé parrain, est-ce que tu... Non, non, mais c'est... Il y a un été, tout le monde venait à mourir en arrière de la musique. C'est des crises cardiaques. Tout le monde venait à mourir! Il savait que ça s'en venait, elle se dit. On avait nos bureaux qui donnaient dehors. Là, tu vois le gars qui s'en vient,

il est bien habillé, il a de la slush partout. Il tombe sur le côté, il est à terre, il fait le bacon. Lui, on n'a pas eu de nouvelles. On avait aidé une dame de certain âge. Ça va? Elle tombe comme ça.

On l'avait aidé. On avait un paquet de masques pour faire le bouche-à-bouche, puis on souffle... Ah, on n'est pas soufflés dans le bouche. C'est ça, ça a arrivé, puis l'ambiance est arrivée, puis elle est revenue, elle est venue nous porter des fleurs après ça, c'est la cause, tu sais, ça. C'est parce que, tu sais, tout le monde vient mourir en arrière. J'imagine, tu sais, à l'Espécia,

ils ont comme un container pour les chats morts, là, tu sais, qui sont tout en train de t'anodier, il y a comme un container d'itinéraire. T'amènes, t'amènes, t'am, qui sont tout en train d'euthanasier. Il y a comme un contenu d'itinérant. T'amènes dans l'itinérant, tu te dis, excuse, la parte que j'ai, y'en accepte pas. Le 1er juillet, désolé.

Mais les joies du direct, t'sais, c'est ça. On a peut-être été live, encore une fois, la même réalisatrice. Je suis dehors, c'est les débuts de la neige, les gros flocons, t'sais, mais des gros flo flocons qui tombe sur sainte catherine on ne peut pas sortir les cadavres qu'on l'avait vite on filmait à partir de l'intérieur puis là c'est beau l'éclairage et c'est bleu un peu c'est la nuit la petite neige blanche plus je commence à les tourner

bienvenue à l'émission fax ce soir on vous parle de la fin jaire. J'entends la M. « Oh, tabarnak, tu vas me payer! » C'est pas le sarrasin qui a punché Claude Marchand. C'était ça. C'était ça, Ognon, en fait. C'est impressionnant de la manière que tu as été capable « Ah, non, c'était ça, on y est, enfin. » Là, toi, quand... C'est impressionnant de la manière que tu as été capable de faire toutes les transitions.

Au début, tu étais le gars de sport extrême. Ce n'était pas vraiment sport extrême, mais c'était plus... J'essayais des affaires. Le gars qui testait des affaires qui n'avaient pas de crise de sens. C'était border à Jackass. Oui, oui, oui. c'était avant Jackass,

mais je ne me suis jamais taqué la poche à un playwood, par exemple. T'as-tu déjà chuggé une bière avec ton cul? Non plus. Puis après, il y a eu Rockambolesque, puis après, Monsieur Net, puis chugger une bière avec ton cul.

As-tu déjà fait ça? J'aimerais ça, par exemple. Que ta réponse soit oui, mais c'était pas voulu. ton cul. As-tu déjà fait toi? J'aimerais ça, par exemple. Amène bien! Que ta réponse soit oui, mais c'était pas voulu. Une fois au chalet. J'aimerais ça, ça serait cool.

On va faire elle t'a volé l'idée à Steve-O. On va faire Christ, t'es un bourré, tabarnak. Mais quand t'as...

Attends une seconde. Parfait. C'est comme un reset. Mais quand t'as... C'était quasiment rendu... Juste avant M. Nett, tu travaillais encore comme VJ des fois, puis c'était rendu

weird de te voir comme VJ. fois pis c'était rendu weird de te voir comme VJ vu que pour le public moi je faisais comme c'est comme mais en tabarnak

pourquoi qu'il y a pas son show pourquoi qu'il présente c'était avant Cheryl Crow mais pourquoi qu'il présente Cheryl Crow non non mais c'est parce que un moment donné c'est que t'as des gens

qui ont des idées tu vois pis qu'ils vont changer la télé ils vont changer les paradigmes c'est-tu les mêmes qui disent que l'Internet marchera jamais? Exactement les mêmes.

Ça va-tu marcher, tu penses? Un jour, ça va pas payer. Comme les podcasts, c'est de la merde. C'est quoi ça, un podcast? Un podcast, c'est des has-beens qui font de la TV. Pis là, ils savent pas quoi faire, ils s'en vont là-dessus. Pis ils espèrent avoir une couple de pièces. Ça marchera jamais, ça.

Ça marchera de la merde. C'est de la merde. Mais, veux-tu, toi, après Monsieur Net, que tu t'es lancé en solo, tu as plus été garroché en solo. Il faut dire une chose,

les podcasts, ça fait presque 15 ans. Oui, tu en faisais avant. J'en faisais avant. Je faisais ça pendant Monsieur Net. Parce que moi, je connaissais cette nouvelle tendance-là. Au début, il y avait Google Minetti, Bruno, qui faisait ça. Il y avait moi, il y avait les mystérieux étonnants. Puis, tu as commencé pas beaucoup de temps après, je pense. Yann, tu as commencé en 2008 à peu près?

Non, 2000. Mon premier podcast, c'était musical. Puis, en même temps que Laurent, avec Mes Paroles s'envolent. OK. Ça, c'est à peu près... C'est un peu plus tard. C'est un petit peu plus tard. 2004-2006.

C'est ça, au début. Puis toi, c'était quelle année? Je ne suis pas bon là-dedans, mais ça fait longtemps. C'est moi qui est arrivé comme en 2000... Je suis content, Néstor, que tu arrives. 2010, tu dois avoir fait Checklist. Non, parce qu'en humour, il n'y en avait pas.

Quand tu es arrivé, tu as prouvé. Rappelle-toi les premiers podcasts que tu ne fais pas une scène. Rien. Pas une scène. J'ai fait ça pendant... Ça marche depuis à peu près 6 ans que ça fonctionne. Mais les 8 ans avant, je n'ai pas fait une crise.

Moi, ça a été un six ans. Au début, un an gratuit. Après une couple d'années que je payais. Mais moi, je ne suis pas toi. Je ne fais pas des shows. Je ne suis pas connu comme tu l'as été. Pour toutes les raisons. Que des tempêtes te traversaient, etc.

Mais ça, ça a contribué à ramener tout ce monde-là ici. Moi, je n'avais pas ça. Il fallait que je les cherchais. Toi, tu avais de l'amour. Oui. je vais chercher un peu de l'amour oui c'est plutôt la main amène le monde ouais mais c'est un peu plus loin c'est transformé en amour pas que tu vois mais ça allait exactement mais tout a pavé la route le plus tout le monde vient de découvrir le podcast c'est nouveau, c'est une nouvelle affaire on va faire exactement ce qu'on faisait à la TV

mais on va le faire sur le web, on changera rien pis on le dira pas tu marcheras pas, réveillé, c'est boire c'est pas le même, ça marche tu peux pas faire exactement ce que je faisais à la TV mettre 3 minutes de pub après la pause, la suite ça faisait longtemps que je vous avais pas parlé de Planet Hoster

je m'ennuyais jeais pas parlé de Planet Hoster. Prends-tu le métropolitain? Je m'ennuyais. Je voulais vous parler de Planet Hoster parce que Planet Hoster sont là avec moi depuis longtemps. Si tu as un site web ou tu veux t'appartir à un site web et tu cherches l'hébergement, planethoster.com, tu vas là-bas, tu peux te créer un site web facilement et gratuitement toi-même, grâce au plan d'hébergement web gratuit sans pub Worldlight et où tu peux avoir la solution payante, hébergement

WebWorld, avantage ça, tu as l'espace disque illimité pour tous les CMS, par exemple WordPress, Joomla, Magento PrestaShop, trafic illimité tu peux choisir la localisation de ton site web par exemple, WordPress, Joomla, Magento, PrestaShop, Trafic illimité. Tu peux choisir la localisation de ton site web, soit en France, soit au Canada.

C'est vraiment, pour vrai, moi, ça fait un peu plus qu'un an que je suis avec eux. Puis, je n'ai jamais été aussi satisfait de mon hébergeur. Les autres, pas que je n'étais pas, je n'avais pas le service que j'ai avec Planete Hoster. Moi, je les conseille fortement. Si tu vas sur planetehoster.com, tu utilises le code promo WARD, tu vas avoir

25% de rabais. Planetehoster.com slash WARD, tu vas payer 25% de moins cher que moi j'ai payé. Et mon autre commanditaire que je veux remercier, c'est Antirole Métropolitain. Antirole Métropolitain, nouveau commanditaire,

une compagnie qui fait quand même 40 ans qu'elle existe. Et quand je leur ai demandé qu'est-ce qu'ils voulaient que je fasse, ils m'ont dit, tu peux-tu remercier nos employés? Fait qu'employés d'Antiro-Rouille Métropolitain, là, je parle aux techniciens en application, aux agents de bureau, je parle aux laveurs de véhicules, les chefs d'équipe, bravo.

Bravo de la part de vos boss d'Anti-Rouille Métropolitain. Ils sont fiers, vos boss sont fiers de vous autres, de chacun de vous autres. Il n'y en a pas, tu sais, d'habitude dans une famille, il y en a tout le temps un que tu as un peu honte. Pas des employés d'entourer le métropolitain. Il n'y en a pas un

gênant dans la gang. Son taux, il travaille bien. Il passe 165 000 clients par année. Et le taux de satisfaction, ça se compare à aucune autre compagnie. Ils ont un taux de satisfaction global de 97 %.

97 %, puis ils travaillent fort pour le 3 %, manquant. C'est la seule chaîne d'antirouille qui est recommandée par CAO Québec et sont là depuis 40 ans. C'est vraiment là si tu veux pas que ton char finit scrap rouillé va sur antiroi.com non mais

t'as arrêté bon hein ça serait malade que ça couvre la guinantelle qui fait c'est quoi ce livre là Yann prends ça en note c'est ça que ça va être mais c'est ça que ça va être. » Mais c'est ça, tu rencontres le monde et ils te disent « Ah oui, tu fais des podcasts,

mais ils te regardent de haut. » C'est-tu ce que je pense que c'est un podcast? Pour vrai, c'est que la télé, dans les dernières années, depuis l'arrivée d'Internet, il y a de moins en moins de monde qui a le goût de regarder de la télé. Puis au lieu de faire, on va prendre du monde

avec du talent, puis on va les laisser faire ce qu'ils veulent. Il arrive avec des concepts compliqués. Format. Puis, tu sais, les podcasts, c'est juste la simplicité. C'est super simple. Moi, tu sais, Christiane Charette, que je trouve

que c'est la meilleure intervieweur que j'ai entendue au Québec, qu'au début, quand je la voyais, je me disais que c'est la meilleure interviewer que j'ai entendue au Québec. Au début, quand je la voyais, je disais que c'était bon. Après, chaque fois qu'elle arrivait avec un projet, ça devenait de plus en plus compliqué. Tu vas être dans une boîte, et là, Christiane Charette est dans un sous-sol

et elle te pose des questions. Tu as un souffleur qui va picher des feuilles au printemps. C'est comme, voyons, tabarnak! Même moi, à une table avec Christiane Charette et je vais jaser. Je pense que c'est ça

que le public veut. C'est ça que les artistes ou artisans, je ne sais pas comment tu veux nous appeler, veulent. Mais c'est les décideurs qui sont comme,

regardez, ça va être cool. On va révolutionner. Moi, les gens qui veulent révolutionner les gens tout le temps, il y a des affaires qui marchent bien. Si je fais ce qu'on fait là, ça marche. Les gens sont là. Les gens aiment ça. Les gens l'écoutent.

Moi, on me disait, « Ok, tu vas faire la critique d'un jeu, tu as trois minutes et demie. » Calvaire! Le jeu, il dure 240 heures. Il est en trois minutes et demie. Je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas faire ça. Non, non, c'est ça. Les gens n'aiment pas ça. Toi, tu n'aimes pas ça. Toi, tu n'écoutes pas ça. Toi, quand je parle, tu entends...

Mais les gens qui sont à la maison, qui savent de quoi je parle, eux autres, ils veulent le savoir. Tu sais, Luc Doyon a dit, « Moi, je ne comprends rien à ce que tu fais, mais non, je ne sais pas, les ratings sont bons. » Lui, il avait compris. Ben oui, c'est exactement...

