Mike Ward Sous Écoute - JEAN-THOMAS ET MIKE VOUS ÉCOUTENT #26
Episode Date: January 23, 2020Jean-Thomas et Mike sont en studio pour répondre à vos questions.Pour visionner "Apprendre à s'aimer", le dernier spectacle de Jean-Thomas Jobin:https://sorsavec.caAbonnez-vous à En ro...ute vers-To Survivor:https://www.youtube.com/channel/UC8G3VIykbaXXQtgLDOAW6tAPour acheter des billets du nouveau spectacle NOIR:https://mikeward.ca/--------Boutique en ligne - http://sorsavec.comPatreon - http://Patreon.com/sousecouteTwitter - http://twitter.com/sousecouteFacebook - https://www.facebook.com/sousecoute/instagram - https://www.instagram.com/sousecouteTwitch - https://www.twitch.tv/sousecouteDiscord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
Bienvenue à un autre épisode de Jean-Thomas et Mike vous écoute.
Moi, je suis présentement en tournée.
Jean-Thomas n'est pas en tournée,
mais si tu veux voir l'excellent one-man show de Jean-Thomas Jobin,
Apprendre à s'aimer,
tu cliques le lien dans la description pour aller voir son show sur YouTube.
Il a mis ça sur YouTube.
C'est gratuit pour tout le monde.
Il a poigné comme 30 000 views, est-il, les deux premiers jours. C'est vraiment un excellent show. C'est gratuit pour tout le monde. Il a poigné comme 30 000 views les deux premiers jours.
C'est vraiment un excellent show.
C'est gratuit pour tout le monde.
Si tu veux le downloader, si tu veux l'acheter,
tu vas sur sarawek.com
ou sarawek.ca.
Je pense les deux te rendent là.
Moi, si tu veux me voir en show,
je suis en tournée en ce moment
avec mon spectacle noir.
Je suis pas mal sold out.
Tout le temps, un mois ou deux d'avance.
Dans les prochains mois, il me reste encore des billets.
Le 29 février, je suis à Trois-Rivières.
Il reste des billets dans la dernière rangée.
6 mars, il reste encore des billets au balcon pour Drummondville.
Je m'en vais faire une run en Abitibi avec Yann Thériault
qui va venir faire mes premières parties.
Je vais avoir Preach et Yann.
Ça, il reste des billets à Lassar le 26 mars,
à Amos le 28 mars
et à Matagami le 30 mars.
Ils n'ont même pas commencé à vendre leurs billets.
Je pense que Matagami fait la crosse
de quand je sold out
partout ailleurs, là, ils vont
ouvrir des billets vu qu'ils savent que
personne ne veut aller à Matagami.
Mais tu y vas quand tu n'as pas le choix. Moi, je vais être là. J'ai savent que personne veut aller à Matagami. Mais tu y vas quand t'as pas le choix.
Fait que moi, je vais être là. J'ai très hâte
d'être à Matagami. J'ai plein d'autres
dates. Allez sur mycord.ca
pour les billets.
Ah, all right!
De retour en studio!
On est en studio, oui.
Hey, salut, Jean-Thomas.
Ça va bien?
Ça va très, très bien.
Entre les deux épisodes des T'allais faire pipi,
y as-tu une anecdote croustillante?
Non, j'ai pissé, puis après j'ai renversé de l'eau.
Puis t'es retourné à la salle de bain pour essuyer ton dégât.
Mais c'était pas vrai. J'ai fait par exprès renverser de l'eau. Puis t'es retourné à la salle de bain pour essuyer ton dégât? Je suis retourné à... Mais c'était pas vrai.
J'ai fait par exprès renverser de l'eau
parce qu'il me restait une petite goutte.
Ah, OK. T'en vieillissants, des fois, t'en pognes pas
tout le temps. OK.
Puis là, j'ai fait... Asti, j'avais peur
que quelqu'un remarque, fait que j'ai renversé de l'eau.
Je l'ai comme essuyé vers mes
pantalons. OK, fait que la goutte
a transpercé le jeans. Non, non, non.
Non, j'avais pas de goutte. Moi, je fais
vraiment attention pour les gouttes.
Moi, un coup que j'ai fini, là... C'est bien bien secoué.
Tu sais, mettons, je pisse. Moi, je pisse rapidement.
Bravo. Mais... Ouais, brag.
Mais après ça, un coup que j'ai fini,
j'a secoue longtemps.
OK. J'ai vraiment de l'air...
À l'urinoir, j'ai de l'air d'un gars qui aime
trop être là. Mais quand tu dis
je pisse rapidement, y'a-tu vraiment du monde qui pisse lentement? Ben toi! J'ai l'air d'un gars qui aime trop être là. Mais quand tu dis « je pisse rapidement »,
y a-tu vraiment du monde qui pisse lentement
à partir du moment où j'ai déclenché?
Ben non.
Toi, j'ai jamais vu un humain que ça prend longtemps de même.
Tu sais, tu pisses comme mon père
quand il venait de sortir,
quand il venait de se faire opérer à la prostate.
Non, mais...
As-tu un problème de prostate?
Absolument pas.
Par contre...
Mais t'as même du petit jet de fruit.
Un petit break.
Ça, c'est la conclusion. C'est pour être sûr que
moi, mes gouttelettes, c'est des
énormes jets.
Ah, OK. Fait que toi, tu as un jet normal
puis après, tu as 150.
Mais c'est des...
C'est pas des...
Mais ça, ça m'avait marqué.
On était à l'Eurédoire. Là, c'était long, c'était long. Là, je suis rentré aux toilettes Bain, est-ce que tu... Non, mais ça, ça m'avait marqué. On était à Luridouin. Là, c'était
long, c'était long. Là, je suis rentré aux toilettes
et là, j'entends juste
pisse, pisse, pisse, arrête.
Pisse, pisse, pisse,
arrête. Mais ça, c'est quand j'ai
énormément bu
d'eau, mettons, quand on
tournait des en route vers Survivor, mettons,
quand je vais à la salle de bain à Pau, j'ai bu
beaucoup d'eau, puis là, j'ai vraiment envie.
Il y en a beaucoup à sortir.
Mais en général, je ne suis pas...
Moi, c'était au tennis que tu avais pu se mettre.
Ah oui? OK.
Vu qu'en route vers Survivor, au terminal,
il y a des toilettes privées,
donc il faudrait vraiment que...
Ah, tu es bien capable.
Que je dise au monde,
dans ma musique.
Je vais attendre que tues, des secousses.
Au tennis, je sais pourquoi.
C'est que c'est des urinoirs
et j'ai vraiment un urinoir fright.
Ah, c'est du...
Ça prend longtemps avant de déclencher.
Une fois que c'est parti,
il n'y a pas d'arrêt.
Mais le début est laborieux
parce qu'on dirait que ça me gêne.
On dirait que ça m'angoisse.
J'ai comme une angoisse d'urinoir.
Toi, en deux périodes au centre-ville, ça va pas bien.
Non, mais moi, j'essaie toujours d'aller
prendre les toilettes.
Les gens pensent que je chie, mais je chie pas.
Je pisse debout.
Parce que chez nous, je pisse assis,
mais au centre-ville, je vais pisser debout.
C'est dégueulasse.
Mais oui, c'est ça.
Moi, ça va super bien. C'est justeout. C'est dégueulasse. Mais oui, c'est ça. Moi, ça va super bien.
C'est juste qu'il faut que je la secoue
longtemps.
C'est une belle intro quand même.
C'est chic.
Ça existe.
C'est la vie. En même temps,
il ne faut pas oublier
que la vie continue et que nos pénis
continuent à être secoués. Et qu'il y a de la pisse dans la vie.
Excellent.
Oui, exactement.
Je vais commencer avec une question de Frank Castle
qui veut savoir, bonjour à vous deux.
J'ai souvent entendu parler des règles de trois en humour
dans le podcast.
Qu'est-ce que c'est?
C'est une règle de trois.
Non, une règle de trois, c'est-ce que c'est? C'est une règle de trois. Non, une règle de trois, c'est
que
c'est le troisième élément
de l'offrande. C'est le gag,
c'est ce qui détonne des
deux premiers éléments. Je ne sais pas si
ma blonde m'a laissé parce qu'on ne sortait pas,
parce que je n'étais pas romantique
ou parce que j'ai fourré son père.
Tu sais, il ne manquait pas
un élément? Non. Oui, non, le troisième, père ». Tu sais, il ne manquait pas un élément.
Non.
Oui, non.
Le troisième, pas romantique.
Je ne la sortais pas.
Ah, OK.
« J'ai fourré son père ». Je ne sais pas si ma belle-mère ne m'aime pas
parce qu'elle a un problème d'attitude.
Elle n'aime pas le monde.
Ou par « j'ai fourré son mari ».
C'est que des jokes de…
Chris, je vais vous le dire.
« J'ai fourré le père à Marie ».
Lui, il va comprendre que la règle de trois, c'est qu'il faut toujours que tu dis dire, j'ai fourré le père à Marie. » Lui, il va comprendre que
la règle de trois, il faut toujours que tu dises
« J'ai fourré son père
à son mari. »
Ça peut être, moi,
j'essaie de passer.
Ça peut être, mettons,
sur mon testament, j'ai laissé à ma femme
tout mon argent, tout mon immobilier
et du vinaigre balsamique.
C'est pas très drôle, mais c'est ça.
Tout mon argent, tout mon immobilier et du vinaigre balsamique. C'est pas très drôle, mais c'est ça. C'est ça.
Tout mon argent, tout mon immobilier et du vinaigre balsamique.
Règle de trois
plus absurde.
C'est vrai que tu te souviens en disant,
pis là-dedans, il y a deux mensonges.
Il y a deux mensonges un peu
exagérations, pis il y a une chose vraie, vraie, vraie.
Non, mais le pire, c'est que ça me fait penser à quelque chose.
Maintenant, je ne sais pas, j'avais déjà raconté,
je pense que j'ai déjà raconté quelque part
ou j'ai déjà pensé le raconter,
ou j'ai déjà pensé le faire surtout.
C'est de laisser, une fois que je suis décédé,
je laisse une quantité un peu exagérée d'argent à quelqu'un
qui fait comme, what the fuck, genre Philippe Fimieux,
que je connais à peine, que j'ai croisé
une couple de fois, il vient à la lecture
du testament, pis là, bon, ma soeur a tant,
et Philippe Fimieux, 400 000,
hein?
Tu laisserais-tu plus
à Philippe Fimieux que ta soeur?
Ce serait mal que je laisse une pièce de plus à Philippe Fimieux.
Pour que le gag,
mais pour que le gag marche,
il faut que t'en laisses plus.
Il faut que j'en laisse plus.
Mais aussi, quand même, lui,
il fait comme...
Qui se fait inviter, en plus,
au lecteur.
Pourquoi je viens?
C'est moi qui ai le plus de cash ici.
Vous êtes-vous parlé souvent? Pas vraiment.
Deux, trois fois.
T'as-tu déjà écrit beaucoup?
Tu l'appellerais-tu, mon beau bébé,
pour laisser faire comme...
Ben, je pense que c'est plus drôle
s'il n'y a pas d'insultation homosexuelle.
Juste ça.
Je t'aimais bien, buddy.
Je t'aimais bien.
Je ne t'avais jamais dit,
mais j'ai toujours aimé ce que tu faisais à la radio.
400 000. Il a 400 à la radio. 400 000.
Il a 400 000.
Je sais pas.
Moi, ça me fait quand même rire.
Astiq, c'est drôle.
Toi,
t'en as-tu un? Je sais pas si on en a parlé de ça aussi. T'en as-tu un testament?
Oui, je pense qu'on en a parlé en route vers Sovereign.
J'ai un testament depuis le décès des miens.
J'ai fait un testament rapide,
parce que s'il arrivait de quoi à moi et ma soeur,
ça serait bien compliqué.
Parce que vu que mes parents sont décédés de façon rapprochée,
puis que mon père est décédé en premier,
puis il laissait tout à ma mère,
mais il laissait un petit quelque chose à ma soeur et à moi,
mais il laissait tout à ma mère.
Ma mère est décédée, ma mère nous laissait tout.
Mais vu que le testament de mon père n'était pas fini,
c'était vraiment compliqué.
Puis là, s'il y a un de nous deux,
il arrivait de quoi un de nous deux?
Ça aurait pris une tonne de temps d'émêler ça.
Le gouvernement serait embarqué,
il aurait eu la tutelle
parce qu'il y avait quelque chose qui n'était pas officiel.
En tout cas, bref, c'était compliqué.
Ça fait qu'on a fait le fond de nos testaments.
C'est imposable, un héritage?
Non.
Moi, il y a une affaire que j'ai décidée
cette semaine que je vais faire.
C'est que, tu sais, moi...
En fait, je vais nuancer quelque chose.
Ce n'est pas imposable.
Excuse-moi, je t'ai coupé, Mike,
mais je trouve ça important.
Si, mettons, il y a des placements,
que tes parents te cèdent tes placements
ou un être cher te cède ses placements
et qu'ils ne sont pas vendus,
lorsqu'ils sont vendus pour clore l'héritage,
les revenus du placement sont imposables.
Mais pas le montant initial.
Mettons que tu as mis 500 000 dans un placement
et qu'il est rendu à 625 000.
Lorsque tu le vends, le 125 000 est imposable,
mais pas le premier 500 000.
Toi, as-tu
un testament?
Oui, j'ai un testament parce que j'ai trois enfants.
Puis, tu es une personne âgée.
Oui, j'ai ma carte de la FADOC.
Oui, c'est vrai.
C'est tout récent, non?
Oui, je m'y suis abonné à FADOC.
La FADOC.
Ça, c'est
l'affaire des personnes âgées.
La Fédération des personnes âgées du Québec.
Ben, regarde, j'ai ma carte.
Mais Fédération des personnes âgées,
c'est pas FADOC.
Non, de l'âge d'or.
Ah, l'âge d'or.
J'ai bien gêné quelque part.
L'âge d'or.
Tu sais, âge d'or, c'est tellement...
La FADOC. Moi, j'est tellement... La fadoque.
Moi, j'espère que le lettrage, il est énorme.
Moi, non.
Il est assez gros.
Il est assez gros.
Le moule, il est gros.
Non, mais...
Ah, mais en arrière, ça, ça veut dire
qu'il faut que tout le monde fasse...
Exact.
Moi, le premier, mais...
Tu sais...
Tu sais pas quand qu'il expire.
Non, non, ben, je l'ai pris... C'est à ton qu'il expire. Non, non.
C'est à ton destin, je pense.
