Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #178 – (Catherine Ethier et Jean-François Provençal)

Episode Date: August 13, 2018

Cette semaine à Sous Écoute, Mike reçoit Catherine Ethier qui nous avoue sa dépendance au magasinage en ligne et Jean-François Provençal qui a bien failli devenir quadraplégique à cause de Mike. ★ Support this podcast on Patreon ★

En direct du Bordel Comédie Club à Montréal, voici Mike Ward, sous-écoute! Merci beaucoup! Bonsoir! Bienvenue à Mike Ward, sous-écoute! Cette semaine, on n'a pas de commanditaire, mais je veux parler d'un commanditaire qu'on a eu il y a une couple de semaines. Quand Michel vend les commandites, il dit au monde,

« Mike va te plugger en début de show et en fin de show. » En fin de show, ça arrive des fois que j'oublie de plugger la personne. Là, je vais plugger mon commanditaire comme si on était en fin de show. Fait qu'on va faire comme si j'étais en fin de show. Je vais faire... Non, c'est ça même.

Je veux remercier Planet Hoster. Planet Hoster, que Yann, c'est toi qui m'as appris que Planet Hoster, leur site web, c'est toi qui m'as appris que Planet Hoster, leur site web, c'est planethoster.net ou? .com. .com. Je pense que c'est grâce à nous autres,

on les a inspirés à acheter un.com. Planethoster.com, c'est un hébergeur web. Il y a un logiciel gratuit de création de site web, de l'espace disque illimité pour WordPress et du trafic illimité sur ton site. Puis, c'est une des rares compagnies québécoises. Il n'y en a plus de compagnie québécoise. Même Asti.

Toutes les épiceries, il y a juste Métro qui est québécois. Il y a Métro, il y a Rona, il n'est même plus québécois. La Belle-Province, la Belle-Province, c'est québécois. Ilis. La Belle-Province, la Belle-Province québécoise. Il y a la Belle-Province, il y a peut-être Métro, puis il y a Planet Hoaster.

C'est les seuls. Ils sont rouverts 24 heures par jour. C'est l'Internet. Ils sont rouverts tout le temps. Mais ce serait mieux que je parle de Google. Google, 24 heures par jour. Ils sont moins vite à Noël, vu qu'ils sont

un peu fermés. Non, mais Planet Hostel, si tu as des problèmes avec ton hébergement, t'appelles. Ça va être quelqu'un au Québec qui va te répondre. Ils ont aussi des... Comment tu appelles ça?

Les affaires d'hébergement, c'est... Les serveurs? Les serveurs, tabarnak. C'est ça. Ils risquent de me prendre de l'eau avec encore moins d'alcool. Ils ont des serveurs au Québec en France. Si tu appelles de la France,

ça va être un Québécois qui va répondre. Je m'excuse, là, mais si toi, tu fais « C'est quoi, putain, c'est quoi le problème? » Lui, Asti, il va voler des jokes de Seinfeld, pis là, tu vas te sentir comme si t'étais en France. Fait que là, eux autres, leur site web, c'est

planethoste.net. Ils ont un soutien technique 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Ils ont un codeien technique 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Ils ont un code promo de 25% de rabais qui est «Signe-moi Michel». C'est «Signe-moi Michel», tout en lettres minuscules pour ne pas que Michel pogne un égo. Merci beaucoup, Planète Austin. Aussi, si vous voulez que je lis, si vous avez une demande en mariage,

vous avez quelqu'un que t'aimes pas, tu veux que je le lise, il faut que t'ailles sur saravec.com et là, de la manière que ça marche, puis j'ai oublié de le dire tantôt, c'est que tu vas sur saravec.com, c'est 250 pièces plus taxe, tu donnes ton...

c'est avec PayPal et après, un coup que c'est 250 piastres plus taxes. Tu donnes ton... C'est avec PayPal. Et après, un coup que c'est fait, tu cliques sur « Return to Merchant ». Là, c'est supposé de se rendre automatiquement, mais si ça ne se rend pas automatiquement, tu cliques sur le lien. Ça va t'amener à une page

où il y a un formulaire. Tu remplis ça. C'est ton nom, ton courriel. Puis, tu écris un petit message de 140 caractères. C'est moi qui vais le lireriel. Puis t'écris un petit message de 140 caractères. Puis c'est moi qui vais le lire. Oui. OK. Mais ça peut pas être raciste?

Ni raciste, ni homophobe. Sexiste? Sexiste. Ah, sexiste, ça pourrait. Sexiste, ça passe. OK. Fait que je préfère un José pis des gros tatons. Bonne fête.

Ça, je peux le dire, maintenant? OK, parfait. Pis il y a une affaire aussi, c'est que tu peux pas choisir sur quelle chose ça va passer. Ça dépend de la journée de l'enregistrement. Mais pas sexiste, pas homophobe, pas raciste, pas transphobe. Non.

Pas contre les religions non plus. Dans le fond, tu peux souhaiter quelque chose de positif à quelqu'un, mais tu ne peux pas faire genre, « Ma tante Nicole, j'espère que tu meurs. » Genre, ça, tu peux-tu faire ça ou... Ben oui, pour Nicole, oui. OK, Nicole. Chris, ça serait mauvais, ça.

Imagine la pauvre madame qui est sur son lit de mort et quelqu'un fait « Mike Ward, il a parlé de toi et il a dit « Je le sais, ce que t'as fait, ma vieille Chris détruit. » Il y a quelqu'un qui rouvre un laptop à côté et qui lit un beau message de Mike.

Si tu veux faire vivre ça à ta matante, c'est 250 pièces. OK. 250 pièces plus taxe. Oui, c'est ça. Ça revient à 285. OK. Fait que là, cette semaine... Avant de pogner les invités, j'ai lu sur ton Twitter

que t'allais faire un TED Talk. Ils m'ont demandé de faire un TED Talk. Sur la liberté d'expression? Oui. Ils m'ont demandé de faire sur la liberté d'expression. Ça fait deux fois qu'ils me demandent de faire des TED Talks. La première fois, ils m'avaient demandé de le faire.

Je ne l'avais pas fait. Après, avec mon procès, tout le monde des TED Talks, c'était comme... Ils faisaient « On ne veut pas ce gars-là ». Puis là, ils sont revenus. Mais je ne sais pas, je vais parler soit de liberté d'expression, peut-être du manque d'originalité en humour, puis des vols de gags.

Je ne sais pas ce que je vais faire exactement, mais je pense que ça va être plus liberté d'expression. Mais je ne veux juste pas avoir l'air d'un Christ de Cologne, parce que souvent, tu vois des TED Talks, puis t'es comme « Ah, c'tique, t'es stupide. » Puis je veux pas avoir l'air de ça. Oui, oui. Moi, j'en regarde,

j'en ai regardé beaucoup. J'ai jamais tombé sur des mauvais, mais absolument, c'est très bon. C'est le fan, en tout cas, qui t'a invité. Tu sais, ça va, je sais pas, ça va rajouter peut-être une certaine... Crédibilité à ma Christ de carrière de marde, tu sais, ça va, je sais pas, ça va rajouter peut-être une certaine... Crédibilité à ma crise

de carrière de marde, c'est ça. C'est ça que t'es en train de dire. Non, mais, non, mais, tu sais, c'est parce qu'il y en a qui... Je viens de out-McLeodiser

Steve-Peter-McLeod. Non, mais, tu sais, il y a bien du monde qui voit, il y a bien du monde qui voit juste le fait que... Le côté trash.

Oui, puis qu'ils ne comprennent pas le combat pour la liberté d'expression que tu mènes à travers ton processus juridique. On va changer le monde d'une joke de pédophile à fouette, c'est ça. C'est ça que je veux dire. Cette semaine... Non, mais je suis vraiment content de le faire.

Puis pour de vrai, je vais mettre bien, bien, bien du travail là-dedans. Puis paye fuck all. Il ne paye rien. C'est ça que j'ai entendu dire. Tout le monde que je connais qui a fait des TED Talks, ils sont tout le temps super touchés parce qu'ils font... Hey, c'est le fun. C'est des intellectuels.

Fait que là, d'avoir des intellectuels qui disent « Viens nous parler, c'est que du monde intelligent », puis t'es comme « C'est bien le fun, ils parlent, je suis intelligent », puis là, t'as fini, puis tu fais « Asti, je suis cave, j'ai rien chargé ». Ça va être quand? C'est au mois de septembre, c'est supposé être le 15 septembre. Ça va être dans l'Ouest en ligne complètement. La ville

où le collège John Abbott est. Saint-Anne-de-Bellevue. Saint-Anne-de-Bellevue. Que, apparemment, c'est la place la plus prestigieuse de toutes. Les TED Talks. En New York et à Berlin, c'est John Abbott. Puis après ça,

ils mettent ça sur Internet tout de suite ou ils attendent un peu puis tu sais pas? Aucune idée. Si, si, non, aucune idée. Je sais zéro ce qu'ils font,

mais je sais juste qu'ils donnent maximum 18 minutes. OK. T'as 18 minutes pour faire du sens. Puis moi, j'aime bien ça. Pendant un bout de temps, je regardais beaucoup de TED Talk.

C'est du monde pas drôle qui font des affaires puis ils ont des rires. Fait que là, j'ai fait, je pense que je vais avoir des rires. Mais va falloir que j'essaie de pas juste penser aux rires puis d'être intelligent un peu. Oui, c'est ça. On verra. Non, je vais être capable.

Je vais avoir un peu... intelligent. On verra. Non, je vais être capable. Le pire, je pense, il faudrait que j'amène Gab qui m'amène des drinks. Ça serait le premier TED Talk que ça commence. J'ai l'air d'un gars qui est allé à McGill à la fin. J'ai pu, je suis comme, c'est qui qui a pris mes culottes? Un Ted Trash. Un Ted Trash. Ted Trash.

Ah oui, mais non, je ferai pas ça, mais j'espère que ça va bien sortir. Cette semaine, très content, il y a une des personnes qui est sur le show, qu'elle n'a jamais fait le show, c'est quelqu'un que j'aime vraiment beaucoup.

La première fois que je l'avais vue, elle m'avait fait capoter. Elle a une voix vraiment, puis pas une voix genre, tu sais, mais sa voix humoristique est vraiment, il y a de quoi de vraiment original, puis vraiment beau dans « Qu'est-ce qu'elle fait? » J'aime vraiment ce qu'elle fait.

Et l'autre, c'est un gars qui a juste fait le podcast une fois. Puis lui aussi, c'est quelqu'un que je respecte beaucoup et que j'aime beaucoup. J'aimerais ça qu'on donne une bonne main d'applaudissement à Catherine Etier et Jean-François Provençal. Applaudissements

Applaudissements Applaudissements François Provençal. Salut. Merci d'être là. Merci d'être là. Salut. Ça va bien? Oui. Super.

Yes. Je t'avais vu, c'est ça, cette année, moi, je ne savais même pas que tu faisais de la scène des fois. Je t'ai vu au mobilo. C'était vraiment bon. Tu devrais en faire plus souvent. Tu es gentil. Merci. Merci beaucoup. Est-ce que tu la crouses?

C'est ça que tu fais? Attends. Je ne peux pas répondre, mais tiens-moi ça. Tiens-moi ça. Veux-tu m'épouser, maître? Non. Non, mais pas vrai. C'était vraiment bon. Puis vous autres, vous avez été colocs.

Oui. C'était-tu avant que vous soyez connus? Oui. Ça fait 12 ans de tout ça? Oui. C'est en 2007-2006. Pour toi, tu travaillais, moi je finissais l'université. Je pense que c'est en 2007-2006. Pour toi, tu travaillais. Moi, je finissais l'université.

Je dis 2007 qu'on a été en habitant ensemble jusqu'en 2008. C'était Love Story avec Charles Edwards. Charles Edwards? C'était-tu le mec qui coupait des cheveux? Il travaillait avec nous, Simon. Charles Edwards travaillait au Simons avec nous.

Il s'appelait Édouard Castagnetto à l'époque. Ça a tout changé pour la télé. Au Simons, on a travaillé ensemble. Moi, je pliais des chandails avec une grosse barre. Tu travaillais au Simons? Je travaillais au Simons. C'est magique. Le monde me demandait des conseils.

Je vais prendre un vodka Coke Diet. Parce que c'est pas très bon, ça. C'est très agréable. Nous, on va les prendre. c'est bon, ça. Mais ce qui est fou, c'est que le monde me demandait des conseils vestimentaires, tu sais. Tu sais, ça, ça irait-tu bien avec ça? Je suis comme, je sais pas, tu sais.

J'ai 21 ans. J'ai l'air de tout ça. Il était spécialiste dans les T-shirts pour hommes. En fait, ils m'ont plus... J'étais mort. Puis t'étais là avant... Tu sais, parce que là, en ce temps, t'étais à la mode, vu qu'il y a la mode hipster,

fait que t'as de l'air hipster. Mais à l'époque, t'étais juste un gros... Parce que les coups de soleil dans le front, c'était à la mode aussi? Les coups de soleil dans le front, c'était à la mode? C'est assez tendance. Nice!

Oui, non, mais à l'époque, j'étais pas beau. Tout le monde était comme jeune, frais. T'étais une petite merveille. T'étais un petit oiseau. J'avais un sou de brun avec une chemise rose. T'avais pas de l'air bien. Ça, c'est sûr. T'avais pas de l'air bien.

Jean-François, c'était quelqu'un à l'époque qui était très mystérieux. Je portais des t-shirts Jab avec du rose. Beaucoup de rose. Jab, c'est de marque simon est ce très très très très très très très très très très très très très très très très très c'est quoi le par ce c'est west side c'est quoi le simon faut que tu fasses

un s je me suis fait de crisse à la porte du Simons, d'ailleurs. Je ne savais pas. En fait, c'est que ça m'est arrivé de ne pas rentrer et de ne pas le dire. Ça, ce qui paraît, il ne faut pas faire ça au travail. Ce n'est pas quelque chose qu'il faut faire. Je t'interromps, mais toi, tu as une façon

particulière des fois de quitter tes travails. Une fois, tu t'es quitté avec un post-it. J'ai quitté avec un post-it. J'ai quitté avec un acrostiche. J'ai quitté avec un mot caché. J'ai remis des lettres de démission. C'était un mot caché. Puis là, il fallait que tu trouves les mots. C'est vrai? Oui.

J'ai trouvé un site internet où comment faire une lettre de démission avec un mot caché. Puis j'ai donné ça à ma boss. Où ça? Au Harchambeau. Elle a dit, ben non, il faut que tu me remettes une vraie. Puis j'ai dit, qu'est-ce que tu vas faire? Me renvoyer?

Elle a écrit ma lettre de démission. Parce qu'elle, faut qu'elle donne ça à quelqu'un, tu sais. Ah ouais. Il y avait pas une fois où t'avais écrit sur une échelle de 1 à 10, les chances que je ne travaille plus ici sont de 10. Oui, c'est ça. Moi, ça m'a...

Ça, c'est au centre d'appel. Je faisais les sondages téléphoniques, le monde qui appelle, qui gosse, le monde qui soupe ou qui lave les enfants. Ça, c'était moi qui faisais ça. Et à un moment donné, j'étais juste fucking écoeuré. Puis j'ai laissé un petit mot, justement. Les chances que je sois parti sur

1 à 10, sur une échelle de 1 à 10, sont de 10. Sur ton ordinateur. Sur mon ordinateur comme sur mon clavier, puis je suis juste parti faire pipi, mais en fait, je suis parti. Puis là... T'es parti faire pipi dans ta maison. C'est ça. Puis j'ai recroisé la personne qui travaillait au centre d'appel, genre,

4 ans plus tard, puis elle se souvenait de moi. Elle était comme, genre, c'était tellement la meilleure façon de quitter cet emploi de marde là! » C'est de la grosse bouette ça. Fait que c'est ça, je me suis fait de crisser en dehors du Simons parce que je fitais Chris Mampa là-bas, pis ils m'ont comme appelé, ils m'ont dit « Viens dans le bureau, faut qu'on te parle.. Ça, c'était le grand français. M. Vial. M. Vial. M. Vial?

Ça venait M. Vial. C'est un hostie. J'ai jamais eu le courage de le dire. Ben, dis-le! Fuck you, M. Vial! Demain, monde de stars. Catherine Éthier. M. Vial! Demain, monde de stars. Catherine Éthier, M. Vial, c'est une merde.

Tu sais, le genre de gars vraiment poigné, avec un suit, avec une petite cravate qui sort à le coup de main et ses sandwichs sont pliés au corps de tour. Tu sais, le genre de monsieur de même. L'hiver, il portait un bandeau. C'est vrai. Ça en dit long.

Ça en dit long sur le personnage. L'hiver, il portait un bandeau. Il portait un bandeau. Il mettait un bandeau. Pour ses oreilles. OK. Et puis, il m'a apporté dans le bureau, puis il a dit, « Ouais, c'est ça,

il faut que t'arrêtes de travailler, on te met à la porte dans le fond, tout ça. » Mais il ne m'avait pas dit, il ne m'avait pas dit tout de suite. Fait que là, moi, je suis redescendu travailler. Je me suis dit,

il faut que je finisse mon chiffre, je suis un assist. Puis là, il est descend suis redescendu travailler. Je me suis dit, il faut que je finisse mon chiffre financier. Puis là, il est descendu de voir, puis il a fait, « Non, non, c'est maintenant que tu t'en vas. » Fait que t'as perdu ta job deux fois au Simons. Puis il m'a escorté, il m'a escorté vers la sortie, puis il disait, « Bye à tout le monde! » C'est clair que toi, tu travaillais au Simon.

Oui, j'ai travaillé longtemps. C'est ce genre d'entreprise qui t'appelle, tu ne redescends pas, ils s'encalissent. Tu te fais appeler en haut parce qu'ils doivent couper des postes. Tu n'as pas nécessairement fait quelque chose de mal, mais on te traite comme un criminel.

C'est comme les boîtes où tu sors escorté et tu n'as pas le droit de retourner à ton ordinateur dans le cas où tu irais écrire je ne sais pas trop à qui, quelque chose. Moi, ça me fait capoter là-dessus pour la télé. À l'époque, ce show avec Mike Ward qui était un moment

que tu as effacé de ton CV. Non, je ne comprends pas encore pourquoi tu m'avais invité là. Je suis bien fière. Mais tu étais tellement bonne à ce show-là. Puis moi, c'est la première fois que je t'avais découvert. Puis c'est là que j'avais vu à quel point le monde de la TV, c'est des crises d'amende. C'est que nous autres, quand on s'est fait canceller,

c'est en même temps que M. Nett, que, tu sais, Denis, ça fait 40 ans qu'il est à Musique Plus. C'est le gars le plus fidèle. Puis il a eu des offres de tous les postes d'aller ailleurs. Ils ne l'ont même pas laissé faire un dernier salut

à son monde. Parce qu'il avait peur que Denis Talbot vire fou et qu'il soit comme « Fuck you, tabarnak! » C'est comme le monde. C'est weird qu'on ne fait pas confiance aux autres humains. On manque beaucoup de respect à beaucoup de gens dans ce milieu-là.

C'est même plus là. Ils s'en calent. Vous parlez de la télé, c'est ça. La télé, c'est des fuckers, effectivement. Moi, je suis... Mais ils ont beaucoup d'argent. Oui. Donc, ils sont gentils.

On les aime. Coucou! Mais tu sais, comme toi, là, t'es rendue à... Très pauvre. Non, mais t'es à Codef. Oui, je suis dans Codef. Codef, que t'es un des

moments forts de Codef. T'es comme une des faces. Quand on pense à Codef, on pense à toi. Ben, je sais pas, peut-être. Ben oui. Ben oui, je suis là. Ben oui, je suis là. Je suis encore là. Pis, t'aimes-tu ça? Oui, j'aime beaucoup ça, mais c'est ça, ça occupe très, très

peu de temps. Tu sais, comme l'année passée, j'ai tourné deux jours, trois jours. OK. Ah, fait que c'est weird que le monde te parle de ça. Ben, des fois, j'oublie. Au début, c'était une quotidienne, fait qu'on tournait beaucoup, mais là, c'est ça, tu sais, c'était une quotidienne, donc on tournait beaucoup. Mais là, c'est ça, c'est des affaires qu'on voit, ça vient de se terminer.

Mais des fois, ça fait comme un an, un an et demi qu'on a tourné. Moi, je le regarde, puis je ne sais même pas c'est qui, puis qu'est-ce qu'elle dit. Fait que tu donnes tellement de messages de « Hey, c'était drôle quand t'as dit telle affaire. » Puis t'es comme « J'ai dit ça il y a deux ans et demi. » Moi, je ne me rappelle jamais de ce que j'ai dit.

