Mike Ward Sous Écoute - JEAN-THOMAS ET MIKE VOUS ÉCOUTENT #18
Episode Date: October 30, 2019Jean-Thomas et Mike sont en studio pour répondre à vos questions.Pour visionner "Apprendre à s'aimer", le dernier spectacle de Jean-Thomas Jobin:https://sorsavec.caAbonnez-vous à En rou...te vers-To Survivor:https://www.youtube.com/channel/UC8G3VIykbaXXQtgLDOAW6tAPour acheter des billets du nouveau spectacle NOIR:https://mikeward.ca/--------Boutique en ligne - http://sorsavec.comPatreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
Je suis présentement en tournée avec mon One Man Show noir.
Au mois de novembre, le 1er, je vais être à Saint-Bruno, le 2 à l'Assomption,
le 7 à Laval, le 8 à Valleyfield, le 9 à Saint-Jérôme.
Je suis un peu partout après ça, un peu partout à travers le Québec.
En tournée, va sur micword.ca pour des billets.
Cré, j'ai perdu ma voix.
Je fais trop de shows, trop de podcasts.
Ta barnaque, t'es en train de m'étouffer.
Bienvenue à Jean-Thomas.
Je dis jamais le...
Je dis pas le nom du show,
puis le dernier coup, j'ai dit le nom du show.
Je devrais juste partir avec bonsoir ou bonjour.
Moi, je t'ai trouvé vraiment pas professionnel.
C'est assez zéro.
C'est assez zéro.
C'est live.
Tabarnak.
T'entends pas te démissionner de ton propre podcast?
On enlève le...
Ça va être juste Jean-Thomas et quelqu'un.
Et autre.
Jean-Thomas et Pierre vous écoutent.
Ah, come on, Pierre.
Ah oui, je suis là, je suis là.
Go, go.
Ça serait fou que moi et Pierre, on réponde
à 400 questions
par des oui et des non.
Non, je ne sais pas.
Ça ne te regarde pas.
Who cares? Get out.
Ah, calisse de tabarnak.
Je viens de recevoir...
Moi, j'étais tout excité parce que je viens de m'acheter
un nouveau véhicule
que je fais modifier
parce que je suis
the rock.
Les Patrions
modifient ton char dans le fond.
Je veux devenir, tu sais, t'as parlé de ton
mépris pour Fast and the Furious.
Je suis en train de devenir
Fast and the Furious.
Mais là, les gars me disent qu'ils ont un délai
avec mon véhicule.
Et moi, de rétorquer
inacceptable, juste en
caps lock, puis avec des
traits d'union entre chaque lait.
Jean-Thomas, t'as beaucoup d'affaires devant toi.
Jean-Thomas, il a soif aujourd'hui.
J'ai mon petit jus avec un peu de vodka
dedans. J'ai des glaçons, j'ai
de l'eau. Je suis bien équipé, j'ai un
bouchon. Je vais sûrement le garacher
à terre éventuellement, ce bouchon-là.
Parfait.
Je pense que dans l'épisode précédent,
je ne sais pas trop, corrige-moi, mais j'ai été assez
tête par rapport à ma proximité du micro.
C'est impeccable. C'est juste que physiquement,
des fois, tu t'écrases. Je m'écrase,
mais j'ai des problèmes de posture dans la vie.
J'enquilos du dos.
J'ai vu une affaire qui vende
pour la posture.
Je n'ai pas assez proche de l'acheter.
Ça m'a vraiment déçu que je regardais ça
et que j'ai fait « C'est pas fou, ça. »
C'est une affaire que tu te mets dans le dos
et tu le connectes
à ton téléphone.
Chaque fois que tu es penché de même,
ça vibre un peu.
Pour te garder de même
puis après l'application ça te dit
t'as eu une belle posture 82% de la journée
je sais c'est quoi j'ai un ami qui l'a dit
astuce c'est
mais j'ai pas assez proche
ben moi en fait
j'ai tellement un réflexe de m'écraser
que je pense que ça m'aiderait
j'essaie de me redresser
toi en plus t' as une belle possu.
Moi, je suis bossu et je suis le gars
qui fait « On s'en fout! »
Pas besoin.
Tu es bossu?
Je suis bossu un peu.
Plus ça va, plus je suis bossu.
Là, ça ne paraît pas.
Tu n'es pas bossu.
Je suis courbé.
Tu es difforme.
Oui.
Chaque fois que je marche, le monde pense
que j'ai du vent dans le dos.
Ils font... Il est en train de tomber,
ce petit monsieur-là.
Tu mesures combien? J'en suis en 5,9.
Je mesurais 5,11.
Je suis rendu à 5,6.
Non, mais...
Je suis 5,9.
T'es 5,9? Oui, oui.
5,9. Moi, je suis 5, 9? Oui, oui. 5 et 9.
Moi, je suis 5 et 11.
Brag.
Oui, je mesure 5 et 6.
Pour vrai?
Bien oui, pour vrai.
Aucun respect, moi, pour cette grandeur-là.
Toi, en bas, tu es 5 et 7.
Mais mon père mesurait 5 et 4, fait que... Ah oui, c'est vrai, ton père était petit.
Très petit, monsieur.
Mais tellement de prestance qu'il paraissait géant.
Sa mère, 6 pieds 7.
Oui, c'est ça. Ta mère était grande.
Ma mère était interminable.
La photo de mariage,
il a fallu qu'ils inversent leur linge.
Ma mère était 5 pieds 3,
ma soeur 5 pieds 2.
Tes oncles, en plus,
du côté de ton père,
sont tous relativement petits. Ils sont 5 pieds 4-5. Oui, en plus, tu sais, du côté de ton père, sont tous relativement petits.
Ils sont 5 et 4, 5.
Oui, mon...
5 et 7, 6.
OK, OK.
Ils sont plus grands
que je pensais.
Mais du côté de ma mère,
ses frères étaient grands.
Ils sont encore grands.
Ils mesurent des 6 pieds.
C'est pour ça que t'as...
C'est ça.
Moi, vois-tu,
du côté de mon père,
ils sont super grands.
Ma grand-mère,
du côté de mon père, grand-mère paternelle,
elle mesurait 6 pieds.
Pour vrai? Oui. Elle est née en 1890.
Tu sais que dans le temps,
un géant homme
mesurait 5 pieds 7.
Mais mon grand-père
mesurait, je pense, 5 et 2
ou 5 et 3.
Il était petit en crise.
Moi, c'est pour ça.
Je t'arrête d'emmarquer que tu as un petit Jacques Languéran sur un sourcil.
Ah, qui descend?
Il est un peu rebelle. Il est blanc.
Il est plus long que les autres.
Comme Languéran avait des sourcils interminables,
c'est comme si
tu as la version proportionnelle
d'un Languéran, mais qui reste petite.
On le voit vraiment énormément.
Je suis un peu comme Jacques Languiran.
Je suis content que je n'ai pas d'enfant, sinon
il y a de la snatch qui se ferait manger.
Lui, il mangeait la nounne à sa fille.
Je ne sais pas.
Je ne me rappelle pas de l'histoire.
C'est un grand homme, pareil.
Je ne me rappelle pas de l'histoire.
Je me rappelle qu'il y a eu un truc un peu louche sur lui.
Un peu louche?
Un peu louche?
C'est quoi qu'il faut faire pour que ça devienne vraiment louche?
Je ne me rappelle pas du contenu de l'histoire.
C'est pour ça que je dis que je m'en...
Mais je me rappelle que c'était de cet ordre-là de trucs pas chic-chic.
Je ne me rappelle pas.
Moyen chic.
Ça avait sorti...
Il était encore vivant.
Oui.
Il était assez malade.
Il était placé.
Oui, il était Alzheimer à la fin.
OK, c'était tellement mêlé.
Il ne s'appelait pas comme un coupus des sourcils.
Ce n'est pas les déclins corrects.
Mais tu sais,
en même temps, tu ris d'un pédophile
qui a abusé son enfant.
Puis tu te sens mal.
Moi, c'est ça. J'ai trop d'empathie.
C'est ça qui arrive.
Le cœur, c'est la main, cet homme trop d'empathie. C'est ça qui arrive. Le cœur, c'est à la main, cet homme-là.
Mais moi, j'ai hâte que l'anguérin...
C'est que sa fille
était une lesbienne.
Plus tard, pas à l'époque qu'elle se faisait manger à Noun,
vu qu'elle avait juste 7 ans,
donc elle n'avait pas d'orientation encore.
Mais elle savait juste qu'elle n'aimait pas
les vieux messieurs avec des...
Des sourcils qui chatouillent son bas du ventre et sa face.
C'était le seul gars qui te mangeait un an.
Est-ce que ça te chatouillait dans le bras?
Mais oui, c'est ça.
C'est la blonde. parce que sa fille elle est morte
pis quand sa fille est morte, là la blonde
de sa fille a sorti un livre
pis il y avait du monde qui disait ça se peut pas
blablabla, mais tu sais en même temps
Chris est décédé jeune quand même
est décédé
je pense du cancer
tu sais je réponds ça là, j'ai aucune idée
mais c'est cause naturelle mais mais ça ne me semble pas un suicide.
Mais c'est jeune.
Relativement jeune.
Jacques Languéran avait comme 90.
Peut-être que sa fille avait 69.
Quelqu'un qui m'a obstiné,
je l'ai remis à sa place.
Non, je ne l'ai pas remis à sa place.
Je vais juste préciser.
Dans un de vos écoutes, je ne l'ai pas remis à sa place. Je vais juste préciser, dans un « Vous écoutes »,
je parlais que Kirk Douglas
avait quasiment 103 ans.
Puis elle me dit,
c'était cool ce bout-là, mais il est mort
l'an passé. Je dis, il me semble que non.
Je suis allé voir, je dis, ben non.
Kirk Douglas n'est pas mort.
Elle a fait, pardon.
Ça a été une grosse idée.
En plus, corriger quelqu'un sur un podcast,
c'est tellement facile.
Parce que là, vois-tu, moi, je parle de la blonde
ou de la femme de la fille à Jacques Languéran.
Mais tu sais, je n'ai pas checké sur Internet.
Je fais juste, oui, mais semble que, mais semble que.
Mais le monde qui ne sont pas trop sûrs
peuvent juste cliquer suppose, tu google,
ou même sans cliquer suppose
c'est bon ça ouvrir une autre fenêtre je trouve ça vraiment bon bien on est
impressionné tu es moderne tu ouvres une autre fenêtre j'ai jamais essayé ça
tu ouvres une autre fenêtre ça a l'air cool ouvrir une autre fenêtre ben écoute je fais ça constamment
tu ouvres tu dis autre fenêtre tu as ça firefox de temps? Moi, c'est que des fenêtres ouvertes.
D'ailleurs, j'ai une anecdote de fenêtres ouvertes.
Moi, j'ai un sens d'humour d'un enfant
d'un enfant de 4 ans
qui vivait à une époque
que des jokes homophobes,
c'est encore acceptable.
L'autre fois,
on faisait
en route
vers Two Survivors
le show
j'allais dire c'est ton show
mais c'est notre show
mais c'est le show qu'on fait au terminal
et là Jean-Thomas
il se prépare tellement, il avait son ordi
il avait à peu près 68 fenêtres
d'ouvertes, fait que j'ai
modifié toutes les fenêtres ouvertes. J'ai modifié toutes
les fenêtres, sauf
la majeure. C'était juste
des gars qui s'enculent, des gars
qui s'ussent, des gars déguisés
en poney qui s'enculent.
C'était juste...
C'était que...
Je googlais des affaires
basic, genre
ugly gay.
C'était la vraie
cat joke de Suicide Gret.
C'est plus drôle, ça prend des lettres.
Je savais qu'il devait avoir quelque chose
de lusque parce qu'il gossait sur mon ordi
puis après ça, il a essayé de
mettre ça sur le dos. On voulait dire, je t'arrête de manger
puis ton ordi, il traîne. Je suis comme, il me semble que tu naviguais
il y a genre 15 secondes.
Quand j'ai vu tous les gay porn, je me suis dit, ah voilà
le temps bien investi de Mike
dans mon historique
j'ai beaucoup de gay porn
si mon ordi est trouvé en ce moment, je suis un consommateur régulier
de gay porn. En même temps, un historique
ça s'efface pas pire aussi
ça laisse pas des traces, tout ça
je me suis abonné avec
son email à 8 mailing list
puis des patrions de gay porn Je me suis abonné avec son email à 8 mailing list.
Puis des patrions de gay porn.
Ça, j'ai vu, il y a beaucoup de patrions de porn.
Pour vrai?
Oui, j'ai vu ça l'autre fois.
Tu t'es dit, on pourrait partir un petit sideline.
Ben oui.
Nous, on pourrait faire de la porn.
On pourrait-tu devenir des gigolos, des patrions gigolos, c'est-à-dire qu'on fait un petit peu de porn
sur le site, puis que les gens payent 60
par mois, mais on fait des affaires.
Le pire, c'est que moi, c'est un de mes rêves.
J'avais fait un numéro que j'ai fait
en rodage, puis que j'ai mis de côté à un moment donné,
puis j'avais comme trop de jokes que je trouvais qui pouvaient se ressembler.
Mais j'avais comme écrit un numéro
sur...
Ça donnerait quoi si, mettons, j'avais
carte blanche pour faire
un vidéo porn à ma sauce
absurde, puis là, je décrivais ça ressemblerait
à quoi, puis ça serait comme des affaires
complètement déconnectées, puis le gars qui...
La fille, elle se déguise en abeille,
puis après ça, il y a de la pénétration,
elle est comme super mal enlignée pendant 45
minutes, c'est super mal
filmé.
En tout cas, bref.
Un zoom-in. À un moment donné, il y a un zoom-in sur le vagin, mais interminable.
Du fond, c'est à l'intérieur du vagin.
C'est comme un trou noir pendant 6 minutes.
Zoom out. En tout cas, bref.
C'est meilleur que ça.
J'ai encore l'idée, mais j'aimerais ça
pour vrai faire
de la porn absurde, drôle.
Moi, je pense que je l'écouterais si, mettons,
il se passe des affaires déconnectées.
Je l'écouterais plus d'un point de vue humoristique.
Mais on dirait que c'est comme un...
Jouerais-tu dedans?
Peut-être pas comme performer,
mais je pourrais avoir des petits rôles.
