Mike Ward Sous Écoute - #401 - Ben Lefebvre et PB Rivard

Episode Date: December 12, 2022

Cet épisode est une présentation de Wooki.com (https://wooki.com - https://facebook.com/wookidotcom), de Sugar Sammy - (https://www.sugarsammy.com/), de Nord VPN - (https://nordvpn.com/mikeward ) et de FOU GIN (https://fougin.ca/)Dans cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Ben Lefebvre qui nous parle de son documentaire sur les soirées d'humour du St-Ciboire et PB Rivard qui regarde des vidéos pour pleurer.Pour voir le documentaire de Ben - http://benlefebvre.com (Code promo: sousecoute)Pour des billets du spectacle de PB Rivard - https://www.pbrivard.com/ (Code promo: sousecoute)Il est aussi possible d'acheter des billets de spectacle au https://linktr.ee/pbrivard--------Patreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★

Salut tout le monde, bienvenue à Mike Ward sous-écoute, merci beaucoup d'être là encore une fois. Cette semaine, j'apprécie vraiment et j'aimerais remercier mes commanditaires, mes commanditaires. Cette semaine, j'ai encore une fois plein de cas, ben j'en ai pas tant que ça là, mais j'ai trois commanditaires. J'ai Sugar Sammy, j'ai Wookie.com et j'ai NordVPN. On va commencer avec Sugar Sammy. Sugar Sammy avec son nouveau spectacle, You're Gonna Rear 2. C'est le retour, c'est enfin le retour

de Sugar Sammy au Québec. Il est en train de cartonner en France en ce moment. Il arrive de faire une tournée du Canada anglais. Avant ça, il avait fait une tournée des États-Unis. Mais là, il revient au Québec avec un deuxième spectacle bilingue. Puis cette fois-ci, son show bilingue, il avait fait une tournée des États-Unis. Mais là, il revient au Québec avec un deuxième spectacle bilingue. Puis cette fois-ci, son show bilingue, il va le promener à l'extérieur de Montréal.

Il va l'amener à Québec, à Gatineau, en Estrée, en Mauricie. Les billets sont en pré-vente tout de suite. Juste attends. Toi, tu peux acheter ces billets-là et après les déposer en dessous de l'arbre de Noël. Ça fait un cadeau hallucinant. Tes amis vont être contents, puis t'es plus

bilingue que tu penses. Des fois, le monde font comme moi, mais moi, je parle pas tant anglais que ça. Chris, la moitié des jokes sont en français, puis c'est des références, c'est des références québécoises qu'il y a. Fait que même quand c'est en anglais, tu vas le comprendre. Si t'es capable d'écouter Netflix, tu vas être capable de comprendre ce show-là. Même si tu es juste capable d'écouter Netflix avec des sous-titres, tu vas être capable de comprendre ce show-là. Même si toi, quand tu écoutes Netflix, tu mets le film en français, tu vas comprendre. Chris, la moitié du show est en français. Tu vas voir, tu vas pogner de quoi, tu vas vivre de quoi. C'est vraiment le fun.

voir, tu vas pogner de quoi. Tu vas vivre de quoi. C'est vraiment le fun. Sugar Sammy, si tu ne l'as jamais vu live, tu sais, il est le fun sur Internet. Tu l'écoutes sur Internet, tu fais tabarnak. Il est vite. Il est allumé. Le voir live, tu vas chier partout. Tu vas chier partout.

Va t'acheter des Depends. Après, va sur sugarsami.com pour aller le voir. Très mauvais gag. Mon gag de Depends, mais vois-tu, je ne suis pas en spectacle. Tu n'auras pas un gag cheap de même. Dans le show à Sugarsami. Et Wookie.com, Wookie.com, W-O-O-K-I.com. Wookie.com, c'est un site québécois qui a été fondé par un Gatinois.

Gatinois, pour ceux qui ne savent pas, c'est un gars de Gatineau. Et c'est un site qui spécialise dans les souliers de marques connues arabais. Sur Wookie.com, absolument tous les souliers sont arabais tout le temps. Ça fait que tout est en vente tout le temps, tout le temps, tout le temps

et ils vendent de tout. Il y a des souliers de course, il y a des bottes de construction, il y a des talons hauts, il y a des bottes d'hiver, il y a même des souliers de golf. C'est Wookie.com, c'est comme un Winners qui livre chez vous. C'est de bonne qualité, c'est de meilleure qualité que Winners. Il y a plus de choix. Il y a plus de choix.

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Floride pendant l'hiver, ça se peut que t'as pas le goût de te faire chier aux frettes. Tu peux quand même commander de Wookie.com. Wookie.com livre ta commande en deux jours partout partout partout aux États-Unis si tu utilises le code promo Mike15 tu vas sauver un autre 15%

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Avec ça, un NordVPN, le dernier commanditaire. Un NordVPN, c'est quoi un VPN? Un VPN, c'est un outil qui change ta localisation, qui t'évite de te faire pirater. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Souvent, on fait, je vais utiliser un VPN, comme ça, je vais être capable d'écouter le Netflix, mettons, de l'Australie ou le Netflix États-Unis.

Mais ce n'est pas juste ça. C'est aussi, tu ne te feras pas pirater, tu ne te feras pas voler tes données et ça ne coûte pas cher. C'est vraiment moins cher que de prendre un café par jour au resto. Puis ça, en plus, regarde, si tu travailles dans un café, tu utilises le Wi-Fi de la place, ta sécurité

informatique est à risque. Mais pas avec un VPN comme celui de NordVPN. Puis tu te dis peut-être comme moi, mais je sais pas, tu sais, il y en a plein de VPN, je peux prendre n'importe quel VPN. Non, VPN, NordVPN, c'est les plus rapides en termes de vitesse de connexion, leur service

à clientèle est vraiment la meilleure. Moi, j'avais un autre VPN avant. J'étais satisfait, mais des fois, ça laguait NordVPN. Des fois, je fais comme, ah, j'ai oublié de mettre le VPN, puis je réalise, ah non, il est activé, mais ma connexion est la même,

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Un cadeau, le fun. NordVPN, Mike Ward. Merci tout le monde. Bon podcast. En direct du bordel Comédie Club à Montréal, voici Mike Ward, sous-écoute. Merci. Merci tout le monde. Bienvenue à Mike Ward, sous-écoute.

Merci beaucoup d'être là. Je suis très content d'être ici. Hier, j'ai fait cinq shows au bordel. J'étais vraiment... Il était le fun. Il était... Il y a quatre sur cinq. Quatre sur cinq, il était vraiment le fun.

Puis même celui-là qui était moins le fun, il était le fun, mais c'était juste weird. Hier, j'avais... Je monte sur scène, puis là, il y avait Suzy Bouchard qui faisait des jokes sur le fait qu'elle veut pas mourir seule, tu sais, plus tard, tu sais, pis elle a un numéro là-dessus.

Pis là, moi, j'ai fait, ah, tu sais, je vais dire, moi non plus, je veux pas mourir seule. Fait que c'est pour ça, quand il va me rester une couple de jours à vivre, je vais aller dans le métro à deux pointes, pis je vais me gonner dans la tête devant tout le monde. Je me suis dit, c'est une bonne façon

de starter un numéro. Fait que là, j'arrive sur scène, je fais ce petit gag-là. Pas un gros rire, mais c'est pas grave. J'ai quand même de la confiance. Mais il y a deux personnes qui sont assises là. Il y en a une, elle disait à son amie, elle dit de quoi?

Puis tu sais, mettons, quand ça va bien et que deux personnes parlent, ça me dérange, mais ça ne me dérange pas. Mais là, vu que la joke était nulle à chier, je me disais, ah Chris, elle doit être en train de faire, elle dit qu'il est mauvais, Chris, il est plate. Fait que là, je suis comme, c C'est quoi que t'as dit? » Puis elle fait, « Non, j'ai rien dit. » Puis là, j'ai fait, « Non, non, mais Chris, t'es là, là. Tu sais, je t'ai vu. T'as dit de quoi? Non, j'ai rien dit. Ben non, esti, c'est quoi que t'as dit? »

Puis elle voulait pas me le dire. Puis là, son amie a dit, « Non, non, moi, je vais te le dire. » Elle a dit, parce qu'on s'en va au casino après, puis elle m'a juste dit qu'elle a vraiment hâte d'aller au casino puis là je suis comme ok c'est machin pour moi mais avec je continue mon affaire je continue je continue pas prêt à herder l'oche commence à faire des jobs qui marche ça va bien plat à redire une phrase plus je fais tabarnak est-tu en train encore de parler du casino? »

Puis elle dit « oui, oui, mais c'est parce qu'elle n'est jamais allée. » Puis je suis comme « mais on s'en collisse du casino! » Elle a hâte. Puis tu sais, elle est en avant, puis j'étais comme « Christ, il y a du monde qui ont acheté des billets, qui avaient hâte d'être ici, puis là,

vous autres... » Là, j'essaie de... Je commence à faire des jokes là-dessus sur le fait, c'est fucking weird de faire, oh yes, ça va être le fun, quoi, le show, non, le casino, j'étais comme, t'es insupportable, là, je faisais des jokes, t'sais,

coucher avec cette fille-là, ça doit être weird, parce que tu penses qu'elle vient, mais comme, oh oui, oui, le blackjack va être incroyable! » T'es comme « Mais non, hostie, mais là... » Fait que là, en tout cas, je fais une couple de jokes et Cédric, le bouncer,

va... Souvent, elle aime ça, rajouter une petite phrase. Pas après mes jokes, pendant mes jokes, vu qu'elle veut m'aider, tu sais. Puis là, Cédric vient juste à voir puis il fait comme « Aïe! » Je sais pas comment il l'a dit, mais moi pas dans mes jokes, vu qu'elle veut m'aider. Puis là, Cédric vient juste à voir, puis il fait comme, « Hey, je ne sais pas comment il l'a dit, mais moi, dans ma tête, il disait, « Ferme ta caisse ailleurs. »

« Hey, poker star, ferme la... » En tout cas, là, j'ai dit, je fais, « Non, non, regarde, j'y pose une question, puis là, c'est le genre de personne que non, regarde, j'y pose une question, pis là, c'est le genre de personne que, t'sais, j'y pose une question, pis elle fait, hum, hum, hum, hum, hum, hum, hum, t'sais, pour montrer qu'elle a pas le droit de parler, pis j'étais comme, oh, esti que je taillis, esti que je taillis, je taillis, esti, esti que je l'ai, j'espère qu'elle est allée au casino, pis qu'elle a tout perdu, esti, j'espère qu'elle est allée au casino pis qu'elle a

tout perdu esti j'espère tu sais au casino ils disent souvent qu'il y a bien du monde qui suicide à côté

le petit pont à côté pis qu'il en parle jamais jamais dans les médias esti vu que c'est

l'Auto-Québec j'espère que elle c'est une de ceux-là esti j'espère j'espère qu'Auto-Québec. J'espère que elle, c'est une de ceux-là. J'espère qu'elle gâchera plus de choses jamais de sa vie. Si elle s'est tuée, je vais aller à ses funérailles

puis je vais gâcher ses funérailles. Tout le monde va pleurer au funérail. Moi aussi, je vais pleurer puis je vais faire « Je pleure parce que j'ai vu un film triste. Ah oui. J'ai vu Titanic. J'ai hâte de le revoir. C'est vraiment bon, Titanic.

Bon. Oui, c'est ça. Mais à part de ça, c'est vraiment cool. J'ai eu bien du fun. J'ai... Oui. Puis j'ai fait 5 shows hier pis ça faisait du bien

ça faisait longtemps j'avais pas fait 5 shows c'est du nouveau matériel que t'as ouais ben vu que j'ai mon show est fini pis j'avais

je voulais je voulais tester une idée pis finalement vu que le premier show j'ai parlé de casino tout le long j'ai

j'ai j'ai pas testé mon idée pis après j'ai juste refait le c'est du nouveau stock mais c'est plus car c'est pour que c'est nous nouveau et je l'aï mais c'est moi j'ai eu ben du fun le public pas tant mais moi j'ai eu beaucoup beaucoup beaucoup de plaisir et on va starter sauf si vous autres toi yann tu veux tu y-tu de quoi tu veux dire avant... T'as-tu une sortie? Tu veux-tu plugger une nouvelle pornstar

qui va être à ton podcast? Non, non, on peut y aller. Fait que là, à date, par exemple, je vais revenir à ça. Parce que t'as eu les trois... Les trois filles d'OnlyFans que c'est mère, fille pis grand-mère. Fait que grand-mère,

fille pis petite-fille. En fait, c'est une arrière-grand-mère, une grand-mère pis une mère. Elle est belle, l'arrière-grand-mère. Oui, elle est vraiment belle. Elle est vraiment belle. T'sais, mettons, c'est MILF, après grand-mère,

c'est GILF ou GRILF. Elle, c'est une Great-Grand-Grilf. Une Grilf. Une Grilf. Une Grilf. Une Grilf. Non, mais... Puis après ça,

t'as un épisode présentement sur Patreon que quand ça, ça va sortir pour tout le monde. Avec Rick Hard. Avec Rick Hard et deux autres. J'ai eu Lady MP qui est une OnlyFanner. J'ai eu Sonia Van Sachar qui est une escorte. Ça, ça a été un des meilleurs épisodes que j'ai eus.

OK, ça, je l'ai écouté. Elle était tellement bonne. Puis là, toi... Ça sonnait dirty, dirty. T'en parlais avec autant de passion que la madame du casino. Puis Sonia, c'était la seule qui est allée seule.

Les autres, ils arrivent tous en groupe. Tu penses-tu qu'ils arrivent en groupe vu que tu vis en campagne, puis tes invités loin dans ton sous-sol sont comme « Il faut que j'amène ma mère. » Non, tu vois, Rick Hart,

moi, je l'avais invité seul. Mais là, il me disait, « Je sais que je vais être en retard, mais je vais t'amener des modèles. » Comme ça, c'est pour me faire pardonner. Mais j'étais là, moi, j'aurais fait une entrevue juste avec toi.

En fin de compte, il était arrivé en gang, mais c'est parce que il venait de se chicaner ou il venait de se passer du beef. Puis là, il voulait avoir ses amis autour de lui puis en jaser dans le char. En fin de compte, il est arrivé avec des amis. Il y avait deux autres pornstars là-dedans. Il y avait une fille

qui fait du OnlyFans. J'ai pu poser des questions à tout ce monde-là. Ça a donné un vraiment bon show. C'est cool. Tes prochains pornstars, ça va être qui? Je ne sais pas. Je n'ai aucune idée. Il y a une fille qui voulait... Je pense qu'on avait parlé ici.

J'imagine que ça va se faire bientôt. Il y a une fille qui faitlait... Mais ça, je pense qu'on avait parlé ici. J'imagine que ça va se faire bientôt. Il y a une fille qui fait du BDSM que je voulais inviter. Elle voulait venir avec un gimp. Elle voulait que... Il va avoir son petit costume. Oui, oui.

Elle dit qu'il ne parlera pas. Je vais m'en servir pour juste reposer mes pieds. Elle veut que je fasse l'entrevue pendant qu'elle a ses deux pieds sur le gars puis le gars, il dit rien. Ça va être weird comme podcast. Ben là, tu sais.

Il va avoir des gars que ça, c'est leur fétiche qu'ils vont se crosser en te regardant. Ouais, puis je suis pas sûr que ça passe sur YouTube. Tu sais, là, c'est passe sur Youtube je sais pas si ses pieds sont sur son dos et non

à l'intérieur de lui ça doit passer I guess c'est un costume moi ça me dérange pas qu'il vienne mais je veux pouvoir l'interviewer lui aussi un moment dans le show

j'ai trop de questions ça serait malade que tu le reconnaisses Je ne veux pas qu'il vienne, mais je veux pouvoir l'interviewer lui aussi un man dans le show. J'ai trop de questions. Ça serait malade que tu le reconnaisses. Que ça soit quelqu'un... Ton notaire! Souvent, les gars qui se font dominer disent tout le temps que c'est des chefs d'industrie. Ils ont des hosties de gros jobs.

Que tu le reconnaisses. C'est fucking weird. C'est pick le reconnais. C'est fucking weird. C'est pick-upé qui arrive. Ouais, c'est pick-upé. Ça serait malade. C'est pick-upé. Ça serait de la suite. Non, ça, j'écouterais.

On va aller tout de suite à mes invités. Je suis désolé aux invités. Je sais que ça fait 20 minutes qu'on parle de Gimp. Puis de OnlyFans. Mes mes invités. Je suis désolé aux invités. Ça fait 20 minutes qu'on parle de Gimp et de OnlyFans. Mes deux invités, je suis vraiment content de les avoir ensemble.

Quand Sous Écoute a commencé et que j'ai senti que ça prenait pas de l'importance, vu que ça sonne comme si je suis en train de braguer, mais que je voyais qu'il y a du monde qui écoute ça. C'est un épisode qu'on avait fait à l'importance, vu que ça sonne comme si je suis en train de braguer, mais que je voyais, oh Christ, il y a du monde qui écoute ça, c'est un épisode qu'on avait fait à l'époque sur Zoom, c'était même pas Zoom, c'était Skype,

je t'ai montré à quel point ça fait longtemps. Et là, si on revenait ensemble, je suis tellement content de les avoir, ces deux humoristes que j'adore, que je connais depuis mille ans. Mesdames et messieurs, voici Ben Lefebvre et Pébé Rivard. Merci d'être là. Merci. Merci. Intro!

Intro weird. J'aurais dû dire à place que t'as un documentaire qui sort, mais je sais pas pourquoi j'ai eu le flash de... Skype. Le vieux Skype. dire à place que t'sais, t'as un documentaire qui sort, mais... Je sais pas pourquoi j'ai eu le flash de... Skype. Le vieux Skype. Le vieux Skype. Dom Massi venait nous porter un laptop. Tu l'avais engagé pour faire ça?

Moi, j'habitais à Saint-Hyacinthe. Je suis même pas à Montréal. C'est mon bout. J'étais parti. Ça arrive ça. Avant de revenir, je me rappelle, c'était notre Skype. Ils arrêtaient pas de bugger. C'était... Mais ça donnait ça. Tu vois, regarde, deux ans plus tard, Chris, on est dans l'ordinateur. Avec vous autres, on est dedans la machine.

Dôme Massy nous a apporté la table. Travaillez bien, t'abandonnes. Faites ça propre. C'est ça qui est absurde. Dôme, je voulais lui donner une job. Puis il ne me l'avait pas dit qu'il avait peur de conduire. Puis sa job, c'était de conduire des... Fait qu'il demandait tout le temps à quelqu'un de conduire. Puis sa job, c'était de conduire des ordres.

Fait qu'il demandait tout le temps à quelqu'un de conduire son auto. Fait que ça lui prenait un assistant. C'était le seul gars que sa job... Il y avait quelqu'un d'autre qui faisait sa job pour lui. Il y avait un sous-traitant de livraison.

C'est comme si un gars livreur d'Amazon avait quelqu'un qui chauffait son truck. Lui qui était à côté. C'est comme s'il y avait un gars, livreur d'Amazon, avec quelqu'un qui chauffait son truck. Lui qui est à côté. C'est tellement d'hommes, en plus, comme « Mouv', là. » « Ouais, ouais, je suis là. » Merci, c'est exactement ça. J'ai commandé un grand verre plein de feuilles. C'est quoi, ça?

C'est un mojito. Moi, c'est l'été à longueur d'année, Mike. C'est le même que je combats novembre avec des mojitos. Ah, novembre, ouais. Déprime-tu, toi, en novembre? Y'a-tu, vous autres? Ouais, ouais, ouais. Tabarnak! Novembre, c'est difficile pour tous vous autres.

Le public, tout le monde, pas juste les humoristes. Novembre, c'est tough. Fais-nous à 4h15, là. Moi, il y a deux ans, je suis tombé dans Vitamine C, Vitamine D, pis ça a un peu aidé ma vie. Je suis rendu là. Moi aussi, j'iriais du monde qui faisait ça. Pis là, un moment donné, j'ai fait.... J'ai fait l'huile de poisson.

J'ai essayé tout. La corde a commencé à se baloter au plafond. T'as fait, elle est rendue là. C'est des vitamines. Ça va être une bonne idée. Le changement d'heure, ça m'a pris cette année comme quatre jours avant de réaliser qu'on avait changé d'heure.

Je pensais tout le temps que c'était ma montre qui était... Je fais comme, qu'est-ce qu'on a lisse de'heure. Je pensais tout le temps que c'était ma montre qui était... Tu sais, je fais comme... Qu'est-ce que c'est qu'en liste de montre, tabarnak? Puis là, deux fois, j'ai ajusté ma montre. Puis là, j'ai réalisé... Un moment donné, j'ai fait... Ben non, tabarnak! Quatre heures et demie.

Puis j'ai fait... Ah, on a changé. Mais c'est parce que j'ai pu... Toutes mes horloges qui n'étaient pas connectées à Internet, j'ai écrit ça au vidange parce que je suis trop lâche pour faire plus, plus, plus, plus, plus. Tu changes l'âge de ton micro-ondes, toi. Deux fois par année.

Fait que ton micro-ondes, il est sur le Wi-Fi. C'est ça que tu me dis. Non, mais le micro-ondes, il est pas sur Wi-Fi, mais je l'ai mis... Tu sais, quand tu le déplugues, puis tu le replugues, c'est juste des lignes, puis il y a pas d'heure. Fait il n'y a juste pas d'heure dessus. Il n'y a pas d'heure parce qu'il n'y a rien.

Mon assiette four, par exemple, il est tout le temps à midi 22 puis ça, ça me fuck. Ça, j'haïs ça.