Non, non.
Je l'ai pris pour un an.
Il voit qu'il sait pas
quand ça expire
parce que ça expire
en 2017.
Ça expire en 2017?
Non, non, non.
Pas tard.
Je voulais juste
qu'il le jette.
Mais ça donne accès
à des rabais
dans des cinémas.
Des rabais.
À l'hôtel,
au cinéma.
À l'hôtel? Ben ouiéma. À l'hôtel?
Ben oui.
Un rabais de quoi, genre?
Ben, je suis allé à Bromont,
où la semaine passée,
ou la semaine, je ne sais pas trop,
une fin de semaine,
puis le dimanche soir, c'était à 25 % de rabais.
Ah, oui.
Parce que tu es vieux.
Pas tout le temps, mais...
Moi, avoir un hôtel,
je ne donnerais pas de rabais pour des personnes âgées.
Juste le fait de...
Tu sais, une personne âgée qui dort chez vous
plus que trois jours,
il faut rouvrir les fenêtres après.
Ça vient avec un odeur.
Là, je te parle du monde de 97.
Pierre, il y a des drafts, des fois, quand même.
Des drafts de 55?
Dans le studio, il y a une draft de 55.
Une petite draft de 55.
Une draft de London Live qui vient drafter.
Ça, ça serait drôle, dans le temps,
des drafts de London Live.
T'es-tu moi dans...
C'est quoi, tu... Voyons donc, tabarnak!
On se lave
plus à tous les jours.
L'hygiène a débarqué où?
T'as-tu le calage que t'arrêtes d'être lavé?
C'est quoi ça?
Avoir une machine à voyager
dans le temps, j'irais dans le futur.
Juste me sentir pour voir...
T'as gardé ton hy voir. OK. Là, là...
Tu as gardé ton hygiène stable.
Après, je m'enverrais,
mettons, 50 lettres, puis ça serait marqué
à ouvrir à 49.
À 50. Oublie pas de te laver.
Puis là, à 52, c'est
six fois par jour.
J'attends mon...
Tu prends combien de douches ou de bains par jour, toi?
Moi, j'en prends juste un.
Un bain?
Mais il dure une heure.
Tu prends un bain par jour d'une heure?
Je suis dans l'eau minimum une heure par jour.
Puis est-ce que tu te savonnes...
Est-ce que tu prends aussi une douche à la fin
ou tu te savonnes dans le bain?
Je me savonne dans le bain.
Puis le rinçage,
t'as pas peur qu'il y ait des particules qui restent?
Moi, je suis assis dans ma marbre pendant un an.
Il tremble dans sa marbre.
Moi, mettons si je sens ma peau et qu'elle pue,
je dis « Ah, je pue ici, mais je ne pue pas là. »
Après un an dans le bain, partout pareil.
Je suis le seul gars qui sent du dessus de bras
des pieds.
Ça serait drôle, ça,
que mon dessus de bras, il sente les pieds.
Excusez,
t'as-tu des Dr. Scholl, mais pas long?
T'as au moins des petits Dr. Scholl?
Moi, une affaire que je fais
vraiment moins qu'avant,
mais que c'est fou à quel point j'ai du gaspiller
de l'eau, je m'excuse pour la planète,
mais c'est...
Puis j'aime encore ça, je le fais encore des fois pour la détente,
quand je suis un peu stressé. Je le fais
beaucoup moins longtemps qu'avant. C'est que
je m'installe dans la baignoire
avec la douche téléphone.
Je ne fais rien comme une fille, mais
je la fous sur mon chest
et c'est comme si c'était un genre de doudou.
C'est quand même un massage.
C'est quand même un massage.
Parce que quand tu rentres dans un bain,
Mike, il reste une heure,
il y a sûrement des trucs
où je ne sais pas trop
ce qu'il fait pendant une heure.
Mais moi, j'aime ça des bains
ou un spa chez nous.
J'aime ça, mais pas si...
Les spas, si tu es avec du monde
et que tu prends un verre,
c'est cool longtemps.
Mais un bain qui n'est pas un spa,
qui n'a pas de jet,
parce que les jets, souvent, ça ramène de l'eau chaude,
ça la gigote, ça la brasse.
Mais un bain normal...
Moi, je rajoute de l'eau chaude aux cinq minutes.
Oui, mais tu es d'accord quand même que c'est l'entrée dans le bain
qui est la plus le fun, le premier 45 secondes,
il est comme orgasmique.
C'est que moi, j'écoute tout le temps de la télé ou un film.
Dans le bain.
Dans le bain.
Puis là, à ce temps-là, j'ai commencé à faire…
J'écoute de la musique, chose que je ne faisais jamais avant.
Puis ça, j'aime ça encore plus.
Mais c'est une belle place pour écouter des podcasts aussi dans le bain.
C'est parfait.
Mais tu sais, là, de 5 sites, j'écoute juste de la musique un peu down-ante,
juste pour relaxer.
Mais dans la douche, moi, il y a une affaire que j'aime,
c'est que je me mets de dos au jet, puis je l'ai juste sur la nuque.
Ça, je pourrais passer, est-ce que tu as quatre jours à faire ça?
Non, non, moi, j'adore ça.
Puis des fois, mes parents, quand j'étais jeune,
ils étaient comme, t'es encore dans le bain? »
C'était ridicule.
J'allais prendre deux, trois douches.
Je ne faisais rien de louche.
Je faisais juste prendre la douche téléphone,
la coller sur le chest,
puis je restais en cuillère avec la douche.
Pour gaspiller l'eau, au Québec,
on a beaucoup, beaucoup, beaucoup d'eau.
Oui, mais c'est quand même...
Moi, j'avais comme été porte-parole du programme d'économie
d'eau potable à un moment donné, puis que
l'eau n'est pas une ressource si inépuisable
qu'on pense, c'est quand même important de faire attention.
Moi, j'essaie de faire attention, mettons, quand...
Ben, justement, de ne pas prendre des douches interminables,
puis quand je me brosse les dents, de fermer le robinet,
le temps que je me brosse les dents,
puis je leur ouvre pour me rincer.
Tu flushes-tu? Tu sais, comme Maxime Martin, tu vas chez eux,
si c'est juste de la pisse, il ne flush pas.
Non, je flush.
Je trouve ça insupportable.
Quand tu vois, c'est le monde.
Moi, je flush et j'utilise la version chiée.
Tiens, mon tabarnak.
Il y a une version chiée?
Le petit piton, c'est pour pisser.
Il n'y a pas beaucoup d'eau.
Quand il y a un cercle,
il y a deux pitons. Tu qu'il y a comme une grosse section
puis une petite section
toi tu as le vieux système de gaspiller l'eau
ça ça gaspille
ça ça gaspille en tabarnak
horrible
je ne savais même pas que la petite rondelle
tu avais deux options
à chaque fois que tu flushes la toilette
il y a un enfant en Éthiopie
qui meurt de sida.
Et de soif.
Ça donne soif, le sida.
Ben oui, ça déshydrate.
Le monde ne le sait pas.
Premier symptôme du sida,
la soif.
Ah bon?
La soif.
On en a préparé.
Mon pote, c'est le diabète,
mais c'est le sida.
Comment?
Petite gorgée d'eau.
Ben, il m'avait donné soif.
Ben oui.
Tu vas avoir le sida. Tu vas gaspiller l'eau. Voilà. Vois-tu, moi, je bois moins que toi. Comme? Petite gorgée d'eau. Bien, vous m'avez donné soif. Oui, oui. Tu vas avoir le sida.
Tu vas gasper l'eau.
Voilà.
Moi, je bois moins que toi.
Comme ça, je peux prendre des douches d'honneur.
Oui, mais là, en plus, je ne devrais pas boire ça ici.
Il y a quelqu'un qui a marqué ça dans les commentaires.
Je devrais amener ma gourde d'eau.
Mais c'est de la vitre, ce n'est pas du plastique.
Oui, mais que je pourrais re-remplir. Moi, non. Oui, c'est de la vitre, ce n'est pas du plastique. Oui, mais que je pourrais re-remplir.
Moi, non.
C'est vrai.
Moi, on dirait que je suis tanné du monde.
Tu devrais faire ça, tu devrais faire ça.
L'année passée, il y avait quelqu'un
qui m'avait dit...
Tu devrais mourir.
La fois qu'on avait été au tennis,
l'heure et demie que tu étais en train de pisser
et que j'attendais tout seul au bar,
il y avait une fille,
je ne me sers jamais de cette carte-là,
mais tu sais,
j'avais une bouteille d'eau en plastique,
elle vient me voir et elle est comme, tu ne devrais vraiment pas boire
de l'eau en plastique.
Puis là, j'ai fait une bouteille en plastique
et j'ai fait, ouais, mais tu sais,
c'est eux autres
qui m'ont donné ça.
Oui, mais tu aurais pu amener ta gourde.
Puis là, j'ai fait OK.
Bien oui, j'aurais pu amener ma gourde.
Mais elle avait un kid, puis elle mange de la viande.
Puis j'ai fait, pour vrai, pour l'environnement,
la pire chose, c'est d'avoir un enfant.
Puis, je ne mange pas de viande, je n'ai pas de kid, j'ai... Asti, je mange pas de viande,
j'ai pas de kid, j'ai un char électrique.
Fait que laisse-moi avoir mon gros
tourbasse puis mes bouteilles d'eau.
Je fais ma part
sur plein d'affaires, d'autres affaires.
Chris, moi, patiente.
Tu vois, il t'en a des conversations aussi quand je vais pisser.
Je vais aller pisser plus souvent.
Non, non, mais j'essaie de...
J'aime mieux s'il y a une bouteille d'eau,
je vais prendre une bouteille d'eau.
Ou chez nous, quand je vais à quelque part,
je vais me remplir mon truc d'eau.
Mais je trouve qu'il y a trop de monde
qui essaie juste de te faire filer.
Oui, c'est juste que c'est fatigant.
Tu sais, quand tu fais plein de gestes,
tu en fais des gestes et tout,
et il y en a un que tu ne fais pas.
C'est incroyable.
Puis la réalité, si tu voyages un peu,
tu vois que
le Québec,
on n'est tellement pas beaucoup de monde.
C'est comme si la planète,
c'est une grosse, grosse, grosse maison.
Nous autres, on est un petit garde-robe
qui fait attention d'être propre.
Puis l'Inde qui est le salon,
puis la Chine qui est la cuisine.
C'est un désastre.
Moi, quand j'avais été en Afghanistan, je le dis souvent, puis la Chine, qui est la cuisine. C'était un désastre, ce style. Oui, oui, non, je suis d'accord.
Moi, quand j'avais été en Afghanistan,
tu sais, je le dis souvent, ce style d'anecdote-là,
mais je cherchais le recyclage pour ma bouteille d'eau.
Puis là, là...
Mais j'avais vu une affaire, ça marquait plastique, papier,
puis j'ai fait, « Chris, c'est bien cool. »
Puis là, j'ai dit, j'ai fait,
« C'est bien cool, vous savez, du recyclage. »
Puis en fait, « On n'a pas de recyclage.
Le papier, on le brûle, le plastique, on l'enterre. » Puis j'ai fait, « Ahest bien cool, vous savez, du recyclage. Puis en fait, t'en as pas de recyclage. Le papier, on le brûle. Le plastique, on
l'enterre. Puis j'ai fait,
ah, bien, Chris, all right.
J'aurais dû amener ma gourde.
T'as-tu une question?
J'en regardais, justement.
Je la lis, puis je l'ai même
pas lu avant, fait que je sais pas si elle est bonne.
Mais Rocky Baloney
demande... Rocky Baloney demande...
Rocky Baloney.
Salut Mike de Heartbreak Kid
et Jean-Thomas de ZigZag Photomaker.
Faites-vous des exercices d'articulation
et si oui, lesquels?
Chris, que non.
Moi, non.
Toi, non, c'est sûr que non.
D'articulation.
C'est l'addiction qu'il veut dire.
Ah!
Des exercices d'addiction, probablement.
Ah, OK. Ça fait plus de sens.
Je pensais des exercices matinaux.
Ah, mes articulations sont un peu
atrophiées. Non, mais il veut dire, oui,
la...
Pour la mouche lourche.
La mouche lourche.
J'en sais jaser.
Oui, oui.
Les chemises de l'archiduchesse sont-elles sèches ou archi-sèches?
Il y en avait une phrase que je trouvais mêlante, c'était…
Celle-là est plus facile à dire si tu dis « sec ».
Moi, dans le fond, ce que des fautes de français je fais,
c'est que je veux parler de façon impeccable.
À linge, au gars, il est-tu sec ou il n'est-tu pas sec?
Alain Joga, il est-tu sec ou il est-tu pas sec?
Mais il y avait une prof de
de voix et de
de diction
à l'école de l'humour
tu l'as-tu eu aussi?
Oui. Qui nous faisait faire des exercices
moi j'ai eu des cours
je les fais pas assez régulièrement
Hélène, elle nous avait donné quand même quelques bons trucs
puis elle nous avait suggéré
ça je le fais encore
des fois quand je manque de salive, de mordre la langue
quand, mettons, je suis un peu grippé,
etc. Ah oui, je me rappelle de
cette affaire-là. Mordre la langue, c'est assez efficace.
Mais je ne fais pas ça.
De vrai, parce que je trouve que tu as l'air de manquer de salive.
La plupart de tes shows, je t'ai vu récemment.
Mais tu sais, répète ça au monde, c'est que
si tu manques de salive, tu mords ta langue
et après la salive revient. La salive revient,
pas pendant une heure et demie. Mais quand le monde
te voit, tu as de l'air d'un déficient intellectuel.
Oui, bien c'est ça.
Il ne faut pas que tu le toines.
Il faut que tu le fasses subtilement en deux phrases,
pas pendant. Hey, c'est une fois un gars qui a...
Comprends-tu?
Moi, je pense qu' il faut qu'un coup
que tu te mords la langue
c'est suivi d'un
bonjour
je suis désolé
comme sur start
à zéro
mais
puis
j'avais eu des cours
aussi
j'ai fait le cours
du CRTQ
à Québec
le collège radio
de Québec
puis il y avait
un prof
qui s'appelait
Alex Lavoie
qui m'a beaucoup coaché
pour l'addiction,
l'articulation. J'ai tendance
à parler avec une patate chaude dans la bouche.
