Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #47 (Sylvain Laroque et Didier Lambert)

Episode Date: January 18, 2016

Cette semaine à Sous Écoute, des confessions particulières alors que Mike reçoit Sylvain Larocque qui s'est tapé la soeur du deuxième invité, Didier Lambert.     ★ Support this podcast on Patreon ★

En direct du Bordel Comedy Club à Montréal, voici Mike Ward sous écoute! Merci, Asti! On dirait que... Dans un bout de temps, je vous parle. Non! Non, c'est ça, ce que j'ai expliqué avant, mais Yann a oublié d'enregistrer. Calisse! Ça fait 20 minutes que je parlais au monde ici dans la salle, pis je sortais plein de bonnes blagues, mais

vous autres à la maison, fuck you, Asti! C'est ça, la morale de l'histoire. Si tu veux vraiment vivre l'expérience des micro, tu écoutes, tu viens au bordel, ça coûte juste 5$. Ça coûte rien, c'est 5$. Il n'y a rien là. Un Big Mac, c'est rendu quoi?

C'est comme 5,60$. C'est moins cher à entendre, avoir deux heures d'humour que de mourir du cancer. Fait que c'est... C'est magique. Je veux m'excuser pis ça, je vais leur dire, je l'ai dit tantôt pis là, t'enregistres-tu? Je veux juste...

La semaine passée, j'étais, moi, là, j'ai comme un problème d'alcool. Mais... j'ai comme un problème d'alcool. Mais moi, dans ma tête, je n'ai pas un problème d'alcool. Moi, dans ma tête, je suis festif. Moi, je suis feeling, je suis le fun.

Mais la semaine passée, j'avais... J'avais... J'avais Philippe Laprise comme invité pis Mélanie Ganimé pis là, moi j'étais bien chaud, eux autres étaient

à jeun pis là, fait que je veux juste m'excuser à eux autres c'est ça qui est weird de, la semaine passée c'était comme un recette-pompette, mais c'était rien que moi qui étais au courant. Moi, je buvais des recettes-pompettes,

puis eux autres, ils avaient leur plancher-pancher. C'était weird au bout. Mais c'est ça. Je veux m'excuser pour de vrai. Parce que moi, ce show-là, je veux être festif, il n'y a rien que je prépare

puis les invités qui viennent à l'émission, j'espère qu'ils vont avoir du plaisir puis c'est ça, dans le fond, je veux m'excuser. Fait 11 fois, je m'excuse puis ça fait weird de partir un show avec autant d'excuses puis là, tu fais,

tout le monde qui n'a pas vu l'émission, fait comme, crée, je vais aller voir l'émission, moi, c'ti! Mais là, à 48 minutes, je sors ma graine pis je donne des claques dans la face! Elle fait la prise, ça, c'ti!

Je l'appelle Mario Jean. Oui, mon gros colis! Ça semble-là que c'est des chips. Pis... Parce qu'il tripe ses chips, Mario Jean. OK. Bon. Fait que là, on va... Fait que je pense qu'on est prêts pour enregistrer l'émission.

Je veux juste être sûr. Yann, on enregistre-tu? OK. Fait qu'on enregistre. Fait qu'on est correct. Si vous n'êtes pas abonné à l'émission, c'est ça. Si vous voulez venir voir l'émission, vous venez au bordel. Ça coûte juste 5$. Abonnez-vous

à Mike Woods sous écoute sur iTunes, sur SoundCloud. On est sur SoundCloud, mais on n'est pas sur SoundCloud. On est sur YouTube. On est sur Stitcher bientôt. Fait que... Allez sur Stitcher bientôt.

J'aime ça. Stitcher bientôt. C'est drôle, la nastie, ça. Stitcher bientôt. C'est drôle, la nestie, ça. Stitcher bientôt. Ça sonne très... Ça sonne... T'as quel âge? 18 bientôt.

T'es en train de fourrer une fille de 14 ans. Moi, c'est... Bon, OK. Fait qu'on va... On va tout de suite passer à mes invités. Puis ça fait weird comme lien. Est-ce qu'il faut fourrer une fille de suite passer à mes invités. Ça fait weird comme lien. Il faudrait une fille de 14 ans. Mes invités, mais...

Je suis très content de les avoir. Mesdames et messieurs, voici... Puis là, t'es sûr que t'enregistres? Je veux juste être sûr qu'on enregistre pour de vrai. Mesdames et messieurs, voici Didier Lambert et Sylvain Larocque! Salut les gars! Salut Sylvain!

Sylvain, sa deuxième fois, il a déjà fait le show à l'époque qui avait un mauvais son, mais que aussitôt qu'on commençait à enregistrer, ça enregistrait pour de vrai. Oui, tout à fait. Il avait ça, c'était le fun. Puis toi, c'est ta première fois.

C'est ma première fois, puis le son fonctionne. Oui. Est-ce que vous connaissez un peu, vous autres? Didier fait souvent ma première partie en show ces temps-ci. Quand on fait des cabarets, tout ça, il fait tout le temps ma première partie. Il fait une super belle job, en fait. Alors, t'es bien smart bravo

j'ai arrêté ça j'aimais ça que ça soit un essai de malaise weird il m'a sucer quand j'avais 9 ans quand j'avais 9 ans c'est ma soeur qui l'a sucé je le sais pas le pire c'est ans c'est ma soeur qui l'a su je le sais pas le pire c'est que c'est vrai

là j'ai couché avec sa soeur mais je m'en souviens plus c'est ça qu'il m'a dit c'est une drôle d'anecdote c'est drôle t'as fourré sa soeur elle était peut-être du côté gauche c'est ça

c'est bon c'est là que tu vois que t'as fourré beaucoup de filles pour que tu t'en rappelles pas il y a des périodes de célibat assez intenses moi j'ai vécu ça l'autre fois avec Phil Bond tu l'as fourré

tu l'as fourré Phil Bond toi aussi je faisais l'ém fourré, ce Phil Bond. J'ai jamais fourré Phil Bond. Toi aussi? Je faisais l'émission, tu sais, Éric Salvaire, Radio. Je sors, Phil Bond, il est sur le show en même temps que moi, on sort, il y a huit filles qui font comme, on est des filles d'habitude,

on est en ville, on peut-tu avoir des photos? On prend des photos, je dis huit, mais ils sont six filles. Puis là, on prend les photos, puis une des filles, elle fait « Hey, on a eu des relations sexuelles. » Elle file, puis elle est comme « clic ». Puis là, il fait « Hey, ben salut. »

Puis il commence à parler, puis il fait « Ah, je m'en rappelle. » Puis il fait semblant qu'il s'en rappelle. Et il y a une autre fille, elle fait « Moi aussi, je t'ai sucé. » Puis là, c'est comme tabarnak. En gros, la graine a fait les bornes et les bras par tabarnak. La seule partie de son corps qui n'est pas orange, c'est sa graine.

Ils ont sucé toute la couleur. Après, il a été bien drôle. Il m'a texté et il a dit «La madame qui a pris la photo aussi, je l'avais fourrée». Très drôle. Il est généreux de sa personne. Oui, très généreux de sa personne.

Toi, t'as-tu... Fourré? Ça m'est arrivé. T'as déjà fourré? Moi, j'ai mis beaucoup d'argent dans la boisson. T'as-tu une blonde, par exemple? Il était barman avant, lui. Ça aide. Ça n'a eu pas, mais ça... Barman? Mais t'as l'air un peu

de Kenny Rogers. C'est vrai! Un mélange de Kenny Rogers et Chuck Norris. C'est vrai! Slack sur Kenny Rogers pour être un calice. C'est mon petit côté. Pierre, tu pognes-tu? Tu pognes-tu pas mal?

Je suis pas un gars qui pogne tant que ça, mais je pogne. Je sais pas, je suis pas... Je suis pas un bon critique pour ça. Mais je vais demander aux filles. OK, les filles. Non, non, pas obligé. Ça, c'est mauvaise, tu sais.

Oui. La maladie de jambon, elle fait « Chris, je vais être obligé de failler. » Y'a-tu... On va demander aux deux filles, là, qui mangent des nachos. Les deux filles qui s'en collissent. Il y en a qui ne veulent déjà pas. Ils vont être obligés de failler. On va demander aux deux filles qui mangent des nachos. Les deux filles qui s'en calissent. Mais pour de vrai... Non, OK, mais tu veux que je le demande?

Mais parce que t'es... Ah oui, demande-les. On va le demander. Y'est-tu bel homme? C'est qui... C'est qui qui aimerait coucher avec Un gars Un gars

Un gars Ok ben si ça ça arrive T'oublier pas de filmer Carlis Pis le père lui Il niaise pas C'est ça qui est drôle Il est bandé ben raide Il est comme d'habiller le temps

C'est qui je trouve Sur Chuck Norris T'habilles le temps Que j'ai le jeu Mais pour de vrai T'as un look T'as un look Il est comme d'habiller le temps. Je trouve ça Chuck Norris. C'est depuis le temps que j'ai le jeu. Mais pour de vrai, t'as un look old school un peu. Ouais.

T'sais, la barbe, t'as de l'air... J'ai ce look-là depuis que j'ai 20 ans à peu près. J'étais old school avant le temps. J'étais preschool. Là, j'ai old school. Là, je suis old school. Non, mais t'as un look un peu amiche. Ah ouais, je vois ça. Mormons amiche.

Ah ouais, c'est ça. Ben oui, c'est ça. Ben, c'est moins ça. J'aime bien ça me promener dans des champs, pas d'internet, rien, avec une petite calèche, pis des chevaux pis des filles naïves qui comprennent rien. Tu devrais essayer d'aller fourrer des filles juifs à Siddiq. Ben, j'ai déjà essayé. Ça a-tu marché? Ben, j'ai arraché la perruifs à Siddiq. J'ai déjà essayé.

Ça a-tu marché? J'ai arraché la perruque. Non, honnêtement, je ne sais pas. Je ne suis pas avec mes cheveux. Je suis un vilain. Quand je n'ai pas les cheveux, je suis bien des deux doigts. Non, ce n'est pas vrai.

Je ne sais pas. C'est super graphique et weird. Je ne sais pas. Comment vous vous êtes rencontrés? On a le même agent, on a le même gérant de Sophie Caril. Puis, on s'était rencontrés, on allait faire un show à Gatineau. Ensemble. Moi, je conduis pas le soir, mais il avait conduit tout le long. Puis, il avait mis ça en train.

Oui, c'était drôle. On avait du fun. Puis, il a mis le siège chauffant dans le tapis. Puis, moi, j'avais rien dit. J'avais subi ça tout le long du voyage pour péter du fun. Il a mis le siège chauffant dans le tapis. Moi, je n'avais rien dit. J'avais subi ça tout le long du voyage pour péter son fun. C'était sûr qu'il devait faire « Man, Christ, c'est bien chaud! »

J'ai juste rien dit. Qui n'a pas fait ce coup-là une fois dans sa vie? C'est tout simple. C'est là qu'on s'est rencontrés. Après ça, on a fait une dizaine de shows ensemble. Moi aussi, je suis rendu de même. On dirait plus jeune. Ça ne me dérangeait pas chauffer.

Puis là, c'est là que j'ai vu que je suis un esti de bonhomme. Ma première partie chauffe. Puis ça fait partie de sa job. Oui, mais moi, j'étais avec d'un oeil le soir. Pas évident. De jour aussi. Toi, tu as déjà frappé. Mais tu as déjà frappé Boucard Dior.

