Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #171 – (Vincent Léonard et Pierre Ouimet)
Episode Date: June 25, 2018Cette semaine à Sous Écoute, Mike reçoit Pierre Ouimet qui fait un "shotgun dans le cul d'un chien" et Vincent Léonard des Denis Drolet qui ne veut pas prendre de photos après ses specta...cles. ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
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...
En direct du Festival Transistor,
bienvenue à Mike Ward sous écoute!
...
Bonsoir!
Bonjour, je devrais dire.
...
On est merci beaucoup.
... Merci.... On est... Merci beaucoup.
Merci.
Merci.
Merci, merci, merci.
Bienvenue à Mike Woods.
Écoute, on est dans le vieux hall.
On est à Gatineau.
Ça fait weird d'appeler ça Gatineau ici,
vu que c'est tellement... C'est hall, cette partie-là. Mais en tout cas, on est à Gatineau, Ça fait weird d'appeler ça Gatineau ici, vu que c'est tellement... C'est Hull, cette partie-là, mais... En tout cas, on est à Gatineau, au Festival Transiteur, qui est un festival incroyable.
Puis là, je ne parle pas au monde dans le chapiteau. Vous autres, vous avez vu c'est quoi le festival. L'année prochaine, c'est sûr, ça va revenir. C'est un festival qui met en valeur les podcasts, la radio numérique. C'est la radio...
C'est-tu la radio digitale ou numérique?
Numérique.
Numérique, OK.
C'est ça.
Puis là, j'ai appris, Julien, tantôt,
qui est un des organisateurs,
il a dit qu'ils vont partir un...
Ça va s'appeler le Transitrock.
Ils ont acheté un vieux...
Ou ils veulent acheter un vieux camion FedEx,
le transformer en studio.
C'est-tu ça, Yann? Moi, je n'étais pas là. Oui, oui, c'est ça camion FedEx, le transformer en studio. C'est-tu
ça, Yann? Moi, je ne suis pas là.
Oui, oui, c'est ça. C'est un camion FedEx qu'ils ont acheté. Puis là, ils vont tous
le rapper comme ton tourboss.
Ça va être comme mon tourboss, mais avec un studio à l'intérieur.
Exactement.
OK. C'est excellent. Puis, ils ont un GoFundMe. Tu sais quoi l'adresse de leur GoFundMe?
Non, mais je vais écrire l'adresse à l'écran.
OK. Tu devrais juste écrire
Google Transistor Truck.
GoFundMe.
Non, hé, cette semaine, on a
un commanditaire qui est
un autre festival.
C'est le
Comedia Fest de Québec
qui commandite le podcast.
Si vous...
Là, à ce temps-là, c'est rendu,
il y a une couple de festivals d'humour,
il y a Juste pour rire, qui existent encore,
ils vont annoncer leur programmation
une journée avant le festival,
cette année.
C'est ça, leur marketing,
qu'ils font comme peut-être,
si on annonce dernière minute, le monde va oublier Gilbert.
Fait que c'est ça, c'est ça leur marketing.
Il y a l'autre affaire de Martin Petit,
qu'il se promène partout en hélicoptère.
Et le festival Comédie-Office,
qui est le festival à Québec,
pis pour vrai, c'est le festival le plus le fun,
le festival du monde.
Transitor est meilleur que ce festival-là,
mais pour les festivals du monde, il est le fun le festival du monde en histoire est meilleur que ce festival l'homme et non mais pour les festivals du monde c'est il est le fun à faire
pour les humoristes c'est le fun à faire pour le public c'est le fun à aller voir
des shows ils ont plein plein plein de galop n'est
galop il ya fait le roi qui anime un gars là patrick or il ya véronique
cloutier il ya jean-michel antilles puis ce pas écrit ce maf est l'autre c'est
mario tessier véronique Claveau.
Il y a plein, plein, plein de shows gratuits dans les rues.
Il y a des spectacles dans les salles.
C'est à Québec du 8 au 19 août cette année.
Il y a des laissés-passer en vente
au comediafest.com,
comediafest.com.
Et si vous voulez
sauver de l'argent, si
t'as jeté ton laissé-passer,
c'est 35 piastres
si t'as jeté avant le 30 juin.
Puis après le 30 juin, je sais pas c'est quoi le prix,
mais ça doit être plus cher.
Fait que merci à Comedia Fest.
J'aimerais ça qu'on leur donne une bonne main d'applaudissement.
Je suis content de les avoir comme commanditaires. Bonne main d'applaudissement.
Je suis content de les avoir comme commanditaires.
Et cette semaine, moi, j'ai vécu de quoi?
J'ai vu à quel point mon podcast avait de l'impact dans le show business.
Moi, dans ma tête, mon podcast, c'est juste moi qui vais devant le monde. Je bois une coupe de verre, puis après, je bois une coupe d'autres verres, puis après ça, on enregistre. Mais dans
ma tête, c'est une petite affaire que personne n'entend parler. Et cette semaine, j'ai
reçu un appel d'Anthony Cavanaugh. Parce que moi, Anthony Cavanaugh, j'avais écrit
pour lui dans le temps d'un gala juste pour rire, puis après, il avait pris les gags
de mon gala que j'avais écrit pour lui, puis ils d'un gala juste pour rire. Puis après, il avait pris les gags de mon gala que j'avais écrit pour lui.
Puis ils avaient fait en tournée, puis je n'avais jamais été payé.
Et il m'a...
Bien, j'avais été payé pour les galas, mais pas pour sa tournée.
Puis là, il voulait me parler cette semaine.
Il m'avait juste texté au début.
Il avait fait, j'ai entendu ce que tu as dit sur moi dans ton podcast.
Je suis blessé.
Puis là, j'étais comme, ah, carré, j'ai encore bless que tu as dit sur moi dans ton podcast, je suis blessé. Puis là, j'étais comme, oh, carré,
j'ai encore blessé quelqu'un.
Fait que là, il m'a dit,
j'aimerais ça qu'on se parle.
Fait que là, j'ai fait, Chris, pour une fois,
c'est pas un avocat.
Fait que là, il m'a appelé, puis là,
on s'est mis à parler, puis là, il m'a dit,
puis tu sais, ça fait 20 ans de ça,
ça fait 20 quelques années.
Fait que je me disais, quand tu vas m'appeler,
je vais essayer de me rappeler c'est quel joke, mais ça fait 20 ans, je. Ça fait 20 quelques années. Je me disais, quand tu vas m'appeler, je vais essayer de me rappeler c'est quel joke,
mais ça fait 20 ans.
Je me rappelais de rien.
Lui, il se rappelait de rien.
On était comme deux chrises de vieille mamère qui se parlent.
Mais tout de suite, il m'a dit, c'est quoi l'affaire?
J'ai raconté l'histoire.
Moi, je m'attendais à une confrontation.
Il a été tellement cool.
Il a juste fait, je m'excuse.
Je m'excuse.
Je suis vraiment désolé. Je veux te payer.il m'a offert de l'argent puis il a dit puis là il a dit comment tu veux je savais pas quel chiffre dire parce que
tu veux pas si lui se dit je vais donner 100 milles plutôt tu fais de moi 400
veuilles je voulais ou si lui s'attend à me donner 200,
moi, je suis comme, « Moi, je parle, mais... »
Fait que j'ai juste fait, « Regarde, juste ton excuse,
c'est assez. » Fait que j'ai demandé
de donner 100 pièces à un sans-abri,
puis de faire accord au sans-abri
qu'Anthony, c'était Mike Ward.
Fait que là, je veux que le gars dans la rue,
il y a un black qui arrive qui dit,
« Tiens, je suis Mike Ward, vous voulez 100 piastres? »
Il va faire, « Asti, il faut que j'arrête de me geler, asti. »
Fait que c'est ça, mais j'ai trouvé ça très cool
de la part d'Anthony de m'appeler,
de s'excuser, de m'offrir de me payer.
J'étais vraiment heureux.
Puis je l'ai booké.
Il va faire le podcast dans une couple de semaines. Ça va être cool,
je pense. Je vais essayer de...
Il faudrait quasiment...
C'est que tout le monde
que j'ai parlé contre
dans le podcast, je leur parle.
Mais quand on veut avoir quelqu'un,
t'as juste à les insulter. Comme ça,
tu t'excuses après.
C'est comme, OK, viens à mon podcast.
C'est la même manière de bouquer du monde.
Tu commences,
je vais juste faire, je vais faire,
Yvon Deschamps, tout le monde l'aime.
T'as une craise de la marde.
Le téléphone sonne,
c'est marqué Yvon Deschamps.
Hey, excuse, Yvon, tu fais-tu le quoi le 19?
Non, cette semaine,
je vais enlever mon jacket. Tu fais-tu le quoi le 19? Non, cette semaine, j'ai chaud un peu.
Je vais enlever mon jacket.
J'haïs ça, enlever mon coat,
parce que je suis gras.
T'as-tu remarqué que dans la salle,
il y a beaucoup de T-shirts
de qu'est-ce qui est weird?
On a beaucoup de monde
qui ont leurs T-shirts.
Oui, il y a plein de monde
avec des T-shirts.
Il y a souvent le monde avec le merch deshirts. Sont-ils le monde avec le merch
de sous-écoute? Yes, il y a un sous-écoute là.
Qu'est-ce qui est weird là?
Il y en a en arrière. C'est cool.
Merci beaucoup. Si vous voulez acheter
le merch,
je ne l'ai jamais dit dans le podcast,
si tu fais mwamazon.ca,
ça te rend au merch.
On rajoute du nouveau merch.
Je pense qu'on a rajouté un t-shirt play-on-play-a. Il y a plein, on rajoute du nouveau merch. Je pense qu'on a rajouté un T-shirt
Play On Player.
Il y a une couple de T-shirts.
Le shipping est extrêmement cher
parce que c'est à cause de Postes Canada.
Mais si tu commandes un T-shirt
ou dix T-shirts, c'est le même
prix de shipping.
Dans le fond, si tu veux que ça ne te coûte
pas trop cher, tu te pars
un magasin de T-shirts,
tu commandes 1000 T-shirts,
ça ne coûte rien de shipping.
Y a-tu de quoi que tu voulais dire?
Toi, tu es déjà venu à Gatineau?
Moi, j'ai étudié ici, à Cité Collégiale.
La première année de la nouvelle Cité Collégiale.
C'est vrai?
Une belle place.
Le monde était fin. J'ai tri? Une belle place. Une belle place,
puis le monde était fin.
J'ai trippé au bout.
J'habitais sur la cité des jeunes,
juste en avant du collège,
puis j'ai trippé au bout.
C'était vraiment le fun.
J'ai passé mon temps à manger,
quand t'es étudiant.
Je mangeais au Subway.
J'avais des... Dans ce temps-là,
il y avait des petits coupons,
des times de Subway.
J'en avais à finir.
Tu pognes le restaurant le plus proche.
Chris, t'étais comme Jared, mais sans la pédophilie.
J'espère!
Asti que c'est mauvais.
Pauvre Yann.
Je l'amène ici pour y faire des jokes de pédophiles.
Là, je vais partir mon timer parce que chaque fois que je demande l'heureène ici pour y faire des jokes de pédophiles. Là, je vais partir mon timer,
parce que chaque fois, je demande l'heure à Yann.
Chris, il est où, mon...
OK. Bon, c'est ça.
Fait que là, j'aimerais aussi remercier...
Il y a eu un article sur moi cette semaine dans Le Devoir.
Super élogieux, super bon.
Puis je voulais remercier le journaliste qui a fait l'article.
Je ne me rappelle pas de son nom.
Non, je ne m'en souviens pas,
mais c'était vraiment bien écrit.
On dirait qu'il a saisi le spirit de Sous-Écoute.
Oui, c'est ça.
Mais ça me surprend tout le temps
que Sous-Écoute, le monde, sache c'est quoi.
Ce n'est pas une fausse humilité.
C'est juste qu'on fait ça d'habitude
au bordel. il y a 100 personnes
je dis des affaires
puis après je fais comme, c'est une chance pas à TV
c'est Dominique Tardy
le journaliste qui a écrit l'article
je veux le remercier
c'est ça, merci
cette semaine, on va commencer
à matin, j'ai pris une puff
moi je fume pas d'habitude mais j'ai pris une puff. Moi, je ne fume pas d'habitude.
Mais j'ai pris une puff de ma
vapoteuse. Puis, tantôt, j'ai fait
« Asti, je vais mettre mon timer
sur mon téléphone. »
Puis, j'ai mis mon timer
sur ma calculatrice.
Ça fait que là...
Ça va bien, Asti.
OK.
Le pire, je ne sais plus
où est mon horloge. OK, that's it. Yes. Là, je vais mettre une alarme, sti. OK. Fait que là, le pire, je sais plus où est mon horloge.
OK, that's it.
Yes.
Là, je vais mettre
un alarme, sti.
Cette semaine...
Ah oui, avant de...
Ah non, je vais présenter
le monde, sti.
Ça va être plus simple.
J'ai mon stop
pour Watch, sti,
que c'est là.
Bon, hey,
cette semaine,
on a...
Je veux les remercier
qui ont fait de la route
pour venir nous voir.
J'ai deux gars
que j'adore,
deux gars...
Il y en a un, c'est sa deuxième fois
au podcast. L'autre, c'est...
Il l'a fait quatre, cinq fois.
Il fait partie
d'un duo légendaire
du monde qui devrait...
Ça leur prendrait leur podcast.
Parce que les deux sont malades
quand ils viennent. Mesdames et messieurs,
j'aimerais ça qu'on donne une bonne main d'applaudissements
pour Pierre Ouimet et Vincent Léonard des Derniers Relais.
Merci d'être là.
Malade!
Bonsoir!
Pierre Ouimet, c'est malade.
Merci de nous inviter.
Il est écœurant.
On s'est donné un défi, nous autres.
On va essayer de se faire bander pendant le podcast.
Le premier qui bande,
on a essayé des affaires en arrière.
Mais quand on se disait qui qu'on pourrait mettre avec Vincent,
tout est intimide, le monde, puis tu prends beaucoup de place.
Bien oui. Mais tu prends beaucoup de place dans le bon sens.
Fait que là, on se disait, c'est qui qu'on peut mettre avec
que tu ne scraperas pas sa vie?
Bien non.
La réponse, Pierre, oui.
Non, Pierre, c'est parfait.
Claire Lamarche, ça y aurait nuit. C'est sûr, sûr, Pierre, c'est parfait. Claire Lamarche,
ça y aurait nuit. C'est sûr, sûr, sûr.
C'est Claire Gamache.
Ganache.
Pierre Ganache.
Là, on vous a... Ça finit le podcast.
Merci. On va prendre un petit break.
On s'en va dans 20 minutes.
Eux autres, ils ont du crassage d'affaires.
Non, mais avant, il faut bander.
Oui, mais tu sais, c'est ça.
Là, toi, tu reviens du Sud.
C'est pour ça que tu es foncé de la face.
En fait, je suis foncé pour deux choses.
Je reviens du Sud, puis j'ai peur
d'un avion à mourir.
C'est vrai?
Je suis encore rouge de peur de l'avion d'hier.
T'as-tu aussi peur que lui?
Je pense que c'est moins pire.
Oui, c'est moins pire.
Moi, j'en garde. Toi, t'est moins pire. Moi, j'en garde.
Toi, t'embarques dedans.
Moi, j'en garde.
Oui.
Mais je ne dors pas de la nuit avant.
Puis quand je me sors dans l'avion,
bien là, parle-moi pas.
Puis le pire, il avait acheté ses billets
parce qu'il était chez nous.
Puis moi, ma blonde,
quand elle a 400 drinks dans le corps,
puis elle a une idée,
c'est ça l'idée,
puis c'est ça qui se passe.
Puis là, elle leur disait, à Pierre et à Mimi,
elle disait, il faudrait que vous alliez dans le sud.
OK, on va acheter les billets.
Puis là, eux autres sont comme, OK, OK.
Puis tout le monde est aimant.
Puis là, elle est comme, ah oui, Mike,
trouve des billets pas chers.
Moi, je trouve ça.
Puis je regarde Pierre, je suis comme, excuse-moi.
Ben non.
Je me sentais tellement mal.
De force, un peu.
Je devrais le mettre sur ma carte de crédit.
C'est quasiment un agressif.
Il fait un cadeau, au moins.
Après, le lendemain, je l'ai appelé pour m'excuser et il était bien content.
Je le comprends. On s'excuserait tous.
J'ai pleuré. pour m'excuser et il était bien content. Je le comprends. On s'excuserait tous. Un voyage à Walt Disney.
J'ai pleuré.
C'est pour ça que je t'ai appelé pour m'excuser.
Je t'ai dit, peux-tu faire le podcast?
Exact. J'ai dit oui.
Pourquoi pas? Fin.
Mais quand...
Il faut que tu prennes des pellules
quand tu prends l'avion?
J'ai essayé et ça a fait absolument rien.
C'est viscéral.
Je ne suis pas capable.
Mettons que tu prends huit Romain de Côte
avant d'embarquer.
Je vais vomir.
Ça n'améliore pas vraiment le voyage.
En plus, avoir peur, je vais être très gêné
d'avoir vomi.
Je ne peux pas.
Je vais avoir mal au cœur.
Dès que ça fait fin.
Il faudrait qu'on voyage ensemble.
Parce que moi, lui qui se met à vomir dans l'avion,
ça annule ma peur automatiquement.
Ça me prend quelque chose de même. Genre, si je voyageais avec
Karl Marotte, je serais super à l'aise.
Je sais pas pourquoi, je suis un peu comme...
Il est bon en avion, lui.
Il est bon en avion, lui?
Il est écœurant dans tout, de toute façon.
C'est ça son CV,
c'est marqué « Acteur est bon en avion ».
Oui, oui, oui.
Ça s'en vient une télésérie, il va jouer un avion.
Toi, t'embarques pas dedans.
Moi, j'ai embarqué une couple de fois dedans,
mais j'ai surtout hâte d'en débarquer.
Va-t'en!
Bisous.
C'est bisous.
Une bonne main d'applaudissement pour bisous, tout le monde.
C'était Jason pour le monde sur YouTube.
Je ne sais pas s'il a peur de l'avion, lui,
par exemple.
Jason, je ne sais pas.
Sûrement, vu que...
Tout le monde a peur de l'avion.
Bien non, pas tout le monde.
Toi, tu n'as pas peur?
Moi, je n'ai pas peur.
Fuck all.
Fuck all.
Ça fait...
Bien non, moi...
Bien là, j'ai exagéré.
Non, mais moi, je regarde le staff.
Si, mettons, je vois le copilote courir en arrière avec un parachute.
Avec une brasse de marde.
Ça donne un bon signe.
Ça sent mal qu'il y a une porte qui roule.
Moi, je pense qu'ils ne sont pas fiables.
Eux autres doivent être trainés pour avoir la cam, même si tout est en train de sauter.
C'est-à-dire que c'est des estis d'hypocrites.
C'est des crosseurs.
Une fois, c'est arrivé,
par exemple, j'ai vu la madame,
moi, j'étais premier rangé,
ou la rangée de secours,
puis elle était face à moi,
puis je voyais qu'elle avait peur,
puis elle se tenait de même.
Là, je serais pas ici.
Mais c'est parce que toi,
t'as un enfant en bas âge,
tandis que moi, j'ai pas d'enfant.
Fait que si je mange, j'ai une assurance vie. C'est peut que toi, tu as un enfant en bas âge. Tandis que moi, je n'ai pas d'enfant. Si je mange, j'ai une assurance vie.
C'est vrai que j'ai peur
depuis que j'ai des enfants.
Ça aurait été moins pire
vu que ta plus petite serait morte avec toi.
Oui, c'est vrai.
Non, mais je ne suis pas assis avec.
Il y a un folie.
D'après moi, s'il y a un crash,
tout le monde meurt.
Oui, tout le monde dit « Est-'est pas juste... Tout le monde dit,
est-ce que je peux m'asseoir avec ma fille?
Elle va être crevée.
Imagine comment elle a fileré cheap plus tard
quand elle expliquerait à ses amis,
mon père, il est mort d'un crash.
Ah, pis t'es pas mort avec?
Non, vu que je voulais m'asseoir en arrière.
Alors que le contraire, par exemple,
elle qui meurt pis Pierre qui vit,
il s'en sacre, carrément.
Il va pleurer.
Je vais pleurer.
Tu vas-tu pleurer?
T'es-tu le bord, toi, de bander?
Là, je veux juste te dire,
si toi, tu pleures, c'est moi qui vais bander.
Ça va virer croche, c'est Tagatino.
Il y a des roadkicks en arrière avec des coins ronds.
Oui, oui, oui. Onineau. Il y a des roadkicks en arrière avec des coins ronds. Oui, on sait ça.
Ça ne marche pas.
Peut-être parce qu'il y a plein de monde.
On l'essayera en gang tantôt.
S'il y en a qui ont des trucs.
Non?
Oui, je l'attends.
Là, toi, tu viens de commencer un nouveau podcast.
Oui, un podcastest une pote.
J'ai trouvé un esti de jeu de mots, attention.