J'ai encore ce défaut-là aujourd'hui, mais je pense
que c'est vraiment moins pire qu'avant. Puis dans ses cours de radio-là,
c'était la pose,
la voix,
bien articulée, bien prononcée,
certaines syllabes. Il se fâchait des fois, mais moi, j'étais un de ses élèée certaines syllabes il se fâche des fois mais moi j'étais un
de ses élèves préférés parce que je suis ben il se fâche après certains élèves qui écoutait pas
ou qui apprenait pas des des cours qui donnait qui reconnaît pas mettons telle syllabe de prononcer
de telle manière je me rappelle qu'il fallait faire dans un souffle comment ça s'appelait
donc c'était oui c'est ça se fallait dire j'ai à peu près 12 strophe danselait? C'était... Oui, c'est ça. Il fallait dire, j'avais à peu près 12 strophes
dans un souffle.
C'était...
Rome, l'unique objet
de mon ressentiment.
Rome, à qui vient ton bras
d'immolé, mon amant.
Rome, qui t'a vu naître
et que ton corps adore.
Rome, enfin que je n'ai
parce qu'elle t'honore.
Puis tes voisins
ensemble conjurés
s'appelent tes fondements
encore mal assurés.
Je m'en souviens plus du reste.
Mais c'était comme
une longue phrase
qu'il fallait dire d'un souffle.
Puis c'était une phrase
assez dure à dire. Donc, il fallait prononcer toutes les syllabes pour la dire d'un souffle. Il fallait se rendre à la fin du poème. C'était comme une longue phrase qu'il fallait dire d'un souffle. Puis c'était une phrase assez dure à dire,
donc il fallait prononcer toutes les syllabes,
puis de la dire d'un souffle.
Il fallait se rendre à la fin du poème.
C'était comme, mettons...
Puis ça, j'étais peut-être rendu à mi-chemin.
Ça fait que c'était quand même des exercices
qui m'ont quand même aidé, je pense.
Tu as un prof qui choque après ses élèves.
Souvent, c'est que le prof se dit,
« Mon gars, il est inutile. » Il est tanné. Ils savent. Ils savent que c'est que le prof se dit mon gars il est inutile
il est annulé
ils savent que c'est inutile
Alex Renaud si je me souviens bien
je vais googler en même temps
c'est un auteur
c'est un auteur de littérature érotique
on avait découvert ça à retard
je sais pas si
Alex Renaud
il a orthophéniste
j'aurais aimé ça qu'il réalise du porn
pis que la fille fasse
c'est pas ah oui c'est ah oui
ah oui
on a l'expérience d'un écrivain
québécois mais à part au prince
en 1945
ok c'est un haïtien
c'est un haïtien
est-ce que ça parle de...
Professeur d'expression orale et de diction poétique,
il est l'inventeur du mot pompion.
What?
Il a inventé le mot pompion?
Pompion?
C'est quoi, un pompion?
Le mot inventé par Alex Renaud,
c'est marqué dans Wixianam,
le mot inventé par Alex Renaud
à partir de la déformation de la phrase
« Les pompiers ont combattu l'incendie »
devenu, par escamotage,
« Les pompions combattus l'incendie »
dans un bulletin de Nouvelle Télévisée.
C'est bizarre.
C'est bizarre.
Ça n'a pas de sens, ça.
C'est comme un dividu.
Il a inventé le mot « dividu ».
Ben oui, « dividu ».
Un pompion.
J'entends-moi, ta chaise a baissé ou te répticé, je ne sais pas.
Donc, tu veux que je la grimpe?
Une petite affaire, s'il te plaît.
Voilà.
Ok, voilà.
Peut-être trop grimper, non?
Non, non, correct.
Mais oui, ça parle de ses livres,
mais je ne sais pas si ça parle de littérature érotique.
Pompion.
Pompion, moi,
je me suis pompié le dard en... Je me suis pompié le dard en lisant son livre.
– L'auteur du prix,
Charles Biddle, pour son apport exceptionnel
à la société québécoise en 2007.
Ah, Prise et Romains et Nouvelles,
il y a-tu des trucs qui ont l'air un peu sexés
là-dedans? – Ben, oui.
– La femme avant Ève.
C'est sûrement très cochon, la femme avant Ève. C'est sûrement très cochon,
la femme avant Ève.
Il était-tu bon comme prof?
Moi, j'allais beaucoup aimer.
Moi, j'allais beaucoup aimer. Il m'a beaucoup aidé,
mais il ne faisait pas l'unanimité.
Je pense qu'il s'est fait congédier
parce qu'à mon souvenir,
quelqu'un m'a raconté qu'il y avait
un ou une élève qui checkait
tout le temps son sel pendant un cours.
Il l'avait réprimandé.
Il avait fini par pitcher le sel.
OK. Tabarnak.
Puis là, je pense que c'est fait comme j'ai dit.
Je peux me tromper. Je m'excuse si je me trompe.
Mais je pense que j'ai entendu cette histoire-là
de sur ça, c'est sûr.
Mais moi, il m'a beaucoup aidé. J'ai beaucoup d'estime
pour cet homme-là. Il m'a beaucoup
appris. Puis je pense qu'il m'aimait
bien parce que
j'étais un élève discipliné.
Tu devrais, tu sais, ton affaire,
tu voulais faire de laisser de l'argent
à quelqu'un qui...
Laisse-le à lui.
Il reste quand même de mourir avant moi.
Je ne souhaite pas de malheur,
mais il est né en 1945.
Techniquement, il m'en reste plus,
mais c'est vrai qu'un y a un accident qui est très vite arrivé
ou tu dis je lègue 400 000 à pompion
à savoir qui est-il
trouvez-le
trouvez l'inventaire du mot pompion
je lui donne 700 000
il y a quand même une grosse
un gros fanbase
je ne sais pas s'il est sur Twitter
sûrement pas.
Oh!
Question d'Alexandre Charest.
Si vous deviez mourir sur scène, quel serait
votre scénario idéal?
Sur scène?
Oui.
Sur scène.
Moi, je voudrais mourir après un punch.
Pas dans le milieu d'une phrase.
En même temps.
Mais tu sais, un punch,
tu meurs dans ta prémisse, c'est quand même assez drôle.
Oui.
T'aimerais-tu mieux mourir
en début de show ou plus vers la fin?
Vers la fin,
pour que les gens ne savent pas si je suis vraiment mort, ça fait partie
du gag.
Moi, si tu meurs dans la première phrase, c'est triste.
Vers la fin,
ils font « Ah si, c'est bien
artiste ce qu'il fait. »
Il est rendu edgy ou on ne sait pas trop.
Il veut nous laisser avec un statement.
Puis ça rit longtemps.
Oui, c'est clair.
Personne n'intervient, à part mon technicien.
Ça ne fait pas partie du show.
Lui, ça fait partie du show.
Le fait qu'il crée ça, ça fait partie du show.
Il est bien hot, ce comédien-là.
On y croit.
Non, mais...
Je pense que je l'ai parlé l'autre jour à Sous-Écoute,
mais j'avais un gag
où j'imaginais
que je mourrais d'une crise cardiaque qui s'est
diffusée en boucle à mon salon funéraire mettons qu'on avait la bande audio de
tout ça si je mourrais pendant que je suis une crise cardiaque je faisais
littéralement une crise cardiaque pendant un peu comme j'ai bien donc qui
est mort ce n'est pas mal il est pas mal mais il faisait une crise cardiaque
pendant qu'il faisait son électro à l'effort
ouais mais peut-être que si moi, je meurs
pendant que je fais une blague
de crise cardiaque. Fais semblant de mourir.
Moi, il y a un enfant
que j'entendais tout le temps avant.
Tu sais, aussitôt que
quelqu'un, un homme était mort pendant
qu'il baisait, le monde disait
« Ah, au moins, il est mort en faisant ce qu'il aimait. »
J'ai souvent entendu ça.
Toi, tu n'aimes pas ça, faire l'amour,
donc tu ne peux pas mourir.
Non, mais quand tu y penses, ça doit être...
Je ne voudrais pas m'imaginer
l'affaire que tu fais subir à la personne
que tu es en train de fourrer.
Imagine, mettons que je suis en train de fourrer Marie.
En train de faire l'amour, s'il te plaît.
En train de faire l'amour à Marie.
Je suis quand même un homme de 190 livres.
Je suis pesant, vivant.
Mais imagine quand je suis mort,
comment c'est lourd d'essayer de...
De tasser.
Oui.
Ça doit être horrible.
C'est encombrant.
À partir de maintenant,
c'est juste elle qui te chevauche, selon moi.
C'est juste elle qui...
C'est pour ça que...
Cross-moi.
Cross-moi.
Loin de mon corps,
au cas où je m'affaisse facile à tasser puis crasse moi avec ta main pas trop serré comme ça c'est toi qui meurt tu peux juste faire
je vais me prendre un bâton au lieu de me crasser j'ai dit frappe mon batte demain, comme ça si tu meurs, je veux juste... »
Mais aussi,
je pensais que c'est là que tu t'en allais,
mais il y a aussi
que, mettons, tu laisses
Marie avec une impression de
« si j'ai un autre amant,
je vais encore le tuer. » Ça donne une
mauvaise impression pour le sexe, pour le reste de sa vie.
Genre « non, mais moi j'ai une association que
je tue les gens lors d'une relation sexuelle. – Ça serait peut-être ça
une bonne manière de, si jamais je décide
de me suicider, que
je le dise à personne, c'est un suicide.
Je prends des pellules
et là, je dis, je fais
quoi à Marie? C'est du Viagra.
On commence à fourrer et là, je
meurs pendant. Et là, dans mon
testament, c'est, elle m'a
tué.
Peut-être, dans mon testament, c'est « Elle m'a tué. » Peut-être pas dans mon testament.
Non, une lettre.
Une lettre. Faire un garde.
À la police. Un post-it.
Tout le monde va dire « C'est pas de ta faute. »
C'est un peu de ta faute.
Ma grand-mère est morte
à 101 ans. Mon père
a 90.
Pas normal.
Puis mon père fourre trois fois
par jour.
Arthur, Arthur,
il fourre en tabardant.
Il y a beaucoup de petites
blondes.
Le médecin a dit, monsieur, il va falloir ralentir.
Quand vieillissant, la peau est plus mince.
Il avait pété toutes ses veines dans le bas.
Oh, tabardement.
qu'en vieillissant, la peau est plus mince.
Il avait pété toutes ses veines dans le bas.
Oh, tabac, man.
As-tu des souvenirs de tomber sur tes parents tout nu
quand tu étais jeune?
Mon père,
un moment donné, je leur avais dit,
je ne sais pas si je leur avais dit,
peut-être que c'est ma mère
qui a dit, mais mes parents,
je me rappelle quand j'étais petit,
ils n'étaient pas gênés.
Ils prenaient leur bain,
on rentrait, on se brossait les dents.
À un moment donné, ça a juste arrêté.
Je ne sais pas si c'est ma mère qui a dit
que les jeunes ont un âge
qu'ils fixent le battre trop longtemps. C'est juste'ils te fixent le battre trop longtemps.
Et c'est juste moi qui veux fixer ton battre aussi longtemps.
Mais j'ai vu mon père souvent tout nu
jusqu'à l'âge de...
27.
Non, non, mais 4.
Puis après, je ne l'ai plus jamais revu.
Je pense que ça, c'était...
Je ne me rappelle plus si c'est moi ou mon frère
qui a demandé à ma mère,
je pense que c'est mon frère,
un moment donné, elle pissait,
puis là, mon frère était rentré dans la salle de bain
puis il a essayé de regarder.
Il regardait, puis là, il faisait,
qu'est-ce que tu regardes?
Puis là, il était comme,
c'est quand tu vas l'avoir, ton pénis, toi?
Lui, il était sûr que le pénis,
il poussait un moment donné,
puis ma mère était juste un peu backorder dans son pénis.
OK.
Moi, j'ai souhaité avoir vu mon père tout nu une fois,
alors qu'il passait de la salle de bain à l'endroit où il s'habillait.
Mais c'était involontaire.
Moi, j'ai pas lu ma mère.
J'ai vu, j'ai tout vu.
OK.
Fourré, fourré.
Ah, Chris Fourré, ça, ça doit être
déstabilisant.
Elle était assise sur lui.
Est-ce qu'on continue comme si rien n'était?
Non, elle partait rire, puis elle a dit, ferme la porte.
J'ai l'impression que tu pognes tes parents
qu'il faut position du missionnaire
avec une couverte par-dessus.
C'est moins traumatisant que ta mère
est assise.
Étais-tu assis de face à lui?
Assis de face à lui, oui.
Bien bruyante. Pas très bruyante.
Moi, je suis rentré vite.
Là, tu dis...
Pierre, il vient de rentrer.
Il met là dans mon vagin à la place.
Faisons le switch.
Fais le switch.
C'est des images qui restent longtemps.
Elle n'est pas partie, enent longtemps elle est pas partie en fait
ben non visiblement
t'as ta carte de l'âge d'or
ben ça fait
j'avais peut-être
10-12 ans
pis qu'est-ce qui est triste quand tes parents meurent
quand tu penses
à eux autres
tu fais ok je veux pas oublier
qu'est-ce que leur face avait de l'air.
Mais là, toi, chaque fois,
tu te fermes les yeux et penses à ta mère.
Tu mets ton nez.
Je mets bouche à un oeil.
Je mets bouche à un oeil.
Ta mère,
penses-tu qu'elle a trippé sur moi?
Pas vrai.
Je te le jure.
Il y a trois humoristes
qu'elle aimait. Les autres, elle disait
« Cris qui sont plats ».
Puis je te jure, il y avait
toi, il y avait Mike, puis il y avait les Denis.
Ah oui, bien fin. Pour vrai.
Ah bien, c'est quoi son prénom, ta mère?
Céline. Céline.
Tu avais du goût en humour, Céline.
Céline.
Oui, mortelle.
Elle arrêtait de vous aimer pour vrai elle aimait pas les jokes
elle aimait vous les trois
Céline
rabille toi
je t'ai honte de vous
arrête de creuser tout ce qui bouge là-haut
un peu ça
un peu ça a go c'est ça
c'est une femme d'absurde
elle était très vulgaire ton humour un peu sa un peu sa égo c'est une femme d'absurde puis de elle était très vulgaire
ben ouais
ton humour
un peu trash
c'est plus d'elle
que de ton père
que de toi
oui oui oui
tout à fait
ok
puis ton père
es-tu encore en vie
pas beaucoup
c'est parce qu'il est mourant
ou
non non non
il est mort
il est mort
il est décédé
oui oui il est décédé
ok
moi aussi c'était ma mère
qui était
qui était plus
tu sais qui sortait des des gags trash ah ouais t'étais très trash Il est décédé. Moi aussi, c'était ma mère qui était plus...
qui sortait des gags trash.