Les belles années de Musique Plus, ça a été exactement comme les premières années de Netflix que, tu sais là, Netflix sont en train de l'échapper un peu mais tu laisses le monde qui ont du talent faire leur affaire si mettons moi j'avais de l'argent pour me partir

un réseau, c'est ça que je ferais je ferais comme, regarde Denis, je te trouve bon comment ça te coûterait faire un show peu importe le chiffre que tu me dis je te trouve bon comment ça te coûterait faire un show peu importe le chiffre tu me dis je te donne 10% de moins vu que je suis un peu

un négociateur au business puis fais-moi de quoi c'est sûr ça va être bon puis si c'est pas bon c'est moi qui ai fait la gaffe

tu sais engage du monde à qui tu fais confiance j'ai un appel pour faire un show à la motionnelle. Le gars me parle. Bonjour. Je le vois avec son foulard. Je suis réalisateur.

J'ai pensé un truc. On va faire un nouveau show de jeux vidéo. Tu connais les jeux vidéo? Il t'a-tu dit ça pour vrai? Ah, tabarnak! Là, chez nous... C'est comme appeler Ron Jeremy pour faire de la pornographie.

C'est ça. Un gros bac dans un vagin. As-tu déjà vu ça? Tabarnak! Moi, j'aurais... Toi, je sais que t'es trop fin, mais j'aurais juste raccroché. Là, il dit, ce qu'on va faire,

c'est qu'on va t'intégrer dans du jeu vidéo. Tu vas pas dire que c'est qu'on va t'intégrer dans du jeu vidéo. Tu ne vas pas dire que c'est un show de radio? Oui, exactement. Ah! OK, donc, les gens, tu veux que je parle de jeu vidéo à radio. Correct. Tu veux m'intégrer dans le jeu vidéo.

OK. C'est quoi ton budget? Ce n'est pas important. Est-ce que tu aimes le concept? J'ai dit, oui. OK, c'est un jeu de tir. Tu vas'aimes le concept? j'ai dit oui ok c'est un jeu de tir tu vas entendre tirer tu vas me mettre

une boîte en jus la vraie réponse c'est regarde pour 20 000 par année non pour 4 millions par année génial

c'est ça mais c'était exactement ça c'est ça ah qu'est-ce que c'est c'est mauvais après ça il dit oui mais ce concept

s'adapte également à la télévision. Combien tu vas faire d'émissions? 30 émissions comme ça. Voici 10 par année, 2 semaines de vacances. Une par mois. C'est quoi tes budgets? C'est ridicule. Ce gars-là, il n'avait aucune notion dans quoi il s'embarquait.

Un green screen, moi, il m'a incorporé. Un Yann qui monte, qui va faire des effets spéciaux, des trucs. Avec le budget que tu as là, tu peux en faire une. Ça n'a pas d'allure. Mais c'est ça qu'on a. On veut révolutionner le genre. Donne-moi un micro, donne-moi une console, donne-moi des jeux. Je vais les jouer, on va en discuter ensemble pendant 10 minutes,

une heure, deux heures, si ça me tente. Mais ceux qui aiment ça, ils vont rester, ils vont l'écouter jusqu'au bout. Ça ne prend pas des millions de dollars. J'ai l'impression que chaque fois que je lis des trucs sur du monde qui ont vraiment révolutionné, c'est tout le temps un peu par erreur. Il n'y a jamais personne qui a fait... Je vais révolutionner ce matin.

Tu sais, juste mon exemple va être mauvais, je le sais parce que j'ai bu. Je bois de la bière, je suis encore à jeun. Mais mettons le UFC, l'arrivée du MMA, ça l'a vraiment révolutionné. Mais c'est sûr qu'eux autres, à la base, ce n'était pas ça, l'arrivée du MMA, ça l'a vraiment révolutionné. Mais c'est sûr qu'eux autres, à la base, c'était pas ça. C'était juste, qui est plus fort,

un boxeur ou un gars de judo? On va les mettre ensemble. Puis là, un moment donné, ça a explosé. Puis on a fait, all right, on a réinventé. C'est exactement ça. Mais tu te lèves pas en disant, demain matin, je vais révolutionner. Le monde qui se dit ça,

il y en a en plus, il y en a beaucoup. C'est tout des graines. Il y avait quelqu'un qui disait, la mémé, ça ira jamais nulle part. La mémé. Ça me fait tellement rire, le monde qui dit que c'est des affaires, c'est des modes. Moi, j'avais vu un moment donné

un humoriste qui faisait des personnages qui m'avait présenté et je dirais pas son nom parce qu'il est mort, mais il m'avait présenté en disant, ce gars-là, il ne fait pas des personnages. Moi, je pense que c'est une mode.

Là, il me présentait comme si je n'étais pas travaillant. Je n'étais pas allé à Souvlage des valeurs acheter une perruque. Mais je suis capable d'écrire des jokes aussi. Pas besoin d'une perruque pour compter des jokes. C'est ça qui me fâche.

Pierre Labelle! C'est pas Pierre Labelle. Mon tabarnak, je sais que t'entends. Je sais que t'entends. C'est ça qui arrive. Je suis sûr que si demain matin, on me donne un projet,

je repars motionnaire demain matin, le monde qui reviendrait, ça serait absolument hallucinant. À tous les jours, je me fais parler de ça. Quand est-ce que tu fais ça? Quand est-ce que tu fais ça? On repart sur... Penses-tu que t'en as plus

que depuis que t'étais à Musique Plus? J'ai... Avec Radio Talbot? T'as bâti la beauté, la manière que t'as perdu ta job à Musique Plus, ça l'a aidé à bâtir ta légende. Là, par exemple,

avec Radio Talbot, tu fais de l'argent pas mal. Je vis bien. Excuse, je sais qu'on est au Québec. Ça marche correct. Est-ce que, par exemple, là, à ce temps-là,

toi, retourner à la télé, avec la liberté que tu as, avec le web, puis, même si la télé, encore aujourd'hui, pourrait te payer plus que le web, mais ça serait impossible que tu retournes la télé, je pense.

Il faudrait absolument que j'aille carte blanche sur tout. Tu sais, un peu comme toi, si tu as le goût de m'inviter, tu m'invites, si tu t'invites, tu fais ce que tu as le goût de faire. Puis moi, j'aime ça parler de jeux vidéo,

j'aime ça les décortiquer, j'aime ça recevoir des gars, des filles qui travaillent dans des petites compagnies qui n'ont pas d'exposure, mais leur jeu est bon, et si personne n'en parle, ça va mourir. Les gars, ils mangent du beurre d'épinards, ça fait trois semaines,

un mois, qu'ils n'ont pas de chèque, ils quêtent, ils vont retourner chez papa, maman, à Shawinigan, ils reviennent faire leur jeu. Moi, je leur donne une chance, mais la TV, c'est pas winner, ça. On va parler de Gears of War. C'est bon ce qu'ils font c'est ça

si je veux faire ça je peux le faire parler des Sims oui c'est ça mais il y a une autre affaire Hello 3 tabarnak c'est quand le gars

des ventes arrivait hey salut tu vas parler de ça 20 semaines des nouveaux écouteurs non c'est de la merde je parlerai pas de ça ah non mais écoute

ils me donnent 300 000 faut-tu dire c'est bon non je dirais pas que c'est bon j'en parlerai pas j'en parlerai pas tu veux j'en parle mets une pub faut que tu dises que c'est bon. » Non, je ne dirais pas que c'est bon. Je n'en parlerais pas. Je n'en parlerais pas. Tu veux que j'en parle? Tu mets une pub dans le show. Moi, je ne t'endosse pas.

Mais si tu m'en donnes une page, je vais faire la critique. Il faut que tu sois assez certain que ton client va accepter que je dise que c'est de la merde. Parce que je le dis, je ne me suis jamais gêné. Écoute, on avait présenté un jeu qui s'appelait « Hidden and Dangerous ».

Le nouveau jeu. « Hidden and Dangerous ». Des avions, toute la deuxième guerre mondiale. Des chiens, des tanks, des Allemands. C'est sur quelle console? C'était sur PC dans le temps. OK.

Fait que là, je commence à jouer au jeu. Le berger Allemand, il est dans une clôture. Il sort la tête, il mord mon tank, le tank explose. « Ouh! » OK, party time! 258... C'est le même qu'on a battu l'Allemagne. C'est exactement ça. C'est ça qu'on a fait. C'est le même qu'on a battu l'allemagne

ils sont allés dans les bunkers, ta vache. Les bunkers, parlons-en. Tu voyais les gens à travers les murs. Tu étais là, tu pang, pang, pang. L'avion volait sous le sol. Moi, je donne la cote sous verre. C'est la pire cote que j'ai jamais donnée. Tu mets ça, tu mets ta bière dessus. Ça va te servir à ça.

C'est de la merde. C'est vraiment pas bon. Faire tenir une chaise qui n'est pas à niveau. Exactement. Le gars des ventes bon. Faire tenir une chaise qui n'est pas à niveau. Exactement. Le gars des ventes me rappelle. On a une poursuite. Il a tout retiré son argent. Mais ce n'est pas ça une poursuite.

En plus, tu sais. Tu sais de quoi tu parles. Non, non. Anyway, si ce gars-là continuait à acheter de la pub avec un jeu de marde de même, le troisième chèque aurait rebondi. C'est sûr. Ce que je ne savais pas, c'est qu'il avait acheté des containers de jeux.

Lui, il voulait les écouler partout. Tu as le gars qui fait des critiques de jeux qui dit que c'est de la marde. Mais à toute la fois que je fais des critiques de jeux, je ramasse toutes les images. J'enregistre tout ce que je fais. On a fait un montage à 253, 258. On a arrêté de compter.

C'était pourri. Mais les avocats m'ont dit « T'es à l'éra de Red un peu, t'as pas fait de diffamation, c'est tout basé sur des faits réels, donne-moi ton tape. » Finalement, c'est mort dans l'oeuf. Mais c'était vraiment de la merde. Ben bon tabarnak!

Ben bon! On fera des meilleurs jeux, si tu viens de l'aider. T'es-tu un gamer un peu, toi? Ben, tu sais, quand tu m'as dit que j'étais prêt avec Denis Tabou, j'ai fait, t'sais, j'ai-tu gamé, moi, dans ma vie? J'ai pas vraiment gamé. J'ai gamé, genre,

un peu mon adolescence. Tu sais, pré-adolescence. Après ça, j'ai eu une vie sexuelle. Pis, tu sais, c'est pas pour dire qu'il faut pas, mais c'est vraiment ça que c'est. Quand j'ai découvert

les filles, c'est là que j'ai arrêté de jouer à des jeux vidéo. Ou sinon, je jouais beaucoup à Halo 3 online. J'ai joué en tabarnak. On a fumé

en crisse du pot chez nous avec ça. J'en ai des crisse d'anecdotes à contrer là-dessus. Un moment donné, j'étais avec un de mes mecs, un chum tabarnak.

C'était un concours de série qui fume plus de H. On est collés raides. Mon chum veut rajouter des couches à ça. Pourquoi ton micro a de l'air plus fort que le nôtre? Je suis motivé, c'est pour ça. Puis là, il se dit, on se pète des mocheromes, tabarnak!

On pogne des mocheromes. Fait que là, on pogne des mocheromes. Puis mon cousin, il était venu nous rendre visite. C'était fin de semaine-là. Puis nous autres, on est colérettes dans le jeu. Il a essayé de jouer et d'être dedans. C'est juste mon cousin qui est sous taille et qui crisse sa queue

sur l'épaule de mon chat. Mais le pire, c'est qu'on est tellement concentrés, bossés bien raides, qu'on s'en rend pas compte qu'il a crissé sa queue sur l'épaule de l'autre. Pis après ça, on est marrés, mais si on joue pendant les soirs, ça fait...

