Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #31 (Yannick De Martino, Simon Delisle)

Episode Date: October 14, 2015

Cette semaine Mike reçoit Simon Delisle qui dort avec un pied dans le calorifère et Yannick De Martino le Ultimate Fighter. ★ Support this podcast on Patreon ★

Bonsoir tout le monde, bienvenue au Bordel Community Club pour le podcast Mike Ward, tu nous écoutes! Je vous demande à gagner Mike Ward qui est là! Merci beaucoup, merci, bonsoir, bienvenue, c'est ça, re-bienvenue au Bordel. Là, c'est ça, re-bienvenue au bordel. Là, c'est le podcast pour ceux qui ne sont jamais venus au podcast. Pour ceux à la maison, cette semaine, c'est la première fois qu'on fait le show live sur YouTube. En ce moment, on est live à travers la planète. C'est gratuit si tu le regardes live sur Internet. C'est 5 piastres si vous venez au bordel. Et la raison pourquoi on ne met pas ça gratis, c'est que si c'était gratis ici,

on attirerait juste des hosties de gnochons. Juste, parce que c'est vrai, quand quelque chose est gratis, c'est des hosties de gneiseux qui, tous les concours, mettons, tu sais à Secouin, quand ils ont deuxième appel, tu pourrais faire à la radio, deuxième appel gagne un coup de pouce dans le rectum, puis t'aurais du monde qui rire aussi numéro deux. Fait que c'est ça, c'est pour ça que, parce que c'est vrai, moi dans le temps, j'animais des soirées d'humour à Victoriaville. J'animais plein de soirées d'humour partout à travers le Québec, dans les bars.

Puis, c'était tout le temps 5 piastres. Tout le temps, partout. Ça marchait, puis ça, c'est pas super drôle. Je ne sais pas pourquoi tu ris, mais... Mais merci, Chris. C'est un merci de bon public. Mais, c'est vrai que 5 piastres, c'est drôle, la tabarnak. Mais oui, partout où j'animais, c'était 5$. Sauf Victo, c'était gratis.

Puis Victo, c'était la seule place que, vu que c'était gratis, aussitôt qu'il y avait un humoriste qui était un peu moyen, le monde se mettait à parler, le monde critiquait, le monde crissait leur camp. Fait qu'on s'est dit, ça va rester 5$. Et le 5$ va à une bonne cause. 100% des fonds vont à Yann qui est là. J'aimerais ça qu'on l'applaudisse.

Yann Thériault, crépule. 100% de l'argent va pour y acheter de la pornographie juvénile. Fait que là, on va là. C'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est pas un pédophile. C'est pas un pédophile, il a juste l'air d'un pédophile.

OK. On va, on va, je pense qu'on va commencer le show. Cette semaine, je suis très content. Je ne sais pas dans quel ordre ils vont monter, puis j'aurais dû leur expliquer par où passer. Je pense que les gars, passez par là, faites attention de ne pas arracher la caméra. Mesdames et messieurs, voici Yannick

de Martineau et Simon Delisle. Merci. Salut. Pognez un micro. Peux-tu me donner du rosé? Ben oui. Là, pis ça...

J'y arrive, j'y arrive. Je peux accepter que... Ouais, c'est ça, ça vous verrez. Rosé. C'est drôle, en tabarnak. Merci. Et là, t'es le premier invité diabétique qu'on a. Ouais, ouais.

Fait qu'on voit notre rosé et on va voir c'est quel... On va se piquer ensemble après. Le premier qui tombe dans un coma. Ouais, ben... Ça sonne comme un défi. Toi, ton père, il était diabétique. Moi, j'ai pas envie d'en parler. C'est le pire début de mon vie.

Mais ton père, ton père, il est mort. Oui. Il est dessus. Cheers! En plus, il va du rôder, d'ailleurs. On s'en calisse, on le connaissait pas. Pour moi, on dirait que je me sens mal de boire du coke entre vous deux.

Je dirais que c'est arrogant. C'est un peu baveux, mais les gens en général sont assez baveux. Mais oui, il est mort. C'est tellement... Toi, c'est tellement cool, vu que tu es un humoriste, tu as un delivery parfait,

mais le défaut, c'est que tu nous dis « Ouais, il est mort. » Puis le monde rit. Tu sais, c'est vrai. Tu risques pas un peu de ce qui va arriver dans ta vie. Tu vas faire « Ouais, j'ai le cancer. » Le monde va faire « C'est malade. »

C'est drôle. Mais c'est vrai, ça a été un problème dans ma vie pour vrai. J'avais tout l'air de niaiser. Pis tu sais, des fois, non. Comme là, là, comme là. C'est vrai, à l'école pis tout, des fois, j'ai l'air de rire de quelqu'un. Non.

Non, je suis super honnête, franc, pis tu sais. Mais ton père, revenons à ton père mort. Oh non, mais c'est ça que j'avais dit aussi. Ton père, il est mort du diabète? Je sais pas, peut-être. Ok. Non, mais c'est parce qu'il avait le diabète,

mais il avait comme plein d'autres choses. Plein de dettes de jeu. Diabète. Il avait un trou dans la tête. Ça doit être le diabète. Ça doit être le diabète. On doit être le diabète. On doit être l'insuline. Ça fait exploser la tête en force.

Non, mais c'est parce que pour vrai, moi, j'avais connu à 19 ans mon père. OK. Je l'ai vu comme par épisode avant ça. Mettons, à 6, une fois, on a écouté la lutte. C'est drôle. Ça m'a marqué à 6.

J'étais content. Et étais-tu juste arrivé, dire, « Bonjour, je suis ton père. » Il est arrivé dans la porte patio, « Hey, c'est papa, je suis mon dieu, enfin. » Il a ouvert la porte patio. C'est-tu ton père de vrai? Il était-tu dans une van?

« Hey, viens flatter mon chien. » « Je suis ton père. » Non, non, mais pour vrai... C'est pour ça, on devrait charger 10 piastres. Parce que 5, c'est pas assez, on dirait. Ça ferait un filtre plus épais. Mais ouais, c'est ça. Fait que là, ton père,

première fois que tu l'as vu, c'était à 6 ans. Ouais, ben je l'ai vu comme je dis, par épisode, mais le premier moment, vraiment, j'ai eu une discussion avec lui, j'ai échangé, c'était à 6 ans? Oui, je l'ai vu, c'est ça comme je dis, par épisode. Mais le premier moment, vraiment, j'ai eu une discussion avec lui, j'ai échangé, c'était à 19 ans. OK. Puis il était vraiment malade. OK. Il était, tu sais, il avait une bonbonne de gêne dans le nez,

il fallait tout le temps qu'il change sa bonbonne, l'insuline, tout, puis c'était, c'est ça. OK. Ton père, il est italien? De Martino, c'est italien? Oui. J'ai appris des affaires sur ma famille 7 semaines j'ai eu les premières photos de ma famille

mercredi moi je connais pas la famille du côté de mon père j'avais rien sauf que tu sais qu'ils sont italiens pis ils trippent sa lutte c'est une base quand même j'avais jamais vu de photos de ma mère ou mon père jeune, rien. Puis au Saint-Denis, ma cousine m'a amené un album photo.

J'ai eu pour la première fois mon père. Ton père jeune en santé. Il te ressemble-tu? Non. Comme vraiment pas. Au Saint-Denis, genre avant de rentrer sur scène, c'est un album touchant. Ça te rend anesthésié avant de rentrer devant mille personnes.

Ouais, ben ouais. Mais j'ai gardé comme l'album photo, j'ai pas regardé avant comme minuit. J'ai fait comme, tu sais, c'est un grand moment, j'ai jamais vu. Ouais, ben ouais, ben ouais. Mon père, fait que tu sais, je peux pas le faire comme dans une loge. Un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, un, deux, Mais finalement finalement pour vrai j'ai été à la brevoire

après prendre un verre avec des amis pis quand j'ai commencé à être sous j'ai voulu partager avec le plus de monde possible j'ai amené

un du monde que je connaissais pas je suis allé venir moi je connais pas mon père moi et que t'attendais le bon moment

sous à la brevoire ben c'était c'était pas prévu c'était super impulsif. Pis pour vrai, y'avait plein de monde pas rapport qui s'en collissait,

mais tout le monde était autour de moi. Y'avait du monde qui disait « Qu'est-ce qui se passe? » Y'avait des gars qui disaient « Ah, il va découvrir

ce qu'ils sont au père. » La demande. Faut-être vrai, ils devaient penser que c'était un sketch. Ben, tout le monde pensait que je niaisais, mais j'étais super honnête.

Faut-être que tu pleurais si t'avais versé une petite larve. Non, parce que je faisais ça rire parce que la première image que c'était un sketch. Ben, tout le monde pensait que je niaisais, mais j'étais super honnête. T'as pleuré? Tu t'avais versé une petite larve. Non, parce que je fais ça, parce que la première image que j'ai vue, c'est une grosse italienne. Mais énorme! Je fais « Tabarnak, c'est qui? » Parce qu'elle était dégueulasse.

C'est ta grand-mère? C'est ma grand-mère. Et ton grand-père. C'est clair. Non, mais, tu sais, il était pas lourd. J ton grand-père. C'est clair. Non, mais tu sais, il était pas là, j'ai pas de respect. J'ai... Ben, un peu, mais... Fait que finalement, c'est ça,

il y a une photo de mon père, il a comme une moustache, pis il ressemble à Pablo Escobar. OK, ah ouais! Ouais, il a la même position, comme le ventre, qui est proéminent un peu trop sûr de son affaire j'aime ça

toi ta famille tu connais toute ta famille j'ai rencontré ta famille oui très possible ma mère que j'adore elle aime ça se présenter aux gens elle était venue chez nous regarder la lutte elle est un peu lourde à ce niveau là elle a vu la lutte. Oui, c'est ça, exactement.

Elle était un peu lourde à ce niveau-là. Elle a vu la lutte avec beaucoup trop d'humoristes dans le réseau. Je suis éphalue, j'écoute la lutte. Viens faire un tour, c'est un peu lourd. Mais non, mais très possible que c'était sur un choix. Je continue probablement. Oui, oui, oui. On montagnait.

Il y avait de l'air tellement fier de toi. Moi, j'ai... Tu sais, moi, ma mère, ça fait longtemps qu'elle est morte. Fait que j'ai plus ça, quelqu'un dans ma famille qui est fier de moi. Mais toi, ta famille a de l'air fier de toi. Ben oui, ma mère en particulier, mon père aussi, ma soeur aussi, tout ça. Mais ma mère, tu sais, quand j'étais jeune, j'étais pas mal proche de ma mère, j'étais pas mal malade souvent. Puis elle, elle travaillait à l'hôpital en plus.

Fait que, en sorte qu'on était tout le temps ensemble, ça n'a pas été facile bien souvent. Fait que là, chaque petite victoire pour elles, c'est comme un monde. La première fois que j'ai joué ici au bordel, c'était quasiment... Ils ont invité du monde à souper, puis ils m'ont parlé, ou presque. Sont-ils venus ici ou ils ont fêté ça au Saguenay? Ils ont fêté ça au Saguenay. C'est drôle.

C'était de grosses nouvelles pour eux autres. Alors que moi, je suis content d'y aller, mais pour eux autres, pour moi, c'est un bonheur de faire un gala juste pour eux. C'est comme les Olympiques spéciaux de ta famille. Ouais, exactement. Après, chaque secteur... Il y a pas de jambes, il a couru le 100 mètres, exactement. Je suis comme le Oscar Pistorius.

Ta tête est-tu molle? Ouais. Touche, touche, c'est dur, c'est dur. Mais j'ai été molle parce que j'ai comme un trou ici. Je sais pas si c'est d'où ça vient. Mais en tout cas, j'ai été molle un moment donné, puis j'ai reçu un coup. Comment ça? Je sais pas. Mais que j'ai comme un trou ici. Je ne sais pas si c'est d'où ça vient. Mais en tout cas, elle a déjà été molle un moment donné. Comment ça? Je ne sais pas.

Mais j'ai toujours eu un spot ici. Je me suis toujours demandé si c'était naturel ou si j'avais reçu un coup au pas bon moment. C'est un fait comme ça. Surtout que là-dedans, il y a comme un trou ici. Peut-être qu'elle fumait. Elle voulait bocher quelque part. Je ne sais pas. Non, je ne pense pas.

Toi, tu as perdu tes cheveux à quel âge? 20, 21. À 21, oui. C'est jeune. Oui, ça a commencé tranquillement. Ça n'a pas été d'une shot. Au début, je commençais à perdre mes cheveux un peu. L'année que je suis tombé diabétique, justement,

mon corps avait subi beaucoup de pression. Je commençais à perdre mes cheveux par plaque. J'ai eu des injections de cortisone, des fringues dans la tête. Ça repoussait. Après ça, je commençais à perdre mes poils de face, sourcils, cils. Maintenant, l'acharnement, ça suffit.

Quand tu sues, ça tombe juste dans les yeux. Carré dans les yeux. Qu'est-ce que tu fais? Il faut que tu fasses ça? Oui. Dès que je fais plus de 15 minutes sur scène, je suis comme ça. Ça te prendrait un headband? Genre Roger Federer style, Nadal un peu. Je suis comme attité par Nike ou Reebok.

C'est un bandeau à sueur. Quand je te l'ai jamais dit, Simon... Ça va être weird, là! Ça commence mal, l'anesthésie, ça. J'ai peur. J'ai peur de toi. T'as peur de moi? Non, c'est pas vrai. Tu m'as jamais dit.

J'étais assis, j'aien as jamais dit je suis terrifié non ce que je voulais dire pour vrai c'est honnête moi je connaissais pas la situation de Simon j'avais juste

dans le milieu il disait que t'étais malade ça se parle il y avait une rumeur il y avait un écho non mais pour vrai quand en route mon premier gars là

l'année que j'ai gagné, en quart de finale, tu sais, Simon, il était avec moi. Puis c'est moi qui ai passé à l'autre étape, mais Simon, ça a vraiment bien été. Je l'avais tripé dessus. Puis quand j'ai gagné, je me sentais mal. Parce que moi, je savais pas, tu sais, comme son état. Non, mais je me disais, moi, ma condition

physique me permet de gagner l'année prochaine. Peut-être pas lui. Puis je me disais, man, j'aurais dû faire un numéro physique me permet de gagner l'année prochaine. Peut-être pas lui. Je me disais, man, j'aurais dû faire un numéro plus faible. J'aurais dû comme... C'est quoi que t'as exactement?

Moi, j'ai une polyendocrinopathie de type 1. Mes glandes endocrines en gros ne fonctionnent pas. Surrénales, parathyroïdes, pancréases, ça ne fonctionne pas. Je n'écrète pas d'adrénaline. Oui, tu n'as pas d'adrénaline. Toi, avant un show où, mettons, quelqu'un sort un fusil, tu vas juste faire un fusil.

Non, mais je ne mettrais pas à bégayer, à suer. Tu es conscient des conséquences. J'ai écrit que tu n'as pas de sourcils. Tu es surpris ou tu es juste déçu? Tes sourcils ne le disent pas. Mais mettons, quand tu pognes des montagnes russes,

t'es juste, hey, ça va vite, t'en tournes. Ben ouais, en gros, ouais. Ben ouais, mais un peu, parce que t'sais, l'adrénaline, c'est une chose, mais y'a la tête qui dose un peu aussi là-dedans, fait que c'est plus l'appréhension de descendre en montagne russe, mais un coup descendu, moi, ça me fait de l'effet un peu, mais pas tant que ça.

Contrairement à Yannick, on m'a rencontré avec Carlissima, la misère, y'était rentré dans le Goli ça. Contrairement à Yannick, on m'a rencontré avec Yannick, avec collissement, de la misère. Il était rentré dans le Goliath, le siège était baissé, puis il a obligé la fille à réouvrir le râle parce qu'il ne voulait pas. Non, je ne veux pas, je ne tripe pas, je ne tripe pas, je ne tripe pas. Puis tu vois, Yannick, c'est le gars le plus lazyback de la vie, mais dans le Goliath, il devient une fillette. Ils ont-tu arrêté, puis t'as l'air...

Oh, bien, ils n'ont pas eu le choix. Non, c'est rendu violent. Ah non, non, mais c pis t'as l'air... Oh, ben, ils ont pas eu le choix. Ah, t'es rendu violent. Ah non, non, non, mais c'est parce que j'ai... Non, ben, pour le reste, j'étais avec des médibs ou saïdans, je viens de la Croix, Jidstown, des amis, pis ils ont fait, hey, viens à Aron, là, je fais, non, non,

je vais pas à Aron, parce que ça me fait peur. Là, ils ont fait, non, non, viens, tu n'auras pas peur. » Je fais « Je vous jure, je vais avoir peur. » Là, ils ont fait « Non, non, viens, on te paye ton billet. » Je fais comme « Ah, putain. » Non, mais je ne savais pas trop, ça me tentait. Je suis en train de me faire peur.