Ah oui?
Mon père, il y avait...
J'ai réalisé en vieillissant
qu'il était drôle aussi.
Mais mon père, c'était tout le temps des jokes
que tu faisais.
C'est une joke?
C'était jamais un
ha-ha-ha. C'est tout le temps c'est une joke, Nié, est-ce tu? C'était jamais un « Ha, ha, ha! » C'est tout le temps
« Est-ce tu? »
C'est drôle, ça.
C'était comme
l'humour un peu, tu sais, il est pas
britannique, mais c'était l'humour un peu
anglais. « Poker face. » Ouais, t'es pas
sûr, tu sais.
Tandis que ma mère, tu sais, ses gags,
tu savais que c'était un gag. C'était clair.
Ouais, moi, ma mère,
elle avait beaucoup le sens de l'humour, mais plus ce qui gags, tu savais que c'était un gag. C'était clair. Moi, ma mère, elle avait
beaucoup le sens de l'humour, mais plus ce qui était très, très,
très ricaneuse.
Mon père,
il aimait beaucoup Sol,
Raymond De Fosse.
Donc, c'était plus ça
que l'humour. C'était beaucoup des jeux
de mots. Moi, j'ai un peu hérité de ça, dans le sens que
je fais des jeux de mots volontairement mauvais.
Mon père, des fois, il y en avait des bons, des fois, il y en avait des mauvais.
Mais j'ai souvenu, j'ai peut-être déjà raconté
ça, je m'excuse, mais je pense pas. Mais j'ai déjà
raconté à des amis, en tout cas.
Mais comme les fans de Sous-Écoute, c'est mes amis!
Je me gâte.
Non, mais mon père, quand il jouait au hockey,
quand on était plus jeunes,
il était comme assistant
à coach. Pas là souvent, mais
il était comme le méde là souvent mais il était comme
le médecin
d'équipe
entre guillemets
mais c'est bien rare
que dans des
matchs de tournoi
pis oui pis à tombe
le médecin
il saute sur la glace
mais c'était comme
de même qu'il l'appelait
parce qu'il y a des équipes
qui ont des médecins
de l'équipe
fait que c'était comme
l'assistant
barre oblique
médecin de l'équipe
c'est drôle
pour l'autre équipe
il doit faire
c'est doit être bon
il y a un médecin. »
Il n'était pas en sarreau,
mais
avec son stéthoscope, ça aurait été malin.
Non, mais...
Mon père était très timide.
Puis, tu ne sais jamais
qu'il prenait la parole dans la chambre pour dire
des encouragements,
ou très rare.
Le père de mon ami,res. Puis, le père de
mon ami, c'était lui le coach de l'équipe,
qui s'appelait Yvon Gagnon. Salut Yvon, si tu nous écoutes.
Les chances que tu écoutes sont inexistantes.
Yvon, c'est le père ou le fils?
Le fils, c'est Maxime. Le père, c'est Yvon.
Puis, là, on est en finale
contre Saint-Prosper,
qui est en Beauce.
Oh, un brag.
Puis, là, Yvon,
le coach, fait un speech.
Puis là, à la fin, il dit, François,
mon père s'appelle François, François, un petit mot
d'encouragement. Il avait dit, les gars,
je vous souhaite de la prospérité.
Puis là,
c'est mauvais.
Il était par voyons.
Puis là, mettons qu'on était,
on avait 12-13 ans à l'époque
pis là évidemment moi j'avais un peu
honte du gag à mon père
personne rit vraiment
pis aussitôt qu'il est sorti de la chambre le gars le plus
bien vu de l'équipe, hey Chris ton père est drôle
en tabarnak j'ai bien
la prospérité, un petit joke de marte
pendant genre deux mois c'était comme
ton père va-tu revenir faire le gag de la prospérité
après ce match
c'est drôle
mais tout le monde
l'aimait mon père
mais c'était comme
juste une façon
de me baver
de crier
est-ce que c'est pas drôle
la prospérité
tu sais quand t'es jeune
de 12 ans
les jeux de mots
ça te touche zéro
mais avec le recul
c'est quand même
une bonne lune
c'est souriant
mais
c'est ça fait que non, c'est une bonne nez. C'est souriant, là, mais... Mais, ouais, c'est ça.
Fait que, non, pis...
Fait que lui, il trippait beaucoup sur...
Sur...
Il m'avait... Venez voir Raymond Devasque.
Yvon Deschamps a parlé de Raymond Devasque au...
Au podcast. Au podcast.
Pis mon père, c'était un grand fan
de Raymond Devasque. Il écoutait des cassettes
à la maison. Fait que ça... Ça m'a sûrement
donné un peu le goût de l'humour aussi.
Ça a été peut-être plus Marc Labrèche plus tard
qui a déclenché ça. – T'as-tu déjà rencontré
Sol? – Non.
Non, jamais rencontré.
À mon souvenir, non. En tout cas, toi, oui, non?
Pas dans un galop, je pourrais
répéter ses affaires. – Oui, je l'ai eu
une fois devant moi qu'il répétait ses affaires
pis je pensais qu'il était viré fou pis il se parlait.
Pis j'avais fait un show
un moment donné dans le temps,
les shows à super-écran,
je sais pas comment
qu'ils appelaient ça,
c'était au Spectrum.
Mais on était sur le même show, mais moi,
c'était ma première année en humour
pis lui, je pense
que c'est la dernière fois qu'il a fait
un number à télé. Fait que t'sais, on n'était pense que c'est la dernière fois qu'il a fait un number à télé.
OK.
Fait que, tu sais, on n'était pas, c'est rare, tu sais, que...
Tu n'as jamais fait sa première partie?
Non, non.
Mais, tu sais, on ne s'était pas, on ne s'est pas jasé.
Mais je me rappelle, il y avait une affaire,
est-ce que ça m'avait marqué?
Puis ça va arriver à tout le monde, tu sais.
Mais, bien, peut-être pas l'entrée, là,
mais quand il est arrivé sur scène,
c'était un délire.
C'était une clap qui finissait plus.
Mais son number,
je ne sais pas à quel âge.
Peut-être 75.
Il ne jouait pas souvent.
Il n'avait pas tenté de courir.
Ça ne marchait pas.
Pas en tout.
Il avait fini son number.
Sa sortie, c'était genre...
Tu sais, une clap d'un peu de pitié,
puis j'étais comme, ah, c'est-tu pauvre
monsieur tabarnak. Ah, Chris.
Tu sais, puis à la télé, ils l'ont
arrangé, ils ont inversé
les claps, là, tu sais. Mais
j'étais comme, ah, c'est-tu que ça doit être
lourd pour le... C'est, Chris,
que c'est cruel, l'humour pour ça, tu sais.
Tu peux avoir une carrière comme ça,
mais, tu sais, quand t'es vieux, t'es vieux, tu sais.
T'es plat.
Ben, ouais, aussi, peut-être que c'était...
Peut-être pas sa crowd, là, tu sais.
Ben, c'était pas sa crowd dans le temps,
tu dis qu'il y a eu une ovation de...
Non, non, non, c'était...
Mais, tu sais, c'était sa crowd, mais, tu sais...
Il était plus capable.
Oui, il était plus capable.
Moi, j'ai tout le temps vu,
puis c'est rare, c'est drôle que je dise ça
vu que je suis le gars le moins en shape sur la planète,
mais j'ai tout le temps vu l'humour
un peu comme un sport de combat.
Puis, tu sais,
il y a beaucoup d'humoristes
qui restent excellents jusqu'à
tant qu'ils soient bien vieux.
Comme George Carlin, il est devenu bon dans la cinquantaine.
Yvon, ses meilleures années, c'était la quarantaine,
début cinquantaine.
Mais ce n'est pas tout le monde.
Il y en a qui sont drôles dans la trentaine,
puis après, ça droppe.
Mais tout le monde finit par dropper.
C'est impossible.
Il n'y a personne qui meurt à 87 que tu fais à créer ses plates parce que j'ai vu sur quoi qui
travaillait là où il allait tout à inventer mais tu es aussi modèles j'ai
déjà eu je suis je veux je monte le micro des fous je me sens vraiment fort
dans le micro a été le fort Alex Renaud me dirait articule
un sourire d'envoi
un sourire d'envoi
dis donc Pimpon
juste pour voir
c'était-tu Pimpon
non non
Pompion
Pompion
Pompion
excusez
Pimpon
t'as-tu autrefois
ces émissions
avec les
ça aurait été mieux
tu sais
Pimpon le pompier
ça serait mieux
Pompion le pompier
Pompion
Pompion le pompier Pompion le pompierier. Pompion, le pompier.
Pompion, le pompier.
Ou peut-être, ça sonne,
Pompion, c'est le frère Chubby
de Pimpon.
Il arrive un peu.
Il est rondelet.
Et Pimpon, il était rondelet, non?
C'était-tu Pimpon?
Aucune idée, ça me tombait. Non, parce qu'il y en a un qui était effectivement rondelet, puis l'autre, c'était Yves Luc et Pont? Aucune idée, ça me tombait ses nerfs.
Non, parce qu'il y en a un qui était effectivement rondelet,
puis l'autre, c'était Yves Lussier ou Yves Soutière.
C'est lui qui jouait...
Yves Lussier?
Non, Yves Soutière, c'est le gars qui faisait Étienne trembler dans l'en-séconde.
Je ne le sais pas, je ne m'en rappelle pas.
Ben, si tu as Internet, si tu vas taper Yves Soutière, tu vas le replacer.
J'adore ça, c'est l'Internet.
T'as-tu Internet chez vous? Oui, Yves Soutière, ça va le replacer. J'adore ça, c'est Internet. T'as-tu Internet chez vous?
Yves Soutière.
T'as-tu Internet?
T'es-tu un homme moderne, toi?
Il n'a pas fait un prêtre, lui, dans une série, Jean-Philippe...
Je ne sais pas quoi, laquelle.
Oui, oui, oui, effectivement.
Ah, Yves Soutière, je le vois ici
en semi-pimpon.
Ou j'espère que c'est un rôle pour enfant,
sinon il a l'air d'un imbécile.
Oui, c'est clairement un rôle pour enfant.
C'est ce rôle-là.
C'est plate pour lui que
c'est sa page de
IMDB, c'est sa photo.
Moi, d'ailleurs, il va falloir,
je me rappelle de dire à Michel,
moi, quand tu vas sur IMDB
et que tu écris Mike Ward,
la part des humoristes,
ça va être des photos de nous sur scène.
Moi, ils ont pris la photo de...
Tu sais, le show à Pat Grou dans ma tête,
que tu fais du stand-up,
puis après, tu refais une petite scène.
Moi, vu que je ne voulais pas refaire la petite scène,
j'ai raconté une histoire de quand j'étais enfant.
Puis je me suis dit,
« Chris, ils vont engager un enfant. »
Puis ils ont dit,
« Tu peux-tu juste jouer le rôle de ton père? »
Tu sais, tu vas avoir une phrase,
tu arrives, tu fais juste,
« Hey, Mike, viens-t'en. »
Puis là, je ne fais pas de trouble.
Fait que c'est moi avec une calotte,
des lunettes des années 70.
Puis je fais, « Hey, embarque. »
Puis c'est ça la photo qu'ils ont.
Hey, c'est drôle, Jason, il m'a envoyé
cette semaine
une photo de moi, Internet Movie,
IMDB.
Puis ce que je vaux monétairement,
je vaux 13 millions.
Oh shit! Tabarnak!
Je ne suis pas au courant de ça, moi.
C'est-tu pas ça que...
Je trouve que tu es assez bien habillé aujourd'hui.
C'est-tu pas ça que tu acceptes que je ne te paye habillé aujourd'hui. C'est-tu pas ça que t'acceptes que je te paye
pas cher vu que Néoué t'en a de l'argent?
Tu me payes très bien.
T'es bien à côté.
Je te paye mal en SC pour un gars
qui vaut 13 millions. On va se dire
les vraies affaires. C'est rare
en SC.
J'ai jamais dit ça.
Tu vaux 13 millions. Regarde ma photo.
Voyons. C' ma photo. Voyons.
C'est toi.
Voyons, Chris.
Quoi, ça?
On ne me reconnaît aucunement.
C'est vraiment ça.
On ne voit pas bien,
mais tu me l'enverras, Mike,
puis je vais la rajouter.
Moi, si on tape moi,
il n'y a rien.
J'ai joué dans le corps à berge.
Moi, c'est moi dans...
Ce n'est pas bien.
Moi, c'est moi quand je chante chante quand je danse sur moi je mange dans J'ai l'arsenal
c'est pas mal mieux
c'est vrai que je suis couché à terre
il y a d'autres photos
il y a aussi moi avec mon restaurant
ça c'est quoi
quand je portais ça je me souviens pas
c'était dans quoi
ça je pense que c'était à Pénélope
pis ça
je sais plus
c'est marqué Mike Ward was born
in Quebec
c'est là, il fait
he's best known for
Mike Ward vous écoute
pas vrai?
le gros show
et Mike Ward infamous
moi c'est marqué, j'entends pas jamais he's an actor known for le corps à perche Pas vrai? Oh, shit! Le Gros Show et Mike Ward Infamous.
Moi, c'est marqué... J'entends pas jamais.
He's an actor known for le corps à perche.
J'avais des répulés dans une piscine.
Je suis connu pour ça.
Les beaux malaises, 2014.
And Mike Ward vous écoute, 2019.
Moi, je suis...
Mike Ward vous écoute, writer.
Je suis le writer.
C'est toi le writer? Ah ben oui, c'est vrai.
Le gros show, je vois Chabot,
Mike Ward, infamous writer.
Le gros luxe, je suis un acteur.
Christ, que c'est n'importe
quoi.
J'ai joué,
attends, barnaque, ça n'a pas de sens.
Moi, j'ai pas
de, j'ai une mini-bio, mais j'ai
pas de détails. J'ai pas de j'ai une mini bio mais j'ai pas de détail, j'ai pas autant
levé cinématographiquement
que moi
c'est trop solide, t'as trop une calèbre
polyvalente, tu veux-tu
choisir une question, je vais m'envoyer
ça a pas de sens, mon numéro, ça c'est mon premier
numéro du restaurant, hey shit
j'ai l'air d'un
sidatique en même temps, j'ai l'air d'un sidatique.
J'ai l'air d'un sidatique.
Oh, t'as pas l'air à bien aller.
C'est ça qui est grave.
Des cheveux courts, le visage
rasé à la lame de très proche.
C'est le crystal meth.
Puis je me souviens que mon veston
était tellement trop grand.