Des petites apparitions? Des petits caméos?
Moi, c'est ce que j'aimerais.
Là, je reviens au gay porn.
J'aimerais voir le gay porn absurde
que c'est deux gars
qui trouvent ça complètement dégueulasse,
les relations sexuelles entre hommes.
Fait que c'est juste...
What am I doing?
Il a vraiment le téléphone sonne tout le temps
pis c'est la mère d'un des gars.
Ou le père d'un des gars.
T'aimes pas ça, fourré, mon fils?
C'est quoi l'affaire?
OK, je me comprends. Mais...
Non, mais ça pourrait
quand même être drôle qu'on développe un volet...
Un volet porn
au patrème.
Mais ça, moi, un affaire qui
marcherait pour vrai, là, parce que,
tu sais, moi... Toi, t'as encore une shapeait pour vrai, parce que, tu sais, toi, tu as encore une shape,
mais moi, j'ai une shape trop burlesque pour le porn.
Oui, mais ça serait bizarre.
Parce que, tu sais,
il y a eu des porn stars avec ma shape,
mais il y avait des graines longues de même.
Moi, j'ai une shape,
j'ai une graine de gars
qu'il faut que ce soit en shape.
S'il veut faire du porn.
Fait que moi, par exemple,
ce que je pourrais faire, puis je pense que ça marcherait,
c'est, si je disais au monde,
mettons,
genre des webcams live,
mettons, pour 100 piastres,
vous décidez qu'est-ce que
j'insère dans mon anus.
Ça peut être des... Mais il faut que ça soit dans la piastre.
100 piastres. Par mois? dans la pièce. 100 pièces.
Par mois?
Non, non.
100 pièces par mois puis ils ont le droit à une chose.
Puis moi, il faut que j'aille
acheter cette chose-là. Fait qu'on verrait
s'il y a du monde qui ne m'aime pas.
Ils nommeraient des affaires qui coûtent
plus cher que 100 pièces.
OK, dans ce sens-là.
Ah oui, un canif, t'as parlé.
Un canif, tu rentres de l'autre bord.
Oui, bien oui, par le manche.
Moi, c'est...
J'allais dire, moi, c'est ça que je ferais.
Non, je pense que c'est ça que tu fais.
C'est ça que tu fais.
Ça ne marcherait pas, mais
ça serait ma meilleure chance
de l'argent facile avec le porn.
Moi, jeune, j'ai essayé un tournevis.
Ah oui?
Un manche.
Pas longtemps, là.
Je n'ai jamais rien essayé de tricky avec mon...
Comment longtemps?
Attends, il faut revenir à ça.
Comment longtemps?
Botte de bière?
Ben non, ben non.
Mettons, rentrer de tout ça, mettons.
OK.
Puis là, tu le ressors après.
T'avais-tu mis un condom, tu, ou juste?
Non, non, non.
C'était-tu un des outils à ton père?
Probablement.
Ah, tabarnak, ton pauvre père.
Calisse que là, tu le voyais.
Avec un peu de brandy.
Ben oui.
Le tournevis glissait tout le temps dans ses mains.
Oui, oui.
À quel âge?
13, 14.
Parce que toi, c'était les bottins, moi, c'était les coussins de divan.
OK.
Les coins de divan.
Mais tu étais bandé un peu.
Pas un peu.
Énormément.
Énormément.
Je suis étourdi.
Assez pour être étourdi.
Énormément. Je suis étourdi.
Assez pour être étourdi.
Mais moi, je suis un... Je suis un...
Je suis un inséreur de suppositories régulièrement
dans mon anus.
Pour des raisons...
Combien de fois par... Plusieurs fois par année?
Plusieurs fois par jour.
Non, non, non, mais pas dans un mois.
Quand je suis grippé, mais dans le sens que c'est vraiment...
Fait que toi, une grippe, c'est tout de suite.
C'est ton Tylenol, genre.
Non, mais c'est un bon casse-grippe.
Puis quand j'ai la voix, puis j'ai un show le lendemain,
les néolaryngobis, c'est vraiment...
Mais ça, apparemment, c'est super dangereux.
Ils se sont rendus illégals pendant un bout de temps.
Oui, mais je pense qu'ils ont dû changer quelque chose
parce qu'ils sont devenus backorder
ou ils ont été retirés des étalages.
Puis je pense qu'ils ont changé quelque chose
d'un point de vue normes légales
canadiennes, pharmaceutiques,
je sais pas trop quoi. Ils sont revenus sur le marché.
Moi, je me suis informé, puis ça a l'air que c'est
plus dangereux. C'est plus dangereux,
mais toi, t'en rentrais quand même
60 par année à l'époque, c'est dangereux.
Je mets pas juste des lignes,
je mets des casse-grippe aussi, qui s'appellent, je pense,
des mots siméoles.
Ah, si, je pensais que t'allais dire des petites bouteilles
de Tristan. Ah oui, oui, oui, je le fais aussi.
Hein? Ah, je fais bien des affaires.
Ah oui, oui, OK. Non, non, non, mais...
Fait qu'on dirait que j'ai comme pas...
Je sais pas...
Je me lave les mains avant et après, puis je trouve pas ça dégueu.
Moi, on dirait un...
Moi, un suppositoire, là...
Tu sais, quand j'étais petit, j'avais... Ma mère, elle me rentitoire, là. Tu sais, quand j'étais
petit, j'avais... Ma mère, elle me rentrait
des suppositoires des fois quand j'étais malin.
Mais moi, l'idée de moi
me rentrer
de quoi dans le cul pour me
guérir, je fais comme...
On est en 2019.
Il doit y avoir une meilleure solution que mon anus.
Ah ouais, pour vrai, tu veux jamais de suppositoires.
Jamais, jamais, jamais.
Je vais t'en mettre un.
J'ai pris des laringobites.
Néo laringobites.
Ça, j'en ai déjà pris une fois.
Je m'étais déjà rentré.
Puis ça, je l'avais parlé dans le show.
À l'époque, Laurent Paquin m'avait parlé du truc
de la gousse d'ail dans le cul.
Mais c'était à l'école Lumont.
Puis j'avais, tu sais, quand tu perds ta voix,
apparemment, tu te rentres une gousse d'ail dans le cul.
Moi, j'avais, j'étais à l'école.
Puis à l'époque, tu sais, quand j'étais à l'école,
tous mes repas, c'était de la bouffe micro-ondes
ou des toasts ou des céréales, tu sais.
Puis là, j'avais été à l'épicerie, j'avais acheté une gousse d'ail.
Puis là, je voyais la petite grosse affaire.
Puis j'étais comme, wow.
All right, est-ce qu'on va... Je ne cachais pas que ça
se défaisait, qu'il y avait plein de petites gousses.
Puis là, je me poussais ça
sur les fesses.
Là, j'avais poussé.
Puis là, ça avait comme cassé. Puis il avait tombé.
Puis j'avais fait, ah, ouais, ça a plus
de sens.
Puis là, je m'étais rentré une gousse gossaine dans le cul, ça avait zéro marché.
Non?
Zéro, zéro, zéro.
Ça doit juste chauffer.
Même pas.
C'est qu'après, tu râles,
puis tu sens comme si t'arrives chez Amir, tu sais.
OK.
Tu sais, tu sens le...
Même pas Amir, mais plus Resto Grec.
Resto Grec, là, ouais.
Ouais, ouais.
C'est le casagrec.
Ouais, un kojak, là.
OK. Hé, casa grecque. Ouais, un kojak, là.
Hé, on a une question.
Notre début, d'habitude,
on parle pas beaucoup du sexe à Sous-Écoute.
C'est pas vraiment du sexe.
C'est plus égoseine, en effet, ça.
Mais question de Maxime Savard.
Préfériez-vous faire les 90 premiers pourcents d'une pipe ou les 10 dernières? »
Faire?
Oui.
Mettons aussi qu'il fallait que tu suces
un pénis. Est-ce que t'aimerais mieux
starter le gars ou
le finir?
C'est sûr que je ferais le premier 90%.
Je pense.
Dans le sens qu'est-ce qu'il faut que j'accueille le 10%?
J'accueille la conclusion du 10%?
C'est quand même important.
Mais tu peux te tasser.
OK, si je peux me tasser...
Est-ce que t'aimes mieux sucer un pénis
longtemps, pas de sperme,
ou pas longtemps avec du sperme?
Ça dépend. S'il n'aboutit pas dans ma bouche,
j'aime mieux le 10%.
Ça ne me tente pas que ça m'éclabousse dans la face non plus.
Sur le chest?
Oui, le 90 %,
c'est parce que la proportion est
grosse. Parce que si, mettons, le gars, il vient
en une heure et demie,
ça devient une heure
22, 8 minutes.
Mais tu ne le sais pas aussi. Peut-être que le gars
vient super vite et tu es comme « Ah, mais je suis
correct. » Puis le 10, « Pourquoi? »
Tu lui dirais qu'il te vient dans suis correct, puis le 10, tu me dirais
qu'il te vient dans la gueule.
Toi, tu choisirais quoi?
Moi, là, je sais pas pourquoi
je regardais bien. Moi, j'irais
avec la faim.
J'aime ça voir le monde heureux.
Puis, c'est moins
long. Ouais, mais donc,
il aboutit pas
dans ta bouche, donc. Non, à moi
qui vole.
Mais c'est que moi, j'aurais
pas... Moi, premièrement, je pense
pas que les 90
premières...
les 90 premiers pourcents, je pense
que je serais mauvais pour s'en un pénis.
Fait que ça serait juste trop long.
Mais la fin, tu sais, il est déjà
quasiment rendu. Fait que je pourrais arriver à faire n'importe quoi. Mais j fin, il est déjà quasiment rendu.
Je pourrais arriver à faire n'importe quoi.
J'avais déjà... Ça me fait penser à ça parce que des fois,
moi et mes amis, dans la vie, on joue à Would You Rather.
C'est un peu ça le concept.
Mais...
J'avais dit, mettons, parce que moi,
j'ai aucune notion
de bisexualité en moi.
Je suis zéro homophobe non plus.
J'ai des câlins entre gars, j'ai pas de problème. Toi, tuhobe non plus. J'ai pas des câlins entre gars.
J'ai pas de problème. Toi, tu rushes un peu,
mais moi, faire des câlins à un ami...
Non, je rush pas. Non, tu rush pas,
mais tu le dis toi-même que t'aimes pas ça
te faire toucher. Mais j'aime pas me faire toucher par des femmes
non plus. C'est pas une affaire
d'homophobie. C'est juste...
J'aime pas les contacts humains.
Mais...
Moi, j'avais déjà dit,
le « would you rather » qu'on avait fait,
c'était « mon meilleur ami dans la vie
que je connais depuis que j'ai 4 ans,
mettons que tu me dis,
tu le suces deux minutes,
tu as le droit de fermer les yeux,
ou tu le frenches à grande clarté,
les yeux ouverts à la grande langue qui se barouette un peu partout,
une demi-heure.
Je pense que je le suce deux minutes
parce que le fait que c'est mon meilleur ami,
le Frenché, les yeux ouverts,
il fait super clair.
Ça dure une demi-heure.
Je vais faire comme si c'était trop long.
Si c'est trop long, c'est trop glaçant.
Tandis que le suçage, à la limite, ça va vite.
Ça va être un tough moment à passer,
mais ça va être dans le noir, je vais avoir les yeux
fermés. Ah, ça va.
Lui, il sait-tu que c'est toi pendant qu'il te suce?
Ou il pense que c'est...
Non, en fait, c'est moi qui fais l'action
de sucer et de necker.
Mais lui, pendant qu'il se fait
sucer par toi, il sait-tu que c'est toi?
OK.
Il a-tu le droit de rire?
Il peut rire, oui.
Je ne sais pas si c'est mieux
sucer quelqu'un qui rit
ou sucer, mettons, ton meilleur ami
qui fait...
Ah non, Christ, encore pire.
Il n'a pas le droit de faire ça.
Ça fait tellement longtemps que j'attendais ça.
C'est ça.
Carlis fait semblant d'un intéressant survivor
pendant 8 saisons.
Il faudrait que je rajoute des règlements.
Mais comprends-tu le dilemme que, mettons,
de naquer quelqu'un,
les yeux ouverts,
c'est comme super intime.
Mon meilleur ami, je l'adore, mais
on dirait que je suis au sommet.
C'est comme le concept d'une prostituée.
Mettons, les prostituées,
puis je me fie
à toutes mes théories, ces prostituées,
c'est basé sur le film Pretty Woman.
Mais, tu sais,
les putes
sucent, mais ils frenchent pas.
Parce que frencher, c'est plus personnel.
C'est plus personnel, oui.
Moi, j'aimerais mieux frencher
que sucer. Pareil, là. Moi aussi, de loin. Une demi-heure, mettons. c'est plus personnel ouais mais moi j'aimerais mieux Frenchy que Sucé pareil là
un gars
un gars
une demi-heure
mettons
une demi-heure
versus deux minutes
ça rajoute pas
à ton dilemme
une demi-heure
c'est trop long
Frenchy une demi-heure
c'est ça le dilemme
c'est pour ça
Sucé 2
ou Frenchy 30
t'es un peu embêté
y'a-tu de la musique
si y'a de la musique? S'il y a de la musique...
Y'a le meilleur album de Rush.
En background.
T'sais, parce que French avec la musique,
t'as l'impression, Chris, j'ai comme 11 ans,
je revis ma jeunesse.
Parce que je trouve ça super intime, le French.
Puis le fait que ce soit mon meilleur ami,
ça rend ça...
Pour bien du monde, ça rend ça moins pire.
Ça devrait rendre ça moins pire, mais on dirait que ça rend ça pire.
En plus que je sais que lui,
il haïrait ça.
Il ne voudrait pas qu'on vive ça ensemble.
Fait que c'est ça. Moi, je pense que
j'avais conclu que ce serait plus deux minutes
dans le monde. Ça serait magique, par exemple,
qu'il, pour vrai, qu'il fasse semblant d'aimer ça.
Ah ouais, mais ça, c'est sûr que c'est génial.
Ah wow! Il était temps, Jean-Thomas.
Il était donc bien temps.
C'est...
C'est deux petites lèvres
qui enfin atteignent mon gland.
Il était grand de m'entendre
qu'on vivisse ensemble, mon beau Jean-Thomas.