Depuis ce temps-là, elle craque. T'as pas craqué? Oh, merde! Tarde la main! On comprenait pas, on était trop buzzés. Puis lui, il a juste trouvé ça long puis il est parti. Mais il y en a eu des affaires de même,

des concours encore de fumer le plus d'âge. Puis nous autres, qu'est-ce qu'on aimait beaucoup? Tout ceux qui ont joué à fucking Hello 3, c'est que quand tu joues online avec du monde dans ton team,

nous autres, notre fun, c'était de tuer du monde dans notre team pour les faire chier quand on voyait qu'il y avait un micro pis on était comme

« Ah, Fatty, we call Ross! » Pis là, on le tuait. Pis là, quand tu... C'est quoi que tu leur disais? On te tuait, fuck you! C'était quoi que tu leur disais? On t'a tué, fuck you. C'était genre ça

en bien traduit. Puis ils appelaient Fanny. Ouais. Fanny. Mais moi, je ne parlais pas. C'était l'autre

qui avait le micro et qui était anglophone. Moi, il n'aurait même pas été insulté pour que je leur parle. Il aurait été insulté que je massacre leur langue.

Ça aurait été ça. Mais oui, c'est ça. Puis là, notre trip, nous autres, c'est qu'on le tuait, lui. Puis quand tu tues à Halo sur 3, c'est qu'il y avait un 5 secondes de respawn où tu voyais ton bonhomme mort. Puis là, nous autres, on allait le teabag

et on faisait... Point con, c'était coutu. Puis, un énormément de fun à faire, ça. et on faisait « Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah a a a a a a a a a a a Il y avait une autre fois, ça n'a pas tant rapport Excuse-moi, excuse, j'ai comme pris un peu le contrôle Mais ce qu'il y avait une autre fois ça n'a pas rapport avec les jeux vidéo mais un moment donné, c'est parce que lui sa crisse de maison, on était en bas dans le cap, il n'y avait pas d'affaires pour le son, pour camoufler le son

pis là, on était Pas d'affaires pour camoufler le son C'est pas une insauration Isolation Insonorisation Esti, on était... Pas d'affaires pour camoufler le sol. C'est pas d'insauration, en affaires? Isolation. Insonorisation. Oh, il dirait ça. Insonorisation, le mot de la semaine, tout le monde, OK?

Pis... Le plupart du monde n'ont pas d'insonorisation vraiment dans leur maison. Ben oui, mais tu sais, genre, tu peux mettre, genre, l'isolation, après ça, tu vas mettre ton plafond suspendu qui va camoufler le sol. Avec la bise trois quarts, après ça, tu mets un petit washer, tu peux pas ét l'isolation après ça tu vas mettre ton plafond suspendu qui va camoufler le sol avec la vis 3 quarts après ça tu mets un petit washer

tu peux mettre un petit proc aussi mais lui il y avait rien lui il y avait juste de l'espace vide entre son sol

pis la cuisine non il y avait genre comme le plancher pis l'affaire pour faire qu'il y ait un beau plancher de vue de durée de chaussée

du prélard du prélussée. Du prélard! Du prélard, d'être sûr! Prélard. Un autre mot que j'ai appris. Puis là, il y avait le prélard. Fait que même, dis-leur, concours de ceux qui font plus de hash, on se pète les stis 20 pouces. Je pense à Montréal,

vous dites des tocs ou des tacs ou des je- pas trop quoi. Des quoi? Je comprends rien. Je comprends rien. Des toques? Ben, tu sais, des petites bites, des plombs. Des plombs, OK. Des plombs.

Hey, viens de Gatineau, c'est moi une chance, tabarnak. C'est quoi? C'est quoi que tu appelles ça? Nous autres, c'est des poucs. Des poucs? Des poucs, merde. Tu fumais ça au poteau, c'est ça? Non, non, non, nous autres, c'était à la smoke. On collissait ça dans le 2 litres après pis...

« Crêle de crêle! » C'était « gilet raide » là, man! Pis c'est ça! Pis là, c'était celui qui en fait le plus possible. Pis des fois, ça faisait des trollés de vin, là, man! Pis là, on était collés tête, pis on était comme... le bleu m'a mené de son esti perrault même plus tard Puis là, il ne fait plus de bruit. On est comme, il est peut-être inquiété, il n'y a pas un verre d'eau. Je pense qu'il y a un verre d'eau. Puis là, tu entendais...

Puis il te larguait une grosse crisse de marde. Fait que là, lui, il était en train de chier et il entendait plein d'adolescents rire de lui. C'était l'anecdote du préloge c'est pour ça c'est pour ça que la télé est en train de mourir parce qu'il n'y a pas d'anecdote de même

à Christian Charette mais c'est drôle en tant que cachier j'ai insulté la télé je sais, je sais, Mike. Mais Chris, si t'as pas vécu ça, t'as manqué de quoi en tabarnak? Si t'as pas vécu ça,

t'as gâché tes soixantaises! J'ai gâché ma vie, Matt. J'ai gâché ma vie. C'est un beau trip de gaming, ça. Hein? C'est un beau trip de gaming. Oui, oui, oui. Non, c'est ça. Mais c'est pour ça, la gaming, ça. Hein? C'est un beau trip de gaming. Oui, oui. Oui, non, c'est ça.

Mais c'est pour ça, la question que j'allais poser, c'était... Non, c'était pas mal ça que j'allais poser. Mais c'était... Je vais le demander à toi. Mais pour de vrai, je le demande à lui. Mais c'est quoi la meilleure console de tous les temps? PS2, tabarnak! Le PS2, Christeco, même le N64. Moi, c'est quoi la meilleure console de tous les temps? PS2, tabarnak!

Le PS2, Christeco, même le N64. Moi, c'est les deux. Tout le reste, j'ai décroché après. Moi, j'aimais ça en tabarnak, San Andreas. Elle a tué du monde. Nintendo 64, j'ai capoté.

Je ne fais pas un gars de Nintendo. J'ai racheté toutes les consoles de Nintendo après en me disant, c'est tellement bon, je vais en faire la même affaire. » Tu reviens jamais de même trip, hein? Ah non, c'est ça. T'as bien plus beau dans le temps. Mais pour vrai, ça, c'est moi qui est

vieux, mais il y a de quoi que j'aimais te souffler dans une cassette. Quand t'en marchais mal, tu voulais braguer ton souffle dans le temps. Non, non, non! Là, elle marchait. Elle marchait, mais elle souffle dans le temps. Oui, oui. Là, elle marchait. Elle marchait, mais elle marchait tout le temps.

Ce n'est pas parce que tu la déplugnais et que tu la replugnais qu'elle marchait. Non, c'est parce que tu souffles. Non, mais écoute, les meilleures consoles... C'est comme une religion, ça. Quand tu dis que tu aimes la Xbox, les PS4, les PS3, tout ce qui est Sony, ils t'haïssent. « Ah, t'es vendu à Microsoft! Ah, t'es le diable! »

Moi, j'ai pas le choix avec ma job. J'ai testé tout. J'ai tout deux consoles, deux exemplaires de chacune des consoles. OK. Est-ce que c'est eux qui te l'envoient? Souvent, c'est eux qui me l'envoient. Quand j'ai perdu ma job, un des recherchistes a dit à tout le monde que le show mourait.

Au lieu de dire, il continue sur le web. Fait que... Ah! C'était de mauvais mots! Il devait se sentir mal ou elle devait se sentir mal? que le show mourait. Au lieu de dire, il continue sur le web. Claire! C'était de mauvais mots. Il devait se sentir mal ou elle devait se sentir mal? Elle était contente. Des fois, il y a des comptes qui se règlent. Ah oui! J'étais triple A dans la liste. Là, je suis tombé en bas.

Tranquillement, je suis en train de remonter ça pour montrer que je suis encore là. Quand tu vas au 3, tu vois les mêmes faces depuis longtemps et que tu te dis « Salut! Tu es encore là? » « Oui. » « Ok. » Là, ça recommence. Un de mes chums, Pierre-Paul Trépanier, il plaçait des jeux pour Nintendo

dans les futurs shops dans le temps. Là, il est président de Nintendo Canada. Ça m'aide un peu. Il est bien fin. Mais il y en a qui ont mieux réussi que d'autres, Calvin. Je pense à ça. Mais sérieusement, c'est de refaire son chemin tranquillement pas vite et de retrouver ça. Mais au début, on reçoit tous les jeux, toutes les affaires. Et là, avec la nouvelle génération de plus jeunes, quand tu plantes un jeu et que c'est eux autres qui représentent le jeu,

ils n'aiment pas ça. Je ne t'en donnerai plus. Ah oui, OK. Ah oui, oui. J'ai donné 6 à un jeu. Non, non, ça voulait au moins 7.5. Non, non, je donne 6 pour les raisons suivantes. Ah, ok. Tu sais, c'est plate un peu. J'avais l'impression que, tu sais, vu qu'en plus, que vu que t'es un gars de gaming, pis que ça fait longtemps que t'es là,

que le monde te voyait vraiment avec, tu pourrais dire ça, c'est de la merde, pis n'importe qui d'autre, il seraitqué mais toi tu as comme une passe-croix j'ai un peu de passe-croix comme en fin de semaine j'ai trouvé ça très drôle c'est drôle tu donnes il y a beaucoup de bénévoles tu sais qui font un travail de titan qui donne un coup de main à une organisation

il y en a d'autres tu le donnes un walkie-talkie puis un set de clef rajoute un cart de golf avec ça c'est comme pas loin c'est ça j'ai eu un contrat avec belle pas avec belles ce moment avec l'auto québec pour former des jeunes des jeunes pas de castres c'est donné c'est des aiguillés un peu puis là ça s' s'appelait la phase... C'est quoi que tu leur donnais comme cours? Écoute, un, comment se placer devant un Kodak, comment parler, comment se servir d'un microphone, comme Yann

m'a le montré tantôt. Mais, tu sais, comment être différent, comment exploiter ce que tu veux faire comme il faut, puis trouver ta personnalité. Il faut que ça sorte ce qui est ce qui définit exactement puis ils font tout la même maudite affaire il regarde un youtubeur américain mais quand tu écoutes yann t'écoutes d'autres monde

là tu vois qu'il y en a qui ont ils font des choses différentes c'est ça qu'il faut faire c'est un show même si tu as 6 personnes ou tu en as 6000 c'est le même show faut que tu donnes tu essaies d'embarquer là-dedans. Il était tout là, ma gang. J'en avais douze à coacher. Je faisais des techniques d'entrevue. J'avais sept personnalités selon les personnes qui étaient en avant de moi. Je leur expliquais qu'une entrevue,

il faut que tu jases, qu'il faut que tu t'écoutes. C'est de l'échange. La petite fille avait ses quatre questions. Je lui avais dit, quand tu te prépares quatre questions encore, les autres, c'est un rebound. On joue au ping-pong. Elle m'a posé ses quatre questions en une minute. Il fallait qu'on fasse dix minutes.

Quand tu voyais qu'elle faisait ça, toi, ce que tu faisais, tu faisais juste, mettons, toi, tu as commencé à Musique Plus? Oui. C'était exactement ça. Si les questions étaient fermées, je répondais par oui ou par non? Oui. C'est exactement ça. Si les questions étaient fermées, j'épandais par oui ou par non. Oui. Peut-être.

Là, je suis le gêne. J'exploitais le silence. Là, la fille... Là, elle s'est mise à pleurer. Je lui ai dit, OK, on arrête. Elle m'a écrit. Oui, elle m'a écrit. Elle t'a-tu écrit?

Oui, elle m'a écrit. Elle a écrit dans les commentaires. C'est moi celle qui pleurait. Mais elle a dit... Mais elle a dit que c'était une bonne affaire. Oui, parce que... Comment tu t'es senti? Elle a dit, Denis, j'ai vu l'enfer.

J'ai vu le sol s'ouvrir. Puis il y avait une main qui venait me chercher. Elle tombait. Puis ça, ça a duré, dans sa tête, ça a duré cinq minutes, elle-là. Mais c'était une minute. Mais Une minute de silence soutenu, c'est long en sacrement. Là, elle me l'a dit.

J'ai regardé son podcast. Ça a complètement changé. Il y en a un autre, le gars, qui arrive. Toi, là! T'as travaillé la musique plus! Pourquoi t'as lâché? Là, tu es comme, laisse battre! C'est joyeux!

Il avait vu ce que j'avais fait avec la fille. Il passétait joyeux. Il avait vu ce que j'avais fait avec la fille, parce que c'était filmé, il avait vu ce que j'avais fait. Puis là, il était prêt à te dire ce mot-là. « Si, oui! » « Calme-toi, calme-toi, on va relaxer. » Ou « Comment prendre le contrôle de l'entrevue? » Toutes les techniques qu'on a apprises sur le tas, nous autres. Moi, il y avait, je pense, le meilleur conseil que j'ai eu de ma vie pour des entrevues. Puis moi, ce que je fais, ce n'est pas des entrevues.

