Mike Ward Sous Écoute - #501 - Marylène Gendron et Sam Cyr
Episode Date: November 4, 2024Cet épisode est une présentation de Polysleep ( https://polysleep.ca/fr ) Code promo: Mike30. Pour vous procurer des billets du spectacle Modeste - https://mikeward.ca/frPour cet épisode d...e Sous Écoute, Mike reçoit Marylène Gendron et Sam Cyr pour parler d'anecdotes de voyage.---------Pour vous procurer la Ward Vodka - http://wardvodka.ca/--------Patreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
En direct du bordel comédie-clin dans Montréal, voici Mike Ward sous écoute.
Merci beaucoup. Merci beaucoup tout le monde. Merci. Bonsoir.
Bienvenue à Mike Ward sous écoute. Yann Thériault qui n'est pas là cette semaine. Il est parti faire du stand-up avec Faf. Bonne chance à Yann.
vu un sans-abri, j'ai fait un gag, puis en même
temps, j'ai fait, ah oui, c'est vrai,
il y avait un sans-abri qui m'a
arrêté pour me jaser un peu,
j'y donne de l'argent,
puis il y avait de l'air,
il était gelé,
comme ça, ça ne se pouvait pas, puis il était drôle,
puis il me parlait de Satan,
fait que, tu sais, c'est
zéro stressant,
fait que là, mais il avait de l'air heureux, puis là, je dis juste à Michel, je fais, Chris, C'est zéro stressant.
Mais il avait l'air heureux.
Je dis juste à Michel, je fais,
« Chris, il fait ce qu'il aime dans la vie, de la drogue. » Je me trouvais bien drôle, mais c'est ça.
Il avait l'air heureux, le gars.
Moi, j'ai passé une belle semaine.
J'ai été deux soirs cette semaine à Joliette,
deux soirs à Trois-Rivières.
Les deux soirs, j'ai vécu
de quoi de weird. Le soir
à Trois-Rivières, c'est la première fois
en 30 ans de carrière, ça m'arrive. Moi, après
le show, moi je porte
sur scène, j'ai pas de costume de scène, mais ça
c'est nouveau avec cette tournée-là.
J'ai acheté des souliers que je trouvais
beaux quand j'étais à Orlando
pis ils étaient trop petits.
Puis je me disais, on s'en fout.
Ils sont confortables pareil.
Même si mes pieds sont serrés, c'est confortable.
Puis apparemment, ce n'est pas de même, ça marche.
Les souliers, ils me font mal aux pieds dans la vie.
Mais sur scène, le fait qu'ils sont tellement serrés,
c'est comme si j'avais une couverte pesante. C'est comme si
j'ai un petit câlin des pieds.
Fait que là, je piétine
moins sur scène, je suis plus « grounded »,
fait que je les aime beaucoup pour la scène.
Fait que je les mets juste pour la scène.
Puis après mon show, je les enlève parce qu'ils me font mal
au pied. Puis,
je les mets dans une boîte
et ça, c'est à trois milliards.
Je les mets dans la boîte. le lendemain, j'arrive,
puis la personne de maintenance
les a créés sauvidanges.
Puis là,
j'étais comme,
c'était pas comme si j'ai laissé,
ils étaient pas à terre,
c'est des souliers flammant neufs,
ils sont dans la boîte,
il y a même le petit papier de soie.
Fait que, tu sais, la personne a fait,
tu sais quoi, ça, rouvert du papier de soie. Fait que, tu sais, la personne a fait, tu sais quoi, ça,
rouvert du papier de soie,
le style marde, ça.
Puis après, mais ils n'ont pas chuté. Tu sais, j'ai juste fait
le commentaire à mon équipe.
J'ai fait, oui, je pense qu'ils ont chuté
mes souliers. Puis là,
un des techs de Trois-Rivières
m'a dit, il a fait, ah non, non,
c'est peut-être,
je vais aller voir au Lost and Found,
puis il était dans le Lost and Found.
OK, ça me donne la même.
Oui, oui.
Mais là, je me dis, Chris, ça doit être weird quand il y a un band qui va jouer là, tu sais.
Oui.
Chris, t'arrives le samedi,
il y a un drum dans le Lost and Found.
Ça, d'ailleurs, il y avait un des techs
à Trois-Rivières
que c'était l'ancien directeur de tournée à Éric Lapointe.
Puis il m'a rappelé une histoire de l'époque.
Moi, j'avais fait un party de Noël à Éric Lapointe.
Puis je l'ai déjà raconté ici.
Lapointe m'avait dit fais la première partie, puis après
il avait dit, reste sur scène
puis tu vas être comme le barman,
il va avoir un petit bar, fais des
drinks pour le monde, puis moi je pensais
que ça allait être juste, genre son guitariste
qui allait faire, je peux-tu avoir une bière,
puis j'allais lui donner une bière, mais
le premier soir je suis là, Éric se revire de
bar, puis là il me commande un
drink, comme si on est dans un bar, puis il est comme, un coco cognac, un coco cognac je suis là, Éric se revient de bord, puis là, il me commande un drink, comme si on est dans un bar,
puis il est comme, un coco cognac, un coco cognac.
Puis là, moi, j'étais comme,
« Callis, OK, coco cognac,
esti, coco callis,
Google, recette,
coco cognac. »
Là, je suis comme, « Esti, il est comme,
avouez, avouez, esti. »
Tu sais, c'est pas un seul autre guide.
Fait que là, je mets de la glace, je mets du cognac,
je mets, hostie, je pense que j'ai mis, genre,
de la crème fouettée, n'importe quoi.
J'ai donné.
Puis, tu sais, il s'était saoulé.
Il a aimé ça?
Oui, il a aimé ça.
Mais ça, c'est le premier soir.
Deuxième soir à Québec.
Là, sa mère avait fait fermer le bar parce qu'elle trouvait qu'est le premier soir. Deuxième soir à Québec. Là, sa mère avait fait
fermer le bar parce qu'elle
trouvait qu'il était trop chaud, puis elle me blâmait
moins.
Puis là, moi, j'essayais de lui dire,
tu sais, je sais pas
si vous avez lu les nouvelles,
votre fils, il est un peu de même
tout le temps. Il n'a pas
besoin de moi.
Mais après, le gars, c'est ça, c'est
Blacky, son nom. Lui, il m'aidait
pour... Carice, imagine,
le bar roulait tellement,
j'avais besoin d'un bar-service
avec moi. Fait que lui, c'était
mon helper, on faisait des drinks à deux.
Puis il avait dit, un soir, après un des
shows, j'étais bien saoul,
on est arrivé à l'hôtel, puis
quelqu'un avait accroché
genre un portrait dans l'hôtel, un cadre dans l'hôtel, puis la vitre avait un peu
craqué, puis là tout le monde était mal, puis moi j'avais collé ça un coup dedans
pour que la vitre cadre, j'avais enlevé la vitre, puis après j'avais signé le cadre,
puis je trouvais ça bien drôle.
Puis là, il me racontait ça,
puis j'étais comme,
« Ouais, c'est drôle. »
Je trouve ça encore drôle.
Il est arrivé à une autre affaire,
à Joliette, ça, c'était la première
fois que ça m'arrivait, puis je trouvais ça touchant.
Il y avait un gars, après le
show, il vient me voir,
puis c'est un jeune homme, mettons début 20e, peut-être 22, 23,
qui souffre du syndrome de la tourette,
puis il m'a dit que lui, dans ses pires années,
parce que là, c'est plus contrôlé son affaire,
mais dans ses pires années, sa tourette, c'était mes gags.
C'était souvent, il criait des affaires,
puis là, j'étais comme j'étais mal pour lui
puis j'étais fier
pour moi. J'étais comme, ah c'est bien
cool, c'est bien cool. C'est la première
fois que quelqu'un m'explique, puis j'étais content pour
lui qu'il a réussi à contrôler ça
puis il m'expliquait
que ça le stressait, tu sais, parce que
tu sais, il disait, des fois je chantais
ça venir, je chantais ça venir.
Je chantais.
Puis là, des fois, je chantais,
« Ah, c'est le numéro sur le petit Jérémy. »
Puis il était stressé, stressé, stressé.
Puis après, j'ai demandé,
j'ai demandé,
j'ai demandé qu'est-ce qu'il faisait.
Puis il disait,
« Tu le sens venir? »
Puis là, il m'a dit qu'il le sentait venir
comme quand nous autres, on est ternus. Puis c'est de même qu'il a réussi il disait j'étais comme tu le sens venir pis là il m'a dit qu'il le sentait venir comme quand nous autres
on est ternus
pis c'est de même
qu'il a réussi
à le contrôler
fait que tu sais
il le sent venir
pis là
au lieu de crier
il sait pas
qu'est-ce qu'il fait
mais tu sais
il crie plus
fait que j'étais
vraiment content pour lui
et en plus
ce soir-là
personne n'a volé mes souliers
ah c'est une bonne nouvelle
c'est bien que t'aies soulier
c'est une très belle soirée
quand même
ouais je vais vous présenter t'es-tu prêt, enfin! C'est une très belle soirée. Quand même! Ouais, hey, je vais
vous présenter. T'es-tu prêt pour mes
invités? Oui, absolument, on est prêt, oui, tout à fait. Est-ce que
vous êtes prêts pour mes invités?
Je suis très content. C'est
la première fois que je reçois du monde
qui ont déjà fait le podcast
ensemble. C'est ça, je leur ai dit en haut.
Puis après, ils m'ont dit, ouais, les Denis
sont venus souvent ensemble. Puis j'ai fait,
ah, ouais, c'est vrai ça.
Fait qu'il n'y a rien de spécial ce soir.
Non, je suis vraiment content de les avoir.
C'est des podcasters que vous adorez.
Là, ils partent en tournée ensemble, mesdames et messieurs.
Voici Sam Cyr et Marlène Gendron.
Voici Sam Cyr et Marlène Gendron.
Comment ça va? Comment ça va?
Allô tout le monde!
Merci d'être là.
Bonsoir tout le monde. Merci de nous avoir réinvités.
Merci.
Je veux juste commencer en disant, moi j'adore les coats de jeans.
J'en avais un que je portais tout le temps et j'aimais tellement.
Ma blonde n'aime pas les coats de jeans et je ne le porte plus pour elle.
Là, je t'ai vu avec et j'étais comme, j'allais où?
J'étais comme, il est chanceux.
Moi, je me suis vraiment dit que je m'habillais comme toi ce soir.
C'est vrai. J'ai l'impression que ce n'est pas la vraiment dit que je m'habillais comme toi ce soir.
J'ai l'impression que ce n'est pas la première fois que je fais ça.
Quand je suis habillé tout en noir avec le petit jacket comme ça, souvent je dis que je suis habillé comme Mike.
C'est vrai? C'est vraiment pas hostile.
C'est toi qui m'as inspiré. Puis là, il s'en vient un peu
délavé. Oui, il fait un peu petit
quand même, ton pote. C'est ça, tantôt, tu l'as touché
et tu n'avais pas l'air de l'aimer. Non, je trouvais qu'il y avait
des marques de support.
Des petites cornes de diable. Je trouvais que ça faisait... C'est correct, ce n'est pas grave. Mais de l'aimer. Non, je trouvais qu'il y avait des marques de support, là. Tu sais, mais je... Ah, des petites cornes de diable.
Oui.
Je trouvais que ça faisait...
Bien, c'est correct.
C'est pas grave.
Mais moi, j'aimais ça,
qu'il soit un peu...
qu'il s'en vienne un peu abîmé.
Oui, bien, tant mieux que t'aimes ça, toi.
Tant mieux.
C'est mieux que t'aimes ça.
Mais c'est beau, cette veste-là, par exemple.
Merci, merci.
C'est pas un geste.
Mais c'est vraiment chaud.
Bien oui, j'en l'aime.
Là, tu sais, j'ai la face mauve, là.
J'ai vraiment chaud.
J'ai vraiment chaud. Tu te souviens, moi, quand j'étais venue la dernière fois, j'avais fait face mauve. J'ai vraiment chaud. J'ai vraiment chaud.
Tu te souviens, moi, quand j'étais venue la dernière fois,
j'avais fait genre une crise de sudation.
J'étais en sueur comme un cochon.
Tu te souviens pas de ça?
Non.
Non? Bon, dommage.
Non, mais...
On aurait pu bander là-dessus, mais non.
Non, mais j'étais venue avec Anne-Élisabeth.
Puis j'avais chaud, chaud, chaud, chaud, chaud.
Il fallait que j'enlève des morceaux,
que je me fasse du vin avec des menus. Puis t'avais rien de moi. Ah, c'est vrai. Oui, tu t'étais mo avec Anne-Elisabeth. J'avais chaud, chaud, chaud. Il fallait que j'enlève des morceaux, que je me fasse du vent avec des menus.
Tu t'étais moquée pas mal.
Je m'en souviens.
À soir, on va-tu être correcte?
Je me sens bien.
C'est-tu pour ça que tu as juste mis un T-shirt?
Tes pantalons s'arrachent-tu
comme un danseur?
Il y a des trous pour les fesses en arrière.
J'ai essayé de m'habiller
quand même léger pour qu'il y ait de l'air
qui circule.
Es-tu quelqu'un, en show, tu te tues beaucoup?
Malheureusement, oui.
Malheureusement, j'ai fucking show tout le temps.
Mais pas plus en show que dans la vie.
Je suis comme un cochon en général.
C'est le fun.
As-tu à avoir une petite serviette?
Non.
Non, là.
OK.
Non, ça, c'est éveillé, là.
C'est un autre niveau.
J'ai eu ça.
J'ai pas ça, mais j'ai eu ça pendant un bout de temps.
Puis là, j'en ai une qu'ils m'ont mise stand-by,
mais que j'utilise jamais.
Mais moi, je me rappelle, il y avait une de mes tournées.
Souvent, tu sais, j'allais, je prenais une gorgée.
Je m'essuyais.
On dirait qu'il faut que tu ailles
faire quand même une performance.
Sinon, c'est un peu comme si tu as juste parlé dix minutes.
Tu fais...
On dirait que ça me gênerait.
Non, mais ça me gênait.
Mais j'aimais mieux ça que d'avoir
que ça te coule.
Puis tu es comme...
Tu es comme...
Je vais te raconter la foi!
C'est sûr que c'est gênant!
Pis moi, avec mes lunettes,
ça fait de la buée, des fois, aussi.
La buée, ça, c'est gênant.
Tu portes-tu des lunettes, des fois?
Oui, un peu.
Pis as-tu de la buée, le petit demi-cercle,
la trahison, un peu?
Oui, des fois, mais moi, c'est surtout quand...
Tu sais, mettons, quand je vais à l'épicerie,
pis je regarde dans le frigidaire,
pis là, après, je me promène, pis tu vois que j'ai passé quand, tu sais, maintenant, quand je vais à l'épicerie et que je regarde dans le frigidaire, puis là,
après,
je me promène
et tu vois que j'ai passé
une demi-heure
dans le crème à glace.
Ça, c'est chill.
Moi, récemment,
j'ai découvert
que j'étais sans lactose,
la gang.
Ah oui?
C'est parce que ça me fait penser
à la crème glacée.
J'ai goûté la Ben & Jerry
sans lactose.
Oui.
C'est moins bon.
Mais les vegans, la la Ben & Jerry sans lactose. C'est moins bon. Mais les vegans,
la vegan Ben & Jerry
est bonne. C'est sans lactose.
C'est-tu la même avec le petit, le couvercle,
le tourri vert?
Oui, oui.
C'est au lait d'amande, je pense.
Oui, c'est ça, c'est vegan.
Elle est correcte,
mais elle ne fond pas de la même façon.
Ça ne fond pas comme de la crème glacée.
Comment tu mimes que tu manges de la crème glacée? Non, mais elle ne fond pas de la même façon. Ça ne fond pas comme de la crème glacée. Tu sais, de la crème glacée, normalement...
Comment tu mimes que tu manges de la crème glacée?
Non, mais tu sais, de la crème glacée, ce qui est bon,
à la fin du bol, c'est que ça a tout fondu
et c'est comme du jus de crème glacée.
Qu'est-ce que tu manges?
Beaucoup de crème glacée pour que ça soit une soupe à la fin.
Parce que j'ai jamais remarqué...
Il mange le pot au complet, les petits pots, là.
Les petits pots uniques, là.
D'un, je ne sais pas, un demi-litre? Oui, oui. Une chant pot au complet. Les petits pots uniques. D'un demi-litre?
Oui, oui.
Une chance de soupe complète?
Absolument.
Ah, oui!
Ah non, mais c'est bon.
La Jimmy Fallon, quand Jimmy Fallon était dans l'eau chaude,
il manquait de se faire canceller.
J'étais comme, non, non, non, ma crème glacée.
Parce que la Ben & Jerry Jimmy Fallon, c'est vraiment la meilleure.
Il ne faut pas qu'il l'arrête.
Il n'y a pas ses proche à faire canceller.
Je ne sais pas, à un moment donné, c'était un peu comme Ellen DeGeneres.
Il n'est pas fin avec ses employés.
Sam, il pensait juste à sa crème glacée.
Oui, oui.
Il était comme, faites un X sur sa face, sa crème glacée,
mais laissez-moi ma crème glacée.
Changez juste de nom, appelez-la la Taylor Swift ou quelque chose.
Je ne sais pas si…
Tu sais, comme lui, il y a une section complète à Orlando
dans le Universal Studios. Il y a une section complète à Orlando dans le Universal Studios
de...
Ben, il y a une section complète.
Il y a comme un manège
avec son nom.
C'est quoi, un manège?
C'est quand même weird.
C'est un...
Des montagnes russes.
Mais tu sais,
c'est fucked up.
T'as la section Harry Potter,
la section, mettons,
Simpsons,
pis Jimmy Fallon.
T'es comme,
OK, il rend hommage
au sixième meilleur gars de talk show. Ouais, c'est ça. Tu sais comme, OK, il rend hommage au sixième
meilleur gars de talk show.
C'est fucking weird.
C'est même pas le top 1.
C'est un peu absurde.
Mais as-tu eu rapport dans le choix
de la montagne russe?
Sûrement qu'il avait fait une semaine là-bas.
Mais là, c'est peut-être pour ça
qu'il n'a pas été cancellé.
S'il y a de la crème glacée avec sa face,
il y a des manèges avec sa face,
fait que Universal l'ont appelé et ont fait
« Regarde, cancelle la petite lesbienne à la place.
Nous autres, ça nous le prend, lui. »
La petite lesbienne.
Mais pour de vrai, juste sur la base
que sa crème glacée est fucking bonne,
moi, je l'essayerais sur la montagne russe.
Parce que je trouve qu'il a l'air bon pour les produits dérivés.