Oui, j'en parle dans mon show. Je ne l'ai pas frappé. Je ne l'ai pas frappé. J'ai? Oui, j'en parle dans mon show. Il est pas frappé. Il est pas frappé. J'ai failli le tuer. C'est pas pareil. Tu l'as nudgé. Tu l'as poussé dans le banc de neige. Ce qui est arrivé,

ce qui est arrivé, c'est qu'un soir, Boucard restait à côté de chez vous. Boucard restait. Il restait à trois maisons de chez nous. Il restait encore là. Voilà, exactement. Et puis moi, la situation de marde,

j'ai mon oeil. Un soir, je veux rentrer dans mon entrée de cours. C'est un soir d'hiver, c'est glacé, il fait noir. Et Boucard, lui, il marche devant mon entrée de cours. Tu comprends? Et ce soir-là, Boucard, il portait des bottes noires, des pantalons noirs, un manteau noir. Et pour une fois de sa crise de vie,

il souriait pas. OK? Je l'avais pas vu. Je l'ai vu la dernière minute. Je frôle les brakes. Mon char continue à avancer. Il est tombé dans le banc de neige, mais je l'ai pas accroché» Je l'ai vu la dernière minute. «Tu frôles les brakes, ici!» Pis là, mon char continuait à avancer. Finalement, il est tombé dans le banc de neige, mais je l'ai pas accroché rien. J'ai été le voir, j'ai dit «C'est correct!»

Il est foncé, hein, Chris Bourreau? Oui, un petit peu, oui. Pour de vrai, là, ça prend un flash le jour. Oui, c'est ça, exactement, exactement. C'est assez drôle, la neige. Il est noir, bleu. Blue-black. Oui, c'est ça.

Fait que là, je m'en vais le voir, pis il avait pas de blessure, rien. C'est un îlot de chaleur, ce gars-là. Sauf qu'après ça, chaque fois que je passais devant Jésus avec les chiens, que je marchais, il sortait à la tête de la porte, pis il dit, «Assassin!» Mais c'est la raison pour laquelle j'en parle.

Mais il boit, encore il boit. Il boitait avant l'événement. Il boitait avant l'événement. Je tiens à le spécifier. Je le vois marcher devant Jésus, pis il marche weird. Pis à chaque fois, je fais « Christe, c'est le vin de la roque! »

Il a blessé mon corps. Il pouvait avoir l'événement. Mais la raison pour laquelle j'en parle en show, c'est que je me suis dit, bon, mettons que je l'avais blessé sans faire exprès, les policiers seraient venus me voir, pis m'auraient demandé « Monsieur Larocque, êtes-vous raciste? » Et c'est pas le cas, je suis pas raciste. Après ça, ils auraient demandé « Mais si il avait été blanc, l'auriez-vous frappé? »

Je fourrais avec la question, on est-tu, moi, là? T'es obligé de dire non, je l'aurais vu, tu sais. Et c'est un numéro sur le racisme qui commence à partir de là, tu sais. Voilà. Mais c'est vraiment arrivé. C'est vraiment arrivé.

C'est très drôle. T'as-tu déjà frappé un noir avec ton char? Non. Non, j'ai pas eu ça de chance. Non, tu sais, écrire ça, un malaise, c'est extraordinaire. Bravo, bravo.

Non, mais ça aurait fait une anecdote. Ça, c'est une affaire, par exemple, tu sais, le genre d'humour que tu fais, c'est un peu alternatif. Puis, je sais pas si toi, t'es de même. Moi, je suis vraiment de même. J'ai l'impression que tu es pareil. Que tu aimes ça avoir

des premières parties qui ne font pas le même genre d'humour que toi. Moi, je trouve ça important, effectivement. Pour ne pas que ça soit genre que le monde entend 8 jokes que toi, tu aurais pu faire. Exactement. Je trouve ça important. Premièrement, faire découvrir quelqu'un que tu apprécies. Deuxièmement,

que ce soit différent de toi, c'est bien important pour moi. Moi, je demande exactement la même chose. Je ne veux pas que le headline soit... Non, c'est pas vrai. Je n'ai rien à dire là-dedans. Non, hostie. Ça serait hâte qu'un moment donné, pendant que Sylvain est sur scène,

il t'entende appeler Sophie et faire « la roque plus capable ». Il fait mon stock non non non non c'est ça t'as-tu déjà rencontré Boucard?

oui une fois à Québec pis j'avais été ben étonné pis j'avais fait monsieur et il avait fait Didier Lambert

comme mon sauvage tabarnak t'as ben un drôle d'accent pis il a fait c'est toi qui es en train de me faire j'ai fait ok

mais c'est ça que c'est passé il est fin par ça il est vraiment très gentil pis on est tout le temps d'accent. C'est toi qui es en train de me faire. Je vais dire, OK, mais c'est ça qui s'est passé. Il est fin, par exemple. Il est vraiment fin. Puis on est tout le temps surpris qu'il nous reconnaisse. Tu sais, parce que... Non, mais...

Parce que pour lui, on est tous pareils. On se ressemble tous. Mais Bucard,iouf, la part des humoristes, on se voit un peu partout. Je n'ai jamais vu

Boucardiouf nulle part sauf dans ma rue. C'est vrai Paris. Il n'est jamais nulle part. La première fois que je l'ai vu dans ma rue, il est venu me parler et il a dit mon nom. J'ai fait « Chris, ici je suis que c'est? Je suis qui? » J'étais comme surpris.

Parce que, mettons, moi et Sylvain, on s'est vus 160 000 fois. On a commencé en même temps. Puis Boucard, en même temps, il a commencé en même temps que nous autres. On dirait qu'il ne fait pas les mêmes salles que nous autres. Nous autres, on s'est vus beaucoup au début.

Parce qu'au début, tu n'as pas un show à toi seul. Tu fais des shows de gang. 11 minutes de matériel. C'est là qu'il est pas... Tu sais, nous autres, on s'est vus beaucoup au début. Parce qu'au début, t'as pas un show à toi tout seul. T'as 11 minutes de matériel. C'est là qu'on se connaît tous. Lui, il est parti tout de suite. Il a écrit comme deux heures la première fois. En fait, c'est son grand-père qui l'a tout écrit. Puis lui, il a dit « Mon grand-père disait toujours, et voilà deux heures de show. »

« Mon grand-père disait toujours, si le grand-père à Boucard peut fermer sa gueule, on dit toujours, alors la paix à l'espèce. Moi, je pense pas de vrai que son grand-père, c'est un ostentateur. Parce que... Non, mais Bucor,

c'est d'où qu'il vient, Bucor? Il vient... Sénégal. Imagine, les personnes âgées d'ici sont racistes et homophobes. Lui, son grand-père, c'est un monsieurgal. Imagine les personnes âgées d'ici sont racistes pis homophobes. Lui, son grand-père, c'est un monsieur du tiers-monde. Fait que son grand-père,

ça serait juste des commentaires qui insultaient les filles pis les femmes. Ça serait juste ça. Si c'était vrai, il ferait juste comme disait mon grand-père, les os de ta tête, pis... Hé, tu l'émetsémites bien en criant. C'est fort.

C'est peut-être méchant l'émiter, mais au moins je ne l'ai pas frappé avec mon char. Fait que... C'est pour moi ça. Je l'ai manqué. Tu l'as manqué. Tu l'as manqué. Je ne l'ai manqué. Tu l'as manqué. Tu l'as manqué.

Je crois que j'ai pas essayé, c'est-tu. Je l'ai manqué. Je l'ai manqué. Ah, c'est si... Que ça sonne raciste. Ça a pas de sens. Ça a rien à voir avec la race. Non, mais je le sais, je dis que

c'est zéro racisme, mais c'est drôle. Je l'ai manqué. Ah, c'est drôle. As-tu vu ton numéro? J'ai envoyé un courriel pour lui expliquer le numéro, et il était d'accord. Ok. Surtout que c'est un numéro

en contre les racistes. C'est pas un numéro pro. C'est pas un numéro néo-nazi. C'est un numéro contre les racistes. Et la morale de l'histoire qui retourne toute dans le pays. Ça, ça serait weird un peu comme number, mais... T'as-tu écrit sur son show?

Non. C'est qui qui écrivait sur ton show? Laurent Paquin, OK. Moi. Pierre-Bruno Guivard et Yannick Demartino. OK. Comment ça qu'il y a aucun de ces gars-là qui ont fait ta première partie? Pierre-Bruno l'a fait un bout de temps.

Pierre-Bruno Guivard l'a fait un bout de temps. Quand même. Didier est en boîte avec moi, donc c'est normal qu'on se batte. Il veut retenir du matériel. Il veut faire le plus de show possible, donc il vient avec moi. J'ai cette opportunité-là,

donc j'en suis tout à fait reconnaissant. T'aimerais-tu ça écrire un livre? Oui, je n'irais pas ça, honnêtement, mais ce n'est pas le temps, je pense. Non, ce n'est pas le même genre d'humour, anyway. T'as-tu déjà écrit pour les autres? Non, jamais.

Tu sais combien de temps que tu fais ça exactement? Ça fait 4 ans. Même pour moi, j'ai de la misère à écrire. Je pars avec des flashs, puis là j'arrive sur la scène, je sais où est-ce que je m'en vais, mais j'ai trouvé un mot-clé. Quand tu me demandes, il faut que tu nous envoies le texte,

je fais tabarnak, il faut que je l'écrive. Il a même ouvert pour moi en anglais dans un show. Il a fait un numéro en anglais que j'avais tout traduit. Mais il avait jamais essayé ou presque. Je suis bilingue, je l'avais fait deux fois pis ça avait été, mais je suis bilingue, mais je me suis rendu compte que mon bilinguisme a une certaine frontière

à un moment donné quand j'enchaînais avec le coin. Quand les autres personnes parlent l'anglais aussi. Soudainement, soudainement, ça a pu faire des «Fling is there, the bird is there, you know?» Tout le monde faisait «spot» l'anglais.

Mais non, c'est ça, ça a bien été, mais c'est ça. C'était où? Dans quelle ville, ça? Non, c'était la base militaire de Saint-Jean. C'était un show pour les nouvelles recrues qui arrivaient. Ça, c'est une affaire que le monde ne sait pas à propos de toi. Moi, je le dis tout le temps.

Personne ne m'écoute. Toi, tu étais, dans les années 90, le seul Québécois qui adlinait dans les clubs en anglais. Coast to coast, Vancouver, jusqu'à Halifax. Puis, c'est ça qui est... Là, là... Qu'est-ce qu'il. Puis, c'est ça qui est...

Là, là... Qu'est-ce qu'il a dit? J'ai entendu. C'est juste qu'on a trouvé ça drôle que tu dises Halifax au lieu d'Halifax. Ben, Halifax, car lisse. C'est anglais. OK, fait coast to coast,

Vancouver jusqu'à Halifax. Oui, oui. T'as joué même à mon ton. Mon ton, oui. Vancouver jusqu'à Halifax. Oui. Jouer même à Moncton. Moncton, oui. On y va d'ailleurs ensemble dans une couple de mois. Oui, c'est vrai. Moi, c'est ça qui est drôle de toi.

Moi, les premières fois, je l'avais dit la dernière fois que tu étais au podcast, moi, les 100 premières fois que je t'ai vu en show, c'était en anglais. Tu étais vraiment solide en anglais. Je vivais au Comedy Works, moi, tous les soirs de la semaine. T'étais tout le temps là. Tout le temps, tout le temps.

J'en fais encore, mais surtout en corpo, les shows corporatifs. Parce que les clubs, je ne me trompe plus d'en faire en anglais. Puis, tu sais, mais... Je crée un petit peu de nouveaux stocks, de temps en temps. Mais là, ton nouveau matériel, t'as commencé à le traduire en anglais? Là, j'ai comme deux..., tu as commencé à le traduire en anglais? Là, j'ai trois shows à traduire en anglais. Trois one-man shows.