Ça en est des entrevues, Mike. Mais je suis la POC. Moi, je fais juste, je regarde, puis je suis la POC. Patrice Lécuyer, qui m'avait dit un moment donné, il avait dit, on a tous le même réflexe. Si tu poses quelque chose à quelqu'un, puis tu penses qu'il va raconter une histoire pas possible, puis il va nulle part, ton réflexe, c'est « je vais meubler ».

Mais il dit que le public ressente le même malaise que toi. Fait que laisse vivre ce malaise-là. Puis ça, depuis qu'il m'a dit ça, c'est vraiment ça que je fais tout le temps. Ça met à l'école, je pense. Ça met à faire. Mais aussi, il y a la bonne vieille technique des avocats. Alors, où vous étiez vendredi passé?

J'étais chez nous. Ok. Au Dolyse. J'étais au Dolyse. Qu'est-ce que vous avez mangé? Une pelote. Votre honneur! Il est coupable. Non. Il a une drôle d'haleine. Non, mais ça,

tu fermes ta boîte, tu tiens le micro là, puis elle m'en est sans te bouger de meubler, puis c'est là que souvent, on entend des affaires

assez... Moi, ça, c'est l'affaire que... Puis toi, tu dois le vivre. Parce que là, en plus,

moi, quand j'ai des invités, ici, on est trois. Fait que, tu sais, toi, souvent, c'est one-on-one. Puis le monde, mettons, des vieilles générations qui-one. Le monde, mettons,

des vieilles générations qui ont fait beaucoup de télé, beaucoup de radio, ne sont pas habitués avec les silences. Dans les podcasts, c'est un silence. C'est super payant. Parce que comme dans la vie, des fois, il y a des silences. On n'avait pas le droit, nous autres, de faire des silences.

La radio, elle sait quoi? Si elle avait une demi-seconde de silence, « Hey, qu'est-ce qui t'est passé? T'es pas en forme? » C'est « W, OK. » Oui, oui. 8h12. All right. Salut, Sophie. Maintenant, 12 degrés.

17 degrés dehors. All right. OK. Oui, oui. Mais moi, un truc que j'ai trouvé, vu que c'était en one-on-one, des fois, je fais juste répéter la même question, mais avec des mots différents,

puis il reparte sur d'autres choses. C'est vrai? Oui, oui. Puis c'est dans la même c'est juste dans la continuité parce que des fois tu parles de quoi puis là tu dis

je suis sûr qu'il va y avoir d'autres choses puis qu'ils t'emmènent vers ailleurs puis là tu oublies de quoi tu l'as parlé fait que là je repose la même question puis là ils retournent puis là ils partent

dans une autre direction il est bon c'est sérieux moi je suis allé là ça devait durer une heure ça a duré trois heures je regarde là il est rendu six heures. Voyons donc, t'es bon, t'as du talent là-dedans, sérieusement.

Mais honnêtement, là, on va applaudir Jeff. Eh bien, moi, t'as fait bien! Moi, je te le dis, je te le dis depuis le début de ton podcast, j'étais là bien avant le grand Balbocaulisse. Moi, je suis là. Mais moi, tu sais, pour vrai, ta plus grande qualité, c'est ta curiosité.

T'es curieux. C'est ça qui tue tout le monde dans notre business. C'est qu'un moment donné, tu deviens blasé. Et toi, t'es resté curieux. C'est un être curieux. J'essaye. T'es allé chercher des affaires que je ne me souvenais même plus

je sais pas si c'est toi qui as trouvé ça mais de toute façon c'est toi qui as posé la question je t'ai écouté peut-être juste en parlant un peu mais sérieux là t'es bon, t'as du talent là-dessus pis t'avais même pas rien bu ça c'est qu'est-ce que tu penses

moi c'est sûr que toutes ces questions c'était qu'est-ce que tu penses? C'est sûr que toutes ces questions, c'était « Denis, regarde vers là-bas, puis... » Je trouvais que ton verre d'eau restait là longtemps, mais il descendait pas rapidement. J'ai une question pour Denis. Oui. On est-tu rendu aux questions? Non, c'est une question personnelle,

collection personnelle. Monsieur Nett, sais-tu un nom qui appartient à Musique Plus? Tu pourrais... Tu sais, parce que t'es reparti avec Radio Talbot, mais dans le fond,

c'est parce que Radio Talbot existait déjà pendant... Mais le nom, Monsieur Nett, c'est un nom qui t'allait bien, puis... Oui, je le sais,

mais le problème, c'est que moi, j'avais signé des papiers avec Procter & Gamble pour Musique Plus. Donc, le nom, techniquement... Ah, OK, fait que t'allait bien. Oui, je le sais, mais le problème, c'est que moi, j'avais signé des papiers avec Procter & Gamble pour Musique Plus. Ah, ok, ça fait que tu avais une entente avec eux autres. Oui, oui. J'avais pas le droit de faire aucune référence. Ça aurait été facile de faire des

montages ou encore des intros avec le bonhomme de M. Yonette et tout le kit. J'avais aucunement le droit... Pardon? Des bonhommes comme quoi, genre? Tu sais, le bonhomme de M. Yonette, là. Ah, exact. le droit des bonhommes comme quoi genre c'est le bonhomme de motionner comme ça j'avais pas le droit

Qu'est-ce qu'il est beau! On dirait Marc Bollard. Ça ressemble vraiment à Marc Bollard. Excellent, man. Mais ça, si j'avais voulu faire ça, puis en vendre, j'avais pas le droit. Bon, c'est top, mon Yann. Non, non, c'est pas voulu. J'attendais que quelqu'un en parle.

Mais non, j'avais fait une entente avec les avocats de Procter & Gamble à l'époque. C'est impressionnant. T'arrives à leur bureau et ton pack-sac, eux autres sont tous assis, les messieurs et les madames trop stricts. « You don't have to do that. You can do that. You can do that. Sign here. » J'avais le droit d'utiliser une norme motionnette,

mais aucune référence aux produits nettoyants. OK. Puis moi, j'avais une question. Tant qu'à être dans les questions. Quand tu as perdu ta job à Musique Plus, j'avais texté Guy Lepage pour que tu fasses Tout le monde en parle. Oui, mais je ne pouvais pas.

Oui, c'est ça. Je voulais savoir pourquoi tu ne l'as pas fait. Parce que je t'ai booké. Non, je le sais. J'avais tout dit. J'ai fait. Tu as travaillé fort et ça a marché. On me l'a demandé. Guy me l'a demandé, mais j'étais tout dit j'ai fait j'ai travaillé pour toi non mais t'as travaillé fort pis ça a marché parce qu'on me l'a demandé

Guy me l'a demandé mais j'étais encore sous contrat il y avait une date à la fin une date butoir où j'avais pas le droit de faire aucun média

parce qu'ils ont peur que t'ailles parler contre eux fait qu'ils ont mis ça plus tard pis le show qu'ils voulaient que je fasse mais mon contrat

était pas fini ils arrêtaient ils voulaient m'avoir mais t'aurais eu le droit de le faire et de naviguer. Juste pas chier dessus. Il n'y avait aucune apparition de télé. C'était bien et bien écrit. Je n'avais pas le droit parce que...

Mais tu sais, en même temps, qu'est-ce qu'ils vont faire? Ils vont me poursuivre. Déjà que ça a été difficile d'avoir mon cash quand je suis parti. Quand tu engages des firmes qui te mettent dehors, ce n'est pas drôle. Parce que toi, tu as eu de la misère à avoir ta retraite. Il a fallu que je demande à un avocat de m'aider pour avoir ce qui m'était dû.

On t'a dit deux semaines. Deux semaines. Il aurait mal paru. En plus de te faire perdre ta job, il aurait mal paru en crise de traîne en cours. Si tu amènes en cours, tu laisses l'guer au journal. C'est ça, mais je n'avais pas d'agent, tu m'as conseillé.

Toi, tu as Michel, qui va dire... Je n'aurais plus de conseiller. Tu aurais dû m'appeler. C'est toujours inquiétant. Moi, je t'en deuille à quelque part. Je vais te perdre mon show. J'ai l'impression que tu étais trop fin.

Tu ne voulais pas faire de la marbre. Tu aurais dû faire « fuck you ». où tu as donné 20 mètres à manger mou le cul je m'envoie à tout le monde en tant que j'ai dû le faire je regrette de ne pas l'avoir mais garde c'est ça la vie de regrette une pôle à mon fait oui j'aurais dû y aller j'avais dû y aller taré tu chier sur eux non je peux je comprends le tach'achètes... Il est tellement gentleman. Je te vois pas chier sur quelqu'un. Non, j'aurais pas fait ça parce que, un, ils se sont

achetés une business, tu sais, pis mettons que t'achètes une maison, le gars, il avait des beaux rideaux pis des stars, lui, il les aimait. Toi, t'y veux pas, mais t'enlèves pis tu veux mettre des murs à terre, t'y mets à terre. Là, ils se sont mis vraiment à terre, eux autres. Ah ouais, c'est ça! J'aime pas les rideaux, j'aime pas le plancher, j'aime pas...

Ah, Chris, OK, bon, on est... J'ai un tas de marbre. OK, bon. Chris, on va le vendre à Rogers. Ou je sais pas à qui qu'ils ont vendu. C'est bel, hein? C'est bel d'acheter une portion, je sais pas exactement. Mais tu as dit si... La question vient souvent, vas-tu le refaire,

M. Ned, vas-tu le refaire? Écoute, si je le refais, ça va être en mes conditions, mais ça ne passera pas aujourd'hui dans la TV. Mais là, à ce temps, avec la... Je suis sûr que si tu faisais un meeting avec Procter & Gamble, tu pourrais avoir le nom. Peut-être, peut-être. Mais le brand Radio Talbot est là depuis

15 ans aussi, tu sais, puis les gens... Mais si tu faisais les deux? Peut-être. Tu sais, moi, dans le fond, on essaie de... J'essaie de m'aider. Tu sais, t'es marié, t'as une nouvelle femme, puis on est comme, ouais,. Oui, oui, c'est vrai. On essaie de... Tu es marié, tu as une nouvelle femme et on est comme, oui, mais ton âge, c'est une blonde.

Tu es encore célibataire. Oui, oui. Tu es comme, oui, mais que suis-je marié? Ça va bien. Oui, mais Chris, regarde. Pas des beaux chandails, tu sais.

Tu pourrais vendre des T-shirts. Non, mais... Regarde, je suis monsieur net. Regarde. Louise! Mais non, c'est ça.

Je sais pas, regarde. On a pensé à ça un moment donné. Ma blonde était curée, Lucie, parce que tout le monde appelait chez nous. Ah oui, tu dois être la peine. Oh, chier! Tout le monde appelait. Puis là, c'est drôle, parce que, tu sais,

quand on est mort, on a toujours plus faim que quand on l'était dans la vraie vie. Là, Musique Plus, c'était tellement bon! Tellement bon! Arrêtez donc, là. C'est mort, c'est mort. On tourne la page. On est ailleurs.

Puis là, toi, avec Radio Talbot, est-ce que tu fais plus d'argent que tu faisais à Musique Plus? Non, beaucoup moins. Beaucoup moins. Beaucoup moins. Mais tu fais de l'argent. Oui faisais à Musique Plus? Non, beaucoup moins. Beaucoup moins. Beaucoup moins, beaucoup moins. Mais tu fais de l'argent. Oui, oui.

Au Québec, on n'est pas beaucoup qui réussissent à vivre. Il y a toi, puis j'ai bien aimé quand tu as mis ton billboard. Moi, tout le monde. Excuse-moi, excuse-moi. T'es un enfant à crise d'argent, toi, j'ai oublié. 35 000 piastres. Peu de respect, Kandis. Non, non, je parle en techno.

Je m'excuse, je m'excuse. Vista Print, c'est ça. C'est à toi, ça, V visita print je l'ai acheté hier non c'est ça j'ai réussi à rouler ma bosse je fais aussi des corpos je fais toutes sortes d'affaires je m'en vais à Val d'Or très prochainement

animer un truc sur les board games les jeux vidéo je me promène beaucoup là-dessus étant une légende vivante ça fait drôle de se faire dire ça. Non, mais c'est drôle. Je suis une légende parce que je suis encore vivant et que je joue à des jeux encore à trois soirs, c'est ça?

