Mike Ward Sous Écoute - #265 - Katherine Levac et Sam Boisvert

Episode Date: February 10, 2020

Cet épisode est une présentation de Therrien & Therrien CPA (https://therrien-cpa.com/) Dans cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Katherine Levac qui nous explique GenieMTL et Sam Boisvert qui a coulé un travail d'école à cause de Mike. La recette de Sam est disponible ici: https://i.imgur.com/sa9yEZr.png Pour acheter des billets du nouveau spectacle NOIR: https://mikeward.ca/ -------- Boutique en ligne - http://sorsavec.com Patreon - http://Patreon.com/sousecoute Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute Twitch - https://www.twitch.tv/sousecoute Discord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★

Je suis présentement en tournée avec mon One Man Show noir. Si vous voulez des billets, vous allez sur mycworld.ca. Je vais être l'été prochain, le mois d'août au complet, je suis à Gatineau. Fait que le monde qui chiarde, je ne réussis jamais à avoir des billets. Si tu veux des billets, je vais être à Gatineau les vendredis et samedis du mois d'août. Si tu ne réussis pas à avoir des billets, c'est parce que t'es un idiot. Allez sur michael.ca pour les billets.

Le show cette semaine est une présentation de Terrien Terrien. Terrien Terrien CPA, c'est un bureau de comptable au service des PME innovantes depuis plus de 25 ans. Leurs clients proviennent du milieu de l'informatique, de la biotechnologie, des créations

web, des jeux vidéo et de Yann Thériault. Et puis plein d'autres industries innovantes. Therrien Therrien peut vous aider pour vos examens, pour vos états financiers, que ce soit un

audit, un examen ou un avis au lecteur. T'as rien, t'as rien. Ah, c'est-tu que je suis pas crédible? Je l'ai défait. T'as rien, t'as rien peut aussi vous aider à maximiser vos retours de crédit d'impôt. R&D, CDAE et multimédia.

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slash cpa.com ou faites terrien terrien .com. Je ne suis même pas sur leur site web. Fait que toute la fin, c'est de la marde ce que je dis. Mais je sais que terrien-terrien.com marche. Je sais qu'ils sont là avec nous depuis le début. Je sais qu'ils ont remis Yann Thériault sur la map. Yann Thériault, il était à ça d'aller soucer des queues

à l'arrêt d'autobus à City. Même pas au terminus d'autobus. Il allait soucer des queues dans un arrêt d'autobus. Tu vois qu'il était beau pis t'as rien, t'as rien. Il l'a sorti de sa misère. Merci, t'as rien, t'as rien. Bon épisode, tout le monde. En direct du Bordel Comedy Club à Montréal,

voici Mike Ward, sous-écoute. Merci beaucoup. Merci. Bonsoir tout le monde. Bienvenue à Mike Ward sous-écoute. Cette semaine, j'ai eu une grosse semaine. Je suis allé hier, j'étais en show à Victo. Puis la mère à Michel est revenue voir mon show.

Puis l'as-tu déjà rencontré? Oui, oui, oui. Je l'ai mis dans mon documentaire. Ah oui, c'est vrai. Tu l'avais rencontré quand tu as fait le documentaire. C'est un personnage en soi. Tellement attachant. Ah, elle est tellement cute.

Puis elle était là avec son ami. Puis j'aime ça. Son ami, c'est la deuxième fois qu'elle amène des amis. Mais là, son amie avait comme 30. 3 ans. Il y a quoi de... Je trouve ça cute.

J'ai demandé par jour à une fille de 33. Je lui ai dit, t'es qui toi? Elle m'a dit, je suis l'amie à Marie. J'ai fait, ça me prend des amis de 86. Moi, avec... T'as qui, toi? » Elle me fait « Ah, je suis l'ami à Marie. » J'ai fait « Ah, Chris, ça me prend des amis de 86. » Moi, avec, qu'est-ce que c'est? T'as-tu des amis bien vieux, toi? Non, non, non.

C'est moi qui ai rendu le vieux. C'est toi le vieux. Oui, c'est ça. C'est quoi ton ami le plus jeune? J'en ai d'une vingtaine d'années. OK. Oui. OK, oui, c'est comme moi.

C'est 18-20 ans, là, des jeunes. 18? Ça fait... T'es pas à l'aise, Mike? Je suis pas à l'aise. 18. Ils t'ont dit qu'il y avait 18, ou c'est toi qui leur as dit?

Si quelqu'un le demande, t'as 18. Rappelle-toi de l'année. Non, mais tu sais, j'évolue dans un milieu qu'il n'y en a pas. Des vieux comme moi, je suis un YouTuber. C'est rare que tu sois un YouTuber né en 1942. Non, non, c'est ça. Fait que, j'ai les mêmes intérêts que des enfants de 18 ans. OK. Puis, je comprends exactement pourquoi tu fais ça,

mais tu sonnes comme un pédophile. Là, tu vas me suivre. Toutes tes dates sont libres. Tu vas me suivre en Abitibi. Oui, je voulais confirmer avec toi si tu n'as pas une promesse de gosho. Le lendemain, tu m'as envoyé les dates.

J'ai libéré mes dates et je fais la tournée en Abitibi avec toi. Je fais un petit 5 minutes. J'ai vraiment hâte. Là, tu as rejoué cette semaine. J'ai fait la première partie de Faf qui faisait un show qui faisait une heure ici. Oui. Puis c'était la première fois que je trippais.

Bien, c'était la première fois où j'avais le retour de la salle comme je voulais. Il y avait une bonne crowd. J'avais changé quelques affaires dans mon delivery qui a comme ressuscité des jokes. Puis ça a bien été, en tout cas. Quand je le réécoute, je fais comme, « Ouais, je ne suis pas Mike Ward ou Martin Matt. »

Je veux dire, ce n'est pas... Mais tu sais, là, tu es rendu à ta quatrième fois. Ça serait insultant, Chris, pour Martin Matt que déjà après quatre shows, Maxi appelle Martin Matt et dit, « Martin, on a engagé Yann. » Mais sérieux, je trippe

solide. Je ne pensais pas que c'était ça. Il y a bien des affaires qui ont triplé mon respect que j'ai envers les humoristes à cette heure-là. Quand tu regardes un humoriste, il y a des humoristes que je trouvais... Bon, ils n'étaient pas à mon goût humoristiquement,

mais là, aujourd'hui, je regarde ce qu'ils font et je fais comme « Ouais, mais Chris, c'est quand même génial, ce type, c'est quand même... » C'est pas aussi facile que ça en a l'air. Ça a l'air facile comme job, mais c'est... Ouais. C'est pas aussi dur que ça non plus, mais c'est pas aussi simple que le monde pense. Non, non, c'est ça. Mais c'est pas aussi dur que ça non plus mais c'est pas aussi simple

que le monde pense non non c'est ça mais c'est trippant c'est comme c'est un beau hobby surtout qu'on a la culture de tout ça ici il y a des soirées d'humour

partout puis là le fait que je vlog beaucoup ça j'en parle dans mes podcasts dans mes vlogs je me fais inviter dans plein de soirées dans plein de soirées d'humour

puis les gens ils votent. Je leur dis que je suis Yann Thériault. À date, ça a peut-être fonctionné une fois mon hostie numéro. C'est pas grave, je veux t'avoir. Je suis invité partout et je dis oui à tout. C'est cinq minutes. Au pire,

si t'es pas bon, ça donne une anecdote au monde dans la salle. Il y a un petit aspect freak show. On va aller voir le réalisateur de Mike. Non, mais c'est bon. Je suis content que tu fais ça. Tu as de l'air heureux. J'ai hâte de te voir en Abitibi.

Si tu es bon, je vais te garder la semaine au complet. Ça serait mauvais. Sinon, tu me payes un Uber jusqu'à Montréal. Je risque de rentrer le deuxième soir. Je fais, mais Yann, écoute, tu peux filmer des backstage si tu veux. Non, non. Non, mais moi, j'ai vraiment

hâte de te voir. C'est le fun. Puis le monde va triper, je pense. Tu sais, vu que on parle souvent que t'es un gars de l'habitude. Oui. Puis, fait qu'ils vont triper. Oui. Ils vont triper. Hé, je pense, je vais vous présenter tout de suite mes invités. Très content de les avoir. Moi,

cette semaine, il y a de quoi que je suis tout le temps heureux quand c'est quelqu'un qui fait le podcast pour la première fois. Hey Mike, je peux-tu faire de quoi juste avant que tu commences? Parce que ça me fait capoter. Il y a le tape là. Tu peux-tu juste... Parce que ça, si ça débranche, on perd tout. Tu peux-tu juste recoller le tape?

Oui, c'est mon toc. C'est ça qui tient? Oui. Ah là! Ben ouiient Tout ton show tient Sur un morceau de tape gris Là en plus Il était parfait Mais le fait que j'ai mis du tape Ça fait juste mettre de la pression Sur le fil

Charles tu peux-tu aller voir Non il est correct C'est juste à faire capoter. Non, il a l'air correct. OK, parfait. C'est quoi qui est branché là-dedans? C'est l'électricité pour tout ce qui vient à moi. Toutes mes bebelles.

C'est ça le système qu'on a? Oui. C'est tabarnak. 122 000 Patreons. C'est typique. On tape, on utilise du tape. C'est pas mal. 122 000 Patreons. On tape. On utilise du tape. C'est bon. Tout est-tu bien tapé?

Oui, tout est correct. Voulez-vous attendre un petit instant et que je le fixe comme du monde pour être sûr? Fixer comme du monde? Deux morceaux de tape. Il est collé. J'aimerais ça que Charles vienne le fixer comme du monde. Voir c'est où que je l'ai échappé.

Veux-tu venir vérifier la job de tape? C'est que j'aurais mis plus de tape. OK. Mais je n'en ai pas sur moi. Moi, j'en ai en haut. Je vais aller le chercher en haut, je reviens. Non, non, mais c'est folant. On s'en crisse. Si ça j'en ai en haut je vais aller le chercher en haut je reviens ah non non mais c'est pas là on s'en crisse là

c'est si ça tient là on va y aller non non mais ça ah ouais tabarnak tu sais souvent

souvent je fais est-ce que le podcast est en train de remplacer la télé mais je pense je viens de prouver on remplacera jamais rien est-ce que ça on est juste une gang de callistes d'amateurs que train de remplacer la télé, mais je pense que je viens de prouver, on remplacera jamais rien.

On est juste une gang de callistes d'amateurs. Bon, hey, ça te met? C'est ça, j'ai deux... Je peux-tu présenter les invités? Ça prendrait-tu un peu de type-sit? Prendrait pas de chance. Tiens, là, on est prêts. Mesdames et messieurs, content de les avoir fait.

Une bonne main d'applaudissements. Donnez une bonne main d'applaudissements à Sam Boisvert et Kat Levac. Yes. Merci d'être là. Merci d'être là. Merci, ça va bien. Yes. Je voulais faire va bien. Yes.

Je voulais te faire une belle présentation vu que c'est ta première fois. C'est ça. C'était super bon. Là, toi, c'est ta première fois ici. Oui, c'est ma première fois. Tu fais les premières parties de la tournée à quatre depuis quand même un bout.

Depuis, ça fait combien de temps? Depuis un an. J'avais commencé parce qu, depuis, c'est quand même un bout. Depuis, ça fait combien de temps? À peu près un an que j'avais commencé, parce qu'avant, c'était David Bocal. Je faisais mes premières parties à quatre. Puis là, je le remplaçais de temps en temps. Puis là, c'est moi qui le fais tout maintenant. OK. Puis ça, ça doit être le fun pour toi,

de voir des salles. C'est malade, parce que... Ben oui, parce que ça fait... Tu sais, il y a vraiment un clash. Des fois, je fais, mettons, quatre, cinq shows par semaine. Puis j'en fais, mettons, deux y a vraiment un clash des fois je fais mettons 4-5 shows par semaine pis j'en fais mettons 2 avec 4

dans des belles salles mettons en salle Albarusso à Québec pis le reste de la semaine je suis genre aux As-Bars sur Saint-Denis-Mont-Royal devant 8 personnes

qui s'en calissent pis ça fait juste du bien de faire des jokes devant du monde qui t'écoute tu sais comme ça mais c'est vraiment c'est vraiment

une belle expérience je trouve ça permet de t'améliorer aussi beaucoup il y a de quoi je trouve de le fun quand tu fais les deux tu sais comme mettons

tu sais comme toi quand tu retournes jouer dans une petite place que on dirait que t'apprécies toutes les affaires plus après vraiment

tu sais tu dis que c'est c'est le fun d'être devant des gens qui t'écoutent moi des fois je trouve que l'inverse c'est aussi le fun c'est le fun d'être devant des gens qui pas qu'il n. Moi, des fois, je trouve que l'inverse est aussi le fun. C'est le fun d'être devant des gens

qui n'ont pas de pression, mais qui n'ont pas nécessairement payé 50 piastres, qui ne s'attendent pas à quelque chose de super tight, super rodé. C'est le fun d'avoir les deux, vraiment, vraiment, je trouve. Il faut les deux, en fait. Moi, j'ai fait cette semaine la première partie à Daniel Grenier.

Moi, je jouais à l'Assomption. Puis lui, il jouait genre à... Je pense à... Je ne sais pas. À Repentigny, je pense. À 10 minutes. Puis j'ai fait, « Ah, je vais aller faire sa première partie. »

Puis moi, j'ai eu bien du fun. Mais c'était drôle quand je suis arrivé. Il y avait des enfants dans la salle. Il y avait plein de monde qui font attention pour être sûr de jamais être un show que moi, je vais être là. Mais là, je suis arrivé

et j'ai vu la déception de bien des parents. Ou l'inquiétude. C'est ça, le monde t'inquiète, mais je n'ai pas fait assez long pour gâcher. Pour les traumatiser. Non, je comprends. Mais c'est sûr que c'est différent pour vous aussi.

Parce que je pense que quand vous faites vos shows vous deux nous autres quand on commence aussi ce qui arrive c'est que les gens

il faut toujours les convaincre qu'on est drôle fait qu'on dirait que moi je suis habitué de vivre ce feeling là d'arriver sur scène pis qu'ils me disent c'est pas ce gars là

genre à chaque fois on se dit non on sait pas c'est qui il a l'air d'avoir 12 ans comme on s'en sacre pis là faut que je batte ça pis ça fait que

comme on dirait que c'est toujours challengeant pour moi pis vous vous devez peut-être vous ennuyer de ce feeling là parce que je veux pas dire que c'est vraiment pas facile

au contraire mais c'est plus le début est tout le temps facile quand t'es connu ouais c'est ça j'imagine oui mais c'est quand même drôle ou pas drôle que tu sois lui joué au jeu

mais après 5 minutes ça change rien c'est ça dans le sens que après 5 minutes de votre show ça change rien exactement dans le sens qu'après 5 minutes de votre show si c'est pas un bon show le monde va faire comme ben

c'est ça il va être encore plus déçu même c'est ça il y a quand même une grosse pression qui vient avec ça il y a rien de plus triste

pour quand tu rentres sur scène pis ta clap en rentrant t'es plus grosse qu'en sortant il y a rien de plus rechangé moi chaque fois

ça m'arrive je suis découragée pis même des fois, si j'ai vraiment une belle clap en rentrant, je me mets à freaker vers le milieu du show que je fais. Il me semble que ça marche moins que quand je suis arrivé.

Ah non, là, vous étiez juste de bonne humeur, mais pas à l'écoute pour autant. Des fois, je me dis ça. Mais Sam, c'est le fun parce qu'il arrive, il s'aide le ton de... Il est très calme, très posé. Si tu n'écoutes pas, tu n'auras rien. Il n'y aura pas de feu d'artifice. Il ne va pas crier jamais.

Ce n'est pas le cercle du soleil. Tu écoutes ou rien. Il s'aide ce ton-là. Quand moi, j'arrive, les gens sont vraiment en écoute active. J'ai fait des shows. Il était partout au Costa Rica. J'ai fait des shows sans lui. Des fois, des shows sans première partie. Peu importe. J'arrive et je fais comme... Ah oui, c'est vrai. j'ai fait des choses sans lui. Puis des fois, des choses en première partie, peu importe. J'arrive, puis je fais comme, ah oui, c'est vrai,

c'est ça qui sort, Sam. J'ai vraiment... J'ai vraiment trouvé... Je sais pas, c'est comme... Il pense que ça va... Tu sais, je trouve que quand il est là, déjà, il donne la fin. Non, c'est pas vrai. Non, mais déjà, vous allez écouter. Quand j'arrive, c'est déjà 7h.

Je mets la barre vraiment en bas. Mais il est 7, le ton. Puis il est vraiment... Je l'aime pour ça. C'est vrai que quand t'arrives... Moi, je le vivais aussi en faisant les premières parties. Puis je n'arrête pas de... Je suis obsédée avec tout ce que j'ai aimé de faire une première partie.

Tout ce que je n'ai pas aimé. Je ne veux pas que Sam le vive comme un parent qui est comme toi aux études. Parce que moi, je n'ai pas eu la chance. Un peu de même. Puis je trouve que Sam... Je veux vraiment qu'il... Au début, t'arrives, puis les moi, j'ai pas eu la chance, un peu de même. Puis je trouve que Sam, je veux vraiment qu'il... Tu sais, au début, t'arrives, puis les gens, ils t'aiment pas.

Avec JF Mercier, moi, c'était JF Mercier. Fait que des gens un petit peu... Des gens quand même super heureux d'aller voir JF Mercier, mettons, super contents de le voir, JF. Fait que moi, encore plus comme, arc! Vraiment un sentiment de comme, c'est qui? On veut vraiment JF Mercier.

Puis à la fin, quand ils t'aiment tu es encore plus valable non seulement vous vous maïs il vous mettez là vous même et pas genre vous même et vous même et vous ne m'aimez vraiment pas tu sais pas que des fois c'est ça c'est fou ça se passe en 12 minutes bravo pour ça c'est quand même vite c'est ça les gens des fois

sont sur leur sel quand ils rentrent et ils jasent mais je trouve que sans joke tantôt je parlais que c'est le fun de faire ses choses

dans des belles conditions mais quand même c'est pas difficile de faire des premières parties dans des grosses salles quand même parce que c'est des belles conditions mais c'est vrai que

je trouve que c'est vraiment une chance que j'ai de faire des grosses salles quand même parce que c'est des belles conditions mais c'est vrai que je trouve que c'est vraiment une chance que j'ai de faire ça à mon âge puis si tôt dans ma carrière de voir des grosses salles de même puis de parler à du monde qui ont payé 50 piastres

ça met quand même pas de la pression mais ça me force à être meilleur j'ai comme pas le choix parce qu'après c'est 4 si je suis vraiment mauvais ça apparaît après

parce que si je suis chaud c'est ça si je suis chaud il mauvais, ça paraît après. Si je suis chaud, c'est ça. Si je suis chaud, il y a mille personnes qui perdent leur soirée. Tu dis à cet âge-là, t'as quel âge? J'ai 22 ans. T'es trop vieux pour être ami avec Yann.