Podcast.
Malade.
C'est pour ça qu'on l'aime.
Hein?
Non, mais il est clair, c'est clair.
Mais je dis que c'est le podcast, podcast.
T'es le seul du oui.
Je suis le seul du oui.
T'es le seul du h.
Tu sais quoi?
Tu te rends pas offre, tu devrais faire...
H! En fait, je fais... H! T'es le seul du H. Chaque fois que tu te rends une preuve, tu devrais faire H.
Puis je mets un long manteau avec des patchs.
Mon long manteau.
Je parle de potes. J'en ai deux, trois.
Ils sont pas encore en ligne. Ils vont en être bientôt.
C'est toi, plus ta blonde.
Plus ma blonde. Et plus Simon Gravel.
Simon, oui. Puis on invite du monde. Puis on parle de
les trois dégueulasses showbiz. Les trois est trois dégueulasses du showbiz, dans le fond.
Les trois estites dégueulasses. C'est ça qui arrive.
Ça, puis les deux autres. Les deux autres.
Il y en a cinq en tout. Il y en a cinq.
Puis là, par exemple, moi, j'ai fait...
J'ai fait...
Celui, je t'ai pas parlé, là. Je l'ai invité.
Ils m'ont invité à leur crise de podcast,
puis il y avait 160 personnes.
Fait que là, moi, j'étais là.
Je fume quasiment pas. J'ai pris trois puffs avant le show. Puis là, il y a des experts. Moi, j'étais là. Je ne fume quasiment pas.
J'ai pris trois puffs avant le show.
Il y a des experts, un esti d'avocat
qui n'arrêtent pas de me dire
que ça va être légal.
Lui, tu vois qu'il gagne sa vie en protégeant des criminels.
Il n'est pas content que ça va être légal.
Ça va être pire.
Ça va être pire.
Si ça devient légal, la mafia va prendre le contrôle.
C'est ça qui va arriver.
Tony Soprano va s'en mêler
en quelque part.
Il disait, les pubs en char,
tu ne devrais pas fumer. Ce n'est pas vrai.
Tu es meilleur quand tu es gelé.
Puis vite, tu chauffes.
Moi, Mario Kart,
je suis malade gelé.
Dans la rue.
Il était fin de monsieur, mais il était...
J'avais l'impression de parler à un lobbyiste.
Il appelait ça quoi? Du grass?
Oui, il appelait ça du grass.
OK, il connaît les mots underground.
Il était à ça, à ça, tout le temps,
commencer ses phrases par faire « Hey, man! »
« Hey, man! »
« Hey, man! »
Si on le voit, il fera une puff indienne.
C'est quoi une puff indienne?
C'est quand tu souffles dans la gueule à quelqu'un
et après, tu voles son terrain.
C'est ça.
Tu voles sa terre.
C'est ça que c'est.
Tu voles sa terre,
tu violes ses femmes.
Tu lui achètes un Jeep.
Tu lui donnes un nom
irlandais ou québécois.
Et voilà.
C'est ça. Là, je commence à bander.
Bon, pour vrai.
Une puff indienne, c'est comme le...
Un shotgun?
C'est vague, mais je pense que c'est un genre de shotgun.
Puis tu te fesses sur le chest après.
Toi ou moi, je te fesse?
Je sais pas. Fais donc ce que tu veux, toi.
Bien, OK.
Je pense que ça doit être ton propre chest.
Sinon, c'est agressant.
Oui, c'est sûr.
C'est un peu mon gars.
Si tu prends un chest aléatoirement,
ça devient quasiment de l'abus.
Ça n'a pas de sens de prendre une puff.
En plus, souffler une puff
dans la face, c'est une agression.
Tiens, mon tabarnak.
Tu veux te fumer? Non, merci. Tu vas être geléression. Tiens, mon tabarnak. Tu veux te geler? Non, merci.
Tu vas te geler, mon calice.
Mon tabarnak.
Gèle.
Là, vous avez
trois, quatre épisodes.
D'habitude, il y a moins d'invités que mon épisode.
Ça n'avait pas de sens. Je suis en train de me placer.
Celui que tu as fait, il y avait comme quatre invités.
Ça n'avait pas de sens.
Mais je pense que...
C'était un entrée principale avec du pot. Exact. Ça n'avait pas de sens. Mais je pense que c'était
une entrée principale avec du pot.
C'était un show de radio-cam.
Exactement.
Avec une caméra.
C'était parfait.
Il y a un photographe qui a pris une photo de moi
et qui l'a mise dans le journal.
C'était ramassé le lendemain dans le journal de Montréal.
Pour une bière qui goûte le pot.
C'est tout Dans le journal.
Tu prends une gorgée parce qu'eux autres ne me parlaient pas.
J'avais rien que ça à faire, prendre des gorgées.
Tu t'es demandé une question, enfin, je pense.
Oui, tu m'as demandé une question.
À la fin, on peut-tu y aller?
La question qu'il m'a demandé, c'est...
Ah, Chris, t'es encore ici?
Tu vas venir?
Oui, certain.
J'en parle, mais
ça va être un bon podcast.
C'était un bon podcast, mais il y avait juste
trop de contenu. Il faut, je pense, enlever un peu de contenu.
Il faut que je me place.
Tu as trop de contenu, toi, Pierre.
Il y a bien trop de contenu.
Tu as fait bien de la radio
dans le temps.
Fin.
Fin.
Ça, c'est fini là.
Ça, c'est des questions à la Stéphane Rousseau.
Il y a un gars qui passe en moto.
Il y a un gars qui passe en moto.
Il y a un gars qui s'en va là-bas.
Oui.
Il y a du monde qui nous regarde.
Tu faisais de la radio à Énergie à Montréal
dans le temps que c'était quand même.
En 91.
91.
T'as un ostiné.
Moi, j'ai 9 ans.
Ça paraît pas par exemple que t'as 106, toi.
J'ai 107.
T'as fait ça de 91 à 2000.
Puis après ça, j'ai été 4 ans à CQOI,
puis après ça, j'ai arrêté.
Puis qu'est-ce que t'as fait après?
J'allais en TV, Vincent.
Oh, mon Dieu Seigneur.
C'était malade.
Bien, tu sais, le monde qui est souvent...
Puis le monde ne doit plus catcher à ce temps que c'est toi,
mais on te voyait
souvent dans
des vidéos
des denis
vu que tu avais tes dreads
j'avais des dreads dans le milieu
il y a un genre de look à la Nicholson
j'ai le goût d'être propre
j'ai l'air propre
il était temps
je vais peut-être changer de coupe de cheveux pendant que je vous parle.
Quand tu t'es coupé les cheveux,
t'as pu rentrer, mettons,
te faire couper les cheveux en sortant,
demander à quelqu'un, dire,
est-ce que vous avez vu mon fils?
Un petit peu.
Tiens.
Bien crêpé comme ça.
Tu ressembles, sais-tu à qui tu ressembles?
Ben oui, une bonne main d'applaudissement.
Un homme d'un certain âge qui se masse le cul échevelu.
Il ressemble...
Tu ressembles à
Martin Picard s'il pognait le sida.
Ah oui!
C'est vrai qu'il a le cheveu de Martin Picard.
Martin Picard, deux ans après
qu'il a le cancer.
Ou le bout où il apprend qu'il a le diabète.
Chris, le gros cochon.
Lui a l'air d'un cochon.
Oui.
C'est une caricature.
Pour vrai, il a un petit peu le nez comme ça.
Il a l'air d'un cochon.
Moi, je trouve...
Il a la face rouge.
Non, ce n'est pas une insulte.
Non, non, non.
Pas pour lui, Chris.
Il aime les cochons.
Il s'en vient tranquillement. On devient ce qu'on aime. Non, non, non. Pas pour lui, Chris. Pas pour lui, il aime les cochons. Il est devenu...
On devient ce qu'on aime.
Il devient un cochon.
Toi, tu deviens lui.
C'est malade.
Oui, bien malade.
J'essaie de penser comment ça ne pourrait pas être
une insulte pour lui.
Il serait comme, j'ai de l'âne.
Si je dis un porc,
il se dit qu'il a une face de porc, si je dis qu'il y a une face de porc,
ce n'est pas bien.
Non, une face de porc,
c'est pire.
Mais je ne comprends pas.
Une face de porc,
oui.
D'ailleurs,
j'ai mis mon chandail
couleur porc,
malade aujourd'hui.
Non, toi,
c'est couleur peau de brûlée.
Ah oui, c'est ça.
Chandail rose,
peau de brûlée.
Tu enlèves la couche blanche.
Oui.
Tu sais,
avec des gouttes d'eau dessus.
Ah, ça fait mal.
Un beau coup de soleil.
Oui, mais un esti de peau de brûlée.
Bravo, Pierre.
C'est dur de bander comme ça à mon âge.
Ah oui?
C'est vrai?
Bien, oui.
C'est quoi ça prend?
Du temps.
Du temps. Du temps et des bonnes affaires.
Des bonnes affaires?
Des pommes, genre.
Des affaires santé.
Tu t'es en tableau.
Donne-moi 20 minutes, je vais aller manger du quinoa.
Oui, c'est ça.
Je vais aller gruger un gros tofu.
Si tu m'allais gruger un gros tofu, j'en reviens.
La bonne bouffe fait mieux.
Chris, je mange super bien, puis je bande moyen.
Je bande, mais c'est pas... T'essaies de bander devant...
C'est sûr, si t'écoutes un tour de moi de golf,
qu'est-ce que t'écoutes à la télé?
Qu'est-ce qui te fait bander, Mike?
Pour me faire bander?
Ben non.
Ben OK, oui, à part le porn. À part le porn, qu'est-ce que t'écoutes à la télé? Qu'est-ce qui te fait bander, Mike? Ben non. Ben OK, oui,
à part le porn. À part le porn,
qu'est-ce qui me fait bander? Y'a-tu des affaires genre à Historia ou... À Z?
Ouais, je sais pas.
T'es les encans, là.
Ils ont un des kiwis des hommes.
Ah oui? Ben là.
Et voilà. On a tout bandé là-dessus.
C'est Francis Redé, pis le
chum à France-Beaudoin.
Vincent.
Que lui, il n'était pas à l'aise d'être là.
Non, parce qu'il ne pouvait pas se choquer.
Parce que lui, il aime ça se choquer.
Il aime ça être en crise.
C'est dur de se choquer avec Francis Redé.
En coupant un zucchini.
C'est ça.
Il fait une salade de pâtes.
L'austérité.
L'austérité de marde.
Ça se transpose pas très bien.
Non.
Fin.
J'aime ça, le fin.
Oui, c'est ça.
Oui, oui, exact. Tu fais du montage.
Fin. Fin. Fini.
Toi, quand...
Là aussi, tu travaillais.
La dernière fois que t'as fait le podcast, le Mike Ward Show, existait-tu encore? Non, il était fini. Maisernière fois que tu as fait le podcast,
le Mike Ward Show, existait-il encore?
Non, il était fini.
Mais ça faisait pas longtemps, par exemple.
Ça venait de finir.
Ça, c'était le fun.
Là, ça va revenir, ça, j'imagine.
Moi, j'attends.
Moi aussi, Chris.
J'ai mis mon cadran.
J'attends.
Ça va revenir.
Ça va bien en TV, de ce temps-là.
C'est le genre de projet que je cherche.
Aurais-tu le goût de refaire de la télé, pour vrai?
Non, plus là.
Parce que j'ai trouvé
une manière de faire de l'argent sans la télé.
Sans contraintes.
Oui, mais tu sais, j'ai remarqué
qu'il y a beaucoup de monde
qui font du web ou qui font
des podcasts en se disant, le monde de la télé
va me découvrir, puis ils vont me donner
une job. »
Moi, c'est l'inverse. Je suis comme « Cris,
j'ai réussi à faire ce que j'aime. »
Pourquoi tu cries si ça te mène à aucun sens?
Et de te faire dire
« Tu ne devrais pas dire ça. »
Mais je ferais peut-être une saison
de quelque chose.
C'est rare, ça. Tu ne dois pas dire
que tu as la peur.
Non, non, mettons une saison,
quelqu'un arriverait, et hier, je n'en ai pas parlé,
quelqu'un arriverait avec une offre
de l'argent incroyable.
Mettons, il me dirait, ou la radio,
5 000 $.
Une affaire de fou, là.
Une estime.
Une motte.
Comme la télé, ils n'ont plus l'argent qu'ils avaient,
mais la radio, ils ont encore du gros cash.
Si, mettons, C'est quoi arriverait,
puis ils diront, donne 500 000 $, je sais que mon show va être de laons, C'est quoi arriverait pis ils diront, donne 500 000,
je sais que mon show va être de la merde à C'est quoi,
mais je ferais, ouais, ouais, je vais le faire.
Mais tu ferais 500 000.
Pendant un an, pis chaud du tout,
que je vois tout le monde dans la rue,
je ferais, hé, va y.
C'est de la merde.
Les autres, tu sais, à C'est quoi,
ils pourraient t'écrisser tard le soir
parce qu'ils ont déjà eu un show avec une,
comment elle s'appelle, la fille pointe.
Ah, Tangerine Dream.
Bon, Tangerine Dream.
Ah!
Tangerine Dream.
C'est vrai que vous êtes un peu similaire.
Et moi, je travaillais là, dans ce temps-là. Je l'avais pas vu, par exemple. Moi, moi. Hé, Tangerine Dream. C'est vrai que vous êtes un peu similaire. Moi, je travaillais là dans ce temps-là.
Je ne l'avais pas vu, par exemple.
Ça ressemble à Chris, pour vrai.
Moi, quand je suis tout nu, mes testicules ont l'air du vieux
smoke meat.
Ah, wow!
Ça, c'est pour toi, Yann.
Il y a juste Yann
qui sait...
Yann savait exactement ce que le vagin
de Tangerine Dream avait l'air.
Le monde ne le voit pas, mais...
Tu l'as vu?
Voyons donc!
Il y a vraiment sur ces deux incréments...
Érigé ici une statue.
Tout le long du podcast.
Il y a deux smoke meat.
Ça, c'est un smoke meat, by the way.
Ça, c'est un smoke meat.
Ça, c'est en langage Pierre.
C'est pour ça qu'il se met de côté.
Je viens de faire un rôde de concombre.
Ça sent pas bon.
Qu'est-ce qu'on disait tantôt dans les loges?
Ce serait le fun d'avoir des cornichons sur les épaules.
Moi, c'est faire un saut à cornichons.
On venait de rire.
On disait Sergeant Pepper.
Mais c'est drôle que...
T'allais dire qu'on venait de fumer.
T'animes un podcast sur le pot, mais t'es venait de fumer. Tu animes un podcast sur le pot,
mais tu es gêné de dire que tu n'as pas fait du pot.
En tout cas, j'ai fumé
trois ou quatre cigarettes en même temps.
Je suis venu jouer les têtes.
Un gros bat de cigarettes.
Je suis sur le bord d'avoir envie de pisser mes potes tout de suite.
Là, toi, tu penses-tu
que tu pisseras...
Là, ici, en avant, sur le stage.
Dans le spot, non.
Il n'y a pas de gêne.
Reste en dedans de la tente,
mais fais juste sortir ta graine.
Ah oui!
Oui, oui.
Ah oui.
Ben...
Pendant ce temps-là,
on va faire la graine de pierre.
Pis toi, tu vas...
Ben, ça se pourrait.
Toi, par exemple, avec...
Tu sais, vu que le pot est pas encore légal,
anime un podcast sur le pot.
C'est-tu illégal?
Je le dis au début,
c'est un podcast qui parle de pot,
mais on ne fait pas la promotion du pot.
Quand ça va être légal, je vais dire, prenez-en
toutes.
Moi, quand je l'ai fait, vous aviez
un commanditaire qui était
un Godoui.
Ils vont m'aimer. C'est un Godoui, on sitaire qui était un gars de oui. Je ne me rappelle pas.
Ils vont m'aimer.
C'est un gars de oui.
On s'en corlisse.
Je vais le trouver.
C'est drôle de dire qu'on ne fait pas de promotion de potes,
mais cette semaine, mon commanditaire
s'est voulu du pot.
Ça ne marche pas.
Il faut que ça aille à la TV.
C'est comme les pubs de Smoke.
On rêve que Denis Barbu
reprenne le flambeau de Players.
Ah, très si.
C'est le top de Montaigne en faisant
l'homme.
Ou la loi des hommes.
Oui, la loi des hommes. Il est malade.
Mais voyons donc.
Ça serait malade, Denis Barbu qui fait des pubs
genre de Mark Ten, un peu comme, tu sais,
le personnage de Secchbu qui fait des pubs genre The Mark 10. Un peu comme le personnage de Sacky's qui fait
« I don't always drink beer, but when I do, it's the... »
Le vieux millionnaire distingué.
T'as Denis Barbu.
Avec ses Mark 10.
Dans les paquets qui s'appellent
Québec, genre des affaires pas cernables.
Quelqu'un dit
« Excusez-moi, on n'a pas le droit de fumer. »
Puis il écrase dans la face.
Tout le monde va embarquer là-dedans.
Une marque Québec, Cotrema.
Ah oui, Québec.
Y'a-tu une marque de cigarettes
qui s'appelle Québec avec un K?
Ben, je sais pas, je sais pas.
Parce qu'il y avait le Québec Cola.
Ça existe-tu encore, le Québec Cola?
Si j'étais poigné, t'étais passé, t'étais là.
Le Québec Cola existe-tu encore?
Le Québec-Cola?
Non, tu sais, dans le temps, il y avait Québec-Cola.
Québec-Cola, mais toi, tu es de la ville.
C'était peut-être juste à Québec.
Il y avait un affaire,
ça s'appelait Suncrest.
Qui livrait la liqueur chez vous
parce que c'est compliqué
d'aller dans vos démarrages.
C'était du Québec-Cola?
Puis leur Pepsi, c'était du Québec-Cola.
Wow.
Québec-Cola.
Bien, enfin.
Oui.
On espère le retour.
Tu l'as pris où, ton chandail brûlé, Vincent?
C'est chez...
Québec-Cola.
Ah, bon.
Il est pris chez Jeans Jeans Jeans à Montréal.
C'est vrai?
Une place qui me fait peur.
Ça n'a pas de crise de bon sens.
Oui, mais c'est beau.
C'est très beau.
C'est quoi qu'ils vendent là-bas? Ils vendent-tu des jeans?
Ils vendent plein de linge, puis le reste, je ne sais pas.
Je n'en ai pas parlé avec eux autres.
Je pense qu'ils vendent des lunettes puis des jeans.
Oui, c'est pas mal la seule place où, quand tu arrives pour rentrer,
il y a un gars quand même à l'entrée, un genre de bif qui check la porte,
comme dans un bar. Je ne sais pas pourquoi.
Je ne sais pas.
Tu ressors de là avec un T-shirt et ils te regardent
comme si tu avais tué.
C'est 18 ans.
Ça serait malade, c'est un vestiaire.
Ben là, c'est sûr.
C'est 5$.
Il y a un cover charge.
Il y a un beatbox.
Je vais acheter un T-shirt, je te le mets dans la section des T-shirts
et il attend que tu lui donnes un pourboire.
Ça ressemble quasiment à ça.
Moi, j'ai souvent pensé à ça.
Devenir, mettons, multimillionnaire,
milliardaire,
je me partirais des magasins
de même genre.
Je parlerais jeans, jeans, jeans,
mais je vendrais genre du sushi.
Pis des faux sourcils.
Hein, oui?
Des faux sourcils.
Faux sourcils et sushi. Oh, wow. Magasin de faux sourcils et sushi. Pis des faux sourcils. Hein, oui? Pis faux sourcils. Faux sourcils et sushi.
Oh, wow.
Magasin de faux sourcils
et sushi.
Ça s'appelle
chez Jeans.
Jeans, Jeans.
Jeans.
Jeans, Jeans, Jeans.
Mais c'est un titre
incroyable, ça.
Tu peux...
Ben là...
T'as toutes les sauces,
tout bon.
J'ai hésité
d'appeler mes enfants
de même.
Je n'ai trois.
Jeans, Jeans, Jeans.
Oui, ça.
Ça aurait été drôle.
J'aurais pu passer ma vie
dans mon rêve,
mais coudonc.
Ça aurait été parfait.
Je suis un des hosties
de nom blâme.
Jeans, jeans,
puis jeans, jeans, jeans.
Pourquoi t'as eu
des enfants?
Ben, pour les appeler
Jeans, Jeans, Jeans.
Puis une fois que t'es là,
tu fais,
ah, il va s'appeler
Jean-Réliot.
Ah, ben, Carlis.
C'est gris.
J'étais déçu, moi.
Au début, parce que ça fait longtemps que j'étais avec ma blonde, je va s'appeler Jean-Réliot. Ah, ben, carlisse. » J'étais déçu. Au début,
ça fait longtemps que j'étais avec ma blonde,
je l'ai appelé au moins un « Actarus ». Le gars qui pilote Goldorak.
Ça n'a pas passé.
En même temps, à l'école,
« Y » au douane.
Au douane.