Non, mais j'étais au métro, genre, j'étais loin de chez nous. J'ai fait comme « Si on va à Aron, après ça, on va avoir un lift. Je vais aller me porter chez nous. Fait que j'ai fait, bon, je peux y aller. Non, mais j'y étais finalement. J'avais... Je jasais avec eux. Mettons qu'il y avait le manège qui s'en venait.

Je faisais tout le fil avec eux. On jasait, c'était cool. Puis rendu comme à monter dans le manège, je passais dans le manège, j'allais à l'autre bord. « Attends-toi, les boys. » Je descendais et je les attendais à la fin, je fais « Puis c'était comment? » Puis finalement, un m'a amené, il me dit « Come on, fais ça là », j'ai fait « Ok, c'est bon, je le fais », là j'étais dedans, parce

qu'en fait Jay est arrivé après tout le monde, il a fait à croire que j'avais fait tous les manèges comme tout le monde, lui il pensait qu'à ce moment-là, le mensonge allait me donner le courage de le faire. Ça doit faire chier ça. Comment ça coûte la ronde? 50$? Non, c'est 100$. Il payait 50$ pour un petit chum qui attend dans le line-up. Et là, il payait le billet. Ça devrait leur faire chier. Oui, ils sont fâchés.

Fait que là, finalement, tu t'es dit là, j'arrive. Ouais, parce qu'il arrive, il fait pis, c'était cool, là. Mon gars, ouais, le vampire. Il donne juste des noms de manœuvre. Tu comprends pas, mon gars. Finalement, je suis rentré dans le Goliath. Ça a commencé à monter.

Pour vrai, j'ai paniqué. J'ai fait comme... Sans arrêt. Pis vrai, j'ai paniqué. Je fais comme... Non, non, non. Sans arrêt. Puis là, la fille pense que je niaise. Tu reconnaissais-tu? Non, elle ne savait pas que j'étais qui. Elle pensait juste que j'étais un monsieur.

Puis là, je fais comme... Arrêtez de m'en nager. Arrêtez de m'en nager. Arrêtez de m'en nager. Arrêtez de m'en nager. Arrêtez de m'en nager. Sans arrêt. Puis là, la fille rit.

Puis il y a un midi qui fait « Sérieusement, mon ami, il niaise pas. » Puis la fille a couru. Elle me dit « C'est la seule de me convaincre de le faire. » « Mais là, monsieur, c'est pas si pire. » Je suis comme « Ok, peut-être. »ai arrêté le manège une deuxième fois. Elle m'a l'enlevé, puis je suis sorti. Puis là, elle m'a dit «Mais là, es-tu déçu?» Je fais «Je ne me souviens pas!» C'est la meilleure décision de ma vie. Sérieusement, je voyais le Goliath descendre.

Je suis tellement content de ne pas être là. Je ne vis pas, moi, le sentiment de «Hey man, je suis moins hot que les autres. Je suis juste content de rien faire ». Sérieux, il y a des fois du monde qui dit « Hey man, c'est une belle journée », je dis « Oh, c'est une super belle journée », mais moins que la fois que je n'ai rien crissé. J'aime ça rien faire. Toi, as-tu peur en avion? Non, pas tant. Ah non, ce n'est pas vrai, J'ai peur. Non, mais je m'en souvenais pas.

Mais j'ai pris l'avion un moment donné pour aller aux îles de la Madeleine avec Kim Lizotte, pis Kim avait peur. Comment ça t'es allé aux îles avec Kim Lizotte? Il m'avait demandé un moment pis je pouvais pas y aller, je sais pas si... Ah, ça se passe quoi? J'étais avec Kim Lizotte aux îles, tu sais. J'étais pas allé finalement. Véro, elle a-tu une maison aux îles? Tu vis autres aux îles. Véro, elle a-tu une maison aux îles?

Ah non, non, ben... C'est beau des selfies aux îles. Non, c'était pour... Non, ben c'est ça, c'était pour un spectacle, en fait, on est aux îles. OK. Pis en plus, quand tu vas aux îles, t'atterris 71 fois. Tu sais, tu pars, ben, t'es-tu rendu?

T'as chié dans tes culottes à Saint-Hubert? Non, arrêtez l'avion, on est revenus. Parce que tu sais, tu fais Saint-Hubert, Québec, Québec, bonne aventure, bonne aventure. Ah, j'ai pas fait ça. Moi, c'était, ben, on était juste les deux. Ah, un avion? Ouais. Ben, c'était pas un gros avion, là. C'était, ben, Mopiel, comme j'ai dit. Non, non, mais qui organisait le show, payait un avion live, C'est bien Mopiel, comme j'ai dit. Non, mais qui organisait le show? Il y avait un avion live, il était content. Je ne sais pas, mais c'était un petit avion.

Oui, oui. D'un Boeing, les deux, on était. C'est le champagne, de la poudre avec le pilote. Non, mais c'était un tout petit avion. Je ne sais pas, on était juste les deux. Non, c'était direct, il, la madeleine. OK.

Non, mais c'est ça, j'avais peur finalement. Pis as-tu paniqué ou t'as juste... Ouais, ben j'ai fermé les yeux. Un bon truc. Devant la peur, là, c'est parfait. J'ai... Mais c'est parce que Kim, t'sais, elle... Elle est stressante.

Elle... Non, mais elle panique, t'sais. Vu que c'est l'hiver, je reçois un texto, elle panique. Fait que dans un avion à capoter. Puis moi, ça m'a rendu insécure parce que tu vis des ondes de turbulence dans un petit avion. Tu vis plus intense que dans un gros avion.

Je présume. Oui, très logique. C'est sûr. Je pense que non. Je pense que c'est la même affaire. Tu es sans plus. Il y a un petit char de sans plus sur Je pense que c'est la même affaire. Tu es sans plus, je pense. Il y a un petit char de sans plus les bosses

qui ont un gros. C'est un peu le même principe. D'après moi, ce logique-là est bon. On appelle le commandant Piché. Si, j'atterris sur un fleuve

à l'envers, de savoir. La grosseur, tu penses ça? Là, c'est une rire de... Size matter. La grosseur... Compte.

Je pense que oui. Fait que là, tu étais dans un petit avion. Tu sentais plus les bosses. Je pense que oui. Fait que là, t'étais dans un petit avion, tu sentais plus les bosses. Je ne sais pas, parce que je prends un gros avion pour la première fois de ma vie dans trois semaines. Tu vas capoter. Tu vas vivre.

Quelle compagnie? Je ne sais pas, parce que c'est le festival de... Triste, t'es au courant de rien quand tu vas quelque part. Maman m'envoie des plans. Ok, au moins tu t'en vas au festival en Belgique, vu que t'as été Révélation Comédie.

Exact. Tu penses-tu que tu vas paniquer dans cet avion-là? Je sais pas, j'ai un bon feeling. Un bon feeling que tu vas paniquer? Non, non, je pense que j'ai le feeling que moi, je vais être calme. Non, non, je pense que j'ai le feeling que moi, être calme. J'ai...

Non, non, mais je veux dire, j'ai commencé à faire des simulations. Je joue à l'ordi à l'avion. Ah, t'es prêt, mon gars.

Je suis correct. T'es rodé, mon gars. T'es pas dans l'ordi, tu manges des peanuts, tu baisses ton siège un peu. J'ai gagné la Deuxième Guerre mondiale

à un jeu. Toi, as-tu déjà joué en Europe? Oui. À Paris. Dans un festival ou dans une soirée du monde? Je faisais ça, ça s'appelait Paris en humour. Il y avait quelque chose que tu faisais par humour,

puis il y avait Paris dedans, Paris de l'humour, mais c'était en lien avec le Grand Rive. Il y avait un show juste de Québécois. Avec les frères Talos, juste pour défendre l'humour, whatever. Mais c'est en lien avec le Grand Rive, il y a un show juste de Québécois. OK. Avec les Frères Talos, genre. Juste pour descendre de niveau. Non, mais ça ramène au Blanchet des Vaches, c'est comme Chris, 7 minutes de... Eux autres, là, sont... Ils ont percé par son lait.

Oui, OK. C'est ça! Hé! C'est qui les Frères Talos? Quand j'étais... Tu sais, j'étais pas le plus laid du show, parce que les Frères Talos étaient là. C'est qui les Frères Talos? Les Frères Talos, c'est deux Belges.

Puis là, c'était comme huit minutes, on n'est plus chez une patate, mais on a bien de la misère. Puis c'était crissement long. Le huit minutes le plus long de ma vie, je pense. Puis le plus long de la vie des gens, je dirais. Ça marchait-tu? Non. Moi, c'est ça qui est drôle. Les frères Taloch, je les avais vus à Québec.

J'étais comme, astuces, ils sont mauvais. Mais je me suis dit, peut-être en Europe, ils sont bons. J'ai vu en Europe et ils sont aussi mauvais là-bas. Ils sont même pires.

Oui, bien oui. Puis live, c'est quelque chose. Live, c'est horrible. Live, c'est horrible. À la télé, c'est gris. Non, mais tu peux changer de poste. Oui, c'est vrai. Moi, je les avais vus à TV

avec le montage qui montrait juste les meilleurs moments. La magie des frères Taloch. C'était long, quelle tabarraque. C'était long, à Calice. Les frères Taloch. Oui, mais il y avait comme Martin Matt, Daniel Lemire, les Chickenswell, moi,

les frères Taloch. Ça faisait quand même... Ah! Ça tombait à pic. C'est qui qui animait? C'était-tu les frères Talouch. Fait que ça faisait quand même un... Ah! Tu sais, ça tombait à pic. C'est qui qui animait? C'était-tu les frères Talouch? Non, c'était Arthur. Arthur. Ah, Arthur. Il est arrivé comme 15 minutes avant le show. Il s'en est connu un peu. Arthur, c'est le gars

qui a volé Craig Ferguson. Non, mais je pensais Arthur. Il n'y a pas comme un gars qui fait de la musique pour enfants? Arthur l'aventurier, mais c'était pas lui. Qui aussi, Arthur le fils affalue. C'était-tu le fils affalue? Ça aurait été sûrement mieux que ça soit le fils affalue.

Il se serait peut-être donné plus le temps d'écrire du shit. Mais c'était bizarre parce que, tu sais, les Chickenswell, Martin, Matt, Daniel, Lemire, puis moi, on partait exactement au même niveau. Personne ne savait qu'on était égales. Fait qu'à la limite... Puis tu étais le seul qui n'était pas stressé. Oui, oui, je n'étais pas nerveux. Je ne montrais pas que je n'étais pas trop nerveux.

Tu sais, je n'étais pas stressé de jouer au théâtre de Jazet à Paris. Tu sais, une sortie de l'école, ben oui, oui, je suis nerveux. Mais il ne me croit pas, parce que je ne suis pas, puis je ne tremble pas, puis je ne chie pas mou. Non, parce que c'est ça. Je ne suis pas nerveux d'avoir le trac psychologique d'oublier mon texte pis tout ça

il checkait-tu pour voir si ta crotte est tellement non il check pas il pense pas je pense pas moi ça me surprendra pas que les frères

t'as lâché il check ben t'as pas vu ils ont écrit un 10 là-dessus oh putain la merde oh la merde la merde

c'est malade il aurait pu faire une heure là-dessus je pense ben Chris tu fais une patate 12 minutes tu peux parler de marre

d'une heure je pense c'est quoi qu'est-ce que tu faisais comme numéro je 12 minutes. Tu peux parler de marde d'humeur. Je pense que c'est quoi. Qu'est-ce que tu faisais comme numéro? Je faisais le numéro que j'avais fait en route, en fait, qui était un numéro que j'appelais ironiquement la journée de marde, qui était en fait une journée dans ma vie

où j'étais rentré à l'hôpital paralysé parce que j'avais plus de calcium, ça fait que mon corps avait paralysé. Puis j'étais rentré à l'hôpital puis j'avais eu une sonde d'urinaire, j'avais eu une ponction lombaire, j'avais tout. C'était le pire 24 heures de ma vie que j'ai mis en numéro puis là-bas ben t'sais

les hôpitaux tout ça c'est assez universel fait que quand ils m'ont appelé dans ça là je faisais affaire avec Mario Grenier du grand rire avant qu'il soit plus là good job big oui ma vie il m'avait vu au comédie club j'avais joué pour son frère

Martin Grenier à Gatineau à la drave puis il avait dit il avait appelé son frère il a dit tu es que lui est-ce que je vais juste j'ai une anecdote sur la drave. Il avait appelé son frère. J'ai une anecdote sur la drave. J'ai fait un moment donné, juste avant que je sorte mon

dernier one-man show, je m'en vais à la drave et là, c'était Guy Bernier qui faisait un headline. Moi, je dis, je vais faire un 5 minutes gratis. Je fais 5 minutes, le boss est surexcité. Il est comme tabarnak. Moi, j'achète à ce type 500 billets pour ton one-man show. Puis là, je commence à être trop, il est comme

non, non, c'est pas trop. 500 billets, puis là, mais il fait le calcul après, puis il annonce dans le micro, genre j'ai acheté 500 billets pour son one-man show, mais c'est 500 billets à 50 piastres. Lui, il avait... Mais c'est 25 000 piastres, ça. Mais là, lui, il avait mal calculé. Il pensait que c'était genre 2 500. Mais là, quand il a réalisé que c'était 25 000, là, il était comme... Il était plus bien.

Puis il était comme... Ouais, OK, mais regarde, je vais appeler... Tu peux te payer un IWB à la place. C'était vraiment weird. Excuse de gâcher ton anecdote pour ça, mais à la drave de Gatineau, c'était ça, parce que ça avait changé de place,

ça venait de la drave, mais je suis allé deux fois, puis une des fois, il y avait une machine, tu sais les machines de toutous, dans une pince, mais là, c'était des homards. Ah, ouais?

C'était vraiment le homard que tu pichais? Ok, je pensais que c'était des homards ah ouais tu pouvais manger le homard que tu piges ok je pensais que c'était le homard que tu contrôlais ça fait juste ça cadre, t'es nice que le homard il ramasse un toutou un toutou c'est la machine la plus weird, la plus hygiénique au monde mais c'est comme tu veux manger un homard

va le piger, c'est une grosse machine une grosse accoré avec des pinces pour pogner ton homard c'est du challenge en esti je sais que Fenty Pens aime ça, ces machines-là, pis je sais pas si ça se fait avoir avec des homards. C'est fucking nice. C'est drôle en fait. Moi, à date, pour eux, j'allais pas dire à date, mais la façon dont vous m'en parlez, frites à l'oche, je trouve ça excellent.

Ah! Non, mais en tout cas, c'est que les frites à l'oche, c'est drôle. Moi, j'ai hâte. Sur YouTube, il doit y avoir du stock. C'est sûr. Ouais, ouais, ouais. J'ai hâte. Mais, ouais, doit y avoir du stock. C'est sûr. Non, il y en a. Tu ne perds pas trop de temps non plus. Mais le pire, tu filmes-tu du sport?

Oui, oui. Sur gelé, ça doit être cool. Tu dois être... Quand tu dis ça à quelqu'un, tu ne peux pas écouter gelé. C'est en général parce que c'est moyen. Tu es obligé d'être gelé pour l'écouter. C'est pas... Mettons Pink Floyd. Pink Floyd, ça prend un niveau différent peut-être. C'est obligé d'agiler, vous l'écoutez. De par exemple, Pink Floyd. Pink Floyd, ça prend un niveau différent peut-être.

Frank Taloch, Pink Floyd. Même combat, mon gars. Dark Side of Taloch. Dark Side of Taloch. Ça serait malade. Mais c'est loin de Louis C.K. Il ne sait pas. Louis C.K. écouterait les Frank Taloch.

Je pense qu'il abandonnerait l'humour. J'ai tout essayé. Non, non. Mais Louis C.K. écouterait les frères Tannin. Je pense qu'il abandonnerait l'humour. J'ai tout essayé. La Belgique a échoué. Mais non, non. Les frères Tannin, je ne sais pas. Mais c'est ça.

J'étais allé à la drave. Martin Grenier m'avait vu. Il a appelé Mario Grenier. Il avait trippé. Il m'a dit, je vais te gérer. Moi, tu vas faire bien de l'argent.

Il m'a invité à Paris. Il m'a fait faire une couple de choses. Après ça, je n'avais plus vraiment pas le temps. Il t'avait obligé à te faire gérer par lui?

Non, non, non. Il m'avait proposé. OK. La vallée, tu l'as dit. Obligé. On l'a p gérer par lui? Non, non, non. Il m'avait proposé gentiment. OK. La vallée, tu l'as dit. Non, mais il l'a pas mis par la nuque. C'est lui qui a fait mon trou ici.

Je crois qu'il a fait des toilettes. T'es fini à Jean-Libre. C'est pour la cause de lui que j'ai plus de cheveux. En fait, il m'a tellement fait peur que...

Mais non, c'est ça. Il était venu me voir et on l'avait gentiment. Après ça, il y avait d'autres choses à faire finalement. Toi, tu devais être surexcité. Tu sortais de l'école.

T'avais un gérant. tu avais un gérant. J'avais un gérant. Tu sais, moi, quand j'ai fait en route, avant de faire en route, j'avais fait une hypoglycémie pendant la nuit. J'étais tombé en placard. Mon pied avait enfilé dans le calorifère et je m'étais fracturé l'épaule.