Pour rien! Mais je pourrais avoir l'air d'un ami à Yann. Je pourrais faire 16-17 t'as un babyface t'as une pilosité t'as à peu près une barbe un peu plus que moi je devrais me raser

mais là j'ai oublié de me raser c'est vraiment pas beau c'est vraiment un petit duvet tu veux-tu toucher Mike? non c'est très doux quand même mais en plus ils sont comme un peu blonds fait que là t'es comme

il sait-tu comme si avant de partir t'as fait ben ouais pas besoin de me le raser pour vrai t'as 100% raison c'est pas une belle barbe que j'ai mais je trouve ça le fun que t'aies remarqué parce que y'a 2 ans j'en avais 0-0 pis là je trouve ça le fun que t'ailles remarquer. Tu sais pourquoi? Parce qu'il y a deux ans, j'en avais zéro, zéro

puis là, je trouve ça le fun que t'ailles remarquer. Au moins, le monde remarque. C'est laid, mais les gens remarquent. Fait que dans trois ans, peut-être que je vais... Ça, t'as-tu fait pousser ta barbe pour être comme,

dans ta tête, un hipster? Non, non. Vraiment, non. C'est vraiment juste parce que j'ai pas pensé. Ça serait que, tu sais, t'ailles, ta barbe-là, longue de main,

puis tu te fasses un man bun, mais sans faire pousser tes cheveux. Juste un mini man bun. Il y en a qui le font. Il y en a des gars qui ont un tout petit man bun que je suis comme, mon Dieu, un petit man bun rempli d'espoir. Il a une petite petite peau.

Le man bun réel. Oui, oui. Le petit réel haut que je commets. Si tu as des cheveux clairsemés, peut-être que faire une boule sur le top, ça ne l'aide pas tant que ça. C'est ça. Ça ne va pas à plusieurs personnes.

Il y a bien des gars que je suis comme, ah, tu vois, non, comme maintenant, mais... Tu sais, les filles, on s'en fait des affaires qui n'ont pas de maudit bon sens, donc j'ai arrêté de chialer. C'est vrai, là. Comme quoi? Des extrêmement longs cils.

Word. Des cils super pesants, c'est un monarque, c'est un papillon, là. C'est rough, quand même. C'est vrai que ça fait long, mais toi, as-tu déjà eu ça,

des longs cils? Non. Ben, des faux cils, là, j'ai jamais eu. Puis là, vu que j'ai remarqué qu'ils sont longs, je suis comme, ça, c'est un fake. Elle a juste dit qu'elle aimait pas,

je comprends pas les filles qui font ça. C'est pas fake, mais non, je te parle des... Écoute, les filles, vous le savez, qui ont des cils pesants, que ça tombe dans leurs yeux, ben c'est sûr que ça agrandit le... On voit pas tes yeux, t'es aveugle, pis c'est vraiment rough à ce un roi face niveau le message c'est des faits de région quand

des business de cils qui force d'autres faits de région acheter leur style de business mais ouais c'est qu'on en fait une autre cdp puis moi je contente parce que ça me d'habitude on est sollicité pour venir au podcast me demande je peux trop michel nous demande mais là c'est la première fois que j'ai Moi, je suis contente parce que Sam, d'habitude, on est sollicité pour venir au podcast. Tu me le demandes ou je ne sais pas trop, Michel nous le demande. Mais là, c'est la première fois que j'ai fait la demande de venir au podcast avec Sam. C'est cool.

J'ai forcé. Merci d'avoir invité Kat et Mike. Sam, je l'aime vraiment. Je sais que Mike, on ne se connaît pas beaucoup. Moi, j'ai appris de quoi en haut? Que tu avais fait un papier sur moi au secondaire. Il y a six ans. Il y a six ans, exactement.

Il y a littéralement six ans. Deux semaines. Il y a six ans. L'autre jour. L'autre jour, j'ai fait un devoir sur moi. Mais c'était sur... Pas sur ma carari en général. Un texte d'opinion.

En fait, c'est ça. C'est que le devoir, c'est un texte d'opinion qu'il fallait faire au secondaire sur un sujet d'actualité. Puis c'était... C'est pas exactement en même temps que ça. C'était un peu après ça. Mais c'est quand Marc avait fait sa joke

sur Revenu Québec, mais qu'il avait utilisé Cédrica Provencher comme référent. Je sais pas si vous vous en souvenez. On s'en souvient aussi. On s'en souvient. On a parlé de ça depuis 20 ans. C'est pas si longtemps que ça. En fait, moi, j'avais prisisé Cédrica Provencher comme référent. Je ne sais pas si vous vous en souvenez. On s'en souvient aussi. On s'en souvient. On a dit ça depuis 20 ans. Ce n'est pas si longtemps que ça.

En fait, moi, j'avais pris le bord à Mike. J'avais dit qu'il y a beaucoup de gens qui pensaient que la joke était sur Cédrica, mais en fait, la joke était sur Revenu Québec. Puis moi, dans mon texte argumentatif de gars de 16 ans, j'expliquais tout ça à ma prof, qui était une madame de 55 ans qui n'aimait pas Mike, visiblement. Elle m'a fait couler mon devoir. J'étais quand même bon en français.

Le pire, c'est que j'allais à l'école privée. Mes parents... Je suis l'air d'un gars qui était bon au secondaire. Je suis gossant. Je comprends. J'étais bon en français. Elle m'a fait couler parce qu'elle a trouvé que ce que je disais, ça n'avait pas de sens. Puis elle a trouvé qu'elle n'était juste pas d'accord avec moi.

Puis mon devoir est parsemé juste de ces notes qui disent « Si c'était ta petite soeur, Cédrica Provencher, t'aurais réagi comment? » C'est comme, c'est pas ça le point, madame. J'ai 16 ans, puis j'ai tout compris. Tu sais, j'étais vraiment fâché. Puis après ça, on est allé voir la direction avec ma mère ta mère est rentrée a fait comme non mais ta mère qui juge juge c'est une juge Il est carré dans l'école. Il est comme, OK, là, mon fils, il a coulé à cause de son opinion.

Ça n'a pas de sens. Là, mon fils, la première fois qu'on lui demande de dire son opinion, vous le détruisez. Vous dites que c'est un imbécile. Puis le piste, c'est que ma mère,

c'est une grande fan de toi quand même. Ma mère, tu allais voir ton show et elle adorait ça. Elle était déjà aussi de mon bord et de ton bord. Finalement, ils ont refusé de corriger ma note

et de reviser ma note. Ils m'ont fait couler parce que le directeur trouvait que ça n'avait pas de sens ce que je disais. Le pire, c'est que c'était mon premier show d'humour que je voulais faire cette année-là. J'avais 16 ans. J'avais commencé à faire de l'humour. J'avais organisé un show d'humour. J'avais écrit 45 minutes de stock à 16 ans.

C'était horrible comment c'était mauvais. C'était tellement pas bon. Mais je l'ai fait pareil. J'avais 16 ans et je voulais vraiment faire ça dans la vie et puis ils menaçaient d'annuler mon show que j'avais organisé et en plus tous les profits je voulais les donner à la Fondation Rêves d'Enfants c'était vraiment je voulais faire quelque chose de bien et ils menaçaient d'annuler mon show parce qu'ils avaient peur que je te copie et que je fasse tes numéros mais j'étais comme ben non, j'ai 16 ans, j'irais pas dire en avant comme moi et Cédrica revenu Québec comme j'ai 16 ans, je n'irais pas dire en avant que moi et Cédric a revenu Québec. J'ai 16 ans. À la limite, je n'avais même pas compris ta joke à ce moment-là.

Je trouvais juste que tu étais bon. Ça a fait une grosse affaire. Ma mère voulait que je te parle de ça. Ils ont-tu... Ils ont-tu cancellé le show, finalement? Non. Mais as-tu fait 45? J'ai fait 45.

Hé tabarnak, ça c'est confiant pour ça. Oui, c'est confiant. Non, c'est plus cave que confiant. C'est vraiment naïf. C'était pas super bon, mais c'était mes amis du secondaire qui étaient venus. Ça marche. Ça marche.

Tu sais, dans le sens que c'est du monde à ton âge. C'est ça. C'est abominable. Ça a quand même été une drôle d'affaire. Surtout que ce prof-là, aujourd'hui, je pense qu'il est encore prof. C'est une drôle de madame. Je trouve ça poche que ces gens-là soient responsables

de l'éducation de nos jeunes. C'est quoi cette école-là? Je veux savoir c'est quoi cette école-là. C'est pas privé. Moi, je les aurais chémés. Ça ferait 4 ans que je suis en train de les shammer sur mes réseaux sociaux.

Je les déteste, pis je sais même pas c'est qui. Fais juste me dire c'est qui l'école. Ça me dérange peu de dire, si vous voulez, là. Ça me dérange pas. Mais je veux pas nécessairement que ça devienne un fléau. Yann, Yann, s'il te le dit, tu rentres pas là avec un fusil, par exemple. Là, là, tu as écrit,

j'ai entendu le ton dans ta voix, là. L'agressivité, Yann. Ça n'a pas de bon sens. Tu vas arrêter de boire, Yann. Ça n'a pas de sens. Ça n'a pas de sens. C'est quelle école? C'est parce qu'en fait, c'est une professeure plus que l'école.

Dans le sens qu'elle est rendue là. Moi, j'ai quand même eu un beau secondaire. Tu sais, tu te posais, je jouais au hockey, puis j'avais du fun. Mais le directeur est dans le coup, là. Je cherche un mort. Le directeur est dans le coup, mon. Cherche un mort. Le directeur est dans le coup, mon Yann. Ça, c'est clair. Moi, je les déteste, les deux.

Je les ai ciblés. Ça me dérange pas de le dire. Ça te dérange un peu de le dire. Juste l'école. C'est une école privée, mais à Québec. À Québec. OK. Fait que tu vois le genre.

C'est une école privée à Québec, proche des gal. Ah, OK. Fait que tu vois le genre. C'est une école privée à Québec, proche des galeries de la capitale. Fais tes recherches, moi, Yann, tu vas le trouver. Non, mais pour vrai, si vous voulez, je peux le dire, c'est l'Académie Saint-Louis. C'est une école privée à Québec. Puis c'est une école de sport aussi. Fait que tous les jeunes artistiques, un peu.

Puis ça ne me dérange vraiment pas de le dire parce que je n'ai aucun ami de ce secondaire-là encore aujourd'hui. C'était tous des gros joueurs de foot puis tu sais, moi je ne fitais pas dans ce vibe-là j'étais un peu plus artsy. Mais pourquoi tu étais à l'Académie Saint-Louis? Parce que je jouais au hockey

puis c'est ça, bien sûr. Mais j'ai remarqué moi pour les profs, souvent tu sais, le monde qui ne comprennent pas qui ne comprennent pas, qui prennent tout au premier degré ou qui mettent les artistes en marde, c'est souvent des profs tu sais, comment s'appelle l'auteur

qui écrit le livre à Ansel et Gretel ah le gars qui s'est actionné, c'est Patrick Sénica non, non, c'est parce que Yann Godbout lui, c'est une prof d'école qu'elle a lu son livre pis là en fait, tu sais c'est une prof d'école qu'elle a lue son livre.

Puis là, en fait, c'est de la pornographie juvénile. Puis elle a appelé... Qui d'autre que cette prof? Ça fait une couple de fois que cette amarde-là est partie par des profs d'école. Puis à chaque fois, je fais, voyons, tabarnak, t'es supposé former des jeunes cerveaux

puis tu vois un paragraphe dans un livre puis tu penses que c'est de la pornographie. Des fois, les profs, vraiment pas tout le monde, mais des fois, les profs de primaire, des fois, ils vont te parler. Dans la vie, des formations, ils vont te parler comme...

Ils ont une petite tendance à te dire quoi faire. C'est pas subtil, mais c'est très agressant. Mais c'est pas tout le monde. C'est pas tout le monde. Mais des fois, ça arrive. Les profs, genre, « Ah, ben vraiment, j'ai raison dans la classe, fait que je vais avoir raison tout le temps. »

Ils ont comme un petit... Mais pas tout le monde! J'avais jamais remarqué ça. Puis là, tu me le dis, je pense à, mettons, tout le monde que je connais qui est prof au primaire m'a déjà fait des cales de « Là, tu vas mettre tes souliers dans ta cabine. »

L'école, comme... Chez nous, on enlève nos souliers, Mike, s'il te plaît. Ça, si tu... Moi, on dirait... Si tu avais fait un job, est-ce que vous auriez été capable de faire ça, être prof? Moi, je m'en ai les profs.

En Ontario, tu fais pas un bac en éducation, tu fais un bac en n'importe quoi. Si t'as pas de job, tu fais un an d'éducation, puis tu deviens prof. Tu comprends-tu les profs que ça fait des fois? Fait que tu peux avoir un bac en psychos, en finance, puis après,

t'es prof de géo. Moi, j'ai pas tant de job parce que j'ai fait un bac en littérature française comme moi Mike fait que là j'ai pas tant de job je vais faire un an d'éducation je vais être prof mais là ça fait que

en même temps c'est nice parce que les profs qui ont étudié qui sont profs de chimie ont fait quand même 4 ans un bac en chimie fait que ça fait des profs quand même vraiment bien formés

mais littérature française c'est bon pour enseigner l'écriture tu sais ben je le dis c'est bon pour enseigner des vieilles affaires que d le dis, c'est bon pour enseigner des vieilles affaires que d'autres gens vont étudier pour enseigner les vieilles affaires que d'autres gens vont étudier pour enseigner les vieilles affaires. C'est un cercle vicieux de monde

qui s'enseigne les mêmes vieilles affaires. Mais je le dis, il y a deux affaires que tu peux faire avec un bac en littérature, c'est travailler chez Renaud Brue, travailler chez Archambault. Deux affaires que tu peux faire. Ou aller à l'école d'humour comme moi. Finalement, c'est ça moi il y en avait plein des filles dans mes classes

qui étaient comme bon ben je sais pas trop quoi faire je veux être prof moi aussi c'était ça mais ça fait que être prof au primaire c'est tellement intense c'est tellement faut que ce soit ta vocation c'est fucked up être prof au primaire j'aurais peur de

tu sais des fois dans la vie des fois tu as du monde qui t'aime naturellement, d'autres qui ne t'aiment pas. Mais là, vu que c'est des enfants, s'il y en a un qui tape ses nerfs, tu vas être comme « Eh oui, c'est bon, le Simon. » Tu vas le traiter comme une graine et il va peut-être virer fou. Oui. Puis maintenant, les profs disent

que c'est plus de troubles coulés, un jeune. Ah oui? Oui, c'est super de troubles coulés, un jeune. Les parents, l'enfant roi. Maintenant, c'est super difficile. Laler un jeune. Les parents, l'enfant roi. C'est super difficile. La juge qui rentre avec lui. Valérie, esti. C'est exactement ça. Moi, je suis un de ces enfants-là.

Ça doit être rough à être prof. Vraiment. Si tu as commencé à faire du stand-up à 16 ans, tu t'es-tu dit peut-être que je vais devenir ça à la place. » Non, mais ça a toujours été pas mal clair. C'est parce que j'aimais vraiment ça. J'aimais juste vraiment l'humour. Je suis tout le temps comme « Ah, j'aimerais ça

faire de l'humour dans ma vie. » J'en ai juste fait vraiment tôt. Là, j'ai 22 ans et je ne suis pas bon tant que ça. C'est mon métier, mais je trouve ça le fun de commencer tôt parce que dans 10 ans je pense que là je vais commencer à être vraiment bon, je pense que là à 22 ans je suis capable de faire des jokes je suis capable de faire une première partie à Cap mais je sens que tranquillement pas vite je me rapproche d'un point

où je me dis ok je commence à toucher à vraiment ce que moi je veux faire ce qui me donne une légitimité en tant qu'humoriste ou ce qui me rend unique. Parce que souvent, quand tu commences, tu imites tout le monde autour de toi. Tu regardes, mettons, je t'aimais beaucoup,

ou tu regardes Louis-José, on regarde des humoristes américains aussi, comme Louis C.K., puis là, tu fais juste prendre tout ça puis tu essaies de faire quelque chose avec ça parce que c'est tout ce que tu connais. Puis juste en faisant des shows après, tu deviens plus comme toi-même.

C'est sûr que j'ai toujours voulu faire ça, mais je sens que là, je commence vraiment à faire de l'humour pour vrai. Je sens que je commence vraiment à être un humoriste dans les dernières semaines. C'est comme si je suis capable. C'est nouveau, nouveau. Vraiment nouveau. Je sens que vraiment là, je commence à avoir peut-être plus une raison d'être sur scène. Avant, je trouvais que je faisais juste de l'humour pour faire de l'humour.

C'est beau, tu sais, au stade que tu es, ce que j'aimais dans le temps, tu sais, les premières années, ce qui est beau, c'est que tu prends des étapes. Tu sais, les premières étapes, tu les prends rapidement. Puis plus ça fait longtemps que tu fais ça, tu sais, comme quand ça fait... La différence entre quelqu'un que ça fait

28 ans qu'il fait ça ou 25, il n'y en a plus. Des fois, tu pognes des steps, même après 25 ans, mais des fois, c'est un step d'un rembours. C'est un peu moins cool que tu dis « Ouais, il me semble que dans le temps, j'étais capable

de parler au public, puis il ne roulait pas les yeux. » Non, mais c'est vraiment ça, tu as raison. C'est ça, j'ai toujours voulu faire ça, mais j'aime bien ça, je trouve ça le fun. C'est le fun d'être ici, que toi et moi, on ait une discussion. Je trouve ça cool que... Je sais pas si c'était pendant ton temps,

c'est pas ça que je veux dire. Non, mais quand t'avais mon âge, je me demande si c'était comment. Je te pose la question. À l'époque, il y avait pas beaucoup... Il y avait quasiment pas de soirées d'humour. Dans le temps que j'ai commencé, il y avait une soirée d'humour à Québec,

au Dagobah. Il y avait deux soirées d'humour à Montréal. Il y avait le Café Campus, que les gros noms allaient là. Il y avait le Dog, que c'était des shows plus alternatifs. Il y avait des soirées, des fois, à droite et à gauche, qui partaient pour trois semaines,

puis après, ils se faisaient canceller. On se voyait... Tu jouais combien de fois par mois? Au début, je jouais en anglais pour jouer le plus souvent possible. Moi, j'allais à chaque soirée du mot, tout le temps, faire du stock gratuit. Juste pour jouer.

Faire n'importe quoi. J'improvisais. Je ne faisais pas de crowd work, mais j'amenais un kit pour faire des coups de téléphone juste pour être sur scène. C'est malade. Juste pour jouer. Je me disais que ça allait me prendre.

