Mike Ward Sous Écoute - Les Denis Drolet

Episode Date: May 4, 2020

Cet épisode est une présentation de CodeBoxx ( https://codeboxx.biz/fr/workshop/home ), du Chaînon ( https://www.lechainon.org/fr/organisation ) et du documentaire Jerr Allain: La Grande Scène ( http://yantheriault.com/jerr ) Dans cet épisode de Sous Écoute, Mike reçoit Sébastien Dubé qui a déjà envisagé "Twitcher" ses sessions de jeu vidéo et Vincent Léonard qui nous parle de ses figurines et pièces de collection préférés. -------- Patreon - http://Patreon.com/sousecoute Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute Twitch - https://www.twitch.tv/sousecoute Discord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★

Salut tout le monde, bienvenue à Mike Ward sous-écoute, j'espère que ça va bien, j'espère que vous êtes en forme, en santé, physiquement, mentalement, psychologiquement. J'espère que c'est pas trop lourd ce qu'on vit en ce moment. Pour vous, moi ça va bien, ça va bien, j'ai eu un deuil cette semaine il reste plus de sous-écoute au bordel l'épisode que vous allez voir c'est le premier j'espère de pas une longue série j'aimerais ça retourner rapidement au bordel

mais le temps qu'on se rende au bordel on va continuer à faire des shows même un peu ça va un peu ressembler à la première version de sous-écoute que je faisais à l'époque en 2011, juste en Skype.

Là, la qualité est un peu mieux. Dans cet épisode-là, moi, j'étais trop blanc. Puis, après ça, j'ai changé d'éclairage. Chaque épisode, vous allez voir, on va s'améliorer. On va s'améliorer. Je veux remercier Yann, Yann Thériault,

qui fait vraiment une belle job. Puis merci aussi à Pierre Ouimet. Pierre Ouimet qui fait les Vous Écoutes. Je veux remercier les deux gars. Ce n'est pas évident, surtout. Moi, je leur mets bien de la pression de ce temps-ci parce que je veux que le show soit de qualité. Je veux remercier aussi...

Bien, je n'en nommerai pas, mais j'ai eu plein de monde qui m'ont offert un coup de main. Du monde de la télé, du monde du web. On dirait de ce temps-ci, le monde sans traite. Je trouve ça beau. Parlant de web, mon commanditaire cette semaine, je vais vous parler d'eux autres, c'est l'atelier digital Codebox.

Codebox, c'est un partenaire de développement pour des boutiques en ligne, des transformations digitales ou en cours pour le design et le développement d'applications web ou mobiles. Fait que si toi, t'as un commerce, pis là, tu fais, « Ah, si, y'a plus personne qui vient à mon magasin », t'aurais besoin d'un site web qui est une boutique en ligne.

Pis t'sais, pas juste un site web, là. T'sais, ça prend une vraie boutique en ligne, ça prend une application pour compétitionner avec Amazon. Il faut que tu arrives avec quelque chose de solide. Je ne sais même pas où je suis rendu. Parmi leurs projets,

ça ne me paraît pas que je suis en train de lire. Parmi leurs projets, je parle de code box. Je parle de code box. Parmi leurs projets, il y a dans ma boîte une plateforme pour simplifier les soins à domicile que notre ami Al Ryder, Alain Godet, utilise. Et il utilise ça pour trouver ses petits anges. Moi, je connais plein de monde qui sont faits fourrer

avec leur projet informatique. Codebox, ça existe pour payer le vrai prix. Ils vendent des résultats, pas des heures de service. Le modèle d'affaires leur permet d'avoir le meilleur prix en ville. Allez sur codebox.biz slash workshop

pour plus d'infos. codebox.biz slash workshop Je voulais aussi, je l'ai remercié tantôt, mais je vais plugger un de ses projets. C'est Yann Thériault. Yann Thériault, je le niaise souvent, qui fait des documentaires à propos de Jer Alain. Aux trois semaines,

il y a un documentaire sur Jer Alain qui vient de sortir. Qui est disponible sur la chaîne YouTube de Yann Thériault. C'est vraiment bon. Honnêtement, là, j'ai juste, je l'ai pas écouté encore,

mais, pis là, je sonne comme un astuce crasseur, je dis c'est vraiment bon, pis je l'ai pas écouté. Je l'ai pas écouté, mais j'ai commencé à le regarder. J'ai regardé à peu près les 10-12 premières minutes. Car la marnin, je vais être de la misère avec ce mot-là. 10-12 premières minutes, et c'estie, je vais être la misère avec ce mot-là.

10-12 premières minutes et c'est débile mental. Tu sais, Yann, il y a toujours... Tu sais, ses premiers documentaires qu'il faisait, c'était bon. C'était vraiment intéressant. C'est un bon storyteller, fait qu'il sait comment rendre l'histoire intéressante. Mais là, je sais pas,

c'est qu'il se fait plus confiance qu'avant ou quoi, mais la réalisation est hallucinante. Pour de vrai mais là, je ne sais pas si c'est qu'il se fait plus confiance qu'avant ou quoi, mais la réalisation est hallucinante. Pour de vrai, c'est impressionnant. Les shots, ça torche tout, tout, tout ce qui est à la télé. Allez sur le channel YouTube de Yann Thériault

pour voir ça. Et je vais faire une dernière plug avant qu'on commence le podcast avec les données. On a les Denis. Je suis tellement content que les Denis aient accepté de faire ça. On parle souvent, on en parle souvent,

mais pas publiquement. Mais, tu sais, moi, j'ai beaucoup pensé aux femmes qui vivent dans des situations de violence conjugale. Tu sais, c'est jamais cool d'être avec un gars ou une fille qui te bat, mais d'habitude, avant toute la mort qu'on vit en ce moment,

au moins, si le monde était dans une relation toxique, il pouvait partir, il pouvait partir une couple d'heique, ils pouvaient partir, ils pouvaient partir une couple d'heures, ils pouvaient partir au moins 10 minutes, le temps que la situation se calme un peu, mais là, son 24 heures sur 24 avec leur agresseur, ça doit être horrible.

Si vous vivez ça, mesdames, je sais que tu dis « je ne peux pas aller nulle part, c'est pendant une pandémie, que sais-je que je vais faireje faire? Le Cheynon peut t'aider. On parle souvent du Cheynon. va sur le site web lechainon.org lechainon.org ou appelle au 514-845-0151 pis si t'appelles

sois discrète tu sais ouais tu le sais là si tu sois discrète fait que lechainon lechainon que c'est pas une pub en ce moment

ils m'ont pas payé pour ça j'espère qu'ils sont encore ouverts pendant la pandémie, sinon c'est pas j'en ai su. Mais je suis pas mal ça. Je suis allé sur leur site web et j'ai vu que tout, ils disaient qu'il était encore là.

Et si vous avez de l'argent et que vous voulez donner de l'argent pour aider tout le beau travail que Le Chainon fait, allez lechainon.org lechainon.org Merci beaucoup tout le monde. Bon podcast.

Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup d'être là. On est live en ce moment sur Patreon. Comment ça va? Ça va bien. Caché beaucoup, beaucoup d'être là. On est live en ce moment sur Patreon. Yes! Comment ça va? Ça va bien, caché dans un sous-sol à attendre le bonheur. Toi, Vincent,

qui est un gars qui n'est pas peureux dans la vie, toi, ça doit être le meilleur temps de ta vie en ce moment. C'est incroyable le nombre d'affaires que je fais pour essayer de m'épivarder à la tête sans arrêt. J'ai même bricolé comme un outil pour essayer d'accorder le piano de ma

fille. Ça a été un désastre. Je fais n'importe quoi. J'ai pendu des planches, j'ai lancé de la céramique sur une roche pour un jeu. On passe le temps comme on peut pour ne pas trop faire d'anxiété. C'est ça qu'ils disent?

Oui, oui. Mais je me demandais, tu sais, parce qu'il y a du monde qui sont bien parano, que ça l'a quasiment aidé, parce que là, ils font, bon, Chris, j'avais raison, de rien toucher, puis de... Tu sais, toi, ça n'a pas fait ça?

Non, zéro. Pour vrai, je contrôle ça de bonne façon,, zéro. Pour vrai, je contrôle ça de bonne façon. En tant que père de famille, ça, c'est le bout sérieux. On trouve des façons, pour vrai, de se passer le temps, d'avoir du plaisir, mais de rendre ce confinement au moins agréable pour

eux autres. Il y a des bouts de me trouver complètement malade, des fois, où je me déguise dans ma chaide pour tourner des affaires avec vous autres, genre, puis il crie à des heures improbables. Il est en train de perdre la carte solide.

Toi, Seb, tu vas encore faire Véro et les Fantastiques. Oui, on est là. Ça, ça te fait-tu capoter à sortir? Parce que le studio, il n'est pas si gros que ça. Ça, ça te fait-tu capoter à sortir et être... Parce que le studio, il n'est pas si gros que ça. Non, ça ne me fait pas capoter.

Je sais que les mesures, tout est en place pour qu'on réussisse. On est vraiment à distance ensemble. Ils ont switché le studio, Mike s'est rendu en bas. La place où on fait les shows, les soirées énergie, mettons, qu'il y avait ou les parties. On est vraiment rendu à quasiment 6 mètres

un chaque. On est pas en haut dans le beau. C'est weird de partir des Laurentides, là, pis je parle autant pour Serbes que pour moi, que tout faire ce trajet-là, pis tu te sens genre dans un film un peu zombie ou quelque chose de weird. Il y a personne dans les rues. C'est néant.

Pis tant mieux, c'est ça qu'on veut, mais de le constater une fois ou deux semaines en allant là, c'est deant. Tant mieux, c'est ça qu'on veut, mais de le constater une fois aux deux semaines en allant là, c'est de sortir de chez nous pour ça. Aïe, OK, il y a un climat. On attend, ça paraît, mais ça fait du bien d'y aller. Tout est propice pour aller faire la radio.

Comme grand nerveux, je peux confirmer que c'est bien correct. Je suis bien chanceux d'avoir refusé un projet qui était écœurant, qu'il fallait que je prenne l'avion pour aller au Japon. Puis que finalement, j'ai peur de l'avion. Fait que j'ai choqué sur ce projet-là. Je n'y ai pas été. Puis, à date, ce que j'étais supposé partir,

ou à peu près où j'étais supposé être au Japon, je n'y étais pas. J'étais chez nous à cause que j'ai peur de l'avion. Ça a été le confinement en même temps. Je suis content d'être chez nous, puis j'y reste. Tu vas-tu faire l'épicerie ou vous vous faites livrer? En fait, on est

retombé dans la chasse. J'ai sorti mon arc et on tire sur tout. Tout, tout. On mange de tout. Le voisin qui revient de chez Maxi. Voilà. Je vais à l'épicerie.

C'est encore là. Je ne vais pas où. Encore là, on y va. Je ne vais pas où j'ai l'impression que c'est achalandé. C'est sur le passage de tout le monde. J'essaie de me trouver des places cachées. C'est juste pour m'apaiser l'esprit. Tout le monde fait des efforts pour que ça soit bien clean. Moi, j'ai eu

le kit que j'ai en ce moment. Le micro, c'est le micro à Michel en tout cas c'est moitié le kit à Michel moitié le kit qu'on avait sous écoute au bordel quand j'ai fait livrer de quoi, c'était Poseidon

qui l'a amené ici il allait chercher du kit du stock chez Yann, il l'a amené ici puis quand il est arrivé ici, la police l'a arrêté. La police pensait qu'il faisait du porte-à-porte. La police est arrivée. Là, le policier dit, j'ai vu parler. Puis là, j'étais comme, voyons, je l'appelle.

Puis là, il me dit, c'est ça, le policier pensait que je faisais de la vente porte-à-porte, mais qu'il y avait comme s'il vend des micros est-ce que tu... L'ancien détenu, est-ce que son sac vend des microchips C'est ça, c'est ça Tout le monde est un peu joli, je le sens dans ma place parce que justement

il y a un office police je peux le dire en anglais un bureau de police un bureau de la police c'est bien compliqué ça c'est le moment compliqué mais pour vrai ça patrouille partout

je n'ai pas de crainte à penser que vous devez penser que ce gars là ça venait poser des bombes chez vous ça patrouille après vous ben oui ça patrouille parce qu'il ne faut pas qu'il n'y ait personne en rassemblement. Tu te sens un peu genre, voyons, il te regarde et tu passes. Moi, l'autre fois, moi et Marie, on marchait nos chiens.

Elle en avait un, moi j'avais l'autre. J'étais comme à 5 pieds d'elle. On n'était pas collés. Puis là, la police a arrêté pour voir. Puis là, elle a marché tout seul, moi j'ai arrêté pour le voir. Puis là, elle a marché toute seule.

Moi, j'ai arrêté. Là, ils ont continué. Mais je pense que je devais avoir l'air de soit un agresseur. Qui a suivi votre proche. Ouais, ouais. Ou tu sais, un colleux. Je vais en profiter pendant qu'on parle de ça, parce que je suis sûr qu'on va se toucher à d'autres choses de maintenant.

Mais regardez, j'ai un verre de lui, qui est notre chum Just Just to buy my love, puis je lève à sa santé, parce que lui, il travaille comme un malade, jour et nuit. Il peut poser au bénéficiaire, c'est vrai. Il est dans le style, lui-là. Il est dans les doubles.

C'est vrai, c'est vrai. Chef d'équipe, il est claqué, claqué, bien raide. Ouais, ouais, ouais, c'est un ange, puis il rit de nous autres sans arrêt. C'est moins l'ange, mais il sacrament une chance qui existe. Avec son genre d'humour et sa personnalité, nous autres, on le connaît un peu, il se met du cœur là-dedans

puis il rend ça le fun pour les autres là-bas, mais je pense que quand ça a été claqué comme tout le monde, en tout cas, on l'aime fort. Y'a-tu, ou qui est-ce, a-tu été un CHSLD qui a été bien affecté? Je sais pas dans le nombre, je sais pas si ça a été parlé, mais ça commence. Il me disait, il y a des cas.

T'as marre, est-ce que ça doit être stressant? Chris, oui, à tous les jours, là-dedans. Là, y'a l'ordre de le pogner, qu'il me dit. Honnêtement, je veux le pogner, ça va régler la patente. Je suis toujours dans, je me check, vas-tu le pogner à quel point je veux comme casser ça là Chris peux-tu l'avoir deux semaines à la maison moi l'eau c'est encore plus angoissant de pas le pogner

moi par exemple avec lui ça fraîchit t'es comme bon je peux-tu le pogner il le pogne pis après il meurt il meurt il voulait le pogner mon astide c astide tout le monde Chris il disait il arrêtait pas de dire qu'il voulait le pogner

il l'a eu pis il en est mort on réalisait pas qu'il était en dépression nous autres on riait ça va être à leur pogne on a des trêves vous autres en plus ça va être la Leupoigne on a des trés wow vous autres en plus je pensais à votre tournée

genre la semaine passée parce que moi je suis allé voir votre avant dernier show pis il vous restait juste un show à votre tournée ça va être fucking weird ça quand vous allez rejouer dans 8 mois non je crois pas on a pas fait le dernier show on s'est pas donné la dernière étape de Chris Ça va être fucking weird, ça, quand vous allez rejouer dans huit mois. On n'en fera pas. Il en restait un.

On n'a pas fait le dernier show. On ne s'est pas donné la dernière étape de Chris. On a fait la run. Il n'existera jamais. C'est un peu étanche. Ça finit bizarre, mais on ne le refera pas. Ça va être trop loin, décalé, de se remettre dans une heure et demie de show. On va déjà dans l'écriture lentement d'un nouveau show, peut-être. Ça finit un peu sec,

mais il n'y aura pas de dernier show de ce tournée-là. Il est malade, ce jour-là, qui s'appelait En attendant le beau temps, avec l'arc-en-ciel sur le poster. On était là. Ah oui? On était là.

Notre genre de joke, en plus, crier dans le vide COVID-19. Qu'est-ce qu'ils sont malades. Ils mentaient ça. Ça aurait pu. Vous avez fait une captation pour ce show-là? Oui. Il va passer en TV, je pense,

au mois de juin, en tout cas, quelque part là, il me semble. À quel poste? Je pense Radio-Can. Ou le Mauve. Un des deux. Le quoi? Le Mauve. Oui, le poste Mauve. Mais même ça, c'est une surprise, Radio-Can. On a a fait Chris, on a coupé bien du stock,

mais il semble que le show est quand même assez lourd. Il voulait. Chris, qui est bon, ce show-là. Tout le monde m'avait dit que c'était un show incroyable et j'ai solidement pogné de quoi. C'est vraiment gentil. Je m'attendais,

imagine, je m'attendais à un chef-d'oeuvre et d'habitude, quand tu t'attais à un chef-d'oeuvre. D'habitude, quand tu t'attends à un chef-d'oeuvre, tu pourrais voir la meilleure chose au monde et tu es en tabarnak. Mais je m'attendais à un chef-d'oeuvre et c'était meilleur que ce que je m'attendais. C'était bien fait. On voit que ça fait

mille ans que vous êtes ensemble. Sur scène, vous êtes connectés comme j'ai jamais vu quelqu'un de connecté. C'est ça qui va nous manquer pendant longtemps parce qu'on a beau être connecté par Internet et se voir la face de même une fois de temps en temps dans des

genres de quiz que des amis font. Mais se voir, être ensemble et vraiment vivre le feeling, c'est déjà un nasty dread. Pour nous autres, on n'a jamais vécu ça de notre vie. Pas se voir, être ensemble et vraiment vivre le feeling. C'est déjà un nasty drive. Pour nous autres, on n'a jamais vécu ça de notre vie. Pas se voir pendant un mois et demi déjà.

Oui, c'est pas grave. Se voir pour être ensemble entre amis, mais se voir pour ne serait-ce que faire une ride en char pour aller faire un meeting. Cet côté-là, ça manque pareil. Pourtant, on le sait qu'on n'a rien présentement, mais on ne veut pas pousser le même avec nos parents. Moi, ma mère,

elle est là, elle attend. Elle n'a rien, puis je n'ai rien. On s'envoie des becs dehors quand je passe en char pour aller porter un steak de loin. C'est une monde absurde. Je suis en train de vérifier qu'on ne sera jamais capable d'écrire de quoi qui va topper ça.

Je ne sais pas, nous autres, on va devenir normaux et faire des conférences. Carlis, pour être drôle, je ne comprends plus où est-ce qu'on va aller, nous autres, après ça. Moi, j'avais commencé à regarder la série Pandémie sur Netflix, Pandemic. Puis, genre, la première phrase

qu'ils disent, c'était l'année passée, ils disaient, la pandémie, ce n'est pas une question de si, c'est une question de quand. Puis je me rappelle, quand j'avais vu ça, j'avais fait, c'est n'importe quoi, cette astuce d'affaires-là. J'essayais de nous faire peur. Je l'avais arrêté.

La semaine passée, je me suis dit, je devrais peut-être le regarder, peut-être il donne des conseils. Oui, finalement. La vie a trop switché vite, Je devrais peut-être le regarder. Peut-être qu'il donne des conseils. Oui. La vie a trop switché vite. En quatre jours, plus d'école, toute la maison, plus personne. On n'est que sur Zoom.