J'avais le pied brûlé et l'épaule fracturée. Il y a des années que ça ne me rappelle pas. J'avais une échappe pendant mon numéro en route. Oui, je me rappelle. J'avais le froid fêté. a des que ça rappelle peut-être, j'avais un écharpe pendant mon numéro en route. J'avais le bras fêté. Pis quand j'étais allé en audition, j'avais ma canne, j'avais même pu mettre de souliers parce que mes pieds étaient brûlés, tout en bandage, pis là, Dominique Antille

pis tout ça m'engage, je fais mon bit pour l'audition, il va comme « Ouais, mais pourquoi t'as eu ça? » Pis là, je leur raconte que j'ai eu ça, ils pissent de rire, je pense qu'ils m'ont pris parce que je m'étais blessé. Tu réalises-tu? C'est vrai. Lui, il a dormi avec son pied dans un

calorifère, puis il n'est pas mort. Non. Je n'ai pas dormi toute la nuit parce que je n'avais plus de pied. Mais ça réveille ta blonde assez sec. Il y a un bruit lourd. Ça sent bien bon. Oui. Quand tu me dis que il est juste deux heures.

En plus, à l'hôpital, j'arrive, j'ai le bras qui est là, « Sors, on va t'arranger ça. » Ils me disent « Pas besoin de calmer, on va te faire ça vite. » Ils me replacent l'épaule à fret. Je dis « J'ai mal au pied. » « Ah non, c'est pas grave, ton épaule. » « Oui, mais j'ai mal au pied. » Finalement, quand je regarde mon pied, c'était plein de cloques.

Il fallait que je les convainque de regarder mon pied. C'est Santa Cabrini, tout tout le monde dans Saint-Léonard si vous avez un autre choix genre une quincaillerie je pense que c'est mieux pis là as-tu eu des phobes à cause de ton diabète dernièrement pas récemment ça a été le plus gros phobes que j'ai eu à cause de mon diabète le reste c'est assez bien contrôlé

ça fait 10 ans que je commence à bien dealer avec ça mais j'ai déjà fait des... Parce que moi, quand je fais une hypoglycémie très basse, je convulse. Fait que je crée l'écume et tout. Ça n'est pas arrivé souvent. Ça, c'est déjà arrivé en show? Non.

Non, mais ça, quand je suis réveillé, c'est toujours la nuit. Quand je suis réveillé, je le sens venir avant. OK. J'ai le temps de me préparer. Mais les fois que c'est arrivé, c'était la nuit. OK. Puis pour ça, moi, je me mets des alarmes pendant la nuit. Je me réveille 2-3 fois pendant la nuit pour aller me checker. Ça n'arrive pas. C'est pas le fun. Surtout quand tu es avec une fille, ça n'est arrivé, c'était la nuit. C'est pour ça que je me mets des alarmes pendant la nuit. Je me réveille deux ou trois fois pendant la nuit pour aller me checker.

Ça n'arrive pas. Ce n'est pas le fun. Surtout quand tu es avec une fille, ça n'a pas longtemps. Tu avais de l'écume tantôt. Désolé. Tu détauses. Dans un one night, c'est moyen. Elle se couche, il y a des pétales de rose. Tu as su que elle se réveille.

Ça dose. À l'écoute des frères Talos, je lui ai dit que ce n'était pas une convulsion. J'aime mieux l'écoute des frères Taloch, elle a dit que ce n'était pas une convulsion. J'aime mieux l'écume. Toi, as-tu des problèmes de santé? Bien, j'ai des allergies. Genre aux pollens ou à l'eau? Non, mais elles sont graves.

Tu as des poids, mon gars. Tu as des poids, mon gars. T'as le pic dans les yeux. Je sais pas. Pour vrai, j'ai les yeux qui piquent. Mais c'est cool, man. Tant mieux, man. Ah non, mais je peux pas topper ça. Non, mais y'a pas une question.

C'est pas un défi, mon gars. Tu peux rester à juste piquer les yeux. Ah non, c'est... Mais pour vrai, par exemple, t'sais, t'as déjà vécu de l'adrénaline. Ça te fait chier de plus en amour? J'en ai... Moi, mes glandes surrénales

ont jamais fonctionné. Je suis né avec ça. Ah pour vrai? Ok, ok. Mais je dis, je perçois les émotions aussi. Mais es-tu content d'expliquer quoi l'adrénaline? Ok, fait que toi, mettons, quelqu'un qui se fait tuer, t'es pas comme, mon gars. Non, non, mais là, c'est ça. Le monde pense que je suis un zombie. T'es un monstre.

Mais mettons que quelqu'un veut se battre dans la rue, je suis pas le bon gars. Mais si, mettons, il y a le feu quelque part, je suis le bon gars parce que je paniquerais pas. Ok. Ou moins facilement. Mais dans le matin, tu t'es déjà feu quelque part, je suis le bon gars parce que je ne paniquerais pas. Ou moins facilement. Mais dans le matin, es-tu déjà battu? Non. Tu serais écoeurant vu que tu ne te stresses pas. Ça devrait que je sois plus... Peut-être que si je n'avais pas l'épaule qui a été toute décolletée

et le pied brûlé. Mais je n'ai pas de pogne. Au moins, si quelqu'un veut me pogner dans les feux... Chaque fois que tu kicks quelqu'un, tu as un bout d'orteil qui tombe. J'essaie de... Je marche le moins possible. OK.

Personne ne sait... Tu demandes souvent ça dans les podcasts, si le monde se sont battus. C'est des bonnes anecdotes souvent. Mais c'est parce que moi, ça m'intéresse. Moi, je sais pas comment me battre. Puis je veux... C'est rare les humoristes qui savent comment se battre. Mais moi, je me suis battu une fois dans ma vie. Ah ben toi, aux danseuses.

Ouais. Ben... Fait que deux fois Tu veux-tu compter celle-là? Parce que ça c'est magique comme histoire Ouais mais Ben battu entre guillemets Attends mais ok

Après ça j'ai eu un Parce que j'ai une anecdote Que je suis le héros Fait que je vais la compter après Mais ouais J'ai été au danse suis le héros, donc vous m'en racontez après. Mais un moment donné, j'ai été au danseur. C'était quoi déjà sur Papineau?

Voyons, un style... Le dice. Oui, le dice, c'est ça. Genre Papineau mélangé. Oui, oui. Avec la voix la plus dice. Oui. Quand t'es volant de la boîte à Marius Je pense même pas qu'ils pensaient que sa vitesse C'était de la promo

Le dice D'ailleurs c'est notre nouveau commanditaire Dice On remercie Léonica C'est après un lundi C'est un lundi Un lundi au dice J'étais avec Julien Lacroix c'est après un lundi genre c'est un lundi c'est un lundi au dice genre avec deux brises

ben j'étais avec Julien Lacroix qui est un de mes bons amis dans la vie pis on était au jockey une soirée de rodage

pis après ça on fait ben c'est le moment c'est lundi il est 11h on va aller au dice pis

on rentre y'a y'a fuck out y'a personne y'a y'a genre on rentre pis le y a fuck out. Il y a personne. On rentre. Les danseuses, c'est les frères taloches de la danse. Les soeurs taloches, c'est magique.

Pour vrai, il n'y en avait pas de danseuses. Il y avait une fille qui avait l'air de faire le ménage. On dirait qu'un gars a fait, hey, déshabille-toi. Va danser. Ça a vraiment l'air de ça. Là, ça se met à danser ça a vraiment l'air de ça pis là ça se met à danser on était assis là t'sais on chill

pis y'a un y'a un autre gars qui est là pis je suis assis mettons à côté y'est à ma gauche pis il me pogne genre par

t'sais de même par le cou mais il m'a pas dit salut il m'a juste pogné une main toi et ta tête genre non non moi j'ai fait le saut je prenais comme une gorgée.

Tabarnak. Là, je suis en arrière. Puis là, le gars, il fait... Non, il parle en anglais. Il fait... Ok, mais pas moi. Lâche-moi. Puis là, il me tient une main.

Puis là, je parle à Julien. Il regarde la danseuse. Je suis... Julien, il danseuse. Julien ne t'aidait même pas. Il regardait juste la femme de ménage montrer son vagin. Il est jeune, Julien. Il est impressionné.

Il trippait. Un an, je réussis à me déprendre. Je ne pense même pas que j'ai réussi. Je pense que j'ai dit quelque chose. Je pense que j'ai dit au gars shooter pis il a fait

oh prendre les chats pis après ça tout se déroule comme prévu pis on s'en va qu'est-ce que ça veut dire

comme prévu parce que on est allé de parce que d'habitude quand tu te fais étrangler pis le gars se lâche la prochaine affaire c'est que tu te fais enculer

comme prévu on était au dice je me suis fait enculer je me suis fait péter le dice pis c'est moi qui a dansé après comme prévu non mais on a été

après ça on a pogné comme une danse à deux avec la danseuse pis le gars violent une danse à deux toi pis le gars violent ou toi la danseuse elle était pas là c'seuse. Pis le gars violent? Une danse à deux? Toi pis le gars violent ou toi? La danseuse était pas là, c'était juste moi pis le gars violent.

Mais je le payais. Non, on était moi, Julien pis la danseuse. Pis Julien, il a pété dans la cabine. Câlisse. Il a pété, mais pour vrai, la danseuse... Ça a tourné en. C'était pas mon genre. C'est pété, mais pour vrai, la danseuse... Ça a tourné on. Non, mais... C'était pas mon genre.

C'était pas... Ben, elle était dégueulasse. OK, bon. Soyons honnêtes. Ça, c'est celle qui avait l'air d'une femme de ménage? Ben, c'en était une. OK. C'était clairement ça. Non, mais elle était... Elle avait une shave, genre... dégueulasse.

Je sais pas quoi dire de plus. Genre, aussi dégueulasse que ta grand-mère. Il n'y a rien qui top ça. Mettons la moitié de ma grand-mère. C'est déjà dégueulasse. C'est dégueulasse. En tout cas, il pète.

Pourquoi il a pété? Pourquoi il pensait que c'était une bonne idée? Non, non, attends. Il n'a pas fait qu'il faut que je pète, puis il a pété. Il s'est plus excusé? Non, non, il a pété. Puis après ça, il me dit,

« Hey, j'ai pété! » Mais là, il est content. Il est un peu excité. Puis la fille, elle le sent sent, elle dit « oh, ça te dit » et là elle dit à Julien « toi tu t'en vas » et là il fait « pourquoi t'as pété » et là je fais « ok ben tu sais Motu m'a en allé et elle me parle et elle me fait « non, c'est pas fini » » Là, je fais « Non, non, c'est fini. Je veux plus que tu danses. » Elle fait « Non, c'est pas fini. »

Je fais « Christ, c'est fini. Je t'ai même pas encore payé. Je vais décider quand c'est fini. » Là, je reste là, pis elle fait ses affaires. C'est un de ces bons trucs, quand tu veux t'en aller, c'est que tu pètes. Ça marche.

Mais c'est pas l'anecdote que tu te battais? Oui, non, mais c'est pas fini. T'as dit que la danseuse, ça sent mal. Non, mais c'est ça. Là, je sors de la cabine, pis le gars du jujitsu est en train d'envoyer un autre. On l'a pas oublié, lui. Le gars du jujitsu, Pong Julien, parce que je pense qu'il était choqué.

Ah, il a... C'est ça, le dice. T'as l'air étranglé par des iv choqué. C'est ça le dice. Je suis toujours étranglé par des ivrognes, c'est malin. Puis là, lui, il était choqué parce qu'il a entendu dire que Julien avait pété. Colisse.

Il étrangle des gens, lui, il est bon à parler. Il trouvait ça irrespectueux. Puis là, Lui, il est bon à parler. Il trouvait ça irrespectueux. Fait que tu me dis... Ben attends! Là, elle finit sa danse. Là, je m'en vais. Après, j'avais hâte de s'appuyer.

Là, Charles jouait Julien se faire étrangler. Là, je dis au gars comme... Hey! Bats-toi avec moi! Il était énorme. Pourquoi tu dis bats-toi avec moi! Mais t'sais il était énorme Pourquoi tu dis Bats-toi avec moi?

Parce que Julien Il fait Arrête! Pourquoi? Arrête! C'est pas cool! Non non mais j'étais Bats-toi avec moi

Pis là finalement il fait Non toi j'ai pas de problème Avec toi Il s'est arrivé Il nague Julien Julien il est T'sais comme Il est encore

Le gars était énorme Julien s'est est tu sais comme il est nage le gars était énorme Julien ça relève il fait bien temps oh mais il est il est petit Julien c'est pas ce bar

Julien je le battrais je pense ben oui il se disait moi il fallait faire mais tu sais tu peux pas faire ça après que le gars

t'a nage avec son shot le plus faible tu fais quand même là c'est parti. Non, non. Fight. Je viens de te tuer. Puis là, finalement, je dis comme aux Darman, je fais comme, hey, venez. Il fait comme, ah non, il sait se défendre. Tabarnak. Tout est censé. Fait que les Darman choquaient. Là, finalement, dans le fond, ils noquent Julien. Ils me noquent, moi.

OK, c'est ça, la fin. OK, finalement. Non, attends, j'en ai esquivé un. Ah, OK, OK. J'étais comme, wow. T'es tranquille au deuxième à la place du premier. Puis, en tout cas, finalement,

il y a des polices qui arrivent, mais c'était, c'était l'intervention policière la plus arrogante que j'ai vue de ma vie. Il arrive, c'était toutes des femmes. C'était toutes des femmes. Moi, ça m'arrange pas. J'ai aucun problème, mais toutes les femmes viennent voir

moi pis Julien. Fait que, ok, vous vous appelez des polices quand vous êtes deux gars contre un. Pis vous vous faites défendre par deux filles. Non, non, il était genre six-sept. Six-sept filles. C'était toutes des était genre 6-7. 6-7 filles. C'était toutes des femmes.

T'aurais dû les appeler en buvant du rosé. Je ne comprends pas, parce qu'ils m'insultaient. J'étais comme, « Chris, c'est ton métier, va. » Le gars, il était pour vrai à, mettons, 5 mètres. Il était venu me voir avec les polices. Il m'a dit, « La prochaine fois que je te vois, je vais te tuer. »

Là, je le disais à la policière. Ben voyons, c'est une main de des gars chauds. C'est tabarnak. Qu'est-ce que ça te presse? Il m'a fait du jujitsu. Il m'a étranglé quand je n'ai rien fait. Tu vas avoir une barre rouge dans le cou. Julien Bourret,

pendant deux semaines, il avait un mâchoir de haine. Il parlait. Mais lui, vu qu'il était chaud, il y avait un mâchoire. Il parlait. Mais lui, vu qu'il était chaud, il ne se rappelait pas de tant que ça. Il faisait « Hey, l'autre fois, un peu un mâchoire. » C'est ça que je tenais. C'est ça que tu coupes de poing ou la peste que la danseuse lui avait donnée? Tu devrais dire.

Puis l'autre fois que tu t'es battu, c'est quand? L'autre fois, j'étais bon. OK. Ça, c'est comme ton coup de pratique. Puis l'autre fois, tu étais… Non, ce mois-là, c'est quand? Ben, l'autre fois, j'étais bon. OK. Ça, c'est comme ton coup de pratique. Pis l'autre fois, t'étais... Non, non, mais ce fois-là, c'était ridicule, mais y'a une fois, pour vrai, dans ma vie, une seule fois, ben, pour vrai, je cherchais comme

le trouble. Moi, j'ai eu... Tu cherchais le trouble? Ouais. Non, mais moi, j'ai eu un enfant, tu sais, tu sais, à 18 ans. Pis à ce moment-là de ma vie, je suis... Tu l'as-tu abandonné ou... Ben oui. OK. Ouais. Mais, tu vas retourner dans 4 ans regarder la lutte avec... Salut, c'est papa. Bon, on va pas à Ronde.

Jamais à Ronde. Non, mais quand j'ai eu mon enfant, pour vrai, c'était un peu comme... C'était pas prévu, tu sais. Puis j'ai pas... Tu l'as eu bien jeune, hein? Non, 18. 18 ans. c'était pas prévu pis j'ai pas tu l'as eu bien jeune non 18 18 ans pis

ben t'sais moi à base pour de vrai c'est sûr que ben t'sais j'aime mon fils pis tout mais il sait qu'il y a de quoi qui s'en vient là

il prévoit le gag non non non pour vrai j'aime mon fils mais c'est juste qu'à ce moment là de ma vie je suis pas prêt tu t'attendais pas à un enfant

je disais je veux pas un enfant c'est normal mais j'ai juste dit à la mère quand on était au secondaire. Elle avait 16 ans, j'avais 18. Fait que là, je viens de dire que je ne suis vraiment pas à l'école. Je viens de l'avouer. Puis que 16, 18, est-ce que c'est légal?

C'est ça ou c'est... C'est discutable. Quand t'aimes, t'aimes. Judiciairement parlant, non. T'es le cap-roi de Granby. Fait que là... Non, ça, c'est ben trop vieux. Regarde, pour moi, ça aurait été 12-13.

