Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #122 – (Matthieu Pepper et Pierre-Luc Pomerleau)
Episode Date: July 9, 2017Cette semaine à Sous Écoute, Matthieu Pepper qui revient tout juste du Beach Club pour nous en parler et Pierre-Luc Pomerleau qui nous fait des.... imitations??? https://youtu.be/88AOojaC3...l4 ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
En direct du Bordel Comedy Club à Montréal, voici Mike Walsh sous écoute!
Merci beaucoup!
Bonsoir tout le monde!
Bienvenue à Mike Walsh sous écoute!
Cette semaine, merci à la personne en arrière qui applaudit
clairement trop longtemps. Ça là,
je respecte ça, le monde
qui fait comme « Fuck you, c'est moi
qui ai raison. » Ça mérite
une grosse clap. Cette semaine,
j'ai quelqu'un qui mérite une grosse clap.
Nous, nos réseaux
sociaux de Mike Ward sous-écoute
sont gérés par un gars
qui s'appelle Jason Babin,
qui est déjà venu une fois au podcast, qui est venu une couple de fois voir.
C'est un gars qui vit à Hill River Crossing, au Nouveau-Brunswick,
qui est descendu du Nouveau-Brunswick pour le show.
J'aimerais ça qu'on l'applaudisse.
Jason Babin, viens-t'en, Jason.
On va te parler un peu.
Pendant que tu es encore agent à jeun, yes sir.
Ça va bien?
À jeun.
Là, toi t'es descendu ce matin, t'es parti de chez vous à 9h le matin.
Ouais, on a fait 8h de route.
J'ai exprimé le goût de m'asseoir là parce que la dernière fois j'étais assis ici.
Comment je dirais ça?
La dernière fois t'avais l'air de Jean Ferré et moi j'étais assis ici, pis t'sais, il y a... comment je dirais ça, c'est... la
dernière fois t'avais l'air de Jean Ferry pis moi j'étais comme le nez en arrière.
Y'a du monde qui... moi je les vois tous vos hosties de commentaires sur l'internet.
Mais je pense que ce commentaire-là c'était plus le monde qui me traitait de gros tas
de marde, t'sais, c'était plus un insulte, mais moi tu peux t'asseoir là si tu veux.
Non, non, c'était des blagues.
Non, non, assis-toi là, moi je vais me mettre en arrière.
Puis on va voir si le monde pense que...
Non, je suis correct, j'ai écouté, je vois avant les autres, les épisodes,
puis je voyais Éric Etienne, lui était en arrière, mais il était quand même plus comparé à toi.
Mais non, c'est...
Là, tu...
5 et 6, je ne suis pas...
Mais tu pèses combien?
5 et 6.
Tu pèses combien?
Selon mon docteur,
je suis mon poids santé.
Je ne sais pas.
150.
Selon ton docteur,
j'aime ça. J'ai été la semaine passée.
Je peux me vanter.
Je suis mon poids santé.
Tu n'as jamais été chubby?
Quand on s'est rencontrés,
j'étais 20 livres de plus.
Je ne sais pas si tu te souviens quand on s'est rencontrés.
Je me rappelle vaguement.
C'est genre, ça fait comme 10-11 ans passé,
à Chupaguin,
au Nouveau-Brunswick.
C'est-tu le show,
c'est-tu l'affaire du train de l'humour?
Non, ça c'était à Petit Rocher,
je n'étais pas là.
C'était-tu dans la tente? C'était- affaire du train de l'humour? Non, ça c'était à Petit Rocher, j'étais pas là. Ok. C'était...
C'était-tu dans la tente?
C'est une tente, oui. Je sais pas si tu te souviens,
je faisais du genre de fan art.
Je t'avais envoyé quelque chose, c'était Beavis & Bored.
Dans ce temps-là, je faisais...
Là, je sais comment utiliser Photoshop.
Dans le temps, j'avais fait quelque chose sur Paint.
C'était Beavis & Bored en poudi et chabot.
Je t'avais envoyé ça. Puis ça temps, j'avais fait quelque chose sur Paint. C'était Beavis and Bored en poudi et chabot.
Ça m'envoyait ça.
Puis ça, on échangeait des mots sur ton blog,
sur mycworld.ca.
Moi, je réalisais pas que je parlais à toi quand j'envoyais des choses.
À qui tu pensais que tu parlais?
Tu pensais-tu que c'était Réal Belland qui gérait?
T'avais une équipe.
Je pensais que t'étais comme Martin Mat.
T'avais une grosse affaire derrière toiais que t'étais comme Martin Matt. T'avais une grosse affaire d'arrivé.
Non, c'était juste moi.
Non, c'était ça.
Je sais pas si tu te souviens de I Watch You All The Time.
Oui, oui.
Ça, je le sais pas.
C'était viral dans le temps.
Hey, Yann, peux-tu rajouter ça au montage?
Hey, there you go.
Enjoying the act so far?
I Watch You All The Time. Good to hear. Good to hear. C'est une so far? I watch you all the time.
Good to hear.
Good to hear.
C'est une affaire de global à Winnipeg.
C'était genre un monsieur qui était lent un peu dans son mot.
Un attardé mental.
Oui, oui.
On peut le dire.
J'essaie d'utiliser les bons mots que je ne voulais pas.
J'aurais pas demandé de faire mes taxes à ce monsieur-là,
mais c'est un Askatoun ou quelque part par là.
C'est un gars qui est genre l'équivalent de La Ronde. Il trippait trop sur le monsieur qui faisait la météo.
Il était en arrière et c'était comme « I watch you all the time ».
Il fallait que tu sois là.
Je me rappelle que tu étais venu me voir. Oui, puis je te l'ai fait à toi.
C'était la première phrase que tu me disais.
C'est là qu'on était comme soudainement des bros.
Tu es venu me voir, tu m'as pogné la main.
Tu as fait « I watch you all the time ».
Puis là, je suis parti à rire.
C'est ça, parce que tu l'avais partagé sur ton blog.
Je ne me rappelle plus si c'est moi qui te l'avais envoyé.
En tout cas, c'est comme ça que ça a commencé.
Puis là, on a jasé toute la soirée. Après ton show, je n'étais si c'est moi qui te l'avais envoyé, mais en tout cas, c'est comme ça que ça a commencé. Puis là, ça, on a jasé toute la soirée, ben après ton show, là, tu sais, j'étais pas sur le stage avec toi, mais t'as fait ton
show, pis après ça, c'est ça, là, tu jases avec, t'essayais de me, ben, comment je dirais
ça, me matcher avec toutes les filles qui étaient là, là, dans... Mike signait des
boules, il me disait de signer la deuxième. Je te demandais-tu de signer la deuxième?
Ben, là, je m'en un peu, c'était une autre fois, ça, mais...
Ah, qu'est-ce que t'es fait de signer des boules?
Ouais.
Ah, c'est drôle.
Ces fois-là, c'était Edmundson, il y avait une madame.
En tout cas, elle était coquée.
Une madame.
C'était comme...
Elle dit, Mike vient de signer celle-là, veux-tu signer celle-là?
Je dis, ouais, mais moi, je suis personne.
Toute la soirée, elle me flattait.
Elle disait « Toi, t'es pas personne, t'es quelqu'un. »
« T'es quelqu'un. »
Ça, par exemple,
je vais t'exprimer comme une vieille coquée pense.
Elle était comme « C'est personne, j'ai des chances. »
« Je connais Mike. »
Mais non, ça, la même soirée,
comme la première soirée de toutes.
Il y avait eu une... Toi tu te rappelleras pas de ça, c'est que moi, tu sais, je trippais encore...
J'étais starstruck comme on dirait à Porche à nous.
J'aime ça que tu allais dire « je trippais encore sur toi à cette époque-là ».
Non, mais c'est que j'allais dire, je me souviens la dernière fois, j'ai utilisé un anglicisme,
pis je défendais ça comme du chiac, mais tu me laisses savoir que c'est de l'anglais.
Mais non, ça, il y avait deux madames qui...
Une grosse madame, genre...
Imaginez Denis Bobu, mais une madame.
Elle n'avait pas de barbe.
Elle voulait battre une autre madame qui était une petite madame.
Puis là, c'est ça. C'était une ch... Je ne sais pas.
Elle allait se battre et Mike arrive.
«Out of nowhere»
Ça revient à l'autre fois.
Mike arrive. Les deux madames sont en train de se battre.
Elle commence à se battre.
J'ai pensé dans ma tête...
Je reviens à l'épisode avec Eric Etienne pis ça
qu'il se sentait comme ton body girl.
Là je dis je vais avec des références
que personne a vu encore mais...
Là c'est ça que moi j'ai pensé,
faut que je m'en mêle, je veux pas que personne batte ma mère.
Fait que t'as essayé de me défendre contre Denis Barbu madame.
Ben si j'arrivais... Finalement t'as fait comme
t'étais comme un Jedi, t'as dit tu veux pas,
vous voulez pas se battre pis là finalement
elle a pas battu la petite madame ben ça a été... Y'a dit « Tu ne voulais pas se battre. » Finalement, elle n'a pas battu la petite madame parce qu'elle a été...
Il n'y a pas de fin.
Moi, dans le temps, c'est ça qui était drôle.
Moi, je ne sais pas comment me battre,
mais aussitôt qu'il y a des batailles,
je sépare les batailles,
puis dans ma tête, je me dis « Je suis connu,
ils ne me frapperont pas. »
C'était vraiment bon, mais moi,
dans ma tête, c'était comme « Christ, si quelqu'un frappe,
je ne vais pas s'insître pour me battre, mais je vais faire de mon mieux. » C'est humiliant de te moi, dans ma tête, c'était comme, « Christ, si quelqu'un frappe, je vais pas s'insaner pour me battre,
mais je vais faire de mon mieux. »
C'est humiliant de te faire frapper par une madame.
Car ça, à Denis Bobu, à Sébastien...
Ça, dernier coup, t'avais-tu compté, on avait-tu compté
l'affaire de celle que j'ai faite pleurer?
On en a parlé, je pense?
Ben non, pas vraiment.
Je pense qu'on en a parlé au show de radio à Éric Salvaire.
OK, mais pas au podcast.
Oui, moi, il faut que je fasse attention.
Je viens d'une petite place.
Ah oui, c'est vrai, c'est vrai.
Je ne veux pas me faire détester.
Mais on peut en parler quand même.
Je ne la connais pas vraiment.
Je l'ai effacée de Facebook.
Je vais te laisser, toi, le choix d'en parler. Non, je vais te laisser toi le choix
D'en parler
Non mais je vais te laisser la compter
Parce que moi j'étais un petit peu trop chaud pour m'en rappeler
Je me souviens de ta version
Tu l'as compté
Je me souviens de l'affaire au bar après
C'est qu'on avait été faire
J'avais été faire mon show
C'était une levée de fond
Pour une équipe de hockey
C'était toi qui faisais la levée de fonds pour une équipe de hockey.
C'était toi qui faisais la levée de fonds.
Oui, j'étais bénévole.
Il y avait une fille qui n'arrêtait pas de parler.
Mon technicien avait été fermer la gueule.
Elle l'envoyait chier.
« Fuck you, Golis! Fuck you! » J'étais comme en crise.
Je disais « fermez-les à gueule ». Tout le monde essayait se fermer aïeul, mais elle se fermait pas aïeul.
Pis après, on va dans un bar, pis là, elle vient me voir, pis là, Joe, qui était mon tech, il fait « c'est elle ».
Pis là, elle est comme « oui, c'est un show », pis là'suis comme «Shut your fucking mouth, you fucking cunt!»
Je l'ai traité de cunt.
J'allais dire, tu parlais correct jusqu'à temps que tu dises le C-word.
Cunt est sorti rapidement, en plus.
Ce que les gens comprennent pas au Québec, c'est que cunt, c'est...
C'est comme le N-word des madames.
C'est ça, c'est la pire chose que tu peux dire. Non, mais c'est... En anglais, on dirait ça. C'est comme le N-word des madames. Oui, c'est ça. C'est la pire chose que tu peux dire.
Non, mais c'est vrai.
Puis là, elle, elle était comme...
Puis là, j'étais comme...
Puis là, je criais.
Mais la chose la plus drôle,
c'est qu'après ça, Mike,
c'était genre un bar
qu'on était peut-être 30 personnes là-dedans.
Mais Mike a payé la tournée à tout le monde
un shooter pour tout le monde
sauf elle
sauf
puis elle pleurait
on a tout fait
puis là elle était comme
c'était des beaux moments
c'était des beaux moments
c'était beau
mais fait que là...
Pis je me...
Le lendemain, je me sentais mal.
Pis après...
Moi aussi parce que je passe devant sa maison.
C'est vrai.
Mais c'est Joe après qui a fait...
Non, non.
Moi je me sentais mal pour lui.
Ouais ça, je me sentais mal pour lui parce que...
Dans le fond, c'est moi qui n'ai pas fait de ma job parce que je diffusais
le show,
mais j'avais engagé
du monde.
Il y a un des gars
de sécurité,
je pense que c'était
son cousin.
Tu sais,
ça n'a pas...
Oui, non.
C'est pas grave.
Mais moi,
ça m'a permis
de crier le mot
«con»
à une madame
en public
sans...
Oui, c'est ça.
Mais c'était
une belle soirée
quand même. C'était une une belle soirée quand même.
C'est une très belle soirée.
Merci pour tout le beau travail
que tu fais pour le podcast.
Merci.
C'est juste ça.
Je vais laisser la place
au vrai humoriste.
C'est comme je disais tantôt,
je t'ai envoyé un affaire. faisais du peintre je faisais pas du
photoshop je dessinais des affaires par rapport pis là je suis là pis j'étais
fait que ce que vous aimez puis même si ça a pas l'air de vous amener nulle part
mais regarde moi je suis ici Applaudissez-le. Jason Bavin.
Babus sur Twitter.
C'était beau.
C'était motivant à la fin.
C'est vrai, c'était motivant.
Si je vous disais comment qu'on le paye,
ça serait zéro motivant.
Ça serait comme, OK, nos rêves n'ont aucune chance de se réaliser.
Non, cette semaine, je ne ploguerai pas.
Bien oui, je vais juste ploguer le gagnant Uber.
Si vous n'avez pas Uber et que vous voulez prendre Uber et que vous voulez avoir un lift gratuit,
utilisez le code UberKevinBacon. UberKevinBacon. Ça, c'est Raphaël Tremblay. Raphaël Tremblay
va avoir un livre gratuit à chaque fois que vous utilisez son code. Et si vous n'êtes
pas membre et que vous utilisez le code UberKevinBacon, vous avez un livre gratuit. Utilisez ça.
Je vais tout de suite commencer le show. Cette semaine, il y a un de mes invités qui
était là. Pour ceux qui viennent voir le show live, il était là il y a 3-4 semaines
et le son a chié. Yann, c'est pourquoi que le son a chié?
Tu parles-tu dans le micro, là, ou non?
OK.
OK, il n'y a pas de micro.
OK, attends.
Attends.
Il t'a donné le micro, mais il n'est pas allumé.
J'aime ça que tu expliques pourquoi on ne l'entendait pas d'un micro
qui ne marche pas.
Là, là!
Je ne sais pas pourquoi ça ne marchait pas.
On avait l'air de marcher.
On enregistre sur des petites cartes.
C'est comme des petits disques durs.
On avait fait trop long, c'est ça?
Quand le premier est long, après ça,
le deuxième, c'est périlleux de le faire.
C'est arrivé
deux fois, cette situation. Même là,
trois fois, je pense que c'est arrivé.
Mais là, à cette heure, on a un système de sécurité.
Un système de sécurité.
J'espère que Mathieu, il enregistre
sur la... Il est supposé d'enregistrer
de son bord. Je ne veux pas me taper ça trois fois, Pepper.
J'espère.
Ah, tabarnak.
Il y a un seul Pepper en plus.
Asti.
OK.
Fait qu'on va commencer ce podcast-là.
J'aimerais ça qu'on donne une bonne main d'applaudissement
à Pierre-Luc Pomerleau et Mathieu Pepper.
Salut. Salut.
Salut, merci d'être là.
Merci d'être là.
Va chier, Yann Thériault.
En plus, le podcast
que t'avais fait, c'est arrivé
une couple de fois que le son chiait,
mais le podcast qu'on avait fait,
il était le fun.
C'est un hostie de beau podcast.
C'est les plates que ça n'avait pas marché,
mais ce n'est tellement pas grave.
Mais je ne sais pas comment prendre ta clope.
Merci, je pense.
C'était vraiment cool.
Parce que pas de son, il pourrait être bon aussi.
Il y avait des bons moments.
J'avais fait des bonnes faces.
Le pire, je ne me rappelle pas
où j'étais parti.
J'avais dit à Yann et Michel,
vous devriez inviter Pepper
et juste faire un podcast
avec l'audio de Mike Ward
sous écoute et juste expliquer
ce que vous pensez
est arrivé pendant ce moment-là.
Il y aurait eu quoi?
Ça aurait été
« Fucked up » en christe, mais ça aurait été le fun. Oui, c'est ça? Ça aurait été fucked up en crise,
mais ça aurait été le fun.
Moi, ça aurait marché fuck-up.
Dans le temps, c'est une bonne décueille.
Ben oui, merci.
Ça, c'est quoi que tu bois?
C'est de l'eau.
C'est-tu de l'eau? C'est de l'eau.
C'est tellement de l'eau.
J'aime ça que je te juge avec ma bière, pas d'alcool.
Avec ton esti-bière sans alcool, ton bière, ton verre vide.
Moi, je prendrais, par exemple,
un vodka Coke Jet.
Pas Merlot aussi?
Pas Merlot qui soul genet.
Non, c'est ça.
C'est pas toi qui chanfasse soir, ton gérard est venu pour que tu puisses boire.
Mais non, c'est parce que
Mike, je me sens vraiment dégueulasse,
mais je reviens du Beach Club.
Ah, t'étais dessus!
Ah, t'étais
avec
Demartino.
Oui, avec Demartino et Julien Lacroix.
On a été invités par Oli Prime
pour aller... As-tu des photos que j'ai pas eues?
Beach Day Everyday.
Son DJ regarde le podcast.
Un moment donné, j'avais dit...
Quelqu'un a dit quoi, puis j'ai dit Beach Day Everyday.
Puis là, je l'ai vu, il a tweeté.
Oui, le gars, il s'appelle quelque chose Martel.
Il est venu nous voir, grand fan du mot « Hey DJ » du Beach Club.
Puis c'est comme ça qu'il s'est présenté.
Parce que Julien et Yannick m'ont appelé à 5h de l'après-midi.
Ah, il était plus tôt que ça.
