Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #191 – (Lise Dion et Ève Coté)

Episode Date: November 13, 2018

Cet épisode est une commandite de PlanetHoster https://www.planethoster.com/fr/ Cette semaine à Sous Écoute, Mike reçoit Ève Coté qui met du maïs en crème littéralement partout, et Lise Dion qui se confie à coeur ouvert sur ses périodes difficles et sa tentative de suicide. Pour vous procurer des billets pour le prochain spectacle de Mike: http://mikeward.ca Pour vous procurer les spectacles francophones et/ou anglophones enregistrés au Bordel: Mike Ward Infamous Video: https://t.co/4qkbyLHXwv Audio: https://t.co/A3D86IqULP Mike Ward au Bordel Vidéo: http://vimeo.com/ondemand/159769 Audio: http://mikeward.lnk.to/52xMW -------- Shoutout Box - http://sorsavec.com Boutique en ligne - https://mikewardsousecoute.ifmerch.com Patreon - http://Patreon.com/sousecoute AirBNB - http://mwbnb.ca Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute ★ Support this podcast on Patreon ★

Salut! Je m'appelle Mike Ward. Vous devez le savoir, Karin, c'est mon podcast. J'ai un nouveau show qui s'appelle Mike Ward Noir. Je fais une série de shows à Montréal, au Club Soda, dans le quartier des spectacles. Je suis là 20 soirs à partir de fin janvier, fin janvier jusqu'au mois de mai. Et après ça, pour ceux dans le coin de Montréal qui font « Ah, je vais attendre quand il va revenir. » Tu sais, parce que d'habitude, les humoristes partent en tournée. Ça dure quatre ans, caoliste. Moi, c'est « Je vais être à Montréal pendant une couple de mois.

Après ça, je vais faire une tournée d'un an en tournée au Québec. Puis après, ça finit là. Après, Chris, gonne dans la gueule, puis bonsoir. Non, non. Tabarnak, hein? Ça devrait finir avec ce message qui a été payé par Infosuicide ou Suicide Action. Non, je ne me tuerai pas, mais c'est juste pour dire que mon show s'appelle Noir. C'est de l'humour noir. C'est des jokes de suicide, des jokes de meurtre.

C'est assez trash. Je suis 20 soirs à Montréal. Je suis deux soirs à Québec. Puis un an tourné, j'ai une vingtaine de dates. Les billets sont en vente sur noir.mikeward.ca noir.mikeward.ca

J'espère que vous allez venir voir ça parce que le show est correct. Les meilleures années sont en arrière de moi. En direct du Bordel Comédie Club à Montréal, voici Mike Ward. Je vous écoute. Merci. Bonsoir. Bienvenue à Mike Ward sous écoute.

Cette semaine, avant de commencer le show, je veux remercier mes commanditaires, qui ne sont même pas commanditaires cette semaine, mais c'est Planet Toaster. Moi, j'aime tellement Planet Toaster que même la semaine qu'ils ne sont pas commanditaires, je parle d'eux autres pareil. Planet Toaster, si tu cherches des solutions d'hébergement

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qui ont payé pour le shout-out box qui sort avec.com pour 250$. Si tu veux que je souhaite bonne fête à quelqu'un ou que j'envoie chier ton voisin, je vais faire n'importe quoi, en autant que ce n'est pas raciste ou homophobe ou sexiste. Cette semaine, le premier shoutout box, c'est Vincent Tiffaut qui a écrit « J'aimerais solliciter l'aide du public pour donner une bonne main d'applaudissement plein d'amour à l'honorable Lan Hugo. »

Lan Hugo, j'aimerais ça. Lan Hugo. Puis ça, je pense, Michel m'avait dit que c'est ça, Vincent Tiffaut puis Lan Hugo, arrête pas de s'envoyer chier sur... C'est eux pense, Michel m'avait dit que, c'est ça, Vincent Tiffaut puis l'Anne-Hugo, arrête pas de s'envoyer chier sur... C'est eux autres, Michel, qui s'envoient chier tout le temps

sur tabarnak. Fait que lui, remettre quelqu'un à sa place, il est vraiment pas habile. Parce que lui est comme, lui me fait chier. Je vais payer 250 piastres, puis le monde va l'applaudir, ça y apprendra. Mais merci, merci Vincent d'être naïf.

Fait que, non mais pour de vrai, merci beaucoup Vincent. Et le dernier shout-out box, c'est de Wanted, je dirais pas son, parce qu'il a pas mis son nom, il a juste mis son email. Et il écrit, le voisin, bonjour, mon nom est Jérémie Alain. Si comme moi, vous avez un problème d'alcool, visitez educalcool.qc.ca, ils sont fucking nice. Fait que merci, Jer.

Que ça, crise de bon gag... Très de bons gags. Ça, c'est clair. C'est clair que Jer va être en tabarnak. Il va être fâché. Mais, hey, Yann, t'as passé une belle semaine? J'ai passé une super belle semaine. Il t'arrivait quoi d'un peu gênant

quand Alain est arrivé? Il y a deux handicapés ici, dans la salle. Ah oui, ça, je vais en parler. Parce que, veux-tu le raconter puis après moi je vais faire mon petit commentaire. Je pense que ça devrait être ça. Parce qu'Alain, on enregistre

deux émissions. Alain Godette qui est ici pour les deux shows. Oui, puis il y a Éric qui est un gars à peu près dans la même condition. Dans la même condition. Un handicapé. Un handicap condition. Dans la même condition. Un handicapé. Un handicapé. Un handicapé.

Un handicapé. Dans la même condition. J'ai vu, il y avait Éric dans la salle. Après ça, il y a Alain qui est rentré dans le bordel. Puis, tu sais, tellement ouvert d'esprit. La première affaire que j'ai faite, j'ai fait comme, « Ah ben, il y a ton chum là-bas. » Mais tu sais, je n'ai pas pensé.

Tu pensais que tous les handicapés se connaissaient. Se connaissaient. J'ai fait « Oui, il y a ton chum là-bas. » Mais tu sais, c'est ça. Tu sais, peut-être qu'ils ne se connaissent pas, mais moi, dans ma tête, c'est une petite communauté d'handicapés. Puis j'aime que, même là, tu es comme peut-être qu'ils ne se connaissent pas. Tu n'es comme pas sûr.

Alain, ça t'a-tu choqué, ça? En tant qu'Arnaud. Vois-tu? Il est en tant qu'Arnaud. Il est vexé. Puis l'autre, Alain, ton ami, c'est Éric. C'est Éric. Éric, toi, t'étais-tu choqué?

Éric est parti. Ah! Toi, t'étais pas choqué? Il vient de la prendre, lui. Ah oui, c'est vrai, il vient de la prendre. Oui, c'est ça. Mais pareil. Alain, c'est vrai, j'y avais dit. On va faire un échange de couple.

Alain veut faire un échange de couple avec Éric. Ça, ça serait... Mais Éric, mais toi, ça veut dire que tu fais tout le temps ça quand t'arrives à quelque part, s'il y a un Asiatique. Tu fais-tu comme... C'est quoi le nom à ton frère là-bas?

Le gars là-bas. Tu fais-tu... Dans ma tête, c'est tous eux autres qui ont les dépanneurs. Mais au moins, t'as reconnu Alain quand tu l'as vu. T'as pas vu Éric, t'as fait « Hey, Alain! »

Ben, les deux, trois premières secondes, quand j'ai vu Éric rentrer, j'étais certain que c'était Alain parce qu'il avait le même bras robotisé. Et après ça, j'ai fait « Ah, ok, ben non, c'est pas Alain. Il peut y en avoir d'autres handicapés sur la planète Terre. C'est vrai? Tu pensais-tu... Oui, je pensais que c'était Alain, vite fait.

Puis, ils ont-tu, je sais pas, vu qu'il fait noir, ils se ressemblent-tu? Ils ont-tu les mêmes cheveux? Non, du tout. Du tout, du tout. Ils se ressemblent. J'aimerais ça qu'Éric, il est black. C'est genre que c'est impossible que ça soit Alain. Tu te sens-tu mal? Hein. Tu te sens-tu mal?

Tu te sens-tu mal d'avoir fait ça? Je me sens-tu mal? J'ai fait comme... C'est pas obligé de se connaître, dans le fond. Ouais. Je te l'ai voyant. Il se connaît peut-être pas. C'est comme les tigros avec une barbe et une calotte rouge. C'est pas tout des yantérios.

Ça, on devrait, le monde devrait commencer à faire ça. Quand t'arrives à quelque part, si un gars avec une barbe blanche, que le monde dise, « Hey Yann, ton cousin, il est là-bas. » Serais-tu content si le monde te ferait ça? Ben, je rirais.

Je me reconnaîtrais en eux. Parfait. Non, c'est ça. Ça, ça veut dire que tu serais fâché. Puis que tu veux que je commence le show. Cette semaine, j'ai parlé un peu des commanditaires. Je veux aussi remercier tous ceux qui sont abonnés à Patreon.

Si vous voulez vous abonner à Patreon, c'est 2$ par mois pour le show audio, 3$ le show vidéo et 25$, tu peux... Tu as ton nom dans le générique avec n'importe quelle phrase après tu sais fait que c'est ça peut être genre tu sais mettons ça pourrait être Yann Thériault producteur ou ça pourrait être Yann Thériault trouve que toutes les handicapés se ressemblent c'est comme tu veux ok t'es-tu content?

cette semaine je suis vraiment je suis vraiment excité des invités je suis vraiment content parce qu'on a une des personnes que c'est sa première fois au podcast c'est vraiment une légende de l'humour québécois

je suis tellement content qu'elle a accepté l'autre invitébécois. Je suis tellement content qu'elle a accepté. L'autre invitée, c'est une fille que je trouve super, super, super drôle. C'est sa deuxième fois à l'émission. Mesdames et messieurs, voici Ève Côté et Elise Dion. Merci. Merci.

Merci d'être là. Salut, ça va? Salut. C'est comme tu veux. Là, tout le monde va te regarder pour que tu fasses ton sketch d'embarquer sur le stool. C'est en haut, un peu en haut. C'est en haut, mais... Tout le monde va te regarder pour que tu fasses ton sketch d'embarquer sur le stool. Tu veux que je te tire? Super!

Ok, yes. Bon, parfait. Je ne débarque plus. Je reste ici, je ne débarque plus. Ça doit être dur pour toi d'aller à quelque part quand il y a un stool que tout le monde veut que tu fasses ton « Nested Number » de stool. Je fais un « Number » pour vrai parce que j'ai de la misère pour vraiment embarquer dessus.

C'est vrai? Oui. Le monde me regarde embarquer ses stools. C'est comme ça. Ça, c'est le prix à payer pour avoir du succès. Oui, c'est ça. Ou trouver mon point G. Que je n'ai pas trouvé encore, d'ailleurs. Le monde te parle-tu beaucoup de...

Parce que ça, c'était ton... Tu étais déjà connu avec ton numéro de Dunkin' Donuts, mais ton numéro du point G, c'est là que tu es allé de humoriste connu à Lise Dion. Oui, exact. Parce qu'avant, il m'appelait la fille des beignes.

Ah oui? Mais après le point G, il m'appelait Lise Dion. Ça les a impressionnés que je ai pas trouvé encore et puis tu l'as pas trouvé même là parce que ça fait comme 20 ans c'te number là ouais c'est ça là ben là j'ai essayé un nouveau samsung je sais pas tu te rends un téléphone nanoun fais attention il va exploser. Non, il ne faut pas juste des téléphones. C'est le fun parce que tu vas passer toute la photo des vacances avec en fait. C'est super.

Une belle invention, c'est le fun. Peut-être que je vais le trouver avec ça. Mais je n'ai pas tellement le temps de m'en servir. C'est ainsi. OK. C'est la grosse bière. Oh yes. C'est parvenu.

Astuce, j'aime ça. Santé. Merci. Cheers. Vous autres, vous avez... Il faut se garder le dos droit. Ça mélange déjà entre les deux, à ma place. Oui, c'est ça qui arrive.

Vas-y, excuse-moi. Il faut se garder le dos droit. Bien, il me semble. Sinon, mon père va m'appeler et me dire que tu avais le dos rentre comme un cochon qui se met. Mais quand tu l'as dit... Mais quand tu l'as dit,

j'ai fait... Ah oui, c'est vrai. Puis là, en le faisant, j'ai fait... Est-ce que ça fait 23 ans que je n'ai pas fait ça? » Je ne suis pas bien de même. Moi non plus, mais... As-tu tout le temps ce réflexe-là d'être... Tout le temps. Quand je suis en représentation chez nous, une larve,

mais quand je suis devant le monde, je me garde le corps raide. Ton père, il est-tu militaire? Non, mais il était assez militaire dans sa façon de faire. OK. Toi, t'es-tu de même? Moi, c'est juste que mes seins sont pesants. Un bon 7-8 livres chaque, ça dit? Oui, au moins.

Il y a du gâteau au chocolat là-dedans, maintenant. T'es-tu déjà pésée? Parce que ma blonde a fait ça un moment donné. Elle essayait de perdre du poids, puis elle faisait, « Christ, j'aimerais ça voir comment je pèse sans mes boules. » Mais avec une balance à manger? Non, elle a pris une vraie balance.

Qu'elle a monté son comptoir? Non, c'est qu'elle a fait... Qu'est-ce que tu fais quand tu tiens un chien? Mettons, pour peser un chien, tu te pèses, puis après, tu prends le chien, puis après, tu fais la différence. Elle se mettait sa balance, elle regardait son pot,

puis après, on a tassé un petit meuble, puis elle a mis ses boules sur le petit meuble pour voir le poids qu'elle avait sans ses boules. Hey c'est super! C'est quoi la réponse? Pis elle avait des boules, c'était assez pesant, c'est assez pesant comme boules. Ben dis-nous combien? Je m'en rappelle pas, mais il me semble que c'était comme 13 livres. Pis elle pèse-tu la même affaire les deux, 13 livres? Elle les a pesées les deux en même temps parce que sinon il faut que t'en mettes un là pis t'es foire l'autre. Tu t'en fais plomber! il faut que tu en mettes un là et que tu es foire l'autre. Ça va moins bien. Moi, je suis sûre que ma gauche est plus pesante que ma droite.

Je ne sais pas pourquoi. Mais c'est clair qu'ils ne sont pas la même grosseur. Non. On vient de faire un 5 minutes là-dessus. On n'a pas encore parlé du poil. Moi, il y a une compagnie que j'ai vue qui faisait un GoFundMe que je ne savais pas. Je savais que les femmes, il y avait un sein qui était plus gros que l'autre, que je ne savais pas... Tu sais, je savais que les femmes, il y avait un sein

qui était plus gros que l'autre, mais je ne savais pas que les seins changeaient de grosseur souvent. Bien, souvent... Non, mais... Tu sais, à moins que c'est le GoFundMe qui m'a menti... Bien là, peut-être. En tout cas, je ne sais pas.

OK. Je vais t'expliquer, Mike, que les seins. C'est haut, là. Ça change de format quand même. Mais à 40 degrés dans la canicule, c'est plus... C'est moins chic, là. C'est plus gélatineux, mettons.

C'est-tu plus pesant quand c'est mou que quand c'est froid? Ou comment ça marche? T'as plus de tenus quand c'est froid. T'es capable de descendre un escalier sans que ça te lance jusqu'à des reins, quand t'es séhaut. C'est ça que j'aurais dit moi aussi.

Mais quand t'as le toton en mode avion, c'est plus lourd. En mode avion, ça, c'est séhaut ou pas séhaut? Vu que je suis pas sûr en mode avion. En mode avion, c'est relâché, c'est brassière slack. En mode avion? En mode avion, j'aurais pensé pas c'est autre? Vu que je suis comme pas sûr en mode avion. C'est relâché, c'est brassière slack. En mode avion?

En mode avion. Ah, j'aurais pensé que c'était... Oui, moi aussi, je pensais que c'était... Je suis contente parce que c'est une nouvelle affaire qu'on a sortie, moi et Marilyn, hier soir sur la brosse. Je rase moi-là, ce soir. Mais tu sais, ce que j'aime dans le mode avion, ça fait que tu es habillée en mou.

C'est ça, exactement. Tu fais, je vais mettre un coton ouat coton, je mettrai pas une brassière. Non, tu t'en vas pas avec un cerceau faire un vol de 8 heures. Si t'as une prothèse, elle peut exploser en haut de 35 000 pieds, je pense. C'est vrai, 35 000 pieds.

Je sais pas, j'ai pas de prothèse encore. C'est tout du vrai stock, ça? Oui, c'est tout du vrai. Pis j'aime que tu as dit encore, tu y penses-tu un jour d'aller pour les serfettes? Bien si, il y a une reconstruction

à un moment donné, il m'en fait affaire, c'est sûr. On parle qu'un jour il arriverait quelque chose de pas le fun à un sein, bien moi j'aurais de la misère à pas en avoir un. Il m'en manquerait un, j'aurais de la misère. Puis, te referais-tu faire les deux? Ben ça.

Parce que sinon, tu aurais comme un tâton de 19 ans, pis ton autre vrai tâton, là tu serais comme « Ah ben, qu'est-ce que... » Enlève lui aussi. Je te fais faire tous les deux, je suis sûr. Essaye de trouver une brassière après ça. Ben c'est sûr. Pis en fait, un aière après ça. Bien, c'est ça. Puis, il y en a un qui a chaud en dessous. L'autre n'aurait pas chaud en dessous.

Oui. Il y en a un qui tient un crayon. Bien, moi, je ne m'attendais tellement pas à parler de ça ce soir. Moi, le pire, je savais qu'on allait parler de ça. Ah oui? C'était prévu. Mais vous autres, oui, c'est ça. Vous êtes les deux.

Toi, ça doit être cool pour toi d'être dans la même boîte que les Dion. Moi, ça fait longtemps qu'on se connaît. Tu as commencé une couple d'années avant moi. Je t'ai toujours vu comme... Tu m'as toujours impressionné.

Quelqu'un comme toi qui a commencé 20 ans après moi, c'est un monument. Je suis capotée. La première fois qu'on s'est vus, c'était un monument. Moi, je suis capotée. La première fois qu'on s'est vues, c'était le 11 novembre 2015. Je te dis ça.