On prend des marches et on regarde le monde. On crée son toit dehors. C'est rendu basant en deux secondes de même. On fait des affaires pour justement essayer de changer les idées. Je disais tantôt, je l'ai sorti pour vous le montrer, mais j'ai retrouvé mon casse-tête de bobineur. J'étais tellement content.

Tabarnak, c'est bien cool. C'est combien de morceaux? Je pense deux. Une carte ou une affaire de morceaux? Pour deux gros blocs. C'est un plastique de notre univers, le jeu de chips. Ah, c'est-tu de tabardade.

C'est sûr que je peux peut-être faire des jaloux, mais ce que j'ai trouvé, puis que j'ai sorti, puis qu'il me fait capoter, c'est ça. Seb, ça va être très content. Ça, le mic, c'est le pire numéro du monde de tous les temps. C'est Martin Petit, Larocque, moi, puis Vins.

Attends, avance-le. OK. Martin Petit. Martin Petit, La Rock, moi puis Vince attends, avance-le ok Martin Petit, Vince La Rock La Rock c'était un boys band c'était Martin qui a mis un gars là à Québec c'était un astide gros numéro, ça finissait le show du cash, des répètes

il a fait faire des CD après ça il a fait une séance d'autographe pis Chris, il a pas eu un son dans le numéro. C'était un flop. Ça a zéro marché. Non, c'est un cas. Il disait des autographes après. Ça a été un cauchemar. Comment ça s'appelait? Les back quoi? Les back streets on the block.

Ah, il était épouvantable. Ben, c'est ça. Je riais quand j'ai retrouvé ça. Le fait que la rock, je faisais la beauté. C'était comme le frontman. C'est la rock, le Nick Carter. Oui, c'est ça.

Ça, on avait ça. Il danse, la rock. Oui, oui. Toutes les idées sur le papier me faisaient barrer. C'est comme un rêve, ce numéro-là, finalement, un peu. Toutes ces émotions sont là. Y'avait-tu vraiment plein de

tonnes sur le CD? Y'avait-tu... La tonne. Une tonne. Y'avait une tonne. Ah oui, ok. À la limite, même Martin avait flyé après de dire, Chris, peut-être une fausse web-série. Ben, c'était même pas une web-série. C'était la télé-réalité du band. Mais là, tu fais, OK,

il y a peut-être de quoi de possible à faire un faux band, mais c'est un nombre incomprénable. Un beau souvenir. Ça ferait pour vrai une bonne web-série de voir où est-ce que les gars du boy-band sont rendus.

Après 14 ans d'un band que personne ne s'appelle. C'est incompréhensible. On va regretter la mort. On va partir. Moi, je ne sais pas ce qui est arrivé pendant le début de la pandémie. J'achète

des stupidités, des jeux stupides. Aujourd'hui, je me suis fait de livrer. J'ai acheté un vidéo poker d'un casino au Japon. Il est arrivé aujourd'hui. Il est dans le sous-sol.

C'est une grosse machine. Tu mets des 25 cents. Ce n'est pas des 25 cents, c'est des jetons. Des tokens. Là, je m'étais dit je vais l'amener. Je ne sais pas si on que tu as. Oui, oui. Là, je m'étais dit, je vais l'amener. Regarde, ça, je ne sais pas si on voit

un peu. Oui, oui. Mais oui, mon Dieu. Oui, mais tu es rendu aussi avec une table de hockey avec un dombe et tout ça. Oui, oui, oui. C'est génial. Oui, c'est parfait. Oui. C'est là que j'ai vu, par exemple, tout le monde jouer plein de vedettes faire,

ou plein de monneries qui disent, c'est plate le COVID-19, mais ça ram, tout le monde jouer plein de vedettes, ou plein de monde riche qui disent que c'est plate le COVID-19, mais ça ramène tout le monde pareil, on est tous pareils, on a tous la même réalité. Puis moi, je me fais livrer un vidéo poker du Japon. Fait que je me dis, la mère monoparentale qui gagne

11 000 par année, elle l'a peut-être plus rough que moi. C'est à elle de s'en acheter et qu'elle priorise les bonnes affaires. Le paille, ce qu'elle a le goût de manger. Qu'elle crève. Noël, c'est un bon Japon. Chris.

Mais non, je suis vraiment heureux. Ça m'a rendu heureux quand c'est arrivé aujourd'hui. Mais tout est relatif, je pense. Il y a toi qui as ça, mais moi, j'ai capoté Schwarzenegger qui, lui, dans sa cuisine, est confiné avec son âne pis son poney. Ah ouais, ah ouais.

Ouais, pis tu sais, tu te dis que ça, c'est un problème de riches, là, de la marge de poney pis d'âne dans la cuisine. Pis il... C'est pas lui qui ramasse ça. Ben non. Ben non. Hey, c'était magique, ça, le vidéo. C'est le vidéo que lui qui mange, pis après son poney prend des bouchées.

Oui, il est comme, « Hey, laisse-moi manger. » Puis il rit, puis il a l'air de détraquer. Oui, il a l'air de venir comme une balle. Pour moi, il est sur l'opium, je suis un nigger. « Big sound, big. » Je suis sûr, il se disait,

« Oh, yes, ça, le monde va aimer ça. Ça montre qu'on est tous pareils. » Ils vont se reconnaître. Ça, ça serait semblant. Ils sont se reconnaître. C'est le plus ressemblant. Ils sont autant pinots aux andes quand on mange. Oui, pinots aux andes. Tu sais, comme Madonna,

au début de la pandémie, tu avais Madonna qui chantait de bout dans sa salle de bain. Oui, j'ai vu ça. Elle était dans un bain rempli de lait. C'est ce qu'elle a, ce petit claque en tout moment. Solide. un bout de temps, elle était dans un bain rempli de lait solide mais imagine son pauvre assistant ou son assistante

qu'elle était comme là va à l'épicerie c'est dangereux d'aller à l'épicerie, c'est important super important elle me prend 22 cruches de lait quand elle est seule dans le bain, il fait moins. Le monde va capoter. Ils vont comprendre ce qu'il va dire.

Tu sais, de Stacy, il te laisse même pas acheter deux bouteilles de jus. Fait qu'il a fallu que son assistante fasse 22 IGA. Je l'ai dit tout le temps. Elle est super bonne. Elle fait des personnages. Elle s'est transformée à chaque fois.

Deux cruches. Elle arrive à être un peu bossue. Elle change, elle fait un vieux. Like a book. Mais elle utilise tout le temps de carte de crédit, Madonna Industries. Oui.

Elle payait avec ça. C'est une vie de fou. Oui, c'est ça. Chacun ses désirs. Vous autres, vous parliez que vous faisiez des jeux. Est-ce que vous en faites genre une fois par semaine, quatre, cinq fois?

Une fois par semaine, c'est mon frère qui a pogné le lead de la tournée Tune Gang sur Zoom et il monte un quiz. On a fait des quiz et des fouries boulettes. On peut jouer aussi à boulettes à distance. C'est quoi boulettes? Le jeu de boulettes, c'est que tu déplies le premier round, tu fasses deviner quelqu'un

en l'écrivant n'importe quoi. Après ça, c'est juste un mot. Troisième round, c'est un mime. On s'envoie ça par le téléphone. Où est-ce qu'il faut trouver les mots? On joue à ça. Ça marche assez bien. On se saoule, on joue, on fait des quiz. Ça page du temps.

Il y a un côté social. C'est ça ton frère qui a été justement sous-écoute avec toi, Martin. Le monde connaît ce Martin. Il fait des quiz. C'est un passionné de quiz. Il en fait aussi à nos enfants. C'est malade. Parce qu'il est enseignant de secondaire.

Juste pour le fun, pour notre clique, pour nos jeunes, il crée des genres de quiz de culture générale. Puis j'entends les enfants rire follement. Je pense qu'il est en amour avec nos enfants. Et je vais le dire ici, c'est un amateur de quiz dangereux en enfant avec nos enfants. Faites attention à vos enfants et aux quiz.

Attention à cet homme-là. Faites attention aux enfants et aux quiz. Pensez à cet homme-là. Vous avez verré combien de brosses depuis le début de la pandémie? J'étais crissement mollo. Au début, on dirait que d'avoir un semaine, je devais être sonné. J'étais juste sur ma guette.

Bien mollo, mais après ça, trois ou quatre bac à bac. Les soirées de boulettes. On reste, on jase. C'est tabarnak. Trois et demi, quatre, tu ne sais plus. Trois ou quatre brosses.

Il y a de quoi de magique. Moi, j'ai juste viré une brosse depuis le début de la pandémie. Mais il y a de quoi de magique d'être à la brosse chez vous tout seul. Oui. Quand tu fermes le Zoom. Bye tout le monde, on va dans ta chambre à côté.

Qu'est-ce qui se passe? Je dors bien. Ça a l'air que le monde, ça dort mal, puis des cauchemars, puis ça panique. Je dors bien, bien saoul. Je suis en train de mourir. Je n'ai jamais aussi bien dormi, Chris. Moi, je dors bien, mais je m'endors tard.

Je ne me suis jamais endormi avant 4h30 du matin. La première semaine, je me disais, c'est cool, je n'ai pas de chaud. Je vais me coucher de bonne heure. Je vais essayer de me remettre en santé. Je me couchais à minuit.

Je restais dans le lit jusqu'à 6h. Après, j'ai accepté. Je dors mal. Es-tu un peu angoissé en ce moment? Oui, oui. Vu que je suis diabétique, depuis que je suis jeune, mes médecins me disent tout le temps

que si tu pognes la grippe, tu vas mourir. T'es quand même! Pas intense à ce point-là, mais semi-intense. Tu veux pas le pogner là je veux pas le pogner mais en même temps il nomme jamais les diabétiques il dit c'est dangereux pour les asthmatiques

dangereux pour les vieux ceux qui ont fait de la chimio il nomme jamais les diabétiques fait que je me dis tout le temps je suis correct jusqu'à temps que je google diabète COVID-19 pis là je me rends compte c'est un mauvais mot Je me dis tout le temps, je suis correct. Jusqu'à temps que je google diabète COVID-19. Puis là, je me dis... Il faut être peurant. Vous autres, vous n'avez pas de problème de santé?

Non. J'ai eu peur justement pour le diabète qui était plus un diabète que je peux contrôler justement en gardant un poids qui est plus logique. Mais je suis à surveiller moi aussi quand, quand même, à ce niveau-là. Mais non, présentement, aucun problème de santé. Même qu'il y a eu, il y a deux ou trois ans, j'avais souvent des allergies. J'avais souvent des sinusites.

Puis depuis deux ans, je suis comme assez chanceux là-dessus. Je vis en campagne. En plus, on dirait que je ne sais pas, je me suis un peu auto-immunisé. Peut-être qu'il y a quelque chose que quand les bourgeons apparaissent, c'est moins pire. Là, je vais faire une parenthèse pour le public qui écoute, qui font que les chrétiens sont moins drôles que l'œil. Vous voulez qu'ils parlent des bourgeons?

On est chacun chez nous, sur le bord de ce tué. Moi, je ne suis pas chez nous. Regarde, on est quelque part, vous ne saurez pas où. On fait des deals. Moi, je suis dans un... Je ne vais pas nier que cette petite affaire-là. Tu écoutes.

Ils sont là. Ils ont toutes les doses. Ils ont toutes les doses coupées. Ils sont 6, 7 gars. Ils rient tous. Moi, je suis avec les 3 tabarnaks. Les connaissez-vous? Les 3 tabarnaks? Ah oui. C'est quoi les trois tabarnaks?

Les trois tabarnaks. Ça doit le savoir à cette heure. Ça c'est Saint-Caulis. Le tabarnak. C'est un petit cibouin. Oui, oui, lui quand il arrive,

ça passe, c'est un petit cibouin. C'est un petit cibouin. Il a aimé ce bout-là. Si il écoutait, c'était son bout. Oui, oui, oui. Lui, quand il arrive, ça passe. Ça se passe. Il a aimé ce bout-là. Si il écoutait, c'était son bout. Les tabarnaks. Qu'est-ce que c'est là? Les trois tabarnaks.

C'est ça ou c'est les autres? Il y a une série à faire. Je lance ça de même. Les interludes, en quelque part, les trois tabarnaks. Mais ça, ça devrait être la fin des nouvelles à Radio-Canada. Oui, il fait.

Bon, on a arrêté d'entendre des chansons du monde. À la place, voici les trois tabarnaks. Ça fait du bien, pareil. Alors, 300 nouveaux cas de COVID-19. Bonne fin de soirée. Voici les trois tabarnaks. Ça fait du bien, pareil. Alors, 300 nouveaux cas de COVID-19. Bonne fin de soirée, voici les trois tabarnaks.

Tabarnak! Ben oui, c'est le rêve de tout le monde. Si c'était ça, la télé. La télé, par exemple, c'est absurde de regarder... Les talk shows me fascinent, moi.

Je sais pas, j'ai comme vu passer sur les réseaux et me dire bonsoir, bonsoir, avec personne, puis tout le monde en parle. Moi, c'était... Ce que j'ai vu, il y a de quoi de drôle de... C'est comme du faux web, mais c'est Marie-Pierre Morin,

c'est drôle, c'est elle qui disait ça. Les Américains qui font ça, ils trouvent tout un spot dans leur maison un peu laid pour montrer qu'ils font partie du peuple encore. Oui. Tu sais, comme Ellen,

elle est quasiment milliardaire, mais elle va se filmer dans quelque chose qui a de l'air de... Devant une laveuse sécheuse. Oui, oui. Tout écarté. Salut, c'est Lune! Oui, ça, c'est... Il y a une madame aux nouvelles à Radio-Can

que c'est une médecin, je pense. Oui, je me semble que c'est une médecin. Elle est tout le temps à côté de son frigidaire. Ah oui? Je trouve ça fascinant. Au début, ça me faisait rire. Je me disais, qu'est-ce qu'elle fait à côté de son frige d'air?

C'est un des frigeurs, une petite frige d'air hot, que tu peux faire ta liste d'épicerie dessus et l'écran devient transparent. Là, j'ai le goût d'acheter un frige d'air dans ma maison. C'est une soupe de frige d'air. C'est ça. Je n'avais pas mis tout mon argent dans les machines à poker. Tu devrais acheter un beau frige d'amour. C'est une soupe de frigidaire. Oui, c'est ça.

Je n'avais pas mis tout mon argent dans les machines à poker. Oui, mais c'était un beau frigidaire. C'était un beau frigidaire. Il va y avoir des suites à cette pub-là où elle ouvre le frigidaire et qu'on comprend enfin qu'elle entrepose des cadeaux. Oui, elle accroche l'écran et tu dois la tête de son mari.

Ça, il y a eu... Yann est en train de parler, mais... Excusez, ouais, t'as-tu pogné Howard Stern? Il a reçu Alec Baldwin. Non. Il a reçu Alec Baldwin

parce qu'il est comme nous autres, il est à distance. Puis Alec Baldwin, il était assis sur sa toilette. Il se fait comme, « Chris, tu dois avoir une maison de 4 millions, 4 millions, même plus.

Il était en train de chier? Non, il était assis, c'était la meilleure lumière qu'il disait qu'il pouvait trouver. Vu qu'il y a une lumière juste en arrière de sa toilette, il était assis à l'envers. Comme des fois, on s'assit à l'envers sur une chaise, on met le dossier devant l'autre. Comme le prof cool, mettons.

Exact. Il était assis de même sur sa toilette. Pis Howard Stern, tu regardes son setup, tu fais, je peux pas croire que le king of all media est dans un bureau de 7 par 7 avec une telle qualité, là, tu sais.

Ouais, Howard Stern, Howard Stern, c'est vrai que c'est triste, son setup. Ouais, tu fais, il doit avoir mieux, là, tu sais. Surtout que Howard Stern, c'est vrai que c'est triste, son setup. Oui, il doit avoir mieux. Surtout que Howard Stern fait une journée par semaine, deux journées par semaine d'habitude. Il aurait dû juste mettre des reprises. J'ai l'impression que là, il fait plus de shows qu'il faisait il y a six mois.

Oui. C'est urgent. Est-ce que vous avez... Je sais que c'est bon si tu as fait le roast à Z. Oui. C'était comment ça? Ça, tu étais dans ton salon? J'étais ici.

D'ailleurs, j'ai eu des messages. C'est le même setup, mais j'ai eu des messages de fou de Christ à caméra de 1992. Mais c'était un enfant d'éclairage, donc je suis sorti assez pixelisé et croche, mais j'étais ici, d'éclairage fait que je suis sorti à 6 et les écrans chm j'étais j'étais ici à la même place que le petit on le faisait un soir on est pas très long on voulait faire live puis une répète la veille mais

finalement la répète a bien été tout est correct qu'ils ont diffusé la répète ce qui était logique tant qu'à le faire l'air que ce soit moyen fait quoi j'ai pas vu de la finale je pas de saison peut passer après notre bout puis mais c'est le fan ça a bien marché concept à l'âge des bouch, j'ai pas vu toute la finale. Je suis parti après notre bout. Mais c'était le fun. Ça a bien marché, le concept. Je l'ai pas vu à TV le lendemain. C'était quoi que vous faisiez? Tu faisais des jokes sur la maladie?

Tout le monde avait comme, je pense, un genre de 3 minutes sur le COVID. Moi, c'était un duo avec Alex. Ça a plus viré contre Alex. Moi, le COVID m'arrangeait. Je disais que je passais mes journées bien bandées. Je menaçais les vieilles de me coller ces patients. Même après le COVID, pour des photos,

j'allais bien à Tic, des bâtons de baseball. J'allais bien dans le tapis. Il y a eu zéro censure. C'était le fun. Pierre-Yves Vaude et Marie a fait une tournée sur le COVID. C'était le fun. Il y a eu une couple de numbers. Tout sur le COVID. C'est comme un rose COVID. Personne ne sait où c'est. C'est vraiment une représentation. Je pense que ça a bien sorti. C'est comme un rose COVID. Personne ne se restait.

Vraiment, l'imprésentation. Mais je pense que ça a bien sorti. Ça a été le fun. Je ne l'ai pas vu. Je pense qu'il est sur Crave. Oui, je pense que oui. C'est sur Z, après sur Crave. Ça a marché. C'était un bon flash.

Ça a fait du bien au monde, je pense, qu'il y a un show de... On a parlé d'une façon ou d'une autre. Je pense que c'est un bon flash. Ça fait du bien au monde, je pense, qu'il y a un show de... On a parlé d'une façon ou d'une autre. Je pense que c'est libérateur parce que soit on en parle trop dans les maisons, soit le monde a arrêté d'en parler quasiment par peur. Je sais que moi ici, pas qu'on n'en parle pas, mais j'ai lâché de regarder dans les médias les affaires sérieuses de François Legault

que j'aime bien, les bonnes décisions et compagnie, mais j'ai arrêté parce que ça alimentait un peu ma terreur. Mais je suis allé voir le roast justement, un bout, un extrait, puis de vous voir aller loin là-dedans, puis les malaises qui sont créés là. Ça fait du bien. Moi, au début, je regardais

Radio-Can, on dirait que je voulais être vraiment informé. Puis là, j'ai arrêté de regarder les nouvelles. Je suis juste les statuts Facebook de Lucie Laurie. Tout mon info. Tout ton info, tu apprends là. Tout mon info, j'apprends là. Je me mets un petit chapeau aussi en papier d'aluminium sur la tête

pour être sûr que Karouda ne lit pas dans mes pensées. Il y a tellement des affaires merveilleuses. Moi, il y a deux semaines, j'ai regardé justement à peu près tout. J'étais obsédé. J'étais tombé sur un grand, grand gars sur les îles, je ne me rappelle plus. En tout cas, lui, il lit dans les nuages et il rit.