J'ai l'impression qu'au bout
d'une demi-heure, il dirait, ben là,
je suis excité, fait que sousse moins.
Mais il y a un petit peu plus de vigueur. C'est une Frenchie une demi-heure, àait, ben là, je suis excité, ça sousse moins. Mais il y a un petit peu plus de vigueur.
C'est une Frenchie une demi-heure,
à un moment donné, non.
T'as-tu fini
de faire ton agace?
Ouais, c'est ça, j'ai fini.
J'ai...
T'as une autre question?
Ici, une question qui te concerne,
mais elle te concerne pas. C'est,
bonjour Mike, est-ce que tu vas inviter Marc Labrèche à sous-écoute
un jour? »
Moi, j'allais l'inviter, Marc, à sous-écoute.
Puis c'était
censé marcher.
Puis as-tu parlé, par exemple, de me frencher
30 minutes? Oui, ça, j'y ai dit
qu'à sous-écoute,
tu le susses
deux minutes ou tu le frenches 30.
Puis quelqu'un il pense
ça avait failli marcher
il y a comme une nouvelle gig TV avec son émission
où il parle de l'actualité
j'oublie le nom
en tout cas bref
je suis sûr que je peux le relancer
il y a-tu un nouveau show comme
un peu
la fin du monde
non c'est comme ils revivent une année dans l'histoire ok un peu la fin du monde.
Non, c'est comme ils revivent une année dans l'histoire.
OK.
Puis, mettons, ils vont dire
l'actualité québécoise de 1996.
Ah, Chris, ça doit être bon, ça.
Oui, c'est bon.
C'est plus...
Marc Labrèche, c'est toujours drôle parce que...
C'est plus informatif. C'est plus... Marc Labrèche, c'est toujours drôle parce que... C'est plus informatif.
C'est plus informatif et léger.
Lui, par exemple, il prend de l'information
et ça doit être malade.
Il est toujours bon de toute façon.
Peu importe.
Il serait tellement bon au podcast.
Il avait dit oui.
Toute son équipe, quand on faisait Info, Sexe, Mensonge,
ils étaient comme, oui, viens, on va venir te voir.
Il était vraiment willing
mais là il y a comme des affaires qui ont changé dans son horaire
mais je vais le relancer
ça c'est le show que toi tu réalisais?
3006 oui, des capsules
pas un faux sexe mensonge
non non moi je faisais
3006
voyons
quand c'était filmé dans des maisons
privées
moi je faisais la portion
tout ce qui était pour les sketchs
les VTR
c'est ça qui est drôle de Marc Labrèche
il y a eu tel
chaque année il y a un nouveau show
puis ils sont tout le temps bons
Marc c'est comme 3 ans son cycle
à peu près
il avait déjà dit ça en entrevue
je pense que c'est à peu près 3 ans le show qu' en entrevue. Je pense qu'il y a à peu près 3 ans.
Le show qu'il fait présentement, c'est cette année-là.
Cette année-là.
Cette année-là.
Mais j'ai-tu bien résumé le concept?
Oui, exact.
C'est à Radio-Canne ou à Télé-Québec?
Oui.
Mais Marc, c'est ça.
C'est un gars au talent inouï.
C'est un génie des arts.
Dans le sens qu'il est aussi bon comédien.
Je pense qu'il est encore plus drôle animateur et humoriste, entre guillemets, que comédien.
Il est incroyable comédien, mais il est tellement solide dans tout ce qui est humour.
Moi, il m'avait impressionné.
Pas juste lui.
Puis là, la personne que je vais nommer après lui,
ça sonne comme si je ne comprends pas Marc Labrèche,
mais Marc Labrèche et Normand Bratwait,
les deux, en entrevue, sont hallucinants.
Ils sont hallucinants.
Quand ils sont ensemble, tu veux dire?
Non, non, indépendants.
Puis moi, je me rappelle, mettons,
quand je suis arrivé,
quand je suis sorti de l'école de l'humour, puis je commençais à faire
de la télé, je voyais,
mettons, des humoristes professionnels
en entrevue qui avaient de l'air
tout crispé, puis tout
avait de l'air calculé.
Puis après, je voyais Marc Labrèche
ou Normand Bratwait juste
déliré à partir sur des
affaires. Puis là, j'étais comme, tabarnak, c'est bien
plus drôle ça que
les humoristes.
On dirait Marc Labrèche,
je me suis beaucoup inspiré de lui
en entrevue. Ça paraît pas,
vu que je suis pas bon en entrevue.
Non, je suis pas mauvais,
mais je délire pas comme Labrèche.
On dirait voir Labrèche
qui a un vrai laissé-aller.
Oui, il fait changement à Chris.
Oui, c'est ça. J'ai jamais... T'avais-tu été
voir son show qu'il avait fait au Jésus,
son one-man show? Frankenstein? Oui.
Moi, je l'ai vu trois fois. C'est ce qui m'a
donné l'idée de faire de l'humour, mais à l'époque,
j'étais à Québec, moi. Tu l'avais vu,
j'imagine, les jours au Grand Théâtre. Je pense que c'était au Grand Théâtre.
Mais je pense que c'était Octave Crémazy.
Le petit Grand Théâtre. Fait que toi, t Octave Crémazy. Le petit Grand Théâtre.
Fait que toi, t'as fait toutes les salles que lui fait.
Tu veux devenir Marc Lavret.
Oui. Je savais pas qu'il avait joué
Frank Lushan au Jésus, par contre.
Oui, c'est là qu'il...
Moi, vois-tu, quand j'avais
sorti mon premier one-man show,
je voulais jouer au Jésus.
C'était pas parce que lui, il avait joué là,
mais cette salle-là était sur mon radar à cause de Marc.
Frankenstein, à mon souvenir, ça doit être genre fin 90,
genre 96-97.
Même avant ça.
C'était quoi que le show?
Frankenstein, c'était une version...
C'était comme l'histoire de Frankenstein
mais version complètement distorsionnée
et absurde
moi j'avais l'impression que c'était plus
93-94
j'ai l'impression que c'est juste
avant que je fasse l'école de l'humour
ou pendant que je fais
parce que je me rappelle que Perrids avait été le voir
mais je sais pas si il avait été pendant
qu'on était à l'école
c'est-tu 94?
Je suis en train de regarder.
Il a dû faire une tournée de probablement deux ans
avec ça. Mais moi,
je l'ai vu, j'ai dit trois. Je pense que je l'ai
vu deux fois. Le pire, par exemple,
il ne doit pas avoir fait une tournée super longue.
Vu que la brèche à l'époque,
même aussi aujourd'hui,
c'est 92.
J'avais 17 92. OK, 82.
J'avais 17 ans.
Il n'est pas super grand public.
Plus qu'avant, par contre.
À l'époque de Frankenstein,
il ne devait pas être très connu à la base.
Il avait fait une couple de galas juste pour rire, probablement.
Je pense qu'il y avait peut-être
ses chroniques plein air à beau et chaud qu'il avait faites,
mais il n'était pas super connu. Il devait être assez niche. probablement. Je pense qu'il y avait peut-être ses chroniques plein air à beau et chaud qu'il avait faites, mais
il n'était pas super connu, donc il devait être assez niche.
Puis dans le temps,
en plus, lui, il était niche,
puis il n'y avait pas de...
On dirait que par après, il y a eu des producteurs
qui ont fait
des gros shows en région,
mais à cette époque-là, j'ai l'impression
qu'un show de même, ça devait être
Québec-Montréal, Sherbrooke, Trois-Rivières, Gatineau,
Chicoutimi, oui.
Ça devait être ça. Parce que moi,
dans mes... Je l'ai déjà
raconté, mais ma tournée de l'école de l'humour,
c'était... Les endroits où ça
fonctionnait au début, c'était pas mal
les endroits que tu viens de nommer.
Là, maintenant, ça marche partout, mais au début,
dans la tournée avec l'école, il y a des endroits
qui... Mon Dieu, que je me suis
planté. Ah oui?
Incroyable. Aucun son. Mon numéro du restaurant,
aucun son
du début à la fin. Rien.
Le néant. Puis on s'en parle avec
Denis des fois, mais les Denis, eux autres,
il y avait la musique qui me blait. Eux autres aussi, ça faisait
des frettes, mais ils sont deux.
Oui.
Un peu de git, des tunes. Moi, c'ai un peu de gait, des tournes.
Moi, c'est... Qu'est-ce qu'un restaurant?
Pas de gag, sept minutes,
rien.
Pas un nastydré. J'ai l'impression...
Des fois, des...
J'entendais. J'ai l'impression, par exemple,
en plus, mettons, pour les données,
le fait qu'ils étaient deux
ou qu'ils sont deux, c'est que,
mettons, un numéro de même qui ne lève pas,
tout le monde devait faire « je ne l'aime pas, je ne l'aime pas ».
Mais eux autres qui étaient deux,
puis que Vincent fait tout le temps semblant
comme si c'est le plus beau jour de sa vie,
le monde, tu sais, les Denis,
le monde, je me rappelle, était fâché après eux autres.
Le monde devenait agressif.
Moi aussi, le monde devenait agressif. Moi aussi, le monde devenait agressif.
Parce que moi, c'était...
Il y avait quelque chose d'insultant.
Tu nous arrives sur scène et tu n'as
aucun gag. Qu'est-ce que
tu fais? Tu nous expliques c'est quoi un restaurant
sans gag? Il était comme
« Christ, tu te fous de ma gueule? Je le sais, c'est quoi un restaurant? »
Il ne comprenait pas le second degré. Il était en tabarnak.
Puis moi, ça me faisait
bien rire. J'ai un côté masochiste,
mais des fois, ça faisait quand même
des longs numéros.
C'est en quelle année que tu as senti que le monde
catchait? Quand j'ai fait Le Grand Blanc.
Parce que Le Grand Blanc, c'était...
Ce n'est pas si long, ça.
Non, c'est ça, mais je pense que...
Et c'est la télé. La télé a fait en sorte que,
pour les gens, ils ont compris de plus en plus
c'était quoi la démarche, parce qu'ils voyaient d'autres numéros
ou d'autres chroniques qui étaient dans le même ton.
Puis ils voyaient que la réaction en ondes,
Marc, il riait, le public riait.
Fait qu'il était comme, OK, ça doit être bon.
Il était à la TV, etc.
Mais le concept que je faisais,
le vulgarisateur, je l'ai fait au Grand Blanc
quand ils ont vu mon restaurant.
Je viens faire ça ici.
Sauf que le concept a un peu évolué
j'étais pas toujours en train, il y avait quand même des gags
c'était comme
je parlais d'un sujet, qu'est-ce qu'il y a l'hiver
qu'est-ce qu'il y a un rendez-vous galant
qu'est-ce qu'aller à la plage
mais là il y avait des liners
c'était pas juste
mettre son maillot, c'était pas que ça
sinon tu comprends le principe
mais
le restaurant c'était pas que ça, parce que sinon, tu comprends le principe.
Mais... Oui, puis le restaurant,
c'était vraiment ça.
Le restaurant, c'était sa langue, pas le gag.
Techniquement, il n'y avait zéro gag.
Non, il y en avait un qui n'était même pas un gag,
mais c'était un genre de gag mauvais où je disais
quelque chose comme
« Vous pouvez toujours y aller
en tramway, mais on n'est pas à San Francisco. »
Puis je faisais « Ha! Ha! Ha! » Le monde riait à retardement, mais je faisais comme si à San Francisco. Je faisais « Oh! »
Le monde riait à retardement,
mais je faisais comme si j'en avais poussé une salée.
On n'est pas à San Francisco,
il n'y a pas de tramway.
Ce n'est pas un gag, c'est un gag dégueulasse.
C'était comme le seul « gag »
et c'était volontairement du sabotage.
Le concept, c'était qu'il n'y en avait pas.
Il y a une question ici que j'aime la question.
Ah, puis c'est Molester, encore une fois.
Un grand sage.
Molester veut savoir,
pensez-vous que vous êtes les philosophes de l'ère moderne?
Moi, j'entends souvent ça.
Quand le monde dit, les humoristes,
je pense que c'est Norm Macdonald
qui avait ce gag-là, qui disait,
le monde dit souvent, les humoristes sont les philosophes
de l'ère moderne, puis il fait, non,
les philosophes, c'est encore les philosophes.
Non, mais je pense
qu'on peut être
des relayeurs de ce qui est dans l'ère
du temps.
On dit souvent ça, on est le miroeurs de ce qui est dans l'air du temps. On dit souvent ça,
on est le miroir de la société.
Oui, mais en même temps,
moi, je ne pense pas être dans le miroir.
Moi non plus.
Moi, je fais caler, c'est le Québec,
il faut qu'ils se prennent en main.
Le Québec a 46 ans,
il faut qu'ils arrêtent de boire un peu.
C'est un Québec idiomatique.
Il va mourir. Mais, Québec a 46 ans, il faut qu'il arrête de boire un peu. T'as parlé avec Louis Diamétique, c'était Québec-là.
Il va mourir.
Oui, non,
mais je pense que chaque humoriste arrive avec sa démarche.
Moi, c'est ça que j'aime
de l'art,
c'est que...
De l'humour aussi, dans le sens que tu ne sais pas
nécessairement comment
tu vas interpréter ce que
la personne te dit.
Tu vas peut-être
déceler quelque chose que
à cause de ton vécu, de tes valeurs,
vient de te rejoindre
et que ce n'était pas nécessairement
l'angle initial de l'humorisme.
Moi, c'est ça que j'aime en fait, dans le sens que
des fois, tu vas voir un humoriste
et il y a quelque chose qui te nourrit
pour une raison X, ça te fait rire, mais des fois, ça vient te chercher parce qu'il y a quelque chose qui te nourrit pour une raison X, ça te fait rire
mais des fois ça vient te chercher
parce qu'il y a quelque chose qui te touche là-dedans
puis que c'était pas le but initial
de la personne qui l'a écrit
mais moi c'est ce que
j'aime en fait
je dis ça de l'humour mais c'est dans toute forme d'art
moi j'aime ça quand c'est pas trop
in your face, quand mettons
il y a un message, je suis pas
un consommateur d'art
avec message ou avec gros sous-texte
mais quand il y en a un, si ça vient me rejoindre
c'est parce que c'est subtil puis bien fait
comme j'ai toujours, je t'ai parlé
l'autre fois de mon film préféré qui est
Le goût des autres, mais ce que j'aime de ce film-là c'est
que ça parle du fait que
des fois on juge les autres
parce qu'ils ont des goûts différents de nous, mais qu'ils pourraient nous apporter
quelque chose d'autre si on leur donnait la chance.