Non, non, mais... Non, mais j'ai eu 18 à l'accouchement. Tu vois, ça, j'aurais dit au procès. C'est ça que j'ai eu 18 à l'accouchement. J'avais... Tu vois, ça, j'aurais dit au procès. Tu sais? C'est ça que j'ai dit en cours. C'est ça. Quand je l'ai fait, je n'étais pas ma genre.

Non, mais... Tu sais, j'avais dit à la mère, écoute, si tu décides de le garder, je vais prendre mes responsabilités. Puis, elle a décidé de le garder. Elle pense qu'on allait revenir ensemble à ce moment-là de sa vie et tout. Parce que, tu sais, c'était comme un peu conte de fées dans sa tête.

Ah, on va avoir un enfant, on va s'aimer, on va revenir ensemble. T'as fait une responsabilité avec des déménageurs à Montréal pour faire de l'humour. J'ai déconné. J'ai fait pas de stand-up. Pas possible. Lui, il pensait que c'était une discussion. J'ai pensé que... Un podcast dont vous êtes le héros. J'aime ça qu que c'était une discussion. Lui, il pense qu'il parle à lui.

Un podcast dont vous êtes le héros. J'aime ça qu'il a commencé une phrase. Il a fait « Ouais, je suis passé! » Non, mais peut-être qu'il se reconnaît. Mais toi, ton fils, vous êtes proche. Tu le vois souvent? Oui, quand même. J'essaie de le voir le plus souvent,

mais c'est sûr qu'on se voit moins souvent présentement parce qu'il a commencé l'école. Il habite à Coensville. Il ne peut pas venir à Montréal comme tous les jours de semaine. Et toi,

tu n'as pas de char? Là, j'en ai un maintenant, mais je ne peux pas le conduire. Tu n'as pas encore ton permis? Je n'ai pas encore mon permis.

C'est drôle, c'est un char qui va avoir un permis? Oui. C'est qui qui t'amène à Coenville? Ça dépend qui qui est élite. OK. Fait que tu demandes au monde,

« As-tu un permis? » Non, non, mais moi... « Mets-moi mon char. » Moi et la mère, on se rejoint, comme je l'amène souvent en autobus, mais là, j'étais à un mois d'avoir mon permis, si tout va bien. OK.

Fait qu'en tout cas, en gros, c'est ça, à ce moment-là de ma vie... Mais là, c'était pas une anecdote de bataille. Une bataille, ouais. Non, non, c'est ça, j'imagine. T'as à se lâcher, mon gars. Non, c'est ça. À ce moment-là de ma vie... Mais là, c'était pas une anecdote de bataille. Non, c'est ça. Mon gars, il est né. J'ai cassé à l'aile. Là, t'es tel un héros. J'ai cassé à l'aile au métier.

T'as cassé ma vie. Non, mais je filais pas à ce moment-là de ma vie. Quand il est né, j'ai vécu comme... J'ai tout vécu en même temps. J'étais pas bien. Je faisais pas ma vie quand il est né. J'ai vécu comme le... Tu sais, j'ai tout vécu en même temps. Je n'étais pas bien. Je ne faisais pas encore du monde dans la vie. Je n'avais pas de métier, tu sais. C'est évident. Fait que je ne filais pas. J'étais vraiment comme... J'étais down. Puis à un moment donné, j'étais dans un party. Puis il y avait un gars qui me gossait. J'ai juste commencé à le provoquer jusqu'à

temps qu'il m'attaque. Mais moi, je jouais mes bêtises de ma vie. Puis tu sais, je n'étais pas fort. Tu voulais manger un coup de poing sur la gueule. Ben ouais, ben je me suis dit, pour vrai, je m'en calisse. Je veux juste me faire attaquer. Tu sais, quand tu t'aimes pas, tu te dis, man, à un moment donné, quelqu'un va me tuer, pis ça va être parfait.

Pis, euh... Non, mais je sais que c'est dans l'air. Là, c'est correct, tu sais, on est quatre ans plus tard. Correct. Non, non, mais pour. On est quatre ans plus tard. C'est correct. Non, non, mais pour vrai, à ce moment-là... C'est vrai, ça fait combien d'années de ça?

Pour vrai, ça fait... Là, j'ai 26. Ça fait huit ans. Ah, huit ans. Ça fait huit ans. Non, non, non, mais ça va bien. Ma vie est là. Ça s'est replacée.

Mais à 18 ans, pour de vrai, je n'irais pas bien. Mon seul but dans la vie, c'était de faire de l'humour. Je n'en ai jamais fait encore. J'étais comme, ce n'est pas possible. J'ai trop de responsabil encore. J'étais comme, c'est pas possible. J'ai trop de responsabilités.

En tout cas, je dis à ce gars-là... Moi, je t'ai vu la première fois que t'as fait de l'humour. T'es-tu sérieux? Oui. Quand? Au Saint-Sibore. Ah, oui? Oui, j'étais là.

Puis, je t'ai trouvé bien bon. Ah, oui? Bien, merci. Oui, parce qu'avant ça, je voulais continuer à voler. Non, non, mais non, je t'avais trouvé bien bon. Je t'avais trouvé bien bon. Je l'avais trouvé bien bon. C'est ça. Là, le gars...

En gros, c'est vraiment rapide comme faire une anecdote. C'est vraiment que le gars, je l'ai provoqué jusqu'à temps qu'il essaye de me frapper. Puis, fouille-moi comment, mais à ce moment-là de ma vie, j'étais un ninja.

Il a essayé de m'attaquer. J'ai esquivé. Je fais comme, « Ressaye. » Puis, il a cassé une bouteille de bière. Tabarnak! Non, non, c'était violent, mon gars. Puis là, j'ai fait « Tu vas te calmer, sinon moi, j'attaque! »

C'est une menace! J'ai tout le coup peur. Puis, toutes mes âmes étaient « Qu'est-ce qu'il calisse! » Il va se faire tuer. Puis, finalement, j'ai juste comme « Noauqué le gars d'un coup de poing pis j'étais, tu sais, j'étais dedans, j'ai dit à son chat tu le ramasses, tu te décalisses d'ici

pis je veux plus te voir dans le coin. Pis je rentre au party en disant salut tout le monde hein, vous avez vu ça? Oh ouais, personne me fait chier. Fait que ça c'est la télévision d'un héros. Genre provoquer quelqu'un, je dis que c'est un acte de nauque. Pas un vrai héros, là, mais... Je veux dire, je gangue dans l'histoire,

mais pour vrai, j'ai rappelé le gars le lendemain, puis j'ai laissé comme huit messages sur son répondeur, parce que je suis vraiment... Moi, je suis extrêmement empathique, super sensible pour lui. Après, j'ai pleuré. D'ailleurs, il est là, ce soir. Sur son répondeur?

Tu pleurais sur son répondeur? Ah oui, je me sentais vraiment mal. J'ai fait, «Hey, je suis vraiment désolé. Je ne sais pas ce que j'ai fait. Je m'excuse. Puis là, tu sais, j'ai commencé à comme il expliquait la situation. Puis, il m'a pardonné. C'est ça. Je suis chrétien.

Imagine! C'est là que tu as découvert Jésus. Depuis le jour-là, tu as Jésus dans ton cœur. Mais, ah, c'est-tu qu'il est, Jésus depuis le jour là t'as Jésus dans ton coeur mais ça doit être weird tu te fais battre pis après le gars t'appelle pis il pleure là t'es comme Chris que je suis faible

j'ai un gars qui pleure c'est un répondeur qui est plus homme que moi moi c'est pas vrai je me suis pas déjà battu mais j'ai déjà noqué un gars au primaire. Parce qu'au primaire, au secondaire, j'étais devenu le plus petit du groupe,

mais au primaire, j'étais le plus gros du groupe. Pis il y en a un qui était... Tu sais, le Bavu est toujours le plus petit. Tu sais, on fait la ligne avant de rentrer dans les écoles. C'est le talent de Joe Pesci. Exact. Joe Pesci, il s'appelait Raphaël. Il narguait beaucoup, parce que moi, j'avais des taches blanches sur la peau.

C'était une professeur. J'étais un brownie, ce barbré, mon gars. J'étais un gibier de potence. Puis, il était venu me voir dans le fil pour me narguer. Je l'avais juste levé et il l'a lancé à terre. Tu l'as levé? Oui. Mais il était tout petit.

Il m'est arrivé à peu près ici. Il était vraiment baveux. Je ne l'avais pas levé à bout de bras, mais je l'avais levé un peu. Je l'avais juste lancé par terre, juste pour dire que je t'ai lancé. Tu as compris que tu as donné un coup de poing. Je t'ai projeté par en avant. Il a arrêté.

Peut-être parce qu'il avait une commotion et qu'il saignait de l'oreille. Il a arrêté à partir de ce moment-là. Ça a été le seul lien que j'ai eu avec la baveuse. Toi, je t'ai vu la première fois que tu es monté sur scène. Moi, ça me fascine tout le temps. Ça a été ça le lien que j'ai eu avec la balle. Toi, je t'ai vu la première fois que tu es monté sur scène. Ça, je disais. Moi, ça me fascine tout le temps. Chaque fois que je vois un humoriste

que c'est sa première fois sur scène, j'écoute tout le temps. Puis toi, tu es un des rares que la première fois que j'ai vu, tu étais déjà bon. Vu que le parc du temps, un humoriste, sa première fois, ça va bien, mais ils ne sont pas bons vu qu'ils font trop d'erreurs. Mais toi, déjà, je voyais pas mal ce que je vois là, mais tu ne sont pas bons. Ils font trop d'erreurs, mais toi, déjà, je voyais

pas mal de ce que je vois là, mais tu es en moins habile. Toi, ta première fois que tu es passé, ta première fois que tu es allé sur scène, c'était... C'était en duo. La première fois que j'ai fait de l'humour, ce n'est pas vrai.

La première fois que j'ai fait vraiment un... La première fois que j'ai fait de l'humour, c'est pas vrai. La première fois que j'ai fait vraiment un... La première fois que j'ai fait un show, la Roselyne... Moi, je vais l'ouvrir pendant deux secondes. Oui, parce que moi, quand je suis... Ça me prend une autre bouteille, pardon. Il y en a-tu un? Il y a-tu un autre bouteille?

On aurait besoin d'un autre bouteille. C'est vrai. C'est prévoyant. J'aime ça, Chris. Des fois, je conduis, puis tu sais... C'est bien de l'avoir à portée de main. Ah, il va te l'est prévoyant. Des fois, je conduis, puis t'es bien de l'avoir à portée de main. Ah, il va te l'ouvrir. Yes. Moi, j'ai fait quatre fois l'audition de l'école d'humour

avant qu'il m'accepte. Il m'a accepté la quatrième fois, peut-être par genre, il mourra pas, on va le faire. Non, c'est blague, c'est blague. Mais quand je suis déménagé du Saguenay à Montréal pour faire de l'humour... Toi, à chaque fois, tu partais du Saguenay pour faire l'audition. Oui.

Puis après, tu retournais… Au Saguenay. J'attendais la réponse qui était non. Ah, c'est-tu… Deux ans… Au moins, ils ne te le disaient pas en personne. Non. Parce que sinon, ça aurait été les cinq heures les plus longues de ta vie.

Absolument. Mais j'y allais pour ça. Mes parents sont allés me reconduire. Une fois, j'ai pris l'autobus. Tu sais, ils m'ont encouragé même dans l'échec. Ils sont vraiment merveilleux pour ça. Puis, la deuxième fois que j'ai été refus une fois j'ai pris l'autobus, ils m'ont encouragé même dans l'échec, ils sont vraiment merveilleux pour ça, puis la deuxième fois que j'ai été refusé, j'ai dit fuck that, je vais aller voir là-bas comment ça marche, parce que clairement je ne ferais pas de l'humour au Saguenay, c'est quand même limité les

revenus de l'humour au Saguenay, on est parti moi puis un des bons chums, Pascal Grandisson, que je salue s'il écoute, on est parti parce que j'ai dit, moi je vais à Montréal, je vais faire de l'humour, il est venu. Pendant un an, on a fait de l'humour en duo. Ça s'appelait Les Idiologistes. C'était déjà le titre.

On avait des t-shirts. On avait des t-shirts. Ah, t'avais-tu des t-shirts? On avait un t-shirt avec le nom, on était fiers. T'avais-tu un logo? Non, c'était juste

l'écriture sur noir, sur blanc, très classique. Il n'y avait pas vraiment de logo. On avait appris à faire des numéros dans le cours de création

de numéros avec Mario Bélanger, entre autres. Le côté weirdo était vraiment accentué. Lui, il aime bien ça quand c'est weird. C'était du duo un peu n'est pas absurde, mais en même temps, on voulait dire de quoi. En même temps, les deux, on voulait avoir le gros bout du bat. Il n'y avait pas de genre

straight man puncher. Quand tu n'as pas un rythme comme ça, c'est dur à gauger. On a fait un an. On a fait l'audition de l'école de l'humour à deux. La troisième année, on a été refusé encore. La quatrième année, j'ai fait comme non. Je ne veux pas que mon autre refus, s'il y a lieu,

dépende de quelqu'un d'autre que moi. La quatrième année, je vais être comme fuck that. Je vais me monter un numéro et je vais aller le roder au Gémeaux. Tu es jaloux au Gémeaux? Tu es jaloux au Gémeaux? C'est ma fête de joueurs qu'ellemeaux, c'est Martin Turgeon qui a dit. Genre, le soirée qu'il disait de venir jouer,

mais si tu vends 10 billets. Si tu vends 10 billets... Ah non, mais d'abord... Ah, excuse-moi. Martin Turgeon. Vachon, tu vas. Martin Turgeon. Toi, c'est Martin Turgeon. Martin Turgeon.

Le meilleur jingle. Mais dans ce temps-là, avant qu'il soit un peu connu, il demandait de vendre des billets pour aller faire le show. J'ai jamais fait de ces shows. Non, peut-être pas. Mais les shows, c'est quand même cool. C'est juste qu'aujourd'hui, je n'accepterais pas de faire ça.

La quatrième année, j'ai commencé à faire du solo. Le premier show solo que j'ai fait, c'était au Saint-Sibore aussi. Ça devait être dans les mêmes... Je pense qu'on a été sur le même show. Je t'ai vu avec Pascal Grandisson,

c'est ça? Oui, je t'ai vu. Ça devait être quand tu commençais. Je te dis, du haut. Tu sais, Junior avait été fin de nous laisser une place. Après le show,

il avait fait un brief. Les gars, c'était un peu de la marde, mais vous êtes fins. Il nous réinvite une fois. C'était un peu moins de la marde. C'était toi qui écrivais tout parce que toi, tu écris vraiment bien. gars, c'était un peu de la marde, mais vous êtes fins». Il nous réinvite une fois. «Ah là, c'était un peu moins de la marde». C'était toi qui écrivais tout, parce que toi, tu écris vraiment bien. Oui, j'écris bien.

Mais j'imagine, en duo, lui, il devait avoir ses idées aussi. Au début, on était au même niveau, dans le sens que, tu sais, on écrivait beaucoup ensemble. Puis là, il s'est fait une blonde, fait que je travaillais plus, puis lui, il avait comme une autre vie un peu. Puis c'est là que ça s'est un peu distancé, parce que moi, je travaillais plus de mon bord. Puis ça me choquait de donner le matériel. Lui, es-tu encore ami avec lui? Absolument. Oui, oui.

Puis, il est-tu content pour toi ou il est jaloux? J'allais le voir. L'autre jour, il se bat avec un itinéraire. Il se bat avec un itinéraire? C'est une joke pour me voler la perche. Oui, puis non. Il est franglé, un gars, au dice. Au dice, il dit au dice.

Je me suis dit, encore le dice. J'ai déjà joué au j'aime-moi au tableau de dice. Je ne m'étonnerais pas qu'il était là pour vrai. Non, mais le pire, c'est qu'on était devant le brouhaha. Puis, tu sais, c'était une soirée du monde. Oui, oui, Chris, c'était animé là. Il était là. Oui, tu sais de quoi je parle.

Tu faisais ça, trois ans. Non, mais il était là un soir pour vrai. Je fumais une cigarette dehors. Puis, il était à côté. Puis, il y a un itinéraire qui est passé. Il a dû demander du change. Il a dit, j'en ai pas. Après ça, l'itinéraire qui est passé, il a dû demander du change, il a dit j'en ai pas, après ça l'itinéraire a fait le shirt en un peu,

pis il l'a poussé, pis l'itinéraire il a comme répondu, pis ça s'est mis à se battre. Ah ouais, je te crie, c'est pas là mon gars, ben il est animé. Moi je travaillais, c'est ça. Mais non, je suis encore super ami avec, pis je pense qu'il y a eu une époque où il était un peu jaloux, il était un peu amoureux. Comment ça finit avec le sans-abri?