Non, mais c'est comme Mike a dit, c'est que ça a rajouté à ta légende. Ah, je le sais. En plus, il y a de quoi de beau que moi je trouve, c'est que quand la famille vit, il y a de quoi de beau que moi je trouve c'est que quand la famille vit

on le crée sur la porte pis que toi t'as continué pis qu'eux autres sont morts il y a de quoi de magique

à l'estime c'est vrai je t'avais pas vu une note à parner merci Mike merci Mike ils l'ont mangé son cul

il a mangé son cul il a mangé son cul il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mangé il a mang, Mike! » « Il a mangé son cul, là, finalement. » « Yo, Marais, ta pouce, putain, merde! » « Ça fait chaud au cœur, par moments. » « Je te dis ça, je regardais ça à la lèche,

quand il m'a dit « Okay, man. » « Karma is a bitch. » « Ah ouais? » « Ouais. » « Fait que toi, le jour que Musique Plus est mort, pour vrai... » « Moi, c'est mort. C'était mort bien avant. Quand ils m'ont mis dehors, c'est mort.

Fuck it. C'est quand que tu as vu que ça allait déjà mourir? Même avant? Quand j'ai reçu un message Twitter de Yann qui m'a dit, attention, moi aussi, je les ai eus comme boss. La fin est proche. Quelque chose de même, tu m'avais dit. Tu te souviens de ça, Yann?

Oui, oui. Parce que je faisais ce show vers la fin puis tous les techniciens ce show excellent show c'est qui qui animait ça? c'était Mike Ward

t'as mais t'as le t-shirt j'ai le t-shirt en plus oui oui je l'ai gardé fièrement puis je croisais les techniciens

puis là Musique Plus venait d'être acheté par les Rémiard puis là je disais aux techniciens ça vous fait pas peur puis là ils Musique Plus venait d'être acheté par les Rémiards. Puis là, je disais aux techniciens, ça vous fait pas peur? Puis là, ils disaient tout, ça nous fait pas peur parce qu'ils ont déjà coupé tout ce qu'ils pouvaient. Ils peuvent plus couper plus.

Puis là, je disais, ah Chris, j'ai été à TQS puis j'avais le même discours, c'est clair que vous allez peut-être être clairé. Mais j'osais pas le dire. J'osais pas le dire. J'ai fait, les Rémiard, c'est un génocide qu'ils font quand ils rentrent quelque part. C'est ça qu'ils ont fait.

Ils ont scrappé tout. Eux autres, on est des numéros sur un bout de papier, un comptabilité, puis dans le site. Il faut leur donner un petit peu de crédit parce que quand même, ce qu'ils ont fait à V,

ils ont réussi à remonter un petit peu V, mais tu sais, ils ont fait des temps. V, ça a bien été pendant un bout de temps. Pendant les années du show du Gros Cave, ça avait l'air comme si, j'avais l'impression que, tu sais, il y avait les Rémiard

qui couraient à côté du vélo de V, que là, c'était comme, OK, ça va bien, ça va bien, ça va bien, croc! Mais il y avait une vision très personnelle aussi, il imposait les visions, on voyait qu'il s'en allait vers ça,

puis à un moment donné, ils ont abandonné, ou je ne sais pas trop, ils ont embarqué dans la veille. Mais c'est aussi, les années 2000 sont arrivées, que la télé est en train de mourir. Il n'y a pas eu d'adaptation. À Musique Plus, on créait à la vague.

Là, on était en arrière de la vague. On était sur le bord de la plage. La fin qui a vraiment tué Musique Plus, c'est quand Astral Media a... Parce que Musique Plus, c'était un poste musical. C'était le poste cool.

Puis après, Astral Media a acheté et là, il y avait, mettons, des shows comme le mien, comme celui de Lou José, Pat Gros, qu'à un moment donné, ils ont fait, ah, c'était chaud, on va plus les mettre à vrac. Mais,

tu sais, il n'aurait pas dû faire ça. C'est des décisions qui sont belles sur papier, mais quand tu les fais et que tu te rends compte que ça ne marche pas, qu'est-ce que tu fais? Au lieu de les ramener, tu les laisses là. Non, ça va marcher, ça en laisse le temps au monde. L'Internet,

on blâme tous l'Internet, mais si tu sais que tu vas pogner le champ avec ton char, si tu continues tout droit, tu peux donner un petit coup de roue et essayer de t'adapter. Ça, je ne l'ai pas senti. Ils n'ont pas fait les visionnaires. On s'en va dans le champ, on va tourner la roue.

Ils sont allés directement dans le précipice. Comment on aurait pu éviter ça? Il est trop tard, mais c'est en s'adaptant, en allant sur le web et en faisant des choses. Moi, je lui avais demandé, je lui ai dit, regarde, je veux faire mon show sur Internet.

Voyons donc, ça ne se vend pas. Le monde nai dit regarde je veux faire mon show sur internet voyons donc ça se vend pas le monde achèteront pas ça sur internet voyons donc c'était comme le parent pauvre de la TV ben oui

tu sais tu leur as dit au lieu d'être mettons à Musique Plus ça va être sur le web sur le web pis ils voulaient

rien savoir au début le monde passait par le site de Monsieur Net Musique Plus avait même pas de site moi j'en avais un il était en noir et jaune

c'était hot dans le temps. C'était super noir! Oh yeah! Le fond noir écrit en jaune, c'était punché! J'ai fait ça parce que je suis daltonien pis je voyais pas exister de couleur! Toi tu pensais que t'étais en noir et blanc! C'était un accident! Pis là, wow, c'est beau ton site! C'était laid dans le temps!

Pis les gens passaient par là pour aller à Musique Plus, mais honnêtement, moi je pensais que c'était en noir et blanc, c'était en noir et en jaune. Pis j'ai dit, ok, c'est beau. Mais les gens passaient par mon site pour aller à Musique Plus, pis là ils ont vu ça, ils ont dit non, non, non, on va faire notre site. Ils ont mis quelqu'un, fait le web, les chiffres ont commencé à aller tout croche. C'est toujours quand on rentre les spécialistes que ça chie. Les fans des Bruins sont partis de ton site. C'est à quand on rentre les spécialistes que ça chie. Les fans des Bruins sont partis de ton site. C'est à cause de moi. C'est très drôle.

J'ai l'impression qu'ils doivent avoir beaucoup de questions. Je ne les avais pas encore collées, mais on va les coller là. Même sans ça. J'irais avec... Il y en a une ici dans la salle, et je la trouvais bonne aussi.

Votre coco que dire? Un jus d'orange. Je ne sais même pas si j'ai besoin d'un jus d'orange. Prends-en un préventif. Ah oui, un jus d'orange. J'aime moins ça. C'est ça ou c'est les codes de la bouche?

Là, j'avais l'âme du gars qui check son padjet. Ma question est pour Denis. Oh, Chris, on a une question old school. On vire au fax! Allume les fax! En l'émission en ligne, ce soir. On reçoit.

C'est étant donné que les jeux vidéo coûtent de plus en plus cher à produire et que j'ai l'impression que les publishers veulent toujours aller avec des coups sûrs, genre les Call of Duty qu'on fait fois mille, etc. As-tu l'impression que ça tue un peu la créativité et qu'on se retrouve tout le temps à se faire servir du réchauffé? Le réchauffé va servir à produire éventuellement l'innovation. C'est-à-dire que pour faire de l'innovation, ça prend du cash,

ça prend des... il faut que tu engages des gens. Il y a une scène indépendante de jeux vidéo incroyable à Montréal où c'est souvent... moi, je parle de petits jeux faits... de grands jeux faits par de petits studios. C'est souvent des gars et des filles qui travaillaient dans les grosses compagnies qui vont dire, moi je suis écoeuré de faire Call of Duty, Assassin's Creed, tout ça. On part en business,

on s'en va là, ils font des affaires qui sont sublimes. Il y en a beaucoup de petits jeux qui génèrent des profits, mais le gros problème de ces gars et ces filles-là, c'est qu'ils ne sont pas conscients que si on veut que les jeux se vendent, il faut en parler.

Puis là, je leur dis, il y en a qui vous écoutent pas mal. Si vous avez des jeux, ça vous tente de les présenter, de les faire connaître. Je vous offre une plateforme de gamers écoutés par des gens de l'industrie. Venez présenter vos Christy de jeux chez nous

et on va en vendre. Go! Radio, c'est ça. Radio Talbot, c'est ça radio talbot c'est pour vrai tu as un assez de reach intense c'est fou c'est malade c'est ça que tu y a personne qui a autant de reach que toi un dans la francophonie, puis même dans le monde. Souvent, c'est drôle parce que, je vous montrerai ça plus tard, mais j'ai un screenshot où tu as Joe Rogan, les TED Talks, puis tu as Radio Talbot numéro 3. Je suis le seul francophone dans le top 100. Tu sais, tu te dis, tu regardes ça, j'ai regardé ça, j'ai dit, wow, c'est une luck. La semaine d'après, je suis encore là. Là, tu te dis,

OK, tu vas en vacances, par exemple, trois semaines, tu te ramasses centième. Ça remonte tranquillement. Mais ça fait un petit velours, c'est sûr. C'est du vrai monde qui télécharge. Tu ne peux pas tricher ça. Moi, ce n'est pas comme des BBM de la télé. Tabarnak!

J'avais-tu de l'air en baisse de sucre à ce point-là? Mais c'est ça. Si on avait la même chose... Là, moi, ce qui est le fun avec mon podcast, puis toi aussi, Yann a sûrement un petit compteur qui voit exactement comment il y a de personnes qui nous regardent en ce moment. Pour vrai, nous autres, on n'est pas tête là-dessus.

Puis j'aime mieux pas trop regarder ça, parce que sinon, tu te laisses contrôler par les chiffres, puis après, tu deviens exactement ce que la télé devient. Moi, je ne veux pas ça. Moi, ce que je veux savoir, c'est... Je regarde... C'est-tu populaire, la phrase?

J'ai dit... J'ai-tu déjà des quotes? All right, Carlis! On vient d'avoir un 2, personne de plus. Là, présentement, live, on est 544, mais il y a eu des... Disons, ça a dit un pic de genre 2000. Si on avait ça pour les grosses émissions à la TV,

ce petit compteur-là, il n'y aurait peut-être pas des millions partout. C'est tout ce que je dirais. Oui, c'est ça. Je pense qu'on les a perdus quand j'ai commencé à parler de mes toucs pis mes faux-coupés. Il y avait ça au point, il faisait... C'est malade! Excuse-moi.

Désolé. L'excuse. Il y a une bonne question ici. Je vais juste essayer de la retrouver pour la nommer. C'est Samuel Rangé qui demande une question pour Denis. As-tu une idée de jeu vidéo que tu aimerais faire

ou un scénario en tête? T'as-tu déjà pensé à faire... Oui, souvent, souvent, mais l'affaire, c'est que moi, je suis un créateur de jeux frustrés, tu sais. Je pars dans les idées... Mais c'est drôle! Ah, tabarnak!

C'est-tu ce qui serait malade? Il faut que tu deviennes un dragon. frustrés. Si tu es malade, il faut que tu deviennes un dragon. Ça serait magique. Toi, en tant que dragon. Je m'excuse, je ne vais pas t'insulter, mais c'est juste, j'ai tout de suite des gars qui essaient de fourrer, puis il faut pas.

Il est comme, tabarnak! Fuck! Jeux vidéo fourrés. Ah oui! Jeux frustrés. Non, non, mais c'est ça. Moi, j'aime beaucoup la réalité virtuelle. Je m'excuse de dire ça.

Pas aucun problème. Monsieur Talbot. Je vais vous appeler Monsieur Talbot. Désolé, Monsieur Talbot. Aucun problème. Oui, j'ai déjà pensé. Non, j'ai déjà pensé à en faire, effectivement. J'ai des concepts de jeux que je veux faire,

mais à un moment donné, ça prend de l'argent, ça prend beaucoup de cash partir un jeu. Ce qui arrive souvent, c'est que tu donnes ton idée, puis tu te rends compte qu'elle est faite par quelqu'un ailleurs. Il faut que tu fasses la recherche. Ça prend énormément de recherche avant de dire, j'ai le jeu, je vais révolutionner le genre! Ça a tout été fait à plusieurs reprises

mais en réalité augmentée réalité virtuelle c'est un domaine qui m'intéresse beaucoup beaucoup il y a eu Pac-Man il y a eu Miss Pac-Man j'ai mieux eu de Trans-Pac-Man

on a quelque chose Trans-Pac-Man ça va être grave t'as marre d'être mauvais là on a quelque chose on se prend une compagnie Transpagman, ça va pas grand-tard dans le boulot là! On note quelque chose! On se prend en compagnie maintenant! Suis-tu ça un peu le drama?

