Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #119 – (Jay Du Temple et Sam Breton)

Episode Date: June 18, 2017

https://youtu.be/tDwUy9vRjlQ Cette semaine à Sous écoute, un autre jumelé gagnant alors que Mike reçoit Jay Du Temple et Sam Breton qui ont déjà été colocs jadis. Encore un show avec une énergie nucléaire!! ★ Support this podcast on Patreon ★

En direct du Bordel Comédie Club à Montréal, voici Mike Ward sous écoute. Bonsoir tout le monde. Merci. Bienvenue à Macro, tu nous écoutes. Je viens d'avoir un flash. Je suis en train de lire parce que je gosse avec mon téléphone. Hier soir, moi là, depuis quelques années, je buvais de plus en plus et je me disais, va falloir que je slack un peu ma consommation de boissons et la façon j'ai trouvé c'est en fumant du weed fait que là moi j'avais jamais fumé avant j'ai commencé à fumer récemment j'aime ça et mais je le sais j'aimais quand je suis gelé et quand je suis pas gelé et hier j'étais avant un show j'avais fumé un joint. Puis là, j'avais fait « Christ, je sens rien, je sens rien. » Et là, j'avais une question à poser à Michel.

Fait que je sors mon téléphone et je le texte, mais avec ma calculatrice. Puis là... Là, j'ai fait « Ah, je pense que je suis gelé. » Fait que... Là, cette semaine, c'est ça. Comme à chaque semaine, j'ai mes sponsors que je veux plugger avant le début du show.

Airbnb, si tu veux un rabais de 50 piastres pour ton prochain voyage, puis tu n'es pas membre d'Airbnb, va sur mwbnb.ca. Tu vas avoir 50 piastres de rabais pour ton prochain voyage. Si tu achètes des affaires sur Amazon, au lieu d'aller

direct sur Amazon, va sur mwamazon.ca. Moi, je vais avoir un pourcentage des affaires que tu achètes. Ça me permet d'acheter de la boisson avec ça. Je suis comme un sans-abri de luxe. Aussi,

au début, je ploguais mon code Uber parce que, c'est ça, à chaque fois que tu utilises mon code Uber, moi, j'ai un livre gratuit et toi, tu as un livre gratuit, mais là, je suis rendu que j'ai comme 2800 livres en banque. Un moment donné, déjà que je n'ai pas le goût de marcher, mais là, c'est sûr que je marcherai plus jamais de ma vie. Fait qu'au lieu,

je vais donner les codes. Si toi, dans les prochains épisodes, si tu veux que je nomme ton code, envoie-le sur notre page Facebook. On en pige un au hasard par semaine. Et quand les gens utilisent ton code, ça leur donne un livre gratuit à eux, ça donne un livre gratuit à eux,

ça donne un livre gratuit à toi. Le gagnant cette semaine, c'est Gab Dion. Et son code, c'est Ubercafla. Fait que Uber, U-B-E-R, Cafla, K-A-F-L-A-W. Puis c'est ça. Si vous nous envoyez vos codes, faites comme Gab,

prenez un mot. Tu peux choisir ton code. Envoie pas un code avec des chiffres pis des lettres. C'est pas un Chris de Nip. Ton affaire, c'est pour la pub. Fais ça pas compliqué. Gab, merci à Gab, j'ai déjà oublié son nom. Et j'ai oublié

son code aussi, mais... C'est Hubert Cafla, vous allez avoir un livre gratuit de 20 piastres canadiens. Puis lui va avoir 20 piastres canadiens. Si vous êtes aux États-Unis, c'est 15 piastres. Si vous êtes en Europe, c'est 10 euros. C'est pas mal ça. Merci d'être là cette semaine. Je suis vraiment excité. Les deux invités, chacun leur deuxième fois au podcast. Les deux avaient été

très bons. Ils n'ont pas assez proche de faire un autre podcast aujourd'hui ensemble. Je suis content qu'ils ne l'ont pas fait parce que ça aurait été weird qu'ils fassent deux podcasts ensemble le même jour. C'est sûr, j'aurais appelé Montréal PQ

et j'aurais fait « Il y a un nouveau couple qui vient de se former. » J'aurais... Je suis très content de les avoir, les deux. Je vais vous les présenter. Mesdames et messieurs, voici Jay Dutemps et Sam Breton. Salut, Jay. Ça va bien Merci d'être là

Merci de l'invitation, Mickaël Très cool Là, c'est sûr, vous avez pas C'est proche C'est toi qui a fait Carré de sable aujourd'hui. Salut Mike, je l'avais pas dit. Je cherchais le moment de rentrer. Plus j'attends, plus c'est épais.

Vas-y parce qu'on n'en marchera pas. Ça aurait été bon que t'attendes comme 9 minutes dans le milieu, après une heure et demie. Salut. Salut. Là, c'est fait.

Mais oui, on a passé proche. Je pense que Yann veut que tu approches. Tu veux, toi, Gris. Merci, Yann, d'ailleurs, de faire ça pour nous. C'est correct? Toi, t'as passé la fin de semaine à Québec avec ta famille. T'es revenu... Il y a une heure.

C'est excellent. Ça a bien été, c'était bien le fun. l'ai vu à 1h. Tu l'as vu à 1h? C'est excellent. Oui, ça a bien été, c'était bien le fun. C'était-tu cool sur la route? Oui, oui, il y a beaucoup de vibrations, c'est sûr. Moi, je roule sur les bandes rugueuses. À hauteur de Belleuil, pour ceux qui prennent la 20, vous le savez, à hauteur de Belleuil, c'est la catastrophe. C'est le vietnam.com du tabarnak.

Il y a un photo radar pour faire attention. Mais oui, oui, c'était le fun. Le pire, c'est que Québec, on dirait... C'est où, est-ce que Québec 511, tabarnak? Vous m'appelez et je vous le dis. Mais quand vous autres, vous faites beaucoup de route, quand tu commences à faire de l'humour, tu fais Québec-Montréal, tu trouves ça loin.

Puis là, à cette heure, tu fais comme il n'y a rien là, c'est juste deux heures et quart. C'est vraiment... Moi, en plus, je le faisais déjà à cause de la famille. Quand je vais le faire, en star, tu fais comme, il n'y a rien là, c'est juste deux heures et quart. Absolument. C'est vraiment... Oui, vraiment. Moi, en plus, je le faisais déjà à cause de la famille, justement. Quand je vais le faire, des fois, juste pour les shows aller-retour, effectivement, ça me paraît 15 minutes. Tes parents sont-ils rendus à Québec ou sont-ils encore à Laurier Station? Ma mère est à Laurier Station. Mon père est rendu à Drummondville depuis sept huit ans. OK.

Oui, exact. Il voulait se rapprocher de toi? Oui, c'est ça. Il ne veut pas le dire. Quand il était petit, il était petit, il me touchait. Mais sinon... Un gag de pédé! Non, c'est juste qu'à cause de son travail. Mais ça fait bien parce que moi et ma soeur,

on est à Montréal. Mon frère est à Québec. Pour lui, c'est juste parfait. Mais tes parents sont-ils encore ensemble? Non. C'est drôle que tu en parles parce que ça fait 23 ans. C'est ça. Ça tu en parles parce que ça fait 23 ans. Ok. C'est ça. Ça va mieux depuis deux semaines, je comprends des affaires. C'est un peu l'inverse de mon beau Jay. Jay est vraiment la famille parfaite.

Jay et ses parents s'aiment depuis toujours. Moi, ça s'abrace un peu. Ils ont l'air heureux, tes parents, quand on les voit ensemble. Ils ont l'air à s'aimer encore après. Ça fait combien de temps qu'ils sont ensemble? Ils sortent ensemble depuis qu'ils ont 15 ans.

Ils sont rendus à 53. C'est beau, c'est vraiment rare. Absolument. Nicolas, Yvan, Dynamique Joe, ils sont sûrement là, ils sont tout le temps là.

Pour vrai? Ils débarquent à des shows que je ne savais pas. Mon père veut tout le temps venir. Sont-ils là, c'est pour vrai, tu penses? Non, non, non.

OK. Sur Internet, peut-être. Ma mère, elle est sur Instagram. Elle est bien in. Elle doit être sûrement trouvée en live, même si ça n'existe plus. Elle est rendue bien bonne. Mais oui, non, c'est un très, très beau couple.

Ils sont vraiment hot. Des fois, ils se parlent sec, par exemple. Après un bout de temps, des fois, ils se disent des affaires. C'est comme, hé, ça rentre au poste. Mais eux... C'est acceptable. Absolument. Après tant d'années des affaires. J'ai comme « Eh! Ça rentre au poste! » Mais eux... C'est acceptable. Absolument. Après tant d'années, je pense.

C'est ça. Un fuck you bien placé. Un fuck you positif. Oui. Mais depuis qu'ils ont 15 ans, ça fait quasiment 40 ans qu'ils sont ensemble. Absolument. Et tantôt, t'as dit qu'ils ont l'air heureux. Ils le sont.

Ils le sont. Chaque fois qu'on les voit, peu importe où, à leur maison, quand ils viennent, c'est tout le temps. Si tu passes une journée correcte, Nicole et Yvan, ça va te remonter le Canadien. C'est un petit temps. Ils sont vraiment de bonnes femmes. Eux autres, tu penses qu'ils vont aller à Bali?

Quand tu vas animer un coup de passeau en double? Absolument. Écoute, c'est vrai. Ils vont y aller pour vous. J'ai pas acheté mes billets ma mère a déjà les siens ah tabarou qu'est-ce que c'est là

mon père mon père on a un vignoble le domaine Saint-Jacques qui est en vente ici le vin est en vente ici il est très bon je suis payé la commission

prenez-en j'ai faim mais mon père tripse à Nouvelle-Zélande à cause des vignobles là-bas il veut tout le temps faire des voyages par rapport aux vignobles.

Puis ma mère, elle s'en calisse. Ça ne l'étonne pas. Fait que mon père va faire un tour par la Nouvelle-Zélande puis après ça, ils vont venir me voir sûrement deux semaines. OK. Toi, tu vas être là trois mois. Oui.

Puis ça, tu dois y avoir pensé vraiment. Quand ils t'ont offert ce job-là, de trois mois sans faire de show, c'est vraiment long. Oui, ça a été ça le plus gros doute, en fait. Plus que d'être associé

à O.D., je vais t'avouer. Ça a été vraiment... Moi, c'est ça qui me fait le plus triper. Ah, on peut applaudir. Merveilleux. Merci beaucoup.

C'est assez fin. Elle est assez fine. On n'a rien demandé. Elle nous en amène. Regarde. Merci, c'est gentil. Je bois du vin de mes parents.

Hé, je prendrais. Je paye, et l'est gentil. Je bois du vin de mes parents. Je prendrais. Je paye et l'argent va me revenir quand mes parents vont décéder. C'est merveilleux. C'est-tu du vin de tes parents? Oui, c'est le classique blanc. OK. Moi, je prends le Rolling Rock. Santé, santé, messieurs.

Santé. Santé, tout le monde. Je vous écoute. On l'avait pratiqué pourtant avant de mettre ça sur REC. On l'avait pratiqué avec le metteur ensemble.

Moi, c'est ça. J'y ai pensé pas mal. J'ai été de loin la personne la plus surprise dans toute cette histoire-là. C'était-tu insultant de faire... Chris, es-tu devenu le nouveau Sébastien Benoît? Si... Si...

Wow! Non, moi, je l'ai pas vu comme ça. Pas du tout. En fait, je pense juste que ça démontre à quel point... Tu sais, First, il s'est rendu à Bali, il s'est avé. C'est moi qui anime. Fait que déjà, ça démontre que ce sera pas la même affaire que ce que c'était. Il gagne-tu encore une maison de bonne ville?

Il gagne. Il appelle ça, oui, mais c'est un chalet urbain. OK. Bonne ville. Bonne ville. Absolument. Il n'y a plus d'endemain. C'est un chalet urbain.

Mais tu sais, un... Un chalet urbain? Non, dans le coin de Tremblant. Un chalet à 400 000, pareil. Un chalet urbain dans le beau. Oui, c'est ça. Un chalet où il faut que tu enlèves tes souliers et il y a un lave-vaisselle. Ce n'est pas vraiment un chalet. Ils vont revendre un mois plus tard. Ils peuvent et il y a un lave-vaisselle. C'est pas vraiment un chalet.

Ils vont revendre un mois plus tard. Ils peuvent-tu le revendre? Il y a sûrement des clos. Je ne sais pas. Je vais t'avouer, je ne suis pas au courant. Ils vont le revendre. Est-ce que c'est sûr que tu t'es arrangé? Moi, c'est-tu de la vie? Non, mais c'est souvent ça qu'on entendait dans les autres émissions. Souvent, c'est comme après deux mois, évidemment, il y a un petit flop du galop. Absolument.

Après ça, ils essayaient de revendre ce qu'ils avaient gagné. C'est rare que... Il y avait une Absolument. Après ça, il essayait de revendre ce qu'il avait gagné. Il avait une voiture. Il y a-tu encore une voiture? Non, je pense pas. Je dis non, je sais pas, je pense pas. C'est rare que ces couples-là durent. Il doit pas y en avoir d'occupation double

qui sont encore ensemble. Je pense pas. Il y a juste Corneliu. Ouais, Corneliu, ouais. Le mot si les gens étaient alertes aussi. Je vous écoute! Ils sont pas alertes Ils sont pas alertes Ils sont pas là

Mais la gang d'Amour est dans le pré Eux autres sont tous en ça Ça c'est Mais eux aussi Ce qui arrive c'est que l'amour est dans le pré Ben nous autres c'est pas ça Mais l'amour est dans le pré Ils sont vraiment là pour l'amour

Il y a rien d'autre à gagner Ouais non c'est vrai Ouais Non mais C'est parce que Chris À un moment donné C'est un bon point Non mais on vaest parce que Chris En monnaie C'est un bon point Non mais on va se le dire

Chris On s'entend Le pire qui arrive C'est que t'as l'air d'un épais à Bali Mais c'est sûr qu'il pourrait leur donner quelque chose Comme une maison ça serait rien Ils ont déjà leur maison avec la ferme Ils pourraient leur donner 2-3 voyages de balles

Où on t'engage du monde pour monter les balles dans le fanny à l'été. En tout cas, c'est vrai que... Ils sont là pour ça. C'est plus vrai. C'est plus...

Tu sais... Puis là, les auditions ont commencé pour ça? Absolument, oui. On était à Montréal la semaine passée, Québec en fête de semaine

la fête de semaine prochaine. Je ne sais pas quand ça va être diffusé. C'est la dernière fin de semaine de mai jusqu'à la troisième de juin. Il y avait Dave Godette, que je vais avoir sur le podcast, le prochain canto, qui avait dit que

la dernière fois qu'il avait occupé son double, il voulait auditionner pour être un des participants. Triste taverne. Il le fait-tu cette année ou tu le sais pas? J'espère pas. Bali, ça va être des vacances

si Dave est là. Hostie que ça va être lourd. Il est le fun en show, mais dans la loge. Hostie. On fait un live. Je demande à personne. On fait un live. Dave Godet, j'animais la soirée à Gatineau cette année.

Je sais pas si j'ai le droit de m'en créer. On était à Gatineau. Il a pris une substance. C'est sûr qu'il n'a pas juste bu du Red Bull. Tropicana avec pulpe. Ça pogne dans le gargoton. Un mercredi soir, bien tranquille, il fait l'headline,

il est en feu, ça va super bien. On finit le show. Nous, on part après le show, faut revenir à Montréal. Lui, il est couché sur le bord à faire des shooters direct à Bouteille. Et là, on vient dans le char, on met de la radio, et là il est choqué. C'est ça tabarnak, laissez-moi être calé, c'est ça tabarnak. Je suis comme, qu'est-ce qu'il y a Dave? Là Chris, on écoute la radio en s'en venant de Sacrement, on peut pas jaser tabarnak. Je suis ok, de quoi tu veux jaser?

Hey les boys, on brainstorm, on brainstorm. Je suis comme, quoi? On brainstorm » « Les boys, on brainstorm. » Je suis comme « Quoi? » « On brainstorm. » « T'as un anime à faire demain? » « On écrit ton anime. » Je suis comme « Non, Dave, j'ai pas envie que t'écrives mon anime. » « Je prends pas de poudre, ça marchera pas. » En même temps, quoi de mieux qu'un meeting à 1h du matin,

un retour de Gatineau. Sur la 50, c'est très, très fun. Il nous a fait arrêter de pousser 7 fois. À un moment donné, on est sur la route, c'est à 417, il est comme « Bro, est-ce que bro m'a poussé dans mes culottes? » « Sors, arrête un moment donné, on est sur la route, c'est à 417. Il est comme « Bro, bro, m'a poussé dans mes culottes, sors. Arrête ici, arrête sur le bord, bro, m'a poussé. » Je suis comme « Non, Dave, t'es un adulte.

Bro, t'as l'air comme plus capable, même plus capable. Arrête ici, arrête ici. » Je suis comme « Non, je peux pas arrêter sur le bord de l'autoroute, bro. Bro, c'est ma colline, t'as l'air comme « Arrête ici, m'a poussé ici. » Je suis comme « Dave, contrôle-toi, mon Christ, m'a te pété la gueule. » Et là, j'ai l'air fin de même, mais sur le site, je pète des gueules. Fait que finalement, je finis par me pogner une sortie. Éc. » J'ai l'air fin de m'aider, mais sur le site, je pète des gueules. Je finis par me pogner une sortie.

Écoute, j'ai pas arrêté au stop. La porte est ouverte, puis il pisse dans la porte. Et pendant qu'il pisse, il prend le temps de s'allumer une cloque. Tabarnak, le colis. Il est productif. Il se pisse un peu dans mon char, pisse sur la cloque.