Ouais, il s'en est battu au couteau genre? Ben j'avais peur d'être impliqué, donc je suis rentré en disant « à tantôt ». Tu n'étais pas le héros, ce fois-là. As-tu dit « à tantôt » à lui ou au sans-abri? Ou tu ne prenais pas de chance au gagnant? Peu importe qui gagne, je suis ton ami.

Je suis dans le cas du gagneur. » « Je paye une stella au gagneur. » « Je paye un nacho au gagneur. » « C'est toi l'itinérant qui va l'apprécier. » « Non, mais j'ai vraiment peur, genre, quand il y a des conflits. » « Ouais, t'es vrai. » « Sauf quand c'est toi qui les provoques. » « Non, non, mais... »

« Sors ton chum d'ici. » « Ah non, à ce temps-là, je m'en vais tout le temps. » « Même du monde pas d'accord, je m'en vais. » « C'est comme, hey, à ce soir, on va à la brevande. On en va au lobby bar. Il y en a qui oublient. Moi, je m'en vais. Comment vous êtes avec les hecklers? Moi, je parle vraiment

longtemps avec eux. Moi, j'aime ça vraiment. Moi, j'ai pas de ligne préparée pour les hecklers. Je suis vraiment du genre à m'installer et être vraiment tranquille et poser des questions sur le raisonnement de ce qui a apporté

à parler. Ton but, c'est-tu de le comprendre ou de l'humilier? C'est un mélange des deux. J'essaie vraiment de comprendre le comportement parce que pour moi, je suis vraiment quelqu'un qui parle dans un spectacle, c'est sûr que c'est quelqu'un d'imbécile. C'est impossible que

tu aies un sens logique. Tu penses pas que Stephen Hawking va voir un show? You're very poor, motherfucker. Fag! Fag! C'est malade. Il y a aucune logique qui t'emmène à faire...

Parce que pendant que tu parles, tu es là pour te faire divertir. Tu gages ton propre divertissement c'est comme impossible que tu sois logique dans la vie ça ne se peut pas que je fasse comme tu as des bons raisonnements

je suis juste curieux quelque chose de refoulant dedans c'est peut-être bon c'est le moment de chaner je leur montre que non je leur montre que ça ne se leur montre que ça se peut pas. Non, exact. Non, non, exactement.

Mais j'aime ça. Moi, j'aime ça. Je pense que j'ai un côté de moi qui est très... Je veux être Dieu. OK, non, c'est pas vrai. C'est pas vrai. Non, non, non.

T'as passé de... Je suis sorti de l'éclat. Non, non, mais j'ai... Pour vrai, j'ai... Là, t'as passé vraiment proche de mon pénis. Non, mais je sais. Je savais pas que Dieu,

il avait les mêmes formes d'œufs. Moi, je veux être Dieu, tu sais. La même de Dieu. Non, mais je sais. Je savais pas que Dieu, il avait les mêmes formes d'œufs. Moi, je suis un dieu, tu sais. La même de Dieu. Non, mais c'est pas vrai. C'était juste pour dire... Quand je fais un mensonge pis je veux dire

au monde que c'est pas vrai, je fais comme... C'est peut-être pas adéquat. Je fais des avances sexuelles. Je m'en vais pas pour vrai, là. Je fais... Hey, c'était un mensonge. Je m'embrasse dans le cou.

Non, non, mais c'est pas vrai. J'exagère vraiment de jouer Dieu pis tout. C'est vraiment pas ça. Honnêtement, je pense vraiment justebrasse dans le cou. Non, non, mais c'est pas vrai. J'exagère vraiment. Je vais dire que c'est vraiment pas ça. Honnêtement, je pense vraiment juste que j'ai du plaisir à répondre à quelqu'un. Puis moi, j'aime ça que ça soit pas préparé pour vrai. J'aime ça avoir un vrai moment de répartie puis de discussion.

Tu sais, moi, ma génération, quand j'ai commencé, on avait des lignes avec là. Mais je pense... En tout cas, moi, je fais plus de lignes avec là. J'ai l'impression que ça n'existe plus. Ça dépend. Il y a des contextes où je fais des corpos et tout ça

et que c'est plus protocolaire un peu. J'en ai une couple de préparés. Mais tu sais, dans le show de bar où je peux m'amuser et jouer un peu avec ça,

c'est différent. Mais quand on paye un plus gros prix et qu'il y a un protocole et qu'il y a bien du monde, j'essaie juste de naker le gars pour...

Je ne vais pas dire directement dans la foule de naker. Ça sera absurde. Je n'ai pas plus de bagues. Avant, j'avais des bagues. J le gars pour ben façon de parler je vais pas être directement dans la foule de naker ça sera absurde j'ai pas plus de bague avant j'avais des bagues j'aurais pu faire mal mais

non j'ai une couple de lignes de préparer moi des fois ça dépend c'est quoi tes lignes ben en fait moi je pense que toutes les lignes de l'éclair se ramassent dans un pot

commun qu'on peut piger fait que je me gêne pas de je pensais que ça se faisait que ça ouais ben non mais moi comme mettons j'en ai une, Pierre-Bruno Rivard,

puis j'ai déjà demandé si je pouvais la faire, puis il m'a dit oui. C'est une de mes préférées. T'es comme un pet-sauce dans un trip à trois, tu gâches le fun pour tout le monde. Ça, en général, ça passe assez bien. On joue-tu une game de ta gueule, OK, c'est toi qui commence. Il y en a des plus classiques comme ça.

Puis il y en a des fois qui sont juste improvisés. Puis des fois, la personne, si tu lui donnes un peu d'attention, tu joues un peu avec, elle va être contente d'avoir eu son attention et elle va arrêter. Quelqu'un qui est amer et aigre et qui veut absolument te faire sentir que ton gag, il ne l'a pas aimé, c'est rare.

Pour quelqu'un qui veut vraiment, c'est comme, Christ, pour vrai, ça t'a blessé. Moi, je suis l'un des gens à passer du temps là-dessus. Mettons, quelqu'un crie, tu vas passer un sein maintenant. Mais toi, tu vas déjà compter. Il y a un gars qui t'a apporté son sein, t'as levé le micro, puis c'était le proprio, c'est lui qui t'avait engagé, qui t'a levé le micro.

Moi, pour vrai, ça m'est arrivé au moins 3-4 fois, des gens voulaient... Peut-être qu'il y a quelque chose à apprendre. Non, mais ça m'est arrivé 3-4 fois, pour vrai, des gens qui voulaient m'attaquer. Parce que j'avais répondu. Tabarnak. T'es rare.

Non, je sais, mais c'est parce que j'ai vraiment tendance à comme... Qu'est-ce que tu réponds, mettons, à un gars... C'est parce que moi, il y a des gens, mettons, tu me parles, moi, il y a des gens qui font « Hey, juste répète plus fort. » Puis là, après ça, je me fais « OK. » Puis là, je me questionne. Puis souvent, il m'a dit ok puis là je me questionne puis souvent je m'assoie

puis je me mets à jaser avec la personne puis là m'ont accumulé comme les gags qui rentrent puis que la personne va essayer de firer puis ça marche pas

puis là m'ont montré à quel point que ça marche pas puis qu'il est pas drôle fait que tu sais je suis vraiment mais ça m'est arrivé une fois

de comme exagérer puis me rendre comme mettons j'avais gagné clairement. J'ai rajouté le gars, c'était un commanditaire à une table. Il était juste avec des femmes parce que c'était une compagnie d'esthéticienne. Il était là.

Il avait arrêté de parler. Il était comme, OK, il a gagné. J'ai juste rajouté, ça fait quoi de te faire humilier devant autant de femmes autour de toi, pis tu sais, j'ai juste été chercher le truc. De trop. C'est levé.

Il a monté sur scène? Il a essayé, on l'a comme calmé, moi j'ai fait comme une minute de plus, je suis parti, pis là on m'a dit... Toi tu faisais-tu une heure ou tu faisais 15 minutes? Ben j'ai achevé, il me restait comme deux minutes, tu sais, je faisais une heure mais il me restait deux minutes,? Ben, j'achetais. Il me restait comme deux minutes. Je faisais une heure, mais il me restait deux minutes.

Puis finalement, j'ai été comme d'inquisir. Puis là, je m'en allais sortir pour juste chiller tranquille. Puis le monde m'a dit non, non, non. T'as peut-être un gars qui est avec des esthétiennes aussi. Il sait comment se bâtir. Non, mais c'est vrai, tu sais. Il est aigre. Ouais, non, non, c'est ça.

Il s'est fait faire le bikini, là. Il est en crise. J'ai de la non, c'est ça. Il s'est fait faire le bikini, il est en crise. J'ai de la haine d'accumuler en moi. Mais il y en a de moins en moins, des cas. Moi, j'en ai pas tant que ça. Ça dépend de tes poèmes. Peut-être que c'est moi que le monde fait comme moi. On ne l'accueillera pas, c'est peut-être son dernier show.

Je fais des jokes là-dessus. Des fois, le monde est mal à l'aise. C'est des jokes, ça rentre tout le temps. Je fais des jokes de tout ça, en partant. Je fais des jokes de toute dérision. tac tac, on dirait que ça me rend sympathique, ça c'est rare que je j'ai affaire à des éclats vraiment violents. Toi par exemple

c'est ça, t'es-tu mourant pour de vrai? Non, non, non question qui se pose question qui se pose non, non, pas du tout, mon état est très bien contrôlé, ça va bien. C'est juste que je sais que visuellement, il y a de quoi d'impressionnant. Qu'est-ce qui va te tuer? Ça va-tu être le diabète?

Ça va-tu être l'arrosé? Je pense que ça va être l'accumulation de tout ça. Ça va-tu être le fait que t'as pas d'adrénaline fait que tu vas voir un train pis tu t'en seras pas assez vite? Tu vas faire... C'est un peu comme le delivery de Yannick sur le sein. Ah, un train. Pis ils vont rentrer dedans.

Non, ça ne serait pas de la très belle vie. Je pense que juste l'accumulation de tout ça qui a m'amener quand je serai plus vieux, aura eu raison de moi. Toi, tu penses-tu à quel âge? C'est une bonne question. Tu as quel âge? J'ai 30. J'ai 30, puis ça va bien. Je suis en forme. Je suis quand même assidu

dans mes affaires. Je me fais checker vers le médecin tous les ans. C'est quand même bien coordonné, mes affaires. Puis moi, ça a l'air pire que ça. Parce qu'en fait, il y a des glandes qui ne fonctionnent pas. Je prends des médicaments pour pallier au fait que ces glandes-là ne sécrètent pas telle affaire. Ce n'est pas des traitements pour combattre ton virus. Je n'ai pas le sida.

C'est genre une trithérapie que là, à 50, tu vas commencer à avoir mal aux genoux. T'aimerais-tu ça de l'avoir, le sida? J'ai vu le film. Je connais du monde. Philadelphia. Ben, je pense que ça ne paraîtrait pas. Christ a perdu du poids, le gym, énergie cardio et le sida. Je ne sais pas.

Les plaques te donneraient un peu de couleur. J'ai de la couleur, par exemple. Il y en a des fois qui ont l'air d'être albinos, parce que je suis chaud. Non, tu es plus foncé. J'ai un dolce de leche comme couleur. C'est un peu douche de chaud, mais de Christ, j'ai un Dolce de Lecce comme couleur. C'est un peu douche de couleur, mais chimio de vue. Mais je ne sais pas, je ne pense pas que je vais mourir plus jeune que la moyenne des gens. C'est juste que

je vais être plus magané. Parce que prendre du calcium en médicament, je vais être raqué, rendu plus vieux, mais je pense pas que je vais mourir plus jeune. Tu t'entraînes-tu, tu fais-tu du sport? Ben, je m'entraînais, cet été, j'ai été plus lousse

sur l'entraînement, je faisais bien des shows, fait que j'ai lâché un peu, mais je joue au golf. C'est pas un sport magnifique. Non, mais Chris! Tu t'entraînes-tu au golf?

C'est vrai! Tu joues-tu au golf, toi? Ben non! Ben, tu vois, si tu jouais un peu, au moins, tu marcherais Mais c'est Non mais moi j'aime pas

Les sports violents D'équipe Sauf que j'ai pas de ralentine Fait que si tu me demandes D'aller faire un échappé Je vais comme Ah ok va y aller Puis ça va être tranquille

Je vais prendre un apéro Fait que ça reprend Des sports de monsieur Que je peux mettre La bière dans un sac Pis que je vais faire du sport Faudrait que tu joues au quai Le curling

Le curling Ben le curling c'est un peu extrême. Balayer, moi, ça a quoi d'effet? Mais tu sais, l'odeur de la pelouse puis le golf, moi, je traînerais.

Puis le golf, tu sais, quand tu joues à ton sport, c'est combien de fois par semaine? Je ne sais pas, une ou deux fois par semaine. Mais là, c'est parce que,

un, je n'ai pas des moyens de fou pour m'inscrire Dans un club et être mort Non, je marche Mais as-tu vu une différence sur ton corps? Ben, je pense que si je le faisais pas J'aurais une différence Avant et après golf

Deux fois par semaine C'est pas le sport qui va te modifier Physiologiquement Apparemment, Magic Mike, c'est même C'est pas j'ai vu les films Ben, Tiger Woods, il est, c'est même que c'est le même que les films. Mais Tiger Woods, il est cut. C'est ça qu'il coule avec le golf. Tiger Woods, il fourre 9 heures par jour.

Juste ça, ça, ça. Il joue au golf 4 heures, il fourre 9 heures. Mais en même temps, c'est ça qu'il coule avec le golf. C'est pas discriminatoire. T'as John Daly qui pèse 350 lignes. Pis t'en as d'autres, des petits maigrichons, pis ils peuvent jouer au même sport, c'est cool, mais c'est pas

discriminatoire, pis moi il y a bien des sports que je serais pas assez puissant ou assez déterminé pour jouer, pis que j'ai, en fait de 0 à 9 ans, moi je faisais pas de sport, j'étais tout le temps malade, j'ai pas appris, j'ai pas voulu jouer au hockey, j'ai pas voulu jouer à des choses comme ça, fait que ça m'est jamais venu. Fait que pour ça, ça te prend un sport de monsieur? Ouais, tranquille, moi j'aime bien jouer au baseball, c'est jamais venu. C'est pour ça que ça te prend un sport de monsieur? Oui. Tranquille. Moi, j'aime bien jouer au baseball. C'est déjà pas violent comme sport non plus. Là aussi, il y a des gros et il y a des mecs.

Mais des sports d'équipe, un peu moins. Moi, je suis plus justement... Aux échecs. Oui, aux échecs. Xbox, des sports comme ça. Tu sais déjà jouer au Monopoly? Oui, c'est malade, mon gars. Tu es dans le sueur.

J'ai commencé à m'entraîner quand tu fais le jeu au clou. Comme le moutard avec le chat. Mais là, c'est rough un peu clou. Je commençais avec ton puissance 4. Après ça, je montais jusqu'à monopoli. Mais je ne suis pas un gars de sport ben ben. Moi, je suis pas mal plus... À l'école, j'étais dans les clubs d'impro

puis de gêne en herbe. Tout pour me faire aimer de la jante féminine. Mais les filles, à cette heure-là, il crame. Oui, il y a un fantôme. C'est le gars de Jerry Kurtz. Attends, là, ça ne marche plus. Il faut arrêter d'y penser.

En tout cas. Mais oui, c'est ça. Les filles, je pense que les filles aiment les gars intelligents un peu. C'est peut-être un peu plus en mode, là. Quand moi, j'étais au secondaire... Toi, il y a 15 ans, ça l'était déjà. Peut-être pas au Saguenay.

Non, au Saguenay, si t'as pas ton char à 16 ans, pis que t'es pas capable de boire une quille percée avec un tournevis, c'était moyen. Là, tu réalises que tu peux plus retourner au Saguenay. Non, je retourne des fois. Dans mes années avant d'être diabétique, moi aussi, j'ai été Saguenayien, pur laine

pendant un bout. Mais quand j'étais au secondaire, je faisais que les bouquins. Moi, j'ai eu, la première fois que j'ai animé un show du monde au Saguenay, j'animais une soirée du monde à Chicoutimi. Il y avait un gars qui était sous-mort, qui était comme... Puis il était comme... Puis là, j'étais comme...

J'ai fait, t'es trop saoul pour t'en aller. Puis j'ai fait, tu vas perdre ton permis. Il a fait, j'ai pas de permis, tabarnak. Puis, j'avais vraiment fait, il y a pas de permis, on est correct. Puis, on est allé au Saguenay, on est allé à Jonquière,

c'était plate parce qu'apparemment, c'est tout. Puis après, on est allé à Almo. Puis, je me suis promené, pas de permis avec un esti de cabochon. On est allé à Alma. Je me suis promené. Pas de permis. Avec un esti de capuchon. On est allé avec François Boulienne à Alma, Dolbo, puis Chicoutimi. Puis à Dolbo, t'avais payé

une danseuse pour qu'elle me suce. J'allais-tu payer pour qu'elle me suce? Moi, j'ai refusé. J'ai vu la fille. Je me disais, Chris, j'ai déjà assez de maladies comme ça. Je paye tout le temps la plus laide. C'est ça. C'est la fois où tu te faisais penser pour un col foffi.