C'était un petit temps presque café. Bouche à lèvres, je ne suis pas trop. En tout cas, j'arrive là et là, tout de suite, elle me reconnaît, elle me fait salut. Je fais comme, oh mon Dieu. Elle était comme pareil comme je l'imaginais. Ça, c'était hot. Mais j'étais gênée, j'étais impressionnée. Je capotais. Puis à un moment donné, Daniel, notre gérant qui était là avec Karine, il se lève les deux pour aller aux toilettes. Je ne sais pas trop. J'étais comme, laissez-moi pas ça la veille. J'étais gênée, j'étais impressionnée, je capotais. Puis à un moment donné, Daniel, notre gérant qui était là, avec Karine, ils se lèvent les deux pour aller au toilette, je sais pas trop, j'étais comme « aïe, laissez-moi pas ça la veille! »

J'étais comme, tu sais, c'était impressionnant. J'ai été une semaine, moi, sur le gros aïe. Puis quand, tu te rappelles-tu que tu disais « ok, de quoi je parle, de quoi je parle? » C'est quoi que tu lui as parlé? Écoute, elle était super fine, elle m'avait écouté mon numéro de tournée, je sortais de l'école de l'humour, moi,

avec, non, c'était 11 novembre 2014, j'ai menti. Ok, je repars, je rebobine. Fait qu'elle m'avait écouté mon numéro de tournée. Je sortais de l'école de l'humour, moi. Non, c'était 11 novembre 2014. J'ai menti. OK. On se reparle. Je rebobine. Elle m'avait parlé de mon numéro. Elle m'avait parlé de son expérience. Elle me trouvait bonne. Elle était super fine, comme maternelle. Ça a été super facile à l'idée de la conversation. Moi, j'étais comme...

Mais tu sais, c'était super naturel. Je me rappelle, je vais aller au Canadien après contre les Jets. Il avait gagné 4-0. J'avais bu trois course lights en Canada. Je me rappelle, je vais aller au Canadien après, contre les Jets. Il avait gagné 4-0. J'avais bu trois course lights en Canada. Je t'ai parlé à toi aussi. Je t'ai parlé à toi aussi quand tu as commencé. Oui, oui, oui.

Non, non. Non, mais quand il y avait toujours des nouveaux humoristes, moi, je leur parlais. J'essayais de les mettre en confiance. De dire, commence ton numéro tranquillement. Va pas trop vite. Installe-toi numéro tranquillement, va pas trop vite, installe-toi sur le scène, parle pas trop vite, attends, les gens vont te regarder, vont te parler, puis, ils vont pas te parler,

mais je disais, ils vont te regarder, puis, installe-toi avant de parler, il me semble que j'ai dit ça à plusieurs humoristes. Mais moi, je me rappelle de comment que, quand toi, moi, j'avais fait un choix avec toi, quand tu rodais le numéro du Point G, genre un mois

avant ton gala, un bar sur un beau bien qui s'appelait... C'était Fallu qui bouquait ça. C'était Martin-Philippe qui animait. C'était Martin-Philippe qui bouquait. C'était Fallu qui animait. Puis après, t'as complètement explosé

dans le gala. Je ne sais pas vrai. Puis après, j'avais ref explosé dans le galop, je sais pas vrai, puis après j'avais refait un show avec toi un mois après puis t'étais resté exactement pareil puis c'était la première fois que je rencontrais quelqu'un que je voyais que la personne avant à être connue puis après être connue restait

exactement pareil, puis je me rappelle, ça m'avait impressionné. Ah ben mon dieu, merci puis je sais pas si tu te rappelles puis j'avais comme exactement pareil. Je me rappelle, ça m'avait impressionné. Ah, mon Dieu, merci. Je ne sais pas si tu te rappelles, j'avais comme parti de la marde ce soir-là parce que... Juste ce soir-là? Non, c'est que... Tu sais, moi, je faisais ta

première partie, donc moi, je t'ai payé 125 piastres. Puis toi, tu adlinais, mais tu avais ton prix avant d'être connu, vu que tu avais été booké avant d'être connu. J'avais 300, je pense. C'est une demi-heure quand même. Toi, dans ta tête, je pense que tu avais 500.

Moi, on avait chacun eu un chèque. Moi, j'avais été changer mon chèque au bar. Tu avais fait « On peut faire ça ». Tu avais été au bar et là, le boss était en tabarnak parce qu'il pensait que c'était Dane Brisson qui avait booké ça. Dane avait dit que tu avais 3000 et que tu avais juste 500.

Puis là, ça avait fait de la merde. Puis là, Dane m'avait donné de la merde à moi. Il était comme, « Chris, pourquoi as-tu dit au monde de changer leur chèque au bar? » Mais toi, après ta révélation, je ne suis pas au rire, tu es allée faire des bars à sold-out partout, tout le temps. J'allais faire des bars. Premièrement, j'étais monoparentale avec deux enfants. Souvent, j'appelais le propriétaire.

Pourrais-tu changer mon loyer? Comme juste le 3 au lieu du premier, j'ai un show dans un bar. Puis comme juste le 3 au lieu du premier, j'ai un show dans un bar. Fait qu'être headliner puis avoir 500 ou 300 piastres, pour moi, c'était la marabouade. Parce que j'avais besoin de cet argent-là. J'étais serveuse de beigne pour vrai. Je ne faisais pas des gros salaires. J'étais séparée. C'est sûr qu'avec deux enfants, j'avais tellement peur de manquer d'argent.

Tu as continué à travailler au Duncan après avoir fait ton numéro au Duncan à Coalier et à Bengala, je suppose. Oui, la police ne me croyait pas quand tu m'arrêtais. Quoi? Non, parce que Rockabelle's Oreilles était populaire.

C'est le début de 90. Les Bangs? Les Bangs, oui. 91- 92. Puis, tu sais, il y avait de la chanson Bonjour la police qui était toujours Dunkin' Donuts. Quand je me faisais arrêter après un show,

parce que j'allais trop vite, je sais que vous ne me croirez pas, mais je m'en vais faire ma nuit au Dunkin' Donuts. Mais ce n'est pas pour vous faire chier. Je m'en vais travailler là. C'est sûr que j'ai travaillé jusqu'en 1994 pour être sûr d'avoir une paye pour les enfants avant que ça devienne...

Oui, c'est ça. Parce que tous les autres humoristes étaient comme, au pire, si tu me cites, je vais manger du Kraft Dinner à toi et jour. Mais toi, tu es comme, au pire, il y manger du Kraft Dinner à toi et jour, mais toi, t'es comme, au pire, il y en a un des deux qui meurt. Lequel t'aurait sacrifié? Lequel?

Lequel qui est moins important? J'avais pensé m'envoyer juste un à l'école qui filme le prof et qui fait s'écouter à son frère. Pas que j'aie besoin de l'habiller, pas que j'aie besoin de le faire manger. Moi, je te dirais que je suis là maintenant. C'est une question de survie.

C'est vraiment une question de survie. J'ai accepté les contrats, un à un, pour me sortir d'un paquet d'affaires. Il y a eu de la marre. Ça a brassé. Avant que ça devienne populaire, avant que je laisse le père des enfants, il y en a eu de la marre. Puis même, un coup que tu étais populaire, avant que je laisse les pères des enfants, il y en a eu de la mort.

Puis même, un coup que tu étais populaire, parce que dans le temps, tu faisais ton personnage de Dunkin' Donuts à Jean-Pierre Coallier. Moi, les premières fois que je l'ai vu, c'était même pas dans les galas juste pour rien, c'était là. Fait que tu sais, t'étais, t'avais percé pour

mettons, tous les humoristes de la relève. Puis t'avais percé pour, mettons, tous les humoristes de la relève, puis t'étais encore super pauvre. Oui. D'ailleurs, je faisais Jean-Pierre Coilier parce que mes cuisses frottent, c'est sûr. C'est une toutoune. Je rapiaissais mes pantalons à Jean-Pierre Coilier

et je faisais attention de ne pas me décroiser les jambes pour ne pas qu'on voit l'usure entre mes cuisses. Ça faisait dur en tabarouette. Quand ils ont inventé la télé HD, tu devais être comme, « Écrisse, l'usure entre les cuisses, ça a réparé en tabarnak. » Je suis content qu'il n'y avait pas le 4K.

S'il y avait eu le 4K, le monde m'aurait envoyé de l'argent par la poste. Au fond de l'île, je veux dire. Mais puis, toi, c'est quand tu as laissé ta job, Dunkin' Donuts, c'est quand tu as eu ton standing au gala avec ton numéro du point G?

Oui, parce que là, j'avais un show de montée. Quand il y a eu le succès du Dunkin' Donuts en 1991, la carrière a leur baissé parce que je n'avais rien pour la coter. Tu avais juste un numéro. J'avais juste un ou deux numéros. Après, quand j'ai fait le point G

en 1995, j'avais un show. J'avais presque deux heures de show je pouvais aller à la demande des gens de faire une soirée d'humour au complet quand tu vas la nouvelle génération

tu vois comment tu vois si tu dis je veux les co dis je veux les coacher, je veux les aider pour pas qu'ils fassent les mêmes erreurs que moi j'ai fait pour les bons coups? Ok. Non, mais...

C'est bien l'ourage à un moment donné. Non, mais les filles, les grandes crues, c'est pas la même affaire parce que je suis tombée en amour avec Ève en premier et je connaissais pas Marilyn. Tu vois, moi, je serais pas capable de faire, tu vois, moi, je ne serais pas capable de faire ce qu'ils font. Je n'oserais pas aller jusque-là.

Moi, c'est ça, mon apport, dans le sens, pas être la marraine, parce que je n'ai pas envie que les jeunes pensent que je veux qu'ils fassent l'humour comme moi je l'ai fait. C'est complètement différent maintenant. Ce n'est pas la même affaire pour tout. Mais je trouve quand même qu'il y a un certain décorum.

Il y a une certaine base qu'il faut que tu respectes. Il faut que tu respectes les gens qui ont payé pour venir te voir. Il y a une base dans l'humour qu'il faut respecter. Mais je n'ai pas envie de transmettre une affaire. J'ai envie de les encourager. Mais pas d'être la moraine, pas d'être la coach. Tu fais-tu leur mise en scène? Non, je ne touche pas à ça. Moi, dans le fond, je faisais la première partie pas d'être... Tu fais-tu leur mise en scène? Trop fatiguée. Non, non, non. Je ne touche pas à ça.

Moi, dans le fond, je faisais la première partie de l'IS en 2015. Puis quand les grandes crues sont nées, j'ai dit à l'IS, on a tout le temps de popper, je pense, à 10 gardes. Faites votre affaire, montez votre show, puis quand vous allez être prêtes, allez vous voir. Ça a pris comme un an, puis elle est venue en novembre 2016. Excuse-moi, je suis un peu autiste, ces dates. Il faut que je sorte les dates.

Oui, non, oui, c'est très... Fais-le à 8 degrés! C'était au petit Medley. C'était le 23 novembre 2016. C'était la pollute des punchés. Elle est venue voir le show. Elle n'avait rien vu. Elle savait au zéro ce qu'on faisait.

Après le show, elle a fait tabarnak que c'était bon. Parce qu'elle sac. Elle dit que les filles étaient écœurantes, c'est punché, tatata, 3-4 cues, puis le sol, ils se disaient, on était là, puis après ça, tu as parlé de nous autres, ça nous a donné une belle tape dans le dos. Je te remercierai jamais assez.

C'est ça, c'est une moraine cool, mais c'est pas comme, non, moi je ferais ça, je change la virgule, c'est juste, justement, global, tu nous encourages, tu nous enlignes un peu plus, puis c'était écœurant d'avoir ça. Il y a Daniel Fichaud qui vous a coaché. Oui, c'est Daniel Fichaud qui fait notre mise en scène. C'est tellement...

Moi, Daniel Fichaud, quand j'ai commencé à faire de l'humour, à donner des ateliers à l'école de l'humour, c'est à cause d'elle que je me suis dit que je vais aller à l'école de l'humour. C'est l'année qu'elle a arrêté d'enseigner à l'école de l'humour. Tu ne l'as pas eu? Je l'ai eu au cours du soir.

Fait qu'elle était en feu, pis je me rappelle, tu sais, toi, dans le temps, t'animais des soirées au Publix, au Publix. Oui, au Saint-Laurent. Fait que j'allais là, pis moi, Danielle Fichaud, est-ce que elle a un bon oeil pour l'humour?

Ça, non. C'est direct, c'est parfait. Moi, j'adore ça. C'est genre... Je ne sais pas comment dire ça, mais... Mais c'est la meilleure école. Tu ne peux pas faire un cadeau à quelqu'un en disant qu'il est bon et qu'il n'est pas bon. Oui, c'est ça.

Elle a beaucoup d'amour, puis elle est raide que le tabarnak. C'est ça que tu as besoin. Tu as besoin de quelqu'un qui t'aime qui te dit que tu es de la crise de marde. Voilà. Non, mais ça fait du bien, des fois, de faire comme non. Ça, c'est dégueulasse. Ça ne va pas faire ça. Qu'est-ce que tu as besoin. Tu as besoin de quelqu'un qui t'aime qui te dit que tu es de la crise de marde. Voilà. Non, mais ça fait du bien des fois de faire comme non. Ça, c'est dégueulasse.

Ça va pas faire ça. Qu'est-ce que tu fais? Non, parce que quand tu vois quelqu'un faire de la marde, tu te dis, je peux pas croire que dans la vie, il y a pas quelqu'un qui l'aime assez pour y dire que c'est de la marde. Mais puis aussi, elle a fait, puis il y a bien du monde qui sont de même,

mais quand, mettons, elle a dit qu'elle aime pas quelque chose, c'est pas qui sont de même, mais tu sais, quand, mettons, elle a dit qu'elle n'aime pas quelque chose, c'est pas parce que elle veut se remonter, elle, ou te rabaisser, toi. Puis ça, souvent, en vieillissant, tu le vois, il y a du monde, des fois, qui travaille juste pour

se remonter aux autres, puis elle, je respecte vraiment son opinion, puis j'aurais dû, j'aurais dû, je devrais l'appeler. Tu devrais, t'es curieuse. Nous autres, on nous a tous fait la mise en scène

puis elle nous a appris la mécanique du duo aussi parce qu'au début, on ne savait pas. Toutes nos autres, c'est un accident de parcours. C'est vrai qu'un duo, c'est complètement...

La dynamique, il faut que tu regardes. Mettons que quand l'autre part, il faut que tu le regardes pour que le public enligné ça, la mécanique, après ça, comme où il va rocher ton punch.

Fait qu'on a passé chaque numéro, phrase par phrase. Oui, c'est ça. Mettons, toi, quand Marilyne parle, il faut vraiment faire qu'elle la parle, toi, tu la regardes, mais de façon pour pas

que le public sente que, OK, on a deux robots sur scène. Non, non, c'est ça. Après ça, il faut que ça aille à l'air naturel. Ça dépend aussi de ce qu'elle dit. Des fois, je fais des moves pendant qu'elle parle, mais il ne faut pas que ça soit trop gros pour enlever le focus sur ce qu'elle dit. Ça a pris un bout avant qu'on s'ajuste. Est-ce que vous avez regardé les gens de vieux duos?

On a regardé un peu Dodo et Denise, parce qu'il y avait des gens qui nous comparaient à eux autres, parce qu'il n'y a jamais eu duos de filles. On a regardé un peu, mais pas juste pour le trip de regarder, pas pour analyser le timing ou quoi que ce soit. C'était vraiment... Mais vous avez tout un timing. Vous avez un timing écœurant.

Ça s'est développé avec le temps. Parce qu'au début, ce n'est pas long, tu t'overlapses. C'est ça qui était hâte. La dernière fois que tu étais au podcast, tu disais que votre duo est né de... Tu t'étais fait de bouquer, puis tu n'avais juste pas assez de temps.

Oui, je sortais de l'école. C'est vraiment la journée d'après, je pense, qu'il y a une fille de la Gaspésie qui m'avait appelé pour faire un show d'une heure. 750 piastres. La bernac, go. J'appelle Marilyn Suede. Je dis, Marilyn, il y a un show d'une heure.

On fait une demi-heure chaque. On ramasse le chèque, puis elle dit, parfait. Finalement, on a décidé d'écrire un petit intro. Finalement, ça a fait 40 minutes de duo, puis après ça, on ramasse le chèque, puis elle dit « parfait ». Finalement, on a décidé de décrire un petit intro. Finalement, ça a fait 40 minutes de duo, puis après ça, on faisait 10 minutes chacune solo. Puis après le premier show, on s'est fait offrir de faire les auditions pour la tournée du Rosec d'été 2016. C'était le 18 septembre 2015, le premier show des Grandes Crues, la journée de tes 60 ans.

Tu vois ça, comment je te fais des liens? Non, mais les dates, je te dis, c'est... Je suis une calculatrice. Pour de vrai, t'es-tu un peu autiste, pour vrai? Bien, je pense pas, mais j'ai une mémoire des dates. Je sais pas.

Mais mettons, t'es-tu capable de te rappeler ton après-balle? Ou mettons, ton balle secondaire 5, c'est quelle date? C'est le 16 juin 2002. D'après moi, je te compte pas de menterie, ben oui, je m'étais cassé quatre dents.

Pis assez le chiffre, en plus. Ouais, j'étais tombée avec une bouteille de bière dans la bouche. J'avais toutes les dents en biseau, mais moi, je me suis pas aperçue de ça. Tu t'en es pas aperçue! T'as, Barna, qu'il faut être frustré. Il mouill en biseau, mais moi je me suis pas aperçu de ça. Tu t'en es pas aperçu! T'as à barrer qu'il faut être frusté. Là, m'amener jaser avec une de mes chums, il mouillait à varse. Mais non, on était 500 connaissances.

Il mouillait à varse, ça se dit que j'aime ça. Il mouillait à varse. Pis on était à l'Alt-Routière à Gaspé. C'est là que ça se passait nous autres pis là on était en dessous d'un petit chapiteau pis on jasait. Pis un moment donné c'était du bois pis c'était la mode des souliers de skate. Y'a pas de crampons là-dessus, fait que je rentre là-dedans, moi, c'est ligne. Je tombe, je me. Moi, je suis ligne. Je tombe.

Je me relève. Je continue à jaser. Moi, j'étais en feu cette soirée-là. Je disais que je faisais partie du projet orange. En tout cas, c'est des beaux délits. Je fais partie du projet orange? C'est pas mon mot. Je ne vais pas l'en parler.

En tout cas, on s'en parlera. Tu disais ça avant ou après? Tu peux avoir de la danse dans la gueule. Avant, je te dis, je me promenais partout parce que tout le monde était en dessous des petits gazebos. J'étais comme la mascotte. J'avais un soude de pluie. Comme je te dis, caroté, les pantalons, la froque, le petit capuchon.

Je tombe, je continue à jaser avec mon amie. Un moment donné, c'est Lisa Kim qui s'appelait. Elle me regarde et me dit « Fais-moi un sourire, belle. » Un gros sourire. Elle me dit « Pour moi, tu as cassé une coupe de dents. Moi, je pars à brailler. Ça, ça braille bien. J'ai braillé jusqu'à 10h du matin.

Il a fallu que j'appelle ma mère. Elle vient me chercher. J'avais tous les dents cassées. Ce n'était pas beau. Tu cherchais-tu tes dents dans le party? Non, toutes. Ce n'était pas... C'est quoi?