Pour faire, 4h de l'après-midi, pour faire « Ah, tu t'en fais le podcast? »
Fait que là, on allait faire un troisième podcast.
Puis là, ils ont envoyé une photo d'eux autres avec
des putes
mais pas des
prostituées
c'est pas des prostituées mais c'est quand même
une déception
c'était
c'est drôle parce qu'on était
là-bas pis là je disais
j'étais quand même assez avancé en boisson
pis là les gars étaient comme,
« Même sans faire un podcast,
je suis capable.
Je suis capable. »
Ils ont fait,
« Non, non.
Nous autres aussi, on est capables.
On va venir faire un podcast après toi. »
Là, ils texent toi.
Ils texent Michel non-stop.
Ils essayent d'appeler.
Ça relance.
Ça relance.
15 minutes de char, Mike.
15 minutes de char sur ton arrière.
« Oh, je suis en même temps une puce.
Je ne peux pas me rendre.
Je vais dormir.
Je ne suis pas capable. » Là, Julien vient de blâmer
Yannick. Il m'a juste texté.
Yannick est trop fatigué.
Lâche.
Ça, c'est le easy way.
Fait que là, toi, t'es allé au Beach Club.
C'est comment le Beach Club?
Moi aussi, ça m'intrigue.
T'es-tu allé à Vienne-Mingue?
Non, mon gars gars short gogo
T'avais-tu des shorts
Ouais j'ai des super beaux mollets
C'est vrai j'avais vu tes jambes
T'as des belles jambes
T'as des belles jambes
J'ai des mollets de chub
J'ai 250 grammes que je transporte à tous les jours
T'es un handsome chubby
T'as un beau gros Tu. Oui, c'est ça.
T'avais commencé à dire que t'étais un beau gros.
Tu m'as dit que j'étais plus beau qu'Antoine Bertrand.
Oui, t'es plus beau qu'Antoine Bertrand.
J'ai l'intention de te remettre dans la face au gros tabarnak.
Non, non, mais oui, oui.
Merci, je le prie.
Toi, t'es le genre de chubby, par exemple,
si tu perds du poids, tu vas être dégueulasse.
Je pense.
Non, mais tu vas perdre quelque chose. C'est pas d'un implant.
Tu vas devenir mou ici.
T'as de l'air de 29.
Tu vas avoir de l'air de 68.
Il va plisser de partout.
Il est beau parce que...
Il va avoir de l'air comme Chris Foudray
l'a gonflé.
Mon entraîneur va regarder ça et va faire
« Ah, ça fait six mois que j'essaie de le motiver. Je n'ai pas d'entraîneur va regarder ça et il va faire ça fait 6 mois que j'essaie de le motiver
mais je n'ai pas d'entraîneur
j'essaie de me faire croire
que j'avais une vie
un entraîneur
si ton entraîneur regarde, il est comme
nomme-moi pas, nomme-moi pas
au pire, ils ne m'ont pas nommé
économie fitness
as-tu un entraîneur?
tu vas-tu au économie fitness?
oui, j'ai perdu du poids mais j'ai juste l'air de 32 Écono-fitness. T'as-tu un entraîneur? Tu vas-tu au Écono-fitness? Ouais, je vais au Écono-fitness.
J'ai perdu du poids, pour vrai.
Mais là, j'ai juste l'air de 32.
C'est la date que je connais.
Ouais, encore, mais non, non.
Ouais, j'ai perdu un peu de poids.
J'ai été à Nathalie aussi,
pis j'ai pris un virus.
Fait que j'ai chié de l'eau pendant six jours.
Ça, si je veux perdre du poids,
mon chum de gars,
meilleure solution.
T'es-tu en combien de temps?
J'étais là neuf jours.
On a été malades cinq jours.
Cinq jours sur l'heure?
Cinq jours.
Ben, la vraie chiffre, c'est 5 jours là-bas, 6 jours ici.
C'est un si bon virus.
Ça veut dire que t'as chié dans l'avion?
Non, merde.
J'ai serré mon gars.
Ça me rendait tellement mal.
C'était-tu un vol direct genre Rome-Montréal?
Non, on faisait Naples-Rome,
Rome-Montréal,
puis Rome-Montréal, c'était à 9h, je pense.
C'était juste un voyage d'avion, dans le fond.
On n'est jamais débarqué.
Mais là, c'est ça.
Je n'ai pas été à Salle de bain sur l'avion.
OK.
Ah, merde, je ne serais pas capable.
Avoir de la diarrhée dans un avion,
ça doit être le pire moment.
On dit diarrhée, on dit diarrhée.
Rendu, c'était plus ça non plus.
C'est trop de détails, mais c'est ça.
Vite, vite, vite.
J'aime ça que chier pendant six jours, c'est pas trop de détails,
mais diarrhée dans l'avion, là, il y a des limites.
J'ai tué, j'ai mis mes limites.
Si je suis pas c'est clair, je m'assure qu'on respecte ça, s'il vous plaît.
Non, mais c'est ça, sinon, j'ai adoré Rome.
On a fait 4 jours à Rome
C'était vraiment le fun
Pis on est tombé malade
En arrivant à Sorrento
Fait que Rome c'était cool
Pis Sorrento
C'est de la crise de mort
Ben ouais c'est ça
En fait
Sorrento je connais
Je connais le truc
Sorrento c'est ça
Sorrento il y a Kia
Pis il y a aussi Sorrento
C'est une ville
Je sais pas le qualité d'heure
T'arrives en premier
Mais j'ai un petit déjeuner
Moi j'ai visité Sonata
Puis El Antra
J'ai passé deux semaines
À
Amiata
J'ai passé deux semaines à Amiata
Oh la la les plages de Tercel
Mais là tu passes
Tu passes un peu Beach Club
Tu passes vite Beach Club, moi je veux revenir
à Beach Club.
Ah oui, ok oui.
En fait c'est Olivier Primo qui invite des artistes à… ben voyons.
C'est Olivier Primo qui est vraiment un bon gars.
Pour vrai, je suis rentré là rempli de préjugés, plusieurs de ces préjugés-là ont été
confirmés tels que prévu.
Par contre, je peux comprendre le plaisir que certaines personnes ont. J'irais pas là
deux fois par semaine, je comprends pas
les gens qui font ça.
Imagine, c'est une discothèque,
mais au lieu de voir les filles
habillées sexy, elles sont en bikini.
Fait qu'un gars qui veut voir des boules,
il est gâté en esti,
pis une fille qui veut voir
des gants de chef.
Je sais pas ce qui se passe avec les bikinis. je sais pas ce qui se passe avec les bikinis
je sais pas ce qui se passe avec ça
mais c'est de plus en plus petit
pis c'est comme si les fesses ça va plus dedans
ça va à l'extérieur
c'est comme si les fesses
applaudissent le bikini maintenant
le bikini c'est juste pour
cacher le trou de cul
vraiment
ça cache l'anon en avant faut quelque chose de cul. Vraiment. C'est un cache-trou de cul. En fait, ça cache la noun en avant,
il faut quelque chose de tien en arrière.
C'est vraiment plus ça.
Ça, toi, ça te dégoûte.
Moi, oui.
Mais tu portais quoi, pour vrai?
Moi, c'était super beau ce que je portais, Mike.
Merci de me le demander.
Un petit short gris, pas piqué des verres.
Relevé, replié au niveau du genou,
parce que c'est très tendance.
Belle petite gougoune,
noire et bleue.
Rappelle-le ma chemise
qui était bleue.
Un long tee noir.
Mais, mais,
t'es habillé et t'es...
Oui, je suis habillé et t'es...
Mais t'es pas embêtant.
Oui, t'as pas fait
que t'as posé le chest.
Attends, mais non,
parce que nous, on était...
Sorry, guys.
On était dans les VIP.
Dans les VIP.
Oui, dans les VIP en haut.
T'es pas au soleil.
Si j'avais été au soleil,
je serais mis chest, mon chum. Mais... Y'en avait- haut, t'es pas au soleil. Si j'avais été au soleil,
je serais mis chest,
mon chum.
Y'en avait-tu des gars
avec ta chaise,
là-bas?
Ouais,
ouais,
ouais.
Ou des gars
plus à l'aise que moi,
je te dirais.
Ah ouais?
Ah ouais,
ça danse,
ça danse.
Moi,
j'ai resté bête
la semaine passée,
j'étais sur le pont
de Jean-Cartier,
pis y'avait
deux gars en vélo
énormes, en bédaine, pis j'ai passé proche de Jean-Cartier pis y'avait deux gars en vélo énormes
en bedaine
pis j'ai passé proche, arrêté mon char
pis là, crié des affaires
mets-toi pas en bedaine
si t'as une shape de marde
mais non, mais Chris
il est bien lui
on a-tu de redneck là?
il peut-tu être en chest
s'il veut? non mais moi je pense C'est là, tu veux Mais Peux-tu être en chest si tu veux
Non mais
Tu sais, moi je pense
Si t'as une p-shirt comme moi
Garde ton trice de t-shirt
Je veux pas voir du monde avec ma shape
En bedaine, c'est dégueulasse
Ça je comprends
C'est dégueulasse
Moi je suis jamais allé là
Au Bichonum, non?
Mais aujourd'hui, c'était... Moi, je connais pas rien des affaires de DJ,
mais aujourd'hui, c'était quand même Armin Van Boeren qui est...
qui est le... Je pense que j'ai mal prononcé ça qui t'a fait rire, là, mais...
Il est 4e meilleur DJ au monde en ce moment.
Ah, c'tu que ça m'énerve des listes de 4e meilleur DJ!
Ah, ouais, ouais, ouais, c'est ça!
Pis le p'tit... Le p'tit, c'est qu'il y a l'air d'un genre d'un papa de 42 ans qui travaille avec un carré à fin de semaine,
après rondir fin de mois. Y'a un tee-shirt blanc, ben c'est l'enfer qu'il fait, c'est...
Ouais, mais c'est tout déjà pré-seté.
Moi, on m'a dit que non. On m'a dit que c'est pas pré-seté, pis que les gens qui...
David Guetta s'était fait pogner il y a une couple d'années, sa console était même pas ploguée.
Il faisait semblant de spinner ou je sais pas trop, quelqu'un m'a conté ça aujourd'hui.
Ça a l'air que les gars qui sont là mixent pour vrai, pis c''est ça la force c'est ce qui fait que c'est un vrai bon dj avait jamais le cas une
personne c'était c'était fou nous vous comptez dans l'expert vis à épis c'est
vraiment cool il ya même pas de casse temps aussi il y avait un geste un live
facebook font un podcast live que julien piani qu ont fait. Mais ça doit être weird vu que t'entends la musique.
Ah non, ça c'est avant.
Mon gars, on est arrivé au music club
à 9h45 à matin.
Olivier Primo, il a salué.
Il avait déjà une bière dans les mains.
Il nous a tous donné une bière dans les mains.
Bière, pape le mot.
Tu dis que?
Il faut bien déjeuner.
Ben oui.
Ben oui, mon chum de gars.
Il veut bien être beach day everyday.
Mais pour vrai, le gars,
puis tout mon respect à ce gars-là, il être beach day everyday, mais pour vrai le gars,
pis tout mon respect à ce gars-là, il travaille non-stop.
T'sais, il est pas juste « on y aise Snapchat ça »
Man, c'est lui qui est venu nous porter nos affaires de bouteilles, notre table,
il va chercher du monde, il roule pour...
T'sais, c'est sûr qu'il fait les réseaux sociaux pis il est un peu lourd là, mais...
Il est-tu lourd? Il est-tu sapote? Y'a de l'air d'être sapote!
Pour vrai, là j'ai été une pute, j'ai été chercher le rire, mais...
Non, je pense pas. Non? J'ai parlé dixêtre sa poudre. Là, j'ai été une pute. Il est-tu sa poudre? Non, je pense pas.
J'ai parlé dix minutes,
mais il était vraiment smart.
C'est une cool business quand même.
Moi, j'avais écouté mes missions à VTL.
J'ai trouvé ça bon de voir.
Moi, j'étais un petit gars.
J'étais à côté de Pointe-Calumet.
Le Beach Club, c'était ma tante en six monnards.
Il y avait une machine qui faisait de la mousse,
comme la mousse à bain.
Les matantes allaient danser là-dedans.
« Oh, Simonac, je suis folle! »
C'était genre des profs
de géo aussi.
Ça dansait mollo.
Après ça, ça s'écrasait
dans le centre.
Lui, il a quand même
tout changé ça.
Il s'est classé
dans le top 60
des clubs au monde.
C'est un des premiers
clubs à Montréal à avoir fait ça.
C'est le club extérieur le plus grand en Amérique du Nord.
Là, je name drop les infos que Olivier m'a dit.
C'est parce que chez Sean Paul, la semaine passée,
je voulais y aller. Il m'a dit « parle de moi au podcast ».
Fait que je suis allé voir Sean Paul.
Comment ça coûte d'aller là-bas?
Aucune idée. Nous autres, c'était VIP.
Je voulais rien entendre d'autre. OK. Quand on a fumé
la première bouteille,
je me suis dit,
je vais m'en chercher un autre.
Ils ont dit,
OK.
C'est quoi qui vous servait?
Là, on avait...
C'est drôle,
c'était tellement
Beach Club comme réponse,
mais ils nous ont amené
une vodka au pêche.
Absolue de vodka,
mais saveur de pêche.
J'en ai amené la bouteille.
Je me suis dit,
on peut-tu en avoir de la normale?
Ils m'ont dit,
non, non,
ici, on a juste des saveurs.
Je me suis dit,
ben oui.
C'est tellement doux. Ils ont juste avoir de la normale? Non, non, ici, on a juste des saveurs. Je fais, ben oui.
Tu sais, c'est tellement doux. Ils ont juste la vodka en saveur. Non, mais pour vrai, y'a-tu rien
plus Beach Club? Que tu fais-tu cerise ou pêche?
Ouais, on se dit, j'suis un adulte, là, je prendrais
quelque chose qui goûte pas le popsicle.
Mais non, c'est ça. Mais ils ont pas juste ça.
C'est ce qu'ils nous ont offert. Tu sais, peut-être qu'ils vont en même temps,
nous autres, on paye pas. Ils vont peut-être dire, fais-moi ta gueule, prends ce que je te donne.
Ben peut-être que c'est à cause de ça
qu'ils passaient le stock qu'ils ne vendent pas.
Peut-être. Mais là, on avait un bracelet.
On pouvait aller où est-ce qu'on voulait. Ce qui est drôle,
c'est que tout le monde, il y avait 4000 personnes qui étaient là pour
Armin Van Boeren.
Tu as changé de son nom depuis tantôt.
Ça se pourrait. Je te dirais
que ça risque de parler en s'améliorant.
Moi, je m'en rappelle.
Tout le monde qui n'a pas fait, ça crie « Armin! Armin! »
Moi, j'ai été pissé. J'ai accroché un gars. J'ai été pissé. Quand je suis revenu, je me rappelle, tout le monde capotait, ça criait « Armin, Armin ». Moi je savais que j'embarque, j'ai été pissé.
J'ai accroché un gars, j'ai été pissé.
Quand je suis revenu, je me suis dit « Hey, t'as rien de DJ? »
« Hey, c'est le gars que j'ai accroché tantôt. »
Eux ils capotaient comme « On veut voir Armin ».
Moi j'ai rentré dedans dans l'ampicier et je ne m'en suis pas rendu compte.
Je n'étais pas le gars qui aurait dû vivre cette expérience-là.
Mais c'était le fun, pour vrai, c'était cool.
C'est tout.
Tu vas-tu retourner, tu penses?
Moi, tu irais-tu
genre juste pour...
Non, non.
Moi, si je ne suis pas
dans le bout de VIP,
je ne vais pas en bas.
Ouais.
Où est-ce que ça...
Non, non, non.
T'es-tu le genre,
par exemple,
mettons,
moi, j'ai réalisé,
je suis devenu
ce genre de personne-là
cette année
que mettons,
aller au Rockfest
ou à Ville-Montréal
ou à Oceaga,
si je n'ai pas
une clôture entre moi
et le monde, je n'ai pas le goût d'être là.
J'ai réalisé,
j'ai fait, est-ce que tu es une marde?
Non, mais je ne pense pas que tu es une marde.
Pour vrai, c'est juste que
vu que ça nous est offert souvent dans des contextes
où on est invité à boire un show
le lendemain, mais c'est cool
la distance. Moi, quand j'ai vu
un gars qui a dansé deux heures et demie, le show n'était pas
commencé. C'était un DJ d'opening
qui était tout seul dans le carré de sable.
Il dansait comme un malade mental
avec des moufles de casquette de « hum, hum, hum »
qui suivaient le beat. On comprenait
focale de ce qu'il se faisait. Il y avait un chandail
d'arbitre marqué « Budweiser » dans le dos.
Le gars s'était fait tatouer Beach Club.
« Deux heures et demie, Mike.
Deux heures et demie à danser non-stop.
Il était clairement sur la MDMA.
Mais il dansait comme un malade mental.
Puis quand j'ai vu ça, je me suis fait...
Les gars disaient, tantôt, vas-tu descendre en bas?
J'ai dit non.
Je n'ai pas la distance avec ces gens-là.
Mais c'est cool.
Je n'ai rien...
C'est ça que le gars me disait.
Lui, il est triple.
Il vit le plus beau moment de sa vie.
Il ne s'est même pas rendu à Armin Van Doren.
Ça a changé. Il ne s'est pas rendu à triple. Il vit le plus beau moment de sa vie. Il ne s'est même pas rendu à Armin Van Doren.
Ça a changé.
Il ne s'est pas rendu à lui. Il était encore dans le lac.
En fin, tu vas finir.
Tu ne t'es même pas rendu à Carmen Campagne.
Mais oui, c'est ça.
Tu ne m'as pas donné le goût d'y aller.
Non, mais attends.
Je crois que moi, je serais invité pour un A-. Puis peut-être, peut-être que je retournerai.
Le show était quand même cool, je ne connais rien aux DJs.
Les DJs avant c'était cool, mais Armand Van Brun est quelque chose de cool.
C'est juste que c'est drôle parce qu'il y a toujours des clichés.
Ils ont comme des canons qui font de la...
De la mousse.
De la CO2 je pense, c'est blanc.
Puis ça shake le monde, je ne sais pas ce que ça fait.
La boucane.
C'est tout le temps le même pattern.
À un moment il fait...
comme ça shake le monde, tu sais pas ce que ça fait. La boucan.
C'est tout le temps le même pattern, tu sais c'est genre à un moment il fait
Bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip bip Quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand que ça fait, quand les chiens, là. Les autres, t'es là... Mais t'sais, si t'es saoul pis gelé l'après-midi,
tu le vois pas venir.