« Bro, tabarnak, je suis comme « Décolisz, c'est dégueulasse. Bro, esti, il faut que je pisse, je vois ça. Je sens que ça sert les petites affaires d'un porte en arrière. Qu'est-ce qu'on met là? La pisse, gros. Ben oui. Il botche dans la pisse, ouais, non. Après, c'est...

Mais attends, c'est pas terminé. Après ça, il nous a dit qu'il était malade, qu'il filait pas, pis là, boys, tabarnak, mon broyer. Dites-le pas à personne, je le dis sur Internet. Je peux le dire, c'est pas vrai. En tout cas, il est comme bro. Regarde, ça va pas. Mon broyer, mon broyer, gars.

Arrête avec tes fluides corporels. Ça va pas tout le temps à l'hôpital. Je suis comme, à quel hôpital tu vas? Sainte-Justine, bro. J'suis comme, pas l'hôpital pis les enfants, ça? Ah, y'a un bout pour nous autres. Pour nous autres. Y'a un bout pour nous autres?

Qu'est-ce que ça sonne pédophile, ça? Y'a un bout pour nous autres, c'est le bout de ses poubelles. Regardez, regardez. Pour ceux qui le connaissent pas, il est anglophone en passant. Il ne s'est pas fait enlever les dents de sagesse pour l'anecdote. Il parle de même.

Mais un chic type, ceci dit. Il est fin. Il est fin moins que deux heures. Il t'impose avec le moins de délicatesse possible. Des fois, on était dans le métro. « As-tu une blonde toi Sam? » « Toi? »

« Oui, plein de manches. » « Je ne sais plus trop qui. » « Non, non. » « Parfait, ok. » Ça, c'était son cue. Il part son téléphone, live, dans le métro. C'est à l'heure de pointe. On est tous collés.

Sardines, sardines, sardines. Qu'est-ce que tu faisais dans le métro avec Dave Godin? On revenait de notre patente Udea, il y a 3-4 ans. En tout cas. D'ailleurs, ça c'était très drôle. J'attends pour le meeting UDA. On se connaît pas tous. Tu parles pas trop fort. Dave, il me voit dans le cadre de pod.

« Ah ben, breton! » « Le con, lisse de stibuleur! » « Mais là, tu sais, tu viens mal. Comment ça va, bro? » « T'es tout à mort, d'autant! » Dans le métro, après... « Y'a-tu pissé dans la poubelle, le UDA? » « Y'a chié dans le classeur de la madame Il part dans le métro Pis il part un live Facebook Ça va-tu te mettre mal à l'aise?

Pis il part, pis là il parle à une fille Qui connait pas, lui c'est libéral Le mal à l'aise du diable Finalement c'est moi qui en ai maudé pis pas lui Ouais c'est ça Mais le peu c'est qu'en allant à Gatineau Il y avait Kevin Montreuil avec nous autres aussi.

Oui, c'est ça. En tout cas. Et Kevin s'endort. Et Dave est derrière. Puis il y a Yann Bilodeau qui est en avant avec moi. On écoute la radio, on est tranquille. C'est le bonheur. C'est le bonheur. Et là, Dave dit, « Les gars, on va filmer. On le réveille, tabarnak. »

Comme si c'était la première fois Que quelqu'un faisait ça Pis là j'étais comme non Dave On est bien, arrête Quand Kevin dort, je suis heureux Bro, on le fait tabarnak Non, Dave, on le fait pas Il se met à filmer, tout seul

Montré Tu m'as eu. » « Et ça a été tout? » En même temps, tu le racontes pour la forme, parce que qui n'a pas vu le vidéo? Ah, voilà. Comme dirait Godet,

ça va être viral. Ça va être viral. Ça va être viral. On fait une vidéo virale, bro. Non, non. En tout cas... Ça fait connaître Montré en calvaire. Ça va être viral. On fait une vidéo viral, bro. Non, non. En tout cas. Ça fait connaître mon oeil en calvaire. Ça, hein?

Hé, balaye! Wow! Alors? Asti... Fait que tout ça pour dire que... Asti que j'aimerais ça le voir à Bali. Tout... Avec...

Pour de vrai, toutes les anecdotes, j'écouterais Occupation Double pour la première fois de ma vie. C'est sûr, ça ferait la bonne idée. Aussitôt qu'il rentre en voyage avec les fillotes, j'écouterais Occupation double pour la première fois de ma vie. Aussitôt qu'il rentre en voyage avec les filles, il dirait « Tu peux-tu tenir la valise le temps qu'on rentre? »

Puis le mange la valise, finalement, ça serait sa graine et il rirait très fort à ce moment-là. À tôt et nuit, il réveillerait tout le monde « Bro! T'as une jo! On va dans la maison des filles, on filme! » En effet, ce serait très drôle. Là, c'est comment ça marche.

Je l'ai déjà... J'ai déjà participé à Occupation 2. Dans le temps... Pas en tant que... Avertis-moi, je viens de vivre deux bons temps. Dans le temps que c'était en Espagne, je faisais un show à Barcelone, puis là,

Michel m'avait dit, hey Asti, veux-tu aller faire un show dans la maison d'Occupation double? Je trouvais ça drôle. Puis je suis allé, puis c'était un Asti de setup impressionnant. Ça n'avait pas de sens. Le sous-sol de la maison, c'était comme genre... Il y a des caméras partout.

On dirait, quand tu le regardes à la maison, tu fais comme... Pourquoi ils font ça à la TV? Mais il y a tellement de caméras partout que tout le monde oublie qu'ils sont à la TV. Même moi, j'étais là quatre minutes et j'ai eu le temps d'oublier que j'étais à la TV en quatre minutes.

Imagine dans trois mois, les conneries que je fais. Y'en a même des toilettes. Y'en a dans les toilettes. Mais pas au laboille pis la douche, mais me semble qu'ils vont même jusqu'à en mettre dans les toilettes, comme jusqu'au miroir, pour voir quand les filles se préparent. Ça, je pense, c'était dans Love Story que Guy Cloutier avait un setup.

Ouais, Love Story, j'ignore avec Guy Cloutier. Un autre gag de pédé. Non, mais ils n'ont pas de caméra. D'un toit, tu penses ça? Ils ont des miroirs dans leur chambre.

Moi, c'est ça qui m'avait marqué. J'arrive. Je vois les filles baisser leur robe, se replacer leurs boules. J'étais comme « C'est weird ». Tu étais là? Que je suis là? Que je suis là?

Je suis très content. Tu veux dire que le miroir est comme... Non, il y a une caméra en haut du miroir. Moi, j'arrive et on a 32 caméras. Je vois une des filles qui se replace les boules. en haut du miroir. Fait que là, moi, j'arrive, pis là, ils font... On a 32 caméras, pis là, je vois, genre, une des filles qui se replace les boules, pis je suis comme... Ah, OK.

Pis j'ai... J'ai jamais arrêté de regarder, là. Après ça, il a perdu connaissance. Mais non, mais c'était weird, parce que moi, tu sais, j'ai vu, mettons, deux des filles qui se replaçaient les boules, pis après, je suis rentré sur scène.

Bien, sur scène. Je suis rentré dans la maison les faire rire. Fait que c'était weird de... D'être bandé en faisant des jokes? Non, mais tu sais, de faire... Je fais rire quelqu'un. En plus, je faisais comme... Je leur posais des questions, puis j'étais comme... Oui, j'ai vu tes totons dans cette robe-là

il y a une minute et demie. T'as commencé avec ça. C'est une fois deux connes, j'ai remplacé les têtes. Là, t'es point. Est-ce que tu faisais longtemps? Tu faisais-tu une dernière fois? Je faisais, non, 10 minutes à peu près. 10-12 minutes jusqu'à là-bas.

Je ne veux pas avoir un prix qui se voit agréable. Non, non. Je le faisais gratuit. Moi, j'y allais vraiment gratuit. Juste pour le trip. Sam, il y a plusieurs surnoms pour des seins. Moi, il y en a deux préférés.

Il m'a déjà dit... Il me parle d'une fille et il me dit « T'avais une hostie de père de femme taïlle. » T'as étudié Tu peux te permettre de donner des synonymes Ça pis l'autre c'est des bambili bouchous Ça c'est pour les enfants C'est plus éducatif

C'est ça Des bambili bouchous Des bambili bouchous Ça prend un bac C'est McGill qui m'a donné ça Bambidi Bouchou, ouais. Des Bambidi Bouchou. Ça prend un bac. C'est McGill qui m'a donné ça. T'es-tu allé à McGill? T'as-tu... Non.

OK. Non, non, non. J'aurais pu aller sur le campus, mais avoir... T'avais un gag aussi à l'école de l'humour, Sam. Il y avait un personnage qui s'appelait Sturck. C'était un gars qui sortait de prison.

Son déguisement, c'était un chandail, puis un petit troué, des pantalons, tu sais, Adidas, mais juste deux lignes. À snap. Et il y avait une... C'était pas une perruque, c'était vraiment juste une lanière de cheveux dégueulasses dans la face.

Et il disait, il a pris le métro, j'ai sorti à la station MC Gilles. C'est beau pareil, Toronto. Quand on a fait le club sourdain, l'école de l'humour, il l'a fait au club sourdain une fois. Il dit à Yannick Lessier, le gars de son, il rentrait sur du Metallica et il dit, t'arrêteras à Tounes, le cue pour arrêter à Tounes, c'est quand je crache à terre.

Le meilleur moment de ma vie. J'ai dit ça une fois dans ma vie. Je fais encore la face de Yannick. « C'est quand j'arrête la musique, c'est ça. Quand je crache à terre. » C'est le col de l'humour. Le public, c'était en 1977. Il y avait deux madames en avant ce soir-là.

Deux madames d'un certain âge. « Est-tu loin, nous autres y a un escracha sur le stage, j'avais dit, si ça, c'est à ta coeur, attends le reste, la gueule là. Une soixantaine d'années, il venait voir sûrement

quelqu'un dans la cour, je sais pas qui. Louise. Oui, il venait voir Louise. Ça, c'est parce que c'est Luc Senné qui faisait

avec Luc Senné. C'est ça, Senné est incroyable. Luc, je ne l'ai jamais rencontré. C'est pas vrai. Non, jamais rencontré. C'est pas vrai. Tu n'as jamais rencontré Luc Senné. J'ai jamais rencontré. Ce n'est pas vrai. Non, jamais rencontré. Ce n'est pas vrai.

Tu n'as jamais rencontré Luc Sonnet. Jamais rencontré. Où que j'aurais rencontré Luc Sonnet? Bien, je ne sais pas. Travail, berricane, il donne l'étiquette sur le coin. Les deux, après deux verres, vous avez le même teint rouge écarlate. Mais il n'est pas vrai. Luc, il est drôle.

Non, mais tu sais, Luc... Il est vraiment fin Mais Luc, Colin, il a fait la split pendant longtemps Il marchait, il avait toujours l'air de débarquer dans les rodéos Et il aime ça, les jokes vulgaires Il trouve ça très drôle Il enlève ses petites lunettes de Fred Pellerin Il rit comme ça À côté de sa bédaine,flée. Il rit de même,

bien rouge comme le demain. En plus, cette session-là, je faisais un personnage comme il vient de le dire, très vulgaire. À chaque vendredi, on était dans le moment où on perfectionne le numéro pour le spectacle qui s'en vient. Là, Luc, le lundi, on le rencontre pour le vendredi. Il m'avait dit,

« Peux-tu me le faire vraiment le plus vulgaire que tu peux, que-tu me le faire vraiment le plus vulgaire que tu peux, que tu penses pouvoir faire, un personnage vulgaire? » Mais dire ça, ça me retombe. C'est comme demander à Dave Godet « Sois le plus lourd possible. » Il est capable. Ce vendredi-là, le vendredi commencé, au même moment que ça cogne à la porte, c'était le père de David Beaucage. On l'a dit au podcast, il vivait en Arabie Saoudite. Il était au Québec pour un court moment.

Il vient voir son fils. En plus, c'est le père à Dave. Il a un doctorat de Cambridge. C'est un vrai de vrai. Il vient voir son fils à l'école nationale de l'humour. Moi, j'ouvre la porte. Je ne le reconnais plus. Bonjour, M. Gauvreau. Je prends son manteau.

15 minutes après, je passais. Je vais me changer. Lui, il voit le gars. Sam est poli, ça n'a pas de sens. Je le vois bien à vous, veuillez vous asseoir. Il en met un peu trop, mais juste parfait. Il enlève le manteau, il sire les chaussures. La grosse affaire.

Une petite pipe sur le sac, ses couilles me cognaient. Tu vois, Sam, c'est ça. Il commence poli, puis à un moment donné, « Oh, Chris, il me parle de manger des culs. » « On ne voit pas venir. » Puis là, 15 minutes plus tard, j'arrive avec Sterk. Je me souviens encore de ses yeux

et je finissais le vendredi où Luxoné m'avait demandé... Je finissais mon numéro où j'encule ma mère en criant « Je t'aime! Je t'aime! Je t'aime! Il avait la même énergie dans la classe. Et là, le cours finit. C'était drôle, ce numéro-là. Il disait des phrases comme moi, il y a encore un gag qui m'a marqué à vie.

Il disait... Il parlait d'avoir le flux. Pour ceux qui ne savent pas c'est quoi quand t'as le flux, le flux, c'est quand ton cul pisse de la marde. C'était raffiné. Ah, voyons, c'était raffiné. C'était là, tu vois. Sors de chez vous, Chris. Pis le père à Dave, qui est un fan de ça.

Ah non, à lui, je le voyais dans ses yeux, comme diantre. Tu comprends? Et là, le confiné, je vais me changer. Pis là, je vois au loin Luc avec dave son père j'ai le temps d'entendre luc dire à son père avec un petit regard complice un petit coup de coude au paradis et le dernier assez bon et la face du paradis de gamme je sors mon enfant si Ah non, c'était... Il m'en parle encore. Je me souviens, il m'en avait parlé. Écoute, ça, c'est des anecdotes. Qu'est-ce qui serait drôle,

ce serait y envoyer, vu qu'il est encore en Arabie saoudite... Il est rendu à Paris. Il est rendu à Paris, mais tu y envoies un poster de toi en train de mimer que t'encules ta mère pour faire comme si c'est ça ton show d'un heure et demie, tu sais.

Comme les vieilles cartes d'hockey que quand tu bouges, ça fait le mouvement. Quand tu grattes, tu fais dit, dit, dit, dit, dit, dit, dit. Je suis sûr qu'il aimerait ça en plus. Arstal, maintenant, il me connaît. Là, il comprend un peu plus l'univers

de c'était vraiment exagéré. Mais ce vendredi-là... Mais Sam, autant, c'est le gars le plus poli et gentil que je connaisse. Autant, tu veux le voir. Quand il fait les shows 3X, mettons, dans des événements spéciaux, c'est le meilleur le plus poli et gentil que je connaisse, autant, tu veux le voir, quand il fait les shows 3X, mettons, dans des événements spéciaux, c'est le meilleur. Il n'y a pas de sens. Dans les shows 3X, il a déjà fait...

J'ai ma couleur, c'est tout. Je ne suis pas le meilleur. J'ai ma couleur, t'aimes ou t'aimes pas. Là, cet été, tu fais... C'est ton premier galage de sport que tu vas faire. Way to go! Merci à tout le monde. Je vous écoute! Il fait Sturck.

Je close le show avec Sturck. Ça serait hâte que tu closes. Là, tu cries que tu viens, il y a un black, puis tout le monde... Je mange une chaudière de lait dans la boule. C'est deux petites madames en avant pis le luxonné

qui fait un petit dernier de bon avec sa face non moi c'est quel gala tu fais? le gala stand up ok

ouais exact ça va être bien le fun le 21 juillet suis-tu t'es-tu stressé de faire un gala ou non? non mais moi je suis toujours fébrile.

C'est le mot fébrilité que j'emploie. J'ai toujours hâte. Tu as fait des galops à Québec, par exemple? Non, pas en tout. Non, à Québec, je n'ai pas. Non, au Québec, j'ouvre la bouche et c'est comme... Oh, des cris. Québec, tu n'aimes pas?

Je ne sais pas. Non, non, non. Ça connecte moins, on dirait. Tu devrais jouer la carte du gars local. Moi, dans le temps, pour les médias à Québec, dans le temps, j'avais des belles critiques à Montréal. Québec ne m'aimait pas. Chaque fois que j'allais à Québec, je disais tout le temps,

moi, je suis un gars de Québec. Le monde de Québec, quand tu dis que tu es un gars de Québec, ils sont bandés et ils t'aiment. Là, en star, je pourrais... Je peux faire n'importe quoi, pis à Québec, j'ai des belles critiques. Fait que tu devrais faire ça. Je viens de Québec. J'ai un truc pour vrai, Chris, t'en as un.

Foc, là. Tu vois, moi, je fais un gala à Québec cette année, pis... Ouais! Mais... Tout ça est tellement... Le processus pour faire des galas, je sais pas si vous êtes au courant, mais il faut que tu envoies un texte,

puis là, ils lisent, puis ils disent oui ou non, puis des auditions. Moi, ça fait deux ans que je n'ai même pas d'audition et à Montréal et à Québec. Cette année, j'ai fait, j'enverrai juste pas de texte nulle part. Puis je fais un show à Zoufès qui s'appelle Not Gala, mais N-O-T, comme Not Gala.

Je suis bilingue. Not, ça veut dire non. C'est un gars de Québec, je ne comprends pas l'anglais. Et finalement, c'est Phil Roy qui m'a dit « Chris, tu n'as rien envoyé pour mon gala? » Je ne savais pas que tu faisais un gala à moins de 35 ans. Finalement, j'ai passé une audition ici.