C'est toutes des fausses dents qui t'ont mis? Non, ces deux-là, c'est des couronnes. Je les ai faites refaire cette année, d'ailleurs, parce que la gangrène était poignée dedans. Et les deux en voici. Moi, j'ai eu les dents en biseau pendant à peu près deux semaines parce qu'à Gaspé, il y a des dentistes, mais c'est bouqué quasiment.

Il faut que tu prennes ton rendez-vous trois ans d'avance. Finalement, il y avait eu une urgence, une annulation. C'était urgent, donc j'avais passé. Ils m'avaient fait tout cela d'en haut, et un mois après, cela d'en bas. Voilà l'histoire de mes dents. a coûté 5 100 piastres m'arrêtant beau mais je me souviens comme c'était hier c'était un estime mais ça c'est un beau mais pas de vrai quand tu es jeune c'est une belle vie mais pas absolument avant cela c'était cool c'était le parti c'était

vraiment cool ça vient d'où moi j, j'aime assez ça, remonter à la discussion. Non, c'est que je te demandais, vu que je me disais... Moi, j'ai une mémoire horrible de date et de nom. Ça me fascine le monde qui sont comme le 8 septembre. C'est vrai, Paul-Aude, il est le même. Oui, il est tout le temps le même. Moi, des fois, je dis, ah, mais ça fait à peu près trois ans, puis là, tout le monde me dit, ben non,

ça fait dix ans. Ah, OK, déjà, mon Dieu, ça a passé bien. Oui. Moi, je suis vraiment de même. Moi, des fois, je raconte des affaires que je suis comme, ouais, l'hiver est passé, puis là, je suis comme, moi, l'hiver est passé, Christ, je n'étais pas

en appart sur le plateau. Oh, Christ! Fais 15 ans, j'ai ma maison. Fais 28 ans, l'hiver passé, Chris, je n'étais pas en appart sur le plateau. Ça fait 15 ans que j'ai ma maison. Ça fait 28 ans que j'ai une maison. Puis c'est comme l'hiver passé, tabarnak. Je n'avais plus les moyens de payer mon hydro. C'est la tâche qui fonce en arrière qui fait comme, non, non, ça, c'était telle date, telle année. Quand tu ne sais jamais quelle année Kennedy s'est fait assassiner, ça va mal dans ta barouette. Moi, je ne m'en souviens jamais.

La Lune, Kennedy... Kennedy, je n'ai aucune idée. 63, je pense. J'étais encore profond dans le cul de mon père. Je ne suis même pas rendu d'un couille. J'étais dans son cul. Moi, j'étais assise sur ses cuisses à mon père. C'est la seule fois que je l'ai vu broyer, d'ailleurs.

La Lune ou Kennedy? Quand on a écouté... Quand Kennedy a fait son... Tu sais, quand ils ont promené son cercueil... C'est bien lisse, ce que je dis là. Quand ils ont promené son cercueil... Quand ils ont promené son cercueil... Ils voulaient faire la dernière sourde de machine

avant de partir. Ils l'ont-tu... Ils ont-tu mis le cercueil dans le décapotable et ils ont fait le tour de Dallas? Il n'y avait pas le temps de visiter Dallas. Son petit gars a fait ça et ça a fait le tour du monde. Son service, qu'elle tard.

Oui, service. As-tu une autre question? Je m'en vais demain. J'ai un vol à 6h du matin à Dallas. Je pense que je vais aller où il s'est fait tuer. OK. Pourquoi pas? Non, mais je me dis...

Ravine-moi un coton ouaté, OK? Tu veux que je t'achète un T-shirt avec... La décapotable. Une photo. Je vais tâcher ça. Je vais avoir de la louche en tabarnak. Un porte-clés, c'est moins pire que... Il y a Michel Barrette.

C'est-tu Michel Barrette? Oui. Qui lui est retourné où James Dean est mort en char. Après 50 ans, je pense. Michel, en plus, il a le même crisse de char. Oui, je l'ai vu à son musée, son hôtel. Mais là, il y a un journal qui disait qu'il n'était pas mort, lui.

Ils l'ont trouvé à Vancouver, décédé il n'y a pas longtemps. C'est vrai? Il doit être à la même place qu'Elvis et Michael Jackson. En plus, souvent, les conspiracy theories, tu fais « Ah, ça, je peux comprendre. Mais un gars qui est mort

dans un crash d'auto, il est pas mal mort. » C'était pas un stunt. Non, on ne fait pas semblant. Mais y'a-tu, y'avait une rumeur qu'il était mort à Vancouver? À Vancouver, oui.

Qu'il l'aurait découvert la semaine passée. Mais à moins que ce soit un archéologue qu'il l'ait retrouvé dans le précipice où il est tombé, je sais pas. Mais je sais même pas comment qu'il saurait que c'est James Dean vu que ça fait tellement longtemps. Les dents.

OK. Mais tu sais, à l'âge qu'elle avait, si elle, elle se tient à 26 pis elle a pris une vraie dent dans la gueule, imagine un gars qui fait des accidents d'auto comment qu'il doit avoir de la dent dans la gueule. C'est sûr, c'est sûr. C'est péter les dents sur le steering.

Les cheveux, j'ai vu ça. En tout cas, ça a l'air qu'il est mort. Les cheveux. Elvis. En tout cas. Toi, tu a l'air qu'il est mort. Les cheveux. Elvis. Toi, tu ne crois pas qu'il est mort, Elvis? Il avait tellement de vie plate en dernier que je me demande si moi aussi, je ne ferais pas semblant d'être mort. Il m'en allait ailleurs.

Il ne pouvait même pas sortir de chez lui. Il ne pouvait pas rien faire. Mais tu sais, en même temps, s'il avait juste déménagé au Portugal, il aurait pu décrocher. Il n'était pas si connu que ça au Portugal. Ça, c'est le colonel qui n'a pas voulu faire personne à l'international.

Pourquoi au Portugal? Non, non, mais tu sais, tant qu'à... Il adorait la mer. Parce que pour vrai, tu sais, mettons, tu fakes ta mère. Tu fais, OK, je vais faker ma mort. Ça me prend quelqu'un qui a ma shape. On va le tuer. On va le mettre dans ma maison.

Là, un coup, qui trouve le gars que toi, t'as tué et que t'as mis dans ta maison. Là, tu fais, OK, il faut que j'aille me cacher. Je ne me cacherai pas dans mon pays. Je vais aller me cacher, est-ce-tu, en Amérique latine. Je vais aller au Chili. Puis là, t'arrives au Chili et tu fais, j'aurais pu juste venir au Chili, est- esti sa assassiné quelqu'un qui ne veut cacher dans mon

lit mais j'avais vu vendre ma maison en plus j'aurais eu l'argent tu y as déjà pensé à ce que j'ai vu il y avait un jumeau il vise piscine je pense c'est vrai hormis hormis hormis roi en tout cas que lui son jumeau Elvis, je pense que c'est René-Homerois. René-Homerois. En tout cas, lui, son jumeau pauvre, il n'était pas mort. Il avait été adopté parce que les parents Elvis étaient trop pauvres. Il était en Europe. Il avait une carrière de chanteur. Il avait vraiment la même voix qu'Elvis.

C'est un autre humeur. Je suis-tu descendu de Longueuil pour parler d'Elvis? Mais tu adores le king, Lise. On continue sur mes seins, OK? OK. Mais t'adores le king, Lise! On continue sur mes seins, OK? OK, au revoir! Mais ça, je le crois pas, l'affaire du jumeau à Elvis. Parce que pour vrai,

si tu ressembles... Si t'es le jumeau à Elvis, tu vas, puis tu sonnes comme Elvis, tu vas faire... Hey, Tostow et Johnny Farago, c'est moins calé, ça. C'est moins le transport. Si t'es français, en plus, ta barnac, tu vas chanter... Moi, je te le vends à même prix que je l'est moins calé. C'est moi qui ne pense pas. Si tu es français, en plus, ta varnac, tu vas chanter tous les tons.

Moi, je te le vends le même prix que je l'ai payé Mike. J'ai vu les tombes de tout le monde minimées. Je suis allé à Graceland. Elle te le vends le même prix qu'elle l'a payé. Mais tu es allée... Tu devais être la plus jeune à Graceland. C'est plus vieux, oui. Mais moi, j'y allais parce qu'avec mon père

qui a eu 60 ans, c'était son rêve. Fait que j'accompagnais... Puis même ton père devait être un des plus jeunes. Mais elle n'a pas tant que ça. Parce que Elvis, ça fait 30 ans qu'il est mort.

40 ans. 40 ans. L'année passée, je ne me trompe pas. C'est vrai? Maudou, 77. L'année passée. Maudou, 77.

Oui. Quel jour? C'est ça que j'hésite. Je ne voudrais pas dire n'importe quoi. C'est un rappelait ou passer ma fête le 12 fait que c'est une date que je retiens comme il est en portée de face à l'élan tamtu dit « C'est à cause de toi! » À partir de maintenant, t'as plus de cadeaux. Non, mais c'est ça. Après ça, j'ai développé une fascination. Fait que j'ai tout écouté. C'est pour ça que je pourrais t'entretenir jusqu'à 1h30 de même.

Mais là, les yeux de tes cœurs, on peut changer de sujet. Parce que, il faut que je t'explique quelque chose. Quand j'étais jeune, quand Elvis était bien populaire, on avait un chambreur parce que mon père est mort vite. Ma mère avait besoin de sous. Elle gardait du monde en pension. Le gars, il écoutait Elvis. Tout le temps? Tabarnan. Non-stop.

Il était en train de buser le disque. C'est deux bords. Moi, je n'étais plus capable. Il y avait des posters d'Elvis dans sa chambre. J'arrivais de l'école. On entendait Elvis. Je me couchais le soir. J'entendais Elvis. Peux-tu dire que je me suis écœurée vite d'Elvis? Je l'appréciais 20 ans plus tard, mais... Quand le chambreur est mort.

Quand le chambreur est mort, exactement. Moi, Elvis, il était beau en tabarnak. Toi, tu étais plus Beatles? Non, pas non. J'ai essayé d'aller voir le film Help au cinéma, que je n'ai rien compris. Tout le monde criait comme s'il était là, live, calme-toi.

C'est un film. C'est vrai, le monde criait. Dans le cinéma. Comme si on assistait aux shows. Ça, c'était en quelle année? année moi j'étais plus à Znavo j'étais plus française j'étais très française même en humour c'est Coluche qui m'a influencé

Coluche il volait de Cosby ou il volait de qui lui juste pour voir c'est qui tes vrais êtres il a tout mon respect parce que c'est présentant politique il a failli rentrer Coluche c'est les restos du cœur. Oui, Coluche a fait des belles affaires.

Je ne pense pas qu'il copiait. Non, je ne pense pas. Enlève-moi pas ma belle image. Non, excuse-moi. Ne défends pas mon Walt Disney, s'il te plaît. Non, arrête. Est-ce que tu fais qu'Aznavour, Michel Sardou? Non, Aznavour.

Celui qui a chanté avec le temps, c'est... Léo Ferré. Léo Ferré, exactement. Mais toi, vu que t'as beaucoup aimé l'humour français, le cinéma français, la musique française, pourquoi tu t'es pas lancé dans une carrière en France? Ben, parce que c'était arrivé trop tard. C'est-à-dire que... Mais la France existe encore.

Soit comme si... Tu sais, mettons, t'as percé... Elle existe encore. Non, mais mettons, t'as percé. T'avais quel âge quand t'as percé? T'avais fin trentaine, début quarantaine? J'avais 39, oui. 39.

Fait que, tu sais, t'aurais pu... Ben, j'ai commencé à 31. À 39, il y a personne qui m'a offert d'aller en France. Ça, c'est arrivé pas mal plus tard, vers 40-queque. Pis je me suis dit « Non, moi, j'en vais pas rester là deux ans, là. » Pis dans le fond, y'a des artistes qui m'ont dit « Pis tu iras en France, pourquoi? Pour te prouver que t'es capable de faire rire les Français? » J'y ai été. J'ai été faire 35 minutes à peu près au point virgule pendant un festival

ça a marché au fond c'était vraiment le fun puis j lui, il rend hommage à beaucoup de monde ici. Oui, c'est ça. T'as rendu... OK. T'as rendu hommage à Gab. T'as fait toutes ses jokes. Si. Tu demandes si elle rend hommage.

Presque. Oui. Mais, toi, c'est quoi qui t'a frappé la France? T'avais des producteurs qui disaient, on t'ouvre les portes de la France » ou c'était dans le temps d'Octan que Stéphane Ferland voulait aller vers la France?

Non. Stéphane Ferland ne m'a jamais parlé de la France. C'était quand j'étais à Josporé, comme on a parlé un peu. Ça, c'était avant la période d'Octan que tu étais à Josporé? Oui. Octan, j'étais arrivée en 1994,

à peu près, tout avant le premier show. Mais il ne croyait pas en moi. Il voulait que je fasse un show avec un autre humoriste. Avec Peter, je me rappelle. Puis c'était produit par... Mais c'est grâce à toi que cet empire-là a vraiment explosé.

Parce que moi, je me rappelle, moi, j'écrivais sur le premier show à MacLeod, puis j'écrivais, je suis allé à deux brainstorms. Mais c'est que, tu sais, MacLeod était signé avec Avanti. Puis là, Octa avait réussi, il avait dit, on va faire une tournée, Lise puis Peter.

Puis finalement, je ne sais pas comment, qu'est-ce qui est arrivé tout a été la révélation gros hit pis après t'es partie en tournée tout seul ben moi je voulais pas faire un show à deux parce que j'avais fait des congrès mettons avec Peter

pis Peter était plus cru que moi pis moi pour vouloir être pareil comme lui j'essayais de faire du cru pis ben ouais ça mangeait c'est peut-être pour ça que le numéro du point G est venu au monde en voulant faire

moi aussi je suis capable de parler de cru j'ai essayé de faire un peu plus vulgaire c'était comme le monde qu'est-ce qu'elle fait là ça n'a pas marché je me disais comment je vais faire pour faire un show avec Peter

où nos deux mondes ne se rencontrent pas pantoute? » J'ai fait des cinq minutes de nasty dans des bars, mais je ne ferais jamais ça avec mon public. Mon public, je les connais autant qu'ils me connaissent, puis je ne peux pas faire du nasty show. J'ai oublié ça.

Des fois, je m'appelle la traite, puis on parle sur des jokes salés, mais je ne les ferai pas dans le show. Puis ton public, tu sais, comme là, à Star, tu as vendu combien de billets en carrière? Bien là, on est rendu un peu plus qu'un million. T'es un arnaque, c'est fou, hein? C'est fou, Rémi.

Hé, cette... Cette semaine J'écoutais J'écoutais Une entrevue de Kevin Hart Qui est le meilleur vendeur Je pense de l'histoire des États-Unis En stand-up

Puis il parlait que Même aux États-Unis, il y en a juste 3 ou 4 Qui ont pété un million C'est fou raide Au Québec, ceux qui ont pété un million. C'est fou raide. Au Québec, ceux qui ont pété le million, il y a trois.

Il y en a-tu d'autres? Il doit y avoir Jean-Marc. Je pense que Louis-José Hood aussi. Toi, Jean-Marc, Louis-José. Mais en même temps, il faut se dire que ce n'est pas que je veux minimiser le million. Insolite. Remets Louis-José'est... — Non, mais...

— Arrête-moi de louer José à sa place. — Non, non, non. — Dis-y! — Non, mais c'est dans le sens que si c'est du public qui me suit depuis le début, là, quand je chine des autographes après le show, ils me disent qu'ils sont venus voir les quatre shows. Fait que c'est pas toujours du nouveau monde. Je le minimise pas, mais pareil, c'est sûr. C'est extraordinaire, là. C'est extraordinaire. C'est extraordinaire. T'as juste 300 000 personnes

qui vont à chaque show. C'est ça qui m'épate. La première n'est même pas rentrée à Montréal et on a déjà plus que 85 000 billets demandus. Le monde me fait confiance avant que j'arrive. C'est un cadeau extraordinaire parce qu'au nombre d'humoristes qu'il y a sur le marché maintenant,

de vendre 85 000 billets avant une première, c'est extraordinaire parce qu'au nombre d'humoristes qu'il y a sur le marché maintenant, de vendre 85 000 billets avant une première, c'est extraordinaire. C'est une marque de confiance effrayante. Je suis contente d'être rendue à 63 parce que ça a été dur d'arriver, ça a été dur de tout monter ça.

Ça a été dur d'arriver à 63 ans? Non, ça a été dur d'arriver, ça a été dur de tout monter ça. Ça a été dur d'arriver à 63 ans? Non, ça, ça a été dur d'arriver à 63, c'est sûr. Ça a été dur au début. Les 10 premières années, les 10 premières années en humour, c'était pas facile parce qu'il n'y avait pas beaucoup de filles. J'arrivais sur stage, le monde, des fois, il ne m'écoutait pas. C'était un milieu extrêmement sexiste.

Moi, je me rappelle de... Elle a vécu la vraie... Moi, je me rappelle, les premières fois que j'allais, mettons, au DAG, il y avait plein de filles humoristes qui étaient super drôles, puis ça ne marchait pas, vu que le public ne faisait pas goût de voir une fille.

Ça prenait... Quand tu arrivais et que tu étais une femme, ça prenait un torque et une confiance. Je pense que c'est peut-être le fait qu'il fallait que tu mettes de la bouffe sur la table de tes enfants. Tu étais comme, « Tassez-vous, ma gang de tabarnak. » Je t'en survis.

Je n'ai jamais été arrogante avec les gars en disant, « Tu vas voir, j'en ai entendu des affaires des gars, mais en même temps... » C'était correct. T'as entendu des affaires des gars genre que les filles ne sont pas drôles? Non, je m'attendais à des affaires comme...

Genre, je ne sais pas si on va faire ton numéro du Dunkin', mais ce n'est pas tout le monde qui l'a vu, mon numéro du Dunkin', je le fais juste dans les bars, ce n'est pas tout le monde qui l'a vu. Mais en plus, il devait te dire ça parce qu'il te voyait dans la loge déguisé en Dunkin'. Ah oui, avec la boîte de pelle T'aurais dit ça, non j'ai un nouveau personnage scientifique Avec la viser

Mais au début c'était drôle parce que j'étais plus ils me voyaient pas comme une compétition les gars ils me voyaient comme une mère monoparentale qui essayait de faire de l'humour Fait que là ils rentraient dans ma loge cette cravate-là, c'est-tu correct? Il me voyait comme une mère monoparentale qui essayait de faire de l'humour. Il rentrait dans ma loge. « Cette cravate-là, c'est-tu correct?