Puis je vais là-dedans tranquillement, mais c'est parce que je n'ai pas beaucoup de temps de faire ça. Parce que j'écris pour d'autres mondes. J'écris pour la télé, je suis pour le monde des galas. Fait que là, quand tu arrives, mettons, à une compagnie,

tu as dit, je veux un show corporatif en anglais, tu es-tu obligé de prendre des hosties de vieilles affaires de vieux habitants? Oui, mais ça marche encore. C'est pas basé sur l'actualité ni rien. C'est très nature humaine. C'est pas genre « Hey, vous vous rappelez-vous

l'année passée quand on n'avait plus le droit de fumer dans les barres? » Oui, c'est ça. C'est ce qui est le fun, si ça me permet de voyager, par exemple. Oui, non, mais c'est vraiment vrai. Moi, c'est ça l'affaire. J'aime le plus de pouvoir faire des shows en anglais.

C'est que ça te permet de voyager. Exactement. L'année passée, je n'ai fait un pour Toyota à Maui, à Hawaii. L'année dernière, je suis allé à Marrakech. Ça me permet de voir plein de places où je n'aurais pas été probablement si je ne faisais pas les deux langues. Exact. Toi, tu es allé où?

Dans Pierreville. Dans Pierreville. Dans Pierreville-Saint-Flavien la semaine dernière. C'était le fun, Saint-Flavien. C'était cool. Mais tu es allé à Halifax? Never. Never been to Halifax.

Non, je ne suis pas sorti du Québec En fait encore Toi t'as commencé en impro Ouais j'ai fait de l'impro pas mal longtemps T'écris encore un peu de même aussi T'arrives avec une couple de mots clés sur scène Et tu fais ton numéro un peu improvisé Et après ça tu bâtis là-dessus

J'essaie toujours d'avoir le souci Puis aussi Ce que tous les anglos pis tous les américains font, tu sais, c'est Louis C.K., c'est ça qu'il fait, là, tu sais. Ouais, tu vois. Pis, ouais, mais fait que t'as pas fait l'école de mort. Non, non, moi, j'ai pas fait ça.

Fait que t'as pas pris le cours de clown. Comment, pour de vrai, là? J'ai pas pris ça, mais j'ai fait de l'interprétation. Si t'as 15 000$, je vais te donner les trucs. Là, j'ai peut-être 100$. Quand je l'ai fait, il n'y avait pas de code de clown. Non, moi non plus.

Ben non. C'est quelle année, toi? Moi, je l'ai fait 3 ans après toi. Moi, j'ai fait 95. Moi, c'est quelle année toi? moi je l'ai fait 3 ans après toi, moi j'ai fait 95-95 toi c'était 1700 piastres 600 piastres, mais ça durait 6 mois

ça a commencé en février mais pas de vrai, l'école de l'humour devrait durer 6 mois moi je suis très gosseux là-dessus que l'humour ça s'apprend mais ça s'enseigne pas mais que l'humour, ça s'apprend, mais ça ne s'enseigne pas. Mais ce n'est pas vrai.

Ça s'enseigne un peu. Non, mais moi, j'enseignais à l'école une couple d'années. Et puis, je trouve que ce qui est avantageux de l'école de l'humour, c'est que tu peux évoluer au rythme d'un show par trois semaines quand tu ne l'as pas fait.

Mais quand tu es à l'école pendant un an, deux ans, tu es tellement plongé dans un bain d'humour que non seulement ça te fait écrire plus rapidement, mais ça te donne aussi un sens du timing, etc. C'est d'être en immersion. Mais ça vaut-tu 15 000 piastres? Je ne sais pas.

Moi, c'était 600 piastres. Ça valut la peine encore. Moi, je pense, comme mettons, les jeunes qui commencent à faire de l'humour à New York, qui sont capables de faire 5 séchots par soir, je pense que c'est de même que tu apprends plus. C'est sûr, mais ce n'est pas la réalité

des humoristes canadiens-français qui n'ont pas fait de l'école à Montréal. Si tu as 2-3 séchots par semaine, c'est bon. Même en ce moment, l'école, il y en a... Il faut que tu apprennes. On parle. C'est correct. Je vais parler au monde.

Tu vas parler au monde on va parler la critique que je peux faire c'est que des fois l'école non non non on va te laisser on va te laisser

non non mais en fait ce que je voulais dire c'est que c'est important aussi moi je suis pour l'école je suis d'accord pour ça il a été prof à l'école fait qu'il a insulté le poste maintenant tu vas perdre pas de job

mais moi je voyais pas l'utilité nécessairement, pis je pense que c'est important de se péter aïeul dans des salles, pis d'avoir de la misère, de trimer dur, parce que oui, tu peux avoir la discipline d'écrire pis de travailler fort, mais de le rendre devant le monde, pis d'arriver, pis d'avoir

le timing, oui, mais faut le faire, faut le livrer devant... Les deux, l'un peut, l'un et l'autre peuvent se faire. Moi, ce que je trouvais au début à l'école, quand je l'ai fait, je trouvais que des fois, vu que t'es tellement gâté par des bons contextes, les techniciens qui suivent les

shows, et tu peux faire des personnages, tu peux faire toutes sortes d'affaires, mais l'école te gâtait un peu trop et te préparait un petit peu mal. Parce que la vraie vie, c'est pas ça. La vraie vie, t'arrives, tu fais ton podcast, tu fais 20 minutes, le gars, il a même pas commencé à enregistrer. Oh, vice! C'est nul, papa!

Ça, ça fait 20 ans que tu es sorti de l'école. C'est la triste réalité. Mais ça, pour de vrai... Moi, je pense que l'école de l'humour, c'est une bonne affaire pour le monde qui ne vit pas à Montréal.

Là, ça sonne super anti-région, mais quand tu arrives de région, c'est trop compliqué de faire « j'arrive dans la ville ». Tandis que tu arrives de la région, tu rentres dans l'école, tu es correct. Tu as d'autres amis qui font de l'humour. Mais si tu vis déjà à Montréal, le best, c'est juste faire T'as d'autres amis qui font de l'humour. Mais si tu vis déjà à Montréal, le best

c'est juste faire les soirées d'humour pis sauver 15 000 piastres. Moi, je pense. Ben oui. Honnêtement, là, tu sais. Te rappelles-tu ta première fois sur un stage? Ben, ta première fois est plus impressionnante que ma première fois. Parce que moi, je me rappelle à moitié de...

On parle d'humour, là. Moi, je me rappelle de... On parle d'humour. Moi, je me rappelle de la personne qui a passé avant lui la première fois, qui est Norm Macdonald. Personne ne l'a connaissu peut-être. Il était on the rise à l'époque. Je pense que c'est le meilleur humoriste. C'est la planète.

Quand tu m'as dit ça, c'est un gars qui est allé à la même école secondaire que moi. Je ne le savais pas parce que les anglophones à Québec n'ont pas de fierté. Mais tu vois, cette première fois-là, c'est un soir amateur au Comedy Works. Et puis, l'animateur qui était Alistair McAllister à l'époque. Alistair McAllister, qui vient de recommencer à Toronto. Ah, je pensais qu'il était rendu à Ottawa. Non, l'autre fois, j'ai fait un show à Toronto,

puis c'est lui qui animait. Il est venu me voir tout de suite après. J'étais sur le bord de monter sur scène. Il m'a dit, Sylvain, il y a un gros nom qui est arrivé. Tu vas passer après lui parce qu'il veut passer tout de suite. J'ai été obligé de suivre Norm Macdonald, qui a tout fucking arraché dans le club. Le monde crachait du sang tellement qu'il riait.

Moi, je suis arrivé après ça et je me suis planté lamentablement. Je suis revenu la semaine d'après. On recommence, on recommence, on recommence. Et c'est de le faire encore et encore. Vraiment. Avant, il y a un humoriste qui m'a dit dernièrement que

ton show, le plan important, c'est la première fois que tu te plantes. Parce que tout le monde finit par se planter. Une personne normale va se planter et se dire, c'est pas cool de se planter. Ils vont abandonner et ils vont devenir médecins.

Ils vont se planter et ils vont devenir médecins. Non, mais... Plus probable, ils vont travailler au ultramar. Ils vont travailler au ultramar. Ils vont travailler au Ultramar. Ils vont sucer des graines avec leurs orteils. En espérant que le jeu n'était pas têté. Non, mais c'est que

moi, je trouve les humoristes qui ont du succès, des gars comme toi, c'est des gars qui font... Toi, quand tu t'es planté, t'es quand même revenu la semaine d'après. C'est quand même fou. En plus, toi, t'étais pas un astignochon qui était sur le BS ou qui avait pas

d'argent comme moi. Toi, t'avais une vraie job. Oui, j'avais une vraie job. Fait que là, toi, t'as été pendant une semaine avec ta bonne job, avec du respect, pis t'as fait, la semaine prochaine, tu vas retourner me faire une lumière. Je me suis senti comme une marde

toute la semaine par exemple parce que t'es toujours aussi bon que ton dernier show c'est ça qu'ils disent et surtout quand tu commences t'as pas encore acquis la confiance en toi tu sais aujourd'hui

je fais un show corpo qui va plus ou moins bien je m'en calisse un peu mais je sais que le show il est bon je l'ai essayé 100 fois tu comprends mais dans le temps

tu sais pas si t'es bon ou pas tu sais pas si t'es bon encore fait que t'as pas cette confiance là tu reviens chez vous tu te regardes dans le miroir, pis c'est comme psychothérapie. C'est pas mon petit problème. C'est ça. C'est des reconsidérations constantes.

Toi, ça fait quatre ans que tu fais de l'humour, tu dis. Ouais, ouais, ouais. Fait que là, t'es rendu où dans ton échelle du suicide? J'ai plus le goût. Non, j'ai pas une propension au suicide. T'as pas, tu n'agazines plus les cons. J'ai plus le goût non j'ai pas une propension au suicide t'as pas tu n'agazines plus les cons j'ai arrêté non mais

quand j'ai commencé pour vrai tu sais tu fais un show pis ça rentre moyen mais moyen dans ta tête c'est moyen mais honnêtement c'est sûr

c'est de la marde mais là je fais pour vrai chaque fois que je sortais de scène pis ça avait pas été je faisais pourquoi je fais ça pourquoi je m'inflige ça tabarnak j' pu être prof, j'aurais pu faire de quoi? »

J'avais comme un engagement dans une autre show. Je me disais « Ok, je respecte celle-là, mais je n'en fais plus après. » Puis là, je faisais l'autre. Ça a bien été. Je me rebookais à un autre. J'allais à un autre. Ça dérape à une donne vraiment. Puis là, ça fait-tu encore mal quand ça marche pas? Oui! Ben oui, c'est sûr, mais tu fais, bon, ben coudonc, ce bout-là était pas prêt ou je sais pas quoi, mais... En fait, tu sais, je le sais que mon stock qui marche, il marche. Je le sais, je l'ai fait à bien des places, mais... T'es-tu rendu que là, tu blâmes le public?

Ça, c'est la pire affaire à faire faire C'est la pire erreur que tu peux faire Je ne devrais pas faire ça Non mais C'est ma job d'aller les chercher C'est ma job de trouver le moyen D'aller les chercher C'est ma job de leur faire comprendre Que je suis drôle.

De leur montrer que s'ils ne veulent pas écouter, je ne peux rien faire. Si ça fait rien que jaser, je peux être le gars le plus drôle au monde. S'ils font juste des fuck you, je ne serai jamais drôle. C'est ma job aussi d'aller les hooker et de faire de quoi. Il y en a que je vais choquer.