Il dit, il est possible qu'on soit confiné. Il est capotant. Il dit, vous n'avez rien qu'à regarder dans les nuages. Il y a des signes. J'ai fait, OK, là, ça va faire. C'est-tu là? Il a qu'à regarder dans les nuages. Il y a des signes. J'ai fait OK, là, ça va faire. Il a raison. Regarde dans les nuages. Je le sais, c'est juste que je ne vois rien dans les nuages.

Je ne vois rien. Il y a tellement de points de vue, tellement de façons. C'est merveilleux et compliqué. Pas à peu près. La ligne commence à être la maladie mentale ou la merveilleux et compliqué, pas à peu près. Lucie Laurier, c'est parce que la ligne commence à être dans l'exemple la maladie mentale

ou la niaiserie totale. Je n'en ai pas assez personnellement pour savoir, ok, as-tu besoin plus d'un coup de main ou de l'aide? Ou es-tu juste... Elle, en plus, quand tu vois tous ses délires, elle était à ça de devenir la première dame du Québec.

Ben oui, ben oui. Je ne sais pas si c'est pour ça qu'elle pue avec P.K.P. Quand elle s'est retirée, elle a fait... Elle voulait être au pouvoir. Je ne sais pas ce qui se passe avec elle. Je ne sais pas ce qu'elle a dit avec ça, mais

en tout cas, elle est allumée et elle a ses idées. Elle les défend. Ben fière de ma fille. Mais ça a commencé... Au début, je trouvais qu'elle envoyait des tweets. Ça avait un certain sens. C'est comme... Parce qu'il y a quand même...

Il y a des trucs avec l'Organisation mondiale de la santé où ils commencent à s'apercevoir que c'est douteux leur affaire. Mais là, elle est tombée dans l'antivax. Toute la patente, j'ai fait comme... Oh shit, qu'elle va loin, puis là, elle louange un gars, Alexis Cossette, un gars qui

a son sable de samouraï en arrière, puis là, lui, il est en train de tout refaire, le monde, il est en train d'enquêter là-dessus, dans son sous-sol, puis lui, il dit tout ce qui se passe, puis mais tu sais, c'est ultra-conspirationniste. J'ai fait comme, OK, elle est déconnectée.

Ben, écoute, bye, Lucie. On s'en revoit de l'autre côté. Oui, parce que de remettre des affaires en cause, tu te brasses et ça, ça peut être juste sain. C'est vrai qu'il y a peut-être de la marre. C'est pas juste, mais là, quand tu viennes. Oui, c'est ça. Non, c'est bien trop.

Oui, c'est un peu too much. Moi, d'habitude ça. Non, c'est bien trop. Oui, c'est un peu trop. Moi, d'habitude, en plus, je suis vraiment le genre de personne que j'haïs ça, le gouvernement, qui me dit quoi faire. Je suis bien libre dans tout. Puis là, je suis content qu'il y ait des règlements

parce qu'il y a tellement de petites colons que s'il n'y avait pas de règlement, il serait en train de se frencher dans la rue. Au nombre de corps qui sortent juste des maisons de vieux, comment tu peux douter? Puis là, ils disent,

leurs arguments, c'est qu'ils disent « Oui, mais ils ne sont pas tous morts du COVID. Je doute qu'il y ait tant de morts que ça. En temps normal, ouais. En temps normal. Là, ça sort par quarantaine des maisons de vieux. Tu fais comme ça, non, c'est pas normal.

J'en ai vu un. On fait des accidents d'auto. Ouais, c'est ça tes vierges qui ont fait des accidents d'auto. Tous les jours. Ils sortent avec le même char dans la nuit et ils foncent dans un poteau. Mais il y avait un gars,

un gars de conspiration, c'est un ami en plus, lui, il y avait une photo de genre des ambulanciers qui sortaient, quelqu'un d'un CHSLD puis là, on voyait le bras

du vieillard. Il y avait comme une ligne, ça fait que ça avait de l'air quasiment comme si c'était une poupée. Tu sais que c'était un mannequin que la main est collée dessus. Et là, tu m'as mangé des mannequins de chez Sears.

Puis là, il était comme, voici la preuve que ce ne sont pas des morts qui sortent des CHSLD. J'imagine que ce ne sont pas des mannequins, oui. OK, bien oui, Chris, c'est ça. Les CHSLD, ils ont 42 mannequins dans une chambre. Tabarnak! Oui, de toute façon, c'est juste que c'est un nouveau virus. Ça ne fait pas si longtemps.

On ne connaît pas la deuxième. Tu sais, la deuxième patente, il faut être prudent pendant un certain temps. Tabarnak! On sort, tu dois aller à la plage! C'est une minute, je comprends ton désir. Attends juste la deuxième patente, voir vraiment que ça va

rouler. Peut-être qu'on est too much, peut-être qu'on va faire Chris, c'était peut-être trop, mais on peut-tu donner le temps d'analyser la patente? Moi, j'ai eu, c'est Jean-Tom qui a eu le message, mais ça me surprend que je n'en ai pas eu plus. Mais Jean-Tom, cette semaine, il a reçu un message vu qu'on fait En route vers

Survivor ensemble. Puis il y a un gars qui a écrit avec tout ce que le gouvernement dit, je trouve ça irresponsable de votre part de vous réunir dans un bar pour faire des podcasts. Puis là, il a dit que s'il y avait

d'autres podcasts dans le public, il allait porter plainte. Lui, il pense que c'est live. Lui, il pense que c'est live. Ah, Barnac! C'est absurde. Lui, il est le genre à rouvrir la TV et à dire « Moi, le gars là

qui chante en avant au live aid là non ça là trop proche du monde il y a trop de monde là dedans cette affaire lui

il va pogner quelque chose ça se peut ça se peut ce type de gars mais les gars rapidement je vais me chercher

une bière en bas ok mais allez voir ma blonde j'ai tellement de questions j'en ai des super si jamais vous êtes à court d'idées j'ai des questions à la tonne j'en ai une entre autres

je peux t'en poser une Mike? oui oui Seb va aller chercher une bière c'est très bon que ce soit juste une question qui est juste très peu répondante. C'est Sébastien Côté qui demande Vincent, quelle est la figurine qui vaut

le plus cher dans ta collection? C'est vrai, je savais que mes figurines frais jasées, mais celle qui vaut le plus cher, je ne le fais pas pour ça, honnêtement, en plus, je ne suis pas tant au courant. J'ai un beau Mickey Mouse ici qui doit valoir cher. C'est le genre de sculpture

que j'ai eu à ma fête. Yann, peux-tu mettre Vincent full screen? Oui, tout à fait. Oui, tout à fait. Tu ne verras pas grand-chose. C'est comme des affaires que j'ai. J'ai un peu de Rick and Morty ici qui est un show que je trouve bien cool.

J'étais amateur de dessin animé, de teint-teint, j'ai une couple de petites sculptures comme ça. Sinon, bien oui, j'ai des figurines rétro, mais elles sont un peu loin. Si tu me demandes, genre, de sortir, je ne sais pas, moi, un John Cardog des années 87, je l'ai, ou bien, donc, des G.I. Joe, mais je n'irais pas chercher ça là. Tu sais-tu son où, par exemple, tu sais où tout est? Oui, je sais où tout est. C'est un genre de labyrinthe ici.

Dans mon sol, c'est petit, mais j'ai entassé mes vieux Transformers. En arrière de moi, c'est du Tintin. C'est la première passion que, justement, j'ai ressorti récemment. Est-ce que ça se relie mal avec des enfants, il y a une couple de Tintin

que les valeurs sont en mauvaise place pour remercier en congolais tu l'auras-tu Tintin au Congo Tintin au Congo mais en Nafla, écoute c'est le seul qui a bien vieilli c'est le seul qui voit à peine

de lire entre adultes moi j'ai des figurines qui a bien vieilli. Oui, c'est le seul qui voit à peine de lire entre adultes. Moi, j'ai des figurines ici en arrière, mais c'est parce que c'est tous des misogynes et des racistes. J'ai vu, tantôt, tu étais... C'est Tintin, Yann. Hein?

J'ai vu, quand je faisais les tests avec ta blonde, t'as des figurines, t'en as que c'est des boîtes avec la même figurine? Tu sais, j'ai vu un paquet que c'était toute la même figurine. C'est une minuscule figurine de culture pop. Ça s'appelle Funko Pop. Un moment donné, Sébastien en avait qu'une.

Il m'a dit, ils sont malades sur les rues. J'ai dit, je ne veux jamais avoir ça de ma vie. Ça, c'est une cochonnerie finalement je me suis mis à en collectionner puis j'en ai une trollée, puis là mes enfants en ont avec la fille qui a des Harry Potter mon gars qui a du justement les Simpsons

des enfants de même, fait que oui c'est toutes la même petite boîte mais ça se présente mieux ça se classe mieux dans les boîtes Il y a Jonathan Pilon qui demande aussi est-ce que tu as des figurines de lutte dans ta collection? Curieux de voir si tu as Razor Ramon. Hey! Non!

Si tu as des figurines de Razor Ramon, c'était fini. On aurait été avant ça, mais tu en as une cote zone de plus, Elbilly Jean, Caprault, Krishner, la vieille époque. Mr. Wonderful, Iron Shake, des bonhommes en caoutchouc. J'ai ça parce que je suis super nostalgique.

J'ai gardé longtemps. C'est mélangé. Est-ce que vous avez vu le documentaire sur Iron Shake? Non. Est-ce que ça vaut tellement la peine à regarder? Ah oui? Il est magique. Je pense

qu'il est Amazon Prime ou gratuit sur Youtube c'est assez bonne qualité pour être Netflix mais c'est juste Netflix, ça n'a aucun intérêt mais c'est bon oui, c'est vraiment bon le monsieur, il est

magané, il a 80 quelques années c'est un gars full US. Il a une mentalité qu'Amérique, c'est le meilleur pays au monde. Il jouait le rôle d'un Iranien que les États-Unis, c'est de la crise

de marte. Il y a pas de magique dans le personnage. Ah bien, Chris, oui. C'était pas que le personnage vraiment extra Chris, oui. C'était pas que le personnage vraiment extra-coloré. C'était un peu border en plus, mais c'est ça qui captivait moi et Seb, notre imaginaire.

On a aimé ça dans la lutte parce qu'il y avait Iron Sheik ou parce qu'il y avait Sergeant Slaughter qu'on retrouvait aussi dans G.I.D. On le réalisait pas à l'époque, mais tous les personnages de noir, c'était genre ils vivent

soit dans Ruelle ou dans des pièces d'auto. Junkyard Dog. Junkyard Dog. Il a fait des perroquets. Coco Beware. Coco Beware et Junkyard Dog. Ça n'a pas d'allure.

C'est Kamala après. Il y en a eu une trollée qui venait de la jungle et de la brousse. Kamala, il y a un astide bon documentaire sur Kamala sur YouTube. Kamala, c'est un gars

du sud des États. Il vient en Georgie. Puis lui, quand il parle, il sonne comme un astide C'est un gars du sud des États. Il vit en Georgie. Quand il parle, il sonne comme un nostalgie. Pauvre lui. C'est un simplet. Il n'a plus de jambes.

Il avait pogné le diabète. Le monde lui a dit qu'il fallait contrôler ça. Il ne savait pas comment le contrôler. Trop de colons pour demander à quelqu'un comment contrôler, puis trop collant pour demander à quelqu'un comment contrôler ça. Il fait pitié, mais c'est vraiment bon. C'est touchant, puis c'est

intéressant à ajouter. C'était magique. Moi, à l'époque, je réalisais même pas que pour les blacks, c'est ultra-raciste, mais lui, il parle de ça un peu, de comment c'était pour lui d'être un homme noir style américain,

de jouer un Africain avec un os dans la gueule. Ben oui, ben oui. Ah, Junkyard Dog. Oh, Junkyard Dog. Oh, ça c'est, comment ça s'appelle? The Animal.

George Animal Steel. Iron Chief. ça c'est comment ça s'appelle The Animal George Animal Steel oh c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est

c'est c'est c'est c'est c'est les miens que j'avais quand j'étais jeune. Il manque des accessoires. Mais c'est ça, je ne porte pas attention. Pour vrai, je les conserve en plus. Il y a des affaires qui sont dans leur boîte que je fais bien attention depuis que je suis jeune aussi.

Pour aller voir la valeur, zéro. Pour l'instant, ça ne m'intéresse comme pas. À un moment donné, quand il va manquer de pétrole et qu'il va tout faire fondre, là, il va faire du calme. Mais pour vrai, tu... Il rit. Il gérit du pétrole.

Exact. Moi, cette semaine, j'ai commencé à acheter des vieilles cartes de hockey. Je n'écoute pas le hockey. Le dernier game de hockey que j'ai écouté, c'était il y a 10 ans. Mais j'ai fait... Je ne sais pas pourquoi, je me suis dit... Je suis tombé sur une page, genre une carte d'hockey Peter Stachny à vendre. J'ai fait, je vais l'acheter.

Puis là, je me suis juste mis à acheter des cartes, mais qui ne valent rien. Tu sais que c'est juste moins que... C'est comme Asti Michel Place. Elle prenait sa carte, ça, c'est sûr. J'ai acheté la carte récrée de Michel Place. Ça va Elle prenait sa carte, ça c'est sûr. J'ai acheté la carte recrée de Michel Place à votre scène en 99. Mais voilà! Quand t'as reçu elle, hein?

Les coins sont pas maganés, toujours. Non, non, non. Dans un affaire, je me suis dit « Ah Chris, je devrais acheter un cadre pour la carte de Michel Place, mais un cadre, genre, tu sais, 28 pouces sur 400 euros. Ben oui. Ben oui.

Après, je me suis couché et je n'ai plus repassé. Un petit cadre à 3-4 000, là. Oui, je pense qu'il faut vraiment que tu fasses faire une rallonge chez vous, extrêmement beau, avec toi, cathédrale, que ce soit la place Michel Plath. Parce qu'au fond, il y soit la place Michel-Place. Au fond, il y a juste la carte sur la mœur. Vince,

quand tu vas dans les marchés aux puces acheter ça, le monde, c'est la même chose sur Seb, le fait que vous êtes les Denis, quand vous achetez de quoi dans un marché aux puces, le monde doit penser que vous êtes en train de rire d'eux autres. Il fallait mettre ça dans vos sketchs. Moi, je suis en train de rire d'eux autres. Il va falloir mettre ça

dans vos sketchs. Moi, j'ai jeté mon projet aussi. Moi, j'ajoute en ligne depuis peut-être 15 ans que en ligne. Ça se passe que là, Vincent magazine beaucoup. On reçoit beaucoup de mails

de Denis de « Je t'ai vu au Carrefour Laval! » Oui, ça doit être moins certain, mais c'est un et un autre. Des fois, je vais chercher des statuettes. Mais non, j'ai lâché, moi, ça depuis aussi les marches aux puces, par exemple. Quand je dis que ça vient de marches aux puces, ça fait longtemps de faire le jeu de chips.

C'est sûr que c'est juste là que tu peux trouver ça. Si je le veux ou si je ne savais pas que je le voulais, c'est là que je vais le trouver. C'est un petit classement sur les marchés aux puces. Des chandails avec des faux noms. Tommy Wilfinger.

Moi, j'aime vraiment ça, les marchés aux puces. J'y vais jamais. Il y a des soirées du monde à Québec, à Charlebourg, Place-le-Bourgneuf, je pense. C'est dans un steakhouse, puis il y a un marché aux puces

d'attaché au steakhouse. Tu vois que le steakhouse, c'est de la petite qualité. Moi, je suis vegan, mais quand j'ai le goût de tricher, c'est un steakhouse de marché aux puces. Quand tu veux te gâter. Je m'étais promené

dans ce marché-office un moment donné, et je crie ce que j'avais aimé. Oui, il y a de quoi. Le temps que je magasine des vieux jeux vidéo, c'était à la place aussi, il y a longtemps.

Tu peux pas y avoir des crises de déo, mais il y a plein d'autres kiosques qui se payent sans estimer. C'est pour les personnages. On parlait de séries tantôt, mais je me disais, quel univers pour faire un show avec des personnages. Il y a quelqu'un qui réussit à vendre vraiment des tapis

ou des serviettes de plage. C'est tout, esti. Il y a tellement de tout, de tous les univers possibles. C'est merveilleux de se promener là-dedans, ne serait-ce que pour observer ce qui se passe chez l les univers possibles. C'est merveilleux de se promener là-dedans, ne serait-ce que pour observer ce qui se passe chez l'être humain. C'est beau. Oui, moi, en plus, chaque fois que j'y vais,

on dirait surtout dans les dernières années, c'est rare que j'y vais, mais quand j'y vais, au début, j'achetais des affaires, j'avais vraiment le goût d'acheter. Puis là, en ce temps, j'achète juste parce que je me sens mal pour la personne. Oui. Plus le vendeur fait pitié, plus il y a des chances que je parte avec quatre paires de souliers.

Attends, je vais aller chercher. Ça m'est arrivé au marché au plus, mais au Mexique. Oh shit! Je suis allé au Mexique il n'y a pas longtemps, puis j'ai fini avec ça parce que... C'était vraiment beau. Il esté au Mexique il y a pas longtemps pis j'ai fini avec ça parce que c'était vraiment beau il est parti au Mexique moi je l'ai manqué ce bout là

la marche au plus au Mexique je me suis ramené ça Yann, peux-tu le mettre full screen pour qu'on le voit le convoi oh yeah t'as l'air que Jésus a saigné

oui pis Dieu le tiré en arrière Oh, j'avais même pas vu Oui La colonne, c'est Dieu Chris, comment tu veux pas partir avec et que tu l'as vu Ça, on dirait que Dieu l'encule Il y a un peu ça

Il fallait pas que j'achète ça Les autres avec moi. Pourquoi? Ce n'était pas un rang. Je lui ai dit non, non, c'est parfait dans mon bureau. Mais personne ne l'a triplé. Moi, je suis bien, bien content. Il m'a parti 100 US, ça a fini à 30.

30 US? OK, c'est bon. C'est cher, c'est cher pour ce que c'est. Exactement. C'est pour ça que ça ne finissait plus. Le 30, il était en tabarnak. Le 30, ça s'arrête là. À part la face de Dieu,

c'est réaliste que si Jésus s'est fait crucifier, il devait avoir du sang en tabarnak. Quand tu arrives à l'Église catholique et qu'il y a une petite gouttelette de sang, rentrez un clou ici, il va y avoir du sang

partout. L'image qu'il y a à l'Église, c'est parce qu'il est au bout de son sang. Ils ont mis des flaques à terre. C'est ça, qu'il manque des églises, des flaques de sang partout. D'ailleurs, ça a-tu joué dans le temps de Pâques? Avez-vous écouté pas mal de Jésus, vous autres, à la télé?

Nazareth? Bien, parce que je sais que ça a joué, là, en tout cas. Ça a-tu joué encore cette année? Oui, oui, oui. Je pitonnais, moi, puis j'ai fait « Ah, lève-la! » Il était là, avec la belle barbe bien taillée. Le classique, là. Le grand classique avec les yeux bleus, là. C'était merveilleux.