Tu sais comme moi, je joue pas beaucoup à des jeux vidéo. Transpagman, en tant que dragon, je l'accepte ce jeu-là! Ben toi tu craches pas du feu! Je t'ai-tu encore pas signé? Non c'est correct. Moi, je joue presque zéro à des jeux. J'ai découvert GTA, qui est un jeu de 2013, cette année.

C'est le fun. C'est pas un jeu de 2013. Il me semble que c'est avant ça, non? Non, le dernier, c'était 2013. Le 5, c'est en 2013. Il roule depuis ce temps-là. Oui, oui. De la manière que tu disais, c'est comme si ça sort roule depuis ce temps-là. OK, oui, oui. De la manière que tu disais, c'est comme si ça sortait en 2013.

Non, non, non. Moi, je tabasse des totounes depuis cette année. Oui, puis j'aime ça au bout. C'est même pas... Ah oui. Ah oui. Toi, t'aimes ça parce que, yes,

on ramène la violence conjugale. Tu sais, il y en a, le but dans le jeu, c'est de se monter une escouade pis être dans des... Moi, c'est juste sortir de l'hôpital, tabasser des totounes jusqu'à temps que les polices me tirent. C'est même pas des totounes, là. Il y a zéro totounes dans le jeu.

Ils ont des modèles, là. C'est des belles, grosses totouns que tu peux... Moi, j'ai juste battu des prostitues humaines là-dedans. Je savais même pas qu'on pouvait battre les totouns. Je vais replugger ma console. Tu m'as vendu! Vendu!

J'ai jamais regardé les dragons Mais la chaise revient de bord Mais ils sont le fun en plus T'es pogné par en arrière En arrière de la tête Paf un coup de poing Ça tombe à terre Pis là t'es kick avec le pied

Pis c'est tripant en bout Y'a rien de plus C'est cathartique Je comprends pourquoi Je t'ai vendu une BMW Y'a où la police? C'est cathartique. Je comprends pourquoi je t'ai vendu une BMW. Il y a où la police? J'aurais aimé ça que le policier applaudisse.

Ma question pour Denis, c'est... Ma question pour Denis, j'aime ça. C'est vrai, je l'avais oublié. Tu te jures que tu as pris une toutoune? Tu sais, comme, je joue très peu, je joue à ça, GTA V, mais je suis fasciné, par exemple, par le drama

qu'il y a dans le jeu vidéo. J'en reviens pas comment il y a du drama là-dedans, tu sais. Gamergate. Là, t'en as un qui vient de se suicider, un gars qui faisait un jeu

qui vient de se suicider. C'est-tu le genre de truc que toi, tu suis? Tout le drama pis toutes les... le side story, toutes les... Oui, il y a des histoires

de fous qui arrivent. Là, ils sont partis sur un swatting. C'est que tu es en train de jouer, puis il y a un smart qui fait une plainte à la police, puis qui dit que tu es un terroriste, un vrai terroriste. Tu es armé jusqu'aux dents, tu es dangereux, tu as des bombes. Le swat débarque chez vous,

il y a un gars qui s'est fait tirer, le policier l'a abattu, puis il est mort. C'est pas vrai, c'était un gars qui s'est fait tirer, il s'est béré de bord, le policier l'a battu et il est mort. C'est pas vrai, c'était une joke, c'était un prank. Oui, c'est ça. C'est pas un jeu. Non, c'est vrai. C'est bien de la merde, cette affaire-là.

Mais il y a toutes les conditions de travail aussi, parce qu'il y a des gens qui vont là-dedans, qui pensent qu'ils vont faire du 9 à 5, puis qu'ils vont aller chez eux, mais quand tu fais du jeu vidéo, quand c'est le moment du crunch, tu vas faire des 22 heures, 23 heures, tu vas dormir à la job, parce que tu vas avoir

des bonnies aussi, le jeu, il faut qu'il soit fini, ils l'ont premier à telle date. Là, les gens ont commencé à penser à se syndiquer, il y a des compagnies qui ont dit, regarde, non, non, nous autres, on n'embarque pas là-dedans, les conditions, les filles étaient moins payées que les gars. » C'est vraiment un reflet de la société. C'est tout ce qu'on retrouve.

Tu le retrouves aussi dans le jeu vidéo. C'est la même affaire. Tu as-tu suivi un peu, il y a eu tout l'épisode où la toxicité, les mâles toxiques dans le jeu vidéo. Il y a eu une rébellion des filles.

Les mâles toxiques, ce genre de gars qui y a eu une rébellion des filles qui ont dit que c'était assez. Les mâles toxiques, genre de gars qui jouent à des jeux juste pour battre des totons. C'est de ça que tu parles? Ceux-là, exactement, ceux-là. C'est un peu toxique, ça, Yann. On va parler de parler, là. Mais oui. Il y a eu ça, il y a eu le racisme.

Il y avait une gang de white power. Chris, Yann vient d'apprendre qu'il peut battre des noirs. T'as-tu... Y'a-tu... mais c'est quoi l'affaire de white power dans les jeux vidéo? C'est qu'il y en a qui rentrent dans la gang, puis il va arriver sur un... mettons, il y a un gars qui twitch, tu vois, visiblement, qui est noir, puis il rentre dessus, puis il l'écœure, puis ils le font chier, puis... Il y a des cons, il y en un gars qui twitch tu vois visiblement qu'il est noir pis il rentre dessus pis il l'écoeure

pis ils le font chier pis il y a des cons il y en a partout tu sais des trolls fois mille pis là ils se font ben des cons fait qu'ils se font bannir

pis ils reviennent pis ils reviennent pis ils reviennent pis ils reviennent pis ils reviennent get a life a real one c'est plate qu'ils ont

pas le cancer ce monde là fait que oui moi je leur souhaite le cancer On va battre le racisme Avec le cancer Ben oui Moi j'en ai une question

J'aimerais savoir un vodka Coke diet Ouais un vodka coke diet C'est ça ma question. J'en ai une pour Jer. Ah non, tabarné. C'est Émile Bouchard qui demande comment c'est être nerveux pour ton show au Club Soda?

Oui, je voulais en parler de ça. Oh shit! C'est quelle date? C'est vraiment bientôt. Le 22 octobre, les billets sont sur jerallin.com. Le 22 octobre, tu vas faire sur gérald point comme 22 octobre sur faite la première partie way way cool je sais pas je peux le dire c'est que je voulais pas que tu l'annoncent oui mais sur les posters et moi sur les posters et je vais aller je trouve ça très cool quand tu fais ça. Ben oui, Chris est malade, cet astuce-là,

il est cool en Chris. Non, non, mais c'est vrai. C'est le diabète, tu parles de mon diabète aussi. Parce que j'ai du jus. On ne peut pas une baisse de sucre. Je suis tellement reconnaissant. Chris, merci ton jus d'orange. Je suis malade.

Non, pour vrai, ça va être cool. J'ai crissement hâte. Est-ce que je suis stressé? Calissement, oui. Puis ça ressort dans mon esti de clavicule. Ah, merde, moi, ça... Ça va-tu être ça, ton rappel? Ouais. Ça serait malade,

c'est ça, ton intro. T'entends juste cloc, cloc, cloc. Pow! Il y a une explosion. Tout le monde s'est allé, t'entends juste clac clac clac pow y'a une explosion tout le monde s'allait y'a une explosion deux personnes pognent en feu pyrotechnique

faite par Jacob mais wow man j'ai hâte en tabarnak y'a d'autres aussi humoristes qui vont venir

Yvon Yvon Deschamps y'est là non non t'as combien de premières parties ben là aussi, humoristes qui vont venir. Yvon Deschamps, il est là? Non, non, non. J'ai menti. T'as combien de premières parties? Ben là, ça peut tout le temps changer.

On sait jamais ce qui peut arriver. Je pense qu'il y en a deux autres qui vont venir. Fait qu'il y a moi, toi, Jacob, plus un autre, plus un autre. Mais ils veulent pas que j'ai une autre. Fait que c'est pas deux premières parties, ça. Il y en a d'autres.

Il y en a quatre, puis il y en a deux qui veulent pas être nommés. Ouais, mais il va jouer de la flûte avec son nez, puis... Il y en a un autre avec des cheveux bizarres qui va faire des prank calls. Fait que c'est ça, mais je peux pas les nommer, par exemple.

Tu vas-tu avoir Réal Bellin en première partie? Chris! T'as-tu Réal Bellin? Yann? Yann vient d'appeler pour un remboursement. T'as-tu Réal en première partie? Non, non, non, non, non,

non, c'est... Ouais. Roof, il fait des coups de téléphone? Ben oui! non, non, non, non. C'est... Ben... Ouais. Roof, il fait des coups de téléphone? Ben oui. Oui, oui, dans son show. OK, je ne le savais même pas. Mais là, ça peut changer. Ça se peut qu'il m'entende.

Il va faire « Chris Deleche, je ne viens plus. » Mais... Donc, je ne suis pas signé encore. Mais... Non, non, c'est ça. Tu sais, il va... Ça va être cool. C'est cool. Oui, oui,est cool tu dois être soldat ou reste encore des billets il reste genre peut-être une centaine de billets qui est rien pour le club soldat

pour moi tabarnak c'est un ass fuck out moi je suis super content c'est la première fois que je loue une grosse salle calme ton ego un peu mais le show il est bon c'est la première fois je loue une grosse salle de la même. Calme ton ego un peu. Mais le show il est bon, c'est un collissement malade. Je vais caler des bouteilles de phare sur scène ou ça en même temps. À la fin ou au début? Pendant avant après. Moi j'aime ça boire.

Le dernier show que j'ai fait, si je calais de la chartreuse sur scène. Mais ils n'en ont pas, la beau club soda, fait que je ne veux pas la rentrer. Non, non, non. Mais une affaire que tu peux faire, que ça, la part du monde ne sait pas. Tu sais, des bars, il faut que ça soit tagué légal.

Oui, tu enlèves. Mais, non, non, non. Non, non. Moi, je suis legit. Non, c'est que... La police est là, je te le rappelle. Si tu es tagué, c'est tagué pour partout.

Fait que, tu sais, un bar veut pas que t'amènes la bière de l'autre bord, mais légalement, la police, quand c'est en police, c'est tagué. Les taxes sont payées. Fait que, techniquement, si tu trouves une place qui a de la chartreuse, si tu parles au Club Soda...

Mais parle au Club Soda avant. T'arrives pas au Club Soda avec ta boisson. Il va faire 50 piastres. Mais même, le best, ce serait de caller un rep. Faire le move Music Plus 92.

Faire de la pub. Amenez-moi un avion et une bouteille de charcuterie. C'est ça. Mets-toi en feu. Moi, j'ai un feeling. Là, vois-tu, avec le podcast qui est en train de pogner au Québec, ou popper au Québec,

qu'il y aurait moyen de, mais j'espère qu'on ne commence pas à faire ça, mais de pouvoir faire des moves comme ils faisaient à la radio dans le temps, avec «donne-moi telle affaire, telle affaire, telle affaire», puis que ça devienne « too much ». Moi, j'ai essayé, ça n'a pas tant de rapport avec le podcast, mais moi, je faisais un live, le centurion, genre la fin de semaine passée. C'est quoi le centurion?

C'est genre, tu pognes un shot de shooter à chaque minute pendant 100 minutes. Non, mais c'est un shot de bière. Oui, oui, de bière, c'est ça. Oui, ça, j'avais appris que ça existait dans Happy Days, qui est un sitcom avec The Fun. Moi, j'ai essayé de le faire, j'ai vomi juste deux fois. Puis, c'était pas tant du vomi, c'était genre juste de la mousse que je sortais

parce que tu viens ballonner bien raide. Puis, je tiens à dire qu'il y a un gars de l'Abitibi qui me traitait de tapette sur le bord de la rue. Il a fait « Ah, Chris, On fait ça comme pour les drinks. Finalement, c'est ça. J'ai fait ça. Quand je faisais ça, j'avais calé genre... Je vais aller faire un after à tel bar.