J'ai eu la première plainte au bordel, je crois. Ah ouais? La première plainte au bordel? je crois, ici. Ah ouais? C'est moi qui ai ça. La première plainte au bordel? C'est quoi la plainte? C'est une vieille madame que j'ai pointée après un gang. J'ai fait, oh madame, elle n'a pas l'air de triper. Puis là, j'ai renchéri. Puis là, j'ai fait,

oh, elle ne tripe pas plus. J'ai dit, mangez vos patarmanes, madame, ou je ne sais pas quoi. Puis là, j'ai dit, mais le monsieur à côté, il a l', ou je ne sais pas quoi. J'ai dit, le monsieur à côté a l'air de faire, « Ouais, dis-y, Colin, donne-y des trucs, ou je ne sais pas quoi. » Après ça, elle a dit, « Ça ne se fait pas pointer. » Ce n'est pas tant le propos, mais j'ai fait, « Madame, attrapez-pas. »

Tu l'as insulté profondément, mais tu es choqué parce que tu l'as pointé. J'haïs ça, le monde qui donne des leçons en humour. Rire que je suis une vieille truie qui ne rit pas, ça se fait, mais pointer, manque de respect. C'est une question de principe, j'imagine.

Elle n'a pas d'estime d'elle, mais ça, c'est savoir vivre. C'est-tu qu'est-ce qui est hot? Vu que je suis un des propriétaires ici, si j'avais été là, je l'aurais sorti. J'aurais fait des calisses. Elle a appelé. Avec un coup de pied dans le nez.

Pis d'ordinaire, je m'en vais m'excuser aux gens. Moi, d'ordinaire, j'aurais pris un coup de pied dans le nez. Ben, tu vas leur expliquer. Ben, d'habitude, je vais leur dire que c'est des blagues, c'est du niaisage. Juste pour être certain. Des fois, tu peux tomber sur quelqu'un qui ne comprend pas

ces affaires-là. Elle est passée à côté de moi. Je suis en train de parler avec quelqu'un d'autre. Elle m'a fait une sassitude. Elle a dépassé deux personnes. Elle est rentrée dans la toilette des filles. J'ai fait que c'est la madame qui est en crise contre moi. Le lendemain, j'ai su qu'elle avait fait une plainte j'avais de calice et drôle à même chier mais non mais je suis sur le banc de toilettes

et ça me met partout mais je suis triste en même temps que cette madame là comprennent pas que c'est ça qui est weird. Elle vient, elle va voir un show d'un comedy club puis elle voit un gars qui fait des jokes. Pour de vrai, quand tu vas voir quelqu'un qui fait des jokes,

si tu n'aimes pas la joke, moi je me rappelle dans le temps, quand je n'aimais pas une joke, je faisais « je n'aime pas cette joke-là ». Ça finissait là. Mais je n'étais pas je faisais « j'aime pas cette joke-là ». Ça finissait là. Mais je n'étais pas comme « ah, j'aime pas cette joke-là ». « Ce gars-là ne devrait pas avoir le droit de faire cette joke-là. En tant que partenaire, je vais aller l'appeler. »

Mais tout le monde est un expert en humour. Tout le monde est un expert en humour. Tout le monde pense qu'il voit mieux que nous autres ce qu'on devrait dire, à qui on devrait s'adresser, tout ça. Non, j'ai 23 ans d'expérience. Je pense que c'est ce que je fais. Oui, oui. Non, mais, oui. C'est drôle, ça rit.

Là, je ne sais pas pourquoi ça rit. Mais c'est vrai qu'il connaît ça. C'est vrai que le Huawei était vrai, malgré eux autres. Qu'eux autres autres connaissent rien en humour non vous avez déjà failli vous faire péter ailleurs

après un show vous autres vous êtes-tu déjà arrivé? oui moi aussi moi non j'ai un bon radar je prends toujours le chétif non c'est pas vrai j'en ai jamais

moi ben quand on est ça moi c'est écoute c'était j'allais faire mon premier gala en 95 j'avais besoin de redé mon numéro

après un gala non non non j'avais besoin de redé mon numéro quelqu'un au Saint-Denis fait est-ce que c'est de la rock pis il me frappe

avec le bonhomme vert c'est un non bon j'ai ramassé c'est Daniel Lemay quiérard m'a vécu c'est Daniel Lemay qui s'est crissé un coup de poing dans la gueule en faisant un jeu de mots

j'avais redit mon numéro d'un petit bar j'avais dit pour que moi n'importe quoi faut que j'essaye des jokes à Saint-Adolphe-Doward et pis il y a quelqu'un qui m'avait crié de quoi dans la foule

pour vraiment penser à m'aider pis moi je l'ai insulté je me souviens plus qu'est-ce que j'ai dit mais ça devait être une phrase qui t'aidait zéro. Ça devait être genre tu faisais un numéro de baseball.

Puis tu vas voir que... C'est ça. Puis j'ai répondu, je pense que j'ai répondu... C'est un monologue. Les racines latines de monologue, c'est monos, monologue, seul, log qui parle. Monologue, ça veut dire femme, ta c log, qui parle. Fait que monologue,

ça veut dire femme, t'as calé les oeufs dans la latin. Fait que c'est ça, il a pas aimé ça. Pour vrai, c'est ça? C'est ça que t'as dit? Il était violent?

femme, t'as calé les oeufs dans la latin. Moi, je réponds en latin. Il avait été en collège puis il avait été agressé. Après ça, je suis au bar en train de prendre un verre

puis là, je sens un ombre arriver en arrière de moi. Oui, lui, trois de ses chums. Et nous autres, à cette heure-là, ils vont se dire si t'es écoeuré de notre chum. Et c'est une petite madame de 55 ans qui connaissait, qui est venue me. Oui. Lui, trois de ses chums. Tabarabam. Et nous autres, à cette heure-là, ils vont se dire,

« Tu t'es écoeuré de notre chum. » Et c'est une petite madame de 55 ans qui connaissait, qui est venue me sauver. Elle dit, « Là, les gars, arrêtez. » Puis elle m'a sauvé. Puis j'ai bien fait,

c'est passé à ça. Puis moi, c'est pas un violage. Je shake elle. La madame est rendue à 75 puis elle veut pas qu'on la pointe. Oui. C'est elle qui était là.

Qu'est-ce que tu dis avec la tienne? Moi, ça arrivait souvent. Une des tiennes, peut-être. Ça arrivait souvent. Le monde était agressif dans le temps. Moi, tout le monde voulait me créer ça de voler. Dans le temps. Moi, c'est arrivé vraiment...

Je... Je sais de penser à une... Visiblement, tuas des séquelles une qui m'a marqué moi dans le temps je faisais des coups de téléphone vu que j'animais tu sais quand l'humour a commencé à être

un peu populaire en région d'un bar, j'animais comme 71 soirées d'humour par semaine tu faisais ta toune aussi avec Michel qu'on faisait de tout mon coeur animait comme 71 soirées du monde par semaine. Ah, tu faisais ta toune aussi? Oui, mais avec Michel, qu'on faisait de tout mon cœur. Fait que là, moi, j'écrivais un nouveau numéro par semaine,

je faisais un coup de téléphone, je faisais ma toune. Fait que là, mes coups de téléphone, c'était juste des... J'appelais le monde, j'ai fourré dans la mer, ou j'ai... Les solides coups de téléphone, là. Non, mais... C'est beaucoup de préparation. Non, mais c'était tout le temps des affaires de... Salut, c'est quoi le nom de ta blonde?

Elle a oublié ses bobettes dans mon char. Des affaires de même. Souvent, le monde arrivait au bar et voulait se battre parce qu'il était comme... C'est qui, le stupard nec qui a les bobettes de ma blonde dans son char pis là le monde faisait

mais c'est le monsieur gonflé là-bas en train de boire des cendres le monsieur gonflé fait que c'est ça mais je me suis jamais battu jamais battu moi c'est ça moi non plus mais en même temps j'ai une petite naïveté qu'il y a peut-être du monde qui est agressif avec moi mais j'ai un tempérament très

ah ouais ben écoute c'est correct fait que tu veux pas varger ça je m'en suis jamais rendu compte qui était agressif avec moi, mais j'ai un tempérament très... Ah ouais, ben écoute, c'est correct. Fait que tu veux pas varger ça, je pense. Je m'en suis jamais rendu compte. Mais je pense que là, à ce temps, le monde s'est rendu assez intelligent pour comprendre que c'est des gags. Oui, oui, c'est ça. Le public, même si, mettons, tu lis les commentaires Facebook,

sur la page à Jean-François Mercier, tu fais... C'est innocent, le monde, mais le monde est moins innocent que dans le temps. C'est ça. Pas de vrai. C'est ça. Moi, je me rappelle, depuis le mois de mai dernier,

ça a fait du chemin. Ouais. Ton public Facebook, ils sont comment? Je ne sais pas. T'es-tu déjà Ton public Facebook, ils sont comment? Je sais pas. T'es-tu déjà pogné avec une madame sur Facebook? Oui. Une fille...

C'est toujours des filles, Chris. C'est une fille, après un show à Berthier, que j'avais dit, toi, non, participer, applaudir, être contente. Non, ça te tente pas. Qu'est-ce que tu fais ici? Puis après ça, elle m'a comme écrit, peut-être que j'avais pas le goût de rire, peut-être que je n'avais pas le goût que tout le monde sache que je ne filais pas.

Peut-être que j'ai fait comme moi, mais tu étais dans un show d'humour. Tu ne files pas de ne pas goûter. Peut-être qu'elle aurait pu ne pas te mettre en première rangée. Elle t'a-tu écrit pourquoi elle ne riait pas? Non, non, non, elle ne voulait pas que tout le monde à Berthier sache qu'elle ne filait pas. J'ai fait, bon, je suis désolé. Mais en même temps, j'ai vu qu'elle voulait pas que tout le monde de Berthier Sache qu'elle filait pas J'ai fait bon ben coudonc je suis désolé Mais en même temps J'ai vu qu'elle voulait gagner Quand j'ai pas le goût que tout le monde de Berthier

Soit au courant que je veux pas écouter du baseball Je vais pas à un game de baseball Mais c'est ça Moi c'était le gros bon sens J'ai juste fait mais t'avais pas de sens Pis y'avait plein d'irritants Pis elle dit ouais mais c'est ça c'était pas moi Je fais ben Christ en faisait partie malgré toi Avecirritants, pis elle disait « Ouais, mais c'est ça, c'était pas moi, je fais « Ben, Christ en faisait partie,

malgré toi, avec ton air de cul, pis elle tenait sa sacoche, elle tenait sa sacoche comme une vieille madame, tu sais, qui check ses paparmans, je fais ça rochant, là, vraiment, j'ai juste fait « Ben voyons, Christy, pis elle, après ça, après ça, elle m'aimait pas, ah, c'était drôle, mais en tout cas, c'est ça. Ça aussi,

ces affaires-là me rendent triste, pour vrai, pas pour moi, mais pour ces gens-là. Moi, j'haïs ma job. Ouais, bon. Non, mais j'aime beaucoup, beaucoup ma job, mais j'haïs ma job en même temps. Tu sais, tout ce monde-là me font

haïr ma job. Pour de vrai. Désolé de vous faire un malaise. J'haïs pas ma job tant que ça ça va bien malgré les procès mais moi là tout ça tous tes hosties de commentaires là tu fais

c'est quoi qui est rentré dans la tête de cette madame là pour que ça se rentre jusqu'à là le pire c'est les haters qui changent, qui prennent un pseudo, puis eux autres, ils trahissent ta page.

Ça, c'est vraiment désagréable. Ils n'ont pas d'argument. Pourquoi tu prends ton temps pour prendre le temps d'haïr quelqu'un et de le faire sentir? Je ne sais pas, je trouve ça ridicule. C'est comme, Chris, tu n'es pas capable de faire le bien autour de toi

et de dire, je t'aime, tu es belle, tu es le fun. Tu n'es pas capable de faire ça. Tout ce que tu as à faire, c'est perdre ton temps et envoyer de la marde au monde pour rien parce que tu n'as aucun discernement. Tu penses que c'est plus courant quand tu es connu ou moins connu?