C'est beau, lui. Ah, écoutez, on a couché les enfants, puis ça nous a tourné en ornée, là, nous autres tourné Arnie les fourrés là-dessus j'allume en crucifix la prochaine fois c'est ça la finale pis l'autre barre à basse le fouettage

la meilleure forme de croix c'est le Life of Brian la finale Monty Python avec Bright Side of Life c'est accrocher ses croix, merveille je serais plein au monde ça, Life of Brian ça fait

mille ans que je ne l'ai pas vu le concept du film est parfait c'est merveilleux, les trois films des Pythons pour ceux qui ne l'ont jamais vu, c'est un gars qui est né en même temps, même ville que Jésus.

La crèche à côté, je pense. Il s'appelle Brian, lui. Brian. D'ailleurs, John Cleese met des affaires tous les jours sur Facebook. Ça n'a aucun bon sens. Il est dans un délire

post-mortem. Il doit se sentir vieux. Il met des archives à pelleter, des gags. Qu'est-ce qui est drôle, ce gars-là. C'est des malades. J'ai vu ça sur le Twitter, John Cleese, qu'il y a un parc à Ottawa pour les pancartes de distanciation.

C'était le personnage de John Cleese qui marche. C'est les Woks. Oui, oui. Ah oui, oui, wow. C'est le bon flash, oui. Ça, ça doit être touchant pour lui. Mon type, on le type, il fait quand même 60 ans à ce temps-là.

Oui, oui. C'est les Beatles. Exact, c'est les Beatles. Un astidrome. Assez majeur. Ça a bien vieilli. Oui, vraiment. L'absurde, je pense, c'est le genre d'humour

qui vieillit le mieux. Parce que, à part,'absurde, je pense, c'est le genre d'humour qui vieillit le mieux. Parce que, à part, puis même à ça, tu sais, j'allais dire à part les name drops, mais les name drops, d'habitude, dans l'humour absurde, surtout dans, mettons, le genre d'humour que vous autres vous faites, c'est déjà des name drops

qui sont plus dans le game. D'entendre Pierre Marcotte là, où il a 6 ans, ou dans 11 ans, c'est une arène. C'est souvent des immortels, mais extra décalés qui font plus rien.

Claire Lamarche, ça nous fait bien rire. On s'est rendu compte, on était, on est-tu trop décalé au monongue, on était un clan Lamarche, mais Chris, tu prends Merguimé. C'est comme, tu prends Merguimé. Ça ne fonctionne pas exact. C'est comme,

je vais le choix de décaler. Ah, Chris, je m'en allais l'oublier, la marge, la torpette dans la tête d'Exa Robo. Ça crée un doubliment. Quand Giselin, comment il s'appelle? C'est Giselin Tremblay. Il est mort, oui.

Quand il est mort, vous devez avoir fait call-list. On ne l'a jamais plugé dans un gang. Nous autres, on ne l'a pas plugé dans un gang ben nous autres on l'a pas plugé dans un gang mais à chaque fois qu'on pensait à des personnages de films ou quoi que ce soit, on se disait un peu la Tarantino qui ramène des fois des acteurs que tu vois, c'est bon lui on va lui donner une hostie drôle

ça m'a déçu dans ce sens là mais tu sais dans le name dropping ça me faisait penser un par exemple que c'est sûr qu'on a name droppé souvent, jamais méchamment, mais toujours dans l'absurdité, c'est Claude Lafortune qui est décédé récemment, puis là, tu te dis, OK, moi, c'est quelqu'un que j'admirais pour vrai

de faire sa créativité, je mets quelque chose sur Facebook, j'ai demandé à ma blonde avant de le mettre, c'est-tu trop sarcastique, ironique, ça, Chris? C'est nous autres, on rit de lui, tu as de bien, depuis 12 ans, en disant, le bonhomme de l'évangile en papier. On rit de lui, c'est parce qu'il est denier, un monsieur de cet âge-être bien depuis 12 ans en disant, le bonhomme de l'évangile en papier. On rit de lui, parce que les deniers, un monsieur de cet âge-là qui fait du bricolage, on n'a pas le choix.

C'est juste de le prendre comme possible. Chris, il a bien la tête au papier, cet homme-là. Exact. Mais quand ça rejoint la réalité dans des moments de même, c'est un peu weird. Vincent, excusez. Vincent, tu as-tu encore tes écouteurs pas loin? Je te ferais

mettre tes écouteurs. Ça serait plus beau. Non, c'est ça. Non, c'est que j'ai l'impression que ça fuck quand vous parlez tous ensemble. On dirait que tout ferme et j'ai l'impression

que c'est à cause de ça. Je vais aller chercher ça, B. Ah, t'es fin. Il dit B. Je vais mettre chercher ça, B. Ah, t'es fin. Il dit B. Je vais mettre une périte pour toi aussi. Oh, il rit. Bon, pas Bernard. Il s'ennuie de Gabi. C'est pas après qu'il se choque, est-ce que tu...

Moi, le pire, j'y ai pensé aujourd'hui en joke. Je ne l'ai pas fait. Mais vu que j'ai une fenêtre en arrière de moi, j'ai fait, je devrais texter Gabi Tibi. Tu lui donnes des rings par la fenêtre? J'ai mis des rings dans la fenêtre. Tu lui donnes des rings, c'est vraiment à Chris. Mais tu sais, vu qu'on ne voit pas bien la fenêtre,

c'est cool. Mais oui, c'est ça. Ils ont 7 ans. Chris, là, ça sonne en tabarnak. Là, ça sonne trop. Yann, là, tabarnak. Tu vas avoir des cales

de TVA. Je sais pas comment tu fais, mais... Ça sonne mieux, me semble. Ça a pas de son. Ça sonne vraiment mieux. Inc semble. Ça a pas de son. Ça sonne vraiment mieux. Incroyable. Ah, parnaque.

Pour de vrai, là. C'est un peu Guinadon comme ça. C'est ça son truc. Lui, il a toujours des écouteurs. On va être... C'est le premier podcast que le monde va décrire comme étant un podcast qui a l'oreille absolue. Oui, exactement.

On est sans notes. On parle d'oreille absolue. Oui, exactement. On est sans notes. On parle d'oreille absolue, rapidement, une petite chronique musicale. Un album, ça vous tente de vous taper ça, gang. Salade de fruits. Ça sortit en 83, je pense. Il y a toutes les tunes qu'on aime. Abracadabra, Je veux m'amuser,

Metal, Call Girl, 15 ans, Salade de fruits. Salade de fruits! Ma belle Salade de fruits. Salade de fruits! Ma belle salade de fruits. Bref. Ah non, c'est sûr qu'on perd pas la tête en confinement. Ben non.

C'est ça qui me fait chier. J'ai checké tous mes vieux DVD, vieux CD, en me disant il va y avoir des choses drôles le fun, je vais trouver. J'ai rien trouvé de fun ou drôle. Oui, ça prend quelques châneries toujours.

Tu sais, comme j'ai trouvé une pile dans mon bureau de les DVD de testostérone. Wow! Puis là, j'espérais trouver, genre, j'aurais aimé ça avoir, genre, juste des mascottes

ou juste des Jean-Michel Dufault. Juste des broilants. Mais c'est juste les miens. Fait que c'est pas drôle, c'est juste triste. Que tu aies envie de venir de moi. C'est pas triste. Le monde serait content pareil.

Les bons souvenirs, ben oui. C'est ça que je voulais dire. Tu parles de mascot, tu me disais que ce serait le temps qu'ils reviennent avec virus, justement. Il me semble que le monde l'attend. Mais même, Tessasteron, c'est le Tintin au Congo de l'humour.

Oui. Ça doit être un autre nom. Il y a quelqu'un qui a bien vieilli là-dedans. À chaque fois, si tu jouais des extraits de Ted Sazerod sur YouTube, je fais « Bon, Michel va recevoir des appels. » Mais même à l'époque, toi, tu t'en sortais bien, mais il me semble que je me souviens, à l'époque, ça marchait avec le contexte.

C'est inégal en crise, je pense. Mais pour vrai, si j'avais eu une carrière avant de faire ça, je n'aurais pas fait ça. Mais je n'avais rien à perdre. Je suis un gars qui faisait des shows dans les bars. TQS m'offre 50 000 $.

Exact. Tu peux faire tes textes quand même, j'imagine. Oui, c'est tous mes textes. Au moins. Même la première saison, il y avait zéro censure. 50 000 $. Je me rappelle, c'est ça le prix que j'avais eu.

C'est 48 000 $ pour la saison. C'est un beau combo quand tu as cette liberté d'expression-là à la télé pour une vitrine avec le cash. Oui, c'est ça. Même si le show n'est pas si bon. Tu t'arranges pour être bon, toi. C'est ce qui est arrivé. Tu disais que Mike avait l'impression de bien s'en sortir.

Mais c'est vrai que ça se sentait plus authentique dans le genre d'humour. Dans ce boi-là qui n'avait pas été humoriste, ça en sortait pas mal. Mais ça détonnait peut-être un peu dans le rire. Il n'y a pas d'expérience TV. Exact. C'est ça.

C'est comme vous autres, le premier... Testosterone, c'est-tu avant Fond Noir ou c'était après? Ou c'était après en même temps? C'était un petit peu avant, je pense. Me semble que... C'était quelle année, Testosterone? 2002,

2003. Ça, on venait de sortir de l'école. Fond Noir a dû commencer 2003-2004. On était autour de 2004-2005, Fonnoir, nous autres, à peu près. Oui, à peu près. Mais ça a été un délai de malade. Un terrain de jeu où nous autres,

ça nous a permis de faire n'importe quoi. Genre, manger des faux ongles d'orteil devant René Martel. Faire n'importe quoi. Des jeux de mots avec Carl Williams. C'était comme un rêve d'être là. Pour vrai, nous autres,

ils nous ont dit « Faites ce que vous voulez. » On a vraiment fait n'importe quoi. C'était qui le script éditeur là-dessus? C'était Daniel Boutillette. OK. J'oublie le nom. Il était deux, les deux gars? Oui, les deux gars.

Daniel Boutillette et Daniel... En tout cas. C'est à temps. Chris vous laissait faire ce que vous faisiez en sortant de l'école. Exact. Oui, mais je pense

que Normand aimait bien ça. C'est Normand. En plus, il était saoul et il était ses pelules fortes. On avait sûrement l'air d'être une hallucination. Mais c'était avant. Ouh!

Enfin. Oui, c'était ça. Mais les gars, ils se sont rendus compte, les gars, c'est votre écriture, tant que vous n'allez pas, on est à l'heure du souper,

n'allez pas trop au trash ou pas de sac, là-dessus, on était, mais pour le délire, on pouvait aller crissement loin, ça a été une bonne école

pour nous autres, composer une école aussi pour chaque personne, chaque semaine, c'était pour le moteur. Ça a-tu duré deux saisons ou une saison?

Deux, oui. Deux pour nous autres, mais je pense qu'il y en a eu une avant qu'on apparaît. Il y a eu une saison complète avec Louis-Jo qui était là souvent comme invité. Il y a peut-être Grou qu'on découvrait je pense un peu aussi.

Il a commencé là. Je pense qu'il y a eu sûrement trois saisons. On en a fait deux, nous. On se retapera à un moment donné les trois saisons ensemble, les trois. Oui. Le pire... Oui, je dis.

Mais ça, c'est le genre d'affaires, je suis sûr que... Moi, je ne sais pas si vous autres, ça vous fait peur, mais c'est d'une époque que... Mettons, si tu prends les meilleurs moments de vos affaires, c'est hallucinant. Puis là, le monde qui vous aime va vous aimer encore plus. Mais si tu mets tout intégral, le monde,

voyons, calisse. Ben oui, ben oui, c'est sûr que tu as trop l'us, mais il y a quelqu'un qui a mis ça, je pense, 23 fois de noir de nous autres. Je ne sais pas nos chroniques sur YouTube back-à-back, je n'ai pas écouté, mais c'est sûr, c'est inégal, Chris, que tu passes d'une chronique plate à une autre.

Un, deux, trois bonnes jokes, d'autres jokes qu'on a pu récupérer, qu'on a ramené dans les shows. C'était vraiment un laboratoire de stock. Moi, j'ai le souvenir qu'il y avait Edgar Fruittier qui venait faire des sketchs. Moi, ça, je ferais un montage. Je me saoulerais et j'écouterais ça sans arrêt. Ah oui. Moi, Edgar Fruittier, il jouait mon boss.

Quand j'avais le Mike Ward show à Teletone, il jouait mon genre de boss puis c'était tellement drôle de tourner avec lui. Oui. Moi, l'affaire que je me rappelle plus de lui, c'est que t'as Pierre Ouimet

qui réalise. Je pense que Gaffer Ruitier, il faut qu'il parle qu'il a le goût de se faire licher le chest par son chien ou quelque chose qu'il n'a pas de sens. Il faut qu'il liche un chien ou quelque chose.

Là, il finit, tout le monde rit. Puis là, il regarde Pierre et il fait « Est-ce convenable? » « Est-ce convenable? » « Est-ce convenable? » Puis à chaque fois que Pierre disait c'est parfait, il disait non. Il n'y a jamais rien de parfait.

C'est-tu que ça clashe avec ton univers? Est-ce convenable? Tabarnak. Oui, oui. On a tout trié. C'est-tu que c'est drôle? Lui, ça m'a... En même temps, ça a sorti et ça n'a pas fait de mal.

Pendant le MeToo, ça a sorti qu ça n'a pas fait de mal. Tu sais, pendant le MeToo, ça a sorti qu'il aurait abusé quelqu'un. – Je pense que c'est un de ses fantômes. – C'est un de ses fantômes. – Quand ils disent Edgar et ses fantômes, c'est juste un de ses fantômes. – C'est du classique, mais il tripotait des fantômes. – Il tripotait-tu

avant qu'il meure ou il les tuait en les tripotant? C'est de même, c'est devenu des fantômes. C'est ça qui est toute la question. C'est en les peurant, ces fantômes, Edgar. C'est ça, les victimes. Imagine si Edgar et ses fantômes, c'est tout le temps juste, ces fantômes qui font « aidez-nous ».

« Aidez-nous, ça va violer ». Il se tue et il fait « ah, mais c'est convenable vieux maniaque ben on va dire en tout cas chapeau Edgar il est encore vivant je sais pas j'ai pas eu un feeling qu'il était mort

il est-tu mort mais allez voir non non il est pas mort Edgar j'ai un feeling qu'il est encore vivant au nombre de disques en vinyle que cet homme-là a. Ben oui, merci. Tu es en train de regarder? Il m'avait dit que c'est à cause

de ses disques qu'il est encore en santé vu qu'il garde ses disques dans le sous-sol et qu'on tourne le disque dans son salon. Il est encore vivant et il est de bon humeur! C'est une photo qui a été prise hier, je pense, par sa porte de fenêtre de porte-passio.

Il peut se faire un nouveau fantôme. Non, mais c'est un homme que j'ai toujours admiré pour ses cols roulés. Quand j'étais jeune, je l'associais à cols roulés et veston. Il a l'air d'un curé qui rit. C'était drôle,

nous autres, sur le Mike Ward Show, je pense que c'est de même. Autotot, tu travailles avec des vieux et c'est drôle que je rie. C'était comme un enfant. Il fallait que c'était Simon Gravel qu'il aille le chercher le matin.

On tournait, on tournait puis lui, en plus, on lui disait, regarde, on va faire des demi-journées vu que vous avez 90 ans. Mais lui, il voulait, il disait, non, un acteur se doit de travailler 12 heures par jour. Lui, il pensait qu'un acteur puis quelqu'un

qui travaille dans une shop, c'est la même réalité. Il avait vu ça dans ses valeurs. Mais lui, on tournait. Puis les deux, trois premières heures, il était en feu. Il était vraiment bon. Puis après six heures, il était brûlé.

Puis là, on lui disait, on va faire ça demain. Puis il ne voulait pas. On continuait jusqu'à temps que moi, je fasse semblant que j'étais trop fatigué pour continuer. Puis là, on arrêtait. Parce que lui, c'est 12 heures ou rien, c'est ça? Oui.

Mais lui, je pense, le fait... Moi aussi, c'était à peu près dans le temps que j'étais en dépression. Je pouvais me servir dans ma dépression pour faire ce que je ne suis plus capable. Lui, il était content qu'il était plus en chaînes que moi. Tu me diras, Mike, si je me trompe, mais c'est-tu lui qui, sur un plateau de tournage,

a des demandes spéciales, genre des bonbons qui pétillent dans la bouche? Tu sais, des petits sachets de bonbons qui pétillent dans la bouche? Non, non, non. C'est comme des sachets. Il demande ça, non? Je ne sais pas.

Je pensais que c'était soit lui, soit Marcel Sabourin. Ah oui, voilà. Sabourin non lui pour vrai il était il n'y avait aucune demande il était vraiment fait là je viens d'avoir l'image de lui qui se tape des petits sacs

il fait écouter est-ce convenable lui il y a plein de demandes comme les pochettes de jus que tu plantes une paille dedans. Les jeux en sac. Les fondés. Ah non! Les sacs.

Les sacs. Lui, si tu veux qu'il aille bien sur un tournage, c'est 12 heures fondés, bonbons pétillants et sacs en jus. Moi, si je recommence à boire du lait, je vais le boire de même. Je vais m'acheter des grosses poches de lait.

Wow! Ça donne le goût. Je vais marcher. Ça, c'est mon rêve. Aussitôt que la pandémie est finie, c'est d'aller au festival d'été de Québec avec ma poche de lait, ma paille.

Il n'a pas filé. Mike, c'est beau du lait de ciel. Il a l'air content. Yann, as-tu d'autres questions? Oui, j'en ai. J'en ai des le fun à part de ça. Tiens, Alexandre Leblanc

Odeny, en 20 ans de carrière, quel est le numéro que vous avez eu le plus de difficulté à composer? Qui a été le plus... Oui. Peut-être pas difficile, mais en tout cas, dans plusieurs étapes de rebrassage du livre et de remise en question, c'est un numéro

dans le dernier show, justement, qui s'appelle Le Nouveau Numéro, où on dit qu'on part avec un nouveau numéro, fait que soyez indulgents, soyez gentils, puis dans ce numéro-là, on s'accroche, puis on recommence, puis on repart, puis on a l'air de tout foirer, puis finalement, c'est ça

le numéro, puis tout est ramassé, c'est comme ça a été écrit en plusieurs morceaux, plusieurs parties, mais sans plusieurs brainstorms. C'est un numéro, le fun, c'est comme une déconstruction, puis à la fin, c'est comme, t'as un feeling que finalement, le numéro avait un sens, mais zéro, il y a juste un timing.

On s'est demandé, après, si c'était le fun, que chaque élément disparaît d'un numéro, soit attaché finalement à la fin, il l'est pas trop, il l'est comme dans l'effet de surprise, puis dans la mécanique, mais il l'est pas dans... Dans la composition du numéro, comme une partition de musique, mettons, de... Je dis n'importe quoi, mais mettons, de Gentle Giant,

ou dans du rock progressif, la façon que c'est décomposé dans la manière du rip, c'est là que ça a été le plus tough. Sinon, parlant en même temps au niveau de la répétition, c'est sûr que ça a été un challenge de l'écrire pas vraiment. Vincent l'a écrit au complet, puis c'était... Comment vous avez fait de le pratiquer?