Moi, j'ai abandonné, je suis pareil. Les heures, mon four, mon micro-ondes, je ne te fais pas confiance. Je ne m'en sers même pas

anyway. Je ne le regarde jamais en général. Donc, fuck you. Mais là, je suis sur le bord de mettre du tape

sur mon four parce qu'il me dérange. OK, ça trigger à ce point-là. C'est plus simple de mettre la bonne heure que de chercher une bobine de tape

pour dérouler. C'est plus de temps que juste mettre l'heure. Surtout, je vais vouloir que ça soit beau. Fait que je vais aller acheter un beau tape. Oui, oui.

Ça va me... En stainless, un petit duct tape gris. Je vais peut-être mettre un aimant. Je vais m'acheter un aimant. Ça serait tellement plus simple. Ou achète un cadran que tu mets par-dessus la 12h,

la 12h22. Puis tape-les. Tape un cadran sur le 12h. J'ai hâte d'avoir la flash. Mon four, il était là quand j'ai acheté à la maison. Il était vieux il y a 10 ans. C'est un que j'ai juste à péser plus et moins.

C'est un piton, deux fois par année. Pour l'heure? Pour l'heure. C'est genre, j'ai des flèches à côté de l'heure et des flèches à côté des minutes. J'ai un mot. C'est facile.

C'est rendu personnel. Ce n'est pas une question que c'est dur. C'est facile. Là, c'est rendu personnel. C'est ça. C'est pas une question que c'est dur. C'est une question de principe. Exactement. C'est moi qui gagne. C'est pas le calice de four. Tu dépenses plus d'énergie

pour pas le faire. Toi et John Wick, c'est la même affaire. Le four a tué ton chien, a volé ton chambre. C'est une guerre. John Wick, esti. Ah, il va en avoir un nouveau.

Oui, il y en a un. Moi aussi. Il adore ça. Moi, ça a été long avant que j'embarque dans John Wick, esti. Ah, il va en avoir un nouveau. Oui, il y en a un, là. Moi aussi. Ah non, lui, il adore ça. Moi, ça a été long avant que j'embarque dans John Wick. J'ai découvert ça sur le temps, puis je crée ce que j'aimais, ça. C'est tellement bon. C'est bon, mais moi, je comprends. Je trouve ça bon, je l'écoute, là,

mais souvent, j'en avais parlé. C'est bon, mais c'est quoi qui fait que c'est si malade? C'est-tu comme les chorégraphies? Parce que ça fait aucun sens. Il n'y a rien qui fait du sens. C'est ça qui est beau. Puis aussi, malade? C'est-tu comme les chorégraphies? Parce que ça fait aucun sens. Il n'y a rien qui fait du sens. C'est ça qui est beau. Puis aussi, tu sais, moi, j'ai 49 ans. Puis quand j'avais 6 ans, Keanu Reeves avait déjà 30.

Fait que tu sais, il est vieux, en tabarnak. Il est vieux pour faire du Kung-Fu. Fait que tu sais, n'importe quel gars dans la quarantaine, tu te sens jeune en crise. Parce que c'est comme, oh, tabarnak, moi aussi, je pourrais faire ça. Là, tu te lèves, t'es comme, ah, je peux je préfère ça le titre est comme un aller au contenu ton chien ce mot car dans la lève de mon léger boy ça me prend trois soins c'est que tu es juste c'est quoi je parle pour rentrer

là je n'ai jamais d'un coup faut sauf quand je ne d'être chez nous je le fais un coup on sait que la traîne à l'heure l'orgueil de vouloir fourrer, j'ai la puissance de rentrer le style d'enfer en dessous. Mais tout seul, c'est... C'est bien, mais là... Je suis... Moi, j'ai commencé à faire... Je pensais arriver à ça à genre 55. Non, non, non, non.

Mi-trentaine, c'est arrivé bien comme il faut. Ça, puis faire des sommes quand je mange de la crème glacée. Je suis rendu que la crème glacée me knock the fuck out. Ah, ouais? Je mange un cornet, dodo. Je'suis rendu que la crème glacée me knock the fuck out, esti. Ah ouais? J'mange un cornet, dodo. J'suis rendu là, esti. Ah ouais? Ben toi, lui quand il mange un cornet, il mange un cornet là. J'mets 4 litres de Quaticook sur un cône pis là j'le liche.

Non Ben, manger pour Ben, la façon dont il vit ce qu'il mange me rend jaloux. Genre le fun qu'il y a... Genre, il y a des orgasmes que j'ai eus dans la vie, il n'y a jamais à côté le niveau de plaisir qu'il y a en mangeant un brownies, hostie. Genre, il croque dedans, puis il est comme... Je ne sais même pas exagérer. Non, je le regarde.

Il se filme des fois, puis je le regarde vivre comment il mange, puis je fais comme, man, je suis jaloux, hostie. Rien que je vis aussi passionnément que toi et tes gâteaux. Faut-il que ça soit de la qualité? Non, non, non. Un Joe Louis avec de la crème glacée, 35 %.

Pas de la crème, c'est de la crème dans un bol. Moi, je fais un chocolat chaud à l'ancienne chez nous. En fait, c'est du beau de la fondue au chocolat. Je mets de la crème, 15 %, un peu de lait et plein de sortes de chocolat lint là-dedans. Souvent, quand j'ai des days, je fais ça. Je dis toujours à la fille, je t'avertis, pour les peu de lait, puis plein de sortes de chocolat lint là-dedans. Puis là, souvent, quand j'ai des days, je fais ça. Puis je dis toujours à la fille,

« Là, je t'avertis, pour les 15 prochaines minutes, t'existes plus. » Genre, je te le dis, je vais être dans la tasse comme un autiste. Puis je vais juste prendre des bouchées de même, le boire. Puis à un moment donné, je vais me lever, tu vas être encore là ou pas. Mais, genre, je te viens... Quand tu lèves la face, tu as-tu plein de chocolat partout? Oh, oui, dans la barbe, partout aussi. J'ai déjà, à un moment donné,

j'étais chez nous, genre nu-pied, parce que des fois, t'es nu-pied chez vous, pis j'étais assis de même, avec le pied de même, sur mon divan, pis là, j'en regarde

en dessous de mon pied, pis il y avait quelque chose de brun, pis je suis comme, ah, tabarnak, t'es-tu plein dans la merde? Pis là, je gratte, pis là, je fais, qu'est-ce que c'est du chocolat,

pis ça fitte tellement que chez nous, je marche sur du chocolat. Genre, je mange tellement du chocolat souvent que ça se peut que, maintenant, il y en ait à terre,

quelque part, pis que je marche dessus. Tu l'as-tu je mange tellement de chocolat souvent que ça se peut que maintenant, il y en ait à terre quelque part et que je marche dessus. Tu l'as-tu mangé? Oui. Non, mais non. Non, non. J'ai des standards. Mais, tu sais, je suis allé en Italie.

J'arrive d'Italie présentement et je faisais des stories de toutes mes bouffes. Et à un moment donné, je me suis dit, je vais perdre des amis. Tu sais, il y a un bout, pendant les trois, quatre premiers jours, j'avais beaucoup de likes, des commentaires,

je suis comme, OK, après deux semaines, c'est juste lourd. C'est juste gossant, quelqu'un qui fait des stories de sa bouffe en Italie. Moi, je prenais des nouvelles à tous les jours de ce que tu as mangé à la date, c'était comment. Je suis excité pour toi. Toi, en Italie, c'était tabarnak, c'est pas sain. C'est où que tu es installé en Italie?

J'ai fait Florence, Rome, Naples, puis une petite île en bordure de Naples qui s'appelle Procida, qui est à côté de Capri. Capri, c'est comme la grosse île naples touristique, mais moi, j'étais allé sur une petite île en bordure de Naples qui s'appelle Procida. Qui est à côté de Capri. Capri, c'est comme la grosse île napple touristique, mais moi, j'étais allé sur une petite île de pêcheurs à côté. J'ai mangé toutes les pâtes et la gelato qui existent en Italie. Il faut qu'ils refassent.

Ils sont en short. Ils vont pas en Italie tout de suite. Attends deux ou trois mois qu'ils se refassent. Ils manquent de tout. La bouffe, c'est où la meilleure place pour la bouffe? En fait, chaque région a leur spécialité. Un pachini qui était sur la coche. En Italie, ils sont écoeurs.

Le chef s'appelle Mike. T'es vraiment chez Mike. Comment on dit bar à pain en italien? Tu le dis pas parce qu'il te crisse dehors. Ça n'existe juste pas. Mais ça dépend des places. Mettons, la pizza, c'est dans le sud, mettons, nappe. Ça, j'ai mangé la meilleure pizza

de... Ça n'a pas rapport. En fait, c'est pas tant le topping que la pâte. Leur pâte, c'est un dessert. On dirait qu'ils ont pris un croissant, qu'ils l'ont foiré, puis ils ont crissé de la sauce du fromage dessus, puis ils t'aiment le chat. À un moment donné, j'avais été à une place, puis je me rappelle, le gars qui me vendait la pizza, il était comme, tu vas voir,

c'est exactement comme la pizza à Naples. Ici? Non, quelque part aux États. Puis là, j'étais comme, ah ouais, c'est cool, mais j'ai aucune idée. T'as pas de référent? J'ai aucun référent, mais je suis gêné de te dire. Moi, j'habite dans la petite Allie,

fait qu'il y en a bien des restaurants à Montréal qui ont cette prétention-là. Je suis hors d'arriver bien prétentieux de « je m'excuse ». C'est dégueulasse, monsieur. C'est dégueulasse. C'est dégueulasse. Il y a-tu une grosse... Tu sais, mettons, la meilleure pizza

que tu as mangée à Montréal, comparée à la pire pizza là-bas, notre meilleure doit être aussi bonne. Ce n'est pas la même affaire. Moi, je suis un fan de pizza à l'américaine genre une pointe d'un épaisse avec du smoke meat du fromage dessus de l'huile qui coule tu te vois la face dans la pointe tu peux tailler avant de la manger t'as regardé par gros dégueulasse la manger tu te vois dans le fromage mais en italie c'est pas ce genre de

pizza là c'est des pizzas que tu as italie c'est pas ce genre de pizzeria c'est du vrai c'est un autre genre de pizzeria c'est le genre de pizzeria cuite au four à bois en italie c'est dur à battre mais si tu fais une deep dish qui est des pizzerias de chicago des petites grosses épices c'est ailleurs là à nappes ils t'ont tu parlé des fours à pizza à mcleod? ils t'ont tu? c'est tu arrivé là bas? ben en fait je dis pas mais c'est pour ça que j'étais là je suis

représentant et la réserve présentant aux ventes des fours à bâclas c'est vrai il fait ça lui fait de la sauce à spagnes et des patins mais qui s'effondre à pizza pour vrai il faut rapide à desair vraiment beau. OK, il y a des fours à pizza. Il y a des fours à pizza. Il fait de la pierre aussi, je pense. Mais les fours à pizza sont comme 4000 piastres. Ça n'a aucun crise de sens. C'est sûr que ce n'est pas Koston Design.

Non. C'est quelqu'un qui prend le logo. Tous les commentaires, c'est « Hey, c'est la même chose que tel modèle qui est 1700. » Tu sais, même le monde, même ses clients font « Hey, t'es en train de nous fourrer, là. » C'est pas cool.

Parce que l'espèce de spatule pour rentrer à la pizza, elle vient avec un petit manche pour sa petite main. Il y a comme un côté du manche qui est plus mince que l'autre. Pour faire des bagel bites. Pour faire des petites pizzas.

C'est ça qui a coûté 4000, les custom. Faites pour les petites, mec. Pour vrai, son four, il a l'air bon. T'sais, pas... T'sais... Je l'aurais jamais acheté, mais je l'ai regardé trop longtemps, en me disant, tu sais où je pourrais bien mettre ça.

Mais, pis, le pire, je savais même pas... T'sais qu'il y en a des pas pires à 300-400$ aussi. Tu peux vraiment... Je mange une pizza par année. Même une à 300-400$. Je peux me caler une pizza une fois par année.

C'est moins de trouble. Mais pareil, j'ai regardé. Moi, je pense que tu'es à une brosse puis à 3h du matin sur Amazon d'en acheter une. Il y a une affaire qui est fucked up. J'aime vraiment magasiner n'importe quoi sur Internet.

J'aime ça. Puis j'achète, j'aimais. Mais c'est pas vrai. J'achète souvent. C'est ça la raison. Je vais te donner des affaires que t'étais comme, je sais pas pourquoi j'ai ça. Je vous ai-tu dit, j'ai achachin lance-flammes de l'amazon de l'est de moscou mais moi c'est hot mais à se passer avec mon shotgun à celle d'un shotgun à celle de table pour tuer des mouches ou mettre? Ou mettre du sel dans ton assiette. Ça dépend ce que tu veux faire avec.

J'ai amené chez Falu, puis on gonnait les soupes à tout le monde. OK. Mais c'est dû... Dans le fond, c'est que tu mets du sel de table. Ça s'appelle « bug salt ». Ça coûte, je pense, 70$. Puis tu le crinques.

Puis moi, tuer les mouches, c'est plus efficace qu'une tapette. Moi, il se sauvait tout le temps à cause du courant d'air. Tu sais, on s'en fait rire. Il faut que tu ramasses du sel dans les rideaux. Non, ça tombe à terre. C'est du sel. Il faut t'en tirer en tabarnak pour voir une montagne de sel.

Là, t'as plus un problème de mouche que de sel. Si t'as des tas de sel chez vous, c'est la mouche le problème. Mais c'est le fun, puis ça marche. L'été, il y a tout le temps une semaine où chez vous, t'es comme « Chris, qu'est-ce qui se passe? » Il y a plein de grosses mouches pesantes. Tu l'avais pas amenée au chalet un moment donné?

Je sais pas si j'ai déjà joué avec. Ou c'est chez vous au chalet? Non, je l qui se passe il ya plein de grosses mouches pas dans le chalet manouche je joue avec vous je la mène partout moi c'est ça ça lève le parti c'est vraiment j'ai jogé un autre homme s'est acheté une terre à bois un terrain qui écrit une rouleur dessus puis la façon de passer on est allé dormir dessus puis j'ai acheté je suis arrivé à son terrain j'ai acheté un carabine à plonge comme que tu crains quand il était à acheter un fusil il était juste qu'on a bien on était des adultes à tabarnak on a gagné des canettes vides toute la soirée est ce qui faisait des parcours avec des branches mettez des canettes dessus on en tirant dans l'ensemble des heures on avait quatre est si mais dans un gars d'aplomb et non mais c'est pas un porte-l'âge. Joe, tu lui donnes un pneu, il va trouver de quoi faire avec.

Il va trouver de quoi de dangereux à faire avec. Il est comme, Chris, on fait un jeu, on descend, on se met dedans. Chris, on a rendu à genre 3-4 heures du matin, lui et un autre, Anto Rémillard, qui était là aussi, ils ont fait une course de brouettes dans le bois, mais dans le noir total.

Il n'y a pas de triches sur le terrain. Non, non, non, c'est des arbres et des roches. Ils ont vu un genre de chemin. Le but, c'était de se rendreettes dans le bois, mais dans le noir total. Il n'y a pas d'étranger son terrain. Non, non, non. C'est des arbres et des roches. Ils ont vu un genre de chemin. Le but, c'était de se rendre à la roche là-bas le plus vite possible en courant,

en poussant une brouette. Moi, j'ai timé. J'ai éclairé avec une flashlight. Ça va finir en sang. C'est sûr que ça va. Non, tabarnak. Ils allaient de plus en plus vite,

les hosties. Ils connaissaient le chemin. Ils commençaient à analyser les roches. Je pense qu'ils étaient juste... Quand tu es juste dans la bonne zone dessous pis gelé, que tu vois tout au ralenti

comme Néo dans la matrice, là. Ils voyaient juste des 1, des 0, hostie. Pis je sais pas, ça a bien été... À jour, ça aurait été plus dangereux, je pense. T'étais-tu là au chalet? On a fait un chalet à maner de gang pis on a loué la place. Pis le propriétaire était comme

« Vous faites ce que vous voulez avec le chalet, genre, mancaliste. » Pis c'était vraiment comme weird comme place, là. C'est weird comme France. C'était vraiment... Je te jure. Fais ce que tu veux, man. Mais c'est pas le Party Shack, c'est ça? Ouais, c'est ça. C'était une comme weird comme place c'est weird comme France c'est vraiment ça je te jure fais ce que tu veux Macaulay c'est pas le party shack c'est ça c'était une place à party ils l'ont comme fermé parce que les voisins se plaignaient trop c'était trop parce qu'ils disaient ça à tout le monde Macaulay fais ce que tu veux c'est ça pis là les voisins ont fait ouais mais c'est parce que là ils pètent des feux d'artifice

comme le monde il y a eu des jeux c'était il y avait une roulotte qui traindait sur le terrain qui était dégueulasse un peu pis le monde rentrait dedans pis là, il était quatre dedans, il allumait des feux d'artifice puis c'était le dernier qui choque à sortir. Fait que ça... C'est drôle. Le feu d'artifice russe. Oui,

je suis le bord du feu de m'amener relax. Il y a un gars que je ne connais pas qui part à la course, il lance une boîte dans le feu puis il part à la course puis je fais,

c'est quoi, c'est quoi? Puis il ne nous dit rien. Puis là, je vois, je fais, c'est des feux d'artifice. Là, il faut que je me lève en panique, je pars à la course, on le sauve tout

puis là, il y a des feux d'artifice qui revolent. lève en panique je pars à la course on sauve tout le défi artifices qui revoltent lui sur le cul je me suis brûlé le maillot c'était vraiment une partie de même c'est déjà à casse le temps de mettre une game de dans le chalet comme call of duty j'en m'attendais une maison de 10 personnes dans la maison 10 personnes à l'extérieur qui veulent rentrer en veille à la maison mais on avait des gones neuf des fléchettes en mousse on avait je pense 3 3 à 4 500 ball balles. Puis c'était ça. C'était une guerre. Ça durait 3 heures de la grosse musique

dans le tapis, puis c'était la guerre. On virait du vent, puis on jouait. C'est ça, Joe Guérin. C'est ça. Hier, j'étais chez eux pour un party. Je suis parti, puis il était en train de saigner de la main, puis j'ai fait « Ben voilà. » Joe, s'il s'est pas blessé d'une soirée, il a pas eu de fun. Exactement. Joe, Joe!

Joe Guérin, il faut que ça saigne quelque part un matin. C'est le slogan. À chaque fois qu'on fait de quoi, si on se bl soirée, il a pas eu de fun. Exactement. Joe Guérin, il faut que ça saigne quelque part un matin. C'est le slogan. À chaque fois qu'on fait de quoi, si on se blesse pas, on a pas eu de fun. Je vis pas comme toi, mais OK. C'est là que tu vois à quel point on est chanceux de notre époque. Parce que maintenant, nos grands-pères, nos arrière-grands-pères, à 22 ans,

ils avaient déjà 14 enfants. C'était des messieurs. Puis vous autres, vous faites des courses de brouettes. On a des moyens pis des mauvaises idées. Exactement. C'est ce que ça fait. On a du temps. On a du temps qu'on est en sécurité.

Il faut que je te parle d'un produit d'une compagnie que j'aime beaucoup. Il y a un nouveau jean québécois en particulier que je trouve malade. C'est le Foo Gin. C'est un nouveau jean québécois, en particulier, que je trouve malade. C'est le Foo Gin. C'est un nouveau gin québécois multimédaillé à l'international. C'est aux cocombes.

Ça a un goût vraiment frais et doux. Ça se boit quasiment direct, comme ça, sans glace à rien. Ça ne goûte pas le Beefeater. Ça ne goûte pas les autres affaires cheap que tu bois d'habitude, qui te donnent mal à la tête. J'ai rencontré la gang de Fujin récemment.

C'est vraiment une belle gang. C'est une belle gang. Ils sont cool, ils sont le fun. Il y a deux choses qu'ils font que je veux te parler. Un, ils ont un packaging super éco-responsable. Leur bouteille est toute verte et est faite en verre 100 % recyclé. Puis ça, il n'y a presque personne qui fait ça au Québec. Puis leurs étiquettes aussi sont faites en papier jusqu'à 90% recyclés.

Et bref, ils font vraiment attention pour que leur jean soit offert d'un packaging le moins polluant possible. En plus, c'est une compagnie qui s'engage à supporter les artistes et les humoristes québécois. Ils font des collaborations, des partenariats, de la pub, avec plein d'artistes musiciens, des artistes, des humoristes d'ici. Puis ça, c'est vraiment cool. Si toutes les compagnies faisaient ça au lieu de mettre leur cash

dans les publicités gossantes sur Internet, bien, les humoristes auraient tous les moyens de revenir d'Atlanta en jet privé. La vie serait belle. En tout cas, si tu cherches un gin québécois à découvrir qui est super bon et qui a des belles valeurs, sache que Foo Gin

c'est vraiment solide. Même si tu n'es pas un fan de gin à la base, comme moi, pas un fan de gin, va te chercher une bouteille à sac. Moi, ils m'ont donné deux bouteilles à sac, pis je vais aller en acheter deux, trois autres pour donner en cadeau à Noël à mes amis.

Pis quand je reçois du monde à la maison, tout le monde aime ça, le gin. Tout le monde aime ça, le gin. C'est un beau produit. C'est un bon produit. C'est une belle gang. En tout cas, je m'en vais. Je m'en vais prendre un shot, puis on reprend le podcast. Mais il y a de quoi de le fun.