De se faire écœurer? De se faire écœurer par des trolls. C'est plus quand tues connu, je pense. Oui, c'est sûr. Puis, toi, tu réponds-tu aux trolls? Moi, j'les bloque. Je leur donne pas la satisfaction de leur répondre. Mais des fois, t'es sûr que c'est ta page

personnelle, tu les bloques, après ça, ils continuent sur ta page fan. Ça fait des pucrises. Non, non, non, moi, j'les... Là, tu trouves une page pseudo ils sont rochants ils veulent que tu leur répondes

ils veulent donner un poste plaisir toi qu'est-ce que tu fais avec tes trolls je les ignore je les bloque pas sinon ça dropperait ma fanpage. Sinon, il reste personne. J'tomberais à 3 ou 4,

mais... Je peux pas me permettre ça. Bloc, bloc, bloc, zéro. En calice. Ok, débloque, débloque. J'vais aller le semi carré Le gars qui m'a traité de tapette Je vais lui dire que je suis la terre bonne morte

Moi c'est ça Ah ah ah Ah ah ah Ah ah ah Ah ah ah Ah ah ah Mais moi Moi c'est ça à chaque fois

Je ne sais jamais quoi faire Moi ce qui est weird c'est ça à chaque fois je ne sais jamais quoi faire moi ce qui est weird c'est que vu que moi je suis un gars très très très liberté d'expression pis là le monde fait comme toi t'es pas de la liberté d'expression tu te caches derrière la liberté d'expression

tu te caches derrière la liberté d'expression mais moi quand tu dis que j'ai le goût d'enculer ta mère sur un statut je suis déplacé. C'est comme, ouais, mais Chris, c'est pas la même affaire, tu sais. Non, c'est ça, c'est ça. Ce que les gens...

C'est des emparants, parce que ces gens-là ont pas de discernement, je sais pas, mais ils ont un droit de parole étrange, parce que Chris, c'est accessible à tout le monde. On peut pas jouer avec ça, c'est-à-dire le liberté d'expression. On ne peut pas commencer à dire dans ce cas-là, non, dans ce cas-là, oui, parce qu'on ne finira plus. Il y a des concepts

comme ça que tu es obligé de laisser aller à 100%, sans exception. C'est ça que je pense. Oui, oui, mais c'est ça. Il y a quelqu'un qui m'a écrit « Toi, juste à dire, tu n'es vraiment juste pas drôle, tu devrais arrêter. » J'ai fait « Ben, toi, tu n'es juste pas pertinent. » Je me trouvais très drôle. Il m'a dit « Qu'est-ce que tu veux dire? » J'ai fait « Non, je j'ai fait ben toi t'es juste pas pertinent pis je me trouvais très drôle il m'a dit qu'est-ce que tu veux dire je l'ai laissé avoir le dernier mot

je me semblais c'était clair mais t'es juste pas drôle pas de vrai moi je te trouve moi je te trouve très drôle pis mettons mettons que mettons que mais même si j'avaisas du discernement. Mettons que... Mettons que...

Mais même si j'avais pas de discernement, c'est... Chris... Pourquoi que, mettons, quelqu'un que son rêve, c'est de peinturer... Son rêve, c'est de peinturer des peintures. C'est comme si tu voyais

un jeune Picasso qui peinture des peintures pis tu lui crisses une claque sur la tête pis tu dis « Cris que t'es mauvaise! » L'oreille, elle va pas là! Mais tabarnak, un moment donné, laisse le monde vivre. C'est ça, viens juste pour me voir, c'est tout. Pis je pense, c'est ça, le monde a le droit de ne pas nous aimer, mais de dire « t'es pas bon ». En fait, c'est que je m'adresse pas à ça le monde on a le droit de pas nous aimer mais de dire t'es pas bon

en fait c'est que je m'adresse pas à tout le monde si c'est pas toi ben c'est correct j'ai rien contre toi c'est juste que c'est pas toi

t'es mien de me mettre je t'ai défendu c'est ça non non toi je t'aime moi je suis allé voir ton show à l'avance c'est comme on disait

tout le monde est un expert en humour même les critiques des fois regarde les critiques au niveau théâtre des gens qui a une formation en théâtre souvent en musique, il y a une formation en musique mais en humour, il va prendre le gars qui était à la politique l'année passée pis qu'il a pas de job là

c'est ça que je voulais dire moi il y avait une affaire dans le temps Jean Siag mais Jean Siag la presse est Siag, la presse, c'est nous, la chier. Mais, moi, là,

il y a une affaire que je pense qu'il devrait faire. Dans le temps, François Avoir faisait ça. Il faisait des critiques de spectacles du monde. En fait, il faisait des critiques de critiques. Et ça, il y a de quoi d'intéressant. Moi, j'aimerais ça voir, mettons,

quand, on va dire, Guillaume Wagner lance son show, j'aimerais ça voir la critique d'Éric Clément, puis après, la critique de Sylvain Larocque, d'Éric Clément. Puis même, je ferais, tu sais, on y

va, si on fait la critique de Sylvain Larocque, la critique d'Adibe, la critique de toi, d'Éque, la critique d'Adibe, la critique de toi, d'Éric Clément, pour que tu fais... C'est ça. OK, il y a Éric Clément qui pense ça, eux autres par rapport à ça, c'est des réactions.

Souvent, par exemple, les critiques ont raison. Oui, très souvent. Souvent, nous, on est très sceptiques. On est comme... C'est... Pas 200 bons commentaires, c'est... Il faut 200 bons commentaires. C'est le négatif que tu... Une seule cave.

J'allais dire Jean Siag, mais je ne me rappelais pas de son nom. OK. On parle de quoi? Quoi que tu dises à ta soeur d'arrêter de me texter. Ouais, je sais. Ça sent tes textures. Ben non, c'est des fans.

Ben non, il y avait pas de téléphone cellulaire dans ce temps-là. C'était gros comme une batterie de char. Non, non, mais c'est vieux ça. Je me rappelle pas. C'était bien flou, honnêtement. C'est très flou comme anecdote. Mais ma grande soeur est arrivée un moment donné et elle m'avait dit, « Ben, j'ai fréquenté un peu Sylvain Larocque

parce que je faisais des shows d'humour secondaires. » Elle a un peu fréquenté Sylvain Larocque? Ben, pas fréquenté, mais honnêtement, je pense qu'elle avait couché avec. Un peu fréquenté, ça sonne. Moi, c'est ce que je comprenais. Je l'ai sucé dans son char. Ben, tu vois, moi, j'étais plus ailleurs.

Je l'ai un peu fréquenté. Je ne sais même pas c'est quelle année que c'était. C'est une bonne idée non plus. Mais bref, elle m'a dit ça. Tu te rappelles-tu de sa soeur? Non, c'est ça. J'ai un peu fréquenté. C'est sa vie, honnêtement.

Je ne sais pas pourquoi j'ai parlé de ça. J'ai un peu... Quand on dit, j'ai un peu fréquenté, c'est le vie, honnêtement. Je ne sais pas pourquoi j'ai parlé de ça. J'ai un peu... Quand on l'est, j'ai un peu fréquenté Sylvan Laroche. C'est flou, là. Je pense qu'elle est en train de me texter. J'ai un peu... Pour de vrai, là,

aussitôt que les filles font... Parce que moi, je me rappelle, dans le temps que je commençais à faire de l'humour, toutes les filles qui ont été à moi, je me rappelle, dans le temps que je commençais à faire de l'humour, toutes les filles qui ont été à ça de mon pénis, ou même qui m'ont poigné à la cuisse, l'instant où je vous l'offrais, « Hey, ma blonde a sorti

avec toi en 96. » Puis, ah ouais, c'est où qu'elle vit? « Elle reste à Trois-Rivières. » « Ok, j'ai fourré ta blonde, mais on n'a jamais sorti ensemble. Non, c'est ça. Fait qu'il a fourré ta soeur. C'est un peu un prochain effet.

Pis ta soeur, c'est une truie de région. C'est... C'est ça, la vérité. OK, bon. C'est fait. On va... J'allais dire désolé,

pis donner son nom, mais je vais arrêter là. Pis j'aimais ça que je me suis reviré de bord, je le crois vraiment, mais je me suis reviré de bord parce que je me suis dit, crée, je peux pas... Tu es du châtien?

Non, non. Je trouvais ça mauvais de dire à quelqu'un, ta soeur c'est une tourée de région, pis la fourrure c'est une deée de région Pis à fourrer c'est une belle roque Pis juste faire Prochaine question Mais non ma soeur était bien fun C'est une cochonne ta soeur

Ben As-tu sucer As-tu sucer Éric Lapointe Pas de vrai c'est sûr qu'as sucer Éric Lapointe Je le sais-tu Chris J'en ai aucune idée Combien du sûr qu'elle a sucer Éric Lapointe. Pas de vrai. C'est sûr qu'elle a sucer Éric Lapointe. Je le sais-tu, Chris? J'en ai aucune idée. Combien d'humoristes qu'elle a... J'en ai... Honnêtement, je...

Quand tu suces la chanson de Sylvain Larocque, c'est pas ton premier humeur. Non, c'est pas ton premier choix. Je suis clairement pas le premier choix. C'est peut-être qu'elle avait bu. Non, mais tu sais, c'est comme... C'est comme le monde qui me demande sur Facebook des fois « Sais-tu vraiment toi? »

« Sais-tu vrai Sylvain Larotte? » Je peux comprendre que quelqu'un fasse passer pour Claude Legault ou Stéphane Rousseau pour pogner des filles. Mais s'il y a un cave qui prend des heures pour se faire un faux profil, se faire passer pour moi, je le laisse faire. Ta vie, c'est de la marde.

Toi, par exemple, tu pognes avec les filles. Pour de vrai par exemple, tu pognes avec les filles. Pour de vrai. Tu pognes pas avec les filles. Mais les filles te trouvent charmant. Les filles t'aiment. Pour de vrai. On va le demander par applaudissement. Les filles, c'est sur ce lien. Il n'y a pas juste sa soeur qui est une chauvue.

C'est pas vrai. Pas une Chris de classe ben Chris ben comme ta soeur calisse mais ah ah ah ben

aïe déplan que mon père fasse un autre AVC ah c'est vraiment juste pour malheur ton père il a tu fait un AVC

hein ton père il a tu fait un AVC ouais c'est pour ça que je suis allé te voir en show parce que je leur avais acheté des billets pis quand il a vu

que c'était pour toi il a non non non Oui, c'est pour ça que je suis allé te voir en show parce que je leur avais acheté des billets et quand il a vu que c'était pour toi, il a fait ça. C'est vrai? Non, non, non, mais oui, c'est ça. Il a fait ça. C'est même mauvais, ça. Je ne sais pas, ça arrive. Il y en a beaucoup qui en font. Pour vrai, dès que ça arrive, tout le monde fait

« Hé, Chris, ma tante, ma mère, mon oncle, mon cibule, c'est ça. » C'est ça, ce n'est pas drôle, mais... Ce n'est vraiment pas drôle. On ne parle plus de... Mais là, c'est vraiment pas drôle. Mais on parle plus de... Mais là, c'est... T'as cassé le beat de mon podcast. Parlons de la fouette. Si t'as fourré, ça sert.

Non! J'aimerais ça faire... Y'a-tu des questions du public? Pis si vous avez des questions, là, c'est ça. Quand le monde m'a-tu des questions du public? Pis si vous avez des questions, là, c'est ça. Quand le monde va me poser des questions, moi, je vais répéter la question vu que les gens à la maison n'entendent pas. C'est quoi ta question?

Moi, c'est pour Didier. Lui, sa question, c'est pour Didier. Ouais, mais c'est lui qui avait fait... Pour savoir si c'est le désir ou pas. Il va parler du vagin à ta soeur. Ta question, c'est pour Didier. Je sais que Didier était barmaid.

Je sais que Didier était barmaid. Barmaid. L'opération était du sucre. Quand je travaille dans un bar, je me mets des boules. Pour de vrai, là. Ok, tu t'es inventé une sorte. En fait, c'est Shooter Slop, s'il te plaît. Mais...