« Y » « Actarus »
« Y » « Actarus »
Ça sonne juste un nom un peu russe.
Ça sonne 8 bits.
Un jeu vidéo 8 bits.
Un actarus.
Un petit actarus.
Ça, c'est dans ma tête.
Mais on ne fait pas de promotion.
Parce que j'ai fumé et des fois ça fait « Ah oui! »
Toi, tu fumes-tu?
Tu sais comme là, tu étais une semaine en Floride,
tu n'as pas emmené de potes là-bas.
Non, j'ai essayé.
Moi, au douane, depuis que je n'ai plus de dreads,
ça continue.
C'est moins pire.
Mais quand j'avais des dreads, à chaque fois,
voilà, voilà,
des fouilles, des vitres de valise.
La même année, ils ont fermé mon char
une heure et demie de temps. Il y a un gars
avec des gants plastiques, un douanier américain,
qui est venu chercher mes clés de char.
Il est rentré avec un char dans le garage, il a fermé la porte,
ça a duré une heure et demie. Je ne filais pas.
Mais je n'avais rien.
Là, par exemple, vu que tu as traversé avec ta blonde
et ton enfant... C'est pire, parce que j'ai trop une grande différence d'âge. Là, ils font, vu que tu as traversé avec ta blonde et ton enfant...
C'est pire parce que j'ai trop une grande différence d'âge.
Fait que là, ils font...
C'est qui, elle? Je fais, c'est ma blonde.
Puis là, ils passent du temps avec ton char.
Ça n'a aucun sens.
Non, non, non.
Puis là, ils me disent...
Puis ils disent, comment tu t'appelles?
Je fais, Jeans, Jeans, Jeans.
Fait que là, ils font...
Ce qui ne va pas aider, par exemple,
c'est qu'aussitôt qu'ils demandent, es avec qui? » et tu dis « C'est ma blonde. »
Elle a fait comme « Help me! »
C'est ça.
Mais c'est vrai, on se fait chier à chaque fois.
À chaque fois.
À chaque fois, on se fait chier.
La première fois, c'est parce qu'elle avait des tie-wraps
après les poignets.
Oui. L'autre fois, elle avait un oeil au bord noir.
Oui, oui.
L'autre fois, l'autre.
Un oeil au bord noir.
Tu l'as laissé dans le char, d'ailleurs,
pendant le podcast. Elle a chaud.
Elle a chaud. Mais j'ai craqué la vitre.
Il y a quelqu'un qui amène de l'eau.
Avec une paille.
Mais là, c'était-tu compliqué, cette fois-là?
Oui, quand je suis passé au douane
à Plattsburgh, le douanier a fait
ma blonde passe, ma blonde passe,
ma fille passe, moi, il fait ici,
il passe dans l'espèce de scanner qui tourne,
là, je passe là, puis il fait ici,
lève tes mains, tourne tes mains,
monte tes jeans, je me suis écrasé,
il gosse, il dit, monte tes jeans,
monte tes jeans,
il dit, tire sur tes culottes,
j'ai l'air d'un intelligent,
il était peut-être en amour avec toi,
peut-être qu'il voulait me voir barrer.
Puis là, il m'a passé
une espèce de long tube
avec une roulette. Dans le rectum?
Non, dans les mains. Il a-tu rentré un petit feu raide dedans?
Oui.
Il est encore là. Il grattait
et il disait « Où est la sortie? »
C'est le fun des douanes finalement.
Pardonne-moi mon feu reste.
Exactement.
Puis là, il m'a passé un grand bâton.
Il m'a passé un grand bâton.
Il a pris un grand bâton avec une roulette au bout.
Il m'a fait ça dans la main.
Il a fait trois lignes comme ça.
Il a sorti un petit papier et il l'a collé ici dans une machine.
J'espère que je n'ai pas de traces
de pas de ses doigts ou quelque chose,
mais je n'avais pas.
Non, ça, c'est juste pour l'explosif.
T'as fait peur?
Ah, explosif? Oui, oui. C'est une mise en, mais je n'avais pas. Non, ça, c'est juste pour... T'as fait peur? Ah, explosif?
Oui, oui. C'est une mise en scène. Ça n'a pas marché.
Tu vois déjà que t'es stressé
sur l'avion.
Chris, c'est peut-être pour ça.
C'est peut-être pour ça parce que tout le temps, du H, je n'ai pas.
J'ai peut-être l'air de...
De même aux doigts.
Moi, ça m'est arrivé.
Première fois que je suis débarqué en Europe
parce que j'ai pris l'avion, ça m'a stressé.
Et puis, t'es allé en Europe.
Ben oui, t'es allé en Europe.
On est allé faire un genre de festival d'humour là-bas
quand même longtemps, 15 ans peut-être.
C'est le festival des...
De Cavaillon.
OK.
C'est comme les Québécois...
C'est des frères Taloch?
C'est pas des frères Taloch?
Non, non, non.
C'est un petit festival vraiment obscur
dans le nord de la France.
Ils invitent une couple de Québécois à faire ça.
On se ramasse là, puis finalement, on fumait du weed
à ce moment-là, bien plus
qu'aujourd'hui. Puis,
je débarque là, puis je devais sentir, mais tu sais,
il y a un chien qui approche là-bas
de moi, puis là, moi, je suis complètement
con, bien innocent, je viens de débarquer de l'avion,
je suis heureux et nerveux.
Puis je fais « Ah, le beau chien! » Puis la madame
arrive, elle dit « Touche pas! » J'avais pas le droit de toucher au chien, fait que le chien! » La madame arrive et dit « Tu ne te touches pas! »
Je n'avais pas le droit de toucher au chien.
Le chien est monté et partit sous moi.
J'avais rien, évidemment.
Je devais sentir la résine.
Tu l'as liché à la bouche?
On s'est embrassés, moi et le chien.
Apparemment, les chiens,
quand tu sens la drogue, par exemple,
ils n'embarquent pas si tôt, ils s'assoient devant toi.
Ils sortent son petit rouge à lèvres.
Il y a quelqu'un qui est tombé.
Ben oui.
C'est de valeur.
J'ai dit rouge à lèvres.
À chaque fois qu'il dit rouge à lèvres,
il y a quelqu'un qui tombe en quelque part.
Je vais essayer de ne pas le dire, Chris.
À chaque fois que je dis ce mot-là,
il y a quelqu'un qui crisse la casse du côté.
Ça sera peut-être pas ici,
mais il y a quelqu'un dans le monde qui s'effondre.
Si vous entendez les rouges...
Non, non, non.
Hop, hop.
mais il y a quelqu'un dans le monde qui s'effondre.
Si vous entendez les rouges... Non, non, non.
Oups, oups.
Moi, j'ai peur.
C'est ça.
Vous autres, toi, tu bois-tu l'après-midi?
Ou tu tolères-tu l'alcool l'après-midi?
Non, mais j'aime ça.
OK.
Ah!
Parce que...
Mais non, mais c'est vrai.
Je saoule deux fois plus.
Une porte de potes l'après-midi,
je suis comme, hé, colis, est-ce que je suis pété?
Ça coûte rien.
Moi aussi, je suis jamais stressé d'être saoul,
sauf le jour.
Pourquoi?
Parce que le jour, je bois rien et je viens saoul vite.
Puis là, genre, tu t'endors à 5h de l'après-midi,
tu te réveilles à 11h, des corollistes,
puis tu recommences.
À votre santé, gars.
Toi, tu bois pas, Vincent?
Moi, je bois pas, moi.
Puis j'endure l'alcool comme ça.
Peux-tu y amener un rum and coke d'hiette?
Bisous, arrête de filmer,
puis m'amène-moi à boire.
Bisous, lâche le road case avec les petits coins ronds.
Non, je bois pas, moi.
J'aime le rum and coke, j'adore ça,
mais je bois pas beaucoup.
Dans Saint-Jean, quand j'avais 15 ans,
je me faisais des gros verres de vodka peu.
Je calais ça, je tolérais ça.
Tout le monde me disait,
« Oui, Chris, tu peux, toi. »
Non.
Tu aimes mieux le feeling du spot?
Oui.
En quelque part, oui, j'ai déjà bien aimé ça.
Parce que, je ne sais pas,
j'avais découvert l'espèce de...
Ça me calmait.
Il y avait quelque chose qui me calmait là-dedans
en place de me perdre.
Ça calme mon esti.
J'étais des H.
J'ai pris des petites pilules
de prescription.
Concerta.
Ça n'a pas marché du tout.
Du pot, c'est parfait.
Toi, en plus,
t'as commencé à fumer vieux.
Ça fait un an.
Ça n'a pas de sens.
T'avais 106.
À 106.
T'avais des dreads, tu fumais pas.
Exactement.
Première fois que t'as fumé.
Je me rase la tête.
Un bat.
La logique.
Je veux pas avoir de l'âne stéréotype.
J'ai commencé.
Il se rase à la peau,
il tombe dans l'éther.
C'est malade. Je me rends des tubes dans le gorge.
C'est fou.
J'ai une petite fente ici.
T'étais-tu, par exemple, jeune?
Jeune, j'en ai fumé.
Mettons de 4...
De 4 ans?
Non, non, de 16 à 18, mettons.
Ok.
Puis dans le temps, à Québec, c'était du H?
Oui, du H.
Oui, c'était du H.
Puis le pot, il y avait plein de noms.
C'était-tu du H?
Saint-Symilien, du Gold.
Je mélange un peu pot et H, là.
Mais le H, moi, je n'aime pas ça.
Non, moi non plus.
Mais le pot.
Puis c'est malade parce qu'on pouvait fumer dans...
Moi, j'allais souvent voir des films de répertoires.
Pis tu pouvais fumer dans le cinéma?
Ben, je pense que tu pouvais pas,
mais tu le faisais pareil.
Ouais, je pense que c'est ça.
Chris, quand j'ai tout le temps qu'on dit ça...
C'est comme dans le temps, tu sais, qu'on faisait...
Ouais, il fait noir, tu fais.
Quand tu vas voir des shows,
t'as le droit de fumer un joint.
Exact.
Mais t'avais pas le droit,
mais tout le monde le fait, tu vois.
Pas en doute, mais tout le monde fumait, pis...
Au pire allé, y a un gars du Centre Bell, il va faire... Il se fait... OK. Là tu n'avais pas le droit, mais tout le monde le fait. Tout le monde fumait. Au pire, il y a un gars du centre-ville
qui va faire « euh ».
Tu fais « OK ».
Là, en ce temps,
le monde fume-tu?
Ça fait trop longtemps
que je ne pense pas à un chien.
Il y a des fouilles.
Il faut fumer dehors.
Tu vois,
tu es bien comme faux avant.
Bien comme faux.
Pas obligé d'être bien comme faux.
Oui, c'est ça.
C'est pas « Hey, Chris,
je viens de voir le chapeau de Snake.
Non, mais explique-le.
Hein?
OK, oui,
il y a deux road cases en arrière,
un petit et un très grand.
On s'est dit,
dans le plus petit,
c'est écrit Snake.
On pense que c'est un gars
qui est dedans.
Puis dans l'autre,
ça serait son chapeau,
mais de 10 000 livres.
Ça fait que...
Oui.
Ça ne servait pas tant
à quelque chose
de l'expliquer.
Non.
Mais on a cassé tous les deux.
Oui, on a bien aimé ça, nous autres.
Nous autres, par exemple.
Mais toi, Vincent.
Exactement.
Vous autres, est-ce que vous vous connaissiez
avant de travailler ensemble ou non?
On s'est rencontrés la première fois avec...
C'est Patrick Huard qui nous a matchés.
C'était malade.
Nous autres, en tout cas, on était contents.
Belle rencontre déjà.
Il y avait quelque chose de mystérieux,
mais on s'est mis à en entendre parler
et à comprendre comment
c'était hallucinant et qu'il amenait du stock
à notre univers.
On faisait un show que ça plantait nous deux à ce moment-là.
Des affaires comme faire fumer
un cul de chien.
Des flashs de rêve. J'avais faitaires genre faire fumer un cul de chien. Ah oui, avec Stéphane Bureau.
Des flashs de rêve.
J'avais fait un shotgun dans le cul d'un chien.
Dans le cul d'un chien, devant Stéphane Bureau.
On trouvait ça.
On lui a demandé, est-ce qu'on peut faire quelque chose
pendant le sketch, que tu sais pas, il a dit ben oui.
Il a dit oui.
Eux, ils sont levés pour aller pisser.
En fait, ils le présentent.
Mais Stéphane Bureau.
Là, on disait, OK, bon, bien, écoute, on va pas rien que ça faire, interviewer. On a dit, j'ai envie de pisser. On s'en allaitente. C'était fan de bureau. Là, on disait, OK, bon, écoute, on va pas y aller
avec ça à la fête, interviewer.
J'ai envie de pisser. On s'en allait, on le laissait tout seul.
Il était devant Camille. Elle ne savait pas quoi faire.
Il rentrait un chien avec lui.
Un Dopperman. Puis là, j'ai dit au chien
coucher. Il s'est couché à côté. J'ai allumé une cigarette.
Puis là, il a dit, qu'est-ce que tu fais?
J'ai fait, chut.
J'ai demandé une question. J'ai dit, comment tu gagnes
pour les grandes entrevues? Puis il ne m'a pas répondu. Puis là, j'ai demandé une question. J'ai dit, comment tu gagnes pour les grandes entrevues?
Il ne m'a pas répondu.
J'ai dit, chut.
J'ai pris une cigarette et j'ai fait un shotgun
dans le cul du Doberman.
Je ne l'ai jamais fait.
T'as quelqu'un de connu?
Retiens-toi si tu veux.
Non, il ne faut pas que tu parles.
Check back.
Reste.
D'habitude,
attends, il ne faut pas tuer.
Checkmate, je vais faire un shotgun.
Il ne comprenait rien.
Il est devenu rouge, rouge, rouge.
Il est devenu rouge en crissant.
Il est devenu rouge.
En dedans même.
Pas de sens.
C'est une image hallucinante.
On lui a montré après en faisant
« Si t'es pas à l'aise, on le passera pas. »
Il l'a regardé attentivement trois fois
et il a fait « C'est génial. »
Je sais pas pourquoi.
Oui!
Imagine-toi, là.
Tu passes du téléjournal
à un shotgun dans le cul d'un Doberman.
Non, mais lui, il a de l'humour, ce gars-là.
C'est pas pire, là.
Il a quand même de l'humour.
Je sais qu'il aime Benetton.
Il a embarqué là-dedans.
C'était comme un show drive.
On invitait n'importe quoi.
Je peux avoir un gin?
Pierre, peux-tu avoir un gin?
Je vais chauffer.
C'est la première fois que je viens ici.
La route est malade.
Tu n'es jamais venu en Ottawa?
En 2000.
En 2000.
Puis, je ne m'en rappelle plus.
OK.
Bien, je suis venu pas longtemps.
Je suis venu passer une journée avec Jean-René Duford
pour une émission 2000 ans de bug.
On est allé tourner à Ottawa devant le Parlement.
Je ne me souviens plus quoi.
C'était bizarre.
Tu réalisais-tu...
Non, dans ce temps-là, j'étais recherchiste.
C'est quoi l'affaire que tu as réalisée
où tu es allé te promener avec Francis Reddy
et il était toujours souriant et il connaissait toutes les langues?
Non, René Simard.
Ah oui, non, je ne peux pas les tourner.
Ça, c'est avec la radio.
Ça, c'est malade. On est allé en République dominicaine
en concours de radio.
Avec René Simard.
Attends un peu. René Simard et Marie-Carmen.
Allergique au soleil.
Elle est allergique au soleil.
Oui, man.
Chris a dit oui à tout.
Ça va bien quand t'es allergique au soleil.
En concours de radio avec le journal de Montréal.
On s'est ramassé.
On est arrivé au club.
Le club n'était pas fini.
Il y a des chambres qui finissaient
l'électricité.
Puis le premier soir...
Le resort ressemblait à ça.
En moins beau.
En moins beau.
Avec deux gardes armés à la porte.
Puis le premier soir, c'était à côté d'une plantation
de canne à sucre
collée sur Haïti.
Puis le premier soir, il y a une fille qui s'est faite agresser
à Machette.
Elle s'est faite voler ses bijoux.
Non, mais je ris parce que...
Il rit aussi.
Attends.
Hé, attends le punch, il vaut la peine.
Hé, mort!
Hé, mort!
Mais attends.
Chris, ils l'ont enculé pareil.
Non, mais...
Avec une canne à sucre.
Avec... En tout cas, je connais... Il est pareil! Avec une canette! Avec une canette!
En tout cas, Nestlé Monard...
Je connais!
Merci beaucoup, c'est gentil, bisous.
Ah, bisous! Il est bien fin, ce bisou-là.
Mais là, Renée, le lendemain, ça a mieux été.
Elle, elle, elle s'est faite.
Elle est arrivée en criant, on est dans le club.
Elle arrive en hurlant, en pleurant.
Une faible.
Elle crie et elle pleure.
Je me suis fait voler mes bijoux.
Elle m'achète un tabarnak.
Ils ont racheté des gardes armés.
Pourquoi elle porte ses bijoux en coupant de la canasse?
Non, elle était à coller ses canasses.
C'est comme mettre un manteau de fourrure aux framboises.
Exactement.
Ce n'est pas de sa faute.
Ils ont racheté le lendemain des gardiens armés. J'étais malade. fourrure aux framboises. Exactement. Mais ce n'est pas de sa faute. Non, mais...
Puis là, ils ont racheté le lendemain
des gardiens armés.
Donc là, j'étais malade.
Tout autour du club,
il y avait des gars avec des mitraillettes.
Puis René, il parle...
Je pense qu'il parle cinq langues.
Ça fait qu'un moment donné,
je suis au bar avec lui dans le club
puis c'est un Japonais qui est là,
je pense, puis c'est lui.
Maintenant, j'en sais un Japonais.
Puis lui...
En trois, un garbois.
Un garbois.
Un garbois.
C'est moi, je te le rappelle. Bien, brerit. Il est super fin.
Je me promenais avec lui en jean
dans un village en République,
mais c'est malade, il était en speedo.
Ah oui?
J'ai rien d'autre à rajouter.
Fait que René, c'est mort en speedo.
Oui.
En Jamaïque avec des gardes armés.
Même, j'ai grandi avec l'oiseau, moi. Puis là, t'as... En Jamaïque, avec des gardes armés. J'ai grandi avec l'oiseau, moi.
Puis là, t'as vu l'oiseau.
Ah!
J'ai moyen que vu l'oiseau, là.
L'oiseau, il a parlé japonais au bar.
Puis j'ai fait un tour de Jeep en speedo avec.
C'était un rêve.
Moi, j'avais...
Moi, j'ai toujours pensé qu'il était gay.
Puis à un moment donné, j'avais été souper chez...
Patrice Écuyer m'avait invité d'aller chez eux,
puis c'est son meilleur ami.
Puis là, René Smart n'arrêtait pas de parler
des boules de ma blonde.
Puis c'est ça.
Ça ne me dérangeait pas que je faisais...
Non, non, c'est gay, gay, gay.
Mais après, à un moment donné, j'ai fait...
Ah, la tabarnak! »
Il fait juste parler des boules de ma blonde.
Puis le fait qu'elle la voit haute,
tout le monde fait « Ah non, c'est pas grave. »
Puis il est très...
Qu'est-ce qu'il est fin. Il est vraiment fin.
Pour de vrai, moi, ma blonde,
c'est le seul humain qu'elle pourrait coucher avec
puis je serais pas fâché.
C'est René Simard.
Ah oui, le seul?
Bonne question. Ah non, hein? Le seul? Bonne question, selon elle.
Ah non, moi,
il y en a plein de même.
Mettons, elle couche
avec quelqu'un, c'est qui?
Je m'en fous d'un lot,
genre Michel Dumont,
je fais, ben oui,
vas-y, Carlis.
Avec sa grosse voix.
Ben, n'importe qui de connu,
ça me fait comme,
ben, yes.
Je serais lousse.
Moi, Bisous,
ça me dérangerait pas.
Bisous?
Ben non, pas Bisous,
Carlis.
Ben non, ben non,
voyons donc. Y'a rien que bon à nous amener des drinks. Amène-moi un autre Moi, bisous, ça me dérangerait pas. Bisous? Ben non, pas bisous, carrières. Ben non, ben non, voyons, non.
Y'a Yank Bon à nous amener des
drinks. Amène-moi un autre drink, bisous.
Qui est où?
Bisous! Bisous!
Hey, bisous! Hey!
Lâche de jaser, active-toi!
Non, c'est pas vrai.
Nos verres sont pleins. Continuez à jaser,
bisous.
Ah, je vais être dans le Journal de Montréal.
Bisous.
Hier, bisous, on a fait
un podcast
que l'animateur
travaille pour le sac de chips
au Journal de Montréal.
Jason ne le savait pas.
Il s'est mis à insulter
le sac de chips.
Nice.
C'est-tu drôle? Il s'est mis à insulter le sac de chips. Oh, nice! C'est-tu drôle, en crise comme phrase, ça?
Il s'est mis à insulter le sac de chips
quand c'est isolé.