Mais moi, je veux revenir
à l'affaire de le fond. J'ai déjà un peu chaud en passant.
Ah bon, mais tu vois. Le fond du
plat de crème glacée, quand c'est
juteux, tu bois ça?
Non, je sors ma paille.
Non, on l'a avec la cuillère.
Mais ça ne devient pas
juteux.
Il y a pas comme genre un 500 millilitres dans le fond.
C'est juste... Un petit fond.
Ça fond à peu près tout le long.
Puis là, ça fait comme une grosse boule
parce qu'il y a des chunks de pâte à biscuits
puis de trucs qui goûtent genre le Reese, mettons.
Fait que ça goûte comme si
quelqu'un avait échappé de quoi dans ton verre de lait.
Oui, c'est ça.
Sam, c'est sa passion.
Ça fait comme une grosse boule dure.
Il faut que je la flippe parce qu'elle fond.
Je la tiens, je tiens mon pot
comme ça.
Sur le bord, ça fond,
mais au milieu, c'est dur. Je la flippe
pour avoir accès à tout ce qui est plus mou.
Vous saurez tout, hein?
Mon Dieu.
Je suis tellement contente de savoir ça.
Mais là, fait que, mais as-tu essayé
les pilules pour, tu sais,
lactose, tu sais, pour
mettre ton lactate? Non, il y a mieux vivre le buzz.
Il y a mieux vivre au complet. Pas de pilules.
Non, mais pour vrai, je savais même pas que ça existait. Je suis débutant, là.
OK. Ben oui, il y a des
pilules. Des lactaïdes.
Après, tu peux boire et manger tout le lactose que tu veux.
Ça dépend du monde.
Mais la plupart du monde,
si tu prends ça,
c'est-tu bien grave?
Non, c'est encore le fun.
C'est juste...
Mon ventre se sent bizarre.
Ce n'est pas comme,
j'ai chié dans mes
culottes quatre fois. Non, j'ai pas encore chié dans mes culottes, mais je te dirais
que l'autre fois, j'allais faire du jogging.
On parle de ça en passant. C'est vraiment mon sujet préféré.
Marilène, c'est son sujet préféré. L'autre fois, j'ai été faire du jogging,
puis j'avais pourtant fait attention, j'ai changé mon fromage, j'ai changé mon yogourt,
mais là, on avait été au cinéma,
puis là, j'avais demandé du beurre dans mon popcorn.
Puis après ça, en soirée, j'ai été faire mon jogging.
Puis le beurre, dans le cinéma,
il n'y a aucun produit de lait de sang.
Pour vrai?
Oui, c'est vegan, c'est juste de l'huile.
Non, c'est que t'as mangé aussi un sac de M&M.
Oui, M&M au chocolat au lait.
OK, oui.
Il a bu un gros verre de lait aussi.
Bref, quand je courais le soir
à peu près au 2-3e kilomètre,
je suis comme, je ne sais pas
si je vais être capable de retourner chez nous.
Il fallait que j'arrête de courir
pour me concentrer sur mes pas.
Quand il faut que tu te concentres
pour ne pas chier dans tes culottes, littéralement.
Vois-tu, moi,
j'aurais blâmé leéralement. Vois-tu, moi, j'aurais
blâmé le jogging.
J'aurais fait... Je peux plus courir.
Je suis intolérant
à la course.
La course me donne des mots
de ventre.
Mais peut-être, moi, quand je marche, mon chien,
il a tout le temps envie de caca.
C'est peut-être ça, le mouvement.
C'est comme si...
C'est excitant.
Bon.
Plus de crème glacée, moins de course.
C'est ça, la morale.
Moi, je ne suis pas du genre à me priver de mes petits plaisirs.
En plus, la crème glacée, c'est souvent le soir,
c'est chez nous, donc je suis en sécurité.
Si j'ai besoin d'aller avoir mon intolérance au lactose,
j'ai ma salle de bain.
Ça m'écoeure.
Ça m'écoeure quand quelqu'un dit, c'est quoi l'aliment qui donne mal au ventre.
Je trouve ça dégueulasse.
On dirait que je le vois m'asserrer.
Je n'aime pas ça.
Ce que tu haïs le plus, c'est le yogourt.
Ah, je trouve ça.
Après, je ne peux plus en manger, on dirait.
Je l'imagine juste ça.
Toi, as-tu des intolérances, ça même?
Non.
OK.
Je ne vais même pas aux toilettes.
Je n'ai aucun défaut.
Oui, c'est ça. Tout sort en soir. Je ne vais même pas aux toilettes. Je n'ai aucun défaut.
Tout sort en soir.
Ça sort juste par la tête.
C'est un gros repas.
Tu es comme, oh, on va souder demain.
Ça va sortir. Elle a tout le temps mal à la tête des migraines.
Mon hypothèse, c'est parce qu'elle ne laisse jamais aucun pet sortir.
Ce n'est pas possible. il y a vraiment des études
de cas que c'est arrivé à des madames
pour de vrai. Il y a aucune étude de cas.
Oui, googlez-les.
Jamais, il n'y a pas d'études de cas.
Mais pour vrai, je suis sûr que oui. Tout le temps
se retenir, retenir, c'est...
Ça se fait des crampes, c'est sûr, fait que ça monte à la tête
un moment donné.
C'est zéro scientifique, c'est de la bullshit.
C'est mon feeling. C'est mon feeling.
C'est mon feeling.
Fait que c'est ça
qu'on jase
quand on est en tournée
ensemble.
Là, votre tournée,
c'est comment...
Tu sais, comme là,
vous étiez habitués
de faire votre podcast
ensemble.
Partir en tournée,
c'est-tu comme...
Tu pensais que ça allait être
ou c'est...
C'est plus d'intolérance
au lactose que je pensais.
Sincèrement,
c'est un petit peu plus de ça.
Mais non, c'est bien quand même.
On s'amuse bien en tournée.
On a du plaisir sur la route parce que
aussi, on est un peu
sur la même... On s'entend, là.
On est
sur la même vibe.
Oui, absolument.
Mais on a vraiment du fun.
Il faut expliquer c'est quoi la vibe.
Ah, c'est quoi la vibe?
On n'arrête nulle part sauf au Tim Hortons ou au McDo.
Puis on part le plus tard possible.
Puis on revient le plus tôt possible.
Oui.
Puis on écoute de la musique, on écoute des chanteuses.
Oui, des chanteuses pop.
Quoi d'autre?
C'est la vibe de tout le monde qui va en char vers un show, on dirait.
Bon, OK. Qu'est-ce que c'est que la chanteuse pop? Quoi d'autre? C'est la vibe de tout le monde qui va en char vers un show, on dirait. C'est-tu chanteuse pop américaine, québécoise, française, britannique,
ou en autant que c'est une chanteuse pop?
Surtout américaine.
Quelle génération?
Genre Taylor Swift ou plus moderne?
Genre Billie Eilish, Sabrina Carpenter.
Des récentes, mais des fois en fin de soirée surtout quand on revient
Marilène aime ça que je lui fasse
découvrir les chanteuses
que mes parents écoutaient
les vieilles chanteuses
Liza Manali
aussi vieux que ça
non plus genre
Sarah McLachlan
Nora Jones
Nora Jones des ch, c'est pas ça? Oui, Nora Jones.
Ou des chanteuses douces.
Un peu folk-pop
douces.
Des belles femmes.
Sarah McLachlan,
chaque fois que je l'entends,
je pense juste à ses satounes
qui prennent pour genre
la vision mondiale des chiens.
La SPCA,
tu donnes l'argent.
C'est juste une pub,
c'est des petits chiens piteux,
des yeux tristes.
Puis là, t'entends elle qui est comme...
C'était vraiment bon pour l'imiter.
In the eyes of a stranger.
In the eyes of a stranger.
Un stranger, c'est pas un angel?
In the eyes of an angel. Oui, c'estest pas un angel? Ah, in the eyes of an angel.
Ben oui.
Oui, c'est ça.
Mais pareil, il n'y a pas ça.
Mais...
In the arms of a stranger.
Avec le pied.
In the arms of a stranger.
Puis il shake.
Je viens de décrire une chanson d'amour d'un kidnappeur.
C'est ça.
Donner, donner pour ces pauvres chiens qui se vont prendre par des étrangers.
Mais c'est pas mauvais.
En même temps, ça donne le goût de donner.
On écoute ça. Mais oui, on a du fun
avec le spectacle. Mais on savait
déjà un peu à quoi s'attendre puisqu'on faisait avec le podcast.
On se promenait et tout.
Mais là, c'est comme la première fois qu'on fait de l'humour sur scène
à deux. Parce qu'on a des segments
à deux. T'as-tu déjà fait un peu?
Ben oui, quand tu faisais en personnage.
Oui, mais j'ai fait des Simon et Henri avec...
Ah, c'est ça, en personnage, oui.
Mais jamais en moi. Non, j'ai déjà
animé un galop avec Pat.
Mais c'est comme une nouvelle
dynamique à comprendre
puis à apprivoiser.
Oui, écrire des trucs à deux.
Est-ce que vous avez fait... Tu sais, parce que c'est une affaire
qu'on dirait, le premier show, tu y penses pas, mais vous avez fait... Tu sais, par ça, c'est une affaire que, on dirait,
le premier show, tu n'y penses pas.
Mais tu sais, quand l'autre personne parle,
tu ne peux pas regarder le public.
Sinon, c'est weird pour le public.
Tu sais, admettons, tu sais, toi, tu parles,
puis toi, tu es juste...
Fait qu'il faut que tu regardes la personne qui parle.
Bien, il faut comme alterner.
C'est vrai qu'il y a des moments que... Oui, tu regardes, puis des fois, tu le forces. Oui, oui. En faisant comme, je sais qu'il parle, mais faut comme alterner. C'est vrai qu'il y a des moments où tu le forces
en faisant comme,
je sais qu'il parle,
mais je suis avec vous.
C'est un peu sketch,
mais on le pratique
et on s'améliore.
Des fois,
je pars flâner aussi.
Oui, c'est vrai.
Tu trouves-tu
que je m'égare?
Non, non, non.
On est encore en rodage.
Oui, on est en rodage.
On essaie des affaires,
mais le public qui vient,
c'est le public
qui aime le podcast.
Est-ce que vous y avez pensé
« On va faire un podcast
avant ou après,
en plus du show » ou vous y avez
même pas pensé? Non, on y a pas pensé
vraiment, mais il me semble que c'est long,
un peu comme soirée pour le monde, non? Je sais pas.
Mais le monde, tu sais,
est-ce qu'ils vous disent
« Hey, ça aurait été le fun que vous faisiez un podcast
aussi » ou non? Person ne nous a jamais dit ça.
Dans le fond, le monde s'en crisse, on dirait.
Non, mais on avait fait
beaucoup d'événements live du podcast pendant une période de temps.
Je pense qu'on faisait les deux en alternance.
Mais peut-être qu'on avait déjà pensé faire
un gros événement, mettons, une fois
et le faire les deux.
Peut-être que ça arriverait un moment donné,
mais de façon plus régulière.
On dirait que c'était un ou l'autre.
Sinon, si je fais un podcast avant de faire le show,
ça se peut que je ne dise rien durant le show.
Oui, durant le show.
Je vais être épuisé.
Si je fais ma première partie...
Non, calisse.
Il faudrait faire le podcast après.
Oui, ça fait plus après.
Mais là, qu'est-ce qui est weird,
c'est que si le show,
si le podcast est... Si le show n'est pas bon, là, le podcast, qu'est-ce qui est weird, si le show, si le podcast est,
si le show,
il n'est pas bon,
là,
le podcast,
tu es comme,
je reste avec
ce petit truc-là
qui m'ont juste
regardé,
qui m'ont jugé,
je voyais qu'il faisait,
oui,
ce n'est pas si bon
que ça,
puis là.
Puis,
tu n'as pas envie
d'être naturel
après dans un podcast.
Tu l'as-tu déjà fait,
toi,
faire les deux
dans le même soir,
faire ton show puis sous-écoute?
Je pense. Peut-être. Je ne pense pas.
Bon, bien, ce n'est pas une bonne idée.
Personne ne veut le faire, cette affaire-là, finalement.
Non, c'est kamikaze.
Oui, c'est trop stressant.
On a déjà fait plus qu'un podcast à la fois,
mettons, quand on en tourne.
Mais même en live, on n'a jamais fait deux de suite.
OK.
Je ne sais pas pourquoi.
Toi, tu en fais deux de suite.
Moi, j'en fais deux de suite, oui. Je ne sais pas pourquoi. Mais toi, tu en fais deux de suite. Moi, j'en fais deux
de suite, oui.
Je ne sais pas
ce que ça veut dire
éreintant,
mais c'est...
Non, non.
Mais oui,
le plus tough,
c'est pendant...
Tu sais,
pendant la pandémie,
quand le Québec
a comme à moitié réouvert,
on en faisait trois.
Puis,
c'est là
que je réalisais
que, ah oui,
je suis un monsieur de 50 ans qui ne bouge pas. Oh, merci. Puis, c'est là que je réalisais que, ah oui, je suis un monsieur de 50 ans
qui ne bouge pas. Oh, merci.
Puis, c'est ça
que je voyais que je n'étais pas en forme.
Que même si ce n'est pas tant
exigeant que ça, tu sais, ce n'est pas comme
je ne suis pas en train de poser
un toit, là.
Mais c'est tough.
Mais oui, on assit sur des bancs, en plus.
Tout le monde a des chaises
nous autres on a des bancs
tu trouves ça plus dur d'être assis sur un banc?
déjà le bas du dos est en train de me fendre, ça craque
moi c'est juste que je me trouve plus laide d'assister sur un tabouret
mais sinon ça va
plus laide décris-nous donc, Marlène des fois elle décrit comment qu'elle se trouve laide
c'est la chose que je trouve la plus drôle au monde
c'est quoi la chaise
qui te rend la plus
que tu t'assoies dedans et tu fais
oh là je suis chaud.
Là, là, tabarnak.
Prenez-moi en photo quelqu'un.
C'est une bonne question.
Une chaise qui me recouvre jusqu'ici, peut-être.
Une grosse chaise gonflable.
Non, mais c'est parce que là, le tabouret, c'est que t'es comme...
C'est impossible de pas penser au numéro de Lise, sérieux, quand on monte
sur un tabouret, là. Ça fait tout le temps comme
« blabla », on se sent un peu clounesque,
là. Mais non, non, moi,
je me trouve... À chaque fois que j'embarque sur un
tabouret, je fais tout le temps...
Je pense que c'est plus... C'est une affaire
de femme, parce que moi, à chaque fois,
je fais comme « OK, c'est facile, monter là-dessus. »
Mais c'est juste... Je pense que c'est top.
Tu sais, comme mettons... Pour nos pauvres genoux de femmes faibles. Non, mais une femme en robe. Tu sais, c'est facile, monter là-dessus. Mais c'est juste, je pense, c'est top. Pour nos pauvres genoux de femmes faibles.
Non, mais une femme en robe.
C'est en robe puis en talons.
Je pense, c'est comme là, comment t'es habillée.
Complètement en robe puis en talons.
Je pense pas que t'as eu de la misère.
Je pense pas que tu marchais, peut-être que t'étais comme...
T'es capable, t'es capable.
Non.
Non, mais c'est plus, c'est vrai qu'on pense plus à notre posture.
Sam, il veut qu'on fasse le podcast
dans des gros divans, qu'on soit
épachés. Des fauteuils.
Parce que nous, on a plus une table
régulière avec des chaises.
Mais quand je fais des podcasts
dans des fauteuils,
je me sens comme atteindre
un niveau supérieur de ma personne.
Ah, c'est-tu que j'haïs ça, moi?
Toi, t'haïs ça?
Moi, ça me prendrait un coussin devant moi. atteindre un niveau supérieur de ma personne. Ah, c'est-tu que j'haïs ça, moi? Toi, t'haïs ça? Moi aussi, j'ai trop écrasé.
Moi, ça me prendrait un coussin devant moi.
Oui, absolument.
Moi, je trouve ça trop veg.
C'est trop relax.
Moi, je pense que le fauteuil qui me plaît le plus,
c'est un fauteuil où il est assez bas,
puis il est un petit peu en inclinaison.
Fait que mes genoux sont plus hauts que mon cul.
Puis je peux me croiser la jambe.
Fait que pour ma circulation sanguine, c'est sick.
Je suis vraiment bien.
Idéalement, il a son gros bol de crème glacée.
Il roule sa boule de même avec ses doigts.
Sa circulation sanguine.
C'est ça que j'imagine.
Je refuse qu'on le fasse sur des divans.
Je trouve que c'est trop vête.
J'ai l'impression que tout le monde va être effoiré.
Ça fait un peu comme les podcasts
de ceux qui fument du pot.
Je ne pourrais pas les nommer,
mais je suis sûr que j'en ai vu sur TikTok.
Veux-tu les nommer?
Non?
Chose bin.
Tu en as des affaires
dans les lunettes? Oui, je sais.
Je suis contente
qu'on en ait par l'autre.
Oh, shit, OK, oui.
Mais enlève ta veste.
OK, attends une minute.
T'as de l'air à avoir chaud, en plus.
Mike, enlève ta veste.
On enlève notre linge.
Non, non, moi, je suis bien.
Vas-y, enlève ta veste.
Mais...
Oh, il y a quelqu'un qui trouve ça sexy.
Bon, tu vas être bien mieux de même.
Puis là, tu peux la donner à Mike
qui rêve d'en avoir une.
Puis qui n'a pas le droit d'y toucher.
Elle est trop chaude.
Non, mais c'est...
Je suis gêné parce que là, j'ai rentré mon t-shirt
dans mon pantalon puis je trouve ça laid.
Pourquoi t'as rentré?
Pour être plus chic?
Oui, pour être plus genre rockabilly.
Ok.
Veux-tu voir mon nouveau tatouage, Mike?
Ben oui, c'est quoi que t'as?
Maintenant que j'ai enlevé mon...
Je l'ai fait faire à Miami.
Ok.
C'est ici, c'est un poisson.
C'est mon sexy fish.
Parce qu'on était à Miami.
Oui.
Puis Marilène, elle voulait qu'on se fasse tatouer.
Puis on a trouvé un salon de tatouage.
Puis, moi, tout le long du voyage,
je voulais qu'on aille au restaurant Sexy Fish,
qui est un vrai restaurant à Miami.
Que c'est genre pour les messieurs de 45 ans qui veulent...
Non, plus que ça.
Ah!
55-60.
55-60 qui veulent fourrer, c'est ça le concept?
Oui.
Sam, il voulait vraiment qu'on aille au sexy fish.
C'est ça.
Un resto de monsieur de 55 ans
qui veut fourrer d'autres
messieurs, des garçons plus jeunes,
des femmes plus jeunes ou des femmes plus vieilles?