C'est-tu genre, Vincent, tu avais un enregistrement de Sébastien puis tu te pratiquais avec l'enregistrement ou vraiment vous vous rencontriez puis... Je m'en souviens, c'était dans la cuisine chez Sébastien directement. C'était la première version, ça va être ça. C'est ça, c'est le premier.

Parce qu'on avait une version à une minute de cet effet-là par la même temps. Puis c'est Louis Champagne, le plus ami d'enseigne du premier show, qui a fait « Chris, les gars, il faut en faire six minutes. » On a fait « Ben là, Chris, déjà une minute, c'est intense. » « Ouais, mais c'est ça. » Fait qu'on a fait « Bon. » Fait que c'est devenu vraiment comme apprendre une chanson. Vu qu'on était

là-dedans aussi, nos chansons rapides, avec tellement du non-sens, puis des images. On avait le cerveau un peu en forme pour assumer ce genre de numéro-là, mais ça a été quand même sa prise, c'est des heures, puis c'est toujours en même temps, puis c'est timé, puis c'est phrase par phrase, puis ça rentre, ça rentre, mais...

Puis aussi, c'est à faire, tu sais, comme mettons, tu sais, quand tu fais du stand-up, des fois, ton cerveau, dans une prémisse, peut aller ailleurs, mais ça, c'est le genre d'affaire que il faut que tu gardes focus tout le long du number. Tu te remettras un homme. Comme si la tension d'or part

et si tu manques un timing, t'es off. Là-dessus, plus la toune. C'est la même crise d'affaire. On est obligés d'être... C'est pas ça qu'on l'a jamais refait non plus. Sinon, c'est ça pour répondre. Il y a Mathieu Paul Hus qui demande

c'est quoi l'histoire de Moche avec un technicien à la casa du spaghetti à Drummondville ok c'est ça il y a plein d'affaires qui ne marchent pas là-dedans non c'est ça qu'est-ce que c'est du spaghetti à Drummondville non ça ne marche pas

ok il faisait juste déconner peut-être on a une anecdote de mort fait que notre band que mal pis ça a fini on était dans un

un resto à Sainte-Thérèse on l'avait déjà compté ça mais ça doit être ça c'est ce qui est le plus proche

de ça c'est que l'un des premiers parties l'un des premiers parties qu'on a fait avec le band et pis qu'on a dit

on a fait du de faire du moche pis finalement faut aller s'en aller à peu près 45 minutes après l'heure à fête fait qu'on a fait avec le band et qu'on a dit qu'on avait fait du de faire du moche, puis finalement, il fallait s'en aller à peu près 45 minutes après l'avoir fait, fait qu'on est partis décantés dans un restaurant. 4-5 jours, il suivait tout le monde sur le moche, c'est dangereux, ça va pas. On s'était fait mettre dehors, on était comme

« Chris, on pensait être là jusqu'à demain, non, non, bye, puis tu le buzzes, on s'en va au voile tigeur, la Sainte-Thérèse, tout gilé, personne n'a faim. On prend deux pistes. Qu'est-ce qui se passe? Mais dans l'histoire, en tout cas, ce qui est sécurisant, c'est que je te rappelle que moi, ma blonde,

je n'apprends jamais de drogue. Fait qu'elle est toujours chauffeur désigné. Fait que nous autres, on avait la chance quand même d'être avec Karine. Moi, je me rappelle plus qu'il chauffait. Je me rappelle plus après le resto. C'est comment ça a fini, ce soir-là. Le plus gilé, c'était Jean-Thomas

qui lui disait « Non, ça embarque pas, ça embarque pas. Je suis pas gelé, ça embarque pas, mais pendant deux heures. » Fait que maintenant, c'est ça. C'est ça, son buzz. Il y a de même aussi, ça se peut que ça ait pas embarqué, mais maintenant, on se dit « Christ, c'est ça. » Non, non, je suis pas gelé, ça embarque pas, je le dirais,

je le dirais à mon fils. C'était deux heures et demie. Il y a Chuck de Maison-Grande qui demande, allez-vous adapter votre spectacle actuel après la pandémie? Parce que là, c'est dur, j'imagine. Les données, on en a parlé

au début du show. Il restait un show dans la tournée. Oui, c'est ça. La tournée est morte. Oui, c'est ça. J'en profite pour répondre un peu. Dès le départ, au début, on s'est dit, qu'est-ce qu'on fait?

C'est basse de souligner, on ne fera pas quelque chose pour faire quelque chose. Il me semble que c'est opportuniste. Maintenant, je ne sais pas, d'adapter le show, il y a quelque chose qui serait peut-être border. On a le matériel, let's go, on le fait. Du nouveau matériel, quelque chose de spontané, quelque chose qui vient du cœur, ça c'est sûr.

Je pense que c'est important qu'il y en ait, mais je pense qu'on est carrément le genre d'humoriste qui n'en fera pas de numéro sur le comité. Je pense que c'est justement notre mandat, justement, de faire bon, on ne peut pas en faire. Ou dans six mois, un an, de faire un gag out of the blue.

Est-ce qu'il n'y a pas assez de monde qui sont morts de tout ça. Ouais. C'était des fausses promesses. Chris, il y a plein de vieux encore en vie. Peut-être, c'est ça, Out of the Blue. Mais peut-être pas d'aller à une thématique de... Je ne sais pas, je pense que c'est un peu notre mandat, justement, de n'y servir.

Chris, on est loin et qu'on ne parle pas de ce que tout le monde j'aime. On dirait de moi. Je pensais aux humoristes qu'ils sont, admettons, amis tournés, un peu comme toi, Mike. Comme moi, oui. Ça doit être dur de...

De ne pas en parler du tout. De faire comme je vais reprendre là où j'ai laissé. Faut vraiment que t'en parles. Moi, en plus, mon show commence avec mon procès. Vu que mon show est basé sur mon procès, que pour moi, il y a deux mois, c'était quelque chose de grave. Mais là, comparé à ça, c'est comme quelqu'un...

Tu sais, mettons que tu dis, « Hey, ma mère vient de pogner le cancer des poumons. » Puis toi, tu fais, « Moi, tabarnak, j'ai une grippe. » Puis là, tu parles de ta grippe pendant 20 minutes. Oui, mais tu le vois de moi même parce qu'on est chrismandant en ce moment. Ça va dîmer, pis le monde veut justement comprendre le risque.

Au début, je me disais « Ça va me prendre un numéro là-dessus pour un peu. » Mais après, j'ai repensé, pis je pense quand le monde va recommencer à sortir, ils vont vouloir se changer les idées. Toi, il faut que tu souhaites que l'armée débarque et que le gouvernement prenne

le contrôle et décide de tout ce qu'on peut faire pour que tu puisses faire un lien avec, genre, est-ce que c'est le gouvernement qui décide ce que je peux faire comme joke? Il ne pourrait pas t'arriver mieux que le gouvernement qui débarque et qui fera le compte-autre et qui décide de tout,

pour pouvoir faire un beau lien avec ce citoyen-là. Tu veux l'écrire, mon chéri? C'est déjà fait, c'est déjà fait. Ça te lève facile, être mon coach? Toi, finis ma tournée, moi, je vais aller jouer au poker dans mon salon. Mais, ouais, c'est ça. Moi,

on dirait, c'est même pas par rapport à ma tournée, mais c'est par rapport à sous-écoute. Quand le début de la pandémie a commencé, j'ai fait, il faut créer du contenu pour changer les idées du monde. Puis, j'étais comme dans un trance. Puis, j'étais comme

asti. il faut que... Toute la nouvelle génération des humoristes s'est mise à faire des Instagram live. Comme Arnaud, ce qu'Arnaud fait, c'est super bon. J'ai fait, asti, je suis mieux de...

Les affaires que je vais faire, si je pense que c'est bon, je vais le faire. » Je vais plus miser sa qualité que la quantité. Exactement. Je veux dire la même chose, parce que même Vincent était plus anxieux, il m'a écrit « On devrait-tu, Asti, faire fantastique une patente? » Je me suis dit, je comprends,

mais si ça ne vient pas naturellement, ça devient... Sans être opportuniste, mais juste de le faire pour la patente, je n'ai pas le goût ça va nous popper la vraie idée sinon de pas le faire, puis il y en a qui le font justement puis je comprends que les jeunes humoristes à ce moment-là qui vivent le syndrome de tabarnak on va disparaître, fait que là

ils sont en panique, ils font faut être vu, faut être vu mais c'est un danger aussi de manier la peur d'être trop vu puis justement d'être trop zoé, puis se brûler ou ça, faire n'importe quoi, faut être prudent aussi là-dessus. J'ai l'impression que c'est un affaire. C'est pas jocelyn, ça, Chris.

Oh ben, calice de tabarnak! Le calice de COVID du tabarnak! Bar, bar, bar, bar. Je suis brûlé! Si on a eu le goût d'en faire, par exemple, un jocelyn, pour ceux qui reprennent la référence, là. On a fait un, Louis-Habby-Hawymet était supposé animer le jument de montée, mais...ût d'en faire, par exemple, un Jocelyn, pour ceux qui reposent la référence... On a fait un, avec Noéa Piawimet,

qui était supposé être dans l'imagement de Monté. Ça s'en vient. Il s'est évanoui, il a dû faire un fixe, puis on l'a perdu. Ah, ça, c'était pendant une soirée, une brosse de jeu? Non, même pas. On s'est dit, c'est peut-être un Jocelyn, puis on écrit rapidement, puis il l'a filmé chez ça,

en train de se promener, me l'envoyer. J'ai écrit un petit texte, j'ai envoyé à Pierre. Mais c'est dur de faire les petites pièces. Oui, parce que c'est ça, moi je suis pas capable de changer l'high pitch, je l'ai envoyé à Wimers, il était capable de le monter, mais c'est sûr qu'il a oublié, puis moi aussi, j'ai même pas dit, hey, hey, jacelin. Mais tu vois, ça c'est le genre d'affaire qu'on a eu le goût de faire,

parce qu'on sait que c'est un bon défoulement pour bien du monde, la marionnette qui est en tabarnak à cause de l'éotisme. Elle est en goal. Vous autres, est-ce que vous allez faire genre des shows comme Phil Roy

qui se part un club virtuel ou c'est pas quelque chose qui vous tente? Je pense que le fait qu'on ne peut pas être ensemble. Ah oui, c'est vrai. J'ai pensé à un moment donné de faire quelque chose, mais j'ai fait de qu'on ne peut pas être ensemble... Ah oui, c'est vrai. J'ai pensé à un moment donné de faire quelque chose, mais j'ai fait de Chris. On ne pourrait pas être ensemble, ni l'un ni l'autre. On va être séparés. Le COVID, ça marchait comme.

J'ai fait un petit caméo avec Rosalie. Elle a fait un spécial de porc. Elle a dit, peux-tu faire Jésus, cinq minutes? Des petites affaires, mais les données, Chris, on ne peut pas. Le monde, souvent, de ce temps-là, nous écrit, ça va être à mon chum, mais oui, envoyez une vidéo. Ensemble, mon Chris si on ne peut pas. Ça va être deux vidéos séparées.

On ne peut pas le voir. C'est une affaire que, même, je vais en profiter pour les fans sous-écoutes qui écoutent. Tu sais, aux États-Unis, il y a une affaire qui s'appelle Camilleau qui est genre, tu payes 20 piastres. Oui, pour une vidéo de Bonnefête.

Oui, c'est ça. Puis je me suis dit, ça serait une bonne affaire à partir en ce moment au Québec. Vu qu'il y a tellement de monde qui n'ont plus de revenus. Les artistes ne travaillent pas. Oui, c'est ça. Puis en plus, imagine aux States, il y en a gros qui font ça. Puis en général, aux States,

quelqu'un qui a du succès, il a vraiment de l'argent dans son compte de banque. Tandis que nous autres, même le monde qui roule, ils roulent, mais ils ne peuvent pas toffer trois ans quand même. Oui, tu as raison.

En plus, ça fait une affaire spécialisée pour la personne. C'est le fun à faire, c'est rap une affaire rapide et pas un montant de fou. Chris n'est pas n'importe qui, mais j'avoue que... Oui, c'est pas avec Axe, Jim Duggan qu'on a... C'est ça son nom? Lui, on a failli envoyer justement

à Just a Vibe pour sa fête, une vidéo qui s'appelle de lui qui criait bonne fête en cassant son morceau de bois. C'était-tu 350 US? C'était un peu cher, lui. Enfin, les 500 piastres, tabarnak, ça va. Moi, j'avais payé... C'était avant

Cameo, il y avait une affaire qui s'appelait CelebVM, qui existe encore, c'est britannique. J'avais eu... J'avais eu David Asseloff qui avait fait une bonne fête à ma blonde. J'avais eu un Hasselhoff qui avait souhaité bonne fête à ma blonde. J'avais eu un des gars de Survivor

qui souhaitait quelque chose à Jean Thomas. C'était pas si cher? Non. Le gars de Survivor, ça m'avait coûté 15$. C'est bon. 15$, imagine. C'est sûr que

ce web VM devait prendre 30 %. Oui, en plus. Il se fait genre 14. Oui, oui. C'est correct parce que Chris, s'il n'a pas gagné Survivor, on ne sait pas ce qu'il fait dans la vie. Si il y a quelqu'un qui écoute,

si vous partez ça, ça marcherait si vous ne prenez pas des grosses cotes. C'est juste, il ne faut pas que ce soit un petit crasseur qui fait « J'ai parti un site web, les deniers, regarde, je prends la moitié vu que c'est moi qui ai fait le site web, vous autres. » Ça prend quelqu'un

qui ne prend quasiment pas de pourcentage. Oui, mais j'avoue, c'est une bonne idée. Gang de pauvres, je faisite bonne fête, 20$. Toujours beau. C'est drôle, moi je fais ça pour Alain Godette.

Quand le monde me demande de souhaiter des bonnes fêtes, je le fais en échange qui donne 99$ à Alain. Ça fait que j'ai le moins de demandes, puis aussi Alain, il a de l'argent. Puis là, il m'a demandé de faire ça pour sa mère fait que j'ai le moins de demandes. Aussi, Alain, il a de l'argent. Il m'a demandé de faire ça pour sa mère. J'ai demandé de

se donner 49 fiers. Ah oui? C'est parfait. Il est drôle. Vous écoutez ce que vous avez fait? Oui. Il est vite. J'ai croisé un des shows qu'on avait fait, mais il n'avait pas le temps de se voir là.

Je ne l'avais pas le temps de croiser, mais Chris va faire rire. Toi, tu l'avais rencontré le soir qu'il retourna à l'hôpital. Il ne filait pas. Il filait Chris. D'habitude, il est top shape. D'habitude,

Chris, sur le rencontre, il est drôle. Il est allumé, il est en feu. Oui, c'est ça. Vraiment un bon gars. Yann, as-tu une question? J'ai un de mes amis

qui l'a fait, l'affaire de Bonnefait, lui, il l'a fait avec Ron Jeremy, un autre de mes amis. C'était l'affaire la plus triste au monde Ron Jeremy qui a de l'air il est passé dans le MeToo en plus lui là, il est dans sa cuisine

c'est triste au bout, c'est l'affaire la plus triste au monde, j'ai Oli Fortin qui demande, est-ce que le confinement vous aide à être plus dans votre bulle pour créer, est-ce que vous en profitez pour je sais pas, pour créer. Est-ce que vous en profitez pour créer

chacun de votre bar, peut-être remettre en route des projets plus personnels? Tranquillement, oui, on s'est jasé pour surtout présentement le dessin animé parce qu'on a notre ami Alex A, qui fait

l'agent Jean, qui est une vedette du dessin animé au Québec, qui, lui, depuis longtemps, il dessine les denis. Puis là, on a notre ami réalisateur Chagnon qui a eu le flash de peut-être faire des petites capsules avec ça. Ça nous a relancé un peu dans le travail. C'est le meilleur temps de l'histoire pour faire des dessins animés. Chacun chez nous, exactement.

On va essayer de faire un format. On va peut-être lâcher le gros dessin animé la demi-heure qu'on voyait, mais un petit packaging plus short, peut-être sur une plateforme plus courte. Puis après ça, ça doit être... Si vous n'avez pas d'acheteur pour ça, je suis sûr qu'un Patreon,

ça marcherait. Je serais même willing de fronter l'argent pour faire le premier épisode et après vous me rembourser plus tard. Je crée ce que ça serait bon. J'avoue que Patreon, c'est peut-être pas pour vous aussi. J'ai l'impression que de

rester ici en plus, le monde, je ne sais pas si c'est juste moi, mais on a vraiment le goût de plus encourager tous les trucs. Oui, on le fait pour notre bouffe, nos achats,

mais pour nos artistes aussi. C'est clair que partir de quoi vous autres, ça marcherait. Surtout qu'on a voulu dropper l'animation. On sait que c'est là que ça coûte cher, que le crisp. On a comme accepté de faire, oui, on va dropper au niveau de l'animation. Ça ne sera pas la

méga affaire fluide. On ne sera pas dans le Pixar. On va être plus proche de South Park, mais c'est pas grave. Le contenu va être là. Faire une concession de ne pas faire un show qui coûte si cher, mais qui plaît aux fans pareil. Oui, puis d'enfin le faire parce que ça fait tellement d'années et qu'on a tellement de stock. Autant du côté des dessins, des personnages de l'univers, des textes, on a, là,

il s'agissait qu'on soit justement confinés pour qu'il y en ait un de la gang qui flageait, on pourrait ressortir tout ça puis faire de quoi, puis justement pas juste de travailler nous autres, tu sais, en tant qu'humoriste, souvent on va plonger dans une bulle pour écrire un nouveau show, des nouveaux sketchs, puis là, nous autres, on est deux, on a un qui écrit

ou l'envoyer à l'autre, on cogite, tandis que là, on est quatre déjà là-dedans, réalisateurs, nous autres, on est deux. On a un qui écrit « whoop », l'envoyer à l'autre. On cogite. Tandis que là, on est quatre déjà là-dedans, réalisateurs, nous deux en création avec le dessinateur. Tout le monde pitche des idées où on a l'impression de faire partie quand même d'un groupe même si on est chacun de notre bar. Ça commence là parce qu'au début,

moi, je n'étais quasiment pas dedans. Ça fait à peu près un mois, j'ai zéro dedans. Tu sais, à un moment, Sylvain m'avait écrit que la rock pour participer au roast. Je ne sais pas qui, mais j'étais dans le gas. Je ne suis quasiment pas là-dedans. Ça m'a pris un mois, j'étais zéro dedans. Tu sais, à un moment, Sylvain m'avait écrit la rock pour participer au roast. Je ne sais pas qui, mais j'étais dangereux. Je ne crie vraiment pas là-dedans. Ça m'a pris un mois à faire trois semaines. J'étais zéro. Tu sais, jouer de la guit, écouter de la musique sans arrêt, mais

composer, écrire des liners, zéro. J'étais comme confus. Je ne sais pas si vous autres, vous étiez de même, mais c'est quasiment du déni que je faisais. Moi, au début, je n'arrêtais pas de dire à Michel, j'étais comme, regarde, on retardait des shows.