Sur le terrain des affaires, c'est un peu roulementé. Ça dépend des années. Je ne comprends pas l'affaire. Ça, c'est devenu une mode il y a une couple d'années d'envoyer des textes. Envoyer des textes, ça aide le monde qui font du liner. Mais mettons, tu sais, un Frankie, tu lis le numéro d'audition de Frankie, ça l'aide au bout. Mais quelqu'un qui ne fait pas du liner, il faut voir la personne sur scène pour déterminer son bon nom.

C'est aussi de te vendre à chaque année à ces gens-là. En plus, au fil du temps, tu apprends qu'il y a eux autres. Finalement, il y en a quatre autres en haut d'eux autres qui vont décider qui va faire les gars-là. Mais c'est aussi ça. Moi, personnellement, c'est l'inverse de Frankie. J'ai eu un autre CV pendant une seconde. C'est revenu. C'est revenu.

Les filles sont reconnectées. Moi, vu que je suis plus raconteur, il y a plusieurs affaires. C'est comme, il faut vraiment que tu le vois. Au début, ça m'aidait moins. En plus, tes textes, qu'est-ce qui est mauvais? Tu sais, si... Tu peux pas mettre en parenthèse,

« Hey, là... » Moi-même, le marquer, je m'haïssais. Là, tu fais quasiment le goût de marquer « Là, ça rit, tabac! » T'es ridu? Moi, c'est ça que je me demande tout le temps. Tu sais, mettons, s'il y a une action, puis tu envoies ton texte à quelqu'un, je sais jamais si tu mets, entre parenthèses,

« Je m'en vais faire telle affaire », ou tu marques « Sam bouge ». Tu sais, là, je sais pas si... À la troisième personne. À chaque fois... Non, je le marquais au jeu, quand il y avait des petites affaires de même. Mais j'en marquais pas trop, parce que je me... On dirait que ça l'aidait pas, le fait que je marquais au jeu quand il y avait des petites affaires de même. Mais je n'en marquais pas trop.

On dirait que ça ne l'aidait pas, le fait que je marque ça. J'étais comme, mais Chris, fais juste me voir une fois. À un moment donné, c'est ça. J'ai fait des auditions. Rapidement, la roue s'est mise à tourner. Il y a de plus en plus d'empassés aussi. Cette année, ça a été l'envoi officiel.

Puis là, c'est ça que tu disais en haut avant le show. Ton 90 minutes l'année prochaine, tu le fais 75 fois? là, c'est ça, tu disais en haut, avant le show, ton 90 minutes l'année prochaine, tu le fais 75 fois? Oui, c'est ça. Là, cette année, on va le faire 45 fois à peu près. Puis tu te promènes partout, pas juste dans le coin de Québec ou de Montréal. C'est où le spot le plus loin que tu vas aller? Ça va sûrement être… Tu vas-tu aller à Saint-Pierre?

Je vais sûrement y aller. Oui, c'est ça, c'est comme l'espèce de rosec, si on veut. Gaspésie, Côte-Nord, tout ça. Mais je pense que ça va être là. Ces dates-là ne sont pas encore officialisées, à moins qu'il le soit à l'heure où on se parle. Sambraton.com pour des questions et autres interrogations. Merci beaucoup.

Mais sinon, ça va être sûrement là. Toi, t'as-tu fait ton mini-tour? T'es-tu allé à Havre-Saint-Pierre? Non. Je m'en vais aux îles de la Madeleine début juillet. Mais dans le fond,

non, je me suis rendu, je suis allé à Baie-Comeau. OK. Puis tu vois, Havre-Saint-Pierre puis Sept-Îles nous ont appelés. Mais moi,

ce qui est arrivé, en fait, c'est que tout ça, c'était pas prévu. Dans le fond, j'ai commencé avec le Club Soda à ma fête

l'année passée en septembre. Puis là, ça s'est foulé. C'était comme pas prévu. Donc là, j'ai fait, ah, je pourrais... Tu sais quoi qui était prévu?

Être de 28 personnes. De faire excuser. 20 cents. Je ne l'ai pas quand même. Finalement, quand j'ai vu que ça marchait, tout le monde m'a dit « Qu'est-ce que tu vas faire après? Tu le refais-tu? » C'est là que j'ai fait « Ah non, je pense que je vais le faire.

Je vais me pratiquer à faire une heure et demie. » C'était la première fois de ma vie que je faisais une heure et demie. J'ai booké huit shows dans les huit villes où j'avais joué le plus. Finalement, ça s'est foulé. On est rendu à 17 dates, je pense. Mais c'était pas prévu. Ça finissait en mai. Moi, j'ai déjà booké le Métropolis en septembre.

J'étais comme « Fuck, je peux pas ajouter des dates à Montréal avant ça. Il faut que je le foule. » C'est quelle date au Métropolis? Le 8. Le 8 septembre. C'est mon promoteur, samreton.com. On est trop f fier, les boys. T'as-tu déjà joué au Metropolis? Jamais.

C'est vraiment le fun. C'est vraiment le fun, je trouve. Moi, je trouve que t'as un feeling de rockstar là-bas que t'as même pas au Centre Bell vu que le Centre Bell, c'est tellement gros, c'est ridicule. Tandis que le Metropolis,

c'est assez grand, mais c'est assez petit que l'humour marche pareil. C'est ça, mais je trouve que c'est tellement gros c'est ridicule c'est tandis que le métropolis c'est assez grand mais ça c'est petit que le mot marche pareil c'est ça mais je trouve c'est moi c'est ma salle c'est la salle où je suis allé voir le plus de show en fait beaucoup de musique mais aussi du stand up américain surtout j'ai fait et tout le monde me disait voir l'olympia mais je suis comme tout le monde fait l'olympia puis j'avais vraiment le goût de faire le métropolis fait que c'est là je sais pas mais puis après ça dans le fond quand j'ai vu que ça marchait juste ajouter des dates mais finalement je me suis rendu compte que ben c'est le choix mais puis après ça mais dans le fond quand j'ai vu que ça marchait juste ajouter des dates de l'homme et finalement je me suis rendu compte que ben c'est le rodage de mon premier show facti le

mini tour moyen tour c'est tout la même affaire c'est même chose c'est juste que le moyen tour c'est plus adapté plus par tous à l'eau pas nécessairement je me promets de tige dont je fais le métropolis mais après ça je reviens au lyon d'or je fais le petit champlain québec comme ça je joue aussi pas tant au niveau de la grosseur de la salle nécessairement même si maintenant tu pourrais la rampe moi je convaincu mais des fois c'est le fun aussi de jouer dans des places comme ici de la grosseur de la salle nécessairement, même si tu pourrais la remplir, je suis convaincu. Mais des fois, c'est le fun aussi de jouer dans des places comme ici ce soir où on est 100. Des fois, de faire des salles où c'est comme 900 ou 1000.

C'est de se pratiquer dans les deux aussi. Parce que tout ça est nouveau aussi. La vibe ne sera pas la même au Métropolis qu'au Lyon d'or. C'est de faire un peu les deux. Moi, c'est un enfant qui me faisait capoter. Les premières années, je faisais des shows en anglais. Les Américains, souvent, ils vont jouer juste dans les petits clubs.

Ils ont 20 ans d'expérience. Ils jouent 500 fois par année. Mais leur premier gala, c'est la première fois qu'ils jouent dans une salle de plus de 200 personnes. C'est vraiment une autre fête. Il y en a qui le sait, c'est toi. C'est incroyable la différence.

Évidemment, on commence à faire de plus grandes salles, mais on est habitué à jouer plus dans les bars ou quoi que ce soit. Il y avait, moi, un conseil que quelqu'un m'avait donné. Je n'ai vraiment pas fini ma phrase, Mike. Ce n'est pas grave. Quand tu auras sa notoriété, tu vas me retailler. Oui, c'est ça. Continue, Mike.

C'est quoi la plus grande salle que tu as faite? Non, je boude. Je comprends pourquoi Québec, t'as beaucoup pas. Non, j'allais juste enchaîner en disant que, comme la tournée qu'on a faite avec Mathieu Pepper et Maud Landry, avec Patrick Gros du mois de janvier à mars, on a juste fait ça des grandes salles.

Lui, il est habitué, tout ça. Je pense que c'est la salle Albert Rousseau. Non, c'est la salle Maurice O'Brady à Sherbrooke. OK. C'est 1600, oui. Mais c'est la salle Maurice O'Brady à Sherbrooke. C'est 1600. Mais c'est vraiment une autre vibe. Ça n'a aucun rapport. J'ai l'impression, par exemple,

que, demande le conseil, je vais te donner, il ne marchera pas. La salle à Sherbrooke est plus petite que la Place des Arts, mais elle paraît plus grosse que Place des Arts. Pour une raison, c'est weird. As-tu déjà fait de cette grosse salle-là à Sherbrooke? Non, avec Adib, je sais pas si on l'a faite.

Je sais pas si c'était celle-là. Je pense pas. Parce que c'est énorme. T'en souviendrais, je pense, dans les grosses. C'est énorme. Ah ouais? Grosse en crise, gros. Tu fais...

Non, mais, tu sais, tu fais... Asti, c'est bien... Combien de personnes rentrent ici? Puis tu t'attends qu'ils vont dire 4000, puis c'est 1600. Quand tu arrives à Place-des-Ors, tu te dis, ils rentrent quoi ici? 1200? Ils disent non, ils rentrent 4000.

Je pense qu'elle est moins bien faite dans Sherbrooke. On revient après la pause. Dans Sherbrooke, tabarnak! Ça mène, Manon, la cuisine, le blâne. Ça va tout en faire. Le balcon en bas, le parterre en haut. Tu vois, il y a l'air comme 20 000 personnes.

Oh! Alors? Ah non, non, non, vraiment pas. Je salue ton soutien, si vous écoutent. Encouragez-le pas. Oui, c'est ça. Là, quel numéro tu fais dans le gala Pat'Gro? Fais-le-là. Ok, ok.

Je ne sais pas pourquoi j'allais dire quatre phrases en même temps. Avec mes dents, il faut que tu me pardonnes. C'est juste un ramassé. Moi, je suis plus raconteur, mais j'ai quand même des liners. J'aime ça quand je commence mon show, surtout quand la plupart des gens ne me connaissent pas. J'ai plein de lignes que j'avais toutes ramassées en 6-7 minutes. C'est ça que j'ai présenté. Ça a très bien été.

Son numéro de tournée de l'École de l'Humour, ça ressemblait à ça. Ce n'est pas ces gags-là, mais c'était des liners. Des 5-7 minutes, c'est tough en crise pour un raconteur, souvent. Mais Sam est efficace en tabarnak. Ça fait combien de temps que vous êtes sortis de l'école? 2013. On était dans le même casier à l'école nationale de l'humour. Le casier 17.

Absolument. Y'a-tu des casiers à l'école de l'humour? Oui, y'a des casiers. Pourquoi? Mais, pourquoi? Ça, je l'ai pas eu, ça. On s'en va dans la maison de l'amour, d'abord. On va se crosser en X!

Mais oui, y' a des casiers. Est-ce que vous partagez un casier, pour de vrai? Pour vrai. Tout ça, c'est vrai, Mike. Pourquoi qu'il y ait... On t'en compte pas de la merde, Mike. Si ils font des casiers, pourquoi qu'ils en font pas plus? Ou des plus petits? C'est weird de faire...

On fait des casiers, mais mettez tout dans le même. Surtout qu'il y a pas de cahier à l'école de l'humour. C'est weird. On fait des casiers, mais mettez tout dans le même. Surtout qu'il n'y a pas de cahier à l'école de l'humour. C'est ridicule. Il n'y a pas de discipline. Il n'y a pas de prof. Il y a juste Luc qui nous demande de faire des jokes de cul. Mais il pourrait mettre des clous.

C'est pour mettre ton manteau. On est rentrés à l'école de l'humour. On est rentrés en 2011. Sam avait déjà un site internet, une page Facebook. Il avait des photos de casting et tout avec une cravate.

On fait tous des erreurs. Il avait une photo. Il avait une photo. C'était un lettre en anglais. C'était des... Ah ouais. C'était un...

Il avait un petit concept où sa cravate était à l'horizon. Ta cravate était bandée, c'était-tu ça? Elle était bandée, oui, c'est ça. Parce qu'elle disait, le pénis, c'est vulgaire. Yann, peux-tu googler et trouver ça? Je pense pas que tu vas trouver ça, Yann.

Mais ça se peut. C'est sûr qu'on trouve ça. Et Sam est rentré, puis vous l'avez vu, il est drôle en esti. Pourquoi t'avais ça? Tu faisais des shows. Moi, je faisais déjà un peu de ça. Moi, je faisais des corpos, puis tout ça. Je faisais même une couple de 15 secondes. Je me faisais rappeler. T'imagines qu'il y a Pourquoi tu faisais ça? Tu faisais des shows? Moi, je faisais déjà, je vivais déjà un peu de ça. Moi, je faisais des corpos et tout ça.

Je faisais même une couple d'écoles secondaires. Je me faisais rappeler. T'imagines qu'il y a une cravate bandée, ça marchait souvent. On n'a jamais vu ça. Il rêve, il vente.

Ça tient. Il a l'air pédo. OK, bon, parfait. Il est rendu à trois. À trois. On va se rendre à huit, certain. C'est ça, je faisais des corpos.

Mais souvent, ce qui arrive, c'est que nous autres, on le sait, que c'est l'être en calice sait que c'est lettre en calice. Mais quelqu'un qui travaille dans un bureau de comptable associé... Non, non, il n'y a pas d'excuse, c'est lettre. Non, non, c'est vrai. Eux autres, ils ne connaissent rien dedans,

de ce qui est in ou pas d'un artiste. Eux autres, ils font comme le jeune, il a un site, il a des belles photos. C'est-tu beau ou pas beau, son clé, les photos, il doit être bon. Fait qu'il m'engageait. Il n'y avait aucune opinion. Ils sont trop dans leur chiffre, dans leur paperasse. J'aime ton mépris pour le monde!

C'est le plus concrétiste! Moi, pour vrai, tous les comptables du Québec, c'est dans un champ, deux balles dans le nuque. Ça, ouais, décolle ici, hostie! On a une calculatrice sur nos iPhones, hostie! Décolle ici, du site, hostie! Moi, je dis ce joke-là, vous me huez Sam ça part

C'est moi qui ai l'air J'ai le droit C'est ça C'est vrai celle-là aussi Je pouvais pas la dire Mais ça me tentait Mais Sam est arrivé Pis tu sais

Les cas de l'humour Ben tu sais ce que c'est C'est toutes les comiques Tout le monde est drôle Et Sam était Pis souvent Y'en a qui essayent Beaucoup

Ils veulent donc Dire des jokes Et Sam Est arrivé avec un naturel il torchait tout le monde il était drôle extrêmement drôle je veux que tu viennes à Bali avec moi j'ai une vie là tout seul

comment se quitte c'est ça il était tellement drôle je trippais sur lui j'étais vraiment un fan quand le prof nous a dit il va falloir que vous trouviez quelqu'un pour votre casier Et c'est ça. Il était tellement drôle. Je trippais sur lui, bien raide. J'étais vraiment un fan déjà. Et là, quand le prof nous a dit « Ouais, il va falloir

que vous trouviez quelqu'un pour votre casier. » Moi, comme... Tu sais, au cégep, les gars au cégep, en philo, il faut que tu fasses ton travail d'équipe,

tu spots la plus belle fille du cours, tu es comme « J'aimerais donc ça. » Lui, il sait de quoi je parle en sacrement, il est avec elle. Et là, Sam est venu me voir. Il est comme « Hey,

veux-tu qu'on soit dans le même casier? » Je suis comme « Tabarnan, la chick se trippe sur moi. » La chick, on s'entend depuis quelques temps, les rôles se sont inversés. Ah, ok. On va-tu fermer les caméras

si on se mange les amidans, tabarnan? En tournée, on était co-chambreurs. Sam, c'est un gars qui... La vie n'est pas facile pour Sam. Il y a des tocs. À un moment donné, on s'assoit à l'école de l'humour. C'est des grandes tables, deux par deux. On s'assoit et il met sa pomme verte sur la table. Et moi, ça me fait rire

de juste prendre la pomme et prendre une grosse croque. Ça me fait rire. Et je prends ça en me disant... Il va voir comme ça. Sam. Non, non, non! Pourquoi? En tabarnak. Moi, je pense qu'il niaise.

Chris! J'attendais qu'elle soit tablette. Il la trouvait trop froide. Tu sais comment c'est quand tu croques dans le coin de foi, gazer les palettes, il va geler jusqu'au cerveau. Et là, il n'est pas choqué en dans le coin de foi, gazer les palettes, sacrement, il va geler jusqu'au cerveau. Ah ouais, c'est ça. Et là, mais il est pas choqué,

en joke, il est en tabarnak. Connisse! Et là, je suis comme, mais c'est pas grave, attends. Non, c'est ça, elle va brunir. Ça brunit, ça brunit. Et là, il mange sa pomme. C'est Carla qui me l'a dit. Il mange sa pomme en sacrement, frette,

à côté de moi. Connisse de tabarnak. OK, s'il vous plaît, s'il vous plaît. On revient dans les rangs. Sam, il aime pas se faire toucher aussi. Sam, là, il se laisse aller parce que vous êtes là. Non, c'est pas vrai. J'ai changé. T'as changé? J'ai changé.

OK, bon, alors... C'est dégueulasse. C'est pire que ma cravate qu'on fait, Corlisse. On va animer L'amour est dans le pré, finalement. On dit que l'amour est dans le pré. Et je la connais pas. Non, mais parce que moi, j'avais tout dans cette robe. Vas-y, suis-moi, t'as pas fini, vas-y. On dormait souvent dans le même lit, parce que...