C'est ça. T'es une Shooter Girl. Quand je bois de l'alcool, j'étais un peu fille. T'es la Michelle Blanc des Shooter Girls. Mais c'est quoi ta question pour notre barmaid? Une anecdote drôle de barmaid.

Tu peux faire une face comique en même temps. Ah oui, c'est ça. Mais ça, pour de vrai, pour les prochaines questions, ne demandez jamais des questions de « dis-moi quelque chose ». Toi, tu travailles dans un magasin de sport.

Parle-moi de quelque chose de drôle dans ton magasin de sport. » C'est une mauvaise question, ça. Parce que lui, il est comme « J'ai besoin d'être drôle en étant barmaid. » Mais est-ce qu'il est arrivé quelque chose de...

Ben, tu m'aides pas. Il y a quoi qui me vient en tête, mais, tu sais, c'est ça, c'est un peu pris au dépourvu. Y'a-tu fourré ton... Y'a fourré ma collègue. Non, non, mais... Y'a fourré combien

des autres barmaids? Ben, y'en a deux, fait que... Non, pour vrai, y'a un moment donné, un soir, tu sais, c'est festif, c'est le fun. Je suis un gars festif,

j'aime bien ça. Et j'arrive, pis il y a des filles au bar, elles sont vraiment cute, pis là, elles disent, tu nous payes-tu des shots? Je fais, ben oui, en fait, non, non, je dis, voulez-vous des shooters? Elles disent oui, je fais, ben, elles sont 3,50, fait que, payez-les, pis là, là, elles sont un peu insultées, 20 minutes plus tard, elles font, ben là, on va-tu avoir des shots? Je fais, ben, tu vas-tu me frencher? » Fait que là, c'est « Non, non, non. »

Fait que là, ben, pas de shooter. « Chris, ça va faire, là. T'es pas une princesse. » Et un moment donné, je passe pas loin. Il y en a une, elle me french. Puis là, je fais « OK, t'as ton shooter, mais c'était ordinaire comme french. On s'entend. » Et là, la fille était comme piquée.

Fait qu'elle me courait un peu après pour me frencher dans le bar. Et c'était juste weird. Puis à la fin, quand elle était à payer, elle m'a no courait un peu après pis me frenchait dans le bar. Et c'était juste weird. Pis à la fin, quand elle était à payer, elle m'a noclanché un solide pis vraiment, bravo, ça aurait mérité

un deuxième shooter, mais elle est partie. Fait que c'est ça. Pis sinon, des affaires de monde qui se flambent, des samboukas dans la gueule. Pis pendant qu'il y a un gars

qui a la gueule ouverte, la sambouka dans la gueule, l'autre, il allume pis il y a un de ses amis qui arrive, pis il fait faire le saut. C'est juste, c'est pas drôle, parce que t'as du sang, t'as pas du sang,

t'as du feu qui te coule dans la face. Fait que c'est ça. Mais ça, c'est... Voilà. C'est pas très drôle. C'est hot, non, c'est très drôle. Je devrais l'applaudir, pour de vrai. C'était assez drôle que Sylvain regrettait pas d'avoir fourré ta soeur. Il était barmaid.

Je me demande s'il n'a pas inventé une soeur et c'était avec lui que j'ai couché finalement. Il avait honte. C'était moi qui avais dit que ma soeur avait une barbe. Elle faisait de l'humour absurde. Avec un ukulélé. Moi, j'ai eu,

dans ces années-là de shooter, moi, j'avais rencontré une fille... Ces années-là? Tu veux dire la semaine passée? Moi, je ne vaux plus de shooter, mais il y avait une fille, un moment donné, elle m'avait dit, je te paye un shooter de Sambuca,

puis j'avais fait, je n'aime pas ça, des shooters de Sambuca, puis elle m'avait dit, « Hey, je te paye un shooter de Sambuca. » Puis j'avais fait, « Chris, j'aime pas ça, des shooters de Sambuca. » Puis elle avait dit, « Non, je l'allume dans ta bouche. Ça va être sensuel dans ta bouche. » Puis là, elle me met de la Sambuca dans la gueule, elle m'allume, puis aussitôt que j'ai vu la flamme sortir de ma face,

j'ai craché dans la face. Tous tes cheveux ont pogné en feu. Voyons donc, Chris. T'es devenu Michael Jackson. Elle a fait une annonce de Pepsi, pis c'était extraordinaire. Pour vrai, ça n'a pas de sens. Je l'ai faux réparé.

C'est... Crippled or no crippled. C'est ça. Juste quand j'ai touché la face, ça faisait... Aïe, aïe, ça fait mal! J'ai un petit onguent. Calisse que c'est dark,

ce type. Je devrais arrêter de boire. Pas de vrai, je devrais arrêter de boire. À cause de ce type-là. Y'a-tu... Y'a-tu une autre question? Tabarnan. Tout le monde, on a répondu à toutes? là. Y'a-tu une autre question? Putain, ben, tout le monde, on a répondu à toutes.

On a-tu répondu à toutes les questions? Éric, qui travaille ici, qui m'a vu scrap il y a deux jours, qui m'a ramené à la maison que si c'était pas de lui, je vivrais dans la rue

en ce moment. C'était quoi ta question, Éric? Comment qu'on dit l'anglais « heckler »? Moi, j'ai Éric qui s'occupe de moi, mais vous autres... Il faudrait que les gens se disent « c'est quoi un heckler? » Un heckler, oui, c'est ça.

C'est quand quelqu'un nous crie niaiserie à partir du public. Oui, c'est ça. Souvent, ces gens-là, ils pensent qu'ils vont nous aider. Exactement. Ce qui est une fucking grave erreur, c'est pas vrai pour en tout. Et puis, souvent, quand on a fini avec eux autres, ils sont insultés. Si tu fais ça à un humoriste, tu t'arranges pour te faire humilier publiquement, solide.

Il va finir avec toi, tu banderas pas pendant six mois, c'est sûr. Mais ils s'exposent à ça, puis ils vont te crier des niaiseries. Et il y a soit qu'on improvise pour les planter, ou soit qu'il y a des phrases classiques qu'est sûr. Mais ils s'exposent à ça, puis ils vont te crier des niaiseries. Et il y a soit qu'on improvise pour les planter, ou soit qu'il y a des phrases classiques qu'on utilise. On appelle du stock, comme elle dit. Souvent.

Éric vient de dire, toi, tu penses sérieusement qu'ils veulent t'aider. Souvent, ils veulent t'aider. Mais moi aussi, je pense qu'ils veulent, parce que dans leur tête, ils t'ont vraiment aidé. Souvent, ça m t'aider. Moi aussi, je pense qu'ils veulent. Dans leur tête, ils t'ont vraiment aidé. Souvent, ça m'est arrivé que le monde,

mettons, un astide fatiguant venait me voir après le job et il était comme, « Grèce de moi, il a olé ça. » Moi, le gars, quand t'étais dans ta dernière joke et que j'ai crié, t'as l'affaire. Mais la seule raison qu'on improvise de quoi

qui a du sens c'est juste pour pas s'humilier t'sais ah non c'est ça c'est un arme de défense en fait

de tout pitcher sur l'autre on a le pouvoir on a le micro on est sur le stage on a forcément idéalement la faveur du public à moins que ça soit

vraiment le pire show de ta vie avez-vous déjà été bouché par un recl, vous autres? Moi, comme l'affaire que tu disais, utiliser des stock lines, des hecklers, moi, avant, j'utilisais du matériel

parce que dans les années 80-90, je trouve, on utilisait du matériel qui n'était pas nos gants. Quand il y avait un heckler qui disait des affaires, tu répondais... Il y a des gants classiques qu'on a tous utilisés. Genre, il y a 50 000 spermes,

puis c'est toi qui as survécu. Oui. Mais moi, depuis comme 5 ans, j'essaie de ne plus faire ça. Puis j'aime mieux ça, mais souvent, ça marche grisement moins. C'est sûr, mais on s'en écrit à l'ombre. On en trouve pour nous autres.

Oui, c'est ça. Mais souvent, c'est qu'il crie exactement au mauvais moment. Tu as fait ta prémisse, tu arrives dans une montée ou dans le gag, dans le chute, et là, il va... C'est quoi? Pourquoi tu fais ça? Souvent, je trouve, si tu leur

dis la vérité, tu règles le problème tu fais tabarnak c'est moi qui ai le micro si le monde voulait t'entendre parler on t'aurait donné un micro à l'entrée

ça serait ta grosse face sur le poster c'est ma face ferme ta gueule laisse moi vivre mon rêve sur le poster, c'est ma face, c'est ça. Sur le poster, ferme ta gueule pis laisse-moi vivre mon rêve, là. Je sais pas pourquoi c'est drôle. Des fois, je dis des affaires drôles.

Moi, moi, des fois... Je suis hilaré. Des fois, je suis hilaré pis je le sais pas. Moi, il faut que je fasse attention avec ma face. C'est toute une face sympathique, toi aussi, tu sais. Tu peux dire de quoi pis ça va bien passer. Moi, la première fois, la première attention avec ma face. C'est toute une face sympathique, toi aussi. Tu peux dire de quoi, puis ça va bien passer. Moi, la première fois, je laisse passer.

Une cri de quoi, je laisse passer la première fois. Des fois, la deuxième. La troisième, non, non, non. Il m'en calisse. Je vais pour la jugulaire. T'as-tu déjà vu Joe Rogan? Oui, il y a très longtemps. Joe Rogan, qui est tellement agressif. Moi, j'essaie d'être.... Moi, j'essaie d'être...

Moi aussi, j'essaie d'être... Le monde, mettons, ils vont parler. Je fais comme... Je suis déjà le gars qui blesse les enfants avec son humour. J'essaie d'en laisser passer, mais Joe Rogan,

un moment donné, je l'avais vu en show. Ça fait 4 secondes qu'il est sur scène, quelqu'un crie de quoi, il fait « Shut up, stupid! » Pis là, ça fait « Eh, t'as vraiment... » Pis t'as tous des fans du UFC, Asti, avec des... Ils sont tous

habillés comme Jean-François Mathieu, dans la salle, pis ils sont tous un peu bâtis, pis là, là, Asti, il se met à engueuler pis là, là, il se met à engueuler le monde, là, il se met à insoudain sur le fait qu'il a de l'air mexicain. Pis c'est comme

tabarnak que je suis tellement loin de ça. Te rappelles-tu de Ron Vaudrey? Ron Vaudrey, ça me dit de quoi le nom. Il a eu la pire ligne à dire à un heckler que j'ai entendu de ma vie, la plus méchante. Regarde le gars, il a fait comme,

si tu trouves encore la gueule, je te crisse une balle dans la tête et je te fous d'en plein. Tabarnak! Ça, c'est quelque chose. Ça, c'est aller loin en nastie. Asti que c'est hot. Ça doit être cool. Mais ça doit être cool, tu sais, ça doit être quelque chose, ça doit répondre cool mais ça doit être cool

ça doit être quelque chose ça doit répondre à un fantasme de gun je te coupe le bras il y avait pas un film là-dessus crash ou quelque chose du genre moi j'aimerais une balle qui est un petit peu plus tight

que ma graine juste pour sentir de quoi parce que sinon un crâne sur c'est pas suffisant que ma graine juste pour sentir de quoi. Ben oui. Parce que sinon, un crâne, c'est pas suffisant. Ils m'ont laissé des miettes de crâne sur le bat, là-dessus le bas. Je sais pas. Ta graine pogne la méningite.

Y'a-tu d'autres questions? Y'a-tu d'autres questions? On refait la médecine, là. On est dans la thématique rayon du soleil, là. Ouais. Un autre question pour moi, Mike. Vu que j'ai pris l'habitude de blâmer le public.