Il y avait quelqu'un qui m'avait dit que ça prenait 500 shows avant de trouver qui tu es vraiment. Je me disais, je voyais c'était comme tabarnak, je me fais booker 4 fois par année 500 shows, je vais devenir un vrai humoriste en 2060 fait que là, je jouais tout le temps tu sais, quand

chez Maurice à Saint-Lazare a commencé la première année moi je n'étais pas booké sur le premier show mais je suis allé, j'ai fait un numéro puis après je suis allé je dois être all fait un numéro. Puis après, je suis allé... Je dois être allé comme, mettons, sur une saison de 40 semaines, je suis allé au moins 25 fois.

J'étais tout le temps là. Chez Maurice? Oui. Mais mettons, tu fais un galop, je ne sais pas, tu fais n'importe quoi, sur un show, tu fais un galop, le stock n'est jamais redé, les gens? Non, c'est ça. Mais dans le temps, c'est ça qui est... Vous ne rodiez pas

tant que ça? Non. Les seuls, mettons, de ma génération qui rodaient, il y avait moi puis il y avait Louis-José, Falut puis Dumpac. C'est pas mal ça. Mais non. Mais tous ceux qui faisaient du bar rodaient là.

Mais sinon, il y a bien du monde qui sortait un show. Tu sais,'engageais ton équipe t'écrivais tes affaires tu testais tes jokes devant les mêmes 6 autour de la table comme Martin Mott a fait un peu moi j'avais eu cette discussion là avec François Flamand qui était le gérant

à Patrick Huard c'est en 2003-2004, il me parlait de comment il avait monté le show pis là j'avais dit est-ce que vous avez testé les gens? Il a dit, Chris, c'est qui qui connaît plus l'humour? Moi, Pipatte ou le public? Je me suis dit, c'est pas le même. Ça marche.

C'était peurant. C'était un contre-masque. Le public change. C'est tellement prétentieux. Pour vrai, si tu es décroché de la société pendant deux mois de temps, il y a des subtilités qui ont changé, que tu n'es pas au courant.

On est… Moi, c'est une affaire qui me faisait peur en vieillissant, c'est que le fait d'avoir un peu d'argent, j'ai une réalité qui n'est pas comme tout le monde. Mais non, c'est sûr. J'appelle dans un restaurant, je peux avoir une table qui n'est pas comme tout le monde. J'appelle un restaurant, je peux avoir une table n'importe quand. Ça va bien,

mais là, je me disais « Ah, j'ai peur de devenir le gars qui parle juste de comment ça va bien. » Il n'y a rien de plus désagréable que quelqu'un qui fait « Tabarnak, me fais manger par les peaux. » Mike Ward présente 200 000 par année.

That's it. Ce sera un bon nom. Mike Ward fait rire les pauvres. Mike Ward voyage chez les pauvres. T'es pire, moi, par exemple. Moi, j'ai jamais fait vraiment de la vraie argent,

mais dans ma tête, quand j'étais jeune, j'étais sûr que j'allais être pauvre toute ma vie. Aussitôt que j'ai gagné plus de 30 000 par année, je vis comme un multimillionnaire. Un prince. Tabarnak. Moi, si j'ai 100 piastres, je le dépense.

Moi, en ce moment, c'est ça que je me dis. C'est la même affaire que toi. J'ai fait à peu près 27 000 cette année. Je n'arrive pas à croire ça que je vous dis ça en ce moment. C'est tellement d'argent pour moi je peux me faire livrer de la bouffe comme si à ce point là vous réalisez-vous à quel point c'est une chance

ben ouais en faisant ce que tu oui en faisant des jokes je peux me faire livrer de la bouffe comme si vraiment les rires du monde je fais 25$ et je peux m'acheter de la bouffe avec ça comme c'est malade non mais comme ça c'est vrai c'est vrai je trouve ça fou là puis là ton année avant t'avais gagné quoi c'était la moitié de ça je pense j'avais je suis vraiment avec plus tu sais j'ai pas

eu de job en sortant de l'école fait que je faisais vraiment que des shows puis à Montréal ce qui est nice c'est qu'il y a plein de soirées d'humour. Mais ça qui est différent, c'est ça. Toi, dans ton temps... Même dans mon temps, c'est vrai. C'est pas un manque d'attesté. Je sais, je sais. Mais il y a longtemps, en fait, c'est qu'il y avait... Il y a longtemps.

Je deviens de plus en plus à l'aise. Ça va commencer à vous manquer de respect pour vrai. Dans 10 minutes, ça va être vous autres, les boomers. Tu vas nous parler de... Il y a plein de soirées en ce moment. C'est ça qui est le fun. Il y a plein de soirées qui te payent

25$ et tu fais 8-10. Quand je sortais de l'école, je ne faisais que des shows comme ça. J'en faisais 2-3 par soir. Je faisais 75$ par soir. C'est comme travailler au Subway. C'est comme travailler au Subway. Je mettais ça dans mon portefeuille. Il y a beaucoup de gens qui s'achètent de la boisson avec.

Moi, je faisais comme... J'avais mes deux coupons de biens. Si je restais prendre un verre, je prenais ça. Sinon, j'entrais chez nous. C'est juste cet argent-là. C'était suffisant pour vivre. Je payais mon loyer avec ça. Des fois, j'avais des petits corpos, des trucs de même que l'école me bouquait. C'était vraiment de la survie, mais j'étais fucking heureux. En sortant ça. Des fois, j'avais des petits corpos, des trucs de même que l'école me bouquait. C'était vraiment de la survie.

Mais j'étais fucking heureux. En sortant de l'école, j'avais 20 ans. J'avais 20 ans. J'étais comme... Je parle comme si ça faisait longtemps. Mais c'est ça. Mais là, la beauté, c'est que vu que c'est assez récent, que toi, tu te rappelles c'était quoi vivre avec 13 000

par année. Puis là, t'as pilote à 27 avec t'es comme taf magie n'était une personne normale que son salaire double dans un an peu importe le salaire tu trouves super riche et ce qu'il y a pas ici ça c'est juste taf à le garder tu es moi moi moi je dis qu'est ce que tu veux dire garder les merveilles mais ou garder que tu doubles la chute moi, excuse c'est long avant que j'explique mon affaire moi la première année que j'ai fait de l'humour j'avais, je pense que j'avais déclaré 1300

mais c'était vraiment ça que j'avais gagné je ne fourrais pas personne je ne fourrais pas le gouvernement mais tu fourrais des gens je fourrais des gens mais mais mais mettons Mais tu fourrais des gens. Mais je fourrais des gens. Nice.

Mais mettons, à 1300, ma mère me déposait de l'argent, mettons, une fois par mois, mais j'arrivais, même sans ma mère, j'aurais arrivé crisse en série, mais j'arrivais quasiment avec rien. Parce que je vivais chez des amis pendant un bout, je payais rien. Je payais rien. Parce que je vivais chez des amis pendant un bout.

Je payais rien. Je payais rien. Après ça, quand j'avais un appart, ça ne me coûtait rien. La vie ne me coûtait rien. L'année passée, il y a deux ans, quand j'ai pris une semi-année sabbatique, je n'arrêtais pas de dire à tout le monde

que je n'avais pas besoin de beaucoup pour vivre. J'ai déjà vécu pauvre. Je sais ce que c'est vivre pauvre. Et là, j'ai essayé de vivre pauvre. J'ai fait, voyons, tabarnak! Je ne peux pas vivre de la même. C'est dur de descendre. Je ne vivais pas pauvre.

J'ai juste fait, voyons, je n'ai pas besoin de deux chars, moi et ma blonde. On peut avoir un char à deux. Non, ça me prend deux chars. Je trouvais ça insupportable de ne pas avoir deux chars, moi et ma blonde. On peut avoir un char à deux. Non, ça me prend deux chars. Je trouvais ça insupportable de ne pas avoir deux chars. Je trouvais ça insupportable de regarder le prix quand j'allais

à l'épicerie. Je suis devenu un petit prince. Je comprends ça. Ça doit être rare, les petits princes qui vont à l'épicerie. Je suis fort dans l'épicerie pareil là, mais... Qui font leur épicerie. Je trouve ça très noble. Je me suis foqué dans mon début

d'anecdote parce que là, avec du recul, je fais l'année de 1300, mes parents payaient 100% de mon loyer. Je sais pas à partir de combien je vivais mais je me sens je me rappelle je gagne en bas de 10 milles puis j'arrive à moi c'est ça

c'est mais c'est c'est ça moi aussi mes parents avaient aidé le tige du sommet c'est sûr que je suis une vie très difficile fait on parle à mon père y avait une compagnie puis il compagnenie d'informatique, il l'a vendue, puis là, il est à son compte. Il fait des trucs avec d'autres compagnies, puis il fait du bénévolat aussi. Il fait du mentorat de jeunes entrepreneurs. OK. OK. Si jamais

vous êtes intéressés... Comme un coach... J'aurais aimé ça qu'il aille à une job vraiment... Dark. Non, mais juste mauvaise. Oui, oui. Voyons, pourquoi j'aurais aimé ça qu'il aille une job vraiment dark non mais juste mauvaise tu sais tu sais

voyons pourquoi qu'il fait pas juste pas travailler pas travailler tu sais j'aurais aimé ça qu'il travaille tu sais

un samedi sur deux au salon de quilles le bout de neuf oui ou genre gérant des fruits et légumes il se fait vivre par fort oui c'est ça

il y a quelqu'un qui me disait la semaine passée ou la semaine avant quand je suis allé aux States il y a une couple de semaines il y a une affaire qu'ils ont aux States qu'on a pu ici il y a du monde avec des jobs vraiment horribles mais qui sont fiers de leur job aux States, chose qu'on a pu ici, il y a du monde avec des jobs vraiment horribles, mais qui sont fiers de leur job.

Au States, chose qu'on avait, moi, quand j'étais petit cul, t'avais du monde avec des mauvaises jobs, mais ils étaient fiers de leur job. Mais on dirait au Québec, tout le monde qui a une mauvaise job, le sait que c'est une mauvaise job et se calisse de sa mauvaise job. C'est vrai ça. Mais ça la rend pire, ta mauvaise job.

Ben oui, non, non. T'es mieux de laver la vaisselle avec un sourire en disant « Ah, c'est cool, je vais pouvoir boire après ou fumer. » C'est clair. C'est facile pour nous autres de dire ça. C'est vraiment facile. Je trouve ça facile de parler de tout ça.

Je trouve vraiment, tu sais, je trouve ça... Je trouve qu'on est des petits princes. Oui, mais c'est ça qui est le fun. Ça va de l'argent si tu peux juger le monde. Oui. C'est sûr. J'aime ça, Yann. Il a commencé à être un peu bourgeois récemment.

Il est rendu dans l'élite. Oui, oui. Je suis rendu dans l'élite. J'ai mon BM. OK. Oui, oui. Je suis rendu dans l'élite. J'ai mon BM. Mais je suis à peu près au même stade. Je suis à peu près au même stade que toi, dans le fond. À peu près. Que moi, Yann.

Oui, c'est ça. Yann, c'est quoi pour toi? On est des amis, c'est normal. On a à peu près le même âge. On fait partie de l'élite. Je me fais venir du Uber Eats, puis je me dis, « Calisse que je suis le gars le plus riche au monde. » Oui, mais c'est malade. Je suis d'accord, c'est malade.

Il y a quelqu'un qui vient me porter mon souper. Il y a un gars qui me fait mon souper, puis il y en a un autre qui le relaie pour venir me porter mon souper. Tabarnak, je suis un roi. Neuf fois sur 10 en plus c'est genre un ingénieur ce gars-là

comme c'est souvent ça comme ça pis en plus Uber Eats ça donne l'impression de faire partie de la monarchie parce que tu donnes pas d'argent

c'est comme si t'avais un servant qui arrive pis là il s'incline tu lui donnes rien il fait juste te donner le sac il s'incline

pis là il s'en va en reculant il te sert tes affaires. Toi, tu rentres dans ta maison, tu manges la bouffe. C'est ça le deal que t'as avec eux autres. Ça me fait penser, tu sais, j'écoutais The Crown, puis ça me fait exactement penser à ça. pensé à ça.

C'est un chien. C'est un chien. C'est un chien. Toi, tu dois te sentir riche depuis un bout. Moi, je me sens riche depuis que j'ai génie, Yann. Je ne sais pas si tu es rendu là dans ta monarchie,

dans ta génie Montréal. Tu connais ça? C'est quoi, ce génie Montréal? Ah oui, génie. Ah, je dis que c'est hot, ça. Ça, c'est mon obsession. Ça va changer ta vie, çanie Montréal? Ah oui, Génie, je dis que c'est hot, ça. Ça, c'est mon obsession. Ça va changer ta vie, ça, Yann. T'écris sur Messenger, Facebook, comme si t'écris à ton ami,

« Allô, Génie, tu demandes peu importe, ils vont te le livrer dans les délais possibles. Mais peu importe. Pour vous m'aider, j'aimerais vraiment avoir six palmiers. OK, parfait. Comme peu importe. » C'est vraiment... C'est 24 heures sur 24, hein? C'est pas 24 heures sur 24.

D'ailleurs, je passe un petit message. Ça pourrait l'être en hostie, mettons. C'est de quelle heure à quelle heure? Ça dépend des jours. Il faut que tu calcules s'il y a une tempête. Comme hier, je me suis fait livrer de la fleur d'ail. Il y avait une tempête. Ça a pris plus de temps.

Tu t'es fait livrer de la fleur d'ail? C'est pour une petite recette. Mais finalement, j'avais fini ma recette. Mais tu sais... En tout cas... Mais là, en ce moment, j'ai pas mon sac. Je pourrais vous montrer. C'est vraiment une obsession.

J'ai un peu honte, mais mettons, des petits codiacs, d'eau cerise, n'importe quoi. T'as faim pour quelque chose en particulier. T'as soif pour quelque chose. T'as besoin d'aide pour déménager. Tu veux pas laver tes planchers. De l'autre fois, je faisais mes plates-bandes avec ma grand-mère. J'avais oublié d'acheter les gros sacs bruns

pour mettre les feuilles. Je demande à Génie. Génie arrive, quelqu'un qui droppe les sacs, il repart. Là, ma grand-mère était comme, what the fuck? Elle est là. Elle est comme, pourquoi ils ont droppé les sacs? C'est qui, eux autres? C'est des brillants. C'est certain.

On les a pas payés. C'est toi qui es la brillante. Je toi qui la brillante je me non sa carte de crédit ben si tu leur donnes un nouveau quart de crédit ils ont pris tout ton argent puis c'est vraiment expliqué à ma grand-mère c'est quoi j'ai mis mais cela c'est genre mon obsession j'ai un problème avec ce jeu un réel problème je vais aller plus loin j'ai des gros problèmes de patience si j'oublie quelque chose à quelque part j'ai oublié d'acheter quelque chose pète des caches facilement alors Si j'oublie quelque chose à quelque part, j'oublie d'acheter quelque chose, je perds des coches facilement. Alors là, j'ai mis... Ah oui? Très facilement, vraiment.

Comme tantôt, il a fallu poser un luminaire chez nous. Je me suis complètement... Je n'étais pas dans le projet. Ce n'était pas moi qui s'occupais de ça. Puis j'étais...

Tu sais, s'il y a un film... Mais ça t'a fâché pareil, même si tu n'étais pas dans le projet? Moi, je regardais et j'étais comme... Tabarnak! J'étais impatiente.

On était au Home Murderer. Le petit gars s'appelait Danny. Il sentait le lavage. J'étais super fan de Danny. Puis, il nous expliquait. Il sentait le lavage? Il sentait tellement le lavage. C'est comme quand c'est ta mère qui lave.

Il y a un bon gain. Oh, le lavage. Je comprenais Laval comme la ville de Laval. Ah non. Je fais comme « c'est quoi ça? » Enfin, il sentait l'inverse de Laval. Il sentait super bon. Puis, vraiment, il nous a tous expliqué. Puisiqué et moi j'étais comme « je ne peux pas ».

C'est vraiment une mauvaise journée. Je suis arrivée dans le garage et je suis venue en plus. On a parlé de savoir avoir une maison. C'est donc bien le fun d'être fière. Là, je m'en crie, je veux vraiment avoir un condo dans Griffintown. Je ne veux pas être responsable de rien. Je suis écoeurée de ça. Je n'ai plus de patience. Moi, c'avait...

Pis moi, c'est une vieille maison des années 1800, fait qu'y'a un cachet, mais c'est tout ce qu'il y a, mettons. Pis là, y'a comme... Y'a un tuyau qui a pété, pis y'avait full d'eau dans le garage. Pis moi, maintenant, je regarde ça pis je suis comme... Mais c'est sûr que ça coûte 47 000 piastres.

Chaque affaire qui pète coûte 47 000 piastres. J'ai l'impression. J'ai vraiment l'impression. Pis la seule personne avec qui j'ai eu la conversation, c'est Julie Snyder. Oui, je dois être riche. Quand tu parles de ça, Julie Snyder... Julie est comme, « Oui, ma maison, on parle de ça. »

Je pensais jamais dire ça, mais la seule personne qui me comprend, c'est Julie aussi. Ce n'est vraiment pas une bonne affaire, peut-être dans une vie. En tout cas, tout ça pour dire que génie, là. Abonnez-vous. Moi, je pensais que c'était 24 heures, parce que moi,

c'était... Quand je l'avais découvert, c'était Mehdi qui m'avait parlé de ça. Puis c'était après un sous-écoute. Fait que, tu sais, on a fini, il était comme minuit et demi. Puis là, il avait dit, ils peuvent te trouver n'importe quoi. Puis j'avais demandé un DVD. Je voulais un DVD du deuxième show

de Lise Dion. Un tube d'Aqua Fresh. Je voulais pas du Crest. Ils vendent ça dans n'importe quel dépanneur. Du Aqua Fresh. Il y a personne qui a du Aqua Fresh. Mais ils te l'ont apporté? Ça a marché?

L'autre affaire, je pense que je voulais un râteau. Un râteau ou une pelle, une mini-pelle métallique de jardinage. Puis, ils ont tous trouvé, dans la même soirée, même le DVD de Lésion, ils ont appelé. Il n'était pas minuit encore,

puis il restait deux clubs vidéo dans le coin de Montréal. Ils l'avaient pas. Ils ont appelé leurs parents. Il y avait genre... Une des personnes chez Génie, sa mère avait un DVD. Ils sont allés chercher le DVD. Puis ça nous a coûté pour ces trois

affaires-là, genre 47 piastres. C'est pas assez cher pour ce qu'ils font. Yann, je me dresse à toi. C'est pas assez cher pour ce qu'ils font. Yann, je me dresse à toi. C'est vraiment pas assez cher. Quand Medi est arrivé, quand ils sont arrivés, j'ai dit à Medi, j'ai fait, ça n'a pas de sens, je vais te le payer. J'ai fait, j'ai juste 200 sur moi.