Ce veston-là, c'est-tu correct? » Christ, tu étais leur styliste. Mais aussitôt que j'ai commencé à vendre des billets, il n'y avait plus personne qui venait dans ma loge. As-tu eu du monde? As-tu senti du monde qui a commencé, qui était cool avec toi, et aussitôt que tu as popé, qui était jaloux? J'ai plus connu du monde qui n'était pas cool avec moi, puis aussitôt que t'as papé qu'ils étaient jaloux? J'ai plus connu du monde

qui était pas cool avec moi, qui sont devenus cool. OK, ouais, ouais. Tu sais, le monde qui, quand tu commences à être populaire, qui te donne la main, tu fais « Hey, tu ouvres le 5 ans, tu me l'aurais tellement pas donné la main. » Tu sais, ça, je l'ai vu. Tu sais, j'en parle dans le show d'ailleurs, il y a un producteur qui a dit,

quand j'ai commencé, « Lise, elle sera jamais drôle, elle est trop grosse elle est trop vieille ça fait 31 ans de ça ça veut dire dans mon cas c'est vraiment le public qui m'a choisi c'est pas le milieu qui m'a choisi

j'espère mettons un commentaire c'est méchant mais elle sera jamais connue. Tu fais, ah, si, il ne l'a pas callée, mais elle ne sera jamais drôle. J'aime mieux entendre ça au début

de la carrière. Attends, attends, attends. J'ai déjà entendu, tu vas finir comme clown et tu vas vendre des ballons. Ça a provoqué une affaire qui fait... Je sais que ce n'est pas moi qui vais finir qui va vendre des ballons. Ce n'est pas moi. C'est toi qui vas finir de même. »

Ces phrases-là, ça fait que si tu les prends dans le bon sens, ça te donne le « got » et la drive d'aller plus loin. C'est sûr qu'à ce temps-là, tu me dis que tu es « chicken » d'embarquer dans le monde. C'est à la ronde. C'est ça, je suis chicken.

Je n'embarquerai pas. Quand j'avais 30 ans... Excuse-moi, tu viens de me dire que je ne serais pas capable de le faire. On a fait un show ensemble récemment pour la fondation Yvon Deschamps. Ça m'a

surpris. Ça ne devrait pas me surprendre parce que tous les humoristes sont de même. Mais ça m'impressionne, ça me surprend tout le temps. Quand je vois quelqu'un avec ta carrière, puis comment tu étais stressé avant de monter sur scène. Puis, tu avais une humilité, puis pas une fausse humilité.

Souvent, tu as du monde qui sont comme, « Ah, je ne sais pas. » Mais, tu sais, quand... Puis, esti que je suis mauvais mauvais acteur quand je vois quelqu'un joué jamais fait non mais si j'ai dit à rire parce que j'ai le trac est pas fait qu'on pense j'ai le trac pour vrai mais tu as tu la dirais souvent mais de plus en plus je te dis ouais avant de faire ma première première partie de toi le 15 février 2015, on se voit. T'as chier?

On se voit dans ta journée? Hé, je vais... Non, mais je te dis, c'est moi qui sais comment ça passe. Je vais dire un enfant que je n'ai jamais dit publiquement, mais quand... que j'ai découvert à cause de l'humour, tu sais, quand t'as un stress et que t'as des petits cacamous,

moi, je suis le genre de personne que je m'essuie un peu debout. Quand je fais des shows, je m'essuie assis pour pas que ça dégoute dans mes culottes. C'est dégueulasse. Je vais reprendre ça du début, Mike.

Je t'essuie pas. Parce qu'une fois, j'avais un show. Je sais pas si c'était un c qu'une fois, j'avais un show, pis je sais pas si c'était un caca nerveux ou plus un caca de... de lendemain de veille de 4h30, de flux du lendemain, que je suis allé aux toilettes,

je me suis levé pour m'essuyer, pis là, j'avais rien, j'ai fait crie, j'ai rien, pis j'ai regardé, pis c'était tout dans mes culottes, pis j'ai fait... Ah! Ah, carré! Ah ouais, hein? Ouais. C'est pour ça que je l'ai jamais dit. T'as chié dans tes culottes, finalement.

C'est ça que je te dis, là. J'ai pas chié dans mes culottes. J'ai chié dans la toilette, j'ai essayé de m'essuyer, mais j'étais pas assez vite, pis je me suis essuyé dans mes culottes. Moi, je me suis essuyé dans mes culottes. On continue là-dessus, ou... Qu'est-ce que t'as fait? T'as touché tes boxers dans la poubelle. Je me suis essuyé dans mes culottes. On continue là-dessus? Qu'est-ce que t'as fait?

T'as touché tes boxers dans la poubelle et t'es allé comme un doux? J'ai enlevé mes boxers, je les ai jetés. Puis à partir de ce jour-là, j'ai fait, je vais m'essuyer assis puis je vais tout le temps

traîner deux paire de culottes. Moi, pareil. Puis des petites lingettes humides. En vieillissant, tu vas entraîner une couple de paire. Tu penses que c'est l'âge, ça? Moi, c'est la vessie qui lâche. C'est bien bizarre.

À un moment donné, les sphincters, c'est un élastique. À un moment donné, ça relâche. Moi, il n'y a plus pas en tout d'élastique. Zéro, toi? Non, zéro, zéro, zéro. Es-tu en train de pisser en ce moment? Non, je te l'aurais dit. Sérieux, je te l'aurais dit.

Mais que tu aies une inconfidence comme ça, que tu te suis à moitié debout. Mais il me semble que c'est un chouetteur. Elle m'a l'essayé. Moi, je trouve que ça va mieux. Sinon, quand tu es assis, ça ne va pas bien, mais debout. Mais je ne suis pas debout au garde-à-vous

comme si ton père était là. Moi, ce que je trouve plate de tout ça, c'est que demain, quand je vais me suivre, ou peut-être tantôt, je vais penser à toi. Moi, attends, Marc. Il y a une loi physique que si tu t'es su assis, automatiquement,

ton anus est plus ouvert. Fait que t'en ramasses plus avec le papier. Ça, c'est anore quand tu te suis pis tu sens que ça rentre un peu. Moi, j'ai, sans plugger ma toilette, mais moi, j'ai une toilette

japonaise chez nous qui me nettoie le cul. Fait que moi, à la maison, j'ai rien à faire. Moi, c'est comme si j'ai oublié quoi faire après que je chie. Parce que moi, je chie, je m'essuie une petite wipe, pis après, j'ai rien à faire. C'est comme si j'ai oublié quoi faire après que je chie. Parce que moi, je chie, je m'essuie une petite

ouate, puis après j'attends que les Japonais font leur job, puis... Fait que là, quand j'arrive... Mais t'as comme un fium de séchage et tout? Oui, oui, j'ai... J'ai de l'eau, je m'essuie une petite shot, après j'ai de l'eau qui fait chit, chit, chit, chit, chit,

puis clic, clic, clic. Après ça, t'as comme un ch... Puis après, j'ai de l'eau qui fait chit, chit, chit, puis clic, clic, clic. Après, j'ai de l'air chaud. Puis après, si... Ma maman, elle va pouvoir aller chez vous pour l'essayer. Ma toilette est hallucinante. Je vais regarder... Comment ça vaut une toilette de même?

Ça vaut 10 000 piastres. Moi, j'ai payé moins cher. Moi, j'ai payé moins cher. J'avais vu un documentaire là-dessus, puis ça disait que ça valait 10 000$, puis dans ma tête, j'étais comme c'est qui qui paye 10 000$ pour une toilette? Puis après, je suis allé sur Internet, puis j'ai cherché des toilettes de même, puis j'en ai trouvé

une à 1 900$, puis j'ai fait « Ah, c'est le deal du siècle! » Fait que j'ai payé 2 000$. Il y a des enfants qui creuvent de faim, puis moi « Ah, c'est le deal du siècle. » J'ai payé 2000. Il y a des enfants qui creuvent de faim. Puis moi, je me fais laver le cul par ma toilette. Puis ça, à tous les chats, des fois, tu fais comme l'oncle,

je vais tout seul. Des fois, je fais comme les pauvres. Je vais en bas. Quand tu sens que tu commences à te prendre pour un autre Tu y vas à même Quand l'ego Quand j'ai trop d'ego Je vais me chier comme les pauvres Tu donnes un break au japonais

Tu donnes un break au japonais Oui je donne des breaks au japonais Mais c'est une Toto Non c'est une mauvaise marque En plus c'est une OVE O marque en plus, c'est une OVE. Ça vient avec une manette, en fait deux manettes. Elles sont énormes parce que je pense que le plupart du monde qui ont ça, ils ont besoin des grosses manettes ou je ne sais pas pourquoi.

Mais mon banc est chauffé, c'est éclairé. Mon banc ne fait pas de bruit. Mettons, quand tu fais ça, il descend. Les haut-parleurs, c'est des boss. Oui. Il y a deux grosses colonnes de son de chaque bord.

Il aspire l'odeur aussi. C'est une toilette d'arabe. Pas de vrai. La peau est noire. Si ma femme me laisse, je vais marier une toilette barraque. Pas de vrai. La peau est noire. Si ma femme me laisse, je vais marier ma toilette. Elle est quelle couleur? Elle est blanche, mais avec l'intérieur mauve.

Mais la lumière est mauve. La lumière est mauve. Moi, je traverse le pont tout à l'heure. Tu as vendu un million de billets. Non, j'ai pas de... T'as pas de toilette de mille-mètres. J'ai essayé un bidet, mais je trouve que ça rinçait mal les cheveux.

Passez de pression. T'as-tu essayé un bidet pour moi? Je me suis fait blancher l'anus. C'est vrai? Oui. Quoi? Tu t'es fait blanchir l'anus? Oui!

Mais pour quelle raison? Mais ça faisait partie de mon forfait, mais ça m'a surpris de Vidéotron quand même. Le trio? Le trio! Ah oui! De cordes, de cordes internet pis l'anus blanc. Bon, ben coudonce ça vient avec, moi, le faire. Pis, c'est douloureux?

Non, ça fait pas mal. C'est parce que je peux pas le montrer à tout le monde. C'est ça qui est plein. T'es-tu acheté une black light pour en profiter un peu? Ben oui, j'ai regardé ça. Asti... Les yeux, mesdames et messieurs. Oh, mon Dieu! Tu t'es-tu fait blanchir l'anus pour vrai?

Mais non! J'aurais aimé ça. Je me demande, c'est qui qui se fait blanchir l'anus? C'est surtout chez les gays, je crois, sans vouloir. C'est vraiment plus à la mode. C'est plus une affaire de gars gays. C'est plus quand tu t'en sers plus souvent, j'imagine.

Je crois. Moi, j'ai des amis gaysays Comment ils font le blanchir? Est-ce qu'ils tatouent blanc? Non, c'est au laser, je pense Ça me semble que l'anus doit terriblement flasher dans le laser Non, c'est parce que Mon amie faisait de l'épilation au laser Elle épilait

Des nounes puis des reins. Puis elle disait, quand elle passait le laser... Ah, c'est quelle crise de mauvaise job, hein? Je vais avoir fait flasher l'anus. Je vais voir toute la journée des anus me flasher dans la face. Elle, c'était ça. Elle était comme, « Chris, Chris, que je t'ai curé. » Fait qu'elle a arrêté.

Mais c'était ça. Quand tu passes le laser, t'es comme... Tu fais des crises d'épilepsie devant des rectums. C'est ça... C'est ça sa job. Imagine l'odeur avec la verre. L'anus qui brûle. C'est déjà un anus. Un rectum qui brûle pas,

c'est pas cool comme odeur. Mais un rectum, c'est le barbecue. Ordinaire. Ah, l'arnaque. En tout cas, j'ai eu 31 ans de carrière, mais je suis contente. Tu penses que ça, c'est la fin de ta carrière? Un soir?

C'est-tu ça? C'est fou. C'est toi qui m'avais dit ça en plus. C'est pas long que quand tu commences à être... Tu connais quelqu'un, c'est pas long qu'on se ramasse là à parler de l'exclamant. Mais ce qu'on a parlé un soir, moi, j'ai jamais parlé de ça avec mes amis de filles.

Non! Fait qu'on est plus proches que tes amis de filles? La boisson, la chaleur, les caméras, le public, je sais pas. Mais j'ai jamais parlé de ça avec mes amis de filles. Prochain souper de filles, j'en parle. On va le savoir. Hey, Mike Ward, il a dit qu'un anus qui brûle, ça... Un cornet qui brûle, en tout cas, ça sent le cheveu brûlé.

J'ai eu une opération laser, moi, ça m'avait surpris. Voilà. Complement d'information. Je me rappelle pas, moi, je me suis fait opérer, mais c'était avant, c'est à l'époque qu'il fallait qu'ils coupent, pis qu'ils trouvaient, pis qu'ils leur fermaient. Oui, c'était comme une affaire, pis le moment donné,

tu sens ta cornée lever de même. Là, moi, je suis pas capable. Oui, c'était comme une affaire, puis à un moment donné, tu sens ta cornée lever de même. OK. Là, moi, je ne suis pas capable. Là, je ne suis pas capable. C'est tellement le plus beau cadeau. Je me suis fait dans la vie, moi, le laser. Je capote. Je ne suis même pas capable de voir quelqu'un

se mettre un verre de contact. Fait qu'arrêtez de parler de ça. L'anus, ça ne me dérange pas, mais les yeux, là... Tu n'es pas capable de te mettre des verres de contact? Non, non, non. Hé, on change de sujet sérieux. Moi, je pourrais perdre connaissance. Si vous parlez des cataractes ou des affaires, moi...

Mais toi, tu t'es fait opérer? Non! Non, non, on va parler de quelque chose. OK. Tu me l'avais dit qu'on pouvait changer de sujet. Moi, je vis... Ma blonde, elle te voit souvent. On vit à peu près dans le même quartier,

mais pas exactement. On vit à 2-3 kilomètres. Puis ma blonde, de différent, ma blonde, elle te voit souvent à l'épicerie. Non, mais Chris, elle voulait changer de sujet. J'en ai pas 60 sujets.

On parlait d'Anus, pis d'un qui brûle! C'est comme Chris! Tu connais l'AIGA en place Longueuil? C'était ça! Elle reste plus à Longueuil? Non, je reste plus à 3 kilomètres. J'ai resté 51 ans à Longueuil, peux-tu croire? Chris!

Moi je l'ai pas vu venir, celle-là. Vas-tu rester là aussi longtemps? Moi, j'aime vraiment ça. Pour vrai, j'aime vraiment ça. C'est où que tu restes? Saint-Denis-sur-Richelieu. Saint-Denis-sur-Richelieu? Oui.

Ma fille était là. She wanted an ocean view. Tu avais le goût de l'eau? J'avais le goût de l'ocean view. Saint-Denis-sur-Richelieu, ça sonne comme une place qu'ils ont un party des Hells. Tu sais? Ça fait très...

C'est le village à côté. C'est le village à côté, ouais. Ouais, ben, j'étais une fille corselette. Mais Saint-Denis-sur-Richelieu, c'est... c'est-tu proche de la 20? Euh, 25 minutes de la 20. Pis toi, quand tu viens, mettons, en ville, faut que tu proche de la 20? 25 minutes de la 20. Puis toi, quand tu viens,

mettons, en ville, il faut que tu pognes la 20? Oui. Non, non, mais dans le fond, on veut se demander comment ça va te prendre de temps pour te retourner chez vous. Ah, ça va me prendre

presque 50 minutes. OK. Pas de trafic. Hé, gamme, on peut-tu avoir un autre bière? Reste pas loin. T'as l'air découragé, Manon. elle reste pas loin. Rires Rires Rires

T'as l'air découragée Manon! Non pas du tout! Rires Très bien! Fait que là... T'es beau en tabarnouche Mike! Moi j'aime ça que t'as... T'as pas de stand-out en vieillissant!

Rires C'est ça que j'aime de toi. Non, mais me le dis tantôt. C'est pas vrai. J'ai l'âge de pouvoir te dire que t'es beau et que ça engage à rien, tu sais. Parce que je peux pas te croiser, c'est sûr. En même temps, Satan a un open qui peut dire. Mais je te juge,

j'ai dit à F tantôt, guess, il est beau, Mike. Je te trouve bien. En plus, t'as des faussets. Moi, j'ai des petits faussets. Je trouve ça cute. Fausset. Je pensais que tu faisais fausset. J'étais toujours rendue avec une mise en cil.

Mais t'es embellie, vraiment. Je t'ai toujours trouvée beau, mais en vieillissant, t'as quelque chose de charme. T'as comme... Ben, c'est ça. À l'époque, t'étais en grisonnante. Oui, mais c'est ça qui est le mais... À l'époque, t'es tendre grisonnante. Ouais. Non mais c'est ça qui est le fun en vieillissant. C'est que moi, maintenant, je peux dire

à quelqu'un qui est beau, pis ça engage à rien. C'est ça qui est le fun. Ça passe, pis c'est correct. C'est un vrai compliment. Ben merci. Mais tu sais que je suis pas fake, là. Non, non. Ben merci. Je te l'aurais pas dit. Je t'aurais trouvé là que tu te l'aurais pas dit, là, maintenant. Mais j'aimerais ça que tu commences à le dire au ventre. Faire... je te l'aurais pas dit, là, maintenant. Mais j'aimerais ça

que tu commences à le dire au ventre de fer. Toi, en vieillissant, là, petite face de cul. Non, c'est-tu ce que j'aimerais dire, là? C'est à des gars de 30 ans que je vois tout le temps en train de baisser leur chemise

parce qu'ils ont une petite bédaine. Colin! J'ai tellement envie de leur dire, arrête, là, c'est beau, ta bédaine. C'ai tellement envie de leur dire arrête, c'est beau ta bédaine. C'est pas grave. Mais oui. C'est vrai. Toujours en train

de se surveiller. C'est moi. Toujours en train de se surveiller pour ne pas qu'il y ait un petit pouce qui dépasse. Colin, vivez, soyez heureux. C'est pas la bédaine qu'elle va... On vous aime avec les bédaines.

Arrêtez, là. C'est comme l'image tout le temps. Ça, on devrait en parler, de l'image. Ça, c'est fatiguant. Ah oui, start-up là-dessus. Ça, moi, je suis plus capable. Sérieux, là. Que ça soit toujours impeccable, l'image.

Que ça soit... C'est sûr, moi, comme toutoune, il faut que je fasse attention parce que je pourrais avoir l'air d'une fille qui se laisse aller, qui, tu sais, qui... Bon. Mais je trouve qu'on est tellement omnubilés par ça, là. Tu sais, tu as des annonces de bouffe quand tu regardes la TV, puis après que tu as bien mangé, mettons, là, ils te disent, « Hey, tu as bien trop mangé,

il faut que tu fasses l'exercice. » Tu comprends? Fait qu'on est en train de les fou avec ça, tu sais. Fait que je trouve qu'on ne vit pas assez. On ne vit pas comme il faut. Toi, tu as-tu en ce moment, tu as-tu un chum? Non.