Ah oui, je disais que j'étais un col foffi. Oui, oui. Oui, au stade. C'est ça, c'est un col foffi. Au stade, les filles faisaient ça. Je sais pas si tu te dis de quoi, mais j'étais un col foffi. Ça, c'est un col foffi. C'était juste des trois blancs qui avaient des noms. Moi, j'étais un col foffi. Ça, c'est Nabila et Youssef. Puis Andy King. On était juste des trois blancs,

mais qui avaient des noms. Moi, j'étais Nabila, un colfafi, puis Andy King. Non, mais c'était jamais Andy King. C'était tout le temps Niv. Ah, Niv, oui. Ça, c'est Niv. Ça, c'est un colfafi. Ça, c'est Nabila.

Puis là, je rentre dans l'isoloir. Elle fait, ton ami Mike t'a payé une gâterie. Je suis comme, non, merci, c'est gentil. J'ai déjà du diabète, d'insuffisance urinalienne, parathyroidienne, l'herpès, j'y tiens pas. Tant que ça. Elle a juste dansé comme 15 minutes. Le JR.

T'as vraiment un comportement, souvent, que tu veux que le monde qui t'entoure fourre du monde. Ben, face moi! Par procuration. Pour moi, c'est arrivé souvent, j'étais proche de toi, pis t'arrivais, mettons, jaser avec une fille, pis tu dis, son pénis est malade. Tu devrais le flotter. proche de toi, pis t'arrivais, mettons, jaser avec une fille, pis tu dis « Hey,

son pénis est malade. » Tu devrais le flouer. Souvent. T'as-tu tué? Tu m'as donné une lampe une fois, pis je parlais un moment donné à une fille dehors, t'es passée à côté, « Hey, donne-lui une lampe parce que lui,

il est vraiment bon, tu devrais le fourrer pour voir la lampe parce que lui, il est vraiment bon. Tu devrais le fourrer pour voir la lampe. Ça compte mieux que la danseuse. Moi, ça fait longtemps que je suis avec la même fille. Je suis fidèle. Tu vis par procuration. Chaque fois qu'un de vous a...

N'importe quel humoriste professionnel fourre, j'ai fourré moi aussi. C'est un peu ça. Je devrais te tenir au cou. Oui, non, c'est ça. As-tu marché la lampe? En plus, j'avais caché une caméra dans l'angle.

Il faut que tu allumes la lumière. Non, mais c'est vrai, tu m'avais donné pas mal de stock. J'avais donné pas mal d'affaires, mais c'est parce que moi, je voulais... Tu sais que j'ai commencé à un petit peu faire du sport à cause qu'un moment donné, tu m'avais donné du stock. Puis, Jean, il m'avait donné une chaise d'ordi. J'avais de la misère à la lever.

Il a juste commencé à m'insulter. « Chris, que t'es faible! » « T'es tellement faible! » Puis il a essayé de m'aider, puis les deux, on n'était pas capables. Il était 10h le matin, mais qu'il était saoul. C'était malin.

Finalement, c'est genre un autre gars qui m'a monté. Oui, ça, c'était... Moi, je t'avais donné un bureau, et toi, t'avais trouvé du monde pour déménager le bureau. J'avais rien. Sur ton Facebook, ou je sais pas trop qui, c'était des fans.

Non, mais j'avais, pour être dans ce temps-là, j'avais tellement rien. Moi, dans le temps d'en route, j'avais pas d'appartement, j'avais rien. Pour être dans le temps d'en route, moi, j'ai, tu sais, comme mettons, le monde sur le... Je t'avais vu dans la rue, t'avais un soulier qui avait pas de fond. Tu sais, comme mettons le monde sur le je t'avais vu dans la rue t'avais un soulier

qui avait pas de fond tu sais comme mettons je portais des pantoufles tu sais ça ça ce bout là était inexistant non non

t'avais genre le top d'un soulier qui est le bout le moins important ouais d'un soulier tu sais non mais le monde

pensait que j'étais un personnage ben oui j'étais un pauvre j'étais juste je vivais acteur studio moi quand j'ai un soulier, tu sais. Non, mais le monde pensait que j'étais un personnage. Ben oui. J'étais un pauvre. J'étais juste... Tu vivais acteur studio, mon gars. Tu jouais jusqu'au bout. Non, mais pour vrai, moi, quand je suis arrivé pendant en route,

pis tout, tu sais, mettons que j'étais sur un spectacle, mettons comme là, j'aurais, tu sais, je dirais après le podcast, est-ce que je peux dormir chez un des deux? C'est tout le temps ça que je faisais. Je dormais chez quelqu'un qui était sur le spectacle. J'avais absolument rien. C'était un moment où, à partir d'en route, j'ai commencé à avoir un appartement.

Avant ça, tu faisais un show pis qu'est-ce qui arrivait quand personne pouvait t'amener chez eux? J'allais... Dormais-tu dans la rue? Non, j'ai jamais dormi dans la rue. Je trouvais tout le temps quelqu'un. Au pays, je rappelais la même personne.

La même personne. Le gars du Jiu-Jitsu. Il est devenu chum. J'ai eu une copine à ce moment-là. En fait, j'habitais chez un chum de gars à Grenby vraiment longtemps. Ça ne me coûtait rien, mais je n'avais pas de bouffe. J'ai vraiment mangé longtemps,

comme je mangeais un peu ce qu'il y avait qui me permettait de survivre. Je faisais des bisco-bar de pin. Si personne t'amenait chez eux, tu retournais à Granby? À Saint-Hyacinthe. OK. Saint-Hyacinthe, c'était plus proche. Comment tu faisais?

L'autobus, le cachet. Mettons que j'avais 25$, ça coûtait 8$ l'autobus me rendre à Saint-Hyacinthe. À ce moment-là, j'avais une copine qui habitait à Saint-Hyacinthe, qui étudiait en médecine vétérinaire pis j'allais chez elle elle, qu'est-ce qu'elle fait à ça? ben vétérinaire ça fait du ça, ça fait du ça

ouais c'est ça qu'elle a collé celle-là ah non ouais ça va être weird pour une fille qui va être vétérinaire qui a son chum c'est comme un semi sans abri

qui compte des jokes absurdes qui s'est étranglé aux danseuses qui veut se battre pour montrer que c'est pas long ça a été motif de chicane aussi mais je voulais cette année là j'ai gagné en route

c'est comme un film t'es Karate Kid mais il fallait pas que je perde pour rien sinon je sais pas ce que je fais toi c'est ça, toi t'as vraiment appris sur le tas oui oui puis après en route, qu'est-ce qui est arrivé

là nous autres on a le même gérant ça c'était genre un an ou deux après. Ça fait pas longtemps que j'ai Michel comme gérant. Ça fait genre, je pense, ça fait même pas deux ans. C'est genre un an et demi. Un peu plus qu'un an, mais ça fait pas deux ans. J'ai eu une gérante avant ça.

Qui était la gérante des deniers, j'entends. Mais c'est ça, ça fonctionnait pas parce qu'elle envoyait trop absurde. C'était trop casé sur comme ça, c'est pép fonctionnait pas parce qu'elle envoyait trop absurde c'était trop c'était trop casé sur comme ça c'est pépé parce que c'est pas vraiment absurde je considère pas

que je fais de l'absurde t'es weird t'as un delivery ben moi je considère pour rien à toutes les fois je me fais demander quel type d'humour

tu fais ben l'alternative pour moi c'est de base d'avoir un angle original sur des tu sais je trouve qu'il y a tellement d'humoristes

qui utilisent le même angle, c'est-à-dire la même joke, puis le public rit, que je m'en crie parce que moi, ça rit moins parce que j'ai de quoi d'original. Oui, mais c'est vraiment ça. Mais moi, je trouve que c'est de base, être original en humour, puis on dirait qu'au Québec,

c'est pas ça pour la majorité des gens. Les gens pensent plus à l'efficacité que l'originalité. Puis moi, j'ai juste fait, non, je vais être plus original qu'efficace. C'est qui tes humoristes préférés? Il y a Tim Minchin, que j'aime vraiment beaucoup. Lui, il est Australien? Oui, il est Australien, il joue du piano. C'est très cérébral comme humour.

C.K. je l'aime, D. Mickey Martin. Tu sais, j'aime beaucoup quand même dans quelques sphères. Puis, québécois? Plague de Concord. Québécois. Martin Petit, j'aime vraiment ses angles. J'aime vraiment ce qu'il fait. Toi, j'aimais bien pour...

Non, dis pas moi. Non, je sais que c'est pas pour toi. C'était pas pour te faire une fleur. C'était vraiment pour... Surtout que je suis le neuvième que tu nommes. C'est un prévénégien. Tabarnak. T'es juste un peu le gars du juif.

Tu nommes après. En Belgique, il y a les frères Taloch. Ils sont très forts. Ils ont un angle original. Les frères Taloch. C'est tristement pas drôle. Je suis excité de les découvrir. C'est ça leur angle.

Mais, oui, c'est ça. Je parlais justement de toi avec Jean-Thomas. C'est que tout le monde te voit comme un gars absurde, mais t'es pas absurde, mais le monde qui aime l'absurde vont t'aimer pareil. Je pense que oui, mais je pense juste que quand tu dis absurde, il y a des gens qui peuvent aimer

un humour plus concret, puis qui se font une idée « Ah, lui, il est pété, j'aimerais pas ça. » Finalement, quand ils m'écoutent, ils font « Ah, il y a une logique, j'ai une logique distorsionnée, mais c'est logique. » Tu sais, pour moi, de l'absurde, les gens font souvent le lien de « Ah, c'est absurde, ça va être drôle, je ne comprendrai

rien. » Puis moi, je suis plus dans un « À voir de quoi tu fais. » « Ah non, j'ai jamais pensé à ça. être drôle, je ne comprendrai rien. » Puis moi, je suis plus dans un « avoir de quoi ». Tu fais comme « Ah non, je n'ai jamais pensé à ça. » Souvent, moi, mes angles, ça ne sera pas comme « Ah, moi aussi, j'ai déjà pensé à ça, ça fait que c'est drôle. » Mais ça ne fait pas que c'est absurde, ça fait juste que tu fais comme « Ah, c'est une logique que jamais,

tu sais, comme de moi-même, je n'aurais pas pu penser. » C'est ça, pour moi, c'est ça mon mode humoristique, que tu vas trouver ça drôle ou tu ne vas pas ça drôle parce que toi, ça ne te fait pas rire. Tu aimes mieux la merde. Il y a toi et il y a la merde. Non, non, ce n'est pas vrai.

Non, non, ça ne me fait pas de blague. Mais pour vrai, c'est juste que je considère que c'est ça. Je fais comme de l'humour alternatif. Moi, il y a de quoi je trouve au Québec. C'est que souvent, on est trop... Il y a de l'humour hard, il y a de l'hum trouve, au Québec, c'est que souvent, on est trop... Il y a de l'humour hard, il y a de l'humour, mettons, alternatif, il y a de l'humour

absurde, il y a ci, il y a ça. Puis l'humour, je pense, c'est plus flou que ça. C'est pas de la musique. Moi, je pense que c'est vraiment plus flou que ça parce que de base, on est sur scène, on est nous-mêmes. Tu ne peux pas faire que cette personne-là est absurde.

Je suis un être humain, j'ai mes réflexions à moi. Moi, je pense qu'un bon humoriste, c'est quelqu'un qui est vraiment proche de lui-même dans la vie. Les réflexions que j'ai sur scène, je les aurais dans la vie. Tu as même un stage chez vous. Depuis maintenant, je n'ai plus de place, je l'ai donné. Mais tu avais un stage à côté de ton lit. Qu'est-ce que tu faisais avec ton stage? En fait, j'écrivais

comme ça. Moi, je suis pas capable de m'asseoir et écrire. Non, mais moi aussi, j'écris sur scène, mais ça me prend un public. Moi, non. Toi, tu faisais ton stage. J'imagine. Il existe. Le pire, c'est que c'est vrai. Moi, j'imagine des réactions. Puis après ça, souvent, j'écris des gags qui fitent avec les réactions.

Mais t'avais pas de réaction, Chris, t'as une chambre vide. Dans ma tête. Dans ta tête. Non, mais le pire, c'est que c'est vrai. Va nous étrangler, là. Fantasie aussi. Ça s'en vient. Le pire, c'est vrai.

Mettons, j'imaginais une réaction de « Ah, le monde va être surpris, mais en même temps, c'est bright, mais ilons, j'imaginais une réaction de « Ah, le monde va être surpris, mais en même temps, c'est bright. » Mais il y a des gens, là, à droite, qui vont faire comme « Non, ça n'a pas de bon sens. » Puis là, je faisais comme « Ah ouais. » Puis là, j'écrivais une joke, genre, mettons, sur la cannelle.

Puis là, j'arrivais sur scène, je faisais comme « Man, c'est la réaction. » C'est genre le rire du monde à droite, ils sont comme « Oh shit! » Je fais pas de la... T'as-tu déjà vu le film « King of Comedy »? Non.

Robert De Niro. Robert De Niro qui rêve de devenir une légende de l'humour. Il fait de l'humour dans son sous-sol. C'est pas mal ce que tu viens de décrire. Ouais, c'est ça. Il kidnappe un doux. Ça vire mal.

C'est ça. Je suis pas pour dire que ça risque de mal virer. Ce que tu viens d'expliquer, ça finit jamais bien. Juste un gros... Ça s'en va vers le talouche. Ça s'en va vers mal virer. Toi, t'as-tu un stage? Non.

Non, j'ai pas de stage, non. Moi, j'écris par je suis, genre, passant à quoi longtemps. T'écris-tu à ton ordi, sur papier ou dans ta tête? Dans ma tête, parce que moi, je me laisse toujours une marge de manœuvre quand j'écris un numéro. Il y a toujours des places qui sont, je sais que là, je vais improviser là-dessus. Je me casserai pas la tête d'essayer de trouver un gag là. Je sais que ce bout-là, je vais l'improviser. Tu vas paniquer sur scène. Je vais paniquer sur scène et je vais s'en sortir de quoi.

Parce que moi, c'est une affaire, je ne sais pas si je t'en avais parlé, mais quand tu faisais mes premières parties d'un bar, quand j'ai rendu mon dernier show, je n'avais rien d'écrit. J'avais 8 heures de prémisse. J'avais toi et Bouliane que j'aimais avoir en première partie parce que vous étiez solides.

Puis là, je paniquais vu que je ne voulais pas avoir l'air du Christ de vieux. Le crétin. Trou de cul. Qui n'est pas prêt. C'est ça son nom. Qui n'est plus dans la game.