Juste ça ressorti comme extrait.
Après, Yann et Michel riaient.
Moi, je riais.
Là, Jason, il a arrêté.
Il m'a juste dit,
il a fait,
« J'ai mangé quelque chose de drôle. » Puis, il m'a juste dit, il a fait, j'ai dit quelque chose de drôle.
Il l'a noté.
Pauvre Jason.
Je suis sur le bord d'avoir envie.
Tu es sur le bord.
Vas-y.
Pas de stress.
J'aime mieux que ça soit à jour.
Une bonne main d'applaudissement.
Il s'en va pisser.
C'est rare qu'on voit ça.
Tu veux-tu?
On va. Tu peux passer par en arrière aussi.
Oui.
Pisse où tu veux, Pierre.
Jason, monte sur scène.
Ça ne te dérange pas de remplacer...
Viens donc, Jason.
Qu'on te barre d'art devant le monde.
Applaudissez Jason Babin.
Bravo!
Vous avez déjà vu dans le podcast, dans le passé...
Mais quand c'est Bisou qui est là, c'est qui qui l'amène en bois?
Je l'ai l'idée, je sais pas c'est où.
Non, mais il va pousser dehors.
Non, tu voulais sûrement aller pousser avec Pierre?
Comparer ça...
Bisou, franchement.
Ça te dérange pas que je t'appelle Bisou?
Non, non, non.
De où que ça a parti, Bisou?
Non, ça a parti de tantôt.
Bisou.
Son cerveau. C'est cute, parce qu'il est tellement gentil. De où que ça partait, le bisou? Non, ça partait tantôt, le bisou.
Son cerveau.
Ah oui, c'est cute.
Parce qu'il est tellement gentil.
Un vrai petit oiseau. Bisou!
Le monde est mal doré.
C'est vrai en crise.
J'ai pas assez bu pour être ici.
Hier, j'ai... Il est sous mort.
T'as entendu?
J'ai compris à moitié, c'est ça. Il est sous mort. T'as entendu? C'est quand t'as réalisé...
Je comprends, moi aussi.
C'est que le gars...
Exactement.
Mère, est-ce que tu sais qu'il a toujours le don de poser les bonnes questions?
Mais réponds!
C'est pas planifié.
Pierre, il est là.
Il est pas parti pisser.
C'était juste pour me faire chier.
C'est tout mis en scène.
Hier, toi, tu ne savais pas
que tu allais faire le podcast.
Non, j'ai su l'avenir seconde.
Puis après, comme là, à peu près?
Oui, à peu près.
C'est sur le vif. Comment tu te sens?
Gêné un peu.
Tu es gêné? Voyons.
Quand Jason avait fait le podcast la dernière fois,
il a demandé à sa blonde
en mariage.
Elle a dit non. Ah oui, à ce point-là.
Non, mais elle a dit oui,
mais tu as
regardé le podcast
avec ta famille après?
Oui. Est-ce que ça devait être
weird, ça? Oui, j'aimais pas regarder ça, mais
c'était notre façon de leur montrer que c'était ça qu'ils avaient demandé. Est-ce que ça devait être weird, ça? Oui, je n'aimais pas regarder ça, mais c'était notre façon de leur montrer
ce qu'ils avaient demandé.
Est-ce que vous avez montré tout le podcast?
Parce qu'il y a tout le temps des articles
de jokes de pédophiles, puis de malaise.
Oui, mais mes parents ont un bon sens de l'humour.
Puis les parents de ta blonde,
ils étaient...
Puis les autres parents en général.
Finalement, oui, vos parents sont comme ça aussi.
C'était Jason, mesdames et messieurs.
Yes, all right.
Merci.
Merci à tes parents.
C'est malade, dans son CV,
il peut mettre «remplaçant de pisse».
Oui.
Subpisse.
C'est comme...
Pissfiller.
Tu sais, mettons,
dans les galops, aux jameaux, aux oliviers,
quand quelqu'un s'ouvre aux toilettes
ou il gagne un prix,
il y a quelqu'un qui s'assoit.
Un crabe.
C'est ça qu'ils appellent?
Oui, des crabes.
Tu vas t'asseoir là, puis dans la journée de répétition,
t'as des crabes. T'as du monde
assis dans la salle qui font...
qui vont remercier.
Blablabla. Il y a un gars là
à s'asseoir.
C'est pour ça qu'on fait le podcast cet après-midi.
On n'a même pas dit, je pense,
bonne fête des mères, d'ailleurs.
Chris, y'a-tu des mères ici?
Eh oui!
Y'a-tu des mères dans celle d'Ouenavar?
Chris n'a pas beaucoup.
Merci d'être venu. Bonne fête, les mamans.
Ah oui, OK.
C'est malade, les mamans.
Y'en a pas beaucoup. Toutes les filles ont levé leurs mains.
Mais bonne fête. J'y malade, le maman. Ah oui, OK. C'est malade, le maman. Il n'y en a pas beaucoup. Toutes les filles ont levé leurs mains. Oui, je sais un peu, tu sais.
Mais bonne fête,
bonne fête des mères.
Bien oui, bien oui.
J'y pense jamais,
vu qu'on n'a pas d'enfants,
puis ma mère est morte,
fait que... Bien, c'est le genre d'affaire
qui fait que tu es plus...
Elle est morte.
La mienne, elle est là.
Elle n'est pas forte.
Quand elle, c'est à peu près.
Hein?
Quand elle, c'est à peu près.
Quand je veux.
Eh non, au contraire, elle est top shape.
C'est malade parce que les deux, moi, mes parents,
sont en pleine santé. Elle fait un peu d'arthrose
et elle a perdu la carte depuis longtemps.
Elle parle, elle parle, elle parle, elle parle
sans arrêt. Il y a juste ça. Je suis poigné
avec elle jusqu'à 150, mais elle va jaser
les anesthésiants.
C'est parfait, c'est inspirant.
Elle est pas bien, Thomas?
Non, à 12. Elle m Elle est où bien vieille, Thomas? Non. À 12.
Comment?
C'est bizarre.
Elle m'a eu très vieille.
Oui, c'est bizarre.
Elle a rajeuni.
Est-ce ça d'autre, en plus?
C'est vrai, par exemple.
De la table?
Oui, à partir de la table,
elle n'est pas plus haute que le boc.
Elle n'a pas plus haute que ça.
À 12 ans, elle parle.
Elle se dit qu'elle parle.
Elle se promène,
puis elle marche vite.
Oui.
Elle vient chez nous, on ne comprend pas ce qu'elle dit Moi je l'ai vue une fois d'un party
On l'a mis sur le comptoir
Quand elle gigue en plus avec son violon
Elle a l'air d'une vraie cinglée
Qu'est-ce que tu veux faire?
Non, elle est écœurante, bonne fête
Elle nous écoute pas
Mais elle t'aime
Elle se calisse bien du reste
Elle fait juste regarder Elle écoute pas écoutent pas. Mais elle t'aime. Elle se calisse bien du reste.
Elle fait juste regarder.
Elle écoute pas.
Non, t'es son genre.
Bien, parfait.
J'haïrais pas ça. Tu deviens de mon beau-père.
C'est-tu balade, ça, Noël?
Ça serait-tu fort?
Il est habillé tout chic. Il te donne un cadeau.
Noël 27.
Mon fils, ça n'a pas de même.
Il faudrait qu'à un moment donné,
je t'amène dans une chambre et t'explique c'est quoi le sexe.
Oui!
Avec un livre!
Elle n'amène pas tes enfants.
Il faut que je t'explique quelque chose.
Il faut que je te jase.
C'est une espèce de couvre-lit bizarre.
Moi, j'ai jamais eu
cette discussion-là avec mes parents. Moi, j'ai jamais eu cette discussion-là avec mes parents.
Moi, j'ai tout appris
de mes amis
et des vieux hustlers.
Moi, j'ai appris...
Pour vrai, moi, c'est bizarre.
J'ai appris, genre, 12 ans
à Loretteville.
Il y avait un champ
derrière de chez nous
et il y avait
une espèce de buisson
et dans le centre,
il y avait comme un trou.
On avait la paix
et on se montrait.
Tu allais là
montrer ton batte? On avait des filles et des gars se montrait. T'allais là montrer ton bat?
On avait des filles et des gars.
OK.
On disait...
On pigeait un papier.
Joël.
Mike, il faut que tu montres ton pénis.
Tu sortais ton pénis.
Tout le monde le regardait.
Bandé ou pas bandé?
Pas bandé.
Des fois, tu pouvais toucher.
Les filles pouvaient toucher.
Le fait de voir encore.
Moi.
Parce qu'il y a eu des constructions.
Ah oui, c'est ça.
Il y a de la buissons encore, mais il est dans le cours.
C'est gênant.
C'est gênant.
Là, tu vas juste effoirer ta graine sur les clôtures.
Exact.
C'est vrai que les filles baissaient les culottes
et étaient là comme, hé, malade, on pourrait te toucher.
Moi, je me rappelle, la première fois
que j'ai vu un vagin,
c'était une fille qui a baissé ses culottes.
Là, je voyais juste...
J'étais comme, Chris, il n'y a rien.
Il n'y a rien?
C'était comme si...
Qu'est-ce que tu imaginais?
Un genre de trompe rose fluo?
Mauve.
Je pensais qu'il allait avoir...
Au moins que ça bouge un peu.
Oui, oui, oui.
Il y a un petit mouvement que ça fait.
Ça nage comme une méduse,
mettons.
Ah oui, Jean-Thomas,
j'ai fait passer une annonce, je pense, dans le journal de Montréal.
Une méduse?
Non, mais il disait que ça finissait par
« pénis format méduse ».
Hé, Chris! Ça serait drôle de... Non, mais il disait... Ça finissait par « pénis format méduse ».
Hé, Chris!
Malade.
Ça serait drôle.
Excusez.
Je suis vraiment dans ma tête.
Toi, t'as-tu...
Fait que toi...
Oui.
Je crois que je reviens à ça.
Oui, oui, non.
J'ai presque fini.
J'en ai eu quatre.
Mais, oui.
Fait que là, toi, t'allais là, à côté du trou,
tu te sortais la graine.
Oui, puis les filles, des fois, ils touchaient.
Fait que Christ avait une sensation...
Puis ils touchaient, c'est genre plus...
Non, non, non, non. Ils touchaient.
T'avais quel âge?
T'avais quel âge?
12-13.
Avec une cigarette dans la gueule.
C'est quand même assez vieux,
parce que t'as commencé à fumer à 11.
C'est qui, oh? 12.
Fait que t'avais une cigarette dans la gueule.
La graine sortit. La graine sortit. Une petite fille avec des. C'est qui, oh? 12. Fait que t'avais une cigarette dans la gueule. La graine sortie.
La graine sortie.
Une petite fille avec des souliers de 8 ans,
elle est là.
Elle te pogne le bout du bas.
Dans même.
C'est l'année passée que t'as commencé à prendre du...
Comment t'appelles ça?
Concerta?
Concerta.
Mais dans ce temps-là, ça n'existait pas.
T'appelais-tu ça, ton petit jeu?
« Aïe, je joue au gérant d'artiste. »
Ah oui!
Ah oui!
Ah oui!
Ah oui! Ah oui! Ah oui, t'es con!
Wow!
Propriétaire de festival.
Ben non.
Fait que là,
ces filles-là, y en as-tu que t'as revues?
Non, peut-être que oui,
mais non, je me souviens pas.
C'était...
Pour vrai, je trouve que c'est une belle manière
de découvrir une nounne.
En te faisant pogner le bat pendant que tu veux.
Non, non, mais en disant à une fille,
regarde mon pénis, touche la texture.
C'était comme pédagogique.
Tu prends la basse des culottes et tu touches.
Tu as 12 ans, tu touches de même.
C'est bizarre.
Moi, j'avais vécu
quelque chose de même
à 8-9 ans.
Quand j'avais...
Quand j'avais 10-11,
je n'avais pas de poils encore.
J'avais peur
que les filles fassent
« On va refaire l'affaire. »
Tout le monde montre
leurs grosses graines poilues,
des grosses touffes.
Des grosses touffes.
Mon petit batte.
Petite batte de peau.
Oh, Chris.
Ou un poil long.
Tu sais, un long noir, raide.
Qui dépasse la graine.
Ah, Chris, oui.
Qui rentre dans le trou.
Puis après, tu bandes.
Puis t'en vas.
Hé, Chris.
Wow.
Toi, comment?
Comment?
Ben, écoute, ça a été par la télé,
probablement, par Bleu Nuit,
les premières...
Comme ça?
On est une gang à avoir été élevés par ça.
Non, non, Bleu Nuit, c'était pas de même.
Bleu Nuit, c'était à TQS.
Oui, oui, c'était à TQS.
On voyait pas le vagin, par exemple.
On voyait à peu près rien.
On pouvait l'imaginer, par exemple. C'était quoi, les films Emmanuel? C'était Emmanuel. Quand t'était assez cruel. On ne voyait pas le vagin, par exemple. On ne voyait à peu près rien. On pouvait l'imaginer, par exemple.
C'était quoi, les films Emmanuel?
C'était Emmanuel.
Quand tu étais chanceux.
Le port du temps, c'était des osties de films médiévaux.
Il y avait une scène où il y avait deux filles, les totons à l'air.
Moi, en même temps, c'était de la culture du cul.
Je venais plus de chez Barbu.
On s'est connus jeunes.
Puis lui, il y avait déjà un grand frère
qui avait des magazines tout collés, les pages.
Wow!
Puis des vidéos chez eux qui traînaient.
Oh!
Oui, oui, oui.
En super-eux, genre...
Oui, oui, oui.
Des diapositives toutes.
Des diapos de porn?
C'est pas vrai.
Non, c'est pas vrai, franchement.
Ça aurait été badi, oui.
Mais c'est par là que ça a passé.
On lui a échappé quelque chose.
Ah, callé.
Voyons donc.
Bisous, viens ramasser.
Il faut tout recommencer.
C'est vrai, on reprend.
Sortez.
Tu vois la flexibilité que j'ai
quand je ramasse quelque chose.
Un peu plus, il fallait que je me couche à la fin.
Ou qu'il arrive deux mois d'égard.
Hier, je regardais.
Ici, dans le chapiteau,
il y avait de la lutte.
Le monde était bon en Chris.
Chaque fois que je regarde des lutteurs,
il y en a, comme le main event,
le gars est plus vieux que moi.
Il va péter.
Il n'est pas mort,
mais moi, faire ça,
je crée ce que je crée.
Non, c'est sûr.
Ils sont rodé.
On l'essaie-tu?
Nous autres, on s'en va voir
probablement le WrestleMania
à New York.
Ça se peut-tu l'année prochaine?
Moi, je connais fuck all ça,
mais j'adore l'ambiance de débile.
C'est Just a Buy qui veut aller.
Just a Buy veut aller là, absolument.
Ben oui, c'est fort.
Lui, il les connaît toutes.
Lui, il les connaît toutes.
Il les adore.
Il connaît le scénario
il aimerait ça écrire pour ça
Jeff Batters aussi
notre agent, notre gérant
lui aussi c'est un maniaque de lutte
ouais, deux esties de cave
ça donne
en plus Jeff est un estie de cave
il a des grosses fesses
moi je trouve qu'il a des grosses fesses
il a des belles grosses fesses rondes
bubble butt un gros cul Ah oui, fait que... C'est vrai, il y a des grosses fesses. Ben moi, je trouve qu'il y a des grosses fesses. Il y a des belles grosses fesses rondes. Elles sont belles, mais il y a des grosses fesses.
Bubble butt.
Il a un gros cul.
Ben, il a un gros cul.
Puis là, qu'est-ce qui est plat?
Prochaine fois, je vais le voir.
C'est clair, je n'ai pas le temps.
Tu vas juste se reluquer.
C'est exactement pour ce qu'on va faire.
C'est vrai qu'il est beau.
Nous autres, on le garde toujours de dos.
Ben oui.
C'est un gérant qu'on présente de dos.
Moi, hier, j'ai eu l'air d'un imbécile.
Puis c'est Jean-François Daou qui m'a fait réaliser ça. Il y avait
un lutteur que lui, son move, c'était
il avait des petites shorts, il avait une grosse graine,
puis il accotait sa graine
sur le corde. Fait que là,
tu voyais son sac juste accoté.
Puis après, il est venu me voir après, puis j'ai
fait « Hey, j'ai vraiment aimé ça quand
t'as mis ton pénis sur la corde! »
Fait que j'avais juste l'air d'un gars
qui voulait ça. C'est un drôle de premier contact. Oui, mais oui. Hey, bravo! Bravo pour ta grais sur la corde. Fait que j'avais juste l'air d'un gars qui voulait... T'as d'autres de premiers contacts.
Bravo pour la graine sur la corde.
Il fait-tu les fêtes pour enfants, lui?
Ça prend de la place.
Je suis en train d'organiser mon année.
J'allais dire un finisher
qui aurait été bon, mais
après, il dit, j'aimais ça quand tu montrais
ton pénis.
Lui, ça devrait être, tu sais, son finishing move,
ça devrait être des claques de graines.
En arrière de la tête.
Oui, Jake the Snake 2.
Des coups de batte en arrière de la tête.
Non, mais tu sais, que le gars, il est dans le coin,
il saute, il est froid.
Ou la prise du sommeil, mais le gars s'endort.
Mais c'est les répétitions qui seraient pénibles, probablement.
Ils répètent, ces gars-là.
Tu vas soigner le bat en arrière de la tête
pendant une semaine.
C'est beau, la lutte,
mais c'est assez limite.
Ça devient sûrement bleu.
Quand t'as 50 ans, le médecin t'apprend
que t'as des commotions cérébrales.
T'as le Parkinson à cause des commotions cérébrales.
Comment vous avez pogné ça?
Des claques de batte.
Des claques de batte à l'arrière de la tête.
Pas de casque.
Pas de casque.
Mais tu as un casque.
À 50 ans, c'était important.
Un peu de graines à l'arrière.
On ne sait jamais.
On ne sait pas.
On ne sait pas.
Toi, cette semaine, c'est quoi que tu regardes?
Le film.
OK.
Bien, il y a de quoi d'écrit.
C'est quoi qu'il y a d'écrit?
Proz.
Proz N.
C'est le brainstorm qui a mené à ça.
C'est la gang autour de la table
qui font comment qu'on appelle nos films.
Proz.
J'ai un PowerPoint.
La tendance s'étend-ci
dans les grosses villes.
Proz. Proz.
Proz quoi?
Proz N.
Oui, ça, c'est un autre qu'il a rajouté.
On devrait mettre N à la fin.
Un déficit d'attention, c'est ça.
Quelqu'un te parle et tu fais,
mais j'ai tout entendu.
C'est à quoi ta question?
Non, mais là, je suis juste,
je ne sais même pas.
Tu n'as rien.
Non, je ne pense pas que j'ai un déficit d'attention.
Moi, c'est juste des fois que je n'ai pas d'intérêt.
Exact.
Mais c'était quoi ta question?
Je ne me rappelle plus.
J'ai déconné.
Cette semaine,
ça n'a pas rapport avec les commotions cérébrales,
mais quand tu es allé
à Disney World, as-tu fait des manèges?
Es-tu un gars de manège?
Moi, j'aime ça, mais là,
j'étais avec ma fille de deux ans et demi.
Je l'ai promenée à Magic Kingdom.
J'ai pleuré tout le long.
Sans sa fille, tout seul,
comme elle malade dans Walt Disney.
J'avais chaud, je n'avais pas d'eau.
Je pleurais.
Non, mais d'y voir la face,
de faire...
Métimaus!
Cendrillon! Cendimaus! Cendrillon!
Cendrillon.
L'autre fois, je suis allé chez eux.
Elle a mangé de quoi?
Elle a fait... C'est gué de lasse.
Gué de lasse.
Gué de lasse.
Il y avait le cousin à sa blonde qui est gué.
Puis là, nous autres, on riait.
Gué de lasse.
Ah, papa, c'est gay de l'as.
Moi, j'en corrige pas.
Non, mais je trouve ça cute,
ces petits mots-là.
Un pornichon.
Je me souviens plus
des autres mots.
Il y en a un chien.
Un pornichon.
Un pornichon.
On comprend c'est quoi.
Puis pourquoi on dirait
non, non, non, non.
C'est un cornichon.
Un pornichon,
on dirait...
C'est les nappes
à Martin Picard. Des pornichons. Des pornichons. Un pomme-nichon, on dirait... C'est les Naples à Martin Picard.
Des pommes-nichons.
Des pommes-nichons.
Ah ouais, sors tes pommes-nichons.
Sors-moi tes pommes-nichons.
Ah ouais, face de porc, sors-moi tes pommes-nichons.
Sors-moi tes pommes-nichons.
Est-ce que j'écouterais plus une émission pareille, là?
Je l'aime, ce gars-là.
Ah, moi, je l'adore.
C'est un... fin.
Non, mais c'est vrai.
T'es-tu déjà allé au...
Non, j'ai jamais mangé chez eux.