Puis, ça fait-tu longtemps que tu n'as pas de chum? Oui. Ça fait combien de temps? Après Daniel, tu as-tu un chum? Non. Tu n'as pas de chum après Daniel? Non. Tabarnak! Comment ça, tu n'as pas de chum? Oui. Ça fait combien de temps? Après Daniel, tu as-tu un chum? Non. Tu n'as pas de chum après Daniel? Non. Tabarnak, comment ça tu n'as pas de chum?

Je ne sais pas. Christ, c'est drôle. Mais je rencontre des... Non, mais je rencontre... C'est belle, là, tu sais. Pourquoi tu n'as pas de chum? Bien, je rencontre des gars, mais on dirait les gars,

ils passent une entrevue quand ils sont en train de faire le monde. Ils ont peur de toi. Je ne sais pas. Mais là, ils me disent, j'ai travaillé là, j'ai fait ça. Mais oui, c'est pas grave. Ils essayent de t'impressionner.

Ils sont en entrevue de job. Ils sont en entrevue, c'est ça. Pas de bon sens. Ça fait genre dix ans que tu n'as pas de job, mettons. Ça fait neuf ans. Ça a été rough, la séparation, ça a été rough.

Mais c'est dur de rencontrer quelqu'un, c'est quand même long ça a été rough la séparation mon dieu ça a été rough mais c'est dur de rencontrer quelqu'un c'est pas évident tu penses que c'est plus dur quand t'es connu c'est sûrement plus dur pour une fille, pour un gars fascine en tabarnak l'opération les lions ça avait pas marché en le disant que j'ai fait

ça a l'air top je faisais à tous les gars célibataires que je connais qui sont connus. J'ai fait de la tournée avec les humoristes. Ce n'était pas le problème. Les filles, là. Je pense même

les gars en général. Moi, ma blonde, la femme qui m'a le plus attiré d'elle, c'est le fait qu'elle était drôle. Elle me fait rire en tabarnak puis ça me surprend que quand je vois mettons une femme drôle qui a pas de chum parce que c'est ma sœur tu veux quelqu'un de drôle mais peut-être aussi qu'ils s'imaginent que comme on est sur scène comme on fait ce métier là on n'-là, on n'est pas dans la vie des filles ordinaires.

Moi, je suis bien ordinaire dans la vie. Mais les gars, on dirait qu'ils veulent m'épater. Je ne sais pas. Pourtant, Caroline, je suis une fille bien ordinaire. Tu penses-tu qu'ils ont peur que tu parles d'eux autres? Ça, ça serait la seule affaire qui me ferait peur. Je suis célibataire, je vais coucher avec elle. Elle est humoriste.

J'allume ma TV. Mon chum, il a une grande langue de même. Il bande moyen. Je suis comme... C'est sûr? Il doit y avoir un danger. Il doit y avoir un danger. Oui. Il doit y avoir un danger.

Il y a un numéro là-dessus. Oui. Câlisse. Dans le nouveau show. Câlisse. Parce que moi, mettons, être célibataire,

je ne pourrais pas faire, tu sais, mettons, je faisais un number de « Hey, la fille que je couche avec, elle était mouillée, moyenne. » Le monde ferait

« Oui, c'est parce que c'est mauvais au lit. Je ferais, « Ah, elle a un bon poids. » Mouillée moyenne. C'est quoi, mouillée moyenne? Mouillée moyenne, c'est chaque fois que je couche avec quelqu'un. Non, non, mouillée moyenne, je ne sais pas c'est quoi. Toi, as-tu un chum? Non, célib mouillé, mouillé, je sais pas c'est quoi. Toi, as-tu un chat?

Non, célibataire, merci. Chris, comment ça c'est tough de même pour des filles drôles de trouver des chats? Premièrement, j'ai pas le temps d'été. C'est une job à temps plein d'été, là. Puis je veux pas me mettre sur Tinder, si on dirait que c'est comme bizarre. Puis je veux dire, j'ai pas le temps. J'ai même pas le temps de me gratter la pelote, genre. T'as pas le temps de te gratter la pelote?

Tabarnak! C'est Yann Sauchefresse! Non non mais c'est ça, j'ai pas de soirée de disponible, une date de brunch, j'ai déjà fait ça, oh my god! Une date de brunch? Au lieu d'aller souper, de prendre un verre, de tomber dans les chèques de facilité. Tu t'es dit on va déjeuner, dîner ensemble? On brunch! Non mais tu sais c'est comme plus adulte, c'est comme plus genre je veux pas rien que vous.

Fait que non, mais c'était très, très, très rien que vous. Ah, OK. Fait que non, c'est ça. Moi, j'ai jamais fait de date de brunch, mais tu sais,

mettons une date, tu fais, on va-tu coucher ensemble le premier soir, deuxième soir, troisième soir, mais une date de brunch, c'est rare que tu dis,

oh, je pense que j'ai des chances. » Je pense qu'on va prendre deux et deux cums. Tu te couches à deux heures de l'après-midi. Craquer un oeuf à la première date, c'est vraiment pas l'idéal, je vous le confirme. T'as-tu eu une deuxième date avec M. Brunch?

Non, non, non. Non, après le... Non, non, non. C'était-tu eu une deuxième date avec M. Brunch? Non, non, non. Non, après le... Non, non, non. Puis, c'était-tu lui qui était mauvais ou c'était l'idée du brunch? Tout est la réponse, pas ton âme. Puis, c'était-tu son idée à lui? Je pense que c'était mon idée à moi.

Il y avait quelqu'un qui m'avait dit ça. Tu sais, va pas souper, va bruncher. Moi, j'ai déjà entendu, va prendre... Va dîner, va prendre, mettons, un café l'après-midi, mais un brunch. C'est weird, ça. C'est encore plus weird quand toi, tu commences... J'ai déjà été prendre un café.

Moi, je prends un café Baileys. Mettons, lui, il se commande un thé vert. As-tu pris un café Baileys au brunch? Non, pas au brunch. C'est un autre date. OK. Par ça, ça leur a été magique. T'arrives, c'est au Cora.

Il demande à lui, qu'est-ce que tu veux? Je vais prendre l'omelette. Un mimosa pour un autre date. OK. Par ça, ça aurait été magique. T'arrives, tu sais, au Cora. Il m'en a lui, qu'est-ce que tu veux? Je vais prendre l'omelette. Un mimosa et un café. Moi, amène-moi un mimosa et un café belice. C'est pas inclus dans l'assiette déjeuner. Non, j'ai de l'argent pour payer ça. Amène-moi trois steigners. Amène-moi trois steigners et deux toasts.

Et un déjeuner de la construction. Je veux avoir de l'abondance. Un déjeuner de la construction. Il y a du ballonné chez Cora dans le déjeuner de la construction C'est pas mauvais une petite bolonne Moi, ballonné Moi, j'adore ça, mais j'ai plus l'estomac de manger ça Je te rote ça 3-4 jours de temps

Non, mais c'est mauvais Moi, ballonné, quand je suis arrivé à Montréal Puis j'ai commencé à faire de l'humour La première année que je fais de l'humour, j'ai gagné 1200 pièces Dans mon année Puis j'ai réussi à survivre avec 1200 piastres. Il y a quelqu'un qui payait pour toi, certain. Mais mon épicerie, c'était...

Dans le temps, ils vendaient du... C'est ça. Il n'est pas engagé. Il connaît comment il est engagé. Triste de bon gars. Tu diras, couillard, que... Mais mon épicerie, pour vrai, dans le temps, j'achetais des tubes de ballonné

et des ramens. C'était ça que je mangeais. Quand j'entends ça, l'affaire de survivre sur 75 piastres par semaine, c'est vrai, mais tu pourrais survivre sur 7 piastres par semaine, mais ce n'est pas ça le but de survivre.

Techniquement, tu pourrais survivre sur une piastre par semaine. Comment tu le manges ton ballonné? À ce temps-là, je n'en mange plus, Techniquement, tu pourrais survivre sur une pièce. Comment tu le manges ton ballonnet? À ce temps-là, je n'en mange plus. Mais dans le temps, je le coupais et je le faisais frais. Je mangeais un steak. Boutarde ou ketchup?

Moi, dans le temps, je n'avais pas les moyens. C'était de la sauce soya pis des larmes. Un p'tit goût de salade. Un peu de sel. Toi, tu le manges comment? Ben sec dans la poêle ou cru, c'est pas mauvais non plus. Cru, blé d'aine, crème de blé d'aine. Ben, blé d'aine en crème. Crème de blé d'aine, blé d'aine en crème, c'est un peu la même affaire.

On dirait un blé d'aine qui a éjaculé dans une canne. Ouais, mais c'est bon, man. Pour vrai, c'est bon. C'est Géant Vert. Ouais, c'est le même. Géant Vert, quand il se crosse, il fait comme, y'a-tu des Kleenex? Donne-moi une canne. All right.

Y'a des grumeaux comme ça. On les garde. C'est tout bon. As-tu déjà mangé un gris de cheese au ballonnet? Oui, dans le temps. Crème de bledaine? Crème de bledaine dans ton gris de cheese? Dans le gris de cheese,

mais ça, c'est des fins de soirée un peu... Les années guitare, Mike, tu comprends? Crème de blé d'Inde Dans ton gris de cheese Mais ça c'est des fins de soirée un peu Les années guitare Mike Tu comprends Ça c'est dessus quand t'es très subite dans la gueule Fromage jaune Pis pas le velveteau single Tu sais ceux-là qui vendent Qui n'ont pas d'emballage

Ils sont tous l'un par-dessus l'autre C'est-tu de quoi je parle? Oui le dolorama des fromages. Non. Non, non, c'est comme 12 tranches, mais comme toutes collées l'une par-dessus l'autre, il faut que tu les décolles. Ah, qui sont plus millionnaires, un peu, comme Cheddar, là.

Oui, double Cheddar. En tout cas, ça, là. Ballonné, crème de tomate... crème de... de... Maïs sans crème. Pis ben du beurre. À l'assaut chien qu'on appelle, crème de tomate, crème de blanque. Maïs sans crème. Maïs sans crème. Puis bien du beurre. À la se-chien qu'on appelle nous autres.

Comment tu appelles ça? À la se-chien. À la se-chien? À la se-chien. Parce que se-chien, c'est comme un voisin du grand-père à un de mes amis. Puis lui, quand il faisait des hot-dogs, il mettait quasiment une livre de beurre pour faire rôtir les pains. Les saucisses. En tout cas, c'était bon,

ces hot dogs, ça fondait dans la bouche. Mais depuis ce temps-là, quand on met bien du beurre dans une recette, on dit à l'assait chien. C'est une technique. Oui.

C'est une technique. À l'assait chien. À l'assait chien. Ça sonne dégueulasse. Pour vrai. Moi, j'avais dit à quelqu'un une fois, tu mets bien trop de beurre. Il dit, oui,

mais il faut que les croque-morts aient de l'ouvrage. C'est-tu un brunch? Moi, c'est ça la gaffe que je fais. Quand je fais des dates, je commande des soupers. Puis là, ma fille, elle m'a dit, tu ne vas pas dans un souper quand tu fais une date. Un café, c'est en masse.a dit, « Non, tu ne vas pas dans un souper quand tu fais une date.

Un café, c'est en masse. Au bout de quatre minutes, tu le sais. Tu ne veux pas l'avoir. En plus, toi, mettons, quand tu as une date avec un gars, lui, il sait déjà t'es qui, dans quoi il s'embarque. C'est juste toi qu'il faut que...

Techniquement, tu pourrais juste lui parler au téléphone, regarder sa photo pis faire « Ouais, ouais, ça fait un job. » Non, mais c'est vrai, tu sais. Ouais. Tu sais, appelle-moi un romantique. Pas de musique à rien, là.

Pas de musique à rien. Il y a une affaire, par exemple, je trouve que les gars dans les dates, ils ne font pas d'efforts. Il peut arriver, le gars, mettons, avec un chandail qu'il a ton le gazon l'après-midi avec, puis il fait « Ah, c'est pas grave. » « Ah, il y a une petite tache. »

« Ça ne paraîtra pas. » Nous autres, on se crôme, on se rase, on se pimpe. Tu sais, cinq couches de mascara, le gars, lui, arrive, il fait « Ah, on se pimpe. Tu sais, cinq couches de mascara. Le gars lui arrive, il fait « Ah! » Et il tout trempe. Il transpire encore. Ah, ouais!

Moi, ça me tente pas. Moi, j'ai pas le goût d'aller mettre mon nez là. Moi, je fais... Mais sais-tu quoi? Je pogne avec des gars de 30 ans, mais ils sont plus jeunes que mes enfants. Fait que là, je peux pas dire OK. Non, tu pourrais pas dire OK.

Tu pourrais. Non, ça me rentre pas dans la tête. Tu veux pas te faire fourrer par un gars qui a des vraies érections. C'est... C'est cru. On parle de parler. Mais la question est bonne.

Comment quand on dit ça de façon pas vulgaire? Yann! Mais dit de même, c'est tentant, c'est sûr. Mais tu sais, moi souvent, tu sais, je pensais à ça, bien souvent je pensais à ça, mais des fois je parlais avec ma blonde,

puis tu sais, moi, mettons si on se laissait, je serais pas attiré vers quelqu'un de plus jeune. Puis elle, un moment donné, j'ai dit, je faisais, « Chris, on se laisse, pogne un gars de 28, tabarnak. » Moi, je suis un alcoolique de 45. Elle ne sait plus c'est quoi. Qu'est-ce que tu nous dis?

C'est quoi le feeling d'une vraie graine? Chris, un alcoolique de 45 ans. Ma graine, c'est 8 tranches de ballonné qui est foire. T'as-tu des problèmes érectiles, Mike? Non, mais je banque comme un gars dans la quarantaine. Tu banques comme un gars qui vient de boire un vendison de votre pépinette. Mais pourquoi tu parles en tranche à un ballonné?

Ben, c'est parce que ma graine, elle est large. Ben, c'est ça. Elle est serrée. C'est un bon rouleau, là. OK, bon, d'accord. Le bout de pétille. Le bout de crépite dans la chambre. Mais moi, j'avais même

un moment donné, j'avais demandé à ma médecin que quand j'ai pogné, genre début quarantaine, j'ai fait « Hey, on dirait ma graine, elle bande plus comme elle bandait. » Puis je voulais des pellules. Puis là, en fait, tu sais, tu fais pas de sport,

tu bois, c'est ça ta graine. Puis là, j'ai fait... « Ouais, ouais, t'as raison. » J'ai comme accepté. Tu pourrais t'en servir pour lever des poids à la terre? Tu vas au gym, puis... T'as-tu arrêté de boire? T'as-tu fait du sport?

J'ai rien fait. T'as accepté ça, toi, comme s'il n'y avait rien à faire? Je vais me taper deux bâtons de popsicles. C'est stupide. Ça, c'est un gag de Mario Grenier dans le temps. Tu te rappelles-tu, il faisait ce gag-là qui disait qu'il avait de la misère à bander

et il disait, c'était les premières années de Viagra, et il disait « Je pourrais prendre du Viagra, ça coûte moins cher prendre deux bâtons de popsicles et du steak. » Pas de bon chère. Puis sa blonde a ses écharpes à cette heure, c'est ça? Ou elle fait des hélicoptères.

Ça doit être super fantastique. Mais non, mais je trouve aussi, une fois j'avais frenché, pis c'était tellement mauvais. Qui t'a frenché? Un gars de marde. OK. C'était tellement mauvais, là.

C'est important, les French. Mais ça, le French, c'est très générationnel. Le French, là, c'est vraiment important. Le French est générationnel? Qu'est-ce que ça veut dire? Non, mais dans le sens que, mettons, tu Frenches quelqu'un de plus vieux, c'est pas la même technique. C'est vrai? Ben oui.

Mais ça, je veux voir, c'est qui le plus vieux que t'as frenché Et le plus jeune Pour voir si Ben la semaine passée j'étais à Barcelone Je pense qu'il avait 50 ans À Barcelone T'as frenché un gars à Barcelone en 6 jours

Ben là À French un gars en six jours! Non, mais moi, je demande pas de permission, là. J'attaque, là. Il faut que t'ailles en Espagne. En Afrique, peut-être mieux. Je te dirais cinq ans. Non, mais les femmes rondes...

Oui, c'est très populaire auprès de... Exactement. À Barcelone, pas sûr. C'est le fun, Barcelone. J'aimais ça. Plus jeune, 17, mais j'avais 24. C'était pas si pire. Comment il frenchait le monsieur dans 50 ans? Il frenchait comme un homme marié.

OK. Tu veux dire, il sortait sa langue et il faisait « Tu es ma femme! » OK, donc, c'est correct. On collisse. Fontailleul! Ça, j'ai dit, you kiss like a married guy.

Oh, oui! Oh, oui! Ah, il t'a montré. Asti! Qui est-ce qui a de la confiance, ce gars-là? Oui. Il était fin, par exemple.

Mais peut-être, il te montrait le doigt. En tout cas, non. Elle a fait une joke de mauvais goût. Il est vulgaire, Mike. Comment ça french un jeune? Non, mais... Moi, je french pas comme un homme marié.

Mais j'espère. Là, ça sonne comme si tu veux la frencher. Non, non, non. Arrêtez, arrêtez. Non, je veux savoir comment ça french un jeune. Non, mais mettons que moi j'ai commencé à frencher, c'était, mettons, on jouait à bouteille pis c'était comme 20 tours. Fait que c'était vraiment, tu mettais ta langue pis là, c'était 20 tours de langue, mettons. Fait que la langue, elle rêve pis juste…

Ben là, pis ici, on tourne pis on compte les tours, tu comprends? C'était 20 tours et Patrice Wouté, c'est ça. Mais on dirait que... Il y a un jeu de langue à y avoir. Il y en a qui ont la langue trop raide. Oui. Mais le vieux devait être correct avec sa langue. Ça dépend combien de temps qu'il n'avait pas frenché. S'il était marié depuis longtemps, il ne frenchait pas bien. Tu penses-tu que c'était parce qu'il n'avait pas frenché. Non, il était... S'il était marié depuis longtemps,

il frenchait pas bien. Mais tu penses-tu que c'était parce qu'il était... Je pense qu'il se sentait coupable. C'est-tu un catalan ou un espagnol? Non, c'était un outsider. C'est un Australien. C'est un Australien. Ah, oui.

Ça fait qu'il sautait en frenchant. Ah, oui. Ça goûtait le kangourou. Ça goûtait le kangourou Ça goûtait le kangourou Non mais en tout cas Je sais pas comment En fait je l'ai expliqué Mais je savais pas qu'il y avait des générations dans le French

Ben oui Il y a eu un temps que c'était plus comme Check les téléromans T'écoutes Blanche T'écoutes mettons Rupture Pis ça French C'est pas le même genre de French Moi là je viens de découvrir

que s'ils inventent une machine à voyager dans le temps, je vais être comme, amène-moi 1608, m'en va Frencher du monde. Mais je te dis, t'en regarderas, même le baiser télévisuel a évolué. Non, non, mais le baiser télévisuel, parce que dans le temps,

c'était comme, ça, c'était de la pornographie, tu sais. Alors que là, c'était comme ça, c'était de la pornographie. Alors que là, c'est plus représentatif de la vraie réalité. Je te dis qu'il y a une évolution dans le baiser. Mais c'est quoi? Parce que moi, la seule vraie réalité que j'ai de la nouvelle génération, c'est la pornographie.