Mais le message,
c'est ça que ça dit, le film,
mais c'est pas crowbar dans ta face.
Non.
Ils te font rire, puis c'est subtil,
puis c'est bien fait. Moi, c'est vraiment ça que...
Moi, on dirait ça, j'haïs. Tu sais, le monde qui font
de l'humour à message super gros
que là, tu vois des commentaires
de monde un peu épais
qui font « C'est génial! »
« Enfin de l'humour intelligent! »
C'est tellement stupide,
me semble.
Moi, des fois, je trouve que ça devient
des éditoriaux.
Il n'y a pas de gag,
mais le message est à l'avant-plan
et tu fais comme, mais c'est quoi le gag?
C'est un lecteur de nouvelles,
mais avec une règle de trois à la fin.
Oui.
Pour moi, c'est un éditorialiste souriant.
Tu fais comme, OK.
Puis souvent, je me rappelle avec François Parenteau,
qui était mon prof à l'école de l'humour,
qui était dans les apartistes.
Quand je suis allé voir le show des appartistes il y avait des savait-tu tu savais du mérite mais il me disait mais souvent c'est important d'ouvrir
les yeux des gens sur les problèmes de la société il y avait zéro gag par exemple il y avait pas tant de gag mais les gens qui venaient les voir c'est des gens qui pensaient exactement comme eux
fait que tu ouvres les yeux de personne ça devient de l'inceste entre vous autres parce que vous faites comme
des gens de gauche,
anti-mondialisation,
écologie.
Fait que ça devient comme crier Go Habs Go
au centre-baie. C'est tous des gens qui pensent comme toi qui sont là.
Fait que t'ouvres les yeux de personne, dans le fond,
ils sont déjà conquis.
C'est bien correct.
Ils existent ça encore, eux autres?
Je ne sais pas trop.
Je pense qu'ils sont un peu partis chacun de leur bord.
Il y a Fred Savard qui était un peu dans la soirée encore jeune.
Il est parti sans podcast à lui.
Il y a Christian Vanas qui était là un bout de temps.
Il y avait Geneviève Rochette.
Il y avait François Parenteau.
François Parenteau, je pense qu'il fait encore des billets dans certaines plateformes.
C'est un gars super intelligent que j'aime bien gros,
même si on a eu des petites ostinades à l'école de l'humour, mais c'était toujours
de bon ton. Moi, à l'époque, il y avait une fille qui faisait
un... Elle avait un
site web, un genre
de fanpage de moi.
Puis après, elle avait un fanpage
des
appartistes. Puis là, quand
j'avais vu ça, j'avais fait... Ah,
c'est... Ah,
Christ, que c'est mauvais ce que je fais. »
Je me disais
« Si elle aime eux autres
assez pour leur faire un fanpage,
elle aime moi assez pour me faire un fanpage.
C'est que je suis dégueulasse. »
Elle n'était pas fan d'eux, elle avait créé un fanpage.
Elle avait créé un fanpage.
Là, j'avais fait « Arc! »
Moi, je trouve ça vraiment cool aussi.
C'est quelque chose que je trouve
riche du Québec. Il y en a qui et moi je trouve ça vraiment cool aussi, puis c'est quelque chose que je trouve riche du Québec,
c'est qu'il y en a qui sont tellement fans du mot,
mais qui ont aussi une ouverture d'esprit.
Moi, j'ai zéro ouverture d'esprit.
Moi non plus, j'en ai pas une tonne,
mais il y a des gens qui sont fans du mot,
puis c'est du monde intelligent,
puis ils font comme, ah non, mais moi j'y trouve mon compte,
autant dans ça que dans ça,
parce que mon écoute est différente,
mon approche est différente
puis j'ai du fun. Il y a un gars,
je ne me souviens pas de son nom, mais
quand il y a eu
un genre de souper bénéfice
pour l'école de l'humour, un souper financement,
puis lui, il est venu
quand François Bellefeuille a fait des soirées
de stand-up en anglais, moi j'ai joué là,
puis il est venu me voir après, puis il dit
« Hey, je suis venu voir tous les shows ici, puis là, je m'en vais voir
le rodage de Corinne,
puis le lendemain, je m'en vais voir Yannick. »
Puis je fais,
je vais voir à peu près
250 shows d'humour par année.
Je capote, j'aime tous les styles,
je trippe surtout. – Chantal est de même.
Tu sais, Chantal qui est tout le temps
au bordel en avant, là, tu sais,
avec les cheveux blonds, là.
Elle, tu sais, avec les cheveux blonds, elle,
elle vouait tout.
Chaque fois que je suis en show,
proche ou loin de Montréal,
je sais qu'elle est là.
Elle fait pas juste ça avec moi.
Elle ira revoir ton show qu'elle connaît déjà.
Mais pas juste pour moi.
Elle va voir.
Elle vient, elle s'écoute.
Lui, je le trouvais drôle.
Elle va aller les voir.
Je trouve ça beau, le monde. Ilsoute. Ah, lui, je le trouvais drôle avoir allé les voir, elle.
Ça, je trouve ça beau, le monde qui sont intenses à ce point-là.
Christ, que moi, je suis pas de même.
T'as-tu un ou une fan qui t'a vu, genre,
quand tu fais une tournée, qui va te voir
40 fois? Non.
Non. Non?
Mais moi, d'habitude, le maximum,
c'est trois. OK.
Peut-être qu'ils ne viennent pas te le dire,
mais ils le font.
Mais rendu à 40, tu reconnaîtrais leur face,
même si moi, je ne suis pas bon avec les faces.
Moi, il y a une femme qui est venue
apprendre à s'aimer peut-être une quinzaine de fois,
puis à un moment donné, j'ai dit,
je vais te donner une paire de billets,
arrête d'en acheter, je vais t'en donner,
tu vas m'en s'encourager.
Ah, moi, je crie ça intense.
Mais il n'y a pas, comment il s'appelle il ya un chantage qui avait
une part qu'une histoire un peu weird avec une femme avec la madame l'on est
rentré chez lui c'est ça mais c'est à l'issue et partout on a malgré sa chope
et porte la nike a penché aux semaines la fête à maroc à la banque à saipra
de la salle de salle de salle de salle de salle de salle de salle de salle de Ça lui prenait son Kevin. Une petite dose de Kevin. Elle était dans sa chambre, elle dit,
« Fais juste dire 1, 2, 3, 4. »
Fais ton soundcheck seulement.
Je m'en vais après ton soundcheck.
Ça, tu ne dois pas bien filer
quelqu'un qui est dans chez vous la nuit.
Je ne sais pas.
Moi, c'est ça que j'ai.
Moi, je n'ai jamais eu peur.
Mais moi, en plus, je suis tellement
pas peureux, mais moi, je suis prévoyant. Moi, chez nous, j'ai jamais eu peur. Mais moi, en plus, je suis tellement... Pas peureux, mais tu sais, moi, je suis prévoyant.
Fait que tu sais, moi, chez nous, j'ai bien des caméras.
J'ai tout le temps...
Bien des guns.
Non, mais tu sais, j'ai un bat de baseball
dans chaque pièce de ma maison.
Oui, oui, moi, là, je suis prêt.
Tu arrives chez nous, là, tu es...
Tu dois être super malhabile avec un bat de baseball.
Bien, c'est clair.
Mais tu sais sais je suis prêt
tu viens chez nous
prépare toi
mais tu n'as pas vraiment
plusieurs bats chez vous
j'achète des Billy Club
ils sont là
mais j'en ai pas
dans chaque pièce de ma maison
j'en ai 4
c'est quand même beaucoup j'en ai pas dans chaque pièce de ma maison. J'en ai quand même quatre.
C'est quand même beaucoup.
J'en ai une dans... J'ai un bat de baseball dans mon bureau.
J'en ai un dans ma chambre à coucher.
J'en ai un dans le salon.
Puis l'autre, je l'ai perdu.
La prochaine fois que je vienne chez vous,
je veux savoir où sont les bats et je veux les voir.
Oui. Juste pour voir si, mettons, je veux voir de quoi a l'air le bat
puis imaginez mettons qu'il y a un costaud
de 6'6 qui rentre
puis qui fait comme
il voit toi qui agite ton bat
il fait comme I don't fucking care
pour vrai un gars
ça pourrait être un style
GSP, GSP qui rentre
je le crisse un coup sur la tête
avec un bat de baseball. J'ai une
gagnée le combat. Oui, mais
probablement qu'il serait capable de l'éviter.
Il ne me verrait pas venir.
C'est de l'intensité.
On va l'essayer. Si GSP
écoute.
Non, mais c'est
juste, je mets les chances de mon bas.
Faudrait-tu le blindside? Oui.
Moi, ça ne serait que du blindside. Moi, j'enverrais, je mets les chances de mon bord. Faudrait-tu le blindside? Oui, oui.
Non, moi, ça serait que du blindside.
Moi, j'enverrais Marie en premier, pas de batte.
Puis là... Sont-ils coûteux, ces bâtons-là?
Je pense...
6 000 chaque.
Je me rappelle que c'est avec Prime,
c'est pour ça que j'en ai acheté quatre.
Mais moi, avant d'acheter les caméras,
j'avais souvent des kits
qui venaient sonner chez nous.
Puis, ils mettaient des posters
du petit Jérémy sur ma porte.
Puis là, moi, je rouvrais la porte.
Mais c'était... Je rouvrais
jamais la porte, mais c'était pour me voir.
Puis eux autres, je pense qu'ils pensaient que j'allais faire
« Ha, ha, ha, elle est bien bonne.
Yes, sir. » Puis à un moment donné,
là, j'étais écoeuré, puis j'avais fait « OK, je vais
acheter des caméras. Je vais mettre des caméras devant
chez nous. » Puis j'avais acheté
les battes. Puis là,
à un moment donné, Marie,
ça sonna la porte. Puis là, Marie,
tu sais, elle a répondu.
Là, elle a vu un posture de Jérémy.
Puis là, elle a dit au kid, elle a dit
« Hey, Mike,
Mike, puis il n'a pas trop parlé
fort. Puis elle dit « Quoi? » Puis elle dit
« Viens ici. Viens ici. » Puis là, il est
approché. Puis là,
elle a sorti un bat de baseball.
Elle fait « Thomas, tabarnak, je vais te tuer. »
Puis elle a couru après
le petit gars. Puis là, les petits gars
couraient. Puis il était comme « T'es une crisse
de folle!
Puis là, j'ai fait... Les kids avaient 16-17.
Mais entre 14 et 17,
mettons. Des enfants,
mais enfants
qui approchent l'âge adulte.
Puis après, quand Marie m'a dit,
moi, j'ai couru après des kids avec le bat de baseball,
j'ai fait, OK, on va
acheter des caméras.
Mais les caméras, c'est juste au cas
où ils font un truc illégal. Non,
c'est juste qu'eux autres, tu sais, mettons, quand
t'as des caméras, tu sais, comme là, j'ai vu,
d'après moi, il y a peut-être un kid
qui a tassé une des caméras. La caméra
sur ma porte,
sur mon arbre qui filme vers
ma maison, elle est tournée filme vers ma maison et tourner.
Fait que là, il va falloir que je le replace comme du monde.
On va aller checker ça tout à l'heure.
Oui, je vais checker ça.
Bon, OK.
Je peux t'aider?
Oui, c'est ça.
Ah, c'est ça.
Je n'ai pas lu les questions avant.
J'aurais dû.
Ah, que tabarnak!
C'est ça des questions de sucer des pénis? Ben voy'aurais dû. Ah, que tabarnak! C'est ça des questions
de sucer des pénis? Ben voyons.
Il y a beaucoup de questions de sucer des pénis.
OK. Sébastien Durand
veut savoir quelle est votre
plus grande fierté hors humour?
Toi, c'est quoi ta plus grande fierté?
Hors humour.
Hors humour.
Ma plus grande
fierté hors humour. Ma plus grande fierté hors humour.
Ce serait quoi?
Je dirais...
Est-ce que tu as ce qui te vient pendant que j'y pense?
Pour toi-même?
Moi, c'est niaiseux.
C'est weird de parler de ça
dans mon podcast, mais c'est vraimentiaiseux. Là, c'est weird de parler de ça dans mon podcast,
mais c'est vraiment le podcast, d'avoir réussi à...
Puis pas que je voyais venir que le podcasting allait devenir hot,
mais d'avoir commencé un podcast,
puis là, quand j'allais partir en 2011,
je voyais qu'en se disant tout seul,
je n'allais pas réussir à tirer
à ses yeux. Quand j'ai recommencé
en 2015, c'était de dire à tous les
humoristes, partez des podcasts, partez des podcasts
pour qu'on devienne comme une industrie.
Puis là, à cette heure,
c'est d'être
capable de vivre de ça.
C'est ça, mais dans le sens
que je sais que tu disais aux autres, faites-en un
aux autres aussi. Ce n'était pas pour me bâtir,
moi, mais c'était juste pour...
Je voyais
l'importance que le podcast
allait prendre dans le futur.
Oui, oui.
J'ai eu l'œil pour ça.
Puis là, j'ai aucune idée
de ce que ça va être la prochaine affaire.
Je savais ce qu'il allait...
Ça remplacera jamais la radio,
la télé.
Mais je ne sais pas
ce que va être la prochaine grosse affaire.
C'est peut-être Instagram
et des stories.
Ça existe déjà, ça?
Mais c'est peut-être ça
qui va tout remplacer.
Ça va être juste des stories.
Ça va être des affaires inintéressantes 6 secondes
moi je trouve pas ça intéressant des stories
c'est rare, pis tu sais comme tout le monde
je regarde des stories mais je fais tout le temps
pourquoi je fais ça
c'est pas intéressant
moi quand j'en fais
ils sont humoristiques, je vais prendre un fil Snapchat
je vais faire un gag, je vais l'écrire sur Instagram
dans mes stories, Ou des fois,
ça va se vouloir un petit peu
informatif. Mettons qu'il y a un nouvel épisode
dans Road Survivor qui sort,
je vais faire une story juste
pour signifier
aux gens que l'épisode est sorti.