Ça fait que... Mais nous autres, on était énervés de faire ta première partie. Ça va être fort après. Le monde va le voir, Mike. S'il s'en calisse un peu, Simon Delisle, même si on est dans sa ville natale,

il s'en calisse. Puis j'arrivais avec mon meilleur stock rodé. Moi, j'arrivais avec mes prémices. Ça marchait plus que mes trucs rodés. C'est normal. J'ai quitté l'idée de... J'appréciais les gens qui me disaient que je me sors de mon ordi et que j'écris

six heures de temps. J'étais assis et j'écris six heures. J'ai toujours eu de la misère à croire les gens qui font ça. Pas des commandes d'auteur. Mais acheter un café et j'écris six heures. J'ai toujours eu de la misère à croire les gens qui font ça. Pas des commandes d'auteur, c'est OK. Mais, je suis allé dans un café et j'ai écrit six heures. En tout cas, si il y en a qui sont capable de faire ça, bravo. Mais moi, je vais aller dans un café, je vais en prendre des notes, je vais écouter un peu le monde qui parle, je vais écrire un gag, je vais écouter de quoi. Parce que j'ai comme un petit côté déficit d'attention que je ne peux pas me

concentrer longtemps sur la même chose. Je me tanne rapidement. J'écris une heure, je fais autre chose, je réécris une heure. Je peux écrire six heures dans la journée, mais sur 24 heures. Et là, toi, tu es prof à l'école de l'humour comme writer? Non, parce que l'année passée, l'école de l'humour a envoyé un mail à des finissants pour dire, on cherche des nouveaux

cours du soir qu'on pourrait donner, qui pourraient être intéressants. Puis là, moi, j'ai pensé à faire un cours sur l'animation parce que j'ai vu bien des humoristes sortir de l'école d'humour et se dire « Hey, j'ai un diplôme d'humoriste, je vais bien animer un show. » Puis se planter monumentalement. Je me suis dit « Chris,

ça pourrait être cool d'avoir un cours sur l'animation humoristique. » J'ai créé un cours. Fait que tu apprends au finissant de l'école. Pas au finissant, j'apprends à n'importe qui qui veut s'inscrire. Moi, c'est une affaire qui me fait capissant de l'école Mais pas au finissant j'apprends n'importe qui qui veut s'inscrire Moi c'est une affaire qui me fait capoter

de l'école de l'humour qui travaille encore avec les micro-casques Mais l'école de l'humour devrait obliger les honoraires à l'établissement Fais attention

à ce que tu dis Ah ben ils peuvent je suis engagé ils me payent whatever Mais non mais dans le sens que l'école de l'humour

m'a appris plein de belles choses mais d'un autre côté ils cachent la vérité que quand tu sors de l'école de l'humour m'a appris plein de belles choses mais d'un autre côté ils cachent la vérité que quand tu sors de l'école de l'humour il n'y a pas de micro-cast il n'y a pas de mise en scène il n'y a pas de

et voici les finissants de l'école c'est ton nom puis le monde s'est encalé ça a fait de l'école non c'était pas drôle ils s'entorchent fait qu'ils devraient

obliger les étudiants à aller faire des shows dans les bars pendant qu'ils sont à l'école parce qu'il y en a beaucoup qui en sortant moi je l'avais fait avant je l'ai fait pendant des shows dans les bars pendant qu'ils sont à l'école. Parce qu'il y en a beaucoup qui en sortant... Moi, je l'avais fait avant, je l'ai fait pendant, des shows dans les bars. Fait que je suis sorti

pas trop déstabilisé, mais il y en a qui a jamais fait ça. Tes jeunes qui font tes cours, il y a combien dans ton cours? Ben, là, on était... J'ai commencé mon premier cours cette semaine, puis on était 10. Mais c'est pas des humoristes, nécessairement. Oui, non, c'est les cours du soir. Mais moi, je conseille tout le temps ça, plus que l'école. Ben,

oui, mais parce que l'école, moi, je suis pas contre, mais les cours du soir, je conseille tout le temps ça, plus que l'école. Ben oui, mais parce que l'école, moi, je ne suis pas contre, mais les cours du soir, je trouve que c'est vraiment bon. Tu as comme une base. Absolument. Tu comprends. Tu vas choisir ce que tu veux faire aussi. Tu dis, j'aimerais ça apprendre à écrire un peu mieux. Tu prends un cours d'écriture, puis ça ne te coûte pas 14 000 $,

puis ça ne t'accompagne pas deux ans de ta vie. Fait que là, toi, tu leur apprends à animer, à faire un peu de crowd work. Crowd work, comment... Comment tu apprends à animer, à faire un peu de crowdwork. Crowdwork, comment comment t'apprends du crowdwork? Ben, c'est sûr que j'ai pas la science infuse non plus. Moi, j'y vais avec mes expériences à moi. Mais tu sais, je leur apprends aussi comment déléguer du monde dans un mariage plutôt que dans un gala

plutôt que d'une chose d'humour. J'essaie de distancer les choses parce que souvent, les gens qui viennent, c'est genre mon cousin se marie cet été et je veux savoir un peu quoi faire. Ouais, c'est ça. Tu y apprends comment animer les jumeaux non non mais non je leur dis en sortant attendez vous pas à animer la disque l'année prochaine

puis en partant je lui dis vous allez vous planter c'est comme ça que vous allez apprendre le mieux vous allez vous casser les dents puis après ça je leur apprends un peu comment faire un rose comment faire un numéro d'ouverture comment dealer avec les hecklers dans différents contextes c'est assez global te sens pas déjà avec une maîtrise

en animation. C'est vraiment cool. Comment ça coûte? Comment ça coûte? Je ne sais pas demander si tu as compris. Non, mais j'ai compris comment ça va. Comment ça coûte, c'est 200 et quelques $. Ça vaut la peine. Moi, je trouve que pour de vrai, ça vaut la peine. Oui, oui. C'est le fun. Je fais des ateliers d'écriture un peu, des procédés humoristiques,

apprendre la base d'écriture. Pour les gens qui veulent juste avoir une petite base ou juste s'amuser, il y en a dans mon cours, c'est des messieurs qui font de la toiture dans la vie. Il y en a un tantôt. Moi, ça fait 25 ans que je m'accompagne de toiture. Ça me tente de faire ça, ma blonde m'a payé ça. Il veut avoir du fun. Il veut animer ses parties de bureau tout simplement fait qu'on reste très global si je faisais ce cours-là pour des humoristes

j'irais plus en détail dans certaines affaires parce que combien de fois j'ai vu des humoristes pis c'est correct aussi sortir de l'école de l'humour en se disant je suis humoriste

je peux faire n'importe quoi pis ils font ils animent une soirée pis ils se plantent c'est monumental pis je me dis d'avoir une petite formation d'animation

pendant l'école pendant les deux ans c'est pratique moi je trouve est-ce que vous êtes allé dans une église dans le même fait longtemps mais tu sais et je me dis d'avoir une petite formation d'animation pendant l'école, pendant les deux-trois. Est-ce que vous êtes allé dans une église? C'est long. Mais les curés devraient avoir un cours de même d'animation. Le rythme, mon gars, le rythme. Ils sont tellement mauvais.

Ils sont mollots. Ils ne sont vraiment pas. Je ne suis pas de vrai là. Peux-tu aller aux toilettes? Oui, non, non, tu peux. J'ai vraiment envie. Depuis cinq minutes, je suis en train de me garder dans le vide.

Je suis comme, pour vrai, je reviens-tu après sur scène? Tu renvoies quelqu'un de plus drôle. Mais, non, non, reviens après. Ok, non, j'ai envie de pipi. Ok, vas-y, vas-y. Yannick Demartino, onait que Yannick de Martineau,

on applaudit Yannick de Martineau que ça va pousser. Je reprendrai un autre verre de rosé. Bien sûr. Fait que là, on peut dire ce qu'on pense vraiment

de Yannick. Non, mais on le laisse parler. Il s'en soule. Non, c'est vrai. Mais moi et Yannick, on a fait du duo ensemble. Ça a été... C'est peut-être qu'on parle

de ça quand il n'est pas là. J'ai pas oublié de le faire. T'as-tu fait du duo avec Yannick? Oui. Ah oui, ensemble. C'est plate qu'on parle de ça quand il n'est pas là. Tu as-tu fait du duo avec Yannick? Oui. Ah oui, c'est vrai? Sur le Geek Show. C'est un projet qui avait été fait par François Beauliane, qui a fait le podcast la semaine passée.

Qui est un bon chum à nous autres. Il y avait un show que vous faites, c'était le Geek Show, un show en thématique geek. La première année, je n'étais pas là. La deuxième année, il m'appelle pour que je fasse le show. Je dis, oui, geek, ça va être cool. On va faire un rodage à repentigner. Puis là, moi et Yannick, on fait

notre numéro. Ça ressemble beaucoup. Il y a beaucoup de gars. C'est quoi les numéros? C'est les super-héros. Dans le fond, on passait les super-héros puis on « roastait » les super-héros. Je te fais un résumé très simple. Puis on voit qu'on a des gars qui se ressemblent puis bizarrement, Yannick, on n'a pas le même style mais ce fois-là, ça s'en semblait beaucoup.

On a fait, soit il y en a un de nous deux qui écrit un autre numéro, ou on le fait ensemble. Puis il est né un espèce de duo. On est assis sur un sofa, on a des manettes, puis on est comme des geeks qui jasent, puis qui droppent des... C'est vraiment cool. Ça a été vraiment une belle... Parce que moi, je connaissais Yannick, il me connaissait,

on faisait nos affaires. T'as un jet, mon gars! C'est un jet puissant. J'ai rarement vu quelqu'un qui s'était tellement clair qu'il ne s'était pas lavé les mains. C'est tellement clair. – C'est clair qu'il n'a pas eu le temps. – Tu ne dis même pas

que tu as pissé dans le lavabo juste en sortant. – Non, mais je n'ai rien touché. – Tu es juste entré etai rien touché. T'es juste entré, t'as pissé. Dans tes pantalons, mais t'as sorti ta graine, j'imagine. Non, mais je sais pas. J'ai une peine de twist.

Non, mais j'ai essayé de faire ça rapidement. T'as marché. Là, bravo, félicitations, on devrait l'applaudir. Beau jet, beau jet. Ouais, beau jet. Mais honnêtement,ement Merci Ça fait tellement du bien J'ai fait ça plus tard Je veux dire des affaires

Je voyais que t'écoutais plus Non, non, j'écoutais plus J'étais à gérer J'avais des mouvements que je pensais qui aidaient Là Simon disait que vous avez fait un duo ensemble. Oui, parce qu'au début, on avait des jokes qui se ressemblaient.

Oui, il l'a dit tantôt. Tu es arrivé là. Après le show à Repentigny. Oui, c'est ça. On avait des jokes qui se ressemblaient. En plus, on ne s'aimait pas dans ce temps-là. C'est vrai. On ne s'est pas tenu tant avec ça. En tout cas, moi, j'étais ici.

C'est là que ça sort, j'imagine. Non, non, mais on avait des jokes, ça ressemblait. Tu ne l'aimais-tu pas pour devincer? Je ne sais pas. Je ne m'en souviens pas. Je pense que j'étais ni chaud ni froid. Je pense que dans ce temps-là, on ne se côtoyait pas tant. Non, non, mais maintenant, je t'aime beaucoup,

mais à ce moment-là, ni chaud ni froid. Ça, ça veut dire qu'à un moment donné, il a dit, je peux-tu coucher chez vous? » Il t'a dit non. Puis là, lui, tout le long, en se retournant à Saint-Hyacinthe, il a fait cette crise de chauve-là. C'est à cause de lui

qu'il m'avait sorti d'en route en 2011. Non, mais toi, tu ne m'aimais pas. Hein? Non. Moi, j'ai déjà eu ça un moment donné avec, je ne me rappelle plus qui, mais quelqu'un qui m'avait dit... Mario Gels. Non, non, c'ai déjà eu ça un moment donné avec, je ne m'en rappelle plus qui, mais quelqu'un qui m'avait dit... Non, c'était... C'était un des gars

des machines de l'humour. Étienne Langevin. Il m'avait dit, tu sais, dans le temps qu'on a commencé, on s'haïssait les deux. J'étais comme, qui? Je ne t'haïssais pas. Il était comme, non, non, on s'haïssait. Là, je t'haïs. C'est là que j'ai découvert qu'il t'haïssais pas. Il était comme, non, non, ça haïssait. Là, je t'haïs. Là, j'étais comme, mais c'est là que j'ai découvert qu'il m'haïssait.

Mais moi, je remarquais même pas qu'il m'haïssait. Je pense qu'il y a beaucoup de monde dans le monde. Il y a beaucoup d'ennemis, je pense. Et Yannick Demartino a haï une personne. C'est moi. Mais plus maintenant. Non, non, c'est pas vrai. C'est son âge, les gens qui se ressemblent.

Mais c'est quand que tu as arrêté de l'haïr? Ouais, c'est pas vrai, mais sous son oeil, les gens qui se ressemblent, c'est moi qui ai proposé. Mais c'est quand que tu as arrêté de la rire? Ouais, c'est une crise de bonne question, ça. Je pense qu'on était, genre, au dépanneur, il m'a acheté une pépérette. Quand on allait au Saguenay, au sous-bois, avec Louisville, on faisait un quiz sur « connais la toune » et tu ne connaissais pas les tounes. « Toi, es-tu pas cultivé, gars? Je ne connais pas les tounes comme vous autres

Je suis insécure On a fait un duo On en a fait un, ça a tellement marché qu'on en a fait un deuxième Deuxième numéro, même concept Sur sofa avec des manettes Juste dropper des lignes geek Ça a fait dans le geek show Juste visuellement

Yannick sur un sofa c'est drôle Le gars le plus poilu de la face De l'humour dans le geek show pis le monde avait bien du fun parce que juste visuellement moi pis Yannick sur un sofa c'était drôle t'sais t'as le gars le plus poilu de la face de l'humour avec le gars le moins poilu

là je suis insulté parce que je suis insincure mais c'est vrai que vous êtes les deux diamétralement opposés même dans le delivery moi j'ai quelque chose

de plus un peu plus énervé pis bizarrement avec un couple pas d'adrénaline t'as aucun adrénaline tu devrais être comme Stephen Wright

ouais je devrais être à la limite comateux c'est weird parce que moi jas aucun adrénaline. Tu devrais être comme Stephen Wright. Tu devrais être à la limite comateux. Moi, j'ai l'air super calme, mais je vis vraiment intensément mes stress. Vois-tu, quand il est allé au toilette, il n'a pas pissé, il a juste crié. Ça me dit bien. Je vais te dire, j'ai déjà perdu ton chien. Oui, je sais.

Je sais, tu me l'avais dit. Je te l'ai dit. Pour le retrouver, t'as eu la brillante idée de parce que j'étais saoul, pis t'as eu la brillante idée de mettre sa moulée sous ma graine pour qu'il revienne. Parce que j'ai de l'âme d'un gars

qui est sans chien. T'as l'habitude d'un loup. Ouais, c'est ça. Mais ouais. C'est vrai, c'est vrai. C'est vrai, c'est vrai. On avait été à... Ça sent le gars là. J'ai été en show à... Ah, vous'est vrai. C'est drôle. On avait été à... Ça sent le gala. J'étais en show à... Vous n'êtes pas les seuls à faire un duo. C'est dommage ça.

Non, mais on était en show à Longueuil. Il habite à Longueuil. Puis après le show, quand c'est le show, il a fait que, « Hey, venez chez nous, mon conduit. » C'était dans le temps. Chris, en 2014, on avait le droit de chauffer sous, hostie. Chris, on vivait notre jeunesse.

Dans le temps, c'est nice. Avant le poids 0,8. Mais on est arrivé rapidement. Mais c'est pas moi qui ai chauffé pour de vrai. Ben oui, c'est toi. Calisse. Ça compte pas, je m'en rappelle pas, hostie. C'est pas moi pour de vrai.

Je te jure, c'est toi. Je te jure, c'est toi. Je te disais, comme, on va marcher. Mais j'ai pas de permis, hostie, fait qu'on s'en gagne. T'as pas jamais. Je me souviens, je t'ai dit, non, non, mais on va marcher.

Pis t'as fait, non, non, non, parce que moi, j'ai un char, j'ai un gros truck. T'as dit, je suis élevé du gratin. T'es char, j'ai un gros truck. Chris, j'ai élevé du gratin. Viens dans mon truck. Viens dans mon truck. J'ai un petit canapé.

On est arrivé chez eux. Ils m'avaient dit, je te fasse de la bouffe. OK, on va se faire une hacheuse. Je me suis dit, OK, parfait. Il est parti chercher de la bouffe. C'est une vidange. J'étais avec d'autres membres dans la cuisine.

J'attendais qu'ils amènent les trucs pour les nachos. Je dormais. Ça faisait un bout. J'ai fait « OK, je vais aller checker. » Tu avais ouvert Netflix. Il était couché à terre comme s'il était mort pis moi à ce moment là

je me suis dit bon moment pour aller fumer une cigarette pis j'ai été fumer j'ai laissé la porte ouverte pis le chien est parti pis là j'ai checké au moins c'est le bon moment que le chien s'ouvre pis ça me laisse quand même un bon temps

pour le retrouver. J'ai commencé à chercher. Pendant un bout, je checkais. Mike, est-ce qu'il dormait encore? Peut-être qu'il était mort, me disait-tu. Il va y avoir longtemps, juste avant. Puis finalement, c'est ça, j'ai mis sa bouffe. Tu m'as dit que tu as pogné le bol

de bouffe de mon chien, puis tu as laissé la porte ouverte, puis tu as mis la bouffe sur moi pour que le chien, comme s'il était dans la rue... Il semble comme la nourriture et son maître. C'est logique. Pour un autiste, c'est logique, comme raisonnement.

Si tu comptais cette anecdote-là à Rain Man, il feraitait je comprends mais finalement il est là ton chien il est mort non il est encore vivant pis moi je savais même pas cette histoire là ben non

c'est toi qui me l'as dit genre un an après mais moi le lendemain je m'en suis pas rendu compte non mais c'est ça on me l'as dit, genre un an après. Mais moi, le lendemain, je ne m'en suis pas rendu compte. Non, mais c'est ça, on est parti et il dormait encore. Tu sais, est-ce que vous avez barré ma porte ou vous ne savez pas comment barrer ma porte? Non, je ne savais pas comment barrer. Tu ne sais pas comment garder un chien à l'intérieur. Tu ne sais pas comment barrer ma porte.

Mais moi, je suis le seul qui se disait, ils m'ont resté là. Mais tu voulais dormir chez nous. Non, mais tout le monde disait, viens, on va se pogner un taxi. Je suis comme, non, moi, le lit de Mike est libre. Il est couché dans le co-mix. Ça le dérangerait pas.

Il a l'air confortable. J'ai dit ça, j'ai voulu fourrer en avant d'aller. Ça aurait été malade que je me réveille de mon blackout. Tu es en train d'enculer mon chien dans mon lit, king. Là, je voulais juste voir, y'a-tu, bien, Yann, y'a-tu du monde qui en est question?