Non, mais c'est vrai.
T'es surpris à chaque fois.
C'est comme un bébé que tu fais coucou.
Ça revient exactement au même.
Mais pour vrai, moi, je pense qu'il y a du gros fun à y avoir.
Surtout si t'es un fan de cette musique-là, je suis sûr que t'as du fun.
Surtout célibatant, tu sais, je pense aller là, célibatant, aller là en coupe, t'es juste, tu regardes, tu remarques le style weirdo qui danse tout seul.
Mais quoi que tu peux avoir du fun en coupe pareil, parce que tu peux bicher, moi j'ai beaucoup de plaisir à bicher avec ma blonde.
Mais je veux dire, ta mère, ta blonde.
En silence, on check pis ta blonde. En silence.
On check et on bitch.
Tu fais ça aussi?
Non.
Ben, c'est là.
Moi, j'y dis.
Télé!
Direct?
Non, moi, je suis bien rough avec la blonde.
Ça, tu fais ça, genre, tu t'assoies sur une terrasse avec ta blonde,
puis vous checkez le monde passé pour les insulter.
Oui.
T'as-tu peur? Par exemple, vu que là là tu commences à être de plus en plus connu,
qu'à un moment donné quelqu'un fasse « il est pas cool » pis…
« T'as reçu des gift sur le jour, t'as traité de tête d'infesté ».
À chaque fois qu'un serveur arrive d'apporter quelque chose, t'es en train d'envoyer chier quelqu'un dans la rue.
« Il est-tu nain, c'est Chris le maire, monsieur Pommero? »
Non mais je critique pas. On regarde ça,
je le crie pas.
À moins que tu me le dises
dans l'oreille.
Ah, mais c'est une délicate
attention.
Dans une oreillette,
t'es caché,
tu me dis,
crie-y ça,
là, je vais le faire.
Mais juste avec ma blonde,
non, je suis plus discret.
C'est quand même
un setup compliqué.
Oui, oui, ça fait un setup.
Moi, s'il n'y a pas
de gros setup,
je reste tranquille.
Je suis plate un peu.
J'ai pas une vie passionnante.
Pas tant, non. Je vais pas au Beach Club
me péter la face avec la vodka
aux cerises.
Si tu veux, je suis allé
à le Chamoli Prime, je te fais rire.
Je dis pas tant.
C'est vrai, mec. On aurait du fun.
Moi, je trouve que c'est un
beau succès.
Quand j'ai regardé sa télésérie,
tout le monde le voit
comme un fils de riche,
mais il a pris
l'argent de son père,
mais il a bâti
de quoi de vraiment.
Son branding,
je pense que je ne me trompe pas,
le branding
Beach Day Every Day,
c'est lui.
Ils n'ont pas engagé
une grosse firme
marketing de manette mentale.
Le gars a été en disant
l'argent que j'ai eu,
je l'ai tout mis
pour rénover le club.
Après ça,
il faut que j'espère
que ça pogne.
Il a été wise avec les réseaux sociaux.
Il l'a fait virer.
Beach Day Everyday, c'était plein.
4000 personnes.
Tout le monde capote.
Tout le monde a du fun.
Moi, je pense qu'avant tout, c'est un beau succès pour l'entrepreneuriat.
Il faudrait voler ça, le Beach Day Everyday, pour l'humour.
Laf Day Everyday.
Moi, c'est mon Instagram story.
Je le reprends tout le temps.
C'est parce que ça me fait vraiment rire de faire « What's up, people of Instagram? »
Parce que lui, il se joue « What's up, people of Beach Club? »
Puis après ça, je vais lui dire, mettons, je croise un gars.
Tantôt, il y avait un gars.
Asti, c'était drôle.
Allez voir mon Instagram story, s'il vous plaît.
Et likez fort.
Mais le gars, il s'était fait…
Asti, c'est du génie.
Il s'était fait tatouer un chandail de hockey sur lui-même.
Ça fait que c'était marqué dans le haut de son dos « La Ferrière, numéro 43 ». Mais tout ça, c'est du génie. Il s'était fait tatouer un chandail de hockey sur lui-même. Ça fait que c'était marqué
dans le haut de son dos
« La Ferrière, numéro 43 ».
Mais tout ça, c'est tatoué.
Donc là, j'ai fait
un Instagram story
et j'ai marqué
« Chandail de hockey,
every day ».
Moi, ça, ça me fait
fucking rire.
Mais là, j'ai dit le punch,
mais allez,
sur mon story, pareil.
Merci.
Bon, bien, c'est dit.
Oui, non, mais c'est parce
que c'est important. Ça fait monter mes likes et j'ai plus d'argent.
Tu as combien de monde?
Tu t'en sers-tu beaucoup?
J'essaie vraiment de m'en servir.
Pas Snapchat, Instagram.
T'es-tu sur Snapchat?
Non. J'ai commencé un bout de mec quand j'ai sorti Instagram story.
C'est une application de moi, Batins.
C'est toujours bien le fun.
Chris, t'es devenu mononcle en 3 minutes.
Moi, Batinsins mon chum
ça sort quand tu veux
Batins
Batins moi là
la technologie là
elle connait son esti Batins
mais SnapChat aussi
c'est
il faut t'embarquer
pis
moi j'ai assez de catcher
pis on dirait
que je vais pas embarquer
faut te choisir
si les applications
collent à toi
moi j'aime bien ça
pis j'ai réalisé que
pendant un bout de temps
j'ai oublié de m'en servir
pis là tous les filtres que mett un bout de temps, j'ai oublié de m'en servir, pis là,
tous les filtres que
mettons, j'entends moi, j'ai bien,
ah, je les ai pas, vu que je m'en sers pas
souvent, fait que là, moi, j'ai juste
genre, est-ce-tu le chien,
ou des gros yeux, pis je suis comme
là, là, fuck you, là, j'entends,
est-ce-tu, il y a un dauphin,
pis il a terminé l'affaire,
je mérite ça aussi
c'est vrai
je suis jaloux
il crie Snapchat
hey listen you fuckers
c'est-tu je suis qui
dauphin day
everyday
oh yes
mais c'est ça
mais là
c'est ça
bon
ben oui c'est ça
ben c'est ça
c'est ça
là toi
ton
ton show tu viens de commencer à vendre des billets pour ton one-man show, right?
Oui, oui, j'ai commencé le rodage du show.
Ah!
Hé, finalement, je vais peut-être tomber dans l'alcool, moi aussi, s'il vous plaît.
Ouais, rapidement.
Y'a-tu des vodkas à 100 verres?
Ouais!
Vodka, v cerise ou...
Il te va pas,
vodka Axe Body Spray?
Ça doit être un affaire, ça.
Ben, la bonne va dire
toute goûte un peu Axe, là,
mais...
Gin 7-Up,
Romeo, s'il vous plaît.
Mais, excuse-moi.
Ben, au moins,
on a vu que t'es pas resté là
si longtemps que ça
que tu l'as pas appelé
la petite.
Hey la petite va me chercher votre coservenop.
Ah man la cervelle m'a tellement fait sentir spécial.
Tu sais, tu as eu une petite attention, elle est allée pour moi.
Oui vous êtes 4000.
Oui mais moi c'était spécial.
Oui c'est ça.
J'y croyais.
Mais on a le goût de vous serrer dans nos bras.
Les abeilles.
J'ai pas aimé ta façon de me serrer.
Hein?
Les abeilles si tu parles. Oui Les abeilles? Je n'ai pas aimé ta façon de me... Les abeilles, si tu parles.
Les abeilles, on a le goût de vous serrer dans nos bras.
Tu m'as insulté trois fois.
Je n'avais pas compris.
Tu me traites de ta base.
C'est comme pardon, mais c'est ouarde.
T'as de l'arde.
Fait que t'excuses.
Oui, c'est ça.
J'ai commencé le rodage de mon show.
Moi, je faisais les premières parties de François.
Oui.
Puis, il y en a-tu qui ont vu le spectacle?
300 000 personnes ont vu le show. Oui, 300 000.
On a fait 437 représentations du show.
Moi, je n'ai manqué quelques-uns, mais j'en ai fait au moins 437.
Il me manquait ça.
Mais c'est vers la fin.
J'ai commencé le rodage de mon show show mais on parle d'une date par mois
parce que j'avais beaucoup de choses
encore avec François, c'était du 4 soirs semaine
depuis mars
c'est vraiment moi qui roule
mes affaires
mais je repars en tournée avec François
il peut pas se passer de moi
il sort son deuxième show
pis dans le fond
je vais suivre
en première partie
pour le rodage en tout cas.
Sauf, là,
qu'est-ce qui est cool,
c'est que tu vas pouvoir
plugger pendant ton 15 minutes.
Oui, c'est le con.
Hey, mes billets
sont en vente à soir.
C'est ça.
Puis en plus,
je ne sais pas si les salles,
sûrement vous allez faire ça,
mais si tu offres un deal,
tu sais, le monde,
mettons, tu leur dis,
d'habitude,
les billets sont à 35 piastres,
mais si vous achetez à soir, ils sont à spécial à 34$.
Le monde, ils sont comme
« Ah, il va sauver une pièce! »
C'est une super belle façon
de se faire connaître.
François remplissait
Albarousseau à Québec. C'est quoi? C'est 1 200$.
Après ça,
si les gens ont aimé ce que j'ai fait,
moi, je suis au Petit Champlain, qui est une salle de 200, ben...
Même si t'as juste 10% du 1 002, ta salle est plus qu'à moitié vendue.
Ben c'est pas... ouais tu vas chercher...
Parce que le pourcentage est plus bas que ça je pense, parce que ça vaut vraiment la peine de faire ça, mais tu riches-tu 80 personnes dans une salle?
Mais t'sais, sur 1 002 qu'ils vont ach acheter, c'est sûr que si on parle moi et toi,
moi probablement oui. Non, non, pour vrai.
Là, l'alcool est mieux d'arrêter rapidement.
Olivier Primo va pas traiter de même.
Je te dirais, pour deux shows à Albert Rousseau, je fous un petit Champlain.
C'est bon, c'est vraiment bon. Tu avais raison qu'on dise pour ça Mais tu sais, le mettons
Tu sais, il y a 300 000 personnes
Qui t'ont vu
Ça c'est l'équivalent d'un show télé
Genre, tu sais, en mode salvaie
Il y a même pas ça
Tu sais, non mais
Avec Jokers, on prenait 250 l'émission
Puis quand j'ai réalisé ça
J'ai fait tabarnouche, tu sais, en une émission
Il y a 250 000 personnes
qui nous voient versus
ça prend 4 ans de 3,5 tournées
pour éventuellement poigner.
Sauf que le monde, en même temps,
les jokers, le monde qui regardait
à chaque semaine, tu les as marqués,
mais le monde qui a vu un épisode,
quand c'est à la TV, tu ne les marques pas,
mais quand ils sont déplacés,
puis là, tout le monde qui a vu Bellefeuille
se rappelle de toi.
Tout le monde, tout le monde.
C'est des gens qui consomment l'humour en salle.
Ils sont prêts à acheter des billets.
C'est certain que s'ils me voient, ils vont aimer ça.
Ils vont être prêts à acheter des billets pour venir me voir.
Tandis que la télé,
c'est des gens qui consomment la télé,
pas nécessairement de l'humour en salle.
Oui, ils vont aimer le show, mais pas de l'asse déplacée.
Les Jokers,
vous avez fait quatre saisons.
Trois saisons. Deux à V.
Une qui a été transférée à Musique Plus
parce que ça appartient
à V, à nous, à Musique Plus.
Mais ils ont transféré ça.
Puis là, c'était vraiment bon.
C'est un bon show.
Il y en a-tu qui ont vu ça ici, les Jokers?
Moi, on diraurais fait ça.
On dirait qu'il est sarcastique ce style-là. On peut-tu le sortir?
Hey! C'est excellent!
Non mais c'est un bon show.
C'est un bon show. J'ai vraiment trippé à faire ça. J'aurais fait ça encore 5 saisons.
C'est vraiment drôle.
C'est pas nous qui décide. Le cast était bon. On se connaissait pas les gars.
Ouais, ouais c'est vrai. Mais l'énergie était bonne. Ben, Yann et Ben se connaissaient. Ouais, c'est pas nous qui décide. Le cast était bon. On se connaissait pas, les gars. Mais l'énergie était bonne.
Yann et Ben se connaissaient.
Moi, je connaissais un peu Mathieu de l'humour.
Mais tu deviens chum vite
à faire des stupidités.
C'est un concept.
C'est ça qui est le fun.
La vie, c'est fait de même.
On le voyait avec les jokers.
C'est genre de joke d'enfant.
Mais tu réalises qu'un gars,
quand il est dans la société,
devient un adulte.
Mais tu le remets avec d'autres gars
d'à peu près son âge.
Il devient un hostie d'enfant stupide.
Je regardais.
C'était comme...
Astic, c'est con.
Mais con dans le bon sens
Con dans
Ils s'en vont voler des fruits
Du panier
À Madame
Vider le panier de la Madame
Il a suivi pendant tout le magasin
On a joué un autre jeu aussi
Les jeux qu'on aimait faire
On les repimpait
La saison 3
La saison 3, on était un contre l'autre.
Moi, j'étais contre Ben.
Et là, je potais de ma dame.
Et là, j'allais mettre quelque chose
dans son panier.
Qu'elle n'a pas dans son panier.
Je prenais le coup dans l'épicerie,
je le montrais en caméra.
Puis là, subtilement,
je le droppais dans son panier.
Puis après ça,
moi, je m'en allais me cacher.
Puis Ben, il revenait sur le terrain de jeu.
Et là, Yann et Matt disaient « Tu vois la madame avec le manteau bleu? C'est elle! »
Fait que lui, il fallait qu'il trouve ce que j'avais mis dans son panier,
mais sans qu'elle s'en rende compte.
C'était drôle. On cachait des affaires, des pots d'oignons séchés dans le coin.
La madame fouille dans
les fromages, mettons, puis là, Ben, il lève du stock.
Puis là,
les deux autres, non, non, c'est pas ça,
non, c'est pas ça, puis là,
il la surveille, puis il fouille dans les fruits.
Il attend qu'elle surveille, puis il retourne,
puis il lève le stock.
Il l'a trouvé, Ben.
Lui, il était vraiment bon avec les vieilles madames.
Mais il était bon.
Puis en plus, vu qu'il est petit,
il a aucune chance de...
Il était offensif.
Oui, c'est ça.
Dans un parc, il fallait tenir le monde par la main.
J'avertis du regard
les gens qui parlent pendant ton podcast.
Il n'y a pas de staff à ce type,
vous pouvez l'avertir.
Visiblement.
Il fallait convaincre quelqu'un
de marcher main dans la main dans un parc.
Avec nous.
Ben, il m'a marché avec deux femmes.
Mathieu, c'est gay, le monde partait à courir.
Puis à la fin, il se fait tourner.
Il se fait danser.
Mathieu, il n'y avait aucune chance.
Il y a des défis que...
Mathieu, il s'est approché.
Qu'est-ce que vous voulez? Je n'ai pas de chance. Il y a des défis que... Mathieu, il s'est approché. Qu'est-ce que vous voulez?
Je n'ai pas de chance.
Mathieu a un barbu.
Oui, un peu...
Oui, un barbu.
Il est imposant.
Il est un peu large.
Oui, il est grand.
Il est calme.
Il est barbu.
Il est foncé.
Il était peurant.
Mais à la troisième saison,
on savait exactement
qu'est-ce qui...
Ce n'est pas la description
la plus avantageuse pour lui,
mettons, mais...
Non, non, non,
mais c'est un bel homme.
Il est en chef. Il est grand, il est laid, il a un oeil qui louche. Non, non, il n'a pas d' la plus avantageuse pour lui, mais je comprends ce que tu veux dire. Non, mais c'est un bel homme. Il est en chef.
Il est laid, il a un oeil qui louche.
Non, il n'a pas d'oeil qui louche.
Il a-tu un oeil qui louche?
Non, c'est une blague.
Ça, j'ai tapé dans le dos en signe de complicité.
Voilà.
Ça fesse le premier drink.
Ça, il y a-tu...
À cet âge-là, mettons,
quand tu vas à l'épicerie,
tu pourrais faire des niaiseries
et le monde penserait
qu'ils sont en cam.
Tu pourrais aller à ce titre.
En ce moment, ce qui arrive,
c'est que je ne me souviens pas.
Je ne pense pas au show.
Mettons que je suis au Canadian Tire.
Ils font un call-back d'un gars
qui a 22 ans.
Il me fait, as-tu des caméras?
Oui, oui, rangez le cap. Il y a un monsieur l'autre fois, il vient me voir, il me fait « Y'a-tu des caméras? » Oui, oui, ranger les caches.
Ben oui, il y a des caméras, c'est sûr.
On est probablement filmés.
Moi, je cache pas, pis il me fait
« T'es un esti de malade, pis il s'en va. »
Tu le caches une fois rendu dans le char,
mais tout le temps avant, comme « Oh, je sais pas ce qu'il voulait me dire. »
Ouais, mais tu caches après.
Ah oui, c'est vrai. Ben oui, il est après Ah oui c'est vrai
Il est parti
Mais c'est ça
Je ne suis pas encore assez connu
Me faire connaître des fois mais pas souvent
Quand je me fais reconnaître c'est toujours weird
Au début c'est
Tu te reconnais
Tu connais-tu tes mots
C'est jamais clair
Des fois tu ne sais pas
C'est moi qui regarde Pourquoi tu me regardes de même C'est du clair. Des fois, tu sais pas. C'est moi qui regarde.
Pourquoi tu me regardes de même?
Tu souris.
Tu sais ce qui est triste?
Un moment donné, tu vas t'habituer
et tu vas tout le temps faire
dans les jokers.
Quelqu'un va faire,
on a l'air à l'école.
Je sais pas si ça t'est déjà arrivé,
mais moi, un moment donné,
j'étais à Saint-Jean, j'étais à une lumière,
pis il y avait une madame qui me regardait,
pis j'étais comme, ben oui, c'est moi,
pis j'ai baissé ma fenêtre.
Oh, c'est ça! Ben oui, c'est moi,
la madame, elle parlait, elle parlait,
elle parlait, pis j'ai baissé la fenêtre,
pis là, je suis fait,
« How do I get to Plattsburgh? »
Pis là, j'étais comme,
« Ah, ok, c il est là-bas. »
Pas ton fameux public simple
des vieilles madames
qui cherchent Plattsburgh.