Moi aussi, j'ai ça, mais souvent, c'est « Le gars, c'était de l'affaire, puis t'es comme, « J'ai dit ça il y a deux années. » Moi, je me rappelle jamais de ce que j'ai dit. Moi aussi, j'ai ça, mais souvent, c'est, « Le gars, c'est un serpent qui tombe du ciel. » Puis là, il y a un gâteau. Puis là, t'es comme, « C'est quoi, cette gague-là? » « Tabarnak! »

Ça te ressemble un peu. Là, finalement, c'est plus Joe Roberge. C'était pas l'ensemble. Ah oui, c'est vrai? On te confond beaucoup avec Joe Roberge. Oui!

Oui, oui, oui. Dom Massy aussi, il y a des piques bois qui se font prendre pour moi. Ah, mais ça, curaBelge. Oui! Dom Massy aussi, des piques bois se fait prendre pour moi. Ah, mais ça, c'est le fun. Ça, c'est cool. Mais c'est bien. En tout cas, continuez de parler. C'était le fun. J'aimais ça. Toi, j'ai... Lui, la dernière fois que je l'ai vu, je pensais que t'allais devenir quadriplégique parce que

on était sortis d'un bar, puis là, il y avait des filles, c'était comme un bar, puis il y avait une gang de filles sur la brosse qui étaient comme « Hey, on va danser sur le bar! » Puis là, ils dansaient, dansaient même comme en...

Ils avaient enlevé leur chandail, fait que genre de filles, tu sais, se mis en brassette, puis lui, il a fait « Chris, je vais faire la même affaire. » C'est toi qui m'as dit « Hey, ça serait drôle si t'allais faire la même affaire. » Ah oui, c'est mis en brassette. Puis lui, il a fait, je vais faire la même affaire. C'est toi qui m'as dit, ça serait drôle si tu allais faire la même affaire. Ah oui, c'est peut-être. On s'assinera pas pour des raisons. Non, non, c'était toi.

Puis là, j'ai fait, je veux être ami avec toi. J'ai fait, oui, je vais le faire, Mike. Je l'aurais sûrement fait. Pourquoi j'ai fait ça? Puis là, je suis monté sur le bord. J'ai enlevé mon chandail. J'ai enlevé mon chandail. J'ai enlevé mon chandail. Là, j'ai dansé comme ça. Puis là, j'ai regardé voir si tu regardais

puis tu parlais à quelqu'un. Je me sentais... Tu parlais à quelqu'un! Je me sentais tellement mal. Parce qu'il est allé danser, danser. Puis là, je le regardais. Puis là, le serveur serveur est venu. « As-tu besoin de quoi? »

J'ai fait « Oui, j'ai besoin de quoi? » J'ai entendu un « Bam! » J'ai regardé. Lui était couché à terre. J'étais comme « Astique, c'est mauvais! » Je suis tombé aussi haut que ça. J'ai fait « C'est mauvaise! » Ce que j'ai vu, c'est mon pied revolé.

J'ai entendu des verres péter. Je suis tombé sur le dos. Assez bien quand même. que j'ai vu, c'est mon pied revolé, j'ai entendu des verres péter, je suis tombé sur le dos, assez bien quand même, mais j'ai encore mal. Mais sur le coup, je me disais, s'il devient quadriplégique, je vais filer cheap pour deux raisons. Un, c'était moi qui a dit, va danser,

et deux, je t'ai même pas vu donner quadriplégique. Puis là, je pense que j'ai fait une mini-commotion ou je sais pas trop, j'étais un une mini-commotion ou je ne sais pas trop. J'étais un peu... Le lendemain, tu devais partir à New York faire un podcast. Puis là, j'ai dit, Chris, j'y vais.

Puis là, j'étais comme, il faut juste qu'on parte chez nous chercher mon passeport. Parce que là, je vais coucher avec toi à quelque part chez vous, chez nous, je ne sais pas trop. Elle louait un appart avec comme trois chambres. Mais moi, le lendemain, j'avais quelque chose. Je m'en allais à Sherbrooke faire un spectacle ou quelque chose.

Mais j'ai comme dit, je vais le faire avec toi. Je partais à New York. Ils s'organiseront! Puis là, finalement, la fin de la soirée, t'as callé un Uber. J'étais littéralement à quatre minutes de marche de chez nous. Là, t'as dit

faut qu'on aille chez nous après ça toi tu iras chercher ton passeport pis on se rejoindra fait que là je t'ai reconduit chez vous en Uber après ça j'ai dit je veux faire pipi pis là t'avais de la misère d'ouvrir ta porte j'ai fait fuck off j'ai demandé Mike je peux-tu faire pipi sur ta maison

t'as dit oui là j'ai fait pipi sur ta maison pis là j'ai dit, oui. Là, j'ai fait pipi sur ta maison. Puis là, j'ai dit, je m'en vais chercher mon passeport. Puis je suis rembarqué dans le Uber. Puis tout ce que je me rappelle, c'est que je me suis réveillé dans mon lit. OK. Moi, ce que je me rappelle, c'est que je me suis réveillé parce que moi, mon avion, ça, il était comme 4 heures du matin.

Puis mon avion était comme à 6 heures du matin. Fait que je me rappelle que mon téléphone sonnait non-stop. Je me suis réveillé à peu près... Je pense que mon vol était à 8 heures. Je me suis levé à 8 heures moins 3. J'ai fait, je vais y aller pareil. Peut-être!

Peut-être! C'est la première fois que je fais ça. Quand tu arrives, mettons, acheter des bill c'est la première fois que je fais ça tu sais quand t'arrives mettons acheter des billets le jour même même si tu fais un vol genre Montréal, Toronto qui coûte rien d'habitude, ils te chargent la totale mais si tu te présentes

moi je me suis présenté, mon vol était mettons à 8, je suis arrivé à 9 et quart puis j'ai fait, je sais pas je suis trop tard, puis ils ont fait ben oui t'sais trop tard puis j'ai fait, il y a ça un autre vol en fait ben oui tu es trop tard j'ai fait il y a ça un autre vol bien en fait ok il va avoir des frais j'ai fait ok puis ils m'ont chargé genre 40 piastres quelque chose qui avait pas de sens vu que je me suis présenté c'est bien ouais fait que tout est bien fini bien sauf son problème de dos cassé ouais c'est ça mais c'est

ça je sais pas si je suis correct. Peut-être qu'il y a de quoi qui se passe dans mon corps. Oui, parce que toi, tu es allé... Michel m'a appelé parce que il a dit... La gérante à Jean-François m'a appelé qu'il était allé à l'hôpital parce que toi, tu pensais que tu étais...

Oui, moi, j'ai eu bien peur, pour vrai. Finalement, le lendemain, quand je me suis dessoulé, j'ai fait... Oh oh, il s'est-tu passé de quoi? » Tu te rappelais pas? Ben oui, mais est-ce que ma tête s'est cognée? Est-ce que je suis correct? Je pense que je suis quand même beaucoup hypochondriaque. Oui, peut-être.

J'ai besoin d'être rassuré. J'ai besoin d'être rassuré, puis je m'en vais chez le médecin demain pour checker. C'est-tu vrai encore? Oui. Crèche, je suis désolé. OK, demain, demain. Demain matin. Il y a encore très mal.

À 6 heures. J'espère me réveiller. Non, non. On va partir. Amène-moi chez nous. On va aller ensemble au docteur. Oui. J'ai bien peur parce que je vais avoir un médecin de famille.

Je n'ai pas peur, mais est-ce que je suis obligé de montrer mon pénis au médecin de famille? Mais oui. Avant de répondre, attends que le médecin te demande de voir ton pénis. C'est ça le truc. Je me suis dit que c'était un médecin de famille. Sûrement qu'à un moment donné, il va le voir. Mais ça, c'est beaucoup plus épeurant. Parce que je n'ai pas de pénis.

J'ai montré, mais c'est pas... Parce que vous autres, vous vous montrez souvent. Mais on n'a pas de plaisir. Mais à un moment donné, c'est juste... C'est parce que j'ai su que mon médecin de famille avait genre 29 ans. C'était une fille. Je trouve que c'est weird

de montrer son pénis à une fille plus jeune que soi. Moi que c'est weird de montrer son pénis à une fille plus jeune que soi. Moi, c'est plus normal et confortable de montrer ma bulle à un vieillard. C'est vraiment plus naturel. J'aimerais mieux ça, parce qu'il n'y aurait pas de genre... Une vieille madame, « Votre pénis, il est bien correct, monsieur! »

Une jeune fait... Ça aurait pu se passer. » Moi, j'ai l'impression, par exemple, moi, ma blonde, on a un médecin de famille depuis un bout. Puis, elle ne m'a jamais demandé de voir mon pénis, mais elle a souvent vu le vagin

à ma blonde. Fait que j'ai l'impression que personne ne veut voir nos pénis. Mais, pensez-vous que faut-il que je me trime? Il n'y que personne ne veut voir nos pénis. Pensez-vous que il faut que je me trim? Il n'y a personne qui veut voir nos vagins non plus. Faut-il que je me trim? Faut-il que ça soit super propre? Moi, je vais te dire ce que tu fais.

Si elle te demande si tu peux voir ton pénis, je vais la mettre belle avant. Là, t'as shake. Trois, quatre coups. C'est microcarte. Puis là, aussitôt qu'elle touche, ça prend un peu de pre-cum qui sort.

Juste faire un... Non, mais c'est un sujet important, ça, parce que nous autres, c'est pas pour le fun qu'on va passer des examens, parce qu'on n'a pas vraiment le choix pour notre santé, tout ça. Quand j'étais jeune, moi, je me faisais des petites coupes pour aller voir mon genou. Mais je savais pas, tu sais, je savais pas trop Puis quand j'étais jeune, moi, je me faisais des petites coupes pour aller voir mon genou.

Ben c'est sûr, c'est clair. Mais je savais pas, tu sais, je savais pas trop. Ben moi, je... Mais c'est bizarre, tu sais. Puis c'était... Au début, moi, j'étais un jeune homme avec des chaussures, avec des... tu sais, des espadrilles avec des «springs», là. C'était ben, ben «hip», là.

Des enfants... pour sauter plus haut? C'était comme des chaussures de basket avec des «springs». En tout cas, il était comme ben à mode. J'ai jamais vu ça. C'est comme une vieille mode. C'est comme les Nike Air. C'est un peu comme les souliers d'handicapés, mais imagine, il y aurait comme des springs.

T'es trop flexible pour un gars chubby de même. Mais où? Toi, c'est clair que... Non. On dirait que tu brandis une prothèse. Regarde-toi! Toi, c'est clair que tu peux voir si t'es trimé en te penchant. C'est comme...

En fait, c'est parce que mes hanches sont trop ouvertes. Moi, je marche de même, comme ça, les pieds. Pour ça, je peux faire ça. Mon prof de yoga, il trouve pas que je suis flexible. Oui, j'ai un prof de yoga! Non, je sais, mais... Moi, j'avais commencé à faire du yoga

Je l'ai fait pendant deux semaines Puis j'ai arrêté J'aimerais vraiment ça, faire du yoga avec toi Mais moi, j'avais acheté Les Les DDP Yoga Ah ouais? Parce que DDP Yoga

DDP, c'est le Hulk Hogan qui a moins réussi De la lutte C'est le Hulk Hogan des pauvres. Il y avait deux fédérations. Une fédération un peu plus rough and tough. Il y avait la WWE qui est plus du monde vraiment plus flashy. Mange tes vitamines!

L'autre, c'était plus, on se pète des affaires sur le dos, il y a du sang! DDP, c'est Diamond Dallas Page. Quand il a pris sa retraite, il s'est cassé le dos en faisant de la lutte. Il a guéri son dos avec le yoga. Il dit tout le temps

« They sent your mama's yoga » ou quelque chose de même. C'est du yoga, mais c'est un gars de lutte qui fait tout exactement les moves de yoga. C'est du ashtanga. C'est du quoi? C'est du ashtanga. C'est du power yoga.

C'est juste qu'il le met comme dans une emballage. Yeah! Ça finit tout le temps avec Hulk it off! Come on, brother! T'as un gars de yoga qui t'appelle brother. C'est un peu ça. T'as-tu un petit costume de yoga? J'ai pas de petit costume. J'ai mes

bobettes et un matelas. C'est chez vous. Je le faisais chez nous. Je l'ai fait une couple de semaines. J'aimais ça, mais j'ai arrêté. Je ne suis pas capable

de faire du sport. Je devrais peser 900 litres. Je mérite d'être dans 600 pounds life. C'est juste que je ne sais pas ce qui se passe. Juste passe-moi une mop sur la bedaine. Apporte-moi un poulet.

Mais toi, c'est peut-être la musculation. Je ne sais pas. Côté musculation, ça va bien. Moi, je suis tellement faible. Je suis faible. Je ne suis pas en shape. Tu ne manges pas de viande, Mike? Je ne mange pas de viande.

C'est peut-être à cause de ça. Non, ce n'est pas vrai. Je niaise. J'aime ça manger vegan. Regarde, je vais le dire. Je m'excuse. Oui. Oh my God, il est blessé pour vrai.

Je suis blessé. Là, je suis content que tu aies tombé sur ton dos. J'ai été longtemps végétarien. Puis mon ami Julien est vegan, fait que je mange souvent vegan avec lui. Quand il y a un barbecue, je me team avec. Je fais genre,

on va manger des carrot dogs, mon gars. Là, je fais des hot dogs aux carottes. Ça doit être délicieux. C'est décevant, ça. Non. As-tu essayé la recette? Ça goûte comme des saucisses. Une carotte dans un pain. Oui!

C'est qu'en fait, la recette, c'est que tu mets... Il y a un genre de vinaigrette. Tu laisses trempler tes carottes pendant genre une heure. Puis ça, t'es criss dans le four. Puis là, elles deviennent comme molles, mais elles restent croustillantes. Puis elles goûtent comme la fumée liquide. Tu mets de la fumée liquide, puis c'est comme... Ça goûte bon, là. Puis là, tu manges des hot dogs, puis t'es comme genre... Yeah! Je mange des hot dogs!

Puis là, tu mets du pesto, puis là, ça pue finalement. Non, j'ai jamais... Mais moi, j'aime vraiment la fausse viande. Je vais l'essayer, pour vrai. T'as essayé le jackfruit? J'aime pas le jackfruit. Ah, oui.

Oui, j'aime pas le jackfruit. Tu sais quoi? Ça, ça donne la texture du poulet. C'est comme... C'est plus supposé être du pulled pork. C'est ça, c'est ça. Mais ça goûte plus le fruit effiloché, là, tu sais. Ça semble être ça.

Oui, oui. Ça goûte, là... Hey, je vais te faire une sandwich d'un fruit qu'il y avait dans une canne. Tu sais, en gros, là... Mais moi, j'en ai mangé... On est allés, moi et Julien,

en voyage en y en a, puis on a mangé dans beaucoup de restaurants vegan, puis il y en avait un à San Diego, vraiment cool. C'était comme un bar-restaurant où ils jouent

du death metal. Les murs sont comme plein de tapisseries roses, genre, tu sais, glam metal. Mais, c'est à rouvert

puis c'est juste vegan le menu. C'était fucking bon. C'était un sandwich au jackfruit, mais barbecue. Puis, tu sais,

ce qui est le fun de ce restaurant-là, c'est que c'est pas écrit « Ah, ça c'est vegan. Ah, ça c'est végé. Ah, ça, il n'y a pas de gluten. » C'est genre, voici le menu, fuck you. C'est délicieux. Puis, c'est que c'est pas écrit « Ah, ça, c'est vegan. Ah, ça, c'est végé. Ah, ça, y'a pas de gluten. » C'est genre « Voici le menu, fuck you. »

C'est délicieux. Pis c'était vraiment bon. Tout le monde a l'air de s'en coller. Mais c'est quand même compliqué. Vous voulez voir les photos? C'est compliqué pour un restaurant, un peu. Non, non, ça marchait. Des fois, c'était du death metal,

mais un peu plus Nickelback que death metal. Comme au Simon's. Du death metal, Jean Hansen. Oui. Non, mais tu sais, tu avais de la grosse batterie, de la grosse guitare, du monde qui chante. Des fois, il y avait du Ozzy Osbourne. Mais le concept, c'était metal, tattoo et vegan.

En simplicité. J'ai commencé à voyager à Star pour le fait que je ne mange plus de viande. Mettons que quand je vais à quelque part, je fais « Ok, je vais aller manger là, je vais aller manger là. » Il y a un resto que j'ai vraiment aimé qui accepte les chiens. J'ai amené un de mes chiens.

C'était délicieux? C'était vraiment bon. Je n'ai pas mangé un chien. Je sais que j'ai un chien aussi, mais les endroits qui me proposent d'amener mon chien, ça me donne envie de pleurer. À San Diego, en Californie, c'est chien-friendly partout.

Ça devrait. J'aimerais ça. Pas ça devrait. Partout. À l'hôtel, ils te demandent de t'apporter ton chien. C'est comme la première question qu'ils te demandent. Moi, ma blonde, elle m'a demandé, parce que nous autres, on a deux chiens. Un chien que tu peux amener partout, puis l'autre que...

Même aujourd'hui, on parlait de faire un voyage avec les chiens, parce que je suis devenu ce monsieur-là, que j'amène mes chiens. Puis là, j'étais comme, si on aimait une Oggy, s'il y a déjà eu... J'ai deux chiens. J'ai François Bellefille puis j'ai Oggy Nantel.

Puis... Oggy Nantel, s'il y a déjà eu un chien dans la place, un moment donné, on avait descendu, moi et ma blonde, en Floride, en char, puis on avait arrêté dans un hôtel pour les chiens. On a dormi huit heures. Pendant huit heures, Oggy a pissé sur tout

puis d'habitude, ils sont habitués sûrement à ça, mais ils m'ont appelé à tous les jours pendant plusieurs mois de juste faire c'est pas cool, tabarnak mon chien, c'est une marde il a trouvé de la pisse si il a déjà eu

n'importe quel animal qui est allé ou que lui, il faut qu'il marque son territoire. Il est castré. Il ne devrait pas. Il fait ça pour que tu sois fier de lui. Tu devrais le féliciter à chaque fois. Bravo!

Il veut juste que tu l'aimes. Il aime les bains. Je suis un mauvais père. Il fait ça parce que je'ai un mauvais pas. Mais l'autre chien, qui est tellement cool, à chaque fois qu'on va dans les restos, François Bellefille, c'est la meilleure... J'allais dire la meilleure personne,

mais c'est pas une personne, c'est un petit chien. Mais on l'amène partout. Elle est cool, elle est fun. Puis, Oggy Nantel, c'est une marde. Ça a beaucoup de sens. C'est quoi le nom de ton chien? Elle s'appelle Stella, même. Stella.

Ben oui. Stella, c'est quoi son nom? As-tu un nom de famille ou non? Non. Sûrement Stella Etier. Stella Etier. Au vétérinaire, je ne sais pas. Je ne sais pas s'ils mettent un nom de famille à notre chien.

Stella Etier, ça son distinguer un peu. Thier, tu trouves ça distinguer? Moi, je trouve que ça fait crissement bas de la ville. C'est vrai. Je pense que les seuls Thiers que je connais, c'est toi, puis tu fais distinguer. Non, mais c'est vrai,

tu fais distinguer. Moi, je connais d'autres Thiers. Tu fais distinguer? Ok. J'aime que tu viennes blesser toute ta famille. Oui, ben oui, mais il y en a qui sont extraordinaires. Ok. Mais c'était là.

C'était là? Ben oui. Et pourquoi ça? À cause de la bière? Hé, ça serait triste, hein? Ça aurait pu… Non… Ben moi c'est à cause de Guy Nantel et François Belfort. C'est pas si plus hot que ça. C'est un nom que j'aimais beaucoup.

C'est dans un tramway nommé Désir. Il y a une stèle-là. C'est la scène de Stella. Tu m'avais déjà dit ça. Non, mais stèle-là. C'est une petite boule de poêle puis c'était c'est elle là c'est une grande révélation

à bel oeil quand je suis allée l'adopter alors quel âge? elle vient d'avoir 10 ans ok c'est quel reste? t'as eu le regard Mike t'as eu le regard

ça sent bien elle va mourir dans 2 ans cette semaine j'ai tout le temps de la buée dans mes lunettes excusez moi j'ai chaud je suis nerveuse

c'est normal moi aussi j'ai chaud des fois c'est aussi moi je respire de la bouée dans mes lunettes. J'ai chaud. Je suis nerveuse. C'est normal. Moi aussi, j'ai chaud des fois. Moi aussi, je respire de la bouche. Je fais juste comme... Tantôt, j'ai de la misère ici. Je suis comme... En tout cas, on va assumer. La semaine passée, je promenais mon chien dans le parc.

Il y a tout le temps un monsieur qui s'appelle Mario. Il a un problème d'alcool. Il est tout le temps très, très défoncé. Ça fait plusieurs fois que je m'arrête, que j'y parle. Il est gentil, mais c'est une personne qui te prend en otage. Qui t'est pogné...