Batacu! Ça veut dire en cuillère. Je vous écoute, Carlis, wake up, bout de crissé. Ah, c'est dimanche, c'est moi, Batacu. T'as beau et dimanche, batta cul. Mais moi, ça me fait rire de me réveiller comme 15 secondes avant lui, pis de le regarder de très près pour que quand il ouvre les yeux, il ait peur, il venait en tabarnak.

T'es calice! Cela dit, ça ne durait jamais longtemps. Non, mais c'est parce que l'affaire de la pomme, Mike, c'est ça que j'explique. C'est que, non, mais attends. C'est parce que... C'est meilleur une pomme tiède. Chris, j'ai vu ça avec Mike Ward, une pomme tiède.

Mike Ward a dit pomme tiède. C'est hot en Chris, ça. Mike, je pensais jamais que t'allais me dire c'est meilleur une pomme tiède. Je dis que c'est hot, tabarnak. C'est pour ça que je suis mis au monde, moi, Chris. C'est meilleur une pomme tiède, Mike Ward. Non, ouais, testostérone dans le cul. C'est parce que, moi, c'est rare que je mangeais des fruits.

Tu sais, quand t'as une bonne journée, genre, t'es malade, là, tu sais, quand t'es malade, tu te vois mieux, tu te dis, là, ma vie va changer. Ben non, Chris, d'accord. Et là, je m'étais emporté... Tu sais, j'avais tout un set-up depuis le... J'avais acheté la veille, puis j'avais tout un set-up. T'as vu comment c'est compliqué, ma vie va changer. » Ben non, Christ de cœur. Et là, je m'étais emporté... Tu sais, j'avais tout un set-up. Je l'avais acheté la veille, puis j'avais tout un set-up. T'as vu comment c'est compliqué, la vie?

Pourquoi t'étais froid de même si ça faisait deux jours qu'elle était dans ton sac? Non, non, non. Moi, j'avais sorti de mon frigidaire. Elle était dans mon frigidaire. Parce que mon coloc, anciennement, il l'avait mis dans le frigidaire.

Puis là, déjà, il fait « Oh! » Avertis-moi, avertis-moi. Quand tu fais ça, là... Mais ça... J'ai quand même des affaires. Moi, j'ai Rémien, mon petit loup. Et là, j'avais pris ma pomme, je suis allé à l'école, on arrive dans le couple,

je me suis dit, j'attends peut-être un 45, je vais être content, je vais en manger ma pomme. Et là, qui ne vient pas gâcher ça? Dracula en personne. Claude, il mord dans ma pomme. Sam, c'est Judas. Non, mais il est fou. La première fois que je rentre chez eux,

l'été, il y a l'air-clim dans sa chambre. Sam, tu sais, il y a des règles, ça n'a pas de crise de sens. L'air-clim dans sa chambre, il est comme, « Tu veux-tu des WePets? » Je suis comme, « OK. » Il s'en va dans sa chambre. Je suis comme, « Si tu fais. » « Ah, mes WePets sont sur mon air-clim, mais je les aime quand ils sont frais. »

J'arrive dans la chambre, à côté de l'air-clim, les WePets, pis son corps est de beurre. Ouais. S'il vous plaît! Écoute! Il mangeait, à l'école de l'humour,

dans le temps, il est slim, il s'entraîne tout à l'heure. À l'école de l'humour, il y a le Prince d'Orient qui est le resto en bas. C'est dégueulasse. Une poutine,

45 piastres, pis elle est pas bonne. Et Sam prenait tout le temps une poutine, poivre. Mais écoute, tu voyais plus la sauce. Noir, écoute, il prenait 17 sachets. Bien parfait, bien correct. En sachant en plus.

En ligné. Après ça, ça avait l'air dégueulasse. Il prenait une barre Mirage puis un Gatorade rouge tout le temps. Toujours. La santé, c'est pas trop de sucre. C'est parfait. Mais il faut dire, Attention, je reviens. On recule de deux pages dans l'histoire.

C'est que la fête... Parce que le beurre, deux fois, je me faisais avoir. Tu sais, là, vous savez, les appart à Montréal, avec le smog, il fait 58 ici. Puis moi, je vivais dans un troisième.

Faisais deux fois, je parlais des livres de beurre. Ils étaient moisis. Je me rendais compte qu'ils moisissaient tellement ils faisaient chaud. Il y avait du moumou. Fait que là, moi, j'ai dit tabarnak, tabarnak.

Moi, je veux rentabiliser, ce que j'achète. Et là, je dis, je vais le mettre dans ma chambre climatisée. Et moi elle a dit j'aime les whippets frais. C'est pas frais. Tu veux les frais? Ils sont plus chers. T'avais-tu une blonde dans le temps? Je te laisse répondre la question, Carlis. Non mais parce que, tu sais, quand tu ramènes une fille chez vous, pis la première chose qu'elle voit, c'est du beurre à côté de ton lit. Elle est comme « ok, shit! » Lui, c'est un hostie de fucker. Il met sa truc de « sterk » pis il fait « shit! »

Ça va finir d'orgueux avec des pichonottes sur la nuque. C'est comme ça que j'ai séduit ma blonde actuelle. On la salue. Pis les whippets, parce qu'il y en a qui les mangent au frigidaire, pis j'en connais même qui en mangent au congélateur. Moi, j'aime encore tablettes au niveau de la... Je ne sais pas, une Granny Smith, le code 4139, j'ai travaillé dans un métro. Et c'était... Des trucs, est-ce que...

Les whippets, je les voulais comme tablettes. Dans ma chambre, elles étaient tablettes. Si j'avais voulu les avoir froides, je les aurais mis au frigidaire. Ça te prendrait un petit cellier. Faudrait que tu te jettes un cellier pour tes whippets. Parce qu'il faut quand même qu'ils concordent, ça, tu sais, avec mes dents. Tu mets le vin blanc en haut, le vin rouge en bas, pis les whippets dans le milieu. C'est des whippets forêts noirs, ils sont excellents, je vous les recommande, à peu près 4 degrés. Quand tu mords dedans, le son, caclard,

« Hostie, prends-moi ton caclard! » Mais là, j'en prends plus. Je prends plus rien de ça maintenant que je m'en viens. Mais Sam, c'est blanc ou c'est noir, il y a aucun milieu. À un moment donné, il buvait du lait au chocolat, une maladie mentale. Il buvait plus de lait au chocolat que tout ce que tu bois d'alcool,

Mike, c'est pas pour dire. À un moment donné, lui, c'était le quick. Il mettait la petite poudre. Et là, écoute, c'était une technique. Il mettait le lait à une certaine hauteur dans le verre. Le quick.

Tu mets du lait lentement. Il fallait pas qu'il prenait une gorgée avant que ça arrête de tourner. Parce que ça goûte mieux, je sais pas. C'était un fou, esti. Avec le temps, les événements se précipitent de fil en aiguille. J'ai réalisé que quand je le brassais,

tu le mets à peu près 5 minutes au congélateur. Le verre vient... Le jugement, c'est énorme, esti. On brainstorm Tu le mets 5 minutes au congélateur Et quand tu le prends Le verre froid alimentait Le contenant alimentait le contenu

Christmas moi et les affaires C'était l'enfer Et cela dit le lait au chocolat est beaucoup plus goûteux Avant de prendre des biscuits au lait Tu prends des biscuits feuilles d'érable C'est froid pour tous C'estble. Il y a des techniques pour tout. C'est un malade mental. Je le dis pour vrai parce que je sais qu'il y en a qui vont le faire.

C'est important de le dire. Feuilles d'érable au chocolat. Le chocolat, c'est fou à 8. Merci beaucoup. Ça mérite une clap. Merci. J'en vois plus. J'en buvais. Quand j'ai rencontré ma blonde, elle me dit... Moi, j'en prenais à peu près 6 par jour. 6 laits au chocolat?

Ça peut aider les gens à la maison. Mike, je te le dis, à peu près ça de poudre, comme j'ai de la bière. Je te le dis, c'était énorme. La moitié de ça, c'était dégueulasse. Moi, à la fin, ça finissait pas en sable granuleux dans mes palettes. J'étais un peu déçu, je le cacherais pas.

J'en prenais 6. Puis, à un moment donné, c'est ma peu déçu, je ne le cacherais pas. J'en prenais six. Puis ça m'a dit, c'est ma blonde qui m'a dit, elle a calculé des calories. Elle a dit, sais-tu que tu prends entre 4000 et 6000 calories par jour? Juste là,

oui, j'ai calé. Je me demande pourquoi j'ai un instant de mal. Merci. Et là, depuis, j'ai tout coupé ça.

Comme Jay l'a dit, c'est blanc ou c'est noir. J'ai tout arrêté le jour au lendemain. Merci, bonsoir. Je peux-tu goûter au vin? Oui, certain. Il est très bon,

tu ne seras pas déçu. Ça va, Mike? Au début, je voulais le placer. Je me suis dit que je vais attendre un peu et te le demander. Non, il est bon. Je ne suis pas un buveur de blanc, mais je l'ai. Il est vraiment bon. C'est bien fin. Toute la gamme du Domaine Saint-Jacques, j'ai un anesthésiste qui veut le plugger pour de vrai.

Toute la gamme, toutes les sortes. Essayez-la, tu ne me crois pas. Qu'est-ce qui est weird, par exemple, ici? Souvent, je commande le rouge domaine saint-jean puis mais à chaque fois je me dis assis faudrait que je goûte au vin des parents à Jake mais j'avais comme pas fait le lien même aujourd'hui je m'étais dit ah si je devrais aller à SAQ. Je te donnerais un pinot noir, si tu veux. OK. Ça a marché, Mike. Tu veux ta bouteille gratuite? Non, mais... Je vais aller... Pour de vrai, j'aime mieux aller à SAQ

parce que je trouve ça important montrer que... Tu as du cash. Oui, non, c'est ça. J'aime ça. Carlis, le narcissique! Carlis, OK. Je suis un des rares qui a encore tout le temps... Moi, j'ai tout le temps de l'argent sur moi,

vu que je suis un bonhomme, pis c'est important. Si j'ai pas de cash sur moi... Lousse, pas de portefeuille. Non, non, pas de portefeuille. Mon père aussi était le même. Il commandait un petit lorche, ça coûtait 2 piastres, ça sortait 200, c'est comme ça. Il regardait la petite caissière,

comment il avait la petite. C'est tout le travail à l'aréna. Garde le change, ta pète. Voyons, il reste bien. Est-ce que vous avez déjà fait des shows avec Guy Bernier? Oui. Guy faisait mes premières parties dans le temps. Guy a tout le temps entre 2 et 8 000

cash sur lui. Je ne les aime pas. Il a travaillé dans les bars longtemps. Souvent, on allait dans un bar et on allait au guichet. Il disait comment tu veux. Je ne sais pas. On demandait tout le temps des montants énormes.

On était six. Tout le monde faisait. Moi, je prendrais 400. Moi, 200. Il sortait, sortait, sortait. Même, il nous avait fait ça. On avait été à Vegas. Ça coûtait comme 60 piastres de frais pour le gré chez moi parce qu'ils

chargeaient temps par 20 piastres que tu prenais puis là il était comme je vais te le passer puis je suis comme chris c'était pas 400 piastres sur toi puis il y avait genre 6000 us c'est parce que vous étiez en voyage ou en tout temps, au quotidien? Il y a tout le temps, au moins, entre 2 et souvent 10 000. Ben, voyons chier! Non, non, non, je le jure. C'est dangereux, là! Il va se faire un taxi dans une rue à Varennes, là, c'est-tu?

C'est dangereux! Il y a tout le temps vraiment trop d'argent. Tu sais, quand tu passes aux douanes pis ils font « Est-ce que vous avez moins de 10 000 cash? » C'est sûr, tout le monde, mais pas lui. Lui, il calcule. Lui, quand tu passes aux douanes et qu'ils font « Est-ce que vous avez moins de 10 000 cashs? » C'est sûr, tout le monde, mais pas lui. Lui, il calcule. Lui, il faut que tu fasses ça.

Je vais en laisser. C'est moi, les gens, qui ont des toques de même. Chris, ça m'énerve. C'est depuis toujours. C'est qu'à l'époque, il était barman. Puis, tu sais, dans les années que les bars, tu sais, c'était moins contrôlé.

Fait qu'il a pris l'habitude d'avoir tout le temps du cash. Les meilleures anecdotes de bars, il était barman, il comptait ça, avec des tout-croches qui venaient, puis des affaires de... Son bar, c'était une pharmacie de drogue. Mais lui, il vendait pas.

Lui, il vendait pas. C'était les gens qui étaient ouverts. Il était comme, regarde ça, c'est mes dépendances. Les voici. Il était bien ouvert là-dessus. Si je le croise un moment donné, je peux lui dire un petit 3 000. Non, mais pour de vrai, tu pourrais lui dire,

t'aurais-tu un petit 2 000 à me passer? Puis il ne pensera même pas que c'est un gag. Il va faire... C'est dans mon autre manteau. Oui, c'est ça. Quand on met nos manteaux d'hiver de l'année d'avant, on trouve des 5$. Lui, c'est des 3 000$. Lui, c'est le seul.

Quand il faisait ma première partie, un moment donné... Je viens de me rappeler. J'avais vu ton show au Saint-Denis. Ça devait être en 2009-2010, tu faisais Sexpose et c'était Guy qui ouvrait pour toi. J'étais au deuxième, j'étais au balcon au Saint-Denis et pendant la première partie, il y a des gars qui avaient commencé à se battre à côté. Tu avais juste Guy qui se disait « vas-tu là-haut? » J'étais juste comme « Chris,

es-tu en danger moi danger au show de mic? » Ça avait été plus drôle qu'en ce moment. Ça s'était poigné. Ça se gueulait un peu après. Guy avait eu à gérer ça. Il avait donné 3000, tout avait passé. Il ne me l'avait même pas dit. C'est ça qui est weird.

J'imagine que c'était pour... Tu gardes ton focus. Oui, pour que je garde mon focus. Mais Guy, c'est ça. C'est une des rares personnes... Tu sais, souvent, quand tu parles en tournée, première partie, Headliner, tu sais, des fois, ça va arriver que la

première partie fasse créer « j'ai pas d'argent, peux-tu me passer du cash? » Mais Guy, un moment donné, je sais pas ce que j'avais vécu pis il avait fait « regarde, j'ai même pas besoin de cash, là, tu viens me voir. » J'étais comme « c'est fucking mûr que le gars qui s'engage dans mes premières parties

me traite comme son fils. Moi, j'avais eu... Ça arrive-tu souvent que le monde se bat à tes shows? C'est jamais arrivé. Les gens se passent des cartes Pokémon, moi, à la moyenne. Ah, c'est ça? Non, moi, j'ai beaucoup de beaucoup de parents qui viennent avec leurs kids. Moi, j'avais l'impression qu'il y avait beaucoup de filles.

Beaucoup de filles? Parce que, tu sais, les demoiselles sont très moites. Quand on parle de toi. Dans le fond, ce que Mike veut dire, c'est que ça mouille de la plop. C'est ça, c'est ça, c'est ça. De la manière que tu as dit le mot moite, il m'a mis mal à l'aise. Il m'a regardé dans le fond des yeux. Moite. »

Moi, j'ai bien aimé ça. Beaucoup de dames, beaucoup de dames, mais moi, ce que j'aime le plus, c'est quand les filles viennent avec leur chum et on a eu le meilleur... C'est Dave Bocage

qui fait ma première partie et à Becomo, on a eu le meilleur compliment. C'était un chum qui prend la photo de sa blonde avec nous autres et après ça, lui, il ne veut pas de photo,

il vient nous voir et il fait juste faire « Vous êtes drôles en tabarnak. » J'étais comme lui, je suis vraiment content. C'est-tu ce que tu devrais faire? il vient nous voir puis il fait juste faire « Hey, vous êtes drôles en tabarnak. » Puis j'étais comme « Lui, je suis vraiment content. » C'est-tu ce que tu devrais faire? Chaque fois que tu prends une photo avec la fille,

tu regardes le gars puis tu fais « Tu réalises-tu, je pourrais la fourrer. » Ça serait... Ça serait parfait, là, parce que ça, ça garderait le public

vraiment proche de moi. Non, mais c'est là que tu pourrais filtrer les vrais défauts, tabarnak. C'est ton vrai public qui va venir. Est-ce que ça serait hâte

que tu sois vraiment méchant? Vous autres, votre année à l'école, c'était comme la grosse année des dernières années. Vous étiez la moitié qui vivent de ça. Les autres sont morts en nostalgie. Pour vrai, ça a vraiment été... Il y a Catherine Levesque,

Mehdi, Dave Bocage, Jesse Shea. Toi et moi. Oui. Frank Toose. Montreuil. Les frères et t'as l'hoche, on les compte pas. Non, c'est une bonne cohorte.

7, moi, sur 12. 14. 14, ça. Mais je faisais un faste, comme le quoi, si on mange, je veux dire, professionnellement parlant, parce que pour vrai, il n'y a même pas eu vraiment de continuité. Quand l'école a terminé, tous ceux qu'on n'a pas nommés, ça a fini là en esti. Mais oui, ça a été une bonne co-op. Puis moi, en fait, le fait d'être ami

avec Kat, Sam, Dave, ça m'a aidé. Moi, je n'étais pas très bon. Mais mes meilleurs amis, ils torchaient des culs. C'était l'enfer. Ça, c'est drôle. À force de te tenir avec eux autres, à un moment donné, tu n'as pas le choix.