Mais c'est drôle que ce soit une vieille madame
qui t'a fait comme « Ah, c'est sûr qu'elle veut me parler. »
C'est sûr qu'elle veut m'insulter.
C'était ma blonde parce que...
Ma blonde, elle disait...
Non, c'est pas ma blonde, la vieille madame de Plasberg
j'ai fait Plasberg
deuxième règle à droite
pis je l'ai fourré
solide
pis
on est le même
ben effroi de votre relation
pas d'allogiste
c'est où Plasberg
non c'est que
ma blonde
on était sur l'autoroute
pis ça faisait comme
quatre fois
je me faisais reconnaître
genre le monde
dépassait
pis il klaxonnait
ma blonde était comme
c'est bien weird
que le monde regarde qui chauffe dans le char.
Je dois avoir une face
que le monde reconnaisse facilement.
J'arrête à une lumière et j'ai une madame
qui baisse la fenêtre et qui me parle.
Ce n'était pas moi
qui était genre, oui, oui, oui.
Embrasser madame.
Ça n'aide pas le fait que ton char
est électrique.
Avec ma face. C'est le Mike Mobile. t'sais, embrasser ma bague. Mais ça n'aide pas le fait que ton char, il est lettré avec ta face dessus.
Ben avec ma face, t'sais.
C'est le Mike Mobile.
Mike Watts car.
J'ai le Mike Mobile, t'sais.
C'est «hi to me».
Ça, j'y ai déjà pensé.
Moi, j'aime vraiment les tourboss, t'sais.
Puis moi, depuis que j'ai commencé à faire des tournées,
je veux un tourboss. Mais dans le depuis que j'ai commencé à faire des tournées, je veux un tourboss.
Mais, dans le temps,
je me disais que ce serait cool un tourboss
lettré, comme un rockstar,
mais c'est la pire chose.
C'est pas aussi inaperçu.
Quand tu restes pris au McDo en dessous du toit,
là, t'as l'air d'un instant.
Moi, je pense, c'est tout ce que je vais faire.
Quelqu'un qui ne voulait absolument pas débarquer,
on passe, on passe, on park!
C'est tout ce que je vais faire. Je pense pour vrai. Parce voulait absolument pas débarquer. On passe, on passe, on passe. C'est tout ce que je vais faire.
Je pense pour vrai.
Parce que la prochaine tournée, je vais avoir un tourboss,
mais ça fait mange-marde.
Fait que je vais mettre la face d'un autre humoriste.
Je vais mettre genre P.A. Meta, Louis-José Hutt.
C'est drôle en tabarnak.
J'ai le LJ Club.
Tu vas-tu avoir un tourboss pour ta prochaine tournée?
C'est une bonne idée.
Pas un gros tourboss.
Un petit tourboss. Moi, j'aime ça prendre une bi'est une bonne idée. Mais pas un gros tourboss. Non, non, pas... Un petit tourboss.
Je veux juste...
Moi, j'aime ça
prendre une bière
après le show.
J'aime ça
crisser mon coeur.
OK.
Fait que je veux
boire ça.
Joindre les deux passions.
Ben oui.
C'est mon truc.
Un tourboss, là,
tu dors dedans,
tout, là.
Mais moi,
ça serait une affaire.
T'sais,
si vous googlez,
il y a...
Non, c'est...
Non, c'est...
Il y a une...
C'est genre
un... Un Mercedes Sprinter. Ah avec des bunk beds en arrière.
Oui, j'ai vu ça.
Puis, oui, c'est ça.
C'est pour ne pas avoir le gros autobus.
Non, je ne veux même pas de toilettes dedans.
Ah, tu fais des gros sacrifices, mon gars.
Non.
Ah, moi, je ne veux même pas de toilettes.
Oui, mais les Walmart à Star.
Non, mais tu sais, l'équivalent d'un motorisé, pas de toilette! » « Ouais, mais les Walmart à Star… »
« Non, mais tu sais, l'équivalent d'un motorisé pas de toilette, c'est rare que tu vois ça. »
« Mais tu coucherais dedans? »
« Je coucherais pas dedans. »
« Juste un bunk bed pour t'asseoir… »
« Je m'évanouirais. »
« Hein? »
« Je pourrais m'évanouir. »
« OK. »
« Juste une affaire que… »
« Ah, la sagesse! Je vais construire des blackouts, mais ça va être sur du mou! »
« Mais au moins… » « C sur du mou c'est ça
c'est ça
non mais
tu vieillis mon mec
moi je suis rendu sage
tu es rendu sage
mais le pire
j'avais trouvé
il y a une compagnie
en Arizona
qui ont des
estibos
tourboss
puis là
j'ai fait
j'ai juste envoyé
un email
puis j'ai fait
si j'achète un sprinterai juste envoyé un e-mail puis j'ai fait,
si j'achète un Sprinter,
comment ça coûte le convertible?
Puis là, eux autres,
c'était comme 80 000.
C'était 80 000?
Puis là, j'étais comme,
Chris, le truck,
il coûte 40 000.
Je vais aller au Kéa,
je vais acheter un bunk bed.
Je vais les visser sur le banc en avant.
Je suis pas mal sûr
que ça serait pas de bon faire ça.
Oui, non, mais...
T'es-tu bon, toi?
T'es-tu bon, toi?
Le pire, oui,
mais je suis correct,
mais je suis agressif.
Mettons, moi, dans le temps... C'est parce que ça dépend à quel moment tu es agressif,
mais ça joue beaucoup sur le résultat,
si c'est dans les trois premières vis.
C'est que moi, tout le long,
mettons, le monde qui travaille d'habitude,
le bois ou whatever, ils sont heureux, mais moi, tout le long, mettons, le monde qui travaille d'habitude, le bois, whatever, ils sont heureux.
Mais moi, tout le long, c'est « Caliste, tabarnak, t'es Christ, t'as cette petite vis de cul de caliste. »
Puis je deviens le personnage des données de relais, la marionnette qui sacre.
Je suis ça, mais avec une drille.
Mais j'aimerais ça arriver chez vous dans le cours un genre de mardi après-midi
et t'es en train de faire ton patio.
T'es là, t'es là.
Dans la cour, j'allais y aller.
Ma vieille maison, j'avais fait le plancher,
le plafond du sous-sol
qui était en bois.
C'était vraiment beau.
J'avais fait la salle de bain.
Moi-même?
Le plafond, c'était tout seul.
La salle de bain j'étais avec
un autre excuse moi mon gars j'étais jugé esti j'étais pris pour actif et t'étais pas bon
non non pas nul à chier
moi je m'étais dit ça va me relaxer pis ça m'a zéro relaxé pis ce que j'ai sauvé en main d'oeuvre j'ai payé le double en outils
pis en alcool pour te faire oublier ça.
Là, en star,
je passe la tondeuse
chez nous, puis à chaque fois que je passe
la tondeuse, je fais comme tabarnak.
Je devrais engager quelqu'un.
T'as pas un gros terrain.
Non, j'ai pas un gros terrain.
Mais j'ai des petits bras.
C'est comme...
C'est plus dur dans ce temps-là.
Est-ce que cette image-là
était quand même drôle?
Je suis le seul qui l'a vu en bermuda
avec des petits bras.
Non, moi, d'abord, tu as bien le même.
Tu es tout à bien en noir, au soleil.
Je mets une calotte pour ne pas me faire
reconnaître, mais c'est écrit
bordel dessus.
Wise move. Excuse-moi, c'est écrit bordel dessus. Wise move.
Excuse-moi, c'est au Plattsburgh.
Ça me suit partout.
Toi, tu ne faisais pas ça?
La vente des soumissions?
Tu ne t'es rien posé.
Non, c'est ça. J'ai fait de la vente,
de la soumission, de la gestion de projet
pour une compagnie d'innovation.
J'avais 18 ans. Je n'aurais pas dû faire ça
comme travail.
La première fois, mon boss m'appelle.
Je dis mon boss, c'est le père de mon ex.
Il m'appelle et me dit
« Ok, je dormais. J'ai une soumission.
L'autre gars ne peut pas y aller. Il faut que tu y ailles. »
Je dis « Ok, je suis prêt, mon gars. Je vais vendre. »
Il me dit « Ok, c'est une dalle de béton. »
Je n'ai jamais fait ça. Une dalle de béton.
Bullshit!
Je suis arrivé là-bas et il y avait une fissure.
Ce n'était pas une dalle. C'était comme une fissure. Son balcon en béton. Bullshit! J'étais arrivé là-bas et il y avait une fissure. C'était pas une dalle, c'était une fissure.
Son balcon en béton est lâché.
Il y avait une fissure.
On s'est fait dire que c'était probablement l'époxy.
J'ai dit que c'était l'époxy.
Il n'y a pas d'autre façon de faire ça.
Le monsieur nous a dit que ça allait coûter cher.
Vu que ça avait cassé, en effet,
ça va coûter cher parce que ça a cassé.
Il faut sortir tout le matériel.
C'est sûr qu'il faut sortir tout le matériel,
mais non, écoute.
J'ai juste répété, elle me feedait,
puis moi, je suis sorti, je suis en train de manger.
Il avait l'air d'un épée.
Tu dis pas de prix tout de suite, tu vas au bureau.
Tu es de même que tu es devenu vendeur.
Tu n'as pas dit le prix tout de suite.
Non, c'est ça. Nous, c'est une compagnie très sérieuse.
On partait avec...
Qu'est-ce qu'il y a?
Mais pour vrai, on faisait la soumission au bureau
et on venait le présenter la semaine d'après.
Après, il ne fallait pas rire en le disant, madame.
C'est drôle, en crise, le gars qui est là,
madame, elle est bien en confiance parce qu'on m'aime.
Elle était super étonnée avec nous autres.
J'attends vraiment qu'elle passe sur votre soumission.
Moi, je suis comme, pas de problème, bye-bye.
Je m'embarque dans mon char, il faut que je google l'époxy.
Parce que je me dis, c'est quoi l'époxy?
C'est pas sérieux, mais ça marche.
Tu sais, moi, Jean-Marc Parrain m'avait déjà dit
que lui, chaque fois que le monde allait faire des estimés chez eux,
quand il laissait ses chars dans la cour, le prix montait.
Puis il m'avait dit...
Moi, dans le temps, j'avais un esti de vidange
de char. J'avais une Honda Civic
puis j'avais une Mercedes.
Mais une vieille Honda Civic, genre
des années 80 puis une Mercedes.
Il avait dit, « Park ta Mercedes dans la rue
puis mets ta vieille Civic
qui coule de l'huile dans la cour.
Puis tu vas avoir un meilleur défi. »
Je ne me rendais pas compte de ça.
C'est pas vraiment bon que c'est le prix final non plus.
C'est toujours le boss qui décidait combien.
Mais c'est sûr que...
Tu sais, mon boss,
la dernière année que j'ai acheté,
il s'est acheté une Mercedes, une petite belle Mercedes.
Puis il arrivait sur les jobs.
Des fois, je suis en train de closer un job.
Lui, il venait me rejoindre pour la fin du pitch.
Moi, je suis là.
La réaction va super bien.
Le client est content.
Je suis cassé aussi.
Je te laisse du pelleux qui arrive en Mercedes.
OK! Ils vont se faire'argent dans le Mercedes. Tu as l'assisté de l'argent qui arrive en Mercedes. OK!
Ils vont se faire fourrer,
se payer une Mercedes.
Mais ils savent un peu
ce qui se parquait loin.
Pour vrai, c'est le cas.
Il faut que tu joues un peu avec ça.
Mais tu sais, le...
C'est poche.
C'est poche d'être obligé
de rouler en poubelle.
Non, non, tu ne roules pas en poubelle.
T'as peur qu'on coinduit.
Moi, mon ancien producteur
qui est le gérant, Martin Matt,
on s'entend,
il en fait un tabarnak de l'argent.
Qui?
Ah, le producteur, toi. François Roson. Ah, oui, Matt. On s'entend, il en fait un tabarnak de l'argent. François Rozon.
Il se promène.
Il y a un Ford F-150
qui n'est pas un mauvais truck
et une minivan.
Là, tu es comme, Chris,
tu gagnes 3 millions par année.
Qu'est-ce que tu fais en Winstar
2003?
Chris, tu viens de gagner des...
Tu viens de vendre la CP
en Italie.
Oui, mais il a été chez IKEA
et il s'est vissé un bank bed aussi.
Il a juste dormi.
Mais lui, il m'avait déjà dit
que je ne peux pas...
Et il a raison.
Ton gérant m'avait dit la même affaire.
Au début, j'avais marqué qu'il s'était acheté
une Voschage.
Michel se promène en skateboard.
Oui, mais là, depuis le procès, ça lui coûte cher. Mais non, il m'avait dit qu'il s'était acheté un nouveau char. Michel se promène en skateboard. Oui, mais là, depuis le procès, ça écoute char qu'à lui aussi.
Mais non, il m'avait dit qu'il prenait un...
Je ne vais pas commencer...
Pas qu'il y ait les moyens, peu importe, tout ça mis de côté.
Je ne vais pas commencer à aller me magasiner une Mercedes ou une BMW.
Mais j'avais dit ça un moment donné, parce qu'il était dans une Toyota,
mais Toyota comme trop hot.
La Benza, oui.
J'étais comme, crée, ça prix-là, t'aurais une Porsche,
pis il était comme,
non, non, mais je l'aime, ma Venza.
C'était pas vrai, c'était juste
parce qu'il voulait pas te faire honte.
C'est juste qu'il veut pas que moi je fasse...
C'était pincé avec mon agro.
Moi, je trouve ça plate,
parce que mon grand-père,
il a eu une business de sa vie,
pis il a toujours voulu avoir une Cadillac,
pis c'est toujours privé d'avoir une Cadillac.
Parce que c'est là que le monde va penser.
Je suis comme, ah, c'est ma née.
C'est peut-être le juste milieu.
Il y a toi, un char de compagnie,
avec ta Cadillac pour ramener ta femme.
Faire un tour de machine.
Mais oui, c'est triste.
C'est triste pour de vrai.
Mais tu sais, moi, j'avais,
je ne me rappelle plus c'est qui qui m'avait dit ça. Du côté de mon père, c'est triste, pour de vrai. Dans l'esprit. Mais tu sais, moi, j'avais, je ne me rappelle plus
c'est qui qui m'avait dit ça.
Du côté de mon père, c'est protestant.
Du côté de ma mère, c'est catholique.
Puis c'est une mentalité très catholique.
Quelqu'un qui m'avait dit, tu sais,
un millionnaire catholique, il parke,
bien, à l'époque, là, que le monde était encore religieux,
mais le millionnaire catholique...
À l'époque des calèches, là.
...parquait son char en arrière de la maison pour pas que le monde voit qu'il est riche.
Puis le millionnaire protestant le parquait en avant pour montrer qu'il a réussi.
Je trouve qu'au Québec, on a très sa mentalité là que si t'as du cash, t'es mal, tu te sens coupable.
Ah non, c'est vrai. Je sais que c'est un sujet qui a souvent été abordé.
On est né pour un petit pain.
Ah merde, c'est lourd.
Moi, je me suis commencé à me sentir mal à un moment donné d'avoir de l'argent grâce à l'humour.
Parce que je pense que j'étais mieux dans le sentiment de...
Quand je reviens un temps, mon père disait un temps,
mon père ne m'a jamais jugé, je ne suis pas un bon exemple,
mais quand tu arrives, il te dit « Hey, c'est beau, je m'occupe de la facture. »
Ou quelqu'un qui fait « Es-tu correct? »
Je pense que j'étais plus à l'aise à faire « Je, je suis correct, c'est sûr que c'est serré,
moi je fais juste de l'humour, hein.
Et là, maintenant que mes affaires vont bien, que je fais crasse, oui, c'est moi qui paye à soir. »
Et le monde se dit « non, non, non, la seule a mis du écart, mais elle me donne bien, elle me donne bien. »
« Pourquoi tantôt t'avais de l'empathie? La seule passée t'as de l'empathie pour moi,
là j'ai un contrat, tu me traites de manger une merde, voyons, papa! »
Mais c'est ça...
C'est pas mon père pour vrai,
mais ça avait l'air de ça.
Non, mais c'est ça, je trouve.
Mais on est vraiment, oui.
C'est pas ton père pour vrai,
parce qu'il t'a renié.
Mon père est maï.
Non, mais c'est ça, je trouve que c'est...
Je sais pas, je sais pas.
Je trouve que c'est...
On a comme la misère à juste accepter
qu'on a de l'argent,
puis t'achètes un char qui est cool,
t'achètes...
Quand je me suis acheté,
m'a loué mon char neuf,
j'avais fini une que le monde
m'a dit que c'était un vieux humour.
Eh bien, tabarnak!
Oui, je travaille.
C'est aussi...
Quand, admettons,
tu as des contrats payants,
quand tu comptes ce qu'on gagne la minute,
c'est tellement indécent.
Ça n'a pas de sens.
On ne parle pas de ça.
Sauf qu'on ne travaille pas
toute la semaine à côté
on travaille toute la semaine
mais on n'est pas payé tout le temps
les heures que je passe à écrire chez nous
je n'ai pas de scène
sauf que quand je vais faire un show
quand tu vas voler un ballon d'eau
dans le panier d'une madame
là je suis payé assez
aussi
ce que souvent le monde ne comprend pas de madame. Là, je suis payé assez cher. Non, non. Et aussi, aussi,
ce que souvent
le monde ne comprenne pas,
c'est que,
mettons,
les six premières années
ou les huit premières années
ou douze
ou ça dépend
tout le temps du monde,
que tu travailles fort
pour zéro
puis tu ne sais même pas
si ça va.
Tu sais,
vous autres,
là, ça va bien,
mais il y a du monde
qui ont commencé
en même temps que vous autres
qui ont travaillé aussi fort
que Chris là ils ont rien
la différence c'est le charisme
non mais
c'est drôle parce que j'ai
c'est un bon gars
t'as vu que j'avais la misère à l'assumer
as-tu eu le fret dans ta face
moi je trouvais que c'était le fait que tu n'avais pas de carré.
C'est ça qu'il a mis sur ça.
C'est drôle, en crise,
j'ai changé de comptable cette année.
J'ai été super fier de mes numéros de taxe
cette année. Je me sens big.
J'arrive chez le comptable.
Je mets mes papiers. Je droppe ça.
Il dit, tout est dans la beauce cette année.
Tu as-tu tes impôts l'année passée?
Je suis comme, ouais.