C'est qui que ces sexy fish-là
veulent faire?
Je pense qu'ils peuvent fourrer tout le monde.
Je pense qu'il n'y a pas de discrimination
de qui on fourre aux sexy fish.
J'ai l'impression que tu viens de décrire un Houston, par exemple.
Ben oui.
C'est un peu ça.
Houston, ça a cette vibe-là.
Chaque fois que je rentre dedans,
dans un Houston, je suis comme,
OK, je suis le seul qui est venu ici pour manger.
Si en plus, ils voulaient qu'on y aille pour le brunch.
Je suis comme « Ben, on va pas aller bruncher au sacrifice. »
Non, je voulais y aller le soir, parce que le soir, c'est là que ça « turn up ».
Oui, oui.
Parce qu'il paraît qu'il y a de la musique après 10h30.
Ok.
Puis c'est tout.
Non, mais vous irez voir.
C'est quoi?
C'est triste d'aller dans une place où le monde veut le fourrer et qu'il n'y a pas de musique.
C'est silence.
Tu sais, un brunch lancé, tu entends juste'a pas de musique. C'est silence. T'sais, un brin de chelon,
t'entends juste « Tiens,
tu vins ici? »
T'entends juste
des bruits d'assiettes
pis du stencil.
« Je peux-tu
te payer
un œuf bénédictine? »
On dirait que
tous les repas
de déjeuner,
en plus,
c'est tellement
comme du gros bacon
pis tout ça.
Mais on n'est pas
vraiment allés,
mais c'est devenu
un running gag
durant le voyage
de Sexy Fish pis que Sam, il y avait un... Attends, mais on n'a pas été parce qu'on'est devenu un running gag durant le voyage de Sexy Fish.
Attends, mais on n'a pas été parce qu'on était stressé
du dress code.
On ne savait pas si on pourrait rentrer parce que Marilène,
les seuls souliers propres qu'elle avait apporté,
c'était des crocs à talons hauts.
Yes.
J'étais à Miami, moi, gang.
On ne savait pas si elle allait pouvoir rentrer.
Non, on n'est pas allé finalement.
Mais ça a été comme
un personnage de Sam
durant tout le voyage
que, quand on arrivait
dans un resto,
pis là, mettons,
on était un peu sous,
un moment donné,
on s'imaginait que Sam allait...
Tu sais, quand même,
pas mal tout du monde,
ben, comment dire...
Des candidats
d'occupation double américains.
Ouais, je dirais
Jersey Shore, même, là.
Fait qu'on s'imaginait Sam,
tu sais,
il est-tu gay ou pas
en voyage,
il savait pas trop, là,
tu sais, d'arriver à une table
voir une fille et d'être comme,
« Hey baby, I'm sexy fish!
Do you wanna drink? »
ou quelque chose de même. C'était comme le personnage
de tout le voyage de Sam qui est sexy fish.
Finalement, ça a été ça le tatouage
qu'il a sélectionné. Les tatoueurs ont aimé ça.
Le gars, il était content.
Quand Sam est arrivé et qu'il a dit ça, il était comme,
« Ah, thank you for bringing this idea. »
Je ne sais pas
si tout le monde
vient se faire tatouer
un palmier
et ça les déprime,
mais on dirait
que ça a comme
remis de la joie
dans sa vie.
C'est où que vous étiez?
Est-ce que vous étiez
à South Beach?
Oui.
OK.
Moi, je suis juste allé
une fois.
Avant d'y aller,
tout le monde m'avait dit,
« Est-ce que c'est cher? » Puis là, j'avais vu, j'avais loué un fois. Avant d'y aller, tout le monde m'avait dit, « Asti que c'est cher. »
J'avais lu un hôtel.
Je voyais les reviews.
Le monde disait, « Asti que c'est cher. »
J'étais comme, « Asti que le monde est gratteux. »
C'est quoi cette affaire-là?
J'avais commandé un drink.
J'étais avec mon ex.
Deux drinks, c'était 52$.
Le jour, tabarnak. 52$ US. là, j'avais... Tu sais, le jour, tabarnak!
52$ US.
52$ US, puis j'avais fait,
OK, garde le verre,
je vais aller au Walmart tâcher une bouteille.
Ah oui!
Fait que là, j'allais à la chambre, puis je me faisais mes drinks.
Puis 20 minutes avant,
je jugeais les crises de pauvres.
Puis là, j'étais comme,
hostie, calisse que c'est cher! »
C'est vraiment, vraiment cher. Il faut arrêter de
faire comme la transition d'argent dans ta tête.
Si tu penses trop à ça, tu vas virer fou.
Déjà, tu n'as pas trouvé
c'était quoi le mot « transition d'argent », mais ce n'est pas ça.
Même si tu ne fais pas
la conversion dans ta tête,
c'est ça.
Même si tu ne la fais pas, c'est quand même
52 piastres pour deux drinks. C'est complètement. Oui, c'est ça. Mais même si tu ne fais pas, c'est quand même 52 piastres pour deux drinks.
C'est complètement agressif.
Mais moi,
j'en ai une bonne anecdote
de Miami, justement,
quand on était sur la plage
et d'affaires chères aussi.
Je voulais faire du si doux.
Ok.
As-tu déjà fait du si doux?
Oui, je n'avais jamais fait
de si doux.
Non, je n'avais jamais fait
de si doux.
J'étais comme croque à talons,
c'est ici que ça se passe.
J'étais vraiment craquée de ça. J'étais avec Sam
et avec un autre de nos amis, Charlo.
Eux autres, ça ne leur tentait pas tant d'en faire.
Non, non.
Moi, je t'aurais suivi,
mais tu avais l'air un peu de vouloir vivre une expérience
seule. Non, non, non.
C'est juste que je ne vous sentais pas sûre. Moi, j'étais comme
c'est ça que je fais de ma journée. Moi, quand je suis crainquée,
je voulais le faire. J'ai dit, je m'en vais
faire du sidou. Je ne sais pas si c'est important dans l'ane ma journée. Moi, quand je suis crainquée, je voulais le faire. Je m'en vais faire du sidou.
Je ne sais pas si c'est important dans l'anecdote,
mais j'étais habillée avec une petite robe Miami,
un peu sexique.
Tu n'avais pas mis un costume de bain?
Tout le monde en sidou, mais ça me semble...
Je ne suis pas encore au sidou.
C'est l'étape 1.
J'ai mes gros crocs à talons,
mes grosses lunettes soleil.
J'ai l'air un peu d'une dindonne, sincèrement.
Je m'en vais tout seul au truc de Sidhu, puis je suis comme,
« Hi, I wanna do some jet ski. »
Puis là, il dit, « OK, parfait.
C'est 150 US. »
Moi, c'est là que j'ai débarqué.
Tu m'avais dit 50.
Combien de temps? Une heure.
Mais pour vrai, 150, ça sonne
cher, mais une heure, ça me semble,
ça vaut la peine. Mais je pense que c'est juste trop long,
une heure de Sidhu. Après 200 mètres de Sidhu, tu fais, ça vaut la peine. C'est juste trop long, une heure.
Après 200 mètres de sidoux, tu fais
« Ah ouais! »
C'est une grosse moto
sur l'eau.
Je suis en mobilette sur l'eau.
Je fais chier tout le monde
sur la plage.
Le petit jet qui revole en arrière.
Je fais comme
« Je vais y aller pareil.
Mais c'était comme, il dit, c'est 40 minutes de taxi
pour se rendre là-bas.
Fait que là, je suis comme, on est à côté de la plage.
Faut qu'il y ait une marina.
De la marina, tu pars de là.
Puis là, après, on t'amène au milieu de l'eau.
Puis là, tu fais du sidot.
Ça sonne comme un meurtre.
C'est un meurtre.
Non, non.
Fait que j'avais envie de le dire devant lesest un meurtre. Non, non. Mais,
fait que j'avais envie
de le dire devant les caméras,
mais quasiment,
mais pour vrai,
parce que là,
on part,
pis là,
je dis,
OK,
ben,
je veux y aller quand même,
mais je voulais pas être
dans un char pendant 40 minutes
parce qu'il fait beau
pis je suis à Miami.
Pis là,
je commence,
je vais y aller en vélo
à la place.
Pis là,
quoi?
Mais c'est parce que moi,
tu me dis 40 minutes de char,
je vais y aller à la vélo
à la place,
c'est deux heures de vélo,
t'sais,
ou plus, là.
Ben, c'est ça, mais j'avais plus, là. Bien, c'est ça,
mais je n'avais pas pensé. Moi, j'étais comme,
bon, bien, ça va faire 40 minutes de vélo de bord, mais tu sais, c'était pas ça, là.
Fait que là, j'ai retourné. C'est combien?
C'est deux heures, trois heures?
Une heure quarante, là, genre. De vélo,
de beau soleil. Oui, puis là,
je me suis mis un costume de bain.
Un bicycle de 80 livres.
C'était un gros vélo en métal, pas de vitesse,
avec des freins
par en arrière.
C'est-tu vraiment ça comme un Bixi, mais à Miami?
Oui, un Bixi, mais pas de vitesse.
Pas de vitesse que tu freines de même.
T'es en bikini là-dessus, toi.
Je suis allée me changer.
T'es en bikini?
Non, mais j'avais mis les chocs.
Fait que t'as les lèvres qui dépassent
sur le vieux banc sale.
Ça va jusqu'au roux, Mike, moi, quand j'ai pas mis...
Ça pognait des roux.
Tu m'as dit
t'as épé ta lèvre sur ta cuisse.
C'était sur mon croc.
Je la rentrais dans les trous du croc
pour que ça sienne.
J'ai pas...
Ça tenait,
c'était correct.
Mais non,
je m'étais mis
des shorts quand même
et j'avais juste
un top de maillot
et des shorts.
J'avais pas mis
de crème solaire,
j'avais pas pris
de bouteille d'eau.
J'étais comme,
c'est pas loin.
J'étais rendue,
j'étais sur un pont.
J'étais en vélo.
Il y avait pas de vélo.
Personne fait du vélo
l'après-midi.
J'étais toute seule.
Là, j'étais comme,
je vais mourir quand même.
C'est quel mois que tu as fait ça?
Fin août.
Tabarnak!
Il faisait 40 degrés.
Moi, je n'ai jamais vécu autant de chaleur humide
qu'à Miami.
Il faisait fucking chaud. C'était épouvantable.
Je finis par arriver.
C'est comme une genre de marina.
Il y a une petite flèche
écrite au crayon, genre, que c'est en arrière.
Fait que là, je suis comme, OK, je m'en vais là.
Puis tu sais, j'arrive en vélo, fait que j'ai encore plus l'air
de comme n'importe quoi, là, tu sais.
Fait que j'arrive là, puis là, il y a un peu de monde.
Fait que je suis comme, OK, je suis à la bonne place.
Fait que là, je m'assois, j'attends, j'ai comme un petit papier
qui dit le nom du gars qu'il faut que j'appelle, tu sais.
Puis là, j'attends.
Moi, je l'avais photographié, ce papier-là, par sécurité.
Oui, il était pas venu avec moi, mais il avait photographié
le papier. Puis il était sur la plage
à deux heures de vélo de moi.
Fait que là,
j'attends un peu. J'avais comme 20 minutes.
Je suis là, fait que j'appelle le nom qui est là-dessus,
Daniel, c'est écrit. Fait que là, je suis comme,
« Hi, Daniel, it's me. »
Puis là, je suis comme, « It's me. »
« It's me. »
Non, mais, « I'm your costumer.
Puis là, je suis comme,
je dis, I'm waiting for you.
Puis là, il est comme, yeah, I'm coming, my love.
Là, je suis comme, oh boy.
Là, je suis comme, oh shit, c'est qui ce gars-là?
Fait que là, j'attends encore un peu. Puis là, il y a comme
des groupes qui partent sur des bateaux,
genre. Fait que là, je suis comme, ah, c'est parfait,
il va y avoir du monde, tu sais. Mais là, moi,
il n'y a comme pas personne qui se met avec moi,
genre, mais c'est comme plein de compagnies différentes, là,
tu sais, qui ont chacun leur bateau, puis qui crossent le monde
indépendamment, chacun l'un de l'autre.
Fait que là, j'attends mon dos.
Puis là, le gars, il arrive, puis il est comme, hey,
I'm Daniel. Je suis comme, allô? Il dit,
oh, it's you? Nice.
Je suis inquiet.
Fait que là, je suis suis ok, parfait
C'est parce qu'il a vu tes lèvres
Il a vu ça accroché à mes crocs
Il trouvait ça hot
Je fais ok
Il me demande d'embarquer avec lui
Je m'en vais au bateau
Je suis comme, I'm alone
Il est comme, yeah, yeah, mais il y a d'autres mondes
Je ne vais pas tout le faire en anglais
Il dit, il y a d'autres monde là tu sais je vais pas tout le faire en anglais là mais il dit il y a d'autres monde
il y a d'autres monde
au milieu de l'eau
fait que là je suis comme
ok
fait que j'embarque là-dedans
là
qu'est-ce que c'est rassurant
c'est épouvantable
je suis tout seul
dans le bateau
avec Daniel
pis deux de ses amis
pis qu'ils me présentent pas
ils se badrent pas de ça
oh il t'a pas présenté
non
ils sont là
ils font leurs affaires
pis eux autres
te regardaient-tu
en se mordant les lèvres
non c'est genre en mordant les lèvres?
En mordant... En tout cas.
Non, non, mais il y en a un qui a
un genre de cagoule avec une casquette
par-dessus, puis qu'on voit juste ses yeux
comme ça.
Je vous jure, je vous jure.
J'ai des vidéos de ces gens-là.
Comme un gars
de gang? Non, comme un truc que tu mets
en ski un peu.
Une combine.
De marque Combi.
Mais mince quand même. J'imagine que c'est pour le soleil.
Mais oui, mais on avait
vu les employés
qui mettaient les parasols ou les chaises de plage
sur la plage. Il y en a qui en avaient des fois.
Parce que ça te brûle le cou, le visage.
Puis en même temps, on ne peut pas te reconnaître.
C'est un deux en un.
Il y a ça en face,
puis là, ils me jasent tout un peu,
ils sont quand même fins.
Moi, je suis assise dans le fond du bateau,
puis là, ça te prend un permis de bateau
pour conduire ça aux États-Unis.
Je suis comme, je n'en ai pas.
Il dit, donne-moi ton sel, je vais te passer ton permis.
Je suis comme, ah, OK.
Ça va te coûter 10 piastres,
puis là, je lui donne mon sel.
Il me passe un permis de bateau de même,
je suis pas trop là, puis là, après, il me le donne,
il dit, tiens, tu peux conduire des bateaux aux États-Unis.
Fait qu'il y a mon nom sur le certificat,
puis je l'ai reçu par courriel, puis j'étais comme,
je suis pas mourie.
Fait que là, je suis comme, OK, parfait.
C'est-tu des quoi? C'est des questions à choix de réponse?
Je ne sais pas.
10 questions.
Je n'ai rien vu. Il y avait mon sel dans les mains.
Tu devrais appliquer pour un job
chez Carnival Cruise Lines.
Je suis capitaine de bateau maintenant.
Oui, maintenant, tu peux.
J'ai mon permis.
Ça doit être vraiment des petits bateaux, j'espère.
Il dit ça.
Il dit qu'on n'a plus de gaz.
Il faut aller mettre du gaz.
Vas-y, petite question.
Non, mais pour vrai, je pense pas qu'au Canada,
avoir un permis de bateau, c'est si plus compliqué que ça.
Sûrement pas.
Je sais que, je sais que, il faut que tu prennes un cours,
mais c'est un test sur Internet.
Ah bon.
Puis moi, mon ancien gars de tournée,
c'est un gars des Îles-de-id de la Madeleine, puis un moment donné,
j'avais dit, ah, j'aimerais peut-être ça,
avoir mon permis de bateau.
Puis il avait fait, hey, tu me le diras, je passerai
le test pour toi. Ah bon. Puis
il a dit, ah, je passe le test pour bien du monde.
Fait que... Tu veux-tu
le nommer? Non, non.
Y'a-tu quelqu'un qui a son permis de bateau
legit, mettons?
Oh, y'a quelqu'un dans le salle? OK, puis ta voix a l'air rassurante. Ça arrive que t'as eu le permis, c'est correct. C'est-tu quelqu'un qui a son permis de bateau legit, mettons? Oh, y'a quelqu'un dans le salle?
OK, pis ta voix a l'air rassurante.
C'est correct.
C'est qui qui a dit oui?
Oh!
C'est incroyable!
On dirait un cartoon.
C'est pas du tout intense.
Ses couilles, ses deux boules de bowling.
Quand il marche, il entend clink, clink, clink, clink, clink.
C'est quoi le test?
T'as pas ton permis?
Mais t'en as un quand même.
Non, mais c'est ça.
J'aime sa réponse de
j'ai pas de permis de bateau, je suis un capitaine
de bateau.
J'apprends
sur le tas.
Fait que là, ils me disent
qu'ils ont plus de gaz. Fait que là, il faut
qu'il aille en mettre. Puis là, il est comme, veux-tu venir avec nous?
Puis là, je suis comme,
mais sinon quoi?
Je suis juste dans le milieu de l'eau, sincèrement.
Il n'y avait pas une tanque à Marina?
Non, il disait que sa tanque était plus loin.
Dans le milieu de l'océan,
il y avait-tu des pirates?
Non, mais là, il allait dans un autre Marina,
mais du gaz.
Regarde, Mike, moi, je ne le sais pas.
Mais à partir de ce moment-là,
mettons, ton petit baromètre à danger,
il était où, là?
Sincèrement, malheureusement, pas si haut que ça.
J'étais quand même un peu comme...
Je vibais.
J'étais comme...
Tu vibais?
Ben, je sais pas.
À ce moment-là, j'étais quand même correct.
Je suis comme « Oui, on va aller mettre du gaz. »
Mais c'est parce qu'on est fin.
Moi, je suis fucking naïve, sincèrement.
Je suis comme « Ça, on se marre. »
On a du fun.
On ronge.
Je parle anglais. Je sais pas. Je suis comme ça, on se marre. On a du fun. On rejonce. Je parle anglais.
Je suis en voyage. J'ai quand même du fun.
Fait que là, on va vers
où est-ce qu'il y a le truc de gaz.
Pendant qu'on va là-bas, il me parle
et il est comme, c'est quoi ton nom?
Je dis, Mary. Puis il est comme,
OK, my name is Jack.
Je dis, oh, you tell me Daniel
before.
Puis il dit, ah, c'est mon nickname. » Puis, il dit, « Ah, c'est mon nickname. »
Puis, là, je fais, « OK, cool. »
Puis, j'avais ma casquette.