Vu que je me disais, ça doit être une affaire. Moi, pour de vrai trouver un tube d'Aqua Fresh et un DVD de Lésion dans le milieu de la nuit, tu vas me donner 200 piastres. Je te ferais pas ça. Je te ferais pas ça à 42 piastres.

Fuck you, Carlitos. J'ai réveillé ma mère. Mais moi, je me pose des questions. Qui travaille chez Génie et est-ce qu'il parle de nous? Parce qu'eux autres, ils savent, bon, quand le mec m'écrit,

qu'est-ce qu'il veut? Est-ce qu'il parle de nous? Puis je pense que oui. Parce qu'eux autres, ils savent, bon, Katlevac, elle m'écrit, qu'est-ce qu'elle veut? Elle veut-tu plus ça? Est-ce qu'il parle de nous? Puis je pense que oui. Parce qu'on est une gang, on commande tout le temps les mêmes affaires, la même marre de coma, la salade paysanne. C'est que du monde, showbiz. Moi, je suis pas mal sûr, c'est un front du journal,

le magazine, le lundi. Il va y avoir des articles « Katlevac tripe sur la fleur de l'ail ». C'est sûr. C'est parce que ça a l'air tellement prétentieux de demander à une telle heure de la nuit un coke diète aux cerises.

Ça a l'air de la pire personne. Ça a l'air d'une personne qui n'est pas capable de gérer ses affaires. Le vrai monde, ils vont à l'épicerie, puis ils font comme « Parfait, j'allais m'en acheter de moi, j'allais me coucher ». Ça, c'est ce qu'ils font, le monde. Mais là, on dirait que ça, c'est disponible, c'est comme un...

Tu peux tout le temps, tout le temps avoir... Tu sais, tu peux tout le temps avoir tout. On a ces plats, j'ai pas mon siège, j'aurais voulu me faire livrer n'importe quoi. Vous auriez faim, pourquoi? Ah ouais, pendant le show. Tu sais, pendant le show. Mais eux autres, ouais, c'est ça, ils vont,

ils peuvent te livrer n'importe quoi, sauf du tabac, pis de l'alcool, pis de la drogue. Pis de la drogue. Ouais. Parce que ça serait weird. Parce que si ils livraient de la drogue, le monde s'en servirait juste pour de la drogue. Totalement.

Ça serait, hey, Jimmy, amène-moi de la poudre. Il ferait tellement d'argent, il ferait tellement d'argent, mais... Amène la poudre à mon ami à Plattsburgh. Pourquoi? Ah! Non, non, regarde. C'est sa fin. Amène-y, ouais.

Amène-y un tube d'aquafresh tu peux aussi demander qu'il planifie ta soirée Génie je sais pas quoi faire à soir propose-moi quelque chose pis là ils sont super super contents ils proposent quelque chose

ils peuvent te dire c'est comme un ami c'est vraiment pour le monde qui ont pas d'amis mais c'est c'est c'est c'est pas robotisé

c'est une gang d'humains non non c'est les humains pis là ils te livrent ton affaire pis il y en a des fins il y en a aussi qui sont moins bons pour choisir les aliments

tu sais mettons ok la salade est un peu fanée il y en a par exemple souvent quand c'est des petites madames ils tapaient pis ils sont comme

c'est correct ben la fleur d'ail justement elle m'a appelé pour dire les sortes pis j'étais comme ben j'apprécie ça tandis que des fois c'est des gars

qui sont comme tu comprends qui vont ça dépend des personnes mais bon mais tu sais en même temps ils vont chercher moi je sais même pas c'est quoi la fleur d'ail pis eux autres sont allés Tu comprends? Ça dépend des personnes, mais bon. Mais tu sais, en même temps, ils vont chercher...

Je sais même pas c'est quoi la fleur d'ail. Puis eux autres sont allés... Ils te l'ont acheté. C'est super compliqué. Mais ça se vend-tu? Ça se vend dans les produits naturels? Non, ça se vend dans les fruiteries. C'était comme une petite échalote, mais plus frisée. Est-ce que vous savez?

Je connais aucunement ça. En tout cas, c'est comme... Je l'ai pas utilisé parce qu'il y avait une tempête et ils ne l'ont pas livré à temps. Ils l'ont-tu livré trop tard? Oui, mais je le savais. Ils disent que ça va prendre du temps parce que telle affaire, telle affaire qui est parfaite.

Ils sont honnêtes. Ils ne te font pas miroiter des... Non, ils vont te le dire quand c'est tough. C'est sûr que si tu demandes des affaires comme un DVD de Lésion ou mettons vraiment... Moi, je suis sûr, ils l'ont juste fait vu qu'il était tard le soir et c'est Mehdi qui le demandait. Il s'était livré au bordel.

Il devait faire, OK, ça doit être juste pour faire rire des humoristes. Ils sont conscients qu'un DVD d'un humoriste à 11 heures le soir, c'est dur en crise à trouver. Peut-être qu'on peut ça comme un petit défi.

Oui, oui. Je m'étais dit le lendemain, je m'étais dit, je vais m'en servir tout le temps. Je ne m'en ai jamais servi, mais je suis rive-sud. Je ne sais pas si c'est le civique. Je ne suis pas bien sûr qu'il ne l'est pas. Oui, il lève ça?

C'est Génie Montréal. Ça s'appelle Génie Montréal. Ça me prend Génie. Je vais peut-être partir Génie Révissable. Oui, ça marcherait tellement. Confédition. Tu deviens dépendant à ça. L'autre fois, j'étais à l'Ontario.

Mon frère achetait ta blondeau. J'étais comme, on peut demander à Génie. Non. C'est une mauvaise personne. Ce n'est pas une vie. C'est ça. Mon frère s'aime en or. Oui, non. » Mais tu sais, mauvaise personne, c'est pas une vie, ça. Mon beau Sam en or. Mais oui.

Tu te sens-tu vraiment comme une mauvaise personne ou non? Ben non. OK, parfait. C'est bon. Je me sens comme si je méritais ça. Ben oui. Mais t'es vraiment, quand même, vraiment fine. Ben non, là, mais...

Je sais pas, je fais d'autres affaires. Toi, en plus plus tu étais probablement quelqu'un tu as en ce moment tu étais une des personnes qui passent le plus de temps j'ai l'impression que backstage le comment quelqu'un est désolé je joue non c'est moi Mike, t'es son idole, tu peux pas lui péter les cordes Fais ton devoir sur toi Il y a 6 ans Il t'a défendu Ta mère va arriver C'est correct

J'avais eu besoin de ta mère Il y a une couple de mois T'as eu besoin de voir Pour vrai, ma mère a elle a lu la décision et elle trouve que ça n'a pas de corolliste de bon sens, la dernière décision. Mais il faudrait que tu y en parles parce que tu le sais, ça n'a pas de corolliste de bon sens.

Vous le savez aussi. Elle m'a juste décortiqué juridiquement pourquoi ça n'a pas de bon sens. Je trouvais ça vraiment intéressant. J'aimerais ça. J'aimerais ça, mais on dirais ça, j'aimerais ça, mais on dirait, moi,

ça fait tellement longtemps, chaque fois, j'en parle trop avec quelqu'un, je me rembarque dedans puis ça devient juste weird, puis lourd.

J'ai fait, tu sais, comme, moi, je fais plus d'entrevues, pantoute par rapport à ça. Exact. Puis,

l'autre fois, il y a une amie d'une amie d'un ami, en tout cas, il y a quelqu'un que je connais qui est journaliste, qu'elle voulait faire, elle disait, je vais te parler deux minutes, ça va prendre deux minutes, t'as l'écrit une affaire pour un journal à New York. Puis là, j'ai fait, OK, je vais te parler, mais ça a été long, puis ça a été long, puis là, il était comme... En 2007, quand tu as écrit la joke,

qu'est-ce que tu pensais? Je m'arrête. Ça aussi, ça ne se répond pas en deux minutes. Il y avait trois ans quand j'ai écrit. Non, mais pour vrai. 2007, tu étais au secondaire. Moi, j'avais 10 ans.

Tu étais au primaire. Pour vrai, je songeais à me faire faire des faux cils. Pour vrai, en 2007. Sincèrement. Moi, je songeais pas à grand-chose. Moi, mon beau-séman, il était ma petite fille. Mais ouais, c'est ça. Fait que, tu sais, c'est weird.

Puis moi, je vis super bien avec tout ce qui est arrivé. C'est juste que chaque fois que j'en reparle, je retombe dedans. Puis ça fait longtemps, c'est long même. C'est ça que je veux sait si je comprends que ça doit pas être ton sujet de discussion de prédilection surtout maintenant j'en parle avec ta main vu qu'elle trop tu sais tu veux que c'est un juge et à comprendre tout puis moi je vais comme moi ça va pas comme ça marche le titre Tu viens de décrire un film d'Al Pacino.

Allez, leur casse les jambes. Je comprends. C'est bien normal. Moi, en 2007, tu étais au secondaire. Christ que je suis vieux! Tabarnak! Moi, j'étais au secondaire dans les années 80. Quand je suis née.

Ah oui, oui, oui. Je me sens vieux. Tabarnak, c'est bien bien ça. Moi aussi, je me sens vieille quand je parle à Sam. Ça fait même peu... C'est vrai qu'on passe beaucoup de temps ensemble. C'est vraiment le fun de passer tout ensemble, par contre. J'aime vraiment, vraiment Sam. C'est vrai, je l'aime beaucoup, beaucoup.

Est-ce que... Quand vous partez faire les shows, vous partez toute l'équipe ensemble. C'est qui qui chauffe? Mon frère JP qui est dans la salle en ce moment. Mon bon JP. Puis lui chauffe. On part tout le monde ensemble.

J'aime ça. Vraiment, Sam, souvent je tuerais pour Sam. Même je tuerais pour que Sam soit confortable. Bien franchement, je veux vraiment qu'il soit juste confortable. Ça sonne crazy, ça. Je tuerais pour qu'il soit confortable. Je trouve que sa vie vaut plus que d'autres vies.

Mais j'en parle sur scène, là. Je suis vraiment comme Sam. Si Sam va bien, ça va bien. Merci. Tu le sens, ça, puis ça me fait vraiment... C'est vrai que c'est vraiment creep. Mais je veux vraiment que Sam soit bien. C'est pas différent de ma mère, tant que ça.

Dans le sens que quand tu y penses, c'est très familier pour moi. On a cette relation-là, vraiment, que Sam est tué. Mais tu sais, ça sent, mais c'est pas différent de ma mère dans le sens que quand tu y penses c'est très familier pour moi on a cette relation vraiment que Sam il est tout calme mais tu sais ça Sam c'est parce qu'il est pas à l'aise

il est pas tout le temps à l'aise même l'autre fois je rentre dans l'âge mais là il est pas à l'aise non non il est pas tu sais

mettons dans les situations comme là ça switch il est en spectacle mais dans la vie il est pas il est gêné.

Il est même gêné avec lui-même. Des fois, je l'espionne. Sa propre présence le rend inconfortable. Il se rend lui-même malaisé. Je ne sais pas comment expliquer. Il est comme, « Ok, j'ai-tu bien placé mon cahier? » Mais il est tout seul. C'est bizarre.

C'est ça, sa personnalité. Je veux qu'il soit bien. Je veux qu'il soit le moins possible là-dedans. Je pense qu'il est petit. Ça qu'il soit le moins possible là-dedans pis je pense qu'il est t'sais ça va-tu correct ça va bien ça va bien

non non ça va vraiment bien mais non ça va super bien mais tu me rends à l'aise pis c'est ça qui est fort mais les humoristes me rendent à l'aise

c'est ça qui arrive mais ça c'est une affaire que peu importe moi une affaire que j'ai vraiment découvert surtout avec le podcast tu parles à n'importe quel humoriste

n'importe quel genre d'humour, n'importe quel âge, on se ressemble sur bien des petites affaires que les autres affaires qu'on ne se ressemble pas, on s'en corrige. Oui, il y a Dave Chappelle, on en parlait un peu dans Le Chanteau, peut-être qu'il y en a entre vous qui l'ont vu,

mais Dave Chappelle, il a gagné un prix pour le Mark Twain Award aux États, qui est un gros prix vraiment prestigieux pour les humoristes. Il disait dans son speech que souvent, il est sur scène, pas sur scène, il est en coulisses, mettons,

puis il regarde un autre humoriste sur scène, puis l'humoriste, il dit des trucs vraiment qui n'ont pas de sens, genre des trucs racistes ou homophobes, puis il est juste comme « This motherfucker means that shit. » Comme ce gars-là, il pense vraiment, ce n'est pas juste des jokes, puis il dit « Après ça, on va prendre un verre puis on jase. » Il pense vraiment c'est pas juste des jokes pis il dit

après ça on va prendre un verre pis on jase pis il dit que c'est ça qui est beau de l'humour c'est que autant on peut

ne pas être d'accord ou être différent mais après ça on se rallie tout autour de cette forme d'art là qui est l'humour fait que c'est fucking beau dans le sens que

on peut ne pas être d'accord sur plein des affaires mais on est d'accord que des affaires sont drôles il y a quand même quelque chose de rassembleur là-dedans. T'as-tu vu le...

Moi, je l'ai pas vu au complet. J'ai juste regardé le speech de Shepard. J'ai vu le speech de Brennan, Neil Brennan, que, à Christ, c'était vraiment drôle, son affaire. C'est super drôle, ce que j'ai vu.

Les trois de SNL aussi, que je trouvais ça bien drôle son avocat. Il est super drôle ce que j'ai vu. J'ai vu les trois de SNL aussi que je trouvais ça bien drôle. Oui, oui, oui, avec... De Dave, en fait. Tu sais, le gag, il y avait... En tout cas, c'est Michael

Chee et le Chubby Black. Je ne me souviens pas de son nom, mais il jouait le gros Albert dans un film il y a vraiment longtemps. Oui, oui, il jouait le jeune Bill Cosby, mais sans le viol. Mais tu as deux blacks, puis après le troisième qui est un blanc,

que là, eux autres font... Ils expliquent pourquoi Chappelle, c'est comme un génie, puis c'est un dieu, puis blablabla. Puis après le troisième, il est juste... Moi, je suis ici pour Mark Twain. Puis après, il se met à réciter. Vu qu'il y avait un personnage dans un des livres de Mark Twain puis après il se met à réciter vu qu'il y avait un personnage dans un des livres de Mark Twain Nigga Jim

puis là il commence à parler de comment c'est génial ça, puis tu sens l'estime malade c'est vraiment horrible on sent qu'on est peut-être juste les deux seules personnes qui ont écouté ça mais c'est drôle quand tu t'es mis à me parler

du Mark Twain Award, toi, petit cul, t'as tout le temps été un gros nerd. Oui, c'est ça. J'ai toujours été un gros nerd d'humour, mais c'est grâce à Internet. Moi, chaque soir, avant de me coucher, j'écoutais un show d'humour. Quand j'étais au secondaire, à chaque soir,

j'écoutais le show de Philip Bond. Je l'ai écouté, le premier show de Philip Bond. Il est grande gueule. Quand j'étais au secondaire, à chaque soir, j'écoutais le show de Philip Bond. Je l'écoutais, le premier show de Philip Bond. Les Grandes Gueules. Quand j'étais au secondaire, j'écoutais ces shows-là à tous les soirs. T'es-tu capable encore de dire, mettons, de citer des jokes?

Non, je me souviens pas des jokes de Philip Bond, ni des Grandes Gueules. T'es-tu rencontré, Philip Bond, ou les Grandes Gueules? Non, malheureusement, j'ai pas rencontré. Mais c'est parce que j'ai arrêté de les écouter aussi à peu près à ce moment-là.

Quand j'ai commencé à découvrir les humoristes américains, j'écoutais plus ça. C'est plus frais à ma mémoire, mais après ça, ça a été Louis C.K.

Quand j'avais 16 ans, je commençais vraiment à écouter ça. À un moment donné, tu m'avais dit que tu écoutais en route. Tu étais comme « Ah, moi,

les gens en route, je les écoutais en route. » Je me suis dit « Ah, ça veut dire que je suis rendue vieille si des gens m'avais dit que tu écoutais En Route. Tu étais comme « Ah, moi, les gens d'En Route, je les écoutais en route. » Ça veut dire que je suis rendue vieille si des gens m'écoutaient quand ils étaient petits en route. Moi, j'écoutais 4 en route. C'est ça, il n'y a pas si longtemps. Quand tu étais petit.

Quand j'étais petit, j'écoutais 4 en route. Dans ma tête, je ne suis pas ça. Moi, je suis petite et j'écoute des grands. Il y a un petit qui m'écoute. C'est vraiment à cause de... Oui, mais c'est Internet qui a fait ça. Nous autres, les jeunes, on a tellement accès. C'est vrai que nous autres, on ne pouvait pas vraiment...

De qui, mettons, on a tellement accès. De qui, mettons, de ceux que tu as rencontrés? Quand tu as rencontré Kat, c'est où que tu l'as rencontrée? Moi, je l'ai vue un show d'école de l'humour. J'avais adoré. Il y avait une joke sur le monde de Tremblant. Il disait que le monde de Tremblant, ils ont tout le temps l'air

heureux de porter les vêtements qu'ils portent. J'avais adoré. Parce que je trouve ça vrai, vraiment. Personne ne rit, donc ce n'était peut-être pas un si bon gars que ça, mais je trouvais

que c'était une vraiment bonne joke. J'avais trouvé ça bon et je trouvais qu'il ressemblait à un petit... Je le trouvais vraiment bon.

Il dit qu'il n'est pas bon et qu'il apprend et qu'il devient... Mais il est vraiment brillant. Il écrit tout le temps, tout le temps. Il est tellement travaillant.

Des fois, je fais des longs sommes, j'écoute L'Amoureux dans le Pré, pendant ce temps-là il a écrit, il est tellement vraiment vaillant, tu sais puis c'est là que je t'avais vu, je t'ai dit il est bon, puis t'étais dessus, fait qu'elle quand t'es venue te voir, vu que toi t'es tellement

comme les nerds, tu devais capoter que 4 le vingt un te trouve drôle, puis qu'elle soit allée te voir. Moi, j'avais un gros kick sur 4 depuis le secondaire, en fait, aussi, dans le sens que, tu sais, genre, quand j'avais 15 ans, j'étais un petit gars. Avant que je sois ta mère. Ben, c'est ça, tu sais, genre,

excusez-moi, mais belle femme, là, tu sais, comme Sue Me, là. Non, non, mais, tu sais, elle est super belle, puis genre, c'est une fille, depuis mon secondaire que je regarde, puis tu sais, c'est une belle femme qui fait de l'humour qui est brillante quand on s'est rencontré je capotais après ça qu'on soit devenu des amis

ça m'a fait capoter je trouve que ça devient un peu quétaine c'est pas ça le plus c'est une des plus belles rencontres dans ma vie en fait maintenant on est des amis mais aussi tout ce qu'on a vécu quand même. Dans le sens que j'ai quand même

commencé avec toi aussi plein d'affaires. C'est quand même vraiment cool. Puis quand, mettons, c'était quand le switch que t'as fait, OK, c'est vraiment un ami de... Tu sais, parce que, mettons, la première fois que t'en rencontres, elle te trouve drôle. Mais c'est quand

que t'as fait, OK, c'est vraiment un ami Mais c'est quand que t'as fait « Ah ok, c'est vraiment une amie ». C'est une bonne question. Mais ça s'est fait très graduellement qu'on a juste commencé à bien s'entendre. Je sais pas, on est toujours... Mais moi, pour vrai, son avis m'importe vraiment. Que si tu serais prête à tuer

pour son confort, tu l'aimes en tabarnak. Non, non, Mike, pour vrai, je l'aime vraiment. Il y a des mères qui se trouvent leur, Mike, pour vrai, je l'aime vraiment. Si je te juge, je le défendrais. Non, je l'aime vraiment. Non, non, il faut qu'on aille le porter.