Ça, c'est la beauté, je trouve, de ne pas avoir d'enfant. D'être l'enfant. Oui, c'est ça. Oui, parce que, tu sais, mettons, l'affaire, tu disais jeter des feux d'artifice. Je suis là, tout de suite, pendant une seconde, je suis comme,

j'ai hâte d'acheter des feux d'artifice. C'étais tout de suite pendant une seconde, j'étais comme j'ai hâte d'acheter des feux d'artifice c'est comme, c'est vrai que c'est cool le style il y a un jeu que je joue avec Joe qui est mon jeu préféré, c'est qu'on pogne un cantaloupe, on pogne 20 fourchettes moi j'ai 10 fourchettes, lui il a 10 fourchettes j'y lance le cantaloupe, il l'attrape

en le piquant avec la fourchette, il m'en relance le cantaloupe avec la fourchette piquée dedans, moi je l'attrape avec un autre fourchette, donc là il y a deux fourchettes j'y relance la boule avec les deux fourchettes avec la fourchette. Il me relance le cantaloupe avec la fourchette piquée dedans. Moi, je l'attrape avec une autre fourchette. Fait que là, il y a deux fourchettes. Là, j'y relance la boule avec les deux fourchettes, trois fourchettes. Fait qu'on fait ça jusqu'à temps qu'on se fasse vraiment mal.

Mais tu sais, à la fin, il y a comme 15 fourchettes. C'est une boule de métal avec des pics qu'on se lance qu'il faut qu'on attrape avec. Moi, je suis jamais là quand je vois ça.

Je veux jouer, moi, ça. On a joué plein de fois, mais le party, c'est tout le temps gros puis tout le monde fait ça. Un melon d'eau, c'est plus gros, c'est un beau défi. Ce qui est triste,

toi, tu fais ça à Jean. Ah oui, oui. Oui. Exact. Moi aussi, je suis très à Jean aussi, on est les deux. Hier, on a pété

les champions de Burpong, on est arrivé, pis on a juste fait, il rockait à table, il pétait tout le monde, on s'est pointé là. On a gagné 4 games de suite, merci bien.

C'est ça qui arrive quand tu bois pas pis tout le monde est chaud d'ail à 2h du matin, Burpong, ça rentre facile. Moi, j'étais habitué. C'est que mon cerveau, il se tune à la pièce.

Je deviens aussi niaiseux que n'importe qui sur la brosse. Sinon, j'aurais plus de vie. Je sortirais pas de chez nous. Oui, oui. C'est ça. Là, ton char,

es-tu encore équipé pour quand tu pars pour dormir dedans? Excuse transition weird, mais... Va où tu veux. Va où tu veux. Va où tu veux. Je viens de le défaire,

mais oui, je l'ai rééquipé. Parce que dans le fond, pendant un bout, je tournais et j'essayais de dormir dans mon char parce que j'aimais ça.

Je faisais ça une fois par été. Je partais en tournée. La fois où je l'avais fait, on s'était croisés à Caracat, je pense. Puis c'était vraiment un van life d'une jetta.

D'une jetta. Je dormais dans le coffre. J'avais mis un matelas. C'était bien organisé. C'était confortable. C'était pas tout croche. C'est juste un van life d'une jetta. D'une jetta. Je dormais dans le coffre. J'avais mis un matelas. C'était bien organisé. C'était confortable. C'était pas tout croche. C'est une van life, mais c'est parce qu'on chante peut-être tout le temps.

Tant qu'à faire, il va dormir dedans. Vieille jetta. J'étais content. Je t'avais dit de montrer. C'était beau. Un matelas qui rentrait dedans, c'était quoi?

Ça veut dire que les intérieurs roulaient, que j'avais découpé pour qu'ils fitent avec la forme du coffre. Ça avait l'air vraiment de... C'était super confortable. J'avais comme découpé pour qu'ils fêtent avec la forme du coffre puis à caractère vraiment de la mort à bjava un droit c'était tout propre le tcp quelqu'un qui donne dans son char s'il ya pas de matelas t'es comme assez triste mais quand tu as un matelas fait sur mesure en ce délire qu'on avait des six ans non mais je sais la ligne entre le tricet pas très s'exagérer pas seulement un toaster j'avais un toaster j'avais des petites lampes j'avais que j'avais des vidéos c'est à karaké chan park à côté de ton tourboss puis j'avais pris une

photo parce que tu sais c'était pas le même set up le tourboss dans le même festival pis j'étais comme ah ok j'ai du chemin à faire il aurait pu te faire un lift dans son tourboss il aurait pu rentrer ton char dedans son tourboss il aurait pu me tirer

mais ça moi les vanlife c'est que j'y ai checké tout le temps c'est que j'aime ça mais là ça coûte une fortune pis le monde se vend plus tout le monde les vend pis quand ils te montrent

vendre des vanlife arrêtez de me dire le nom de votre van je sais pas si y'en a qui checkent le nom vraiment des noms oui son commerce je vends ma mindy mon avant que j'ai depuis cinq ans de tes commandes c'est à relance pour non jacques andrejot est comme trop attaché le personnage de j'ai acheté Fait que là, je m'en crisse. Combien de millards j'ai dû rouiller? C'est ça que je veux savoir.

Il n'y a aucun autre véhicule qui te dise l'historique. Non. Je suis allé à Chicago avec, c'était le fun à manger de la deep dish. C'est ça, c'est savoir que t'achètes une Ford Focus pis tout le monde te dit « Je suis allé à Matane avec, mon Carlis. » Dans la vraie vie, ça serait « Arrête de parler. » « Je vais m'en aller. Même si c'est un bon deal,

tu me gosses, j'apprendrai pas. Ferme ta gueule. C'est long parce que même le monde sont même pas de même avec leur maison. On est vraiment beaucoup trop émotifs avec les vannes de Van Life. C'est rare que quelqu'un vannes de maison fait comme, ouais, là, dans cette chambre-là, femme, en tout cas, on a fait l'amour de notre premier enfant pis là, c'est la fin.

Va à ta maison, décolle-y. Le monde de vannes life le tissu qui voyage faut aussi quand tu le jas moi c'est l'homme tape ses nerfs tout tourne autour des voyages ont fait dans vie tu leur parle de quelque chose mettons une année c'est passé comme en 2010 peut se faire et c'est pas si c'est passé cet événement le but à dire l'année mon phare je me rappelle ça c'était l'année où j'étais allé au mexique et comme on a tout on utilise toute l'année où j'étais allé au Mexique. Là, t'es comme... On l'utilise toute l'année. Pourquoi toi, tu utilises tes voyages comme un réalisateur qui nomme ses projets

au lieu de parler de l'année en question? T'es comme, Chris, on n'est pas dans ta vie. Utilise l'année, calliste. Moi, avec mon tourbus, cet hiver, j'ai recommencé à écouter des vanlife vidéos pour me pomper, vu que j'ai pas de show. Puis là, j'étais comme,

je vais aller à telle place, telle place. Puis après, deux jours de vidéos, j'ai fait, ça me tente pas de dormir dans les parkings de Walmart. Puis de... J'haïs ça, les astides douches de motorisé. C'est dégueulasse. Ah ouais?

Tout, tu sais, après quatre jours, tout sans l'urine, c'est-tu? Je suis comme, fuck off. Moi, c'est juste Jean-Marc Parent

qui a vécu les belles années de van. Tu te rappelles, il y a un bout, Jean-Marc, c'était comme son thing, genre pendant 10-15 ans,

il faisait le tour des States en van, c'était vraiment quelque chose puis on dirait que c'était l'époque où personne faisait ça encore. Dans la stage, c'est ça,

tu vois, tu n'as plus l'effet d'être tout seul, genre vous êtes 18 vans, c'est-tu, parqué dans n'as plus l'effet d'être tout seul. Vous êtes 18 vans, parqués dans un Walmart au Missouri. Il y a des applications pour savoir les spots secrets où tu peux aller. Tout le monde a l'application de spots

secrets. Ce n'est plus un spot secret. Le fun que je ne peux pas faire, moi, ça a l'air d'un UPS truck ou ça a l'air d'un food truck weird. Je ne peux pas me parquer dans la rue, dormir dedans. Ouais, ça paraît. Mais tu sais, le monde qui ont des petites vannes,

ça, les vidéos ont de l'air le fun. Tu sais, qui font, je suis arrivé, je suis au centre-ville de telle place, je suis couché, personne ne sait que je suis là. Le monde, il aime tellement ça, montrer à quel point ils rentrent des affaires dans leur petite vanne. Tu sais, ça, c'est mon lit, ça, c'est mon faux,

ça, c'est un spa, ça, c'est un plat. Genre, tout se dépuit, puis c'est comme, tabarnak! C'est ça, j'ai fait ça en 20 ans que c'est mon lit. Ça, c'est mon faux. Ça, c'est un spa. Ça, c'est un plat. Genre, tout se dépuit et c'est comme pas barnaque. C'est ça. J'ai fait ça en 20 ans que j'étais minimaliste. Je sais tout ce que j'ai réussi à rentrer dedans.

Exact. Faut que le capitaliste aille ta gueule. Il a mis l'affaire dedans. Tes électroménagers sont en stainless. Moi, j'ai pas ça chez nous dans ta crise de van.

Moi, me parker dans la rue, je pouvais le faire. C'est ça qui était nice. J'aimais ça. Moi, je partais dans les places au Nouveau-Brunswick. Je me promenais un peu partout et je dormais n'importe où parce que je

t'avais ça paraît pas je peux me faire un cachet j'avais un petit rideau qui faisait que tu penses que les chats tu sais pas que je suis là le temps que c'est le fun c'est le fun cette espèce de feeling de faire un road trip de chevaux je m'envoie manca l'ess je roule je t'amène j'arrête ce genre par t-tu déjà parti road trip avec avec une fille non ok parce que c'est même moi des vacances et tout seul ok parfait c'est un projet vacances et du silence moi j'ai on dirait moi c'est ça moi road trip il ya de quoi qu'il ya de l'air plus le fun d'être seul mais ça vire rapidement

en t comme je suis un tueur en série? Le caoliste! Pourquoi? C'est ça, parce que j'en ai fait un road trip il y a peut-être 3-4 ans, genre, je suis parti en char, j'ai pogné, je suis allé à Shawinigan, pour ça je suis monté au Saguenay, puis j'étais tout seul. Puis d'abord, quand tu dis que tu fais un road trip tout seul, ben dis bon, il faut comme...

Tout seul! Non, pas il va pas bien, mais genre, t'es donc bien courageux, comme, m'en vais à Shawinigan, t'as pas le mec! M'en vas pas, hostie, dans le Bronx! M'en vais à Shawi, ça pas il va pas bien, mais genre, t'es donc bien courageux comme, m'en vais à Shawinigan, t'as pas le même. M'en vais pas, hostie, dans le Bronx. M'en vais à Shawi, ça va être correct, là, mais... T'es un monsieur, t'sais, t'es pas... Ouais, mais c'est pas rien que pour le danger. Je pense que le monde, on parle d'être seul, dans le sens que... Ouais. Moi, j'ai une

graillotte. Moi, n'importe quel bar, n'importe quel restaurant dans le monde, je m'assis au bar, je parle avec quelqu'un, je vais parler avec du monde, là, pis t'sais, ça va, pis j'ai juste ça de faim pour que du monde qui me reconnaisse d'un fois, qui fait « Hey, j'ai déjà ou je t'ai déjà vu à quelque part », puis ça fait, ça ouvre la discussion, tu sais, je suis pas, je suis juste assez pour

que je connaisse du monde d'un fois quelque part, fait que je suis jamais vraiment tout seul, puis même si personne te connaît, genre, ouvre ta gueule, tu sais, je suis allé à Vegas tout seul cet été, genre, 5 jours, puis Vegas, c'est la place où t'es le moins seul, tabarnak, tout le monde est sur le party, tout le monde est là pour parler à du monde. T'es pas à Vipassana en train de méditer dans le silence.

C'est un référent que 4 personnes savent de quoi je parle. Mais Vegas, moi, je trouve que c'est la plus belle ville à aller tout seul parce que t'es tout le temps en train de jaser avec du monde. Moi, j'ai vu c'était où la pire place pour être seul. La semaine passée, je suis allé voir un Bare Knuckles, un BKFC, Bare Knuckles Fighting Championship seul. Oh wow, t'es allé?

Seul dans un hôtel à Orlando. Parce que j'aime vraiment les sports de combat. Mais ça, cette série-là, c'est ceux qui se battent dans une cour, genre sur le gazon. C'est comme un cœur de lion que j'entoure dans le dame. Mais ils ont rien. Ils ont rien. Puis le calibre... C'est pas là-dedans qu'il y a un

petit genre qui est black puis il tue tout le monde, puis il n'y a pas de catégorie tant de poids. Non, ils ont des catégories, mais c'est là-bas. J'ai écouté les vidéos de tuer. C'est là-bas que je suis pas de gars. T'as-tu parié? J'espère que t'avais-tu genre 500 piastres dans les mains

même que tu shankais, que un monsieur a pris puis il a noté dans un petit cahier. Vraiment, mais le monde... Tout le monde avait l'air d'un personnage. Pour vrai, là, tous les dos noirs avaient l'air de faire une parodie de Jean-Pascal. C'était tous

des gars un peu bâtis, un peu flasheux. Mais Jean-Pascal, il a du cash. Tandis qu'il n'y a rien de plus weird qu'un pauvre qui essaie de flasher avec son bling. C'est du plastique. Dans le fond, c'est tous des Kimbo Slice. Ben oui.

Puis il y avait... Moi, j'avais... Oui, mais Kimbo Slice, il aurait tellement dominé là-bas. Moi, en plus... Non, mais je parle qu'ils viennent du... Ils ne sont pas dans un circuit de combattants professionnels.

Non, non, non. Oui, c'est ça. Puis pour vrai, je ne sais pas combien sont payés, mais c'est clair, ils ne sont pas payés beaucoup. C'est un bon bain d'eau aussi. Moi, j'avais vraiment hâte de voir ça.

J'aime vraiment aller voir des sports de combat. Le public, c'était quoi comme monde? Monsieur, madame, tout le monde, c'était beaucoup de monsieur blanc avec de l'argent. Les vidéos, c'est weird. C'était weird. Tout le monde avait l'air d'un personnage. Chaque fois que je voyais quelqu'un,

j'avais le goût de faire un check-là, mais je suis tout seul. En plus, c'était fucking weird. J'étais dans le line-up et j'ai réalisé que je vais avoir souvent des combats. J'ai remarqué que c'est juste des... En tout cas, aux États, c'est juste des Noirs, des Blancs, des Arabes puis des Latinos, hommes. Puis les femmes, je voyais jamais de femmes arabes.

J'avais jamais vu de femmes arabes dans les sports de combat, dans le public. Je sais pas pourquoi je pensais à ça. Et là, il y avait une femme voilée, mais, tu sais mais un voile genre burqa. Fait que là, j'étais comme, c'est bien fucking weird, ça.

Elle était là, dans le public, puis elle criait des affaires semi-intenses. C'est d'un couple, là, leur format. C'est un couple, le motherfucker! Elle était pas à côté de moi, mais je voyais que ça avançait, vu qu'elle criait. That's it. J'ai fait « Asti, que c'est hot! »

Je trouvais ça drôle de voir une femme en burqa crier « Tu l'as, tabarnak! » Il y avait un gars qui était weird. Il était à peu près 5'1. Il avait un chapeau de cowboy.

Il se promenait et il regardait tout le monde. S'il était un peu bâti, il ne l'a pas fait à moi, mais les gars un peu bâti, ils le regardaient. Après, ils allaient le voir et ils disaient « Tu es-tu un fighter, toi? » Si le gars disait oui, il faisait « Je peux avoir une photo avec toi? »

Il prenait une photo et pendant qu'il prenait la photo, il disait « J'aime bien ce que tu fais. » Mais Chris, il faut que tu demandes « T'es-tu un fighter? » Tu t'aimes pas tant ce qu'il fait. Non, oui, tu t'aimes juste toucher des épaules du soleil, prendre une photo.

C'était weird, mais c'était... C'est drôle ça, mais c'est non parce que toutes les entertainment ont leur fan, puis leur gros pied, mais ça, c'était trop synchroniser votre gorgée. Excusez, ça m'a déconcentré. Ouais.

C'était vraiment en symbiose. On l'a bien lendé par exemple. On l'avait pratiqué à Caracat. Ouais! Toi, tu vois de la Corona, lui, c'est la bière un peu plus, c'est pas la même. Mais ouais, c'est ça, c'est fascinant. Oh God! Là, je me sens un peu à part dans tout ça.

Il va falloir que j'embarque. Je veux juste pas arrêter. Ça, c'est fait. Ça nous a pris 12 ans. Ça nous a juste pris 12 ans pour arriver. Super science. Bref, on s'en crie. Je parlais des groupies de ça. Mais ouais, tu sais, moi... Je suis déjà allé voir du hockey tout seul. J'avais aimé ça. Du football. mais bref annonce à chris parler des groupes et de son mémoire mais c'est moi mais c'est le jeu déjà les voir du hockey tout seul j'avais aimé ça du football tout seul je m'en vais bientôt

mais puis même sur la boxe puis le uef si j'aimerais saupier faire j'aimerais ça seul mais voir du monde c'est la beauté du bkf 6 et spot c'est monsieur, madame, tout le monde. C'est pas des bons fighters. Mettons, toi avec quatre verres dans le corps, t'es comme, il va en manger une tabarnak. Moi, quelqu'un qui a volé mes Jolos. Oui, c'est ça. La ceinture est en chocolat.

Je vais aller chercher ta tabarnak. Je vais tout faire. C'est amoureux. Je savais que les combats allaient être faits parce que c'était tout du monde tu sais quand il disait

from il venait tout le temps d'une ville qui était à moins de 15 minutes de l'hôtel pis c'était with a professional

making his c'était tout le temps son premier combat ou avec un record de 3 défaites et un match mais une pension c'est que là j'étais comme à crise c'était triste et weird mais c'est tout à l'heure au stade à boston les stages tout un peu stressé parce que j'ai peur des règlements au canada je suis relax

j'ai envie de pisser je rentre je suis relaxé j'avais pu si j'en ai commet je vois piscine je ressors aux écoles states j'ai un peu stressé de ça fait que je marchais puis j'avais j'en ai pu c'est le juin signe de clinique médicale face fait qu'au jeu rentre côté je vois pisser puis moi la faire c'est que je voulais pas prendre des photos de moi voyage j'avais cette triploc j'avais cette chose là c'est un toutou tchoubaka un bébé puis je prenais des photos de lui je faisais un photo roman avec l'accent me forçait à comme faire des affaires parce que je vais prendre des photos avec le toutou sinon je peux rester dans ma chambre juste écouter des séries ce mois et pâtit ce qui est un peu stupide je fais ça plus large grande

clinique j'ai mon toutou je pèse leur sable je ressens par la porte principale que je vois la clinique je vois le monde qui attendent je fais allô allô souris et puis je sais sympathique comme j'ai pu c'est mais personne ne fait pas chier je sors dehors il ya foule de monde de ma devant cette phrase de foule de la poche qui est non mais ça 12 livres tout ou de choubacca j'ai sûrement pas le droit de voir depuis c'est là j'ai coupé mon matelas que mes ciseaux tôt au store mais je sors par la porte principale puis il ya foule de monde devant avec des pancartes ça crie plus je fais qu'est ce qui se passe plus les pancartes pis ça crie, pis là je fais « qu'est-ce qui se passe? » pis je lis les pancartes, pis je catch que là je suis dans je suis dans une manifestation anti-avortement

Ah, pis toi t'es allé pis c'était une clinique d'avortement Fait que là je sors d'une clinique d'avortement dans une manifestation avec un toutou d'un humain Pis t'es sûrement allé pousser sur plein de restants de fœtus d'une vieille toilette, un petit côté flushé

La beauté par exemple, le monde qui m'annive... Tu sais, le monde, les Américains qui sont anti-avortement, ils ont toute ta coupe de cheveux. Oui! Ils te veulent comme... Hey, viens avec nous autres! T'as passé de même! Mais c'était ça, le projet!

Ils t'ont donné le micro, ils ont fait « Hey, go! » Mais c'est parce que pour eux, j'ai réalisé pendant que j'étais dans le tas, j'ai l'air d'un gars qui a laissé, qui est rentré pour un avortement et qui essaie de convaincre sa blonde de ne pas le faire. Il y a un toutou. Un cadeau d'avortement.

Elle l'a fait pareil. Je sors et je suis comme, ça n'a pas marché. Je parle avec eux autres et ils voient ça. Je me dis, ça me prend une photo de mon toutou avec une pancarte. Je pense que c'était genre abortion equals mass murder. J'enligne le gars, je commence à faire du... Mass murder c'est qui?

Non mais c'était ça qu'eux autres ils... Oh! Ben elle est enceinte de combien de bébés là? C'est ça! C'est ça! Chris un moment donné là, tu sais à l'accouché de neuf enfants en même temps va mourir la pauvre fille. Mais là le jeu c'était de me mettre chommé avec eux autres pour avoir une photo, parce qu'il fallait que je prenne une photo avec mon toutou.

Fait que je me suis mis à crowd-worker le monde anti-avortement et faire « Ben oui, t'as raison. » Je jase avec eux autres et j'ai fini par réussir à prendre ma belle petite photo et j'étais bien fier de moi. C'est bien gros.

Un rallye anti-avortement, c'est « fuck top ». Ça existe. On le voit à la télé mais quand tu le vis, c'est du monde que tu ne te douterais pas. Tu vois et tu te dis

« OK, ça c'est un… » Ces gens-là, moi, j'ai déjà été dans un nid de racistes. Puis je m'en suis pas rendu compte avant le lendemain, genre 24 heures après. Parce que ces gens-là, tu le sais pas. Tu vois pas leur face.