Non, non, mais il nous a déjà amené,
par exemple, ça à la scène,
pendant un gars-là,
nous autres, un lapin vivant.
Ah oui, Chris.
Pour le faire cuire.
C'est un bon numéro, ça.
Oui.
OK.
Oui.
Il était ultra sympathique.
Il avait le goût d'embarquer
dans toute la patente.
Mais je pense que c'est un gros cave, là.
Mais dans le bon sens. Est-ce que j'ai le don d'insul Mais je pense que c'est un gros cave, là. Mais dans le bon sens.
Grosse face de porc, gros cave.
Crise la face de mâle.
Mais c'est un bon gars.
Gros crise de cochon.
Mais pour vrai, je pense que c'est probablement le meilleur chef qu'on a au Québec.
Moi, je pense que oui.
Lui, puis Normand Laprise, du toqué.
Mais le toqué, ça coûte 500 piastres à deux.
Mais lui, ce que j'aime... Tu deux. Moi, je mange plus de viande,
mais à l'époque, je mangeais de la viande.
Ce que j'aimais de Martin Picard,
c'est de la bouffe, c'est gras.
Si on s'en collissait
de tout mourir d'une crise cardiaque,
c'est le même que tout le monde mangeait.
Il a déjà dit en entrevue que lui,
il s'en collissait que son but comme chef,
c'était de faire augmenter de 5%
le taux de cholestérol au Québec.
Je trouve que c'est un investissement.
C'est un beau projet.
Je crois qu'il y a un financement à lui par le gouvernement.
La première fois que j'avais été manger là,
c'est dans le temps que je mangeais encore de la viande.
Puis quand je suis revenu,
j'avais mangé de quoi?
Ma blonde m'avait dit, c'est quoi que t'as mangé?
J'ai mangé des boules de gras.
Je savais pas c'était quoi.
C'est pas trop ce que c'est, mais ça goûte bon.
Des gosses de chèvre.
C'est sûrement quelque chose.
Il m'avait pas trop expliqué c'était quoi.
Ça devait être quelque chose de dégueulasse.
Un cerveau détestable.
Il y a de l'écureuil là-dedans, c'est sûr.
Moi, je suis allé une fois au comptoir
avec mon fils. J'emmenais mon fils
pour sa fête une fois par année.
J'arrive là une fois et je commande.
Il dit, c'est pas sur le menu, mais il y a des intestins
aux tomates. Ah, bien oui.
Je vais y goûter.
Ça a mal été.
Ah oui?
Une bouchée, un la texture.
C'est comme si tu mâchais un élastique.
Puis des intestins aux tomates, ça veut dire
que la vache a mangé une tomate, puis ils l'ont tuée.
Ils ont gardé.
Il y a des intestins naïfs
qui vont manger ça.
Mais tu mets ça dans ta gueule,
il y a comme l'élastique, puis il y a comme des petits filaments.
Dans l'élastique.
C'est comme, mettons, ce qu'il disait,
j'aimerais ça goûter du sperme,
mais je vais le goûter quand il est dans le condom.
C'est gay de l'as.
Oui, c'est gay de l'as.
Mais c'est comme manger un condom,
des intestins.
Exactement, oui, avec un petit goût de pisse.
C'est vrai?
Là, tu viens me chercher.
Non, mais il y avait un petit goût
de pas bon.
OK.
Puis, c'était-tu...
Ça doit avoir coûté cher,
en plus.
Tu sais,
c'est un resto...
À deux, ça coûte,
mettons,
200-queques piastres.
J'aime que pour la fête
de ton gars,
c'était à deux.
Fait qu'il a payé
son affaire.
Je suis invité
à être cochon.
T'amènes au souper,
bien, c'est cher un peu ici.
Bien, oui.
Peintes à plat,
ça sort 25 piastres. C'est tout un peu ici. Peint à plat, ça sort 25$.
C'est tout.
Fin.
Moi, je suis...
Toi, t'es un grand connaisseur de bouffe.
Chaque fois que je suis allé chez vous,
c'est tout le temps bon, puis tu fais bien à manger,
puis ta blonde fait bien à manger aussi.
Moi, je suis triple.
Moi, la place où je suis le plus heureux,
c'est en coupant des légumes.
Ils s'entendent pas parler de ça.
C'est vrai? Comment ça?
Non, ça nous intrigue. Voyons donc.
Comment tu coupes ça, toi, un chou-fleur?
De même.
C'est le fun, hein?
On apprend des affaires.
Coupe-moi un navet.
C'est un navet. Je n'ai jamais coupé rien.
Oui, j'adore ça, faire à manger.
Je trouve ça le fun.
Ça me donne un petit kick.
Qu'est-ce que tu fais?
C'est quoi ta recette?
Je n'ai pas des recettes archi-compliquées
parce que je fais à manger pour les enfants
quand ils reviennent pas mal de l'école pour le souper.
Ça passe de la lasagne à du filet de porc,
une soupe aux légumes, un potage.
J'aime bien ça.
J'ai une vraie femme à la maison, moi.
Mon tablier, le cul à l'air.
Mon chiffon J, puis je suis heureuse.
Comme mon père.
Mais en général, c'est-tu...
Puis tes enfants sont-ils difficiles, sa bouffe?
Non, parce que sinon, c'est des claques sa gueule qu'ils mangent.
Des papiers ou...
Ah, des cris de bonne.
Puis je fais exprès de ce temps-là, je leur sers des escargots, ils font « Ah, tiens, flingue! »
« Pow! »
J'ai pris goût.
C'est où dans la face exactement?
C'est où ce que ça donne.
Parfait.
Non, mes enfants sont pas compliqués, je leur ai appris à au moins goûter à tout,
je leur ai dit, déjà, tu sais, on parlait de l'avion,
moi j'ai peur, j'ai pas le temps de voyager,
je leur ai dit, vous autres vous avez pas peur, vous allez voyager,
vous allez vous cultiver, vous allez arriver a dit, vous autres, vous n'avez pas peur. Vous allez voyager. Vous allez vous cultiver.
Vous allez arriver ailleurs. Vous allez avoir
juste plat. Vous n'avez même pas le goût de goûter à rien.
Fait qu'ils goûtent à tout. Ils doivent être stressés,
par exemple, quand tu les envoies en voyage
et leur père n'est pas là.
Papa, il ne prend pas l'avion, mais vous,
vous prenez le... Papa, il a peur de l'avion. Fait que vous autres, allez en Italie
trois semaines. Allez-y. Et voilà.
Bon débarras. Non, mais c'est vrai.
Non, mais j'aspire à y aller avec eux autres, par exemple,
parce que j'embarque dans l'avion, j'y vais,
mais les pelules ne font pas effet,
puis je passe mon temps à buzzer.
Puis quand arrive l'atterrissage,
je suis extrêmement heureux.
J'ai peur pendant, c'est comme l'inconnu,
le côté poche d'air.
C'est-tu la mort qui te...
Non, la mort, moi, j'ai bien hâte à ça.
Mais c'est quoi, d'abord,
qui te stresse de l'avion? Il y a comme
un côté fatalité là-dedans.
C'est un peu la mort.
Oui, c'est un peu la mort.
Je ne sais pas. Je ne me trouve pas
si important. C'est sûr, je ne pense pas à mon père.
Mais non, il y a une peur. Je ne sais même pas pourquoi.
Je n'ai pas vécu de traumatisme, rien. J'embarque là-dedans.
Je n'ai comme pas le contrôle.
Il y a quelque chose qui ne va pas. Moi, j'avais ce feeling-là au début. Les premières fois, moi, j'embarque là-dedans, j'ai comme pas le contrôle, il y a quelque chose que je veux pas.
Moi, j'avais ce feeling-là au début, les premières fois, moi, j'ai eu peur de l'avion,
début 2000, j'avais peur, puis, mais quand, moi, c'était surtout, j'avais peur de mourir
puis que ma blonde soit dans la marde, fait que chaque fois que je prenais l'avion avec
elle, c'est comme si je meurs, on est là, on est là aussi, fait qu'on s'en calisse,
mes problèmes sont réglés.
Puis tu sauves ses assurances. Non, c'est ça.
Mais ça doit être...
Avoir des enfants,
ça doit être ça qui fait peur aussi.
Oui, ça ajoute une coche, mais en même temps,
avec eux autres, je ne leur exprime pas ma peur.
Je leur exprime le contraire.
Je leur rationalise.
Tu ne peux pas foyer ton kit.
On va tous mourir.
C'est là que ça finit. Non, OK je le rationalise. — On va tous mourir! — Mais non, c'est ça!
C'est là que ça finit!
— Non, OK, je craque!
— Les bonhommes, il n'y en aura plus!
— Il n'y aura plus rien!
Dans l'abri anti-nucléaire!
— Quand ta maman est morte et que tu t'avais dit
que tu allais la revoir, c'est pas vrai, tabarnak!
On va tous brûler!
— Quand l'avion de la vie va péter,
tu vas te dépressuriser!
— Ça passe.
Un trou de même dans l'hublot, tu passes.
Si moi, je survis,
je vais te manger.
Ça, ils ont été forts.
L'équipe de soccer qui a mangé
leur famille.
Ah oui, les survivants.
Le film Alive.
Ils ont commencé par le trancher les fesses.
Il est malade, ça.
Le jambon.
Non, non, oui, c'est ça.
On revient à Martin Picard.
C'est ça qu'ils ont trouvé.
C'est ça qui est beau que...
Et aux fesses de notre gérant.
C'est le fun que le crash a eu lieu avant le 11 septembre 2001.
Il y avait encore des couteaux assez aiguisés pour trancher des fesses.
Oui, dans l'avion.
Parce qu'à ce temps-là, pour vrai, couper une fesse avec de la pâte à dents.
Non, mais c'était
une équipe de rugby.
Tous les joueurs de rugby ont un pognard sur eux autres.
C'est connu.
Des esties de mains.
Me t'arracher le cul.
Comme dans Indiana Jones,
quand ils arrachent le coeur,
eux autres, ils arrachent des culs.
C'est des arracheux de cul.
Les maudits joueurs de rugby. Il y en a-tu dans la salle? Des arracheux de cul. C'est des arracheux de cul, les joueurs de rugby. Ah oui, les maudits joueurs de rugby.
Il y en a-tu dans la salle?
Des arracheux de cul.
Ce n'était pas des joueurs de soccer, c'est des rugby.
Soccer, je pense.
C'était-tu soccer?
OK, ça a défait toute ma théorie.
Calisse!
Tu vois que ça a mis un fret, pareil.
Non, tout le monde cherche.
Ce n'est pas un fret.
Soccer ou rugby?
Tout le monde se rappelle qu'il était dans la maille.
Il avait les lèvres gercées.
Il avait-tu un ballon de soccer?
Je ne sais pas ce qu'il goûte plus délicieux.
Un joueur de soccer ou un joueur de rugby?
Eh ben, soccer, un danseur.
Plus délicieux?
Moi, je règle le soccer.
Le rugby, il est calé.
Il a goûté fort.
Comme du bleu.
C'est vraiment du bleu.
Ils sont plus musclés.
Ça doit être de la tiraille.
Ça revient au boyau aux tomates.
Ça revient à des élastiques.
Des élastiques.
On y goûtera bien maintenant.
La première bouchée,
est-ce que ça doit être
reçu du système de fer?
Je suis rendu là.
Peut-être que ton cerveau fait
tellement crissement fin. Moi, là-bas, par exemple, je suis rendu là. Mais peut-être que ton cerveau fait « J'ai tellement crissement faim que... »
Moi, là-bas, par exemple, je me serais obstiné.
Je me serais entêté à manger de la neige, je pense.
Moi aussi.
Ça aurait fait un bien meilleur film,
quand il y a un personnage qui mange de la neige.
Il n'en a plus.
Il n'en a plus après sa montagne.
C'est le seul survivant.
Il est gros.
Asti, oui, il est large.
Il y a un coup qu'il a mangé toute la neige.
Il y a une rue qui se rend jusqu'à la ville.
Il y a un dépe.
Il y a un petit épanouissement pas loin.
Ils n'ont pas cherché.
Tout était là.
Moi, pour vrai, j'aurais peur de ça.
De manger mon...
Mettons de me dire pendant trois semaines.
Non, je ne le mange pas.
Je le mange et après, je découvre
que je suis
à deux kilomètres
d'un Kentucky.
C'est un esti de dilemme.
C'est un pensée si bien.
Moi, je pense que ton ami se digère mieux
que le Kentucky.
Si tu le manges vite, c'est plus frais.
C'est un sushi de cul.
C'est un sushi, ce n'est pas grave.
Un sushi de cul.
C'est une question de temps. C'est pas grave. Un sushi de cul. De rugby ou de soccer.
C'est une question de temps.
Quand est-ce que je le mange?
Plus il est vieux, moins il est bon.
En plus, il ne devait pas avoir d'épices.
C'était juste cuire ton chum au lighter.
Je ne sais pas s'il prend la neige
et il fait comme le sorbet.
Il laisse tomber un peu de sel.
J'ai faim, moi.
Ah oui?
Mangerais un cul.
C'est bizarre.
Ça se dit bien.
Si j'ai faim, je mangerais un cul.
C'est pas Martin Picard qui nous ferait ça, un cul.
Le cul, ça doit être le pire bout.
Moi, je ne serais pas capable de manger.
Je pense que c'est un gros jambon.
Du bacon de cul.
Sauf que, imagine,
tu as ton ami,
c'est le numéro 17 de ton équipe,
que tu fais,
OK, je vais le manger.
Mais avant de le manger,
tu lui baisses les culottes.
Là, tu vois sa vieille poche
se faire pourrir.
C'est un repas bizarre.
C'est un repas fucking bizarre.
Lui, il n'est même pas en train de décomposer
parce qu'il est un peu gelé à cause de la neige.
Non, il est encore un peu chaud.
Il est mauve.
Il faut que tu le manges tartare.
Un tartare de cul.
Un tartare de cul.
On sait qu'on est rendu.
Mais vu que c'est la neige...
Il est frais.
Il est frais.
Tu taches le bleu.
Faudrait bien essayer ça.
On s'enroule dans le soccer, on se tue dans un
avion, puis on se mange le cul.
On passe proche de se tuer. On passe proche.
On passe tout par un arrière.
Toutes les bans tombent.
Ça serait le fun, ça.
Parfait quand t'as peur de l'avion. T'amèneras ta petite.
C'est comme à Walt Disney, ça.
Oh! Un sushi de cul!
C'est comme à Walt Disney, ça.
C'est malade.
Oh, un sushi de cul.
Ça boit.
C'est de même que je pensais que ça allait virer vu qu'on boit l'après-midi.
C'est ça, hein?
Je m'attendais à ça.
Brasser du bocal.
Bien.
Bien.
Hé, merci.
Merci pour les encouragements.
Tu veux-tu...
Moi? Votre copieux. Tu veux-tu... Moi?
Votre copeur.
Tu peux-tu amener...
Bisous!
Bisous!
Tu peux-tu amener un...
Il fait rien.
Un rum coke.
Botch.
Oh, il a les culottes à terre.
Oh!
Puis il se frotte sur un snake 48-12.
Ouais.
Oh, des fils.
Ah oui.
Tu voudrais-tu passer aux questions, Mike?
Hein? Non? Non, mais
ça fait juste une heure. Ça fait combien de temps?
Ça fait une heure et dix.
Je ne sais pas si vous le saviez, mais c'est dix-huit heures.
Ça fait une heure et dix
et vingt.
Ça fait une heure et sept.
Je pensais que c'était dix-huit heures.
Oui.
Une heure et sept.
On passe à travers tous les sujets.
Au complet.
Moi, c'est ça que...
À ça, on dirait que le monde a changé là-dessus.
Mais dans le temps, plus tu faisais long,
plus le monde voyait ça
comme de la qualité.
Je me rappelle mes premiers One Man Show,
le monde faisait juste 1h40.
J'en aurais pris pour 3 heures.
Oui, c'est ça. Maintenant, c'est assez souff aurais pris pour trois heures. » Oui, mais non. C'est ça le plus cauriste.
Non, maintenant, ça s'essouffle.
Hein, bisous?
Non, non, on ne répond pas.
Je fais des airs qui droguent le concombre.
Non, non, ce n'est pas grave.
Ça pue, là.
Non, oui.
Tu as-tu... Non, mais ça sent rien.
Non.
Je ne pense pas.
Elle veut que tu rotes dans le micro.
Non, elle n'est pas polie.
Non, non, non.
Il y a trop de monde et tu as le frotte à l'heure. Je suis un vieux monsieur. Moi, je suis pas. Elle veut que tu rottes dans le micro. Non, c'est pas poli. Il y a trop de monde et t'as le frotte à l'heure.
Je suis un vieux monsieur, je suis fucking poli.
Ah oui, bientôt tu vas être vraiment vieux.
Ben.
Pis là tu vas rotter sans t'en apercevoir.
Non, j'essaie de disper.
Ça sent le concombre.
Ça sent le calice.
J'aime ça que t'as les rottes les plus lents
pis les moins discrets que j'ai vus de ma vie.
Control.
Pendant...
Je rôte en Louis XIV.
Il se donne un style.
Le roi va rôter.
Oui.
Tu es un distingué des années 1400.
Je suis un distingué de lais de 14 ans. J'étais un distingué
de la haute bourgeoisie française.
Le rote du roi.
Bon, je viens de la fin.
Fais-la pas, Golis.
Non, refais-la, refais-la.
Yann, il rote.
Toi, tu rotes. Dans ton podcast,
souvent, je t'entends roter.
Oui.
Comment ça, tu fais ça,
puis tu dis tout le temps café vrac.
C'est mon commanditaire.
OK.
Avec quoi?
Il doit être trippé d'entendre « ah, café vrac ».
Mais Yann, tu fais-tu des hosties de rôtes ou des rôtes?
Il y en a de toutes les sortes.
Mais c'est pour développer un réflexe de Pavlov.
Je me disais un moment donné,
ça m'est arrivé cette idée-là avec, voyons,
Rocky Bellesoreille qui rôtait,
puis il disait de la harpe. Je pense qu'il rôdait. Il disait « de la harpe ».
Je pense qu'il y en a un qui rôdait « de la harpe ».
Puis là, je me disais…
Puis c'était rendu comme la joke.
Dès que tu entendais rôder, c'était « de la harpe ».
Puis là, j'ai repris ça.
J'ai fait comme…
Imagine que tu es une entreprise.
À chaque fois qu'il y a quelqu'un qui rôde, il pense à ton entreprise.
Je me suis mis à rôder.
C'est une prise de belle pub.
Oui, oui.
C'est vrai que ça fait… L'entreprise roche. Pourquoi? Oui, oui. Ça fait quatreait que je m'y suis mis à rôter. C'est une prise de belle pub. Ben oui, c'est vrai que ça fait...
L'entreprise Roche, pourquoi?
Oui, c'est ça. Ça fait 4 ans que je le fais.
Fait que là...
Plus.
Il m'envoie du café.
Ah, c'est-tu que t'es... Qu'est-ce que t'es pauvre?
C'est-tu que...
Hey, je veux te commander.
Ah ouais, tu vas me payer?
Non, non, non, non, non.
T'aimes-tu ça, le café? Pas vraiment.
Je vais t'en envoyer par aile.
Mike, Vincent,
je te pose la question.
Vas-y, laisse-toi y aller.
T'es un esti de bon roteur.
Moi, je rote solide. C'est pas très agréable.
T'as rôté beaucoup d'affaires.
Ça s'est mis à me faire peur, à un moment donné.
Je faisais ça pour faire rire de Jostobai,
qui, lui,
il rit aux larmes.
Tu es tellement con.
Oui.
Là, ça va faire ce petit show mauvais de TV.
Rote.
Oui, c'est ça. On dirait qu'il faudrait que je rote.
Mais je te dis, je me suis mis à avoir peur.
À un moment donné, l'un des oncles à Sébastien
qui rotait assez souvent,
c'est comme...
Il y a quelque chose qui a lâché
et il rotait en parlant. C'est là que ça m'a
comme inspiré. C'est arrivé
pour vrai. Ils disaient des affaires, mais là, je trouvais
ça malade. Moi, il y a un homme qui rote en parlant.
Je me suis exercé, mais après,
je me suis dit, si je reste jamais de même, après,
c'est quoi, ce personnalité publique-là?
Le gros malade qui rote
en parlant. Dans les entrevues sérieuses,
genre à Jasmin, oui, mon frère est mort.
Au restaurant.
Tu deviendrais
la perfection de l'absurde.
Je suis tellement pas loin.
Je suis tellement juste un rote d'être parfait,
dans le fond.
De devoir accepter un prix en pleurant, mais en roteur.
J'adore ça.
Aux oliviers.
Il faut faire enfin le respect.
C'est un nigger au véhicule c'est pour ça que je me garde ça
pour la fin de carrière
ça va pogner de quoi quand on va avoir les cheveux
tous en argent
ça va être écœurant
je sais pas pourquoi
j'ai eu un flash de
la poune à devéroter en tabarnak j'ai eu un flash de... La poudre, elle devait roter en tabarnak.
J'ai fait un sketch avec la poudre.