Ce n'était pas up la game On s'est beaucoup entraînés toujours Y'avait-tu une espèce de jalousie Entre vous autres Quand tu le voyais scorer Ou quand tu l'as vu pogner à Occupation Double Du tout, non Il m'a même appelé avant

Je pense qu'on était assez proches Je pense que J'ai pas l'expérience que tu as, mais je pense que c'est le début de la fin de l'hastie d'enviage de Chris. Non, c'est à lui que ça arrive, c'est un peu cliché, je ne suis pas vraiment ésotérique dans la vie, mais chacun a sa route, il fait ses affaires, juste d'être content, parce que c'est lourd, c'est lourd à envier ou à être jaloux. Pendant ce temps-là, je ne pense pas à des bons gars.

D'ailleurs, je l'avais parlé longtemps avec ton gérant Michel. Il m'avait dit que je m'étais fait avoir dans un show au niveau du cash. Il m'avait dit ça. C'est une philosophie que je rapporte à tout le reste de ma vie. Il m'a dit « Arrête de penser à ce petit chèque-là que tu n'auras pas. Pendant ce temps-là, tu n'écris pas des bons numéros. » C'est exactement ça que je me dis. Des fois, il va toujours toujours en avoir dans le milieu. Je ne suis pas une sainteté

loin de là, mais des affaires dehors, c'est bien, Jay, tout lui arrive. Oui, tout lui arrive. Pourquoi pas toi? Regarde-toi dans le miroir et calle-le sur mon patient.

Sam, il a déjà tué des hommes. Trois fois. Trois fois, juste trois. J'ai remarqué, par exemple, avec le temps, le monde jaloux, dans tous les domaines,

ils n'ont jamais de succès. Il n'y a jamais eu quelqu'un... Mettons, Wayne Gretzky n'est pas devenu Wayne Gretzky parce que quand il était petit, il regardait les autres joueurs et il faisait « Tabarnak, pourquoi lui, pas moi? » Non, c'est ça. Il se concentrait sur ses affaires. Mais nous autres, ça a été ça aussi.

C'est le fun de ma référence en hockey. C'est un gars qui a pris sa retraite il y a 32 ans. Moi, je te suis. Les points, c'est là. Peut pris sa retraite il y a 32 ans. Moi, je te suis. Les boys, là, le gars qui a inventé l'ordinateur Tandy, le gars qui a inventé le Tandy, il n'était pas jaloux.

Mais tu peux juste... Je pense que tu peux juste être content. Je le sais qu'il serait autant pour moi. C'est ça aussi l'affaire. N'importe quoi qui est arrivé... On est souvent là, les uns pour les autres. Moi, 4 Levesque, son premier gars-là, moi et Dave, on était backstage avec elle.

À un moment donné, c'est ça le milieu dans lequel on travaille. Si on commence à s'arrêter à ça... Mes meilleurs amis torgent des culs. S'il avait fallu que je sois en sacrement à propos de ça, je n'aurais jamais évolué. En sortant de l'école, tu le dis, je te trouve un peu sévère envers toi-même. En sortant de l'école,

tu dis que tu avais des fois l'impression que tu étais un peu en arrière. Mais tu es sorti de l'école, tu t'es mis à animer mille soirées, tu t'es mis à jouer quasiment six shows par semaine sur sept jours. Justement, c'est comme dans n'importe quoi. Références au hockey, plus tu patines, plus tu as de temps de glace

Plus tu deviens bon Comme dans le temps de Gordie Howe C'est Gordie Howe C'est Ron Togmiot qui disait ça aussi Mais c'est vraiment exactement ça C'est comme aussi des affaires De pensée lourde, du crise C'est comme, je parle

C'est passif, agressif, tabarnak Mais le monde Vas-y, je t'écoute entendre ça c'est comme je parle c'est pas si agressif tabarnak ok non mais j'ai mais le monde je vois j'avais une bergueulette point point mais mais ça ça doit mais c'était c'est comme aussi des fonds n'a pas plus sûr que tu as déjà entendu à ce point de justice comme si ça son plan du jeu des filles et publics publics coller sur une femme c'est autant un homme tabarnak christmas mais ça reste autant une femme c'est autant un homme. Tu devrais voir la blonde à Sam. Ah oui.

Elle disait, c'est-à-t-on une grosse graine du Christ? Non mais tu sais, dans le sens, un public, c'est un public. Un être humain, c'est un être humain. Puis c'est comme, non mais pour vrai, là... Une femme, c'est un homme. On l'échappe. Je me ramène dans votre gauche. Cruz à 128, 120, c'est pas de faire poignée.

Non mais... C'est parce qu'il y en a, ça m'éclate bien gros d'entendre ça. Je me ramène dans votre gauche, on va cruiser la 128, la 120, tu peux te faire poigner. Non mais... C'est parce qu'il y en a, ça m'éclate bien gros d'entendre ça. On sait bien que Jay attire parce qu'il est beau et attire les belles filles. Tu vas comprendre, les gens qui connaissent Jay vont aller le voir parce qu'il est drôle. Ceux qui ne le connaissent pas, les filles, mettons, ils vont aller le voir parce qu'il est beau. Tu vois juste un show de lui, tu vas retourner le voir parce qu'il est drôle. OK! Moi, de gaguez comme peurs,

le gag, l'humour, le gag, l'humour, si vous écoutez, ils sont très, très féroces. C'était pas une blague, c'était vraiment... Mais le peu, c'est que le monde, souvent les gens jaloux ou amers sont de moins bonne compagnie.

Fait que naturellement, ils vont faire... C'est lourd. C'est lourd, fait qu'à un moment donné, c'est comme, « Ah, on le bookera pas. Chris, on a deux heures de char à faire. » Moi, le pire, par exemple... Il pisse, en plus, dans la porte. Je suis tout le temps...

Tout ça, c'est des blagues, Dave. David Godet, c'est des blagues. C'est pas vrai, c'est pas des blagues. On t'a eu! Moi, j'ai une couple de chums de Dans le temps, que là, ils font plus de l'humour. J'avais arrêté d'être leur chum parce qu'ils étaient jaloux.

Quand je commençais, ma génération, c'était Martin Mat. Juste lui. Non, mais le monde qui était jaloux... Moi, ça allait bien. Laurent, ça allait bien. Mais personne n'était jaloux de nous autres vu que ça allait bien.

Puis tu n'es pas jaloux de quelqu'un qui va bien. Tu es jaloux de quelqu'un qui va crissement bien. Nous autres, on avait le monde lourd qui était comme, oui, lui... Là, j'étais comme, tabarnak, peux-tu juste boire une bière avec toi pis faire mes astides commentaires discrétieux quand le monde passe? »

Ça, c'est vrai. Mais le point, c'est que je pense que il y a eu un moment où j'ai arrêté de checker les shows parce que je savais que peut-être que je m'enlignais vers ça, d'être jaloux ou tout ça. J'étais stressé. Moi, surtout au début, j'étais pas super bon. J'étais comme « Asti, je suis pas assez absurde. » C'est jaloux, pis j'étais stressé. Moi, surtout au début, j'étais pas super bon. J'étais comme...

Je suis pas assez absurde. C'est pas vrai, mais t'as une belle humilité de dire ça, mais il faut que t'arrêtes de... Non, mais dans le sens... C'est pas négatif. C'est dans le passé, maintenant, ils se vantent. Par exemple, mais pour de vrai,

je pense que c'est pas sain de dire ça tout le temps. Parce qu'à un bout, que ça va mal aller, là, déjà, dans ta tête, t'es comme, dans le temps, j'étais de la marde. Là, tu vas être comme, j'étais encore de la marde. Puis, c'est des plans pour te suicider. Il y en a trois par jour au Québec. Il faut faire attention. Sam, parlant de ça, Sam, à chaque année, depuis 5-6 ans? Depuis 2012 déjà. Il y avait un petit poil. Depuis 5 ans, il organise une levée de fonds

pour la prévention du suicide dans son coin. Et là, il t'a tapé le 20 000 de ramassé. 22 000 $ qu'il a ramassé en 5 ans. Christy de Beauchamp. Je ne l'ai pas encore donné, mais je vais... Un moment donné, ça va me donner. Il a acheté 22 000 de WePet, ils sont juste à la bonne température. C'est tempéré, c'est tempéré, c'est contrôlé.

Ça, cet argent-là, c'est pour qui ou quoi? Non, non, non. Moi, je la donne... Il y a énormément de spots où tu peux donner ça. Je pense que le plus gros, c'est vraiment la QPS, l'Association québécoise de la prévention du suicide. Moi, je viens d'Arrivée-Sud de Québec. Moi, c'est dans Chaudière-Appalaches, comme Lobinière-Lévis. Moi, c'est vraiment la QPS, l'Association québécoise de la prévention du suicide. Moi, je viens d'arriver au sud de Québec. Moi, c'est dans Chaudière-Appalaches, comme Lobignard-Lévis.

Moi, c'est là que je la donne parce que d'ailleurs, Lobignard, c'était un des cas majeurs. C'est au Québec, c'est là qu'il y avait le plus de suicides par heure. Par jour. C'est là que je la donne. Maintenant, il y a un projet qui a été mis sur pied il y a un an. Ils vont en parler

aux jeunes du primaire. Tabarnak, c'est pas lourd, ça. Exactement. C'est pas lourd du tout. Imagine le jeune qui se fait intimider à 6 ans qui est comme, « Ah, Chris, je pourrais me suicider. » En même temps, t'en perds un de 6 ans,

c'est moins pire qu'un gars de 18, c'est sûr. Hein, Chris? Genre, l'humour, on en fait tout et il sort. Tu prends ce que tu veux. La première année, le premier show, Sam a ouvert le show, une grosse toune rock. Ça a commencé sur un moment émotif. Après ça, la toune part, la musique part, Sam rentre,

tout le monde applaudit. La toune arrête. « Ouais, fuck le suicide! » Ça a été mon premier show. J'ai commencé ce show-là en disant « Tu commences un show, de quelle façon? » Il y avait quand même une charge émotive, là. Tu sais, moi, je l'ai fait parce que j'ai perdu un de mes bons amis par suicide, puis tout ça. Puis c'était la première année que je le faisais. Tu le sais que sa famille est danseur, puis tu te dis, comment je commence ça, qu'est-ce que je dis?

Puis de façon très bretonnesque, la musique a coupé. J'ai fait, ouais, le suicide! C'était clair, ah ouais, qu'il y avait son pet de la piscine, hein, tabarnak, là, puateur, ah ouais. On va, hein? Mais je voulais en parler comme ça. Mais c'est pour ça qu'il ne faut pas se priver, tu sais. « Faites de la poussette, hein, tabarnak, là, pue à terre. » Mais je voulais en parler comme ça. C'est pour ça qu'il ne faut pas se priver. Mais tu sais, les sujets lourds de même,

c'est ceux-là qu'il faut attaquer. Puis le suicide, je suis sûr que ça fait du bien à sa famille. Eux autres, c'est clair qu'ils avaient le même malaise que toi avant. C'est parce que moi, quand je sens un malaise, justement, moi, je dis... Je veux l'enlever. Je fais confiance à l'intelligence. C'est comme là, je fais confiance

à l'intelligence humaine quand même, en général. Dans le sens que si j'ai fait un gag, perdre un gars de 6 ans, c'est moins pire qu'un gars de 18 ans. Je l'ai dit allègrement.

Je me dis, ça arrive, ça arrive, je sais que les gens ont saisi. À part toi, toi, toi, toi, puis toi, l'autre part. Mais le pire,

moi, c'est ça, la beauté, je trouve, moi, je suis heureux pour ça, le podcast. Moi, c'est pour ça que je ne fais plus de jokes sur Facebook. C'est ça la beauté, je trouve. Moi, je suis heureux pour ça, le podcast. Moi, c'est pour ça que je ne fais plus de jokes sur Facebook. C'est quand, admettons, j'écrivais des jokes sur Facebook, un gag de même que tu lances sur Facebook, c'est clair que là, le monde fond.

« T'es un merdé, tu seras moins mon fils de six ans, il est mort. » Puis là, t'es comme « Ah, c'est-tu madame, là? » C'était une joke, puis je m'excuse. Quand tu fais ces gags-là, des fois, il y a déjà quelqu'un qui me dit « Ça paraît que t'as jamais ah c'tu madame là c'était une joke pis je m'excuse quand tu fais ces gags là des fois y'a déjà quelqu'un qui me dit ça parait que t'as jamais

vécu de suicide j'ai dit y'a un de mes meilleurs amis mort par suicide clart c'est pas parce que tu fais des gags là-dessus que t'es au-dessus

de ça je l'ai vécu de proche pis c'est ça qui est triste aussi que y'en a t'sais j'disais 3 par jour au Québec y'a eu un mini malaise

de silence c'est comme ben oui tabarnak y'en a 3 par jour au Québec pis on a quand même des bonnes conditions de vie c C'est comme, ben oui, tabarnak, il y en a trois par jour au Québec. On a quand même des bonnes conditions de vie. Ce n'est pas en évitant le sujet que ça va se régler non plus. C'est pour ça que je n'ai pas peur.

Des fois, je ne leur en veux pas. C'est parfait. Eux autres, ils avaient dit, peut-être que tu pourrais appeler ça. Parce qu'il y a un projet qui s'appelle le projet Go pour la vie. C'est positif, c'est très par en avant. Ils m'avaient suggéré d'enlever le mot prévention du suicide. Mais go pour la vie, ça sonne comme un livre de motivation.

Moi, je leur ai dit ça, c'est ta pète en tabarnak. Non, non, mais c'est vrai. Si t'as pas le mot suicide, tu réalises pas que ça a rapport avec le suicide. Non, c'est ça. Je comprends ce qu'ils font. Parce que j'ai réalisé leur projet, c'était plus pour les 15 ans, 18 ans.

Peut-être que quand t'es ado, go pour la vie, ça sonne mieux aussi. Ça sonne le cul pour un kid. Ça sonne le cul. D'ailleurs, pour le kid, on a tous un peu la même réaction. Comme tu as dit tantôt, c'est lourd d'aller parler de ça à des enfants.

Ils n'ont pas 6 ans. Je pense à peu près 10, 12 ans. Je pense que c'est 4ourd aller parler de ça à des enfants. Ils n'ont pas 6 ans, on va se le dire. Je pense à peu près 10 ans, 10, 12, avant la 6e année. Je pense que c'est 4, 5, 6, parce que souvent, ils remarquent que le premier deuil qu'on vit, c'est un peu le cliché, c'est la peine d'amour. Tu vas en avoir 2, 3, 4, peu importe. Je pense qu'ils vont parler vraiment de ça se peut que tu vives des deuils. Tu sais, comme ton... As-tu déjà perdu... Je parle! Alors, je suis tanné. Moi, un autre, je décollisse.

Alors c'est... C'est juste pour leur apprendre que, tu sais, « As-tu déjà perdu ton chien? » Tu sais, ils parlent... Un deuil aussi, tu sais, des fois, un chien, un chien, mais pour un enfant, des fois, un chien... Juste pour leur apprendre des étapes du deuil, tu sais, tes grands-parents, ça se peut... C'est comme... Un peu plus le concept de la mort, tu sais, comme ça, quand t'arrives au secondaire, tu sais, tu fais un deuil, t'es plus prêt mentalement. Tu sais, parce que le concept, t'as un chien, t'as quatre grands-parents. Ça fait plus mal, un chien.

Pour de vrai. Non, mais c'est vrai. Pas de vrai. Ta grand-mère, elle se couche sur ton chest pendant que tu regardes un film. Non. Tu peux pas efflater les fois. Moi, les fois que j'ai le plus pleuré

dans ma vie, c'est des animaux. Nous autres, ça a été... Nous, on a eu un chien qui s'est... On habite en campagne. Qui s'est suicidé. On est arrivés dans le vineyard, il était perdu sur la porte. Sam est venu souper, il a dit le mot suicide,

le chien est sorti. Non, il s'est fait frapper. Ça a été une nostie de journée de cul, là, motelisé. Deux fois, y'a même un char, y'a un char aussi qui a ramassé de plein fouet, vraiment, il s'est séparé en mille morceaux ton chien, c'était dégueulasse, il en avait partout sur la route. Mais ouais, y'a un char aussi qui a frappé ton chien, là. Ton deuxième chien. Non, le deuxième chien s'est fait frapper. Max, le premier, on l'a fait. Le deuxième, c'est vous autres, le problème. À un moment donné, une clôture, ça existe.

Ils font confiance aux automobilistes. C'est vrai, il y en a deux qui se sont fait frapper et il y en a un qu'on a perdu. La SPCA nous cherche aussi. En même temps, la mort, c'est la mort. Moi, j'aime le concept qu'on a tous un pied dans la tombe. Non, mais ça a l'air vraiment morbide, mais ça a l'air d'aviv de penser à la mort.

Moi, il n'y a pas... Moi, je viens d'avoir 28 ans, et ça fait déjà plusieurs années... Hey, c'était sa fête avant hier. Oui, c'est ça, avant hier. Avant hier. Merci, tout le monde. 28 ans.

C'est ça, 28 ans. Mais moi, depuis que mon ami s'est ça, avant hier. Avant hier. Merci, tout le monde. 28 ans. C'est ça, 28 ans. Mais, moi, depuis que mon ami s'est suicidé, je pense à la mort chaque jour. Pas une hostie de journée vient dans ma vie que je me dis, hostie, je pourrais vraiment... Tu sais, des fois, il y en a, on dit ces clichés, si tu meurs demain, oui, quand même, tu ne tiens pas 10 000 $ dans tes poches,

hostie de raisin, mais... Mais ça me pousse à faire des affaires, des fois. Que tu ferais pas si tu pensais pas à la mort. Moi, je suis pas le plus grand des voyageurs. Ma blonde, elle, oui. Des fois, je suis comme « Merci, je suis pas sûr. » Elle me pousse, puis je suis comme « Ben oui, tu risques d'un coup, je meurs dans six mois, je sais pas. »

Moi, quand j'étais petit, il y avait un gars qui m'avait donné un petit conseil que j'ai basé ma vie sur sa mentalité. Puis le gars s'est suicidé, par exemple, par après. Cordonnier mal chaussé. Mais il m'avait dit... Il allait en voyage, je ne sais pas trop où. Mes parents avaient fait...