Puis il y a une petite Pontiac Vibe, puis j'adore quand même dans des livres. Je suis comme, mon gars, tellement confort dans la Pontiac Vibe. Pontiac Vibe, c'est des pièces de Toyota, c'est mon Mike. C'est un très bon show. Je me rappelle de ça, mais pour moi, c'est le Lou Bega des chars.

C'est le Mambo No. 5 de Pontiac. 100 % ça. Et c'est pour ça qu'on l'aime autant, ce char. C'est plus tough. C'est tout fait par Toyota. Ils ont juste mis le logo de Pontiac. C'est vrai. c'est comme Pontiac

avait un peu abandonné. Ils ont fait, il vous reste des Matrix. C'est vrai, c'est juste une Matrix. Dans sa Pontiac Vibe, il a décidé qu'il y a le show caché de Louis-José. Un char d'un petit gars qui aime l'humour. Il a décidé de François Pérusse,

le show caché, puis M&M. Moi, le tuer, il est trop fin. Il est vraiment cute. Mon Dieu, je vais le tuer. Souvent, il parle, puis je dis, arrête, je vais le tuer. C'est tout le temps cute. C'est ça le défaut, il nuit à lui-même. Il est juste parfait.

Même sur scène, je suis comme, bonne main d'applaudissement, ça va être tellement fin, ça va me le tuer. Mon Dieu, je vais le tuer. Ça veut dire, genre, t'es fin, je t'haïs, t'es fin. Tu sais, quand tu veux tuer un bébé ou manger un bébé. Sam, c'est le même. Il m'a le tué. Il y a trop d'autres mondes qui utilisent cette expression-là.

J'ai jamais entendu cette expression-là. Non, mais c'est prouvé que c'est normal de vouloir croquer dans un bébé. Ça a été prouvé que c'est normal de vouloir croquer dans un bébé. Ça a été prouvé. Pour vrai? Ça a été prouvé par qui? Par Génie. Non, ça a été prouvé par je sais pas. Mais vous savez de quoi je parle.

Quand tu termines quelqu'un, tu veux squeezer quelque chose fort, un lapin, tu veux squeezer ça. Non, vraiment. En tout cas, Sam, c'est ça. Là, je suis comme... C'est ça, mais il est très... Il est brillant.

Moi, pour vrai, en tournée, tu veux... Tu sais, c'est quoi? Tu veux quelqu'un de bon, on prend en partie, mais tu veux aussi ton ami et quelqu'un que tu aimes. C'est plus important. Il a beau être le plus talentueux, s'il était un tantiné gossin en tournée tu vas être

avec quelqu'un il faut que ça marche sur scène mais c'est surtout tu vas être 20 heures par jour tu déjeunes à mosse avec cette personne là tu veux pas quelqu'un de gossin à chaque fois

tu vois du monde avec bien du talent Qui ont zéro carrière Puis le monde me demande Pourquoi lui, il était tellement bon On le voit nulle part C'est ça, il a raison Je pense que oui Je pense vraiment que c'est sûr

Moi pour vrai, je le disais souvent En joke dans le temps Je le disais même pas en joke Mais moi j'ai eu une longue passe que personne... C'était pas une bonne idée de travailler avec moi. Tu sais, mettons... Mettons, fin 90, début 2000, ce que je faisais était tellement pas populaire.

Mais le monde m'engageait, même si ça marchait pas tant, parce que j'allais être facile dans l'âge. J'allais être juste le gars, 3-4 jokes, prends un vodka Coke Diet. À l'époque, ce n'était pas des vodka Coke Diet. Juste, j'étais léger. Chaque année, il me donnait des galettes juste pour rire.

Chaque année, ça ne marchait pas bien. Mais il savait que je n'allais pas être celui... Ça ne marchait pas c'était pas un désastre mais c'était pas il y avait tellement de monde qui rentrait mettons fort comme moi qu'on voyait plus

jamais moi ils me ramenaient comme si j'avais fait un hit mais je faisais jamais d'hit puis je leur disais le monde aime pas ça arrêtez de me ramener. Puis là, il me ramenait. Puis ça, c'est juste parce que moi, quand c'était fini,

mettons, ça n'avait pas rentré tant que ça, je n'allais pas pleurer dans le passage. Je ne disais pas au monde, tu peux te changer, tu as la fin dans le montage. J'étais juste comme, bon, bien, OK, on va se réessayer dans un an. Je pense que le fait de ne pas être gosseux m'a aidé

c'est sûr mais tu disais que ça allait mal tes galas, est-ce que tu penses pas que c'était une bonne chose mais que c'était peut-être un bon signe si à cette époque-là dans un contexte de galas juste pour rire qui trippait pas sur ce que tu faisais

t'as Michel Lebb qui émette un singe pour faire comme si les blacks c'était des singes. C'est vrai. Les pénis, le gars qui faisait les pénis. Ah, les puppetry the penis? Oui. J'avais fait un gala

avec eux autres. Ça m'avait traumatisé parce que j'ai regardé Side Stage et je me disais « Tu peux faire un hamburger avec le bat, c'est le pain. » Sauf qu'eux autres faisaient

des affaires compliquées. Ils tiraient leur pénis. J'étais comme « Voyons, tabarnak, fais pas ça à ton pénis. » Eux autres, mettons, ils étaient jeunes, les gars, mais à 60 ans, leur pénis ne serax autres, mettons, ils étaient jeunes, les gars, mais à 60 ans, leur pénis sera plus capable de fermer. Ça va juste, ils vont couler

de la piste les 20 dernières années de leur vie. Mais c'est qui qui donnait le go pour ça? Qui faisait oui? C'est Jill. C'est Jill. Mais pas... Le pire, c'est que... Moi le pire c'est que moi j'avais fait un show

un moment donné il y avait un magicien avant moi c'est un magicien japonais qui était qui était comme un mime je me rappelle pas trop ce qu'il faisait qui avait fait comme 28 minutes avant moi.

C'était dégueulasse. Puis là, je regardais, puis le monde n'a juste pas regardé à l'époque, il faisait « Ah, on pensait que ça allait marcher ». Mais c'est souvent, tu sais, il disait « Ah, Gilbert l'a vu dans tel festival ». Puis tu sais, l'humour, ça ne voyage pas tout le temps super bien.

Il a vu un Asiatique flexible, il a fait « Parfait, c'est fait il ya un asiatique flexible il ya fait on va le ramener mais tu es il y avait un gars je sais pas si vous vous rappelez de tout il y avait un gars qui je pense s'appelait je me rappelle pas son nom mais il pétait dans le micro oui c'est pétoman imagine que tu fais en plus c'est des années même à star il faut tout le temps des fois tu te bats avec le monde pour Imagine que... Tu sais, tu fais... En plus, c'est dans les années, même à Star, tu sais, il faut tout le temps, des fois, tu te bats avec le monde pour faire...

Tu sais, l'humour, ça reste un art, puis blablabla. Mais, ah ouais, ça reste un art. T'étais où hier? J'étais en show avec Petoman. Exactement, exactement. T'étais... Ah, yes, sir, je suis cassé.

Ah oui, Petoman. Petoman. Petoman. Oui, asthme. Oh, oui. Petoman. Petoman. Shout-out à Petoman. Mais il était... Dans le temps... Moi, quand je suis arrivé, je suis arrivé vraiment dans les premières,

premières années du stand-up. Mais mes premiers galas, c'est arrivé une couple de fois que j'étais le seul stand-up sur un gala. Wow. OK. Fait que c'est vraiment

qu'il y a des numéros un peu concept, des personn! C'est vraiment qu'il y a des numéros... C'est qu'il y a des numéros, variétés, ou personnages... C'est fou! C'est fou! Ben, tu sais, c'est... Mon premier gala, c'était en 95. Ça fait longtemps.

Ça fait longtemps, mais pareil. T'avais quel âge en 95? J'étais pas né en 95. Ben, c'est ça. Ça fait quand même un petit bout. Ça fait quand même un petit bout. Exact. T'étais pas né. J'étais pas né en 85. Bon, ben c'est ça, tu fais quand même un petit bout de classique. Ça fait quand même un petit bout. Exact. T'étais pas né.

J'étais pas né en 85. Carlis, je me sens jamais vieux. Je viens de commencer à faire de l'abtrit. C'est si j'ai... Non, mais c'est fou. Mais c'est vrai que

la culture du stand-up est jeune au Québec. C'est ça qui arrive. Mais moi, à chaque fois que je parle de ça, je fais, ah si, ça fait pas longtemps qu'on a jeune au Québec. C'est ça qui arrive. Moi, à chaque fois que je parle de ça, je me dis que ça ne fait pas longtemps qu'on a ça au Québec. Mais même mondialement, ça ne fait pas.

Lenny Bruce. C'est Lenny Bruce des années 50. Ça n'a même pas 100 ans. Non, et même Lenny Bruce, il n'était pas comme moi, je veux faire du stand-up. À la base, ça a été comme un genre de MC dans les cabarets.

Mettons, il y avait des chanteuses puis du monde qui venaient faire des trucs puis lui, il fallait juste faire une couple de jokes. Fait que c'était comme

même pas, à ce moment-là, encore une forme d'art, tu sais, fait que c'est vrai que ça n'avait pas si longtemps que ça que ça existe.

Est-ce que vous trouvez qu'on fait pas comme confiance aux mondes qui font du stand-up sur un galop ou quoi que ce soit qu'on fait pas toujours confiance puis qu'on fait pas toujours confiance

et qu'on est comme, ah, ça serait mieux qu'il y ait un petit peu un feu d'artifice à un moment donné ou non? Je pense que souvent, je pense qu'il y a bien de la pression des réseaux. Dans le temps, un gala, je ne sais pas, tu mettais ça à la télé,

tu avais 2 millions de cas d'écoute. Mais là, à ce temps-là, le monde s'en corde. C'est des galas juste pour rire. Fait qu'eux autres, si tu demandais à des créateurs qu'est-ce qu'on devrait faire, il y aurait des idées, je pense, des meilleures idées. Mais c'est souvent le monde de, mettons, TVA ou Radio-Can

qui se rappellent des belles années et là, ils font « Ah, ça nous prendrait énormément les fesses à l'air. » Ouais, c'est ça. Ouais, ouais, ouais. De la danse. Moi, j'avais fait... Il y avait un des gars-là que je faisais. On avait rodé le show au Café Campus.

Excuse, au Club Soda. Non, au Café Campus. Moi, on s'en colle. C'était où? Mais je faisais un number avec Jérémy Demé. Du show de rodage, c'est le meilleur numéro de la soirée ça marchait vraiment bien puis le lendemain j'avais fait c'est cool c'est le ce nombre là il est correct il marche là on devrait se concentrer là dessus là dessus mais je saurais

me dire ouais mais ça prendrait il faudrait boucler la boucle dans ce numéro-là. J'étais comme, c'est juste joke, joke, joke, joke, déco-miste. Là, on a réécrit le sketch, on a bouclé la boucle, puis ça n'a pas marché. Après ça, dans le montage, quand tu regardes le sketch, ça fait un sketch qui est,

c'est drôle, c'est drôle, c'est cheap. En plus, souvent, des sketchs, tu retournes dans les patterns que tu as vus mille fois, puis il n'y a rien de pire que de voir quelque chose que tu fais. « J'ai-tu déjà vu ça? » C'est juste mauvais.

Je comprends. Tu t'ennuies-tu de... Tu sais, comme toi, la fin qui t'a rendu connue, c'est SNL. C'est un sketch.u connue, c'est SNL. C'est un sketch. Oui. Bien, c'est un sketch.

C'est un personnage. Puis, c'était quasiment du stand-up parce que je suis seule puis je dis des jokes. Dans le sens où, m'écrire des sketchs, je pense à la pire enfant. C'est vraiment tough. C'est super difficile d'avoir un bon sketch, je pense. C'est quoi le nom de ton personnage de la Franco-Ontarienne?

Ça s'appelait Paige Beaulieu. Paige Beaulieu. Excuse-moi de ne pas me rappeler de son nom. Bien non, c'est quoi le nom de ton personnage de la Franco-Ontarienne? elle s'appelait Paige Beaulieu excuse-moi de ne pas me rappeler de son nom mais toi il devait y avoir surtout au début du monde qui espérait que tu allais la faire dans ton show moi dans mon show j'ai une ligne de Paige Beaulieu mais en fait j'ai un numéro sur le français en Ontario c'est quoi, qu'est-ce qui se passe avec ça

puis un peu au lieu de rire d'elle, je la justifie, puis j'explique comment ça se fait que du monde finisse avec cet accent-là, puis un peu ce faire-là, mais pour vrai, les gens vraiment oublient, puis ça, c'est la fois que je pense qui me rassure le plus de notre carrière, de notre métier, c'est que les gens, ils embarquent facilement, mais ils oublient très facilement aussi, et je suis ravie de ça, parce que des fois, il y a des fois que tu veux que mais il oublie très facilement aussi. Je suis ravie de ça. Parce que des fois, il y a des enfants que tu veux que le monde oublie.

Puis vraiment, au début de mon show, en Ontario, quand je la name drop, le monde vire fou. Ici, la name drop, j'explique, je mets en contexte, je parle un peu, mais c'est comme ça, on me parle. C'est sûr qu'au début, c'était rachant, parce que première affaire, première affaire, tu me vois à TV, je suis de même.

Le monde devait penser que tu étais de même dans la vie. Surtout que j'étais vraiment de même, surtout que je venais de l'Ontario. On me parlait dans la vie, j'étais comme « Ah, salut! » Les gens pensaient vraiment que j'étais Paige Beaulieu. Là, au début, j'étais comme « Ah! » Tu sors des cas, tu es comme « Ah, ça va-tu être ça, ma vie? » Finalement, non, parce que j'ai eu d'autres contrats et des affaires

et j'ai tout arrêté de Paige Beaulieu. Mettons, il aurait pu y avoir le PageShow à Télé-Québec. Tu dois avoir lu Mila. J'aurais pu être riche avec ça. J'aurais pu être vraiment riche. Tu aurais pu acheter Petro-Canada ou faire des pubs de Petro-Canada? Pub de tout.

Je voulais des grosses affaires. J'étais comme OK, mais je n'ai vraiment pas fait ça ah ouais mais c'est vrai ça aurait été un tu sais t'aurais pu mettre ce personnage-là

dans n'importe quelle pub parce que juste après trois mots c'est déjà drôle ouais puis tu sais elle parle

c'est un peu comme une stand-up aussi mais en même temps ça s'épuise moi je trouve ça s'épuise vraiment facilement tu m'avais dit

faire une carrière là-dessus je suis comme qu'est-ce que tu veux que je te dise c'est super inquiétant faire une carrière là-dessus c'est comme mettre pressé un-ce que tu veux que je te dise? C'est super inquiétant de faire une carrière là-dessus. C'est comme de presser un citron où il n'y a plus rien. Moi, ça me stressait.

Ça m'aurait bien été trop stressé. Ça, ça l'aurait été. Si tu avais fait... Sûrement, si tu avais... Mettons, tu t'étais dit, OK, fuck that. Je vais, dans la vie, je vais devenir page-ballier. Comme, il y a bien des humoristes qui font ça. Il y a des gens qui sont faits

mais après ça ça doit être weird quand tu fais ça là ça marche puis quand ça recommence à dropper t'es comme oh shit

je vais être ça pour toujours un peu comme Gilbert Gottfried aux États oui c'est vrai que ça doit être difficile quand

ça marche plus t'as rien que ça un peu pas rien ça à offrir dans le sens où mettons après il y avait en route je capotais sur en route

je voulais vraiment faire en route parce que je voulais qu'on me voit en stand-up ça a comme cassé un peu l'affaire de Paige quand il y a eu en route mais sinon

je pense que j'aurais mais tu sais mettons si t'étais devenu Paige Beaulieu Paige Beaulieu qui fait le centre belle t'es comme ah ouais

ok mais Paige Beaulieu. Page Beaulieu qui fait le centre belle, t'es comme « Ah ouais, ok. » Mais Page Beaulieu qui joue au pachini de ma scouche, t'es comme « Ah, tabarnak. » « Je veux y aller. » « Je veux y aller. » « J'ai un bac,

esti. » Ça a été l'affaire la plus déprimante. Surtout qu'il y a une vraie page beau lieu, puis j'en parle dans mon show mais je suis comme, oh my god c'est pas ça son nom par exemple? non, c'est pas ça son vrai nom

elle sait-tu que c'est elle? non, elle sait pas c'est pour ça qu'ils sont tellement beaucoup qu'ils doivent être une gang à se dire c'est peut-être moi, je sais pas t'imagines tu fais une carrière sur la vie de quelqu'un c'est fucked up c'est malaisant, c'est vraiment... T'imagines, tu fais une carrière sur la vie de quelqu'un, c'est fucked up, genre. C'est malaisant, c'est un peu

creep, mais je sais pas. Mais le monde nous dit, là. Je vais pas... Non. Parce que moi, le personnage que je faisais avec Patrick Roux... Moi, il a été...

C'était une imitation d'un gars que je connaissais. Oui, et tu l'as-tu dit? Non. Il est venu une couple de fois me voir en show. Quand je faisais le personnage, même une fois, il m'avait répété une phrase que le personnage avait dit sur scène. J'étais comme, voyons!

C'est lui! Au début, ce personnage... Une de ses catchphrases à lui moi j'avais je disais je faisais je faisais hey

t'es mon meilleur ami il serait cool qu'on rentre en appart ensemble puis là lui il était venu me voir en show puis là quand je l'avais vu

j'avais fait ah c'est-tu j'espère qu'il sait pas puis là il s'est mis à me parler puis il a fait ah c'est le fun on se voit pas souvent

mais c'est-tu t'es mon meilleur ami t'es vraiment mon meilleur ami. Il a un certain niveau. Il n'est pas là mentalement à 100%. Non, c'est ça. Mais je pense, je ne le sais pas. Il a de l'air...