Ils ont des gros trucs blancs. Exactement! Tu le sais pas! Puis c'était à l'Halloween. C'était à l'Halloween. C'était un costume. Une famille de fantômes, style. Une croix en feu.

Faut brûler du bois c'est pas trop mais c'était pour un mariage j'étais quelque part dans le nord que je n'aimerais pas la ville

pis je dormais au Québec c'était un bed and breakfast pis j'arrive là pis je dis à c'était une famille qui était là pis je dis à madame

ben moi c'est pour un mariage fait que tu sais je sais pas comment tu fais tu me donnes la clé parce que je vais arriver à genre 3-4 heures du matin fait que là elle fait non non je vais t'attendre je suis comme hein je vais m'en va de mariage madame j'ai pas gaffe je sais pas comment tu fais, tu me donnes la clé parce que je vais arriver à genre 3-4 heures du matin. Fait que là, elle fait « Non, non, je vais t'attendre. » Je fais comme « Hein? Je vais m'en voir de mariage, madame.

Je sais pas quand je vais arriver. Pas grave, je vais t'attendre. » C'est comme « Ok. » La madame, elle veut pas donner sa clé de maison. Elle veille sur le perron pis elle attend que ses invités du bed and breakfast reviennent, tu sais. Fait que là, moi, j'étais tout seul à dormir là. Fait que je reviens à ça 3-4 heures du matin, j'ouvre la porte, elle est somme de lente, son lazer boy, pis là, je fais « Madame, tu sais. » Pis là, elle fait « Ah! » Pis là, elle se lève, elle va se coucher. Je vais sont les zéboys. Puis là, je fais, madame, tu sais. Puis là, elle fait, ah! Puis là, elle se lève, elle va se coucher. Je vais me coucher le lendemain matin,

je me réveille, j'étais à la table avec, il y avait elle qui était à ma gauche, le père de famille au bout. Puis en face, c'était leurs deux enfants qui sont de mon âge.

Bien, pas ses deux enfants, mais il y a la fille puis le chum. Puis un chien liquide qui courait partout. Des honnées, deux oeufs bacon, ça va bien,

ils sont super sympathiques, ça va bien. Puis là, ma née, c'est quoi vos histoires de voyageurs funnés, tu saisée des anecdotes si vous envoyez du monde vous autres des bretons fils à djamané un gars qui arrive si nous dit si je danse le plancher je peux tu pas payer parce que c'est un bed and breakfast fait que je dois pas dans l'île techniquement je dors pas d'un fait que

je peux plus faire c'est drôle ça pas le pape et les pécés les races est-il ira semaine le chute à mon bébé, je suis comme « Tabarnak. » Et là, tout le monde autour de la table, un après l'autre, « Ah, ouais, il puze, c'ti, il travaille pas, ce monde-là. » Je suis comme « Tabarnak! » Genre, de même, là. Mais t'as continué à manger pareil. Non, non, non. Genre, j'ai texté mon ami,

je lui ai fait « Viens me chercher. » Genre, je m'en vais dans la douche, out. Mais ce qui est fucked up, c'est que, genre, on dirait que la maison a changé dans ma tête, genre. C'est comme dans un film d'horreur, quand tu te rends pas compte où t'es. Tu te lèves la tête, un carillon avec un os de poulet et un oeil de chat dedans. T'as l'iso du village qui sort du sol

avec une salopette, avec une pelle. T'es genre tabarnak. Je suis où, esti? Pis là... Mon ami est venu me chercher pis je me suis en allé de là. Ça m'a fasciné à quel point... Ton ami était-tu blanche? Wow!

Ça leur a été malade que ça soit pas blanche. Ils l'ont tiré. Je leur ai dit, je vais marcher 15 minutes, je vais sortir de la terre, puis je vais aller te trouver. Ça rend pas compte. Quand le monde me dit, il n'y a pas de racisme, je fais comme, ben, moi, tu sais de quoi j'ai l'air? Je sais qu'il y en a, parce qu'ils se cachent pas devant moi.

Ouais, moi. Ben, moi, moi... Ils j'ai l'air, là. Je le sais qu'il y en a, parce qu'ils se cachent pas devant moi. Ouais, moi. Ben, moi, moi... Ils pensent que je suis, genre... Je pense qu'on est pareils. Moi, quand je pique des chauffeurs de taxi qui sont racistes ou misogynes ou whatever, je fais semblant d'être lombard juste pour voir jusqu'à où ils vont, là.

Tu sais, quand ça start, là, les femmes ou les... Moi, je fais comme... Juste pour voir le rabbit hole jusqu'à où ils vont. C'est fascinant. Des fois, moi je le teste et je vais trop loin. Tu vas plus loin que c'est lui qui fait comme « Oh ben là, le chaleur! » Les pâtes, je dis pas de les pâtes, juste que t'entends dans leur pays.

C'est juste comme qu'ils arrêtent de faire des crimes. Tu fais juste aller trop loin et ça les gèle bien raide. Ah non, j'adore ça. Le voyage que je parlais de Boston je me suis ramassé à Provincetown encore une fois avec le toutou

Provincetown c'est une ville dans le coin de Cape Cod que je savais pas mais il y a plein je me marche dans les rues pis là il y a comme plein de maisons déguisées avec des gros gros

bonbons pis en fait c'est quoi cette ville là pis c'est-tu Halloween c'est pas Halloween non c'est pas l'Halloween c'est en plein milieu de l'été fait que je comprends pas

pis je marche pis là de même moment je réalise que parce que je parle à quelqu'un que c'est-tu Halloween? non c'était pas l'Halloween c'était en plein milieu de l'été je comprends pas pis je marche pis là de même année je réalise que parce que je parle à quelqu'un que c'est une ville gay pis je suis dans une ville gay pendant le festival gay c'est vrai parce qu'il y a

autant l'air d'un raciste que d'un gay tu passes dans les deux guys tu passes tu passes partout je suis un caméléon moi je tu peux être un raciste gay

moi je touche un raciste je deviens raciste fuck eux autres fuck eux autres je touche un homosex je deviens raciste. Fuck eux autres. Fuck eux autres. Je touche un homosexuel, je deviens gay. Je suis comme... Mais là, je suis tout seul. Je marche avec un toutou.

Fait que mon gars, c'était... Je le faisais cruiser non-stop. C'était écœurant. Écoute, il y a des gars qui passaient. Il y avait... C'était tellement gay. C'était merveilleusement drôle. Il n'y avait pas de cloche sur le baissec.

Fait qu'il roulait. Pour que le monde s'attasse, il criait bingo. Juste un petit... Il faisait bingo. Puis là, le monde s'attarde, il criait « bingo ». Juste un petit… Il faisait « bingo! » Pis là, le monde s'attendait, pis j'étais comme « Christ, que c'est parfait, hein! » C'est incroyable, là. Pis genre, c'est ça.

Mettons, écrire cette scène-là d'un film… C'est trop… Je me ferais traiter d'homophobe. Total. Je serais comme « Asti, arrête, pourquoi t'es haï? » Je serais comme « Ben non,

qu'est-ce que… » Pour l'avoir vécu, moi, j'ai trouvé ça merveilleux parce que j'étais juste comme, c'était une monde happy pis y'avait une énergie de fou dans la ville. C'est juste que c'était drôle parce que j'étais un gars tout seul avec un toutou qui se promène, fait que tout le monde est comme « Allô? » Bingo! Moi, j'étais allé, quand j'étais allé

à Vegas cet été, c'était pour mon père, il a décidé d'aller dépasser pis on trippait. Mon père, il aimait ça, genre manger du steak, voir des shows de musique, des chars, fait que j'étais allé à Vegas un peu pour ça. Je mangeais des gros steaks, j'ai conduit une Porsche. Puis mon père,

il y a une année, on regardait American Idol parce qu'il y avait un participant qui faisait juste des compos puis on trippait dessus parce que c'était rien que des compos puis il s'encrissait

de l'émission, il faisait ce qu'il voulait. C'était quoi son nom? Alejandro Aranda, quelque chose de même. Super, bon, guitare acoustique, insane.

Et il a fait genre 14 compos dans toute sa shot d'émission. Puis à toi dimanche, j'allais chez mon père, on se faisait un souper, on regardait ça. Puis après ça, il est décédé. Puis là, je me suis dit, je vais aller à Vegas, un voyage un peu genre de deuil pour mon père. Fait que là, je suis allé, je mangeais des steaks et tout.

Puis je suis allé, Kelly Perry, qui était juge à American Idol, elle faisait un show de résidence à Vegas. Fait que je fais cri, je vais aller voir Kelly Perry. Mais j'étais le seul homme straight blanc dans la salle de Kelly Perry. C'était que des gays ou des filles en bachelorette party. C'était que ça. Puis moi, j'étais tout seul.

Vu que tu pensais à ton père, tu devais être ému. Ben quand? Ben c'est vrai. Mike, c'est là que je m'en allais. C'est très ça qui est arrivé. Elle chantait pis j'étais comme « Hey, qui c'est que la la la? » Puis là, genre, tous les gays autour étaient de même. « Regarde, il est ben lourd, lui, qui c'est que la la la? » Pis là, genre,

tous les gays autour étaient de même. Regardez, il est bien lourd, lui. Il reste pourquoi un grand homme? D'homme blanc qui a une grosse barbe, un petit joufflu. « Ah, OK, mon père! » T'es comme « J'ai supprimé mes émotions, OK? » Non, j'ai vu, j'ai dansé. Je danse mon deuil avec Katy Perry.

Mais c'était beau. J'ai eu un autre moment absurde. J'étais dans un gros steakhouse pis je mangeais un gros steak. Pis c'était le genre de repas eu un autre moment absurde. J'étais dans un gros steakhouse puis je mangeais un gros steak puis c'était le genre de repas que mon père, je sais qu'il aurait aimé. Puis mon père,

c'était un monsieur pas de fesses. Je sais pas s'il y en a qui ont ça dans leur famille. Un monsieur pas de fesses? Pas de fesses, concave. Pas de fesses. Genre pas de fesses. Les pantalons,

ils tiennent pas. Je suis le même. Puis il mettait pas de salepettes fait que t'es en train de se remonter les pantalons genre parce que ça tenait jamais. OK, ouais. Puis là, je suis en train

de manger un gros steak puis là, je pense à mon père Un esti de gros steak Un esti Un esti steak Vegas Dans le cercueil Fallait-tu brocher

Ses culottes Ses jambes Exactement On a mis des roses On a mis un bouquet de roses Puis les épines Dans les pantalons Mais bref

Fait que là Je suis en train de manger mon steak Puis il y a un vieux monsieur Pas de fesse Qui est passé En se remontant les pantalons Puis j'ai pleuré J'ai dit Chaud pis j'ai pleuré.

Chard! Papa! Lui, c'est pas là. Il y a un vieux Américain de 70 ans qui est juste allé aux toilettes pis il a fait brailler un Québécois de 39 ans. En se remontant en pantalon. C'était magnifique. Est-ce que c'est le fun pleurer?

Ben oui. Tu pleures-tu souvent? Tout le temps. OK. Il pleure présentement. Oui. Mais pas parce que je vais mal. Genre, je suis juste...

Je pleure. T'es-tu pareil comme moi? La fleur me touche. Moi, j'ai la larme intense, mais pas abondante, mais intense. Oui. Genre, c'est comme...

C'est comme de l'huile. Genre, c'est comme... On ne pleure pas souvent. Fait que quand on brasse, c'est de l'accumulation. Fait que c'est comme... C'est du sirop. C'est comme de l'huile. On ne boit pas souvent. Quand on brasse, c'est de l'accumulation. C'est du sirop. C'est de la sève. Tu mets ton petit chaudière.

Tu as du sirop d'érable. Tu mets ça sur les crêpes. Tu vas voir, par exemple, en vieillissant... Avant, je faisais de même. Je ne pleurais jamais. Un moment donné, quand j'ai accepté que je pouvais pleurer, tout m'a fait pleurer. Ah oui?

Tout? En l'équipe? C'est beau, là. Des vidéos de chiens sur Internet, là. Tu sens-tu qu'il faut que tu pleures des fois, puis t'es comme... On dirait que je suis poigné, il faudrait que je braille, puis là, tu te mets des affaires pour te faire pleurer?

Non, pas à ce point. Moi, je fais ça. Il se trigue. Je me sentais accueilli, pis il m'a rejeté. Viens, je vais t'accueillir, baby, viens. Tu vas aller pleurer là-bas. Fait que des fois, t'es comme... T'as comme un trop plein de...

Ouais, des fois, t'es comme poigné, t'es comme... Ça fait-tu comme, mettons, quand t'as goût de te crosser, tu checks de la porn pis y'a des vidéos où ça prend un bout avant de pogner le bon, que t'en regardes des vidéos qui sont supposées te faire pleurer, mais c'est pas vraiment le bon, fait que ça en prend une coupe, mais t'essaies, genre un type d'homme des bébés chiens t'es comme ah non pas ça là genre là faut t'en cherches beaucoup avant genre de... Pis si tu parais qu'un coup que tu pleures tu l'arrêtes te regarde pas en fin

Non c'est ça Où t'encules t'encules 20 secondes en arrière pis elle se fait comme c'est là je vais pleurer C'est le bon bout Ça c'est le bon bout le chien il est placé dans le bon angle si la caméra est parfaite c'est là je broie après ça je m'essuie j'ai honte pis je ferme l'ordi

c'est la même affaire t'as tout le temps pleuré pis c'est le gros plan sur le chien mort t'es comme non c'était pas ce plan là je voulais t'as-tu vu la vidéo

du joueur de hockey Boya Salming des Maple Leaf c'est un vieux joueur de hockey que là il y a la maladie ouais c'est ça qu'il arrive pis là il yux joueur de hockey que là, il a la maladie. Oui, c'est ça.

Il arrive, puis là, il y a un hommage. Puis là, lui, il pleure. Le public pleure. Mais ce n'est pas ça qui me fait pleurer. Ça, on dirait que c'est comme je suis supposé pleurer, ça ne marchera pas. C'est trop commercial. Il a la lame underground.

Il est plus underground. C'est comme ma musique. Moi, je n'écoute pas de pop. J'écoute du métal. Il y a des chansons de même que j'envoie à lui. C'est quoi qui te fait pleurer mais non ça peut être sûr que je suis surpris des fois c'est des affaires je peux un chien qui n'a pas vu quelqu'un puis dans trois ans puis là il voit piv et fou moi dans la vie en général si je vois une écureuil avec genre mettons il fouillait des vidanges qui a trouvé un est un trésor le tonneau comme quasiment pas manger le jeu le vôtre qui

est comme tabarnak tabarnak! » Pis là, il a pogné pis il s'en va quelque part pis il mange. Ouais, je suis comme « Ah, parce que je fais... » C'est exactement comme avec les curés, quand moi, je mange du chocolat. C'est ça que tu disais tantôt, quand tu me vois manger, t'es comme « Ah, il est heureux! » J'étais toujours fait de broyant en mangeant un gâteau.

Ouais, mais c'est sûrement dans le temps de Noël où je suis plus fragile. Te rappelles-tu le Noël qu'on a fait ensemble au Bistro à Jojo? Oui, nos Noëls tout seuls. C'était beau, ça. On a passé un Noël tout seuls au Bistro à Jojo sur Saint-Denis.

C'était de toute beauté, avec d'autres mondes tout seuls. C'était le 24 ou le 25. Je pense que j'ai écrit, j'étais comme, on fait quoi où je reste dans le bain? Là, j'étais comme... On est allés voir un film. Ça doit être magique,

le Bistro à Jojo à Noël je l'aime cette place moi j'adore, moi quand j'étais jeune j'écoutais tout, à l'époque on avait des talk shows au Québec, back in the days il y avait des histoires il y en a encore? à l'américaine, il y en a encore

dans le temps que c'était des hommes quand c'était des hommes quand c'était Corbeil le bon vieux Corbeil c'est parce qu' Quand c'était des hommes! J'animais, tu sais. Quand c'était... Corbeille, là, le bon vieux Corbeille. Non, mais tu sais, c'est parce qu'on n'a plus les mêmes histoires

justement de l'Abbistro à Jojo parce que personne ne va là. Mais tu sais, genre, mettons, je ne sais pas moi, Éric Lapointe disait, dans le temps, j'allais là, je croisais,

je ne sais pas moi, ce petit France Damo et là, on se mettait à jammer toute la nuit ou genre, whatever, genre des histoires de vieux musiciens

ou whatever qui se croisaient. En fait, l'Abbistro à Jojo, c'était le bordel pour eux autres, pour nous autres. C'était le sensible.

Oui, mais il y en a bien qui se sont croisés là et que leur carrière a commencé là. L'Habitro à Jojo, comme une histoire dans la musique québécoise

que je trouve qu'on... Qu'est-ce qui se passe? T'as vraiment Queen of the Stone Age. No one knows, au moins, c'est une bonne touche. Sacrement,

2002, ça va, mais toi, à jour... Le Cégep, c'est de bell toune. Sacrement, 2002, ça va, mets-toi à jour. Pa-pa-da-da. Le Cégep, c'est de belles années. Bref, c'est ça. J'aime bien les places qui ont des légendes,

qui ont de l'histoire autour. Mais nous, un 25 décembre, c'était... Non, c'était pas légendaire. C'était une énergie, c'était rempli de monde. J'ai peur de ça. Ou du monde qui sont fâchés après leur famille. Oui, c'est rempli de monde. J'ai personne. C'était ça. Ou du monde qui sont fâchés après leur famille.

Oui, c'est ça. Il y a de la marde où ils appellent leurs parents par leur prénom. Puis là, t'es comme, OK, vous... Je connais pas l'histoire, mais genre...

Nicole, elle m'a fait chier cette année-là. Il y a de quoi qui a brisé. Puis ça, c'était pré-pandémie. C'était pas genre le monde fait pas voir leur famille. Non, non, non.

C'était parce que je voulais pas voir leur famille. Il y avait combien de personnes sa foi plein son dos le pilote à travers et à fin mai à travail ce soir là avec du monde négatif la chouette ou la barbe est allé sur cette chanter parce qu'elle chante aussi c'est un gros pas moi j'aime bien ça des soirées qui veut de même avec des inconnus. C'est tout le monde, bonne vibe,

tout le monde qui veut connecter avec du monde. C'est une belle énergie. Déjà, juste le temps des fêtes au bistrot à Jojo. Ouais. On vous invite à y aller. Ouais.

Oh! Moi, c'est... On le vit. Moi, par exemple, mes plus beaux souvenirs du temps des fêtes, c'était tout le temps dans un...

Moi, ma famille, on réveillonnait vraiment tôt. Fait qu'aussitôt qu'on avait fini le réveillon, j'allais avec un de mes chums dans un bar, puis un bar cheap à Loretteville, là, qu'on était tout seul avec 4-5 messieurs

qui buvaient des grosses bières, puis il y avait un Joe Box, puis Christ que c'était le fun! C'était vraiment drôle. Les Noëls, ils finissent tôt, nous autres, ça finit tôt, genre à 9h30, 10h, là, c'est le fun c'est vraiment drôle des noëls finissent tout ça finit tout le genre à 9h30 10h le seuil fini fini le facteur est d'ailleurs porté d'une demi blonde à mané c'est genre ça fait jusqu'à 3h du matin ils viennent de bosson 60 chacun tabarnak c'est son noël moi je connaissais pas ça le débat le même pas de cadeaux on mange la dame c'est comme bonne nuit sorti sortir d'un bar après, c'est ça. C'est les meilleurs moments.

Vous autres, votre jour de l'an, ça ressemble à quoi? Ça dépend. D'un an à l'an dernier, ça dépend. Des fois, c'est chez des amis, des fois, c'est de la famille. Je me promène, ça dépend. Je ne suis pas très

parté jour de l'an. Je ne suis pas parté point, je pense. J'aime Noël, moins jour de l'an. Je travaille, je suis nous. Je fais mes affaires. Jour de l'an je suis pas parté point j'ai travaillé souvent j'aime Noël moins jour de l'an je travaille je suis nous je fais mes affaires jour de l'an

je m'en crie ça un peu Noël je trouve ça plus important mais le jour de l'an le dernier que j'ai vécu c'était je travaillais chez nous puis je regardais mon calendrier

je faisais genre des heures de quelque chose puis j'avais la petite bulle sur le 31 décembre puis pendant que je regardais le calendrier j'ai vu la bulle faire pouf

premier puis là j'ai fait ah bon ben ça c'était mon jour de l'année c'est le décompte je l'ai vécu dans faire poupe premier j'ai fait ah bon mais c'est le seul des comptes spéciale on dirait je fais la même affaire de moi ça fait mais les deux dernières années je suis au québec à cause de pandémie mais c'est moi ça faisait depuis 2000 genre 2000 je pense 2010 2011 chez tout le temps

en floride puis c'était bien important pour moi de d'écouter le bail bas et vu que je t'ai pas aucun show québec je me colle c'est du bail bas mais en floride je voulais écouter le bail bas mais le bail bas et c'est la chose que j'haïs le plus. Ça vient pas me chercher. Je trouve ça cheap. Je trouve que c'est mal écrit. Tu le regardes pour aimer de l'haïr. Puis là, je le regarde, puis je suis tout le temps comme... Ah, c'est... Ah, c'est son...

Christ! Tabarnak! Il est meilleur que ça. Pourquoi il a fait ça? Puis là, je critique tout. Puis là, je regarde Twitter pour faire... Je dois pas être le seul. Ah non, il aime ça.