« Tu ne penses pas que tu devrais faire ça plus vieux? » Puis il avait dit... Moi, quand je vais mourir... Il a dit « Je ne veux pas être un bonhomme de 80 ans qui se dit, j'aurais dû, j'aurais dû. Il n'y a personne qui regrette les voyages. Si ton lit de mort, tu ne seras pas comme, j'aurais pas dû aller

en Indonésie. À moins d'être genre les filles qui sont allées en Australie avec de la coke. Peut-être. Mais ça ne sera pas un lit de mort. ça va être une chaise de mort, pis...

Comment est-ce qu'ils vont, eux autres? Sont-ils revenus? Moi, là, c'est là que tu vois comment le monde sont méchants. Ils pourraient passer les autos à broder. Non, non, mais sont en Australie, pis là, les commentaires de monde, c'est comme, « Mais oui, c'est truie, ça t'apprendra. » Pis t'es comme, « Chris, lai, ça t'apprendra. » Puis t'es comme « Chris, la fille

est dans une prison d'un autre pays. Tu peux-tu pas la traiter de Trui dans le commentaire? » Même si elle l'ira jamais, elle a de la famille, elle a... C'est-tu que le monde n'a pas de sens? Puis c'est moi qui dis ça, quand on est là.

Mais tantôt, je l'ai dit, je pense qu'il faut faire confiance au public et à l'intelligence humaine. C'est comme un gag de suicide où tu fais un gag sur un petit handicapé. Je pense que ça passe. Je pense que j'aurai pas de problème. Je pense que les gens sont assez conscients pour comprendre le deuxième degré. Bien. Là. Yann, la lumière est allumée. Ça fait combien de temps qu'on est là? Un an et quart.

OK, parfait. Ça me stresse tout le temps, la lumière. Tu l'avais... C'est intéressant. Ça reste chéri. Moi aussi, ça me gosse de la voir. Mathieu peut l'éteindre, les gars. Mathieu, peux-tu l'éteindre, les gars. Je veux dire, il se fait une switch.

Mathieu, peux-tu l'éteindre et rallumer-le à une heure et demie? Merci. Par en-tour de l'allumage, c'est quand on vient jouer au bordel. Quand il reste deux minutes, il l'allume. Nous autres, c'est tout le temps un petit sentiment de « Christ, il me reste deux minutes. Je pensais qu'il me restait cinq. » C'est tout le temps une petite source de stress pour ça et cacher là. C'est pour ça qu'on voulait l'éteindre. Moi, j'avais, dans le temps que j'animais à Juste pour rire, j'avais animé

un gars-là qui s'appelait « Fuck les variétés ». Puis là, j'avais demandé à Juste pour rire de… Parce que souvent, le monde d'un gars-là, il y en a qui arrive. Ce n'est jamais genre des gars comme vous autres, mais ça va être des gars de ma génération plus vieille qui font… Moi, je fais une demi-heure, puis ils gâchent le show vu qu'ils font trop long. Puis là, j'avais dit, mets une lumière. Quand le monde a fait leur temps,

allume la lumière. Flèche la lumière et décolle-la. Je le disais au monde. Flèche la lumière, tu veux dire Jean-Marc Parent a l'habitude d'affaires longues? Non, mais qu'est-ce qui est weird? Il y avait une couple d'humoristes que quand ils faisaient leur affaire, aussitôt que la lumière allumait,

je voyais dans leur jeu qu'ils n'étaient plus dans le moment qu'ils faisaient juste regarder la lumière et c'était horrible. C'est l'intention aux lumières. Mais ici, par exemple, j'ai remarqué qu'il n'y a personne. Ça ne stresse plus personne. À un moment donné, je pense que c'est une habitude.

Moi, je ne comprends pas qu'il n'y en ait pas partout. Ça devrait être partout. Quelqu'un qui déborde tout le temps dans les soirées, surtout quand on est beaucoup. Ici, on est cinq, six. Surtout s'il y a deux shows. Moi, je ne comprends pas pourquoi dans les autres soirées, il y a du monde qui se dit qu'il a busté.

« Oh, mon Christ, elle a mis une lumière. » Le dernier, le seul, mais le seul qui ne devrait pas... Check-moi bien avec ma gueule. C'est la chose qui me fait le plus... C'est la chose qui me fait le plus rire au monde. Je le fais tout le temps. Ça me fait beaucoup rire.

Faut pas qu'il cave. Faut pas qu'il cave. C'est Jean-Yves Jérémy. Non. Je te le confie. Est-ce que c'est non? Non. J'ai dit non.

J'ai dit non. Non. C'est non. Tu prends le bouchon pis tu le suces seul. Excuse-nous Mike. J'aime ça vous voir, c'est le fun de vous voir parce que vous êtes vraiment des bons chums pis c'est beau à voir. Ouais, on s'aime pas mal, mettons. Ben justement, on voulait en profiter ce soir pour faire notre coming out.

L'amour est dans le pré. J'ai le frais, mais là ma blonde est là, c'est plus calisse là tu sais. En même temps elle comprendrait, c'tit. J'ai une blonde ouverte d'esprit pis j'suis content d'être sans elle, c'tit. T'as un... Non mais tu sais des fois là, tu sais des fois t'entends des histoires là tu sais, des gars « Ah non Chris j'peux pas aller aux danseuses, c'tit. Moi j'suis sûr de faire, de stress qu'elle va faire sur ma blonde.

Elle dit « Vas-y j't'en paye une, tu comprends? » Tu sais, elle va... Non mais... Je le dis qu'elle pense, mais qu'elle... Elle l'aime pas, elle sait pas comment le laisser. Elle m'haït, c'tit. Ouais. Mais elle aime un gars connu, Je comprends, je comprends. Je suis connu en crise.

T'en es pas dit, mais elle a fait des auditions d'Occupation 2. Ah, sérieux? Elle t'a été prise? Ben oui! J'espère que tu vas être méchant avec elle. Ça serait malade que... Tu sais, comme ton show, Zoufess, l'an passé, ça s'appelle Bien élevé, tu dis toujours que tes parents...

J'aimerais ça que tu sois vraiment coquin, anastique, quand, mettons, quelqu'un s'en va de l'aventure. Je rêve! C'est un genre de déconnis. C'est ça, oui! Retourne à Blainville, l'hostie! J'lui donne une carte opus, arranges-toi avec ça, t'as pas d'avion, tabarnable.

Ça a pas marché avec Cynthia, moi, ça a marché. Là, tu lui fais sentir ton majeur comme si tu l'avais inséré dans son vagin la veille. Non, mais j'ai proposé une idée à la production. Je sais pas s'ils vont accepter, mais à chaque élimination, je veux donner un cadeau à la personne qui part

en lien avec la personne qui est allée. Tu m'entends, un gars qui est toujours en chest, je lui donne un col roulé. Une fille qui dit des si j'aurais, je lui donne un bachelet. Tu sais godet un gros pipi pas ce y est embarqué maintenant ben là en ce moment j'ai juste lancé les idées. Je leur ai dit rapidement comme ça en blague. Toi, par exemple, ça doit être important

pour toi de montrer que t'es drôle pour pas devenir animateur. Dans le sens que moi, ma tournée, les billets sont déjà en vente. Le Métropolis, c'est la veille de mon départ. Le 8 septembre, mon promoteur qui va vous péter ailleurs si vous venez pas. Ma tournée, les billets sont déjà en vente. Le Metropolis, c'est la veille de mon départ. Quelle date déjà? Le 8 septembre. Mon promoteur qui va vous péter ailleurs si vous venez pas.

Tu devrais le mettre en première partie. En fait, la première partie, c'est David Bocage et Adib Al-Khalidi. Adib va venir faire un petit câline, mais tu pourrais venir. On s'est jamais repassé à la poche. On a jamais fait. On a fait des shows à côté de l'autre. On dirait qu'inconsciemment, il fait son 90, je fais le mien. Comme Dave Bocage, il roule beaucoup aussi.

Comme pas son heure et demie, on est comme « Chris, Dave, viens nous faire connaître comme si on était plus connu que lui. » C'est triste. Quand je reviens, je reviens fin novembre. Deux semaines après, à la fin de semaine, je fais mon show. J'ai déjà une option sur le Théâtre Maisonneuve à octobre 2018 pour possiblement une première. C'est pas fait, c'est pas annoncé. Moi, je reviens et je fais mon show.

Ton show, c'est ça. Comme là, tu avais ton mini-tour, tu vas avoir moyen tour. Puis après, le big tour, ça va être le même show, mais plus rodé. Qui t'a dit que ça va être le big tour, Mike? C'est un peu ça le concept mais je trouve ça le fun

de faire ça un peu différemment au lieu de juste dire en rodage dans ma tête c'est la tournée qui évolue puis le show évolue aussi probablement qu'à la vraie tournée je vais mettre un titre

puis je vais sûrement écrire en dessous le big tour c'est l'idée que j'ai eue les affiches j'avais tout était prévu avec ma graphiste

les affiches il y a toujours un rappel. En tout cas, c'est un petit concept. Marianne Plaisance qui fait un excellent travail. Elle torche les culs. Moi, je vais juste se reploquer. Puis là, toi, le lendemain, tu pars pour Bali.

Avec ta mère, vas-tu être déjà là? Non, non, non. Ils vont venir nous rejoindre sûrement plus tard. Mais j'ai sûrement du monde qui va passer, des amis qui vont venir faire un tour. Parce que moi, j'ai mon chez-moi là-bas.

Merci beaucoup. J'ai deux journées de me-off par semaine. C'est quoi qui t'ont loué? Je ne l'ai pas vu encore. Je ne l'ai pas vu. Mais ça doit être cool.

Parait-il. Parait-il. C'est ce qu'on m'a dit. Santé, les amis. Merci d'être là encore. Vous êtes fins. Sous écho! J'ai tout traversé.

On le voit un petit peu, là. Guenet, chamois, s'il vous plaît. Je suis. J'aimais ça que je me sentais à l'aise quand tu me pointais pis tu disais guenet. Désolé. Grosse guenet sale, s'il vous plaît. Grosse guenet sale, pas propre.

S'il vous plaît. C'ée sale pas propre C'est passé Mike Ça va sécher Ça va sécher Exactement Fait que là quand Ouais de la façon On reprend La façon que toi t'avais été approché

Pour Occupation double C'est qu'au début, tu avais été faire une audition pour devenir collaborateur, chroniqueur, quelque chose comme ça. Oui, sur un autre show, en fait, qui s'appelle OD Plus en direct, qui va être à Musique Plus, live après OD, qui est à V. C'est qui qui va animer ça? Marina Bastarache, qu'on salue d'ailleurs. C'est ça.

Moi, dans le fond, j'avais passé l'audition pour être collaborateur là-dessus. En gros, je commentais ce qui s'était passé, je faisais des jokes. C'est là que Julie Snyder m'a vu en audition. Quand je suis sorti, elle m'a dit « C'est qui ce gars-là? » Elle s'est mise à checker mes trucs. Elle est débarquée à Saint-Lazare. J'animais à Saint-Lazare cette année. Elle est venue, elle est descendue, elle est venue voir le show.

En fait, c'est de voir. Elle a lu mes textes sur Bania. Elle a commencé à checker mon stand-up un peu écoute ça madame je l'ai rencontré non mais

Mike Ward salut madame Snyder mais vraiment elle est vraiment solide tu vois c'est elle qui m'a booké aux îles de la Madeleine fait que là

je fais mon show là-bas aux îles fait que moi j'avais vu à quel point elle n'est pas habituée d'entendre non comme réponse parce qu'à un moment donné elle m'est pas habituée d'entendre non comme réponse.

Parce qu'à un moment donné, elle m'avait appelé, elle a appelé Michel pour que je fasse son show de valise. Le banquier. Ça a joué une saison ou deux, on ne s'en souvient pas. Là,

il appelle, puis là, ils font... Non, mais Chris, c'est un show de valise. Absol mais Chris c'est un show de valise absolument c'était un quiz c'est centré sur la mémoire

fait que là c'était le spécial Martin Matt fait que là il voulait que j'aille là venir une valise pis là

Michel il a dit non pourquoi qu'on irait faire ça pis ils ont fait non mais Chris a 2 millions de cotes d'écoute

mais là nous autres notre logique c'était il y a personne qui va me voir avec le numéro 17 qui se dit, Chris, je l'ai, Mike Ward. Ah, 17, mon chiffre chanceux. Yes, j'achète des billets. Fait que là,

on a dit non. Puis après, ils ont rappelé, puis ils ont dit, oui, mais il pourrait peut-être être un dans la famille à Martin. Puis là, on a dit non. Puis après, là, c'est direct, Julie qui a appelé Michel. Puis là, il était comme... Puis tout ce qu'elle offrait, on a dit non. Puis après, là c'est direct Julie qui a appelé Michel, puis là il était comme... Tout ce qu'elle offrait, Michel disait non, mais là elle rappelait non-stop, puis à la fin elle avait juste dit « Hey, viens, à l'heure que vous arrivez,

on arrête, Mike rentre en onde, il fait un gag, il s'en va, puis on plug votre show au Saint-Denis. » Puis là j'étais comme « Ah, comme, ça vaut tellement la peine. Mais aussi, tu voyais que c'était une femme qui ne peut pas prendre un nom. Pour elle, c'était inacceptable. Elle aimait mieux juste tout fucker son show.

Elle a pas mal tout ce qu'elle veut. À part en amour, c'est sûr. Elle t'a fait venir à Occup veut. À part en amour, c'est sûr. Chris, elle t'a fait un lien à Occupation Double. Ça serait à ta, Chris. T'as comme plein de chicks avec des balles refaites pis une madame de 40 ans crissement trop meg.

Aïe! C'est la première fois que je vois Mike Ward pas assumer un gag. Non, je l'assume. C'est ça, l'acteur. Je l'er un gag. Non, il l'a assumé. Non, je l'ai assumé. Non, mais je la gagne, Julie, parce qu'on se connaît bien. Elle te casse la main. Elle a pluggé un show à Jay aux Îles-de-la-Madeleine.

Moi, la semaine prochaine, au M4 Burrito sur Saint-Denis. On fait différentes salles. On l'a dit tantôt, on rod. Au M4 Burrito? M4 Burrito. C'est très bon. C'est très bon. C'est orange. L'écriture est orange. Je lui dis, oh hop, Tom, funky hop.

Là, c'est... Tu mets de la sriracha, ça goûte tout de la même affaire. Alors, mais cela dit, je ne la connais pas, Julie. Mais vraiment fine, moi.

Bien fine. Je te remercie pour mon ami Jay. Je trouve ça le fun ce qui t'arrive. T'es fin. Mais tu sais, j'ai hésité longtemps et il était tellement convaincu qu'il est devenu convaincant. C'était comme, Chris, c'est toi que ça nous prend et personne t'arrive. J'ai hésité longtemps et elle était tellement convaincue

qu'elle est devenue convaincante. Elle, c'était comme « Chris, c'est toi que ça nous prend, personne d'autre. On ne veut pas te changer. » Quand j'ai dit que j'avais le métropolis, le 8,

techniquement, j'étais supposé partir le 8. Elle était comme « Chris, on va te faire fly in le 9. Garde ton métropolis. » Elle a pris elle-même. Elle parle plus du métropolis que moi.

Elle plug partout. Elle est vraiment, vraiment sweet. Elle est très gentille avec moi. Toute l'équipe, elles sont bien fins jusqu'à là parce qu'on dirait qu'ils font comme Chris. Nous, on veut que tu sois bien.

On veut que tu restes le même. Fait que tout le monde est bien, bien smart. C'est cool. Puis là, c'est... Tu sais, ça, c'est un concept à Réx-Alvain. Lui, il n'a plus rapport pantoute dans le projet, par exemple. Non, non.

C'est juste... Puis Julie Stendhal, es-tu présente ou... Non, je pense qu'elle va venir faire un tour. Mais c'est la première année, je pense qu'elle va... Oups, ça y est. Michel, ton gérant, il vient de débarquer du tabouret.

Je suis capable de boire plus que Mike! Non, Michel. Non, Michel. Arrête, Carlis. Prends des photos, ça va bien aller, Chris. Elle va venir faire un tour. On voit que c'est une femme enceinte qui a une perte de connaissance,

puis on rit, puis c'est vraiment pas drôle, le style. C'est drôle, tantôt, on a tous un pied dans ton... C'est quelqu'un qui meurt, qui commence à galer. Puis il n'y a pas de place. C'est tellement une qui est morte.

Adieu le bras gauche. J'ai dit ta gueule, j'écoute. Ta gueule, il parle d'un suicide. C'était pas ça. Des ambulanciers. C'est quoi qui est arrivé par exemple? C'est juste... C'est un tabouret.

Non, j'avais compris que c'était un tabest juste... C'est un tabouret. Non, j'avais comme compris que c'était un tabouret, mais il y a trois tabourets ici. Ils font zéro bruit. Juste... C'est pour ça qu'ils sont dans le fond de la classe. Ils sont très agressifs, ces tabourets-là. C'est juste quelqu'un qui est tombé ou c'est quelque chose?