Mais en général, je ne mettrais pas
quelque chose de...
une affaire complètement anodine dans ma journée.
Sorti aux pommes, tues allé aux pommes.
Mais c'est sûr que les gens me connaissent assez
que si je mets une info, ça va être ironique.
Moi aussi, tu fais ça, le monde va rire.
C'est ça, ils vont faire comme, mais non, il est pas sérieux,
sa sortie aux pommes, ils vont avoir comme
un angle humoristique dans ma story.
Et puis, je viens de voir,
t'as plus grande fierté hors humour.
Moi, mon podcast, c'est en humour,
ça fait que ça marche pas.
C'est ça que j'allais dire, mais je pense que tu voulais braguer un petit peu. Ma plus grande fierté hors humour. Moi, mon podcast, c'est en humour, ça fait que ça marche pas partout. C'est ce que j'allais dire, mais je pense que tu voulais braguer
un petit peu. Ma plus grande fierté
hors humour, c'est
que, oh Chris, j'ai bu
à tous les jours depuis
2007.
Pas manqué une journée.
Moi, je dirais que je pense que c'est
probablement relié au sport.
J'ai des fiertés un peu isolées
dans plusieurs sports.
Moi et Alex, on a joué
au tennis à
la Coupe Rogers entre les deux finales
cet été, devant 7000 personnes.
Jouer au tennis, c'est quand même chanceux.
Au Centre Bell, ça fait genre 7 ans
que je joue devant
12-13 000 face-à-face
des célébrités.
C'est des petits beaux matchs, des beaux trips.
Je me sens comme un gamin qui joue au hockey. 13 000 personnes au Centre Bell, ça doit être impressionnant.
Il y a les reprises au grand écran,
les hymnes nationaux.
C'est 30 minutes chrono.
C'est vraiment le 7-up.
Tu as l'impression d'être Guy Lafleur,
mais sans le petit malaise cardiaque.
Sans la greffe.
Avec tes vrais cheveux.
Sans le petit bras gauche
encore.
Puis c'est ça, même
quand j'étais jeune, j'ai jamais joué
d'un calibre hyper compétitif
et très élevé, mais des tournois
que je me souviens qu'on a gagné.
Puis sinon, hors
humour, j'essaie de...
Je ne suis vraiment
pas un être humain parfait, mais j'essaie
d'être
une bonne personne.
Je ne suis pas fier d'être une bonne personne,
mais j'essaie...
Non, mais toi, est-ce que
tu...
Je ne sais pas si cette question-là
me fait penser à ça en sous-question, mais
est-ce que...
Moi j'essaie d'être une mauvaise personne.
Non, assurément pas, mais y'a-tu des affaires
est-ce que tu donnes parfois des objectifs
d'amélioration de certains
de tes traits de caractère ou
certaines de tes façons
de penser
ou d'agir, que tu dis
ah ça j'aimerais ça le corriger. Je suis comme ça,
mais si je pouvais l'améliorer un peu,
je serais plus fier de moi.
Ben, moi, j'essaie
de...
Des fois, quand je dis des affaires que je sais,
ah, calisse! Tu sais, j'essaie
de m'écouter quand je parle.
Puis des fois, je dis des affaires.
Je pense que j'ai tout le temps fait ça,
mais avant, je le faisais pas sur scène. OK. Mais je l'ai tout le temps fait ça, mais avant, je ne le faisais pas sur scène.
OK.
Mais je l'ai tout le temps fait.
Mais des fois, je vais dire des affaires.
Puis si je trouve que ça sonne « colon »,
j'essaie de l'enlever.
Puis je ne parle pas de sonner « colon ».
Moi, j'ai un vocabulaire de quelqu'un
qui gagne sa vie en mangeant des coups de pelle
de sa tête.
Mais tu sais, j'ai un mauvais vocabulaire.
Mais j'essaie d'être...
Je suis quelqu'un d'assez ouvert d'esprit.
Puis tu sais, des fois, ça m'arrive
que je vais dire une affaire
qui sonne un peu collant,
puis je vais faire, ah, crée ça.
Je l'endosse pas tant.
Puis là, je me demande, pourquoi je dis ça?
Pourquoi je pense ça?
Aussitôt que je sais la raison,
ça t'aide à t'améliorer.
Fait que tu fais quand même de l'introspection
un peu. Moi, je fais
beaucoup d'introspection.
Je pense que c'est pour ça que je suis devenu...
Moi, je pense pour ça que je suis
devenu vegan. Je trouve qu'en ce moment,
il y a trop de monde
qui...
qui ont des belles valeurs,
mais qui font absolument rien.
Tu sais, mettons, juste...
Tu sais, moi, l'affaire qui me fait tout le temps capoter,
c'est le monde.
Tu sais, aussitôt qu'il y a un animal
qui meurt à quelque part,
tout le monde met ça sur leur Facebook.
Puis voyons, ça n'a pas de sens
qu'un animal meure, tu sais,
mettons, quand il y a un lion qui se fait tuer.
Puis là, je suis comme, OK, je comprends que le lion,
pour toi, c'est plus important vu qu'il est comme ton chat,
mais tu as mangé 400 poules cette année.
Les poules, c'est un animal aussi.
Fait que ferme ta gueule ou fais quelque chose.
Ou comme le monde, avec le...
Tout le monde qui parle contre
les pipelines,
c'est souvent du monde
qui font, il faut être contre ça,
mais qui n'ont pas
de solution qui change quelque chose.
Que moi,
le pétrole soit transporté
dans des tuyaux ou dans
des camions ou dans des trains, on devrait essayer de se débarrasser du pétrole soit transporté dans des tuyaux ou dans des camions ou dans des trains.
On devrait essayer de se
débarrasser du pétrole à la place.
Pas se débarrasser du pétrole, mais
se débarrasser de la dépendance
au pétrole. Je trouve ça
plus important au lieu de
juste faire. Moi, je suis contre
les pipelines. Je vais aller marcher dans la rue
et après... Tu préfères une action concrète
reliée à ce que tu défends.
Tu changes
fuck out. Il y a tellement de monde
à cette heure qui n'ont rien changé.
Puis moi, j'ai pas...
Tu sais, j'ai des...
Je fais tellement d'affaires qui sont horribles pour l'environnement,
mais je fais pas chier le monde
avec mes affaires. Moi, t'es pas en train de
faire la police de...
Même affaire, tu sais, avec... Tu sais, je suis vegan, puis j'es pas en train de faire la police. Même affaire, je suis vegan
et j'essaie de ne pas juger le monde.
Moi, je ne mange pas de viande et je ne fais pas
chier personne avec ça. On dirait
à cette heure qu'il y a trop de monde
qui essaie de montrer qu'ils sont supérieurs
à tout le monde. Je suis d'accord. Faire la morale
aux autres parce qu'ils ne pensent pas comme eux.
Oui. Après ça,
pensez-vous...
Ah!
C'est méchant Francis Ricard
pensez-vous qu'un show comme
Whose Line Is It Anyways
marcherait au Québec
je l'ai peut-être vu 3-4 épisodes
dans la vie
c'est un show d'impro
qui avait fait à l'époque au Québec
avec Michel Courtemance
et Martin Petit.
Ils ont fait...
C'est de l'impro,
mais de l'impro...
Un peu writey quand même.
Non, mais
de l'impro formule
à mort. C'est tout le temps
la même carlisse d'impro.
C'est comme le piment fort de l'impro. Tule à mort. C'est tout le temps la même carlise d'impro. C'est comme un piment fort de l'impro.
Tu as des thématiques.
Mais c'était quand même bon.
Les deux premières fois que tu le voyais,
tu faisais « voyons tabarnak, ils sont bien vides ».
Puis tu écoutais quatre épisodes,
tu faisais « ok, ils sont bien vides »
parce que c'est tout le temps la même crise d'appart.
Au début, c'était comme un gars,
il me semble que c'était un genre de blondinet un peu baquet.
Il y avait un black.
Il n'y avait pas Drew Carey qui était là-dedans?
Drew Carey qui animait. Il y avait un black
qui était le black le plus blanc
de la planète.
Il y avait le grand
du Drew Carey show.
Pour de vrai, c'était quand même
bon.
Moi, j'ai tout le temps eu un malaise
avec l'impro. Je ne suis pas un fan avec l'impro. Je ne suis pas un fan
d'impro. Oui, je ne suis pas un gros fan d'impro
non plus. Souvent, quand tu écoutes des matchs
d'impro, il y a des moments où tu fais comme
« Wow, ils ont pensé à ça. Wow, ils sont vite. »
Mais il y a toujours des moments où tu fais comme
« Cringe. »
Tu as hâte que ça finisse parce qu'on dirait
qu'il y a une lourdeur parce que ce n'est pas bon.
En même temps, des fois, il y a des shows que c'est
prévu comme ça et c'est écrit de même. Tu fais comme « Ok, c'est pas bon. Mais en même temps, des fois, il y a des shows que c'est prévu comme ça,
puis c'est écrit de même, puis tu fais comme,
OK, c'est malaise aussi, mais on dirait qu'en impro,
des fois, tu fais comme, OK, je suis malheureux
à leur place, j'ai hâte que ça finisse,
j'ai hâte que l'arbitre s'affiche.
Je sais pas, on dirait que ça me met mal.
Toi, t'as-tu fait de l'impro, Pierre?
Oui, je l'ai fait.
Oui, beaucoup.
T'étais-tu un marteau?
J'étais un joueur étoile.
Ah oui?
Tu jouais pour l'Université Laval?
J'ai joué au Cégep Limoilou, puis à l'Université Laval.
Fait que là, ça te blesse qu'on disait ça, mais le studio est trop petit pour sortir.
Non, mais je trouve ça plate de regarder de l'impro moi-même.
Je trouve ça vraiment plate.
Peut-être que quand t'en fais, vu que tu connais
les patterns du monde, t'es justement moins...
Peut-être, mais...
Un peu comme un magicien qui fait que je connais le truc.
Mais vois-tu, moi,
je déteste l'impro,
puis la jeune génération d'humoristes,
mes préférés, c'est tout du monde qui
viennent de l'impro.
Mettons, des Julien Lacroix,
Arnaud Solé, Yannick,
Christine Morancy.
C'est tout du monde
qui sont vraiment bons en impro.
Mais moi, de voir
une pièce de théâtre
que ça sonne à la porte
et c'est...
Improvisez, vous êtes déjà
dans la pièce.
Toi, fais semblant d'être un médecin,
mais tu ne fais pas semblant d'être un char.
On dirait que c'est du théâtre de pauvres.
L'impro, c'est vraiment du théâtre de pauvres.
Il y a même, comme mettons,
la gang de Ricardo Trudy,
Patrice Robitaille, François Letourneau.
C'était tous des bêtes d'impro à l'université Laval.
C'était des kingpins.
Moi, je ne suis pas allé à l'université.
Mais
je suis allé voir des matchs d'impro
et je me souviens de Trogi,
Patrice Robitaille,
Pierre-François Legendre aussi, il a eu un gros passé d'impro,
je pense.
Je ne sais pas si...
T'es-tu de Québec, Pierre-François?
Oui, oui, oui. Parce que Rémi-P-tu de Québec, François? Oui, oui.
Rémi-Pierre Paquin, lui, est plus de grand-mère,
je pense.
Rémi-Pierre, je pense, il est de Chahoui.
Il est de Chahoui, oui.
Il me semble qu'il est de grand-mère, en fait,
de naissance.
Mais ils se sont connus...
Je pense qu'ils se sont connus en impro à l'Université de Laval,
tout ce truc-là.
Moi, à chaque fois que j'allais,
moi, on dirait, quand j'étais petit,
j'aimais vraiment ça, la LNI.
Puis j'aimais vraiment ça.
C'était une des choses à télé que j'aimais.
Avec Giseline Tremblay,
l'analyste. Puis c'était qui
le descripteur, déjà?
Parce que Giseline Tremblay,
c'était l'analyste, celui qui est le petit,
qui a un peu le casting à mon
père, un petit monsieur
avec un long essuie-suit.
Il m'a rappelé qu'il avait fait avec un grand A
de Jeannette Bertrand, puis il faisait un batteur de femmes.
Ça m'a traumatisé.
Moi, je l'avais dans...
Moi, je le regardais quand j'étais jeune, des émissions pour enfants.
Oui, oui, c'est ça.
Là, tu le vois battre des femmes.
Oui, c'est un peu weird. C'est un bon acteur, en esti. Oui, oui, oui, c'est ça. Là, tu le vois battre des femmes. Oui, c'est un peu weird.
C'est un bon acteur, Anastasie.
Oui, oui.
Tu ne veux pas en parler plus que ça.
Non, parce que...
Viens te chercher, je suis intremblé.
Je vois le goût de le french 30 minutes.
Mais moi, là, je vais le googler,
juste voir parce que ça me dit de quoi,
mais je veux juste être sûr.
Je pense à 100 % qu'il n'y a pas un Y
dans son Juscelin, d' pense à 100% qu'il n'y a pas un Y dans son Giselin, d'ailleurs.
Pour montrer qu'il est cool.
Ah oui, Giselin Trablé, bien oui.
C'est un Y, bien oui.
Ah oui, je l'aimais, lui.
Il a une petite face de souris.
Oui, une face de souris.
Je pense que c'était l'analyse des matchs d'impro.
Puis il était comme un peu...
Il était assez direct.
Quand il n'aimait pas quelque chose, il le disait.
Il doit être assez sec, oui.
À mon souvenir, c'était un peu
Yvan Ponton, il pouvait être raide
des fois avec les joueurs, mais Chlet Tremblay
dans son analyse, il était raide aussi.
Il avait le descripteur
qui était un peu plus sweet
et mollo avec tout le monde.
Mais Chlet Tremblay, c'était comme
l'un chapé, c'était mauvais.
Moi, on dirait, par exemple, quand j'étais petit,
première fois, j'avais vu de l'impro, puis après, je ne l'avais pas revu
jusqu'à temps que je déménage à Montréal.
Puis là, tout le monde
que je connaissais en humour, en français,
faisait de l'impro. Puis là, ils me disaient,
« Viens voir, tu vas capoter. »
Puis, asti que je trouvais ça décevant.