J'aime ça. J'ai pris l'habitude de blâmer le public. Ben'aime ça. J'ai pris l'habitude de blâmer le public. Mais lui, je le blâme. Fait que là, un autre... Non, mais vu que j'ai pris l'habitude de blâmer le public... Si j'ai pris un... Vu que...

Le fait que je blâme souvent le public, si ça m'a permis vu que attends mais c'est le fait que je blâme souvent le public si ça m'a permis de prier un style plus en marge ou plus en marde

mais moi je pense que moi c'est ça qui est weird toi t'es de même depuis le début t'as jamais changé

ton style moi j'ai jamais changé mais ça je l'ai toujours admiré ça de toi parce que des fois au début les gens ne changé ton style. Je l'ai toujours admiré. Des fois, au début, les gens ne connaissaient pas. Je t'ai vu te planter une couple de fois. Tu n'attendais pas à ça. Tu as persisté là-dedans et ça a marché.

Moi, quand j'ai commencé, la personne qui m'avait le plus marqué, je ne pense même pas que tu le sais, que c'est toi. Il y a deux personnes qui m'ont marqué. Il y a toi et Gilbert Rozon. Toi, un de mes premiers shows à vie, tu m'avais dit, on était au dog,

tu m'avais regardé, puis tu m'avais dit ton... Puis tu me donnais un compliment. Vraiment, tu me disais ça en compliment. Mais tu faisais tabarnak. Ton genre d'humour, tu vas juste chercher 10% du public,

tu pourras jamais vivre de ça. Puis il me disait ça vraiment pour m'aider. À l'époque, c'était pas mal ça. Il y avait moins de hardcore à l'époque. Mais moi, j'avais entendu ça, puis j'avais fait 10% à l'époque du Québec qui était 6 millions. J'ai fait 600 000 du public.

Je vais être tellement riche! » Puis, Gilbert Rozon m'avait dit un peu la même affaire. Il m'avait dit, il avait dit « Ton genre d'humour ne pognera jamais au Québec. Aux États, ça marcherait, mais au Québec, ça ne marcherait pas. » Puis là, moi,

j'avais juste entendu « Assieds aux États, ça marcherait. » Je vais être encore plus bique que ce que l'AROC a dit. Moi, je me disais, si je suis assez drôle pour pogner aux États, puis Sylvain Larocque dit que 10% du monde m'aime. C'est pour ça que je suis encore ici. Moi, tu te rends compte que j'ai réalisé que ça allait marcher? Pourquoi?

Merci d'applaudir, mais pour de vrai, moi, je pense que humoristiquement Je suis l'herpès Au moins t'es contagieux Au moins t'es contagieux La première fois que j'ai su que ça allait marcher pour toi On t'a pour la vie c'est ça La première fois que j'ai réalisé que t'allais réussir

J'écrivais le galop des oliviers Je sais pas si c'était en quelle année. Et puis, j'ai vu ton nom écrit sur un dossier de banc en avant, mais au crayon, contrairement aux autres qui étaient tous typographiés. J'ai fait comme, qu'est-ce que c'est que le nom de Mike qui est écrit? Et finalement, tu t'es levé et tu as intercepté le trophée Révélation. Tu avais écrit sur ton gala. Oui, c'est moi qui l'avais écrit avec une couple d'autres auteurs.

Mais quand j'ai vu que tu as fait ça, ce stunt-là, j'ai fait, OK, c'est là que j'ai réalisé que ça allait marcher. C'est vrai que-là. Oui, c'est moi qui l'avais écrit avec une couple d'autres auteurs, mais quand j'ai vu que t'as fait ça, ce stunt-là, j'ai fait, OK, c'est là que j'ai réalisé que ça allait marcher. C'est vrai que je suis hot. Non, c'est vrai. J'avais trouvé ton gars

admirable. Mais c'est vrai que t'es hot, pour vrai. Je suis zéro hot. Non, mais pour vrai, tabarnak. T'es où, toi,

quand tu t'en cours? Tu sais, t'es en laisse. Moi, quand j'essaie de me défendre, j'essaie de me défendre, j'essaie de dire au monde... Je vais y aller la prochaine fois. Mais pour vrai, moi, tu es une des personnes

qui me fait le plus rire, sincèrement. Parce que ça vient chercher des viscères. Il y a plusieurs types de rire, mais celui-là, des chocs. Christ, tu m'as fait hurler de rire avec ton bout sur Claude Dubois. J'ai hurlé de rire comme un nœud de petite cave.

Il y avait deux grosses en leggings à côté de moi à Laval. Il pensait qu'il avait découvert la mode. Chris n'était pas confortable dans leur corps. Je l'aurais été encore moins dedans. Pour vrai, il était dégueulasse. Eux autres ne comprenaient pas à quel point

la portée de tes affaires, c'était vraiment très cool. J'aime que t'insultes des madames qui m'ont donné de l'argent. Je suis comme ça, moi. Je donne à tout le monde. Je ne veux pas te donner des fleurs pour insulter. Moi, c'est le karma.

Il faut que ça balance. C'est drôle. D'autres questions. Je ne veux pas te donner des fleurs et ne pas insulter. Il faut que ça balance. C'est drôle. D'autres questions. D'autres questions. Sont où vos questions? D'habitude, il y a mille questions. Attends. À ma gauche. OK.

OK, excuse. La madame en leggings, juste là. Ça, par exemple, je veux juste dire... Karine, c'est quoi le nom de ton chum? Sais-tu rendu ton chum? On a semi-créé un chum. Ah oui? Un chum pis blonde à cause du podcast.

Tu vas-tu ce soir rester juste... Comme ça, tu vas l'avoir un peu juste pour rendre ton monde heureux? Mais c'est vrai, vous êtes un peu devenu un couple grâce à nous autres. Puis là, t'es mal beau, ça casse ça. Mais tu le trouves pas beau. Il a l'air d'avoir un beau pénis.

Pour de vrai, il a-tu un beau pénis? Il a un beau pénis. Je suis pas gay. Sors ton pénis. Si je veux. C'est quoi ta question? Qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter

pour l'année 2016? Ouais. Qu'est-ce qu'on... Pis j'aime ça que tout le monde a fait Ah c'est beau C'est rare que c'est beau mon podcast C'est tout le temps désagréable Pis c'est

J'espère du beurre J'espère du poignard de presse Pis là ça va venir positif Comment ça? Je suis pas heureux Mais c'est quoi que tu aimerais avoir en 2016? Écoute, je vais y aller

en premier. C'est bon? Tu peux y aller en premier. Oui, OK. Merci. Toi, t'espères-tu qu'il ne faut pas ta soeur? Ça serait un malaise dans la famille parce qu'elle est mariée et tout. Qu'est-ce qui serait encore plus hot?

Il faut son mari. Ça dépend dans quel monde. Non, ce ne serait pas si hot. Dans l'iol, devant les enfants. Non, c'est un... devant les enfants. Non, c'est un... C'est pas mal ça que je souhaite. Excuse-moi.

Excuse-moi. Je suis rendu, je parle de ma bière. Moi, je viens de remarquer... moi je suis je suis un bol et je suis la raison pourquoi j'ai été vite le monde Pis toi, pis le monde, il y a pas Hashtag bitch Toi et ta soeur Elle aimerait-tu avoir sa graine dans sa face? Non, elle aimerait pas ça Merci tout le monde, joyeux Noël

Ça a pas de classe Fait que 2016 Sylvain, maintenant qu'on a passé moi Ça n'a pas de classe. Fait que 2016. Sylvain, maintenant qu'on a passé moi. Qu'est-ce que je peux dire après ça, tabarnak? Mais tu veux-tu... Toi, pour de vrai, toi, t'as une place que là,

tu commences à être connu, pis ton but, c'est-tu de devenir big dans une suite où tu vas attendre une couple d'années? T'aimes-tu être pauvre? Parce que quand je me dis... Ben, je veux pas...

Je veux pas être connu, t'sais, honnêtement, je crois pas à ça. Moi, je pense au travail, pis ça progresse tranquillement, en fait. Moi, j'ai jamais travaillé. So you claim, mon gars, so you claim. Moi, c'est facile. C'est pas vrai, tu riais, Moi, je n'ai jamais travaillé. So you claim, mon gars. So you claim. C'est pas facile. Pour vrai, tu riais. C'est ça, c'est de travailler tranquillement.

À chaque année, ça progresse dans mes affaires. Je fais de plus en plus de shows, je vais de plus en plus loin, de façon de plus en plus régulière. C'est toujours ça, puis ça progresse. Ça doit être touchant d'avoir un gars comme Sylvain qui te met en première partie. Oui, puis en fait, j'aime beaucoup Sylvain Larocque.

Comme individu, je l'aime même comme artiste. Maintenant, comme individu, je l'aime beaucoup. Il a l'air bourré de même. Même si c'est fourré de ta soeur. Ben, ça rapproche. Mais non, c'est ça. J'aime beaucoup Sylvain. On est bien dans le silence. On est bien dans le silence.

On spoke. Il y a une bonne... Il y a une bonne ironie aussi. J'aime ça. Progresser, c'est ça. Que le monde parle de moi. Que le monde sache je suis qui. Tranquille. C'est juste une progression. Il n'y a pas une tout positive à être connu.

Il n'y a pas une tout positive. Moi, pour de vrai, j'aime mieux... Moi, j'ai deux carrières. J'ai ma carrière anglo-franco. Anglo, je ne suis pas connu. Franco, je suis connu. J'aime mieux être pas connu que connu. Pour de vrai. Il y a des beaux et des cons.

C'est plus le fun. Mais c'est le fun d'être riche. Oui, ça aussi. Tu peux t'acheter des autres petites belles toilettes. Riche comme quelqu'un de connu, c'est le fun, mais pas connu, c'est cool. Vivre une vie sans voir des madames qui jouent.

Oui. C'était toi, 2016? 2016? Oui, je cache le temps tout. Continuez à rouler mon show le plus longtemps possible. Quoi d'autre? Vendre une série de télé que je développe. Puis, trouver l'amour.

C'est têteux, mais c'est vrai. C'est quoi? Je devrais aller sur le point que tout le monde a fait. Mais, je vais aller à la place sur l'affaire que moi, je m'intéresse. Ta série télé,

c'est quoi que tu péterais? C sur l'affaire que moi, je m'intéresse. Ta série télé, c'est quoi que tu pitcherais? C'est une affaire que je pitcherais, mais je ne peux pas en parler. Ce n'est pas vendu. Je la pitcherais le 12 janvier. Je l'aiderais le 13, si tu veux. OK. Tu as du climat.

C'est ça. L'amour. L'amour. Rien à dire là-dessus. J'espère que ça va arriver. Tu peux me montrer ça. Y'a-tu une autre question? Oui? À qui tu parles, là?

Mike? Ben là, là, là, c'est, ça, c'est Lou Marin qui est un des gars de mon équipe qui veut savoir

si je connais les pédophiles de Mascouche et je connais juste un des membres des pédophiles de Mascouche, il s'appelle

Lou Marin. C'est le seul. C'est drôle. Tabarnche, il s'appelle Lou Marais. C'est le seul. C'est drôle. Tabarnak, il fait partie de mon équipe pis il veut que, propager la nouvelle que j'ai des pédophiles qui se promènent avec

moi, hostie. Tabarnak. C'est la dernière fois que je te présente une fille d'11 ans, hostie. Tabarnak. Ma demi-sœur? Es-tu morte, ta demi-sœur? Oh, tabarnak! Too soon!

Ça, c'est une affaire. C'est pas les lèvres, là. C'est vraiment affaire. Moi, je vais arrêter de parler. On défend. OK. Fast-forward six minutes. OK. Y'a-tu un autre question? Ferme ta gueule, Louis. Éric peut parler, par exemple.

Chepi-Pepo. Ah, tabarnak. C'est quoi ça? Là, là, c'est Éric qui est le doorman ici. Que moi, là... Il y a deux personnes qui l'ont catché, honnêtement. Ma blonde et Éric, on rit beaucoup. Parce que moi, un moment donné...