C'est-tu drôle? Quelqu'un... Elle était pressée. Ça fait huit heures que je m'en tiens. Je m'étais dit, tu te souviens de ça, chier? Le sphincter a lâché, les valves sont ouvertes. Ah ouais, y'a-tu dit? J'ai fait un show hier soir pour ramasser de l'argent

pour des filles qui s'en vont au Maroc faire un rally. Puis là, moi, à chaque fois, je rencontre du monde qui font genre des trips dans le beau, dans le désert, je leur demande tout le temps s'ils ont planifié, ça va être quoi le trill

de chier dans le sable devant une amie. Non, t'intéressais quand même de chier. Puis là, une des filles, son plan, c'était... Moi, je chierais pas pendant 10 jours. Oui, oui, ma grande. Son chum était comme...

Non, incapable. C'est weird. C'est weird qu'ils soient au courant. C'était une petite fierté. Incapable, la petite. J'avais l'impression de l'enculer ma graine Normandie-Saint-Marc. Ça donne un feeling.

Parce que si t'es moins veillé, quand tu pognes des crottes de marde, ça te donne... Il a dit sa graine Normandie-Saint-Marc. J'ai fait un surachat. C'est à ton tour. Non, mais à part l'odeur, c'est agréable. Moi, je suis pas capable de Moi je suis trop dédaigneux

Pour enculer Moi Pour de vrai On est rendu là les amis Pour ceux qui se demandaient On est rendu là On a passé du M4 burrito C'est la conséquence du burrito

Moi pour enculer Ça prendra un condom avec du Purell. Tu l'as jamais fait? Non, j'ai déjà enculé. Le Purell, ça chaufferait le ring à ta femme. Sam, à un moment donné, on était avec Dave, dans l'appart à Dave,

on prend un verre, c'est bien tranquille, on jase très relax, et de nulle part, Sam se lève, « Moi, je mange des culs! » « Attention! Attention! S'il vous plaît! » « Ah! » « Si tu me mets dans de l'eau chaude, les bottes sont-tu prêtes? » « Oups! Elles ont collé! »

« Non mais... » « C'est pas vrai! » « T'imagines, ça prend tout un cul avec les palettes qu'il y a, c'est agréable! » « Ben oui, oui! » « Mais je les enlève, c'est indenté! » « Non mais... » « Non mais on niaisait quand enlève, c'était un dentier. Non, mais... Non, mais on y aisait quand même. C'était pas out of nowhere.

Oui, c'était... Non, mais c'était out of nowhere, mais après ça, on t'a pas posé de questions pis t'en as parlé pendant 15 minutes. Ben oui, non, mais tu sais quand t'es passionné. Non, mais j'étais... Mais dans le show 3X, là, tu sais, je l'explique. Ah, c'était malade, ça.

Moi, j'étais un gros mangeux de cul. Non, mais... As-tu vu comment c'est plus drôle quand c'est lui? Moi, je le dis, les gens sont comme, il est dégueulasse. Ça me le dit, c'est comme. Moi, j'étais un gros mangeux de cul. Tu veux commencer plus drôle quand c'est lui. Moi, je le dis, les gens sont comme « Il est dégueulasse. » Ça me le dit, c'est comme « Ah, ça passe. » Quand Mike, tu dis « Moi, je suis trop dédaigneux pour se domiser. » Il est vraiment pas dédaigneux.

Avant le podcast, il m'a passé sa brosse à dents. Ben oui. Je suis inquiet. Il mange des culs, Chris. T'as un peu le cul de ma blonde dans ta gueule en ce moment. Elle goûte très bon. Je prends ma douche. Non, non, moi, te laver aussi. Ok, alors... Non, non, mais moi, je suis un... Non, mais c'est con, mais on dit ça pour niaiser, mais, tu sais, honnêtement, on en parlera à tout le monde ici. Il y en a qui mangent des culs, il y en a qui mangent des vagins, puis il y en a qui sont pas capables. » «Il y en a qui sont des burritos, puis c'est bien correct. » «C'est ça, oui, oui. Mais c'est ça. Moi, je me connais bien.

Je suis un gros mangeuse. Moi, je suis capable. J'adore ça. Non, mais tu dis plus, c'est drôle. Gros mangeuse. Moi, je suis capable. Moi, je mange des culs. Oui, t'en manges aussi, mais... J'aime ça quand vous parlez des culs.

Mais... En général. C'est comme une profession. Oui, c'est ça. Électricien, plombier, mangeuse. Mange des culs, oui. On peut partir le condo. T'as pas assez de tête, c'est comme une profession. Électricien, plombier, manger des culs. On peut partir le condo. OK, on a fait le test.

Ton frère va devenir scientifique. Toi, tu vas manger des culs. La chaleur d'une paire de fesses quand on ouvre la porte du poêle. Moi, c'est le concept... Excuse-moi, Mike. Excuse-moi, Mike, j'ai mis l'image trop fort. On reprend.

Ah, une pizza levée au four, l'esti. C'est du resto? Non, c'est Anuso. C'est clair, l'esti! Ça, c'est ma meilleure! C'est ma meilleure! Bon. Ça devrait être le titre de ton show. C'est pas du resto, c'est Anuso. C'est blanc ou c'est blanc, l'anuso, l'esti.

OK, vas-y, Mathieu, c'est Anuso. C'est blanc ou c'est blanc, Anuso. OK, vas-y, Mathieu. Tu parlais de cul. La fiche, c'est juste toi qui regardes à travers une fente. Alors, fait que là, ça fait 1h40. Éteins la lumière, on parle de cul. 1h50. 1h50. OK, fait qu'on va...

Au show 3X, Sam a fait un numéro là-dessus. Sur le fisting. Mais c'est comme s'il donnait un cours. C'était là. J'ai jamais refait ce numéro. C'était génial. Tu l'as refait une fois au jockey. Pour moi, parce que je ne l'avais pas vu

et je n'avais entendu parler. Il dit «Motel Fire». Il est venu au jockey où j'animais. Il l'a fait. Le public, les 100 filles ont fendu. Ils ont fendu. C'était quoi le... C'est quoi la technique pour bien fister?

C'est juste que j'explique que le premier... Je peux pas encore m'expliquer ça. Oui! C'était tout le jeu physique. Il y a mané quelqu'un dans la vie qui l'a fait pour la première fois, le premier fisting de l'humanité. Moi, j'imagine que c'est les années 1600,

avec D'Artagnan, avec sa femme Constance sur le bord du château. Et là, ça remonte, la Rome médiévale. Puis D'Artagnan, évidemment, il commence pas ça de même. Il commence à un doigt, c'est le majeur. Tu prends le plus long. Tu prends le petit doigt, ça châteauille, c'est pas confortant.

Tu prends le plus long. Puis là, j'explique une gradation. Mais à un moment donné, il fait le mouvement, comme tu sais, tu sens l'os. Tu sens l'os. Oui, ça, c'est quand j'explique prends le plus long, pis là, j'explique une gradation. Mais à un moment donné, il fait le mouvement comme, tu sais, tu sens un lousse, tu sens un lousse. Ouais, ça, c'est quand j'explique quand embarquer le deuxième doigt. À un moment donné,

il y a comme un jeu dans la porte. Il y a un jeu dans la porte, c'est loussé, tu t'engueules, c'est un deuxième. Comment c'est vertical? C'est plus poli. Tu commences vertical,

après ça, tu teurs, tu teurs sur l'horizontale, 3, 4, à un moment donné, t'es en bec de canard, tu vois, t'enlèves tes doigts jusqu'aux jointures, ça reluit, tu vois? Tu peux voir? Pis là, t'attends que Constance te donne le cue, parce que, tu sais, c'est une question de respect également.

Non, mais c'est pas le gars qui décide, c'est la femme, elle a regardé, j'imagine qu'elle a regardé D'Artagnan, pis que, d'ailleurs, lui, il avait enlevé son gant de cuir, là, tu sais, on prend un spain-cœur, elle gant de cuir il lui a dit c'est pas moi tu pourrais me noquer le clip et là j'explique la nuit le matin quand il va voir ses chums en chevaux en tout cas c'est une histoire mais c'est ça je la fais même pas en show tu pourrais faire le gala raconteur avec ça ou le gala fisting un jour un ou deux on fait le gala fistingur avec ça. C'est ça, mais il y a plus de place. Ou le gala fisting.

Un jour, un an ou deux, on fait le gala fisting. Je vous invite les deux. Ce serait drôle ça pour remplacer le show 3X. T'as le gala fisting. Qu'est-ce qu'il y a

des anecdotes de fisting? Jamais. Mike, c'est pas tombé dans l'oreille d'une banane à cette histoire-là, mon gars.

C'est sûr qu'on fait ça. Aux Oufers, tu viendrais? Oui, tu viendrais, je te promets. Pas cet été, mais l'année prochaine. Non, non, non. Il est trop tard cette année. Peut gars, c'est sûr qu'on fait ça. Aux Oufest tu viendrais? Oui tu viendrais je te le promets. Pas cet été mais l'année prochaine. Non non non, il est trop tard cette année. Peut-être l'an prochain, le Gallof Easting.

Gallof Easting, je suis là. On vient-tu signer quelque chose? Space 4 il y a trois copies. Gallof Easting. Toi aussi Jay. Invite Julie Snyder. Il faut que Julie soit dans la salle. Mais mec, on parlait de manger le cul, puis tu allais dire quelque chose,

mais on t'a coupé comme deux. Moi, manger le cul, j'ai pas de problème avec ça. C'est l'idée que mon pénis est loin dans le cul. Fait que t'as mieux la langue que le pénis. Ça va pas loin, la langue. Non, mais je pense que la langue... Si ma langue était ça de longue, j'irais pas fouiller des intestins, là, tu sais.

Si t'étais un serpent, t'en montrais la moitié de l'intestin grave. Là, je serais... Ah non, c'est ça. Oui, non, mais c'est comme une trappe d'air, tu sais, quand tu passes ta langue, là. Ça fait des petits sons. C'est bien agréable.

Moi, en ce moment, je pense à mon public de vrac qui va écouter ça. Ils vont apprendre en sacrement. Ben oui, il faut apprendre. Tu dis comme un puchine clémentienne, on peut dire comme un mangent le cul. Tu sais, c'est ça la vie. Tu vas en vivre de toutes les sortes. Fait que là, on va aller aux questions.

Je sais pas si vous avez des questions. On va faire trois questions. Juste trois? Trois questions. Sinon, le monde... Si c'est questions parce que sinon le monde si c'est illimité le monde ne se force pas dans la question

ils vont se forcer ça prend trois questions pour que les gens se forcent ok surtout le troisième ou la troisième il faut qu'il close

en chef oui il faut qu'il on a quelqu'un au micro la personne qui est allée chier sur le tabouret.

Allô? Oh yeah. C'est une question pour les trois. Le micro ne marche pas, mais c'est tellement petit. Génial. C'est quoi votre pire expérience de léchage de cul ou de sodomie? Léchage de cul? T'abarnas que c'est mon père! C'est mon père!

Meilleure expérience de lichage de cul. On est rendu là. Sam, il y avait une soirée. Tu as connu les soirées GHB que Frank Grenier animait. Sam, quand il est allé, évidemment. C'était une soirée gore. C'était de l'humour trash. Il fallait que tu écrives un numéro spécial

pour cette soirée-là. Et quand Sam est invité, moi, Dave et Kat Levesque, on est allés le voir parce qu'on savait que ça allait être un événement et ça,

ça aurait dû être capté et jouer à Canal D pendant les 20 prochaines années. Ça reste carré. Je pensais que ça aurait passé, mais en tout cas, ça serait trop à expliquer.

Il est peut-être à le mener en live sur Facebook. Il est où Dave Godet quand on a besoin? Moi, j'en ai une anecdote, mais je vais... Moi, à l'époque que j'étais

à l'école de l'humour, mais je ne peux pas dire le nom de la personne, mais... Mike, Mike, on est en famille. Non, mais pas de vrai. Je ne peux pas. Ça va vraiment mal virer. Mais c'était une de mes professeurs de l'école de l'humour qu'on était sortis, on avait bu,

on avait bu. Vraiment, ça avait viré. Je l'avais ramené chez nous. Là, elle commence à me soucer. C'était genre... J'avais eu un show la veille. J'avais viré une brosse. Je ne m'étais pas couché.

J'avais refait un autre show. Ça faisait deux jours. J'étais sur la brosse sans dormir, sans retourner chez nous. Elle me suce. Puis là, je suis pas bien. Puis je suis comme « Hey, je peux-tu aller me laver? » J'ai fait deux shows. Je me suis pas lavé. Aussitôt que

j'ai dit ça, elle commence à me licher le cul. Elle en voulait. Elle en voulait. Oh! Tout de suite. J'étais même pas proche de venir. Puis tout de suite, j'ai fait comme... Qu'est-ce que t'as fait, Mike?

T'sais, j'suis venu... Non, mais... T'sais, ma... J'ai quasiment réveillé mon voisin avec mon comme-choc. Sa graine était comme les bonhommes sur le top des kiosques. Ah, dans ce style-là.

Ouais. T'es un arnaque. Mais est-ce que c'est la fois que t'as le plus... La session était pas finie. Par une de mes profs... Elle t'a redonné des cours après? Oui. La question qui tue, as-tu passé ton cours?

Oui, oui, non, j'ai passé mon cours. Oui, excellent. Mais ah oui. Mais elle a pua jamais pu travailler. François Vard! Je t'ai salué! Ce serait drôle que ça me fasse rire. Je suis content pour toi, Mike!

Je suis content pour toi et Stéphane qui t'a vécu ça. Bravo, Mike! Oui, c'est ça. Moi, c'est tout le temps bien. Moi, il faut dire que je suis un lover. Ça fait cinq ans que je suis avec ma blonde. Un lover ou un laveur? Les deux. J'aime la propreté et aimer.

Je suis les deux. Moi, je n'ai pas vraiment d'anecdotes. Il y a un de mes amis, en fait, tu connais, Patrick Laperrière. Qui est ici ce soir, d'ailleurs. Le pic-bois. Il est là. Il a la graine à'ailleurs? Qui est-tu? Le pic bois, le pic bois. Il est là, il a la graine en l'air.

Ça se fait aller le phallus à tout moment. Pas de vrai. Le monde, aller sur YouTube, le pic bois, c'est hallucinant ce qu'il fait avec le bois. C'est drôle, c'est fun. Ce gars-là, qui est un auteur aussi, moi, je travaille avec Pat, on faisait une petite niaiserie.

Il m'a envoyé, c'était ma fête, deux jours, un petit tantôt, il m'a envoyé une vidéo. Tu peux pas croire qu'un ami va t'envoyer ça. Je ne sais pas si je le décris. Je ne sais pas si ça se met à la fin. Vu qu'on est sur YouTube,

ils vont le censurer. Vu que la question avait rapport avec... En fait, ça va être beaucoup moins drôle de ce que ça en a l'air. C'est deux filles sur un divan. Il y a une fille qui est en train de manger le cul sur un assistant. Genre, ça fait 48 heures que je n'ai pas mangé, ton cul est à Big Mac, laisse-moi aller. Après, elle lèche aller-retour, elle va comme je te suis, puis change de côté, vous vous êtes trompés, yasti.

Puis elle y va, puis elle m'amène, elle sort une tenue, ça comme fouetté. Puis elle n'en met pas sur le dessus, là. Elle insère le bout dans la lueur. Tu entends le son. Le son est assez long. Tu te dis, est-ce qu'on fait le plein? Oui. S'il y en a qui est sorti de son nez,

ça serait l'histoire parfaite. Elle n'a pas assez fourré pour ça. Au niveau de la crème boîtée, hashtag Tim Hortons. Fait que là, elle met. Puis là, du moment où elle l'enlève, la fille est là, son plaisir, c'est de se faire péter de la Cool Whip dans la face.

Et elle reçoit de la Cool Whip. Et à chaque pète de Cool Whip dans la face, elle diluche l'anus, elle est retour. Et là, c'est une pièce d'anthologie, vous allez me dire. C'est sur le site rainbow.com. Écoute, il faut vraiment... Comme dirait Yannick Margeau, il faut le voir pour le croire.

Exactement. Alors, c'est une référence de l'année 90. Bon, parfait. Vraiment, c'est un des plus beaux mangeages de cul que j'ai pu constater dans ma vie. Je ne sais pas si on va pouvoir le mettre, mais ça serait crée, j'admets, sur ma page Facebook. En tout cas, c'est un mangeur de cul à la Cool Whip.

Je pense que toi qui n'es pas habitué, as-tu déjà mangé un cul, Jay? Absolument. OK, parfait. Non, non, non. Ma mère va... Non, non, non. Putain, c'est correct, c'est avec ta mère. Non, non, mais tu prêtes.

Non! Putain! C'est pas vrai, Nicole. C'est pas vrai, Nicole. Non, non. C'est ça qu'il te parle. C'est tout de ce qu'on parle. Je suis un ami que tu veux. Les parents, je veux pas que tu tiennes avec lui.

Moi, je suis la bonne référence. Mais Sam, manger un cul avec du Cool Whip, c'est comme tricher. C'est comme... T'aimes pas vraiment le goût d'un cul. C'est comme la tequila avec l'estron. Il faut que t'acceptes qu'à tout au tard, y'a le nouif de marde.

Le nouif de marde. Assume. Sam vient de la campagne. Ça lui rappelle son enfance. Il aime ça. Non, mais c'est ça. C'est vrai. Tu te dis, t'as jamais tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis, tu te dis couilles. Ah oui, Claude! Dans ton histoire. On ne pourra jamais rater. Non, mais attention! Salope, dans le moment présent, cette fille-là,

c'est une bonne fille, une bonne madame, mais dans le moment... Non, mais dans le moment, elle aurait aimé ça, clairement, écoute, tu n'as pas pris ta douche, tu as attelé sur les couilles. Elle m'a lavé! On pourrait hashtag donner au suivant à ça quand même.