Ça se peut à cause de Jack Daniels.
C'est ça. C'est sûr que c'est ça.
C'est garanti que c'est ça.
Puis, moi, j'avais ma casquette armée
écrite « Daddy » dessus.
Ouais, bien là, hey!
Pour le look...
Tu tentes le diable, là.
Cochonne!
Je te slot shame.
Fait que les lèvres
qui pendent,
là,
franchement.
Fait que là,
il fait,
what's on your hat?
Là,
je suis comme,
ah ben,
tu sais,
des fois,
t'achètes des affaires
pis tu regrettes.
Fait que là,
je dis,
ben oui,
c'est Daddy
qui t'écrit
pis il dit,
je vais t'appeler Daddy.
Fait que là,
ok,
super.
Fait que,
c'est parfait,
ça va être Daddy.
Fait que là,
on va mettre du gaz pis là, je suis genre rendue une employée. J'ai
les aides à attacher le bateau, puis comme à lever des affaires, puis tout ça. Puis
ça me brûle tellement ses épaules parce qu'il fait tellement soleil. Puis il y a
comme des vêtements de filles sur le banc.
En sanglanté.
Non.
Qu'est-ce que tu veux dire, des vêtements?
Mike, il y a genre des t-shirts.
Genre des t-shirts, des pantalons,
pis...
Pis des souliers! Mais tout va bien.
Pis là, moi, je m'abrille!
Parce que j'ai un bruit!
Ah! Avec le linge des cadavres!
C'est pas... C'est pas...
C'est pas des...
Tu réalises que quand les chiens vont chercher
ces pauvres filles-là,
ils vont suivre ton odeur aussi.
Ça va tout fucker.
Pour de vrai, sur le coup,
je m'en rendais pas vraiment con.
Je m'abriais, tu sais.
Eux autres riaient-tu?
Tu voyais tout le gars avec la cagoule rire.
Ils disaient rien? il disait rien
pendant qu'on retourne vers les Sidoux
enfin, ça fait fucking longtemps
ça fait comme une heure que je suis là
là, il y a deux jet-ski
deux Sidoux qui arrivent sur les côtés
un de chaque bord du bateau
et il y a des gars avec des cagoules
encore, puis des serviettes attachées sur la tête
je vous fucking jure et ils arrivent des deux bords chaque bord du bateau. Il y a des gars avec des cagoules encore et des serviettes attachées sur la tête.
Je vous fucking jure.
Ils arrivent des deux bords et ils montent sur le bateau.
C'est un deal de drogue.
Et là, moi, je suis de même.
Je suis dans le fond du bateau.
Je regarde un peu à terre et ils sont comme « This is daddy ».
Je suis de même.
C'est-tu les gars de Sido Cachon
ou les gars de Sido qui vendaient?
Eux, ils avaient l'argent, ils recevaient la drogue.
Ils achetaient.
Fait que les gars du bateau
vendaient ou achetaient?
L'inverse, oui.
Ils ont levé les bancs,
puis ils ont pris de l'argent.
Je suis comme, je me lève,
ils prennent des sacs,
puis là, ils font les choses.
Mais ils sont relax, là. Ils sont comme
« You want some? » Je suis comme « No, no, no. »
Mais comment t'as-tu...
Ils ont-tu demandé ton 150 pour avoir un peu plus de drogue?
Mais c'était quelle sorte de drogue?
Ben, tout.
Des pilules?
Il y avait des pilules, il y avait du pot.
Toi, tu voyais, t'avais les yeux là-dessus, là.
Ben, sérieux.
T'as des sacs transparents, là.
Ben là, il y avait des sacs pas transparents. Puis ils, tu avais les yeux là-dessus. Bien, sérieux. Tu avais des sacs transparents. Bien là, il y avait
des sacs pas transparents
puis ils sortaient.
Ils checkaient les affaires.
Ils magasinaient.
Ils checkaient, oui.
Ils sentaient les sacs
puis tout.
Puis moi, j'étais là
puis ils m'en offraient.
Puis j'étais comme,
non, non,
I'm gonna drive jet ski
so I wanna be sharp.
You know?
Je me disais,
il faut que je sois drôle
sinon ils vont me trucider.
Fait que là,
c'est quand même long.
Faut que je sois drôle. Non, mais je me disais, ils vont peut-être pas me tuer dans ce cas-là. Fait que là, c'est quand même long. Faut que je sois drôle.
Non, mais je me disais, ils vont peut-être pas me tuer dans ce cas-là.
T'avais-tu dit que t'étais une petite humoriste québécoise?
Oui, j'avais tout dit ça.
J'avais essayé de, je sais pas, qu'ils m'aiment.
T'avais fait ça pour leur montrer que t'étais pas une police?
Ou peut-être aussi.
Non, j'avais même pas pensé à ça.
Ah, parce que t'as l'air d'une police.
Ah oui?
Ben oui, Chris.
Tu trouves.
Ben, on vote. Trouvez-vous aussi. C'est vrai que t'as l'air. Oui, oui. T'as l'air d'une police. Ben oui, Chris. Tu trouves. On vote. Trouvez-vous aussi.
C'est vrai que t'as l'air d'une police.
T'as l'air de quelqu'un qui vient de sortir de Nicolette.
Ou quelqu'un qui donne des cours à Nicolette.
Ah bon, qui donne des cours.
Ben c'est ça, je les ai arrêtés.
Esti clé de bras à tout le monde.
Non, non, c'est ça.
Les deux gars du deal sont partis.
Puis là, quand ils sont partis, j'avais peur. Puis là, j'ai dit à Daniel, non, c'est ça. Les deux gars du deal sont partis. Puis là, quand ils sont partis,
j'avais peur.
Puis là, j'ai dit à Daniel,
« Am I gonna die today, Daniel? »
Parce que j'ai vraiment dit ça.
Puis les rires étaient comme,
« Non, non, non, t'es correct. »
J'étais comme,
« Ils sont où, les jet-ski, collisses? »
Ils sont où?
Il n'y en a pas.
Il n'y a pas de jet-ski nulle part.
Je ne veux pas te juger dans cette histoire-là,
mais tu sais, quand tu vas dans le Sud,
toi, tu ne checkes pas les reviews avant.
Ce qui risque, quand tu as googlé,
mettons, tu vas sur TripAdvisor,
tu vois location de Sidou,
lui, ça ne doit pas être du 5 étoiles.
Ça ne doit pas être comme,
« Hey, j'ai adoré le jet-ski,
la cocaïne est encore meilleure. » Bravo! Je n'ai adoré le jet-ski. La cocaïne, t'es encore meilleure.
Bravo. »
J'ai rien checké pantoute.
C'est mon hôtel qui m'a envoyé là.
C'est eux qui m'ont dit d'aller là.
Le gars au desk.
Le gars au desk qui m'a envoyé là.
Moi, je fais confiance.
Dans trois ans, je suis morte, c'est sûr.
Comment ça s'appelait?
C'était l'hôtel de marde.
C'est ça, un hôtel de marde?
Non.
OK. C'est une chaîne. C'était l'hôtel de marde? C'est ça un hôtel de marde? Non. OK.
C'est une chaîne.
C'était une chaîne un peu...
De marde?
Non, un peu comme pour les jeunes, brancher des petites chambres, un peu design, mais
cheapette.
Ah, les d'Inn.
Une place branchée, là.
Un d'Azin.
Mais on peut-tu le nommer?
Mais pourquoi je ne me rappelle même pas?
Mais moi, je m'en rappelle.
Mais c'est Moxie Hotel.
Oui, Moxie.
Il y en a un peu partout, là.
Ah, mais c'est là qu'on avait dormi
quand j'étais en Europe avec Martin Matt.
Puis je trouvais ça drôle,
vu que lui, c'est Maxi.
Puis on était dans un Moxie.
Puis là, on riait.
Je comprends.
Oui, puis ils sont cool, ces hôtels-là.
C'est ça, c'est bien.
Mais ça fait place de drogue.
Ah, je trouve.
Ils pourraient en avoir, mais pas dans toutes les chambres.
Il y avait des familles.
Mais Moxie, c'est le genre de place que, la vibe que c'est,
c'est le genre de place où tu demandes à n'importe quel employé,
« Hey, c'est où que je peux avoir de la poudre? »
Puis il le sait.
C'est un peu ça.
Tandis que dans Holiday Inn, il faut qu'il quel employé, c'est où je peux avoir de la poudre, puis il le sait. C'est un peu ça. Tandis que dans Holiday Inn,
il faut qu'il trouve Gaston,
Astic, il est en probation.
Tout le monde en a dans ses poches au moxie.
Il m'a amené au jet ski.
Je ne sais pas si la fin est plate,
mais il m'a amené au jet ski.
Il me montrait comment faire,
comme si on n'avait rien vécu,
je me suis dit, je vais faire 10 minutes.
J'ai fait littéralement 10 minutes.
Puis je me disais, pour vrai,
quand j'étais sur le...
C'est-tu là qu'il faut que je décalisse?
Tu sais, je suis sur l'embarcation,
j'étais comme, c'est-tu le moment dans le film
où t'es comme, Christ de conne, va-t'en!
Moi, j'étais comme...
Je retourne autour du bateau.
C'est comme...
Puis il me regarde.
Je reviens.
C'était le fun.
Merci.
Mais pour vrai,
tu sais, toi...
C'est Chris Despace.
Tu sais, eux autres,
c'est clairement juste
une affaire pour blanchir
de l'argent.
C'est sûr.
C'est sûr.
Je me demande
s'il y avait des gens,
le FBI,
qui vous regardaient
puis qui disaient
« Je pense que Daddy,
c'est le boss de ça. »
Tu sais, par des films de même.
Assis dans le pont du bateau de même.
Parle pas trop.
Elle a un gros accent.
Un gros accent, pas l'air de parler,
il serait bien anglais.
C'est sûr, c'est le capitaine.
J'en ai fait un peu, puis là, je suis revenue.
T'as pas échappé ta calotte dans l'eau? Oui, j'ai échappé ma calotte.
Fait que là, je ramassais ma calotte. Ta daddy.
Ma daddy. Puis là, je suis revenue,
puis t'es comme, ah, c'était pas long. T'en as pas fait longtemps.
J'étais comme, ben non, c'est correct. J'ai compris.
Je m'en irais. Sincèrement, je retournerais.
Puis là, il m'avait proposé
d'embarquer mon vélo sur le bateau
puis d'aller me porter à l'hôtel
directement parce que j'avais dit... Puis toi, t'aimes mieux faire l'hôtel directement parce que j'avais dit que je cherchais mon vélo.
Puis toi, t'aimes mieux faire le 1h30.
Ah non, j'ai dit, on n'enlève pas ce qui reste de moi
sur la terre ferme, mon grand.
Je m'excuse, mais je retourne à mon vélo.
Je lui ai pas dit ça, mais j'ai dit, non, non, c'est correct.
Ton vélo, vu qu'il était loué,
ça te tentait pas juste de le laisser là
puis prendre un Uber ou un taxi?
Non, fallait que je le ramène.
C'était pas un big deal.
Il me l'avait bien dit qu'il fallait que je le ramène.
Je n'avais même pas le droit
de l'emprunter
et de le barrer quelque part.
Il ne voulait pas me prêter
de cadenas.
J'ai comme insisté.
C'est de qui?
Où que tu as loué ça?
C'est quoi?
Je te dis, j'ai insisté.
L'employé était comme,
je n'ai pas le droit
de t'en prêter un,
mais je vais te le laisser là
comme si je l'avais oublié.
Le code, c'est 6969.
J'étais comme...
Ah oui.
OK, parfait. J'ai comme un peu semi-volé le vélo. Parce qu'il oublié, le code, c'est 69-69. Ah oui. OK, parfait.
J'ai un peu semi-volé le vélo.
Il était comme, prends-le,
mais il ne faut pas que je te voie.
Mais vu qu'il n'avait pas le droit,
tu aurais dû...
Le laisser là-bas?
Oui, et il fait, il est où?
Tu n'avais pas le droit de le prêter.
Mais là, je suis comme,
si ils sont ensemble,
eux autres, je vais me faire...
Après ça, toi,
tu es retourné avec ton coup Fait que, non, non, j'ai vraiment... Fait que, après ça, toi, t'es retournée avec ton coup
de soleil, en vélo,
à peur et tu pleurais dessus
quand tu montais la côte.
J'ai passé franchement au rire.
Non, non, je riais, j'étais comme, c'est quoi
cette astuce d'affaire-là? Je suis vivante!
Puis là, je roulais.
Non, non, sincèrement, j'étais vraiment galvanisée.
Mais surtout, moi, j'ai l'impression,
c'est peut-être moi qui est peu heureux en voyage,
mais moi, mettons, aller faire
n'importe quelle activité d'un autre pays,
je vais avec quelqu'un d'autre.
Oui, oui, c'est mieux, je pense.
C'est vrai, tu sais, puis...
Mais nous, en passant, on pensait que c'était une activité de groupe
qu'elle s'en allait faire.
Mais c'est ça qu'ils t'annonçaient.
On pensait pas qu'elle s'en allait dans un narco.
Mais juste dire que quand je suis arrivée où il y avait les jet-ski,
les filles qui avaient des...
Tu sais, ils étaient là, là.
Avec leurs vêtements, ils étaient là. Il y avait des vraies personnes, là. Tu sais, il y avait pas juste moi. Fait que c'était pas des mortes, là. Je veux juste dire que quand je suis arrivée où il y avait les jet-ski, les filles qui avaient des... Tu sais, ils étaient là, là. Avec leurs vêtements, ils étaient là.
Il y avait des vraies personnes, là. Tu sais, il n'y avait pas juste moi.
Fait que c'était pas des mortes, là. Je veux juste vous dire.
Ça aurait été glauque.
Quand t'es revenue, il y avait des filles qui étaient comme...
Pourquoi vous êtes partie avec mon âge?
Non, mais ils ont laissé des morceaux
pendant qu'ils faisaient les tours, là.
Fait qu'après ça, ils se rabiaient.
Fait que c'était une vraie affaire.
Ah, fait que toi, à la fin, t fin t'as vu j'ai vu trois filles
tu te sentais du mal quand les filles faisaient
comment ça
que mon t-shirt est plein du soir
comme les ours quand ils reviennent
dans la maison dans l'histoire avec
Dorothée
c'est quoi cette affaire là
je sais pas j'ai raté ma référence C'est quoi cette affaire-là?
Je sais pas, j'ai raté ma référence. C'est quoi la...
Tu sais, la boucle d'or.
Ah! Tu sais, avec les trois ours.
Ah oui, oui, oui. Ils reviennent, puis là,
la boucle d'or, elle a couché dans leurs trois lits,
puis elle a mangé leur bouffe.
Le gruyot, il est trop frais,
il est trop chaud, il est pas fait.
Ça pue la merde ici.
J'ai pas souvenir de ça.
Je pense pas que c'est ça le wording exact. Dans le livre, ça pue la merde ici. Je n'ai pas souvenir de ça. Je ne pense pas que c'est ça le wording exact.
Dans le livre, ça pue la merde ici.
Ça sent la merde ici.
Ça sent l'humaine.
Il doit y avoir une triste triste de conne
de coucher dans notre lit.
Ça sent l'humaine.
Mais quand même, le gars Mike,
il m'a texté et il m'a appelé
et il voulait qu'on aille prendre un verre
et jouer au bowling.
Juste pour vous dire, là. Mais je suis pas allée.
C'est vrai, ça a duré tout le voyage, cette affaire-là.
J'ai passé proche d'y aller, mais je suis pas allée. Je me disais, ça, ça serait bon
pour le closure de l'anecdote.
Mais là, je me suis dit, là, c'est comme, c'est
vouloir mourir. Fait que t'es pas, t'es pas,
t'aimes pas les bad boys, t'sais, vu que...
J'ai aucun enjeu.
Mais t'sais, en même temps, t'sais, mettons,
les filles qui aiment les bad boys,
je pense pas que c'est ce genre de bad boy-là que tu veux,
que c'est un tannant,
mais aussi, il t'amène
faire du sidou.
Il y a pas de l'air super bon comme vendeur de drogue.
Non, non, c'était pas ça.
Mais sérieux, je me disais,
je peux pas aller prendre un verre avec.
Déjà qu'il y avait mon numéro de téléphone,
j'étais comme, ouf.
Ça m'a comme dissuadée de le dire
à qui que ce soit au Moxie.
Je suis revenue et je n'ai rien dit.
Mais il était beau, il était sexy. Tu nous as montré une photo.
Il était quand même beau. Il ressemblait
un peu à Damien
dans Fugueuse, sincèrement.
Pour être bien honnête avec vous autres.
Mais un petit peu plus
bâti.
Il n'était pas laid.
On a essayé de l'utiliser pour qu'il nous recommande des clubs où aller sortir.
Moi, j'ai répondu.
Je répondais.
Tu lui as dit, as-tu une place à nous conseiller?
Je ne veux pas aller avec toi, mais as-tu une place?
Ça, tu ne le disais pas.
Non, on conversait.
Je ne sais pas trop.
Il demandait quelle sorte de musique tu veux.
Puis là, Marilène, elle m'a demandé.
J'ai dit, dis dance music.
Puis tu as répondu dance music
puis tu as ghosté après.
Ce n'était pas la bonne réponse.
Ça, c'était too much pour lui.
Il était comme, non, ce n'est pas une fille pour moi, sérieux.
C'est un gars de hip-hop.
Mais après ça, il m'a appelé.
Puis là, je n'ai pas répondu.
Puis là, il disait qu'il voulait m'amener faire du bateau.
Fait que c'est ça.
As-tu une anecdote de voyage, toi, Mike?
Non, mais j'ai deux anecdotes de cinquième rang.
Tu n'es jamais arrivé d'affaire de même en voyage?
Ah oui, j'en ai eu plein, plein, plein.
Je me suis fait kidnapper en Haïti une fois.
J'ai dit, tu en es fermé ou non?
Kidnapper?
Oui, mais ça fait tellement longtemps,
puis je l'ai tellement raconté,
puis moi, je suis le genre de personne,
je raconte mon histoire,
puis je suis tellement habitué d'être sur scène
que là, je fais,
« Ah, c'est-tu ce bout-là? Il est trop. »
Fait que là, je fais une petite job de script édition.
Je ne sais plus qu'est-ce qui est vrai.
Quatre ans plus tard, je n'ai aucune idée de ce qui est arrivé pour vrai.
Mais ce que je me rappelle encore…
Moi, il n'y a rien de vrai. C'était juste du sidou.
Mais ce que je me rappelle encore, il y avait un gars en Haïti
qui m'avait demandé… Je cherchais un guichet.