Fait qu'il se crache-tu dans la gueule? C'est-tu un French qui s'est craché dans la gueule? Non. Je ne sais pas qu'est-ce que tu écoutes, Mike. Mais il n'y a pas de crachot impliqué, je te le confirme. Moi, y aller, moi, je pense. C'est vrai, mais ça fait combien de temps, Yann, qu'on est là?

Passé. Une heure et vingt. Je ne sais pas si on aurait des questions. Si vous avez des questions. Moi, j'en ai deux. J'en ai une pour toi, Mike. Tu t'en vas faire quoi à Dallas? Je m'en vais faire le show de

Steven Crowder, qui a commencé à inviter des invités. C'est redondant. Mais vu que il y a des views comme ça ne se peut pas, il m'a demandé cette semaine si je serais son invité. Ça fait que c'est jeudi.

Mais il m'a dit, vu que je ne suis jamais allé à Dallas, il a dit, si tu veux, je vais t'amener avant. Tu passeras la semaine à Dallas. Ça fait que je m'en vais juste là, rien faire jusqu'à jeudi, que je vais faire son show. Wow, c'est cool ça. Oui, oui. Il y a 40 millions de views par mois.

C'est malin. Qui est-il? Je ne le connais pas. Steven Crowder, c'est un gars de Greenfield Park. Un gars de la droite, mais drôle comme ça se peut pas. Moi, il me fait rire.

Il fait deux affaires. Mettons le monde qui chie dessus sur Internet. Lui, ça s'appelle Crowder Confronts. C'est ça? Puis, il va voir du monde qui l'ontie dessus sur Internet, lui, ça s'appelle Crowder Confronts, ou c'est ça? Puis, il va voir du monde qui l'ont insulté sur Internet où est-ce que ce monde-là travaille avec ses caméras. C'est drôle, là.

Il confronte le troll. Il confronte le troll. Puis, il fait aussi une affaire, ça s'appelle Change My Mind, que c'est lui, vu que c'est un gars de droite, il va tout le temps à Austin, vu qu'au Texas, Austin, c'est très

de gauche. Là, il va prendre une table, sur sa table, ça va être écrit, je pense qu'il y a juste deux sexes, essayer de me changer d'idée. Puis là, il y a, aussitôt

qu'il fait ça, là, tous les transgenres de la ville vont essayer de le convaincre. Puis là, c'est très drôle. Moi, il me fait beaucoup, beaucoup, beaucoup rire. Puis il m'a demandé d'aller faire son show, puis j'ai dit oui. Ben écoute, ça m'a l'air d'être un peu planning, là.

Tu lui gardes pas au courant. Mais Yann, Yann le déteste. Toi, tu l'ai dit oui. Ben écoute, ça m'a l'air d'être un peu planning. Tu nous gardes au courant. Mais Yann le déteste. Toi, tu l'haïs. Non, non, moi je l'aime beaucoup, j'aime beaucoup. C'est un gars brillant. Mais c'est vrai que tu l'haïs. Non, je l'haïs pas, mais il est mal à l'aise des fois. C'est un gars de Greenfield Park en plus. C'est un gars de la Rive-Sud. C'est pour ça qu'elle

est partie de Longueuil. Elle était plus capable. Mais je trouve que c'est un gars brillant. Je suis beaucoup ce qu'il fait, mais il est juste malhonnête dans certaines affaires. Il sort des chiffres sur les armes à feu. C'est quoi les chiffres qu'il sort? Je ne me souviens pas.

Il sortait des affaires et tu fouillais. Par-dessus, c'est des vrais chiffres. Sur le nombre de... Je ne me souviens plus c'était quoi, mais c'était « Twisted » un peu son affaire. Il disait que ça partait du musquet. Il y a un affaire que je trouve drôle

de lui, c'est que moi, avec tout ce qui m'est arrivé dans les dernières années, vu que je joue plus en plus en anglais, c'est que la droite américaine m'aime beaucoup, puis lui, anglais, c'est que la droite américaine m'aime beaucoup, puis lui, son public, c'est la droite un peu religieuse, que c'est le contraire

de mon public, mais chaque fois que je vais, mettons, je suis jamais allé faire son show, mais souvent, souvent, souvent, souvent, je skype c'est arrivé une couple de fois que j'ai skype

pis là je chante des jokes pis c'est le genre de joke que je fais tout le temps pis là lui il rit pis là il fait ça je peux pas c'est pas mon genre d'humour parce que tu peux pas être le leader de la droite religieuse oui c'est pas le leader

mais tu peux pas avoir un public de droite religieuse pire et de job de tt tout le genre de d'humour que je fais mais mais mais je suis tellement anti jose et social justice wario c'est sûr que ce que moi et qui sait c'est que je pense c'est la raison pourquoi nous autres on a cliqué c'est l'ennemi de mon ennemi c'est que je pense, la raison pourquoi nous autres, on a cliqué, c'est l'ennemi de mon ennemi, c'est mon ami, ou je ne sais pas trop quoi. Je ne le vois pas comme mon ennemi, mais c'est ça. J'ai eu tellement de marre avec les Social Justice Warriors que n'importe qui qui est

anti-Social Justice Warriors, je trie. C'est dur à dire. Anti-Social Justice Warriors. La deuxième question était pour social justice warrior social justice warrior excuse moi social justice warrior

c'est le monde qui comment on décrit ça c'est le c'est ceux qui je suis pas la poudre quand même ouais c'est ça c'il se... Je suis pas la poudre quand même. Oui, c'est ça. C'est pas grave, je sais pas.

J'ai pas le temps de m'occuper de ça. Ah non! On l'a rendu bien sérieux! Ma deuxième question, c'est pour Lise, mais peut-être pour toi aussi, Mike. Il est rendu où, Stéphane Ferland? A vous des nouvelles? pour toi aussi, Mike. Mais il est rendu où, Stéphane Ferland? A vous des nouvelles? Ah!

Dernière nouvelle. Il travaillait sur la construction, je pense. Ah oui? Il cognait des clous pour vrai? Il y a juste toi qui es empathique et qui se demande ce qui est rare. Non, mais ça a été

un morceau, ça a été un pan d'histoire de l'humour aussi au Québec, qui a monté tellement haut, puis ça a descendu tellement vite. C'est là que tu vois, avec lui, puis après Gilbert, tout le monde qui a été au top de la pyramide, il disparaît.

Oui, puis lui, ça s'est fait de façon très rapide. Qu'est-ce qui s'est passé avec ça? Comparativement à Gilbert, que ça a été doux et relaxant. Non, mais tu sais, Gilbert, on connaît l'histoire. On sait où ça a crashé. À partir de qui? Mais Stéphane Ferland, tout ce qu'on sait,

quelqu'un de l'extérieur comme moi, c'est que c'est une entreprise qui a monté super gros, qui est devenue un empire. Puis à un moment donné, ça a crashé. Puis tout le monde a quitté. Mais qu'est-ce qui s'est passé? Je pense que c'est une mauvaise gestion. Une mauvaise gestion? Une mauvaise gestion. Trop de

popularité tout d'un coup. Il est devenu un petit peu mégalomane. Le pouvoir, c'est pas bon à tout le monde, des fois. Puis il a comme mal géré ça, son pouvoir. C'est pas bon à tout le monde des fois, tu sais. Puis il a comme mal géré ça, son pouvoir. C'est comme...

Je sais pas, il disait qu'il allait un peu démoler tous les autres qui l'entouraient, tu sais. Fait que c'est pas correct de faire ça, tu sais. Tu sais, je me souviens au Festival Juste pour lui, quand on avait des hits, il disait « Encore un octanien, tu sais, nous appeler les octaniens. » Moi, je me sentais avec des antennes. Ça fait très doudou.

C'est ça, ça fait doudou. Je pense qu'il y a une mauvaise gestion et un pouvoir mal géré. Il y avait une affaire qui me faisait capoter. Dans le temps, tu m'avais dit qu'en tournée, tu traînais ta propre oreiller

parce que les hôtels qui bookaient, il y avait des oreillers qui n'avaient pas de sens. Comment est-ce que la meilleure vendeur du Québec, pourquoi il faut qu'elle traîne son oreiller quand tu couches dans n'importe quel style d'holédiène en montant

et que l'oreiller est correct? Je pense que le pouvoir d'avoir de l'argent, de ramasser de l'argent... Par exemple, Jean-Michel, il y a un de ses shows qui en a fait 715, puis moi j'en ai fait 514. Ces deux

vaches à lait sont tombées tout d'un coup. Parce que nous autres, on a lâché. Jean-Michel a lâché et moi, j'ai lâché tout de suite après. Mais moi, je demandais des breaks. Moi, j'étais épuisée. Je faisais 5-6 shows par semaine. J'étais rendue à un point où ma santé

mentale était en jeu. C'était plus le fun. Tes enfants avaient quel âge à cet âge-là? Mes enfants, ils étaient adolescents. Un petit peu plus qu'adolescents. Fait que genre 15-18? Oui, à peu près.

15-17. Fait que tu partais du 5 jours semaine. Vu que tu faisais ce job-là pour nourrir tes enfants, c'est ça qui a été ton leitmotiv au début. Puis après, tu partais. Ça devait être horrible pour toi. Moi, j'ai toujours fait ce métier-là pour le plaisir. Même quand je suis engagée dans un congrès,

je ne demande même pas combien je paye. Je le fais pour le plaisir. Mais cette boîte-là est en train de m'enlever le plaisir de faire du mot, d'avoir l'impression de puncher pour aller faire rire. Voyons, ça se peut pas. J'avais l'impression que mon sang s'en allait. Il n'y a pas personne qui m'en donnait.

J'ai demandé des breaks, il ne m'en donnait pas. À un moment donné, j'étais au Saint-Denis, j'ai vomi ma vie. Il voulait que je rentre à l'hôpital à l'urgence. C'est un problème d'estomac bon le lendemain me dit garde les cités pas capable de faire le show on va verser les journalistes sur le lendemain j'avais tellement mal d'un coach j'ai écouté la verte à 10 heures le matin j'ai fait je n'ai pas capable de faire le show à soi on va le reporter il m'a dit il est trop tard il était 10

heures le matin fax était tout le temps dans des conditions... Même Courtemange, à un moment donné, il piquait comme un cheval. Il n'était plus capable. Il était vidé d'énergie. Je peux t'en parler à ce temps-là, je le sais maintenant. Courtemange, par exemple, il était avec encore.

Il n'était pas avec... Il était avec juste pour rire. Excuse-moi. Mais c'est la même mentalité de... Mais ce n'est pas le fun de forcer un cheval à faire de la peur, tu comprends? Ce n'est pas le fun de faire ça, tu sais. En tout cas, ça n'a pas été une période super le fun. Tu sais, comme Jean-Michel, il s'est mis à haïr la scène.

Puis toi aussi, tu as vécu ça. Tu as été un cinq ans sans faire de show à peu près? Oui. Je n'ai pas haï la scène, mais il est en train de me faire haïr. La business. Parce qu'il ne me lâchait pas. Puis je demandais des breaks deux, trois mois à l'avance pour ne pas décevoir le public.

Je n'en avais pas de break. Mais il n'était pas tout seul là-dedans. Il y avait du monde qui bouquait, qui ne comprenait rien aussi mais bon, ça a été un bout de plate pas les premiers temps, mais les cinq dernières années ça a été un bout de plate

puis après je suis partie avec Dan, on a monté notre affaire les productions Sixième Sens on a géré le temps comme il est supposé d'être géré. Moi, j'ai le goût d'aller faire des shows. Je ne suis plus rendue au bout où

ma batterie de cellulaire est complètement vide et que je suis obligée de me recrinker pour aller faire un show. Avec Dan, c'est bien disperser les dates. C'est comme là où tu es dans ta vie. Tu voudrais faire, tu veux faire, puis tu vas faire, combien de shows par année? C'est-tu genre

les vendredis, samedis? J'en fais trois par semaine, puis j'ai le privilège d'être trois soirs dans la même ville. Fait que j'en fais trois par semaine avec une semaine de congé au mois et demi à peu près. Je ne travaillerai pas l'été prochain. J'ai un mois de break en janvier

j'ai 63 ans quand même bon je peux pas je peux plus faire 5 show par semaine je suis capable j'ai plus l'énergie de faire ça tu sais fait que trois par semaine pour moi c'est parfait ce rythme là c'est bien aéré la tournée c'est vraiment bien aéré mais bouquet pour les trois prochaines années tu comprends fait qu'on a des dates pour les trois prochaines années, tu comprends? Fait qu'on a des dates pour les trois ans qui s'en viennent fait qu'il faut que je me ménage mais en même temps, comme j'expliquais à quelqu'un l'autre soir, quand tu commences un show

le jeudi, tu te ménages pas en disant, il faut que je fasse attention j'en ai un vendredi, moi je donne tout si le public rit devant moi je donne tout, je m'en fous que ce soit jeudi ou vendredi. Tu comprends? Tu te ramasses vite à terre.

Comment tu es? Parce que moi, je me demande tout le temps. Comme là, toi, tu as dit que tu as 63 ans. Est-ce que tu penses à... Est-ce que tu vas arrêter à un moment donné ou tu vas continuer jusqu'à temps que tu meurs? Non. Moi, je vais arrêter quand le public va avoir encore le goût de me voir.

OK. Mettons, toi, à 108 ans, si t'es encore du public, tu vas être encore là. Non, non, non, non, non, non, non. Moi, je vais arrêter quand le public va avoir encore le goût de me voir. Oh, OK. Tu vas nous laisser sur notre faim. Hein?

Tu vas nous laisser sur notre faim? Oui, mais dans le sens, je vais faire une sortie quand ça va être encore le fun, au lieu de dire, « Colline, Lise, il faudrait qu'elle décroche. » Je n'ai pas envie de faire ça. C'est du jour au lendemain ou tu vas faire quelques apparitions après? Tu vas-tu nous donner

une couple de mois d'avis? Je vais vous donner une couple de mois d'avis, mais je ne continuerai pas jusqu'à 85. C'est vrai? OK. Fait que toi, il te reste moins de 15 ans, mettons. Mettons, il te reste moins de 15 ans, mettons? Mettons, il te reste combien de temps?

Je ne sais pas. Non, mais juste voir. De carrière, bien entendu. Bien, je ne sais pas. Regarde, on s'entend que c'est la santé qui décide. Si je suis encore en santé, je suis à du bon. Oui, ça, c'est du bon. C'est la santé qui va décider. Parce que moi, chaque année, j'ai peur d'avoir le cancer.

J'ai des amis proches qui sont malades. Je me trouve tellement privilégiée d'être en santé encore à 63 ans. Des petits bobos, un petit genou qui commence à craquer. Non, il ne m'élâche même pas. Non?

Je prends du collagène. Tu prends du collagène? Oui, je prends du collagène. C'est collagène? Oui, je prends du collagène. Dans un verre d'eau? Tu prends le collagène. Je prends ça dans une purée de pommes. OK. Tu prends... Chris, t'es comme un chien.

Il faut mettre le médicament dans la bouffe. Dans la bouffe, c'est ça. C'est quoi, ça fait, de la collagène dans la purée de pommes? Le collagène, c'est que ça met du... comme ça lubrifie tous les joints. OK. J'ai l'air de parler de...

Elle parle comme d'un bon galop. Non, tous les joints, puis c'est bon pour la peau. OK. Puis ça, c'est-tu bien cher? Bien, le sac, le gros sac, c'est pas donné. Mais c'est-tu bien cher? Bien, le sac, le gros sac, c'est pas donné. Mais c'est dans les produits naturels.

C'est légal. Il n'y a pas de trouble. Faudrait-tu commencer à en prendre, moi, mettons? Bien, c'est pas mauvais parce que ta peau, elle va être super belle. Elle va bien vieillir. Tu as déjà une belle peau. Je t'arrise. Non, je t'arrise. Ah, t'es à risque? C'est vrai qu'elle boue tellement.

Mais collagène, c'est pas... Non, mais c'est vrai, je boue, je boue. Mais collagène, c'est pas ça qu'ils mettent dans les lèvres des mannequins? Ben, tu peux te le mettre dans les lèvres, mais tu peux le prendre en poudre. OK. Mais ça gonfle pas les lèvres? Non, ça fait pas ça.

OK. C'est comme, les hommes ont dit, prends ça. OK. pas les lèvres. C'est comme, les yeux, on m'a dit de prendre ça. Il y a une paire de lèvres que j'aimerais qu'ils soient fermes, mais c'est déjà fini. Bon. Parle-nous en dons. Non, non, non. Avez-vous des questions?

On va poser des questions. Pas nécessairement sur les lèvres à l'aise. Il y a quelqu'un qui s'en vient. C'est comme Claire Lamarche, sauf qu'on n'a personne pour aller amener le micro. Levez-vous!

Levez-vous. L'imitation de Daniel Leblanc. Oui, c'est ça! Salut, la question est pour moi. En fait, tu avais déjà parlé que tu voulais peut-être t'acheter un cochon. C'était peut-être plus ta blonde qui poussait pour ça. Oui, ma blonde veut un cochon. Y'a-tu eu de l'évolution là-dedans?

Puis est-ce que tu vas l'amener en tournée avec toi? Non, y'a pas de... Tu connais-tu Christopher le pig sur Instagram? Non. C'est comme un cochon full célèbre. J'ai une photo avec. Moi, y'a comme 60 000 abonnés. C'est comme un cochon full célèbre, j'ai une photo avec, il y a 60 000 abonnés. C'est cool un cochon.

Non mais c'est que ma blonde veut un cochon. Pour quelle raison? Puis parce qu'on n'a pas d'enfant. On a deux chats, on a deux chiens. Puis de la façon que notre maison est faite, je trouve pas ça cool pour un cochon vu que ça va être tough monter les marches. que fait que je vais pas de cochon fait que je veux pas de cochon pour l'instant moi c'est ça en gros en gros c'est ça c'est moi c'est ça en gros en gros c'est ça je peux pas de cochon

ouais mauvaise réponse à réponse. Mais, tu sais, ma blonde, elle est tout le temps comme « Ah, on va... » Tu sais, les petits cochons, ils ont de l'air le fun. Je peux-tu en avoir un autre? C'est des petits cochons vietnamiens. Mais il faut que...