Y'a personne? Y'a-tu, on est plus live sur YouTube. Calisse qu'on est bas de gamme, hostie. Tabarnak de cette gang gang d'ABS. Y'a-tu du monde, y'a quelqu'un qui a la main levée, là? Ouais, moi, je me demandais, j'étais dans une famille en France,

où on est dans des pays en France, où on est dans des pays en France, mais, j'ai l'impression que c'est un genre de, où est-ce qu'il y a des pays en France, qui sont pas aussi bas. Moi, je pense, ben, c'est ça la question, c'est que, tu sais, au Québec, tu sais, on est dans des petites gaz, pis aux États, c'est ça la question, c'est que au Québec, on est dans des

petites gaz, puis aux États, moi, je pense que c'est partout pareil. Ça sécurise les gens, je pense, de catégoriser les choses. Mais l'affaire, par exemple, aux États, un gars comme Louis C.K., qui est un humoriste trash,

c'est l'humoriste le plus grand public en même temps, tandis qu'ici, au Québec, on aime ça avoir notre meilleur vendeur ultra grand public. On aime avoir un Louis-José Hood, un Sugar Sammy, à la limite.

Mais je pense qu'il existe, par exemple, plus de catégories. Aux États? Oui, parce que j'ai entendu souvent aux États-Unis, il y avait beaucoup « off the wall », « art », il y en existe beaucoup. Puis en français, c'est beaucoup... Personnage, pas de personnage. Mais dans le temps, c'était ça.

C'était vraiment, lui, il fait du personnage, lui, il fait pas de personnage. Yes! On a nos catégories moi je pense que si j'en faisais en anglais personne me dirait que je suis absurde non mais la catégorie alternative existe en anglais pis qu'est-ce qui est weird

c'est que là moi je fais un festival à Toronto pis je suis dans la section alternative pis moi je suis le gars le moins alternatif de l'histoire, de Christian Barliuzard qui fait des blackouts avec son chien qui mange la mouline sur sa graine.

C'est une catégorie en soi. Oui, c'est ça. Je suis devenu alternatif à cause de toi. Sans ça, je ne serais pas alternatif. Mais oui, c'est ça. Mais je pense, moi, pour de vrai, la différence entre l'humour français, anglais ou québécois-américain,

c'est... Tu sais, je pense... La différence est de plus en plus petite. Moi, je pense, tu sais. Puis moi, je me rappelle, quand j'étais petit cul, je n'aimais pas l'humour québécois parce que ça ne venait pas me chercher. Mais là, je me rappelle quand j'étais petit cul, je n'aimais pas l'humour québécois parce que ça ne venait pas me chercher. Mais là, je sais que si je serais petit cul,

il y aurait tellement d'humoristes qui viendraient me chercher, vu que c'est tellement varié. Oui. Y a-tu une autre question? Oui. Est-ce que le monde de la marée

a peut-être une sorte de forme de l'histoire dans le monde? Ça, puis avant de répondre, on l'entend-tu ou suis-je obligé de répéter? Ok, il faut que je répète. Ou crie. Répète ta question. Ça va la région! Il voulait savoir quand on se promène

beaucoup en région, y'a-t-tu une différence entre la région et la ville? Puis moi, je pense, il n'y a pas juste une différence entre la région

et la ville, mais ça dépend des régions. C'est juste normal. Ils n'ont pas la même culture, ils n'ont pas le même rythme de vie,

ils n'ont pas le même genre de job le plus longtemps. Quand tu vas faire un show au Saguenay ou à Val-d'Or ou à Saint-Hyacinthe, je ne fais pas le même.

Moi, je viens d'écrire un nouveau numéro que chaque région du Québec est comme trop fière de sa colliste de région. C'est vraiment vrai. Moi, j'ai eu un gars un moment donné, puis ça, c'est un gag de mon affaire, je faisais deux soirs à Drummondville

puis quelqu'un m'a dit, je couchais à Drummondville, puis il m'a dit, « T'as-tu pris le temps de visiter... » L'hôtel dauphin, est-ce-ci, pis le Normandin? Ben oui, le Walmart. Je suis allé au Walmart. Ah ben, regardons ça, aussi. T'allais déjeuner au Normandin. Ah, oui, c'est vrai. Le Normandin. T'es malade.

Ma soeur, aussi. J'ai pas mangé un spaghetti pis le déjeuner. All right, est-ce-ci? T'es malade. T'es malade. Tu es même de 4 ans. » Moi, j'ai une théorie. C'est que quand tu voyages un peu, quand tu vas en Europe et que tu reviens au Québec, tu réalises que chaque ville au Québec est aussi belle

que n'importe quelle ville en Europe pendant un coin de rue et demi. Ouais. C'est vrai. Moi, Longueuil, je reste à Longueuil. Longueuil, là, il y a un petit bout du vieux Longueuil qui est beau en tabarnak.

Mais il est court. Mais il est court en esti. Puis moi, ma rue, il y a trois rossis. Tu sais, fait que c'est un truc géant. C'est pas si beau que ça. Je sais de où tu parles, je reste pas loin. Sur Cousineau.

Y'a-tu une autre question? Ouais? Changez d'accent. Non! Bon, ouais, bon, ouais. Ok, fait que là, c'est normal que le gars du Saguenay est un peu raciste. Je suis né avec ça.

Il a demandé comme question c'est quoi le conseil qu'on donnerait à un nouvel humoriste. Moi, un nouvel humoriste, moi, j'irais avec juste soit toi-même. Puis travaille. Travaille, puis va voir des shows puis reste jusqu'à la fin, puis j'ose avec le monde, puis fais...

Comprends le milieu, parce que des fois, ils vont juste faire le number, ils viennent de commencer, puis ils s'en vont tout de suite. Il y a plus à comprendre que juste l'humour là-dedans. Toute l'univers qui va au travail. Travaille, reste jusqu'à la fin, pose des questions, puis tu vas arriver à quelque chose. Maintenant, il faut se comprendre

comment ça se passe, sinon pas juste faire des jokes. Moi, je dirais, trouve-toi mauvais. Oui, il faut que tu te plantes. Plante-toi. Non, mais au début, il faut que tu te trouves pas bon. Parce que sinon, si tu te trouves excellent, tu vas être à chier. Moi, j'ai eu une théorie un moment donné que c'est un gars qui m'a dit, c'est même pas ma théorie. Toi, la première fois sur scène, je t'avais vu, t'avais été bon.

Non, mais la première fois que tu m'as vu, c'est pas la vraie première fois. OK, c'est même pas ma théorie. Toi, la première fois sur scène, je t'avais vu, t'avais été bon. Non, mais la première fois que tu m'as vu, c'est pas la vraie première fois. C'est la première fois, tu sais, moi, je suis allé de l'impro au secondaire, j'ai animé des choses. Moi, j'étais pas là. L'impro à Granby, je l'ai fait. Non, mais c'était ma première fois à Montréal, j'ai fait des bars.

Moi, je regarde... Non, mais le problème, c'est que quand j'avais 16 ans, j'ai participé à un concours D'humoristes genre Pis il y avait des humoristes Qui en font aujourd'hui Genre il y avait Frank Grenier

Écoute pis humoristes qui étaient là Moi j'avais 15 ans Pis j'ai gagné le concours Pis je me souviens que Hey man il était en tabarnak Parce que tu sais moi j'étais pas J'étais pas Yannick Lomarsino J'étais le gars de 15 ans

Qui gagnait le concours Un peu weirdo qui gagne le concours. Ah oui, en tout cas. Anyway, juste pour dire que j'en ai fait des shows, mais tu sais comme, le premier show que je considère un vrai show, tu sais, c'est quand j'étais un adulte à Montréal. Fait que, tu vois. Moi, par exemple, c'est très long ton affaire avant que je parle là,

mais c'est... très long ton affaire avant que je parle, là, mais c'est... Moi, l'affaire que je voulais dire, c'est que... Non, c'est un gars. Mais, moi... Depuis tout à l'heure, c'est plate. J'aurais dû te dire au début, mais t'as de quoi ici? Vu que tu viens de m'insulter, je pense que c'est le moment de te le dire. Pas grave. T'aurais dû te le dire. Très grave.

Tu aurais dû te passer à soi dans la terre. C'est un calme. Tu as un aussi truc dégueulasse. En tout cas, moi, si j'écoutais ça chez nous, je ferais... Je garderais juste le son. C'est pour ça que le YouTube a planté, tout le monde s'est déconnecté. Sa bouche est dégueulasse. Il y a un chou de Bruxelles dans la dent.

Ça c'est une convention de dentistes. Les 7 erreurs. Il va se désabonner. Je vais juste regarder ma tête. C'est pas si pire. On a exagéré beaucoup trop. Mais moi, c'est cool parce qu'entre mes dents, il n'y a rien qui peut rester poigné. Non, attends.

Non, non, tu as quelque chose. J'ai-tu encore de quoi? Je te jure, tu as quelque chose. Ouvre la bouche. Oui, oui, je le vois. Genre du pavot. Tu le vois-tu? Non.

Fait que si tu tu touches c'est qui c'est ici là je ne vois pas tu vois pas est-ce que quelqu'un m'amène un cure dent mon... mon... va t'arrêter ça live mais c'est ça t'as tu... il va juste se péter... Non, pas comme ça!

J'en ai-tu encore? Elle est bien ancrée, j'dirais! Qui a eu de? C'est peut-être une tache de naissance! Ah ouais, c'est la taille! Ah ouais! Hé! Avec tes dents de naissance! T'sais, tes dents qu'on voit là à la naissance! Ben c'est pas grave, c'est parce que moi, je suis à ta droite.

Moi, je ne l'avais pas vu, Mike. Mais tu es en avant de moi. Oui, mais je suis un peu aveugle. Non, mais moi, je suis à la droite. Toi, tu me fixais là-dedans. Moi, ça fait un bout. Tu sais, quand elle t'a dit comme, « Hey, tu ne parles plus trop »,

j'étais comme... Il n'avait pas envie de pousser, il est allé rire. Il n'avait pas envie de pousser, il riait. Il faisait « Asile Magwa » avec les dents sales. Je l'ai mis sur Instagram. Est-ce que c'est vrai? C'est un beau moment.

Plante-toi. Oui, c'est ça. Moi, j'avais, avant d'avoir peur que le monde ouvre mes dents, moi, j'avais, il y a, tu sais, les premières fois que tu fais des shows, tu fais tout le temps un 8.

La part des humoristes qui font ça comme métier, font un 8. Puis dans les 2, 3, 4, 5e shows, on se pète toute la gueule. Puis je pense que le show que tu te pètes la gueule est plus important que le show que tu fais un 8. Parce que la première fois que tu fais un 8, tu te dis que c'est hot, que tu aimes le feeling.

Mais quand tu te pètes la gueule, tu réalises que ce n'est pas aussi facile que ça. Puis après, tu te rappelles la fois que tu as fait un hit. Puis là, tu te dis que tu vas être capable de redevenir ce gars-là. Puis là, je viens de sentir l'affaire sortir de ma dent. Puis j'ai gagné. On a réussi. Un jour, tu, tu dis, là, je n'étais pas bon,

mais là, je n'ai plus rien dans. Et, y a-tu une autre question? Oui? De quoi ça a l'air de se péter la gueule? Pour la crisse que c'est mauvais. Mettons, une fille t'invite chez eux, puis t'es tellement excité que tu viens même avant d'être déshabillé

pis t'sais y'a plus aucun espoir autour pis t'es un peu mort en dedans, c'est ça c'est même pire que ça c'est même pire que ça mais le plus haut que je peux avoir le référent mais pour moi aussi c'est parce que l'humour c'est toi

quand tu te plantes c'est pas genre ton oeuvre que le monde aime pas c'est toi. Fait que tu sais, quand tu te plantes, c'est pas genre ton oeuvre que le monde aime pas, c'est toi. Il aime pas ton âme. C'est ça, il aime pas toi, esti, fait que tu vis ça longtemps. Mais moi, en plus, pour vrai, j'ai eu de la misère, tu sais, quand il y a un bout de, tu sais, vu que... T'avais fait un show un moment donné

que le monde n'aimait pas ça, sauf le gars qui était vraiment beau. Oui! Ah oui, c'est drôle. Ah oui, c'est drôle. Insight. gars qui était vraiment beau. Oui! Ah oui, c'est drôle ça! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! C'est riche! Inside! Mais ça, parce que

Daniel Grenier, moi, Daniel Grenier, anciennement des Chickenswell, qui fait mes premières parties, qui est l'homme le plus positif de la carliste de planète. Des fois, là, t'as des shows que le public sont un peu de la marbre, mais Daniel Grenier, le public public c'est jamais de la marbre sont tout le temps le monde pourrait lancer des couteaux lui va faire un y était bon seul dans le

milieu de bien d'affilés beaucoup trop ça c'est super aiguisé il fait un gag manier il avait fait daniel grenier avait fait un show dégueulasse avec yannick pierre guillaume wagner et c'était un public de marques. C'était un public de militaires. Tout le monde pourait. Daniel Grenier a fait « Salut, je m'appelle Daniel Grenier. » Déjà, les militaires avaient dit « Daniel Grenier! »

« Man, il m'appelle Daniel Grenier. » Tout le monde avait dit « Daniel Grenier! » Il a essayé de faire une job à Daniel Grenier. Moi et Guillaume, on était backstage. Le stage était comme des... Je ne sais pas ce que c'est le nom,

mais quelque chose qui divise le public. Un mur. Un mur. Je ne sais pas comment ça s'appelle. Je ne sais pas. Les termes du monde le vident. Je suis architecte. De quoi, là?

Mais, euh... Fait qu'on est là, derrière le mur. Pis, euh... Non, mais... Non, mais c'est un mur portatif. Un mur portatif? Des cloisons. Non, mais, genre...

Tu sais, il y a ça quand t'es au primaire, c'est du tapis. Ouais, mais comme dans les choses à bureau. Des paravents. Ouais, des genres de paravents. Bon. Je pense pas que c'est le mot, mais il a hâte que je finisse de parler. Ouais.

Non, mais en tout cas, il y a ça. Pis là, on fait tabarnak, ça a l'air rough. Pis finalement, on fait le show, pis quand on s'en va, moi pis Guillaume, on fait, cas, il y a ça. Puis là, on fait tabarnak, ça a l'air rough. Puis finalement, on fait le show. Puis quand on s'en va, moi et Guillaume, on fait, on décolle ici. Puis Daniel, il a essayé de vendre des T-shirts. Il a dit, il y a des fans ici. Il vendait des T-shirts.

Puis en tout cas, quand on revient à notre chambre d'hôtel, vu qu'on est sur une base militaire, on ne peut pas arriver avec notre propre voiture. Fait que tu sais, on a été apporté par quelqu'un d'autre. Puis quand on s'en va... Le colonel Moutard. Je vous emmène! Là, moi et Guillaume, on fait... C'est de la merde.

C'était de l'hostie de merde. Puis moi et Guillaume, on fait... Il y a un gars qui arrêtait pas de déranger tout le show. Qui est-ce ça? Quel gars? Voyons, le gars qui dérangeait tout le temps. Ah oui, le bel homme! On faisait... Il même pas gay.

Non, non. C'est vrai que c'est un bel homme. Puis là, on s'est dit qu'il paraissait correct. Daniel a fait « Non, il pourrait jouer dans des films. » On croit Daniel qui dit ça. En plus, on l'imagine très bien. Il pourrait jouer dans des films. Des beaux films.

Le gars laisse Daniel et remarque sa beauté. Après, il a dit que c'est vrai qu'il était désagréable. Est-ce que c'est drôle? Je pense qu'on devrait... Y'a-tu une autre question? On devrait finir sur ce high-low. Oui, absolument. C'est échoué

vu qu'on n'a pas fini. Ce n'est pas grave. Est-ce que vous avez de quoi plugger? Pas en particulier. J'ai des choses qui s'en viennent. Ton Twitter,

c'est quoi? Si mon délire, tu peux le trouver. Sinon, c'est A Commercial de Mojaf. Yes, tu es allé

pour la simplicité. Je suis allé au début en me disant que mon nickname, je vais être awkward. C'est une très mauvaise idée. C'est quoi? Dans les Simpsons, il y a un gag. Le maire Quimby se fait passer pour un chauffeur de taxi et il s'appelle Mohamed Jaffar.

C'est un Mohamed Jaffar. C'est un gag des Simpsons. C'est une bonne idée. Sur le coup, à 15 ans, avec des cheveux et des saucisses, c'est une bonne idée. Si le une crise de bonne idée Sur le coup, à 15 ans Avec des cheveux et des saucisses Le monde ne comprend pas comment ça marche sur Tour Eter Mets ton nom Aujourd'hui je regrette amèrement

Sinon mon Facebook c'est Simon Delisle Il y a mes dates de show Quand je fais des affaires c'est de plugger là-dessus Achetez-moi ce dropbox M'envoyez des photos de ma grand-mère dégueulasse On va le faire c'est très drôle merci beaucoup tout le monde merci gros gros gros merci à Yann Thériault merci à Michel Grenier merci à Luc merci à tout le monde ici Au bordel Merci à vous

Qui vous déplacez Puis là vous êtes tenus en crise d'applaudir Mais merci de vous déplacer Puis merci au monde à la maison Ceux qui regardent en reprise Parce que Yann n'est pas assez compétent Pour qu'on regarde ça live Tout le long de l'émission

Merci de l'invitation, Mike. Merci à vous.