Puis là, est-ce que j'ai... Là, je suis en cris crise que le monde aime ça tu te seul qui aime pas ça mais tu es seul dans le sud à wang athigone puis à chaque fois que mettons si on a des amis tout le monde aime sa vie que le bail baisse si c'est juste une monte encore 10 je suis le seul qui juge ça comme si c'était une compétition pis comme son mauvais je suis tenté c'est pour ça qu'il regarde pas mon nom c'est ton bonne année à toi c'est ton bonne année à toi

mon bonne année à moi c'est de me pâcher du sol je l'écouterais avec toi pis on chialerait c'est les mêmes affaires c'est pour ça que je l'écoute juste pas j'écoute l'infoman spécial tout le temps pis le bye bye j'écoute pas ça moi j'écoute le lendemain, en fait j'écoute l'infoman spécial tout le temps pis le bye bye j'écoute pas ça moi je l'écoute le lendemain

en fait j'écoute les meilleurs sketchs le lendemain parce qu'il y en a qui font comme ah ça tel sketch c'est le meilleur pis là je les écoute juste en clip mais me le taper au complet même quand c'est mauvais je sais que c'est pas nécessairement de la faute de ceux qui l'ont écrit parce que c'est tellement compliqué

pis avant il était écœurant pis genre il passait dans les mains de plein de monde pis pendant l'année avant quand il y avait pas internet mettons était moins populaire ou il y avait juste pas internet

personne parlait personne avait de gags c'est une nouvelle d'actualité pendant l'année fait que quand le baba il est arrivé c'était comme

oh shit telle nouvelle on avait jamais entendu de gags là-dessus mais là Chris il se passe une grosse nouvelle 30 secondes après

lui il a un liner il y a 18 memes il y a des tiktoks là-dessus fait que 6 mois plus tard essaie de puncher là-dessus il a oubli memes il y a des TikTok là-dessus 6 mois plus tard essaie de puncher là-dessus il est mouille ça internet a mangé le gars

il n'y a rien de plus pathétique quand tu y penses qu'un sketch d'actualité de quelque chose qui est arrivé il y a 7 mois c'est que un sketch

3 minutes les deux premières minutes tu fais ouais ça me dit de quoi ça faut que tu googles en même temps. Là, t'es comme « Ah oui, si un gars à Québec a fait un accident d'auto, ça doit être ça. »

Moi, je ne checke pas les nouvelles non plus. Si je tombe sur ces trucs-là, je n'ai pas les référents le trois quarts du temps. Je ne sais pas. Les nouvelles que je suis au courant, c'est celles qui se rendent à moi, que le monde jase. Je fais « OK, c'est quoi? » Mais sinon, je ne regarde pas les nouvelles. Puis en plus, le pattern, c'est tout le temps d'utiliser... Ah, c'est quoi? » Mais sinon, je regarde pas les nouvelles. Pis en plus, le pattern, c'est tout le temps d'utiliser...

Hein, sacrement! T'as fait le show, hostie! Hein, Yann! Wow! On l'a oublié! J'ai moins fait le show à son téléphone à lui. Yann, que... Le pire, Yann, c'est de même, je t'imagine, écouter le bye-bye,

tout seul, à noirceur. À noirceur! Avec un micro, branché sur le un micro c'est tout le temps les mêmes patins c'est tout le temps les mêmes recettes c'est à dire qu'ils utilisent des émissions tu sais pour parler d'actualité ils vont utiliser genre O.D. ou

l'amour est dans les prix mais c'est tout des émissions qu'on écoute plus vu que tout le monde est en train de se décobler fait que là ça devient des références qu'on perd fait que j'en perds la moitié qui aussi vont faire

ils ont tout le temps la toune fait que ça va être ils vont prendre la grosse toune de l'année mais ça va être qu'on est tanné d'entendre genre

des parodies ouais mais tu sais c'est ça c'est que c'est tellement comme qu'est-ce qu'on a pas le choix c'est l'humour grand public c'est pas le choix c'est ça c'est une gig ingrat c'est une gig tellement... C'est l'humour grand public. C'est pas le choix, c'est ça. C'est une gig ingrat.

C'est une gig ingrat jusqu'à temps que tu vois le chèque. J'ai écrit des affaires de même. Je me demande comment ça s'appelle. Je me suis tout le temps demandé. Pas le bag-bag, mais j'ai fait des affaires similaires. Puis tu finis inévitablement par tomber dans ces patterns-là parce que la commande, c'est comme le plus large possible. La grand-mère puis le jeune,

t'es comme, oui, mais c'est deux personnes complètement différentes. Fait que t'es comme, all right, on va faire de quoi que t'en prends entre les deux.

Après ça, t'as un réel qui arrive là-dessus puis qui fait comme, j'ai une vision. Puis il se grappe tous les textes. Parce qu'il peut faire

des beaux plans mais pas rythmés. Oui, c'est ça. Fait que c'est ça. C'est difficile de lander ça comme parfaitement parce qu'il y a

trop de gens impliqués. C'est mieux quand c'est ça. Le pire, tu sais, ce temps qu'aujourd'hui j'avais pas écouté ça le dénat de live depuis des années aujourd'hui j'ai regardé vu que c'est chappelle yann canimé il ya fait un monologue de 15 minutes c'était vraiment bon je les écoutais j'ai fait, je vais regarder une couple de sketchs. J'ai commencé à écouter un sketch et j'étais fâché. L'affaire qui m'a fâché, c'est la même affaire que le bye-bye. J'étais comme,

c'est mauvais. Je regardais les commentaires. C'était le meilleur sketch des 20 dernières années. J'étais comme, fuck you, tabarnak. Je cliquais sur la face du gars « Chris t'aimes ça, c'est clair t'aimes ça » je pense que chaque « Chris de con »

mais on est dans une époque de « tout est la meilleure affaire du monde » pendant 10 secondes pis après ça c'est une nouvelle affaire qui est la meilleure affaire du monde Maxime Martin m'avait remis à ma place un moment donné parce que moi je suis le genre à dire ça moi là quand je vois quoi que j'aime ça c'est la meilleure chose que j'ai vue de ma vie.

C'est ça. Maxime, j'avais dit, son premier show qu'il avait fait, c'est la meilleure chose que j'ai vue de ma vie. On avait été voir une affaire ensemble quand on est devenus amis, genre dix ans après. J'avais fait ça, la meilleure chose que j'ai vue de ma vie.

Arrête de dire ça, tabarnak! Moi, j'étais touché que j'étais la meilleure chose que j'avais vu de ta vie. » Là, je viens de réaliser que c'est ça à propos de la tarte au citron du Harvey pendant le temps des fêtes. Alec Pizanion, il est pareil par rapport à ses rêves. Je suis parti une semaine dans la B-T-B avec, puis chaque affaire qu'on parlait, il faisait « Hey, ça, c'est mon rêve d'avoir ça. » « Hey, ça, c'est mon rêve d'avoir ça. » « Hey, ça, c'est mon rêve de faire ça. » Quand il dort, c'est comme ça qu'on a une relation.

Son rêve dans la vie, mais pendant la semaine, il y avait 352 rêves. On parlait d'un burger, il disait « Ça, c'est mon rêve de manger ce burger-là. » En même temps, il va par le nombre. Maintenant, il en l'aime 2-3. C'est ça. La loi de la moyenne. Exact. Moi, ça, c'est un affaire que j'ai trouvé weird cet été quand je faisais le Centre Bell

aussitôt que je parlais à des journalistes ils me disaient ça doit être comme un rêve t'es en train de vivre comme un rêve de jeunesse tu réalises-tu que je suis né en 73 fait que moi en 1979 je suis comme un jour

le forum n'existera plus. Il va y en avoir un autre. Au lieu d'être le forum, ça va être nommé une compagnie de téléphone qui est à l'époque la seule compagnie de téléphone. Alexandre est encore vivant. M. Bell est encore vivant.

Je vais faire comme de la radio, mais pas de radio. La radio, le monde va s'en colisser. C'est ça, mon rêve. T'es un visionnaire. Oui, je suis un visionnaire. Moi, j'avais un critique à un moment donné, il avait été voir un de mes shows

au ZooFest, puis il m'avait fait, d'un journaliste, il m'avait fait une critique qui n'avait pas de bon sens, trop encensée, genre trop encensée. Puis j'étais comme flatté, mais genre moi, les critiques, je suis comme, je sais pas tes qui, je connais pas tes autres goûts, je sais pas, tu sais. Puis comme de fait, le lendemain,

il avait critiqué un autre humoriste et lui l'avait ramassé, puis c'est quelqu'un que j'aime, que j'apprécie et que je respecte. Puis il avait ramassé ce humoriste-là, puis il avait encensé un autre humoriste que je trouve vraiment mauvais. Puis j'ai fait, OK, ton jugement vaut pas de la merde. Genre tout le positif que tu m'as donné vaut plus rien. Si ça t'aimes pas ça, puis ça t'aimes ça, que tu m'as donné vaut plus rien si ça t'aimes pas ça

pis ça t'aimes ça que tu m'as aimé moins ça vaut rien j'étais comme t'as tout gâché ma colisse moi c'était le truc même les bonnes critiques

je vais pas fouer que ça parce que ça fait que les mauvaises m'affectent moins je me laisse pas être comme fucking content si j'ai une critique écœurante

parce que je veux pas tu donnes pas de pouvoir à ça j'ai déjà dit ça les critiques je respecte même pas tes bonnes pas de pouvoir à ça. Exact, c'est ça. Je l'ai déjà dit dans les critiques, je respecte même pas tes bonnes critiques. Non, exact. C'est ça, il aime pas ça.

C'est ça, il aime pas ça. C'est ça, il aime pas ça. Je respecte pas ton jugement. Mais pour vrai, moi, j'ai déjà une critique à ZooFest, qui était un jeu... Ah, tu sais, à ZooFest, il y a des trophées, là, tu sais, pour les meilleures choses,

comme un festival, là. Fait qu'il y a des juges... Oui, c'est quoi, ZooFest? Il y a des juges... Oui, tu m'entends bien. Je te parle pas que c'est quoi, ZooFest. Je te parle qu'il y a des trophées. Je te parleait qu'il y a des juges. Je te parle pas que c'est quoi Zoofest, je te parle qu'il y a des trophées. Je te parle juste qu'il y a des trophées. C'est un zoo, comme à Granby.

Exactement. M. Ward, restez avec nous. Il y a des juges. Le Mary Pop-Up Town. Les meilleurs pinottes. Le meilleur foin. On peut nourrir des humoristes. On mangerait au moins mieux qu'à Zoofest

enfin on mange des pinottes pareilles dans les loges c'est très sûr qu'on mange mais bref il y a des juges qui se promènent

de show à show puis à la fin du festival ils font genre meilleur artiste meilleur show concept meilleur ça fait qu'il y a des critiques il faut qu'elles voient

tous les shows puis il y a une critique qui était venue me voir un soir avant qu'elle vienne voir mon show puis elle me dit en tout cas j'espère que t'es en forme que demain, on va te voir. »

J'étais comme « M'en calise. Je ne sais pas qui tu es. » Elle a vu que je n'étais pas impressionné. Le lendemain, après qu'elle avait vu mon show, elle est venue me voir et elle a fait « Je te dis tout de suite, ce n'est pas toi qui vas gagner. » Pourquoi tu me dis ça? C'est le vache. Elle me dit « Parce que tu sais trop que tu es bon. » De quoi tu parles, tabarnak? J'en ai ta mère d'avant d'aller voir un show.

Parce que je te donne pas de pouvoir sur moi. C'est ça qui est fascinant, souvent, des critiques. C'est pas que je suis bon, c'est que dans ma tête, je sais pas t'es qui. Je vais pas te donner du pouvoir sur moi. Je sais pas t'es qui, Chris. C'est pas que moi qui est bon, c'est toi qui est mauvaise. C'est peut-être mauvaise ou t'es peut-être fucking bonne, mais je sais pas t'es qui.

Je vais pas te mettre sur un piédestal de j'espère vraiment que tu vas m'aimer si je sais pas t'es qui mais ça souvent il y a des critiques qui comprennent pas la différence entre ils disent souvent

qu'il y a des assises qui sont pas capables de prendre la critique c'est pas qu'on prend pas la critique c'est que si je sais pas c'est quoi ton jugement all around

ou peut-être que je respecte pas ton jugement peut-être que ce que toi t'aimes moi j'aime pas ça fait que si t'as une critique sur moi après ça je vais m'en caler mais pas parce que

je suis meilleur que toi juste j'ai le droit de pas te donner une critique sur moi après ça, je vais m'en caler mais pas parce que je suis meilleur que toi j'ai le droit de pas te donner de pouvoir sur moi c'est ça qui est fascinant des critiques ils voient ça comme de l'arrogance si tu leur donnes pas du pouvoir chaque fois, mettons les critiques de la presse qui changent

mettons aux 3 ans, 4 ans je trouve tout le temps ceux que j'aime et ceux que je n'aime pas. Puis quand j'ai une mauvaise critique de quelqu'un que j'aime, ça m'affecte pour vrai. C'est parce que tu estimes la personne. Tout ce que lui aime,

j'aime. Tout ce que je trouve mauvais, il trouve mauvais. Puis il vient dire que je suis mauvais. Là, je me remets en question, en esti. Mais tu sais, moi moi mettons d'avoir sophie durocher qui dit que je suis pas bon je m'en connais ce type d'hôpital 10 15 ans quand internet commence à plus de commentaires au sol et blog de gama sans crise des blogs c'est juste un gars en babette dans son sous sol le simple le web a pris full de galons c'est rendu gars en bobette dans son sous-sol le web a pris full de galons pis c'est rendu le journaliste

dans le journal c'est lui le gars en bobette dans son salon le blog pis les posts ont plus de reach c'est comme inversé mais leur égo ils ont le même qu'avant un petit petit gamin a un vrai reach

Marc Cassivy a peu de reach mais Marc Cassivi il a la confiance de comme si la presse comme si c'était juste César qui faisait sa passe ou sa passe pas genre moi c'est le gars de c'est qui qui fait ça je pense c'est Hugo Dumas

il le fait plus à ça mais qui faisait je l'évite et je l'évite là j'étais comme à fois, j'étais comme « Ah, s'il y avait encore un journal papier, je te collerais une claque dans la face. » Ça fait bien plus mal avec un iPad. Regarde l'iPad.

Il y a la presse plus sur l'iPad. Un iPad pro, là. Puis l'autre, le gars qui fait l'étoile du match, de tout le monde en parle. À chaque fois, je suis comme « T'es qui, toi, Calice? Puis pourquoi je lis ça à chaque semaine, tabarnak?

J'ai pas regardé, tout le monde en parle. Puis ça coûte cher, parce qu'à chaque fois, il faut être dans le sud pour être fâché après ça. Parce que c'est là que t'aimes ça être en tabarnak après ça. Mais à leur défense, leur milieu, quand tu prends le temps de jaser avec ce monde-là, de comment ils travaillent, puis c'est quoi leur structure dans les bureaux de journaux, tout ça, c'est un peu comme nous autres. Eux autres, ils font leur place, ils ont de la job à tous les jours, il faut qu'ils fournissent, ils ont un horaire de fou, ils ont des contraintes par rapport. Puis c'est pas ça qu' les bureaux de journaux. C'est un peu comme nous autres. Eux autres, ils font leur place. Ils ont de la job à tous les jours.

Il faut qu'ils fournissent. Ils ont un horaire de fou. Ils ont des contraintes par rapport. Ce n'est pas ça qu'ils voulaient faire à la base. Quand tu catches ça aussi, tu fais OK, c'est correct. Moi, j'aimerais savoir s'ils l'évitent pour vrai. C'est tellement bon qu'ils flottent. Parce qu'ils doivent voir.

Ils sont comme wow. Parce que pour vrai, la réalité de faire je l'évite et je l'évite, la réalité de n'importe quelle création artistique, la plupart des choses sont correctes. Il y a vraiment je l'évite, je l'évite, puis correct. C'est correct.

Il n'y a pas le in between. Il y a bon, il y a mauvais, puis il y a correct. Mais juste extraordinaire. Je ne pense plus que l'affaire c'est que les critiques n'ont plus autant de pouvoir qu'avant

parce que les gens font leur propre opinion avant justement avant internet les gens checkaient dans le journal ah c'est une bonne critique ça a l'air bon

il n'y avait pas d'autres opinions mais à Star tu vas sur un post sur Facebook sur Rotten Tomatoes tu vas n'importe où tu peux voir

les critiques et le public puis là tu vois la moyenne des commentaires tu peux te faire ta propre opinion ils ont vraiment perdu le pouvoir tu peux avoir l'opinion de plein de gens sur la toilette d'une halle troutière

c'est à 40 Marc Cassivi ça en vient l'internet ce n'est que ça sauf par exemple mettons pour les ventes de billets ils n'ont plus le pouvoir qu'ils avaient, mais pour fucker la tête des artistes,

ils ont encore le même pouvoir. Parce que ces artistes-là leur donnent ce pouvoir-là. Quand tu es comme, regarde, je me crise de ce que tu penses de moi. Tu te fais dire, tu sais trop que tu es bon. Mais le web a ça de beau. Moi, c'est ça qui m'a aidé à enlever de l'importance à ça

parce que pendant des années, j'étais, tu sais, je veux qu'ils m'aiment puis je veux que les critiques soient bonnes. Mais aussi, j'ai commencé à avoir plus de reach sur le web puis faire mes affaires puis les TikToks et ces patentes-là. On dirait que le monde est là puis tu poses de quoi,

les gens sont smarts, tu réponds, tu trouves ta petite gang puis on dirait que c'est ça qui est important. C'est ça qui est le fun. Ça fait que ça enlève du poids à ça parce qu'on dirait que t'as moins besoin. Parce que les autres, les critiques, c'est une espèce de c'est une façon de rentrer dans la grosse

machine et d'être mainstream, mais si t'acceptes d'être juste à côté et de faire ton affaire tu peux t'en collisser, eux autres, si t'es pas tu cherches pas à faire ça Moi, une affaire qui m'a vraiment aidé je parle pas des critiques professionnelles mais je parle des critiques sur les réseaux sociaux

qui sont mauvaises. Les premières années, ça m'affectait jusqu'à temps que j'aille voir... Aussitôt que je vais me remonter le moral, je vais voir les commentaires en dessous de vidéos d'humoristes que j'aime puis de voir qu'ils ont le même genre de commentaires. Tu sais, comme je parlais de Sheppel, que son numéro, son monologue était super bon. Là, j'ai regardais les commentaires.

Pire humoriste des 20 dernières années. J'étais comme, OK, Dave Chappelle est le pire humoriste des 20 dernières années. Il n'y en a pas eu des pires que lui. Les Beatles, ils n'ont pas des bites. C'est ce genre de monde-là. C'est drôle parce que tu le remarques là, mais tu ne le remarques pas quand toi,

tu fais, c'est la meilleure affaire. C'est genre, c'est l'inverse. fais c'est la meilleure affaire c'est genre c'est l'inverse mais c'est vrai il y a tout le temps si tu cherches la merde tu vas en trouver je pense qu'il y a

beaucoup de gens peut-être je suis pas dans le public ou dans les critiques mais il y a beaucoup de gens qui surestiment leur capacité à apprécier l'humour

il y a beaucoup de monde qui font j'ai un sens d'humour je suis capable de dire qu'est-ce qu'il y a j'adore ça mais il y a tout le monde qui dit ça

regarde Chris j'ai un sens d'humour ça c suis capable de dire ce qui est gros. J'ai des genres, j'adore ça. J'ai des genres. T'as un monde qui dit ça. Non. Regarde, Chris, j'ai un sens d'humour. Non. Ça, c'est comme le monde qui dit « je suis pas raciste ». Oui, tu vas le laître dans deux secondes. Pas raciste, mais c'est la même affaire. Le monde fait « j'ai un sens d'humour », mais non, t'en as pas. J'ai un sens d'humour, j'aime ça les jokes racistes. J'aime ça les jokes racistes.

J'aime ça les jokes racistes. Moi, je respecte les critiques qui font genre, qui sont nuancés, qui font « regarde, moi j'ai pas trippé, mais c'est pas pour moi ». Sais-tu quoi? Dis ça, je fais cool, je te respecte. critiques qui sont nuancées. Moi, je n'ai pas trippé, mais ce n'est pas pour moi. Sais-tu quoi? Chris Ben, Richard Martineau, quand il a commencé, avant de devenir la bête qui est, quand il était critique cinéma à Flash,

te rappelles-tu de Flash, à TQS? Richard Martineau était à Flash à l'époque qu'il était au voir? On peut prendre en même temps. Il était critique cinéma, et c'était un bon critique cinéma parce que,'époque, il était au voir? À peu près en même temps. Il était critique cinéma et c'était un bon critique cinéma parce que, pour cette raison-là,

il était capable de se mettre dans le pot de, OK, c'est pour quel genre de public? Dans ce genre-là, c'est-tu un bon film? C'est-tu un bon film d'action?