Non, mais ça, je veux dire, c'est qu'à ce moment-là, elle aurait aimé ça se faire traiter de salope parce que dans l'excitation, c'est sûr. Après ça, je ne traite pas personne de salope. Mais 19 ans plus tard, se faire traiter de salope, je pense, c'est trop.

Reprends le temps perdu, Mike. T'as ton vie qui te mange les couilles. Ah oui, c'est bon, ma salope. Elle peut triper, mais tu ne peux pas la rappeler 22 ans après le fer. « Tu te rappelles ça en 84? » « T'es une criste, salope, tu m'as mangé le cul. »

« Ah oui! » « 1-0 pour moi. » « C'est ça pour boire, c'est ça pour boire. » Et toi, Jay? Toi, t'as juste fait une fois. Non, là, regarde, moi, je suis curé. J. Tu réponds à la question.

Voulez-vous que je vous dise? Mais, paye sur pause. Non, non, non. Paye sur pause? Non! Ça veut juste dire que tu veux qu'elle attende avant d'avoir l'histoire de cul. Ça devrait être fast-forward ou continuer à écouter.

Hostie, j'étais à mes prochaines questions. Ben non, mais... Quand je l'ai faite, j'ai appelé Sam pour y dire. Oui, c'est vrai. Ah oui, c'est vrai. Il était fier. C'est ton premier mangeage de cul. Je me suis dit, Sam, c'est weird, j'ai pensé à lui.

La fille était-tu à côté de toi? Ah oui. Non, mais tu sais, Chris, c'est weird J'ai pensé à lui La fille était-tu à côté de toi? Non mais tu sais Chris J'ai pensé à lui J'ai pensé à lui Il était content C'est le fun C'est valorisable à personne C'est pas ça dans ton CV

C'est une qualité de plus Aventurier C'est pas ça dans ton CV, mais c'est une qualité de plus. Aventurier. Arthur l'aventurier. Je l'appellerai plus jamais de la même manière. Occupation double, c'est vraiment un gros show. Fait que tu risques de gagner un prix... Pas métro star,

galop artiste, animateur de l'année. Fait que toi, ça va être malade s'il gagne animateur de l'année pis tu vas être comme, il m'a appelé quand il a mangé un cul. Je serais pas peu fier. Je vais te le dire, je serais pas peu fier de ça. Je serais sûr que tu le tweets

pendant qu'il va gagner son prix. Tu le prends en photo, tu es juste très fier de lui. À moi, ça, il m'a appelé quand il a mangé un cul. Vous voterez pour moi, ce serait malade. On va aller avec la prochaine question. Deuxième question.

On est dans des eaux troubles. J'espère qu'on va changer de sujet. Restez chetannés. Des questions de fisting. Si possible. Oh, il y en a un qui s'en vient. Excellent. Un aventurier.

J'aime ça qu'il ne s'est pas pris d'avance. Oui? Oui, je pense. Est-ce que la professeure, c'était Louise Richer qui t'a fisté? Non, non. Ce n'était pas Louise Richer. Louise Richer, c'était la directrice. Puis, elle ne m'aimait pas assez pour me le dire. On dit ça, on dit ça, mais regarde. Pas de vrai, je peux pas le dire. Je peux vraiment pas le dire.

Il s'est quand même déplacé pour poser cette question-là. Oui, non, c'est ça. T'en as-tu une autre? Mais j'aurais aimé ça que, juste ça, ça serait assez pour me casser pis que je fasse « Tu m'as eu, câlisse! » Ben oui, esti. Dévoilé, passé gros, réclamez 200, tabarnak! » Non, en fait,

j'avais une question un peu plus sérieuse pour Sam. J'aimerais savoir, vu, par exemple, je pense... Comment ça, tu t'égaillais pas pendant les questions

de « Moi qui mange le cul » à Louise Riger? Puis là, tu recommences à t'égailler. « Ben, t'es intimidé, je suis connu, t'es pas connu. Oui, je pense que tu fais semblant de bégayer mon calliste. Non, pas du tout, hélas.

Euh, je me... Ben... Moi je veux juste dire là, non mais c'est parce que les gens qui bégayent, t'es pas le seul pis y'en a plein, pis j'en connais. J'fous ça le fun la sti que tu te lèves le cul calliste pis que tu aimes quand même parler dans le débat. Where they go, where they go! Ah ouais, all the way! »

« Prends ton temps, mais ah ouais, tabarnak! » « Du monde, tu parles comme ça! » « Je t'agace, je t'agace, tout le semaine, je t'agace. » « Vas-y, je t'agace. » « Bonjour, est-ce que tu crois que certaines séries plutôt dramatiques qui abordent le suicide peuvent pousser les jeunes à se commettre ce suicide-là. Comme certains espères prétendent.

Comme 13 Reasons. Il faut d'ailleurs que j'écoute. Je ne peux pas encore, je n'ai pas encore écouté. Non, vraiment pas. Je sais qu'il y en a plusieurs qui ont dit que ça, c'est un gros crise de nom. Personnellement, je ne peux pas... C'est parce qu'il y a tellement d'éléments qui entrent en ligne de compte

quand quelqu'un se pousse jusqu'à faire l'acte. On s'entend, quelqu'un qui dit « Ah, c'est parce que j'ai écouté ça, j'ai passé à l'acte suite. » Il avait de la marre d'accumuler là-dedans. C'est parce qu'il y a aussi l'inverse. Il y a des gens aussi qui vont dire « Non, moi, c'est quand j'ai écouté ça,

puis j'en ai vu d'autres souffrir, puis j'ai vu d'autres... » Aussi, de comprendre la souffrance que ça crée aussi autour. C'est ça aussi, des fois, les gens que... Moi, je suis convaincu que mon ami qui s'est suicidé ne connaissait pas beaucoup de choses. Il n'a pas pensé à toute la manque qu'il a faite à toi, à ses parents. Je suis convaincu, puis je le dis vraiment, puis je suis convaincu que sa famille pense la même chose que moi.

C'est pour ça que je n'ai pas peur d'en parler. Autant de faire des gags, parfois qui peuvent être déplacés. J'en parle de toutes les façons possibles. Je pense que, comme je disais tantôt, on comprend le deuxième degré, puis je t'investis là-dedans, puis tout ça. Mais je pense que, mon ami,

tu n'es pas conscient de tous les impacts que ça pouvait avoir. Puis je pense que le fait de quelqu'un qui est suicidaire, puis qui pense à ça, puis qui écoute ce documentaire-là qui frappe en esti, on s'entend, on se considère comme des gens équilibrés. Mais ce n'est pas un documentaire.

C'est une série. Qui va revenir d'ailleurs. Mais il va revenir en documentaire. Oui, c'est ça. Un documentaire mixé avec des informations sur les requins blancs aussi. Ça va être très excellent. Pour des gens, on se considère sains d'esprit.

En tout cas, je veux dire qu'on ne pense pas au d'esprit, pas dans le sens que je veux dire, qu'on ne pense pas au suicide, ça nous fesse. Ma soeur l'a écouté et m'a appelé en pleurant. Ça fesse en crise. J'ai entendu aussi des gens qui ont dit « Moi, c'est en voyant ça, en écoutant des gens qui ont souffert de ça,

que ça m'a donné une claque de « Non, je ne peux vraiment pas faire ça. » Je pense que peu importe la façon que ce soit vraiment trash, des choses mineures ou majeures, je pense qu'il faut en parler et comme j'ai dit tantôt si c'est un documentaire de cc une série ne serait ce que tu écoutes pendant une heure c'est ce qui te pousse à l'axe il y avait vraiment beaucoup d'autres choses d'accumuler dans ton historique qui faisait pas de l'oeil à personne qui a gardé sa en zanker et ça c'est cool la vie. » Non, non, non, c'est ça.

Je pense que c'est vraiment... Je ne suis pas du tout du côté de « Non, non, non, il ne faut pas que ça revienne. » Ça incite le monde à faire ça. Loin de là, au contraire. Laisse faire le déni. Ça arrive trois fois par jour ici au Québec et ailleurs dans le monde, malheureusement. Chris, sais-tu qui ça prendrait comme porte-parole? Marie-Lou.

Vu que c'est trois fois par jour que ça arrive. Moi, j'avais fait un... J'avais fait un vidéo en 2012 ou 2013. Oui. J'avais pris juste mon sel, j'avais juste parlé avec mon coeur, puis c'est tout.

Il y a Dave qui m'a appelé. Il m'a dit que ça allait être viral. Mais pas vrai. J'avais Dave qui m'a appelé. Il m'a dit que ça allait être viral. Mais pas vrai. Je l'ai fait à la bonne franquette. Je l'ai mis sur ma page. Cette vidéo-là, c'est complètement enflammé. C'est souvent ça, les vidéos dites virales, comme tu t'attends à rien.

J'avais passé à Paul Arcand. Je me suis dit que si cette vidéo-là peut voyager, il y a plein de monde qui m'écrivait. Les gens aussi t'écrivent. Ça me fait du bien d'écouter ta vidéo. Mon père s'est pendu hier. Et moi, je reçois ça comme message. Évidemment, je réponds toujours avec ton cœur.

Mais comme tu les réfères aux professionnels aussi, tu ne veux pas trop t'investir. Tu ne veux pas faire « Yes, sir, hashtag Vera ». « Yes, all right ». Tu vas-tu le suivre, lol? OK, non. Mon gérant avait écrit « À Marie-Lou ». Juste pour le fun, ne serait-ce que c'est quelque chose qui la touche, parce qu'elle avait vraiment beaucoup de likes sur sa page, c'est bien le fun pour elle.

Je pense qu'elle avait... Je sais pas si elle avait pas répondu. Elle a sûrement reçu plein de messages, peut-être bien qu'elle l'a pas vu, mais ça l'a dit. J'avais fait un clin d'œil à Marie-Lou en voulant dire, « Chris, si tu peux, rendu là, on est loin, justement, des morphines pis de la farine. C'est juste d'humain à humain. Je sais que ta page sert pas pour ça.

Moi non plus, je fais de l'humour pis je l'ai mis là. Tu voudrais-tu que ce vidéo-là se fasse entendre plus qu'une fois? » Et la réponse a été non. Ouais, c'est ça. Mais non, je pense qu'il y avait pas eu de réponse. Non, non, ouais. Mais je pense, tu sais, ne serait-ce que le fait qu'on en. Mais non, je pense qu'il n'y avait pas eu de réponse. Non, non, oui. Mais je pense, ne serait-ce que le fait

qu'on en parle ce soir, je pense que ça... On sauve des vies. Mais peut-être. Mais veux-tu te dire, on rit, mais c'est vrai. Moi, mettons,

il y a eu un suicide dans mon école secondaire puis quand on est rentrés le lundi matin, tu sais, une école secondaire, comment c'est vivant, comment il y a du bruit,

même, ça bouge, et quand la cloche sonne, tout le monde sort et c'est silence d'une école secondaire, comment c'est vivant, comment il y a du bruit, ça bouge, et quand la cloche sonne, tout le monde sort, et c'est le silence d'une école, je ne vais jamais oublier cette journée-là. Je me dis juste, si on en parle, c'est ça qui est dur, c'est qu'on sait les cas qu'on a échappés, mais on ne saura jamais

les cas qu'on a sauvés. C'est pour ça que je pense que tant qu'on en parle, c'est important. Souvent, en tant qu'humoriste, on a ces messages-là. Tu ne le réalises pas en comptant tes petites conneries sur scène ou sur le web. Il y a du monde qui fait « Je t'ai vu. » « Tu m'as fait rire dans un moment dark de ma vie. » « Tu m'as sauvé. »

C'est justement cette phrase-là que tu viens de dire. Il y a des professionnels. C'est ça leur job de le dire aux gens. Tu l'as juste mentionné de même, on a senti une vague de « Ah, Chris, c'est beau, c'est vrai ». Mais c'est souvent ça. Moi, en mon secondaire, en cinq ans, je n'ai aucun style souvenir d'avoir vu des affiches de ça. Oui, il y avait l'intimidation,

il y avait un gars qui peinturait avec ses pieds. Bravo, mais je suis comme « Chris, c'est pas ça ». Non, non, mais c'est tout à son honneur. Ça, c'est le gars pas de bras qui peinture avec ses pieds. Bravo, mais je suis comme Chris. C'est pas ça. Non, non, mais c'est tout à son honneur. C'était odd. Ça, c'est le gars pas de bras qui peinture avec ses pieds. Mais j'aurais aimé ça. Tu sais, une conférence... Ce gars-là, tu le sais pas, mais il a fait un nœud et il s'est pendu avec ses orteils. Je sais que j'avais pris des photos.

En tout cas, ça avait été une histoire. Mais justement, je pense que c'était bon. C'est à l'adolescence, justement, où dans ta tête, il y a plein de chemins qui se croisent et tu sais pas trop où tu t'en vas. des fois oui et des fois non c'est bon je pense d'avoir une conférence de quelqu'un

qui vient te parler du suicide comme ça l'existe et c'est vrai et moi j'ai perdu mon père ça te fait son esti oui c'est qui où tu fasses un bateau

avec ton esti de longue orteille à côté de ton gros orteil mais je veux dire ça aurait été le fun aussi d'avoir ça qui te saisit à l'adolescence et qui peut te permettre de transmettre des messages.

Puis d'entendre un gars qui dit « Moi, quand ma mère s'est suicidée, ça a fait une onde de choc, vraiment. » Ça te fait prendre conscience. « Hey, tabarnak, si un jour j'arrive là, il faut que je pense aussi à tout ce que ça peut coûter. » Oui, ça scrappe des vies. Oui, c'est ça. Je pense que ce serait vraiment nécessaire. D'ailleurs, c'est ce qu'ils font, comme je le disais tantôt,

avec l'argent qu'on ramasse, à faire des projets dans les écoles secondaires, avec les adultes aussi. C'est du 777, le suicide. C'est pour tout le monde. Aussi, dans les écoles primaires. Je trouve ça bien le fun. C'est une fierté d'être associé à eux. Très cool. On va aller avec la dernière.

On peut applaudir. On parle de fisting, mais on parle aussi de prévention. J'aime ça que, si on était un vrai show télé, on finirait là-dessus, vu que c'est une belle fin, une belle morale, mais on va finir avec une question de... De la pression.

Oui, c'est ça. Fait que toi, la dernière question, je sais pas c'est qui qui a cette pression-là. Bonjour. Salut. Juste sa voix, c'est dégueulasse. C'est pas ça. Ma question, c'est dégueulasse. C'est pas ça. Ma question, c'est un peu plus riche de vous trois.

Dans le fond, celui qui t'a posé la question de mangeage de cul tout à l'heure, mais c'est sa fête aujourd'hui, pis c'est un hobo qu'on a pogné sur le Square Berry tantôt. Fait que si t'es dans, tu payais une bière, ça serait super après. C'est vrai, Jean-Charles. Y a-tu un sans-abri pour de vrai?

Ouais, ouais, c'est celui qui t'a posé la question. Moi, y a un affaire que je donne tout le temps au sans-abri pour de vrai? Ouais, ouais, c'est celui qui me pose la question. Moi, y'a une affaire que je donne tout le temps aux sans-abris. Les 100 piastres? Non, je donne les 10 piastres McDo. Donne-y un 10 piastres McDo. Pis toi, mangez le cul, par exemple. Ça.

J'aime. C'est clair que c'est pas un vrai sans-abri. Parce qu'ils l'appellent un hobo. Comme si on était en 1952. By the way, on dit « robot », hostie. Fait que c'est ça. Fait qu'on finit le show avec ça.

Mais Mike, c'est fin ce que tu as dit. T'as aidé un sans-abri. J'ai aidé un... Mais c'est même pas un vrai sans-abri. Toi, t'étais stage. C'est mon gér-abri, c'est ça dans la city? Ça finit bien? Mais c'est même pas un vrai sans-abri, chagrin. Tout est STJ, vous êtes tous des naïfs à la maison. C'est mon gérant qui est en avion. Qui est comme, yes, on va m'acheter 8 McFlurry. C'est lui qui est tombé tantôt.

Fait que, ben, là, les gars, c'est quoi qui arrive pour vous? C'est quoi que vous avez à plugger? Si on veut savoir, mettons, te voir en show, on te suit sur Facebook? Oui, ma page Facebook pour mes shows, mes 90 minutes, sambroton.com, tout est là. Tu as comme 70 000 followers Facebook.

Quasiment 70 000 fans. Je remercie d'ailleurs pour votre générosité. Merci de me suivre dans mes folies. Bienvenue. Merci beaucoup, Mike. Sambroton.com, tout est là. Sinon, j'ai fait fais comme dirait Yvan Ponton au jeu qui est animé

il y a 15 ans Ricochet à mon ami Jay et Jay toi le 8 septembre t'es au Metropolis pour acheter des billets c'est où qu'on va?

jaydutombe.com jaydutombe.com pis là déjà t'es à moitié sur le dance ça va se vendre vraiment rapidement ouais on est déjà

on a tapé le 500 billets là là il en reste 500. OK, dépêchez-vous. Allez, puis après ça... Je fais des shows un peu partout aussi, comme Sam. Moi, je vais aux îles, mais je retourne à Québec. Je me promène un peu au mois d'août aussi.

Je me promène, je fais Zoofest. M4 Burrito, ça le fait en résidence. Puis après, à partir du mois de novembre, tu te promènes partout pareil. Excellent. Merci, les gars. Merci les gars. Merci à vous autres. À la semaine prochaine, tout le monde.

Merci beaucoup. La semaine prochaine, on va parler encore de licher des culs. Merci. I'm out.