Mais c'est pas comme pour le manger dans trois heures. Non, mais je suis vegan. Ahiment comme un animal accompagné. Non, mais je suis vegan, tu sais. Fait que... Ah, t'es rendu vegan. Non, je suis vegan. Je pensais que t'étais végé, moi. Ça fait longtemps, oui.

Non, ça fait longtemps que je suis vegan. Bien, longtemps, une couple d'années. De toute façon, un petit cochon de même, ça fait pas un gros michoui, on s'entend? Oui, non, non. Mais, oui, c'est ça. Fait que je veux pas... Je pense que c'est le fait que je suis vegan

que ma blonde est comme... On devrait avoir un cochon, vu que... Mais c'est pas parce que je mange pas de bacon que j'en veux un qui vit dans mon salon, tu sais. Bien, mais c'est le fait que je suis vegan que ma blonde est comme « On devrait avoir un cochon! » Mais ce n'est pas parce que je ne mange pas de bacon que j'en veux un qui vit dans mon salon. C'est spécial quand même. Ça a l'air que c'est bien le fun des cochons. Ça a l'air à ça, oui. Parce que le chat se pense plus haut que l'humain,

le chien plus bas, puis le cochon égal. Le cochon pense qu'on est à la même place. Oui. Mais c'est vrai que c'est cool comme animal de compagnie. Une des raisons que j'ai arrêté de manger de la viande, c'est que le cochon est plus intelligent qu'un enfant de 4 ans. Fait que là... Fait que j'aimerais ça avoir...

Non, mais c'est vrai. Il y en a de plus en plus qui en ont maintenant. C'est super intelligent. Bien, super intelligent. Intelligent comme un enfant de 4 ans. Tu ne joueras pas aux échecs avec. C'est stupide d'. Intelligent comme un enfant de 4 ans. C'est ça, tu ne diras pas où j'échec avec. C'est stupide d'en créer ça, un enfant de 4 ans. Hey, j'ai des bonbons pour une vanne.

Viens t'asse. On cherche un petit caniche. Wise, wise. Tu veux-tu flatter mon chien? Zip. Il est là. Il n'est pas comme celui-là de ma tante Manon c'est ça, c'est une autre forme de chien

ah ouais j'irais, y'a-tu une autre question? oui ah mais, t'as-tu je vais te descendre oui, je viens de le voir moi tout bonjour, la question est pour Lise qu'est-ce que tu penses des podcasts

pis est-ce que c'est ton premier podcast que tu fais? Mon premier? Ah oui, c'est ça. C'est un podcast ici. C'est un podcast, hein? C'est moi. C'est la première fois podcast. Sérieux.

Habituellement, c'est une fille prudente qui arrive avec son casque. Non, c'est la première fois. OK, puis t'en penses quoi? Je trouve ça le fun parce qu'on peut aller un petit peu plus loin. Dans le propos, dans l'entrevue, je pense que

c'est la première et la dernière fois que je vais faire une entrevue de même. Excuse-moi. Excuse-moi. C'est ton premier podcast? Oui, premier podcast. Je vais-tu plus loin que deux filles le matin? Ben, à peine.

À peine. Ça a été très agréable. Mais tu le regrettes-tu? Oh, ben non. J'aurais 30 ans, je l'aurais peut-être regretté, mais pas là. C'est vrai? Comment ça? Là, t'es trop vieille pour regretter.

Trop vieille pour regretter. T'as pas le temps pour ça. Je regrette plus rien. Ah, ouais. Mais quand je dis oui maintenant, je dis oui. Là, tu es trop vieille pour regretter. Trop vieille pour regretter. Tu n'as pas le temps pour ça. Je ne regrette plus rien. Mais quand je dis oui maintenant, je dis oui. Sans rien penser. Mais quand je dis non, je dis non aussi en disant non. Je n'ai pas besoin d'expliquer pourquoi je dis non.

Pas à 63 ans. Mais je trouve ça le fun d'avoir 63 ans. Parce que, premièrement, tu goûtes les affaires. Je suis là, je suis à soir ici. Je ne suis pas ailleurs, je ne suis pas demain dans ce que je vais faire. Je suis avec toi, je suis avec Ève, je suis avec le public. Je suis là pour vrai. Je suis dans le présent tout le temps à 63 ans.

Je fais ce qui me tente. Les affaires qui me tentent plus, je ne les fais pas. Puis c'est super le fun. Puis je suis sincère avec le monde. Puis je peux dire à quelqu'un, ce n'est pas grave si tu ne m'aimes pas. On a chacun nos vies et ça va bien. Ce n'est pas grave si tu ne m'aimes pas. J'ai dit au monde aussi des fois, moi, je ne t'aime pas.

Ce n'est pas grave si tu ne m'aimes pas non plus. Tu le dis-tu au monde? Mettons dans la vie, si quelqu'un n'est pas cool avec toi, tu te permets-tu de les envoyer chier? Oui. C'est quand la dernière fois c'est arrivé c'est pas arrivé que je l'envoie chier mais c'est arrivé à quelqu'un que j'ai dit c'est pas grave si tu m'aimes pas parce que moi non plus je t'aime pas fait mais on a chacun nos affaires ça va bien dans ta vie ça va bien dans mienne c'est pas grave

là j'ai de la misère à voir mes, fait que j'irai pas commencer à têter du monde que j'aime pas, tu comprends? Fait que j'essaie d'avoir un vernis de société, mais j'aime pas tout le monde. Un vernis de société? C'est-à-dire, un vernis? Je mets pas à marre partout.

Tu viens d'inventer ce terme-là? Non. C'est-tu un terme qui existe ou c'est toi qui l'as inventé? Je sais pas si c'est moi qui l'ai inventé, mais moi, j'appelle ça de même. Tu connais-tu ce terme-là? Moi, j'en connais pas dans la société. Qu'est-ce que j'aime ça?

Un vernis de société. C'est-à-dire qu'il y a un humeur ou une humeur qu'il faut que tu gardes pour ne pas que la marde pogne. Mais moi, si la marde pogne à quelque part, je ne reste pas là. J'ai d'autres choses à vivre. Il me reste peut-être 15 Noël

en forme. Non, mais c'est vrai. Quand tu comptes en Noël, c'est vrai, c'est fou. C'est vrai. S'il me reste 15 Noël... C'est comme 15 mois, je suis trop vieille pour acheter un nouveau chien. Non, non, non.

Par exemple, non. D'ailleurs, j'ai marqué sur mon testament que si je marche, je veux que mon chien soit euthanasié en même temps. Même s'il est top shape. Même s'il est top shape. On devrait... Mais pourquoi?

On va mettre ton chien... Tu veux que Nuki se fasse euthanasié si tu meurs? Oui. Ton chien et mon nouveau cochon. Les deux dans le cercle. Mais pas dans le cercle quand même. On ne les fait pas euthanasier. On les laisse se battre pour voir

c'est qui qui survit. Ah! Ah! Moi, je suis commencé à trouver ton idée bonne de le mettre dans le cercle avec moi. Non, mais ça, il faut que... Pour vrai, ton chien,

il est-tu dans ton testament? Il va à qui? Non, il va pas à personne. Mais pour vrai, parce que lui, il a encore des belles années, il a des parcs à visiter, il a des branches à pisser dessus. Il a des branches à pisser dessus.

Fuck you! Je suis plus là, t'es plus là. Non, mais... T'es comme un dictateur. T'as tous les petits cercueils de tous tes chiens au chalet. Ben oui, je sais. Je peux pas que tu les snookies. T'es le Saddam Hussein des propriétaires de chiens. Non, mais c'est que je veux pas qu'ils soient maganés,

je veux pas qu'ils soient imposés à personne. Y'a personne qui peut les mettre plus que moi. Mais une injection dans le cou, ça va le maganer plus que de vivre avec ton cousin. Non, mais je ne veux pas qu'il s'en aille à quelque part où ils vont le maganer. Mais ta fille, ta fille, elle ne va pas être ton chien.

Ben oui, ben oui, ben oui. On ne parle pas rien, là, dans le fond. Mais en même temps, ce ne serait pas de mauvaise idée qu'il soit dans mon cercueil. Moi, en même temps, on a vu que Aretha Franklin... Attends, Aretha, elle s'est faite exposer avec les pierres à l'air.

Moi, j'aimerais ça être couchée sur le côté avec une doudou. Ben oui, c'était quoi ça? Les escarpins rouges. Parles-tu d'Aretha Franklin? Mais c'est super beau. Elle a changé de costume à toi et Jo. Non, mais as-tu vu?ita Ferguson? C'est super beau! Elle a changé de costume à tous les jours. Tu ne reviens pas à ça? Non, mais elle a changé de costume à tous les jours.

À chaque jour, vu que son corps décomposait, les souliers tombaient plus de bonheur dans la journée. Elle chaussait neuf quand elle est morte à la fin du 3 jours. Donne-moi du 3,5! Donne-moi du 1 pour adulte. Moi, j'aime assez dans le cercueil sur le côté en cuillère

avec ton petit chien. En cuillère avec le chien. Ça, là, moi, la seule manière que je trouve, c'est une bonne idée, que mettons, toi, tu meurs, pis ton chien, on le tue, pis on le met dans le cercueil avec toi, c'est si bonne idée, que mettons, toi, tu meurs, puis ton chien, on le tue, puis on le met dans le cercueil avec toi. Si tu acceptes que lui, il meurt,

puis la journée qu'il meurt, tu fais, OK, j'embarque dans son cercueil. Si, c'est comme un package deal. Tu fais, yes sir, c'est à la vie, à la mort. Si lui a peur que je me fasse ma ganée ailleurs, c'est sûr, je vais partir avec. Oh, c'est sûr, je vais partir avec. Oh, c'est vrai? Non, non, non.

C'est quoi son nom? Il s'appelle Nuki. Nuki? C'est quel… Oski. Un Oski, OK. J'ai eu un gros chien policier. C'est pour ça que moi, si j'avais pesé mon chien, comme tu disais,

et j'avais un gros berger allemand de 105 livres, la balance n'aur aurait pas fourni là si on avait embarqué toi et deux j'aurais pas pu peser mon chien sa balance j'adore les gros chiens ok ouais mais j'ai eu une saucisse un chien saucisse c'est quoi l'affaire, là? Comment est-ce qu'il s'appelait, lui? As-tu fait des jokes sur le chien de saucisse? Non. Non, c'est que t'as dit que t'avais une saucisse, pis là, lui, il pensait à des graines. Mais Closé... Closé avait une saucisse.

Au ballonnet, bien sûr. Comment est-ce qu'il s'appelait? C'est-tu Saucin? Il s'appelait Sassou. Sassou. Un dérivé de saucisse. Sassou? Sassou.

Sassou. Sassou. Pis il est mortu. Sasu. Sasu. Puis il est mort à quel âge? 11 ans. OK. Quand même. Mais Woody était cool. Woody, c'est le policier.

Moi, quand je l'ai connu, ça avait Woody. Oui. Ça fait combien de temps que tu la connais? Ça fait... Depuis le 11 novembre 2014. Parce que j'ai l'impression que tu connais beaucoup trop de chiens morts. Mais non, parce que tous mes petits turs à son chalet...

Mais non, mais à son chalet, il y a tous les petits turs. Il y a comme un bahut, il y a comme un meuble. Puis il y a des urnes avec les centres de sassous puis les chiens. Il y a Woody là. Mais là, j'en passais pour une fuckée. Mais non, pas en tout, je trouve ça beau. Mais moi, tous mes animaux,

j'ai fait incinérer, pis ils sont dans mon bureau. Ben, c'est ça. Je suis contente. C'est pour ça que je connais ça. Mais en même temps, j'ai une maladie mentale, j'observe, pis je me souviens. Je pense que c'est ça,

l'affaire que je... Ben, c'est pas la seule chose qui est le fun d'avoir un peu d'argent, mais avoir assez d'argent de faire mon chat ne meurt pas dans un container de vétérinaire. Oui, c'est ça. Congeler et jeter. Oui.

Moi, ma grand-mère avait des chats. À un moment donné, ça ne se reproduisait trop. Je ne suis pas contre ça, mais en tout cas, elle allait au bout du quai dans une poche avec une roche. Elle était un peu moins sensible que Elle est au bout du quai, dans une poche avec une roche. Parce qu'elle avait trop. Elle était un peu moins sensible que vous autres au niveau du félin. Ça, c'est la Saddam Hussein de la Gaspé.

Non, mais elle en avait trop. Ça serait malade que tu finisses cette anecdote-là avec « pis elle aussi était vegan ». Non, écoute, c'était des carnivores. Mais dans le temps... Dans le temps, c'était ça. Puis ça, en plus, c'était jeune. Dans le temps, c'était il y a quatre ans et quart. Moi, j'ai été élevée...

C'est une vieille âme. Elle parle comme des personnages qui ont 80. Moi, j'ai été élevée comme ma grand-mère à quelque part parce que j'ai passé beaucoup de temps avec elle. Elle a des expressions moi c'est ça avec ça que je suis son bon amour c'est son charme

et être au courant de tout ce qui se passe je ne sais plus que j'apprécie plus on va aller avec une autre question oui oui attends là tu es là Yann va t'amener le micro c'est une question de la part d'Alain oui Oui, attends, mais là, tu es là. Yann va t'amener le micro.

C'est une question de la part d'Alain? Oui. OK. Ah, j'ai le foie, Alain. Allô, Alain. Oui, j'ai une question de la part d'Alain pour Lise. Oui. Est-ce que tu accepterais de participer à Mike Ward le Magnifique l'année prochaine?

Mike Ward le Magnifique, c'est que Alain, qui est... On peut-tu l'éclairer Yann tu peux-tu sort toi un Iphone moi j'ai participé à ça cette année c'est que Alain Alain qui est le monsieur qui est là-bas qui souffre de dystrophie musculaire

un anéotrophie spinale de type 3, que Chris a fait 8 ans, je le connais, puis j'ai de la misère à dire cette affaire-là. Mais lui, le gouvernement voulait le mettre d'un CHSLD, et moi, j'étais d'accord avec ça, mais... Ha! Ha! Ha!

Pour... Mais j'ai quand même... Mais pour mon image, pour mon image on lui fait des levées de fond pis il veut savoir si tu voudrais le faire en gros c'est ça

moi aussi je suis célibataire moi aussi ça fait 8-9 ans j'ai pas eu de long il prend sa chance pis c'est beau ça Alain c'est beau le show ou la couchette t'as le choix Il prend sa chance. C'est beau, ça, Alain. C'est beau. Le show ou la couchette?

Tu as le choix. La couchette, ça me gêne, mais le show, oui, je vais y aller, c'est sûr. C'est TP, Alain, avec là. La seule affaire, c'est qu'il ne faut pas que ça tombe un soir de show. C'est ça, on va reparler avec Michel. on fait tout le temps ça les lundis mardis

au début on se disait qu'on allait changer de ville à chaque année on a réalisé que le plus simple c'est de faire ça à Brossard aller au 10-30 c'est facile pour tout le monde puis à chaque année,

ça va bien, cette année, Alain, t'as passé proche mourir pendant le show? Ben oui. Qu'est-ce qui est arrivé? Il avait envie de pisser. C'est là qu'on voit que ton corps est fragile. T'as eu envie de pisser.

Puis la vie a fait, bon, il va mourir. Non, ça n'a pas été un beau souci. Ça a pas sorti. Mais Yann a fait un beau documentaire avec ça. N'as-tu qu'ils l'ont vu, le documentaire de Yann? Non, c'est où? Oh mon Dieu!

Sur cette soirée-là? Pour faire la pub, ben oui. Parce que moi, j'ai encore mon petit cadre pis tout que tu nous avais peinturé. Il est dans mon salariat, malin, pis il a sa place. On va en avoir d'autres l'année prochaine.

Parfait. Invite-nous, on va être là. Avec grand plaisir. Merci. Je vais être là, c'est sûr. Cool.

Bon. Yes. Fait que, fermez la lumière là-bas, c'est nous autres, les vedettes. All right. On a dit... Non, as-tu quelque chose d'autre à dire, Alain?

Alain, pour un coach qui veut une dose de courage par texte, mais je ne te donne pas 250 piastres. Mais pour vrai, ça là, je veux... Moi, Alain, c'est le gars le plus... Tu sais, on a tous dans nos vies, des fois, t'es comme, « Ah, ça va pas bien, j'ai telle affaire. » Alain, c'est le gars le plus positif. Puis, il sait qu'il y aurait mille raisons

pour ne pas être positif. Puis, t'es tellement le fun, puis t'es tellement drôle. Puis, pour vrai, je t'aime beaucoup, Alain. Puis, je suis content de t'avoir rencontré. C'est super inspirant Alain allez sur c'est alain.coach

alain.coach documentaire sur alain.ca si jamais quelqu'un veut le voir alain.coach il y a un pays qui s'est dit nous autres ça va être point coach c'est malade c'est quelest dit, nous autres, ça va être point coach. C'est quel pays qui a décidé que ça allait être point coach? La Coachmanie, je pense.

La Coachmanie. La Coachmanie. Le pire, là, le pays que... Tu sais, la Coachmanie devrait gagner toutes les Olympiques. Tu sais, on les met à coach.

Mauvais gag. Bel effort, Mike. Je vais aller me suicider en haut. T'as l'air à te suicider souvent. Ah oui, c'est ça. Si on peut fermer la lumière sur le monsieur handicapé. Je veux!

Merci, Alain. Toi, tu fais des jokes de suicide depuis tantôt, puis Lise, elle n'a pas de parole de suicide action. Mais Lise, toi, tu m'avais parlé en haut. Parce que moi, j'ai passé deux années en dépression, puis une année suicidaire, mais vu que je suis phoné, je ne pense pas que j'étais vraiment suicidaire.

T'sais, j'ai jamais acheté rien pour me tuer, mais je checkais les prix. T'avais pas ton plan de vie. Mettons, t'sais. Puis toi, toi... Non, mais c'est vrai. Moi, j'allais à l'école avec un gars, excuse-moi, je te fais une petite parenthèse, je te reviens tout de suite après. Il disait, lui, que son plan

était fait, que s'il se suicidait, il se dogue tes pas à la tête autour d'une bourbonne à propane. Puis il se fait ça. Ah, putain! Non, mais dis-moi, depuis que j'ai mon plan, je suis pro-vie. Tu comprends? Ah, c'était de mauvais plans! En tout cas, ça a l'air instantané. Fait que continue, excuse-moi.

OK. Non, mais tu m'as parlé que toi, t'as eu une période que tu étais suicidaire. Oui, j'ai essayé de me suicider à 18 ans, tu te rends compte tout ce que j'ai manqué. T'as un barnaque, c'est fou. Oui, puis quand mon corps est devenu bien fatigué après les 514 jours, j'y ai pensé, bien fatiguée. Après les 514 jours, j'y ai pensé. Mais,

tu sais, nous autres, les filles, on ne veut pas vraiment souffrir. La première fois que je l'ai faite, c'était avec beaucoup, beaucoup de médicaments. Mais j'étais vraiment malheureuse. Je ne voyais pas l'avenir. À 18 ans, je ne voyais rien de ce qui s'en venait.