Je devais peser pour vrai. En ce moment,
je pèse 177-178 livres.
Je pense que je pèse...
12.
Ça, c'est IMDB?
C'est comme
une des trois photos
qu'il y avait en dessous.
Ce n'est pas la photo principale.
À peu près, ça a l'air plus vieux que là.
Oui, brièvement.
Tu as de l'air... Dans le film là c'est quoi le film dallas
buyers club oui tu as de l'air ça fait un peu le sud atik ok ça pas de l'argent santé
à nouveau c'est que c'est une capture d'écran au gérard de laissaut à un visage d'un peu
plus jeune et puis on m'en j'ai toujours le nez croche
mais il est particulièrement croche
comment s'appelle l'acteur qui a le nez croche
ça dépend
Harley Lang
lui c'est l'acteur
Emmanuel Bilodeau
celui qui a fait des tentatives
de suicide, il est acteur comique
puis
les filles trouvent un peu cute quand même.
Il joue dans des comédies.
Il a les cheveux blonds.
Il a les cheveux blonds un peu bardassés
tout le temps.
Un des frères, il a deux frères.
Comment il s'appelle?
Il a fait une tentative de suicide.
Il a parlé souvent de ses problèmes avec la drogue.
C'est God this
Owen Wilson
oui exact
tabarnak ça a été long
à trouver
il va falloir vraiment
il va falloir
régler le problème que quand on
dit des affaires,
tu es mal à l'écran.
Parce que là, on est obligé de se...
Oui, de se montrer les ordis, puis on ne voit pas.
Non, mais moi, je présume que tout le monde
qui nous écoute en ce moment sont devant leur ordi
et ils googlent au même moment que nous ce qu'on dit.
Mais je t'ai envoyé, Pierre...
Les photos.
Oui, puis je vais même t'envoyer Yves Soucière.
Yves Soucière, oui. Yves Sourenvoyer Yves Soucière Yves Soucière
oui
Yves Soucière
Yves Soucière
tu sais
là je te les envoie
toutes
puis Owen Wilson
on n'en a pas de besoin
ben
pourquoi
c'est bizarre
quand
mettons que je vais
voir quelque chose
sur Google
après avoir ouvert
le document
j'arrive pas
à rouvrir le document
je l'ai retrouvé, mais...
C'est quoi qui a vibré?
C'est mon téléphone parce que tu m'as envoyé...
Ah, c'est moi qui t'as...
Oui.
Nicolas Imhoff.
I-M-H-O-F-F. Je ne sais pas si je suis bien
prononcé, mais Nicolas Imhoff demande
« Quelle est la chose qui vous fait le plus pogner des nerfs?
Moi, c'est l'incompétence.
L'incompétence? Mais dans tout, tu sais, quand...
Bien, c'est pas l'incompétence,
mais quand je demande
quelque chose à quelqu'un,
puis que c'est ultra simple,
puis qu'ils comprennent pas,
puis que c'est leur
métier de le comprendre, ça me choque.
Oui, je suis d'accord. Moi aussi, ça m'enrage.
Moi, je m'enrage souvent.
En char,
quelqu'un, mettons,
qui ne met pas son clignotant puis qui fait des zigzags
à 20, c'est super dangereux, ça m'enrage
épouvantablement. Quelqu'un qui est dans la voie de gauche
qui roule à 95
puis que
moi, au début, je n'y colle pas dans le cul,
je donne sa chance, puis là, à un moment donné, je m'avance un peu
plus, puis à un moment donné, je taxonne une petite fois timidement,
puis à un moment donné, je fais comme... C'est super dangereux
parce que si je me mets
à zigzaguer vers la droite, bien, c'est de même qu'il y a des accidents
à la main, à part quand tu fais...
Mais quand tu fais beau, il est censé y avoir aucun accident sur la tour.
– Mais la seule raison que le monde zigzague,
c'est qu'il y a des têteux dans la voie de gauche.
– Bien oui. Mais il y en a quand même, par contre,
qui sont tellement
crainqués,
qui anticipent que quelqu'un...
Parce que moi, il faut que tu me donnes,
si tu vas plus vite que moi dans la voie de gauche,
donne-moi une vitrine pour
changer de voie. Parce que des fois,
il y a une vanne, je suis en train de dépasser la vanne.
Des fois, tu te fais coller dans le cul, puis il y a trois vannes à droite.
Tu fais « Christ, laisse-moi le temps de dépasser les vanne. Des fois, tu te fais coller dans le cul, puis il y a trois vannes à droite.
Tu fais « Christ, laisse-moi le temps de dépasser les astides vannes. » Tu me colleras le cul une fois que j'ai dépassé les vannes.
En tout cas, bref, ça, ça m'enrage un peu.
Puis aussi, des fois, moi-même, je m'enrage
quand je fais des gaffes
à cause que je suis un peu en désordre, comme tu sais,
ou que, tu sais, l'autre jour,
c'est-tu que je me trouvais épais, là?
C'est-tu que je m'haïssais?
Je pique ma chatte deux fois par jour avec des seringues.
Ah là, c'est rendu deux fois par jour?
Ça a toujours été deux fois.
Je pensais que c'était juste une fois par jour.
Non, aux 12 heures.
Ça varie un peu, mais en général, aux 12 heures.
Les seringues, ils servent juste une fois.
Puis là, chez mon vétérinaire...
Tu peux t'en servir une couple de fois.
Je ne sais pas trop.
Moi, je me suis fait dire non.
C'est ça qu'ils disent.
Tu sais, moi,
mes aiguilles, avant,
je m'en servais juste une fois.
Puis là, à cette heure, je m'en sers
jusqu'à temps qu'ils ne rentrent quasiment plus
dans mon corps.
Est-ce que tu les désinfectes à chaque fois?
Non, mais tu sais,
ils touchent mon corps.
Ils touchent mon corps.
En tout cas, je ne sais pas.
Évidemment, ça me coûte assurément plus cher
parce que je sors à chaque fois.
Mais prends, à la limite,
achète-toi des petites carrées d'alcool à friction.
Puis tu fais juste le piqué à travers de ça.
C'est désinfecté en masse.
Mais tu sais, change-le peut-le. Au moins une fois par quatre jours.
Ou change-le aux deux jours.
Comme ça, tu piques quatre fois.
Ça va te sauver un peu d'argent.
Tu vas peut-être m'informer avant.
Je ne dis pas que je n'ai pas confiance en toi,
mais je vais m'informer pour être sûr.
À qui tu vas t'informer?
Au vétérinaire.
Mais non, mais il ne connaît rien.
Ce n'est pas lui qui me vend les seringues.
Non, mais pareil.
Ça, c'est le genre d'affaire.
Moi, quand j'avais commencé à utiliser la seringue,
plus qu'une fois,
mon médecin m'avait dit,
ça, c'est bien important, tu refasses pas ça.
Parce qu'il y a sûrement eu du monde
qui ont eu des infections, puis ça a mal viré.
Mais la vérité, c'est que ça arrive une fois sur un...
C'est de l'over prudent.
Oui, c'est ça.
En tout cas, c'est pour dire que...
Qui connaît plus les animaux?
Ton vétérinaire ou moi?
Oui, c'est vrai que tu es top.
Non, tu n'es pas vrai dans tous les secteurs.
Je connais.
Fait que l'autre jour, vu qu'il recycle les seringues,
moi, ça a pris du temps avant que...
Je mettais ça dans un genre de...
Des réciplants Ziploc.
Des récipients Ziploc. Des récipients Ziploc.
Puis là, il était
comme complètement bondé.
Ça faisait longtemps que je n'étais pas allé.
J'amène ça dans mon auto pour aller les porter.
Je les sors de l'auto.
Mais il était comme... Il y en avait un peu
qui avait tombé. Je pensais
les avoir tous ramassés.
L'autre jour, je voulais faire un petit peu de ménage dans mon auto.
Je faisais des mouvements.
Il y avait des seringues. Il y avait une seringue. Je me suis les avoir tous ramassés. Puis là, l'autre jour, je voulais faire un petit peu de ménage dans mon auto, mais tu sais, je faisais des mouvements un peu... Puis il y avait des seringues. Puis il y avait une seringue, puis je me suis piqué dans le pouce.
Ah, tabarnak!
Puis, pendant à peu près
7-8 heures, j'avais une perte de sensibilité
dans le pouce, parce que j'ai dû pogner un air.
Puis là, le lendemain, j'avais un gros...
C'était tout bleu, fait que visiblement, j'ai pas
pogné le... Fait que là, pendant...
Je dis pas que j'ai eu un gros stress, mais
ça allait de pire en pire. Je sentais
de moins en moins mon pouce. Puis là, j'étais comme...
Je suis vraiment un hostie d'imbécile.
Le gars qui ramasse pas
les seringues. Puis là, je fais le
ménage, puis évidemment,
mon karma est pas bon. Fait que je me
rentre le bout de la seringue dans le pouce,
puis il règle le pouce. C'est comme si c'était
de bout. Je fais « Allez donc! » Puis là,
j'étais vraiment fâché après. Moi, je fais comme, quel
crétin. Moi, j'aurais été en crisse
après ton show.
Non, tu vois, j'ai pas crié. Papa,
c'est pas un peu une petite vache.
C'est à cause de toi.
Il y a une question à propos
de Thomas Levesque.
C'est Simon MB
qui veut savoir, connaissez-vous
Simon Levesque? Connaissez-vous Simon Levesque
connaissez-vous Simon Levesque
avant qu'il le fasse sous-écoute
et comment votre relation avec lui
a-t-elle évolué depuis
moi je le connaissais aucunement
tu le connaissais de nom
je le connaissais de nom
je voyais ses gags des fois
sur Facebook
mais c'était toi qui me l'avais fait découvrir tu m'envoyais des screen grabs de ses gags des fois sur Facebook. Mais c'était toi qui me l'avais fait découvrir.
Tu m'envoyais des screen grabs de ses gags.
Je le trouvais bien drôle.
Tu m'avais dit, ce gars-là, je pense, sous écoute,
il va être parfait.
C'est que c'est un personnage.
Moi, c'est la première fois que je le rencontrais.
Je l'ai tellement aimé.
Je l'aime tellement.
Puis à ce temps-là, on s'écrit souvent.
Puis il fait ta première partie de temps en temps.
Il fait ma première partie de temps en temps.
J'ai sa blonde, elle l'a roastée à sa soirée d'humour.
J'ai aidé sa blonde avec son steak.
Je n'ai pas vraiment donné de joke,
mais elle m'a envoyé ses affaires.
Puis là, j'ai fait ça, coupe ça, elle m'a envoyé ses affaires pis là j'ai fait ça coupe ça
vraiment court
mets ça de même
pis elle m'a envoyé ça rentrait la tonne de briques
ah ça a été filmé?
c'était vraiment bon
Stéphanie elle avait un gag de
j'avais jamais remarqué mais Thomas Levesque
il dit tout le temps
il appelle tout le monde frère
pis il est comme un frère
pis il tripe sur le basket pis il dit Thomas il temps, il appelle tout le temps tout le monde frère. Il est comme, frère, frère.
Puis il tripe sur le basket, puis il dit,
Thomas, il aimerait ça être noir.
Il veut être noir.
C'est pour ça, il sera
pas déçu quand le bébé
va sortir, puis il va être noir.
Ah yes!
C'est tellement un gag que tu vas pas venir.
Ouais, c'est ça.
C'est tellement un gag que tu vas pas venir qu'elle s'est faite fourrer par un blanc. Mais moi, en fait, c venir. Oui, c'est ça. Je trouvais que c'était tellement un gag, tu vas pas venir,
qu'elle s'est faite fourrer par un blanc.
Mais moi, en fait, c'est ça.
Je le connaissais pas du tout,
mais je me suis mis à le suivre sur les réseaux sociaux à cause de
ses gags. Puis, à un moment donné,
je l'ai comme inboxé. Je fais comme, Chris,
t'es la personne la plus drôle sur les réseaux sociaux.
T'es la personne que j'ai le plus de fun à suivre.
Tes gags sont vraiment drôles.
T'es fait sur scène
t'es juste auteur parce que je trouvais aussi
qu'il y a comme une face
de performer
une bonne face scénique
pis ils se sont délivrés les drôles dans la vie, je l'avais croisé une fois
fait que je savais un peu c'était qui
on était dans un pool de hockey ensemble
pis j'étais comme c'est un personnage
tout le monde disait Thomas c'est un personnage
des fois il va dire
des énormités
ou des affaires
qui n'ont pas de sens
ou il va faire des malaises
tu sais il y a comme
un côté un peu Kramer
Kramer
dans la série Seinfeld
il fait comme la job sale
de tout le monde
il dit des affaires
qu'il ne faut pas dire
c'est comme l'épisode
de Nose Job
quand Jerry sort
avec une fille
qui a vraiment
un gros nez
puis là tout le monde il pense qu'il faudrait qu'elle se fasse vraiment un gros nez pis là tout le monde
il pense qu'il faudrait qu'elle se fasse faire un nose job
pis là ils disent on va éviter Kramer
Kramer il va le dire lui
pis ça passerait pas sur notre dos
pis là le Kramer il rentre dans la pièce
pis la fille elle dit quelque chose comme
je suis pas très belle pis là il dit
you're as pretty as any of them you just need a nose job
pis là tout le monde
tabarnak! »
En tout cas, bref, la fille a fini par avoir un kick sur Kramer
parce qu'il a été honnête.
Fait que là, elle trippe plus sur Seinfeld qu'elle trippe sur Kramer.
C'est quand même un bon épisode.
Mais Thomas Levesque a un peu ce côté-là de...
Il dit tout.
Quand on est allé souper après à Banquise,
où on est allé à Banquise, les trois après le podcast,
il disait à une fille qu'elle avait des sandales dégueulasses
pis là, on était comme mal à l'aise.
Un autre fille parlait de son
cul.
C'était pas son art de gloire, mais
les filles, ils étaient pas
heurtées tant que ça, mais ça a fait un peu de bif.
Ah ouais.
Mais c'est ça, il est vraiment
drôle, pis là,
je suis content que, je suis pas encore allé à sa soirée
du mot, mais j'ai dit que j'irais
je suis allé
moi, j'étais vraiment content
puis il m'a dit
il m'a écrit l'autre fois
c'est là que j'ai vu que
à quel point sous-écoute
a de l'impact, puis le mot
brag, il était sur scène, puis lui
il a jamais utilisé brag dans un le mot « brag », il était sur scène. Puis lui, il n'a jamais utilisé « brag »
dans un podcast. Il n'a jamais utilisé « brag »
sur scène. Mais là,
il racontait une affaire, puis il faisait
genre « Moi, quand j'étais petit,
j'étais bon à l'école. » Puis là, deux personnes
ont créé « brag ».