Ah, c'est pas mieux encore. En tout cas, qui te prend en otage et que tu y parles, t'es pogné 40 minutes avec le gars chaud qui te raconte la même histoire. Quand il voit mon chien, ça lui rappelle son chien puis c'est tout le temps

bien, bien lourd. Fait que j'ai comme décidé que maintenant, quand je croise Mario, je dis bonjour puis je passe mon tour vite, vite, vite parce qu'il est trop lourd.

Puis la semaine passée, je l'ai croisé puis je promenais cette aile-là. Je commence, il va me demander « Ah, il est beau ton chien, il a quel âge? » Fait que là,

ça fait la millième fois que je dis toujours « Mario, elle vient d'avoir 10 ans. Oh mon Dieu, tu vas pleurer bientôt. Mais avec une lueur, une lueur de bonheur dans l'œil. Mais tu sais, c'est parce qu'il me parle tout le temps de ça que mon chien va mourir. Mais là, cette fois-là, il avait une guitare.

Puis il s'est mis à le chanter. Tu vas pleurer bientôt. Je m'éloignais. Je savais que je vais pleurer bientôt. En tout cas, bref, c'est ça. Il me l'a chanté. Les gens, arrêtez de nous dire ça. On le sait qu'ils vont mourir.

C'est-tu ce que tu devrais faire? Prochaine fois que tu vas à ce parc-là, amène ton téléphone, fais Mario qui chante sa chanson. Dans trois mois, quand tu vas faire une séro du foot, il va mourir. T'envoies ça à sa mère. Fuck you, Mario. C'était là un Mario zéro.

On le sait que nos chiens vont mourir. C'est juste un peu fatigant de se le faire à tous les temps. Nous autres, François Bellefille, on l'a trouvé. J'ai aucune idée. Mon vestiaire, c'est un imbécile. François Bellefait,

j'ai des chats et Oggy Nantel y aillit tout le monde. Il essaie tout le temps de tuer les chats. On dort avec les chats. Quand on se lève, on a deux chats. Quand je me lève, j'ai Oggy qui arrive

qui est content. Aussitôt que je sors de la section des chats, il me saute dessus. Puis là, quatre minutes après... La section des chats. La section des chats. J'ai comme... Ma maison est absurde, tu sais.

J'ai comme deux mini-maisons collées ensemble. Puis on a séparé. Il y a une maison, c'est pour les chatsparé. Une maison, c'est pour les chats. L'autre, c'est pour les chiens. C'est très simple. Est-ce que vous avez plein d'affaires de chats dans la maison des chats? Comme des circuits. Le lit est en catnip.

Si jamais je vais coucher chez vous, je vais coucher dans la section des chats. Après ça, je vais aller dans la section des chiens le lendemain pour tirer. » C'est une des raisons pourquoi on a acheté. Parce que quand on a acheté, Oggie était trop content de voir les chats. Les chats, il y avait chacun 7-8 ans. Il avait peur de lui.

Au début, quand on a acheté la maison, on s'était dit, nouvelle maison, on va toutes les mettre ensemble. Puis il y a nos deux chats, vu que le chien les stressait, ils pissaient partout. Pendant une semaine, on a vécu dans une maison qui sentait la pisse de chat.

On a fait « fuck off ». On va fermer cette porte-là, les chats vont être là-bas, les chiens vont être là. Mais ce n'est pas une bonne idée. C'est juste nous autres qui sommes trop lâches pour éduquer nos animaux. Moi, pour vrai...

Tu as d'autres choses à faire. Si j'avais eu un bébé, j'aurais fait, regarde, il ne parle pas. Il va pointer. Donne-lui un bâton. Il aurait 42 ans. Il serait... Regarde.

Jimmy veut ça. Arrêtez de le juger, galisse. Jimmy veut ça. De quoi on parlait avant qu'on parle de la section des chats? On parlait de... Je ne le sais pas, mais c'est ça. J'ai deux sections. Ton vétérinaire, c'est un Christ de ton... Oui, mon assisté de vétérinaire.

Mais mon assisté de vétérinaire, ce n'est pas mon vétérinaire, mais on a amené François Bellefay voir un vétérinaire. Puis François Bellefay, je me lève, ça lui prend 10 minutes. Je peux marcher à côté d'elle, elle ne m'entend pas, donc il faut que j'applaudisse.

Puis là, elle se réveille, ses yeux, ses vitreux, ça dépète cataract. Le vétérinaire était comme, « Ta chienne-là, il y a six ans. » Je fais comme, « Il n'y a clairement pas six ans. » Chaque fois qu'elle marche,

chaque rac, elle a de l'arthrite. Elle est vieille. C'est un vieux chien, mais mon vétérinaire, je pense, il voulait que moi, dans ma tête, je fasse, OK, je vais le garder 15 ans. C'est clair, mon chien est sûrement mort en ce moment.

C'est quoi les noms de tes chats? Ils n'ont pas des noms punchés. C'est Émile et Mango. Mango. Mango. C'est ma blonde qui a nommé les deux chats. C'est moi qui ai nommé

les deux chiens. J'imagine. Moi, j'avais eu un chat, moi j'aime beaucoup les chats, puis le seul chat que j'avais nommé, moi quand j'ai fait l'école d'humour, il y avait un gars de mon année qui s'appelait Éric Lard, puis j'avais nommé un chat Éric Lard. Ça c'est drôle. Puis j'avais trouvé ça drôle, puis j'avais vu Éric Lard il y a une couple d'années, puis j'avais dit le vrai Éric Lard, pas celui qui chie dans le litière. Mais j'ai vu

le vrai Éric Lard. Un moment donné, je faisais un show, puis j'ai fait, hey, j'ai nommé un show Éric Lard. Puis je pensais qu'il allait rire, puis il allait être content. Mais il était juste comme, pourquoi? Puis après, j'ai fait, ah, je ne peux pas expliquer.

Ça fait que je suis juste parti. Je comprends. Ta blonde, elle veut-tu encore avoir un cochon? Tu parlais qu'elle voulait un cochon. Elle veut un cochon, oui. C'est encore dans les plans? C'est un peu dans les plans,

mais moi, je ne veux pas. Vu que la maison qu'on a, on a trop de marches et ils ont de la misère à grimper les marches, les cochons. Non, tu leur mets des petites bottes. Mais depuis qu'on avait parlé au podcast, il y a une madame du... Ben, une madame-là va être insultée.

Vu que le terme « madame » est devenu une insulte, j'ai découvert... C'est une fille dans 20 ans. Une bonne femme. Une crise de vieille tr rui de 24 ans mais il ya une jeune fille n'a je sais pas à quel âge peut-être à 50 mais à moi écrit que elle faisait de l'élevage de cochons avait dit viens me voir viens me voir avec ta blonde mais comme au saguenay ou au lac saint jean cest comme je ne ferais pas six heures de route avec ma blonde

sans ramener un cochon. Tu ne peux pas dire à quelqu'un « Je sais que tu veux un cochon, on va faire six heures de route, puis on va revenir tout seul. » Mais là, la question, c'est est-ce que ton cochon, il habiterait du côté des chats ou du côté des chiens? Moi, je pense que le cochon

irait où ce qu'il veut, parce que un cochon, c'est plus intelligent. Moi, je pense que le cochon irait où ce qu'il veut parce que un cochon, c'est plus intelligent. Moi, je pense que ça deviendrait... Il y aurait comme une... Le cochon... Il y aurait moi et ma blonde qui on est ici. Les chats et les chiens qui sont là et le cochon qui...

Dans le milieu de tout ça. Il peut faire ce qu'il veut. Je pense. Mais c'est vrai que j'ai jamais pensé à ça. Mais le cochon ne pourrait pas rouvrir la porte. Oh! Tu leur mets des petits gats. Je suis sûre que ça fonctionnerait. Les chiens et les chats, ils ouvrent des portes.

Fait que les cochons aussi. Moi, j'ai commencé. Le pire, tu sais, moi, j'aime vraiment beaucoup les animaux. Mais ma blonde, si j'ai dit que j'aime les animaux, déjà, on a quatre animaux. Ça n'a pas de chrysalide. Puis ça, c'est avec moi qui fais semblant que je n'en veux pas.

Mais depuis un an, je regarde des vidéos de cochons. J'aimerais ça, un cochon. Moi aussi, j'aimerais vraiment savoir un cochon. Mais il faudrait vraiment un cochon miniature. J'habite à Montréal, dans un petit appartement. C'est ça, l'aimerais vraiment savoir un cochon. Mais il faudrait vraiment un cochon miniature. J'habite à Montréal, dans un petit appartement. C'est ça, l'affaire. Parce qu'il y a des cochons, ils disent

« Ah, c'est un cochon miniature. » Puis là, finalement, il devient vraiment gros. Puis là, tu me donnes à la ferme, il va être du bacon dans pas long. C'est pas comme s'ils font « Viens, on va s'amuser avec ton cochon. » Fait que là, t'es comme « Ah, bien là, je le donne-tu ou je va s'amuser avec ton cochon. » Là, tu es comme « Je le donne-tu

ou je le garde, mon gros cochon? » Ça vit longtemps, un cochon? Oui. Je ne sais pas combien de temps. C'est rancunier. Moi, je vais te dire, quand je tombe en amour avec un cochon, moi, je suis rancunier comme ça ne se peut pas.

La seule espèce qui est plus rancunier que moi, c'est les cochons. J'avais vu un documentaire qui disait l'expression « tête de cochon ». C'était l'histoire d'une madame qui avait un cochon. Elle l'a déménagé. Puis là, elle rentrait dans son nouvel appart. Puis elle a fait, là, je ne peux pas tirer mon cochon parce que si c'est mon idée pis c'est pas la sienne

il va m'en vouloir pendant un an pis j'avais fait ah Chris il est comme moi faut que tu fasses à croire à ton cochon que c'est lui qui avait le goût de déménager c'est lui qui a le bail check ce que t'as acheté avec ton argent de cochon

tu lui fais ce bon pièce nice skill day. Check ce que t'as acheté avec ton argent de cochon. Tu y fais ce bon pièce. Nice. Oui, une petite vidéo de ton cochon avec une petite palette verte de comptable. Oui, ça marche, ça. La fin qui m'avait marqué des cochons, c'est qu'il faut que tu mettes de la crème solaire quand ils vont dehors

l'été. Faut que je crème mon cochon. On fait un party piscine, qui veut crémer le cochon? Pense pas à recrémer le cochon, là. Me semble que ça fait longtemps qu'on n'a pas crémer le cochon. En plus...

Mets-y du sang, mets-y de la sang. Mets-y, ah oui. Mais tu sais, tu sais, moi, dans le fond, moi, je pourrais faire ça. Vu que j'ai une maison, ça passe, crème ton cochon. Un cochon qui a un. Vu que j'ai une maison, ça passe. Je mets ton cochon dans une maison, dans un appart.

Ou, sais-tu ce qui serait hot? Moi, là, avoir un cochon, j'y mettrais une petite camisole pour qu'il pogne un coup de soleil sur ses épaules. Puis là, tu le sors, puis il est blême, mais il y a des petits coups de soleil sur ses épaules.

Oui, j'aime ça. Hé, ça sent délicieusement bon. Oui, oui. C'est comme un crescent. Avec une petite casquette de marin. Tu sais, quelque chose de marin. Moi, en plus, je suis vegan. Je passe les journées à licher les épaules.

C'est juste des petits becs. Mais je pense que je vais acheter un cochon. Si tu as une maison, si tu as un terrain... Comment tu vas l'appeler? Ça va être... Vu que ma blonde veut vraiment un cochon, moi, j'en veux pas vraiment. Je vais lui donner un nom gênant.

Quelque chose qui a rapport avec la trisomie. Ça va être... Juste pour que ma blonde aille avec la trisomie. Ça va être... Juste... Juste pour que ma blonde, elle aille honte à chaque fois. Me sert mal de fesse de gag. Mais en même temps, on a très hâte.

Mais oui, j'aimerais... Mais sûrement que je vais acheter un cochon, un moment donné. Un jour, un jour. Oui, un jour. As-tu un chalet? J'ai pas de chalet, mais je acheter un cochon Un jour As-tu un chalet? J'ai pas de chalet mais je vais avoir un cochon Non j'ai pas de chalet Si t'avais un chalet Le cochon est au chalet C'est quelqu'un qui s'en occupe

Qui habite dans la forêt Tu vas chercher ton cochon Je sais pas Je suis de faire Trouver un gars une fille en estrie que tu fais « Cherche quelqu'un qui va nourrir mon cochon. » Une ferme, une ferme de poules. Moi, j'aurais peur que le fermier mange mon cochon.

Ben non. C'est ce que les fermiers font. Il y a une toune d'amour. C'est qui déjà que c'est dirigé à un cochon? Tout le monde pense que c'est genre déjà? Que c'est dirigé à un cochon. Tout le monde pense que c'est genre Angie, you are so perfect. Tout le monde pense une toune d'amour pour une fille, mais c'est une toune d'amour

pour un cochon. C'est qui donc? C'est-tu la toune Angie? Angie! C'est quelqu'un qui joue de la guitare. Les choix sont limités. Les choix sont illimités regarde je vais l'écrire dans les commentaires

du vidéo ok ok c'est ça mais est-ce que le cochon viendrait dans le tourboss le tourboss

avec mon cochon ça là il faudrait qu'il sorte sa tête par la fenêtre je deviendrais ah ouais avec le cochon ah si

hey ça comment pas me faire juger quand j'arrive à quelqu'un? J'arrive à quelque part, ils sont comme, « Sans, mais est-tu excentrique, Mike Ward? » Non, non, il est correct. J'arrive en tourbus avec mon cochon.

S'il y a des petits pantalons, c'est correct. Tu sais, des petites jeans, là? Oui, taille haute. Il faudrait qu'on soit habillés exactement pareil. Tout le temps. Il y a un T-shirt un peu noir, tu sais, là. Mais tu sais, chacun, la casquette, tu sais, quand t'as un tourbus, t'as un camping-car, t'as une petite casquette qui est écrite tourbus, je sais pas, fait que chacun a

une petite casquette de Winnebago. En tout cas. Tu traînerais-tu ton cochon partout quand il y a des gens qui traînent leur chien, tu sais, là? je suis trop faible pour vrai parce que même un mini cochon c'est comme 48 livres je suis pas capable de lever tu sais souvent il faut que je prenne deux mains pour tenir mon verre imagine un cochon ouais ok j'avoue j'avoue j'avoueavoue. T'aimerais-tu avoir un cochon? J'adorerais ça avoir un cochon. Moi, je veux vraiment avoir un chien. Mais l'affaire, c'est que je ne suis pas souvent à la maison.

Je ne peux pas m'en occuper, donc je n'en ai pas. C'est une bonne idée. C'est ça, mais j'adorerais ça. Je trouve qu'il y a du monde, des fois, qui ne mérite pas d'avoir des chiens. Quand le chien est super énervé parce qu'il n'a pas sorti de la journée

et il jappe. J'ai habité chez quelqu'un. En bas de chez nous, il y avait un chien qui jappait à toutes les deux minutes. À toutes les minutes. Pendant sept heures de temps. Je l'entendais toute la journée. Il voulait juste sortir.

Je leur ai dit, je vais le prendre, le chien, dans le jour quand je suis là. Tout ça, donnez-moi la clé et un pauvre long jamais fait c'est ça les gens je sais je mérite d'avoir un chien en plus oui ça tient une personne à chier moi j'ai tu sais je bouge pas beaucoup fait que mes deux chiens sont devenus extrêmement lâche c'est ça je veux moi je trouve des fois il ya des chiens sont commeus extrêmement lâches. C'est ça que je veux, moi. Je trouve que des fois, il y a des chiens qui sont comme juste « Moi, je live my good life. »

« Je suis bien avec toi. » « On regarde ça à la télé. » Oui! Un chien avec des petites, petites, petites pattes. J'aime ça me coller avec un chien. On écoute la télé, il est fucking chaud. C'est-tu que je suis ma vie, tabarnak, mais je veux pas bouger.

J'ai les coups de pleurer! Non, non, excusez. Je suis triste, j'ai pas de chien, je suis désolé, je suis désolé. Fait que c'est-tu rendu comme, on parle d'animaux tout le reste du podcast. Ben oui, c'est bien. T'as toujours eu un oiseau, Mike.

J'ai jamais eu d'oiseau. T'as jamais eu d'oiseau. Ma grand-mère, elle avait un oiseau. C'est vrai? C'était bien spécial, ça, parce que... Parle-nous de ta grand-mère. OK. Mais ta grand-mère a eu un oiseau.

Elle a eu un oiseau, puis quand tu mets la couverte, ils pensent qu'il faut qu'ils fassent dodo. Ta grand-mère? Ou l'oiseau? Ma grand-mère... Une fois, ma grand-mère, elle avait un toutou dans son garde-robe. Finalement, c'était son oiseau.

Elle avait un super beau toutou de chien, mais vraiment réaliste. Puis là, je le flattais. Oh non! Puis là, elle a dit, touche pas ce toutou-là! Puis là, elle l'a rangé. Mais est-ce que c'était comme un toutou? C'était-tu qu'un chien empaillé?

Je sais pas. Moi, ma tante Micheline, elle avait fait empailler son chien. Moustique. Ah oui? C'est un caniche blanc. Vraiment pas fi. Il était dans une cage de plexiglas dans le coin du salon.

Moi, je le trouvais très beau. En y repensant, c'était bizarre. À un moment donné, il aurait fallu qu'il le jette parce que les mythes se mettent là-dedans. Oh, shit! C'est illégal, la star.

Moi, c'est ça. Je pense que ça n'a jamais été vraiment légal. Tu sais, tu as ton chien qui est un petit peu surpris et pas vraiment lui-même, mais il est là. Parce que l'affaire,

c'est qu'empailler, c'est une affaire d'artiste. Pis souvent, les gens qui font ça, empailler des animaux... C'est un hobby. C'est ça. Ou c'est pas les artistes qui ont, je dirais, réussi à faire quelque chose d'artistique. C'est plus du monde... On va fourrer des chats avec de la ouate. Ah ouais.

Je suis pas capable de sculpter, mais quand la sculpture est déjà faite, c'est correct. Je suis comme Picasso. Ils m'ont aimé mettre des beaux yeux, celle-là. Ils vont avoir l'air de vouloir nous tuer. Parce que les yeux, ils ne mettent pas...

Ils doivent mettre des petites billes. C'est ça, c'est des petites billes. Des yeux de poupée, puis il n'y a pas de cils, donc ils ont l'air de... Ils devraient juste fermer les yeux, puis avec un remote que la nuit, ça roudit.

Elle est mignonne. Tu vas pisser, t'es comme au colis. Ah, mon Dieu. Eh oui. T'as jamais su que c'était un chien paillé? Non, j'ai jamais su,

j'étais trop jeune, j'avais genre 6 ans, 5 ans, je m'en souviens vaguement. Mais tu sais, c'est tellement étrange, elle a fait empailler son chien, mais elle le met dans son garde-robe. Je sais pas si c'est un vrai, je sais pas.

Elle est morte, je peux pas lui demander. Pis es-tu empaillée, elle, ou est-tu encore? Non, non, non. Incinérée, je crois, et enterrée. En es-tu certain? Non, je l'ai pas vue. C'est-tu... Ah, fuck! Tu le sais pas. Tu sais, elle, quand elle est morte,

ça veut dire... C'est-tu la mère à ton père ou la mère à ta mère? La mère à mon père. Ton père. Fait que ton père, quand il a fouillé dans son appart, il a fallu qu'il fasse... Bon, asti, le chien a paillé. Il va-tu dans les poubelles dans le recyclage?

Peut-être. C'est drôle parce que mon père, c'est sûr qu'il écoute le podcast et il va m'en parler. C'est vrai? Ben oui. Ben, écrivez-le dans les commentaires. Ah, bonne idée. Non, mais en fait, ils ont trouvé vraiment beaucoup d'affaires chez ma grand-mère.

Elle était diabétique et elle cachait des bonbons, mais fucking partout. Fait qu'il y avait des Worders original, mais partout dans la maison. Tu sais, comme dans tous les tiroirs, il y en avait. C'est une belle histoire, trouvez-vous. Pourquoi elle faisait ça? Elle avait peur de faire des baises de sucre? Je ne sais pas. Mais je sais qu'elle achetait beaucoup d'objets.

Une paire de ciseaux, je pense qu'elle en avait acheté 20. Ils étaient partout dans la maison. Je pense que c'était quelqu'un qui était hoarder. Quelqu'un qui ramassait. Pas maladif comme on voit aux États-Unis que le monde couche dans leur marde. Il y a des shows sur Netflix. J'écoute ça avec ma blonde.