J'étais vraiment malheureuse. T'étais où pendant 18 ans? Je ne voyais rien de ce qui s'en venait. J'étais vraiment malheureuse. Tu étais où pendant 18 ans? Je faisais tout ce que ma mère voulait que je fasse. J'étais toute seule avec ma mère. Ça a été une dur période. Je pense qu'à 18 ans, quand tu es tannée, tu souffres, tu penses à ça.

Ce n'est pas normal, mais tu... Ce n'est pas normal, mais il y a beaucoup d'enfants qui y pensent. Quand ça ne va pas bien à l'école, quand tu souffres d'intimidation, quand... Moi, j'ai été

grâce à toute ma vie, donc j'en ai souffert énormément de l'intimidation. Là, à 18 ans, il n'y avait plus rien qui marchait. J'avais quelqu'un qui me menaçait aussi tout le temps. Je ne peux pas tout vous raconter ce qui est arrivé

dans ma vie. Un jour, je vais en parler, mais là, pour le moment, je ne peux pas parce que ça implique trop de monde. En tout cas, j'ai vécu des vies que bien des gens ont vues, ont vécues aussi, mais à 18 ans, moi, j'étais comme tannée de jamais voir le bout du tunnel.

Puis finalement, quand j'ai pris le paquet de médicaments, puis j'ai eu les symptômes, j'ai eu peur. J'ai eu peur de partir, fait que je l'ai dit à ma mère. Puis ma mère a tellement souffert dans sa vie. Est-ce que t'as pris combien de pellules? Ah, j'ai pris, de partir fait que je les dis à ma mère puis ma mère a tellement souffert dans sa vie.

T'as pris combien de pellules? J'en ai pris au moins 200. Ta-da! Je voulais vraiment m'en aller. Puis 200 à quoi? Mais je sens ça, c'est parce que mon estomac est mal formé. Fait qu'avant que ça passe dans tous les tuyaux, mon tuyau il est fait en M, c'est ça qu'ils m'ont expliqué à l'hôpital. Quand j'avais le tube pour enlever les pilules, je les voyais passer. Il y en avait juste le tour de manger parce que je n'avais pas eu le temps de toutes les digérer.

J'avais commencé à avoir des symptômes. J'ai eu vraiment peur. Quand j'ai vu ma mère malheureuse, je me suis dit, « Garde, elle est venue me chercher à l'hôpital avec un ourson en dessous du bras. Elle a vu le lit vide dans la chambre tu sais c'est comme un plastique vert quand tu enlèves tous les draps puis elle pensait que j'étais morte puis qu'il avait pas dit

elle est arrivée avec un gros gros ourson en dessous de son bras puis là elle criait dans le corridor moi j'étais en train de m'habiller fait que j'ai pas eu le temps d'aller la rejoindre tout de suite pour lui dire non non je suis là fait que quand j'ai vu son désespoir j j'ai fait « Regarde, tu sais, ma mère a été prisonnière à la guerre. Après ça, elle a perdu l'homme de sa vie. Là, moi

qui essaye de m'en aller, c'était quand même mon quistassé. Fait que j'ai fait « Ok, je n'ai pas le droit de la faire souffrir demain, mais je vais attendre. » Puis après… Puis là, quand elle est morte… Quand elle est morte, j'ai réessayé. Non, non. Mais moi, je porte parole de Suicide Action Montréal parce que je veux absolument que le message,

c'est quand ta tête est rendue à bout, c'est là que c'est dangereux. Parce que quand ton corps t'envoie des messages que ça va pas bien, tu l'écoutes pas. Tu continues, tu continues. Mais quand c'est ta tête avec laquelle t'as envie de donner ton 4 % et de faire « Moi, je suis assez brûlée,

je ne veux rien savoir. » Tu ne penses pas aux conséquences, tu ne penses pas à tes enfants, tu ne penses pas... Tu veux juste... Tu es tanné, tu veux t'en aller, mais il ne faut pas se rendre jusqu'à là. Il ne faut vraiment pas se rendre jusqu'à là. Puis quand tu es en dépression, il ne faut pas que tu t'isoles. Moi, c'est sûr qu'à un moment donné,

dans ma vie, de me retrouver tout seul vie j'ai de me retrouver tout seul j'ai su que c'était pas bon parce que quand je suis seule j'avais des idées noires puis il faut pas s'isoler même si t'as pas le goût de voir le monde même si t'as pas le goût quand t'es malheureux de jaser faut que tu le fasses pareil c'est important faut pas que tu t'isoles c'est là que tu as des idées noires tu sais fait que moi j'ai décidé d'être porte parole pour essayer de sensibiliser les gens à quand tu prends juste 15 minutes par jour pour toi dans la vie de toi et jour là c'est important de le prendre une heure de ta

vie pour toi couper le cellulaire que personne ne sache où tu es. Tu as juste besoin de te retrouver trois. Quand tu as besoin de vacances, quand tu as... Tu sais, je regarde le monde des entreprises, là. Mettons, Ginette donne sa démission. Là, ils vont demander à Carole de prendre les dossiers à Ginette. OK? Ils disent à Carole, non, non, mais on va en engager

un autre. Il n'en engage pas. Là, Carole est prête avec ses dossiers, les dossiers de Ginette. Là, il y a Nicole qui s'en va. Fait que Carole, ils disent est prêt avec ses dossiers les dossiers de jeanette là il ya de nicole qui s'envoie faire carole ils disent pour être ce premier dossier à nicole fait classe se retrouve avec de la job là jusque là mais il engage pas de nouveaux mondes pour l'aider pour la débourbée ça c'est un exemple de tu te rends pas compte dans vie tout ce que le monde te demande que tu exiges plutôt ne prends jamais de temps pour vivre.

Une semaine de vacances, ce n'est pas beaucoup, mais si tu as la chance de la prendre, prends-la. De toute façon, tu reviens plus fort. Quand tu as eu un temps pour te reposer, quand tu as eu une semaine ou quatre jours, tu vas revenir plus fort,

tu vas avoir les idées fraîches, tu vas être plus performante. C'est incroyable ce que ça fait un temps d'arrêt. Mais le monde, ils le font pas parce qu'ils sont embourbés dans leurs affaires. Il y a des mères de famille, ils enlèvent même pas leur manteau avant d'aller se coucher. Ils rentrent de travailler, ils font bling, bling, bling,

il faut que je fasse ça. Puis là, ils font, OK, je peux enlever mon manteau. La soirée est finie, tu comprends? C'est fou, là. Ça finit jamais. À un moment donné, ta tête n'est plus capable de le prendre, puis c'est quand ta tête est pleine. C'est quand t'as envie de donner ton 4% que c'est dangereux, tu sais.

C'est quoi, mettons, quelqu'un qui a des idées ou des pensées suicidaires, le site web à écrire ou le numéro de téléphone à appeler? C'est 1-800-APPEL pour les suicides. 1-800-APPEL? Oui.

1-866-APPEL. Mais c'est sûr que je ne suis pas imprégnée de la cause de cet ainsi parce que j'ai trop d'affaires avec le show. En tout cas, Suicide Action Montréal sont capables de... Ok, fait que Google Suicide Action Montréal.

Oui, mais un centre de crise... Si t'es en région, fais semblant que tu viens de Montréal. Mais non. Je veux souligner le travail des bénévoles, parce qu'à Suicide Action Montréal, c'est 200 heures de formation avant de répondre à un appel de détresse. Faut que tu veuilles faire du bénévolat en tabarouette. c'est 200 heures de formation avant de répondre à un appel de détresse.

Il faut que tu veuilles faire du bénévolat en tabarouette. Mais imagine le stress que tu réponds au téléphone. Mettons que tu appelles, je vais répondre au téléphone de Oxfam Québec ou Vision Mondiale. Mettons que tu perds le client

au 100 call list, suicide action, c'en calisse, mais suicide action, c'est moi qui, si je fais bien ma job, cette personne-là va vivre et peut-être réaliser des grandes choses. Exactement. Oui, c'est ça.

Ils ont essayé à un moment donné, à deux hommes en ordre, de monter trois publicités qui pourraient aider les personnes qui ont envie de partir. Mais les trois publicités, il y avait des coronards assis autour d'une table qui disaient qu'il ne faut pas que tu donnes plus

de remords à la personne qui veut s'en aller. Parce que les trois publicités donnaient un tort à la personne qui s'en va. Mais quand tu es rendu à ce point-là… Tu ne veux pas te sentir comme une marde. Exactement. En plus de faire… Tu es déjà une marde.

Je suis à terre et en plus, je vais gâcher la vie à ma mère. Exactement. Mais le seul problème, c'est qu'on dit « parlez-en », mais le monde n'écoute pas parce qu'ils sont pressés. Moi, c'est ça, je te rencontre demain et je fais, ça ne va pas bien, excuse-moi, parce que j'ai un rendez-vous, je m'en crisse, tu as le mal,

parce que tu n'as pas le temps de m'écouter, mais il faut en parler. Il ne faut surtout pas s'isoler. Moi, j'en parlais, dans le temps que je suis suicidaire, j'en parlais à tout le monde. Puis, ça m'a aidé. Puis, je cherchais même pas de l'aide.

Puis, je sais pas si la peur du monde sont de même, mais moi, je le disais juste à tout le monde. «Aide-toi, ici, je suis Suicideur.» Puis, c'est pas une bonne façon d'aborder le monde. Mais c'était un appel à l'aide à quelque part? Mais c'était juste, je voulais le sortir. Parce que je me disais, si je le dis,

ça veut dire que c'est vrai dans ma tête. Puis après, ça va être à moi de déler avec ça. Je ne l'aurais jamais fait parce que moi, je suis trop un peu heureux. Souvent, tu entends le monde que le monde fait, c'est suicidé, c'est une façon large.

Ça prend du courage. Ça prend du courage. Ça prend du courage. Tu es à la chaise quand tu as la corde au cou. Surtout, c'est ça. J'allais dire, surtout si tu es croyant ou même si tu n'es pas croyant, c'est que tu te fais mal

avant de mourir. C'est ça. En plus, c'est que ton entourage pense que c'est de leur faute. Tu comprends? Mais quand quelqu'un est rendu à bout, il ne pense pas à ses enfants, à son conjoint,

ou il va se suicider pour faciliter la vie de tout le monde, alors que tout le monde pense que c'est de leur faute. Un enfant qui se suicide, moi, j'ai toujours eu peur. Moi, je n'ai pas eu peur que mes enfants prennent de la drogue. Tu n'avais pas peur qu'ils se suicident? Moi, je n'ai pas eu peur que mes enfants prennent de la drogue. J'avais peur qu'ils se suicident. Moi, je leur disais, si ça ne va pas bien, parlez-moi.

Je l'ai vous aussi. Prenez de la drogue. Non, mais je voulais leur dire, si ça ne va pas bien, parlez-moi. Parlez-moi avant de faire un geste. Parce que j'avais peur du suicide comme la peste. Parce que j'ai essayé de le faire. parce que j'avais peur du suicide comme la peste parce que j'ai essayé de le faire, parce que j'y ai déjà pensé. Pour moi,

dans ma tête, on dirait que c'est toujours une option. Si tu trouves ça plat, c'est plat. C'est une option pour tout le monde. Oui. Mais des fois, on dirait que ça te ramène. Tu dis, j'ai cette option-là, je vais continuer. Quand tu penses que c'est une option,

même si ce n'en est pas une, c'est là, mais je continue ma vie pareil, mais au pire, il y a ça. Fait qu'on dirait que peut-être que ça, ça te permet de passer à travers des périodes plus difficiles. Michel Barrette avait une bonne idée. Lui, il avait essayé de se suicider à un moment donné après une peine d'amour,

puis il avait dit, s'il y avait quelqu'un qui était venu quand j'ai voulu me jeter en bas du pont, me mettre la main sur les portes et dire, regarde, on va te montrer le vidéo du reste de ta vie après tu prendras la décision. Ça, je trouvais que c'était une idée géniale. Sauf que si tu ne peux pas faire ça

avec des personnes âgées qui sont essolées, qui sont tout seules, tu ne peux pas leur dire, on va vous montrer, tes enfants vont t'aimer demain matin. Tu es à 85, mais attends un peu d'avoir 94. C'était tellement bon. Le numéro à Michel, là-dessus peut l'avoir à 94. C'était tellement bon. Le numéro à

Michel, là-dessus, j'avais été voir son show dans le temps qu'il faisait ça. Je croyais que c'était bon. Ça m'avait touché qu'il a sauvé la vie d'un gars. Un moment donné, il traversait le pont

et il y avait un gars qui essayait de se suicider. Oui, il l'a aidé. Ça m'impressionnait. Moi, j'ai essayé juste avec les bénévoles de Suicide Action Montréal. Ils m'ont mis en communication au téléphone avec une fille

qui me... Il simulait un appel en détresse. C'est pas une vraie... Non, non, je ne veux plus rien savoir. Je vais m'en aller. comme il simulait un appel en détresse. Puis là, la fille, elle me disait, « Ah non, non, mais je ne veux plus rien savoir, je veux m'en aller. » Puis j'étais là, « Non, non, non, attends, parle-moi encore, parle-moi encore. » Là, elle me disait, « Non, non, mais je ne peux pas

te raconter ça, ça va être trop long, moi, tout ça. » Je l'ai perdue. J'étais sans connaissance. J'ai transpiré, j'ai eu chaud. C'est comme, « Non, non, non, elle est partie. » Tout le monde me disait, « L Liz, c'est une simulation, là. C'est correct, là, elle n'est pas partie la paix. Ah, mais moi, là, j'étais comme à l'envers.

J'ai fait, je l'ai échappée. Bien là, je ne l'ai pas échappée pas en tout. Toi, tu devais être comme Chris Michel Barrette, il est meilleur que moi. Oui, j'aurais dû appeler Michel, c'est ça, l'affaire. Et ici vient le cercle. pas boire de la journée. Oui, mais ça fait cinq, six ans que tu le sais. Mais c'est que moi, je suis extrêmement déshydraté. Non, je suis juste... Tu ne peux pas se faire de mon corps.

Tu ne peux pas aller ailleurs. Non, mais souvent, je disais au monde, je suis chanceux. Je peux boire 28 bières, je ne pèse pas. Puis là, le monde faisait « C'est impossible, tu devais être déshydraté. » Puis c'est pour ça que je cligne des yeux non-stop le jour, parce que mon corps est comme « Christ, donne-moi de l'eau, est-ce que tu débrouilles? »

Moi, mon problème, c'est que je n'ai pas envie là, mais aussitôt que je vais mettre la clé dans la porte, ça va commencer à partir. C'est vrai? Fait que là, il faut que je prenne, changer la douche, juste parce que j'ai mis la clé dans la porte. C'est vrai? OK. que là, il faut que je prenne, changer la douche. Juste parce que j'ai mis la clé dans le pot. C'est vrai? OK. Moi, je vais être correct.

Moi, je vais être correct. Moi, je vais mourir dans trois semaines, mais pour l'instant, je suis correct. En attendant, tu es vegan, tu fais ta part pour l'environnement. Non, mais moi, je suis extrêmement en santé et la pire santé de l'histoire. Non, mais c'est toi qui en fait l'histoire. Je suis vegan. Tu es vegan alcoolique. Vegan alcoolique qui ne bouge pas.

Mais toi, mettons, un snack de Landman Bross, tu es vegan. Un oignon. Un oignon dans la poêle avec bien du beurre, ce n'est pas mauvais. Je ne mange pas de beurre. Non, c'est vrai, tu ne manges pas de beurre. Qu non, c'est vrai, tu manges pas de beurre. Qu'est-ce que tu manges? L'huile d'olive?

Moi, je me frise des oeufs à l'oignon. L'un de mes brosses a un oeuf frisé à l'oignon. Pour de vrai, moi, j'ai juste abandonné. Je suis comme, le matin, je mange, je fais, OK, je vais prendre trois Skittles.

Tremper dans votre... Qui m'assert dans votre code depuis trois mois? Il n'y a pas de ballonné là-dedans? Non, il n'y a pas de ballonné dans les Skittles. Pour vrai, c'est un an. Je peux-tu juste dire au public que je n'en reviens pas de votre patience?

C'est vrai qu'ils sont... Nous autres, on est dans le gros sport. Elle disait ça à quelle heure? Ça, ce que ça veut dire, c'est que Lise n'est pas heureuse depuis une heure. Puis vous autres, vous êtes des crises de caf. Non!

Non, mais j'en reviens pas comment ils sont patients d'écouter tout ça, c'est niaiserieux. Il n'y a rien d'autre à faire. Mais je veux les remercier. Pour de vrai, on va finir ça là-dessus. Pour vrai, ce que j'aime de Mike Woods, c'est que c'est des «common nerds».

D'avoir du monde qui trippe sur l'humour, de voir ce que tu penses. Tout le monde était heureux. T'étais-tu heureuse? Elle était contente. Elle était vraiment contente. Puis Ève aussi, on était contents, mais t'as moins de bagage.

Ben, beaucoup moins de bagage. Je veux pas t'insulter, mais ça fait moins longtemps que je lise. Elle va te dépasser. Je lise et là, je suis belle. Ça fait deux ou trois fois que j'entends l'histoire. Je suis là et j'écoute. Tu faisais-tu semblant de rire quatre ou cinq fois

quand elle disait ses enfants? Non, parce que moi, je suis en public. Moi, je suis l'archiviste de Lise. Elle me demande où j'étais, telle date. Moi, je suis là. T'as fait ça, t'avais ça sur le dos. Je te fais-tu peur des fois? Un petit peu, oui.

C'est quoi le nom du gars qui a assassiné John Lennon? Je pense, elle, c'était... C'est Oswald, parce que c'est en bas d'Alice. Non, ça, c'est Lee Harvey Oswald qui a tué Kennedy. Ou, il dit, c'est lui, mais...

Mais ils l'ont pas trouvé, lui, de Lennon, non? Lennon? C'est quoi le nom? On peut se poser la question dans le loge aussi, tout à l'heure. Un coup pour tout avoir poussé. C'est que je voulais faire un gag. Si je me rappelais du nom, ça aurait été drôle.

C'est pas Chapman? Non, c'est pas ça. C'est Mark David Chapman. On s'est pas ça. C'est Mark David Chapman. On s'en colle ici. Je voulais faire un gag. Tu le sais pas ou t'es plus capable de le dire? Fais-le, le gag. C'est quoi?

Je m'en rappelle pas. Mettons que ça s'appelle Chapman. Chapman. C'est quoi le gag? Il est plus drôle. Mais je veux vous remercier les deux. Si on veut te voir ta tournée, c'est où qu'on va pour acheter des billets?

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