C'est-tu une bonne comédie? C'est-tu un bon drame? J'étais comme, bon, enfin, quelqu'un, un style qui n'a pas juste comme, j'aime ça les films d'auteurs

puis le reste, c'est tout de la merde. Après ça, il est devenu autre chose. Mais le bout, je me rappelle respecter Richard Martineau en tant que critique

de cinéma à Flash c'est un peu weird mais c'est-tu Marc-André Lucien en presse c'est le critique de cinéma je sais pas si c'est le bon nom que j'ai donné mais lui

il fait les films d'auteur tout ça il connait son cinéma mais des fois clairement son boss il dit faut que t'ailles voir le nouveau Avengers et il en fait une critique pis je le vois

comme être sincère de garde pis il tripe ses films d'auteur mais il fait sa critique honnête de ça pis il garde dans le genre c'est ça ça ça

pis il écrit dessus être un imbécile t'sais il est super méprisant être un osti-colon je capoterais j'aimerais ça c'est bon pour la bande couche avec la cousine

ouais ouais c'est un bon film c'est fait pour les idiots mais Fast and Furious je suis allé là-dessus en joke moi aussi mais je les écoutais mais quelqu'aimerais ça. C'est bon pour le monde, couche avec la cousine. T'es un bon film. C'est bon pour les idiots. Mais Fast & Furious, je suis là-dessus en joke, moi aussi, mais je les écoutais, mais quelqu'un m'a dit...

Sûrement que c'est bon. La façon de le regarder, la personne qui m'a dit ça, ça m'a aidé. Faut que tu le vois comme un film de super-héros. OK. Fast & Furious,

c'est des films de super-héros, mais les super-héros, c'est des chars. Exactement. Moi, c'est des super bons films. C'est Transformers, mais c'est un char qui se transforme

en Vin Diesel. Exact. Exactement. Moi, ce que j'aime, c'est qu'il y a bien des personnages là-dedans qui ressemblent à Rick Hard. Yann, y a-tu des questions? Oui, il y en a quelques-uns. OK, parfait. Pour PB, est-ce que la formule invité en duo

va revenir à ton podcast? formule invité en duo va revenir à ton podcast formule invité en duo ouah oui ben oui en fait la seule raison pour laquelle je faisais du solo c'est des raisons de logistique de booking c'est vraiment plus facile à maner c'est beaucoup beaucoup mais quand j'ai l'occasion d'en avoir deux je le fais mon appart est si aussi là puis j'ai changé de caméra puis mon angle est moins wide qu'avant c'est vrai il y a des réponses plates mais c'est la seule raison

pour laquelle j'invitais plus deux personnes mais oui de temps en temps en fait les carrés de sable c'est ça

je me donne pas de contraintes avec ça j'y vais comme je le feel j'essaie des affaires ça fait combien d'années que ça est passé un des plus vieux t'sais t'es

y'avait trois y'avait toi trois bières pis moi à ce moment fait que ça fait six ans je pense ok j'approche le 300.

OK. Mais oui, ça va revenir. C'est ce que je le feel, en fait. C'est vraiment ça, la vague du podcast. C'est novembre. C'est pas novembre. Il ne faut pas nous demander

des questions sur les projets en novembre. On ne veut pas avoir de l'option en novembre. On va essayer de se rendre en décembre vivant. Oui, c'est ça. Si mon projet d'acheter une corde

ne marche pas, on va... Parle-moi en juin, j'en ai un tabarnak des projets. Prochaine question, c'est pour Ben. Est-ce que tu as le goût ou l'intention de produire d'autres documents? Mais avant de répondre à ça, tu devrais peut-être bloguer ton...

On va parler de ton documentaire avant de répondre. Parce que là, toi, t'as fait un documentaire sur les soirées d'humour au Saint-Sulpice. Saint-Suport. Longue bord de la rue. J'appelle tout le temps ça, le Saint-Sulpice. Oui, je l'ai écouté.

C'est comme les bailleries de Montigny. J'ai vraiment aimé ça, mais je voyais ça quasiment comme une lettre d'amour exactement à cette soirée-là et à cette époque-là aussi

et c'était vraiment beau à voir comment t'aimes ça et ça l'a marqué ta vie et ta tête et votre génération c'était vraiment cool

tu l'as vu de la bonne façon, dans le sens, c'est ça que je voulais donner comme feeling. Je pourrais être critique, moi, je ne suis pas un estiné.

Pour ça, juste faire, en fait, c'est là, parce qu'on est au bordel puis dans le documentaire, on dit que le bordel, c'est la suite du Saint-Cyboire.

Pour les communiques qui connaissent cette soirée-là, c'était les mardis de l'humour au Saint-Cyboire, ça a été de 2004 à 2014, c'était à Montréal, sur Saint-Denis, en face du Saint-Sulpice. C'était long, hein? 10 ans, quand même. 10 ans, ouais.

Puis à l'époque, c'était la seule soirée d'humour de stand-up à Montréal en français qui marchait. Il y en avait juste une par semaine. C'était le mardi. Là, à ce temps-là, tu peux faire des shows 7 jours par semaine, en faire 3 dans une soirée. Mais à l'époque, il y avait juste cette soirée-là. Tout le milieu de l'humour était là. C'était le quartier général de l'humour.

Même si t'étais pas en show, t'allais là. Pis c'était un petit bar miteux dans le demi-sol. Le plafond, il coulait tout le temps. Pis notre loge, on ne l'avait pas. C'était dans la ruelle en arrière. On se tenait dans la ruelle avec des robes. Pis c'était pas des jokes gros comme des chats qui nous passaient entre les jambes. Pis le public qui trippait sur l'humour

venait de chiller dans la ruelle avec Lewis Morris parce que c'était une rue. Fait que tu peux pas te faire dire, ben va-t'en de la loge. Non, t'es dans une ruelle. Toutes les guilles comme Adib en parlent. Adib, à quelle idée, il a commencé au Saint-Cybe. Mazza, François Bellefeuille.

Bellefeuille, c'est là qu'il a inventé son personnage. C'est là qu'il est venu au monde. Avant le Saint-Cybe, Bellefeuille, c'était le dôde avec les lunettes éduquées qui faisait des bons textes. Puis après, son personnage est né. C'était un accident.

J'étais là le soir où il est rentré sur scène, il a plus ou moins senti tabarnak. Il a juste fait son texte plus vite. Il s'est passé de quoi? Puis on a tout fait. Il se passe quelque chose. Sais-tu parce qu'il est en crise ou il l'avait tué? En fait, je ne sais pas qui va le dire.

C'est fait de mort par un rat. C'est très valable. Non, mais moi, ce qu'ils avaient dit, C'est fait de menthe par un rat. C'est comme Spider-Man, mais ça l'a dit. Ce qu'ils avaient dit, son personnage, la prémisse, c'est lui quand il est sur la brosse. Quand je suis sur la brosse, autour d'un feu,

je me laisse aller, je dis de la merde, je suis fâché. Puis là, on dit, c'était drôle quand il m'a dit, il m'a essayé de faire un personnage avec cette énergie-là. Il est arrivé au Saint-Syborre un soir, il a fait les faucons V1 avec des amandes dans les poches. Puis le monde, esti. Moi, je me rappelle, je suis arrivé dans la ruelle, il venait de passer et le monde était comme tabarnak, Ben, tu es le manqué. C'est ça qui est le fun

du Saint-Cyborg, c'est que tous ces moments-là, mettons, la première fois que Bellefeuille a fait son personnage, la première fois que Mazza a fait un number, la première fois que Simon Leblanc a fait un number, à chaque fois, tu voyais une coupure dans le temps qu'il y avait un avant et un après. Genre le monde, les humoristes, le public faisaient comme qu'on vienne d'être témoin de quelque chose.

Ce qui a pu à ce temps-ci, mais il y a tellement de soirées que c'est dur d'avoir un endroit où il y a toujours ces moments-là au même endroit. – Que tous les yeux qui s'intéressent à l'humour sont en même place le même soir. – Exactement. – Il y avait une affaire aussi en écoutant le documentaire que j'avais oublié,

puis ça fait pas mille ans, mais dans le temps qu'il n'y avait tellement pas de soirées d'humour, tu allais, mettons, si tu étais sur le show, tu allais au show, tu faisais ton number, tu écoutais les autres, tu prenais des drinks, tu passais ta soirée. Tu sais, c'était... Tandis que là, tu viens ici,

t'es booké ici, t'es booké à la preuve, tu t'en vas. Tu sais, t'as huit shows le même soir. Fait que c'est plus dur créer des amitiés qui vont durer. Exact. Mais c'est ça, c'était vraiment une place où les humoristes venaient, même que tu sois sur le show, tu venaies pour passer la soirée. Puis l'affaire

aussi, c'est que vu qu'il y avait juste une soirée, ça attirait tous les styles d'humour. À ce temps-là, il y a des soirées, mettons, qui ont leur couleur. Ça, c'est plus des jokes engagés. Ça, c'est plus des personnages. Cette leur couleur. Ça, c'est plus des jokes engagés. Ça, c'est plus des personnages. Cette soirée-là, c'est plus des jokes un peu trash. Mais, tu sais, mettons, GHB. Il y a des thématiques qui se sont placées. À l'époque,

il y en avait... GHB qui est plus engagé. Oui, exactement. Géographie... Très près de la critique sociale. Géographie, histoire... Histoire et Burkina Faso. Ça, je ne l'ai pas trouvé, moi non plus. Merci, Jean. On l'a fini correct. Mais bref,ai pas trouvé, moi, non plus. Merci, Jean-Rupert.

On l'a fini correct. Mais bref, tout ça pour dire que, vu qu'il y avait juste le seul laboratoire de stand-up qu'il y avait, tout le monde, tous les styles, peu importe le style, c'était là. Puis aussi, c'était la seule soirée d'humour qui était à la fois un open mic en même temps.

Tu pouvais être sur le show, toi, tu pouvais être sur le show, puis sur le show, avant toi, il y avait un gars qui c'était sa première fois ever qui avait rempli le bord de son monde de Victo, puis là, toi, tu pensais à la vraie. Je le réalisais pas, parce que moi, à cette époque-là, ça faisait déjà 12-15 ans

que je faisais... Quand ça a commencé, ça faisait déjà 12 ans que je faisais du mot. Fait que, tu sais, quand j'appelais, je faisais comme, « Hey, je peux-tu monter? » Il disait oui, mais je réalisais pas que il donnait autant de chance à du monde moi j'avais vu un gars un mané là-bas qui

faisait un que c'est que çaique, ça. Le même gars? Le barbe, la margarine. Margarine, même couleur que le beurre! Ça, c'était ça. C'était son closer. C'était trois bits, c'était ça. Christ, j'aimais ça. Mais calice, un calice de serpent. Qu'est-ce que ça calice, un calice de serpent?

Moi, j'ai fait... Tu sais, Charles Deschamps fait... Excuse-moi, va le soutenir. Toi, mais toi, t'as... Non, non, mais ce que je vais te dire va t'amener nulle part. Mais toi, t'as... Mais je vais y aller avec toi pareil, Val. Toi, mais toi, t'as... Non, non, mais ce que je vais dire va t'amener nulle part. Mais toi, t'as... Mais je vais y aller avec toi pareil, Mike.

Leave no Mike behind. T'as été obligé d'écouter, sti, 900 000 heures d'un vieux numéro. Ça devait être lourd. Moi, j'ai animé à ce bord-là en 2008, puis j'avais souvent ma caméra Qui était une caméra mini-devée Des petites cassettes

Il y a longtemps Je filmais souvent les shows Puis à un moment donné L'année d'après j'ai regardé mes cassettes J'ai regardé le footage Je me suis dit C'est vraiment intéressant Avoir tout ce footage-là

Parce que je ne me filmais pas juste moi Je filmais le show complet Je me suis dit Ça serait le fun de faire un jour Un documentaire avec ça Des vidéos grainy De performance sur le stage Puis j'ai regardé ce délai

Pendant 10 ans Puis il y a 4 ans Je me suis créé une caméra Pour mon podcast J'ai gardé cette idée-là pendant 10 ans. Il y a 4 ans, je me suis créé une caméra pour mon podcast. Je me suis commencé à me promener dans les loges. J'arrivais dans les loges. Je me disais qu'on parlait du Saint-Sibre. J'allumais ma caméra et on parlait du Saint-Sibre. Pendant 2 ans, j'ai buildé du photo du domaine.

On voit que quand tu l'as fait, les premières fois que tu le faisais, c'est shaky en gris. Ça, je l'ai fait exprès pour que le monde catche que c'était un genre de documentaire très street. J'ai fait exprès de mettre ces moments-là pour que le monde comprenne que c'était pas un trépied avec

« Assiste-toi, parle-moi du documentaire ». C'est pas de mise en scène. Je voulais amener la vibe du Saint-Siboir dans le documentaire, qu'on était juste une gang du Maurice qui passait des nuits à Jorges jusqu'à 3h du matin. Il fallait que le documentaire ait cette vibe-là. C'est pour ça que j'arrivais avec ma cam, je l'allumais et je mettais ça dans la face.

« On parle du Saint-Cybre! » « Ah, quoi? » La réponse que j'ai eue des humoristes, c'était « C'est pas rien que moi qui ça l'habite longtemps. » C'est vraiment le monde devienne allumé vite. Ce qui était le fun, c'était que j'ai laissé le documentaire se raconter tout seul,

dans le sens qu'il y a des histoires qui se sont racontées, que j'ai même pas eu besoin de dire à personne, parle-moi de ça. Il y a du monde qui se rappelait des mêmes, mettons, les Pique-Bois qui se sont plantés, qui étaient le flop le plus épique de l'histoire, de l'humour. Toi, t'en as parlé, Simon Gouache en a parlé, mais dans deux moments

différents dans le documentaire, fait que ça prouve à quel point ça a marqué. J'ai même pas eu besoin de dire, tu en as parlé, Simon Gouache en a parlé, mais dans deux moments différents dans le documentaire. Ça prouve à quel point ça a marqué. Je n'ai même pas eu besoin de dire « Parlons de ça ». Ça fait 10 ans que j'étais à côté de Gouache. On l'a vécu ensemble et on a le même souvenir. C'était magnifique. Ce qui est le fun, c'est que dans le documentaire, j'ai les piques bois que je leur fais

regarder des perfos qui ont fait du Saint-Cypre. Ça, c'est beau à voir. De voir Max comment il n'est pas bien je leur fais regarder des perfos qui ont fait du Saint-Cypre, qui ne s'en rappellent pas, puis qui en parlent, puis qui en rient. C'est tellement beau. C'est vraiment qui n'est pas bien, de se regarder. Je suis sûr que tout le monde, puis ça devait être la même affaire pour toi,

quand tu m'avais dit, il y a un extrait de moi que je fais un prière de ne pas envoyer de fleurs pour Antoine Bertrand, que je ne me rappelais même pas que j'avais fait un prêt de ne pas envoyer une flamme sur lui. Là, j'étais comme...

Tu as regardé quelque chose il y a 10 ans, une V1. Tu es comme... C'était mieux ça que de regarder une V1 il y a 10 ans et de faire comme « Christ, j'étais bien meilleur. » Ça, ça doit être triste de faire. J'étais bien bon.

Qu'est-ce qui s'est passé? Ça brillait. Ça, tu l'as dit. Tu disais les heures de footage que j'ai dû regarder. C'est ça aussi. Le pire, c'est que sur les centaines d'heures de footage que j'ai regardées, tout ce que je me disais, ça, je pense que c'est bon. Il a fallu, en fait, Charles Séguin, qui était mon assistant-producteur,

qu'il était en charge d'envoyer par e-mail tous les extraits que je voulais à chaque humoriste, que chaque humoriste le regarde, me donne l'approbation et après ça, je le mets dans le documentaire.

Juste ça, c'est des semaines de travail mais les bijoux, ce ne sont pas des bijoux parce que le monde qui se plante, ce n'est jamais bon. Genre vraiment,

mais nous autres, on les connaît. Moi, je trouve que ça ne fait jamais de la bonne télé tant que ça, quelqu'un qui se plante mais Charles Deschamps, à sa fête,

j'ai fait un gong show du Saint-Siboir. J'ai tous les footages que j, quelqu'un qui se plante. Mais Charles Deschamps, à sa fête, j'ai fait un gong show du Saint-Cyboire. J'ai tous les footages que j'avais du monde qui se plantait le plus fort. J'ai fait un genre de montage du gong show là-dessus,

puis j'ai donné, puis il pleurait de rire. Mais dans le documentaire, ça serait pas bon. Le monde veut tout le temps voir le monde qui se plante, mais c'est jamais un bon moment. Puis je trouve que ça rend pas justice

au Saint-Cyboire. Je voulais vraiment donner un laboratoire où on avait du fun, puis on a appris. Puis là, il sort quand? Quand le monde... Comment on fait l'acheter?

Là, il y a des gens en prévente. Je les mets en prévente exprès pour asseoir pour le monde live ici en public et les Patreons. C'est quoi l'adresse?

C'est sur bennelefeif.com. Il va être... Bennelefeif.com, il y a un lien documentaire. Tu vas là-dessus. Il est sur Vimeo. Tu peux le mettre en pré-vente. Il va sortir le 27 novembre.

Quand vous allez voir l'épisode sur YouTube, si tu le regardes sur YouTube, il est déjà en ligne. Mais pour vous autres, tu peux le prendre en pré-vente. Il y a un code promo sous écoute. Tu as 25 % de rabais pour le public et tes Patreons.

Juste pour asseoir. Mes fans, eux autres, ils n'auront pas de rabais pour le public puis des patrons juste pour asseoir puis mes fans d'autres qui auront pas de rabais ça me fait rire c'est tout ce qu'il avait fait un code promo que tu payais 25% de plus oui si vous écoutez 25% de rabais puis les fans'ai fait un code promo pour mon show sous écoute aussi. Parce qu'on s'est dit qu'on allait faire le même code promo pour ne pas se mélanger.

On a le même code promo mais pas le même projet. Lui, il a son show d'une heure aussi. Mon show d'une heure, ma drapeau de télémoire qui est là. Fait que j'ai fait un 25%

si tu l'achètes. C'est aussi sous écoute le code promo. Sous écoute aussi. Fait que qui sous écoute sous Vimeo, tu vas avoir plein de codes promo. Tu vas avoir plein de rabais.

C'est sur ton site aussi? Oui, pbrivar.com puis c'est sur Vimeo en fond. Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimeo, Vimecom puis c'est sur Vimeo en fond Vimeo Vimeo on the moon slash Saint-Syborne tu tombes là-dessus

puis en fait il est en deux parties c'est deux shots de 50 minutes je l'ai mis en vente 10$ je l'ai pas mis en location parce que j'ai deux shots

de 50 minutes par location 5$ ça fait 2,5$ de l'épisode puis ça me faisait trop mal le temps qu'il a mis le temps qu'il a mis là-dessus je fais 4h là-dessus

c'est tout du self-finance. Moi, je n'y croyais plus. Il m'en parlait et j'étais comme « Ouais, ouais, t'as un projet. Ton documentaire. » J'étais rendu là. J'ai mis 600 heures de montage là-dessus. En fait, j'ai tourné 2 ans avant la pandémie et pendant la pandémie, je l'ai monté.

C'est ça que j'ai fait. C'est 2 beaux longs épisodes de 50 minutes. C'est autant pour des communiques du monde qui qui connaissent pas le mot moi quand je l'ai présenté à Zoufès qui est un festival du mot à Montréal il y a plein de mots il y a plein de choses

c'est ça en a Zoufès rappelle toi que Ben Lafebvre pense que je suis un imbécile. All right. Ton téléphone était fermé. Il est à l'envers. T'as parlé dans la caméra.

C'est rire. Tu parles dans l'envers. Je sais pas comment t'activer. Bon, OK. Ah, mais je viens de voir que quelqu'un est en train de voler ma maison. C'est la seule affaire que j'ai. Mais autant, je l'ai faite pour que, mettons,

si un geek, une heure, la regarde, si ça blonde son chum, qu'il n'y a rien dans le mot, tu peux autant l'enjoyer. Je l'ai racontée pour que quelqu'un qui découvre cette affaire-là a du fun, puis quelqu'un qui a les référents, qui trippe sur l'humour, tu vas avoir du fun aussi. C'est vraiment ça qu'on ressent, en fait. Je l'ai vue, puis c'est la beauté de ça.

Ça a vraiment été un endroit magique et tu ressens à travers tout le monde qui en parle et comment toi, tu le filmes, que cet endroit-là,

il n'y avait rien comme ça. Moi, ce que j'aimais aussi, il y avait même du monde dans le documentaire qui sont arrivés après cette époque-là qui en parlaient avec amour. Vu qu'eux autres

n'ont entendu parler, c'est devenu une légende. C'est ça, comme il y a Sam Lemieux, Guillaume Bolda qui sont arrivés du Saguenay. Du Saguenay,

ils savaient que cette petite soirée-là d'un petit bar à Montréal existait. Puis l'affaire, c'est que Julien Girardot, qui est aujourd'hui le grand manitou

de Juste pour rire, qui était le producteur de cette soirée-là. Le nouveau Gilbert. Le nouveau Gilbert. Ça, les Gilbert dix Gilbert. Sans les Gilbert 10! Sans les Gilbert 10! Sans le touche-pipi!

C'était le producteur de la soirée, puis il produisait aussi les mercredis juste pour rire. Fait que quand t'arrivais au Saint-Sibois, tu voulais rentrer fort, parce que si tu rentrais fort, tu te faisais bouquer après ça aux mercredis juste pour rire. Qui était souvent ta première gig que t'étais là. Puis Charles Deschamps, quand il est devenu copropriétaire du bordel aussi,

s'occupait aussi du jockey. Puis c'est comme si le jockey puis le bordel étaient devenus l'équivalent du Saint-Cyboire puis des Mercredi juste pour rire. Tu les rentrais fort au jockey pour te faire bouquer au bordel. J'avais oublié, puis je me suis rappelé en écoutant le documentaire,

que c'est Alex Barrette qui animait les Mercredi. Puis qui disait qu'il allait roder souvent, mais que le lendemain, c'était le même crise de public. Donc là, il rodait, ça marchait bien. Après, il est passé à la TV et c'était moyen. Oui, parce qu'il n'y avait pas d'autre soirée du monde pour roder. Il allait roder au Saint-Cyr, puis le public, le lendemain, allait au Mercredi du Sporé.