C'est difficile à checker. Il y a une madame, elle a des problèmes respiratoires parce qu'il y a trop de crottes dans sa maison. Elle a genre 60 chiens, 50 chats. Ils pissent à terre sur le tapis.

14 qui sont morts. Genre, en dessous du linge et tout ça. Elle a des problèmes respiratoires et elle ne veut pas ouvrir les portes. Les fenêtres sont faites.

Ses enfants ne vont même plus la visiter parce que ça pue trop. Ils ne sont pas capables. Ils dégueulent quand ils rentrent dans la maison. Là, tu as le show qui filme ça.

Il y en a un autre que c'est un dude que lui, sa femme, elle a quitté pour une opération, pis là elle habite chez sa fille, pis là lui tout d'un coup il est viré fou, pis il accueille des chats, il accueille des chats, il accueille des chats, pis la maison est détruite de pisses pis d'urines partout. Pis là y'a du monde qui rentre là-dedans, ils font « Ah, il faut qu'on rase la maison monsieur, je suis désolé. » Pis là lui il est comme « Non non, j'ai pas de problème, c'est correct, moi je vis avec les chats. »

T'es comme « pour vrai, non. Il faut faire de quoi, la gang? Mon ancienne... T'as-tu pas nié l'épisode, il y a un épisode, je sais pas si c'est le même show, j'en ai pas nié un sur Netflix, de ça, pis c'était la fille avait commencé à accueillir des chiens pendant que son chum il fait de la guerre en Afghanistan. La maison lui appartient, pis elle,

elle a commencé à accueillir des chiens, pis là, sa maison, c'est une ruine il est shell shocked il a le goût d'aller se coucher dans le lit dormir dans mon lit plein de crottes de chiens il est au courant de rien sa maison c'est une ruine astigement nuit de l'odeur des grottes de l'Afghanistan

c'est terrible tout le monde va très mal on le cache. On a tous l'air de bien aller. Mais tu sais, moi, Daniel Grenier, qui faisait mes premières parties, il est un peu hoarder. Je suis allé chez eux un moment donné

et j'avais dit, j'avais fait, tu réalises que ce n'est pas normal de garder autant de petites cochonneries dans ton bureau. On a toutes des affaires fucked up. Je connais du monde aussi qui collectionne des jeux de société tellement qu'ils ont sûrement de la misère à se promener chez eux.

C'est ça. On va arrêter de parler de ça. Je pense. Catherine, as-tu une affaire weird genre on va chez vous et tu as 400 poupées en céramique dans ton salon? C'est un petit peu comme ça.

Ben, chez moi, en ce moment, ça a un peu l'air d'un costumier. OK. C'est pas agréable. Vu qu'il y a Éric Salvin qui sort de la grande devant tout le monde, dis-tu? C'est pas un bon gag, ça. Pensez à l'hydro.

Moi, je traverse quelque chose en ce moment. Je sais pas trop comment le formuler. J'ai acheté longtemps. Pendant les deux dernières années, compulsivement, j'achetais des vêtements. Sans cesse. Mais maladivement

c'est comme si je m'en suis pas vraiment rendu compte c'est quoi maladivement c'est genre 10 affaires par semaine ou ça pouvait ça pouvait arriver puis ça pouvait être des gros montants c'est juste ça me faisait plus rien d'acheter j'achetais en ligne je faisais pas ça dans des magasins physiques. J'ai toujours été un peu extravagante. J'aime ça me mettre des bandeaux. Ça noie. J'ai toujours célébré ça. Ça va. Mais là, ça a pris une tangente un peu inquiétante. Chez nous, c'est devenu un peu un genre de costumier. Je me suis méga endettée. Je suis en train de gérer cette affaire-là.

et je suis en train de gérer cette affaire-là. Mais oui, je suis vraiment… C'était-tu le fait que, vu que ça va bien, tu as 40, tu avais plus d'argent, tu dépensais sans y penser? C'est sûr que tu as accès à plus d'argent. Ça peut paraître tellement niaiseux, tellement facile, tellement superficiel, arrête de tafler des rames, mais non, c'est vraiment…

C'est comme si j'étais alcoolique, je suis en train de traiter cette affaire-là, je sais que je ne suis pas toute seule, mais moi, c'est ça, j'ai décidé d'en parler, mais oui, j'avais accès à des sous, mais c'est vraiment pour gérer mon angoisse, parce que quand ça n'allait pas bien, ou quand j'étais stressée ou engassée,

c'est-à-dire pas mal tout le temps, en travaillant, c'est bien facile d'acheter toutes sortes de niaiseries sur Internet. Mais moi, c'est ça. Je n'achète pas des TVs, je n'achète pas des meubles, je n'achète pas des maisons, j'achète des vêtements. Puis, tu sais, j'y reçois et je n'ai aucun plaisir quand j'y reçois.

Je ne suis même pas... Tu les essaies-tu ou même pas? Tu fais juste, ah, c'est cool, tu l'accroches. Oui, mais là, tu sais, ça va mieux. J'ai commencé à traiter cette affaire-là. Mais oui, non, c'est même pas comme le plaisir de posséder des affaires, de faire des parades de mode,

d'aller dans des événements. Je suis tout le temps chez nous. Moi, j'aime pas ça être dans les événements puis les tapis rouges, les affaires. C'est même pas genre la pression d'être une carte de mode. C'est juste devenu un genre de maladie, de compulsion, là.

Mais tu viens de me faire réaliser, mettons que je t'ai vu dans ta vie, mettons 60 fois, puis je ne t'ai jamais vu porter la même chose deux fois. Et voilà. Tu fais dessus. Fait que dans le fond, là, je suis en train de nourrir ta maladie.

Non, non, non. Oh, j'ai gagné. Non, mais il n'y a même pas ça dans ma tête, pour vrai. Puis c'est sûrement qu'il y a une partie de ça, un peu. Mais tu sais, ce n'est pas ça. Ce n'est pas de vouloir être la plus jolie sur le trottoir. Ce n' a même pas ça dans ma tête, pour vrai. C'est sûrement qu'il y a une partie de ça, un peu. Mais ce n'est pas ça. Ce n'est pas de vouloir être la plus jolie sur le trottoir. Ce n'est même pas ça. Il y a plein de choses que j'ai jamais...

Il y a des étiquettes dessus. C'est vraiment étrange. C'est ça. Tu ne t'attendais peut-être pas à ça. C'est ça, en ce moment, chez nous. Mais je suis en train de... Ça va bien aller. Qu'est-ce que tu fais pour régler ça?

Il faut consulter. Est-ce que tu fais pour régler ça? C'est... Il faut consulter. Est-ce que tu vas vendre ton linge? Qui sait qui va acheter ça? Je ne sais pas. C'est tellement... Mets le lien dans les commentaires. Vends ton linge en bulk. 60 pièces de vêtements.

Il y a tellement d'affaires. C'est ça qui doit faire chier. Mettons que tu dépensais 500 piastres par semaine pendant des années. Puis là, ton ou ta psychologue fait « Regarde, il faudrait que tu le vendes.

Puis quelqu'un va faire « Je te donne 40 piastres, puis je prends tout. » Moi, pour vrai, je m'en contre-torche de ça. Ce n'est pas pour moi. En ce moment, je suis dans le cœur de cette patente-là. Je n'en veux pas. C'est sûr qu'il y a des affaires que je veux garder, des petites choses.

Mais j'ai tellement de stock que ça n'a pas de valeur. C'est juste un problème. Je n'ai pas d'émotion face aux choses que j'ai achetées. C'est juste dans le moment où je cliquais, où je magasinais, il y avait quelque chose qui se passait dans mon petit cœur. Ça durait 10 minutes, j'avais un buzz. Après ça, je ne me rappelais même plus.

J'ai développé une relation bien étrange avec le facteur, d'ailleurs, qui est comme mal à l'aise tout le temps. Vous, c'est là que ce n'était pas super. Moi, j'ai ce genre de relation-là aussi avec mon facteur. Oui. Vu que moi, je commande de Amazon, j'ai au moins trois affaires par semaine.

C'est ça. Des fois, t'oublies-tu, c'est quoi ça? Mais tout le temps. Là, à ce temps-là, c'est moins pire vu que je bois moins que je buvais. Mais pendant un bout de temps, je commandais tout le temps sous. C'était tout le temps une surprise, puis je trouvais ça drôle. Puis là, je bouille quand même pas mal, mais je n'achète plus rien sous.

Magasiner sous, ce n'est pas une bonne idée. Oui, non. Moi, tu vois, je n'ai jamais fait ça. Moi, j'ai souvent fait ça. Je ne sais pas. C'est parce que tu es couché dans ton lit, puis tu es comme, je vais aller voir sur Amazon. Ça, c'est vrai, ça me tentait.

Ah, il y a un livre de ça. À tout quart, à tout quart. Woup! C'est livré demain. Ding dong. Une petite surprise. Oui, oui. Moi, je n'ai pas...

Vois-tu, avant, j'achetais beaucoup de livres. Puis après, j'avais arrêté de lire. Puis là, dans la dernière année, je me suis dit, je vais recommencer à lire. Fait que je dois commander trois livres par semaine, mais j' lire. Puis là, dans la dernière année, je me suis dit que je vais recommencer à lire. Je dois commander trois livres par semaine, mais j'ai lu zéro livre dans la dernière année. Je dois avoir 160 nouveaux livres que je fais un moment donné, je vais aller sur Amazon et je vais m'acheter une autre bibliothèque.

Mais ce n'est pas perdu, ça. Parce qu'à un moment donné, ça reste les livres. Ça devient toujours pertinent. Ce n'est pas comme des robes. Mais des robes, ça se garde. Je me suis dit ça les dernières années. J'en ai gardé beaucoup. As-tu beaucoup de souliers aussi?

Toi, tu habitais avec moi. Mais dans ce temps-là, ça allait bien. C'est vrai quand même. Ça allait quand même bien. Ça allait correct. Mais tu avais moins de linge. C'était plus le Saint-Hubert qui venait souvent à la maison quand on était ensemble.

Ça fait deux fois que tu me dis ça et moi, je n'avais pas remarqué. À un moment donné, tu disais « Chris, le livreur, il connaît mon nom. » Moi, à l'époque, je n'avais jamais commandé de Saint-Hubert de ma vie. Mais là, tu n'avais pas vécu. C'est vrai que tu es plus jeune

que moi. Parce que j'étais gêné. Puis là, j'ai découvert ça. Mais c'est vrai que je commandais juste Saint-Hubert. Je mangeais beaucoup de tout. Tu mangeais Saint-Hubert deux fois par semaine,

maintenant? Moi, je dirais que c'est fou. Quatre fois par semaine. Non. C'est vrai. Il y a une certaine époque, mais tu travaillais beaucoup. Tu travaillais en pub, je pense. Tu mixais-tu tes commandes? Tu sais l'exc tu travaillais beaucoup, tu travaillais en pub, je pense.

Tu mixais-tu tes commandes? Tu travailles en pub, fait que je mangeais beaucoup. Voyons, je mangeais pas quatre fois du Saint-Hubert par semaine. Tu mangeais du Saint-Hubert quatre fois semaine, comme moi maintenant. Pareil. Tu mélangeais-tu? Je me rappelle pas. Tu mélangeais-tu tes commandes, genre,

les mardis, c'est Club Sandwich, les mercredis, c'est un hot chicken. Club Sandwich, changer le mal de place, c'est soit des salades Saint-Hubert. Tu commandais toujours des salades Saint-Hubert. Arrête de mentir! Je ne m'en rappelle pas! C'était en 2007! Réveille!

Je te crois. Tu m'as vu. Je ne me voyais pas. J'étais en publicité. Là, à cette heure, as-tu une pièce dans ta maison que c'est juste des robes vu puis je me voyais pas où j'étais en publicité fait que là là à star tôt dessus tout une pièce dans ta maison que c'est juste des robes que tu as commandé sur internet la fin c'est que moi j'habite dans un très petit roi et demi fait que l'oeil à ton salon c'est un walk-in ça ressemble à ça le pied c'est vraiment

là cet été je suis comment prennent d'épurer mes affaires parce que c'est ça je faut que je me refais je reprends la situation en main, mais c'est aussi que je me rendais pas compte de ce dans quoi j'habitais. Parce qu'il y a vraiment beaucoup d'objets, beaucoup de souliers partout, une pôle à vêtements, des robes en tulle, des affaires superbes.

J'étais contente de les posséder cinq minutes quand j'ai cliqué sur l'affaire, mais ça n'a pas de bon sens que j'aille ça. Fait que c'est ça. Ultimement, un jour, je vais déménager, mais pas pour avoir plus de vêtements partout. J'habite dans un gros garde-robe un peu poussiéreux. Tu devrais faire... Pourquoi tu ne t'associes pas à une cause?

Utiliser ta célébrité pour faire porter le linge de Catherine Hettier. Puis là, tu montes, mettons, une robe avec tout le temps des photos. C'est une bonne idée. Oui, la vente de garage de Véro et Louis. Tu pourrais aller porter ça là-bas. Je serais fière. Tu signes chaque morceau de vêtement en bas. Sinon, je peux les signer, moi.

Je suis déprimée en hostie. J'ai accès à ce linge-là parce que je suis anxieux. C'est pour remplir un vide dans ma vie. Oui. Ce serait des petits mots comme, si je peux faire ça, j'y vais. J'avais lu un moment donné, l'année passée,

il y avait un des gars de Simple Plan, je ne sais pas lequel, parce que dans ma tête, c'est tout le temps le même gars, mais il y avait un des gars que lui, il disait qu'il y a une nouvelle monde d'Astaire que tu ne devrais jamais avoir un des gars que lui, il disait qu'il y a une nouvelle mode de la star, que tu ne devrais jamais avoir plus que 21 objets de linge.

Il y a une mode de la simplicité volontaire, mais exagérée que le tabarnak. Puis là, j'avais fait, OK, je vais faire ça. Puis j'ai réalisé que, crée, j'ai deux paires de culottes. Fait que là, j'ai fait…

Bien, c'est une de trop. T'es déjà rendu là. J'ai fait crèche. Je suis vraiment à simplicité volontaire sans le vouloir. Mais il y a comme une affaire en ce moment sur les… Je suis comme tombée dans un vortex de youtubeurs. Depuis un an, j'avais comme fait un projet. J'écrivais un document pour quelqu'un. Puis ça concernait des youtubeurs. Il fallait que les personnages soient des youtubeurs. Puis moi, je ne connaissais pas ce monde-là, donc je suis allée voir un peu, mais je me suis faite aspirer

et j'en regarde encore parce que ça me fascine vraiment, ces gens-là. Il y a comme une mode qui s'appelle la méthode Con Mary. Je ne sais pas si tu connais ça. C'est une façon d'écumer, d'épurer ta maison. Il faut que tu prennes les objets de ta maison

ou tes vêtements. Tu y vas par section. Tu prends tous tes vêtements. Tu les prends un à un dans tes bras. Tu regardes si tu ressens du bonheur. Si tu ne ressens pas de bonheur, c'est ça qu'il faut faire. Il faut que tu réunisses tous tes vêtements de ta maison au milieu de ton salon. Tu y vas un à un.

Tu écoutes. Je n'ai pas encore fait ça. Ça doit être blessant pour ton chum ou ta blonde quand tu fais... Non! C'est la grosse, grosse mode. Ah oui? Moi, par exemple, je veux faire ça...

Je me suis vraiment débarrassé de plein d'affaires, mais mon bureau, c'est un désastre. Moi, mon bureau... N'importe quelle personne que j'ai rencontrée dans les 20 dernières années qui m'a dit, j'ai un cadeau pour toi, c' Moi, mon bureau, n'importe quelle personne que j'ai rencontrée dans les 20 dernières années qui m'a dit « J'ai un cadeau pour toi, c'est dans mon bureau. » Là, mon bureau, c'est juste

une montagne de cochonneries. Peut-être que tu devrais mettre ça dans la pièce à chat pour qu'ils s'amusent avec. Je ne sais pas, peut-être. Mais es-tu bien dans ton bureau? Parce que des fois, les gens, un bureau, ça devrait être vraiment clean. Moi, je crée bien, j'écris bien dans un bureau? Parce que des fois, les gens... Parce qu'un bureau, ça devrait être vraiment clean. Moi, je crée bien.

J'écris bien dans un environnement. Dans le chaos. Ben oui. Je veux dire, pas besoin d'être blanc. Mais tu sais, les cadeaux que le monde nous donne, arrêtez de faire ça. Qu'est-ce que t'as reçu? Non, mais dans le sens... On a de l'argent, là.

On est capables de se payer nos affaires. Mais... Non, mais j'ai souvent reçu des cadeaux. C'est correct. Mais tu sais, des fois, tu reçois comme un jeu de tic-tac-toe de Noël. Mais j'ai remarqué... J'aime pas ça tant que ça, le tic-tac-toe.

Je sais pas. Je suis sûr, par exemple, la première année, tu as reçu des cadeaux des fans, tous les cadeaux de toucher, puis là, tu es juste devenu un esti de vieux blasé. J'ai jamais reçu de cadeaux de fans, en fait. Là, je parle vraiment de ma famille. Ah, mais je pensais

que c'était tes fans aussi. Non, non, non, non. Souvent, les fans, ils veulent qu'on signe des affaires qui n'ont pas rapport. Mais tu sais, mettons, tu peux avoir des fans qui font « Hey, je t'ai dessiné » ou « Je t'ai fait un T-shirt avec ta face » ou whatever. Non, souvent, ils m'envoient des vidéos de leurs enfants

qui chantent mes chansons vraiment vulgaires. C'est ça qu'ils font. C'est comme, mettons, j'aime l'épinote. Il y a une tournée, à un moment donné, ça dit « Même si je pongue le cancer du sac. » Puis là, ça parle de tout. Puis là, je suis comme, genre, c'est un enfant de 8 ans qui chante ça devant, comme, dans une fête d'enfants.

Puis je trouve ça vraiment drôle. Oui, bien là, tu sais, on chantait du rock et belles oreilles quand on était petits. Puis ça, on a bien viré. Regarde-nous. Ah, ma mère, quand on l'a rencontrée, je trouve ça vraiment drôle. On chantait du rock et belles oreilles quand on était petits. On a bien viré. Regarde-nous. Ma mère a rencontré Yves Pépelcier. Je m'excuse, maman. C'est très drôle. Yves Pépelcier, c'est son idole. On a fait...

Tu avais travaillé. J'ai fait la musique de son show stand-up. Il était impressionnant. Quand tu le rencontres, surtout, tu es plus jeune que moi, mais parrain, tu es... Moi, c'était mon idole aussi de Rock et Belles-Aurées. Je l'aimais beaucoup. C'était mon préféré. En plus, pour moi, c'était le meilleur

d'Air B.O. dans le temps. Il était impressionnant. Il est venu voir notre show, notre show stand-up, moi et Julien. Ma mère l'a rencontré. Elle était super énervée. C'est super cute. C'est juste quelqu'un qui est énervé. Elle lui a pris la main et elle lui a baisé la main. Comme un roi. Ah oui?

Je t'aime tellement, tu es mon idole, avec plein d'étoiles dans les yeux. Mais là, lui, il est full gêné. Il est vraiment gêné. Puis il était comme, merci, merci. Puis là, il est parti bien rapidement. Puis là, ma mère n'arrête pas de le sortir à chaque fois. Ah, quand je vais rencontrer Vivian,

c'est normal, maman. T'étais juste énervée. C'est drôle. C'est drôle. C'est correct. Le Québec thème, maman. Sur le show à Yves Pépeltier, t'as fait de la musique? Oui.

Genre les walk-in, walk-out. J'ai pas vu son show. Toutes les ambiances sonores. C'est comme un show qui a beaucoup de personnages, beaucoup d'univers différents. On a travaillé beaucoup en amont parce qu'il voulait que ce soit vraiment comme un film. Il y a beaucoup de séquences,

mettons, genre, là, il me faut des enfants qui chuchotent. Là, il me faut une horloge. Tu faisais tout ça? Tout au complet. On a enregistré toutes ses voix. C'est toi, les enfants qui chuchotent? Non, on a trouvé des enfants dans le cours d'école, des libres de droit. Comment t'as trouvé ça? T'es allé

avec ton iPhone, t'as fait... Non, non! Je suis pas un pédophile! Chuchotez, les enfants! Là, t'entends juste c'est qui le monsieur barbu. Moi, j'y monterais pas, mon pédophile. Non, il y a des banques de son sur Internet.

On a tout fait son habillage sonore. Je ne savais pas ça. C'était-tu les appendices au complet? Moi et Julien seulement. Il n'y avait pas les deux. Les autres ne font pas de musique. Je suis celui qui fait un peu de tout dans l'émission.