Il vient d'où? Je ne peux pas dire où il vient. Mais en même temps, il ne se replacera pas. Non. S'il nous dit ses propres cat phrases, ce serait comme si Pat Gros, il avait un de ses avis d'enfance que j'aime ça des patates non mais ça goûté l'acadait à Musique Plus

ça le petit nœud papillon c'est ça vient c'est le nœud papillon de François Avoir quand il travaillait

chez un épicerie qui n'existe plus pas le je ne me rappelle plus Steinberg c'est son uniforme c'est drôle

c'est le nœud papillon du Steinberg ouais ça j'ai écouté au secondaire Mike je vais te demander quelque chose C'est son uniforme. C'est le nœud papillon du Steinberg. J'ai écouté ça au secondaire. Mike, je vais te demander quelque chose. Ça se peut-tu que tu aies utilisé mon nom dans un de tes numbers à un moment donné? Par hasard,

tu avais un gars dans ton numéro sur l'intimidation. Il m'a dit que le gars qui t'intimidait au secondaire s'appelait Sam Boisvert c'est vrai, c'est vrai c'est exactement mon nom, tu ne savais pas que j'existais quand quelqu'un m'a dit ça, je l'appelle Sébastien tu l'appelles Sébastien

j'aurais aimé ça que tu continues de le faire avec mon nom la seule fois dans ta vie où tu étais un petit peu intimidateur ou juste pour la visibilité vraiment juste pour non visibilité, en fait. Vraiment, juste pour... Non, mais je me sentais... Quand quelqu'un me l'avait dit...

C'est P. White, t'as dit. Puis là, je me sentais mal pour deux raisons. Je me sentais mal que j'avais fait ça, puis je me sentais mal que je te connaissais pas à l'époque. Vu que, tu sais... Moi, en même temps, le fait d'avoir sous-écoute, tout le monde arrête pas de me dire « Hey, c'est le fun, tu connais la relève, blablabla. »

Puis, je connais, mais pas tant. Mais le monde, il te demande-tu pour venir à sous-écoute? Comment ça marche? Mais c'est toi de Michel qui bouge. Oui, c'est vrai, c'est Michel. Je pense que c'est Michel qui demande au monde. C'est weird. Sous-écoute, ça fait assez longtemps que ça existe.

On dirait que les premières années, il fallait que je assez longtemps que ça existe qu'il y a eu on dirait les premières années il fallait que je gosse le monde pour qu'il vienne après il y a eu une période que le monde nous gossait pour venir

puis là c'est comme c'est rendu facile tu sais je pense en tout cas j'ai l'impression que c'est facile

c'est peut-être Michel travaille comme un fou peut-être que Michel est une tannée je le sais pas Michel est brûlé c'est bien facile.

Il est cerné comme Chris. Il travaille 60 heures par jour. Mais j'ai l'impression qu'on dirait là, le monde, ils ne sont plus conscients c'est quoi.

Parce que j'ai vu une longue, ben, mettons un deux ans que tout le monde qui était mon âge ou plus vieux, quand il venait,

il était sûr qu'il me faisait une faveur. Puis je suis comme, ben non, mais tu sais, il y a du monde qui éc mon âge ou plus vieux, quand ils venaient, ils étaient sûrs qu'ils me faisaient une faveur. Je suis comme, mais non, mais tu sais, il y a du monde qui écoute. Ils étaient comme, ça ne joue pas à TV. Personne n'écoute ça. Mais là, à ce temps-là, aussitôt que tu as eu Yvon Deschamps à ton podcast, le monde comprenne que

c'est peut-être... Ce n'est pas moi qui ai mis Yvon sur la map, mais... J'est pas moi qui ai mis Yvon sur la map, là, mais... J'ai aidé! Non, non! C'est drôle, tu sais, je suis allé... J'avais... C'est là que j'ai vu, par exemple,

que le podcast est rendu trop grand public, je pense. Je suis allé à des funérailles hier, puis il y avait... Le monde me parlait du podcast, mais c'est des amis de mon mononcle. Du monde de 72 en mon temps. Là, j'étais comme... Oh, shit!

Pas que c'est weird, mais je réalisais pas le reach que le podcast avait. Je pense que le monde n'aime plus ça quand c'est lent qu'on pense. Je suis que le monde n'aime plus ça quand c'est lent qu'on pense. Je suis sûre. Moi, quand j'ai commencé le podcast,

en plus, le web, il disait tout le temps « Va vite, des clips d'une minute, sinon le monde décroche. » Mais un podcast, on dirait, c'est comme quand tu manges au resto tout seul, puis tu fais « Je vais écouter leurs conversations. » C'est comme quand tu manges au resto tout seul, puis tu fais...

Je vais écouter leur conversation. Oui, c'est un peu ça. Tu sais? Fait que t'es juste, tu manges. Si c'est intéressant, c'est intéressant. Si ça l'est pas, tu fais que ça le vide. Donc, ça calisse. Exactement.

Il y a une affaire aussi qu'on dirait, je ne sais pas si ça fait longtemps que je le fais, mais j'ai pu... Des fois, je fais des podcasts que je fais « Ah, c'est-tu que c'était bon? » Puis après, tout le monde fait « C'était dégueulasse, c'était le pire podcast de fait. » Puis d'autres fois que je fais « Ouais, c'était correct. »

Puis là, c'est le délire. C'est ça qui est tough. Avant, j'avais l'impression que j'étais capable de sizer ce qui était bon et ce qui n'était pas bon. Je ne sais pas si c'est le fait d'être dans l'élite comme Yann. Yann,

ça fait... On s'en est souvent parlé. C'est-tu 2010 ou 2011? ça fait qu'on s'en est souvent parlé de ça a commencé en 2010 ou 2011 sous-écoute on parle de sous-écoute c'est 2011

pensais-tu qu'on parlait du daily buffer non non non 2011 ça a commencé un an après moi mais pas la version ici C'était où? C'était sur Skype. Je les écoutais, c'est pas de chasse. Oui, il y en avait un avec qui.

C'était tellement de mauvaise qualité. C'était bon, par exemple. Il y avait de bonnes affaires. C'était même pas sur YouTube parce que YouTube, à l'époque, tu pouvais pas mettre des vidéos de plus que... Je pense que c'était 8 ou 10 minutes. Ah oui? Oui, fait que c'est sur

Vimeo. Moi, je les avais écoutées sur YouTube, mais tu les avais remis après. Oui, en 2000, quand on a décidé qu'on revenait. C'est ça, je les avais écoutées, moi, c'est ça. Mais ça, ça veut dire, toi, t'es né en quelle année? En 97. 97, petite année, oh my God!

Fait que là, oui, oui. Mais quand le podcast a commencé, t'avais 14 ans. T'étais un kid. Puis le podcast, dans ma tête, j'ai commencé le mois passé. Ça passe vite, ça ne réunit pas personne.

Je comprends pourquoi tu veux le tuer. Il a dit ça nourrit, je dis pas personne. Non, mais ça, c'est mon ami PY qui dit ça tout le temps. PY dit tout le temps cette joke. Crédit à PY. La mère de Sam m'a donné un cadeau de Noël.

Oui. C'est vrai? Des petits chocolats, une belle carte. Moi, je t'avais écrit une carte aussi. Sam m'a donné un cadeau de Noël. Oui. C'est vrai? Des petits chocolats, une belle carte. Moi, je t'avais écrit une carte aussi. Sam m'a écrit une carte. Sam m'a écrit une carte aussi. Une carte tellement belle que je l'aurais évidemment encore tuée. Une longue carte.

Puis Sam est arrivé chez nous. On avait un party de Noël en Ontario. On l'avait invité. On pensait pas qu'il venait parce qu'il était dans un chalet à Québec, quand même loin. Sans crier gare, ding-dong », Sam est là. Je lui ai fait un gâteau de carottes.

Il avait fait un gâteau de carottes. Ah, il a fait Québec. Il s'est rendu en Ontario. Mais en fait, c'est parce qu'il était tanné d'être avec sa famille. Oui, c'est sûr que c'est ça. C'était où? T'étais-tu chez tes parents?

Non, c'était chez mes frères. Je suis à Tablondo, pas loin de Rigaud. Puis nous autres, à Noël, on fait des, c'était chez mes frères. Je suis à Tablondo, pas loin de Rigaud. Puis nous autres, à Noël, on fait des énormes tours de table. On était à peu près, mettons, 20. Il y a un gros tour de table. Puis on enregistre le tour de table.

Il y a un micro. Il y a la technique. Puis il y a toujours des questions, trois questions. C'est quoi ton meilleur moment de cette année? Meilleur moment pour l'année prochaine? Puis une question random, comme l'année passée,

c'est c'est quoi ton rapport au chanteur Loud? Il y a du monde qui était comme, je m'en calisse. Il y a du monde qui était comme, je l'aime beaucoup. Il y a du monde qui était comme, il joue pasen calisse. » Il y a du monde qui était comme « Je l'aime beaucoup. » Il y a du monde qui était comme « Il ne joue pas vraiment d'un instrument. » Tout le monde me parlait de Loud.

Cette année, Sam est là. Je suis un peu gênée de faire comme « By the way, il y a un long moment où tu écoutes du monde que tu ne connais pas parler de leur âne. » Puis tu as essayé de faire des gags sur Loud. Mais là, ce n'est pas Loud. C'est quoi cette année? C'est tes tentes punch. Non, c'est pas Loud c'est quoi cette amie t'as pas regardé tes tentes punch non c'est juste

des amis juste des amis aucune tente et là c'est vraiment le party c'est Make Christmas Great Again c'est comme le party qu'on est tanné

d'être dans les familles fait que là on se regroupe ah c'est cool ça pis on est comme oh mon dieu on re-gift les affaires qu'on a reçues on chiale contre nos familles

c'est vraiment le fun c'est vraiment super cool c'est bien cool ça vous faites ça à quelle date le 29 ah c'est-tu que c'est hot on fait tout le temps ça le 29 pis on est comme oh my god moi il s'est vraiment le fun le 29 astuces et en fait tout à fait le 29 mois il s'est passé ce mémoire s'est passé ce plan bois le sam était là et c'était l'or pour cent plein nombre de l'ontario qui sont comme moi cette année le monde braille le stade et le monde braille agent, c'est sûr que moi je me suis séparée. Puis là, Sam est comme, t'es en train de me faire quelques grosses affaires.

Mais il pensait que c'était pour le fun. Ça a duré genre 4 heures. À un moment donné, il faut tout le temps faire un entrain. Il y a l'entrain. Ah, calisse! Mais pour vrai, l'idée

de cette soirée-là, je l'adore, mais il faudrait enlever ce bout-là. C'est correct. C'était comme ça qu'au début, t'étais genre 5 personnes. Un petit questionnant. Dis un mot qui décrit bien ton année. C'est genre un mot. Tristesse.

Tristesse. Séparation. Sam était tellement poli. Il écoutait le monde. Il nous avait fait un gâteau. Il était super fin de tour. C'était-tu un gâteau pour 20 personnes? Un super beau gâteau aux carottes moelleux à l'intérieur. Un petit fromage dedans.

C'est un bon gâteau. Vraiment étonnant de ça, même, que t'aies fait ça. La recette est au bas de l'écran. Ça serait drôle de mettre la recette dans la description sur YouTube. Pour vrai, je vais te la remettre. C'est délicieux. Il est moelleux.

C'est super. C'est vraiment un bon gâteau. C'est vraiment une bonne recette. Il vous faut un pot en rang. Oui, c'est important. Le trou dans le milieu. C'est super important. T'as-tu ça toi ou t'as emprunté ça?

J'ai emprunté ça, en fait. Parce que, Chris, j'ai 46 ans, puis je viens de réaliser là, ça me prend ça pour devenir un vrai monsieur. Non, non, non. Tu sais, tu ne peux pas être un monsieur si tu n'as pas un carliste, là. Moi, j'ai des cris de gâteau de pauvre cariste.

Merci. Puis ça, c'est les gâteaux. Quand tu revires d'abord, il y a des belles formes. C'est exactement ça. Il avait mis un petit sucre. Un petit sucre en poudre blanc dessus. J'étais comme... Le monde était bien content de ça.

Ils l'ont trouvé bien bon. Tu as ramené ça de Québec? Dans le cas où tu l'as pris? Ça m'a pris 3h30. C'est parce ou sur le banc? Combien ça t'a pris, ce trajet-là? Ça m'a pris genre trois heures et demie. Mais c'est parce que j'étais au chalet, puis j'écrivais. Moi, j'étais là, puis il y avait personne. Fait que là, elle m'a dit, veux-tu venir au party?

Je fais parfait. Puis là, ma mère m'a dit, veux-tu faire quelque chose à manger? Tu peux pas juste arriver là. Je savais que c'était pas toi qui étais comme, bon, parfait. Non, non, non. Je savais, mais... Non, non, non. Je me suis dit, pour vrai, faut que j'apporte quelque chose.

Au début, j'étais comme, je vais apporter du vin. Mais je trouve ça plate, apporter du vin. Puis une bouteille pour 28 personnes. On va boire à deux. Le monde a déjà leur vin. Je devrais apporter quelque chose à manger. Au début, je vais faire une salade de pâtes parce que j'avais déjà fait une salade de pâtes à Noël.

Finalement, j'ai fait le gâteau à ma mère aux carottes. C'est ça, l'histoire du gâteau aux carottes. À ce part-là, il ne faut pas qu'il y ait de la bouffe de Noël. Comme c'est'ai fait le gâteau à ma mère aux carottes. C'est ça l'histoire du gâteau aux carottes. À ce part-là, il ne faut pas qu'il y ait de la bouffe de Noël. C'est tout le temps de l'Indien. Il ne faut pas que ça ait rapport avec les autres affaires que tu as mangées parce qu'on est fucking tanné. Tu as vraiment bon corps pour le gâteau aux carottes. Cela dit, on s'excuse

pour la soirée longue. C'était super le fun. Ça semble le genre de soirée. Ça n'a pas l'air de le fun d'être là, mais ça doit être le fun de filmer ça. Tu devrais filmer ça. On l'a enregistré. C'est le genre de soirée, ça n'a pas de l'air de le fun être là, mais ça doit être le fun filmer ça. Tu devrais filmer ça. On l'a enregistré. On va mettre le lien au bas de l'écran. En dessous de la recette.

On l'a enregistré. Moi, pour vrai, si un moment donné, je fais de l'insomnie, je vais le réécouter. Ça va m'endormir. Tu l'as enregistré pour vrai? Oui. Il est là. Tu l'as-tu? Il a le lien. C'est-tu que c'est drôle? C'est mon projet

qui a resté sur. Tu vas combien de fois par année? Tu retournes combien de fois par année en Ontario? Mais souvent. C'est vraiment pas loin.

Moi, je viens à mi-chemin entre Ottawa, Montréal, l'Est. Fait que t'es à une heure et dix à peu près. Oui. Mais souvent,

je m'en sers. Genre, forcément, je suis en Ontario. Le monde, il me dérange pas. Il parle, je suis à Témines. Mais je suis super. Après, je suis moins loin qu'à aller à Saint-Adèle. il parle, je suis à Témines, mais je suis super proche, moins loin qu'à aller

à Saint-Adèle. Je ne vais pas fouer que ça, mais je retourne vraiment souvent et souvent, chez mes frères, même, ils sont vraiment proches

quand même, ils ne sont pas si loin de Montréal, mais souvent, eux aussi sont chez nous parce que des fois, j'ai pu mon frère, des fois,

il a des petits regrets, genre, il aime ça être en campagne, mais des fois, il trouve ça très, très long. Fait que lui, il vient chez nous,

on est tout le temps pas mal ensemble. J'aime que tu décris ça en disant des petits regrets. Il aime ça être en campagne, mais des fois, il trouve ça très, très long. Fait que lui, il vient chez nous. On est tout le temps pas mal ensemble. J'aime que tu décris ça en disant des petits regrets. Ben, c'est long. Des fois, t'es tout seul en campagne. T'es comme, OK, c'est le fun, là. Mais en même temps, t'es comme, OK, ben là, j'aimerais ça... C'est en Ontario aussi, c'est différent.

Pour vrai, là, il y a personne qui... La vraie de vraie campagne est pas cool, comme la vraie de vraie ville est pas cool. Je suis totalement d'accord. Moi, la campagne, c'est paisible. Non, on est rendu sur une ferme, le monde, on craque pas, le monde... S'il arrive de quoi, je suis à 4 heures dans un hôpital.

Pis si! Pis vous dépendez. Je le dis dans mon show, je trouve que les gens, ils pensent qu'être humoriste, c'est stressant. Je suis comme, non, non,ant. J'ai grandi sur une ferme. Les gens n'attendent pas les rayons, ils attendent la pluie. Ça, c'est stressant. La température, ça me stresse.

C'est des vrais stress. Souvent, mon père a déjà eu des blondes, des madames qui étaient comme « Wow, c'est paisible la campagne. Enfin, je déménage. C'est les vacances. » Après deux semaines, tu es comme « Wow, je retourne chez nous parce que c'est trop intense. Moi, la campagne, j'adore ça, mais ça m'étouffe beaucoup. Je ne me verrais jamais juste être en campagne.

Je vois juste tout ce qui n'est pas possible. Je vois ça. C'est vraiment plate. C'est beau, puis après ça, je suis comme « OK, merci, bye ». Ça m'a énergisé, ça ne m'a pas énergisé, ça m'a demandé beaucoup de ne pas avoir toutes les affaires que je veux. Génie. C'est vrai.

Pour vrai, tu aurais pu faire je décroche, je retourne, vivre en campagne, mais un coup que tu as découvert génie, tu vas juste être en train de crier après tes voisins. Va me chercher! C'est moi déjà! C'est juste ton balcon.

Tu cries au passant. Toi, quel quartier es-tu venu? Sainte-Foy. Je suis venu à Val-Bélair. D'ailleurs, il y a un court-métrage qui s'appelle Les princes de Val-Bé. Val-Bélair, c'est plus rough un peu. Moi, c'était Loretteville.

Loretteville. Loretteville. Quand j'étais petit, il y avait un bar à Val-Bélair que, c'est plus rough un peu. Toi, t'as grandi bien, Mike, déjà. Moi, c'était Loretteville. Non, Loretteville, excuse-moi. Loretteville. Nice. Puis quand j'étais petit, il y avait un bar à Val-Bel-Air que j'allais souvent. C'était où? Qui s'appelait...

C'est quoi le nom? C'était un bar de danseuses qui cartait pas. Fait que aussitôt que j'ai eu mon permis de conduire, ça s'appelait L'Entre-Nous. Oui, oui, oui, oui, oui. Ben oui, ben oui.

L'Entre-Nous. J'allais à l'ent... Je sais quoi. De 16 ans jusqu'à temps que je sois capable de rentrer dans un bar sur la Grande Allée. Mais est-ce que Loretteville, c'est un quartier de Québec

ou c'est juste une autre ville? Loretteville, à l'époque, c'était une vraie ville. C'est une ville. Mais Québec a grossi puis c'est devenu une banlieue. C'est devenu une banlieue. Comme Val-Bel-Heure.