Je disais, regarde, je ne ferai pas de show avant le mois de septembre. Je te le garantis. Ça ne reviendra pas avant le mois de septembre. Mais pour sous-écoute, vu que c'était au bordel, une petite salle, j'ai fait, je suis correct, il nous reste quatre épisodes en banque, après ça dans 4 semaines ça va être correct

on dirait la semaine passée que j'ai comme réalisé oh Christ, ça va être vraiment plus long que je pensais puis nous autres on est dans une industrie que on va être les derniers à repartir c'est clair

Centre Bell c'est remis l'année prochaine, Mike? On l'a tassé de deux fins de semaine. Début. Début. J'ai fait un rêve absurde hier à propos de Sugar Sammy.

J'ai rêvé que Sugar Sammy m'a appelé pour me demander si le Centre Bell marchait encore. J'ai dit non, ça ne marche plus. Il a dit j'ai trouvé de quoi. Tout le monde a cancellé leur show dans le Centre Bell,

dans le Madison Square Garden, tout ça. J'étais loué le Madison Square Garden à New York. Tu devrais faire sous-écoute à New York à la place. Voyons, ça marche pas. Chris, un, c'est un podcast francophone québécois. Deux,

c'est New York, personne me connaît à New York. Il était comme, il est disponible. Bastille. Puis après, mon rêve, je sais pas combien de temps ça a duré, puis j'ai l'impression que je me suis assis avec pendant ça avait l'air d' ne sais pas combien de temps ça a duré, puis j'ai l'impression que je me suis fasciné avec pendant… Ça avait l'air d'être comme trois heures de temps, de juste, voyons ta varnac!

Le salaud, puis lui qui tient son bout. Wow! Mais moi, le centre Bell, d'après moi, ça va… Moi, dans un monde idéal, ça va être dans un an. Ça va être juillet 2021. Juste pour rire, ils ont… Moi, tu sais, ils ont... Tu sais, ils ont annoncé que ça allait revenir

peut-être au mois d'octobre, novembre. Mais personne ne va vouloir aller au Centre Bell au mois de novembre. Non, pas au Centre Bell. Exactement. J'ai-tu dit le Centre novembre? Je ne sais pas, mais c'est pas ça. Le Centre novembre, pour moi, c'est... Je pense qu'ils vont changer ça.

Le mois Bell, puis le Centre novembre. J'espère qu'ils vont changer ça, le mois belle et le centre-novembre. Oui. Mais oui, le centre-belle, en tout cas, c'est mort pour au moins un an, je pense. Parce que, tu sais, moi, je ne me verrais pas dans la même pièce que 15 000 personnes avant qu'il y ait un remède.

Oui, c'est sûr. J'ai de la misère à m'imaginer d'aller m'acheter de l'engrais pour mettre sur mon terrain, faire un jardin. Je me lave les mains sans arrêt. Le centre-ville. Les line-up, le show. Imagine le line-up.

On avait déjà vendu 14 000 billets. Exact. 14 000 personnes en ligne à 2 mètres. Ils sont pas bien. On devrait s'écouter. Ça va faire un public l'a fun. Ça existe plus les rassemblements des câlins de Pat Grou.

Il risquerait pas le temps. Il devrait les repartir. Oui, il faut qu'ils repartissent. On s'en va dans les bacs, on se fait tous des câlins. C'est juste lui et lui c'est Laurier. C'est pas pire qu'une grippe.

Hey Yann, y'a-tu d'autres questions? Oui, j'en ai d'autres. Y'a Simon. Tu peux expliquer, avant que tu poses ta question, y'avait des premiers qu'on faisait avec Zoom, y'avait bien des commentaires de monde qui disaient,

Yann, pourquoi tu checkes son téléphone? Yann checkait son téléphone, pas parce qu'il chatait, mais parce qu'il regardait les questions et les commentaires du monde. C'est pour ça qu'Yann se met en retrait à ce temps-là. Oui, c'est ça. C'est parce qu'il fallait que je tape pour interagir avec la chatroom ou aller chercher les questions.

Je tapais sur mon clavier et ça faisait « schlong, schlong, schlong ». J'aimais mieux le faire sur mon téléphone. Il y a Simon qui demande « Que pensez-vous de la plateforme Youp présentée par Louis-Maurice? » Tu peux peut-être expliquer c'est quoi? Moi, je n'ai pas… Moi, je l'ai vue hier. Louis-Maurice Sette a fait Tout le monde en parle. Ça va être, de la manière qu'il en parlait, ça va être comme un mix

entre ce que Phil Roy fait en faisant du stand-up sur Zoom et un décor plus Radio-Canadien. Lui, il avait l'air de dire tu vas pouvoir faire ton spectacle dans un vrai studio

comme mettons l'équivalent du Studio 42 de Radio-Can. Mais le public, au lieu d'être du public, ça va être des faces comme dans Zoom. T'as dit ça? Ouais, puis là, il dit tu vas pouvoir cliquer pour faire du

crowd work par là au monde. Moi, je trouve ça tellement mauvais, toutes ces affaires-là. Moi, je n'embarque pas là-dedans. Je pense que c'est pour le théâtre. C'est parce qu'il y a comme une fausse... Si c'est un lien avec le public, c'est plus peurant. La seule manière que ça, ça pourrait

être vraiment cool, je pense. Puis moi, la première fois que quelqu'un m'a parlé du comedy club virtuel à Fildrois, j'ai fait, voyons tabarnak comment il a réussi à faire ça. Moi, quelque chose qui serait cool, ce serait si tout le monde avait des lunettes VR,

puis tu regardes à côté, tu as du public à côté de toi, puis tu as, mettons, les Denis de relais sur scène devant toi, ça, ça serait malade mental. Mais là, de voir les Denis qui font leur show, qui font du crowd work avec moi, qui est dans mon salon. Avec ton sel.

Oui, mais la raison que je pense, en parlant, j'ai parlé à une couple de jeunes humoristes que, mettons, l'idée à Filleroy, que tout le monde qui l'a fait aime ça, mais je pense que c'est le fait que ça fait 30 ans que je fais ça. Je me dis, regarde, j'aime mieux attendre deux ans.

À la limite, j'aime mieux ne pas faire de stand-up pendant deux ans, refaire dans deux ans. J'ai l'impression que le monde qui fait ça, c'est comme le monde qui va en prison et qui encule d'autres gars par son pas. Ils ne sont pas capables d'attendre plus. Il y a une espèce de quête

impossible à avoir une foule et un rire parce que on dirait que les gens, c'est l'essence d'un spectacle. Mais c'est impossible à recréer de façon virtuelle tu peux pas recréer ça apparemment

les shows de Filleroy c'est vraiment bon mais tout le monde qui m'a dit que c'était vraiment bon j'ai fait ah ouais c'est bon c'est sûr que si on pouvait quand même faire des shows, personne ferait ça ouais c'est vrai j'aime mieux trouver d'autres solutions

que ça. En plus, faire du stand-up, moi, dans ma maison, je ne m'imagine pas dans mon salon ou pour l'affaire de Youp. C'est ça, Youp. Si je ne vais pas

faire des shows, je n'aurai pas le goût d'aller dans un studio c'est parce qu'en fait cette solution-là de ce que tu m'en décris ça ne répond pas ça ne règle pas le problème à la base parce que le problème ce n'est pas autant un de, oui c'est le fun d'avoir

un plus beau décor et c'est vrai que chaque humoriste dans sa cuisine c'est peut-être pas, mais c'est pas ça le plus gros du problème en ce moment pour un humoriste, c'est d'avoir le spirit d'un film. Mais je comprends pourquoi le monde

le font. Comme moi, j'ai vu Derek Sagan faire des shows en anglais devant son monde de Zoom. Il y a de quoi de le semer le fun, mais ce n'est pas aussi le fun qu'un vrai show. C'est ça.

C'est temporaire. C'est le moment qu'il se l'a. Mais à quel point d'investir quelque chose de gros, si tout repart, le monde va aller au show. J'ai l l'a. Mais à quel point, tu sais, d'investir quelque chose de gros, si tout repart, le monde va aller au chaud. J'ai l'impression que le monde qui font ça, c'est pour des raisons monétaires.

Ou, tu sais, comme Phil Roy, il fait ça vu qu'il y a une nouvelle tournée qui est exposée sortir bientôt, puis il n'aura pas le temps de roder, fait que c'est le même qui fait son rodage. Mais pour l'art du stand-up, tu ne peux pas faire

du vrai stand-up virtuel. Fait que, tu es mieux d'attendre. J'ai l'impression que c'est comme si les deux pouvaient coexister, qu'on n'y avait peut-être pas pensé avant, mais que c'est un format qui pourrait exister, mais que on ne peut pas changer un pour l'autre, parce que c'est vraiment dans le rythme, justement, même nous autres,

il y a quelque chose de bien théâtral, on est deux, c'est placé, faut pas qu'on se trompe dans le texte, sinon on se regarde, on fait comme, hip, t'es-tu en train de l'échapper? Même à ça, ça nous prend le public, on pourrait pas jouer, je pense, devant un quatrième mur sans l'énergie, le beat,

le clin d'œil. Je pense que ça peut coexister, que c'est une autre manière d'aborder ça, mais que ça ne pourra jamais compenser une salle où tu as une centaine de personnes et que cette chaleur-là, le murmure, c'est tellement unique. La technologie, la manière

qu'elle est faite, c'est que l'audio, ça marche comme un CB, ça veut dire qu'il y a une personne qui peut parler, et toutes ces plateformes-là ferment le son des autres. Fait que t'auras jamais de rire une réception.

Apparemment, par exemple, ce qu'ils font, ce qu'il font, ce que Felleroy fait, c'est qu'ils sont techniciens, check, genre, parce que t'as toutes les faces du monde sur Zoom, mais il mute

90% du monde, puis il en dé-mute 5-6. Si ça arrive, mettons, des éclats de rire. Ouais. Fait qu'il check c'est qui les ricaneux. Il est dé-mute. Mais s'il voit une madame en train de manger des chips, puis jaser avec son chum. Parce que c'est ça qui est débute. Mais s'il voit une madame en train de manger des chips

et jaser avec son chum. C'est ça qui est tough aussi. Quand tu fais un show dans une salle, tu as un contrôle absolu. Mais là, Denis qui est à Verchères, c'est le goût de jaser. Il est peut-être en train de se crosser, Denis. Il a le plan coupé.

Dans une salle, c'est impossible, mais chez soi, regarde-moi à soi. Moi, le pire, j'avais checké pour... J'ai quasiment pensé pour ça, pour sous-écoute, parce que j'ai fait... Qu'est-ce qu'on fait avec sous-écoute? On retourne-tu la vieille version

Skype où on essaie de faire un mix avec le public Zoom. Puis après, j'ai vu, je ne sais pas si vous avez vu, Saturday Night Live, quand ils l'ont fait, live de chacun chez eux. Ils ont fait le Weekend Update, je suis sûr

que c'est sur YouTube. Ils ont fait le Weekend Update avec les rires de Zoom qui avait quoi de triste? Parce que le monde qui écoute de chez eux, ils se sentent obligés de rire à chaque joke le meilleur show du monde tu vas voir de ta vie

si t'es tout seul chez vous, tu vas rire 4 fois dans la soirée là c'est tout des ah ah ah t'es comme c'est mauvais ça arrive à un drôle de moment où est-tu que c'est mauvais? Ça arrive à un drôle de moment où est-ce que

c'est le pire temps, tu peux pas faire d'humour dans ce genre de contexte-là, puis ça arrive à un moment où est-ce que les gens sont avores de contenu, puis ils sont en train, tranquillement, depuis le début, ils sont en train de se créer leur propre petite

grille télé, genre à chaque soir, j'ai rendez-vous avec Arnaud Solly ou avec Matt Doff. Puis les gens, ils sont en train d'intégrer ça à leur routine. Fait que là, tu fais comme, Chris, il y a du monde pour regarder puis pour pouvoir consommer ce que je fais. Mais en tant qu'humoriste,

je ne peux pas retrouver la même formule qu'en salle. Fait que c'est vraiment, c'est déchirant. Tu sais, comme... Puis en même temps, tu fais comme, quand est-ce que je formule qu'en salle. C'est vraiment déchirant. En même temps, tu fais comme, quand est-ce que je vais pouvoir être devant une salle? Faut-je faire de quoi? Les gens cherchent, mais d'après moi,

d'ici 4-5 semaines, les gens vont avoir trouvé de quoi. Non, en tout cas, du monde comme moi, on va trouver de quoi quand les shows vont revenir. Moi, il y a eu une affaire. Avant,

je suis le genre de personne que s'il y avait un show, il fallait que j'embarque. Chaque fois que j'allais à un show, s'il y avait moyen de faire un 7 Minutes, je le faisais. Mon procès de ma dépression m'a aidé là-dessus. J'aime encore

l'humour, mais ce n'est pas un besoin. Oui, je comprends. Avant, c'était un besoin. Il fallait que je fasse rire. Là, en ce temps, j'adore faire des shows, mais si je ne refais plus jamais de shows de ma vie, je m'en crisse un peu. Pas que je m'en crisse un peu,

mais ce n'est pas la fin du monde. J'ai fait des shows dans ma vie, je m'en crisse un peu. Pas que je m'en crisse un peu, mais ce n'est pas la fin du monde. J'ai fait des shows dans ma vie et j'ai un vidéo poker. Je ne suis pas un exemple. Puisque maintenant qu'on fait ça, je comprends que ça fait 5-6 ans que tu es là. Ça vient de commencer.

C'est ça ta vie. Tu as faim et tu as juste la tête à ça pis à crier c'est pas ça qui va me breaker dans mon élan nous autres on est un peu dans on connait la patente, ça va rouvainer mais c'est ça c'est un bon mécanisme de défense aussi

de s'appuyer sur notre expérience passée en disant, ben oui parce que moi aussi j'ai pensé à cette borguette, mettons que c'est long parce que ça peut être long de retourner sur scène pis pourtant c'est quelque chose que nous autres mettons moi pis c'est long, parce que ça peut être long de retourner sur scène, puis pourtant, c'est quelque chose que nous autres, mettons, moi et Sébastien, depuis l'âge de 12 ans, on est sur une scène, on est à la polyvalente,

moi, je sais que sur l'heure du dîner, où j'étais dans des quarts, j'étais en arrière d'un loge, la scène, c'est plus que juste un endroit de représentation, c'est viscéral, et puis c'est sûr que ça va être long, on va dire tourner et puis à ce moment là je pense que j'aime autant attendre moi aussi peut-être de leur vivre concrètement puis je peux

m'appuyer sur j'en ai fait, on a tellement fait, on a été gâté, pourri la scène du Centre Bell, la scène du Saint-Denis, on a fait la place des arts combien de fois, oui ça va revenir mais ça fait du bien de se dire Colin on a été des chanceux qui l'ont fait. C'est ça.

Hum. J'ai l'impression que je ne veux pas sonner comme quelqu'un, mettons, qui chie sur ceux qui font ça. Je comprends. Oui, il y a un buzz. Moi, j'aurais voulu faire ça peut-être à l'époque,

mais là, à cette heure, je ne suis plus là dans ma vie. Exact. Je pense à la même affaire. T'es là-dessus, hostie. Je regarde Arnaud, je le trouve hallucinant. C'est une charge. Chris, il faut que tu aies du talent pour te faire. Il pourrait tellement se planter. Chris doit sortir de la double goulée.

C'est un improvisateur à repaire. C'est le genre d'affaire de Chris. On se trouve sur la chaîne des Denis. On se met des masques, on crie. Mais plus là. Plus là, à quel point on a besoin justement de sortir. Ça, on fait un sous-écoute avec toi, on jase, on se croise les doigts. Peut-être que vous nous poppez un concept avant d'aller à une soirée, mais

pas ça tous les jours. Moi, je pense que les trois tabarnaks... Oui, eux autres, peut-être. C'est ça, Crafaz, vous tenez de quoi? Parce que ça jasait tantôt. Les gens veulent les trois tabarnaks... Oui, eux autres. Vous tenez de quoi parce que ça jasait tantôt. Les gens veulent du trois tabarnaks. C'est une lueur d'espoir.

En vrai, ça marcherait. Tu pars à un live des trois tabarnaks à chaque soir. C'est tout le temps la même affaire. Aujourd'hui, on va régler tel problème. On va régler tel problème. Passez-vous cal'on a l'idée?

On a un générique qui part. Je ne sais pas si vous voulez, il faut être tous ensemble. C'est ça. On va parler mal et chacun, c'est un zoom. Ils se pognent les deux. Ah oui! C'est plus drôle si ils ont chacun leur zoom.

Ils se pognent. Attends que ça s'est fini, mon tabarnak. C'est plus drôle si ils ont chacun leur zoom. Ils se menacent. Attends que ça s'est fini, mon tabarnak. Ils font juste se menacer sans arrêt. On dirait des personnages des Bubblies. Oui, des Bubblies. Venez, venez, venez. C'est les Bubblies.

C'est bien côté. Les Bubblies, excuse. Un band de marionnettes qui jamait. C'était comme un band rock de marionnettes. OK. J'ai marqué ça. Excuse-moi,

Sébastien. Il y a Sébastien Côté qui demande quel est votre film préféré, tout style confondu? Ici. C'est super dur, mais on dirait que je me suis arrêté à un moment donné à m'assumer. Moi, c'est Rocky 1. C'est bizarre de même. Pour vrai?

Oui, culture pop, mais c'est le personnage qui vient me chercher, qui est touchant, l'histoire basique, le fait qu'il perde à la fin, qu'à partir de là, ils ont créé une suite. L'écriture, la persévérance de Stallone là-dedans, quelque chose d'un peu qu'ils viennent chercher. Moi, je suis partagé, puis ce n'est pas des grands films. Rocky, le premier, je pense, est un grand film.

L'autre, ça serait Plane, Trains and Automobile avec Steve Martin et John Candy. Il a fallu que je m'assume, parce que ce n'est pas un grand film, mais moi, ce film-là est tellement important dans ma vie. C'est au moment où j'ai compris que ça se pouvait un duo humoristique où est-ce que, et très drôle,

mais capable d'être touchant en même temps. John Candy, qui était un idole, d'ailleurs. C'est un bon film, mais ce n'est pas des grands films. On peut en citer tellement. Ce ne sera jamais sur la liste des...

Non, le Christy. Même 2000 meilleurs films de l'histoire. Voilà. C'est très personnel. C'est peut-être plus cliché, ces deux films sont nommés souvent. Mais mettons, c'est assez propre. Je n'ai pas d'obstacles étranges. Shining de Kubrick.

Shining et Retour vers le futur, le premier. Pour différentes raisons, les deux. C'est deux films. Pour différentes raisons, les deux. C'est deux films que je reviens souvent en me disant tabarnak, c'est des films semi-perfets. Des petites perfections. C'est sûr que Dominic Attenson n'est pas le pays

mais non. J'avoue que Joker, récemment, m'a jeté à terre. Je veux dire, ça m'a bouleversé au point que j'ai eu de la misère à écouter du cinéma après, à cause de l'ensemble de l'oeuvre. C'est à moi... C'est affolue que je retourne à Taxi Driver, à Volauté

d'Annie de Coucou. Le film avec Jerry Lewis et De Niro. Pas Mr. Saturday Night, mais... Oui. Jerry Lewis et Robert De Niro. Que...

C'est vraiment basé beaucoup sur ce film-là. Aussi, oui. C'est quoi le nom du film? En français, c'est La Valse des Pantins, mais... Et la barnaque, non, c'est pas ça. King of Comedy? Oui, King of Comedy.