La plupart du monde a comme chacun une spécialisation. Réalisation, montage, effets spéciaux. Mais moi, je fais toutes ces affaires-là. C'est pour ça que je travaille souvent avec mes amis. C'est super intéressant. C'est vraiment intéressant. C, mais c'est intéressant. C'est vraiment intéressant.

C'est ça, on travaille vraiment en équipe. En ce moment, tout le monde travaille un peu sur différents projets parce qu'il faut faire de l'argent parce qu'on n'a plus d'émissions de télévision. Là, vous avez à chaque année un spécial. Non, ça a été annulé. Tabarnak! C'était le seul bon show de Noël.

Ils ont dit que ce n'était pas d bon show de Noël. Ils ont dit que ce n'était pas dans les plans. Non, c'est ça. Oui, à part courriel. Tu aurais dû leur dire que c'était dans mes plans. Ça ne reviendra pas à Télé-Québec. Je ne sais pas trop. Il n'y a pas de plan ailleurs.

C'est vraiment genre, on n'en a pas. Il y a plein de pression. Je ne pense pas vraiment. Je ne pense pas. Il y a plein de pression. Je pense pas vraiment... Je pense pas que le podcast a assez de pouvoir. Mais quel poste que... Moi, je veux aller à tout.tv. Moi, c'est ça que je veux.

C'est ça ton rêve? Mon rêve? D'aller... Le monde écoute plus la télé. Moi, j'ai le rêve d'avoir 9 pubs de 30 secondes. Non, non, non. Le monde n'écoute plus la télé. Moi, je veux aller à une place

où les gens peuvent écouter mon émission quand ils veulent. Je veux pas les forcer à les asseoir le lundi à 8 h. Je veux qu'ils puissent le checker quand ils veulent pis qu'il y ait de la promo partout dans la ville pour dire

« Hey, il y a ça! » « Checkez-le! » C'est ça, mon rêve. Il faudrait... À tout point TV ils doivent avoir un Twitter ils doivent avoir

un Twitter c'est des peins finaux il y en a un vous devriez bombarder puis même vous autres vous devriez demander

à vos fans de les bombarder parce que le monde à ce temps ils sont tellement influençables s'il y a trois personnes qui écrivent

à tout point TV ils vont faire tabarnak! » Ah, si, il faut les engager. Moi, mon pitch de vente, c'est écouter notre bye-bye pendant la flac. Parce qu'on s'entend que le bye-bye de la flac, c'est pas super. Éta.

Ah, qui raison, hein? T'es-tu un fan de la flac? Ah, c'est que c'est mauvais. Hey, Yann, il vient de te traiter de vieux, t'as de mal. J'espère que t'as vu la face. Non, tu dois avoir aimé ça, toi. C'est correct, mais qui a de joli en écoutant ça?

C'est zéro correct. C'est juste le passage obligé pour tout le monde à en parler. C'est l'équivalent d'un coup de pied dans les testicules de l'humour. Il était bon dans le temps, Gérard Delaflac, à l'époque de Télé-Québec. Quand c'était une marionnette, c'était bon dans le temps. Gérard Delaflac, à l'époque de Télé-Québec.

Il était une marionnette. C'était trash en tabarnak. Depuis que c'est revenu à Radio-Can, c'est nul à chier. C'est juste comme, on fait des imitations. C'est en 3D. Comme Macari-Tougarny. On s'en calisse, pour vrai. C'est une affaire de vieux, de mes parents.

C'est pas de notre génération. C'est quelqu'un qui a vu les têtes à claques, qui a fait « On va faire ça, mais sans le « edge ». Ça va être... Mais tu sais, si c'est encore là, c'est parce qu'il y a-tu bien du monde qui regarde cette affaire-là? Ben, ils ont une grosse locomotive, tu sais, tout le monde en parle. Fait que tu vois, peu importe

ce que tu mets à cette heure-là, il va y avoir du monde qui va écouter, parce que les gens attendent pour que tout le monde en parle. Bien sûr. Mais tu sais, c'est correct, ça en emprunt. Je ne dis pas

annuler la flaque et mettre une autre place. Je dis, écoutez-nous pendant la flaque. De toute façon, vous allez vous ennuyer. Ce serait de quoi sur Internet

que tu peux loader quand tu veux. Soit tu l'écoutes pendant le bye-bye ou si ça, c'est très possible parce qu'on s'entend que je vais dire,

moi, je m'ennuie quand j'écoute ça. Mais vous autres autres par exemple il y a eu un bon gag c'est cool j'aime bien Simon et tout mais pas pour moi vous avez tellement de monde par exemple qui vous aime

pis du monde haut placé du showbiz pis ça me surprend qu'il y a pas genre une Véro ou un Patrice Écuyer ou quelqu'un qui a dans un meeting avec Léo placé de Radio-Can, juste faire « Chris, est-ce que vous avez pensé

leur donner leur spot? » Oui, oui. Écoute, je ne sais pas. Sûrement que ça se parle en coulisses, mais on ne le sait pas trop. Et vous aimez bien, vous avez déjà fait des choses. Oui, mais Radio-Can nous aime beaucoup. Mais je pense qu'en fait, ce qui fait peur au monde, c'est l'absurde.

Tout le monde fait « Ah, mais vous êtes absurdes! » « Vous êtes trop weird! » Ben non, esti, c'est pas... Oui, il y a des affaires bizarres, mais c'est genre 10% du show, tu sais. Ferme-toi les yeux pendant ce bout-là, pis c'est tout, esti, à un moment donné... Tu sais, oui, il y a des affaires bizarres.

Oui, il va y avoir des affaires, tu vas faire « Tabarnak, ils ont pris de la drogue! » Oui, peut-être, un peu. Il y avait des choses très bizarres. Oui, il va y avoir des affaires qui vont faire tabarnak. Ils ont pris de la drogue. Oui, peut-être, un peu. Il y avait des choses très bizarres dans Passepartout. C'est ça aussi que je dis. Ça a bien été pareil. Ils en prenaient de la drogue aussi.

La majorité de nos jokes sont compréhensibles. C'est des niaiseries et des grimaces. Je trouve ça plate que je suis catégorisé absurde. La plupart de nos jokes, c'est des niaiseries pis des grimaces. Oui! J'espère que c'est pas le même speech, t'es chaud. Regarde-moi là,

40% de niaiseries, 20% de grimaces. Non, mais tu sais, des fois, il y a un gars qui parle avec une voix de main pis il a les yeux comme ça. Tu sais, c'est ça. Mais comment vous faites quand... Souvent, c'est ça. Mettons, M. Zip-Zap.

Zip-Zap, Zip-Zap, Zip-Zap. Est-ce que tu dois faire approuver cette affaire-là? Comment ça se vend? Non, non, mais parce que c'est... C'est merveilleux. C'est une pure merveille. C'est ça qui est drôle. Il faut qu'on envoie des textes à des gens qui lisent à Télé-Québec.

Mais ils comprennent fuck-all. Oui, mais qu'on prenne fuck out. Souvent, ils disent non. Ils disent ça, ben non. Puis là, on fait, on va le faire pareil. Puis là, on le fait pareil, puis c'est la meilleure affaire. Finalement. Je pense que c'est pour ça que vous n'êtes pas revenus. C'est sûr que oui.

Ton boss ne fait pas ça. On le fait pareil. Avec des petits couteaux. Neuf ans, c'est quand même respectable. On va se le dire. Merci Télé-Québec. C'est super chill. Neuf ans, pour vrai, c'est rare l'émission.

À part La Flaque, ça fait comme 15 ans. Ça ne fait pas 15 ans, mais ça a l'air de 15 ans. Ça fait un an et demi. Ça file 15 ans. C'est la deuxième sa demi. Ça file 15 ans. Oui, c'est ça. C'est la deuxième saison. Mais tout le monde regarde.

Ça fait depuis 83, ça existe. Je pense que le plus humiliant, c'est souvent, on est nommé contre la flaque. Des fois, c'est eux autres qui gagnent. Ils ont gagné. Vous avez tellement été nommé contre des affaires poches

qui ont gagné. Moi, ça me soustait beaucoup de colère. Mais là, j'ai appris qu'il fallait voter à cette affaire-là. Parce que les Gémeaux, on peut voter. Dans le sens, quand t'es nommé aux Gémeaux, tu peux voter pour les gagnants.

Ben oui, comme toutes les crises de concours. Moi, c'est ça. J'ai jamais vraiment voté à ces affaires-là. Non, mais pas pour tous les prix. Ben non, mais les catégories que t'es dedans, Steve. OK. On est six.

Pas vraiment. Six votes. Six. Pas fou. Pas con, moi. Pas fou. Pas con, moi. Non, mais les oliviers, pour vrai, j'ai regardé, les membres votants, il y en a 300.

300 membres qui peuvent voter. Votent-ils? Fait qu'il y en a... Il doit y en avoir 150 qui votent. C'est chaque compagnie qui gère leur affaire. On va gagner à toutes les années, Astar. T'as le filo.

Pas con, oui. Pas fou. C'est qui le câble? Vous autres, vous avez gagné. Écoutez-nous. Écoutez les appendices. Chris, vous êtes pas en... Écoutez-nous, écoutez-nous, écoutez les appénisistes. Chris, vous êtes pas en âme d'estimer. C'est sur YouTube, OK?

C'est partout sur YouTube. Mais vous autres, vous avez gagné des Gémeaux, puis vous avez gagné des Oliviers. Oui, oui, oui. Est-ce que vous avez gagné des... C'est quoi ça s'appelle? Les Metro-Stars. Non, non, non.

Chris, que je suis vieux. J'appelle ça des Metro-Stars. C'est quoi? C'est quoi ça s'appelle? Les métro-stars? Non, non, non. Qu'est-ce que je suis vieux! J'appelle ça des métro-stars. C'est quoi? C'est les artistes. C'est les artistes. Les artistes. Avec des coups de S. T'as pas dit qu'on gagne

des artistes, vous autres? Ben non, ça c'est TVA, il faut le populariser. Parce que vous êtes trop underground pour gagner ça. Ben oui, là, tu sais, je veux dire, c'est Guy Jodoin

qui gagne un artiste, pas nous autres. D'ailleurs, Guy Jodoin, aux artistes, cette année, what the fuck? C'est quoi qui est arrivé? Il y avait comme des lunettes bleutées il y avait des lunettes

il était comme dealer de drogue je suis sur la pile yo je fais de la pinotte ça se boit ça se mange googlez ça c'est une pure merveille non mais en même temps Guy Jodoin c'est un original, ce gars-là. Mais lui, dans le temps, en plus,

il faisait de l'humour absurde. Il y a genre 20 ans. Avec Bruno Blanchet? Oui, c'est ça. C'est pas grave. C'est un phare de micro. Excusez. Je sens que je vais avoir honte de ça demain.

Non, non, t'es parfait. Ok, je suis parfait. Non, mais pour vrai, surtout surtout là c'est le deuxième podcast peu importe ce que tu fais tu vas toujours être plus agent que moi le monde va faire t'étais saoul mais l'autre c'est la grosse face

qui faisait non mais Guy Jodoin on l'a travaillé avec, il est vraiment cool, il est vraiment drôle. Il reste jeune. C'est pas quelqu'un qui s'est éteint parce qu'il travaille à la TVA. On dirait qu'il y a du monde, des fois, ils font « Bon, là, j'anime une émission,

puis c'est ça, je vais être parfait, puis je vais... » Comme qui? Ben oui, quand tu dis quelque chose de même, la seule réponse à ça, c'est comme... Non, mais tu sais, mettons, là, je veux pas parler de personne, mais tu sais, on dirait que...

Mais pas au vrai nom, pas de nom. Ils deviennent plus des artistes, c'est plus des gens d'animateurs, pis ils deviennent monsieur parfait. Mettons Guy Mongrain, le gars de la poule aux oeufs d'or. Hé, c'est chien, ça. Oh, t'es de vache! Monsieur motorisé,

c'est-tu? C'est absurde qu'il a lâché la poule aux oeufs d'or parce qu'il a fait « je veux faire du motorisé » pis t'es comme... C'est-tu récit? Là, t'es comme « Chris, tu travaillais 11 jours par année, esti. Tu parlais des attardés mentaux

qui sont comme « oh, j'ai gagné 40 000 piastres. Tu es capable de te promener avec ton esti de char et de chier dedans. » Mais il veut faire encore plus de motorisés.

Il n'en faisait pas assez. J'en ai fait du motorisé. C'est vraiment le fun. Oui, tu avais une série. Tu as fait avec Pierre Ouimet. C'est vrai. Avec Pierre Ouimet,

oui, oui, oui. Ça, puis il m'en avait parlé. Vous avez traversé les États-Unis de Montréal jusqu'à Las Vegas en ligne diagonale

de même j'avais oublié cette affaire là puis tu sais on est allé visiter toutes les places où le monde ils ont pas vraiment

dedans c'est là l'Amérique l'Amérique non mais tu sais des fois tu vas mettons on va à Washington

on va à Boston tu sais des villes universitaires, des villes de fun. Moi, c'est pour ça, excuse de te couper là, mais souvent, quand on parle, mettons, le monde qui font des shows au Québec, on fait, le monde en région, des fois, sont weird, mais

notre monde de région au Québec sont tellement mille fois meilleurs que toutes les régions de la planète, parce que quand tu voyages dans d'autres pays, si tu vas en Angleterre, tu vas à Londres. Si tu vas en France, tu vas à Paris. Si tu vas aux States, tu fais New York, L.A. Mais la vérité, c'est que

toutes les villes entre ça, c'est du monde avec deux dents dans la gueule pis une érection. Mais quand t'as des dents dans la gueule, ça va parce que t'en as juste assez pour ouvrir tes canisses. Ça suffit. On est arrêté dans un parc de VR à Manet où c'est une place où le monde va coucher

parce qu'à côté, il y a une mine à ciel ouvert où tu peux récupérer de l'or. Récupérer de l'or. Oui, tu pognes une chandière de roche puis tu le passes dans un tamis, puis ça se peut que tu pognes une pépite. Ok? Mais c'est une mine.

Les chances doivent être semi-minimes. Assez minimes. Il y a une fille qui était dans ce resort-là, elle avait pogné 300 piastres d'or. Elle a travaillé 100 000 jours. Pour gosser, pendant une semaine, elle m'a fait 11 piastres.

Oui, c'est ça. C'est un peu BS mais il y a du monde qui ont déjà trouvé des assises de grosses pépites genre 10 000 pièces 15 000 pièces c'est une mine

ouverte elle est publique en plus elle est pas privée c'est vraiment c'est un parc d'attractions genre quand je suis allé pour pogner des roches

il y avait des enfants qui jouaient comme si ils jouaient à la ronde là tu pognes ta grosse chaudière tes belles valeurs mais le monde qui couche là c'est du monde qui boit

vers longueur de journée dans leur VR c'est Kid Rock à 100% il y avait un gars là, il avait des cheveux gris mais avec du shampoing qui sont mauves mon projet ton projet?

un jour puis lui là, à 8h le matin il avait avait un gros, gros verre d'eau. Puis on l'a senti. Puis c'était pas mal un gros verre de vodka. Puis quand on est arrivé sur le resort... Son nom de famille, c'est Tube Ward. Non. C'était...

Je veux voir. Quand on est arrivé, il voulait me montrer ses roches. Puis là, j'étais comme assis à table à pique-nique. Puis je m'en collais. Je venais de faire 15 heures de route. Je m'en crissais bien raide. Puis c'était une table à pique-nique. Il y avait plein de roches à terre. Puis genre 15 heures de route je m'en crie ça bien raide pis t'sais c'était une table à pique-nique pis y'avait plein de roches

à terre pis là il voulait me montrer ses pépites précieuses qu'il avait pognées pis là il a comme tout échappé pis là c'est tombé par la gravelle

mais t'sais on parle de roches grosses de même pis il était comme oh non fait que là il s'est penché pour essayer

de la retrouver t'sais là j'étais vraiment avez-vous filmé ça? Pauvre BS. Chris, t'aurais tellement dû pogner de la garnote, puis faire « I'm rich, bitch! »

puis te sauver. Tu aurais capoté. Ah, mon Dieu. C'est où ça, t'en souviens-tu? Non, je m'en souviens pas. C'était pour Z-Délé. C'était pourviens pas. Cet édition-là, c'était pour Z-Télé. C'était pour Évasion.

Évasion? Chris Évasion? Il ne cesse. Oui, non, il cesse de s'évader. Le monde va quelque part. C'est bien, bien excitant. Mais de la part du temps, j'ai l'impression, quand je regarde, je ne regarde plus tant que ça de la télé,

mais Évasion, j'ai l'impression qu'il t'amène, ça de la télé mais Évasion j'ai l'impression que ils t'amènent, on va aller en Italie en Grèce, blablabla c'est rare que je me dis moi j'ai le goût de vivre un rêve on va aller dans un trailer park au Ohio voir du monde

s'y ramasser de la garnote ce qui a été vendu à Évasion c'est que ça va être un show jeune, Vice Magazine un peu, tu sais, du monde dans un vieux VR des années 80, on boit de l'alcool,

on voyage aux États-Unis. On boit de l'alcool dans un show. Mais quel pitch de merde! Non, mais tu sais, genre, on va aller shooter du gun, on va aller faire du cheval,

on va aller faire des activités fucked up aux États-Unis, absurdes, yo! Puis là, finalement, on leur livre un show vraiment où, tu sais... C'est Urbania qui produisait. Urbania qui produisait. Yo! Puis là, finalement, on leur livre un show vraiment où... C'est Urbania qui produisait.

Moi, j'étais comme... À un moment donné, on s'en va aux courses de char ou je sais pas trop. Puis l'activité, c'est de boire dans le parking avant. On va boire dans le parking avant. On se calait derrière, on shotgun. On fait des affaires de la même. Puis ils étaient fucking pas contents du produit final. Mais nous, on a tourné 40 jours. Puis là, on fait des affaires de la même. Il était fucking pas content du produit final.

Mais nous, on a tourné 40 jours. C'est ça qu'on avait. Il était obligé de passer ça à la TV. Le commanditaire, c'était VR quelque chose. Il était fucking fâché. VR, Sincere sont comme, oh yes. On a deux gars qui calent de la vodka dans les parkings, puis qui font un carolisse! »

On conduisait pas chaud, mais tu sais, en tout cas, il était pas content. C'était pas des choses gratuites, vous viviez le terroir du moment. Moi, je compare ça à, tu sais, genre, c'était qui déjà? C'était un show à Canal Évasion, puis c'était genre, on s'en va à Orlando, puis là, l'animateur, il se promenait, puis il disait « Nous sommes présentement dans le parc du général Sanana. Il était un général reconnu.

On voit ici sa statue. Et il nourrissait souvent les canards, comme on peut voir dans la mare, les canards. » Pis j'étais genre, c'est pas un voyage. C'est toi qui l'animais, ce show-là? Non, c'était fucking dull, tu sais, mais j'étais comme « Non, non, nous autres, on fait un vrai voyage, tu sais. » Moi, il y a un show que

je n'ai jamais vu, mais j'ai vu des pubs beaux. Je pense que c'est bon, mais c'est peut-être pas bon. Il y a un show au Canal Évasion. Tu vas en voyage et ils te montrent c'est quoi un voyage quand tu as du cash

et pas du cash dans ce pays-là. Mon ami a vu ça. Isabelle Ménard. Oui, c'est Isabelle Ménard. Mince-Favron, je pense. Mince-Favron, oui. Je n'ai pas vu ça. Puis juste l'idée, j'ai fait, ah, c'est-tu que j'aime ça. Puis même pour eux autres, ça doit être un stress weird que tu débarques de l'avion, mettons, à Milan, puis tu es comme, OK, est-ce que je vais dormir dans une tente au W?

Mais ce qui est cool dans le concept, c'est que les gens qui écoutent l'émission savent pas si t'as du cash ou pas. Puis même eux autres savent pas. Ben, à un moment donné, oui, parce que t'sais, t'as juste 100 piastres, toi, pour coucher à l'hôtel. Tu le sens, mais... Mais les publics le savent pas,

puis à la fin, ils font, « Ah, c'ti, ben tabarnak, la fille qui était dans le Super Bowl Resort, ça écoutait rien, call this! » Tu sais, souvent, c'est ça, la surprise, là. J'im Super Bowl Resort, ça écoutait rien. Call this! » Souvent, c'est ça la surprise, j'imagine. J'ai jamais écouté le show. J'écoute plus la télé.