Tu sais, j'allais voir,
j'avais été voir, dans le temps, il y avait la lime, la limonade
asti que c'était mauvais
crisque que c'était mauvais
mettons tu regardais
6 personnes
avec 2 personnes qui ont du talent
puis 4 personnes qui ralentissent
l'impôt, fait que c'était juste ça
mais c'est vrai que c'était souvent ça
2-3 joueurs étoiles, puis le reste, ils suivent la porte.
Tu sais, mettons, Christine,
je la trouve super drôle, mais t'as mes avec
son équipe d'impro, puis tu dois
être comme tout le long, faire « Hey, c'est le fun,
là, mais toi, vous êtes
au dépanneur, mais toi, tu peux t'en aller.
Je veux voir elle
acheter des betteraves. »
Je sais pas ce qu'elle improviserait.
Moi, je me rappelle que quand j'ai fait
l'école de l'humour, je n'avais
jamais fait de scène. Je n'avais jamais fait
d'impro. Mes premières expériences sur scène,
j'étais super stressé. Ça a bien été.
Mais je me disais, je fais des 8
minutes. Est-ce que j'ai vraiment le goût de faire
un show un jour?
Ce qui a
vraiment déclenché ou a officialisé
le fait que je voulais faire ça après ma carrière,
c'est quand j'ai vu Zone interdite avec toi,
Pat Gros, Perrins, puis Flush.
Parce que c'était
le premier show. Là, moi, j'étais à l'école
de l'humour. Je venais de finir.
Puis là,
l'année d'après,
j'ai fait le show Absurd avec les Denis.
Mais cette année-là, j'étais comme... je faisais un show cabaret juste pour eux.
Mais c'était la tournée de l'école.
Je faisais un numéro de huit.
Quand j'ai vu ce show-là,
où vous aviez chacun deux numéros solo
et des sketchs de groupe.
Je me rappelle, il y avait un sketch.
Vous étiez devant un cercueil.
Je ne me souviens pas exactement.
Tu as peut-être un peu plus que moi.
C'est un sketch que Pat Gros avait écrit.
On était devant un cercueil et Pat n'arrêtait pas de péter sur le cadav exactement. C'est un script que Pat Gros avait écrit qu'on était devant un cercueil
et Pat n'arrêtait pas de péter sur le cadavre.
C'était du genre.
Intellectuel à fond.
Il y avait aussi,
je pense que vous faisiez Simon et Henri.
Oui, on faisait Simon et Henri.
On avait le numéro
que je lissais du miel sur Toton et Perid,
ce qui a été après
popularisé par Maxime et Lou José.
Je me rappelle que quand j'ai vu ce show-là,
je pense que je l'ai vu trois fois.
J'ai dit à mes parents...
Pourtant, on s'entend que c'est un style d'humour qui était loin
de ce que je préconisais. C'était trash.
L'humour trash m'a toujours fait rire quand c'était bien fait.
Quand c'est bien fait.
J'ai dit à mes parents
j'ai le goût d'avoir un show à moi
ou de faire partie d'un show
où au pire, on est deux, trois personnes,
mais j'ai envie de faire un show.
Je n'ai pas juste envie de faire un numéro
dans un galop.
Ça a comme officialisé
que j'avais envie de poursuivre ma carrière.
Même si mes affaires allaient bien dans mes numéros,
je me disais,
oui, je pense que je suis fort en huit,
mais je veux-tu faire un show qu'on crée? »
Toi, à l'école, pendant un bout de temps,
tu pensais que ta carrière, ça allait être
« T'as un number, tu fais genre... »
En fait, c'est que moi, je voulais
faire de la TV. Moi,
dans ma tête, l'école de l'humour, c'était
un tremplin pour me souvenir à la TV.
Puis ça a été ça. Souvent,
c'est comme
par après que j'ai découvert que j'aimais beaucoup la scène. Puis finalement, j'aime probablement plus ça que été ça. Tu sais, souvent, c'est comme par après que j'ai découvert
que j'aimais beaucoup la scène
et que finalement,
j'aime probablement plus ça
que la TV.
Mais moi,
quand je me suis inscrit
à l'école de l'humour,
c'était comme une façon
d'aboutir à la TV.
J'ai abouti à la TV rapidement.
Fait que j'ai comme eu
un parcours atypique
où les gens,
mettons,
ils arrivent à leur premier
one-man show
puis ils ont rodé dans les bars.
Moi, je suis arrivé
à ma première médiatique.
J'avais peut-être au total,
pour vrai,
18 performances au total sur scène dans ma vie.
C'était 18 shows de l'école de l'humour
pis peut-être 2-3 McMasterville.
Fait que j'avais fait des chroniques au Grand Blanc
à Fonnoir, fait que le monde,
ils voulaient me voir en show,
mais j'avais pas d'expérience de scène.
C'était comme weird.
Parce que souvent, il y en a qui arrivent
avec un 225 apparitions dans les bars,
pis etc.
Chris Pea qui a fait l'humour pendant 18 ans.
C'est ça.
Mais moi, ça a marché.
Mais ça a fait en sorte que je pense qu'au début,
ce pourquoi mon personnage de scène était vraiment un dérivé de mon vulgarisateur
puis de mon chroniqueur dans les shows TV,
c'est que ce que je connaissais de moi sur scène,
c'était le vulgarisateur, le chroniqueur,
stoïque, sans émotion.
C'était comme un peu
pas ma béquille, mais c'était
mes pantoufles pour moi, être sur scène
dans ce personnage-là.
Pas que c'était pas moi, c'était moi.
Mais ça a fait en sorte que
j'avais tellement pas de...
Puis même encore aujourd'hui, versus
d'autres humoristes, versus toi, versus
les Denis, versus plein d'autres que je
vois comme c'est des bêtes de scènes, ce monde-là.
Je reste admiratif
parce que moi, quand
j'arrive avec mon matériel,
je la sens, mon insécurité.
Il faut que je sois au vœu préparé.
Je les répète mille fois. Je me fais des italiennes
sans bon sens pour être le plus près possible
parce que comme
mais je dirais quand même que les podcasts m'ont aidé à être plus naturel être plus naturel sur
scène qui est plus confiant dans mon impro l'on ne contribue pas sur les promis on fait de l'impôt
sur un même site et podcast c'est que les pros c'est lequel de l'impro. C'est lequel de nous deux, Giselin Tremblay?
C'est moi ou tu penses que c'est Pierre?
Pierre, c'est notre Giselin Tremblay.
Pierre, c'est Giselin Tremblay.
Un peu la même face.
Même visage.
J'ai la même grandeur.
J'ai la même hauteur que lui, en fait.
Mais juste pour finir ma pensée, c'est que maintenant,
les podcasts m'ont donné le goût d'être encore
plus moi-même sur scène
et non seulement dans le contenu
mais aussi
dans mon attitude
d'être plus proche
de qui je suis, de donner plus de clés
à qui je suis, ça fait en sorte maintenant
que quand je m'en vais dans des délires
absurdes qui sont fictifs
ça marche encore
ça nuit pas à quand je fais un numéro
où je parle de mes parents,
où il y a des affaires réelles. Les deux ne se nuisent
pas mutuellement maintenant parce que les gens
ont compris la convention.
J'ai fait un choix sur elle,
un show de rodage. Là, je suis rendu
peut-être à moitié de
nouvelles affaires et moitié de vieux stocks
que je fais.
J'ai fait une heure et demie.
Je vais faire 45-45.
Je ne te dis pas que le 45 est tight-tight.
Non, mais c'est bon.
33 tight, 12 à travailler.
Mais
j'ai fait mon numéro
sur les commentaires Pornhub
en anglais. Je l'ai essayé en français.
Je l'ai fait deux fois.
La première fois, il a vraiment marché fort. La deuxième fois, c'est un show qui marchait bien, mais je pense que je l'ai fait en anglais. Je l'ai essayé en français. Je l'ai fait deux fois. La première fois, il a vraiment marché fort. Puis la deuxième fois,
c'est un show qui marchait bien, mais je pense
que je l'ai mal PC. Fait que je l'avais
comme mis à la fin du show parce qu'il avait tellement marché fort
quand je l'ai fait en français pour la première fois.
Fait que je l'ai mis à la fin du show. Puis là, ça a comme
moins marché que le reste du show.
Fait que là, le dernier gag,
c'était un gag de bottin. Fait que là,
par après, j'ai comme improvisé
en racontant au monde, « Hey, vous n'avez pas entendu
parler de la sous-écoute, peut-être que je pourrais finir
en vous parlant un peu des... » Puis là, j'ai refait
le numéro du bottin.
Oui, de façon un peu plus improvisée.
Je suis pas retombé dans mon texte,
parce que j'avais pas prévu faire ça. Puis ça a vraiment
marché. Je pense que le monde avait compris
le référent. Puis là,
évidemment, je veux pas raconter
exactement ce que je racontais au podcast,
mais j'essaye. J'avais comme une table
sur scène. Je voulais vous montrer
c'est quoi la position dans l'escalier en collier maçon.
La cuillère avec la table.
Je l'ai faite et tout le monde riait.
Je me suis dit que peut-être que je pourrais le réessayer,
mais il faudrait juste que je rajoute quelque chose
qui est comme une surprise de plus. Je ne voudrais pas dire
exactement ce que j'ai compté au podcast.
Parce que je pense que la différence, c'est que surtout avec mes fans qui viennent de voir c'est que depuis
le podcast les gens ils savent que c'est vrai tandis qu'avant quand je le faisais j'avais pas
raconté ça le monde était comme ces gens tellement qu'il fait de l'absurde qui partent des escaliers
aux collimations au bas temps s'il fait du name absurde. Mais la façon que ça a été amené à sous-écoute,
ça paraissait que c'était vrai.
En plus que toi, tu le savais.
Puis Thomas, il a comme pas pris toute question.
C'était-tu dans l'épisode de...
Cet épisode-là ou l'autre avant
qu'on parlait de faire du porn?
L'autre d'avant, je pense.
Celui-là?
Oui, celui-là, dans les commentaires.
OK. Merci.
Par ça, ça serait un porn qui marcherait. d'avant, je pense. Celui-là? Oui, celui-là, dans les commentaires. OK. Merci.
Par ça, ça sera un porn qui marcherait.
Toi qui fourre un bottin.
Ben oui.
Après, le punch-out,
là, c'est une fille
habillée en bottin
avec un dildo
fait en cul.
Ça, hostie,
je paierais le chat pour ça.
OK.
Ben, les Patreons,
vous êtes prêts
à payer comment pour ça? OK. Les Patreons, vous êtes prêts à payer comment pour ça?
OK.
Attends une seconde.
Ah, mais il y a une question ici, Mike.
As-tu déjà fait du montage
à sous-écoute?
Si oui, c'est quoi qu'on a manqué?
C'est Brian Paré.
C'est arrivé deux fois. La première fois
que je vais parler, c'est
il y a une couple de semaines,
on a eu Guy Nantel
et Panthéleus au podcast.
Et là, je faisais...
J'allais faire une pub
en Tirol métropolitain
et Planète Hausser.
Puis Guy Nantel ne comprenait pas
qu'il y avait de la pub.
Mais je pense qu'il jouait avec ça.
Il faisait comme s'il était offusqué
que je fasse une pub
pis c'était weird
pas vraiment
il t'aime mais il aime pas ton podcast
souvent le monde j'ai remarqué
moi des pubs dans le podcast
ça fait une couple d'années qu'on en a
mais à chaque fois
comme l'autre fois il y avait un commentaire qui était tellement drôle
sur Youtube
quelqu'un a écrit
ça se peut-tu Mike qui commence à faire sur YouTube. Quelqu'un a écrit, là, là,
ça se peut-tu, Mike, qu'il commence à faire de la pub?
Et quelqu'un a répondu,
sur quelle planète, hoster, que tu vis
n'a pas réalisé qu'il y a de la pub
sur ce quiz de podcast-là?
C'est drôle aussi.
Mais tu sais, fait que j'ai enlevé
le bout de la pub pour
faire une pub plus clean
ici en studio. Mais après ça,
j'ai dit à
Pierre, on va sortir la version
que Guy
a faite.
Fait qu'on l'a coupée, mais on l'a
mise ailleurs. Fait qu'on n'a
rien coupé. Puis l'autre épisode
qu'on avait coupé dedans, c'est
quand t'avais dit ton adresse
au show.
Qu'on avait beepé le nom de ta rue, vu qu'il y a juste
deux maisons sur ta rue.
Mais deux bâtisses.
Vous avez rien
retiré, c'était juste du beep.
On l'a beepé, puis vois-tu, c'est là que j'ai réalisé
que
il va falloir qu'on enlève
quelque chose à Québec.
Parce que je parlais de la première
fille que j'ai couché avec, puis je dis
souvent son nom de famille, je dis
j'aimais son prénom, mais dans l'épisode
avec Marlène Jonca, elle voulait
savoir son prénom, puis je l'ai dit.
Après, j'ai fait, ah Christ, je me sentais mal
pour la fille. Fait qu'on va, au lieu
de bipper, on va muter le prénom.
Fait qu'on va me voir le dire,
mais on n'entendra pas.
Ah, je comprends.
Fait que c'est ça.
C'est les deux seules fois.
Tu peux lire sur les lèvres,
on lit dans les commentaires,
puis on va comme, ben, je vais vous le dire, c'est ça.
Ouais, peut-être, hein?
Ben.
Ouais, ça va être facile à lire sur les lèvres.
Faudrait-il te mettre un carré sur la bouche ou quelque chose.
Ben non, mais tu sais, en même temps, là, tu sais,
au moins, tu sais, si, mettons, la fille revient
pis elle dit, là, t'as dit mon nom,
je vais faire réagir, muter. Non, on voit que
tu dis, mettons,
on va dire Monique, tu sais,
pis je vais faire Christon. Non, c'est pas Monique.
Tout le monde sait que c'est Isabelle.
Ha! Ha! Ha!
OK. C'est quoi le plus gros
malaise que vous avez eu avec un fan?
Ça vient de Arnaud Audette.
C'est quoi le plus gros malaise
que vous avez eu avec un ou une fan?
Il n'y a rien qui me vient.
Pas un gros malaise.
Non.