C'est Martin Scorsese. C'est une des raisons pourquoi Scorsese n'aime pas Joker, vu que c'est basé sur deux de ses films. Ça ressemble à Moses, mais... C'est un mix entre Taxi Driver et King of Comedy. Mais King of Comedy, qui est un film

vraiment sous-estimé, c'est un nasty chef-d'oeuvre. C'est un osti de chef-d'oeuvre. C'est un bon film. Moi, c'est drôle. On dirait surtout de Stancy, l'affaire que j'aime le plus, c'est des ostis de rire. De Stancy, j'écoute

bien du Adam Sandler. Ah oui? J'étais sur mon Fire Stick et je checkais voir quel film que David Spade a fait. Il n'y a jamais parlé de ça. C'est quoi que David Spade a à m'offrir?

Moi, je pense que mon film le plus marquant, c'est Dîner de cons. Oh my God! C'est tellementiner de cons. Oh my god! C'est tellement bon. Moi, je suis en manque de comédie de ce temps-là parce que je vais écouter des films

et j'ai des DVD, des Blu-ray, des DVD, mais j'ai perdu depuis cet automne toutes mes comédies. Dans ma bibliothèque, c'est juste des crises de drame ou des films d'action que mes enfants aiment. Je suis en train de virer fou. Récemment, je voulais tellement écouter une comédie,

j'ai fini par retrouver The Secret of My Success avec Michael J. Fox. C'est pas le film où il fait de la poudre, ça? Non, c'est le film où il veut tellement être engagé dans la compagnie de son beau père qu'il se déshabille

dans un ascenseur et fait deux jobs en même temps. Extra cocasse, archi plate, mais réconfortant. Le secret de mon succès. Il y a d'autres moyens de se réconforter que ça, ce petit film-là. Je sais.

Je suis crassé et deux fixes. Je suis en manque de comédie. C'est dur à trouver des vieilles comédies. Appelle-moi, je vais t'accorder des papiers. Le pèreest dur à trouver des vieilles comédies il y a du mal il y a pas rien d'autre je cherche tranquille le fleuve de ce temps là que je veux voir avec Dan Aykroyd et John Candy je l'ai plus

t'as trop vous ça le film Le sang ne coulera plus avec Johnny Cotex c'est la première joke que mon parrain me conté quand j'avais 4 ans il comprenait rien j'en ai compté je pense à lui

sur cette petite joke là la première joke qu'il m'a rendu de ma vie c'est parfait ça qu'il faisait ce gag là c'est parfait il est-tu encore vivant. Oui, il me passait ses playboys. Il est-tu encore vivant?

Non, il est décédé. C'est ça, du bord de mon père, il avait 15 enfants. Ma mère était juste deux. Elle avait son frère qui était mon parent, qui était Gilles. C'était un vieux garçon qui passait sa vie au bowling. T'as vu, le bas-ski, le petit code de cuir, il jouait au bowling. Il y avait des playboys qui me laissaient lire chez eux à 8 ans.

Il arrivait chez nous des fois, soit il n'était pas une 20 piastres, va te louer un film, achète-toi un chip. Il était magnifique. Il était allumé. Il décédait juste avant. On sortait de l'école d'humour. En même temps, au début des deniers, il aurait adoré ça. C'était un gars allumé que je m'ennuie, mais c'est ça. Il m'a conté ce joke-là

jeune. Il était par toutes mes noyades, je lui avais fait un cadeau. C'est-tu lui ou ton grand-père qui garrochait de l'argent un peu pour faire rire le monde et que tu te chèques la queue? Ah non, ça c'est pas du bord, c'est du bord à mon père. Fais-moi un strip-tease, je vais te donner un indice.

Mets-le dans tout le monde dehors, en famille. C'est moi qui y allais, si je danse tout le monde, tu me donnes un indice, oui. Oui, certain. On fait pas ça dans les parties avec nos enfants, on devrait... C'est moi qui y allais. Si je danse tout nez, je me tiens à 10, oui. Oui, certain. C'est bizarre comme recul. On ne fait pas ça dans les parties avec nos enfants. On devrait... Mais tu es tout nez pour vrai?

Moi, j'ai un frère, la boule de marde, avec mes petites culottes et la poêle. Donnez-moi du cash! Oui, c'était assumé parce que ton personnage s'appelait de même, non? Boule de marde. J'ai un personnage dans les films, c'était un lutteur ton personnage s'appelait de même, non? Boule de marde. J'avais un personnage dans les films, on me disait que c'était un lutteur.

Je m'appelais Boule de marde. C'était un petit gros de 9 ans. Je faisais que... Il disait qu'il mangeait sa marde en luttant. Boule de marde. J'avais 9 ans, 200 livres. Et c'était un petit homme. Un enfant bien, bien petit. Prometteur.

Prometteur. Un ange. Je ne sais pas s'il y a du monde à Saint-Jérôme, les premières fois que vous avez passé à la TV, qui ont fait ce boule de marde mais moi je pense que Vincent, il y en a fucking groupe Vincent était premier de classe, timide à son affaire

pis il est arrivé quand ils ont vu ça à la, tabarnak, c'est pas lui! Il a l'air détraqué, il hurle. Moi, je pense que c'était moi qui l'a pris chemin. Toi, Vincent, t'étais bien gêné quand t'étais jeune? Oui, j'étais un enfant extrêmement

dans ma tête, dans ma bulle, studieux. Je voulais plaire aux grands, être grand. Moi, j'ai été élevé chez le plus vieux de ma famille. Avant d'avoir un autre frère, j'ai passé six ans quasiment avec mon grand-père qui vivait à la maison, ma mère

qui n'a pas de frère ni de soeur, qui est en fin unique. C'est ses tantes à elle qui étaient mes tantes. C'était toutes des vieilles mangeuses de Kraft Dinner qui fumaient des matinées King 16 en juin 2008. Eux autres, je voulais leur plaire. J'étais bien studieux, bien tranquille.

J'aimais bien les arts de théâtre, mais ça a décollé quand Sébastien le voyait bien, disait, en barque, le Christ décroche, puis vient le temps. Il y avait ce gars-ci que je capotais et ça a donné ce que je fais aujourd'hui, quand même. C'est hot. Toi, Yann, t'étais comment?

T'en as jamais parlé à cette époque. Ton enfance, t'étais un petit bâme. Moi, j'étais le suiveux. J'essayais d'être suiveux. Je me choisissais une gang. Vu que je restais dans un village, je me tenais avec. Mes chums, c'était tous des bâ gang. Vu que je restais dans un village, je me tenais avec.

Mes chums, c'était tous des bommes. Vu que je portais des jeans et un T-shirt blanc, parce que j'essayais d'être le plus effacé ou ce qu'il y a de plus neutre au monde, ils m'appelaient le preppy.

Ils disaient que j'étais le prep de la gang. À cause d'un t-shirt blanc. À cause d'un t-shirt blanc. À cause d'un t-shirt blanc, puis je me brossais les dents. Fait que j'étais un peu différent d'eux autres. Fait que j'étais pas beau, si tu me brosses les dents.

Fait que j'étais comme le plat de la gang, mais en même temps, j'étais celui qui donnait des raids. Puis ces gars-là étaient contents de m'avoir parce que souvent, ils ne pouvaient pas se confier à leurs amis que les autres étaient trop bommes. Fait qu'ils venaient se confier à moi. Puis je suis assez effacé. Puis j'ess Colin, j'étais assez effacé pis j'essayais tellement de

je sais pas, j'avais pas de personnalité dans ce temps-là, il fallait choisir un style, tu sais il y en a plus de style aujourd'hui il y a plus ça, tu sais là, les jeunes ils ont plus de, tout a été fait pis tout est revenu en mode pis tu t'habilles n'importe comment

tu te fais pas traiter d'un style, là, tu sais, là. À Star, mettons, si... On est dans un monde vraiment d'inclusion, mais nous autres, notre jeunesse, c'était, mettons, les punks haïssaient les rappers, les rappers haïssaient

le monde de... Les métalleux, les métalleux, les... Il y avait des anarchistes aussi, non? Même des métalleux, les métalleux. Il y avait des anarchistes aussi. Même des métalleux. T'es pas un vrai métalleux. Moi, je suis un speed metal. Ben oui. Pendant qu'on est dans Nostalgie,

c'est notre photo d'école à Moët-Picerve l'année qu'on s'est connus. Attends un peu, je vais montrer ça. Wow! Ça, c'est Sébastien. Chaque bar est immense comparé à tout le monde. Ah, Sébastien, le tabarnak!

Je suis déjà bête. Chris, t'es six fois gros comme tous les autres enfants. Ouais, ouais. Moi, je suis là à l'autre bout. Ouais, si, Chris. On est immenses. On a déjà nos positions de scène.

Sébastien, tu aurais pu me dire, ça, c'est le chum de notre professeur. Regarde la petite fille en bleu en avant. Ben oui, ça a l'air d'être ma fille, qu'on lisse. Elle a l'air d'être ma fille, Carlis. Carlis, elle a l'air d'avoir

trois ans de moins que toi. Regarde-le, comment elle est toute petite. Ben oui, j'étais concierge la fin de semaine. Ben oui, c'est pour ça qu'on s'est trouvés. On a fait tabarnak. Si tu es avec moi, on clashe les deux.

Les deux costauds. On va aller le jaser entre nous deux et on va créer quelque chose de bizarre. Les deux lutteurs. Qu'est-ce qu'elle cèdera? Il y a Abigail qui demande avez-vous déjà vu en dehors de Saint-Jérôme des personnes qui ont fini

par être des personnages des Denis? Parce que c'est souvent des personnages de Saint-Jérôme mais y'en a-tu d'autres d'ailleurs qui vous ont inspiré des personnages des Denis. Tu sais, parce que c'est souvent des personnages de Saint-Jérôme, mais y'en a-tu d'autres, d'ailleurs, qui vous ont inspiré des personnages? On est six! La, la, ben, d'ailleurs, je sais que

des fois, y'a des choses qui nous ont inspiré comme des traits de personnalités de caractère, mais pas énormément. Je me rappelle qu'un qui nous a fait capoter, c'est le monsieur d'un meeting qui nous jasait, pis quand chaque chaque phrase il bougeait son menton lui était merveilleux ça peut nous inspirer assez aisément on travaillait à Musicbus on ne l'a pas fait

non mais c'est le genre de trait de caractère qu'on fait wow et on emmagasine ça mais sinon le monsieur qui sortait trop de télécommande ah oui monsieur c'a pas... En tout cas, ça n'a pas son nom,

mais c'était un producteur. Il allait dans un meeting. Honnêtement, ça a l'air de... Pourquoi est-ce qu'on vit ça? Il s'est mis à sortir de son bureau 40 télécommandes. C'est un sketch, Denis. Il faisait genre...

C'est ça, les télécommandes? On était venus pitcher un show TV. » Putain, il ouvrait des tiroirs et il sortait des télécommandes. Le TV de son bureau, on capotait, on était tabarnak. C'est le genre de sketch qu'on écrit. Ça avait l'air stagé parce qu'en plus,

c'est parti d'un affaire, j'ai fait une joke un peu, je détends l'atmosphère, je veux être absurde. Il y avait deux télécommandes de son bureau, genre, les télécommandes, vous êtes sûrement collectionneurde. Il y avait deux télécommandes sur son bureau. Les télécommandes, vous êtes sûrement collectionneur de télécommandes. Il se lève et il fait, des télécommandes, j'en ai partout. Et il se met à en sortir de partout en les garrochant dans son bureau.

Trois minutes qu'on se connaissait. Oui, il y a des affaires qui nous inspirent en dehors de Saint-Germain. Oui, mais pourquoi on vit ça? Personne ne vit ça. C'est des cadeaux. Pourquoi on vit ça? Dans notre vie, il y a un homme qui nous montre trop de télécommandes. C'est des cadeaux. Pourquoi on vit ça dans notre vie? Il y a un homme qui nous montre trop de télécommandes. C'était des cadeaux. C'est un bon sketch.

C'est ça qui est plate. Souvent, par exemple, on dirait les flashs que j'ai pour des sketchs. C'est des gags de COVID-19, mais qu'il faudrait attendre. Mais j'avais le flash de quelqu'un qui arrive, qui veut dire qu'il a trouvé un remède pour le COVID-19, mais il va dire à quelqu'un que la personne veut juste lui montrer sa collègue.

C'est-tu que c'est drôle? Il le coupe sans arrêt. Oui, mais attends. Check. J'en ai deux. Bleu marin, les deux. Mais tabarnak, je dois avoir le vaccin. Venez, venez, j'en ai une grande. Il est en plastine. Je ne sais pas, j'ai trouvé le vaccin. J'en ai une grande, j'ai une plastique.

Je ne sais pas si Arruda dirait oui. C'est lui le gars de télécommande. C'est Arruda. Il veut juste parler de ses télécommandes. Il veut juste ses télécommandes. Son rassurant, son bon, mais ça serait le fun

qu'il y ait une journée à une conférence de presse où il vire fou et il se met à une conférence de presse live. Il vire fou. Il se met à garrocher des macarons. Des macarons de nuit. Je m'appelle Joe aussi. Il se rosa la tête. Il l'échappe. Il y en a un qui l'échappe.

Le Québec est plus bain de l'avoir à métal. J'aimerais ça. Hey, j'irais avec peut-être deux autres questions que j'ai envie de pisser. Oui, il y en a une. Puis, d'ailleurs, elle peut s'adresser à toi, Mike.

C'est... Les boys, de quelle façon le confinement a changé votre relation avec vos fans? Parce que, tu sais, en même temps, ça a créé de la proximité entre bien du monde qui sont actifs sur Internet. Admettons comme Chris Jerr fait des beer pong.

Jerr va faire une pancréatite. Mais hey, c'est drôle parce qu'il est en train de se scraper la face. Puis Laurence, notre assistante qui a travaillé avec Jerr, qui a aidé Jer à monter son spectacle pour la production, elle était inquiète pour Jer, mais

j'ai jasé avec Jer, puis je me suis aperçu que c'est absolument génial ce qu'il fait. Il a dit, moi, je bouille de toute façon, je me scrappe la face, autant monétiser ça. Fait que là, il fait des lives. Il monétise son alcoolisme. J'ai fait comme tabarnak. C'est génial.

Mais vous autres, ça vous a-tu... Parce que vous n'êtes pas super actif non plus sur les réseaux sociaux. Vous n'êtes pas du genre à... Si vous n'avez pas vu son live, c'est ça qui a... Ah oui, ça, j'ai vu un bout de... C'est son ami qui nous a rencontrés.

Orange Lessard. Orange Lessard. Orange Lessard. Une belle influence. C'est Chi-Chi Chung, défoncé. Sale. Chris. C'est parfait. C'est ça qui arrive.

C'est à quel point il ne faut pas l'écouter. Je vais être abarné. Il se détruit. Le premier sous-écoute qu, je vais être abarné, il se détruit. Moi, le premier sous-écoute qu'on a fait après le confinement, c'était avec Zoom, ça a duré 5h30, ça a fini avec

Jer qui me montrait ses fusils, puis moi... Il y a de quoi de... Le lendemain que j'ai fait, c'est bon en esti, il y a de quoi de bon, mais il y a de quoi de horrible. De dangereux, c'est ça, c'est bon, en esti. Il y a de quoi de bon, mais il y a parfois de horrible. De dangereux, c'est ça. Tu te crisses pour vivre de quoi, mais

un moment donné, tu fais le bout de coller 5 points dans le mur, puis je t'arrive de voir! Tout le monde est mal, le tabarnak. C'est cette ligne-là qui est toujours fragile, mais ça peut être payant aussi. Ah oui, certainement. Moi, confiné avec ma blonde, je ferais tout autrement.

Le seul projet que j'ai fait, en fait, qui m'a pris un peu de temps, ça a été de... J'étais à Télé-Québec où ils nous ont engagé une gang pour faire des suppléants de professeurs. Fait qu'il y a des amis, des collègues qui font le professeur de biologie, le professeur de français.

Moi, j'enseigne l'art dramatique en quatre capsules à des jeunes. J'ai fait un setup dans ma véranda comme si j'étais Bob Hinault, avec un théâtre de périmètre. Je me suis donné. Vous avez vu mes cossins que j'ai. J'ai sorti mes bonhommes, mes affaires,

mes notions d'art dramatique. J'ai eu vraiment du fun. J'ai impliqué ma blonde là-dedans parce que ça me prenait quelqu'un pour gérer des téléphones qui sont devenus semi des caméras puis de l'éclairage. Donc, on a eu beaucoup de plaisir.

Moins de trash, moins d'alcool. Oui, mais c'est parfait. Mais c'est un autre penchant puis j'ai adoré faire ça, vraiment. Ça a commencé aujourd'hui puis c'est un beau projet. Oui, ils m'avaient approché mon prof de musique,

mais je ne pouvais pas s'acquérir après les jeunes. C'est ça. Il y a bien du monde aussi qui a le droit avec ma blonde que on s'entend vraiment bien. Oui.

Je n'avais pas peur de ça. Non, mais à quel point? Elle est vraiment facile à vivre. Pour vrai, ma vie n'a pas changé tant que ça, vu que je suis quelqu'un qui n'aime pas sortir. Je sortais juste faire mes shows.

Exact. C'est le même but de vie sans ce but-là. Ça fait longtemps que tu es avec ta blonde. Oui, c'est ça. Exact. Mes enfants ont 13 et 11. C'est plus tard que moi. Tu couches, ils s'arrangent, tu te couches. C'est plus tard que moi. Ils s'arrangent de se coucher.

Je vois des familles, quand tu es poigné, 2 et 4. En confinement, je comprends comment ils doivent avoir le bout de crisse. J'étais étourdi. On a la chance que nos enfants soient plus vieux. Ça donne un petit break à la tête.

Je suis content. Ça crée un balance. Ma blonde est archi rationnelle. C'est une fille, elle. Puis là, c'est moi qui est anxieux, qui est émotif. Je ne suis pas dur en durée, mais elle, elle le sent. Elle fait, ah, il est plus stressé un peu. J'ai fini par lui dire, tu es toujours

d'humeur égale. Puis c'était ce n'est un reproche. Genre, tu souris, tu acceptes la situation, tu as l'air bien. Ça va? Elle m'a dit, ben oui, ça va bien. Puis tu sais, ça crée vraiment un bon balance. Je pense qu'elle est là, je suis content. Mais ça m'est arrivé la semaine passée, je fais, tu es toujours égale, ben oui, ça va bien. Ça crée vraiment un bon balance. Je sens ce qu'elle a, je suis content. Mais ça m'est arrivé la semaine passée, je me suis fait, t'es toujours égal.

Parfait, tout est beau. Il y a eu ce bout-là où je me suis dit, est-ce qu'elle est capable de passer au travers quelqu'un qui n'a pas tant d'émotions, comparé à moi, qui aurait tellement le goût qu'on se pogne, qu'on fasse, Christ, on va mourir. J'y ai bien réfléchi et je suis bien chanceux

d'avoir une balance avec moi. Ah oui. Je pensais à ça. La première semaine, quand ça a commencé, tout le monde, mettons que... Il y en a sûrement qu'ils se sont laissés. Mais ils se sont dit

« Regarde, on se laisse, mais on va rester ensemble le temps que je me trouve un appart. Comment ça doit être lourd, est-ce que tu sais? Moi, il est arrivé le contraire. On a pris la décision de rester ensemble et que j'aille vivre ailleurs. Ah oui? Oui, on a pris.