– Il se rappelait du référent.
– Oui, mais je trouvais ça
drôle que...
Oui.
Tu sais, Thomas, ça a été un...
Moi, je suis content quand il y a des humoristes,
même qu'ils arrivent au podcast,
personne ne les connaît,
mais tout de suite, ça clique.
Puis tu sais, Jerry a eu ça,
Thomas a eu ça,
Julien Lacroix a eu ça,
Bernatchez a eu ça.
Puis,
c'est ça.
En fait, ce que j'ai remarqué aussi,
c'est que sur scène,
quand je l'ai vu sur scène, je ne l'ai pas
vu à sa soirée, mais en ce moment,
il est super bon pour écrire des liners,
mais quand il est sur scène, il n'est pas vraiment
en mode liner. Il est plus en mode,
je ne sais pas si tu as remarqué, mais il raconte des affaires.
Sur Facebook ou sur Twitter,
il écrit vraiment des gags.
Des fois, il va parler de sa psy.
Il va faire des gags un peu politically incorrect.
Il n'est pas hyper...
Ce n'est pas de l'humour noir qu'il fait,
mais des fois, c'est edgy.
De temps en temps, c'est les réseaux sociaux.
Mais sur scène, il parle plus au jeu.
Il est plus dans le. Puis ça fonctionne bien.
On dirait qu'il a découvert sa confiance.
Puis il est en train de se...
Tu sais, comme moi,
quand il avait fait ma première partie à Québec,
j'avais dit,
quand tu vas vraiment maîtriser ce que tu fais,
tu vas être dans une autre ligue.
Puis je ne parle pas d'une autre ligue
de hockey en ce moment,
mais d'une autre ligue de tout ce qui se fait.
Tu sais, il est tellement drôle.
Oui, oui.
Christ, qu'il est drôle.
Mais là, il est encore, tu sais,
il apprend à être sur scène.
C'est ça.
Fait qu'il y a des soirs, il arrache tout.
D'autres soirs, c'est moins ça.
Mais bientôt, ça va être tout le temps ça.
Puis c'est...
Peu importe notre âge,
on apprend, on continue d'apprendre
de nos erreurs ou des fois
des trucs qu'on pense qui sont drôles et qui ne le sont pas.
Moi, tu vois,
je faisais un choix
à Saint-Hyacinthe aux haricots la semaine passée,
puis
j'avais comme un nouveau bout
que je trouvais vraiment drôle, puis un autre que je trouvais
correct. Je me disais, j'ai hâte de voir
finalement le truc que je trouvais correct drôle, puis il y a un autre que je trouvais correct. Je me disais, j'ai hâte de voir, finalement, le truc
que je trouvais correct. Le bout correct, tout arraché.
Vraiment marcher plus fort que l'autre.
Il faut dire que l'autre, c'était beaucoup de texte, c'était verbeux,
puis c'est la première fois que je le faisais, fait que
ça marchait quand même, là,
mais des fois, t'as tout le temps des surprises.
T'as-tu ça souvent, t'as des...
T'es-tu...
T'es-tu bon pour
anticiper ce qui va être un gros
hit, puis ce qui...
Tu sais, dans le sens, est-ce que
des fois, t'as des doutes, puis t'es surpris par quelque chose,
puis des fois, tu t'attends à tout arracher,
puis ça fait comme...
Non, ça arrive souvent.
Tu sais, on dirait,
moi, je le sais jamais.
Je pense, je suis mieux que j'ai été il y a, mettons, en 93.
En 93, je n'avais aucune idée.
Mais comme toi, quand tu commences, tu n'as aucune idée.
Mais même là, ça me fait chier d'être...
Ça, je pense que c'est drôle.
Puis là, je le fais.
Puis je fais, ah non, ce n'est pas drôle.
Comme le roast a fallu
pour prière de ne pas envoyer de fleurs,
toutes les affaires, j'avais écrit,
il y avait un bout, j'ai fait
ça, c'est malade.
Rien. Je l'ai essayé trois fois,
rien. Puis après, une autre
affaire que je trouvais correct,
mais sans plus,
j'ai eu une belle clap,
puis même fallu, genre avant hier, on s'est correct, mais sans plus. J'ai eu une belle clap. Puis même fallu, genre avant hier,
on s'est parlé au téléphone,
puis il a fait « Hey, ton gag »,
puis là, il m'a répété le gag.
C'est un gag que je faisais.
Oui, c'est correct, tu sais.
Mais tu le sais pas.
La vie est remplie de surprises,
comme dirait Forrest Gump.
Exactement.
Bien sûr.
OK.
OK.
Oui, mais peut-être que'as déjà répondu à ça
je m'excuse si oui
question pour Mike
on t'avait déjà demandé si Marie allait faire le podcast
un jour, en avez-vous discuté
et est-ce qu'elle serait gay
oui, elle le ferait
la seule affaire
moi je vais attendre parce que Marie, elle se part
une business
avec Mimi et avec
James Manella. Puis, je veux,
là, je lui ai dit, ça va être bon
de la faire un coup
que ta business va être partie.
Comme ça, c'est deux pierres d'un coup.
Elle vient,
elle arrache tout, puis après, ça lui fait
une belle plug pour sa
business.
Ou elle se plante, puis ça nuit à sa business.
Non, mais tu sais, si elle est nulle à chier,
le monde va faire, elle doit être bonne dans la bouffe.
Si elle est nulle à chier,
elle n'a pas de cas. Mais tu l'inviterais-tu plus
en studio? Je l'inviterais plus en studio
parce que Marie a vraiment un sens de la répartie
vraiment
fort. Donc, live.
Live, oui.
Je la mettrais avec quelqu'un qui serait à l'aise,
genre peut-être une Christine Morancy.
Elle est amie aussi
avec bien des humoristes.
Peut-être que je la mettrais avec
quelqu'un qui est ami avec, mais je pense
qu'elle serait meilleure
avec une Christine Morancy. Elle est bien chum avec Alex Roof, mais j avec, mais je pense qu'elle serait meilleure avec une Christine Morancy.
Elle est bien chum avec Alex Roof,
mais j'ai l'impression qu'elle
et Roof en podcast, ça serait weird.
Un drôle de match.
Elle s'entend bien avec toi.
Peut-être toi, moi et elle,
ça serait bon. Parce que oui.
Vous pourriez vous moquer du fait que...
C'est quoi ça?
Ah, ça, c'est une alerte
de Canada.
Ça c'est un test d'alerte
de Québec.
C'est quoi qu'ils demandent?
Ils font des tests d'alerte comme ça général.
Il n'y a pas de danger pour votre santé, votre sécurité.
Votre décès est imminent cependant.
Hein? Mais non.
Moi j'ai...
Hein?
Moi j'ai rien. Mais non plus, je n'ai... Moi, j'ai...
Moi, j'ai rien.
Non plus, je n'ai pas eu l'alerte.
Pour vrai, il y a juste...
Il y a juste pas qu'il l'a eu.
Moi, j'ai un message de Dano.
Parce que c'est d'habitude,
ça fait ça sur tous les médias.
Ça a disparu. Je peux même pas l'enlever.
Ah, lisse.
C'est-tu une alarme que tu t'es mise premièrement?
Non, mais je peux même pas lire au complet le texte. Est-ce que tu as une alarme que tu t'es mise premièrement? Ah oui.
Mais je ne peux même pas lire au complet le texte. Est-ce que tu écris en dessous du texte « snooze »?
Qu'est-ce que tu écris?
Ça, veux-tu écrire ce que je suis mauvais là-dessus?
J'ai fait un gag, je le trouvais drôle,
mais il n'y a eu aucun rire.
J'ai regardé vers Pierre, il a l'air rire,
il n'a pas ri, puis je me dis...
Oui, j'ai ri. Non, tu as ri, mais tu n'ai regardé ma pierre pour voir s'il allait rire, puis il n'a pas ri, puis je me dis... Oui, j'ai ri.
Non, mais t'as ri, mais t'as pas applaudi.
Un peu.
Il veut des claps à chaque fois.
C'est des kellers, chars, des kellers.
Chars, des petites nindas.
Pourquoi je peux pas leur lire? Je peux-tu retomber dans mes avertissements?
Je sais pas. En tout cas, ça disait
que c'était un test.
C'est des tests qu'ils font comme ça des fois pour vérifier
si ça fonctionne.
D'habitude, c'est tout le monde. C'est tous les médias.
C'est cellulaire.
Moi, je suis avec Belle. Êtes-vous avec Belle?
Non, c'est tous les réseaux confondus.
D'habitude, c'est tout le temps pareil.
Parce que...
C'est peut-être une crosse de Belle aussi.
Ouais.
Je pense que c'est Philippe Fimiot qui a entendu parler du truc et il fait comme... J-être qu'il va juste... Peut-être que ton compte est-il payé, Jean-Piou! Je pense que c'est Philippe Fimiot
qui a entendu parler du truc
puis il fait comme...
J'espère qu'il va mettre
mon nom sur mon testament
puis on va lui faire croire
qu'il va mourir.
Ça...
Ah!
C'est bien weird, ça.
Ben, vas-y.
Ben, j'en connais pas vraiment.
C'est que la question
vient de Anal Beads Lord.
Votre humoriste transsexuel
préféré?
Il n'y a pas vraiment
d'humoriste transgenre.
Il y a Trano Winter
en anglais à Montréal.
Je dirais elle,
mais c'est la seule que je connais.
Ou sinon, Phil Laprise.
Ça serait fou d'apprendre que Phil Laprise,
c'est une madame qui fait semblant
d'être un homme de fil.
Peut-être qu'il va faire son commédiat
aux prochains Olivier.
Puis là, oui, c'est ça.
Mais oui, j'aimerais vraiment ça.
Que Phil Laprise soit pas transgenre,
mais soit genre un...
Tu sais, un genre de drag king, là, tu sais.
Que Phil Laprise, c'est un drag king.
Bien, moi, je pense que...
T'es pas sûr de quoi?
Le mystère...
Persiste.
Ça se pourrait, tu sais, parce que...
Tu sais, il n'y a pas de barbe.
Tu sais, quand...
Toutes les hommes ont des barbes, sauf moi.
Sauf moi, je fais de la brise.
Quelque chose de lourd, je te l'admets.
On se connaît depuis les Girl Scouts.
C'est quoi les scouts de filles?
Les Jeannettes.
On se connaît depuis les Jeannettes.
OK, Joël Humphrey demande,
si une joke que vous avez écrite ne vous fait pas rire,
vous savez qu'elle va faire rire un certain public,
la jouez-vous?
Ben non.
Non?
Non.
Mais si, mettons, tu l'aimes un peu,
mais elle marche beaucoup?
Moi, il faut que je l'aime vraiment beaucoup.
Sinon, mais si je ne l'aime pas vraiment beaucoup à Marche pas
parce que je n'ai pas ce talent-là,
tu sais, tous les jokes que
j'avais, tu sais, puis ça m'arrive que
j'ai une joke que je suis, est-ce que c'est bonne cette joke-là?
Puis après un mois, je fais, ah,
je ne l'aime plus. Elle arrête de marcher.
Ah oui. Tu es comme
connecté avec ton plaisir de jouer.
J'avais une joke
à l'époque dans mon numéro de Me Too, que c'était une joke à clap. J'avais une joke à l'époque dans mon numéro
de Me Too.
C'était une joke à clap. C'était une de mes jokes
préférées. Je la trouvais bonne.
Puis j'ai arrêté de la faire
parce que j'ai un autre gag
dans le numéro avant dans mon show
que c'est un peu le même punch.
Mais l'autre punch,
c'est un 10, puis lui, c'est comme un 9.
Fait que là, j'avais arrêté de la faire,
mais en fin de semaine, j'ai refait la première joke avant,
c'était tout le temps le délire.
Mais j'ai eu rien parce que je pense que le monde sentait que...
Tu sais, juste en le disant, j'étais comme,
j'en ai une meilleure que ça.
Même s'il ne l'avait pas entendu.
Ça n'a pas rapport, mais je sais
qu'elle n'a juste pas marché
parce que...
Tu as joué avec zéro conviction.
Tu n'as filé plus.
Tu as filé moins.
J'ai fait la joke
et il faut que je la trouve drôle.
Les musiciens ne sont pas nés avec ça.
J'ai l'impression que c'est pas comme une toune qui aime plus ou moins
mais que tout le monde capote
t'es obligé de la jouer
les Denis Fantastique c'était un peu ça
je pense que sur leur album à la base
c'était peut-être celle qu'ils aimaient le moins
à mon souvenir ils hésitaient à la garder
puis Jacques Primo était comme non non ça va faire
un bon hit radio ça
puis finalement il avait eu raison
mais je pense que là ils sont un peu tannés Primo était comme non non ça va faire un bon hit radio ça puis finalement il avait eu raison mais
je pense que
là ils sont un peu tannés de l'affaire
quand ils se font demander ça
ça fait genre 13 ans
moi j'ai
avant je me disais tout le temps
c'est plate que l'humour vieillit pas bien
mais si tu trouves
en vieillissant c'est la chose que j'aime le plus
de l'humour le fait que ça vieillit
pas bien
tu peux pas
tu sais moi à chaque fois
que le monde me demande
hé on fait un truc
pour la télé
tu reviendrais-tu faire
mettons
à voir venir
ou là je fais juste
regarde l'humour
ça vieillit pas bien
ce numéro-là
si tu l'écouterais
aujourd'hui
avec tes oreilles
d'aujourd'hui
c'est nul à chier
c'est pas nul à chier
il y aurait moyen de l'arranger mais c'est pas bon ce sera'hui, c'est nul à chier. C'est pas nul à chier. Il y aurait moyen de l'arranger,
mais c'est pas bon.
Ça sera plus ce que c'était.
Ça sera plus ce que c'était.
Ça vaut pas la peine.
Tandis qu'un band,
ça te tente-tu de venir faire ta toune?
T'es poigné, man.
Je me sentais tout le temps
mal pour les gens
de boy band.
Mettons NSYNC qui partent Tu sais, mettons NSYNC, là,
qui partent en tournée, ou tu sais,
NSYNC part pas en tournée à cause
de Justin, une carrière, là, mais les
Backstreet Boys, Christ, vous avez 47 ans,
puis vous êtes obligés
de danser, faire...
Bye, bye, bye, tu sais.
Ils sont pas...