Si tu droppes ça sur le comptoir, il croule ça. papiers je le ressens il y avait tout est là beau ce talent et à tous les impôts l'année passée je suis un ouest europe ce qu'on doit arriver au bout de ce mais
jusqu'à au gros salé ok pas comme chez moi c'est donc les prix
je suis beaucoup plus que ça n'est pas une grosse à moi c'est insulté moi là
c'était michel dans le temps qui m'avait dit ça. Quand tu vas, mettons,
dans une caisse populaire ou une banque nationale,
les filles au comptoir
sont tout le temps super belles.
À chaque fois...
C'est peut-être juste moi qui avais remarqué ça.
Moi, j'ai déjà fait ça. J'étais caissier.
Ah oui?
J'ai trouvé ça super.
Un moment donné, Michel,
on avait été à la Banque nationale
et il y avait une fille,
elle le cruisait.
Il avait l'air d'avoir une petite complicité.
J'avais fait,
la fille avait l'air de triper sur toi.
Tu devrais demander une date.
Il a fait, je sais ce que je gagne.
Là, il était comme...
C'était à l'époque...
C'était à l'époque que Michel avait 8 et 27 dans son compte.
Il était cassé, cassé.
Tu le sais, mais tu...
En tout cas, moi, pour avoir fait ça, ce job-là,
à un moment donné, tu ne checkes même pas ça.
Ça va vite, là.
Michel, tu aurais pu fourrer.
Moi, quand j'étais au bureau à la banque,
la madame me parle, me donne mes informations que j'ai demandées.
C'était intéressant, mais je préfère écouter, savoir ce que le gars à côté fait.
Tu arrives avec une enveloppe, je suis comme « Oh, c'est quoi cette enveloppe-là? »
« C'est un dépôt de cash, t'as l'affaire? » Moi, j'écoute et c'est ça.
Moi, j'aime le fait que tout le monde ment à la personne au comptoir d'une banque.
« Oh, c'est tout le temps un chèque qui rebondit, c'est jamais la faute.
Oui, monsieur, ça fait quatre fois ce mois-ci.
Oui, bien.
Vous aussi.
C'est où que tu faisais ça?
À Boucherville.
J'étais caissier avant que j'aie fini l'école.
L'école?
L'école de l'humour.
C'était l'école de l'humour.
J'ai compris, l'école.
Je me disais, c'est-tu... C'est comme l'école du show business.our. C'est l'école de l'humour. J'ai compris, l'école. Je me disais, c'est-tu...
C'est comme l'école du show business.
Oui, c'est ça.
Après l'école de l'humour,
je me suis trouvé une petite job alimentaire.
Ça a l'air à te faire rire.
Je faisais 14 heures, peut-être,
une semaine.
Mais j'aimais ça parce que
j'ai un bac. Avant de faire ça que tu moi j'ai un bac avant de
faire ça ouais j'aime moi j'ai un bac en comptabilité ça fait pas vrai personne
à ça je suis comptable dans la vie avant d'être humoriste moi j'ai fait
l'école des maîtres barman barbain ouais ouais j'ai mon certificat De l'école des maîtres barman Ah oui?
Non, non
Mais
C'est ça pour dire que
Je me suis présenté
Pour avoir la job
Puis il voulait pas me la donner
Pourquoi?
Il voulait que je sois conseiller
Avec mon bureau
Puis j'ai dit
Non, non, moi je veux être caissier
Je veux être en l'air du comptoir
Puis là, elle fait
Oui, mais
Si tu veux gagner bien plus
Puis je me suis fait
Non, je m'en crisse
Je veux être en l'air du comptoir
Toi, tu voulais jaser au monde
Voir le monde
Mais moi, je voulais surtout Tra crisse. Toi, tu voulais jaser au monde, voir le monde. Moi, je voulais surtout travailler
de 10 à 3.
C'est ça que j'ai fait. Je travaillais de 10
à 3. Il n'y a pas de souci.
C'est une crise de bel job.
Ça me permettait de faire l'humour
et de ne pas me lever trop de bonheur pour aller travailler.
C'était la stratégie
au départ. J'ai fait ça deux ans.
C'est ça. Ce n'était pas plate, mais c'est de la vente. On pense que non, mais c'est vraiment juste de la vente.
C'est de la vente?
Tu vends des trucs qui ne coûtent rien et personne n'en veut.
Tu vends des cartes de crédit. Il faut que tu vendes des cartes constamment.
Les gens en ont tous des cartes de crédit.
Il faut que tu les conviennes.
Peut-être une deuxième, ça serait bon.
Pourquoi une deuxième?
On a fait des stratégies. Je te jure.
Des stratégies.
Mettons, il arrive tel truc.
Tu as ta deuxième carte.
Il y a des madames qui se disent
« Ah, moi, j'étais là.
Moi, j'étais quand même bon.
Avec les madames, j'ai toujours été très bon.
Puis là, je suis comme
« Ben, tu sais, ça serait peut-être bon.
Puis là, tu as cash. »
Il y a une madame,
elle me prenait des cartes
si souvent.
Tu avais un salaire
à l'heure, à la semaine,
ou une commission quand tu faisais
accroire aux hosties de bonnes femmes?
Non, mais il faut que tu aies
des...
Non, tu as des...
J'avais un nombre de cartes
qu'il fallait que je vende
dans mon année.
Il fallait que tu rentres dans ce coteau-là
et si tu réussissais à vendre ton nombre de cartes,
bien là, t'avais un genre de mini-bonus
qui était pas grand-chose.
Un temps où il t'en manque quatre à la fin de l'année,
peux-tu t'en prendre quatre à ton nom?
Pas vraiment, non.
Ça aurait été une bonne stratégie.
Bref, j'ai fait ça deux ans.
Parce que maintenant, faut que tu réalises
que si tu veux
que ça marche en humour
comme en n'importe quoi
c'est sûr
quand tu portes ta business
et que tu veux que ça marche
il faut que tu fasses
100% de ça
fait que j'ai décidé
de lâcher
puis je me suis concentré
ça me ferait le monde
mettons
puis je trouve
que c'est pire en humour
mais c'est vrai
c'est dans n'importe quel business
qui font
moi là
ça va marcher en humour
mais j'ai mon sideline.
Mais mettons, Sidney Crosby,
il n'est pas aussi architecte.
Non, non, c'est ça.
Asti, sa job, c'est le hockey.
Il y a juste le joueur de foot.
Oui, le joueur de foot.
Ça n'a pas rapport, Duvernay.
Duvernay, comment? Tardif.
Laurent Duvernay Tardif.
C'est quand même un pas pire joueur
de foot, mais il doit être
un médecin nul à chier.
Pour de vrai, il doit être
nul à chier comme médecin.
Avec ses hosties de grosses mains.
Il met le gant.
Il fait du casse-à-casse six fois par semaine.
Viens m'opérer le coeur, mon hostie.
Oui, oui.
Non, mais...
Respirez.
C'est le seul...
Mais c'est ça qui est plate.
Il y a tout le temps une personne pour fucker.
Il faut que t'ailles une job,
sinon tu vas être nul à chier.
Puis là, t'as lui,
puis t'as un ostie de génie,
puis t'as un médecin,
puis t'as un ostie de bon joueur de foot, puis médecin, pis t'es un aussi de bon joueur de foot,
pis t'es comme tabarnak.
Mais la plupart des joueurs de foot
sont juste bons au football,
pis pour battre leurs fans.
Oui, c'est ça.
Mais lui, c'est ça.
Tough crowd, ça, c'était drôle,
un kiss.
T'as aussi de bon gars,
mais la pleb, ils connaissent rien,
elle se dit. La ple, mais la pleb connaissait rien. Elle se dit...
La pleb.
La pleb.
Les mortels.
Moi, j'ai perdu ma vie.
Je travaillais chez Kudo Mobile
quand j'ai commencé à faire de l'humour.
Puis j'ai finalement décidé de déménager avec Fédéraux
puis Charles-Étienne en a déjà parlé.
Mais je suis déménagé à Montréal.
Puis là, je suis tellement nerveux de me payer un loyer.
C'était mon premier rapport. Je suis super nerveux. Trois mois après que je suis déménagé à Montréal et j'étais tellement nerveux de me payer un loyer. C'était mon premier rempart.
J'étais super nerveux.
Trois mois après que je suis déménagé à Montréal, ils me calissent dehors.
J'étais un peu stressé comme début de vie à Montréal.
Phil qui t'a crissé dehors?
Non, la job.
Koudo?
Koudo, en fait...
Mais c'est ça.
C'est quoi qui t'est arrivé?
Moi, j'ai un petit déni d'autorité dans ma vie
Si t'essaies de me dire si ça marche
Je vais dire ben non
Quelqu'un a fait
C'est moi le boss, tu vas m'écouter
Non c'est moi le boss
Très mature
Dans les grosses compagnies de même
Ils vont dire ok on pousse telle affaire
Vous en vendez 10 cette semaine
Mais c'est plus avantageux de faire l'autre. »
« Oui, mais il faut vraiment que tu vendes celle-là,
c'est celle-là qu'on vend. »
« Mais moi, je fais plus d'argent que celle-là. »
« Oui, mais pense team, pense équipe. »
« Non, je pense moi, puis je vais faire celle-là. »
J'ai un peu de misère avec ça.
Bien, tu protégeais ça.
Bien, Chris, j'ai été meilleur vendeur du Québec
bien des fois à cause de ça.
C'est vrai, meilleur vendeur du Québec.
Les gens ont comme un top 10 des vendeurs du Québec.
Chris était numéro 4, moi je pense.
Puis le cinquième, c'était
Dervin Van Boerum.
Tu faisais juste répéter ce que la personne disait.
J'ai besoin d'un sel.
Moi, mais qu'est-ce que tu penses?
Tu devais prendre lui, comme avec la madame.
En même temps, ils ne comprenaient pas.
Ton Samsung est à l'époxy.
T'étais-tu pour de vrai le meilleur vendeur du Québec?
Je n'étais pas le meilleur vendeur du Québec.
J'étais dans les charques, chez Koudo. Top vendeur du Québec. J'étais ça dans les premiers mois que j'étais-tu pour de vrai le meilleur vendeur du Québec? J'étais pas le meilleur vendeur du Québec. J'étais dans les charques, chez Koudo.
Top vendeur du Québec.
J'étais ça dans les premiers mois que j'étais là.
Mais moi, je suis quelqu'un comme ça.
J'ai des nouveaux projets.
Ça m'excite bien gros.
Parmi eux, je me tanne.
Puis là, par la fin, je pense que...
Puis je voulais plus d'or.
Merci tellement pour ça.
Je t'aime.
Je prendrais une autre vodka.
Excuse-moi, c'est en hyène.
Non, c'est de j'en ai.
Mais pourquoi j'ai spécifié que c'était de j'en ai?
Mais non, c'est ça. Puis en fait, je donnaisé que c'était une joke? Non, c'est ça.
En fait, je donnais de moins en moins d'heures
parce que je voulais faire de l'humour.
Ça, ça leur tapait bien gros ses nerfs.
Ils disaient un minimum de 35 heures de disponibilité.
Je pense qu'à la fin, je leur donnais 12
parce que j'étais à Montréal et c'était plus tough.
Je voulais faire les fins de semaine.
Quand ils m'ont crissé dehors,
j'ai appelé mon père un peu en panique
de faire ça.
Je suis dans la marge.
J'ai une couple de mois de loyer de côté,
mais à ce moment-là, je faisais deux shows,
quatre shows par mois. Pour un humoriste débutant,
une couple de mois de loyer
de côté, t'es l'humoriste
le plus riche de l'histoire de la galère.
Oui, oui, vraiment.
J'ai 43 ans, j'ai pas une couple
de loyer de côté.
Non, mais t'as une tondeuse,
pis ça, c'est pas grave.
Non, mais pour vrai, c'est ça qui m'a sauv moi sur Wikio J'avais mis un petit peu d'argent de côté
T'es peut-être 3 mois
Mais mon père il m'a dit
Mon père au lieu de se faire ok là
J'ai eu des offres dans les semaines d'après
Belle à ma tondeuse
Juste belle
Mon père il m'a dit
Peut-être que c'est le moment où tu l'essaies
Mon père m'a fait très sur téléphone
Des fois là When life gives you a lemon, you do a lemonade Pardon Mais tu sais, peut-être que c'est le moment où est-ce que tu l'essaies. Mon père m'a fait très sur téléphone. Il dit, des fois,
when life gives you a lemon, you do a lemonade.
J'ai dit, pardon?
Il était super fier.
Pas une anglophone, ton père.
Oui, c'est moi qui ai de la misère.
Mais non, il était super fier de son analogie.
Mais grosso modo, il a eu raison.
C'est comme devenu...
Je n'ai jamais retourné sur le marché du travail.
Ben, autre...
Ben ouais...
Ouais aussi!
Mais non mais tu comprends ce que je veux dire là...
T'es allé...
Sur un payroll, je travaille pour moi maintenant depuis...
C'est cool...
Tu sais des fois c'est juste de faire...
Moi j'ai même pas eu les couilles de faire le move, vous m'avez le mis,
j'ai juste pris la décision de jamais retourner dans une de ces petites choses là tu sais.
Fait que des fois c'est d'y aller all in, ça fait que...
Ça fait peur au début, c'est d'y aller all in ça fait peur au début
c'est sûr
moi j'allais faire mes shows
à 25$ dans les bars
je faisais mes 4 du mois ça me donnait 100$
quand quelqu'un disait on va-tu prendre une bière
non
j'avais des petits coupons
j'étais le cheap qui ne typait pas
je vais prendre une bière
tu t'en vas vite avant qu'il se retourne
je descends de la main
tout le monde Je vais prendre une bière, puis tu t'en vas vite avant qu'il se retourne. Ça fait que je descends de la main.
Mais ça, je pense,
tout le monde, en tout cas pour l'humour,
puis ça doit être pareil pour tous les business,
surtout ceux qui sont plus dans les arts,
mais il faut faire ce sacrifice-là.
Oui, je suis d'accord.
Puis c'est plus facile quand tu es jeune.
Quand le monde me demande,
quand ils font, mettons, moi j'ai 45 ans, je veux me lancer en humour. »
T'es jamais trop vieux pour te lancer en humour,
mais qu'est-ce que c'est un astide stress
à 45 ans,
faire genre part à zéro,
tandis qu'à 20-quelques,
tous tes amis sont pauvres aussi.
C'est Simon Leblanc
qui m'avait dit,
« Lâche tout, lâche tout. »
Tu sais, Simon, lui, quand il'avait dit Lâche tout Tu sais Simon
Lui quand il a décidé d'arrêter tout
Pour faire que de l'humour
Il y avait sa blonde aussi
Qui est devenue sa gérante
Il était deux
Avec les 25$ par semaine à Simon
Puis je me suis dit
Si lui il a quand même passé au travail
Je te dis pas que ça va être tough
Que ça sera pas facile
ça va être tough
mais moi c'était tough
je te dis pas que ça va être tough
mais bref c'est lui qui m'a convaincu
il est parti
la prochaine fois que tu fais une anecdote
j'arrête de parler
non mais c'est vrai
c'est ça pour dire qu'il est croyant
va voler un citron de son drink
pourquoi? non non Non mais c'est vrai. C'est ça pour dire qu'il a eu croyance. Va voler un citron de son drink.
Pourquoi?
Non, non.
C'est un callback des jokers.
Ah, c'est moi qui ai été là.
Excuse-moi.
C'était une mauvaise gag.
Que tout le monde a compris, mais en fait,
il n'est pas beau comme gag.
Mais toi, tu as juste ça.
Comprends pas.
Moi, dans mon gros temps de match, je voulais souligner que c'était mauvais.
Ah, t'es pas bon, ça.
C'est pour ça qu'ils t'ont créé sur la porte de coudeau.
Oui, c'est ça. Je suis très arrogant.
Là, vous autres, ça fait
combien de temps que vous faites ça?
Moi, ça va faire 6-4-5 ans. Je te dirais
plus sérieusement dans les 3-4 dernières années,
3 dernières années, mais 4-5 ans
que je fais de l'humour, je pense.
Ça fait, ça veut dire, ça fait 3 ans
que tu vis de ça?
Oui, pour vrai, on en a déjà parlé ici,
ça rime pas mal avec l'ouverture du bordel pour moi.
Du moment que je suis devenu les animateurs ici,
ça a un peu changé.
On avait parlé, mais il n'y avait pas de son.
Il n'y avait pas de son.
Je pense que c'est mon premier podcast avec Fanny.
Moi, j'ai fini l'école en 2010.
Mais tu sais, c'est ça.
Les deux premières années après l'école,
j'ai travaillé à la banque.
Donc, je ne compte pas vraiment ça.
Toi, tu ne comptes même pas.
Je commence à en vivre en 2013.
Tu ne comptes même pas.
Le parc du monde, je trouve,
ils comptent le début de l'école
comme...
Non, la plupart du monde ne comptent pas.
Ah oui, c'est vrai? Parce qu'ils n'ont tellement pas le droit
de faire des shows. Tu fais juste la tournée et c'est tout.
Sur Magda, c'est un peu plus ouvert.
À ce moment-là, il n'y a pas le droit de faire des shows.
Moi, ça fait longtemps que je voulais faire ça.
Moi, j'ai travaillé
quand j'étais plus jeune au Vieux Clocher de Magog.
Tu as eu ton one-man show avant même de faire l'école.
J'ai fait un one-man show à l'époque où j'étais à l'université.
C'était-tu bon?
C'était pas si...
Ok, fais-nous un téga.
Julien Girardeau était venu voir ça.
On avait entendu parler.
Il était venu à l'époque où il travaillait pour Juste pour Rire.
Il était venu parce qu'il était curieux.
Tu es carté, genre?
Oui, il était venu voir le show.
Ok, mais fais-nous un téga. Fais-nous un pégan.
Fais-nous ton nouveau
ouverture.
Je ne me souviens pas.
Le nouveau ouverture,
c'était une des tonnes
de Offspring.
Le rideau ouvre
et je suis de dos.
Il y a de la boucane
et je suis sous la main.
De dos.
De dos.
Il ne se prenait pas
pour de la merde.
Pour moi, c'était un méchant.
Je rentre du côté.
C'était mon premier gag.
Je rentrais avec ça.
C'est bon.
Tu as vu,
ce n'était pas si bon. Non, ça, moi gag. Je rentrais avec ça. C'était pas si bon.
Ça, je suis sûr que ça doit marcher.
Ça, c'est vraiment mon genre.
En 2003, c'était bon.
Aujourd'hui, ça marche.
Bref, c'est ça.
J'ai fait ce show-là une fois.
L'idée, c'était de le faire juste une fois
au Vieux-Clocher. Je l'ai foulé.
Avec le bouche-à-oreille de l'université,
les gens de l'université de Boulogne,
je l'ai fait trois fois de fil.