J'avais demandé à un gars où était le guichet, j'avais demandé à un gars, il était où le guichet,
puis il avait dit, viens avec moi.
Puis là, j'avais vu un autre guichet, puis il avait dit,
prends pas ce guichet-là, prends pas ce guichet-là, viens avec moi.
Puis là, j'étais parti avec.
Puis là, en partant avec, j'étais comme,
je me suis fait kidnapper, je pense, là, tu sais.
Puis, je me rappelle de rien.
Je me rappelle que j'étais dans un guichet.
Je me rappelle, j'ai retiré le maximum d'argent que je pouvais.
Puis, le lendemain matin, je me suis réveillé et je n'avais pas une cent.
Fait que, tu sais…
Ton compte était vidé?
Non, non.
Bien, c'est parce que j'ai retiré le maximum…
D'argent cash.
… de cash que je pouvais.
Fait que, tu sais. Le maximum, c'était
comme 30 ou 40 000
l'argent haïtien.
OK. 50 piastres.
Non, mais tu sais, c'était...
C'est combien?
Tu sais, moi, ma
caisse populaire, je pense que c'est 1000 piastres par jour
canadien. Fait que j'avais retiré
1000 canadiens. Fait que c'est impossible
que j'aie dépensé 1000 canadiens d'un bar. Fait que là, le lendemain, jens. Fait que c'est impossible que j'ai dépensé 1000 Canadiens dans un bar.
Fait que là, le lendemain, j'étais
comme, ah oui, il m'a sûrement volé.
Mais je me suis réveillé à l'hôtel.
J'avais pas de coupure.
J'avais pas de bleu.
Fait que j'ai fait, bon, ben, Chris,
c'est une anecdote.
C'est sûr qu'il manque beaucoup d'éléments
à l'anecdote.
J'ai pas de coupure, puis j'ai plus d'argent.
Mais c'est sûr qu'il a regardé si t'as des coupures le lendemain.
Non, mais quand tu te réveilles le lendemain, t'es comme, OK, je suis sûr.
OK, je chèque pas de partout.
Ouais, c'est ça.
J'ai plus d'argent.
Je chèque pas de nulle part.
Pas de partout.
OK, je chèque d'ici, d'ici.
Oh, il m'a pas pogné la cuisse de partout. OK, je saigne d'ici, d'ici, de... Oh! Il m'a pas
pogné la cuisse!
1-0, Mike Ward.
Toi, ça t'arriverait
jamais de quoi même.
Non, ben moi, ça me fait penser, l'autre fois,
j'ai pris un Uber, pis quand
je suis rentré dans le Uber, le chauffeur,
il m'expliquait que
vu que je m'en allais à Longueuil,
de Montréal à Longueuil, c'était comme un long trajet, fait que là, il essaie de m'expliquerait que vu que je m'en allais à Longueuil de Montréal à Longueuil c'était comme un long
trajet fait que là
il essayait de m'expliquer que le ratio de la portion
du montant qu'il allait recevoir
allait être pas suffisante
qu'il allait perdre beaucoup d'argent fait que si ça me dérangeait pas
il allait canceller ma run
de Uber mais je restais dans l'auto
pis je le payais au noir
le matin
pis moi à partir de là j'étais pis je le payais au noir. Qu'est-ce qu'on sait? Pis moi, à partir de là, j'étais comme...
Je sais pas si...
C'est un cas, là, ça m'embête, là.
Parce que je sais que...
Si tu...
Il y a plus de preuves.
Exactement. J'hissais ça à être comme vraiment
plus de radar sur moi. Vraiment,
j'étais sans filet.
Tu vois que dans notre tête, par exemple,
c'est comme ce qui me protège, c'est sans filet. C'est là que tu vois que dans notre tête, par exemple, tu es comme, ce qui me protège,
c'est qu'il y a quelqu'un
qui voit dans le cloud
que je suis avec lui.
C'est l'application Uber qui veille sur moi.
C'est parce que techniquement, il pourrait te dropper,
il te voit rentrer là
dans une demi-heure, sonner chez vous,
te gonner dans la tête.
Mais oui.
Alors, bonne chance à tous ceux qui rentrent en hiver ce soir.
C'est fun.
Mais je l'ai fait, je l'ai suivi, j'ai dit comme,
hum, OK.
Puis, parce que je savais que j'avais de l'argent
en cash, mettons, pour le payer.
Tu dis, t'en avais combien?
T'as fait, j'ai 400 ici, puis 200
cachés dans mes bras.
Non, mais quand on...
300 dans mes culottes.
Quand on est arrivé à Longueuil,
ils voulaient que je fasse un virement.
J'aimais pas ça parce que j'avais peur
qu'ils se connectent à moi à accéder.
C'est comme ça que ça marche, je pense.
Oui, c'est ça.
Fait que je voulais être payé cash.
J'ai l'impression que t'as volé ton anecdote
d'une personne âgée.
Moi, je me suis déjà fait
frauder beaucoup.
C'est vrai?
Oui, il y a déjà quelqu'un qui a appelé chez nous
en disant qu'il était visa, puis je m'en allais
leur donner toutes mes infos. J'ai commencé à leur donner
des infos.
T'es jeune encore.
Non, mais c'est parce que
c'était dans une période où je m'étais fait
frauder mon compte
TELUS. Il y avait du monde
qui ajoutait des numéros de téléphone sur mon compte TELUS.
Il y avait des boutiques TELUS
en Saskatchewan qui m'appelaient pour dire
qu'il y avait quelqu'un qui venait de se créer un
compte sur mon numéro de téléphone.
C'était dans une période comme ça où c'était
plausible que Visa m'appelle pour dire
qu'il y avait une fraude sur ma carte.
À un moment donné, j'ai dit... C'était encore en anglais
en plus. Déjà, j'aurais dû avoir un peu
l'indice. Mais
ils m'ont demandé, je sais pas trop, genre, combien
qu'il restait sur ma carte de crédit.
Puis là, j'ai dit,
« I'm not comfortable
giving you this information. »
Puis ils ont raccroché.
Puis ils ont cogné chez eux, puis ils ont
tiré dans la tête.
Mais c'est quand même...
J'étais bien déçu de moi-même.
Mais bref, pour l'histoire du taxi, finalement,
je voulais le payer cash, puis il n'y avait pas de...
Je l'ai payé cash, mais il n'y avait pas de change.
Fait que là, il a été courir
dans une boutique. Pauvre monsieur,
finalement, il était honnête.
Il a été courir vraiment loin pendant 15 minutes
jusqu'à un dépanneur pour faire du change.
Il est revenu et il m'a donné mon change
et je l'ai tiré dans la tête.
Moi, j'ai eu...
J'ai pris son char.
Je pense que ça commence à être commun
avec les Uber à l'aéroport.
Il y avait un gars qui m'a fait ça un moment donné.
Je suis à Longueuil.
C'était 55 piastres
de l'aéroport à chez nous,
puis il m'avait demandé, il avait dit,
c'est combien, c'est combien
jusqu'à chez vous?
Puis là, je fais, je ne sais pas c'est combien.
Puis il est comme, non, mais c'est combien,
je te le fais moins cher. Puis là,
j'avais juste une barre, puis là, j'étais comme, je ne sais pas
c'est combien. Puis il est comme, non, mais c'est combien,
je te le fais moins cher. Puis je suis comme je le veux pas moins cher
je veux, je crains, je suis
je veux être sur l'application
pis il est comme non mais je te le fais
moins cher, pis là je regarde pis je suis comme
c'est 55, pis il a fait
je te le fais à 50
pis là je suis comme
hé tabarnak là, ben non
offre-moi un deal, là. »
Pour 5 piastres, je vais vivre.
Je vais pas prendre comme le délire des parents, là.
Ouais, ouais.
Ouais, mais ça devait être le même,
c'était vraiment ça.
Il était fâché après moi, tu sais.
Ah, bon.
Pis j'ai laissé quand même 20 piastres de pourboire,
tu sais, que Chris...
Oh, shit.
Sur 50 piastres de run.
20 piastres?
Mais tu sais, je laisse tout le temps
pas mal de pourboire pour pas qu'il revienne me tuer. Laissez laisse tout le temps pas mal de pourboire
pour pas qu'il revienne me tuer
c'est quoi ta note sur 5 sur Uber?
tu le sais-tu?
c'est pas assez 5 sur 5?
non, c'est quand même
je l'ai pris trop souvent, trop chaud
il donne 100 quand il vomit
mais il est comme
je dois être à 4.8.
4.8, 4.9,
qui n'est pas mauvais, mais à chaque fois,
je suis comme, tabarnak,
je leur laisse 20 piastres.
Donne-moi un 5.
J'aimerais savoir, c'est qui les chauffeurs
qui nous ont donné un 4 sur 5, mettons?
Puis pourquoi? Moi, des fois, je sais que
par mes gardes, je claque les portes trop fortes.
Ah oui? Tu penses que ça fait baisser ta note?
C'est sûr que oui.
Parce que sinon, je suis là, je ne dis rien, honnêtement.
Je ne fais rien partout.
Moi, j'avais un gars un moment donné que
je voyais,
si j'oubliais mon téléphone,
fait que là, je suis comme,
si il est où mon téléphone? Ah, s'il est dans l'Uber.
J'appelle mon téléphone, le gars répond,
puis je dis, « Ouais, j'étais dans ton Uber, j'ai oublié mon téléphone. »
Puis il a fait, « Non, t'as pas oublié ton téléphone. »
J'étais comme, « T'es en train de parler dans mon téléphone. »
Puis il a fait, « Ah, ouais, ouais, c'est ça, t'as oublié ton téléphone. »
Puis après, j'ai fait, « Tu peux-tu me le ramener? »
Il a fait, « Non, je mas oublié ton téléphone. Puis après, j'ai fait, tu peux-tu me le ramener? Il a fait, non, je m'en vais
me coucher.
Demain,
call un Uber
entre, mettons,
midi puis midi et quart,
puis je vais te l'amener.
Puis là, j'étais comme, call, est-ce que
quand je devrais prendre un taxi?
Taxi, il serait revenu
tout de suite, mais là, lui, le lendemain,
j'ai callé un Uber.
Il est arrivé, il me l'a donné.
Il était sur l'ordinateur
et il attendait que tu apparaisses.
Il était genre parké sûrement dans ma rue.
OK.
C'était weird.
C'était sketch.
La plupart des chauffeurs Uber,
c'est du monde qui sont
tous là mentalement, mais il y a
des weirdos qui aiment ça,
faire des lifts
à des inconnus,
puis ça donne ce que ça donne.
C'est quand même épeurant. Moi, j'aime pas trop ça,
prendre des Uber. T'aimes pas ça, mais tu peux voir
la note aussi des chauffeurs.
Je pense que je savais pas qu'il y avait des notes.
Je viens de l'apprendre.
Moi, j'aime vraiment ça, mais des fois,. Bien, je pense que je ne savais pas qu'il y avait des notes. Je viens de l'apprendre, là. Moi, j'aime vraiment
ça, mais des fois, quand j'y
pense, je fais, « Asti,
c'est weird, notre société, à ce
temps-là que... » Tu sais, même juste,
moi, je suis un gros fan d'Airbnb,
mais juste le concept de
« Hey, je suis chez quelqu'un en ce moment
que peut-être
tout est une caméra cachée. »
Probablement toute.
À chaque fois que je pense à ça,
je suis comme, tabarnak,
pauvres eux autres.
C'est ça le spectacle qu'ils ont.
T'as un monsieur qui va aux toilettes 22 fois par jour.
Il doit être intolérant au lactose.
Mais moi, je trouve ça cool.
L'idée d'être dans un appart
et qu'il y a peut-être des caméras,
toi, tu trouves ça cool?
Non.
Moi, je trouve ça cochon, c'est sexy.
T'es sérieux?
C'est pas la chose qui me dérange le plus.
Mais c'est cochon et sexy
si c'est avec quelqu'un
que t'aimes.
Qui t'attire.
Pas nécessairement à moi,
mais qui t'attire. Mais tu sais, pas nécessairement un mot, mais qui t'attirent.
Mais tu sais, de savoir que, mais es-tu propriétaire ou tu es locataire?
Locataire.
Le propriétaire de ton building, qu'est-ce qu'il a de l'air?
C'est à lui qu'il pense, puis il aimerait ça qu'il y ait des caméras.
Je pense que c'est un message qu'il y envoie, en fait.
S'il n'y a pas déjà des caméras, viens les poser, ça m'attend.
C'est un monsieur
de l'âge de mes parents,
un boomer classique.
Un beau boomer?
Il a tout setté les caméras
quand je suis arrivé dans ma chambre,
dans le trou de la bolle.
Qu'est-ce qui est le fun d'avoir
un boomer qui cache les caméras?
Il a laissé les fils.
Il y a des fils partout. Il y a des tapes à côté. D'avoir un boomer qui cache les caméras, il a laissé les fils. Oui, c'est ça.
Il y a des fils partout.
Il y a des tapes à côté,
la 1, la 2, la 3,
des codes de couleurs.
Mais non, moi, j'aimerais pas ça qu'il y ait des caméras.
C'était peur, hein?
Toi, t'es pas exhibitionniste.
Non, pas vraiment.
C'est dole.
C'est dole?
Non, non, moi, faut pas que je pense à ça,
qu'il y ait des caméras.
Même quand juste mon ancien proprio était venu
arranger mes luminaires,
j'avais demandé de mettre des luminaires
avec des dimmers.
Puis juste quand il gossait là-dedans,
j'étais comme...
J'essayais de checker.
Je ne les laissais pas tout seul dans les pièces.
Je ne voulais pas qu'il...
Ah oui?
Je ne sais pas trop.
J'avais peur qu'il mette des caméras
même si je ne pense pas qu'il les aurait mis dans les lumières.
Tu avais peur avec lui,
puis tu es parti en bateau
avec des vendeurs de drogue,
puis t'étais comme, t'es en vacances!
C'est ma personnalité de voyage.
C'est ma personnalité anglophone.
À un moment donné, Marilène, il me semble que tu m'avais dit que t'avais reçu un
courriel d'un hacker
qui disait qu'il y avait des photos sexy de toi
puis qu'il menaçait de les envoyer à tous tes contacts.
Tu me demandais si ça se pouvait.
C'est vrai?
Ça, je trouve que c'est le courriel le plus épeurant
dans le milieu de la fraude pour moi.
Ça veut dire que tu as du contenu pornographique.
C'est quoi que tu as écrit?
Il a écrit...
Je suis contente que tu parles de ça.
Tu es un bon ami.
J'ai des photos compromettantes.
Personne n'a jamais reçu ce courriel-là?
Oui, c'est ça.
OK, Chris.
Laissez-moi pas tout seul là-dedans.
Ils sont comme, vas-y, toi, la cochonne.
Non.
Tout le monde a reçu ça.
J'ai jamais reçu ça,
mais j'ai un nom de ma génération.
Et ma génération est pas très et moins
dick pic vu que
dans le temps envoyer des dick pic fallait que je sorte le polaroid
pis j'achète
des timbres là
c'est plus complexe
toi faut te regarder sur caméra de surveillance
mais j'avoue j'ai reçu quelques fois
ce courriel là je sais pas ça dit quoi
ça dit genre on a des photos
compromettantes de vous envoyez nous je sais pas là de dit quoi, ça dit genre, on a des photos compromettantes de vous, envoyez-nous
je sais pas là, de l'argent.
C'est-tu beaucoup en pièces?
C'est jamais des très gros montants. C'est 100 pièces?
C'est genre des petits montants, mais c'est sûr que c'est
exprès pour que tu fasses. Si quelqu'un
n'est pas sûr, tu fais, ah, c'est un kayak, je vais
l'envoyer, mais je l'ai pas envoyé.
Mais je me souviens que j'avais vraiment
paniqué, puis j'avais comme
tout fait genre antivirus de mon ordi, puis j'avais vraiment paniqué. j'avais comme tout fait comme un antivirus de mon ordi
pis j'avais vraiment paniqué
t'avais-tu appelé tous tes ex pis les envoyer chier
tout mon esti de salle
pourquoi t'as donné ce défaut-là
non non non
je l'ai pas dit à personne
je savais pas à qui demander
c'est vraiment le moment où t'es comme
oh non je peux pas appeler mon père pour lui poser des questions
j'ai aucune autre ressource.
Moi, je me rassure dans ces cas-là en me disant
que dans mon...
Moi, je n'ai jamais reçu les albums photos
de mes contacts pornographiques.
J'en ai jamais reçu.
Ça ne doit pas être une pratique qui se fait pour vrai.
C'est ça, c'est ça. Oui, c'est vrai, c'est vrai.
Puis aussi, mettons-moi à recevoir
un...
C'est le genre d'affaire que ça sera pas une ou deux photos,
ça va être un esti de zip.
Oui.
Que t'es comme, bon, j'ai quelqu'un que je reconnais...
Tu sais, son e-mail, c'est genre ACB à commercial,
un esti d'affaires par rapport.
Là, je suis comme,
j'ai pas goût de rouvrir ton cris de zip.
Ton zip?
Mais peut-être, si j'avais rouvert les zips, j'aurais des photos
de la queue à Yann,
de la queue à Michel.
J'aurais toutes les queues de mes amis.
Ça, c'est Mike à soir sur son iPad
avec ses lunettes
qui cherche ses vieux zips.
Il ouvre tous les zips. Ça, c'est traumatisant.
Moi, un moment donné, j'avais
vu le pénis
d'un gars que je travaillais avec.
Où ça? Dans quel contexte?
C'était à l'époque, avant les Tinder et Grindr,
j'avais un ami gay qui était sur Gay411.
Il m'avait dit, « Tu connais-tu tel gars? »
Un gars de showbiz. puis je fais « Ouais. »
Puis il fait, « Hey, check sa photo de profil. »
Puis là, il monte la photo de profil.
Puis après, il monte une photo qu'il avait envoyée.
Puis c'est juste le monsieur que je travaillais avec,
la petite queue dans les mains.
Puis là, j'étais comme,
« Tabarnak, il faut que je... »
J'ai un brainstorm avec Mordy.
Puis là, tu sais, t'es à une table,
puis t'essaies de trouver des concepts
avec un gars que t'as vu
tu sais,
tu fixais la caméra avec son
bat-pouet-tu vers toi.
On dirait que j'essaie d'imaginer la photo,
je la comprends pas, qu'il vise.
Non, non, mais...
C'est comme si, tu sais,
il y avait un bon bat, puis c'est comme si, tu sais,
il craignait, tu sais, comme... Tu sais, avant de shooter. Tu sais, comme un douil y avait un bon batte. C'est comme s'il craquait.
Avant de shooter.
Comme un douze.
Comme un gun.
Avec une caméra fixe.
C'est une vidéo?