Ce qui me vient, c'est quand je me suis poigné
avec une fille sur Twitter la semaine passée, mais c'était clairement pas une fan de moi
la femme
qui s'appelle Cassie
elle j'étais sûr
que c'était une troll
souvent par exemple quand tu te poignes avec du monde sur le web
je suis sûr que c'est des trolls
ben non mais des trolls
que c'est juste du monde
qui essaie de te pomper mais qui t'aime
elle c'était clairement pas ça
je prenais ça de même
j'ai juste partagé
le livre de Jean-Michel Dufault
sur 300 raisons de Toronto
tabarnak
plein de raisons de mémorial
dans le sens que tu voyais
parce que t'allais voir son historique de tweet
elle détestait tout ce qui avait rapport
avec l'Ontario, puis tout ce qui n'était pas Québec,
elle allait m'oyer chier tout le monde.
Ça me fait rire, ça, se fâcher pour quelque chose.
Voyons, voyons.
En plus, c'est pas un livre,
voici trois raisons de crisser ton canne
du Québec.
On traite de fraîchier parce que
je dis, mon ami a travaillé fort
sur son livre 300 raisons
d'aimer Toronto. Ça parle du tourisme
torontois. C'est un gars qui
voyage et qui connaît
ça dans la vie. Il n'est pas
anti-Québec et moi non plus. Il a juste
passé beaucoup de temps à Toronto et il
veut en parler à ceux que ça pourrait intéresser.
Ça ne fait pas en sorte qu'on ait des gens qui
chient sur le Québec. Elle me traitait de gogo.
Il n'y a rien qui fitait dans son discours. Ah, traitait de gogo. Je n'ai pas sorte qu'on ait des gens qui chient sur le Québec elle me traitait de gogo y'a rien qui fitait dans son discours
ah traitait de gogo, j'ai pas vu qu'elle traitait de gogo
je faisais juste retweeter ses affaires
pis là je la blastais, je l'ai traité de neurone isolé
j'ai été raide
mais en même temps j'étais comme
Chris, en même temps de Nosti Diol, viens pas m'écrire
pis
on dirait que c'était comme une journée
j'étais comme non, ça me tente pas
surtout parce que je faisais la promo pour Jean-Michel
je sais à quel point il a travaillé fort, fait que Jean-Michel
il recevait les réponses
dans les interactions parce que ça s'adressait aussi
à lui, les fréchis
qui nous parlent de Toronto
on dirait que quand c'est mes amis
qui se font attaquer, là je fais comme
ça me tente pas
moi j'ai eu, je faisais des shows
à Trois-Rivières.
Il y avait un gars le premier soir.
On est allé
dans un bar après.
Il y avait un gars, je pensais qu'il me niaisait.
Moi, à ce temps-là, je pense tout le temps que le monde m'anniait.
Je vais pour rentrer dans le bar
et il y a un gars qui est chambranlant.
Il est comme, je suis parti de ton show
pendant le show.
Il a le regarde super vif
fait que là je le regarde
pis je fais ah ouais c'est de la calice de marde
c'est de la calice de marde
pis je fais je suis parti pis j'ai fait
pas vrai là c'est le pécho du Québec
en ce moment y'a rien
d'aussi mauvais que mon show
pis il a fait je l'haïs ton show
j'ai vu tout pis là j'ai fait
non je sais il est nul à chier mon show.
Mais là, tu pensais qu'il niaisait encore.
Moi, je pensais qu'il niaisait.
Je pensais qu'il avait embarqué dans mon impro.
Moi, je pensais, tu sais, qu'on était Arnaud Soli
et lui, il était Christine Morassi.
Puis là, on allait surfer.
Puis là, il était comme, je sais, là, j'y ai ton show.
Puis là, c'est Preach qui a dit,
ah, mais peut-être que t'as juste,
t'étais pas assez allumé pour comprendre. » « Ah non, j'ai vu tous tes shows.
Avant, c'était bon, puis là, c'est mauvais. »
Puis là, moi, je voulais rebondir avec le gars.
Puis là, tout le monde a fait,
« Non, non, rentre en dedans. »
Là, le gars, c'est un stylo de mangeux de mort.
Puis après, il est venu me parler.
Puis j'ai fait ça deux fois ce soir.
Il y a deux personnes qui sont venues me voir,
qui étaient désagréables au bar, qui venaient me jaser.
Et là, ils me parlaient devant moi.
Puis là, moi, je mettais ma main en dessous de la table,
puis il y avait l'eau marée.
Puis là, en dessous de la table, je poussais l'eau marée sur eux autres.
Là, lui, il bougeait.
Là, il bougeait, bougeait, bougeait.
Puis c'était la première fois
que je faisais ça. J'ai fait de créer savoir bien.
Je faisais juste pousser le loup-marin
dans le monde. Mais lui, il savait que c'était pour ça que tu faisais ça.
Oui, oui, oui. Lui, il comprenait.
Même une des filles,
elle était fine, mais
elle était lourde. Trop intense.
Puis là, elle me parlait, elle me parlait.
Au début, puis d'habitude, le monde,
son fin, la première affaire, c'est
« Hey, j'aime bien ce que tu fais. » Puis après, c'est
« Moi, la barnaque. » Puis là, c'est n'importe quoi.
Puis après, c'était la première fois
que je voyais Lou faire ça. Au lieu de dire
« Hey,
je ne sais pas comment il a dit ça, il a dit
« Hey, pour de vrai, on est venus ici
parce qu'on pensait que c'était une place
tranquille, t'es vraiment lourde
pis t'es
Mike aime pas ça
pis là d'habitude j'aurais fait
alors moi ça me dérange pas
pis j'ai juste fait
effectivement c'était un peu
c'était vraiment là
elle était-tu au show ou c'est juste qu'elle a pas pu
non elle était pas au show. Elle était juste là.
Mais j'ai remarqué, quand le monde
sont sous, la première fois qu'ils
viennent me voir, ils sont gentils.
Rendu la troisième fois,
ils sont trop...
Je n'ai pas goût.
Ils ne comprennent pas que
tu veux passer une soirée de ton bar aussi
tu veux pas toujours être en train de
moi en plus je vais jamais prendre le drink
dans le bar, pis là j'ai fait
on va aller dans ce bar là vu qu'il y a de l'air tranquille
pis là c'était tout sauf tranquille
c'était désagréable
en même temps je t'ai tellement vu dans ces contextes là
t'es toujours fin et réceptif avec le monde
tu leur poses des questions, tu leur parles un peu
pour te gosser il devait vraiment être lourd.
Puis même, Chris, imagine le gars
qui m'a dit que j'étais le pire humoriste qu'il a vu de sa vie.
J'ai posé des questions formées.
Pour de vrai,
moi, ça me fait bien rire.
Mais peut-être
pour le gars, c'était
horrible, mais moi, je suis content.
Mon show, tu sais.
Il est un bon show.
Je l'ai vu trois fois.
Si ce n'est pas quatre, Pierre?
Tu vas aller le voir 15 fois, j'entends.
Si je refais une couple de fois sa première partie,
je vais aussi en parler.
J'avais fait ta première partie à Brossard.
Oui, tu as fait ma première partie à Brossard.
Jamais tu n'as besoin de moi.
Ah, tu voudrais-tu le refaire?
Je pourrais le refaire.
Juste à Brossard ou d'autres villes?
Dans le sens que quand tu es dans le coin,
je ne veux pas voler la place à quelqu'un
qui a fait plaisir.
Je vais appeler Preach.
Tu disais que tu voulais des fois avoir
deux premières parties quand tu es dans le coin,
mais je ne veux pas voler la place à quelqu'un
de la relève qui s'y ferait une belle tribune.
Moi, je pense que ce serait bon pour eux autres
qui apprennent qu'il n'y a rien d'acquis dans...
Je pourrais faire le number de preach.
J'arrive et je fais comme...
C'est pour ça que vous êtes venus
voir le show noir.
J'aimerais ça.
Je fais comme son gars.
T'arrives avec bien de l'énergie aussi.
Hey! What's up?
Les jokes de fourré des grosses
avec ton gros pénis.
OK, bien, je pense qu'on a le filon.
Là, le monde, ils sont comme, ah oui, j'entends pas, il y a un gros pénis.
C'est pas ça.
Hey, vos parcomètres sont-ils corrects?
Moi, c'est correct. J'ai mis deux heures avant
l'enregistrement. Je pense que je devrais
avoir une notification. Bon, ça fait qu'on devrait aller.
Ça veut dire ça, je pense, c'est le signe
que Pierre veut. Pierre vient de faire
ce que j'ai fait à l'Ou-Marin, il m'a poussé vers
Jean-Thomas. Non, pas de cas.
C'était juste éviter l'étiquette.
Et je viens de...
OK, il y a plein de questions
qui sont rentrées pendant le tournage
et ça...
C'est rare. Ça, c'est rare.
OK. C'est pas que c'est Jason qui Ça, c'est rare. OK.
C'est Jason qui t'es envoyé sur le flag?
Non, non, c'est le monde.
Aussitôt qu'ils posent leurs questions,
ça l'apparaît dans mon affaire.
Il y a...
Le monde veut savoir mon trip de moche.
Mais mon trip de moche,
il n'y a pas grand-chose à raconter.
J'étais... Improvisé, tu'étais le maître de l'impro
fais ton arbre au sol
qu'est-ce qui t'es arrivé
en passant, je vais juste
faire un peu un tease
en route vers Two Survivors
Mike
on a fait de l'impro
mais Mike
c'est l'improvisateur le plus incroyable de l'impro. Mais Mike, pour vrai, c'est l'improvisateur le plus
incroyable de l'histoire du Québec.
Parce qu'on faisait des mises en situation
d'impro où
j'ai dit, mettons qu'on était à Survivor
pis là je disais, mettons, t'es un plombier
de la Louisiana.
Fait que là,
on bump into
each other, genre sur la plage,
te voler du riz.
Bref, je ne spoilerai pas
le contenu. Moi, je suis tout le temps
extrêmement agressif.
Il voulait cruiser et tuer.
Chaque personnage
que j'avais voulait
soit te tuer ou t'inculer
de façon
agressive.
On a fait,
on a fait plusieurs mises en contexte
puis ça,
en fait,
dans les épisodes,
probablement dans
deux semaines ou un mois
parce que moi,
j'y sors aux deux semaines.
Oui.
Mais il y a des bottes
que pour vrai,
pour moi,
c'était des pièces d'anthologie
et c'est relié juste
à ta compétence
parce qu'à un moment donné,
pendant l'impro,
j'étais comme,
je fais juste
feeder la bête.
Je ne fais plus rien. C'était comme, je veux juste, on dirait que j'étais comme, je fais juste feeder la bête. Je ne fais plus rien.
C'était comme, je veux juste... On dirait que j'étais comme sorti du podcast. J'avais
juste le goût d'entendre Mike Ponchet.
Fait que j'étais comme, what are you gonna do?
Mike Ponchet.
Vois-tu, ça, c'est une affaire, par exemple,
je pense, une des raisons pourquoi je n'aime pas l'impro,
ça, j'ai aimé ça, puis je pense
que c'était correct. Puis tu sais, les impros,
il y a...
C'est que ça ne se voulait pas bon, non plus. Ça ne se voulait pas bon, mais Je pense que c'était correct. Les impros, il y a... C'est que ça ne se voulait pas bon.
Ça ne se voulait pas bon,
mais je pense que c'était bon.
La fois que je n'aime pas des impros,
souvent, quand tu vas voir le monde,
la vedette de son équipe qui est comme
« Je vais faire mon personnage. »
Là, il arrive avec
le personnage d'Alan
qui est rodé au corps de Thor.
C'est comme « Voyons, tabarnak!
Ça fait créer, à un moment donné,
fait de l'impro.
Mais en même temps, le prétexte, c'est plus
je veux avoir des mises en contexte
pour m'aider à pratiquer mon anglais.
Fait que t'as pas un fardeau d'impro, c'est juste
un atelier de conversation anglaise
où je te donne juste un contexte.
Mais là,
j'ai une question
ici pour Survivor.
Pour toi, qui vient de
Bavomi. Ah, un petit nom
cutie. OK.
C'est pas son vrai nom, en passant.
Regarde-tu les vidéos review
de Survivor faites par Sébastien
de Love Story 4?
Je sais que le gars
de... Non, je les regarde pas. Je savais pas qu'il était encore fan de Survivor. Mais je sais que le gars... Non, je ne les regarde pas.
Je ne savais pas qu'il était encore fan de Survivor.
Mais je sais que lui, quand il a appliqué à Love Story...
Je ne sais pas si tu te rappelles du personnage de Love Story
qui était comme un peu mean.
Tu n'écoutais sûrement pas Love Story.
Je l'ai plus ou moins écouté, mais j'avais entendu que ce gars-là
était un fan fini de Survivor.
Puis en particulier d'un personnage qui s'appelle Johnny Fairplay
qui avait participé à Survivor.
Oui, Johnny Fairplay, tu as une photo de lui chez vous.
J'ai une photo de lui, j'ai acheté son hoodie.
Je pense que je ne t'avais pas acheté une photo de lui.
Peut-être.
J'ai l'impression que je t'ai acheté de quoi de Johnny Fairplay.
Peut-être que quand tu m'as acheté
le sweat bonfire de Richard Hatch,
peut-être qu'il y avait Johnny Fairplay dans les autres options.
Ah oui, je ne l'ai pas pris.
Oui, tu as raison. Mais Johnny Fairplay dans les autres options. Ah oui, je ne l'ai pas pris. Tu as raison.
Mais Johnny Fairplay, c'est
comme quelqu'un qui avait... C'est un personnage
qui avait... C'est un gros fan de lutte
et il avait joué Survivor comme
c'était un personnage de lutte. Il y avait
comme... Tu sais, quand je t'ai déjà dit que
vers le deux tiers de la saison,
il y a comme un reward,
c'est un loved one visit,
ou quelqu'un de ta famille ou un ami
vient te visiter, puis si tu gagnes l'épreuve,
tu passes un peu de temps avec. Lui, il avait gagné l'épreuve,
puis il avait fait un stunt avec son ami,
il avait dit,
si je suis encore
en vie dans la saison
au moment où t'arrives,
fais-moi croire que ma grand-mère est morte.
Dis-moi que ma grand-mère est morte.
Il avait fait un stunt, puis le gars, il disait,
« Ah, she died, buddy. I'm sorry.