Je t'ai vu faire ça hier. C'est toi le problème. Moiest moi je me change de place pas toi oui tout est exposé à la même place je me fais tu as fait accusé d'avoir volé du stock t je vois que le lieu tu t'es volé à toi oui la fille à bien voir patrick chris de valeur de joe que je faisais que je capote et j'avais comme douze jours dans ce temps là je vais qu'elle apprendra qu'est ce qui se passe que ce passe plus à 10 tv j'ai vu ces jokes là il était à voler une autre morice vous c'est que les oeuvres et à saint-lazare la semaine passée je faisais moi car les gens mais pas de ma face ça va définir l'autre

est ce que c'est l'eau parce que tu es les y avait des grosses soirées c'était pas la seule soirée au québec mais c'est la seule soirée de stand up à l'américaine à montréal mais il y avait des saints-laz. Ce n'était pas la seule soirée au Québec, mais c'était la seule soirée de stand-up à l'américaine en Montréal. Mais il y avait des Saint-Lazare. C'est un showcase qu'on appelle un showcase club. Exact. Oui, c'est ça. Comme le bordel fait même. Exact.

Ce qui est drôle, c'est que les gens faisaient souvent des V1. Ce qu'on appelle les V1, c'est les premières fois que tu fais une blague, que tu les casses. Ils faisaient à Saint-Lazare devant 200 personnes pour être sûrs d'être bons à arriver au Saint-Lazare devant 200 personnes pour être sûr d'être bon à arriver au Saint-Cyboire devant 75 personnes, tellement que le bar avait un aura genre de pression. – Ici, tu peux se passer

des affaires si tu rentres fort. – Exact. – À Saint-Lazare, c'est comme « Nice, c'est ça ». – Give the fuck. – Saint-Cyboire, par exemple, me semble tout rentrer fort. – Oui. – C'était bon pour la confiance aussi. Il fallait que tu le saches quand tu rodais. – Si tu te plantais au Saint-Cybre, ça va pas. – Moi, c'était ma place. Aussitôt que tu saches quand tu vas d'aide si tu te plantes au sein des chibs c'était ma place aussitôt que je prenais des vacances tu sais après deux semaines j'avais pas fait de sandop cherouillé je me boucler tout le temps juste pour me donner de

la confiance juste pour que je parte de là en faisant c'est vrai que je suis bon on a tout on a toutes des places demain on a tout il ya tellement de soirées aujourd'hui que tout le monde des places différentes on sent vraiment confortable j' tellement de soirées aujourd'hui que tout le monde a des places différentes où il se sent vraiment confortable. Moi, j'ai mes soirées où je m'en vais là avec quelque chose de vraiment pas clair, V1, même pas V1, V.5. Je vais là parce que je suis bien là.

Tout le monde a ses petites soirées où tu te sens bien, ça va te donner confiance. Après ça, tu peux aller ailleurs. Si tu es conscient de ça, tu ne te laisses pas enflammer par les gros rires gras d'une place où les rires sont faciles. C'est une belle outil, là.

Ben oui. C'est tes attentes par rapport à ça. Des fois, t'es super de bonne humeur parce que t'as réussi à le faire pis t'as trouvé ton idée.

Mais le bordel ici, ici, tu fais pas tant d'événements, mais le bordel ici, des belles soirées au bordel, le public, il est le fun, il est en feu.

Ben, on dit souvent que le bordel est la suite du Saint-Sibore dans le sens que le Saint-Sibore, la bâtisse a passé au feu pis pas longtemps après

ou en même temps. C'est-tu une menace que t'es en train de faire? Oui, exactement. Exactement. Il faut juste pas qu'Alexandre Bizarion anime ça parce que c'est lui

qui animait au Saint-Cybre quand ça a passé au feu. C'est pour ça qu'on en a construit un deuxième. On a peut-être le premier pour brûler. On est correct.

Mais tu sais, c'est quand même drôle parce que notre premier quartier général, c'était le Saint-Cyboire avec une loge dans la ruelle avec les robes dans les poubelles.

Les pieds dans la pisse. Exact. Ça n'a pas juste mis la culture du stand-up pour les humoristes, ça l'a mis pour le public aussi. C'est vraiment... Ce qu'on a ici au bordel, si Saint-Sybois n'était pas là,

on n'en serait pas ici. Ça a vraiment... Je ne dis pas que Saint-Sybois, c'est l'an zéro de l'humour. Tu faisais déjà de l'humour avant, mais le stand-up à l'américaine francophone à Montréal, il y a vraiment eu quelque chose dans le temps.

Je trouvais que c'était important que ce lieu-là ait sa marque dans le temps. Le Saint-Sibore, je l'avais déjà dit à Junior, c'est grâce au Saint-Sibore que les humoristes québécois sont rendus bons, mais aussi c'est grâce au Saint-Sibore que ils sont rendus pauvres. Parce qu'avant, les soirées d'humour,

tout le monde était payé 125 piastres, puis après, Saint-Sibavant, les soirées d'humour, tout le monde t'a payé 125$. Puis après, Saint-Sibore, ça a droppé à 25$. Puis en faisant des choix à 25$, tu peux te permettre de prendre des risques. En prenant des risques, tu fais de la qualité. Mais après, toutes les petites soirées d'humour,

mettons Grambay, pas loin, eux autres faisaient « Mais là, je ne paierai plus 125$. » Tu joues pour 25$. Moi, j'étais sûr qu'ils étaient mettons, Grambay, pas loin, eux autres faisaient « Mais là, je ne paierai plus 125, ils font... » Tu joues pour 25. Moi, j'étais de ceux qui étaient d'accord avec ça qu'on perde de l'argent, mais que la qualité de l'humour s'améliore. Genre, j'étais prêt

à prendre ce drop-là financière. Parce que c'est contrôlé. Parce que c'est un environnement qui te permettait de grandir. Une soirée de marde à 25$, c'est comme, ça sert à personne. Moi, j'avais un momentnement qui te permettait de grandir. Une soirée de marde à 25$, c'est comme ça sert à personne. Moi, j'avais un moment donné, Martin Petit avait essayé de partir un... ça s'appelait

les H.A. Avant, il y a tout le temps des projets pour réunir les humoristes. Il y avait les H.A. que c'était les humoristes associés. Puis là, un moment donné, il m'avait demandé deétait les humoristes associés. Puis là, un moment donné, il m'avait demandé de parler à des jeunes humoristes.

Puis là, moi, ma théorie, c'était des places comme le Saint-Cyborg, ça prend ça pour que l'humour devienne bon. Ça prend des open mics, ça prend des petites places que tu peux roder. Puis j'avais conseillé aux jeunes, vu que j'étais déjà rendu un vieux, j'avais dit, moi et de vous autres,

faites les shows à 25 piastres sur l'île de Montréal, mais aussitôt que tu sors, même à Laval, c'est 125. Commence pas à faire des shows pas chers, puis à l'extérieur, sinon vous allez tuer votre revenu. Puis là, j'étais parti,

puis là, il y avait une couple du Maurice qui était comme « Check Mike Ward, c'est ce qui est jaloux de nous autres, qui veut scraper nos carrières. » Puis j'étais comme « Ah, qui mangeait tout de la marde. » Pourtant, c'est ça qui est arrivé. C'est quand même sur l'île de Montréal, c'est accepté. Mais en sortant, tu fais non. Mais oui.

Mais tu sais, c'est une bonne affaire. Parce que c'est comme à New York. Quand tu vois, mettons, Louis C.K. qui va au Cellar, il est payé 50 piastres. Puis même, tu sais, en français ici, en stand Cellar, il est payé 50 piastres. Puis même, en français, ici, en stand-up, on est payé. En anglais, même 25 piastres, c'est mieux payé que la plupart des humoristes anglophones qui jouent en anglais à Montréal.

C'est vrai, j'ai fait des shows weird avec toi en anglais. Puis il y a souvent du... Puis là, tu regardes, puis t'as 5 piastres. Exact! Puis ils te le donnent en cachette, parce que pas tout le monde qui l'a, 5 piastres et tu le donnes en cachette parce que pas tout le monde qui le l'a mais toi tu le l'as

les anglos qui font qui commencent à faire du franco ici la première année tu lui parles ils sont comme tabarnak ça fait 10 ans que je fais ça en anglais quand les anglais font du français Mike Patterson il était comme il y a du public pis de l'argent en anglais à Montréal c'est difficile

mais le sensible il y a quelque chose moi ce qui'argent. En anglais à Montréal, c'est difficile. Mais le Saint-Cybe, il y a quelque chose... Moi, ce qui m'a touché par rapport au Saint-Cybe, toute ma vie, c'est les liens que tu tisses avec le monde parce qu'il y en a plein

qui sont devenus des méga vedettes mais il y a toujours ce respect-là qu'on avait les deux pieds dans la pièce dans la ruelle avec les rats puis on en allait

roder des affaires. Quand j'ai sorti l'affiche du documentaire, il y a tous les noms des humoristes qui sont... Pas tous, mais plusieurs humoristes qui sont passés dans le Saint-Cybe,

dont Maza, puis elle m'a écrit, ben, on se parle des fois, mais elle m'a écrit en une box, elle a fait « Ah! Chris, tu m'as mis dans le documentaire! » Je suis touché, je suis content, parce que même elle, ou l'autre, peu importe ce qu'elle est rendue, elle se rappelle de ses débuts dans le documentaire, puis dans le documentaire, j'ai jeune Maza sur la scène qui commence. C'est ça qui est le fun,

j'ai plein de photos de François Bellefeuille, Mazza, Dano, Olivier Martineau, Wagner, moi, toi. Toi, ce petit gamin, man. On était tous gamins. Moi, je faisais 112 livres, pas de barbe.

Je n'avais même pas mué encore. Un qui m'a marqué dans le documentaire. Moi, je faisais 130 livres, 125. Dans ma tête, Eddie King n'a pas changé depuis que je le connais.

Quand je l'ai vu dans le documentaire, il a l'air d'avoir 4 ans. C'est un gangsteravoir 4 ans. Oui! C'est un gangster de 4 ans! Non, mais il est petit, petit. Il a une petite face. Il a l'air d'un enfant.

Je sais pas à quel âge. Il était quand même dans... Début 20e. Mais tu sais, moi, à l'époque, je le voyais comme un adulte. Mais là, je le regarde, puis je suis comme... Oh, qu'il est cute! Oh, qu'il est cute!

Il est cute! C'est ça qui est drôle,, qu'il est cute! » « Oh, qu'il est cute! Il est cute! » C'est ça qui est drôle parce qu'on est tous, tout le monde est cute. Il n'y a personne vraiment qui n'a pas changé. Il y a juste moi, j'ai gonflé par après, mais je suis habillé. Je pense que j'ai le même linge.

Toi, c'est drôle parce que tu l'as dit, tu n'étais pas, là, j'ai l'air de te lucher, mais profite-en. Moi, dans mon documentaire, je n'ai mis aucun d'humoriste qui était là avant le Saint-Cyboire. Mais toi, je tenais à... Il fallait que tu sois dans le documentaire

parce que tu es l'humoriste qui a le plus toujours fait le pont entre la relève et les vedettes. C'était important de te faire dans le documentaire parce que, non seulement, tu as fait le pont, mais tu étais souvent au Saint-Sibore. Il y a bien des humoristes, des vedettes qui ne venaient jamais jouer dans les bars.

Comme les humoristes, tu aimes le procédé de faire du stand-up à l'américaine. Le premier roast ever qui a eu lieu, vraiment, comme on a à ce temps-là aujourd'hui à la télé, c'était au Saint-Sibore. C'était ton roast à toi. Dans le documentaire, j' drôle ça a été dur à monter parce que j'avais

une heure de roast qu'il a fallu que je mette en genre 4-5 minutes Louis T Louis T esti en jogging avec l'espace qui a l'air un peu

comme un gars qui trippe sur le rap mais qui vient du que tu dis j'ai aucune idée tu dis je sais pas c'est qui lui j'en ai vu

t'as trop connu c'est que c'était magique mais tu sais c'est ça à ce moment-en ai vu des zéro connus. C'est magique. À ce moment-là de ta carrière, quand tu commences au Saint-Cybe, c'est là que t'es dans ton plus vulnérable parce que tu connais personne. Y'a personne qui a d'intérêt à te donner quoi que ce soit parce que tu vaux rien sur papier.

Que le monde t'aide, tu t'en souviens. Peu importe. La beauté aussi de ce soir et là, c'est qu'il n'y a personne qui aime autant l'humour que quelqu'un qui commence. Puis il y avait tellement de monde avec du talent.

Moi, j'aime rencontrer des open-micers parce qu'ils aiment l'humour, mais mettons que tu en rencontres 50, il y en a peut-être 8 qui ont un vrai talent puis les autres, c'est juste des weirdos qui aiment ça être sur scène. Mais ils sont le fun pareil. Mais tandis que le Saint-Cyborg,

il y avait plus que la moitié que tu faisais, « Oh, Chris, lui ou elle, ça va mener à quoi? » Pas mal de tout le monde, ça va mener à quoi? Pas tout le monde, mais il y en a gros. Beaucoup, même si tu te replaces et que tu es rendu animateur à la radio,

c'est parti de là. Les 50-60 humoristes que tu connais qui sont les plus actifs dans 30-40 ans, on commence ça au Saint-Saëns. Présentement au Québec. On est tous venus de là. Yann, c'était quoi la question du documentaire? Fermez la parenthèse.

Oui, c'est juste... Si ça, je n'ai pas répondu à la question. Parce que c'est possible, on a parlé de ça, puis là, un moment donné, j'ai fait... OK, je vais ramener la question, mais ça fait 42 minutes. Pourriez-vous ne pas parler du documentaire?

T'es comme, ah fuck! Non, mais ça t'a-tu donné le goût de faire d'autres documentaires? Je vais dire oui quand cela va être fini il est fini mais dans le sens que le public l'a pas encore vu je l'ai présenté en live devant des collègues je l'ai présenté au festival mais il a pas encore été

je l'ai pas fini encore je suis dans promo, je veux que le monde le voit je veux que ça fasse le tour quand vraiment il va être en arrière de moi je vais peut-être avoir plus la réponse c'est sûr qu'il va falloir que je trouve quelque chose qui m'allume autant puis pour l'instant c'est je n'ai pas retrouvé ses branches à collo voilà je connais vraiment le chocolat mais j'ai vraiment aimé le procès des gens je sais j'ai tout puis j'ai appris

en faisant autant filmé que le montage que la musique d' D'ailleurs, merci à toi. Tu m'as aidé aussi dans le début. Tu m'as donné des cues, des sites pour de la musique. Puis tout, Yann aussi a son... Il y avait... C'est niaiseux, tu sais, en le regardant, tu sais, ça m'a... Vu que quand tu écoutes ça, tu deviens automatiquement nostalgique

vu que tu es comme, ah, Christ, c'est une belle époque. Puis tu es heureux. Bien, ceux, mettons, comme nous autres qui ont eu la chance de jouer là t'es content d'avoir pis après je me disais ah c'ti ça serait le fun

un documentaire de même sur Saint-Lazare ou t'sais y'a eu une couple de soirées qui ont vraiment Saint-Laz

Saint-Laz a son bout dans mon documentaire parce que je trouvais qu'il fallait justement qu'il aille son petit bout mais l'humour au Québec

pis si je trouvais c'est ce qui nous manque ici au Québec je trouve qu'il nous manque son petit bout. L'humour au Québec, je trouvais que c'est ce qu'il nous manque ici au Québec. Je trouve qu'il nous manque du cred de notre culture humoristique. Je trouve que souvent, mettons, Stéphane Bureau fait les grandes entrevues dans Back in the Days, il parlait des lundis des A.A. Je trouve qu'il y a une mise à jour

qui est le fun à mettre sur la culture du stand-up à Montréal. Il y avait une série de documentaires sur Canal D qui s'appelait Humour PQ. Oui, exact. Par André Duchamp. Ça fait déjà, je pense, 15 ans.

Ça fait un crise de bout. Oui, c'est ça. Ça n'a rien touché depuis 2001. Il serait temps de faire... Non, non, exact. Le Saint-Cyborg, je savais qu'il n'y aurait jamais aucun médium de la télé qui viendrait faire un documentaire là-dessus.

C'était trop... Nous autres, on le sait que ça a eu un impact énorme sur l'humour au Québec, mais le monde de la télé ne s'est jamais rendu à nous autres. Fait que je savais qu'il fallait que ça vienne de nous autres. Ça, nous autres, il fallait qu'ils mettent ça... Puis mettons les autres soirées, la raison pourquoi je pense que ça ne pourrait jamais marcher,

un, ça n'a pas ou l'impact que le saint-sibore eu et deux il ya peu eu un animateur qui a filmé toutes les shows pendant trois ans à saint-lazare fait que ça serait on va on vous parler de la soirée saint-lazare pilon va filmer quoi le nom exact mais c'est ça le beau de la face c'est que la chance que j'avais d'avoir ma caméra quand j'animais puis en plus il y a eu d'autres animateurs en fait d'abord c'est Étienne Danot qui a parti ça avec Georges Gerardo c'est Étienne qui a animé les deux premières années

après il y a eu Guillaume après ça Guillaume, après ça Corinne Côté Derek Frenette puis Alexandre Bizayon à la fin moi dans ma tête avant de voir le documentaire c'est méchant pour Dano, j'adore Dano, j'étais sûr que c'était toi le premier. Non.

C'était peut-être les soirées où tu venais le plus dans le temps. C'est que Dano, j'allais tout le temps à ses soirées à Sainte-Julie. Moi, j'ai découvert le Saint-Sibre à ton époque. J'étais comme, je le connaissais pas, ça existait pas.

C'était à Berne, ça, ce soir-là. Fait qu'il y a eu lui, toi, trois ans. Guillaume Wagner. Après ça, Corinne Côté, Derek Frenette, Alexandre Bizarion. OK. Après ça, Le Feu. Après ça, Le Feu qui a écrit ça. En fait, c'est le reste.

Puis c'est l'autre. Alexandre Bizarion, quand il animait. Il a même pas animé Fokar, là. Il a animé genre trois mois, Bizarion. Il y avait un astide beau poster, par exemple. Ah, ils ont pas ça, t'es drôle. Alexandre Bizarrio quand il animait... Il a animé genre trois mois, Bizarrio. Il y avait un STI de beau poster, par exemple. Ils sont pas sûrs d'être écoeurants. Son co-là qui travaillait au restaurant en haut du Saint-Sybre

a crissé le feu dans la cuisine. La bâtisse est passée au feu et la soirée est morte. Il y a un bar qui est passé au feu à Sherbrooke. C'est le dernier à avoir fait un headline là aussi. Le feu le suit. Il m'a dit qu'il a déjà fait un show

à Gatineau que pendant qu'il était sur la scène, l'alarme de feu est partie. Il y a vraiment un karma weird. C'est lui qui m'a dit que tu n'es pas game d'acheter un lance-flamme. Ah ouais? Il t'a sûrement dit que c'est mon rêve aussi. Il a dit que c'est mon rêve d'avoir un lance-flamme.

Yann, il reste combien de questions? Il est 8 ans et on a un autre podcast. Il en resterait deux, admettons. OK, parfait. Est-ce que Ben a envisagé d'inviter Mike à son podcast? J'ai déjà. Oui, mais il dit déjà tout de sa vie en show ou en podcast. Ça fait que c'est difficile. Sauf que je me suis dit...

Moi, j'ai un nombre limite d'épisodes que j'ai en tête. Vu que c'est un podcast concept, je ne vois pas avoir 1000 épisodes de ça. Mané, ça va finir. Je m'étais dit que vu que c'est un podcast de confidence gênante, autant des invités que du public, parce que le public participe, t'écris des confidences sur des cartons, puis on les lit.

Je me suis dit, tu pourrais venir un moment donné, puis on va juste lire des confidences du public, puis pas le chien la tue. OK, puis je la montre. Exactement. Parce que ça, t'es capable de faire ça easy. Ça, j'aime ça. Exactement. Fait que, je fais l'invitation, pas du tout sous pression, live,

à sous ses côtes. Mais le pire, c'est niaiseux, hein? Puis c'est même pas juste pour les podcasts, mais c'est un peu pour les podcasts et pour la scène. Ma tournée vient de finir et je me suis dit qu'il va falloir que je voyage un peu

juste pour vivre. Parce que sinon, ma vie, si je voyage pas, elle est plate. Il n'y a rien que le monde relate. Mais mes histoires de j'ai acheté un lance-flamme, tout le monde fait que

ben oui, ça arrive à tout le monde. Ou je vais dans le sud juger le bye-bye. Je vais en Floride quatre fois par mois dans mon condo. Comme nous sortons, on est tous pareils. J'étais curieux d'avoir la discussion avec toi. Parce que toi, t'es habitué, tu l'as fait plusieurs fois,

de sortir un show, tu le filmes, tu le sors. J'appelle ça comme mettre une heure au vidange. Tu fais « j'y suis plus jamais ». Moi, c'est la première fois que je le vivais. Puis là, je suis correct parce que je rebillais une autre heure. Mais les premiers mois, je paniquais. Les premières fois... Moi, je suis rendu dans une place dans ma vie

que ça ne me stresse plus. Mais ça m'a pris trois shows. Un coup que tu as une heure que tu aimes vraiment ou une heure et demie que tu aimes vraiment, tu la jettes. Même si tu le sais, je vais être capable de réécrire d'autres jokes.