On n'écoute plus la télé. Qui écoute la télé ici? Pas beaucoup. Non. Personne n'écoute la télé. J'avais écrit un numéro récemment, puis j'ai arrêté de le faire, mais je demandais au monde qui a un super écran,

puis j'ai resté bête. Puis je vais vous demander à vous autres, monde qui a un super écran, puis j'ai resté bête, puis je vais vous demander à vous autres, qui ici a un super écran? Applaudissez si vous avez un super écran. Une personne, mais quand je fais des soirées d'humour, il y a 50% du monde qui applaudit, puis à chaque fois, moi dans ma tête, quelqu'un qui a un super écran, c'est quelqu'un qui ne sait pas que Netflix existe ou quelqu'un de… Tu sais, mon père. Mon père de 88 ans, il va avoir un super écran, mais l'idée du super écran, pour moi, je suis comme… De quoi tu penses, ça? Pourquoi tu payes 15 pièces par mois pour avoir neuf films qui jouent quand les autres décident?

À une heure, des fois,rives dans le milieu du film. T'aimes ça les films? Hey, regarde Mardi à 8 heures pis tu vas voir quelque chose que t'aimes. Moi, j'ai comme un espèce de souvenir de quand on était jeunes. Je sais pas si c'était ça les pubs, mais je pense que les gens qui ouvrent leur super-écran,

quand ils ouvrent leur TV, ils ont du vent dans les cheveux. Ça se peut que ça soit super-écran? C'est juste une déferlante d'affaires. J'en ai pour mon argent. Ils vont regarder ce qu'ils jouent. J'ai six films.

Je vais les regarder. Je les enregistre sur une cassette VHS. En tout cas, il y a sûrement une espèce de nostalgie là-dedans. J'ai l'impression aussitôt que tu chies, comme là, de Saint-Cy, j'ai commencé à chier sur le super-écran. Mais avant ça, je chiais sur les clubs vidéo. Puis, aussitôt que le monde me parle,

ils font comme « Aime ça, moi, des DVDs ». Le monde aime ça, leur vieille crise de cochonnerie, tu sais. Mais moi, il reste un club vidéo proche de chez nous, puis j'aime ça aller là. Puis il y a tout le temps plein de monde chez nous, puis j'aime ça aller là. OK. Puis il y a tout le temps plein de monde. Je ne suis pas tout seul, là, qui va là. Mais ça coûte moins cher d'aller sur Internet, non?

Tout ça, je sais. Mais il y a comme quelque chose dans... Tu sais, je passe à côté, je fais comme... Je vais rentrer, puis je vais choisir. C'est le club de film que tu aimes. C'est l'ambiance, les pochettes bleues. Bien oui, puis ça sent un petit peu... Le popcorn. Le bio. C'est l'ambiance de film que t'aimes. C'est l'ambiance. Les pochettes bleues. Ça sent un petit peu le pégéot. J'ai appris qu'il reste un blockbuster

à Anchorage, en Alaska. Puis quand j'ai appris ça, j'ai fait « Qu'est-ce que je veux aller dans ce blockbuster-là? » Tu loues plein de films, t'es rapport jamais. Juste. Mais savais que Blockbuster éditait les films?

Ah oui? Oui, c'est des religieux full conservateurs. Ils enlevaient des bouts. Ils enlevaient des bouts des films. Ça, c'est les clubs vidéo au Utah, vu que c'est des Mormons. Mais en même temps, Blockbuster, il n'y avait pas de pornographie.

C'est vrai ça. Mais, tu sais, quand on recevait la copie du masque dans une boîte de céréales... Du masque avec chair? Tu sais, des fois, t'achetais une boîte de céréales, il y avait un DVD, il y avait un film dedans. Ça ne disait rien à personne. Christ!

Au Québec, ils enlevaient des scènes comme la scène où ce qui tire du gun n'est pas dessus le DVD. Blockbuster enlevait des scènes dans les céréales. Non! General Mills, tu ne suis pas. Je suis trop vieux. On a des DVD et il y a des scènes d'enlever.

On ne le sait pas. Moi, j'avais capoté qu'il y avait un documentaire un moment donné sur une mode dans les dernières années de blockbuster. Il y avait des clubs vidéo

à Salt Lake City, au Utah, vu qu'il y a tellement de mormons, que c'était tous les films remontés pour que les mormons puissent le regarder. Il enlevait toute la vulgarité, toutes les scènes de sexe. J'aimerais ça voir Fifty Shades of Grey. C'est tous les mormons. C'est tous des minutes.

C'est tous des minutes. C'est tous des beaux films de 8 minutes. Il y avait un club vidéo et il était tellement gros qu'il y a même des studios de cinéma qui faisaient des scènes alternatives pour ce club vidéo-là. Mais ce n'était pas Blockbuster.

Je ne pense pas que ce soit Blockbuster. Non, ce n'était pas Blockbuster, mais c'était quelque chose dans le genre. Puis moi, ce que j'aimais, c'est que, tu sais, souvent, mettons, dans ce temps-là, il y avait des acteurs américains qui leur disaient « Hey, refais

cette scène-là, mais au lieu de dire « Fuckin' the friggin' » ou « Fuck you » ou « Fuck you » peu importe la phrase. Puis il y avait... Tu sais, comme Eddie Murphy, il refusait. C'est pour ça, à chaque fois que tu regardes

un film d'Eddie Murphy en anglais, à télé, ça n'a comme pas de sens. Il engage une espèce d'André-Philippe Gagnon qui essaie de modifier la voix. « Ah, ah, ah, ah! » « What? » « What the? » « Ah, ah, ah, ah! » « We all will! » C'est... What's the... We are the world!

C'est... Suck my... We are the children! We are the ones! Lui, il a chaud, hein? Pour lui, il a chaud. La glande sudoripale. Moi, ma fertile. La fois que sudoripale. Il est fertile.

La fois que ma blonde m'a le plus fait rire de ma vie, André-Philippe Gagnon, il sort avec, il est marié avec la fille d'une de mes tantes. Puis,

il est comme semi dans la famille, mais pas vraiment. Puis, un moment donné, ma tante, elle me dit, j'avoue à un funéraire, puis Il est comme semé dans la famille, mais pas vraiment. Un moment donné, ma tante me dit, j'avoue à un funéraire, « Toi, tu as écrit pour André-Philippe? » Je dis, « Non, je n'ai jamais écrit pour André-Philippe. » « Mais Sam, tu as écrit des jokes pour André-Philippe? »

Ma blonde, elle entend juste « joke André-Philippe. » Elle dit, « Oui, tabarnak, tu n'arrêtes pas de faire des jokes sur André-Philippe. Tu dis qu'il a une grosse tête difforme pis issue comme un cochon. » Pis là, j'étais comme « Ah, ah, alright. »

Ah, ça, c'est drôle. Il est vraiment fin, ce gars-là, par exemple. Je sais pas si vous l'avez déjà rencontré. Non, mais tu sais, je suis surtout en fin, ces gens-là. T'as-tu dit que c'est vraiment une perle? C'est vraiment une perle. Il suit moins dans la vie. C'est vraiment une perle. Ils sont tous en faim, ces gens-là. Tu dis que c'est vraiment une perle. C'est vraiment une perle. Ils suent moins dans la vie. C'est une perle.

Je suis en train de devenir un vieux monsieur que j'aime tout le monde. Mais la plupart des gens sont faims, non? Oui, c'est ça le problème. C'est qui les troucus-là? On les sort, les troucus-là. Quand tu les renvoies, tu ne peux plus rien dire parce qu'ils sont faims.

C'est ça le problème. Il ne faut pas rencontrer les gens. Je pense que c'est une bonne personne. Il y a du monde qui sont fins, mais tu leur parles, tu fais, il est fin, mais c'est une crise de marde. Mais lui, ce n'est pas une marde. C'est une perle.

C'est une perle, exactement. C'est vraiment une perle. Je ne sais pas si je vais avoir un cochon ou je vais avoir un André-Philippe Gagnon. André-Philippe cochon? André-Philippe... Il faudrait que j'aille un André-Philippe cochon.

Ça devrait être ça. Si j'ai un petit cochon... Oui, oui. Les cochons n'ont pas des assez grosses têtes, par exemple. Ça prendrait... Pas égaux. Il n'y a pas assez grosses têtes, par exemple. Ça prendrait... Puis pas égaux. Il n'y a pas d'égo, André-Philippe, mais il y a quand même...

Appelle-le Super-cochon. Comme Super-cochon. Super-cochon, je ne sais pas. C'est qui, lui? Le cochon. Il prend sa retraite, là. Bien, là, il est rendu... Il fait de la radio.

Tu ne te rappelles pas de Le Cochon? Je me souviens. Il faisait des histoires. Lui, il s'est fait tatouer la face de tout le monde de son cul. J'ai mal formulé mon affaire. Lui,

moi, dans le temps, je faisais Tess Cérende à TQS. Lui, la première année, c'était notre animateur de foule, mais il ne comprenait pas que ce n'était pas tout qui méritait une clap. Fait que tous les jokes c'était « waouh, waouh, waouh »

et là, il fallait dire « Hey, Luc, ce n'est pas bon ce qu'on fait. Calme-toi un peu. » Fait que là, on avait engagé quelqu'un d'autre et il a disparu de la radio. Il est allé à Québec au début avec Richard Z. Serrois.

Il s'est fait tatouer la face à Richard Z. Serrois. Il m'a dit fou. Il avait fait ça à Montréal. Quand il est arrivé à Québec, il a fait tatouer la face du maire Labombe. Ça me dit quoi, ça? Il a perdu sa job. Il a pogné une job à Victo.

Il s'est fait tatouer la face de quelqu'un à Victo. Est-ce que c'est dire finalement que ce monsieur-là a de très grandes fesses? Il n'a pas des si grosses fesses que ça, mais... Ou c'est des petits tatous, mais

à chaque fois, c'est vraiment un bon gars. Il est gentil. Ça, c'est la pire chose. Il est gentil. Ça, c'est la pire chose. Tu l'haïs, Mike. C'est une perle. C'est une perle. Mais pas vrai. C'était un bon

funny guy à radio. Je pense qu'il voulait être le leader d'un show. Moi, faire la radio, j'aimerais ça, mais c'est quand même beaucoup de Puis là, il est à victoire. Moi, faire la radio, j'aimerais ça, mais c'est quand même fucking beaucoup de job. Il y a une technique en esti pour faire la radio. Oui.

Comme, je pense qu'il faut que tu te lèves tôt. Ça dépend. Ça dépend. Ça dépend à quelle heure. Ça dépend. Ça dépend à quelle heure tombe le petit show. Ah, OK, tu peux faire le retour. Oui, c'est ça.

Bien oui. Le monde qui fait le retour, il ne se lève pas à 6. C'est vrai. Ou les week-ends disco inferno de Mario Lirette. Les bonnes années de c'est quoi, comme en 97,

quand il y avait Rockabilly, comment il s'appelle? Rockabilly, t'as lu? Ça serait clair. Le Rockabilly, je l'ai vu l'autre jour il avait sa veste c'est quoi de jeans ben oui

c'est comme Pierre Lebeau qui met son bomber de Matroni et moi un coat ça dure mais pas vrai s'il y avait eu une carrière qui avait duré, il y a de quoi de drôle qu'il y avait eu une carrière qui avait duré, il y a de quoi de drôle qu'il fasse ça.

C'est pas vrai. Moi, avoir un manteau testostérone, je le porterais tout le temps. C'est ça. Mais tu sais, dans le temps que tout le monde, en TV, souvent, il nous donne un cadeau à la fin, puis souvent, ça a été des vestes de jeans avec de quoi de brodé fucking gros en arrière. Le Cirque du Soleil, je ne sais pas si tu as déjà vu

des vestes de jeans du Cirque du Soleil. Les gens sont très fiers. Est-ce qu'il y a un saxophone? Je ne sais pas. Les 100 watts aussi. La lune qui joue du saxophone. Chaque tournée que j'ai eue, j'ai tout le temps eu des manteaux. Mais moi, je mets tout le temps mon logo

noir sur noir parce que je suis conscient que tu portes quelque chose et deux semaines après, t'as honte. C'est un peu ça. Tu ne veux pas être le gars que... Imagine le monde qui a des manteaux juste pour rire après le scandale de Gilbert Rozon, que là, t'as un gros bonhomme vert.

T'as mieux juste d'avoir un petit juste pour rire noir. C'est comme mettre ton chandail que t'as pris dans une caisse de bière. T'es pas fier de mettre ça. Voyons, c'est comme si vous parliez de drame humain. Tu jettes ton manteau juste pour... Chris, dis la order! La fille!

Chris, t'en as un aussi, je le jette! C'est clair, on est les... Tu jettes, mais dis-moi, on dit l'hostie! Je vais aller le chercher! Toi, tu veux qu'on le jette pour que tu sois un Chris et un Stagy, ce beau manteau-là. Oh non, je suis démasquée.

Y'a-tu, Yann, ça fait... Tu te rappelles de Yann? Oui, je me rappelle de Yann, certain. On faisait de la télé ensemble. On a fait les 400 coups. C'était vraiment le fun, ça, comme show. Puis c'était plate que ça n'a pas

plus levé que ça. Parce qu'il y avait beaucoup de talent. On avait droit à un petit peu plus long, il me semble. Ça a été très bref, une saison. Ça a été le fun qu'on ait une autre saison. Mais j'étais content que après, ta carrière, on dirait

on te ralentissait, ta carrière a parti. Mais non, vous m'avez starté à mi-temps. OK. Mais non, mais non. Moi, je ne comprenais même pas. Tu as vu le malaise que tout le monde a fait? Es-tu en train de dire,

Mike Ward, il a passé le doigt à un meeting? J'ai dit des folies mais non je ne comprenais même pas pourquoi j'étais là j'étais bien contente mais j'étais

nobody qui arrivait là qui essayait des affaires sans vraiment avoir de plan je n'avais pas de plan je n'en ai jamais eu puis après ça

il est arrivé code F je suis une fille je travaille fort mais j'étais chanceuse tout le temps des affaires de même la scène

quand je l'avais vue à Mobilo, je t'avais dit que ce n'était pas vrai. C'était vraiment bon ce que tu avais fait. Mais tu n'as pas l'air de faire... Tu étais comme... Excuse pour l'imitation. Je suis comme le nouveau André Philippe. Je suis très timide.

J'étais vraiment, vraiment fière de faire un petit numéro au Mobilo. C'était bon. Ça m'a tellement bien marché. Merci. C'était vraiment le fun à faire. J'ai vraiment eu l'expérience. J'aimerais ça le refaire. Mais c'est juste que pour moi, tout ça, j'ai jamais pensé faire la scène. Quand j'étais plus jeune, ça me tentait.

Mais tu sais, je comprends pas pourquoi je me ramasse là. Je le fais. C'est mes chômés qui me donnent un espace. Je suis un peu intimidée encore par cette affaire-là. C'est comme si je ne l'assumais pas. En fait, je ne l'assume pas complètement.

C'était gênant. Je sortais de scène. Tu me dis que c'est bon. J'étais pétrifiée. C'était vraiment bon. Excuse-moi de te faire peur. Non, tu es gentille. Merci. Toi, la scène, t'es gentil, merci. Mais c'est... Fait que toi, la scène, tu penses que tu vas en refaire?

J'aimerais ça, oui. J'aimerais ça, mais je pense pas... Parce que moi, à la base, ce que j'aime faire, c'est écrire. J'ai une fille qui écrit, pis t'sais, bon, j'ai été amenée à faire de la télé, pis t'sais, c'est ça. Tu sais comment ça se passe. Là, on te propose plein de projets, tu te mets à faire de la télé. Tu sais comment ça se passe. On te propose plein de projets. Tu te mets à faire plus de télé alors que tu n'as jamais vraiment nécessairement

voulu faire ça. J'aime ça. C'est juste que des fois, je me fais « Voyons, je n'écris plus. » C'est ça. Je veux comme toujours garder ma base d'écriture comme tout le monde. Je suis en train d'écrire un roman. C'est ça que je...

Comme tout le monde? Tout le monde écrit un roman. C'est tellement Je suis en train d'écrire un roman. Comme tout le monde? Tout le monde écrit un roman. C'est tellement à mode de dire qu'on a un roman. Tout le monde publie. Il a écrit trois romans. C'est parce que je trouve ça gênant de dire que j'ai écrit un roman. Tu en as-tu plusieurs d'écrits

et tu attends? Non, je suis en retard. C'est mon premier. Je ne veux jamais trop m'éloigner de ça. La scène, Non, je suis en retard. J'ai signé mon affaire et c'est mon premier. Je ne vais jamais trop m'éloigner de ça, mais la scène, l'année prochaine, j'aimerais ça reparticiper encore à Mobilo. Je vais faire des petites choses cet été à Comedia.

Je fais des petites choses où... Je ne sais plus. Je suis un peu mêlée. Je monte sur scène des fois, mais je ne pense pas que j'en ferais une carrière. Ce n'est pas... C'est un métier. Je n'ai pas cette expérience-là.

Ce n'était pas quelque chose que tu disais « Ok, je veux faire ça ». Non, pas du tout. Je pensais comme toi, la première fois que tu as fait de la scène, tu étais déjà connu, mais tu as pogné le goût. Je pense que c'est quelque chose que tu fais

et tu fais comme « Ok, j'aime ça! » Ce n'est pas la même chose que de faire de la télé du tout. Je ne sais pas comment toi, tu l'as vécu. C'est écrisement. Oh, yes! C'est nos cafés brésiliens. C'est des cafés brésiliens.

C'est des napkins. Je pensais qu'ils vous donnaient un bill. Je me disais que c'est la première fois à sous-écoute que quelqu'un des napkins. Je pensais qu'ils vous donnaient un bill. Je me disais, c'est la première fois à sous-écoute que quelqu'un a un bill. Parce que les cafés brésiliens, ça coûte cher. Non, mais oui, c'est vraiment pas la même chose que faire de la TV, je trouve.

C'est qu'en fait, t'as la réponse automatique quand t'es dol ou quand le monde comprend pas. Puis, c'est vraiment le fun de savoir ça et tu peux vraiment le travailler. Moi, je préfère ça à la télé. Je trouve qu'il y a une espèce d'honnêteté.

Parce que, avec tes amis, sûrement que tu as déjà écrit un gag avec un de tes amis. Tu fais « C'est fucking drôle, ça va vraiment être bon. J'adore ce gag-là, j'adore ce gag-là. » Là, tu le fais et personne ne rit. Des fois, un autre soir, dans la même salle, tu le refais et ça pogne au bout. Ça veut juste dire qu'il y a quelque chose qui cloche dans ton gag-là. Puis là, tu le fais. Puis là, personne ne rit. Et des fois, un autre soir, dans la même salle, tu le refais

puis ça pogne au bout. Mais ça, ça veut juste dire qu'il y a quelque chose qui cloche dans ton gag. Mais là, moi, des fois, je passe des mois à faire de quoi à TV puis je suis comme,

c'est le meilleur gag du monde. Puis là, on le fait, on monte à TV puis personne ne l'aime. Tu es comme, j'ai passé neuf mois de ma vie à faire ça, calisse. Tandis que là,

je l'écris le matin, je le teste le soir, je fais, je suis une crise de marge, je m'haïs. » Puis là, j'essaie d'améliorer le gag. Tu te saoules, tu tombes en bas d'un bar. Exactement. Je le vois pas.

Yann, on irait avec les questions. Ça fait un heure et demie qu'on est là, à peu près? Oui. Je te demande même plus l'heure. C'est impossible à boire. Regardez comment ça se passe. C'est impossible à boire. Regardez comment... Avec la cuillère, c'est clair qu'au moins

vous avez des lunettes pour protéger vos yeux, mais... Notre cornet est sèche. Oui, après. Y a-tu... Y a des questions. Allô? Bonjour.

Bonjour. Ma question est pour Catherine. Ah, non. Excuse-moi. Bonjour. Allô? Dans le fond, moi aussi, j'ai trouvé ça excellent, ce que tu as fait au Mobilo. Merci.

Puis, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que, dans le fond, tu es arrivée en lisant ton texte sur le stage. Je voulais savoir, est-ce que c'était prémédité. Est-ce que ça fait partie de la démarche artistique de faire ça? Non. Est-ce que c'était vraiment dense comme texte et comme sujet? Ou aucune de ces réponses?

Ce n'est pas une démarche artistique. Il n'y a vraiment pas de prétention. C'est vraiment parce que... J'en ai fait... J'ai fait... Je ne sais plus. Je pense que j'ai fait deux fois des numéros Zoufest avant. Puis c'est comme ça que je suis arrivée. Un peu comme un cheveu sous la soupe.

Je suis venue lire une chronique sur la scène. Je sais que ça ne se fait pas. Puis ça me terrifiait. Puis j'en ai parlé au gars de Mobilo. Ils m'ont dit, regarde, nous autres, tu fais ce que tu veux. Le fait que ça ne se fait pas, en plus, ça devenait quasiment une qualité. Vu que c'est un festival un peu alternatif, elle lit son texte, que d'habitude, ça devrait être un défaut.