T'es supposé être un
monsieur qui monsieur qui est
en train de faire son testament
c'est sûr que ça va être
tough pour l'ego des fois
mais en même temps
il faut qu'ils gagnent leur vie
il faut qu'ils gagnent leur vie, les Stones ils gagnent pas leur vie
les Rolling Stones ils font encore
toute leur toule
t'sais t'es sonne. Ils sont poignés.
Comme condamnés.
D'entendre la foule ultra
crainquée qui sont tellement excités
de l'entendre, ça doit quand même les énergiser.
Oui, c'est clair.
C'est clair qu'ils ne sont pas...
J'ai vécu de quoi de vraiment...
J'ai trouvé ça vraiment cool pour le public.
En fin de semaine, je faisais un show
avec Pebe Rivard
pour son beau-frère,
une levée de fond.
Il y avait Pascal Picard, qui est la cousine à Pebe,
qui chantait et elle a fait...
Son premier hit.
Son premier hit, mais en le chantant.
Here I am.
En tout cas, elle chantait
et dans le milieu, elle a fait...
Je ne me rappelle plus des paroles.
Je trouvais ça mag. Parce qu'elle était
sur scène, puis la première
rangée, il y avait toute sa famille,
vu que c'était une levée de fonds pour
le chum à son cousin.
Elle fait une tourne,
elle est émotive vu qu'elle ramasse de l'argent
pour du monde qu'elle connaît.
Puis là, elle voit le monde qu'elle connaît.
Elle voit sa cousine avec les larmes aux yeux.
Elle voit les parents du gars.
Fait que, tu sais, on dirait, vu qu'elle était...
Tu sais, moi, j'ai vu ce monde-là,
mais moi, ça m'affectait moins,
vu que je ne les connais pas.
Ça m'affectait.
Mais elle, ça l'a vraiment affecté.
Puis c'était...
Quand elle a oublié les paroles,
c'était tellement drôle, parce qu'elle a fait...
Là, j'ai...
Elle a fait, c'est quoi les paroles?
Puis là, le monde criait.
Elle a fait, on va aller au refrain.
C'était elle qui jouait tout seul.
Puis là, elle a rejoué le refrain.
Puis là, elle a fait
puis après,
elle a repogné.
Puis j'ai fait,
pour vrai,
c'est malade ça. C'est vraiment un asti, j'ai dit après, j'ai fait, pour vrai, c'est malade, ça. Ben oui.
C'est vraiment un beau moment.
Ben oui. C'est tellement
humain de, asti,
c'est pas parce que ça a été ton gros
hit que tu t'en rappelles.
Toute ta vie, ben oui. Comme, mettons, je te disais,
OK, fais, qu'est-ce qu'un restaurant?
Sûrement que je ferais le premier
paragraphe, mais après, je ferais le jeu.
Après, tu serais normal.
Je me rappellerais peut-être d'une couple de lignes, ça et là, mais...
Imagine, je mets,
mettons,
la famille de ton cousin
qui est
à l'hôpital devant
toi, ça serait impossible.
Oui, non, ça serait impossible, surtout ce contexte-là.
Bon,
on va-tu...
Veux-tu un lanceur de discussion?
Oui, j'irais un lanceur de discussion,
c'est vrai. Party?
On va aller... On commence ça avec le...
Original? Ah non, juste party.
Party.
C'est le deuxième épisode
qu'on enregistre. On était un peu chaudasses.
Moi, j'ai bu, puis je ne l'ai pas montré,
mais j'ai pris du sourpuss, tout le style épisode.
C'est-tu que c'est bizarre
comme nom, ça? Sourpuss?
Sourpuss? C'est le mot poussi qui t'a accroché?
Non, non. Sourpuss.
Sourpuss. Hum.
Un petit verre de sourpuss tablette, là.
Oui, c'est ça. Ça sonne sucré,
pas bon, mal à la tête.
Vous êtes-vous déjà endormi en faisant l'amour?
Ben non. Oui.
Ben oui.
Ben pas pendant. Rapidement après Ben oui. Ben pas pendant.
Rapidement après, oui, mais pas pendant.
Moi, je me suis déjà, pas en fourrant,
mais je me suis déjà endormi
pendant qu'une fille me suçait deux fois
avec la même fille.
Attends, attends.
Deux fois, à deux journées différentes?
Je ne m'en rappelle pas vu que ça fait à sti milan mais je m'essaye
de réveiller qu'une claque dans la face pape est fait recommencer mais semble mais semble c'était
pas le même jour je me rappelle c'est une fille que je capote est-ce dans le temps c'est que quand
marie m'a laissé il il y avait une fille à Just for Laughs
qui était vraiment belle, vraiment belle.
Puis là, elle était bien flirty avec moi.
Puis là, je l'avais amenée après...
Je ne sais même pas si je l'avais amenée quelque part.
Je pense que c'est juste après l'attente VIP.
Genre, elle m'a fait un lift pour me ramener chez nous.
Puis là, j'étais brûlé.
Puis on a commencé à frencher.
Puis là, elle a commencé à me sucer
dans le parking. Puis je me suis endormi.
Ça, je m'en rappelle. – Debout? – Non, non, mais
assis. Non, assis.
Puis là, je me rappelle,
la dernière de la marde, ça m'a
réveillé. Puis j'ai fait, ah non, assis,
je m'excuse, je m'excuse.
Puis après, je me rappelle qu'elle m'a ressuscée,
mais cette fois-là, ce n'était pas dans son char.
C'était dans un appart.
Puis même affaire qui est arrivée.
Je ne sais pas si c'est, elle m'a ramené chez eux.
Elle a assez de même suive.
Ou si c'était une autre fois.
Vu que ça fait quand même 20 ans.
Grosso modo, elle a une bonne impression de toi en ce moment.
Oui.
Elle a vu un receveur de fellation.
C'est un excellent receveur de fellation.
Puis la fille, je la trouvais super belle.
Je ne sais pas si ça se fait bien
vu que je dormais.
Mais moi, j'étais juste brûlé.
C'était la première fois de ma vie
que je travaillais autant
pendant le festival.
Puis là, j'étais juste brûlé.
OK. Oui. Fait que deux fois,
deux fois, même fait.
Toi, Pierre?
Moi, c'était en pleine pénétration.
En pleine pénétration?
Oui, j'étais saoul.
Par-dessus ou par-dessus? Par-dessus.
Je suis venu souffler, brûler, saoul.
Tu sais, t'as pas de souffle.
T'es fait...
Je suis tombé endormi.
Avec Mimi ou...
Non, non, non, ça fait longtemps.
J'avais 21, 22, je pense.
OK.
Fille d'un bar, je ne sais pas quoi.
Je ne me souviens plus qui.
Je suis tombé à dormir.
Ça, je me souviens vraiment.
Elle était en tabarnak.
Ça doit.
Est-ce que tu étais chez eux ou chez vous?
Chez nous.
OK.
Ça fait que c'est moins pire.
Elle a peu cas à lisser son camp,
puis toi, tu es mal.
Pas mal de ce qu'elle a fait.
Le temps qu'elle met ses culottes,
puis après ça, ça devient un souvenir lointain.
J'ai dormi fort.
Toi, jamais?
Non. Rapidement après,
le post-orgasmique, je peux vraiment
crasher vite.
Deux secondes. Ça peut être super rapide.
Oh, ok.
Deux secondes.
J'ai quasiment l'air d'arc-olympique.
Comme un sketch. T'es un cartoon. Pas tout le temps, mais si, mettons, secondes. Ben, ouais. Fait que tu peux faire... Ah! Ah non! Non.
Comme un sketch.
T'es un cartoon.
Oui, c'est vrai.
Pas tout le temps,
mais si, mettons,
je suis un peu chaud d'as
et fatigué
et déshydraté
et je viens
d'atteindre l'orgasme,
après, je ne peux pas
partir dans un...
Tu t'endors-tu
avec le condom
sur ton pénis?
Ben non.
Fait que là,
la fille est obligée
de te l'enlever,
de te laver le ventre avec des barbouillettes
Non mais je vais me rendre rapidement à la salle de bain
puis après ça c'est dodo
C'est terminé
Même à 3h d'après-midi c'est dodo
Ah ouais c'est vrai t'endors tout le temps
Ben ouais
J'imagine que c'est une des raisons pour laquelle des fois les gens qui font de l'insomnie
ils se masturbent pour
il y a comme une détente
Ben oui ça détend
C'est un choc non choc avez vous déjà senti vos sous
vêtements pour savoir si vous êtes à propos ou non pour avant d'y remettre
ben j'imagine c'est parce que sinon pourquoi tu es ça sûrement dans le temps
que tu es mettons je suis arrivé à Montréal
j'avais 19 ans
puis des fois j'avais pas assez
d'argent pour faire mon lavage
c'est sûrement déjà arrivé
c'est sûrement déjà arrivé aussi moi mais
j'ai pas l'impression
que c'est quelque chose que je fais régulièrement
non non non mais tu sais
j'ai mille paires de bobettes
chez nous
toi Pierre? oui Non, non, non, mais non. Mais tu sais, j'ai mille paires de bobettes chez nous.
Toi, Pierre?
Ben, oui.
Non, non.
Je pense que tu l'as faite un matin.
Non, non, non.
Des fois, tu sais, tu peux pas aller, mettons, je sais pas quoi, une paire de bois.
Tu fais, Christ, sont-tu propres ou sont-tu pas propres?
Tu sais, mettons, si elles sont pas pliées ou quelque chose, tu fais, oh, elles sont pas propres.
Mais tu sais, pas... Je vais sentir, voir si ça pue.
Oui, oui, je comprends.
Moi aussi, je vais déjà...
Sont-tu propres ou sont-tu propres? Ah, Christ, ça va pas à moi. Ça va pas à moi. Oui, oui, je comprends. Moi aussi, j'ai déjà vu ça. Ils sont du propre.
OK.
Ils sont pas à moi.
Ils sont pas à moi.
C'est pas les miens.
Pas les miens.
Pas les miens.
J'haïs pas ça.
C'est correct.
Y avait-il un idiot du village
là où vous avez grandi?
On a grandi à la même place.
Oui, il y en avait un.
Hein?
Je me suis éprouvé.
Mais, il y a...
Mais, idiot du village...
Mais, tu sais,
il y a tout le temps
des idiots du village. Il y a tout le temps des idiots du village.
Il y a tout le temps quelqu'un qui file pas, là.
Moi, le terme idiot du village, ça n'applique pas,
mais il y avait un monsieur...
J'ai-tu parlé de ça?
Vous avez juste à me le dire, je l'ai déjà parlé.
Des fois, je parle à mémoire,
mais un monsieur qui s'appelait Armand Douaron.
Moi, je travaillais à l'école ressources
dans un centre de personnes âgées.
J'ai-tu déjà conté ça?
Non.
Puis, il y a un monsieur qui venait me voir
dans son trajet de la journée.
Puis, il était peut-être...
Je ne pense pas qu'il était autiste.
Je ne sais pas c'était quoi son diagnostic,
mais il n'était pas tout lol.
Je ne sais pas de sa faute,
mais il était vraiment adorable.
Mais dans son trajet de journée,
il passait me voir à l'accueil
puis il me disait toujours...
Il capotait ses avions.
Il capotait ses avions. Puis pour lui, c'était pas
l'ancienne Lorette, l'aéroport, c'était Loretteville.
Il disait toujours, « J'entends-moi! »
Non, il m'appelait Marc. Il était tout le temps
mêlé, il m'appelait Marc.
Puis là, je lui disais, « Si j'entends-moi mon nom, puis la
fois d'après, il me continuait à m'appeler Marc. »
Puis là, il disait toujours, « Il y a ça par rapport à ça. » Tu sais, mettons, sa phrase béquille, c'était, « Il y a ça par rapport à ça. » Mettons, il me disais, si j'entends pas mon nom, la fois d'après, il me continue à m'appeler Marc. Il disait toujours, il y a ça par rapport à ça.
Mettons, sa phrase béquille,
c'était, il y a ça par rapport à ça.
Il me disait, je vais m'en voir les avions à la Rodeville,
il y a ça par rapport à ça.
Après ça, je vais m'en faire du vélo.
Il était tout le temps rempli de blessures
parce qu'il bêchait constamment à vélo.
Il y avait toujours des gales.
Il y avait des gens de 70 ans qui disaient,
je vais m'en voir la Rodeville, je vais voir les avions.
Je disais, c'est une horrette Armand, les avions. Non, parfait, il y a ça par rapport à ça. Il y avait Jean-Sauceur qui disait, « On va à l'hôpital voir les avions. » Je disais, « C'est à l'ancienne horaire, Armand, les avions. »
« Non. Parfait. Il y a ça par rapport à ça.
Il y a ça, Marc, par rapport à ça. »
À un moment donné,
c'était interminable.
Il venait me voir et ça finissait plus. Des fois,
j'avais du travail à faire, mais des fois, je n'avais pas
le temps. Il me parlait et il me répétait tout le temps
les mêmes affaires. Mes amis, je leur
parlais de lui. Il me disait, « Enregistre-le.
Enregistre-le. on veut l'entendre
le bonhomme dont tu nous parles
fait que là
je m'amusais à
je faisais ça au record
pis là
je le faisais parler
d'affaires qui avaient pas de sens
pis il embarquait dans mes affaires
pis des fois
il se les appropriait
je me rappelle à un moment donné
je pense
Patrick Roy était rendu
avec l'Avalanche
pis là
les Red Wings
avaient éliminé l'avalanche.
Puis là, on parlait de ça. Puis à un moment donné, j'ai dit
« Puis là, à un moment donné, Patrick Croix, pendant le match,
te rappelles-tu, hier, il s'est
mis à crier dans l'aréna « C'est de la
faute à Thérèse, c'est de la faute à Thérèse. »
Puis là, lui-même, il s'est mis à dire
« Ben oui, chose. Non, c'est pas de la faute à Thérèse.
Qu'est-ce qu'il raconte là? Thérèse a rien à voir là-dedans. »
Puis là, il pognait
les nerfs sur une affaire que je venais d'inventer
pis il rajoutait des détails
Thérèse a rien fait
c'est pas en toi Thérèse qui est fautive
c'est toi qui avait arrêté les lancers, Thérèse a rien fait
pis là je me faisais
tout pour pas rire parce que je me disais
Christ mes amis vont pleurer en écoutant ça
en arrivant à la maison
pis je sais pas si j'ai encore des vieilles cassettes de ça
mais pauvre monsieur.
Mon meilleur ami, Dôme,
lui, travaillait chez Garon.