À cette époque-là, tu disais, je fais ce show-là,
puis après, je deviens comptable.
C'était juste une affaire sur mon bucket list.
Pendant que je faisais mon bac en comptabilité,
je voulais être humoriste.
C'est comme plus l'inverse.
C'est comme mon plan B, la comptabilité.
Mon père a une entreprise.
L'idée, c'était de reprendre l'entreprise peut-être,
mais je voulais m'essayer en humour.
Si je voyais que ça ne marche pas ou que je n'aime pas ça,
je retournais prendre l'entreprise familiale.
OK.
C'est pas ça, moi.
Moi, j'ai eu de la misère.
Puis là, finalement, c'est ça, je me suis lancé carrément en humour,
mais la comptabilité, ça servait à reprendre l'entreprise, en fait.
C'est cool d'être comptable pour calculer à quel point t'es pauvre à cause de l'humour.
Au début, ça se calcule vite.
La vie te remet toujours dans la face ta mauvaise décision.
Zéro plus zéro.
Vous avez un bac bien utilisé.
Te rappelles-tu
les deux
votre premier rapport d'impôt
quand vous étiez juste humoriste?
Moi, pour vrai,
mes parents avaient eu pitié.
J'avais dit à mes parents,
j'ai fait ça, puis ils avaient fait comme...
Comment tu m'en veux?
J'étais comme...
Pour vrai, j'étais super heureux,
mais je me rappelle avoir fait tant à pendant.
C'était pas facile.
C'était combien?
8 000.
Là-dedans, ça va?
Tout le monde ensemble.
8000.
C'est quoi le BS à Star?
J'étais vraiment beaucoup en dessous du BS.
OK.
Mon comptable me l'avait bien laissé sous-entendre.
Ça pourrait être une possibilité,
mais j'ai peut-être juste rempli ce formulaire.
Je suis comme, non, c'est pas un BS, pas un BS.
Très mal!
Oui, mais c'est...
T'as applaudi?
Mais la vraie histoire, c'est qu'il n'a pas signé
vu qu'il n'avait pas les moyens de s'acheter un crayon.
C'est fait connis.
C'est quoi ça?
C'est du fnard pour avoir du sang pour Félix.
Il faut signer un crayon.
C'est un gros mime!
Ben je suis mauvais en mimes.
Je suis pas un bon mime!
C'est bon, je suis content qu'on ait vécu ça!
Toi ton premier rapport?
Ben moi en fait j'ai...
Toi c'est paye, tu l'as fait toi-même en plus!
Oui!
Jockeling!
Je l'ai fait encore moi-même!
Il était bien le mien parce que j'ai retravaillé à la banque
et l'année suivante j'ai vraiment pogné Joker!
Fait que c'était ma meilleure
année à vie ok ma meilleure j'ai dit c'était pas une année incroyable c'était 60 moi j'étais
j'étais ramé mardeux là dessus j'ai jamais été dans le troupe parce que j'étais wise tu peux noyer tout ton chagrin
c'est le même qu'à Marche-la-Vie
Olivier Primo il est parti derrière
mais moi c'est quoi tu disais
excuse
non mais c'est ça
c'était pas intéressant
non ça l'était
c'est que au début
c'était intéressant c'est que au début c'est le Joker
c'est ça
ta première année
t'as arrêté la banque
pis tout de suite t'as pogné les Joker
dans la même année
6 mois plus tard
on a tourné saison 1
pis après saison 1, 2 semaines après
François Bellefeuille m'appelait à me dire
ça tente de se faire la première partie ».
Fait que là, j'ai fait trois ans et demi de tournée,
puis pendant ces trois ans et demi de tournée-là, j'ai tourné deux autres saisons de Joker.
Je te dirais qu'en ce moment, c'est la période la moins lucrative,
parce que j'ai rien.
T'as Alt?
Ben là, on tourne pas Alt.
Il vient de se terminer?
Oui, Alt vient de se terminer.
Non, je suis quand même marre d'eux là-dessus.
On est bon sur le cash.
Mais j'ai la gérée, moi, l'argent.
Cris, j'ai étudié là-dedans.
T'as-tu... T'es-tu du genre que tu penses,
OK, va falloir que je paye tant d'impôts, ça, ça, ça.
Non, parce que moi, à la base,
en partant, quand je suis sorti de l'école,
je me suis fait une blonde,
qui est comptable agréé,
et je l'ai mariée.
Top!
Fait que là, à cette heure,
que je fasse de l'argent ou pas,
on s'en collisse.
Oui.
Tu dois te dire,
ça doit être excitant au lit,
c'est incroyable.
Moi, par exemple,
les comptables que j'ai rencontrés,
ils boivent beaucoup.
Oui, mais c'est parce qu'ils ne boivent pas souvent,
fait que quand ils boivent, ils ne savent pas boire. Les parties mais c'est parce qu'ils ne boivent pas souvent. Quand ils boivent, c'est intense.
Ils ne savent pas boire.
Les parties de comptables, ce n'est pas de bon sens.
J'ai fait un concours pour des comptables.
C'est des gens sympathiques.
Moi, à l'université, j'étais le plus drôle,
mais ce n'était pas dur, je n'avais pas de compétition.
Tu es quand même le plus drôle.
Moi, je suis le plus drôle dans mon cours de comptable.
Pas du cours de la faculté au complet,
d'administration, sauf qu'il n'y a pas
de compétition tant que ça.
Mais quand tu arrives à l'école de l'humour,
là, c'est tous les plus drôles de toutes les places.
Mais t'es le plus drôle des comptables.
Mais je suis le plus drôle des comptables, effectivement.
Mais c'est ça. Quand tu arrives dans un milieu
d'humour, là, c'est fou à quel point
tout le monde essaie, surtout au début, je me souviens, ça n'est fou à quel point tout le monde essaie, surtout au début,
ça n'était stressant,
parce que tout le monde essaie d'être drôle,
tout le monde essaie d'écraser l'autre pour montrer
à quel point il est drôle.
Quand vous êtes à l'école,
il y a tout le temps un drôle.
Imagine que lui, il n'est même pas assez drôle.
C'est tous les plus drôles qui sont ensemble.
Ça devient une classe.
Moi, j'étais le funné de la classe.
C'est ça. Imagine, toi et tous les autres, c'est ins les plus drôles qui sont ensemble. Ça devient une classe. Moi, j'étais le funé de la classe. C'est ça.
Imagine, toi et tous les autres.
T'étais-tu le funé?
T'étais le classe clown?
Je ne sais pas si j'étais le classe clown,
mais j'étais très drôle.
Je me débrouillais bien.
Non, mais c'était ma façon de ne pas me faire battre.
Pour vrai, j'étais chobé.
J'étais chobé et j'étais super fragile. Je'étais une bonne type pour vrai, je ne cours pas vite.
Mais c'est souvent ça.
Oui, oui, pour vrai. Le bon vieux classique du gros qui est drôle.
Moi, je n'ai jamais souffert de ça.
Moi, j'étais arrogant en plus, je me faisais intimider.
Un moment donné, j'ai écouté un film, je ne me souviens pas c'est quoi le film, il faudrait que je le retrouve, ça ferait une bonne anecdote, mais là, on n'a pas le référent.
Mais c'est pas grave, j'ai écouté ce film-là, pis je me rappelle,
le soir, le chant...
Tu vas-tu nous décrire le film qu'on essaie de devenir?
C'est un gros, j'imagine, dans le film?
Non. C'est un film de...
C'est un film avec un esti de gros loser,
des lunettes, un peu arrogant,
docteur de l'étoile...
C'est pas un gars colis, vous voulez vous m'insulter ou...
Un gros tas de marde avec des lunettes.
Si il est arrogant.
Il se trouve bon.
Il a perdu sa job chez Koudo.
Ah ouais, shoot moi ça, c'tit. »
« Non mais c'est un peu parce que c'est un film inspirant du courage.
Par rapport à le film, le film me dit
« C'est fini, c'tit. C'est fini, je me ferais pécœurer.
Demain, j'suis en ligne le premier, j'te la cote dans la corde.
J'dis « Ça a changé! » Mon gars, je te jure, confiant comme douze.
Je suis rentré dans mon cours de français.
La personne m'a fait chier le matin,
puis la corde, je trouvais ça peut-être un peu intense.
Dans mon cours de français,
il y a quelqu'un qui me corde avec quelque chose,
je la cote dans la mûche.
Je fais « Fais un petit accolisse de gueule, tu es. »
Il m'a poussé.
Il m'a fait « Ta gueule, Pepper. »
« Mon Dieu, je ne suis même pas capable. »
J'ai essayé d'être un intimidateur,
puis ils ont fait « Ré, non, décollisse.
Donne-nous ton lunch. »
La violence, je suis capable,
mais mon lunch, ça me faisait mal.
C'est la plus grosse violence.
Moi, ma dernière bataille...
Ma dernière bataille...
Je ne me faisais pas battre.
La dernière fois que je me suis battu,
moi, par exemple, si on dit
la vérité, c'était moi
le petit trou de cul qui n'arrêtait pas.
J'écœurais le monde.
Moi aussi, je suis devenu ça.
Moi, il y avait un gars que j'écœurais.
Un moment donné, il a dit, on va se battre.
J'ai fait, on va se battre, mon tabarnak.
Puis là, quelqu'un m'avait dit, frappe-le en premier.
Si tu le frappes en premier, il va tomber.
Moi, j'avais frappé le gars, il avait tombé.
Puis là, au lieu de sauter dessus
et de continuer, j'avais juste fait
j'ai gagné, hostie! J'ai gagné!
Pis là, il s'est relevé.
Pis là, j'ai fait, non, non, hostie, c'est fini!
C'est fini, là!
Il avait fait, non, non, viens!
J'ai fait, ben non, c'est fini, car lisse!
J'ai gagné, là, c'est clair!
Pour tout le monde!
Il m'a sauté dessus, il m'a frappé,
pis j'ai mangé.
Il a volé le ciel.
À ce moment-là, c'est fini.
Il m'a fucké mon oreille.
C'est cette oreille-là
qui est décollée un peu.
Il me frappait tellement
que quand il ne me frappait pas
la face, il accrochait mon oreille.
Les fois qu'il n' a pas frappé ma face,
c'était mon oreille.
Puis là, j'ai fait, ah tabarnak!
Est-ce que je m'abatterais plus?
Mais t'avais quel âge?
J'avais...
30... Non.
Non, pour de vrai, j'avais
secondaire 1.
1 ou 2.
J'en avais pas 11 ou 12 ans.
Non, non, mais moi, au primaire, je me battais parce que j'avais des gants de boxe, puis dans ma
tête, je faisais de la boxe. Vu que j'étais chez nous, je boxais.
T'as acheté tout le temps tes gants de boxe?
Hein?
T'arrives à l'école avec tes gants de boxe?
Non, non, mais j'avais acheté des gants de boxe, puis là, je punchais les arbres,
puis dans ma tête, j'étais un boxeur.
C'est une loser.
Fait que là, mais tu sais, un petit kid qui punche des arbres, il ma tête j'étais un boxeur né. Fait que là, mais t'sais un p'tit kid qui punch des arbres, il peut crisser une volée à toutes les autres. Fait que moi chaque fois que je me battais, je crissais une volée à tout le monde. Mais après, tout le monde a grandi sauf moi. Fait que là, en secondaire 1, tout le monde mesurait 5 pieds et 6. Moi j'étais 4 pieds et 3. Je pesais 39 livres. Fait que j'étais, j'étais 4 pieds 3. Je pesais 39 livres.
J'étais une victime.
François Bellefeuille m'a raconté une anecdote où lui aussi, il avait des gants de boxe.
Sa mère avait acheté ça avec un sac.
Il se pratiquait dans sa cave.
Il frappait un peu.
Il se trouvait bon.
Il était confiant.
Il s'est retourné de bord.
Il a crissé un coup sur une corde de porte.
Il s'est pété la main.
Ah oui?
C'était fini.
C'est-tu qui était impulsif?
Moi, j'avais un de mes amis, mon voisin,
quand j'étais petit.
C'était un peu un loser.
J'avais basé mon personnage de Henry,
que je fais avec Patrick Gros, Simon et Harry.
C'était un peu basé sur ce gars-là.
Ça, c'est un peu loser.
Un peu loser.
Je l'ai exagéré.
Lui, quand j'étais petit,
il avait vu que j'avais des gants de boxe.
J'avais dit qu'on allait se battre l'un contre l'autre.
J'avais donné
le gant gauche.
C'était un droitier.
J'avais dit que j'avais juste le droitier.
Là,
c'était...
C'est tellement méchant.
C'est tellement méchant.
Je pense que tout ce que j'ai vécu
dans les trois dernières années,
je le mérite.
Non, non, non.
Ça te revient à vous.
Ça fait combien de temps que la lumière...
On est rendu à combien de temps?
Une heure et vingt-cinq.
Si on a le temps encore, si je veux faire trois heures et quart
dans le soir.
On va aller avec...
À moins que vous avez quelque chose que vous voulez raconter,
j'irai avec les questions.
Non.
On pourrait parler encore.
On va aller avec les questions.
Là, on va faire trois questions.
Non, tu n'es pas en train de closer le podcast.
Mike, est-ce que tu es à 1h25?
Non, mais c'est parce que chaque question dure 15 minutes.
Là, je te mets d'après les questions des gens.
Tu ne réponds pas par oui.
C'est juste, est-ce que tu aimes le dessert?
Oui.
Première question.
Si vous êtes...
Oh, yes!
C'est Arnaud?
C'est Arnaud?
Excuse-moi, Arnaud.
Je m'appelle Arnaud Sully.
J'étais là la semaine passée.
Je veux juste solliciter votre aide.
Je suis toujours à la recherche active
de trois Thaïlandais.
Pas de joke, ma question, c'est
si vous étiez des schtroums,
ça serait quoi vos noms?
Un call-back d'une semaine.
C'est ça que j'aime ça
Bon
Fait que là, on va faire
Trois autres questions
Il n'y a pas de questions pour vrai
Mais ouais, c'est ça
On n'est pas assez intéressant
Si t'étais un schtroumpf
Tu serais quelle couleur?
Je me rappelle pas des Schtroumpfs,
je me rappelle que le Schtroumpf grognon
me faisait vraiment rire,
genre je te fesserais mon esti,
mais rire, je t'enterre dans le cours.
C'est quoi le Schtroumpf
efféminé?
Non, c'était l'artiste.
Le Schtroumpf coquet.
C'est homophobe. Il aurait dû l'appiste le chou coquet c'était homophobe
il aurait dû l'appeler
la tapette bleue
c'est ça
check la fée fille
le fée fille
le chou chou tapette
le chou chou tapette
mais en plus
il y avait des ciseaux
pour couper les cheveux
il coupe des cheveux à des messieurs qui n'ont pas de cheveux avait des ciseaux pour couper les cheveux. Il coupe des cheveux
à des messieurs qui n'ont pas de cheveux
et des chapeaux.
Il y avait tout du coquet.
Asti que c'est drôle.
Il y a plein d'émissions de même
que tu réécoutes.
Je me rappelle l'émission
qui s'appelait Opération Caméléon.
Je ne sais pas si il y en a un qui se rappelle de ça.
C'est quoi ça?
Opération Caméléon, c'est un genre de zigoto.
En fait, ça suivait zigoto.
C'était la canale famille dans le temps.
Puis, c'était une affaire d'espions.
Tu participais et tu allais dans le bunker des espions.
Là, tu faisais des missions et tu essayais de gagner.
C'était une affaire de participation.
Par contre, le générique d'ouverture, la première scène de l'émission,
c'était des gars habillés en noir, des genres d'espions, la première scène de l'émission,
c'était des gars habillés en noir,
des genres d'espions,
qui arrivaient avec un truck noir.
Ils arrivaient peut-être sur le coin de la rue où les enfants et les participants attendaient.
Ils leur mettaient des sacs noirs sur la tête.
Ils les collissaient dans le truck
pour ne pas qu'ils voyaient où leur repère.
Et là, ils les amenaient dans le studio.
Écoute-moi bien, Chris.
C'est inacceptable.
Moi, ce qui me paraît, c'est juste...
C'est qui qui produisait ce show-là?
Je sais pas.
C'était-tu Guy Cloutier?
C'est clair, c'était lui.
Je sais pas, mais moi, ce qui me paraît,
c'est que là, eux, ils se faisaient kidnapper,
mais c'était Stingy.
Mais il y a sûrement des kids
qui, eux, se sont fait kidnapper pour vrai.
Je faisais comme...
Yes, sir!
On a reçu un caméléon!
Tu sais, qui c'est? On a un choc à l'éléo! Tu sais,
qui est ça?
On a un choc à l'éléo!
Le kidnappage,
quoi qu'il parle,
lui,
on s'en va
dans mon sous-sol.
Ah,
c'est trop.
Tu sais,
les enfants demandent
des émissions,
ils disent,
c'est inacceptable,
ça passerait plus
aujourd'hui.
Comme le schtroumpf-fif.
Le schtroumpf,
oui.
Le schtroumpf coquet. Le schtroumpf coquet.
Le schtroumpf coquet, c'était vraiment la façon polie.
Moi, j'aimerais ça qu'ils ramènent ça en 2017
et qu'il y ait le schtroumpf transgenre.
Le schtroumpf LGBTQF.
Oui.
Ça serait drôle quand même comme exercice
de savoir tous ces personnages-là
qui étaient très typés, très genrés.
Vraiment, par le schtroumpf bérillà qui étaient très typés, très genrés, tu sais, vraiment par le
Schtroumpf-Beryl.
Il y en avait 200, Schtroumpf, mais overall,
des noms. Ils ont juste
volé le concept de
Blanche-Neige et les sept nains.
Tu sais, mais ils ont fait, tu sais,
parce que, tu sais, il y en a un,
c'était le grognon.
Fait qu'ils ont fait, on va faire la même chose,
mais il va être bleu. Mais avec des plus petits nains.
Oui, mais il va être des vraiment petits nains.
On va mettre un vieux et une fille.
Tu l'expliquais de même.
C'est non plus pas très acceptable.
C'est ça.
C'est quoi que t'écoutais comme émission quand t'étais jeune?
Moi, j'aimais vraiment beaucoup Mr. Dress-up,
qui était une série anglophone.
Ça sent le monsieur qui se déguise en femme, ça?
Oui. Mais il y avait...
Les premières années
d'Internet, il y avait une légende urbaine
que Mr. Dress-up s'était
fait arrêter pour de la poudre.
Puis finalement, j'ai appris l'année
passée que c'était pas vrai, mais
ça m'avait marqué.