Your grandma's dead. »
Puis là, il avait pleuré,
puis ça avait comme attendri tout le monde.
Puis après ça,
il était comme réputé
comme un croisseur rendu là.
Il s'était mis à
jurer sur la tête
de sa grand-mère morte.
Puis là, tout le monde était
comme, ce coup-là, ça doit être vrai.
Puis là, dans ses confessions, il disait
She's alive and well.
She's probably drinking a brandy
while listening to this.
Fait que c'était comme, c'était un esti de bon,
il avait fait un esti de bon show TV.
Fait que ce gars-là, supposément, c'était un gros fan
de ce personnage-là. Fait qu'il avait été un peu
le méchant
à Love Story, mais j'ai
jamais écouté aucun de ses reviews, mais
ça m'intéresserait de
savoir c'est quoi. J'irais voir
si on m'envoyait les liens.
Puis la question de TripDumas,
on va finir là-dessus, c'est Stéphanie R.
Que moi, j'ai...
Je te l'avais raconté, quand je suis allé,
j'irais même pas le nom de la ville
parce que c'est weird.
La personne qui m'a donné le moche
m'a dit à peu près 20 fois,
« Là, là, dis pas que c'est moi. »
Puis là, j'étais comme,
« Je ne sais pas t'es qui, tabarnak.
Je ne sais pas t'es qui.
Non, non, mais là, dis-le pas.
Puis ne parle pas de mon chum.
Je ne sais pas c'est qui ton chum. » Parce que t'as un pocheur local, le gars, ou quoi. Non, non, mais là, dis-le pas. Ne parle pas de mon chum. Je ne sais pas qui est ton chum.
C'est un pocheur local, le gars, ou quoi?
Non, c'est juste...
C'est une fille et son chum,
et ils ne veulent pas perdre leur job.
Je te connais pas, tabarnak.
Je te connais pas.
On a pris les champignons.
Moi, j'étais vraiment chaud.
Puis là, je me disais, mais j'avais dit,
donne-moi ça en pas trop parce que je veux pas trop buzzer.
Puis là, il m'en a donné.
Puis là, je l'ai pris.
Puis je pensais que je n'avais pas pris le temps.
Puis là, je buvais puis je fumais.
Je fumais ma vapoteuse de potes.
Puis là, un moment donné, sa blonde a fait,
« Hey, pour vrai, arrête de fumer ta vapoteuse
parce que tu vas capoter. » Puis dans la soirée, je me suis a fait « Hey, pour vrai, arrête de fumer, t'avais un poteuse parce qu'il va capoter. »
Puis dans la soirée,
je me suis dit « Me semble que je ne suis pas gelé.
Je ne me sens pas gelé. » Puis là, elle m'a dit
« Regarde quelqu'un qui a pris du pot,
qui a mangé des champignons,
puis tu vas voir dans son regard
si t'es gelé. » Puis là, j'ai vu
au loin, Asti, JC
surette arriver. Puis là, j'ai regardé
ses yeux et j'ai ri
là. J'ai ri.
Asti, on se regardait les deux
puis on riait, puis on riait.
Puis après, on est rentrés dans le bar
puis il y avait, il y a un gars qui s'appelle
Pierre Guitard qui est un chanteur
que là, il veut
commencer à faire de l'humour. C'est un gars, il est super
fin. C'est un chanteur acadien,
vraiment talentueux. Il a gagné le festival
de la chanson de Gramby.
Et là, lui, il a retonté.
Mais je suis dans un bar, je suis gelé
que le tabarnak. Et là,
il me parle. Puis là, moi, je faisais juste...
J'y fixais la face
puis j'essayais de ne pas rire parce que
je riais à chaque fois. Je voyais tout le monde.
Lui, il était visiblement pas gelé.
Il était pas gelé. Puis là, un moment donné, il me regarde
puis il fait « Est-tu correct? »
Là, il me dit « C'est qui? »
Puis là, je suis parti à rire. Puis je m'en rappelle pas du reste.
Mais j'ai eu vraiment une belle soirée.
T'as-tu halluciné?
Non. Non, mais moi, dans ma tête,
j'ai pas buzzé tant que ça.
Puis après, je me rappelle plus
c'est qui qui me disait.
Je pense que c'est Lou Marin qui m'a dit qu'à un moment donné,
j'étais à l'hôtel dans le passage, assis dans le passage,
en train de rire fort, genre à 6 heures du matin.
C'est pas mal de champignons comme symptômes.
Mais tu sais, ça, je ne m'en rappelle pas.
Je ne m'en rappelle pas vu que j'avais bu.
Ah, vu qu'il a fumé par-dessus.
Mais j'ai eu bien, bien, bien, bien, bien du fun.
Puis Daniel Grenier a fait ma première partie,
cette semaine, à tous mes shows.
Puis il y avait un gars qui nous a écrit.
Il a écrit à Daniel, il a dit,
« Hey, j'ai amené du champignon pour toi et Mike.
Je vais le donner à Mike,
vu que je ne savais pas que Daniel allait être là. »
Puis là, Daniel a dit, « Parfait, je suis à son show. »
Puis finalement, le gars ne nous a pas donné le champignon.
C'est ça, mais c'est le fun.
J'aimais ça.
Du moche, parce que les fois que j'en ai fait,
j'ai l'impression que je n'avais pas de buzz,
mais j'imagine que...
Non, mais je n'ai parlé tantôt.
Mais je ne sais pas, je pense que je suis insensible.
C'est des champignons quand même.
Mais est-ce que, mettons,
quelqu'un qui a de la misère à dormir, ça pourrait-tu m'aider
ou c'est comme plus excitant
ou stimulant pour le cerveau
c'est stimulant
t'aider à dormir
mais quoi que
t'as une affaire qui t'aiderait à dormir pour vrai
c'est des edibles
c'est comme le buzz
mais edibles
t'es haché
non mais CBD
il n'y a pas de buzz avec ça.
Non, mais pour moi,
c'est plus pour me mettre en mode sommeil
et que le cerveau soit moins ajusté
et que je sois plus détendu.
Mais tu sais, THC, Edibles THC,
là, c'est comme un buzz,
c'est comme des champignons, mais vraiment mollo.
Ça, ça t'aide à dormir, c'est ça.
OK, donc tu penses que pour...
Parce que je suis en train de faire des tests en ce moment,
ça m'intéresse.
Tu penses que les meilleurs tests que je pourrais faire
pour m'aider à dormir,
ce serait plus avec THC.
Oui, oui, oui, vraiment.
Définitivement.
Tu sais, comme Jason, avant, il prenait...
Lui, ça, il prenait des pellules pour dormir.
Puis là, à cette heure, il a tout
réglé en fumant du pot.
Mais c'est que je ne veux pas fumer.
Non, mais des edibles.
Des edibles ou un spray.
Je vais écrire à Jason.
Je vais écrire à Jason pour savoir.
Je vais t'en amener demain, si tu en veux.
OK, c'est des edibles avec des petits morceaux de chocolat.
C'est pas une dose massive de THC.
C'est juste...
Tu sais, moi, la manière que je les ai coupés,
c'est ce que moi, ça me prend.
Moi, je te conseille la première fois
tu prends la moitié de ça
parce qu'il n'y a rien de pire que d'en prendre ton
il y a plein d'affaires pires que ça
le cancer puis genre
voir quelqu'un brûler devant toi
ça doit être pire un peu
mais tu sais
tu prends la moitié puis après t'attends
une heure puis si
t'aimes ton buzz,
puis le buzz va être vraiment mollo, là, tu sais.
Si c'est assez, tu n'en prends pas d'autre.
Puis si tu ne sens rien, là, tu reprends l'autre moitié.
OK.
Puis si tu ne ressens rien, là, tu reprends un autre quart,
tu sais, juste pour trouver la bonne dose.
La bonne équilibre.
Est-ce que ça te fait bailler, toi, le chocolat?
Bien, tu sais, quand il rentre, quand ça rentre?
Non, non, mais je sais que Preach il fait ça.
Moi ça me rend juste la gueule sec.
Ouais. Ah si que j'ai la gueule sec.
Moi ça me fait bailler
pis tu sais tu viens vraiment wow.
Pis à un moment donné ça se
stabilise là mais pour dormir
c'est parfait.
Ok ben non mais je pose des questions mais ça m'intéresse
parce qu'à ce moment les essais que je fais
sont pas fructueux.
Je suis ouvert d'essayer des affaires,
mais je ne voudrais juste pas avoir quelque chose
qui est potentiellement trop basant.
Non, tu ne prends pas trop de milligrammes de THC dedans.
Parce que les essais que j'ai faits
avec des trucs pour dormir,
je pense que c'était du trozodone
ou je ne sais pas quoi, ça me faisait faire des cauchemars épouvantables.
C'était de la médication.
Je dors peut-être plus,
mais mes nuits sont tellement agitées.
Je fais des cauchemars. Je rêvais
à ma mère sur son lit de mort.
J'étais comme...
J'ai peut-être dormi 9 heures.
Tu t'es endormi vite.
Tu t'es brûlé parce que tu as trop rêvé.
Oui, exact. Je me suis fait comme,
« Chris, c'est bien dégueulasse. Je suis tout le temps en soie.
Je ne veux pas revivre ces moments-là dans ma vie.
Mais j'ai peut-être dormi 9 heures, mais c'est un 9 heures zéro de qualité.
Mais tu endors-toi avec quelque chose,
de la musique ou du monde qui parle?
J'ai une application qui s'appelle Calm.
J'écoute genre pluie sur la vitre
ou des sons blancs
qu'on appelle.
Ça m'aide. Ça m'aide pour vrai.
Même quand je me réveille à 4h30,
5h du matin,
je remets ça, et ça me calme.
C'est un son constant
qui n'est pas agressant.
Il y a aussi Balène à bosse.
Je trippe moins avec lui.
De temps en temps, je fais comme ça.
À chaque fois qu'il y a un « ouuuh », je me réveille.
Ça te prend de quoi de constant?
Constant, oui. Mais Balène à bosse,
ça se veut quand même une bande audio pour le sommet.
C'est un son constant, mais gossant à chaque fois.
Il me réveille.
Il y en a un qui c'est comme un orage citadin.
Il est comme à New York.
Il est tonnerre.
De temps en temps, il est tonnerre.
Il est en train de klaxonner.
Il est en train de klaxonner.
Je comprends que les klaxons viennent de temps en temps,
mais à chaque fois qu'il y a un 7 secondes sans klaxon,
si je m'endors, je vais me réveiller après 7 secondes parce qu'il y a une autre crise de klaxon.
Tu payes-tu
pour le cam ou tu as la version gratuite?
Non, je paye.
Est-ce que masturbe-toi avant de te coucher?
Ça va dormir? Oui, de temps en temps,
c'est ça que je fais. Ça dort bien?
Oui, mais moi, le problème,
ce n'est pas de m'endormir, c'est
je me réveille trop tôt et je ne me rendors plus. ce n'est pas m'endormir, c'est que je me réveille trop tôt
et je ne me rendors plus.
Je n'ai pas de misère à m'endormir.
C'est le matin, après mon petit pipi de vieillard,
à 7 heures du matin.
Tout le monde pisse le matin.
Oui, mais toi, tu es une des personnes
les plus âgées que j'ai rencontrées.
Toi, tu dois te lever 60 fois dans la nuit.
Minimum deux fois.
En moyenne, trois. Chris, à Noël, je vais tâcher Un minimum deux fois. En moyenne, trois.
Chris, à Noël, je vais tâcher une petite sonde.
En moyenne, trois.
Ça veut dire que des fois, c'est quatre.
Ça se peut.
Mettons deux, trois par nuit.
Chris, lui, son cardio, c'est se lever la nuit.
Je suis top-shake.
Je suis fucking top-shake.
Ton exercice, c'est de te lever pour aller pisser.
C'est fatigant.
C'est entre une et deux. C'est plus souvent deux
que une, mais dépendamment si j'ai bu beaucoup d'eau
avant de me coucher, ça va être deux.
En fait, c'est quand parfois
mon deuxième
ou mon premier pipi
est trop autour de 6h45,
7h05 et 10h.
Là, dans un no man's land, je ne m'endormirais pas.
On dirait que si je vais pisser
à 6h, je fais comme ça, je vais m'endormirais pas on dirait que si je vais pisser à 6h je fais comme ça
tu peux pas le retenir
non non je me réveille
je me rendormirais pas
j'ai trop envie
Mike qui brag avec sa vessie top notch
je vais jamais pisser la nuit
moi je pisse pas la nuit
non je pisse pas même
pis là en ce temps je suis mieux pour les pisser la nuit
jamais
c'est un
risque humanoid robotique et je sais que c'est moi et c'est tu vois jamais
autre parce que c'est rare c'est rare je vois toi le vrai mais ce que les gens
disent les gens qui vont pas pisser la nuit ce sont des imbéciles
Chris Chibria ouais toi t'es
je te surdouais
t'es l'homme le plus intelligent du Québec
je te surdouais
tu vas tellement aux toilettes
même ta blonde doit faire
il fait de la poudre
il est en train de faire de la poudre
je vais faire de la poudre la nuit
toi quatre petites lignes de la nuit.
Yes.
On va finir là-dessus.
Merci beaucoup.
On finit là-dessus.
On va-tu faire pipi
puis après on t'en veut une fin?
Ah oui, non.
Merci tout le monde.
Tu n'as pas quoi faire.
T'as le temps pour rien. Tu n'as pas quoi faire. T'as rétent pourri.
J'ai bien.
Si t'aimes entendre moi
et Jean-Thomas ensemble,
et tu trouves qu'il n'y en a pas assez.
Cette semaine, il y a eu dimanche,
il est sorti un sous-écoute
avec Jean-Thomas. Là, aujourd'hui,
il y a eu un vous-écoute
avec Jean-Thomas. Mais tu fais, il me semble,
deux shows avec Jean-Thomas par semaine, c'est pas assez
j'en ai un troisième pour toi
va écouter le podcast
En route vers tout Survivor
c'est Jean-Thomas Jobin
et moi, c'est moi qui donne des leçons
à Jean-Thomas pour y apprendre
l'anglais, pour perfectionner son anglais
pour qu'un jour il aille à l'émission
Survivor et
qu'il se fasse humilier
parce que c'est tous des athlètes de 22 ans
et un vieux garçon de 44.