Je ne sais pas si tu te rappelles de la quincaillerie Garon à Québec.
En tout cas, c'était sur Chemin-Saint-Foy.
À un moment donné,
j'avais dit, va voir Dominique chez Garon.
Il s'appelle Dominique tout le temps, demande-le.
C'est-tu la
quincaillerie au père
à François Morancy?
Je pense pas.
Lui, ça devait être à Charlebonne
plus vu qu'il était à Charlebonne.
Parce que c'était vraiment un garon le propriétaire.
À moins que ce soit un monsieur garon,
le père de Morancy.
C'est ça.
C'est vraiment à côté
de l'église brûlée
sur...
Saint-Foy?
Sur le coin de l'église l'église brûlé sur cinq fois on se rend de moins en moins les
léospires ok très près de l'endroit où il ya eu la nature la tuerie dans
mosquée dans mosquée fait que je pense qu'après c'est devenu juste un endroit
il tenait du bois monde voulait acheter du bois s'était rendu comme une
spécialité mais avant ça c'était une pierre et j'avais dit avant ça, c'était une tiens carrerie. Puis là, j'avais dit, parce que mon
ami Dôme, lui, je faisais entendre les cassettes.
Puis à un moment donné, j'ai dit, « Check bien, il m'a
envoyé à un moment donné. » Je ne l'avais pas averti.
Je lui avais dit, « Armand, va voir. Il s'appelle
Dominique Toutain. Va le demander à la réception. »
Fait que là, à ce temps-là, ça faisait partie de son trajet.
Puis il dit, « Christ, il vient me voir
pendant une demi-heure. Puis il me dit n'importe quoi.
Je ne comprends rien de ce qu'il raconte. »
À un moment donné,
puis à un moment donné, il m'avait raconté
qu'il s'était masturbé.
Il avait quel âge, ce monsieur-là?
70 ou 72 ans.
Toi, t'avais 14?
Non, j'avais, mettons, 20.
18 et 20.
C'est weird, pareil.
Un monsieur de 74 ans qui parle de masturbation.
Mais pour lui, c'était complètement candide.
Il avait dit genre,
je me suis masturbé, il y avait de la belle crème.
Il y avait de la belle crème après.
Lui, pour lui, du superbe,
c'était de la crème.
Il y avait de la belle crème, pourquoi pas?
Il a sa marque par rapport à ça.
Il disait tout le temps.
Il disait toujours, on va aller voir ça. On va. Pourquoi pas? On va aller voir ça. Il disait toujours, on va aller voir ça.
On va aller voir ça.
Pourquoi pas?
Je ne sais pas s'il est encore
en vie pour Vermandoir. Il a dû faire un accident de vélo
avec les gals qu'il y avait. Il était toujours accidenté.
Surtout, il avait 60 ans
il y a 24 années.
D'après moi, il aurait 102.
D'après moi, il est décédé.
On repose en paix, Armand, on t'aime.
Moi, j'avais...
Il y avait quelqu'un dans ma famille,
il y avait un des cousins de mon père
qui appelait ma mère 20 fois par jour
pour lui parler.
Il prenait des marches,
puis il arrêtait tout le temps.
Puis c'était un weirdo, tu sais.
Pendant un bout de temps, il a perdu du poids.
Ça fait que sa ceinture, elle ne le faisait pas.
Ça fait que là, Il avait trouvé une longue
corde pour tenir ses culottes.
Lui,
il disait tout le temps
que la compagnie Seven Up
voulait le tuer.
Vu qu'il y avait
un terrain
avec la meilleure roue au monde,
puis là, les SevenUp, ils le savent
puis moi, ils savent que je ne veux pas vendre
donc ils veulent se débarrasser de moi.
Mais je pense que c'était juste
à Québec dans le temps, Pepsi, 7-Up
c'était Alex Coulombe.
D'après moi, Alex,
quelqu'un avec un nom de famille Coulombe
ou un gars qui s'appelle Alex
a dit, ton petit terrain
comment tu veux? C'est un terrain qui valait 3000 Alex a dit, « Hey, ton petit terrain, comment tu veux? »
C'est un terrain qui valait 3 000 $.
Je veux un million.
Fait que là, lui, chaque fois qu'il venait,
il disait à ma mère, il parlait tout le temps
comment je pense que la gang de 7-Up me suive.
Et moi, dans ma chambre à coucher,
j'avais un haut-parleur.
Tu pouvais parler, c'était comme un main libre.
Puis quand tu pesais sur le mute,
ça faisait clic-clic.
Fait que là, aussitôt qu'il appelait,
moi, je répondais en même temps que ma mère,
puis je pesais sur mute,
puis elle disait allô,
puis là, lui, il se mettait à parler.
Puis aussitôt qu'il parlait de 7-up,
je faisais clic-clic-clic.
Fait que lui, Là, il était comme...
T'es entendu?
Je le dis. Là, maman était comme...
Non, j'ai rien entendu. Non, non, t'as entendu
de quoi?
Là, il disait... Je te jure,
il y a rien.
Je faisais ça
à chaque fois
qu'il appelait. Tout le temps.
C'est-tu que j'avais du fun.
Ouais, c'est ça. Moi, quand
je repense à la fête de... Parce que
tu sais, moi, Armand Douaron,
je l'aimais beaucoup, ce monsieur-là. Puis là, à un moment donné,
une de mes amies ou une amie qui m'avait dit,
« Ouais, c'est pas un peu chiant d'enregistrer à son insu. »
C'est quoi? Mais c'est pas pour rire de lui. C'est juste,
je l'aime bien, le monsieur, mais en même temps,
c'est tellement interminable. Ça prend
une heure et demie. Il faut que je trouve mon propre divertissement
au travers de ça. Je ne sais pas
c'était quoi qu'il y avait, mais il y avait une certaine
lenteur ou des fixations.
Je ne sais pas c'était quoi. Mais pour moi,
jamais je ne me suis moqué de lui. Même des fois,
quand il me racontait des affaires, j'avais comme essayé
de l'aider parce qu'il y avait un monsieur qui était
en appart. Il vivait en appart avec un coloc,
mais son coloc, parce que
Armand, je pense qu'il avait quand même des sous, puis il avait une pension.
En tout cas, à tous les semaines,
il recevait quand même pas mal de sous. Il avait travaillé
dans une shop ou je sais pas quoi.
Je pense qu'il se faisait voler.
À un moment donné, j'avais
mis un ami
dont le frère était policier. J'avais dit,
« Peux-tu regarder ça? » Je me souviens pas trop comment ça avait fini,
mais je pense que... Ils ont trouvé leur
diap' m'endoir.
50 ans de prison.
Non, mais son coloc,
c'était la fin, c'était plus son coloc.
Il avait... Il s'était rendu compte qu'effectivement
il volait, puis finalement, il était à l'habitat avec sa soeur.
C'était un peu flou, mais...
Mais c'est ça, c'était dans le sens que toi,
tu faisais ça juste pour rire, tu voulais pas
te moquer ou te... Mais je voulais me moquer.
Un petit peu. Non, non, mais je trouvais ça drôle. Parce que moi, ça me faisait... Tu faisais ça juste pour rire, tu voulais pas te moquer. Je voulais me moquer.
Non, non, mais je trouvais ça drôle.
Parce que je l'écoutais,
puis j'étais... Quand j'avais 9 ans,
je l'écoutais, puis je faisais...
Je savais pas, je comprenais pas
la business, mais je comprenais assez la business
pour savoir que 7-up,
s'ils veulent un terrain,
de l'eau, c'est en dessous de la terre.
Fait que s'il y a de l'eau ici, puis son terrain est là,
ils vont acheter le terrain là, ils vont driller de même.
C'est la même eau, que tu sois sur la rue Racine,
à l'Horretteville, ou sur la rue Fortier.
C'est la même eau.
Puis là, j'étais comme, 7-Up, pourquoi
qu'il aurait entendu parler
de l'eau de l'Oredville? »
Voyons, tabarnak!
Il n'y avait rien qui avait du sens.
S'il m'avait dit, mettons, « Suncrest
veut mon eau »,
là, j'aurais fait, « Tu te rappelles-tu de Suncrest? »
Vaguement.
« Tu te rappelles de Suncrest? »
Ça, c'est la liqueur qu'il livrait dans des caisses.
Je ne voulais pas de liqueur.
T'abarnac, Suncrest avec le Québec-Cola.
Québec-Cola, oui.
Suncrest, c'était bon.
Michel a travaillé pour Suncrest.
Il rajoutait...
Il rajoutait
du sucre.
C'est lui qui rajoutait
les ingrédients dans l'eau.
Il a dit qu'il y avait plus de sucre
que de liquide là-dedans.
Chirot.
Là, je viens d'apprendre de quoi au monde.
Le monde ne savait pas que c'était que du sucre.
C'est un esthétique.
On fait-tu? Ça a l'air que c'est fini.
Une dernière question.
Il faut que tu t'en ailles.
Un petit 2 de 3 de tabou.
2 de 3 de tabou.
Tu veux-tu que je pose des questions et c'est vous autres?
Ah non.
C'est mieux quand c'est toi
qui le fais parce que t'es meilleur
pour décrire.
OK, on va le faire.
Un, deux, trois, trois de cinq?
Deux, trois, c'est moins long. Faut-il t'en aller?
Non, j'ai quand même...
Il me reste cinq minutes.
On se rappelle qu'il y a cinq mots
que j'ai pas le droit de dire.
On a-tu un buzzer? Non, on n'a pas de buzzer.
Non.
On dit c'est quoi M. Douaron, Martin Douaron,
Ronald, ton monsieur?
Armand Douaron.
Armand Douaron.
Armand Douaron.
Pompier.
Toi, t'es pompierand Doiron. Ou pompier. Pompier.
Pompion.
Toi, t'es pompier.
Moi, je suis pompion.
OK, pompier.
Puis toi, pompion.
Parfait.
On va dire...
OK.
Mettons, on dit quelqu'un qui est obsédé à quelque chose,
il est...
Ou tu peux...
Mettons quelqu'un qui est bipolaire, il est...
Maniaco.
Pompion.
Dépressif. Non, mais l'adjectif de ce que tu as dit en premier. Pompion. Pompien. est bipolaire, il est... Maniaco. Pompion.
Dépressif.
Non, mais l'adjectif de ce que tu as dit en premier.
Pompion.
Pompien.
Bipolaire.
Non, bipolaire,
c'est moi qui l'ai dit.
Obsessif.
Compulsif.
Au début, quand j'ai dit
quelqu'un qui est bipolaire,
il est,
t'as dit quelque chose.
Oui.
Tu viens de le dire.
Obsessif, bipolaire,
maniaco, dépressif.
Maniaco.
Maniac, c'est un maniaque.
Ah, maniaque.
Ah, Varnac, j'ai dominé ça.
Une chance qu'on dit le pompion pompier.
Fait que ça, on arrête ça.
OK.
OK.
Je ne peux pas dire ça.
OK.
Sur la rue,
quand, mettons, un chevrolet
rentre dans un Ford. C'est un...
Un accident.
C'est un 3 de 5 ou un 2 de 3 parce que ça serait fini?
Non, on va faire 3 de 5.
Mike va devenir...
Mais on va faire 4 de 7.
Comme ça, je mène 2-0.
On va essayer de combiner
le chevrolet et le Ford ensemble.
Parce que tu ne pouvais pas dire auto.
Non.
Ou voiture.
D'accord.
OK.
Les concours Miss machin, c'est pour des concours de...
Beauté.
Oui.
Mais il est en feu.
Oui, mais là, je lui demande 3-0.
Là, c'est là que la panique est là.
C'est là que ça casse.
Oui, OK, c'est vrai.
Je ne vaux rien, mais attends.
Je veux me donner de la confiance.
Rappelle-toi de ton recyclage.
OK.
Ça, c'est bizarre.
OK.
L'équivalent de Mastercard.
Visa.
Pierre, tu es où?
Bien, je…
4 à 0.
Pierre, un petit décompte sur…
4 à un solide décompte.
C'est-à-dire que ça en profite, c'est quand c'est 3 à 0 d'être bien dans le…
Ça, en même temps, moi, je checke les caméras. Bon, je me trouve des défaites. Je n'ai pas été vite, c'est quand c'est 3-0. Moi, je checke les caméras.
Je me trouve des défaites. Je n'ai pas été vite.
C'est tout simplement.
Non, tu étais un idiot.
C'est notre Armandoir.
L'idiot du village
qui vous écoute.
On va aller voir ça.
On va aller voir ça.
On va aller voir ça.
Il y a ça, Marc, par rapport à ça.
Il y a ça par rapport à ça.
Merci, Marc. Il y a ça par rapport à ça. Merci, Marc.
Il y a ça par rapport à ça.
Merci beaucoup.
Allez voter pour Mike à l'olivier de l'année.
Oui, mais là...
Quand ça va sortir,
ça va faire quatre mois.
D'abord, allez écrire
sur le site de l'API
tabarnak de concours de cul.
Notre Mike n'a pas gagné.
Chris, c'est lui qui le méritait.
Vous avez voté pour Alexandre Barrette,
l'imbécile de service de l'humour.
Je t'ai donné du bashing
si ce n'est pas Mike qui gagne.
Nous autres, on a acheté de la pub
pour le lendemain des Olivier.
On va être sur le site
de la presse, la grosse annonce
en haut, puis l'annonce sur le côté.
Mais là, il faut faire comme 4-5 setups
de gagnant de 4, Olivier.
Puis je pense que je vais faire juste une photo
de juste moi de même.
J'ai rien gagné, mais mon show est bon pareil.
C'est une excellente pub.
Ou perdant dans chaque catégorie.. Perdant dans chaque catégorie.
Humilié dans chaque catégorie.
Pour vrai, ça, je trouve ça une merde.
C'est une crise d'abondance.
Humilié.
Perdant sur toute l'allée.
Moins bon que...
J'ai trop de peine.
J'ai trop de peine pour vous regarder.
Non, mais...
C'était quoi le gag?
Sont-ils tous sortis tes pubs? Je ne veux pas spoiler,
mais... Non, ils ne sont pas sortis encore.
Ils sortent la première semaine de décembre.
Mais celle que tu as tournée, que tu m'as envoyée,
avec les petits montages,
avec les YouTubers. Oui, ça, ce n'est pas sorti.
OK, bon, je ne volerais pas
un gag que j'allais dire.
Ça volerait un punch.
Ton gag est trop solide.
Merci.
C'est tout.
À la prochaine, tout le monde.
Merci de nous suivre.
Vous êtes gentils.
Salut.
Salut.
Bye.