Ah oui, c'est vrai.
En studio de radio.
Elle rotait-tu?
Non, mais elle est arrivée...
Pour vrai, c'était une minuscule personne.
Ah oui.
Puis elle est arrivée et elle a demandé deux choses.
Il était 10 heures le matin, elle a demandé
« Tu vas avoir une cigarette et une bière chaude? »
Elle voulait une bière chaude à 10h le matin.
Oui, oui.
Une cigarette.
Quand elle a pris sa gorgée, elle a-tu fait de la rosée douce?
Non.
Le sketch commençait avec un son d'effet dans ses écouteurs d'une porte qui rouvre.
Elle disait, « Hey, hey, la poudre. »
Qu'est-ce qu'elle disait, « la poudre »?
« Poudre ».
Elle disait, « J'aime mon public ».
C'est ça. Elle disait le mignon.
Le bruit de porte, ça faisait « Ben, ben, Mme Poune ».
Les autres, on aime ça imaginer qu'elle dit « J'aime mon pubis ».
Bon, ça, là.
Puis là, on lui mettait le son, mais elle parlait tout le temps.
Elle prenait une puff de cigarette.
On disait « Attention, Mme Poune ».
C'est drôle de dire ça, hein?
« Mme Poune ».
C'était Rose Ouellet.
C'était pas Mme Ouellet.
C'était Mme Ouellet.
Moi, elle disait « Mme Poune ».
« Mme Poune ».
Moi aussi, bizarre.
« Mme Poune ». C'est bizarre. C'est un barnaque. Qu'est-ceme Ouellet? C'était Mme Ouellet, moi, il disait Mme Poune. Mme Poune. Mme Poune.
Tabarnak.
C'était lousse à cette époque-là.
C'est comme avoir Daniel Lemire qui fait...
Oncle Georges.
Oncle Georges, tu fais, excusez-moi, M. Georges.
C'était quoi son personnage, la Poune?
Un vieux matelot?
Un petit matelot.
Elle faisait un vieux matelot.
C'est un petit matelot qui disait « wow, wow, wow ».
Et c'était lourd, ça se dit, c'était pas lourd.
Je ne peux pas croire qu'à ce temps-là,
des fois, on a de la misère à être accepté.
Le monde acceptait ça.
Elle a foulé des salles.
Elle a foulé des salles.
Elle faisait des temps chauds.
Mesdames, messieurs.
La Poune.
La Poune.
Ça n'a pas de sens.
On ne se rappelle même pas de ce qu'elle disait.
« Wow, wow, wow ». Oui, malade. J'espère qu'elle disait juste ça deux heures de temps. Je vais dire ce qu'elle disait. Wow, wow, wow.
Malade. J'espère qu'elle disait juste ça deux heures de temps.
La pounne, ça sonne quasiment comme un insulte.
La pounne.
C'est traité de quelqu'un de...
Tu fasses le cochon, on est proches, là.
Martin Picard, c'est une pounne.
La pounne.
Il pourrait s'appeler le pounne.
Le pounne.
Mais la pounne,ne Moi j'ai eu
Bisous s'en vient avec
Il commence à être dangereux
Il a les yeux sarmés
Le petit gonne dans le fond du soulier
Moi je buvais de la bière pour pas être saoul
Mais après j'ai réalisé
Il faut pas que t'en bois 60
Là je serais comme On s'en bois 60. Là, tu serais comme mon sang-goliste.
À partir de 50, à un moment donné, c'était un cue.
Va chier! Bisous.
Hé, Chris, la foire est poignée.
Hein?
Il est en Chris après bisous.
Non, moi, ça se peut que je me batte à la fin du podcast.
Ah non!
Hein?
Ben voyons!
Génial!
Je me sens super craqué.
La dernière fois que tu t'es battu,
ça devait être en deuxième année.
J'avais assez peur de me faire péter les dents.
Je n'aurais jamais fait ce métier-là.
Je me tenais drette,
drette, drette.
Mais le pire, puncher des dents de même,
ça doit faire mal.
Ça doit être coupé.
Oui, mais c'est intimidant.
C'est vrai, à un moment donné, nous autres, c'est un des remords
qu'on a dans notre vie. On avait peut-être 14 ans,
14-15 ans, puis on envoyait chier
un pick-up, moi et Sébastien, barbu.
Puis un de nos chums, qui avait l'air
assez vieux, Dominique, dans ce temps-là,
il était plus jeune que nous autres, mais il avait l'air
d'un genre de holdee. Il travaillait genre
à GM. Mais les trois
dans la rue, il y a un pick-up pour faire un start.
On fait « Hey, va chier ». Finalement, il se retourne
et c'est des gars dans vingtaine
qui ont le goût de nous casser la gueule.
Moi et Barbu, on a laissé
notre chum Dominique se faire tabasser
pendant qu'on était à côté.
Il l'avait bien fait.
Parce que lui, il savait se battre.
C'était un remords, puis on l'a déjà
dit, puis on s'est excusé. Puis en même temps, il s'est pas fait
tabasser longtemps, parce qu'ils ont bien vu, Chris, on avait 13.
Mais il y a vraiment
un gars qui est arrivé proche, il a levé le poing en me regardant
en face, puis il a changé d'idée.
Il a dit, « Chris, lui, si je pète la face,
il n'y a plus rien. »
Fait que voilà.
Je me battrai pas.
Je ne me bats jamais.
Toi, c'est quand la dernière fois
que tu t'es battu?
Ça fait sept ans.
Ça fait sept ans?
Oui.
Chris, ça fait que tu étais
dans la quarantaine.
J'ai été chanceux en tabarnak
parce que je n'aurais mangé
une solide.
J'étais dans un bar,
un peu défoncé.
Il est deuxh du matin,
je veux sortir aller chercher mon manteau.
La fille trouve mon manteau dans le vestiaire.
Fait que j'en ai qu'un, l'ICL.
Une heure.
Regarde, j'ai pas ton âge.
Non, non, mais fait que là,
t'essayes de sortir.
Elle trouve pas mon manteau, mais je le vois.
Puis là, elle dit non.
Faut t'attendre jusqu'à 3h du matin. Il est genre 1h elle dit « Non, il faut t'attendre jusqu'à 3h du matin. »
Il est genre 1h30, 2h. Elle dit « Il faut t'attendre jusqu'à
3h, puis le manteau
qui va rester, je vais te le donner. » Je fais « Euh,
j'aimerais ça m'en aller. »
Puis après, elle sert d'autres manteaux.
Je saute par-dessus le comptoir. Je vais chercher mon manteau.
Le doorman, il voit ça. Il me pogne
puis il me crise dehors.
Par un bout de collet.
Par tes dreads, c'est pour ça que tu les as vus? Bien, un bout de collet puis un bout de cul, puis il me crise dehors. Par un bout de collet. Par tes dreads, c'est pour ça que tu les as vus?
Ben, un, oui.
Un bout de collet, puis un bout de cul,
puis il me sort.
Ciao!
Puis là, moi, il ferme la porte,
puis là, je recongue dans la porte,
puis je fais...
Ah, c'est correct, là.
J'ai appris ma leçon.
J'ai appris ma leçon.
Dès qu'il roule la porte,
je pogne ça ici, puis je fais...
Pow!
Dans le fond, puis il tombe sur le cul dans les marches.
Oh!
Puis c'est des marches qui allaient vers en bas?
Oui, comme ça. Fait que là, il est sorti dehors, puis il s'est roulé dans la porte, je lui ai fait sur le cul dans les marches. Puis c'est des marches qui allaient vers en bas? Oui, comme ça.
Fait que là, il est sorti dehors, puis s'est roulé.
Je lui ai fait, oh, je vais mourir.
Fait que tu t'es battu contre un doorman?
Bien, on a un peu fait des affaires de même.
Puis là, il est arrivé des policiers.
J'ai fait, oh yeah, c'est Steve Chubini.
Parce que je mourais la moitié de la face ouverte
à moins 20 dehors en chemise blanche.
Christ, que ça n' ça aurait pas été chic?
Ça aurait été beau.
Ça aurait fait un peu Fargo.
Ben oui.
Pis ça, en plus, t'étais avec qui ce soir-là?
Avec Marc Labrèche.
T'étais avec Marc Labrèche?
Ouais, c'est ça.
Pis Marc Labrèche, il t'a-tu aidé?
Non, il était dans le bar.
Je pense que Marc était dans le bar.
C'est moi qui ai décidé de partir de mon stade.
C'est lui qui devait avoir ton coupon
et il trouvait ça drôle que tu étais dehors.
C'est mon genre de joke.
Ça y apprendra.
Je suis un petit peu mal à l'aise,
mais j'ai encore envie.
Ah non, tu peux y aller.
Vas-y, vas-y.
Bisous.
Jason, tu peux venir remplacer...
Bisous. Es-tu parti venir remplacer... Bisous!
Es-tu parti, coudon?
Qu'est-ce que tu pisses beaucoup pas?
Ben oui, tu pisses trop.
Non, laisse-le là.
Sinon, tu vas pisser là-dessus et tu vas salir les bancs.
Bon, ben voilà.
On n'est pas nés avec un homme qui pisse sans arrêt.
On va le perdre, la prostate, ça sera pas long.
Mais vous autres, c'est ça, dans le temps que vous
travaillez avec
Alib TV, ça c'était une liberté
c'était vraiment libre pour vrai
oui, ça avait pas de bon sens, le mandat c'était
d'aller le plus loin qu'on pouvait
il y a eu des chefs d'oeuvre là-dessus
des affaires qu'on a pas gardé mais entre autres
un entrevue avec Léopold Lauzon
qui est comme un genre de
mathématicien.
On a passé une partie.
Hein?
L'économiste, exactement.
Écoute, on a perdu le fil.
On ne sait même plus c'était quoi.
Lui, je l'ai déjà compté,
mais le matin même, il nous a dit,
ça ne me dérange pas, vous m'appelez Caca.
Oui!
Il dit, mais il y a plusieurs de mes gens qui m'appellent Caca.
Puis là, on a fait, oh wow, ça va être malade.
Puis avec Pierre, on a fait, qu'est-ce qu'on fait? Il a dit, on fait a plusieurs de mes gens qui m'appellent Caca. Puis là, on a fait, oh wow, ça va être malade. Puis avec Pierre, on a fait, qu'est-ce qu'on fait?
Il a dit, on fait ce qu'on veut.
C'était rare.
Du coup, on avait un escabeau de 20 pieds, puis j'étais en haut de tout ça.
Je criais, Caca!
Puis lui...
Là, j'étais content.
Après, tu sais, dans le temps, c'était compliqué d'écouter des affaires sur les TV.
C'était-tu dur, ça?
Pas de sens.
Même moi, j'avais du corps vidéotron.
Puis même à ça, ça me prenait
quatre heures à se voir.
Non, on travaillait là et on n'était pas capable de regarder ce qu'on faisait.
Puis là, il y a quelqu'un qui a mis
pas mal toutes vos affaires sur YouTube.
Ça fait que c'est le fun. L'autre fois,
j'ai écouté plein d'affaires en rafale
de vous autres que je n'avais jamais vues.
Il y a du stock.
Mais vous autres, c'est ça. Puis je vous en parle
à chaque fois que je vous vois. Ça vous prend un podcast. Il y a quelque chose. Mais vous autres, c'est ça, puis je vous en parle à chaque fois que je vous vois.
Ça vous prend un podcast?
Il y a quelque chose qu'on aimerait faire.
Merci!
Ça serait malade, je le sais. On aimerait ça en plus.
On est en train d'en parler tranquillement. J'en parlais justement
à Pierre tantôt. Il y a un sketch
qu'on a fait à LibTV. C'était des
curés qui jasaient d'actualité
en fumant des battes autour d'une table dans l'église.
Je me disais, « Chris, c'est peut-être un bon podcast, ça. »
Ça serait peut-être drôle, des podcasts en personnage.
Oui, légèrement.
Garder le ton, de jaser d'affaires et d'autres, comme on fait,
mais juste avec le « room » d'une église.
Oui, si c'est des curés qui vont parler de... mais juste avec le room d'une église. D'une église?
Nous autres, on a défoncé une statue qui vaut 40 000 $ dans une église.
Pour un sketch.
Pour un sketch. On l'a su après.
C'est quoi?
C'est parce qu'il jouait à la game de quilles.
C'est une statue?
Oui, on faisait un sketch
qui s'appelait plus que du bowling
où on lançait des boules de quai.
Dans un allé.
Un corridor.
Dans un corridor et on défonçait des armoires avec la boule.
Mais ça finissait
qu'on défonçait
une poupée qu'on avait trouvée dans l'église.
Probablement historique.
Il devait valoir 15-20 000 $.
On avait demandé...
C'était un accessoiriste?
L'accessoiriste. on va tous mettre ça sur le dos
Ben oui c'est lui, c'est un esti de malade
Un malade ce gars-là
Mais on a shooté au ralenti
Puis lui il pétait la poupée comme à terre
Il pétait les plombs parce qu'il n'avait pas assez de poids dans sa game de quilles
Puis la personne a fait
Chris on vient de péter une poupée à 15 000
C'est le curé que vous l'avez dit
Ou il y avait quelqu'un
Quand on l'a vu péter on a fait
Ah c'est-tu il va avoir 15 000
C'est un esti Mais je pense que c Quand on l'a vu péter, on a fait, ah, c'est-tu, il va y avoir 15 000.
C'est un esti.
Je pense que c'est l'accessoiriste, en fait, la fille,
elle connaissait un peu les encans, puis elle nous a dit,
hey, cette poupée-là, vous venez de casser, d'après moi,
c'est quelque chose... Peut-être que ça vaut des sous.
Désolé, on s'excuse, le patrimoine.
Le sketch,
était-tu drôle, au moins?
Ben, moi...
Non, pas tant
Pas tant
Il y a quelqu'un qui a dit non, c'est la seule qui le veut au Québec
On va se fier sur elle
C'était tellement compliqué de voir ces sketchs-là
C'était compliqué
C'était tellement compliqué
C'était tellement compliqué
C'est ça que je disais pendant que tu pissais
Pas la deuxième fois, mais la troisième fois
Oui
C'est que je disais.
Vous aviez de l'air d'avoir
une vraie liberté, mais
personne ne voyait
vos affaires.
Parce que là, il fallait que tu ailles Vidéotron.
Il y avait un code.
Ça prenait ton nom d'utilisateur et ton mot de passe.
Vidéotron, le mot de passe,
il est X, Y, 9, 12.
Toutes ces compagnies-là,
chaque fois,
tes appels,
ils sont comme,
OK, juste,
je vais être sûr,
c'est toi.
C'est quoi ton numéro
d'assurance sociale?
Tu dis,
c'est quoi ton adresse?
C'est quoi ta date
de naissance?
Ta mère est morquante.
Ta mère est morquante.
Oui,
c'est quoi ton IP?
Je ne le sais pas.
Ah,
on ne peut rien faire.
Tabardant.
Si le voleur, il sait le prénom à ma mère, il mérite ce type. Ben, on ne peut pas nous aider. C'est le voleur,
c'est le prénom à ma mère.
Il mérite...
Prends le nip.
Mais là, c'était ça,
le nom d'utilisateur, le mot de passe.
Après ça, sur LibTV,
il trouve la série
et après ça, il clique dessus.
Il y avait peut-être honte.
Une fois qu'ils ont dit, faites ce que vous voulez,
ils ont fait, il ne faut pas que ça soit vu. »
Il y a un sketch qu'ils ont coupé.
Oui, il y a un sketch.
L'ascenseur.
L'ascenseur.
Oui, c'était éveil aussi, l'ascenseur.
Un brin.
Prendre l'ascenseur avec les denis, une femme,
puis on se mettait à faire du Joker dans Batman,
à quiller, à sortir un ballon,
à jouer au ballon dans l'ascenseur.
On a poussé dans sa sacoche.
On a poussé dans sa sacoche.
C'est ça une affaire de caméras cachées ou c'est un drôle? Non, c'était comme il y avait des caméras té ballon dans l'ascenseur, on a pissé dans sa sacoche. C'est ça une affaire de caméra cachée
ou c'est une agresse?
Non, mais c'était comme il y avait des caméras témoins dans l'ascenseur
pis eux autres étaient dans l'ascenseur pis c'était...
Mais la fille que tu pissais dans sa sacoche...
Non, c'était une comédienne.
C'est pas juste une pauvre madame qui s'en va.
Non, non, non.
Une vieille madame qui marchait genre
pis dans la tête.
Non, non, non. Elle, elle a eu du fun,
mais ça paraît pas à l'écran.
Avec quelqu'un qui avait beaucoup trop de cheveux.
Oui, il était du bon, lui.
Ils le tiraient au gun d'en face.
Oui, on tirait le gars.
Puis après ça, il disait, non, ça c'est trop éveil.
Ça reculait, ça revenait.
Puis un couteau.
Oui.
Il le rangeait à la gauche.
L'acteur trouvait ça trop éveil, se faire tirer dans le ventre?
Non, non, non.
Non, non, non, lui, il aimait bien ça. Qui trouvait ça trop éveillé de se faire tirer dans la place. Non, non, non. Non, non, non.
Lui, il aimait bien ça.
Le TV trouvait ça trop éveillé.
C'était nous.
Je pense que tout le monde, quand on a l'âge TV,
on lui a tiré une balle dans la tête.
On va lui couper la gorge dans la place.
OK.
C'est un peu plus ça.
Il avait une liberté, mais celle-là est allée un peu loin.
OK.
Puis, il y a-tu des affaires...
Tu sais, comme là, toi... Chris t'as pogné un fixe
Non mais oui, moi je fais pas de scène
Fait que je vois plein de monde pis je regarde le monde
J'suis comme, Chris c'est malade
Mais c'est vrai
Comme là, toi t'as arrêté de faire de la télé
Tu commences un podcast
C'est où que tu te vois
Là ça sonne comme si t'as une entrevue pour une job
C'est où que tu te vois? Là, ça sonne comme si c'était une entrevue pour une job. C'est où que tu te vois dans deux ans?
Oui.
À Val-Alain.
C'est vrai?
Non, je ne sais pas. Aucune idée.
Ton but, c'est-tu d'essayer de bâtir ton podcast?
C'est-tu faire des séries web?
Non. La tête, c'est comme le podcast.
Devenir peinturier. Peindre?
Pas peinturier.
Peindre.
Il fait des crises de
belles toiles.
Il s'occupe de ma blonde qui peint.
J'aimerais ça devenir un gérant
de ma blonde pour vendre
ses toiles. Un pimp de peinture.
Un pimp, est-ce que c'est ça? Un pimp de toile. Non, mais pour vrai.. Un pimp de peinture. Un pimp, esti. Un pimp de toile.
Non, mais pour vrai.
Fais-moi une toile, esti.
Non, mais je trouve ça beau ce qu'elle fait.
Oui, c'est vraiment beau ce qu'elle fait.
Changer complètement de métier.
Pourquoi pas? D'être dans l'ombre.
Comme toujours.
Bien oui.
C'est beau.
C'est beau.
J'ai aimé ton regard.
Là, j'irais peut-être avec des questions
avant qu'on perde le temps.
Je pense qu'il y a quelqu'un
qui va se promener avec un micro.
Je suis encore là.
Mais Yann, on a-tu...
Oui, Michel, il y a le micro.
Je pense que c'est Michel
qui s'en vient avec le micro.
Michel va faire la job de faire la marche.
Ah, Mike!
On a oublié.
Parce que Michel nous avait demandé de te dire
qu'il allait avoir des questions dans la salle
et que lui allait aller avec un micro.
Mais on était en train de parler de notre projet
de bander pendant le podcast.
On t'a oublié.
Avant les questions,
je vais encore replugger le commanditant. Le commanditant de cet épisode-là,
c'est le Comédia Fest.
Il est bien fin.
Sushi de fesses.
Bravo.
Bel événement.
À Québec.
Qui t'invite à voir
La vie en drôle du 8 au 19 août.
Chris l'a bien dit.
Je sais comment aller. Chris l'a bien dit. Oui, Chris, je sais comment aller.
Chris, tu lis bien.
Parcours humoristique, village ludique et festif,
nouvel espace gourmand et plus de 300 spectacles
au cœur de la ville de Québec.
Est-ce que vous faites le comédien cet été?
Absolument.
Oui, on est sur deux galas.
On a un show aussi extérieur.
Puis on anime un petit show,
l'humour des quatre,
quelque chose comme ça.
Je ne me rappelle plus du titre,
mais on est pas mal là.
Moi, cette année,
je vais faire un show caché.
Ils font ça chaque année.
Je ne suis pas supposé de le dire.
Tout le monde paye.
Ils sont cachés.
Cachés ou cachères?
Non, c'est ça.
Ils font, j'espère,
c'est pas un rabbin.
C'est un rabbin qui va me compter des chocs. Non, c'est un show caché ou caché? Caché. Non, c'est ça. Ils font, j'espère, pas un rabin. C'est un rabin qui va me compter des choses.
Non, c'est un show caché.
Je fais ça.
Je vais faire un gala, je ne sais pas lequel.