Non, c'est juste une photo.
C'est ce que la photo te faisait sentir.
C'est une photo de bonne qualité.
Sam, il la veut, je pense. Non, mais... Personne n'essaie de savoir c'est qui photo de bonne qualité. Sam, il la veut, je pense.
Non, mais photo de... Personne n'essaie de savoir c'est qui, en passant.
Non, mais photo de l'époque
de Gay 411, ça a dû existé.
C'est soit Danny Turcotte ou l'autre.
Non, non, c'était...
Non, non, c'est pas quelqu'un
qui était l'autre.
Parce qu'il y avait deux gays à l'époque. Je sais même pas c'est pas quelqu'un qui était l'autre. Parce qu'il y avait deux gays à l'époque.
Je sais même pas c'est qui l'autre.
Alex Perron?
Ah oui.
C'est tout?
Non, je pensais à Voldemort.
Oui, c'est ça.
Celui dont on ne doit pas prononcer le nom.
Chris, puis je sais même pas de qui tu parles.
Bernard de Rome.
OK, mais je sais pas.
Non, l'autre qui est gay. Ah, Éric Salvaille? Oui. OK, mais je ne sais pas.
Non, l'autre qui est gay.
Éric Salvaille?
Oui.
OK, non, non.
Non, je n'ai pas.
Ce n'est pas un de ces quatre-là.
Non, non.
Moi, c'est un producteur. Parce qu'il ne peut pas le dire, c'est lui.
C'est un producteur, metteur en scène, gérant.
OK.
Oui.
Bon, mais là, au moins, on ne sait plus c'est qui
quand on va aller googler tantôt.
Mais c'était une photo de bonne qualité ou c'était webcam?
Quand même trop bonne qualité pour mes yeux hétérosexuels.
Fait qu'appareil photo numérique, là.
Il avait mis son appareil photo sur un trépied.
Sam, il va reproduire la photo, on dirait,
ou il va faire une peinture en hommage?
C'était avant les iPhones, mais après les caméras à film.
Fait que, tu sais, c'était quand même...
Une Canon...
C'est comme un...
Numérique, là.
Bon, tu voyais la queue, là.
Ça devait être du 4...
C'était pas du full HD,
mais c'était du 480.
C'est ça qui était écrit au magasin.
On voit bien les queues.
Prenez celle-là.
Puis est-ce qu'on voyait la queue et le visage en même temps?
La queue et le visage, tu voyais tout.
Tu voyais tout.
C'est ça qui était déstabilisant.
Tu voyais sa bédaine, ses totons de monsieur.
C'était épouvantable.
C'est épouvantable.
Mais ton ami, gros manque de jugement quand même.
Pourquoi il te montre ça?
Je veux dire, il montre juste une photo.
Pourquoi il voulait te montrer celle avec le pénis?
Oui, oui, oui, 100 %.
C'est lui qu'on devrait nommer, l'estime.
Mais lui, il était chaud, il trouvait ça drôle.
Puis, oui, c'est ça.
Oui, oui.
Puis, il savait que ça allait te faire réagir.
Puis moi, oui, c'est ça.
Puis, tu sais, tout d'un coup, j'ai fait comme ça.
« Attends-moi, OK, Chris. »
Ça ne me tentait pas.
Oui, c'est sûr.
Oui, c'est ça.
Je n'étais pas bien,
mais oui.
Mais ça fait
une bonne anecdote.
Oui, oui.
C'est l'idéal.
Mais toi,
tu reçois-tu beaucoup
de dick pics
ou de photos
d'unudité des fans?
Je ne reçois absolument rien
parce que moi,
tu ne peux pas m'envoyer
de messages privés,
fait qu'il faut
que tu mettes ça
sur mon bureau.
Imagine,
tu l'actives,
c'est juste ça
tes inbox
tu réactives les messages
parce que tu peux pas
avoir de message privé
non je peux pas avoir
de message privé
toi tu penses que
ça serait plus
des madames
qui m'envoyent des notes
ou des messieurs
genre juste des vieux gays
qui veulent me traumatiser
qui font
t'aimes pas ça
des queues
check celle-là
tu sais
je reste homophobe.
Ah Mike, je pense que t'auras un heureux mélange
des deux, moi je pense.
Je pense que ça serait pas beau. Je pense que tu fais bien de fermer
tes messages.
T'en as-tu beaucoup, toi? Non, pas vraiment.
Parce que ça a l'air d'une police.
Mais toi, t'en as reçu un album
complet l'autre fois. Ouais, l'autre fois
j'ai reçu un album.
Un album complet du même gars.
Un beau gros zip.
Ouais.
OK.
C'était plein, là.
Non, non, mais c'était sur Instagram,
dans mes messages, mes demandes de messages.
Puis il n'y avait pas rien écrit, là.
C'était juste quelqu'un qui me suit.
Puis il avait vraiment envoyé...
Il n'a même pas pris la peine d'avoir un type.
Non, il n'y avait pas de note.
Il trouvait que les photos parlaient d'elles-mêmes.
Ouais.
Puis c'est comme, c'est par burst, là.
Tu sais, genre, trois photos.
Une photo.
Un vidéo.
Deux autres photos.
Un autre photo.
Tu sais, c'est comme...
Vraiment, il passait à travers son dossier,
puis il était comme, ouais, celle-là.
Celle-là.
Ouais.
Ah ouais, celle-là, tu sais.
Puis il était vraiment explicite, là.
C'était vraiment... C'était pas juste
la queue.
C'était
les bobettes souillées aussi.
Ouais, ouais, ouais.
C'était genre vert.
Mais là,
ça c'est TDM, Mike.
Non, mais en plus,
c'est comme souillé de quoi?
Vert, ça peut être
n'importe quelle des affaires.
C'est un mythe.
C'est-tu de la diarrhée ou c'est...
Comment ça, tu dis diarrhée, toi?
Non, diarrhée.
Diarrhée. Mais j'aime mieux diarrhée.
Je le dis-tu mal, diarrhée?
Non, non, non.
Je pense qu'on le dit pas souvent, ce mot-là, psychotique.
Mais, tu sais, mettons...
C'est-tu ça, Karine arrive quand tu manges des asperges?
Tu sais
Parce que ta pisse elle pue
Peut-être ton sperme il est vert
Il y avait du colorant
C'était comme
C'est malade si c'est ça
Il vient dans ses bobettes
Prend une photo pis il fait
Il me semble c'est pas beau
On va jouer avec les couleurs.
Attends. Ah, carrément,
j'ai cliqué sur « Send ».
J'avais pas fini mon
œuvre d'art.
Il met du colorant dedans, comme le liquide
pour les annonces de serviettes sanitaires,
pour qu'on voit bien l'effet sur la bobette
blanche.
Ça, c'était une autre de mes propositions comiques
qui n'a pas marché, mais c'est pas grave.
T'as l'air d'un employé
qui travaille là.
Moi, je veux revenir à ton gars dans ses bobettes.
Lui, il t'a montré
voici ce qui sort de mon
corps
si t'es intéressé.
Ouais, mais il avait l'air vraiment cochon.
Il voulait être vulnérable, je pense.
Il voulait y montrer tout de lui.
Mais physiquement, il ne m'attirait pas. J'ai pas répondu. Mais si il avait l'air vraiment cochon. Il voulait être vulnérable, je pense. Il voulait y montrer tout de lui. Mais physiquement, il ne m'attirait pas.
Je n'ai pas répondu.
Mais si il avait été vraiment beau.
Je me pose la question.
What?
Mais pour vrai, un psychopathe qui est super beau,
ça fait peur.
Oui, mais oui.
Mais ça fait peur.
Non, c'est dégueulasse.
Turn on, ou...
À peu près comme Mary-Len en Sidoux. Mais ça fait peur. Non, c'est dégueulasse. Turn on, nous.
À peu près comme Marilène en Sidoux.
Non, mais là, la trace de marde d'un culotte, je m'excuse.
Non, mais si c'était Bradley Cooper qui m'envoie sa trace de marde.
That's why.
Non, mais c'est vrai.
Mais moi, je veux savoir pourquoi. Laisse-moi y penser.
Pourquoi que...
Qui qui se dit,
« Hey, ça, ça va l'exciter. »
Je ne sais pas, mais s'il pogne la personne
que ça excite, ça va l'exciter.
Ça va être comme bullseye.
Oui, mais c'est un gros...
Quand même, c'est un gros essai.
Tu as quand même des chances de te tromper.
Triste.
De faire, « Ah, si j'aimerais ça
que son pénis rentre et sort
de mon cul. Sais-tu quoi d'autre?
Il sort de mon cul,
il me chie, il prend sa photo.
Me semble...
Je comprends pas comment tu peux penser,
mais pas de message aussi,
je sais pas trop.
C'est juste...
Ça aurait été malade qu'il y ait un petit
message un peu romantique.
Un peu...
J'aime beaucoup ce que tu fais.
Si jamais
je connais un bed and breakfast
à Shefford...
J'avoue que peut-être
qu'il a commencé un message
et il a fait, il dirait qu'il n'y a rien qui va avec.
On pourrait...
On achète une bonne bouteille de blanc.
On se couche devant un feu,
je te chie dans la face,
non, je vais enlever,
je vais enlever cette bouteille-là.
Se faire chier dans la face, ça, c'est quelque chose.
Ben voyons.
T'as-tu déjà fait ça?
Non.
Ah ouais.
Non.
Moi non plus, là.
Non.
Toi, Mike?
Non, non, moi non plus.
Non, non, écris ce que non.
Moi, je suis dédaigneux, là. Du caca? Ben moi, Mike? Non, non, moi non plus. Non, non, écris ce que... Moi, je suis dédaigneux, là.
Du caca? Ben, moi, de tout,
tout, tout ce qui est liquide.
Tu sais, comme, mettons, mes...
Tu sais, mon chat, chaque fois
qu'il vomit, je vomis
en ramassant son vomi.
Chaque fois? Chaque fois.
Tu sais, je pogne son... Ben, c'est pas, tu sais,
je vomis pas en même temps, mais tu sais, je pogne
son vomi, et là... Benomi. Avec une petite serviette?
Non, ce n'est pas juste mes doigts.
C'est comme, ah, je n'ai rien.
Attends.
Non, mais tu sais...
La méca, c'est tellement dégueulasse.
Je pogne des essuie-tout.
J'en prends trop.
Je pogne ça.
C'est vraiment dégueulasse.
Je pogne ça. C'est bien dégueulasse! Je pogne ça.
C'est bien un gros vomi!
Oui, mais c'est parce que...
Puis là, avant, je rouvre la poubelle,
puis juste le temps de me rendre aux poubelles,
il faut que j'aille aux toilettes,
vomir,
puis je rouvre.
Fait que là, c'est ça, je rouvre le...
Je lève le banc,
fait que là, puis J'essaie de prendre
du papier de toilette
pour ramasser,
pour tout jeter en même place.
Son vomi, mon vomi.
Tu vomis sur le vomi.
Je vomis sur le vomi, oui.
Puis là, ça, ça me fait bander.
Ça...
C'est là que je viens.
Puis il regarde la caméra dans le coin
et il est comme, salut!
Je veux, Chuck,
il y a-tu...
C'est ça, en m'en venant ici avec Michel,
je parlais cette semaine
pour les shows gratuits.
C'est l'épisode qu'on a fait à Trois-Rivières.
À Trois-Rivières, il y avait beaucoup, beaucoup de questions
qui étaient « Je ne veux pas insulter Trois-Rivières,
mais forcez-vous, tabarnak! »
C'était mauvais, les questions?
Les questions étaient épouvantables,
mais on dirait que je m'en colsais.
Je voyais bien du monde, puis ça ne s'améliorait pas.
J'étais comme,
« Hey, ils ont des mauvaises questions.
Ça fait deux heures qu'on est là. »
Mais quel genre de...
Ce n'était pas du bon contenu
comme qu'on fait là,
avec le vomi et la main.
Exact, exact.
Ce n'était pas, Chris...
À la hauteur.
Mais là, je me disais...
Puis moi, j'ai tout le temps été le même
pour les podcasts.
Quand j'avais commencé sous écoute,
on avait eu la discussion
de, il semble que les épisodes, des fois, sont
trop longs. Puis moi, ma théorie, c'était
« Hey, si c'est trop long, arrête d'écouter. »
C'est pas un film.
T'es pas obligé
de faire « Oh, c'est qui
qui a chié dans les bobettes? »
On le découvrera
jamais.
Fait que là, j'étais comme,
les questions, quand elles sont weird,
sont weird,
puis ce n'est pas la fin du monde.
Fait que là, j'avais dit,
je pense qu'on va arrêter les questions du public,
mais je veux quand même donner
une chance au public.
Et voyant.
Fait que là, ça met de la pression.
Imagine la première, c'est comment ça va.
Oui, c'est ça.
Y'a-tu des bonnes questions?
Oui, en fait, j'ai quelques bonnes questions.
La première, en fait,
c'est plus une question d'origine
pour vous deux, Sam et Marilyn.
Vous êtes quelle race?
Ça serait une bonne question.
Ça serait une bonne question. Ça serait une bonne question. Ça serait une bonne question. Ça serait une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C'est une bonne question. C' serait une bonne question. Ça serait une question d'origine.
C'est une question de Mike M.
En fait, c'est juste pour revenir
un petit peu dans vos biographies respectives.
Est-ce que l'humour, c'était... Vous vouliez faire ça
absolument depuis le début de l'humour
ou vous aviez des choix de carrière qui étaient complètement
différents?
Ça, j'aime ça. Ça, c'est une question du public
ou c'est une question de qui?
Oui, effectivement. Ici,
il s'appelle Richard Zelda.
Donc, on le salue.
Richard Z?
Zelda?
Absolument.
Donc, la question, c'est ça.
Est-ce que l'humour était votre premier choix
ou vous aviez d'autres ambitions avant l'humour?
C'est une très bonne question.
Oh shit, toi, tu peux répondre en premier.
Mais moi, c'est court.
Toi, t'as fait d'autres choses avant.
Moi, non, c'était ça que je voulais faire.
Moi, j'ai l'impression que toi, à trois ans,
aussitôt que t'as appris que l'humoriste, c'est un job, c'est ça que tu voulais faire. Pour vrai, oui, j'ai l'impression que toi à 3 ans au stout après que
l'humoriste un job oui ça que tu voulais pas pour vrai oui j'étais vraiment jeune
j'ai toujours voulu faire ça six ans à travailler au bord de moi non j'ai
toujours voulu faire de l'humour je me suis jamais posé la question du raid
dès que j'ai comme commencé à penser à ça j'ai pour vrai déjà voulu être
police pour de vrai mais pas longtemps j'ai vraiment plus voulu être humoriste.
Mais je sais pas pourquoi ça arrive souvent des humoristes
qui disent qu'ils ont voulu être policiers. Je sais pas pourquoi.
C'est bizarre. Mais bref, ça a toujours été
l'humour.
Tu vis de ça depuis que t'as comme 20, 22, hein?
Ouais, quand même.
Depuis qu'on est sortis de l'école de l'humour.
Ouais, je dirais ça. Ouais, 21.
C'est un bon guess.
Ça fait quand même 6 ans. 6 ans, 7 ans, 21. C'est un bon guessoin. Ça fait quand même 6 ans.
6 ans, 7 ans, oui.
J'ai 27.
Et toi, t'as fait d'autres choses avant?
Eh bien, moi.
Papy, papy, pa.
Ben moi, ben j'ai...
Non, mais j'ai...
J'installe des caméras dans plusieurs maisons du Québec.
Non, mais j'avais jamais voulu devenir humoriste,
même que j'haïssais ça, là.
— T'haïssais l'humour ou t'haïssais...
— J'haïssais pas ça activement,
mais c'était juste moi qui haïssais où c'était.
— Bien, certainement, j'écoutais quand même
un peu Piment Fort, des fois,
parce que c'était relax.
Mais un gars là là juste pour rire
non, parce que
Piment Fort, moi j'étais
assez jeune pour embarquer dans l'idée
que c'était improvisé
ça me semblait pas comme répété
je savais pas que c'était écrit
moi à chaque fois que le monde voyait pas que c'était écrit
je suis comme, la lutte
tu dois capoter
quand tu vois la lutte
c'est impossible
mais j'étais un enfant
je sais pas trop
puis j'écoutais ça
j'aimais ça
ben j'aimais ça
ça faisait la job
astuces
mais non
tout ce qui était comme
tout ce qui était comme
de la scène
ou du théâtre
ou de l'impro
ça me gênait
j'étais pas capable
de regarder ça
genre même
des téléromans
ou comme Ramdam
j'écoutais ça
j'avais honte
je me cachais
la seule chose
que t'aimais c c'était Pimant Fort.
Le théâtre, la scène, la danse.
Le plus de jokes de marde possible.
Pimant Fort.
Je ne sais pas trop.
Tes parents t'ont amené au Louvre, t'as vu la jacquante, t'as fait « Ah! Ramenez-moi un bras à toi, intestin! »
Je m'en suis normalement.
Je ne me suis pas enligné là-dedans pantoute.
C'est quoi que tu voulais faire quand t'étais petit?
Quand j'étais petit?
Je sais pas ce que je voulais faire.
Mettons, ado.
C'est quoi la première job, tu te rappelles,
que tu voulais faire?
J'aurais voulu être, mettons, musicien.
J'aurais voulu être DJ.
OK.
T'as-tu du talent musical?
Hum. Mais il a été DJ, là. Il a un nom de DJ. Ok. As-tu du talent musical? Hum.
Mais il a été DJ, là.
Il a un nom de DJ, là.
Il a été DJ quand même. Oui, je suis capable d'être DJ l'année passée à notre
partie du centième épisode.
Il était DJ pour le parc.
C'était moi le DJ de l'événement, de l'after.
Puis, tu as été un vrai DJ, là.
Pas un DJ ridicule.
Je dirais entre les deux.
Ok.
Mettons, j'ai fait 3-4 événements
dans un bar. Dis le nom DJ.
Ah non! Mon nom de DJ,
c'était DJ Dina.
D-I-N-A.
J'ai aucune idée de l'origine de ce nom-là,
mais c'est Dina pour dinner.
C'est vraiment dit de façon
slang.
C'est un hit.
Je pense que c'était un inside avec mes amis, je ne me rappelle pas trop. J'aurais aimé ça faire ça. Des fois, j'est un hit. Je pense que c'était un inside avec mes amis.
Je ne me rappelle pas trop.
J'aurais aimé ça faire ça. Des fois, j'y repense encore.
À changer et être DJ?
De genre, mettons, du tout au tout,
je me mets un masque, comme les DJs
qui ont des masques.
Je fais le tour du monde et je suis un DJ en tournée.
Tu aurais l'air folle.