Finalement, il n'y a personne qui est venu. J'ai essayé de faire... Après... Mais attends une seconde. Juste pour défendre le public. Après avoir vomi deux fois pis dire, je suis ballonné!

Hey, after party! Ah ouais. Y'a personne qui est venu. Pis j'étais rechioré pis je faisais, aïe, là je ferais de la coke en tabarnak. Ah, si tu me pèterais des lignes. Pis là, mon chum était comme, « Arrête! Arrête de dire ça! »

Je suis comme, « Tu disais ça dans le podcast? » « Non, dans le live. » « Dans le live? OK. » « On est curieux dans la vie. On veut du live. On veut... Venez voir mon show, esti! Venez voir mon show! »

Denis, il y a beaucoup de monde dans le chatroom, puis ici d'ailleurs, qui demande la question, est-ce que tu ferais un open mic? Serais-tu game de faire un open mic? Écoute, comme je te dis, j'ai des textes à apprendre, non, mais moi je suis un raconteux de patente, je sais pas. Je dis pas non, je dis pas oui. Faudrait que je l'essaye.

J'en fais, j'en ai installé dans un espèce de corpo avec des gars et des filles de techno des astuces de déjà ce que tu fais tu sais quand tu as dit ça c'est du crowd work le boss lui elle c'est ça mais ça devait durer une demi heure puis à quand je viens pour monter sur scène le gars il dit il y avait un humoriste il a essayé c'est une petite crowd plate. Moi, je suis arrivé là-dessus,

je comptais des niaiseries, on ramenait ça avec des statistiques de jeux vidéo, des enfants, des aventures. Ça a duré une heure et demie. C'est qui l'humoriste, l'avait? Je veux pas le dire. Je veux pas le dire. C'est-tu moi? Non, t'as pas toi. Parce que moi, ça m'allait un soir,

puis ils ont dit, demain, on a Denis. Puis après, ils m'ont rappelé soir pis ils ont dit, demain, on a Denis. Pis après, ils m'ont rappelé, pis ils ont fait, heureusement, Denis, ça a bien été. Mais c'était pas ça, le but de la patente. C'est vrai que ça part, tu sais, ça part. J'haïs pas ça. Mais j'ai un feeling, tu sais, je vais répondre pour Denis. Si

je pense pas que c'est un besoin dans ta vie, vu que tu vis vraiment déjà le trip un peu de faire du stand-up en animant tes affaires. Fait que... Ben, c'est ça. Ça serait un stress weird pour rien. Oui, pis vous êtes bons là-dedans.

C'est votre job. Vous avez... T'en as tellement fait. Moi, j'avais l'impression de commencer à case zéro. Pis c'est pas vrai, dans le fond. J'ai de l'expérience, mais j'ai pas votre sens du punch puis de beat. Ben oui.

Oui, mais sans l'expérience. Ben voilà. Mais tu sais, si tu veux vraiment le faire vivre l'expérience, pour que ça soit un checklist, tu pourrais le faire. Club Soda. Ah, si t'avais lui

en première partie au Club Soda, asti! Si t'avais lui en première partie au Club Soda, ça, ça serait malade. Il réchaufferait la salle. Au lieu de faire un open mic, si tu faisais un trois minutes avant lui, ça, ça serait fou raide. Non, parce que je regarde, souvent, c'est des thèmes, tu sais, la couple, la famille,

les enfants, le voyage dans le sud. Cal la chartreuse, asti! C'est ça. Denis Talbot qui cale la chartreuse. Ça serait marrant. Je suis quelqu'un qui demande la charge de la poudre. La poudre.

Le monde vivrait de quoi? Je ne sais pas. Ça, ça serait du live. Est-ce qu'il y a quelqu'un qui est de coquine? Toi, en plus, dans les années de... Les premières années de Musique Plus,

avec le Sex, Drugs, Rock'n'Roll, j'ai l'impression qu'il devait y avoir tellement de coke dans le temps de Musique Plus. Musique Plus, non. Très honnêtement, à la radio, oui. Ah oui, c'est vrai? À ses coins? À la radio, il y en avait.

Juste parce que Normand en oubliait tout le temps? Non, Normand était pas là dans ce temps-là. Normand était pas là dans ce temps-là. Normand n'était pas là dans ce temps-là. Mais écoute, c'était pas supposé être dangereux, cette affaire-là. Moi, j'ai eu un ami qui me faisait capoter.

Moi, j'ai mon neveu qui a resté avec moi pendant un an. Il avait 17 ans. Je l'ai amené la première fois dans un bar de sa vie à 17 ans. Je me disais, Christ, il a 17 ans, mais je suis là, je vais m'occuper de lui, puis... C'est lui qui s'occupe de toi. Puis mon astide ami,

mon neveu vient me voir, puis il dit, ton ami m'a offert de la coke, puis là, je suis comme, voyons, tabarnak! Pourquoi tu t'as offert de la coke? Puis il m'a dit, il m'a dit que c'était impossible de venir accro à ça, puis je suis comme, voyonsons tabarnak! Pourquoi tu t'es offert de la cause? Pis il m'a dit que c'était impossible de venir accro à ça. J'étais comme voyons tabarnak! Crisse d'innocent!

Je suis allé voir mon chum, j'ai fait crisse d'innocent. Dans le temps du limelight, moi je suis arrivé face à face avec Grace Jones dans une allée en arrière. Calvage, j'ai eu peur. As-tu déjà vu Grace Jones? C'est une grande noix. C'est l'exire six pieds et quatre

c'est l'ex à David Bowie ah oui et puis elle est folle c'est ah ben là elle se met à faire de la broute pis c'est comme

oh go go go ok je vais y aller ah oui elle faisait du karaté pis tout elle avait des pieds elle portait des 13 c'était assez weird c'était assez weird

mais c'était pas supposé être dangereux mais moi j'ai jamais été attiré par ça j'ai jamais eu j'ai vu bien du monde se scraper la gueule bien comme il faut il y a eu des décès aussi d'un vedette

qui est arrivé à Music Plus y'en a-tu qui était scrapped quand t'es arrivé? Eartha Kitt celle qui a fait la chanson Be My Man je pense c'est celle qui jouait Catwoman dans la première série de Batman.

Elle avait deux chiens. On avait des tables tournantes à ses couilles. Puis ses chiens s'appelaient Numie et l'autre Numismatique. Numismatique. C'est un jeu de mots. Je ne comprends même pas. C'est quelqu'un qui collectionne des teintes. C'est un numismate.

Asti, j'aurais naillé un de ses chiens. Moi, je suis en Londres, je fais l'entrev numismat. J'aurais naillé un de ses chiens. Moi, je suis en Londres. Je fais l'entrevue avec elle. Il est 10h le matin. Elle dit, « I need something to drink. » Je dis, « Voulez-vous de l'eau? » Elle voulait du scotch.

On lui a amené du scotch. Elle dévisse le bouchon et elle le jette. On a une belle entrevue. Ses chiens se promenaient sur la console. Mais il y a des disques qui tournent. Là, tu vas prendre l'autre place, tu vas prendre le chien. Là, il fallait pas chicaner le chien. Ah, c'est une vache!

Ah, je te jure! Non, non, mais c'était l'enfer parce que... Là, elle voulait pas répondre à la question. I don't like that glass. Ah! Give me another one. Pis là, tu voyais, on a ce type. Pis là, le représentant de disque essaie d'être fin. « Now we have to go. Well, I like it here.

I don't want to leave. » On s'entend à Eartha Kitt, c'est pas les Stones. Non. Même les Stones qui font ça, je crissais un coup point dans la gueule à Mick Jagger, mais Eartha Kitt, fuck you, tabarnak. Non, mais dans sa tête,

elle était restée accrochée, encore une fois, dans ses années glamour, puis elle était super hot. Mais le pire gars que j'ai rencontré, moi, c'est Robert Palmer. C'est lui qui est... Simply irresistible. Ouais, Asti qui était pas fin. Ah, oui?

Ah, qui était pas fin. Celui qui t'est battu à l'aile? Non, ça, c'est Shannon Hoon, des Blind Melon. Ouais, ok, c'est vrai, on a deux anecdotes, là. Mais, fait que, le... Simply irresistible. Ah, il était pas fin, il était pas fin. La loi de notre passer où on n'avait pas le droit de fumer dans les buildings. Music Plus était dans un building qui appartenait au fédéral, donc on n'avait pas le droit de fumer.

Le régisseur de plateau va le voir bien poliment, «Excuse me sir, you're not allowed to smoke here.» Il était comme ça. Il veut que l'autre se déplace. Il dit, je suis désolé, monsieur. Vous n'êtes pas permis de fumer. Il commence à pogner les nerfs. Il regarde. Je sais.

Si je veux fumer, je vais fumer. Ça reste là. Ça va en entrevue. Comment allez-vous? Comment allez-vous? On avait un meet and greet après. À la ronde. Parce qu'il était en spectacle. Il faisait des spectacles à la scène flottante. C'était avec Laurent Tidroc à l'époque.

La scène flottante à La Ronde? Oui, on prenait un petit bateau, il passait par en arrière. Y'avait-tu les pitounes qui dansaient avec lui? Non, c'était les bands. Ah, c'est que ça devait être décevant. Lui, sans les femmes. Parce que pour vrai là

moi je l'aimais ce gars là moi je suis de la génération que moi je l'aimais parce que je pouvais me masturber en regardant ses vidéos clips mais sinon il y avait aucun intérêt moi je l'aimais bien

j'aimais bien les vidéos aussi mais quand on est arrivé à la scène avec des gagnants t'sais t'as des gagnants qui veulent le rencontrer

c'est des fans inconditionnels qui ont participé au concours. Ils veulent le voir, les autographes, tout le qu'il y a. Il y a comme une petite cabane. Il est là-dedans, lui-là. Moi, je cogne. Toc, toc, toc. « What the fuck is it? » Je joue tout à l'heure.

Il me voit à la face. « Non! » Je ferme la porte. Bang! Là, le représentant vient voir. « Qu'est-ce qui se passe? » Je vais faire un entrevue avec lui. « Oui, mais ce n'est pas une bonne idée. »

Il ressort. Là, il regarde à terre. C'est Laurent Titeva qui donne la bière. Il y a des bouchons à terre. Il dit... Il ne dira pas de «meat and grease». Je lui demande s'il y a des gagnants. Pourquoi? Parce qu'il y a des bouchons à terre. Tu te dis «come on, come on».

Ces gens-là sont déçus. Il s'est assis dans la première rangée. On le fixait et on n'applaudissait pas. Qui faisait ça sur les tonnes? On le regardait à lui-même. Un moment tu voyais que ça le dérangeait, il allait chanter de l'autre bord. Pas un estinot pendant le show, pas un applaudissement, rien. Tiens mon assiette! Fumais-tu des smokes?

Non. Le plus fin que j'ai rencontré, c'était Joe Cocker. Il avait peur des araignées, toujours à la ronde. Moi, j'avais pogné ce contrat-là, je voyais tous les shows à Montréal avec Laurent Tidroc. C'est drôle que tu travailles à C'est quoi, Musique Plus, mais tu as rencontré des stars à la ronde. C'est spécial, hein?

Avec Laurent Tidroc. Tu sais, Peter Gabriel, le show de pratique au Spectrum. Et comment Elvis? J'étais à la ronde. J'étais à la ronde avec Elvis dans Grand Roux, assis qu'on est. Non, non, mais sérieusement, c'est un contrat qui est le fun. J'étais à Ronde avec Elvis dans le grand roue. Sérieusement, c'est un contrat qui est le fun. Tu te promènes avec du monde, tu te rends heureux et tu rencontres des stars.