J'aimerais faire le gala de Patrick Huard.
C'est un public qui peut aller te chercher plus que Véro, peut-être.
Puis aussi, j'aime Patrick.
Ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu.
Il y a Fabien Cloutier aussi
qui a l'air mal galope.
J'ai oublié de mentionner tantôt.
Si vous aimez les rabais,
il y a une pré-vente
à 35 piastres
jusqu'au 30 juin.
Faut-tu acheter les lunettes cette année pour aller voir les shows là-bas?
Non, faut acheter le Grand Théâtre.
Pas cher.
Au complet, c'est pas cher.
Tu vas sur comediophest.com
Cool.
Puis à chaque fois
que tu fais Comediophest,
tu passes à Sushi de cul
puis de...
Avec les fesses.
C'est pas malade,
le festival Sushi de cul.
Sushi de cul.
Ça va venir.
Ben oui.
À Val-Alain.
Excusez.
À Val-Alain.
Fait que là,
j'irais avec les questions.
Désolé.
Excuse-toi pas, mon amour.
Voyons donc. Oh, on a une question. Bonésolé. Excuse-toi pas, mon amour. Voyons donc.
Oh, on a une question.
Bonsoir.
Oui, bonsoir.
Il a failli avoir un applaudissement.
Oui.
C'est quoi ton nom?
Moi, c'est Philippe.
OK.
Salut, Philippe.
Merci.
Moi, ça serait...
Merci.
Ça y fait bien, en est.
Bien, bienvenue.
Ça y fait bien.
Tu dis tout ça quand t'arrives au Harvey. Ils se font « Bonjour, je peux-tu prendre votre commande? »
Félic!
Ben merci!
C'est un minimum que j'apprécie.
OK.
Mais, ma question est pour Pierre, en fait.
Hé!
T'es qui, toi?
Tu te félicites, toi?
Ouais, Pierre! Qu'est-ce que tu fais là, tabarnak fais ça, toi? Oui, Pierre.
Qu'est-ce que tu fais là, tabarnak?
Ben, c'est ça.
Non, c'est quoi ta question, pour vrai?
OK, attends un peu.
OK, Vincent, on connaît des Togolais.
Oui.
Christo, t'es malaisant. On devrait plus te donner un micro.
Non, non, non, parfait.
C'est parfait.
C'est une bonne question.
C'est une bonne question. Non, mais en non, parfait. C'est parfait. Non, non, non. C'est une bonne question.
C'est une bonne question.
En fait, c'est ça. C'est que, depuis le début,
on t'écoute parler. All right, c'est qui?
C'est qui? Mais t'es-tu obligé d'être quelqu'un pour être intéressant pis drôle?
Call this? Non, exactement.
Bon, ben, c'est ta réponse.
Moi,
ma question... Est connue. Je suis pas
connu. Pas grave. La noté est connue.
Oui, tu l'as dit d'un coup, les derniers contrats que t'as faits,
mais c'était quoi ton premier contrat?
Puis après ça, où est-ce que ça t'a...
Mon premier contrat, c'était à Québec dans les années 80.
Je sais pas quoi, là.
C'était avec... J'ai écrit un show de TV d'une heure
pour Sweet People et Alain Morisseau.
Oh! Wow!
Oui, oui.
Ils faisaient les liens entre les tunes.
Moi, je suis déjà... Fait que tunes. Je sais quoi t'écris.
Fait que le texte, tu t'écrivais juste
« Marde, marde, marde, tune. »
Oui, « Marde, marde, marde, jeans, jeans, jeans. »
Pis « Baise tes culottes, je peux-tu te toucher. »
Il t'écrivait comme des intros funnées pour Alain-Maurice.
La prochaine chanson, elle représente...
Pis là, t'inventais de quoi?
Oui, un peu.
Pour Alain?
Ça, c'est ton premier contrat.
Ça veut dire que lui, il s'en calisse tellement
qu'il arrive d'un autre pays.
Non, lui, qu'il fait...
Il sait même pas quoi nous dire.
OK, j'ai besoin de quelqu'un de local.
As-tu déjà fait ça?
Non. Parfait.
Let's go.
J'ai mon homme. Je faisais des ntu déjà fait ça? Non. Non. Parfait. Let's go. Excellent. Maintenant, je suis en misère publique
dans ce temps-là.
J'ai mon homme.
Je faisais des niaiseries dans la rue
dans ce temps-là pour gagner ma vie.
Puis là, j'ai fait, bien, OK,
je vais le faire.
Fait que là, t'as écrit
pour Alain Morisot.
C'est mon premier show de télé.
À Télé 4.
Ça a été un méga succès, ça.
Bien, c'est encore sur Netflix.
Oui, oui, c'est ça.
J'ai ri dans mon verre.
Puis là, après ça,
après Alain Morisot,
c'est quoi qui est arrivé après ça?
La compagnie créole.
Le plus proche de la télé,
c'est drôle de vidéo.
OK.
J'ai entendu, oh mon Dieu,
vous avez 60 ans, madame?
À chaque fois que j'entends drôle de vidéo,
je pense à « on cherche le mensonge et on vote ».
Parce que, oui, il y avait des vidéos,
mais ce n'était pas aussi drôle que ça.
C'était taf en esti parce que je partais avec des piles de VHS
et j'avais une perruche sur la tête d'un chien pendant deux minutes, puis ça fait
« Mais du texte! »
Ça pique, c'est le fun.
Je vois tout.
Chris, à un moment donné, tu dis quoi, là?
Ça, c'était pas chaud avec Bruno Landry, hein?
Non, non, c'est bien. Bruno, c'est là.
C'était avec Gilles Payet.
Ah, mais elle était bonne, cette version-là.
Bien, ça.
Puis après ça, j'ai tombé à radio.
Puis après ça, je suis revenu à la télé.
Puis aussi, quand tu parles de « j'ai fait de la télé »,
tu parles comme si tu étais concierge à Radio-Can,
mais tu as réalisé un bye-bye.
Le pire marde de bye-bye.
Tu as réalisé Taxi Payant.
Taxi 22.
Pas Taxi Payant.
Taxi 22.
Il y en a-tu des émissions avec des noms de taxis?
Taxi Jambon.
Taxi Face de Port.
Taxi Q.
Taxi Q de Sushi.
Taxi Jeans.
T'as fait beaucoup d'affaires.
Pis là, ton rêve, c'est-tu de boucler la boucle
pis retrouver Alain Morisseau?
Ça y est, j'ai gagné.
Je suis bandé.
Ça serait malade d'inviter Alain Morisot.
Fumer du H à ton podcast.
Exact.
Le prochain pouf,
il me décrit la pouf.
C'est des beaux projets.
Nous autres, on a pensé récemment,
parce que la compagnie Créole était au Québec,
qu'on s'est dit, moi et Barbu, on devrait devenir leurs fans.
Mais tu sais, les groupies qui suivent à travers le monde,
puis faire un reportage là-dessus, nous autres qui suivent la compagnie créole.
Tu vois ça, malade.
Je sais que c'est drôle.
Tu vois ça, compliqué en effet.
Les fans.
Est-ce que ça ferait un bon documentaire?
Oui, on trouverait ça écœurant.
Deux gars qui se prennent de pays en pays.
Deux gars connus qui suivent
la compagnie créole.
On trouverait ça la coche de...
Partout, des barres dans l'âge
avec eux autres à la fin.
C'est rien.
Si la compagnie créole est dedans,
moi, l'avion, c'est ça.
Je disais tantôt...
Le pire, ça serait magique
que tu leur dis même pas
que vous allez faire ça.
Juste pour voir le stress
de leur équipe.
C'est deux astuces pouilleux.
On connaît ça mot par mot.
Té-carré-câton, té-carré-câton.
Quasiment épeurant.
Oui, tout le monde connaît ça.
C'est épeurant, ça.
Le setup, quand tu t'assoies en gang
et que tu écris té-carré-câton.
Oui.
C'est pour ça qu'on les aime.
Ils étaient peureux.
Ils sont mystérieux, eux autres.
Il y a quelqu'un qui a des droits d'auteur pour ça.
C'est ça qui est absurde.
T'arrêtes, t'inquiète, t'inquiète.
Oui, mais moi, j'ai entendu dire, en fait,
c'est Nabi, le chroniqueur Nabi,
qui m'a dit que c'était le père
d'un des deux gars de Daft Punk
qui écrivait les textes de la compagnie créole.
Ça, c'est tellement, sûrement pas vrai.
Il écrit les textes de Daft Punk.
Ça sonne tellement comme une menterie.
Oui, mais c'est Nabi. Il ne ment jamais, lui.
Mais, Chris, ça serait parfait
que ça soit ça. Non, non, mais il paraît que c'est vrai.
C'est pour ça que Daft Punk,
on ne voit pas leur face.
C'est la compagnie créole qui a lié.
Ils ont honte de son père.
Ils ne veulent pas être reconnus. C'est la compagnie créole qui a allé. C'est la compagnie de son père. Ils ne veulent pas être reconnus.
C'est au niveau des textes.
Ils passent de Técarécatongue à Técarécatongue
à des affaires de Daft Punk.
Harder, better, faster.
Mais les textes de compagnie créole,
c'est bon.
C'est comme un élégant,
mais le monde ne le voyait pas.
C'est ça. À un moment donné, ils vont le voir.
Ça serait, tu sais, à ce tempségant, mais le monde ne le voyait pas. C'est ça. À un moment donné, ils vont le voir. Ça serait...
À ce temps-là, quand le monde parle de quelque chose en français,
c'est dans la langue de Molière,
c'est ça dans la langue de la compagnie.
Oui.
Il y a toujours un fond de base.
Quand tu parles, il y a une base.
Bon.
Michel, on va aller à une autre question.
Oui.
J'ai aimé comment Michel...
C'est beau, Michel. Je travaille bien.
Il est bon.
Oui, mais...
Salut! Bienvenue!
Bien, merci.
Elle vient juste d'arriver, en plus.
Juste avant de poser ma question,
je veux juste te dire, Mike, moi,
Jay DuTemps a fait un travail sur toi au Cégep.
Jay DuTemps a fait un travail sur moi au Cégep. » Jay DuTampe a fait un travail sur moi au Cégep?
C'est ça qu'il a dit dans un podcast.
Je devrais écouter les podcasts, je m'en rappelle pas.
J'ai dit ça, t'écoutais en quadruple.
J'ai connu par contre.
Je veux juste te dire que moi,
j'ai fait un travail sur toi à l'université en droit.
C'est vrai.
Je peux pas dire ma note parce que je l'ai pas eue.
Pis t'es dans la merde, Mike.
J'ai fait un travail sur toi à l'université.
C'est quoi la question?
Non, je... OK, OK. C'est à moi de'université. Si, est-ce que c'est quoi la question? Non, je sais pas.
OK, OK.
C'est à moi de poser ma question.
OK, excuse-moi.
Je suis agent.
C'est de la pointe 5.
Il va aussi.
Mais ma question est à Vincent.
Je m'en vais te voir en show le 23 ici à Galerie.
Wow, yes!
Malade!
Hé, c'est un nosty
de show pour vrai, là.
Puis, je sais que dans un podcast,
t'as dit que toi et Denis Barbu, vous preniez pas
beaucoup de photos, mais je voulais voir si
à ce show-là, vous alliez en prendre parce que moi,
j'étais prêt à faire le tour des humoristes et j'ai pas les Denis
encore. Ah! C'est grave! Falloir que tu nous
voyais à la fin sortir en cachette. On y va plus
après parce qu'on est dégueulasses.
On a chaud puis on finit par se reler sur le monde. On a faity va plus après parce qu'on est dégueulasses. On a chaud.
Puis on finit par se reler sur le monde.
On a fait non, puis ça fit témoin aussi avec, tu sais,
tu viens vivre une expérience, puis après, tu vois les deux gars
ultra sympathiques. Salut, comment ça va?
Ça nous faisait décrocher.
Puis si on sortait ici, même
s'il y a des endroits où on fait « Ah! »
Puis on s'est dit « Oui, mais si on commence
ça après ça, on n'y va plus. »
Dans la vie, vous êtes trop sympathiques.
Tu sais, tu viens de voir le show. C'est un peu ça on commence ça après ça, on n'y va plus. Dans la vie, vous êtes trop sympathique que ça fuck le... Tu viens de voir le show.
C'est un peu ça. On dirait qu'on peut vous laisser
sur tabarnak, si on m'arrête pas sur
« Hey, il est funné le barbu quand il m'a dit
salut avec un beau sourire. » Ça serait comme si
dans le temps, tu allais voir Hulk Hogan,
tu le vois dehors et il est comme « Bonsoir, ça va bien? »
Avec sa petite chemise à voyager.
On aime ça laisser sur
« Si, qu'on vient de vivre de quoi,
ils sont bien malades.
C'est probablement la première cause de tout ça
parce qu'on vous aime, mais on trouvait que la patente
de façon artistique collait moins
avec le vendeur de chars qui a le goût de te vendre
un T-shirt à la fin.
Non, mais t'aimerais-tu ça, une photo avec lui
pendant qu'il t'insulte?
Tu veux-tu une photo là?
Monte sur scène pour une photo.
Viens, viens, viens.
Il manque...
Il manque Khal Drogo à côté, le gros monstre qui me suit.
Ben oui, si t'as le goût, c'est ça.
De toute façon, nous autres, quand on est une fois sortis dehors,
on est facile à spotter.
On vient nous voir et on est sympathique,
mais il y avait quelque chose de trop set-up.
C'est ça, trop vendeur de chars.
Ça nous gosse.
On s'est demandé qui c'est qui a inventé ça.
Chris, sûrement un gars qui a de la misère
à vendre ses étiquettes.
Je ne sais pas.
Moi, j'ai l'impression,
l'affaire de prendre des photos avec les fans,
ta première tournée, tu te dis,
« Ah, je vais le faire.
Puis, moi,
plus ça va,
moins aussi le monde
veut des photos avec toi.
Bien, il y a ça.
Vu qu'à la troisième,
quatrième, cinquième tournée,
tu as ton petit fan base
qui te suit,
qu'ils ont des photos
avec toi dans le temps
que tu étais plus jeune,
plus humain.
Exactement, c'est ça.
Puis sinon,
bien, c'est sûr
que ce qui est arrivé
une fois de temps en temps,
c'est que, mettons, il arrive dans l'ambiance des dendrolètes, tu as un éclair dans la Exactement, c'est ça. Puis sinon, bien, c'est sûr que ce qui est arrivé une fois de temps en temps, c'est que,
mettons, il arrive dans l'ambiance des Dendrolètes,
t'as un éclair dans la salle,
quelqu'un qui va avoir le goût de compter une joke
par-dessus toi, puis nous autres,
ça ne fait pas tant triper ce genre-là.
Puis on s'apercevait qu'à la fin,
bien, hop, c'est lui qui est là.
Il est sous, puis il fait,
« Ah, je suis malade quand j'ai crié tantôt! »
Puis Barbie fait, « Non, c'est pas malade,
c'est cave en hostie. »
Il y avait comme, à ce niveau-là, tu te dis,
« OK, c'est peut-être pas nécessairement ça qui triple
les meilleures choses du show qui reste à la fin pour
venir noir. J'ai fait un show cette
semaine, puis j'avais oublié quelque chose. Moi,
début de carrière, je prenais juste
des photos après les shows. Puis là, en ce temps,
j'en prends avant, des fois.
Mais j'ai réalisé que
aussitôt que tu prends une photo avec quelqu'un avant le show,
là, dans leur tête,
on est chommé.
Je le connais.
Puis là, ils crient des affaires. Oui, ça donne un contact.
J'étais sur scène, puis il y avait trois personnes
qui me criaient des affaires.
C'était les trois tabarnaks que j'avais pris une photo avec.
C'est ça.
C'est comme femme, ta carlisse.
C'est ça. À un moment donné, on s'est rendu compte
qu'avec le genre d'humour qu'on fait,
ceux qui restaient à la fin avaient pas mal plus le goût.
Je ne sais pas que Barbue dise «M'a tué!»
pis on va comme «C'est quoi là?»
Tu veux pas continuer le sketch?
Non, c'est ça. C'était comme trop bizarre
la ligne entre le personnage pis de...
Merci d'avoir fait le travail
sur moi.
Fait que tu vas être avocate
ou t'es avocate?
T'as juste une mineure,
fait que t'es pas avocate.
Je vais-tu gagner mon appel?
C'est ça que je veux savoir.
Oui.
D'après toi.
Si je gagne mon appel,
je vais emmener les deniers. Merci, ils vont prendre des photos
avec vous autres au palais de justice.
Clairement.
Michel, on va aller avec une autre question.
Merci, Michel.
Merci beaucoup, Michel. C'est vraiment gentil.
Michel, mesdames et messieurs!
Allô?
Ma question, c'est pour Vincent.
J'aimerais savoir à quel âge...
Tu n'es pas quelqu'un de...
extrêmement normal.
Tu es très absurde.
Oui, il y a quelque chose de même.
À quel âge as-tu dit,
« Moi, je suis absurde. Je vais assumer ça à 100 %.
Je vais vivre ma vie. »
Écoute,
je n'ai jamais pensé
à vouloir être absurde ou quoi que ce soit.
C'est vraiment un build-up
avec les années d'improvisation,
cultiver...
J'aimais ce genre de littérature.
Je suis allé au cégep en lettres.
Je me suis alimenté surtout de ça.
Évidemment, je me suis créé
un personnage devant vous autres, chez nous.
Je suis tellement un gars, honnêtement,
border plate.
Non.
Un peu geek, un peu tranquille.
Je ne bois pas.
Mais le personnage, je trouvais...
Non, mais tu es drôle.
Tu es super drôle.
Oui, je sais qu'il y a quelque chose que je suis drôle,
et mes amis le trouvent aussi,
mais je n'ai jamais senti dire que ça allait être un projet
qui m'a devenu absurde.
La vie a fait que...
Moi, j'ai l'impression, mettons le monde qui font de l'absurde,
je compare tout le temps
à le genre d'humour que moi je fais,
mettons le monde qui font du trash.
Si tu écris en disant
« Ils vont capoter. »
Là, c'est de la sti de marde.
Tu ne peux pas faire « C'est absurde dans le Christ. »
Si tu dis « C'est absurde dans le Christ. »
C'est parce que c'est plate à mort.
C'est plate.
C'est clair.
C'est pour ça que ça a été dur.
Il y a des artistes de talent
qui ont eu le goût de travailler des fois.
On a eu le goût de travailler avec eux dans notre univers.
On aime ça, s'entourer souvent dans différents
projets. Puis du moment que ces gens-là
essaient de faire de l'absurde,
là, ça devient... c'est pas bon.
C'est comme... il ne faut pas que tu cherches à le trouver.
C'est comme plus un trajet, une culture.
Moi, là, je me souviens
des premières fois que j'ai reçu vos textes
d'Entre nous deux.
Déjà que je suis un fan.
Non, mais pour vrai, sérieusement.
Je réalisais...
Ah, t'as été touché, toi.
Non, non, mais pour vrai.
Toi, en plus,
t'es arrivé du bye-bye.
Puis là, t'as vu ça,
fait que t'as fait...
Écrire ça, c'est drôle pour vrai. »
Ça, c'est drôle.
On essaie de faire plaisir à des mononcles.
Ah oui, pis tu les avais vus passer aussi.
C'est quoi? T'étais-tu là?
La première fois, vous sortiez de l'école,
c'est Réal Béla,
c'était pour la fête à quelqu'un, je sais pas qui.
À Patrice.
Il dit « Je vais emmener un duo d'humoristes
qui commencent. Ils sortaient de l'école.
Ré,
c'est la première fois que j'ai ri, puis que mes genoux
ont plié. J'avais
aucun contrôle. C'est quoi la
clown qui a chanté
mon oncle DJ à Beau?
Je ne sais pas qui c'est qu'on lui a
chanté. C'est l'affaire
à qui le trisomique à bien gris.
Ah oui, OK, le masque de clown.
Ça s'appelait dans ce temps-là le masque de clown
qui traîne dans le bain.
Moi, j'entends ça.
C'est acquis le trisomique à bien gris.
Ah oui, c'est le bébé en cellophane.
J'ai ri pendant six mois.
Bon, bien moi, je les ai d'en face.
OK, je suis en radio.
J'ai ces deux gars-là habillés en brun
avec une guette. Ils chantent ça.
Ma vie a changé.
J'ai pété aux frettes.
Pour vrai,
ça ne m'est jamais arrivé depuis,
mais voir un trisomique habillé en gris,
je meurs.
Je vais me sentir mal.
C'est tout simple en plus.
Belle image.
C'est pour ça qu'on est tombés en amour.
Nous autres, ça faisait longtemps
que tu aimais ce genre-là.
Oui, mais...
Moi, je suis pas gamin de bosse.
Vous autres,
vous vous en collissez.
Vous êtes habitués.
Moi, je vois plein de monde.
C'est pour ça que je suis pas gamin de bosse.
Je suis là comme...
C'est bizarre,
en est.
D'habitude, on ne voit pas le monde. On va aller avec
une autre question.