Comme Val-Bel-Heure. Puis c'est super beau Val-Bel-Heure, devenu une banlieue. Comme Val-Bel-Heure. Val-Bel-Heure, puis c'est super beau Val-Bel-Heure, mais il y a eu un bout Val-Bel-Heure que c'était comme le punch de Québec. Mais tu sais, c'est super beau. Mon père, il avait le quartier à côté. Oui, le quartier, c'est super beau. Pas si beau que ça.

Non, mais... Est-ce que tu retournes-tu? Est-ce que tu retournes, toi, des fois? J'étais là hier matin, vu qu'il y avait des funérailles. Moi, j'y vais juste pour des funérailles. C'est qui qui est mort? C'est mon oncle. Mon oncle,

j'aimais vraiment beaucoup. Non, mais... Je l'aimais beaucoup, puis je voulais être là au funérail. Oui, c'est ça. Mais c'est ça qui est plate. On dirait la famille. Là, je les vois juste quand quelqu'un meurt.

Ce n'est pas cool. À chaque fois, je suis comme, c'était le fun, il faut se revoir plus souvent. Mais pour se revoir plus souvent, il va falloir qu'elle meure. Ça met de la pression sur tous les vieux. Est-ce que quand quelqu'un meurt. Ça met de la pression sur tous les vieux. Est-ce que quand quelqu'un meurt, vous regardez

le plus vieux, vous êtes comme... Moi, j'ai regardé une de mes tentes et j'ai fait... C'est la prochaine. La prochaine! C'est ton dernier hiver, Lise. On s'en va. On va fêter mon père cette année

juste pour un peu essayer de battre ça, de juste se voir. Puis en espérant que mon père ne meurt pas avant sa fête. Au fur et à mesure, il va y avoir des hosties de funérailles un peu festives. C'est weird. Moi,

mes parents m'ont eu bien vieux. Là, c'est pour ça. Du côté de mon père, ils sont tous morts. J'ai même des cousins qui sont morts de vieillesse. T'es comme, « Calisse, la tabarnak! » Mais il ne reste plus grand-tête. Puis toi, l'hiver passé, l'école, tu sais comment? Ça a bien été. l'école ça commence la lumière allumée ce fait ok il ya des questions oui ouais il y en a question pour sam de guillaume est ce que tu as réutilisé des blagues? T'en as-tu gardé de ton 45 minutes?

Non, j'ai rien gardé. C'est une bonne question d'après Guillaume. Non, j'ai rien gardé. Tu l'as-tu enregistré, ça? C'est quand la dernière fois que tu l'as regardé? J'ai jamais regardé. Ça, ça va être un affaire qui va être cool dans, mettons, 20 ans. Est-ce que ça va être

spectaculaire de voir ça quand tu vas être quelqu'un de 35? Si on l'écoutait en fin de semaine, ça serait quand même ou tu sais elle se dit que ça va être spectaculaire voir ça quand tu vas être genre tu sais quelqu'un de d'important mais juste si on l'écoutait en fin de semaine ça serait quand même drôle non?

mais tu sais je pense que c'est moi ça me tente vraiment pas de l'écouter ça va être humiliant c'est pour moi en plus quand t'as cet âge là pis tu fais du stand-up

les premières fois tu sais tes prémices durent 7 minutes tu sais 45 minutes t'as peut-être 3 gars. Non, exactement. 45, ça doit être l'affaire la plus lousse au monde.

C'est vraiment lousse. Mais j'avais travaillé vraiment fort. J'avais vraiment mis du temps. Ça fait 16 ans. Mais non, pour répondre à Guillaume, j'ai gardé aucune joke. Tu l'avais-tu réécouté après, à l'époque? J'ai jamais réécouté.

J'étais déjà très mal à l'aise d'être dans mon corps, très insécure. Dès le lendemain, je ne sais pas si c'était bon, je m'en mettais beaucoup en question. À 17 ans, j'ai commencé à faire des shows dans les bars parce que je voulais tellement faire un show parce que j'étais vraiment nerveux

de refaire des shows. À Québec, il y avait une petite soirée au rideau rouge puis j'avais recommencé à zéro j'avais vraiment refait des nouvelles jokes pour les bars j'ai dit ok il faut que je parle à des adultes maintenant fait que j'avais essayé de me mettre dans ce mindset là à 17 ans c'était pas super bon déjà là mais c'était déjà moins pire puis là à force de faire des bars c'est vraiment en commençant les bars que là puis l'anxiété tu sais vu que t'es quelqu'un de nerveux de même

tu dois être quelqu'un d'anxieux non je suis très très anxieux j'ai ben tu sais c'est ça j'ai pas des problèmes mais j'ai

j'ai toujours eu des trucs avec la santé mentale j'en parle un peu sur scène aussi comment tu sais pour monter sur scène comment tu faisais ou comment tu fais

pour t'accalmer moi c'est rassurant de faire de la scène c'est ça c'est que c'est toujours tu sais mettons nos familles nous demandent peut-être ils ont peut c'est que c'est toujours mettons nos familles

vous ont peut-être déjà demandé ça mais souvent les gens dans nos familles nous demandent ça doit pas être stressant de faire un show devant 300 personnes

tout ça je suis comme non moi c'est tellement rassurant mettons de faire une première partie à Cap parce que pendant 15 minutes je suis là

je sais tout ce que je vais dire tout est comme prévu dans ma tête je sais où c'est drôle tout est calculé pis si c'est pas drôle c'est de ma fa je sais où c'est drôle, où tout est calculé. Puis si c'est pas drôle, c'est de ma faute.

Puis si c'est drôle, tant mieux. Dans le sens que c'est tellement clair pour moi, je trouve ça rassurant. Ça me rend pas insu. Là, tu viens de me donner du stress pour le podcast. Vu que, quand tu commençais à en parler, tu sais, le nombre de personnes, parce que pour vrai, ce qu'on fait là, moi, ça me stresse

pas. Mais si on le faisait, c'était juste Chantal. Mettons, juste, on fait... On s'en va chez Chantal. C'est juste elle à sa table de cuisine. Puis on est les quatre à table. Mais Chantal n'a pas le droit de dire un mot. Puis nous autres, il faut qu'on parle.

Puis il faut qu'on l'entertaine, elle. À chaque affaire, je suis comme... Voyons, c'est pas intéressant ça ça me stresserait le podcast m'a jamais stressé mais quand t'as dit que t'étais préparé j'ai fait oh Chris le podcast m'a stressé

je comprends ce qu'on fait ça me stressait plus que de faire un show ça me rassure d'arriver avec mes idées comme je sais ce que je vais vous dire on s'en reparle plus jamais mais comme j'aime, ça me rassure moi d'arriver avec mes idées comme je sais ce que je vais vous dire on s'en reparle plus jamais mais comme j'aime ça j'aime le moment présent

c'est fmr c'est ça que j'aime de faire de la scène c'est que c'est pas capté nécessairement on fait des captations toi mettons quand t'écris la première fois que tu testes tes affaires t'as-tu comme une place que c'est tu fais il faut que je teste la première fois? »

Je vais souvent jockey parce que c'est beaucoup du monde de mon âge qui vivent un peu les mêmes affaires que moi. Après ça, j'essaie de le tester en première partie de carte parce que je vais le faire quelques fois dans les bars parce que souvent, ça va être des gens qui ont des vies pas normales.

Mais oui, des gens qui ont des vies plus normales, qui travaillent de 9 à 5, des gens qui ont, tu sais, qui prennent, qui ont acheté... Des adultes. Des adultes, des vrais adultes. Fait que je fais comme, peut-être que c'est juste bon au jockey, pis là, quand je le fais dans une première partie, devant du plus grand monde, je fais, ok, là, je l'essaie pour vrai, pis après... En plus, toi, ton public,

j'ai l'impression que tu vises vraiment large. Ben, il y a plein de monde, il y a du monde, des petits faits qui vont vivre avec tes vies, pis il y a des madames qui me trouvent bien coquine à te... Tu sais, il y a plein de... Il y a plein de monde il y a du monde de tous les âges il y a des madames qui me trouvent bien coquine il y a plein de il y a plein de monde c'est vraiment c'est un gros défi c'est un privilège je suis vraiment contente

mais à la fois des fois c'est un défi de comme vraiment il y a tout le monde il y a vraiment tout le monde il y a des madames entre elles il y a vraiment du monde en même temps je trouve ça le fun je trouve une chance que j'ai l'homme note à tourner ça fait tu es rendu à combien de billets vendus vraiment j'aurais tu qu'il ya deux ans mais je sais pas je suis rendu à

combien de biens je suis pas vraiment la personne la plus tâte au niveau des Mais ça fait quand même que là, ça fait trois ans. Là, il doit être resté juste un peu de mois. Après ça, je l'arrête. Chris Monchaud, je l'ai sorti il y a six mois et il est fini de m'ordir. Il avait le rodage. Après cet été, moi, j'étais comme assez le fun. J'ai pas de problème. Depuis cette année, c'est le plus gros défi.

Je pense que la fin d'une tournée, c'est le vrai défi. C'est de continuer. C'est le p gros défi je pense la fin d'une tournée c'est là le vrai défi c'est de continuer c'est le pire bout je trouve pis personne t'avertit on te parle juste les médias la première

les ici les ça pourtant une fois que c'est passé pis t'es tout seul pour la septième fois en Gaspésie t'es comme

personne peut parler de ça pis je vis ça quand même mais c'est vraiment en même temps c'est une chance d'avoir une grande tournée je suis contente de ça j'avais écrit beaucoup de nouveaux stocks je reviens dans mon vieux stock

je l'aimais moins mais j'aime encore mon show j'y donne des chances à chaque fois ça je pense c'est le la première tournée ou les premières tournées t'es tellement content

que le monde te fait on te veut pour une quatrième fois à Sept-Îles tu y vas mais à un moment donné tu peux pas aller dans une tournée quatre fois à Sept-Îles c'est trop loin moi on dirait

si vous voulez que j'aille quatre fois à Sept-Îles, bouquez-moi quatre soirs à Sept-Îles et je vais y aller une fois. Je suis super heureux d'aller à Sept-Îles, mais la quatrième fois, je vais être comme tabarnak assez loin et calé. J'ai passé proche Maurice six fois. Je comprends totalement.

Non, tu ne veux plus. Mais je vais être à Sept-Îles. Ça leur a été hâte de plugger mes dates de Sept-Îles. Mais ça, là, en plus, toi, as-tu déjà bien du stock pour le prochain show? Bien, là, je commence à roder des affaires dans mon show pour mon prochain show, mettons. Tu n'as pas peur que, mettons, quelqu'un vienne te voir?

Bien, mettons, je n' vienne te voir? Ça serait jamais plus qu'un... Je sais pas. C'est la première fois que je fais ça. Comme blender deux shows. Que les choses se chevauchent. J'aime pas ça les gens qui mélangent tous les shows et c'est tout mélangé. Il y a des humoristes que je peux pas te dire

sont rendus où dans leur show. Moi, je pourrais pas faire ça, je pense. Mais pour me garder en vie, j, je ne pourrais pas faire ça, je pense, mais pour me garder en vie, je n'aurais pas le choix de faire ça, d'avoir un petit 5, un petit... Je ne te parle pas

de roder un 25 dans mon... Je ne ferai jamais ça. Mais je ne suis pas de genre à faire non plus à la fin de mon show. « Hey, tout le monde, merci d'avoir été là. »

Et là, je rode pour mon prochain et ça vous dérange-tu? Évidemment qu'ils vont dire « Oui, ils t'aiment. » Ils sont bandés là-dessus. Là, moi, je vais roder du stock. Ils vont être comme « C'est nouveau le stock. »

Ils vont rire, my God » Ils vont rire pour rien. Ça ne m'aura pas donné l'heure juste. Quand je rodais pour mon gars-là cet été, je ne disais jamais que j'étais du rodage. Tu le rentrais. Moi aussi, je le faisais. Je le rentrais, puis je faisais comme moi. Là, vous avez moins bien. Comme ça, le monde peut plus les manipuler de même.

Parce que c'est ça qu'on fait pendant tout notre show. Moi, les seules fois que je rote des affaires pour la télé, la seule télé que je fais, c'est Prière de Pompoy et de Fleur. Mais c'était la première fois cette année que j'avais pas le temps de le roder. Fait que là, je me disais « Ah, si, je vais juste... » Je faisais le

Prière de Pompoy et de Fleur de Fallu. J'ai juste fait « Je vais faire mon numéro sur Fallu dans le show. » Mais là, j'étais comme, c'est fucking weird. T'es comme, OK, il parle de la commission des droits de la personne. Il parle de, mettons, un voyage en Haïti. Ah, il parle de Fallu pendant 20 minutes. Tu sais, ça fait...

Voyons, qu'est-ce qui se décroche, ce style-là. Tu vois ça, il était chum. Pourquoi il chie sur Falu pendant 20 minutes comme s'il était mort pendant 20 minutes ça c'est un tu l'as déjà fait

t'as déjà été morte dans ce show là non jamais il m'avait demandé un moment donné je pouvais pas il a oublié de me tuer ça je pense mais quand il te demande c'est là que tu vois que t'es vraiment établi.

Ah oui, OK. Ou comme les affaires dans le direct de l'univers, peut-être ça. Mais moi, je suis tout le temps mal à l'aise parce que même la petite séduction, tu vas là, puis comme des gens se mobilisent tellement, puis je suis comme, hé, je suis désolé d'exister. Claude Pellegag, t'as pas rien qui s'en va faire.

Toute Carlottone sur mer, juste faites d'autres choses. Je me sens mal. Je me sens... Il y a une partie de moi qui est comme, ah ouais, tout le monde a tricoté. Je suis comme,

ben tabarnak, tu comprends? Tu sais, je me sens reconnaissante, mais slash, voyons donc, je me sens un peu de même. Puis,

ces shows-là, des fois, je suis comme, je sais que c'est de la TV, mais je suis comme, ok, là. T'es-tu encore obsédée ces shows-là, des fois, je suis comme... Je sais que c'est de la TV, mais je suis comme... OK, là. T'es-tu encore obsédé

par L'Amour est dans le Pré? Ça devait être 16 ans. On avait vu l'épisode. Moi, j'ai regardé le premier épisode. Ah oui? Puis qu'est-ce que t'as pensé? Au théâtre de la forêt, c'est quoi? C'est qui, les collines? Moi, ma blonde capote show-là, puis j'aime vraiment ça. Puis j'aimais ça. J'aimais ça, mais...

Tu sais, comme toi, t'es obsédé, t'es capable de les nommer. Moi, je J'aimais ça. Mais comme toi, t'es obsédé, t'es capable de les nommer. Moi, je m'en rappelle de personne. La dernière fois que je suis venue, on en a parlé d'un que je pensais qui était gay. Je sais pas si tu te souviens de ça. J'avais soupçonné... Je sais pas si vous vous souvenez de ça. Un des fermiers qui était gay?

Un des fermiers, je pensais qu'il était gay parce que les filles, ils le touchaient. Non, mais pas genre j'ai des problèmes à cocher. Non! Mais pas genre... Mais il était pas gêné parce que les filles, ils le touchaient. Non, mais pas genre, j'ai des problèmes à cocher. Non! Non! Mais il était pas gêné, parce que les agriculteurs, des fois, sont juste super gênés. Lui, il était vraiment comme...

Tu penses qu'il faisait juste trahir des vaches? Je veux que c'est un peu comme un pénis. Mais peut-être, Mike! Il trahit elle-même. Assurément! Non! Alright! assurément non alright mais il est-tu sorti du carré-dome

non là j'ai dit il est sûrement gay on parlait de ça c'est quoi être gay en campagne je sais pas quoi et là

ce gars-là m'a écrit en beau christ de ça parce qu'il a vu le podcast il m'a écrit il était comme by the way

je suis vraiment pas gay genre comme tellement intense qu'il a vu le podcast pas écrit, il était comme, by the way, je suis vraiment pas gay! Genre, comme, tellement intense qu'il est peut-être un peu gay. Ah, il est trop fâché pour pas être gay, là. Et là, j'ai dit, excuse-moi, mon chum. Parfait, qu'est-ce qu'il y aurait? Genre, du coup, j'aimerais bien ça, venez voir ton show.

Parfait. Donnez des billets de show. Je l'ai rencontré. On est allés prendre un verre avec... C'est quoi son nom, déjà? Un petit blanc. On est allé prendre un verre avec... C'est quoi son nom déjà? Un petit blond. On est allé prendre un verre après. Puis là, il m'expliquait que c'est pas que j'étais gay, c'est que toutes mes participantes, j'ai trouvé laide.

Puis là, je suis comme, OK, parfait. Mais c'est toi qui les as choisis, tes participantes. Là, il a dit, ouais, la prod, ils ont pas été fins. Ils m'ont juste mis des fées que je trouvais pas belles. Je lui ai dit, non, c'est pas la prod, c'est eux autres qui s'inscrivent. Parce que c'est des fées avec des cheveux longs, pas de moustache. Tu sais, mais Chris, tu sais, oui, il y a eu...

Chaque gars a minimum 100 photos. Non, mais c'est pas la prod qu'ils ont faite, lui, on l'aïe, on va lui donner des leds. Les leds se sont inscrits avec toi parce que peut-être t'es laid aussi. Mais il est pas laid en plus. Ses filles étaient pas laid. Personne n'était laid dans toute cette affaire-là. By the way, moi,

j'adorais ces filles-là, puis lui, je l'adorais. Fait que lui, ça veut dire qu'il s'est matché, mais après, ça a fini avec la fille. Ou la led, était-tu à la table, puis elle écoutait? Elle était comme, « Hein? OK, je suis une des laides. » Non, il y avait...

« Je suis la plus belle des laides. » « Je suis la gagnante. » « Mais c'est moi la plus belle des laides. » Non, à pourrir, il y avait une fille à la table avec lui qui était comme... Puis la fille, c'est-tu une des filles d'amour dans le prix? Personnellement, je la trouvais plus laide que les laides. Mais ça doit être... Peut-être le fait, c'est-tu une des filles dans le prix? Personnellement, j'la trouvais plus laide que les laides.

Mais ça doit être... Peut-être le fait que c'était la télé. Lui, après, il y a eu des gens de fans. Puis là, il y a une fille que...

Écoute, oui, c'est sûr que c'était une fille. Tu vois ça aller. Il y a une belle terre, ce gars-là, visiblement. Il y a une belle terre. Il y a une belle ferme. Oui, je suis une grande fan. Il est participant dans l'amour dans le pré.