Il y avait Mr. Dress-up. C'est marqué. Il y avait Mr. Dress-up.
C'est quoi l'émission?
Mr. Dress-up, c'était un monsieur
qui...
Je ne sais pas.
C'est vendeur.
Son beau, tes souvenirs d'enfance.
Son beau, beau, beau.
Il animait
son show dans sa maison.
Quand il sortait dehors, il y avait deux marionnettes,
un chien et un enfant
qui vivaient dans un arbre.
Puis là, il leur parlait.
C'est un genre de Simon Leloup.
C'est très canadien.
Ça, c'est Mr. Rogers.
Ça, c'est Mr. Rogers qui changeait ses souliers.
Il marchait, il enlevait son manteau,
il mettait sa petite verse à l'intérieur.
C'est ça, c'est la version canadienne de Mr. Rogers.
C'était cheap à mordre.
C'est très cheap.
Mr. Rogers, c'était coûté si beaucoup.
Ça aussi, c'était cheap.
C'était un petit bonhomme.
Il rentrait, il enlevait son manteau,
il mettait une petite veste de laine.
À l'intérieur, on fait tous ça.
Après ça, il changeait ses souliers d'extérieur
à souliers d'intérieur.
Il s'assoyait à côté de son train.
Il faisait un link. Après ça, il changeait ses souliers d'extérieur à souliers d'intérieur. Il s'assoyait à côté de son train, il faisait chouchou.
Il s'accotait dessus, il faisait un link.
Il y avait, dans le temps, Eddie Murphy,
les premières années qu'il s'est fait connaître,
à l'époque de Saturday Night Live,
il faisait une parodie de ça,
mais il appelait ça Mr. Robinson's Neighborhood,
qui jouait genre le Mr. Rogers d'un ghetto.
Puis là, si tu youtube Mr. Robinson Zimbrot,
c'est vraiment drôle.
Sûrement que ça a mal vieilli.
Comme tout ce qu'a fait
Eddie Murphy.
Certaines affaires ont bien vieilli.
J'aurais écouté un de ses bits.
Un de ses vieux bits.
C'est quand il est en vie en rouge.
Il est gros et il devient maigre.
Ah, il a des professors.
Oui.
C'est ça.
Ça ne me rappelle pas ton souvenir d'enfance de ta meilleure émission,
mais Eddie Murphy qui se met en grosse madame, mon chum celui-là.
Non, mais c'est parce que moi, quand j'étais petit,
Eddie Murphy...
C'était the shit.
C'était the shit.
Moi, quand j'étais jeune...
Tu sais, moi, je suis exactement dans l'âge que je suis trop jeune
pour me rappeler des premières années
de Saturday Night Live.
Mais je suis assez vieux que la première année,
je me rappelle, c'était Eddie Murphy.
C'était lui tout seul
qui était bon. Le reste, c'était tout de la marde.
C'était Joe Pescapo.
C'était des astides vidanges
avec lui. Mais lui, il était super drôle.
Après ça, ses films étaient drôles.
Son stand-up était drôle.
Moi, je suis devenu quasiment un stand-up à cause de lui.
Ton meilleur film de jeunesse
ton film
que t'aimais vraiment écouter quand t'étais pas kid
mais genre ado qui te faisait fucking rire.
Ado?
Ado, je m'en rappelle pas.
Mais Kid Kid, c'était
Beverly Hills Cop 2
Kid Kid au primaire
C'était jeune
C'est Ding et Dong
C'est vraiment tout
J'aurais jamais répondu ça
Je sais que c'est weird
Mais ça m'a fait tellement rire
J'ai écouté plusieurs fois
T'as-tu déjà rencontré Claude Meunier?
Oui, une fois, puis c'était pas génial. Je suis allé à son show, le Timé Show.
Ah, ça c'est drôle. Écoute cette anecdote-là.
Puis là, il recevait... Tu sais ce qui m'a amené à rêver, si tu le racontes?
Oui, je sais.
T'es au courant? Moi, je t'en demande au moins trois, donc pratique-toi tout de suite,
compte ton anecdote. Puis là...
Woupi!
OK, c'est ça. Vous connaissez le Timé Show?
Ils reçoivent des invités. Ils reçoivent Louis-José Hood.
C'est que moi, je suis approché
pour faire le cousin
de Louis-José Hood, Robin Hood.
On est dans l'univers de Claude Meunier,
c'est des jeux de mots.
Apparemment, par exemple, le père de Louis-José
voulait l'appeler Robin.
Pour de vrai. Louis-José m'avait déjà dit ça. Que son père, en gag, voulait l'appeler Robin. Pour de vrai. Louis-José m'avait déjà dit ça.
Que son père, en gag, voulait l'appeler Robin.
Vu qu'il trouvait ça pas le chien.
Si c'est un gag, c'est drôle en tabarnak.
C'est un bon gag.
Si, c'est parce que ça scrappe une vie.
Mais Louis-José,
ça scrappe une vie.
Ça scrappe une enfance.
En gros, il a choisi le meilleur gag.
Bref.
J'ai le mandat d'être le cousin de Phil Robbins.
Pourquoi ils t'ont demandé à toi d'être le cousin?
Je ne sais pas. Je dois avoir sa face.
Parce que j'imite Louis-José.
C'est quoi ton imitation de Louis-José?
C'est juste ça que je veux.
Tantôt, elle se dit que vous n'êtes pas vite.
Fais ton imitation de Louis-José.
C'est juste...
C'est un bout de son premier show.
Là, ce que j'ai fait, j'ai écrit un texte exprès parce que là, je faisais ça. C'est un bout de son premier show. Je demande tout le temps.
J'ai écrit un texte exprès.
Je vous fais un bout de son premier show.
Moi, je viens de Saint-Apollinaire.
C'est un petit village à côté de Québec.
On habite dans un rang.
C'est comme une trail à côté d'une route.
On voit la trail dans le champ.
On habite juste là.
On ne comprend rien parce qu'onîne dans le champ avec une traque pour les trains. On habite juste là. Fait qu'on comprend rien parce qu'on est à la traîne dans le champ.
Attends, attends.
Hey man, autant, autant là, autant que dans la vie j'haïs les imitateurs, autant qu'un
ami qui est capable d'imiter des shit, l'autre jour on a passé une demi-heure dans l'oche,
fais-moi le rempainquin. Fais le rempainquin, tu l'as bien.
Ouais, mais là. Ouais, fais- l'oche. Fais-moi le rempanquin. Fais le rempanquin, tu l'as bien.
Fais-le.
Fais-le.
Je l'ai toujours à la troisième phrase.
Bon, c'est quoi le problème, là? Hein?
Me semble que je mangerais une poutine.
Hostie! Fait que je mangerais une poutine. » « Hostie! »
« Fait que je suis assis. »
« Ah non, c'est en crise d'anecdotes. »
« On a eu ce qu'on voulait. »
« Le show est fini. »
« On se revoit la semaine prochaine, tout le monde. »
« C'est une joke, c'est une joke. »
« Je vais le faire rapidement. »
« Je suis assis. »
« C'est la répétition. que moi j'ai appris mon texte
je connais le texte
mais je sais pas
quand je rentre
tu connais-tu
Louis-José
à cette époque-là
pas vraiment non
ok
puis tu connais pas
Claude Meunier non plus
non du tout
fait que t'arrives là-bas
il met un gars
devant un autre gars
que tu connais pas
je suis assis
dans les estrades
parce que c'est
enregistré devant le public
à la place où je vais être
durant l'enregistrement
il y a personne
il y a juste
toute l'équipe technique
avec les caméras.
Puis là, Claude Meunier est assis.
Puis là, son prompteur qui défile.
Puis il fait le texte.
Mais il fait comme, OK, on passe, on passe,
on passe, on passe, on passe, OK.
Là, il fait une ligne, une autre ligne.
Puis là, il fait juste se lever les yeux
puis il me regarde dans le fond
puis il fait, bien là,
c'est parce qu'il faudrait que tu rentres.
C'est ta ligne.
Puis là, je fais, oh tabarnak!
Là, je suis comme, bien, excusez.
Là, je regarde la régisseur. Je fais, je ne sais pas, c'ak! » Là, je suis comme « Excusez, là. » Là, je regarde la régisseur.
Je fais « Je ne sais pas. C'est quand il faut que je rentre? »
Lui, il est un peu en esti parce que je lui fais perdre son temps.
Mais en même temps, je ne sais pas.
Là, on le refait.
Mais il n'est pas patient. Je ne peux pas comprendre.
Il le refait.
Moi, j'attends juste mon cue.
Je suis sur le nerf, mais total.
Tu ne l'entends pas la deuxième fois?
Non, non. Il le fait.
Là, je rentre. Là, je fais l'imitation et là, il a fait
tabarnak. Là, il était content.
Il était content à partir de là.
Tout le monde était content, mais je n'ai pas
aimé mon expérience. Mais il est gentil.
Il est vraiment gentil.
Probablement. Non, non. J'ai pas eu la chance
de jaser. C'est sûr qu'il est fin,
mais dans ce contexte-là, ce n'était pas cool.
Je vous dirais, la pire chose à faire, c'est d'imiter quelqu'un devant quelqu'un.
Je l'ai fait, mais je le regrette un peu.
Josée était correct après. J'y ai reparlé et il m'a dit
« De tous ceux qui ont essayé de m'imiter, tu es le moins épais. »
Il y a une affaire pendant un bout de temps.
Les humoristes n'aimaient pas les imitateurs.
Mais il y a quoi de...
Comme Dumbback, c'était le gars
qui imitait le mieux.
On dirait qu'il avait quasiment honte
d'imiter. Mais si tu es capable
d'imiter et rendre ça drôle,
Christ, c'est un atout total.
Oui, mais imiter, c'est comme
jongler.
C'est le fun quand tu le fais en chum à gauche à droite.
Tu n'en fais pas un métier.
Mais attends!
Jongler, c'est le fun! Faire ça fais en chum à gauche à droite. T'en fais pas un métier, dans le sens... Mais attends! Jongler, c'est le fun!
Faire ça avec tes chums à gauche à droite.
C'est genre, qu'est-ce que tu fais aujourd'hui?
On va-tu jongler?
OK, c'est comme le haki.
Non, mais moi, je pense qu'imiter,
moi, c'est un de mes défauts en tant qu'humoriste.
T'esettes trop.
Non, mais moi, mettons que je dis... L'autre du bois.
Hé, j'étais en Inde, j'ai rencontré une Indienne,
pis elle m'a dit, qu'est-ce que tu fais là?
J'émite pas les accents.
Par chaque fois que j'émite un accent,
je sonne raciste,
pis je sonne comme un astuce de mes yeux.
On joue à un jeu, les gens font des demandes spéciales,
pis tu l'émites.
Non, mais je suis pas capable d'imiter rien.
On peut essayer.
OK, OK. Toi.
OK, ne pas, je vais t'en dire un.
Chinois.
Je suis un esti de chinois.
Non.
Je sais pas pourquoi ça sonne toujours raciste.
C'est bien triste.
Non, mais...
C'est que, mettons, moi, quand j'étais petit,
tu sais, Eddie Murphy, je reviens avec Eddie Murphy,
mais son stand-up, quand tu l'écoutes à ce temps-là,
c'est nul à chier.
C'est nul à chier.
Mais moi, avec ma petite tête de...
Tu sais, dans le temps...
Dans le temps, ce n'est pas pareil.
Dans le temps, tu sais, c'était le premier qui faisait ça.
Puis la raison pour laquelle il est devenu nul à chier,
c'est qu'il y a 1000 personnes qui l'ont imité.
Comme Seinfeld.
Moi, la première fois que j'ai vu Seinfeld live,
j'ai trouvé que c'était le pire show
que j'avais vu de ma vie.
C'était comme tabarnak.
Il ressemble à lui, lui et lui.
Mais la raison qu'il ressemble à tout le monde,
c'est que tout le monde a copié Seinfeld.
Moi, je pense que les imitateurs qui sont capables d'être drôles, je ramène ça. C'est un tout le monde a copié Seinfeld. Moi, je pense que les imitateurs
qui sont capables d'être drôles,
je ramène ça.
C'est un bel atout.
Je ne ferais jamais un show d'imitation.
Mais tu pourrais faire,
mettons, un galop.
Ce serait drôle d'arriver à la disque
où tu animes le galop
à disque
hors-ronde.
L'offre à disque en Louis-José.
C'est le Louis-José
si, mettons,
un Louis-José à la mer
ou un Louis-José fâché
ou un Louis-José
sur la poudre.
Parce que moi, dans mon show,
je ne voulais pas en mettre.
Je n'en ai pas mis.
Tu devrais. J'en ai pas mis. Non, mais tu devrais.
J'en ai mis une, qui s'insère.
Moi, je voulais juste que ça soit... Je voulais pas faire comme, OK, là, je vais vous faire des imitations, pis les enligner back-to-back.
Moi, ce qui me fait le plus rire, c'est...
Moi, le landry avait fait ça.
C'est-tu que c'est long, on était dans le char, on s'en allait sur la route avec pas de groupe.
Là, on est en arrière, pis elle dit...
On parle de l'affaire de même, pis elle dit, ben moi, j'ai quand même bien Ginette Renaud.
Ginette Renaud, c'est pas rien, quand même bien Ginette Renaud Ginette Renaud
c'est pas rien quand même
Ginette t'es capable
oh oui
pis elle dit
j'en veux un qui est
pis elle dit
je veux un Tandry
on rit
on pense que c'est un gag
on dit rap un trip
pis comme ti
t'es sûr
que la merde
dans quel monde tu vis
tu cries comme une déchaînée
hein je l'ai bien
ben non
c'est parce que
quelqu'un il a dit un moment donné quelqu'un il a dit son chum il vou. Hein, je l'ai bien. C'est drôle. C'est parce que quelqu'un a dit à un moment donné...
Son chum voulait être smart.
Je l'ai-tu bien? Oui.
Ça veut dire femme taillée.
Oui, c'est ça.
Mais Maud, je l'adore.
Ça, ça nous a bien fait rire.
Mike, il paraît que tu es bien Tina Turner.
Oui, à l'époque, j'imitais Tina Turner.
Qui c'est?
André Ducharme.
Il y a quelqu'un dans l'oreille qui le feed. Le qui le fait c'est qutu elle, Rolling? C'est-tu elle, Rolling on the river?
Je le sais pas.
Rolling, Rolling, c'est-tu elle, ça?
Peut-être.
Sûrement.
Oui, c'est elle.
Non, c'est C.C.R.
C'est elle?
Oui, oui, c'est elle.
C.C.C.R., c'est des gars.
Lui, il entendait C.C.
pis il pensait que c'était un français.
C.C., tu l'as.
C.C., c'est bien.
Extra. Parce que moi, bien. Extra.
Parce que moi, CCR,
je pensais que c'était un produit de cuisine.
Non, ça, c'est CLR.
Oh, CLR.
Oui, CCR, il rock la place.
CLR, il lave.
Très cool.
Je pense qu'il y a quelqu'un
qui avait une question pendant une demi-heure
et qui est parti parce qu'on parlait
on n'a pas répondu
à une question encore
non mais c'était vous Mike
j'ai pas envie que ça s'adresse
allez-y
peut-être qu'on n'est pas assez
intéressants pour les questions
mais allez-y
n'importe quoi
on est ouverts
forcez-vous
on est ouverts
peu importe
ça ça fait de la bonne télé
quand tu vas dans le même
Mathieu Pepper
t'avait demandé
trois affaires
la troisième
c'est faut-il
oh Eric
comment ça va yeah what's up faut-il t'y mettre
François Bellefeuille
moi ça?
non
en direct je pensais
que c'était comme si tu disais
ah c'est toi
tu veux que j'y mette François Bellefeuille?
ouais parce que tu le fais très bien
c'est la seule imitation que je fais dans mon spectacle d'ailleurs
que vous viendrez voir
je mangerais pas ça si j'étais toi C'est la seule imitation que je fais dans mon spectacle d'ailleurs, que vous viendrez voir.
Je mangerais pas ça si je te trouvais.
T'es un peu dégueulasse.
J'ai comme trois pieds de long.
Et le bout accroche après ma tête.
Tabarnak.
Ça, c'est fort. Vois-tu? En fait, c'est fort.
En fait, c'est un peu inquiétant.
C'est ça la raison pourquoi les humoristes haïssaient
les imitateurs dans le temps.
C'est que...
Aussitôt que l'imitation marche,
le monde tripe.
Mais je pensais qu'un humoriste qui est capable d'imiter,
tu devrais imiter plus dans ton show.
Je devrais parler un petit peu. Non, je ne suis pas capable. T'es-tu capable capable d'imiter tu devrais imiter plus dans ton show je devrais parler non mais non mais non mais non non je peux pas mais toi
c'est drôle parce que tout le monde pense qu'on est capable de faire ma L'autre fois que tu es en train de me rentrer un pouce dans le cul,
puis un chien dans ma main,
ils sont comme « Hey, tu t'apprendras si je te donne. » Je ne suis pas capable.
Il faut que tu l'entendes dans ta tête.
C'est comme weird.
C'est vrai que ta voix a changé, Mike,
parce que tu découpais pas mal plus tes mots.
Il y a 15 ans, tu découpais plus tes mots.
Moi, il y avait eu un moment donné,
moi, j'ai commencé à me faire imiter.
Le premier qui m'a imité, c'était Pascal Babin.
Puis, il m'imitait
vraiment bien. Puis, tu sais, Pascal,
c'est pas un imitateur.
Il l'a bien, c'est vrai.
Puis, Asti qui m'imitait bien.
Puis après, j'ai eu une couple d'autres imitateurs
qui ont commencé à m'imiter.
Puis, un moment donné,
je faisais un show. Quand ça allait bien,
je parlais naturellement.
Quand ça ne va pas bien, des fois, tu fais comme « je vais sortir de mon corps,
je vais juste faire mon temps. »
Je suis sorti de mon corps, je m'entendais
parler. Je suis devenu
une imitation de
Babin. Je suis comme
« grichonne » comme si j'imite Babin. Puis là, j'étais comme « Crichonne comme si j'émette
Babin qui m'émette. »
Puis j'étais comme « Asti, c'est weird. »
Puis là, j'étais comme « L'autre fois,
je marchais. »
Puis là, j'étais comme « Crichonne. »
Avec la marque dans ma main.
Mais je ne parle pas de même.
Aussitôt que j'ai réalisé que
dans le fond, il n'y a rien
d'un handicap
linguistique.
Je ne sais pas comment tu dis ça.
Merci, il bégaye.
Moi, je bégaye un peu.
Je parle lentement.