Michel, il y a un gars en
à bleu qui est habillé comme
Laurent Paquin.
Laurent Paquin en Hawaii.
C'est un genre de mix.
Laurent Paquin, Bud Spencer.
Laurent Paquin, enculé, fileroy. C'est un genre de mix. Laurent Paquin, Bud Spencer. Si Laurent Paquin
enculait Phil Roy,
c'est Phil la prise
avant qu'il y ait un chien.
Oui.
C'est le Phil Roy-Paquin.
Ça change tout un chien.
Imagine, Michel a de l'air du petit.
Call this!
C'est Dominique et Martin.
Oui.
Ah oui, man.
Wow.
Non, mais montre-nous ses oreilles.
Vas-y.
Eh oui, ben, c'est une question pour moi.
C'est ça, ta vraie voix.
C'est pas ta vraie voix, là.
Hey, t'as d'armes actuelles.
Chris, hey, c'est une imitation de Jean Ferré, là.
C'est Andre the Giant.
Tu vas caler 45 bières.
Non, mais merci, hein?
Tu vas slammer Hulk Hogan.
Tu vas mourir dans trois jours.
C'est quoi ta question?
On va souchiller ton cul, man.
Hé, toi, là, d'un crash d'avion,
c'est toi que je mange en premier.
Je te mange le cul, man.
Moi, je le garde, lui.
Je le mange.
Là, je mange l'autre.
Tu manges.
Il était meilleur.
Mange ses tatons.
Mais non, lâche-les.
Mais non, c'est correct.
Non, non, mais non.
Excuse-moi, excuse-moi.
C'est de l'intimidation.
Attends, reprends ta question.
T'as tellement une belle voix,
on va se revirer de bord
et on va t'analyser deux secondes.
Attends, on se tourne.
Are you lonesome?
Dis, excusez-moi.
Moi, je me retourne, c'est clair.
Moi, je suis comme Garou,
je suis lousse en estie.
Moi, je suis comme Éric.
Ben ouais, c'est tout ça.
Oups, attends, pas de suite, pas de suite.
On n'est pas prêts pour ta voix.
Prends ta voix, calliste.
Donne-nous 45 minutes pour digérer tout ça.
Hey, Balou!
J'arrive de Walt Disney, moi, Balou.
Ça va, Carlis?
Hey, mais c'est quoi ta question?
C'est ma vraie voix.
Elle est belle aussi.
Moi, je l'aime. Andrea Bocelli.
OK.
Mike Ward.
C'est à cause que ton nom,
c'est Show à Musique Plus. Ça s'appelle Mike Ward? Oui. C'est à cause que ton ancien show à Musique Plus,
ça s'appelait le Mike Ward Show,
pis ton nouveau show à tes tours de la nuit,
ça s'appelle la même affaire.
Ça s'appelle la même affaire.
Ça manque pas un petit peu d'originalité.
Exactement.
Oh yes!
Chris de pas bon.
Calisse que t'es pas bon.
Calisse.
C'est vrai. Calisse. Je suis content pas bon. Calisse. C'est vrai.
Je suis content d'avoir insulté sa voix.
Hey!
Non, mais...
C'est...
C'est les costauds.
J'en ai à Gatineau, astuces.
Non, mais c'est...
C'est les costauds qui sont les plus tendres.
Il aurait aimé ça que ça s'appelait
genre crépuscule Nénuphar ».
Il est parti pousser, Pierre.
Il est dégueulasse.
Non, mais à la longue, c'est vraiment dégueulasse.
Avoue que ça devait faire du bien
quand quelqu'un rit de toi,
rit de toi, rit de toi.
Puis que tu sais ce que ça va dire.
C'est toi qui as gagné à la fin.
Eh oui, je le disais, Bud Spencer,
il nous a tapé la face de même.
Y'a-tu, là,
Michel, ok, Michel, il est rendu là-bas.
Ouais, Michel, envoye. Y'a-tu quelqu'un dans ton coin
qui a une question? Non, y'en a un là-bas, par exemple.
Un là-bas? Ah ouais.
Y'est mieux d'avoir une voix phonée,
là, avec.
Ouais, là-bas, rien autre.
Ou il faut que tu bagégayes un peu.»
«Je peux faire semblant de bégayer si tu veux.»
«Non, non, on est pas à WordStand.»
«Bien la question était pour Pierre, mais il est pas là.»
«Bien, on pose pareil, il t'entend, il pisse là.»
«C'est parce qu'on a su que le petit Jérémy fumait du pot finalement,
«fait qu'il va-tu faire un podcast avec Mike Ward? Ah, c'ti! Pierre!
Hé!
J'ai bien le côté.
Lui ou Pierre?
Le pire, on voit
Pierre. Pierre!
Ah, c'ti!
Ça serait... Hé, Pierre! Tabarnak!
Pierre! C'est une vieille prostate
que ça lui prend un heure à pisser
quand elle lisse. Ça n'a pas de sens.
Yes.
Un bouton.
Et voilà.
Ça sent l'éthanol à plein nez.
Tu cries, Pierre.
La question, c'était...
Tu commences un podcast sur le weed.
Cette semaine, on a vu le petit Jérémy
ou une couple de soins fumer du pot.
Ça serait un bon invité?
Non.
Un podcast avec le petit Jérémy et Mike Ward, ça serait légendaire.
Hein? Un podcast avec le petit Jérémy
et Mike Ward, ça serait légendaire.
Et Chris que non. Pour de vrai,
tout le monde font, tu sais, moi,
le monde m'envoie des jokes sur le petit Jérémy
non-stop, puis
Chris, moi, ça m'a coûté 150 000 le petit Jérémy, non-stop.
Ça m'a coûté 150 000.
Pas de ma poche,
parce que j'ai eu mon go-fun de mi qui m'a donné 30 000,
mais ça m'a coûté 80 000 de ma poche.
Michel, il a payé 20 000.
Je n'ai rien contre ce gars-là,
mais je ne me vois pas faire des duos.
Ou lui donner de la vitrine encore plus.
C'est le fun d'entendre ça là.
De ne pas entendre ça dans les journaux.
Calisse!
Sauf, le pire,
ce serait un bon invité pour vous autres.
Mais si tu l'as comme invité,
je vais être en tabarnak!
Non, mais sérieusement!
Il est allé à Denis Lévesque.
Va là!
Tabarnak! Il faut que tu fumes allé à Denis Lévesque. Va là. Moi, un pote...
Mais non, mais...
Tabarnak, il faut que tu fumes du H
avec Denis Lévesque.
Oh, wow!
Ça, oui!
Ça, c'est là, là.
Live.
Puis à fin de ça,
c'est « Hey, Denis,
quand tu vas être bien batté,
on va enculer un bichon mal testé. »
Oui, monsieur.
Puis tu vas me décrire...
Oui.
Tu vas me dire s'il y a du VIX ou pas.
De toute façon, qu'est-ce que tu penses qu'il fait quand il clique
des doigts et que la lumière ferme? Il met du VIX.
Et voilà!
Michel?
Je vais poser une question. On va aller avec une question.
Bravo, Michel.
Si tu peux poser une question à sa petite Cédrica,
ça serait cool.
Oui, Chris!
Elle est nostalgique.
Avec l'histoire du petit Jeffrey
à Montréal,
est-ce que tu as
une joke
à faire là-dessus?
Le petit Jeffrey
qui a disparu,
non,
je n'ai pas de joke
sur lui.
En tout cas,
moi,
je veux juste faire,
tantôt,
tu parlais
de l'article du devoir.
Oui.
Dans le fond,
tu as eu une reconnaissance
dans le devoir
qui est quand même
un quotidien.
Ultra respecté.
C'est toi qui as écrit ça.
Merci, c'est toi.
Mike, il s'appelle Dominique. Dominique Tardif tardif voilà non parce que ma question c'est dans le devoir ça fait depuis 2015 depuis 2011
aussi ouais skype 2015 le podcast devant le public mais dans ces deux années et demie ou trois années
que tu as le podcast c'est lequel le podcast que tu rincrais le number one? Le numéro un, le meilleur podcast de tout.
Number one, quand les
Denis étaient ensemble,
puis
ça,
quand j'étais là, par exemple,
moi, j'ai un bon sens
de la répartie. Mettons,
le monde embarque, j'y suis,
puis vous autres, vous avez tellement de complicité
que j'avais l'air
d'un hostie d'amateur qui faisait une audition
pour passer à l'occupation d'eau.
Je trouve que c'est bien d'écouter
ce qu'ils font.
Moi, j'étais là, je riais, je riais, je riais.
Puis à un moment donné, j'ai demandé à Yann
« Fais combien de temps qu'on est là? »
Il a dit 1h20, puis ça faisait 4h.
Puis là...
Non, mais ça...
C'est un bonheur d'être là.
Ça n'a pas de bon sens comment ça va rejoindre
des fans puis du monde, ton podcast.
Écoute, c'est parfait. Moi, c'est sûr que celui
avec Jean-François Chagnon, je suis allé fort.
Malade.
Non, non, mais c'est ça.
C'est comme, à un moment donné,
à ce moment-là, les podcasts,
j'avais juste la switch à
«M'a donné un show, point final. »
Ça, il était excellent,
mais je me sentais mal pour lui après.
Moi aussi.
J'aurais dû le réinviter la semaine d'après.
Finalement, on va le réinviter dans quatre ans.
Oui, puis tu me réinviteras avec lui.
Je me sentais mal pour lui
parce qu'il était intimidé par toi.
C'est un... Tout le monde qui a commencé, en plus, eux autres, Je me sentais mal pour lui parce qu'il était intimidé par toi.
Tout le monde qui a commencé, en plus, eux autres, ils font de l'absurde.
Ils ont commencé après vous autres.
C'est comme tu vois quelqu'un que tu trippes dessus quand tu es petit cul,
même si vous n'êtes pas vraiment plus vieux qu'eux autres.
Non, évidemment.
Non, je comprends. Il y a quelque chose peut-être de ça.
Lui, il m'a dit non, c'est malade.
Moi, je ne suis pas à l'aise.
C'est temps de parler. Tu as bien fait. Mais moi-même, je me sentais comme toi après ça.
J'avais comme été boosté par...
Écoute, c'était à moi de ne pas le faire, mais Just a Buy a fait
« Fais-moi rire, bébé.
Fais-moi rire, bébé. »
Tu le sais, quand Marc me dit ça,
moi, ça n'a pas de bon sens.
C'est ça.
Il était écœurant, d'ailleurs, Just a Buy,
à ton podcast aussi.
Oui, oui.
Mais moi, le part des podcasts,
je les ai aimés.
Puis il y en a plein que j'ai aimés
pour des raisons différentes.
Il y en a des fois que ça vire fou,
puis c'est ça que j'aime le plus,
la folie.
Moi, c'est l'affaire qui me fait le plus rire.
Mais il y en a des fois
qui étaient super intéressantes.
Carrément.
Mais ça, j'ai aimé ça aussi.
– Mais ça, il y a trop de monde, nous autres,
dans notre entourage, vu qu'on fait de la route,
qui disent « C'est ça que j'écoute sans arrêt. »
– Vous autres, ça vous prend un podcast pour vrai.
– C'est d'applaudir.
– C'est que, mettons...
– C'est cool.
– Oui, mais là, le barbu, il est trop fantastique.
– Je sais que vous avez l'impression de...
Si, mettons, à chaque semaine,
il va y avoir comme un overdose de Denis.
Mais à la limite, si vous faites comme tu disais tantôt,
les Denis qui parlent du Vatican
pendant huit épisodes.
Bien oui.
On peut tellement se faire de fun.
Mais oui, puis on en parle justement
parce qu'on a trop d'échos du Vatican,
d'un podcast à partir du Vatican.
Live du Vatican.
Live, en direct du Vatican.
Puis toi, toi, c'est ça.
Michel, fais-s'il qu'il y a
une question avec un gars avec une casquette.
Oh boy!
La question est pour Pierre, en fait.
Le bye-bye qui t'a réalisé, c'est celui de 2008?
2009, celui qui a chié avec Nathalie Simard.
En fait, on a vu
des critiques mitigées.
Mitigées?
Christ est cultivé.
Ça, c'est le podcast
que Mercier est allé s'excuser.
Ça, c'est...
On a fini le bye-bye.
C'était avec Denis Lévesque
qui faisait notre entrevue avec Obama
et qui disait qu'il avait un gros bad.
Vous autres, les Noirs...
Les jokes avec Nathalie Simard.
C'est ça que j'ai fait.
Tu étais à l'aise avec ça?
Pas tant.
J'étais payé pour le faire.
Je l'ai fait.
J'étais pas tant à l'aise.
J'ai fait, si vous l'assumez,
tu le produis, assume-le, fais-le.
Mais j'ai fait...
Moi, quand j'ai vu la marde poignée après,
j'ai fait, aïe!
Je suis content de ne pas être producteur.
Bien, c'est parce que ça a chié.
Mais pendant que je le faisais,
j'ai eu un osti de malaise.
Honnêtement, j'ai eu un malaise.
Le gag de
le bout sur Nathalie, surtout.
Oui, il y en a un qui n'a pas été diffusé.
Mais il y avait deux affaires
qui étaient un peu racistes.
Denis Lévesque
avec Barack Obama.
Il y avait Mercier qui utilisait le mot
« neg ».
Je pense que oui, il disait « neg ».
Ça n'aide pas. Ça aurait mieux marché si c'était en pre-tape. Il y avait Mercier qui utilisait le mot « neg ». Ah oui, je pense qu'il disait « neg ». Live, là?
Ça n'aide pas.
Ça aurait mieux marché si c'était en pre-tape.
Mettons.
Mais toi, Vincent?
Moi, nous autres, on a fait le bye-bye une couple de fois,
mais il n'y avait pas de controverse.
Ça a bien passé.
Moi, pour vrai, ce bye-bye-là,
c'était l'année après que j'avais vécu ma mort pour la petite
Cédrica. J'avais du monde
qui voulait me tuer à l'époque.
Puis quand j'ai vu le bye-bye,
quand j'ai vu Mercier,
j'ai vraiment eu ce feeling-là.
J'ai fait « Oh yes! »
Il y a quelqu'un d'autre qui va manger
une souche de râle.
Ils vont m'oublier.
Ça fait ça. Je me sentais mal pour Mercier. Surtout'oublier. Ils vont manger du sushi.
Je me sentais mal pour Mercier.
Surtout que Mercier, ce n'était pas lui qui avait écrit ces textes-là.
Lui, il est allé en trooper.
Il était très mépris.
En plus, toute la gang,
Verrou et Louis sont partis dans le sud après.
Puis là, Mercier, qui allait défendre
des textes qui n'étaient même pas écrits.
Il était partout.
Je me suis dit que je suis mauvais
dans les scandales, mais merci,
il m'a rejoint.
Barnac n'est pas habile.
Michel, as-tu une autre question?
Non.
C'est comme où est Charlie?
Je cherche tout le temps Michel.
On brûle.
Ça serait le fun de demander à Maxime Gest pas beau à l'ange, je suis comme ça, mais à l'aise. Hé, ça serait le fun, elle demande
si Maxime Gervais a une question.
Ben oui, ben oui. Maxime!
Maxime Gervais!
Je vais lui laisser le temps d'y penser.
Je vais aller à l'autre.
Je reviens, Maxime.
T'es mieux d'être drôle.
Maxime Gervais des Pique-Bouches.
Ah oui, moi aussi.
Kiti, erreur de booking,
je l'avais appelée, j'ai fait
« T'attends-tu venir au podcast? »
Il s'est rendu, puis j'ai fait « Non, c'est juste une question de même. »
Mais...
C'est le meilleur éclat de lutteur
qu'il y a pour...
Hier soir, à la lutte,
il y avait... Maxime Gervais
arrêtait pas de crier des câles à Lutte.
Moi, sur le coup, je ne l'ai pas reconnu.
J'étais comme, « Asti, es-tu un épée ou c'est un génie? »
Puis, même là, je ne suis pas sûr.
« Asti, tu m'en fêterais! »
Il y en avait un qui était masqué.
Il criait, « Montre-nous ton visage! »
Puis moi, j'étais crampé.
« Montre-nous ton visage! » « Montre-nous ton visage. Puis moi, j'étais crampé. Montre-nous ton visage. J'étais crampé.
Montre-nous ton visage.
Fait que, oui, question.
Chris, lui, on ne niaise pas.
Oui, non.
J'aime ça.
C'est que tu es respectueux.
Tu as fait, OK, parle-le à un des piques-bouche.
Je vais m'asseoir.
Parle de lutte.
J'ai respect.
Non, mais c'est ton gérant qui connaît son client.
Il me dit, assis-toi, ça va t'aider.
OK.
Ah, c'est-tu Michel qui t'a dit « Assieds-toi? »
Bonne main pour Michel, quand même.
C'est bien Michel.
Chris qui est bien organisé.
Bravo.
Là, pose ta question, puis assieds-toi, Carlis.
C'est ça que je vais faire.
Juste pour vous cliquer à la boucle,
on arrive à la fin du podcast.
Avez-vous réussi à être bandé, finalement?
Pierre, quand tu partais,
est-ce que c'était trop bandé?
Il y a quelque chose.
La vérité, la première fois,
j'avais envie de pisser.
J'ai changé ça pour fumer une cigarette.
T'es-tu allé fumer une cigarette?
Oui, la première fois.
Chris, t'as arrêté de fumer il y a six mois.
Faible.
La deuxième fois, j'ai pissé,
mais crissement longtemps.
Et la troisième fois, encore plus longtemps.
J'aurais aimé ça que tu dises la troisième fois, j'ai chié un peu.
Quand tu vois que t'es là-bas, t'as juste une cigarette dans la gueule, t'as le cul sorti.
Puis je suis pas allé aux toilettes.
Fait que t'as pas bandé, Pierre, finalement.
Non.
Moi, j'étais arrivé au bout du pre-com,
mais pas plus que ça.
Mais t'as bandé d'abord.
J'ai légèrement bandé, mais ça a tombé quand Bisou revenait la troisième fois.
Il a gagné.
Fait qu'on va...
On finit la question.
Dernière question.
On finit-tu à...
Parce qu'il se fait déjà deux heures et demie.
Maxime, si t'as une question, on finira la question. Dernière question. On finit-tu? Parce qu'il se fait déjà deux heures et demie. Maxime, si tu as une question, on finira avec ça.
Mais sinon, même, on devrait...
Je vais te parler au début de la semaine prochaine.
Si tu restes une semaine,
je vais te parler dans une semaine.
Je vais rester une semaine, mon beau Mike.
Merci. Je veux vous remercier
beaucoup. Merci
aux Transistors. Merci d'avoir été là.
Merci Gatineau-Ottawa.
Franco-Ontarien.
Malade.
J'aimerais remercier mes invités.
Ça fait 22 fois que tu pisses.
Il est même plein de pisses.
Oui, mais ça...
Les données...
J'ai pas vu votre nouveau show.
J'entends juste des explications
de la monde que je respecte au bout
qui me disent que c'est la meilleure chose qu'ils ont vu
depuis 10 ans. Il faut que j'aille
t'avoir. Il faut que j'aille vous voir.
Là, pour avoir des billets, c'est
denisdrollet.com.
Ok, parfait.
Quand tu veux.
Mais là, il faut que tu veuilles ça.
Le monde, c'est-tu sur votre Facebook?
Oui, c'est annoncé toujours.
Il y a toujours ces réseaux sociaux.
Je pense qu'on est sur Instagram,
mais je ne suis pas sûr parce que je ne suis pas là.
C'est pas mal Jeff, le gérant qui gère la patente.
Jeff, elles sont nasties de beaux culs.
Elles sont beaux gros culs.
C'est-tu un gros cul ou un beau cul?
Un gros cul.
Mais il est beau.
Un gros beau cul.
Toi, ton podcast...
Il s'appelle.... Un gros cul. Toi, ton podcast... Il s'appelle...
Bon.
Excusez.
Comme un réalisateur de bye-bye.
Il s'appelle Podcast.
Il va être bientôt...
Mais...
Qu'est-ce que t'es mauvais pour vendre ta salade?
Comment t'as fait
de survivre jusqu'à l'âge que t'as en te vendant
de même? À mon podcast.
Son podcast, écoutez son podcast.
Ça s'appelle le podcast.
C'est toi,
c'est ta blonde mimi,
c'est Simon Gravel.
Simon Vincent.
Asti que j'aime ça.
Ton cousin.
Il a la bouche pleine de glace.
Il a la bouche pleine de glace.
Il est pas grave.
Il est durable.
Si vous voulez...
C'est un des gars les plus drôles que je connais.
Mais ça, ça n'a pas de sens.
Son podcast, il va sûrement avoir du montage
pour qu'il aille pisser un peu.
Ça va être live.
Ou il va dire en un autre, il va faire
Vincent, prends le contrôle.
Puis là, Simon et sa blonde vont faire
C'est qui Vincent?
Il n'y a personne d'autre.
Merci tout le monde.
Oui, c'est vrai, merci.
Merci à tous.
Merci à Comédien aussi.
Merci.