Joe Cocker, il est... Le gars a peur des araignées. À la Ronde, c'est la période de l'année, l'été, où il y a des araignées avec un pack-sac. Avec des fesses bondées. Il voulait sortir, il était pas capable. Le Kardashian des araignées. C'était tellement drôle. avec des fesses bondées il voulait sortir il était pas capable le cardéachien des oreillers le cardéachien des oreillers

c'était tellement drôle mais c'était un gars qui était super sweet pis généreux comme le maudit ça c'est le fun ça c'est le fun pis j'en ai un autre

j'ai pété la gueule parce qu'il était pas fin ouais ça c'est devenu viral comme vidéo pis même avant que le terme viral existe vu qu'internet existait pas

je m'en rappelais il était pas cool il tentait pas d'être làet n'existait pas, je m'en rappelais. Il n'était pas cool. Il ne tentait pas d'être là. Je faisais rentrer du monde, toute l'équipe. Il avait une grosse veillée. Il venait de vomir. On lui a donné un autre chandail. Il n'avait pas le goût d'être là.

Quand je parlais en français, il pensait que je riais de lui. À un moment donné, je me suis trompé de nom. En jasant avec lui, je regardais son show. Il était sûr que je riais de lui. Puis quand on a fini le micro, il était bien, bien agressif. Puis ça a viré en bataille. Puis c'est une niaiserie, là. Ah oui?

C'est-tu lui qui t'a punché en premier? Oui, avec le coup point dans la gorge. Oh shit! Puis il a fait un show quand il a blanqué. Ah oui? Ah, c'est ça! T'es-tu bon, batailleur? Pas super.

Ah oui? T'es-tu bon, batteur? Pas super. Ah oui? J'ai pas manqué. Il doit avoir de quoi. Es-tu allé voir son show? Non, mais j'ai vu des extraits parce qu'on le filmait, le show. Ah oui, mais c'est « Fuck you, t'es de la musique plus ».

Ah oui? Il doit avoir quelque chose qui fait très « Mal Alpha », genre de petit offre de prison que quand tu vois le gars sur scène avec un œil au verre noir, t'es comme s'il tient

ta petite poche. T'aurais dû monter sur scène sans ta petite poche. La seule raison que je t'accule pas, c'est parce que je suis pas aux hommes. Mais non, écoute, Ça avait fait de la merde. Ils voulaient me mettre dehors. Ils avaient dit toutes sortes d'affaires.

Même les représentants de disques avaient perdu leur cul. C'était moi le méchant là-dedans. Dans le temps, les compagnies de disques avaient un vrai pouvoir. Oui, ils pouvaient dire « Je ne suis plus aucun artiste. » Pour vrai, compagnie de disques. C'est ça. Ils avaient le droit de vie ou de mort

sur nous autres finalement carrément mais il avait essayé de me faire mettre dehors mais on avait des caméras de sécurité

donc on a vu tout ce qui s'était passé mais c'est satisfaisant est-ce que ça s'est rendu à un marchand oui oui oui tout est il m'a backé lui

c'est drôle parce que tout ce monde sont morts. Robert Palmer, puis le chanteur de... Robert Palmer, il est-tu mort? Oui, il est décédé, malheureusement. Il est décédé. Puis les pitounes qui dansaient,

sont-tu mortes aux autres? J'en ai vu une sur la rue Sainte-Catherine, c'est Louise. Robert Palmer, j'ai... Je savais même pas qu'il était là. Il avait fait cette vidéo-là... Il avait fait trois fois la même vidéo. Dans ces années-là, souvent,

on se rappelle de Twisted Sister qui ont fait deux fois le même clip, mais Robert Palmer, il a fait deux ou trois fois le même clip que la troisième fois, il a fait deux ou trois fois le même clip que la troisième fois, tu vois que les filles sont comme « Il me semble que c'est la même affaire. »

Il l'avait fait, je pense, pour 500 piastres, cette vidéo-là. C'est pour ça que tu le vois juste avec des filles. C'est pour ça qu'il a l'air en crise tout le long. Il était-tu gay? Non, non. Non, mais pourquoi il se rend en crise? non non ok non mais pourquoi il se rend Christ

je sais pas il avait pas l'air heureux dans sa vie personnelle mais je ne suis pas un psychologue mais je sais pas ça filait pas

il était pas de bonne humeur t'as fait encore des contacts avec d'autres VJ t'es-tu comment Francis B mais Francis B que

moi là c'est absurde que moi Francis B c'est absurde que moi Francis B c'est un des VJ qui m'a le plus marqué puis ça n'a pas été un gars

mettons qui a eu une carrière dans le showbiz puis quand j'ai commencé à embarquer sur Twitter

la première célébrité qui m'a suivi c'était Francis B puis j'étais vraiment content puis il servait de son vrai nom puis j'étais comme ah Chris Francis B me suit'étais vraiment content. Il servait de son vrai nom. J'étais comme, « Ah, Chris, Francis B. me suit. » Je l'ai dit à

trois, quatre personnes qui ont dix ans plus jeunes que moi. Il me fixait dans le vide comme si j'étais un weirdo. Je travaillais avec lui quand il s'appelait François Charles Bertrand. À CFLV, à Valleyfield, on animait des soirées à la

Pamalou, discothèque, la grosse discothèque dans le temps. Valleyfield. T'es-tu un gars de Valleyfield? Non, Bill Lassalle. C'est là que j'ai connu Francis B. On se côtoyait. Lui, il faisait le chiffre avant moi. Moi, je faisais les fins de semaine.

Il était plus hard que moi. Il était rentré avant moi. Il faisait les bons chiffres. Moi, je faisais les chiffres de merde. Je faisais les habits de décès. Je faisais du country. Après ça, je faisais des chiffres de merde. Je faisais des habits de décès. Je faisais du country. Puis après ça, je faisais des descriptions de matchs de hockey.

Mais je l'ai fait une fois, parce que je suis daltonien, puis les gars avaient les chandails semblables. Ça fait que c'était un peu compliqué de savoir qui jouait. Ça avait l'air en niaiserie. Mais c'est ça, je travaillais avec Francis. Ça, puis après, je vais te laisser partir. Toi, tu pourrais rester un peu. Je connais ta vie.

Mais je veux juste savoir, au début, vu que tu étais là, début, début, début, Musique Plus, c'était comment le début, comment vous avez reçu les appels? C'était qui les premiers à rentrer? Il y a eu Catherine Vachon. Il y a eu... Comment il s'appelait?

Je ne me souviens plus de son nom. Il y avait Catherine Vachon, Claude Arson. Pas Claude Arson, Claude Rajot. Claude Rajot. Claude Rajot était là. Sonia Benazra était là aussi.

Sonia était là. Il manque un gars. Je ne me souviens plus de son nom, malheureusement. Mais moi, j'étais producteur, VJ producteur, un drôle de type qui n'avait ni queue ni tête. C'est là que je suis parti. Ils ont fait la première

au Spectrum. Le son ne marchait pas. C'était vraiment les premières du direct. Tout le monde était nouveau là-dedans. Toi, au début, tu pensais que tu allais travailler derrière les caméras? C'était ça ton plan de carrière? Oui, c'était ça. Au début, je me suis dit

que je vais aller faire de la réalisation. » Je savais fort bien que ceux qui étaient en avant, à un moment donné, tu ne suis plus la saveur du mois. À moins de te renouveler constamment. C'est rare qu'à 60 ans, tu te fais inviter à un podcast. C'est ça, exactement. Mais là, je suis encore là.

Ça roule. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? C'est ça que je voulais faire. Je voulais être caméraman au début, mais ils m'ont dit, tu ne connais pas tes couleurs, tu ne vois pas tes couleurs comme il faut, donc tu ne peux pas être caméraman. Je faisais des éclairages au Club Soda. C'était magnifique.

Moi, mon éclairagiste, il est daltonien. Ça ne me dérange pas parce que pour éclairer quelqu'un, tant qu'il est clair, que ce soit rouge ou bleu, la lumière, j'avoue la lumière, mais si tu me dis, sens-moi un bleu azur,

moi, je te jure que l'azur, je ne sais pas c'est quoi. C'est celui-là, tu veux, je vais marquer un numéro dessus, il va y avoir le numéro 3. Moi, je ne suis pas colorblind et je ne suis même pas zégois. Ah ouais. j'ai marqué un numéro dessus, il va y avoir le numéro 3. Moi, je ne suis pas colorblind et je ne sais même pas c'est quoi. Je suis sérieux. Je ne sais pas c'est quoi. Ça, c'est la pitié que tu ressens.

La pitié azule. C'est bien excitant c'est des périodes bien belles fun c'est de partir quelque chose puis de te rendre compte que dans mon âge je suis encore là-dedans

puis j'ai eu tant de fun que je n'avais au début je me suis dit c'est cool c'est fou en plus tu sais que moi je réalisais pas que t'avais 60 ans

mais que t'es encore aussi pertinent puis en plus que t'es dans une passe dans ta carrière ta vie

que t'es sur une montée. Tu es sur une montée. Il n'y a personne. Pour vrai, ça fait 10 ans que tu as accès à la revue Le Bel Âge. Tu sais. Tu es sur une montée. Non, non.

Ce qui me fait suer, c'est quand tu reçois tes papiers du gouvernement et qu'ils parlent de ta pension. Ça, ça m'a cassé un coup de pied d'enfance. Tu as le droit d'avoir une demi-pension. Oui, oui. C'est ça. Là, c'est quand tu reçois tes papiers du gouvernement et qu'ils parlent de ta pension. Ça, ça m'a crissé un coup de pied d'enfance. Tu as le droit d'avoir une demi-pension. Oui, oui, c'est ça. Là, j'ai dit, non, mauvaise adresse, non, ce n'est pas pour moi. La blonde est là.

Ah, je suis... Mais moi, c'est ça. Je suis content que ça va bien tes affaires. Tu as bien fait, merci. Puis j'espère, si jamais tu décides de faire un open mic, je te conseille d' de faire un open mic, je te conseille d'aller faire un trois minutes avant ce monsieur-là au Club Soda. Tu veux venir, Gaétan?

Si même, je vais te présenter. C'est mon ancienne résidence, le Club Soda, avec l'Empire. J'ai fait ça longtemps, longtemps. Mais je ne sais pas, j'ai déjà chiant. Ou si tu voudrais arriver, si ça tente de revivre ça, tu arrives, fait que la première face qu'il voit

c'est toi ça serait drôle là tu présentes moi pis après moi je présente deux humoristes de la relève qui vont

se péter à gueule parce qu'on est dans la foule pis on les juge 5, 6 mais si t'es down tu peux venir on check le son sans pas le voir

ouais c'est ça on va parler à Michel il est supposé de me signer tantôt quoi mais merci pis Jer tu peux venir on check le son sans pas le voir ouais c'est ça je vais parler à Michel il est supposé de me signer tantôt quoi mais merci pis Jer la date

pis si le monde veut lâcher des billets ah oui c'est ça c'est le 22 octobre au club soda pis c'est au jeralain.com jer2r

alain2l pis j'ai aussi plein d'autres shows qu'ils peuvent venir checker sur mon site internet excellent excellent merci beaucoup merci les gars merci à vous autres J'ai aussi plein d'autres shows qu'ils peuvent venir checker sur mon site internet. Excellent. Merci beaucoup. Merci les gars.

Merci à vous autres. Merci à Yann. Merci à Charles. Merci à Michel. Salut tout le monde. Merci tout le monde. Je tiens à remercier Antirouille Métropolitain pour leur appui, leur soutien.

Antirouille Métropolitain, quand on pense expert, onien. Antirouille métropolitain, quand on pense expert, on pense à antirouille métropolitain. Quand on pense au expert antirouille, tu penses à expert, mettons, en ski alpin, tu ne fais pas, c'est qui qui est meilleur? Antirouille métropolitain ou le monsieur là-bas avec le petit saut de serré? Non, c'est le monsieur avec le saut de serré,

mais le monsieur avec le saut de serré qui descend vite une côte, il n'est pas capable de faire des traitements anti-rouille. Ça, c'est juste anti-rouille métropolitain qui peut te faire ça. Il y a plein d'autres compagnies qui le font, mais ils ne sont pas aussi bons qu'anti-rouille métropolitain.

Anti-rouille métropolitain sont là depuis 1976. Ils ont appliqué plus de 3 millions de traitements anti-rouille. C'est le seul réseau spécialiste anti-rouille à être recommandé par CAA Québec pour plus de détails sur anti-rouille métropolitain et leur service va sur antirouille.com antirouille.com

anti-rouille, avant c'était anti-rouille métropolitain grouille avant de sa rouille et là c'est anti-rouille métropolitain, un investissement intelligent et payant. Moi, j'ai jamais aimé le vieux slogan.