Au début, j'ai commencé à parler de même
vu que ma première langue, c'est l'anglais.
Je traduisais tout ce que je disais
au fur et à mesure.
Les premières années, ça paraissait.
Puis là, ça paraît plus.
Merci, là, c'est-tu vrai?
Tu sais, il compte le numéro super violent
qui fait où est-ce qu'il a fassé quelqu'un
un coup de batte de baseball.
Mais il compte que s'il y a un problème d'élocution,
c'est à cause de ça.
C'est-tu vrai?
Je sais pas, tu sais.
Ah non, je sais pas.
T'es-tu capable d'imiter Mercier
puis de me répondre, toi?
Là, celui sur lequel je travaille en ce moment,
bien, je travaille.
C'est ça. Il imite pas, mais il a une fiche de travail.
Qu'est-ce que ça te demande?
Ça va être 45 minutes d'imitation.
Un que j'aimais faire
et que j'aurais été.
C'est Simon Leblanc, mais je ne suis même pas capable.
Tu sais, Simon, il fait comme...
Non, mais j'ai une tente.
Moi, j'ai une...
Moi, j'ai une tente.
Moi, j'ai une...
Non, c'est fucked up, c'est fucked up, c'est fucked up.
Sais-tu ce que tu devrais faire, je pense?
Oui, c'est ça.
T'as réussi à dire trois mots.
Non, mais...
C'est pas beaucoup de mots.
C'est sur des mots qu'on entend
que l'humoriste répète souvent.
C'est ceux-là, il faut que tu ailles bien.
Après ça, tu jazz.
On passe à l'autre sujet.
Non, pas moi-même encore.
Ça ferait des bonnes capsules.
Si jamais tu décides de ne pas faire ça en show,
tu fais genre une capsule,
toi qui fais Simon Leblanc,
es-tu capable de faire Pepper?
Ben voyons.
Incapable de faire Pepper.
Je suis du racoté, comme on dit.
Il n'y a personne qui t'a imité encore?
Ben non, ça fait deux semaines que je fais ça.
Il n'y a personne qui m'a imité.
J'aimerais ça, moi, ça serait un honneur qu'il y ait quelqu'un...
En fait, mon but, c'était de me faire
un paradis au bye-bye cette année.
Je parlais au Chuck Morissette.
Tu regardes-tu le bye-bye à chaque année en faisant?
On parle de moi, on parle de moi.
Fuck you!
À chaque année, je suis un peu encore.
« On manquait leur chat. »
C'est eux autres qui les perdent.
Tu t'inquiètes que c-Mauricette à chaque année.
À chaque année.
Tu l'as échappé, mon tabarnak.
Chris the loser.
Ben, ouais.
T'as pas une voix particulière.
Non, parfait.
Non, mais...
Non, c'est vrai.
Si je passe dans le bar, c'est boy, boys.
Mais c'est ça.
Quand...
C'est vrai. Non, mais... Non,est vrai, si je passe dans le bar. C'est boy, boys. C'est ça.
Non, mais... Je pense que tu serais imitable.
Oui, je pense qu'éventuellement.
Sinon, je vais me trouver un trouble d'élocution.
Trouve-toi un petit nerveux.
Tu fais comme...
Le show d'après.
Quelqu'un est en show demain soir
tu vas le voir
qu'est-ce qu'il y a Pepper
il veut se faire imiter
ça ferait un bon sketch
l'humoriste pathétique
qui veut se faire imiter
il y a juste des affaires faciles
des tics faciles à imiter
des rires
ça serait drôle.
Là, il nous reste
soit une ou deux questions.
Ça va dépendre de la question qui va arriver.
Il n'y en a pas un mic de questions.
Tu n'as pas des petits cartons avec des questions?
Non.
Ça a l'air qu'on va aller avec
une question.
On devrait finir avec Jason.
Jason, as-tu une question?
Jason, es-tu encore assez agent?
Il est sur l'heure du Nouveau-Brunswick.
Il a parlé, il est tombé en bas.
Hein?
Non, c'est un bon podcast.
Charles, as-tu une question?
Ça va, tout le monde?
Comment ça, le problème personnel en esti!
OK, je viens de...
Oui, sa question va être comme
« Pourquoi t'as pas invité Louis-José Hood? »
Moi, j'ai une question pour vous.
Pour qui vous êtes venus ce soir?
Moi, Pomerleau, Arnaud Solly ou Joe Cormier?
Jean-Marc Parrain! Parfait!
Alors...
Qu'est-ce qu'il a dit?
Jean-Marc Parrain.
Il y a quelqu'un qui a crié Mike?
Jean-Marc Parrain.
Jean-Marc Parrain.
Oui, Jean-Marc Parrain, c'est bon ça.
Es-tu capable de m'imiter, Jean-Marc?
Ah, mais Jean-Marc, ça pourrait, oui, ça pourrait.
Jean-Marc, il est facile à imiter.
Oh, Dieu, est-ce que tu as le pas?
Tu peux juste faire...
Attends, tu sais, tu arrives chez vous,
là, tu montres le son de la radio.
C'est vraiment pas mal. Tu l'avais fait.
Tu l'avais déjà fait.
C'était carré.
C'était carré la gang.
C'est ça qu'il disait.
La gang.
Moi, j'ai le plus beau souvenir
quand j'ai rencontré Jean-Marc Parrain.
Moi, j'ai rencontré Jean-Marc début
année 2000, dans le temps qu'il était
un peu out.
Puis,
il m'avait appelé
pour que je fasse
un brainstorm avec.
Il voulait écrire
un nouveau numéro
pour revenir,
en tout cas.
Fait que lui,
sa solution pour revenir,
c'était Mike Ward.
Non, mais,
parce qu'à l'époque,
j'écrivais,
tu sais,
j'avais écrit pour UR
puis j'écrivais,
Chris,
tabarnak,
je suis connu.
Fait que là, fait que là, je suis arrivé, non, Chris, tabarnak. J'avais écrit pour UR. J'écrivais. Je suis connu.
Je suis arrivé.
Il m'insulte.
Il gagne 8 000 par année et il m'insulte.
Tabarnak, calisse.
C'est un tabarnak.
Il a comme super septimes.
Le podcast,
il est fini.
Non, mais j'avais été chez Jean-Mar podcast est fini. C'est le dernier.
Non, mais j'avais été chez Jean-Marc.
Moi, j'étais ému que Jean-Marc m'appelle.
J'ai entendu parler de toi.
Je veux écrire un number avec toi.
Je m'en vais chez eux.
Ça n'a pas.
Jean-Marc est au téléphone.
Début année 2000,
il y avait un écouteur
pour son téléphone.
C'était avec un fil.
C'était plugé.
Probablement.
Il y avait ses écouteurs
avec un micro.
Dans le temps, les humoristes,
il y avait ce style d'affaires.
Il répond et il fait
« Attends, je vais être avec toi
dans une seconde
puis là il parle
puis là je le regardais
il était en bermuda
il était en coton ouaté
puis là je suis comme
ah c'est-tu que c'est hot
j'avais vraiment trippé
moi j'ai capoté
sur Jean-Marc Parrain
je l'ai vu en show
une fois
pas son dernier show
je ne l'ai pas vu
l'autre avant
son dernier c'était
en tout cas l'autre d'avant Urgence de vie Urgence de vie c'était le dernier ou c' ne l'ai pas vu l'autre avant. Son dernier, c'était... En tout cas, l'autre d'avant.
Urgence de vie. Urgence de vie, c'était le dernier
ou c'était l'autre d'avant? Il est bon.
Le dernier, c'est... C'est fou.
L'anecdote, c'est dur des fois
de garder du monde. Son show
était deux heures et demi de temps. J'ai ri
de A à Z. C'est vraiment impressionnant.
Tu ne sens pas la mécanique, Jean-Marc. Tu ne sens rien.
Tu sais le bon vieux feeling qu'il m'a raconté la première fois.
Je fais ça comme métier, je sais.
Qu'il répète à toi et soi, mais j'ai quand même
le feeling qu'il le fait juste pour moi en me regardant dans les yeux.
Non, il est excellent.
T'as réussi
à rendre un spectacle de Jean-Marc
ultra gay.
Il fait ça
en me regardant dans les yeux juste pour moi.
Moi, leur JMP,
j'écoutais ça.
Tu écoutais ça, leur JMP?
Moi, j'étais le petit gros de mes frères et soeurs.
Ils m'envoyaient « Va flasher lumière! »
Fait que là,
j'en écoutais et j'étais comme « Vas-tu flasher lumière? »
Non, je l'écoutais pas. « Flasher lumière! »
Fait que là, je courais en haut.
J'en descendais en bas.
« Retourne-y. » Oui, j'étais soufflé.
Je me levais. J'étais assis en indien. Juste là, je me levais. J'étais descends d'en bas pour prendre une retourne-die. Oui, je t'ai soufflé, Asti, mais... Je me levais, j'étais assis en indien.
Juste là, je me levais, j'étais brûlé.
T'étais-tu assis en indien récemment?
Non, mais c'est là que tu comprends...
Non, moi, je suis pas capable.
Tu comprends les limites de ton corps en Asti.
Moi, je suis capable de m'asseoir en...
En anglais ou en américain.
Juste...
Tu sais, mes jambes plient plus assez... C'est quoi, en anglais? En anglais, c américain. Juste... Mes jambes ne plient plus assez.
C'est quoi en anglais?
En anglais, c'est assez de même.
En américain, c'est de même.
C'est juste... Je suis capable de m'asseoir
comme tous les peuples de Gros-Ton-Marne.
Je ne suis pas...
Je ne suis pas capable de plier mes jambes.
Ah, merde!
Moi, je n'ai jamais été capable de faire ça.
Anyway, il y en a qui ne sont pas faits pour ça.
Non, tu n'es pas capable de t'asseoir de même.
Vous n'avez pas envie de me dire que c'est le chubby ici qui est le plus flexible.
Hey, mais ce n'est pas ça, s'asseoir en Indien.
Tu n'es pas capable
de faire ça, les boys.
Es-tu capable de t'asseoir en Indien?
Oui, oui.
C'est quoi? OK.
On va finir avec ça.
Attends une seconde.
On va tasser la table.
Tu vas t'asseoir en indien.
Moi, j'ai fait ce que tu voulais.
Attends, tu vas t'asseoir en indien là-dessus.
Non, tu vas t'asseoir en indien là-dessus.
Non, Chris, je vais me tuer.
Hé, toi, t'es pas très utile, sauf pour me faire chier.
Yes.
Je suis pas capable là-dessus.
Mais non, je suis pas capable.
Tu sais, moi, ça.
OK.
Fait que là... Tabarnak. Hé, Chris. Je ne suis pas capable de le dire. Je ne suis pas capable de dire ça. OK.
Tabarnak.
Hé, Chris.
C'est pas... C'est pas...
Comme Bomberlo à son premier show.
Mais c'est pas...
À soir lundi,
c'est pas les jambes levées.
Mais ça me...
C'était ça.
Il y a une autre version
où les pierres sortent.
Plus flexible.
Peux-tu me ramener ma table, s'il te plaît?
Toi, oui.
Mon Dieu, c'était bien long, cette table-là.
Ah, qu'il y a une gomme en dessous.
Ça, c'est de la bonne télé.
Bon, fait que...
Tu finis?
Oui, je pense que c'est...
Merci, mon chum.
Tu veux-tu? Merci, Éric.
On peut applaudir, Éric.
Oui, on peut applaudir.
J'aime ça qu'Éric arrive sur scène
juste pour nous montrer qu'il est plus homme
que nous autres, qu'on est comme assez
pésés à ça, qu'on lisse.
Chacune de ses présences. que nous autres, qu'on est comme assez pésés à ça, pis qu'on lisse. C'est comme, OK.
Chacune de ses présences, c'est juste ça qu'il fait.
Il veut juste nous mettre à nos places, non-stop.
Ouais, j'aime ça quand j'anime ici,
pis que c'est lui qui est là,
parce que ça m'enlève toute la pression de faire de la discipline.
Parce que, tu sais, lui, c'est comme un mélange
entre Georges St-Pierre pis Anthony Cavana,
pis il est tout le temps là a il est tout le temps là
il est tout le temps là
dans la salle
le monde
ils ont comme plus la chienne
qui aime moi le chobé frisé
qui a l'air de me remplacer
en morale
tu sais
qui est genre
ça passe pas
mais j'aime ça
quand il est là
ça me sécurise
et Chris
t'as pas aimé
mon anecdote hein
ah une chance
on finit pas avec ça c'est bon non non mais on vait pas avec ça.
Non, mais on va finir avec ça.
Merci.
Merci à toi, Mike.
Mais à moins qu'on aille
une dernière question.
On est comme rendus
au sixième texto
que la fille répond pas.
Tu comprends-tu ce que je veux dire?
Elle veut pas coucher avec nous, man.
Ça me fait tellement mal. Mais là, elle veut pas coucher avec nous, ça me fait tellement mal.
Mais là, elle veut pas coucher avec nous.
C'est ça que je te dis.
Merci.
Merci, les gars.
Merci beaucoup.
Si, mettons,
on veut
voir où tu vas être en show,
c'est-tu ton Facebook, ton site web, ton Twitter?
Pour l'instant, c'est mon Facebook.
Je suis en train de faire faire mon site web.
C'est quoi ton nom Facebook, ton site web, ton Twitter? Pour l'instant, c'est mon Facebook. Je suis en train de faire faire mon site web en ce moment.
C'est quoi ton nom,
Facebook?
Mathieu Pepper.
Mathieu,
2 T-M-A-T-T-H-I-E-U.
Fait que c'est
Facebook.com
slash Mathieu Pepper.
OK.
Puis, je vais juste
plugger,
ça sera à toi
tout de suite après.
Je vais juste plugger.
Je fais un spectacle
puis en fait,
je ne vais pas te le demander
ici,
comme tu diras non
si tu ne veux pas,
mais je fais un spectacle
last minute,
un peu à ZooFest.
J'ai eu comme les confirmations d'hôtes. Je ne fais comme une confirmation en date. Je sais, mais tu vas me dire oui à moi.
Et ça s'appelle Mathieu Pepeux
opportuniste. Je fais 30 minutes de matériel
puis j'invite un de mes bons amis,
un chum, un gars que j'aime, à venir faire
la deuxième demi-heure. Ça va être des
gens connus qui sont venus
au bordel et qui ont des one-man-show établis.
C'est qui ça, à date? Je peux pas le dire.
J'ai pas le droit. Non, non, mais mettons. Mettons, qui ça à date ben je peux pas le dire j'ai pas le droit
non non mais mettons
mais admettons
j'ai rien confirmé
en fait j'ai rien confirmé
je peux dire ça
j'ai rien confirmé
attends j'ai Patrick Grou
Patrick Grou
qui est intéressé
Adib Alkaldé
qui est intéressé
Martin Peridolo
toi tu m'as dit
que t'étais intéressé
ben gros
pis j'attends des réponses
j'attends des réponses
de deux autres propriétaires
de la place
ça fait que c'est vraiment cool
en fait moi je fais une demeure j'appelle le show opportuniste parce que je me colle à une vedaires de la place. Ça fait que c'est vraiment cool. En fait, moi, je fais une demeure.
Je m'appelle Chou Opportuniste parce que je me colle à une vedette pour vendre des billets.
Puis c'est ça, ça va être bien cool.
Je le fais quatre dates au studio Hydro-Québec.
Puis c'est ça.
C'est là que tu peux me voir cet été, ainsi que partout d'autres shows.
Puis ici au bordel.
Ah oui, ici au bordel.
C'est un bon job.
Merci, Téphane.
Non, mais pour vrai, c'est un excellent...
Ah, t'as ri, c'est tout même. Tu m'aurais semé aussi un très bon animateur. Merci, Téphane. Pour vrai, c'est un excellent animateur.
Tu m'as aussi mis un très bon animateur.
Merci, t'es bien fou.
On t'a dit ton public, Mike.
Pas mon préféré.
La clap, la clap.
La clap.
Là, on est rendu à 19 messages.
Aussi, quand tu dis au public
de « OK, c'est la temps d'applaudir »,
ça leur donne moins le goût.
T'aimes pas mon attitude, Mike? « Devant, grasse, applaudissez-là! » de « OK, c'est la temps d'applaudir », ça leur donne moins le goût.
Tu n'aimes pas mon attitude, Mike?
« Devant, grasse, applaudissez-là! » Non, je n'ai pas dit ça.
Avec un sous-texte.
Avec tes yeux.
Ah non, c'est de la merde.
On sent dans tes yeux,
ce n'est plus « Beach Day Every Day ».
« Clap Day Every Day ».
C'est « day every joke.
Moi,
Pierre-Luc Pomerleau.com,
j'ai mon site Internet.
Sinon, Facebook aussi.
En fait, sur Facebook,
Pierre-Luc Pomerleau,
sur Facebook,
t'as le lien direct
sur mon site Internet.
Mes dates sont là.
J'ai pas mal de dates.
Les dates s'ajoutent pas mal.
C'est le fun.
Ça va bien.
Je suis bien, bien content.
Bouche à oreille, embarque.
On ne fait pas vraiment de pub parce que... Pourquoi donc? Ah oui, j'ai pas d'argent. s'ajoute pas mal. C'est le fun. Ça va bien. Je suis bien content. Bouche à oreille en barque.
On ne fait pas vraiment de pub parce que...
Pourquoi donc?
Ah oui, je n'ai pas d'argent.
Un comptable,
il s'anestie
combien ça coûte
une affiche.
Même, je reviens avec ça,
mais les imitations,
tu devrais faire des duos
avec la personne
que tu aimais.
Juste aller les voir.
Viens me le dire
qu'il n'aimait pas ça.
C'est tough.
Non, mais... Ça seraitest tough. Non, mais...
Mais ça serait winner.
Je suis sûr
que ça serait winner.
Si tu veux,
je vais t'aider avec ça.
Je vais appeler le monde.
Ah ouais?
Non, mais je vais
t'aider pour de fait.
Moi, tu ne veux pas
être sur mon show?
Non, non,
je ne veux pas créer
un traité.
Il est...
Il est agréable.
Aussitôt que je le vois,
il est tout le temps...
T'as dit que j'étais
le plus beau gros.
T'es un beau gros et désagréable. T' Aussitôt que je le vois, il est un peu à la fois. T'as dit que j'étais le plus beau gros.
T'es un beau gros désagréable. Je suis plus beau qu'Antoine Bertrand.
T'es plus beau, mais Antoine Bertrand, il est plus gentil.
OK.
Fait que merci tout le monde.
Merci.
On se revoit la semaine prochaine.
Au revoir. Thank you.