Tu serais tout seul pour faire nos shows.
Je pense qu'il doit y avoir quelques DJs qui ne sont pas internationaux t'aurais l'air folle tu serais toute seule pour faire nos shows oui mais je pense
qu'il doit y avoir
quelques DJ
qui sont pas internationaux
pis qui mixent
pour les parties
de leur grand-mère aussi
avec des masques
non mais c'est pas
automatique
parce que tu vas être DJ
tu vas être international
mais je serais bon
un DJ
quand tu mets un masque
tu joues
mettons
dans un stade ou un arena il y a de quoi d'autreque, tu joues, mettons, dans un stade
ou un aréna.
Il y a de quoi d'autre, mais quand tu joues
dans un
sous-sol que t'es payé
80 piastres,
que t'es comme, bon, ben...
Alright, t'as ton gros
banc, le pays se plaît,
pis c'est le temps d'une dinde, dinde,
dinde.
C'est un DJ de fête d'enfants
dehors, son masque,
c'est le midi,
il est pas international du tout.
Mais je suis sûr que le part qui met des masques,
ça doit avoir commencé à se dire que j'ai honte.
Je veux pas que ce monde-là
me reconnaisse à l'épicerie la semaine prochaine.
Faut que je mette un masque,
là ça pogne, puis ils font
« Ah, carré, personne ne va me reconnaître. »
Mais en même temps, c'est pas si mal
d'être connu, mais d'être pas reconnu.
Moi, là, tu sais,
pendant la COVID, là, tu sais,
la COVID a été horrible pour tout le monde,
mais en tant que
quelqu'un de connu au Québec,
porter un masque à l'épicerie,
j'aimais tellement ça.
Ça t'a donné le goût? C'était quoi ton masque?
C'était...
Un gros masque de Batman.
Non, mais...
C'est un masque bleu.
Ton masque avec le mix rouge.
Le masque des Oliviers.
J'aimais ça.
Mais c'est vrai que les gens te reconnaissaient moins.
Personne ne me reconnaissait. Ah non dirait que t'es tellement reconnaissant.
Personne me reconnaissait.
Ah non?
Non, personne me reconnaissait.
Fait que j'étais heureux, tu sais.
Je pouvais aller gosser dans les magasins
longtemps sans me faire fixer.
Moi, je pense que je reconnais trop les faces
que même un masque, on dirait que je reconnaisais tes yeux.
Ah oui?
T'imagines pas, me semble?
Mais moi, ça me fait tout le temps ça
quand j'écoute une émission genre
Dominique Paquet qui va faire des gags, il y a des lunettes
le monde va comme
je suis comme
je suis comme
sincèrement il y a un chapeau
pis une fausse moussache, il a l'air en vacances
il a pas l'air de quelqu'un d'autre
un dumb pack
tous ses costumes on dirait
c'est juste lui qui a oublié d'aller se faire
couper les cheveux
c'est juste les cheveuxblié d'aller se faire couper les cheveux.
C'est juste les cheveux un peu plus longs, mal prégnés.
Une grande couette, là, tu sais.
Mais je le reconnais, là, quand même.
J'ai une question, Mike. Tes lunettes, ont-tu été là sur la table tout le long?
Oui. C'est pas mes lunettes.
C'est ça. Non, non.
Pourquoi? J'ai les amenées.
Parce qu'ils étaient ici.
Je suis embarrassé parce qu'au début, je t'ai demandé
si tu portes des lunettes des fois, puis s'ils étaient là tout le long. Oui, il était là. Fait que t'as eu de l'air d'un crise. Oui,'il était ici. Parce que je suis embarrassé parce qu'au début, je t'ai demandé, tu portes-tu des lunettes des fois?
Il était là tout le long.
Oui, il était là. Fait que tu as eu de l'air d'un crise.
Mais tu as aussi
travaillé chez Réseau Contact.
Oui. Oh, wow!
Qu'est-ce que tu faisais à Réseau Contact?
Il blurait. Non, je ne blurais rien.
Tu blurais des parties génitales?
Non, je zoomais dessus.
Ok.
Non, mais c'est vrai que... Il y avait du monde.
Tu sais, réseau contact,
fait que dans leurs photos,
ils étaient comme,
on va mettre ça,
on va mettre ça,
des belles boules,
on va mettre mes boules,
on va...
Fait que là, toi,
t'étais juste comme,
ils sont pas si belles que ça, Manon.
Puis, tu blurais les mamelons,
puis tu blurais les queues.
On blurait pas,
mais des fois,
on recadrait, mettons.
Comment tu fais recadrer
une queue?
Tu laisses juste
le pubis ici. T'enlèves tout ça,
imagine. C'est juste ça, mais tu l'enlèves
à l'église. Mais mettons la photo du gars, ton collègue,
tantôt, que tu disais, je l'aurais recadré.
Tu le cadres ici? Ouais, juste qu'on voit
la face, puis juste le gland.
Mettons, juste comme ça.
Pas le shaft au complet.
Tu veux juste la tête.
Juste la tête.
Le petit cap.
Pour vrai, il fallait que tu enlèves la photo au complet.
Oui, il fallait que j'approuve
ou que je délite les photos.
Mais je comprends des fois qu'il y avait du monde
qu'il y a des sites où c'est plus
axé sexe, où tu peux mettre un peu toutes les sortes de photos.
C'était pas Québécois
qui avait ça.
Mais Sam,
t'applaudes pas ta queue
à TVA Nouvelles.
Garde-toi une petite joint.
C'est toi qui es...
Mais non, je suis d'accord.
Je trouve que même que ce soit Sam
qui était le gardien de ça, moi...
Tu sais, quand tu vois une grosse entreprise, c'est comme, c'est lui qui décide si la queue, elle passe ou pas.
Le système est bien bizarre.
Parce que tu imagines que c'est pas un humain qui check ça, que c'est comme un ordi, que c'est un AI, tu sais, que c'est juste...
Je sais pas si les gens savaient que c'est vraiment quelqu'un qui est obligé de faire...
Moi, j'étais sur Microsoft Paint en train de recadrer
la photo.
Je me sentais beaucoup investi.
C'était un peu trop investi
pour mon confort.
Ça payait-tu bien?
Non, c'était du bénévolat.
Il voulait que tu rendes
des photos de pénis.
Non, non, c'était un salaire correct,
mais pas incroyable.
Je me rappelle pas.
J'étais dans la bureaucratie.
Mon salaire augmentait chaque année.
Je sais que c'est flou.
Fait que là, on sait pas si tu gagnais...
Imagine si 300 000 par année.
J'gagnais...
J'gagnais 700 000 par année.
Bureaucratie, tu sais.
Genre TVA a été obligé de clairer des employés.
Sam, il a tout bouffé l'argent.
Non, mais ça devait être, je ne sais pas, 40 000.
Mais sûrement, pas 40 piastres de l'heure, Carlis.
Mais 40 000 par année?
Ah, oui, peut-être.
OK.
Peut-être qu'à la fin, oui, non, je ne pense pas que j'ai…
J'ai aucune idée.
Peut-être qu'à la fin, j'ai rendu à 50 000, je ne sais pas.
50 000?
Mais j'ai travaillé là six ans de temps.
J'étais un employé important.
C'est sûr que ce n'est pas 50 000.
OK, 45 000.
42?
Moi, je pense que ça devait...
Je vivais au jour le jour.
Moi, je pense que ça devait 16 000 par année.
Tu dormais dans une tente.
Tu allais t'attendre en ligne
pour avoir ta petite boîte de bouffe.
Oh my God! J'allais t'attendre en ligne De travers ta petite boîte de bouffe On va On va aller avec une autre question
Elle était vraiment bonne
Oui absolument
Prochaine question c'est
Pour toi
Pour Marianne en fait
Tu es passé récemment au podcast
D'Alexandre Barrette
C'est Nel qui se demandait comment ça a été cette expérience Parce qu'on sait que le podcast D'Alexandre Barrette, c'est Nel qui se demandait comment ça a été cette expérience-là.
On sait que le podcast d'Alexandre
peut être lourd. On raconte des affaires.
Ça, c'est son podcast.
Tu parles de ton ex.
Tout le monde parlait de leur ex.
Pas juste moi.
J'arrive, je commande mon ex.
Tout le monde parle de relations.
Mais non, c'était le fun parce qu'il n'est pas
lourd comme personne. Un peu comme nous,
quand on fait le podcast, on parle de complexe.
En théorie, ça pourrait être lourd, mais finalement...
Ça a l'air intime. Ça braille à son podcast.
Ah oui? Non? Toi, t'as-tu braillé?
Non, j'ai pas pleuré. Non, non.
C'est intime, mais comme nous, c'est intime,
mais c'est pas nécessairement lourd.
Oui, mais lui, les lumières sont amusées.
OK.
Tu veux que je braille là?
Non, mais oui, j'ai bien aimé
mon expérience à ce podcast.
C'était bien le fun.
C'est où qu'il tourne?
Il tourne dans une maison à Terrebonne.
Mais semble Alex,
il vit soit Montréal,
mais le sud de l'île ou la rive sud.
Qu'est-ce qu'il crée,
sa Terrebonne? C'est-tu un sous-sol? Oui, ça a l'île ou la rive sud, qu'est-ce qui crée sa terre bonne?
C'est-tu un sous-sol?
Oui, ça a l'air vraiment bizarre.
C'est comme le garage.
Y'avait-tu un deal de drogue pendant le podcast?
Tout le monde avait des très gros bracelets.
C'était Louis Tellier qui arrive avec des sacs de poudre.
Oui.
Non, non, mais c'est dans le genre de...
C'est vraiment dans le cabanon garage en arrière de la maison.
C'est vrai que quand t'arrives là-bas...
Mais c'est la maison de qui?
C'est la maison de...
Je ne sais pas si...
Il s'appelle Éric Huard.
Éric Huard, oui, c'est ça.
Qui est comme l'assistant à Alexandre
et qui est le réalisateur des podcasts qu'il a là-bas.
Ils ont créé un studio là-bas
et ils font plein de podcasts dans le genre de garage.
J'aime ça que Marlène a hésité à dire le nom,
mais Chuck, nom complet.
Il fait son podcast dans le cabanon de son assistant'aime ça que Marlène a hésité à dire le nom, mais Chuck, non complet. Il fait son podcast
dans le cabanon de son assistant.
Mais c'est pas son assistant.
C'est un arnaque que le showbiz y est brisé
au Québec.
Oui, ça va très mal. Non, non, mais je pense
qu'ils ont construit le studio ensemble
là-bas, puis là, ils voulaient...
Je ne pourrais pas te dire, mais c'est ça.
C'est-tu weird quand t'arrives...
As-tu fait le podcast à Jay Dutant?
Non. T'sais, Jay, il avait
construit un astide beau studio
à côté de sa maison à lui,
pas à son assistant, mais
sa maison à lui,
il y avait comme une vieille grange,
pis il a transformé la grange
en gym et studio
de podcast, pis c'est vraiment,
vraiment beau, pis c'est vraiment, vraiment beau.
Puis c'est le fun.
Mais je comprends pas Terrebonne-Cabane, non.
Mais c'est un peu le même style, là.
Tu sais, c'est comme, c'est grand, là.
C'est un beau studio.
C'est juste que c'est vrai que t'arrives comme dans une maison.
Puis là, t'as l'impression que t'es pas à la bonne place, là.
Tu sais, mais moi, ça m'arrête pas.
Je rentre.
Je rentre pas trop.
Mais si je rentre dans la maison.
Ça prend combien de temps de chez vous à Terrebonne en vélo?
C'est sûr que c'est moins long que ta run à Miami.
Oui, c'est six heures, mais ça se fait bien.
Ça se faisait bien.
J'avais mes gros crocs et mes lèvres pendantes.
C'est ça.
C'est beaucoup de contenu pour cette question-là.
Autre question.
Oui, absolument.
beaucoup de contenu pour cette question-là.
Fait qu'autre question.
Oui, oui, absolument. Pour Sam,
dans ton livre lamentable,
tu fais allusion au bar Don Lynn. Y'a-t-il d'autres
anecdotes racontables concernant
ce bar mythique de
Paspébiac?
C'est quoi le nom du bar?
Don Lynn.
Pour Donald et Lynn.
Ok.
C'est vrai, vrai, vrai.
Ouais.
C'était comme...
T'as-tu déjà été?
Oui.
Mais je suis allé dans la ville,
mais pas dans le bar.
Ah, OK.
C'est un bar,
Downtown Paspébiac,
en Gaspésie.
Puis c'est comme le seul bar
de la baie des chaleurs
qui était ouvert.
Je pense que c'était le samedi soir,
la grosse soirée, mettons. C'était le samedi soir, la grosse soirée,
mettons.
C'était le seul bar
qui attirait une clientèle
un peu jeune.
Je ne sais pas
si c'est encore ouvert,
je pense que non.
Mais dans mon livre
qui est romancé,
je pense que ça dit
que des fois,
il y avait des mineurs
qui allaient là.
C'est impossible,
en Gaspésie,
dans un bar.
Chez qui,
tu as dit déjà?
Dun Lin, c'est qui? T'as dit déjà Dunlin?
C'est qui? Dunlin.
Mais je connais pas les propriétaires.
Ça s'appelait Donald et Lynn.
Sont-ils mineurs, eux autres? Je pense pas.
Donald et Lynn?
Non.
As-tu pensé, quand t'as écrit,
as-tu fait, change-tu le nom?
Absolument.
C'est à ça que tu penses en ce moment?
Moi, je suis terrorisé de me faire poursuivre pour quoi que ce soit.
Là, on va apprendre que ça s'appelle
Rich Man pour Richard et Manon.
Rich Man!
Rich Man!
Est-ce que tu peux vraiment moins te faire poursuivre
si tu appelles ça Rich Man?
Même si on comprend que c'est là.
Si tu changes le nom, je pense que oui.
Oui? Je suis pas un mec, je pense que t'es le spécialiste
des poursuites, si jamais tu veux nous aider.
Moi, j'avais, dans le temps
que je faisais l'école de l'humour,
j'avais un numéro sur Jojo Savard,
puis
je l'avais écrit avec
François Avoir, qui était notre prof d'écriture,
puis j'avais eu Louise
qui m'avait dit
« Pourrais-tu changer son nom
et dire un autre nom? »
Puis moi, j'ai tout le temps
haï ça. Mettons, dans le temps,
je suis de la génération qui a RBO,
ils ne faisaient pas des jokes sur Jean Coutu,
ils faisaient des jokes sur Jean Couteux.
J'étais comme
« Fuck you, là! Assume,
Carlisle! » Ça fait comme dire un sacre, assume, Carlisle.
Ça fait comme dire un sacre, genre sacre à mouille.
Sacre à mouille, dans Cornemuse, ils disaient ça.
Mais vois-tu, avec les dix ans que j'ai vécu en cours,
j'aurais dû faire des jokes sur le petit Richard.
Le petit Rich Mom.
Le petit Rich Mom. Le petit Dave.
Le petit Dave.
On apprend.
On apprend de nos erreurs.
Je n'ai pas d'autres anecdotes à raconter sur ce bord-là,
mais c'était vraiment le hot spot
où on pouvait aller pour danser
sur du hip-hop.
Tu es parti à quel âge de la Gaspésie? 18. où est-ce qu'on pouvait aller pour danser sur du hip-hop. OK.
Tu es parti à quel âge de la Gaspésie?
18.
OK.
Oui, oui, après le cégep.
À quel âge je suis parti, Mike?
Non, je ne sais pas.
Non, mais après le cégep.
Je devais avoir ça, 18, 19.
Il était sorti au Dunlin avant.
Oui.
Mais je ne pense pas que je n'ai jamais rentré là en tant que mineur.
J'aurais explosé. OK. Juste la dernière année. Mais c'était littéralement, je n'ai jamais rentré là en tant que mineur. J'aurais explosé.
OK.
Juste la dernière année.
Mais c'était littéralement,
tu n'avais même pas besoin d'avoir une fausse carte
dans mon roman.
C'est vraiment juste,
tu montrais ta carte,
c'était écrit,
j'ai 16 ans,
puis parfait, tu rentres.
Et boy!
Mais il y a toujours
beaucoup de barres
quand c'est comme ça.
Oui, mais il y avait...
Non, mais j'ai fermé.
À Québec, il y avait
tellement de barres de même que...
Ah oui?
Oui, oui.
Moi, en plus, j'avais un baby face.
Fait que moi, à 25 ans, j'avais l'air d'avoir 11.
Fait que quand j'avais 16-17 ans, j'allais dans les barres,
mais il y en avait 3-4 que c'était juste du monde
qui avait l'air de moi et des pédophiles.
Un beau bar.
Ça donne le goût.
Bon, Chuck,
autre question.
Il y a combien de questions?
As-tu envie de pipi?
Oui, mais on peut
faire d'autres questions.
Non, mais tu peux aller
pisser si tu veux
en autant que la question
ce n'est pas pour elle.
En fait,
les prochaines questions
c'est toutes par rapport
à tout le monde
qui s'est aidé.
Donc, c'est pour vous.
Dans le fond...
Je vais être gros.
Il s'en a commencé
à répondre.
OK, parfait.
Pose la question.
Tu vas entendre sa réponse.
Les toilettes, il y a des speakers.
Là, tu vas être comme,
« Ta marde, j'avais pas dit ça. »
En fait, c'est des questions complémentaires.
Il y a Stéphane et Marc
qui posent un peu la même question,
mais je trouve intéressant
de tout le monde, ça y est,
évidemment, votre podcast,
votre épisode le plus marquant, si vous en avez un,
si tu en as un en tête, si vous en avez un en tête,
et aussi l'invité qui vous a
particulièrement le plus marqué
ou la plus marquée en tant qu'elle pour
ses interventions, tout ça.
Il y en a une récemment,
Marina Bastarache est venue à notre podcast.
Je trouvais qu'elle était très généreuse de ce qu'elle nous racontait.
Si les pets de noun, ça vous intéresse.
Elle en a parlé.
C'est beaucoup d'histoires de pets de noun.
Elle en avait une, je pense.
Je suis toujours ému quand il y a des invités
qui s'ouvrent à ce point là
qui viennent
c'est vraiment généreux
de nous offrir ce clip
des fois, mettons
quand tu dis ça, tu fais comme
dans ta tête
tout le long, tu es comme, merci, c'est généreux
mais dans le fond de ta tête, tu es comme
à quoi tu penses? non mais c'était drôle hey, merci, c'est généreux. Mais dans le fond de ta tête, t'es comme, à quoi tu penses?
Non, mais c'était
drôle. Puis, Marilène,
elle est pas là, mais je pense qu'elle aussi, elle disait qu'elle a des pêtes
de nounes.
Ouais, tout le monde.