C'est ça, ça devrait être une honte. Moi, je voulais arriver au festival, parce qu'on en a fait quelques-uns avant. Moi, j'apprévoise la scène. C'est un peu terrifiant pour moi. C'est un peu théâtral, ce que je fais. Il faut que j'apprenne, que je maîtrise mon texte. Les gars m'ont dit, regarde, dans le fond, on aime quasiment mieux ça que tu lises.

Si tu te sens plus à l'aise, vas-y. Si tu as de l'air fragile sur scène, tu auras de l'air fragile. Les gens vont t'accueillir demain. C'est ça, Mobilo. Ce n'est pas une démarche artistique. Il n'y a rien de réfléchi là-dedans. Il n'y a pas un message.

C'est juste que moi... J'allais faire plusieurs reprises de faire des espèces de numéros. Je sais bien que ce n'est pas du stand-up que je fais, mais les gens sont prêts apparemment à écouter ça et à accueillir cette patente-là. Je ne sais pas si... C'est sûr que je serais tellement fière à un moment donné d'arriver et de trouver mon style en n'ayant pas mes

sodas de petits papiers. Tu devrais-tu faire, mettons, un 10 minutes, mettons, ici au bordel? Je serais terrifiée, mais j'aimerais ça. J'aimerais beaucoup ça. Tu devrais l'essayer. Ben, faudrait bien.

Faudrait bien. C'est un défi? Oui, c'est ça. Non, mais c'est parce que t'as l'air de réagir avec la feuille et tout ça, mais à un moment donné, tu l'apprends ton texte, puis à un moment donné, tu l'as bien, tu le sais, ça va rentrer, puis t'es plus confiant. C'est comme un poème. C'est comme un poème, c'est ça.

Tu le sais comment ça va fonctionner, puis tu le sais que ça va marcher. Mais le pire, au mobilo, je trouvais que ça marchait avec la feuille parce que ça faisait quasiment partie de la mise en scène. Il y a un humoriste britannique qui s'appelle Jimmy Carr que lui, souvent, il a son autre pad

que d'habitude, un gars qui fait des liners avec un autre pad, ça n'a pas de sens, mais lui, ça rajoute. On dirait quand quelqu'un a une feuille ou un pad, ça rajoute au fait que c'est bien écrit. rajoutent. On dirait quand quelqu'un a une feuille ou un pad, tu fais... Ça rajoute au fait que

c'est bien écrit. Tes affaires sont bien écrites. C'est que tu as un vocabulaire vraiment le fun et magique. Je ne sais pas, c'est vraiment arrivé vite, vite, sur le coin d'une fesse, aux oufesses, j'ai fait un numéro et ça a bien passé que j'ai mes feuilles sur scène.

C'est devenu ta béquille. C'ai comme, c'est comme, c'est sûr que c'est une béquille, là, c'est ça, c'est devenu ma béquille, mais en même temps... Mais ça paraissait pas, ça avait l'air d'une mise en scène. Ben, ça en était pas une. Mais il y a beaucoup de humoristes quand même qui rentrent avec leurs feuilles, mais tu sais, c'est des set-list, là. C'est un peu la même affaire, mais tu sais, sûrement que toi,

tu lisais ton texte. Non, je veux dire, j'étais pas là en train de le découvrir, là, je le maîtrisais. Mais je n'aurais jamais pu le faire sans les feuilles. Elle lisait et elle faisait « Voyons! » Pas sûr. Pas sûr. Il y en a beaucoup qui le font déjà.

Moi, je l'ai fait longtemps. Mais c'est correct. Oui, c'est correct. Parce qu'on n'est pas des professionnels. On commence. On débute. On est des débutants. Peut-être que ce n'est pas des professionnels on commence, on débute on est des débutants peut-être que c'est pas correct, je sais pas non, non, c'est très correct, pour vrai

c'est très correct est-ce que t'es pas habile pour prendre puis la cuillère est juste trop longue je vais manger mes soupes avec cette cuillère-là maintenant on dirait que c'est la version cuillère d'une four On dirait que c'est la version cuillère d'une fourchette à fondue

chinoise. C'est comme trop longue. C'est délicieux. C'est le fait avec tellement de délicatesse. T'es chanceux d'être rendu là. Oh, dans mes repas soirs. C'est vrai, il y a trop de café.

Il y a trop de café dans son café brésilien. Boives-tu vraiment ça au Brésil? C'est vrai, il y a trop de café. Il y a trop de café dans son café brésilien. Boives-tu vraiment ça au Brésil? C'est sûr. Avec un ananas à la tête. Boives-tu vraiment ça au Brésil? C'est la phrase que... Je n'ai jamais vu ma tante prendre des cafés brésiliens,

mais je suis sûr qu'elles ont tous eu la même réflexion en buvant ça. Ça, elles boivent ça au Brésil. Ah, c'est comme au Brésil. C'est vraiment drôle. Un moment donné, je suis allé dans un resort à Cuba. À Cuba, OK. La place où ils font le café.

La madame, elle commande un café au resort et elle fait, « On a le café moins bon que le nôtre, hein? » « Chris, il vient de là, ton astuce de café! » Ben oui, Mel, c'est son petit café instant. Ben oui, c'est ça, c'est sa poudre. « Max, y'a pas de Tim Hortons? »

C'est ça, l'affaire. C'était vraiment bizarre parce que cette madame-là, je m'excuse de dévier le sujet, mais elle avait pas de bras gauche parce que... Comment est-ce qu'elle faisait pour boire son café? Du bras droit. Parce que elle s'était endormie dans son bain pis il y a une chandelle Glade qui était tombée dessus

pis qui avait transpercé toute. Pis là elle avait eu... Attends. Oui, oui, il y avait une chandelle. Elle était saoule, elle était endormie dans son bain pis là il y a une chandelle Glade qui a passé à travers le bras. Elle a perdu son bras, elle a actionné Glade, ils ont donné de l'argent pis elle est en train de mettre son bain, pis là, il y a une chandelle Glade qui a passé à travers le bras. Elle a perdu son bras, elle a actionné Glade, ils ont donné de l'argent, pis elle est partie en voyage avec son amie Marcel, qui était...

Elle, elle avait genre, mettons, 45, pis son amie Marcel avait genre 56, pis il était tout le temps, bon, correct, pas grave. Pis, elle m'a amené... T'es sûr que c'est pas un sketch de lesdions, ça? J'ai pas assez... Non! Parce que Marcel, c'est le bras Glade, il a... Mais... parce que Marcel c'est le bras glade elle s'est endormie une chandelle glade

qui passe à travers le bras il faut que tu sois saoule c'est une madame de même c'est un resort à 600$ il y avait des russes qui venaient de la Russie parce qu'ils travaillaient sur des gens de

pétrole dans la mer Cette compagnie-là payait les vacances Le gars, quand t'es stressé tu squam, ta peau est à lèvres Tu squam? Quand tu pognes un coup de soleil tu pelles, ça s'appelle squamer Tu plommes?

Il plommait de partout Il était Tu plumes, il plumait Il plumait de partout, pis il était chaud raide Pis il nous payait des drinks Mais c'est parce que c'était gratuit Pis il était comme, hey, je vous suce mon bras Pis là, en russe Pis la madame était comme J'en ai pas de bras

Mais J'étais à l'Aquibar bras. Sinon, je suis allé à Cuba avec Chagnon, mon ami Chagnon. Puis on haït le soleil. On haït le soleil. Fait qu'on restait tout le temps dans le resort. On se levait à 7h le soir puis on allait boire. C'est ça qu'on faisait. Puis on était amis avec ce monde-là. Puis là,

Marcel, lui, il était top. Puis à un moment donné, il disait, hier, je me suis promené tout nu sur la plage. Pas grave, pas grave, pas grave. Puis moi, la veille, j' promené tout nu sur la plage. Pas grave, pas grave, pas grave. Tu sais, puis moi, la veille, j'avais été avec une fille sur la plage. Puis moi aussi, j'étais tout nu, mais... J'en ai entendu parler.

Bien oui. Puis là, le monsieur, il s'est promené tout nu sur la plage. C'était qu'il nous a vus, tu sais. Mais là, je sais comme... Il y a comme un monsieur de 65 qui, tu sais, il se promène comme sur le bord, tu sais, tout nu, tu sais. À poil. À poil, tu sais.

Moi, c'était quand même genre, on commence tout là, puis on s'en va dans la chambre. C'était moi. En tout cas, est-ce que lui, c'est plus lousé que moi? Non, moi, c'était lousé aussi quand même, d'une certaine manière. Ben non. Faire l'amour dans la plage.

Ben non, c'est un rêve. Je vais vous le dire, OK, tout de suite, ça ne marche pas, OK? Mais y avait-tu une couverte? Parce que moi, là... Non, il y a beaucoup de sable. Ben, c'est... Tu sais, du sable...

Ça ne marche pas. ... et du sec, ça marche moyen. Non, ça fait a beaucoup de sable. Benzé, tu sais, du sable pis du sec, ça marche moyen. Non, ça fait très mal. OK. Faut aller se laver, genre... Ah! Ça saigne, je pense! Je vois rien, y'a pas de lumière ici! Tu sais, c'est un peu ça, là.

C'est bien bandant comme histoire, ça. C'était très bandant. Pas fait en bois, moi je sais. Ce qui est vraiment drôle de cette histoire-là, c'est que c'était mon premier « voyage ». Puis là, après, elle partait le cinquième jour, moi il me restait deux jours. C'est une fille de Québec que j'ai rencontrée là-bas.

Puis elle est partie, puis j'ai pleuré quand elle est partie. J'étais comme juste, j'ai rencontrée là-bas. Puis, tu sais, elle est partie, puis là, j'ai pleuré quand elle est partie. J'étais comme juste... J'étais loin de ma maison. J'étais pas bien. Elle m'avait écrit une lettre. Elle t'avait reçu au raison. J'ai reçu au raison. Elle m'avait pas écrit une lettre de Québec. T'es devenu quelqu'un de love story.

Oui. Elle m'avait donné une lettre en dessous de ma porte. Puis là, j'avais pleuré dans mon lit, tout ça. J'ai gardé cette lettre-là. Des fois, quand tu te retrouves dans un manteau 20$, 10 ans plus tard, j'ai retrouvé la lettre. J'ai pleuré en lisant ça.

Voyons donc qu'on lise. Je l'ai jetée. As-tu déjà écrit à cette fille-là? Je suis allé à Québec. Quelqu'un qui te fait pleurer, c'est clair que tu vas aller la voir Puis c'était comment quand tu es allé la voir à Québec?

Finalement, je suis autiste, je pense Je ne suis pas quelqu'un qui n'est pas capable de... Je suis bizarre avec... Moi, avec les gens, c'est bizarre Quand tu es allé la voir, ça n'a pas... J'étais froid, j'étais plate J'étais genre... Elle était peut-être plate

Elle était peut-être plate. Elle était peut-être plate, mais en même temps... Peut-être une conne. Mais c'est-tu elle qui t'avait invitée à Québec? Oui. Ou t'es juste arrivée... Non, non, elle m'avait invitée. Avec ses meubles, pis tout. Elle m'avait invitée, mais...

Elle était comme fâchée contre moi, comme si ça faisait 10 ans qu'on sortait ensemble, tu sais, là, c'était weird, là. OK. Pis là, moi, je... Mais t'étais- allé dix ans après ou t'es allé la semaine après genre trois mois après tu sais toi moi c'est long en esti faire heu pleurer en lisant ta lettre faut que je te revois c'est quand tu reviens au mois d'où on va se voir au mois d'octobre peut-être c'est un peu oh christe

ça c'est quoi qui est tombé c'est un petit rectangle c' Christ! Ça, c'est quoi qui est tombé? J'ai... Ça sonnait. C'est un rectangle. C'est-tu mon tapis? C'est-tu mon tapis? Oui, c'est ta pile, Mike. Non, c'est mon portefeuille. Ah!

Oui, c'est mon portefeuille. Mon Dieu, on dirait que c'est comme un canic. Que j'avais acheté à Hollande. J'aime beaucoup mon portefeuille, mais il tombe dans mes poches. Bien oui. Peut-être le mettre à la place ici, y a une place là, ça me met une poche

Mais, ouais, mais Peut-être Oh yes, nice On va aller avec une autre question qui n'a pas rapport avec mon portefeuille Bonjour La question est pour Mike. Je voulais savoir, ça fait quoi?

Trois ans environ que tu fais le podcast? Ça fait trois ans au bordel, oui. Je me demandais, c'est quoi l'effet sur ton écriture, le fait de faire le podcast aussi souvent? Est-ce que ça a changé quelque chose dans ta conception, ton approche d'humour, dans la création de ton stand-up?

Un peu. L'affaire qui a vraiment changé, et j'ai découvert ça récemment, c'est que moi, j'ai toujours écrit pas vraiment. Je ne suis pas le genre de personne qui écrit dans mon bureau. Mais aussitôt que je dis de quoi de drôle dans la vie, et que quelqu'un rit,

je fais « Ah, ça fera un bon number. » Je vais chez nous et j'écris. Mais là, à cette heure, au podcast, des fois, je. » Là, je vais chez nous et j'écris. Mais là, à cette heure, au podcast, des fois, je dis des affaires, ça rit fort. Là, j'écris. Après, le monde qui vient de me voir en show, qui ont regardé le podcast, ils font « Tabarnak, j'ai tout vu.

C'ti, tu parles non-stop de jantons qui font des bottins. » La seule affaire, ça a changé un peu. C'est que j'assume plus les temps morts qu'à l'époque j'assumais. Mettons, dans le temps, si je faisais du crowd work et que je demandais à quelqu'un une question, s'il me répondait de quoi et que je n'avais pas un gag, je paniquais. À ce temps-là, je m'en calais.

Je sais que je suis capable d'avoir un deux minutes pas drôle, puis je vais aller ramener le monde. Désolé, c'est schnapp non-stop. Ça m'a juste donné de la confiance. C'est un podcast de crowdwork, pour vrai. C'est ça qui sait.

C'est toi qui fais du crowdwork avec deux invités. C'est un podcast de crowdwork, pour vrai. C'est ça que c'est. C'est toi qui fais du crowdwork avec deux invités. C'est vraiment ça. Oui. Boum! Not the mic! All right! Puis là, ça devrait être mes dates de tournée. Moi, j'écoute le podcast depuis le début, en fait.

Même quand c'était en Skype, avec deux écrans. En 2011. Oui, moi, depuis le genre... En 2011. 2011. J'avais commencé le podcast en deux... Moi, je disais tout le temps au début 2009, puis après, j'ai découvert cette année que c'est 2011. Mais oui, ça fait depuis 2011 que je fais ça.

My God! Puis le monde se sent tout le temps mal, parce que le monde font souvent, moi je regarde depuis le début, le vrai début, puis je fais, depuis 2016, j'ai commencé en 2011, puis là ils sont comme,

je ne t'avais pas suivi les 5 premières années, mais c'est qu'au début, j'ai fait, avec Skype, pendant 6 mois, j'ai arrêté parce que la qualité était trop mauvaise. J'ai fait avec Skype pendant six mois. J'ai arrêté parce que la qualité était trop mauvaise. Ça chiait. J'ai recommencé.

Là, j'ai arrêté parce que ça me coûtait trop cher. Quand on a parti, le bordel, j'ai recommencé. Oui, c'était une crise de bonne idée. J'étais vraiment content que ça recommence parce que je trouvais qu'il y avait vraiment des informations utiles. J'écoutais ça et j'étais comme « Ah wow, c'est le même, ça se passe. » Au début, sous-écoute, c'était plus informatif.

Puis là, c'est devenu juste un monsieur sous qui parlait du monde. Des expériences de vie, c'est un peu comme... C'est ça, c'est des anecdotes de vie. C'est des affaires. C'est des sujets. Regarde. Moi, j'écoute mes podcasts en jouant à des jeux vidéo. C'est ça que je fais.

Je trouve ça le fun. Ça me divertit. Toi, c'est quand? Moi, je les regarde. Mais toi, tu as regardé presque tout sous écoute, right? Oui, ça m'a surpris. Mais je ne peux pas te dire depuis 2011. Depuis le bordel, moi, j'en manque pas un.

Ça m'a surpris quand j'entends ça. Ça m'a déçu de toi. Non, mais... Je suis vraiment content quand j'ai appris que tu avais regardé le podcast. Mais ça m'a surpris. Je te regarde le lundi matin. J'attends, tu retardes.

En fait, je me trouve une bonne raison pour ne pas travailler. Je regarde ça. Je retarde le toit qui tasse tes robes. Tu as vos facteurs. Mais oui, je regarde toujours. J'aime ça quand les gens ne sont pas derrière leur... arrivent à ne pas être derrière leur personnage.

On parle des vrais êtres humains. Ça, c'est une affaire que je pense que ça m'a vraiment aidé. J'ai tout le temps essayé d'être ça sur scène, mais quand tu fais des podcasts, que ça m'a vraiment aidé puis j'ai tout à essayer d'être sur scène mais ça quand tu fais des podcasts ça t'apprends à être vrai sur scène plus que tu sais souvent des fois j'écris des numéros où je pense à des jokes puis là je fais ok ça c'est ma joke

si je te punch là ça rit ici si je fais ce punch-là, ça rit là. Mais ce punch-là, ça sonne fake. Ça sonne comme un mauvais film. Je fais un fuck-off. Je pense que ça m'a rendu moins punché, mais plus vrai dans la vie.

Peux-tu plugger mes podcasts à moi? Oui, tu peux. As-tu un podcast, toi? Je suis en train d'en faire un. Hein? Oui. Nice. Ben, je vais plugger les miens.

Puis après ça, si tu veux parler du tien, tu iras. Ben oui. Je pense que c'est comme moi qui l'ai callé en premier. En tout cas, je sais pas. C'est toi d'abord.

OK. Ben, j'ai un podcast national, j'ai un podcast de lance et compte, en fait. Hé, Chris! Aujourd'hui, aujourd'hui, j'ai tombé sur de quoi?

Excuse, je te coupe, mais... Vas-y. Il y avait... Moi, je suis... Il y a une affaire sur Twitter qui est... Keanu Reeves, des photos de Keanu Reeves,

et il y avait des photos de Keanu Reeves qui french avec Cal Marotte. Oui, c'est beau, ça! Oh, mais tabarnak! Il était coloc. Mais pourquoi qu'il se frenchait? Il était coloc à LA. En fait, Karl Marotte s'est fait

proposer des rôles à LA, mais en même temps, il avait lancé compte. Puis là, il est hésitant entre les deux de rester à LA, qu'il nous raise ou aller faire lancé compte. Il a fait fuck off, je m'en vais faire lancé compte. Mais avant, il a donné un petit bec. Oui. Il était coloc, mais... Mais ça ne len vais faire lancer compte ». Mais avant, il a donné un petit bec. Oui. Fait qu'il était coloc, mais...

Mais ça l'explique pas pourquoi il l'a frenché. Parce que les comédiens sont de même. Les comédiens se frenchent tous entre eux autres. Ils sont tous à un permis UDA de s'en une graine. En gros. Mais c'est un beau french, on y croit. Non, mais ils sont très frivoles. On expérimente, on est des comédiens.

C'est vrai, ton podcast. Là, vous autres, vous parlez juste du national. On écoute chaque épisode de L'Enseignante. Après ça, on commente l'épisode de L'Enseignante. Tout ce qui s'est passé, on résume l'action. On fait des gags.

C'est vraiment une occasion de faire des gags. C'est avec le monde de Trois-Bières qu'il faut aussi un autre podcast. Est-ce que c'est vraiment une occasion de faire des gags. C'est avec le monde de Trois-Bières, en fait, qui font aussi un autre podcast. Est-ce que c'est juste disponible sur le Patreon de Trois-Bières? Non, c'est disponible gratuit sur YouTube, sur Google, sur toutes les pod beans,

iTunes, toute la patente. C'est la nouvelle génération de... Non, non, non. On écoute tout dans ses comptes. On part de la saison 1, 2, 3, puis après ça, les téléfilms, les nouveaux, les films. On fait tout. J'ai un autre podcast aussi qui s'appelle

Virginie. Je n'ai pas nommé le podcast. Le podcast de l'Anse-et-Compte, ça s'appelle National Nation, l'Anse-et-Compte analysée. J'ai un autre podcast de Conversations téléphoniques qui s'appelle analysé. J'ai un autre podcast de conversation téléphonique qui s'appelle Allô, c'est un podcast. Le concept, c'est juste j'appelle du monde

et on jase pendant une heure. C'est au téléphone. C'est comme si toi, tu écoutais ma conversation téléphonique. C'est vraiment comme si tu écoutais, tu espionnais quelqu'un parler au téléphone. Jamais je m'adresse au public. C'est vraiment une conversation téléphonique. Genre, jamais je m'adresse au public. C'est vraiment une conversation téléphonique, genre, « Hey, allô, comment ça va?