Fait que là, je me cherche un appartement, je me cherche un 5,5. on a pris. Fait que là, je me cherche un appartement, je me cherche un 5 et demi parce que là, elle voulait son fils qui était parti vivre avec ses amis, là, il a décidé de revenir à la maison, puis elle,

pour le, tu sais, avec le COVID, avec le virus, tu sais, je la voyais nerveuse et tout ça, puis elle veut revoir son fils dans la maison, mais full house, ça aurait fait une maison de 6, puis on n'a son fils dans la maison mais full house ça aurait fait une maison de 6 puis on n'a pas assez de place pour ça, j'ai fait bon c'est peut-être le temps idéal juste moi aller me monter un petit

studio avec mon appart à moi puis moi aussi avoir mon petit nid avec mes filles puis coudonc on sera un couple on sera un couple dans chacune de nos maisons c'est seulement en temps pour dévenager c'est seulement en temps pour déménager. Hein? C'est seulement en temps pour déménager.

C'est dégueulasse parce que là, il n'y a personne... Tu ne peux pas faire visiter. Il y en a que... Les occupants, il y en a qui ont des bébés. Tu ne veux pas faire rentrer plein de monde chez les occupants. Il y en a qui suspendent ça pour un mois encore.

Il y en a d'autres, c'est genre, tu vas visiter, mais ça prend juste une personne. Moi, je vais t'attendre dehors. Les listes d'attente, il y a une crise du logement en plus à Rive-Sud. Ça rend ça compliqué. C'est l'enfer. Tout est compliqué.

Son fils vit-il avec vous autres déjà? Non, il est encore avec ses colocs, mais lui, il avait déjà pris cette décision-là. Il voulait revenir à la maison. On essayait de regarder, voir comment on pourrait configurer la patente. En fin de compte, j'ai fait comme,

on ne sera jamais capable de configurer ça pour éviter tout ce monde-là. Il y a une gang de même, c'est quelque chose. Si vous ne le laissez pas, pourquoi vous ne trouvez pas un plus gros logement à la place? J'en loue une grosse maison comme la galère. Ça pourrait être comme les filles de la galère. Ou bien d'acheter une vieille prison.

Il y avait ça à vendre un moment donné. Ah ouais! Non, mais... Non, mais en même temps, ça va me permettre en même temps, ça va me permettre à moi de prendre une pièce puis me faire mon studio puis m'installer là

en permanence, puis pouvoir recevoir, parce qu'ici, le studio, je ne peux pas recevoir d'invité, mais un moment donné, quand la crise du virus va être finie, j'aimerais ça pouvoir prendre des podcasts avec des invités, puis avec des co-hosts, toute la patente, puis ici, c'est impossible, fait que ça va me permettre

de pouvoir me mettre ça en branle un peu, ce projet-là. Oui, du bon pari. Par exemple, tu sais, ta blonde, c'est juste un truc pour aussitôt que t'as ton appart, t'as votre cas lycée, là. Je ne sais pas, mais quand j'y ai soumis l'idée,

elle était nerveuse, puis elle était vraiment... C'est toi qui as soumis ça. C'est toi qui as pitché cette idée-là. Oui, mais tu sais, je la voyais nerveuse, puis j'ai fait, ça se peut-tu que ce soit à cause de ton gars qui revient, puis là, comment qu'on fasse fiter ça

avec le virus et tout. Elle me disait non, mais après ça, j'ai fait comme, écoute, je regarde, on ne peut pas configurer ça pour faire fiter tout le monde. Je pense que j'irais vivre tout seul. À partir de là, j'ai vu comme une espèce d'allègement sur ses épaules. Probablement que

dans son inconscient, elle souhaitait que décoallisse le gros. On ferait le choix plus tard. On ferait le choix plus tard. On ferait le choix plus tard. Ah oui, exactement, oui. Il y a Mathieu... Oui, vas-y.

J'allais dire, ma mère, elle déménage là, présentement. Elle s'en va vivre chez son chum. Ça fait six ans qu'ils sont ensemble, qu'ils se voient de loin. Il avait décidé cette année, enfin, d'aménager ensemble. Tout est correct.

Mais lui, il était confiné. Petite décidé cette année, enfin, d'aménager ensemble. Tout est correct. Mais lui, il était confiné. Petite anecdote. Puis, à cause de sa job, finalement, ils l'ont rouvert, son travail, comme étant service essentiel, parce qu'il travaille dans la menuiserie. Ça crée de la rite de bois pour les lapins. C'est un service essentiel. Je l'étais ça de même. J'aime bien les lapins. Je trouve ça un peu

plus touché que ma mère à cette heure, mais coudant. Il y a Mathieu Benoît qui demande c'est quoi la gig qui vous a fait sentir la pire marbre d'avoir accepté oh mon dieu il y en a eu ça c'est sûr c'est sûr c'est quand on va faire

je peux pas croire ça va-tu être ça toute ma vie pour moi c'est quand même si j'adore ce public-là, des fois, c'est quand on est invité à aller faire une école secondaire. C'est arrivé deux ou trois fois. La fin d'année des secondaires 1 et 2 avec les Denis Drelief,

leur référence de Yves Corbeil. Tu te sens en place, c'est un moyen. Oui, il n'y a aucun son. On est trash. Ils n'ont pas le goût de nous autres. On n'est pas de la génération. Les profs trippent, de chaque côté, mais à part quand on

chante fantastique, c'est pas de leur faute. On se sent comme deux hostiles de Manon, deux morts décalées. À quel point c'était payant? C'était pas tant payant. On a décidé de ne plus le faire. On l'a fait une fois en disant que c'était de la marde. La fois d'après, on a fait peut-être que c'est nous autres. On va l'essayer en adaptant

notre stock. Ce n'est pas adaptable, des jokes de meurtre et du sacrage en plus à tour de bras. Il y a un contrat de pub que j'ai fait il n'y a pas si longtemps. Pas entre deux. C'était McDo, donc je me suis questionné.

Monopoly-McDo en solo, tu sors vers une pub où j'enquêlais des gobelets de café en disant, genre, le café, c'était border, c'était border de tabarnak à quel point là... As-tu vu, c'était une pub pour le jeu

Monopoly McDo? As-tu vu le documentaire sur... Non, je sais pas ce que tu parles. Je sais pas ce que c'est bon. Comment les croyants de la première année, c'est bon. Comment les Coyotes de la première année, c'était juste le mafia qui contrôlait. Ah ouais!

Ah ouais, j'ai vu le preview. C'est ça, c'est vraiment bon. Mettons, le jeu a commencé en 90. En tout cas, de 90 à 2002, il n'y a jamais eu un vrai gagnant. C'est ça qui est hâte de McDo.

Parce que McDo a embarqué avec le FBI pour les aider à piéger le monde. Puis après, quand je voyais ça, je me disais, OK, d'après moi, ils vont juste arrêter le jeu. Puis on fait, non, non, on l'aime, le jeu. Parce que je me souviens d'une époque où McDo avait fait

une publicité pour dire, maintenant, le Monopoly, c'est comme... Oui, c'était ça. Puis je ne me souviens plus, c'était dans quoi? Puis là, j'ai fait, je me souviens plus c'était dans quoi pis là j'ai fait qu'est-ce qui s'est passé pour qu'il dise ça pis je l'ai jamais su

pis là ben c'est ça quand j'ai vu le trailer de ce documentaire là j'ai tout de suite fait le lien je l'ai vu après que j'ai fait la pub tu sais c'est c'est là que tu vois qu'il était clé dans la mort de faire non non on continue

oui même qu'il fasse une sortie de on est rendu legit c'est quelque chose c'est pas grave on continue c'est parfait une frite gratis une fois de temps en temps

c'est dur à coter. Mais les grands prix des Monopoly, McDo, c'est un million. Oui, c'est un beau prix. Oui, un million, c'est bon. Malheureusement, c'est tout le temps les gars dans la même famille qui gagnent. Oui.

Mais c'est-tu encore un million? Je ne suis pas sûr. Je ne sais pas. Depuis que c'est legit, ils n'ont pas fait le crisse. on va se laquer, mentir. » Un écran géant, deux Big Macs. C'est-tu un Jouazis? Ça doit ressembler à ça. C'est-tu un Jouazis?

Le Grand Prix, c'est une tête d'oreille. Ils ont dû se laquer le million. C'est un Jouazis. Une grosse douceur. Il y a Chris Aubin qui demande « Question pour les Denis, dans votre série, entre nous deux, est-ce que les invités étaient en tabarnak pour vrai

ou s'était arrangé? » C'était tout écrit de A à Z. Le réplique, c'était tous des textes. Même les invités avaient des textes. Il y a juste les gens tremblés qui étaient en tabarnak, mais avant le tournage. En se faisant maquiller, on l'entendait dire « C'est quoi ce texte- Il y a juste Réjean Tremblay qui était en tabarnak, mais avant le tournage. En se faisant maquiller, on l'entendait dire, c'est quoi ce petit texte-là?

Il lisait le texte, il l'avait pas lu. On l'a envoyé à des invités deux jours avant, puis il a pris notre texte. Puis lui, il l'avait pas lu. Puis le lisant, en se faisant maquiller, il disait, c'est n'importe quoi, ça crie, ça rit de moi. Il dit, est-ce que je suis pas bon? Pourquoi t'es là, tabarnak? Fait que finalement, il a dit, gars, oublie le texte, Réjean.

On va t'improviser de quoi. » Il a chanté « High-Size Baby » de Vanilla Ice, les deux en se couchant un sur l'autre devant lui. « Vous avez un gros visage blanc. » En plus, j'ai été un méga-fan des trois premières séries de l'Anse et Contre. Vraiment, vraiment. Après ça, je trouve qu'au-delà du travail d'acteur ou quoi que ce soit,

ça a été border scrappé, un peu comme Star Wars ou quelque chose de rien. Fait que lui qui venait dire que nos textes étaient plates alors que moi, il avait tout scrappé mes lancers-comptes, je l'ai dit fort, je pense, voilà. Ouais, c'est sûr que c'est pas un nouveau lancers-comptes, là. Mais non, il y avait

personne en crise. Tout est... Ben non, ça s'est bien passé le reste il y en a un qui a rougi beaucoup c'est Stéphane Bureau parce qu'il nous a dit oui on l'a conté ça oui on l'a conté qu'on a fait

le trou de cul d'un Doberman on a mis avec Gare avec Gare avec Gare dans le trou de cul d'un Doberman

il savait pas qu'on ferait ça ça c'est le seul moment qu'on s'est dit Stéphane il est tellement willing pis il est tellement

généreux habituellement associé avec l'humour puis il nous aime bien, on va aller jusque-là, on l'essaie. Il y a eu ce moment-là où lui, il a rougi, mais il était très heureux après de dire, c'est bon, ça, ça marche. Pas de chicanes.

J'ai une bonne question pour Mike, qui vient de Richard, puis ça va peut-être éclairer bien du monde. Il demande, c'est quoi la suite pour les lockdowns, pour les patréons ben là là on

moi j'aimerais faire au moins 2-3 shows par semaine pour pour revenir au même beat pour revenir au même beat parce que moi ce que j'aimais des patréons c'est qu'on était tout le temps minimum un mois, un mois et demi avant

tout le monde. Puis là, je me sentais mal parce que de la manière qu'on les faisait avec Zoom, je trouvais que c'était une qualité dégueulasse, visuellement dégueulasse. Là, vois-tu, ce qu'on a fait à soir, c'est beau. C'est moins beau que la version qu'on

veut se rendre, mais je suis vraiment satisfait avec ça. J'aimerais faire pour les prochaines semaines deux sous-écoutes par semaine. Un, vous écoute. Les vous écoute, ça va être comme on faisait les premiers lockdowns. C'est moi et Jean-Tom qu'on parle du monde du public.

Ça, j'aimais vraiment ça. J'aimais vraiment ça et j'étais impressionné de comment mon monde Patreon sont intéressants, sont le fun. Fait qu'on veut faire, moi, d'ici la fin de la pandémie, je veux tout le temps faire minimum deux, trois shows par semaine. trois shows par semaine. Puis, on va revenir avec le même rythme, c'est-à-dire qu'on entend un lundi, en fait, ce qui est enregistré

le dimanche pour ceux qui ont le forfait live, va être disponible quelques jours après. Puis, ce show-là va aller à la suite de ceux qui ont été au bordel, puis on reprend le même rythme dans le fond. Puis, tu sais, au début, on tournait

tout le temps le dimanche. Là, je me demandais, on retourne-tu les dimanches? Mais Jean-Marc fait ses affaires le dimanche.

Il y a plein des affaires le dimanche puis j'ai l'impression qu'à cette heure, on est tout le temps dimanche. Oui. Oui.

Oui, c'est ça. Fait que, j'ai pas vraiment de plan, c'est juste que je veux faire les meilleures sous-écoutes possibles. Oui n'ai pas vraiment de plan. C'est juste que je veux faire les meilleurs sous-écoutes possibles. Oui.

Mais comme j'ai dit, j'aime mieux aller avec la quantité que la qualité. Et en vous répondant, j'ai vu ça, c'est une affaire que j'avais achetée pour Louis-José, que j'avais perdue. C'est drôle que là, je la retrouve. Oui, oui. J'ai entendu dire ça dans le podcast. Oh my God! C'est merôle que là, je le retrouve. Oui, oui. J'ai entendu dire ça dans le podcast.

Oh my God. C'est merveilleux. Oh my God. T'avais pas fini d'acheter un tapis aussi? Non, c'était lui qui s'était acheté le tapis lui-même. Ah, c'est ça. Tu voulais qu'il mette ce photo-là devant son tapis. C'était malade.

J'ai écouté le podcast qui raconte toute l'histoire de Cosby, toute son histoire en cours, puis comment ils ont réussi à l'avoir. C'est fascinant. C'est fascinant. Ça doit.

C'est la même gang, je pense. Ça, c'est une journaliste d'un journal quelconque de Détroit, je pense. C'est une journaliste d'un journal quelconque de Détroit je pense c'est vraiment bon c'est la même gang qui produit le documentaire sur Epstein qui est bon aussi

c'est la même gang puis là je suis en train d'écouter celui sur R. Kelly je m'abreuve de trous de cul qui m'abreuve de trous de cul qui me mettent les femmes. R. Kelly. J'irais avec

soit une dernière question, on finit ça là. C'est vous autres. Une petite dernière? Il y a bien du monde qui demande à Sébastien, quel est ton jeu vidéo préféré? Est-ce que, Vince, aussi,

tu joues à des jeux vidéo? Oui, mais je ne suis pas autant que Sébastien. Sébastien, c'est une référence. Oui, j'ai des jeux préférés, mais un peu comme tout le monde. Ce n'est pas original. Sébastien, tu es un vrai gamer. Oui, un peu moins depuis

un an ou deux, mais en même temps, je suis quand même à jour avec tout ce qui sort comme Indie Game. En ce moment, Indie Game me plaît beaucoup plus que les gros jeux qui sortent depuis un an ou deux, mais en même temps, je suis quand même à jour avec tout ce qui sort comme indie game. L'indie game me plaît beaucoup plus que les gros jeux en ce moment qui sortent depuis un an ou deux. C'est que si tu écoutes Drop, de tous les temps, le meilleur jeu, ça va être des classiques. A Link to the Past ou Mega Man 2. C'est le genre tout vintage passé sur enfant, Chris, la tête de fan. Non, mais Kid Mickey. Non, mais non, Chris.

C'est un jeu am. Non, mais Kid Mickey. Non, mais non, mais non. Non, Chris. C'est un jeu amusant, mais à peine. Il y a plein de... Il y a un merveilleux plus récent, moi, je conseillerais, Celeste, qui est un plateformeur hallucinant, puis c'est Chris qui m'a bien écrit. Celeste, c'est sur quelle plateforme? C'est un jeu d'ordi? C'est sur tout.

C'est rendu sur tout. Sur Switch, sur PS4, sur Xbox One. C'est un jeu de plateforme qui demande de l'agilité en sacrament. C'est un Megaman, Jughead, Agitée, Prime, c'est un jeu intense. C'est un peu un speedrun de demander de le maîtriser tellement que finalement, tu finis le tableau rapidement.

C'est un même beau jeu, c'est un Undertale que j'ai bien aimé récemment. C'est quoi un platformer? C'est-tu les espèces de petits bonhommes qu'on voit, il y en a plein à l'écran, un peu comme... Non, un platformer? C'est-tu les espèces de petits bonhommes qu'on voit, il y en a plein à l'écran, un peu comme... Non, un platformer, c'est vraiment Mario Bros. C'est un tableau souvent de gauche à droite, où est-ce que... Ah, ok, ok, des side-scrollers.

Oui, qui est souvent axé vraiment sur le saut, sur l'attaque rapide. C'est un jeu de plateforme, avec Rayman, tous les jeux de Sonic 51 aussi. As-tu déjà pensé à twitcher? À twitcher ton gaming? J'ai déjà pensé dans la période

que je jouais beaucoup à Hearthstone, un jeu de cartes. Je t'écris, je t'attache le personnage et je me mets à Twitcher en jouant Hearthstone. Le monde t'a pas très, c'est un Twitch. Oui, j'ai déjà failli, mais le côté gamer, je veux jouer. Surtout si tu joues à un jeu

qui n'a aucune agressivité dans le jeu, mais que toi, t'es en tabarnak! T'es en train de te sacrifier! Ah oui, peut-être que je pourrais jouer aux Sims en cassant des affaires. Chris Dynasant! Chris, pardon-moi, mon cuisine,

mon tabarnak! Casser des verres dans... Minecraft! Minecraft! Minecraft! « C'est une mort de tabarnak! » C'est un peu comme citer les personnages de Minecraft. C'est comme citer Amgrafinian en torse. Minecraft. Minecraft. Minecraft agressif.

Ça me rappelle que jeune, t'étais un gamer que t'allais jusque-là pour des jeux. Amgrafinier pis à casser des manettes. Oui, t'as cassé ma bibliothèque à coups de pied parce que t'as perdu à NHL chez nous. Je m'en rappelle, mais on riait dessus.

Pareil, que tu as défoncé à la demi-midi. Tout en contrôle. Les shows partout, ça va être ça. Moi, sur Twitch, je me graffis au sang pour 50 piastres.

Plus de dons, plus de sang. Je vais te trouver sur le track. Je ne vais pas me gonner en jouant. Moi, je ne vais pas changer vos noms. Il va se bouber sa traque. Ça va mal finir. Je vais changer vos noms. Ça va être Denis Palette et Denis Gall. Denis Galleux.

Je suis plein de cicatrices. Ça demande des bouts de barbe. C'est arrivé, j'ai eu guémin un peu. Joie Mario. Merci beaucoup les gars. C'était un plaisir. D vois Mario. Merci beaucoup, les gars, d'avoir respecté de faire ça. Vraiment, là, puis

merci à Yann. Merci, Yann, tu t'es caché. En tout cas, tu es en train de checker tes textes. Merci à toi. Merci au public. Merci au Patreon d'être resté. Il y en a comme

500-600 qui sont partis. Je vais me rappeler de vous autres. Quand tu te moques, Dieu va sortir de prison. Il va aller vous voir. Bonne chance. La suite, c'est le fun. Ça marche bien. Tant mieux. on vous aime bien. you