Mais quand tu commences à écrire des nouvelles jokes qui sont moins bonnes que tes vieilles, vu qu'elles sont nouvelles, là, t'es comme, « God, je suis-tu de Vanilla Ice, du stand-up? J'ai-tu juste un hit? » Moi, j'ai été le même pendant, mettons,

c'est pour ça, moi, mettons, j'avais sorti un show indépendant qui s'appelait Vulgaire, que ça avait été un hit de bar, puis un hit de bar. Puis un hit de bar. Je faisais de l'argent, puis mes bars étaient pleins, mais il n'y avait aucune salle qui me voulait,

sauf le Capitole à Québec, que j'avais été sold out, puis le Vieux Clocher, puis j'avais fait le CNA à Ottawa. Un assiette-grosse salle, j'avais vendu CNA à Ottawa. Un assiette-grosse-salle, j'avais vendu 8 billets. Je me rappelle,

j'étais arrivé et j'avais fait... J'avais fait le cégep de l'Outaouais la veille. J'avais vendu 16 billets dans une salle de 700. J'avais fait... Je fais mon show pareil. il y a 16 personnes. Le lendemain, je suis à Ottawa,

8 billets vendus. Sur les 8, il y en avait 6 qui étaient là la veille, qui se sentaient mal pour moi, qu'ils faisaient... Ils jouent dans la grosse salle à Ottawa, ça n'a aucun sens. Fait que là, c'était... En tout cas, mais ce show-là, sauf les deux shows...

T'as commencé à boire, là. Tu ne pouvais pas avant. La légende est née. Mais tu sais, à part Ottawa, ça avait bien été, ou relativement bien été. Puis après, j'ai fait mon premier vrai one-man show avec un producteur, puis des vraies salles,

puis tout ça. Puis ça, j'ai bien vendu. Puis après ça, on dirait que ça me stressait de faire... Çally, ça me prend un nouveau show ». Puis là, on dirait que j'étais comme « asti ». Je n'étais pas sûr si c'était drôle. Puis j'avais écrit un nouveau show que j'avais rodé.

Puis que j'avais rodé dans les bars, puis ça marchait. Puis on allait le sortir, puis j'avais signé avec un producteur. Puis là, j'avais fait « je ne l'aime pas, il n'est pas bon, le show. Fuck off! Fuck off! » On cancelle la tournée. J'avais cancellé la tournée puis on avait on avait attendu à s'exposer pour ce moment mon show à isabels en 2004 puis s'expose en 2010 parce que j'ai eu j'ai monté un show entre les deux j'ai juste fait ce

pas bon c'était C'était pas bon. J'étais comme... C'est quoi cette petite marde-là? Je me disais... Aïssab a vendu 100 000 billets. C'était même pas voulu que je pense à... Si je fais ça, ça va vendre.

Je suis un humoriste à succès. Je ne veux pas être un humoriste à succès et pas que j'aime l'argent. » Mais... Non, mais c'est parce que ça paraît de la création. Ça joue dans ta tête, tu crées, tu fais des choix que tu te rends même pas compte que tu fais toi-même.

Ça, c'est l'affaire que je suis le plus fier. C'est d'avoir écrit un show que j'aimais sorti, que finalement, j'ai juste sorti ces numbers-là d'un gars-là juste pour rire. Des meilleurs bits. Des bits que... Puis pour vrai, si j' jamais sorti que finalement j'ai juste sorti ces numbers-là d'un gars-là juste pour rire des bits pis pour vrai si j'avais sorti ce show-là ça aurait été mauvais

le monde aurait fait, j'aurais eu bien des rires mais le monde aurait fait mais c'est pas bon d'avoir les bases de le faire alors qu'il y a déjà un producteur d'impliquer c'est ça, en autoprod tu fais ah non je le feel pas, fuck off mais toi c'est comme il y a du monde à qui tu dis c'est un investi de l'argent, mais pas là. »

Moi, cette semaine, par exemple, j'ai appris de quoi de mon père. Mon père est à l'hôpital en ce moment, à Bragg. Bragg. Non, mais mon père, je reçois un appel parce que mon père est à l'hôpital. Mon père est à l'hôpital. Mon père est à l'hôpital. La mienne, elle est morte. Moi, je suis en Floride. Fait que là, je panique un peu parce que mon père, la vie est belle.

Tout est beau. Ses cheveux pourraient être en feu. Puis il serait comme, je tâche ses bains. Il fait chaud. Mes cheveux étaient frisous. J'en ai plus. J'ai juste des beaux plis rouges. » Mais c'est positif.

Il est positif. Fait que là, j'apprends qu'il est à l'hôpital. Et là, j'y parle un peu. « Non, non, là, je suis comme, veux-tu que je revienne? Tu veux que je revienne? Non, je suis correct, je suis correct. » Puis là, il me disait, il n'y a pas de chambre. Il dormait dans le passage à l'urgence. Puis tu sais, une personne normale de 90 ans qui dort dans un passage à l'urgence, je serais comme tabarnak, je peux-tu avoir une chambre?

Lui, il était comme, c'est le fun, il y a de l'action, il y a du monde qui passe. Il est comme, crée, j'ai trois repas par jour. Là, il dit, j'avais oublié d'amener du linge. Vu qu'il a oublié d'amener du linge, vu qu'il a perdu connaissance, puis il s'est réveillé à l'hôpital. » Fait que pendant le bout qu'il était en train de dormir, il n'a pas passé de paqueter une petite valise.

Qu'est-ce qui est peut-être? Pas prévoyant. Pas prévoyant. Puis là, il me dit, il fait, « J'avais pas de bobettes, ils m'ont donné des bobettes. » Tabard. Puis il était content. Il a vu que c'était un deal qu'il a eu.

Il était positif. Moi, je ne suis pas positif à ce point-là, mais j'ai réalisé qu'il y a souvent des moments même dans ma vie que j'aurais dû faire un tabarnak. Je suis comme, on crée des affaires qui arrivent et on tourne la page.

Je suis content en vieillissant d'avoir ce petit côté-là de peu importe ce qui arrive si le verre est à moitié plein mon père il était mon père

tu parlais de ton père ton père qui est mort mon père qui est mort il est mort mort très mort présentement il est très très mort

il n'a pas de chance il n'a aucune chance il est de la poussière il est très très mort mais mon père avec des sets il y a eu comme un genre

pas un genre il y en a eu un encevé pis il y avait comme le côté de la jambe droite qui était plus mollasse pis il montait des marches d'or en ce moment pis il est tombé

par en arrière il s'est connu à la tête comme ton père il s'est arrivé à l'hôpital genre pis là quand j'apprends ça j'arrive à l'hôpital pis j'arrive dans sa chambre

d'hôpital pis il a la face tout magané le nez pétant en sang pis là je rentre pis il y a quelque chose qu'il dit il fait

you should see the other guy that's my dad il avait préparé son rider le nez pétant en sang. Je rentre et il y a quelque chose qui dit « You should see the other guy ». C'est « That's my dad ». Il avait préparé son liner. Il attendait juste que je rentre. Il a punché. On était là une heure ou deux. Les médecins ont signé ses papiers.

Il a décollé le sud de l'air avec son char et c'était terminé. C'est drôle. C'est ça. Des bonhommes d'en même qui ont une résilience. Mon père, il a une vie de fou. Il était bipolaire dans les années.

Comme Alice Robbie, ça fait faire des chocs. Des suces sur la tête avec un bâton de popsicle dans les ans. Je me rappelle, il me contait un moment donné que... Il était chauffeur d'autobus à STM quand même. Ceux qui ont payé son autobus, bonne chance.

Ça s'est toujours rendu. Mais bref, il me contait à un moment donné, quand il était jeune, dans une de ses crises de bipolaire non médicamente des années 50-60, ils ne savent pas c'est quoi ça. Ils l'ont mis dans une cellule. Je me rappelle, j'étais sur le divan chez eux et je me rappelle

broyer tout seul, de trouver ça beau. Il m'a dit, j'étais dans une cellule et je voyais mon père, parce que mon père était adopté, il voyait son père adopté de l'autre bord'une cellule, puis je voyais mon père, parce que mon père était adopté, fait qu'il voyait son père adopté flotter de bord de la cellule, puis le garde malade. Puis il disait, de mon point de vue à moi, c'était eux autres qui étaient malades. Ils m'ont pas cassé.

Genre, dans sa tête à lui, c'était je sais pas s'il faut que ça, je vais rester sain dans ma tête, puis aller chier. Puis j'ai fait, yeah, that's a fucking warrior. Ça, c'est Deadpool. Il continuait dans sa tête à puncher, à être drôle, à faire le point de vue des grilles.

Vous êtes l'autre bord des grilles, vous autres, c'est vous autres les malades pis vous allez pas briser. Mon père, il avait genre 69 esti pis il continuait à danser, à rire, à bien dormir malgré toutes les estis d'affaires bipolaires de fucker qu'il a vécu. Moi, ça, ça m'impressionne du monde qui sont capables de rester happy malgré les maldes qu'il a vécu. Moi, ça, ça m'impressionne du monde qui sont capables de rester happy

malgré les maldes qu'ils ont vécu. On parle pas souvent de ça. Des fois, on voit du monde être joyeux pis on fait comme... Genre des épées, genre happy, happy. Non, non, si t'as 64 pis que t'es encore happy, tu ris, tu dors bien pis tu danses des fois tout seul chez vous,

t'as gagné. Moi, il y avait un moment donné, j'avais vu une entrevue de Nelson Mandela, qu'il disait, il parlait, il était en prison, je pense que c'était 27 ans, puis il disait que les beaux moments de sa journée, puis ça le rendait

vraiment heureux, c'est qu'il y avait un peu de lumière, puis il se mettait en-dessus de la lumière, puis il y avait la chaleur, puis je trouve que c'est ça qui... J'aime ça du monde de même que s'il ya rien créé série et pique d'être dans une prison ou sud africaine pitons seul crime c'est que tu es noir et que tu as un peu de chaleur sa tête et ben asti que j'aimerais ça j'aimerais ça de se vivre ce que j'essaie d'être entre tâtes de marc cassivy qui fait comme tout tout à la table sous marques cassivy qui critiquent des choses mais maintenant mais j'aimerais le beau dans tout le système j'écoutais quelqu'un témoigner

il avait survécu à un crash d'avion pis il était comme Chris Astor ça a changé ma vie j'apprécie tout pis je vis tout pleinement pis avant j'étais négatif pis moi j'étais comme Chris c'est pas vrai que c'est ça la solution

pour que je fasse le switch que genre je pogne un avion qui crash j'étais comme ça tu vis ça c'était super sur le bord de mon rêve après ça t'es comme oui toi t'es beau

si t'essaies de caus causes un crash, tu meurs. S'il y a une vie après la mort, ça doit être tellement weird, ta première phrase, c'est « Ben, essaye. » « Essaye, regarde. » Ça valait le bet, là. Moi, à Milly Poulin, je trouvais ça touchant. J'allais être happy, happy.

« Essaye, essaye. » Bon, Yann, dernière question. Puis après ça, je vais aller savourer la vie Le moment présent Dans une cellule Moi, il n'y a rien que j'aie plus que le monde qui utilise le terme le moment présent, mais j'essaie d'être

ça Tu ne parles pas de ça pour le soundbale J'ai vécu mon moment présent. Ça t'a pris un Sandbell. Ça t'a pris 25 000 personnes qui te cheer pour faire ça. Ça, je vais l'apprécier. Le Sandbell était mon crash d'avion. Mais oui, c'est ça.

Moi, j'ai tout le temps été le genre de personne, mais plus gros hit. Le moment que je suis le plus heureux, c'ai tout le temps été le genre de personne, mais plus gros hit. Le moment que je suis le plus heureux, c'est sur scène, mais j'apprécie jamais. Puis après, je suis genre deux ans après, puis je fais, c'était bon, Chris, c'était chaud. Mais Chris, là, je suis comme,

comment tu te sentais sur scène? Aucune idée. C'était le fun. Il y a une joke qui s'est un peu moins marché, puis là, je suis en tabarnak après moi. Puis là, le fait que je suis en tabarnak après moi, le public l s'est un peu moins marché. Je suis en tabarnak après moi. Le fait que je suis en tabarnak après moi, le public l'a senti. Je suis en tabarnak après eux autres. Après, j'ai pensé à quelque chose d'autre. C'était cool.

J'aimerais ça être plus... C'est dur d'être fier. J'ai de la misère à être fier de moi. Quand je fais de quoi qui, pour moi, est un hit dans ce que j'ai besoin de faire et je lente de quoi que je suis vraiment fier, on dirait que je ne le vis pas. Je fais juste pour je suis juste fait juste ok cool ce feu l'a été teint puis le projet de la même puis j'ai le même procédé c'est la même procédé avec la critique dans

le sens que tu te donnes tu me laisses pas être super high par une bonne critique parce que tu peux être down avec une mauvaise mais c'est la même affaire si tu es super fier de quelque chose ça veut dire que tu es super honteux ou coupable. Avant, je le vivais. Je me laisse plus monter aussi haut parce que je me laisse plus descendre aussi bas. C'est une tombe d'Isabelle Boulay. Fait de la poésie.

C'est pas ça. Je suis un solde inconsolable. Pas si haut, pas si bas. Je sais pas. Je ressemble à ça. Bon, Ayan, dernière question. La question est pour PB ça paye combien une pub de Vidéotron

10 000$ t'as eu 10 000$ ouais tourner un avant midi j'étais content c'était quoi la pub que t'as fait je l'ai pas vu

je suis désolé écoute je joue tout le temps j'ai pas la télé fait que je me vois pas je suis content mais c'est genre c'était juste une pub

pour une affaire d'Internet, sport pro, plus forfait, machin. C'était super cool. Ils étaient super smart. Ils ont eu du fun. J'avais 15 secondes. J'étais fier

parce qu'à cause de TikTok et ces affaires-là, je travaillais fort là-dessus et ça commence à marcher. Ils m'ont écrit pour me dire que c'est toi qu'on veut. Genre, tu vas jouer, Marc, le gars qui tripe sur le sport,

c'est lui, Maurice. J'étais cool. J'avais juste comme du texte à faire c'est super simple je parlais je parle vite en 15 secondes rentrer des infos mais j'ai fait ça je t'espère que je fais pas d'autres siens monstre ou humiliant fait que je prends juste les rôles qui arrivent à moi choisissez moi je fais d'autres changements car les sms et à chaque fois je vois c'autres choses, je m'en calisse si tu veux je fasse de quoi, demande-moi exactement de même pis à chaque fois je vois des fois il y a des comédiens qui sont calissement connus mais qui font encore des auditions pis c'est normal faire une audition, c'est un projet

peut-être tu seras pas bon ou bonne mais à chaque fois je suis comme je ferais pas ça mettons t'es Brad Pitt ou Luc Picardant pitt est obligé de faire un seul je suis un vendeur des souliers j'ai fait que j'ai pas eu j'étais comme j'étais content de ne pas les avoir eu tu sais mais tu es moi j'en fais des autres si on me la la la façon que je le vois c'est que ça même pas si c'était bon ou pas, t'es-tu l'énergie qu'ils veulent.

Ils savent déjà ce qu'ils veulent. Genre, c'est vraiment... Le casting, c'est vraiment important. C'est pas genre... Moi, à cette heure-là, quand je fais un self-tape, je fais une audition, je me casse pas la tête de « Je l'ai-tu joué de la bonne façon? J'ai-tu... Ah, j'aurais aimé ça la faire d'une autre façon? » Non, non, non. Je suis rentré dans la pièce,

ils le savaient déjà s'ils me voulaient ou pas. Fait que, tu sais, j'ai pas la... J'ai pas le déclic si tu m'y liens. Leur idée est déjà faite avant même que je parle. Fait qu'après ça, si ça tu veux ou pas, I don't give a fuck. Ça change rien dans ma vie. Mais tu l'as à cause de l'expérience. À ce temps-là, je pouvais faire des auditions. Je suis plus solide dans ce que je fais. Mais au début de ma carrière, j'étais trop vulnérable.

Je pouvais pas dealer avec... Les auditions de pub, c'est l'affaire la plus ingrat. Vraiment, c'est vraiment ingrat. T'sais, t'es une... Non, mais tu le manges pas avec une fourchette. Tu te dis que je mange du poulet avec mes mains. Fais semblant de manger du poulet. Pis t'es dans la salle d'attente

avec 12 autres comédiens qui te ressemblent semi. Exact. Que tout le monde pratique à manger du poulet imaginaire. Ah, ça doit être humiliant, ça. Quand tu sais que tout le monde t'a ressemblé, t'es comme « C'est tous des gros tas de marques. » Attends. Tout le monde t'a ressemblé,

puis après ça, t'as Bruno Lee dans les auditions, parce que c'est un humoriste black du Québec que j'apprécie, c'est un bon chum, mais souvent, je le vois dans les auditions, puis c'est Yank Desblanc, puis t'as Bruno, puis il est comme « Je le sais qu'ils m'ont invité parce que sur papier, il faut qu'ils donnent une chance à tout le monde mais dans la pub c'est un couple de genre Saint-Bruno

qui mange du yogourt c'est sûr c'est un couple de blanc mais il faut que on a donné la chance à tout le monde mais le moment le plus puissant c'est quand j'ai arrêté de faire les auditions où je me suis senti le mieux c'est que je me pointe à l'audition j'étais nerveux pis ça faisait une couple que je faisais pis je trouvais ça humiliant je me pointe là-bas je m'assois

pis là je suis nerveux pis je suis comme Christ que je suis pas bien des ticettes peux m'aider de cette espèce de tête un numéro on s'en calisse de toi j'ai fait assez de quoi non je me souviens j'avais la fille j'ai fait à être blessé faire je m'en vois ça c'est mon nom raymond non je suis parti puis je pars ça à pied qui nous j'habitais quand même loin le sait et la marche avait le chien si j'avais eu le chasse bon bain de même le jeu des comges et prendre le pouvoir de ma carrière et de faire fuck you, je suis pas obligé de vivre ça. Man, c'est le meilleur feeling ever. Puis à partir de là, j'ai fait, bon, je vais juste comme... On est pas obligé de se faire

chier tout le temps. Au début, tu le sais pas, mais tu vieillis, tu fais, ok, j'ai pas besoin de faire ça. Pas besoin de te côtoyer, toi. J'ai pas besoin de faire ces affaires-là. Je me rappelle pas, c'est quand j'ai réalisé que quand t'es pas bien, tu peux juste crisser ton cœur. Mais quand tu apprends ça, est-ce que la vie devient facile?

Ça, on sous-estime ce pouvoir-là de super-héros. Tu mets tes limites. En fait, je suis un super-héros, je veux voler, je veux être fort. Non, je veux juste m'en aller sans me sentir coupable de m'en aller. Ça, c'est un super pouvoir. Non! Je n'irai pas à ton party. Non!

Puis dis un non de la bonne façon le que ça te nuit pas ça devient un or le c'est le j'aime la frappe non est une phrase complète j'aime beaucoup cette phrase c'est qu'un peu cul mais genre non passé souvent ditaime mais ta soeur est cute en tabarnak c'est ça tu vois tout ce que tu rajoutes ça nuit au terme c'est ça non tu dis non je t'aime mais pas autant que tes pieds sont pleins de chocolat

un callback d'il y a deux heures il y a un callback d'il y a deux heures. On va finir là-dessus. Faites l'école de l'humour. C'est ça, ça fait 15 000 piastres. C'est le 15 000 piastres le mieux investi de l'histoire. Les callbacks m'ont coûté cher. On finit là-dessus. Fait que là, tu peux crisser ton camp. Tu peux crisser ton camp.

C'est moi qui décide de crisser mon camp. Tu t'en vas chez vous à pied. Rêve mon nom du générique, question et mautre. Fait que là, pour les codes promos, c'est sous-écoute. pbrivore.com, benlefave.com Excellent.

Avec un code promo sous-écoute. Encouragez ça pour la relève, pour les humoristes, pour le public, son show, mon documentaire. Utilisez pas le code promo, comme ça ils vont avoir 25%. Mais si vous voulez, vite, vite, je vais faire ça, c'est que ces genres de shows-là autoproduits, qu'on investit dans nos projets, même si, je me dis tout le temps,

moi, même si je trippe pas sur la personne ou whatever, je vais encourager ça, parce que j'aime les humoristes, pis je veux voir un François Boulian finir par en produire un, je veux que ce modèle-là d'autoproduction existe pis soit rentable pour tout le monde, comme ça, ça va aider l'humour en général. C'est une ou deux, je le sais, pis je te connais, c'est que de l'autoproduction existe et soit rentable pour tout le monde. Comme ça, ça va aider l'humour en général. Nous deux, je le sais, je te connais,

c'est que de l'autoproduction. Il n'y a aucun financement, aucune bourse. Tu sais, souvent, les gens de Radio X, ils m'en restent les subventions. Zéro subvention, zéro de nos poches. Puis on les donne. Puis après ça, si ça revient et qu'on break even, on est content, mais whatever, on le fait par amour.

Sinon, tu vas juste voir les captations de monde qui sont dans la machine qui finissent par se faire payer un special par la télé exactement fait que tu sais

si tu veux il y a plein de moris qui torchent que tu vois sur TikTok partout des 5, des 10$ à gauche à droite ça fait du millage ça fait toute la différence

exact merci merci à toi merci à vous autres merci Mike merci Yann merci Charles on se revoit

je vais aller tousser Merci, Yann. Merci, Charles. On se revoit. Je vais aller tousser. Je vis le moment présent. Carpe diem! Bye.