Ouais, non, non, non, ok, bye! » Tu sais, c'est ça. Tu t'appelles du monde du showbiz pour ça? J'appelle n'importe qui. J'ai appelé une personne qui fait des jeux de société, en fait, qui a le bar Le Randolph, le bar de jeux de société. J'ai appelé le magicien

le drôle, comment il s'appelle? Vincencé. Pour savoir plus d'affaires sur la magie. Je m'intéresse à ça. En fait, c'est sur des sujets. Je m'intéresse à des affaires. J'aime que c'était méchant. J'ai appelé le magicien drôle. Il y en a tous d'autres.

Alain Choquette. Alain Choquette, il était comme, il va parler de moi. Ah non! Alain Choquette. C'est genre Alain Choquette, il était comme, il va parler de moi. Oh non!

Ça montre que ça n'a pas Alain Choquette, il écoute les podcasts, puis il espère que dans les questions, on parle de lui. Peut-être, peut-être. Donc c'est ça, Allô, c'est un podcast. Mais toi, tu prépares un podcast? Oui, en fait, c'est que je suis embarquée dans un projet de Félix Turcotte,

qui est un auteur. Ça s'appelle « Parle-moi pas ». Le concept de son podcast, c'est de parler d'un sujet le plus longtemps qu'on peut, mais un sujet genre « Parle-moi pas sur le bleu. Parle-moi pas sur

le pain. Parle-moi pas sur la mort. Parle-moi pas sur les pneus. » C'est des sujets un peu insipides, mais on essaie de vider la question avec des gens qui sont passionnés de la couleur bleue ou du pain. C'est une affaire de même. Puis, ça dure combien de temps? Là, ce n'est pas parce qu'on est en train

de commencer cette affaire-là. C'est entre une demi-heure et 45 minutes. Moi, au début, quand j'avais découvert Trois-Bien, l'affaire que j'aimais, l'idée de base de Trois Biens, c'était ça. C'était, eux autres, ils m'avaient dit, tu sais, des fois, on a des questions que ça n'a pas de jus, mais on dirait, moi, c'est ça que j'aime le plus d'un podcast. C'est des affaires que tu fais, ça, là, tu peux en parler maximum pendant une minute, puis là, tu entends 40 minutes de « Pourquoi t'aimes le fuchsia? » Puis t'es comme « Tabarnak! »

Ça t'amène à quelque part que tu pensais même pas que ton cerveau voulait entendre. Il y a un podcast de Noël qui font juste parler de Noël. Ah oui? Québécois? Noël chez Isidore, j'ai déjà été invité une fois.

C'est malade mental. Ça te va tellement bien. C'est une heure et demie, puis ils ne parlent que de Noël chez Isidore, j'ai déjà été invité une fois c'est malade mental c'est une heure et demie pis ils parlent que de Noël ils sont rendus à l'épisode 7 Noël chez Isidore c'est vraiment malade mental ils analysent des vieilles pubs de Noël ils analysent des vieux films de Noël

moi ce que je trouve triste là-dedans par exemple, c'est que toi t'as reçu un appel, parce que si t'as fait tu l'as déjà fait pis ils sont à l'ép que toi, tu as reçu un appel, parce que si tu as fait, tu l'as déjà fait, puis ils sont à l'épisode 7, tu as reçu un appel qui a fait, on a une idée pour un podcast, on va parler de Noël, tu as fait, je suis là. C'est moi qui ai dit

je veux participer, s'il vous plaît. J'adore Noël. Mais moi, j'ai participé à beaucoup de podcasts. Je les ai tous faits, je pense. À un moment donné, je suis allé dans un podcast de musique, il y a un gars qui m'appelle. Je fais, ok, parfait, je pense. OK. À un moment donné, je suis allé dans un podcast de musique. Des gars m'appellent. Je fais OK, parfait, je vais y aller.

J'ai pas de char. Ils disent, on va te récupérer à Laval au métro. Je suis comme, ça doit être à Laval. C'était fucking en forêt. C'était loin. J'étais genre, callé. C'est genre une heure de char pour y aller. Là, on arrive chez le dude.

Puis là, c'était juste une entrevue. C'était genre 15 minutes. Ah, ouais? Oui! Fait que là, j'étais genre, j'attends sur le divan, j'étais avec leur chien, tu sais. Là, je flatte le chien, tout ça.

Là, il m'appelle. Là, je viens. Il dit, ah, ça sera pas long, c'est genre 15 minutes. Je fais, hein? Là, je parle, là, je parle, là, puis là, je m'en vais. Puis je fais, Chris,

vous m'avez fait venir de genre, j'ai gaspillé 5 heures de ma journée pour faire une entrevue de 15 minutes. » Tu leur as dit? Non. Je leur dis pas. J'ai aimé ça pareil. On leur dit jamais. Non, on leur dit jamais.

Je suis trop poli. Je dis tout à oui à ces affaires-là. Moi, à ce temps-là, j'ai battu ça. Moi, jeune, j'étais tellement poli et je ne me choquais jamais. C'est ça, tantôt, je parlais avec Rachid en haut, quand il est arrivé. Moi, dans le temps, je ne me choquais jamais et une fois aux trois ans,

j'explosais et j'avais l'air d'un fou qui voulait tuer tout le monde. À ce temps-là, je me choque souvent, mais pour des raisons d'être choqué. C'était les hosties de colons-là, j'aurais fait tabarnak. Tu m'as fait faire une heure hostie de route pour faire 15 minutes d'être choqués c'est comme c'était ce site que l'on l'a j'aurais fait tabarnak tu m'as fait faire une heure esti de route pour faire 15 minutes d'un podcast que personne ne veut écouter c'est vraiment ce qui j'aurais sûrement qu'il

aurait fait de bons retourne chez vous à pied mais au moins je me fais il faut le dire mais il était sympathique le corps même celles font ils sont tout le temps sympathique je suis gentil Les gens sont gentils. On ne peut rien faire. C'est ça. On va aller avec, j'irais avec la dernière question. Par sûrement le monde qui sont venus en métro.

Le métro finit bientôt. Puis lui, il a un podcast à Laval. Tu t'en vas dans l'Arantide. Tu as le best-of de ton podcast. Il reste-tu, ou s'il faut que... Tu t'en vas dans Laurentides, t'as le best-of de ton podcast. Il reste-tu... S'il y a plus qu'une personne en ligne,

on peut en avoir plus qu'une, mais il y en a un qui s'en vient. OK, tu vas être le dernier où elle va... OK, yes. J'ai une question. Dans le fond, Jean-François, on te connaît un petit peu pour les appendices. Mike White pour ses jokes d'handicapés.

Et celle du centre, on la connaît... C'est assez de puncher, l'UES. Juste parce qu'il y a un T-shirt avec du merch, il se permet des affaires. Chère Madame du centre, on ne le connaît pas beaucoup. Chère Madame du centre? Elle s'appelle Catherine Etier,

mais c'est pas grave. Madame du centre, on ne le connaît pas beaucoup. C'est quoi ton nom? Tu viens d'où? Ton... Ça fait 1h30 Il va chier Pour vrai, on va arrêter cette question-là

Y'a-tu quelqu'un d'autre qui a une question? Sinon, on va arrêter C'est-à-dire une question un peu plus brillante J'en ai peut-être une un peu plus brillante C'est pas vrai C'est-tu quelqu'un d'ante. Non, ce n'est pas vrai. C'est-tu quelqu'un d'autre? OK, c'est quelqu'un. Oui, oui, oui.

Je pense que c'est une bonne question. Catherine, je ne sais pas si c'est vrai, mais Fred Dubé... Tu parles à qui? Tu parles-tu à la Madame du Centre ou... Je reconnais sa poil, non?

En fait... Est-ce que c'est une question de type éco-vedette? Non, non, non. C'est juste que dans un autre podcast, je pense que Fred Dubé avait dit qu'il travaillait ses textes avec toi. Je ne sais pas

si je me trompe ou ça fait peut-être longtemps de ça. C'est un vieux podcast que j'ai vu. Est-ce que c'est vrai ou est-ce que tu travailles avec d'autres humoristes aussi, des fois plus en auteur? J'ai déjà travaillé avec Fred sur son... C'était Radical Pudding, je pense.

Parce que je le suis de près dans pas mal toute sa démarche. Mais j'ai scriptédité un de ses spectacles avec un autre auteur qui s'appelle Yves Trottier. Mais non, je n'ai jamais travaillé avec d'autres humoristes. Ce n'est pas arrivé. Mais c'est ça, on se consulte souvent pour ce qu'on écrit, pour ce qu'on fait.

On se valide, on s'aide un peu à vivre dans tout ça. Mais non, c'est la seule fois que j'ai officiellement contribué à un spectacle. Puis toi, vu que t'es plus auteur, est-ce que tu as quelque chose que t'aimerais mieux, genre pour le stand-up, de faire la script édition

des shows de stand-up ou de faire, toi, du stand-up? Ah, moi, faire du stand-up. Mais tu sais, si quelqu'un me demandait, venait me demander de travailler avec lui ou elle puis que ça fitait, je le ferais.

Mais, tu sais, si j'écrivais des affaires drôles qui me font rire, je sens que j'aimerais ça. J'aimerais mieux aller les faire sur scène que d'écrire pour d'autres. OK.

Je ne suis pas si pétrifiée que ça par la scène. C'est juste que je commence puis je ne sais pas trop comment ça marche. Fait que je suis un peu timide. Moi non plus, je ne savais pas comment ça marchait quand je l'ai fait. Bien, que ça par la scène. C'est juste que je commence et je ne sais pas trop comment ça marche. Je suis un peu timide. Moi non plus, je ne savais pas comment ça marchait quand j'ai fait. C'est ça.

Ce n'est pas grave. Ben non, c'est sans souci. Moi, j'étais fucking terrifié la première fois que j'ai fait du stand-up. C'était où la première fois, toi? C'était dans une soirée. C'est un comédien, Francis William Réaume, qui organisait un cabaret de comédiens qui veulent

essayer de faire du stand-up. C'est comme, amenez vos amis, on loue une petite salle et on essaye de faire du stand-up. J'avais fait ça et j'avais fait comme, OK, ça peut fonctionner. T'avais-tu amené des amis ou non? C'était mes amis les appendices,

ma famille. C'était juste au moins essayer de dire un texte devant du monde. Après ça, j'ai fait... Je crois... C'est parce que j'ai eu beaucoup d'amis humoristes, comme tous les humoristes de la relève. J'ai commencé à aller dans les soirées

et à connaître tout le monde. « Viens sur ma soirée! ». Même si t'es pourri, ça va être nice. T'étais pas pourri. J'étais pourri souvent. En fait, j'ai fait le bordel, l'open mic, pis c'était terrible. C'était fucking terrible.

Ah ouais, je me suis fait écler. Ta gueule! Ça doit être dur. Non, mais c'était correct. T'es un gars de la télé, puis là, tu suis... Après ça, j'ai continué. J'ai fait d'autres soirées avec d'autres amis.

Ça a mieux été. Là, maintenant, c'est correct. Maintenant, je suis plus à l'aise. Quand tu casses une version d'affaire que t'es pas sûr que c'est drôle, ça, t'as le goût de te rentrer dans le centre de la Terre. C'est pas nice.

Le stand-up, c'est tellement un beau feeling quand t'as un rire. Quand ça marche pas, c'est humiliant. C'est le pire feeling. Qu'est-ce qui est plat? Quand tu vieillis et que t'as de l'expérience, ça change fort.

Les affaires, je comprenais pas. Je ne connais pas beaucoup Yvon Deschamps, mais je me rappelle, un des premiers shows que j'avais fait avec Yvon Deschamps, il était stressé avant son show. Je me disais, tabarnak, c'est Yvon Deschamps, un choraliste. Puis, je ne comprenais vraiment pas ce qu'il vivait. Puis, genre, dans la dernière année,

j'ai fait, je ne me compare pas à Yvon Deschamps, mais je faisais, « Ok, je comprends. » Moi, ça fait 25 ans que je fais ça. Puis souvent, je fais comme, quand j'arrive avec des nouvelles jokes, je suis comme,

« Ah, c'est pas bon. » « C'est écrit, je ne suis pas bon. » « Peut-être que je ne suis plus là. » C'est très sain, je pense, d'être de même. C'est super sain, mais c'est dégueulasse. C'est épouvantable. C'est de la merde. 70% du temps, 30% du temps, tu es le roi du monde.

Moi, j'avais mon dernier show, ma tournée que j'avais faite, c'était avant que le bordel existe, que je voulais roder. Tu sais, j'avais demandé à Frankie Fenty Pants et à Simon Delisle, j'avais demandé à Frankie Fancy Pants

et à Simon Delisle, j'avais dit, faites mes premières parties, on va aller en région, puis je vais essayer de bâtir une heure. Je m'étais pris des notes, puis là, j'étais comme dans les bars, puis là, j'étais comme, mes instincts de survie m'ont embarqué.

C'est ça que j'avais fait, puis j'avais réussi à écrire une heure de show en un mois. Puis là, j'étais comme artistiquement, c'est une belle démarche, mais humainement, c'est dégueulasse. J'avais le goût de mourir. J'étais comme dans un petit village au

lac Saint-Jean, puis je me disais, pourquoi je suis-tu ici? T'aurais dû aller voir la fille des cochons. Oui, oui, oui, j'aurais dû aller voir la fille des cochons. T'étais là. Exact. J'ai manqué ma chance. On retourne dans le passé, la gang. Oui, je devrais retourner dans le passé,

acheter un cochon, puis lâcher l'humour. Ou aller dans le futur, puis acheter un cochon fucking bionique. Je laisse ça de même. Chris a bonne idée. Je pense... Si il y a une dernière question,

sinon je finirais là. Y a-tu une dernière question? Y a-tu quelqu'un qui est en ligne pour la question? On va finir là. Merci. On finit avec toi. Y'a-tu quelqu'un qui est en ligne pour la question? Ok, fait qu'on va finir là. Hey, merci! C'est un job, c'est un job. On finit avec toi, fait que t'as beaucoup de pression.

Allô? Allô? Ma question est pour Jean-François. Je voulais savoir, est-ce que tu trouves qu'il y a une différence entre l'humour absurde quand t'as commencé les appendices versus aujourd'hui? Oui, je trouve qu'il y a vraiment eu une évolution dans l'humour absurde quand tu as commencé les appendices versus aujourd'hui. Oui. Je trouve qu'il y a vraiment eu une évolution dans l'humour absurde.

En fait, l'humour absurde, c'est un gros terme. La petite vie, c'était considéré comme étant de l'absurde. C'était de l'absurde de l'époque. C'est parce qu'il couche debout. C'est quand même de l'absurde. Les données de relais, au début, c'était vraiment du même de l'absurde, mais tu sais, je veux dire, les données de relais,

au début, c'était vraiment du dada n'importe quoi. Des ciseaux avec un gachot puis un tic dans un carrosse. C'était du plus dada. À ce temps-là, c'est vraiment plus un gars qui crie après un autre, qui est vraiment fou. Ça l'a beaucoup bougé.

Je pense qu'au début, nous, on faisait vraiment du non-sens britannique. Plus les Monty Python, on se trouvait bien, bien hot. Après ça, on a vraiment évolué et on a commencé à faire de l'humour un peu plus punk, je pourrais dire. Un peu plus rentre-dedans. D'être méchant aussi,

de faire de l'humour un peu méchant, avoir des vedettes. Un peu comme RBO le faisait. On a pris une tangente de même. Par moment, on a commencé à faire des affaires fucking bizarres comme Tim & Eric et comme Eric Andre. On a vraiment exploré toutes sortes d'affaires. Pas juste l'humour absurde aussi,

de l'humour de jeu de mots, de l'humour de grimace. J'ai l'impression, par exemple, l'humour absurde, ou ce que vous autres vous faisiez, c'est que souvent, c'est juste tu fais ce qui te fait rire, toi. Comparativement à

tomber dans une formule. C'est ça. C'est que la demande, à l'époque, on parle de... Nous autres, on a commencé en 2009. Louis-José Hood avait des drôles de cheveux à cette époque-là. C'était d'autres choses. Maintenant, on dirait que tout le monde fait de l'humour absurde, mais personne s'en rend compte. Julien Lacroix, c'est d'autres choses on dirait que tout le monde fait de l'humour absurde mais personne s'en rend compte Julien Lacroix, c'est fucking bizarre

des fois il raconte des affaires tu fais tabarnak asti qui est weird Yannick Demartino tout le monde fait de l'humour absurde on s'en rend pas vraiment compte mais c'est ça qui pogne en ce moment mais faut pas dire le mot absurde

parce que ça les gens en TV aiment pas ça je fais plus de l'humour absurde, c'est terminé commentne en ce moment. Mais il ne faut pas dire le mot absurde parce que ça, les gens en TV n'aiment pas ça. Je ne fais plus de l'humour absurde, c'est terminé. Comment tu appelles ça d'abord? C'est de l'humour. Enfin! C'est-tu... Toi, tu fais quoi comme humour? Moi, je fais de l'humour...

Moi, c'est un mix entre absurde et hard. Martin Matt, il fait quoi comme humour? C'est un entre absurde et hard. Martin Matt, il fait quoi comme humour? C'est un peu absurde quand même. Des fois, c'est bizarre ce qu'il fait, non? Non? Non. Guy Nantel, il fait-tu de l'humour absurde?

Non. Non, non, non, non, non, non. François Bellefeuille, il fait de l'humour absurde? Non. Non? Non. Ah! Non?

Non, je suis tout mélangé. Je sais plus. Moi, je pense que tu vas juste nommer des noms jusqu'à temps qu'on fasse « Ouais, t'as raison ». Tu vas faire « J'ai raison! » « J'ai raison! » Mais non. Mais moi, je trouve que je ne fais pas de l'absurde.

Puis c'est Daniel Grenier qui m'avait dit ça un moment donné. C'est qu'il m'avait dit « T'es rendu tellement hard que t'es devenu un cartoon. Que c'est devenu absurde parce que tu parles que tu vas enculer des vieillards. Ça devient absurde. »

C'est plus attaché à la réalité. Je pense que maintenant, moi, ce que je fais, c'est de l'humour qui appelle à l'imaginaire. C'est plus de l'humour que ça... La réalité imaginée pour être le réel. Imaginez que ça, ça existe pour vrai. C'est fucked up comme idée. C'est pas genre une banane dans une oreille

de singe. C'est pas ça. C'est d'autres choses. C'est comme mettre l'imaginaire dans le réel. C'est plus ça. Je pense qu'un bon nom pour l'humour absurde, vu que l'humour grand public, ce serait l'humour petit public. Je fais de l'humour petit public.

Tu fais comme « Ah, Chris, c'est cool. Je veux écouter ça. » Moi, je me compare à... Je fais de l'humour comme Malajub. Ça ne s'adresse pas à tout le monde. Moi, je me compare à Malajub. Non, mais là, c'est fini. Malajub, on s'entend c'est plus drôle que Malajub non mais mettons Beck

ça ne s'adresse pas à tout le monde ça ne passe pas à radio mais l'affaire c'est que lui il est aux États-Unis il vend 10 millions au lieu d'en vendre juste 100 000 mais c'est un peu ça que je fais je fais de l'humour qui s'adresse à des gens qui aiment des affaires spéciales c'est tout c'est un peu ça que je fais je fais de l'humour qui s'adresse à des gens qui aiment des affaires spéciales c'est tout

c'est bon je pense qu'on va finir avec ça c'est super je me sens comme si c'était mon papa et ma maman qui me chuchotaient c'est bon bravo on devrait finir avec c'est quand tu vas te trouver une vraie job

non mais pas de vrai merci beaucoup avec « C'est quand tu vas te trouver une vraie job? » Non, mais pas de vrai. Merci beaucoup. Merci beaucoup, les deux, d'avoir été là. Là, si on veut vous voir, voir vos projets, c'est où, quand on veut savoir t'es où, qu'est-ce que tu vas faire,

c'est où qu'on va? Tenez-vous près du Parc Laurier. OK. On va aller au parc Laurier voir ton vieux chien qui va mourir bientôt. Qui va mourir bientôt. Bien, je suis

pas mal essentiellement à Gravel le matin. C'est pas mal slow. Vous pouvez me voir ces temps-ci. Mais sinon, sur mon Facebook, je dis des petites choses. OK. Sur ton Facebook. C'est bien organisé. Moi, c'est sur mon Facebook aussi, Jean des petites choses. OK. Sur ton Facebook. C'est bien organisé. Puis, toi...

Moi, c'est sur mon Facebook aussi, Jean-François Provençal, ou sur ma page web, jfprovençal.com. Excellent. Excellent. C'est juste ça. Merci à tout le monde d'avoir été là. Merci, Yann, d'avoir été là, toi aussi. Merci. On va se voir la semaine prochaine,

tout le monde. Sous-titrage Société Radio-Canada