Non, mais j'écoutais ce qu'il disait, mais je trouve que
les gens, ils vont plus nous confier des affaires
si à chaque fois, on utilise la pire chose
qu'ils ont dit. Puis, on est comme, ah oui,
elle a dit les pêtes de nounes, pas de comptet.
Oui, mais le monde du Patreon n'est pas de la question.
Ça, vous devez le vivre là.
La beauté d'un podcast, c'est quand il est nouveau.
Puis là, vous autres, vous n'êtes plus nouveau.
La première année, le monde s'ouvre, vu qu'ils font,
on s'en calme, c'est une petite affaire, personne ne va voir ça.
Puis là, quand ils réalisent, oh, la marde, OK.
Si il gagne un Olivier, quand je suisisent, « Oh, dans le monde, OK, à Sigan, il y a un Olivier. »
Quand je suis allé, le monde m'en parle.
Fait que là, la deuxième fois que le monde va,
ils doivent être bien plus...
Tu sais, la prochaine fois qu'elle va venir,
elle va faire, « Moi, j'ai honte de...
Mes mollets sont bizarres. »
Mais nous, à date, on n'a pas réinvité...
Personne?
Non, on essaie tout le temps
d'avoir des nouvelles personnes
ils reviennent juste
quand il y a des lives
mettons
pour les épisodes live
puis là ils racontent
d'autres choses
mais moi aussi
je pensais que les gens
à un moment donné
allaient dire
mais non
le monde
il raconte des affaires
mais c'est vrai que là
des fois il y a genre
je sais pas
le monde de stars
ou des affaires de même
qui reprennent des phrases
puis là c'est moins
moi ça ça fait chier
ça fait un peu chier
parce que là
c'est des affaires
vraiment précises de comme surtout que quand on se confie mettons ça, ça fait chier. Ça fait un peu chier parce que là, c'est des affaires vraiment précises
de comme...
Surtout que
quand on se confie,
mettons, ça fait ça aussi
au podcast,
mais quand, mettons,
on dit de quoi,
puis là, tu veux comme
aider l'autre
pour pas qu'il soit seul,
fait que tu lui donnes
de quoi toi aussi,
de personnel,
puis là, finalement,
ça se retourne un peu
contre toi, genre...
Ben, Éric Bernier,
quand il est venu
au podcast,
il parlait qu'il sentait
les serviettes du monde
quand il allait...
Ben, tabarnak!
Quand tu vas chez le monde,
mettons, avant de te laver les mains,
tu sniffes.
Non, je fais plus ça.
Je faisais ça quand j'étais tout petit.
Ah, c'est vraiment moins bizarre.
Non, mais je sais pas
que j'arrive dans une salle de bain chez quelqu'un
pis je me mets au travail.
C'est juste que des fois, dans une salle de bain chez quelqu'un puis je me mets au travail. C'est juste que des fois,
tu as 12 ans,
tu es chez ton ami, whatever.
Tu n'avais pas 12 ans, tu avais 26.
La vérité, dans cette histoire-là.
Tu as quel âge?
Peu importe.
C'était l'été passé.
Peu importe.
Tu arrives à la salle de bain dans une maison
où il y a plusieurs membres d'une famille
puis il y a plusieurs serviettes. tu sais, puis c'est comme…
Tu ne te mets pas le nez dedans, mais tu es comme « Christ, ça, c'est la serviette du père,
puis elle n'est pas lavée, là. »
Moi, c'est ça que j'haïs.
Ça sent fort.
Ça sent fort!
Mais quand tu vas dans un party chez quelqu'un, puis tu vas à la toilette,
puis ils n'ont pas planifié qu'il y allait y avoir du monde,
puis là, tu regardes autour, puis il y a 700 serviettes, puis elles sont toutes
grosses, puis il y en met une pour tes mains,
mais à quelque part que tu vois
qu'elle ne sert jamais. Crise tes
serviettes-là ailleurs,
ce soir-là, tabarnak, laisse-moi
pas me laver les mains sur la poche
à ton père.
C'est exactement ça. C'est exactement ça
que je pensais. Mais moi, je ne sniffe
pas. Sais-tu pourquoi je sniffe pas?
Parce que moi, je me dis, je veux pas
toucher la poche à son père.
Toi, la poche à son père touche
ton nez.
C'est bien mieux, c'est bien mieux.
C'est comme, oh, dégueulasse,
je mettrais pas ça sur mes mains.
Non.
C'est vraiment moins dégueulasse.
Il reste combien de questions?
En fait, j'en aurais une qui pourrait vraiment bien conclure.
Encore une fois,
sur Tout le monde,
quel est l'impact majeur que vous avez observé
depuis les dernières années, depuis que vous avez
lancé Tout le monde, ça y est,
parce que ça a l'air de vraiment beaucoup marquer les gens.
Donc, voilà.
Le podcast, ça a changé nos carrières.
Non, vraiment.
Ça a vraiment changé ça.
Mais moi, je dirais aussi que je pense
qu'il y a plein de monde qui commence leur carrière
en faisant des affaires genre piment fort ou whatever.
Non, mais des affaires qui sont pas nécessairement
proches de leur style
du monde.
J'aime que tes références
sont actuelles.
Tu sais,
ça commence.
Non, j'essaie de te rejoindre.
J'essaie de te rejoindre.
Non, mais qui font
des affaires
qui sont pas...
Ça fait le festival
de la comédie
à Radio AM.
Fait que là,
on dirait que nous,
on a comme été chanceux
de commencer
en faisant quelque chose qui nous ressemble et qui ressemble à l'humour qu'on fait. Fait que quand le monde ils viennent nous voir, on a été chanceux de commencer en faisant quelque chose qui nous ressemble,
qui ressemble à l'humour qu'on fait.
Fait que quand le monde, ils viennent nous voir,
ils s'attendent à ça, tu sais.
Ah, ça, c'est une bonne réponse.
Moi, j'avais ça, tu sais, parce que, tu sais,
toi, tu disais que t'aimais Piment Fort.
Moi, Piment Fort, c'est l'astie que j'haïssais ça.
Je l'ai fait comme trois, quatre fois
en début de carrière.
Trois, quatre fois seulement?
Oui.
On dirait que c'est le visage de Piment Fort.
Oui, mais eux autres m'aimaient pas, pis moi, j'aimais pas ça aller là. trois quatre fois seulement oui on dirait que c'est le visage depuis mon enfant oui mais
c'était marquant
eux autres m'aimaient pas
pis moi j'aimais pas ça
aller là
fait que là
j'y allais
j'aimais pas ça
parce que
moi je faisais de l'humour
que souvent
je bitchais le monde
mais j'essayais de trouver
une façon
drôle
pis eux autres
c'est juste
c'est des bitcheries
genre le loup il pue
Ginette Renaud elle est grosse pis c'était tout c'était tout leicheries genre le loup il pue Ginette Renaud
elle est grosse
c'était tout
c'était tout le temps
j'aimais pas ça
puis il y avait
Pierre Légarin
un moment donné
qui m'avait dit
le meilleur conseil
il avait dit
regarde je vois
que t'aimes pas
les jokes là
chaque fois que t'aimes
pas la joke
crie ton carton à terre
puis improvise de quoi
fait que là moi
je faisais ça
t'as improvisé
j'ai improvisé
puis ouais puis là mais, je faisais ça. T'as improvisé. J'improvisais.
Puis là, quand je faisais des jokes que je trouvais bonnes,
le public n'aimait pas ça.
Fait que là, le dernier coup, je suis allé,
j'arrêtais pas de...
Je suis bien con, je suis bien pas habile.
Puis j'improvisais.
Puis je me trouvais bon
puis j'ai pas gagné un piment.
Mais à chaque fois que j'allais à des shows,
c'était mon monde de piment fort.
Ils étaient déçus, ils ne m'aimaient pas.
Ils ne me trouvaient pas drôle.
Vous autres, c'est ça qui est le fun.
Votre podcast, quand le monde vous aime,
ils vont vous voir en show.
Ils vous aiment vous pour vous
et pas pour des jokes
que quelqu'un d'autre a écrits.
Oui, absolument.
Même quand on va
en entrevue ou quelque chose de même,
on dirait que c'est déjà comme
on s'attend à ça un peu.
C'est comme facile.
Nos personnages ont été quand même
clairement établis.
Puis le show, comment vous l'avez monté?
Vous le commencez à deux?
Le show de tournée qui est pas le podcast.
Oui, on arrive à deux sur scène.
Oui.
On fait un peu ce qu'on faisait dans les lives.
Dans les lives, on fait une intro un peu comme toi à deux,
puis on se taquine, puis on y est.
Une intro un peu improvisée, juste comme…
Quelles sont les nouvelles du jour?
Puis, dans votre show, est-ce que vous avez en ouverture un peu d'impro ou c'est…
Oui, exactement.
Oui, c'est ça.
Je sais pas, un 5-10 minutes d'impro.
On a encore gardé ça.
On parle de mon intolérance au lactose.
Marilène s'est fait faire des ongles
acryliques. Elle les a arrachés.
Elle s'est toute gâchée.
On a tout le temps un moment d'impro au début.
Puis après ça, on a comme un
numéro écrit à deux.
Un sketch.
Mais c'est pour se présenter. Puis après ça, on a comme un numéro écrit à deux. Un sketch. Mais qui est pas, tu sais, c'est pour se présenter.
Puis après ça, moi, je fais comme mon
30-35 minutes. Sam revient,
il fait son truc, puis on refait un truc à la fin
ensemble. Puis votre
sketch, est-ce que vous jouez
vous-même dans le sketch?
Non, non, non, mais
c'est le fun, ça marche les sketchs.
Ça marche au bout, mais c'est juste souvent, moi marche, les sketchs. Ça marche au bout.
Mais c'est juste... Souvent, tu entends le mot sketch,
puis tu imagines...
Ah, Christ, là, ils ont des costumes.
Oui.
On est deux pâtissiers.
Non, mais moi, j'aimerais ça.
Mais je le sais, mais non.
Marlène n'a jamais voulu se déguiser
à l'école de l'humour.
Sauf une fois, tu étais en talons,
puis tu avais une jupe, puis un boa,
tu jouais une féministe.
Je n'étais pas... C'était juste mon kit du jour. Je n'étais en talons pis t'avais une jupe pis un boa tu jouais une féministe c'était juste mon kit du jour
j'étais pas déguisé
c'est vrai je m'étais déguisé une fois
on fait un petit sketch au début mais on est en nous même
c'est comme pour expliquer
où on s'est rencontré
pis des jokes
c'est notre dynamique mais plus placé
avec des jokes
pis là vous êtes en rodage
vous êtes où dans vous êtes en rodage.
Vous êtes où dans la période du rodage?
Début, début? Est-ce que vous êtes proche
de la fin? On est pas mal à la fin.
On a notre première
qui s'en vient dans un mois.
C'est le 4 novembre, la première médiatique.
4 novembre, quelle salle? Place des Arts,
la petite salle, la cinquième salle.
Mais c'est pas la petite salle. Non?
Non, non. C'est la moyenne.
Non, mais c'est... Oui, mais parce que quand on dit
Place des Arts, ça sonne comme si c'est
la grosse, grosse salle. Non, non, non, mais pas
3000. Mais c'est comme il y a...
Parce qu'il y en a une que moi, j'avais
faite, qu'elle est vraiment petite.
Que c'est comme 100. C'est 80.
OK. Oui, que le monde, quand ils vont
dans l'autre section, souvent, ils marchent sur scène.
Ah bon?
C'est comme, regarde-toi une petite jungle.
On ne voulait pas ça pour la première.
Du monde qui marche sur scène.
Cinquième salle, c'est comme 500 places à peu près?
Oui, à peu près.
C'est le 4 novembre.
Puis, on a à Québec le 12.
À quelle salle?
Petit Champlain.
Petit Champlain.
C'est le fun.
C'est très cool. C'est très cool.
On est vers la fin
quand même du rodage.
Là, vous êtes,
le show est placé
à peu près à 100 %.
Non, non,
c'est pas prêt.
Non?
Ça va se faire
à la dernière minute.
Les sketchs,
ça se peut
que ça saute.
Non, mais c'est pas mal prêt,
mais c'est sûr
que les trucs à deux,
c'est un peu tough
de les faire
hors de nos shows
de rodage. On n'en fait pas
un million, des shows de rodage.
C'est comme l'affaire que je trouve que
pour ma tête d'humoriste, que d'habitude, on fait
des shows, on les fait beaucoup de fois.
C'est la moindre fois que je vais avoir performé quelque chose
avant de le montrer à du monde.
Mais tout ton stand-up,
tu l'as fait un million de fois.
Oui, oui, oui. Un million, oui. J'ai compté. Pour vrai, quand même, tu l'as fait un million de fois. Oui, oui, oui. Un million, oui.
J'ai compté.
Pour vrai, quand même,
on l'a fait beaucoup.
Moi, ça me stresse moins
cette partie-là
que l'autre partie.
Oui.
Mais ce que j'aime aussi
des sketchs à deux,
c'est qu'on se connaît
tellement bien
qu'on peut...
Oui.
Non, non.
Shut the fuck up!
Y'a-tu quelqu'un
qui gosse ça ou?
Non, mais le gars, il parlait à toi.
C'est le gars des dick pics, esti.
T'imagines!
T'es comme « Ah, OK, excuse.
Je voulais parler de mon spectacle. »
Tout le long, il est comme « Esti, qui m'énerve?
Cherche une façon respectueuse, disais, de fermer sa gueule. »
« Chut! Chut! » Tout le long, il est comme, est-ce qu'il m'énerve? Je cherche une façon respectueuse, disais, de fermer sa gueule.
Oh my God!
Qu'est-ce que tu disais?
Oui, c'est le fun qu'on se connaît bien pour pouvoir décrocher,
aller improviser un peu
à travers les sketchs
et un peu se taquiner, dans le fond.
Moi, c'est la portion que je préfère.
Puis vous êtes tellement dans une belle place dans votre carrière.
Puis là, je vais sonner comme
un bonhomme.
Mais profitez-en.
C'est tellement le fun quand
t'es dans le début de ta carrière,
t'es en train de bâtir de quoi, vous allez vivre.
Ah oui, oui. Vraiment.
Tu le réalises pas jusqu'à temps que...
Tu sais, comme là, en ce moment, tu fais comme, ah si, c'est tough, mais plus vieux, ça. Vraiment. Tu ne le réalises pas jusqu'à temps que... Tu sais, comme là, en ce moment,
tu fais comme, ah, c'est tough,
mais plus vieux, ça va être plus cool.
C'est plus le fun jeune.
Ah, pour vous.
Mais c'est parce que là,
tout, tout, tout est possible.
Mais es-tu moins stressé?
Mettons que tu as une première maintenant.
Moi, à ce temps-là, je suis zéro stressé,
mais il y a plein de monde de mon âge
que ça les stresse encore plus.
Moi, c'est ça qui me stresse en début de carrière.
Quand je faisais des shows avec des vieux,
puis là, je les voyais nerveux,
puis je faisais comme,
« Oh, tabarnak, God! »
Ça fait 40 ans que tu fais ça.
Un moment donné, reviens-en.
Puis moi, tu sais, je ne suis pas nerveux.
Non, mais tu l'étais avant ou pas du tout?
J'ai été nerveux les 15 premières années.
Bon.
Ouais, ouais.
Mais tu sais,
toi, ça fait
à peu près 10 ans que tu fais ça.
Fait qu'il te reste 5 ans.
Pis dis-toi,
même si t'es stressé,
même si t'es stressé
à cause du lactose,
tu chies moins mou que lui.
Toujours, toujours.
Non, mais ça me stresse quand même, moi, une première.
J'haïs ça, j'ai envie d'inviter personne.
Puis j'aime pas bien ça, inviter du monde, du milieu.
Puis tout, ça me stresse vraiment.
Tu penses-tu que tu vas te dégonfler sur scène?
J'espère pas.
Ça serait blâme d'en avoir parlé. Non, non, non, je pense pas que je vais me dégonfler. Peut-être que moi, je vais me dégonfler. Ben, J'espère pas. Ça serait blâme d'en avoir parlé.
Non, non, non, je pense pas que je vais me dégonfler.
Peut-être que moi, je vais me dégonfler.
Ben, c'est ça. Dis pas ça.
Mais il faut que tu vois ça comme votre...
C'est votre party.
C'est l'équivalent du...
humoristiquement, du Sweet Sixteen.
Tu sais que tout le monde est là pour vous autres.
Puis après, les journalistes sont là.
Ah, mes préférés.
Non, mais...
On les invite toujours dans nos parcs.
Mais tu sais, on a un peu besoin d'eux autres.
Oui, oui.
J'avais entendu Dominique Tardif, ou Tardif, je pense qu'il dit,
mais dire dans un podcast que tout le monde dit,
« Ah, si, on s'en cordisse, les journalistes. »
Mais après, on marque
le spectacle de l'année, la presse.
Ben, c'est ça. Fait que, tu sais, on se sert
d'eux autres. Fait que... C'est utile,
c'est juste que je veux pas qu'ils aillent ça,
là, pis qu'ils trouvent que c'est de la corde, ils se demandent.
Mais ça file un peu comme le sentiment
d'un examen, en fait.
Une fin de session. Ça passe-tu
ou ça passe pas? Ouais, c'est ça. Mais c'est rare
que les premiers shows sont
trop détruits. Des fois, ils sont au fin
parce qu'ils sont comme... Ils commencent
les pauvres, on va pas les stabber
direct en partant.
La critique est plus de l'optique de
voici, c'est quoi,
qu'est-ce qu'ils promettent, eux autres?
Qu'est-ce que ça pourrait devenir?
Ça vous tente-tu de venir voir le show?
T'es-tu en train de leur offrir tous des billets
gratuits?
Ouais, ouais.
Il y en a de gérants, Mathieu, dans le fond de la salle,
elle est toute, il demandait un billet.
Mais la première est sold out, mais après d'autres...
Ah, mais on a une supplémentaire.
Le 12 avril.
Quelle date? 12 avril?
Fait qu'allez voir Mathieu, qui est
le blond en arrière
qui n'a pas de l'air à l'aise
avec un noir.
Oui, c'est ça.
C'est lui.
Merci beaucoup.
Merci d'avoir été là.
Merci, Mike.
Merci.
Bravo pour votre succès.
Bravo.
Merci, Chuck.
Merci à vous autres.
Fait qu'allez,
pour les billets,
c'est où qu'on va
pour acheter les billets?
On a un site web.
C'est sametmarilène.com.
Comme si on était deux petites animatrices de 15 jours.
Deux VJ à musique plus.
Sametmarilène.com.
Merci à vous autres.
On se voit la semaine prochaine.
Merci tout le monde. Thank you.