Il m'écrit personnellement. Moi, ce que j'aime de ce show-là, chaque fois que je te parle de ce show-là, je te le dis, mais je pense que il y a un monde qui aime ce show-là. C'est le fun de voir un dating show que c'est des belles personnes

qui veulent jouer, puis pas physiquement, vu qu'ils sont dégueulasses, mais... Non, mais apparemment, eux autres, mais tu sais, c'est des...

Tu sais, d'habitude, mettons, Occupation Double, ils sont encore listes de rencontrer quelqu'un. Ils veulent juste être à la télé, mais à moins dans le prix

ils veulent avoir des enfants tu gagnes une famille tu gagnes même je le dis souvent ils ont beaucoup à perdre ces filles-là il faut qu'ils déménagent

ils n'ont rien à gagner mais non ils sont vraiment c'est du bon monde puis j'écoute ça puis je commence c'est juste du vrai monde il y en a un cette année

il s'appelle Christian ça ah il était smart oui on avait écouté ensemble. Un monsieur, oh my God. Ah, le vieux, il est 57 ans. Ah, il paraît bien, ce gars-là.

Et ses participants, ses madames, sont tellement belles. Si je peux juste être comme ça à 60 ans, holy shit. T'allais faire de la danse en ligne avec une date à un moment donné, c'était marrant. Pour vrai, les madames. Ah non, excusez-moi, c'est pas Christian, c'est comment il s'appelle? En tout cas, il y a un nouveau, vous l'avez vu ou non? Moi, je l'ai vu, mais je ne me rappelle pas de son nom.

Il y a une face de Christian. Il a des yeux bien bleus. Ils sont vraiment beaux, ils sont vraiment fins. Je suis comme, wow, bravo pour eux autres. Toi, quand tu as rencontré le gars que tu avais parlé de lui, as-tu été un peu starstruck? Tu sais, vu que tu regardes la télé. J'avais peur parce que j'étais comme lui. As-tu été un peu starstruck? Vu que tu regardes la télé... J'avais peur parce que j'étais comme lui.

As-tu dit, c'est un honneur? Normalement, oui. On rencontre une petite famille. Je suis comme, mon Dieu, on s'en fait. Mais lui, vu qu'il était fâché... Mais lui m'écrit fâché. Je suis comme, là, je vais le rencontrer après le show. Il m'aïtue.

C'était un peu bizarre. Il n'aurait pas demandé un billet. Des billets de spectacle, à moins d'être sourde. C'est à Amkoui, je aurait pas demandé un billet des billets de spectacle à moins d'être fou raide c'est à Amkoui je pense qu'il est venu à Amkoui qu'il est venu me voir à moins d'être fou raide Nicolas, super fin

je l'ai rencontré on a pris un verre après tout le monde ensemble mais j'étais comme j'arrête de dire de la merde sur le tu sais, j'étais comme... Je sais pas, j'étais comme... Faut que j'arrête de dire de la merde sur le monde à des podcasts en pensant que c'est personne qui écoute ça au département.

Ouais, c'est ça qui est... Tu sais, moi, ma blonde est venue la semaine passée voir le podcast. Ça faisait un bout, elle était pas venue. Puis là, elle écoutait, puis après, elle me donnait des notes. Dans la loge, puis elle était comme... Ça, là, tu devoutait, puis après, elle me donnait des notes.

Là, j'étais comme, ça, tu ne devrais pas dire ça. Mais on dirait... Moi, c'est ça qui est plate d'un podcast. Si tu dis des affaires... C'est ça qui est le fun aussi. Des fois, les gens veulent savoir beaucoup sur toi. Écoute, le podcast, on en dit quand même beaucoup d'affaires.

Mais en même temps, c'est le fun que ça reste. Tu n'as rien dit de mal. Si tu penses que le gars est gay, c'est pas une insulte. C'est amené à genre, on a parlé d'autres affaires, on parlait de l'amour dans le pêche, je l'ai jamais insulté, ce gars-là. Lui, ça l'a insulté que je pensais à tort qu'il avait été gay.

Ça, ça a été super insultant pour quelqu'un qui était amoureux. Oui, c'est bien correct. J'ai rien dit de méchant sur lui. D'ailleurs, c'est lui qui disait que les filles étaient laides. Moi, je suis comme, ah non, Cora Sophie était super belle. Étais-tu belle pour vrai

ou tu disais juste ça? OK, ouais. Je sais qu'il avait raison. J'irais avec une dernière question Ah! Je savais qu'il avait raison. Non, mais il est arrivé à ce moment-là. J'irai avec une dernière question, puis après, je vais vous laisser partir. Non, tu n'as insulté personne dans ce show-là. Non.

Mais c'est du bon monde, celui-là. C'est du très bon monde. C'est du très bon monde. Pose-nous une très bonne question. Je ne sais pas si Kat, elle veut aller là. Oui, oui, vas-y. Mais pour vrai, si tu te demandes ça comme question,

tu ne veux pas aller là? Mais ce n'est pas une bonne dernière question. Non, mais elle revient. C'est rare que... Je ne sais pas si tu veux aller là. Fait que si... Mais en même temps...

Non, mais il y en a plusieurs qui le demandent. OK. Concernant ton coming out, comment tu l'as vécu ton coming out? Il y a du monde qui se demande si tu as subi de la pression pour ça. La pression? Oui, pour faire un coming out.

Bien, c'est sûr que moi, je n'étais pas amcouille. Fait que c'est plus facile. Es-tu juste sortie du garde-robe pour remettre le gars à sa place? Exactement. Non, ce n'est pas si compliqué que ça. Personnellement, je ne vois pas ça comme un coming out. Je ne suis pas en mode, c'est un coming out.

Je n'ai pas sorti de nulle part et je t'ai caché nulle part. Je ne me sens vraiment pas de même. Mais il y en a que c'est ça. Chacun vit sa vie. Je veux juste dire Mais il y en a que c'est ça. Puis moi, c'est des... Chacun vit sa vie. Mais je veux juste dire, c'est parce que c'est particulier être quelqu'un qui devient connu parce qu'avant d'être

connu, t'avais une vie. Tu comprends ce que je veux dire ou non? Moi, j'étais quelqu'un avant que tu me vois. Puis quand tu me vois, tu fais « elle est ça, ça, ça ». Mais moi, j'est quelque chose peut-être d'autre que tu ne savais pas.

À chaque fois qu'il arrive quelque chose, les gens sont comme, dans leur tête, c'est nouveau, mais peut-être moi, à l'université, je frenchais crissement

des filles, que tu ne le savais pas. Tu comprends ce que je veux dire? Moi, je me sens comme moi-même. Je ne me sens pas du tout même, mais chacun a son affaire. Il y en a qui c'est vraiment ça. Il y en a qui c'est super gros

dans leur vie et c'est un gros struggle et c'est un gros dans leur vie plus un gros struggle c'est un gros mois c'est zéro ce sujet je suis une chanceuse la vie de comme je suis juste en ce moment la personne je suis confiant à la fois ce que ça me tente de french et des fiches de french et des filles une en particulier tu es même je le vois pas comme ça je me sens zéro de la pression je me sens plus pour la première fois je me sens genre hockey je gardais ma vie privée pour moi. Là, je sens...

J'ai fait un number là-dessus. C'était là ton coming out officiel? Oui, genre. Pour le public, mettons. Mais moi, j'ai fait ce numéro-là parce que je trouvais ça drôle. Pour vrai, c'est drôle à m'en dire. Puis je trouvais ça vraiment juste drôle.

Mais je savais que ça allait faire de quoi, mais pas à ce point-là. Moi, je suis peut-être naïve, mais je me disais, ça va être drôle, puis tout ça. Mais je ne m'attendais pas à des messages comme, oh my God, merci de rendre ça banal, merci de rendre ça whatever, merci, merci, merci, merci.

J'étais comme, ah shit, peut-être que pour la première fois, ma vie personnelle est importante. Elle peut aider. Elle peut quand même. Ça a quand même un impact. Tu sais, comme tu pensais, tu sais,

le cover de... C'est quel magazine que tu as fait avec ta blonde? C'est Elle Québec. Elle Québec. C'est vraiment... C'est super, un petit beau cover.

Mais ça, c'est clair que ça va aider genre, tu sais, des jeunes qui ne sont pas... Tu sais, qui ne s'acceptent pas encore de faire ok Chris je suis normal

tu y penses-tu avant de faire ça ça va être bon pour les petites filles nous autres on reçoit cette demande là première réaction arc un hostie de cauchemar comme faire un cover c'est pas le lundi je l'explique à ma blonde elle fait pas la différence

j'ai comme non non comme Vogue elle Québec c'est pas le lundi ou le séjour et voilà mais ça fallait je l'explique à ma blonde qu'elle elle fait pas la différence pis j'ai comme non non comme Vogue qui a même pas au Québec elle Québec c'est nice on va être belles c'est pas le lundi

c'est ça là mais elle c'est pas des arguments tant que ça mais là après on y repensait pis on était comme ah si on fait ça

t'sais les gens pis on parle des jeunes beaucoup mais parlons donc des vieux qui sont pas on a l'impression qu'ils sont pas

homophobes les vieux le sont juste comme pas habitués à voir ça évidemment sont pas habitués parce que les gens ils font pas ces démarches le bref qu'on prend comme toute cette affaire le débat ça pourrait durer mille ans cette conversation là mais tu as pour dire que je qu'on a juste fait ça parce qu'on était comme ça va être nice les gens vont être ça va juste être normal puis été comme « Ah, ça va être nice. » Puis les gens vont être comme « Ça va juste être normal. » Puis juste comme « Salut les chums. »

« Ça se peut. » Moi, j'ai pas le... Ici, ma tête est pas rasée. J'ai pas une manche de tattoo. « Ça se peut. » Tu comprends? Parce que ça aussi, c'est plein de préjugés.

Mais d'ailleurs... T'es pas obligée de jouer à la balle molle pour trencher des filles. T'es zéro. Voilà. Juste de montrer ça que ça se peut.

Tant mieux s'il y a des jeunes qui sont comme « yes », c'est pour ça qu'on le fait. Mais je t'avoue, je ne ferais pas 15 cents. Il y a eu des demandes d'entrevues, il y en a eu 1000. Il y en a eu tellement, je les ai toutes refusées. Moi, j'ai fait ça. Allez lire l'entrevue. T'as-tu eu peur?

Comme Danny Turcotte, il avait dit un moment donné, quand il est sorti du garde-robe, Danny, quand il est sorti du garde-robe, tout le monde qui le connaissait savait depuis 30 ans qu'il était gay. Mais lui, le grand public ne le savait pas. Il avait attendu longtemps avant de sortir parce qu'il ne voulait pas devenir le gay de service.

Il y a telle histoire qu'il y a un gay à Saguenay qui a mangé une volée. On va appeler Dany Turcotte pour voir ce qu'il pense de ça. Lui, en même temps, Dany s'est fait porte-parole de ça. C'est différent. Aussi, Danny, ça a été différent de son processus.

C'est-à-dire que lui, il est gay. Moi, j'aime les gars, j'aime les filles. Je veux dire, dans le sens où je ne sais pas. Je suis moins sollicitée pour être la porte-parole de ça. Mais je ne pense pas que je prends ce rôle-là. Je ne vais pas le prendre, ce rôle-là. Parce qu'il y a des intervenants pour ça. Je peux juste faire une différence sur scène,

dans la vie, en faisant des jokes. C'est là-dedans que je vais vraiment oeuvrer à ce niveau-là. Sinon, j'irais pas faire des conférences avec Ariane Moffat. Je ferais pas ça. Le monde te demande-tu? Il faut que tu dises à ton monde

qu'on dit non pour tout. Je refuse tout monde Je refuse tout Qu'est-ce qui est aller dans des écoles C'est un bon mot Pas que je trouve pas ça important Mais je pense que je peux vraiment juste faire une différence sur scène En faisant des jokes C'est un numéro que j'ai mis dans mon show

Pis quand j'en parle le monde sont comme Mais il rit, il rit vraiment Pis je lui ferais pas Mais pour vrai je suis sûr T'as plus d'impact en faisant ça juste dans tes shows qu'en étant partout. Parce que si tu es partout,

à un moment donné, ça devient quasiment too much. Oui, c'est ça. Je pense que ce n'est pas nécessaire. Tu ne veux pas devenir juste ça. Je ne veux pas devenir juste ça, mais en même temps, c'est un gros débat. Des fois, pour vrai, j'y pense juste ça mais en même temps je suis comme c'est ça c'est un gros débat

tu sais des fois pour vrai j'y pense pis je suis comme tabarnak c'est-tu une bonne idée tu sais des fois aussi j'ai des moments que je suis comme

tu comprends mais j'ai fait ça pis aussi je me retenais ça me fait chier moi de retenir d'aller de me retenir d'aller à un événement mettons avec ma blonde

parce que j'ai peur qu'ils prennent une photo de nous à Hollywood PQ on a nos canucs on est laides pis là tu sais tant qu'à ça, on va le faire comme du monde.

On va être belles en cibole, mettons. Ça, c'est plus mon affaire que ça me tentait d'être belle en maudit. Puis après, il y arrivera ce qui arrivera. Comme ça, moi, je n'ai pas besoin de me retenir si je m'en vais à la première de mon show, mon ami Sam Breton. Je ne suis pas comme, ma blonde,

elle ne vient pas. C'était qui, là, où la photographie? Alexis, belle humeur, qui est vraiment jeune, qui est vraiment nice, pas quétaine, pas en tout, de notre? Alexis, belle humeur, qui est vraiment jeune, qui est vraiment nice, pas quétaine, pas en tout, de notre bord aussi. Tu sais, aussi, les revues mode, comme Elle, c'est quand même super beau.

Qu'est-ce que ça veut dire, de notre bord? De notre bord aux artistes. Parce qu'eux, ils ont des fois l'habitude d'habiller des mannequins. Mannequin, c'est un sein. Tu lui mets n'importe quoi, tu lui mets comme parfait. Moi, je suis comme, ben ça, je suis pas à l'aise. Pis là, tout le monde, c'est comme, quoi, t'es pas à l'aise. Tu te demandes pourquoi t'es pas à l'aise. C'est quand même...

Il y a quand même un long... C'est une journée pas de merde, mais c'est une super longue journée. Quand tu penses que c'est fini, il reste 8 heures. C'est super long. Lui, il est vraiment de notre bord. Il voulait pas faire ça, on le fait pas. Ça a pris combien de temps, le photoshoot?

Ça prend de 8h le matin à 6h le soir, mettons. Oh shit! Tabarnak! Parce qu'on est laid entre nous. Non, mais tu sais, ils font plein d'affaires. Il y a une entrevue, pis c'est long, pis la lumière, pis les ci, pis les ça, mais tu sais, c'est vraiment hors de notre contrôle, pis les kits, pis ça, c'est bien.

Mais tu sais, en même temps, c'est pour ça que c'est beau, mais tu sais, ils sont super... Mais ils sont pros, là. C'est des pros, mais c'est ça. Moi, je l'avais déjà fait à un moment donné. Elle, c'était ça aussi. C'était-tu lui qui avait pris la photo la dernière fois ou c'était quelqu'un d'autre? Non, c'était quelqu'un d'autre. Mais là, j'étais contente que c'était Alexis

qui était bien relax et il était comme parfait les chums. OK. De femme. C'est content. C'est sûr. Je ne ferais pas 500... Puis là, je t'en parle parce qu'on podcast et on est entre amis. Si on avait été à la télé, j'aurais dit que c'est ça. Mais c'est ça, je ferais pas 500 commandes. Puis là, je t'en parle parce qu'on podcast puis on est entre amis. Si on avait été à la TV,

j'aurais dit, ah ouais, c'est vrai, c'est le fun. Puis moi, j'en aurais pas parlé pendant la Milan même. Il y a eu mille,

il y a eu des demandes, je peux te dire, je pourrais être porte-parole en maudit en ce moment. Mais tu sais, je pourrais être porte-parole de tout, je pourrais être porte-parole

de l'Ontario, je pourrais être porte-parole, tu sais, dès que t'es quelque chose, tu deviens, toi je suis sûre qu'il y a plein de monde qui t'abordent,

qui sont comme, ouais moi aussi, mais je suis sûre que malgré toi, tu deviens... Toi, je suis sûre qu'il y a plein de monde qui t'aborde, qui sont comme, « Ouais, moi aussi, esti, j'ai... » Je suis sûre que malgré toi, tu deviens porte-parole de quelque chose. Moi, c'est vegan, puis dépression, puis alcoolisme. Mais c'est ça! Au début, c'était anglais de Québec, puis là,

ils s'en calissent de ça, mais je suis plus alcoolique puis vegan. Mais il y a toujours du monde qui te parle que t'es comme, « Non, laisse-moi tranquille. Moi, je ne veux jamais... Je n'aime pas ça être le porte-parole de rien.

Oui, je comprends. Toutes les humains, on est de même. Tu n'es pas juste ça. Moi, je ne mange pas de viande, mais on s'en calisse que je ne mange pas de viande. Ça ne change rien. Je ne mange pas de viande, mais on sent qu'à aller, ce que je ne mange pas de viande, ça ne change rien dans ma vie. Je ne veux pas être obligé tout le temps

de « qu'est-ce que tu penses de ça? » « Qu'est-ce que je pense de ça? Je ne mange pas de viande. C'est ça que je pense de ça. » C'est Chris-Mont-Patience. Oui, on dirait... Je serais un mauvais porte-parole vu que toutes mes réponses, ce serait « regardela! »

Tu sais, même, vois-tu comme quand l'affaire de Copicomic, Gad Elmaleh a sorti, j'ai eu... Moi, je réalisais pas à quel point qu'il y avait beaucoup d'attachés de presse qui avaient mon numéro de téléphone, mais je recevais des textos de la France,

j'en recevais 60 par jour, puis au début, je répondais, je ne répondais pas. Je faisais juste répondre « Lose this number ». Je le répondais en anglais, vu que les Français comprennent mieux l'anglais que le québécois. J'étais comme tabarnak. Gad Elmaleh ne m'a jamais

volé, moi. Contactez Martin Matt, contactez Martin Petit. J'en ai rien à chier. Moi, je l'aime pas, Gad Elmalib. Je l'ai dit que je respectais pas ce qu'il faisait. Mais je l'ai dit. Je parlerais pas au Paris Match pour faire... C'est un voleur de blagues.

Il vous a volé des jokes? Non! Mais... Mais pourquoi t'es là? Tu sais, tu sais... C'est sûr. On va finir là-dessus. Je veux vous remercier, merci beaucoup d'avoir été là.

Je remercie Kat Levesque. Je remercie Sam Boisvert qui m'a intimidé au secondaire. Merci beaucoup. Merci, c'était très cool. Allez les voir. Allez voir la recette dans la description. Oui, merci.

Moelleux, moelleux. On se revoit bientôt. Moelleux, moelleux. Ça devrait être ça. Ça va être marqué gâteux, moelleux, moelleux. Moelleux, moelleux aux carottes. Avec ma vache. À la semaine prochaine.

Merci tout le monde. Merci.