Dimanche. Mais un moment donné, Carlis, on va arrêter de vivre dans le passé. Mais dimanche... C'est sûr qu'un moment donné, ça peut être ultérieur. Non, c'est que... Là, c'est un gag de dimanche.

Moi, un moment donné, j'étais saoul. J'étais chez nous. Moi, ma blonde, elle me filme tout le temps quand je scrappe à la maison. Puis il y avait un moment donné, j'étais dans les toilettes. Puis moi, ma toilette, je suis capable

de m'accoter sur le mur puis pisser. Fait que je suis en train de me pisser dans la toilette pis j'arrête pas de faire chapi-chapo pis des pots. Chapi-chapi! Pis pis pis! T'sais la chanson!

C'est-tu dimanche que tu viens de me mettre dans la tête? Calisse! Mais le pire, elle m'a filmé. Elle m'a filmé, pis pendant un bout de temps, j'ai pensé me mettre ça comme annonce à télé. J'ai fait, ah non, le Québec est pas prêt pour ça. Il faudrait faire un lip-dub de ça. Un lip-dub.

C'est juste que tu poses un kiss. C'est drôle. Mais pour de vrai, le moral de l'histoire, je suis une vraie vidange. C'est ça, c'est ça. Y'a-tu une autre question qui a pas rapport avec moi qui est à côté sur un mur, qui pisse en chandelle à verre pour un phare? Pis je pointe ici parce que Rick, ma blonde, sont là.

Y'a personne. T'as aucune question que tu veux poser. Elle a là une question pis elle a l'air intelligente. C'est quoi que tu vas poser? Elle est un peu gênée. Intelligente ou gênée? Elle veut savoir.

C'est-tu une question pour moi, Sylvain? C'est pour qui la question? C'est pour qui la question? Est-ce que tu as des questions? Est-ce que tu as des questions ou est-ce que vous avez des... Moi, j'ai pas de kids. Non, est-ce que vous avez des questions? C'est pas ça qu'elle a demandé.

Est-ce que vous avez des enfants et est-ce que vous voulez des enfants? Moi, je peux pas en avoir parce que je suis infertile. Fais attention. Je peux pas en avoir, moi, mais j'aurais aimé ça en avoir. Fais attention, il va voler ta bière.

J'aurais aimé ça de m'avoir, mais je ne peux pas. Fait que, réponse à ça. Tu ne peux pas? Comment ça? Moi, je suis hétérosexuel, mais je pense que mes soins mathéosolides sont gays entre eux autres.

Fait que tu penses, quand tu viens, ton sperme, il fait juste se fouler dans le cul. Il veut rentrer dans le pénis. Il sort, puis il rentre. C'est ça. Fait que, c'est une graine là On rentre dedans

Là pendant 3 jours T'es comme Cris j'ai mal à la prostate Qu'est-ce qu'il se passe Fait que moi j'aurais aimé ça De l'avoir par contre J'aurais beaucoup aimé ça Pis moi

Ben c'est ça T'as l'air j'ai répondu Point de vue professionnel Mais j'aimerais ça Avoir un enfant en 2016 Ça c'est On travaille là-dessus Présentement la blonde pis moi

Ok Ben pas présentement Live je suis pas moi. Pas présentement, live, je suis pas en train de la fourrer et de venir dedans. Mais non, c'est ça. Si tu travailles là-dessus, ça sonne soit tu veux la fourrer ou tu vas kidnapper un enfant.

Ouais, mais la fille à Trois-Rivières, elle se fait prendre à chaque fois. Fait que je vais pas... Ça là... Ça là... C'est trop. Moi, je veux pas d'enfant. Pour de vrai.

La raison pourquoi je veux pas d'enfant, c'est que... Un, je veux pas d'enfant. Puis deux, si j'avais un enfant, tout le monde me ferait des hosties de jokes de Cédric, de petit Jérémy. Ça serait trop compliqué. La seule manière que je pourrais avoir un enfant, ça serait s'il serait lourdement handicapé.

Puis je pourrais créer un malaise avec... En fait, tu pourrais faire tous les jokes que tu veux. C'est mon enfant! c'est que tu pourrais faire toutes les jokes que tu veux, pis tu dirais, c'est mon enfant! C'est mon enfant! C'est fait! Je vais le fourrer dans la face, pis je vais le kidnapper, esti!

T'as guéri ta hanche, crac! T'y pètes d'autres choses. Non, moi, honnêtement, moi, j'ai hâte d'avoir des enfants. J'ai le goût. Moi, j'ai hâte des kids nappés. Non, mais pour vrai,

c'est ça. Mais t'as hâte d'avoir... Moi, pour de vrai, je veux pas d'enfants. Toi, pourquoi tu veux des enfants? Parce que c'est hot. Tu sais, ça... Moi, honnêtement, t'es un peu freak,

mais j'ai des plantes chez nous et je suis content quand il y a une fleur. J'ai un hibiscus qui fait une fleur. Je trouve que je l'ai bien traité. Si mon enfant vient se lever de bout, un moment donné, je fais wow. Tu vas être le genre de père qui va applaudir. Je vais faire bravo tout le temps,

mais il va comprendre l'ironie. Je vais toujours lui dire qu'il est laide. Je vais lui dire des affaires simples. Ça va toujours être l'ironie. Je vais toujours lui dire qu'il est laide. Je vais lui dire des affaires simples qu'il comprend. Ça va toujours être l'ironie. Je vais toujours dire l'inverse de ce que je pense. OK. Je pense.

En même temps, une fois, probablement que je vais faire crisser l'air. Il ne comprendra pas l'ironie, par exemple. Non, c'est vrai. Un enfant ne comprend jamais l'ironie. Je sais, mais... Si tu fais « Ah, t'es laid il va juste faire ben il me trouve laid oui ah oui c'est vrai ah oui mais

là il va avoir un caractère tu vas blesser ton enfant pis il va te sauver y'a y'a y'a y'a tu un autre enfant y'a tu un autre enfant

y'a tu y'a tu un autre question pis je pense même ça va être la dernière question parce que Y'a-tu... Y'a-tu une autre question? Je pense même que ça va être la dernière question. Parce que... Comment est-ce que vous avez été payés ce soir? En bière? Zéro. Ils ont été rien, rien, rien payés. Pis ça, je voulais le dire.

À chaque semaine qu'on fait les podcasts, mes invités sont pas payés. Pis moi, je suis semi-feeling. Fait que je n'arrête pas de faire des « Ha! Ha! Ha! » On n'est pas payé. On veut dire n'importe quoi. Le rapport qualité-prix va être excellent.

Non, mais pas de vrai. Merci beaucoup, les gars. Merci d'avoir fait ça. Je vous remercie, vous autres. Je remercie tous les invités qui ont été là. Je vais faire une dernière question mais il va y avoir

une dernière question Sylvain parce que Sylvain vous laisse en aller mais non je voulais très très puis ça va bien

y'a-tu y'a-tu une dernière question j'ai entendu mascouche y'a un gars qui a une question de mascouche y'a une t tuque sur la tête.

Puis là, c'est Lou Marin encore qui parle. C'est qui le gars avec la tuque sur la tête qui voulait parler de Mascouche? Maintenant que c'est weird, ça va être là. Là, je viens de réaliser que le gars de Mascouche, c'est un autre de mon équipe. Fait que là, c'est juste du monde de mon équipe. Fait que là, c'est juste du monde de mon équipe

qui crée des problèmes. Fait que, y'a-tu une question ici? Du monde que j'ai jamais engagé. Ok, oui. Notre stand-up sur papier, ça ressemble à quoi? Ben, c'est une liste de mots

moi je me fais des 7 listes un mot-clé par joke et quand je suis obligé de le faire à télé ou remettre un texte officiel là je l'écris au long mais généralement c'est sur l'aide mémoire c'est pas mal ça moi ça va être marqué honnêtement tous mes pacing commencent par

bonsoir virgule Comme si je l'avais oublié, mais je trouve ça drôle. Et comme « Bonsoir, chriss, ça n'a pas bien été, j'avais oublié « Bonsoir. » Tu sais, mais « Bonsoir », après ça, c'est deux, trois mots, puis des flèches, mais c'est ça. Je pense, j'ai l'impression, en plus,

les gars qui n'ont pas fait l'école de l'humour, c'est plus dur écrire des numbers, écrire mot pour mot,école de l'humour, c'est plus dur écrire des numbers, écrire mot pour mot, parce que l'humour, tu sais, mettons, un gag que tu fais, de show en show, les mots changent à chaque fois. Fait qu'un

coup que tu l'as écrit, tu fais, ok, c'est ces mots-là, c'est ces mots-là, le show d'après, c'est ces mots-là, c'est ces mots-là. Moi, je sais que quand je vois mon texte, mettons, tu sais, moi, mon show ça'après, c'est tes mots-là, c'est tes mots-là. Moi, je sais que quand je vois mon texte, mettons, tu sais, moi, mon show, ça fait six mois qu'il roule ou un an qu'il roule, ça ressemble plus

fuck all à ce qu'il était au début. Fuck you, Carlis. Ce que je fais souvent, moi... Non, mais il riait. Les tabarnaks, arrêtez de rire! C'est sérieux, ce qu'on fait! Je pensais, quand j'allais dire

« fuck you », ça allait rire, puis ça a juste fait un malaise, puis en fait, Mike Ward, il est fâché. Mais moi, peu importe ce que je dis, je n'y pense pas. Par contre, ce que je fais souvent, c'est que j'écris le gag dans ma tête, et je le fais trois ou quatre fois,

puis quand j'ai réussi à le faire d'une façon qui marche, là je l'écris au long du papier processus inverse moi il y avait une affaire que Jean-François Mercier avait dit un moment donné sur scène d'un open mic que je l'avais écouté, pis j'avais fait c'est weird, mais

ça a changé la façon que moi j'écris il avait juste dit il avait testé un gag, il avait dit, je vais tester un gag, puis il a dit, je l'ai pas écrit, puis moi, c'est pas vrai que je vais écrire un gag avant de savoir qu'il marche. Puis il a fait son gag, puis à ce temps-là, c'est le même que je suis.

Moi, là, j'écris rien à moins de savoir que ça va être drôle. Et je prends pas un numéro ou l'autre des jokes par cœur tant que je sais pas qu'ils vont marcher. Je traîne tout le temps ma petite liste Foxus. Tout le temps. Moi aussi.

On est des esthétiques paresseux pour organiser ça qu'on est. Ce n'est pas paresseux, non, mais ça marche toujours dans la tête. Ce n'est pas parce que je n'ai pas écrit quatre pages dans une journée que je n'ai pas travaillé. J'ai réfléchi, j'ai pensé à des affaires, j'ai écrit trois mots sur une page,

mais ça fait en sorte que ces trois mots-là vont m'amener un 10-15 minutes de stock qui ensuite vont m'amener à un 4 minutes qui là vont m'amener à une autre branche qui va me faire une autre 5 minutes. En moyenne, vous écrivez combien de temps par jour? C'est carré, non? Moi, j'écris pas bien bien

par jour, mais moi, de ce temps-ci, je fais... Moi, cette année, c'est ma meilleure année, je fais à peu près 400 shows par année. Moi, je fais des shows en tabarnak. Plus qu'un par jour. Plus qu'un par jour, oui.

Je fais le temps chaud. T'es tout le temps... Le temps chaud. Tu es tout le temps chaud. Non, tu veux dire, là, tu trompes avec le mot chaud, puis être chaud. Les deux. C'est les deux. On s'en gâtisse. Mais non, je suis tout le temps chaud.

Je suis tout le temps chaud. Là, tu trompes avec le mot. Moi, pour de vrai, c'est que moi, mes premières... Moi, ça fait 23 ans que je fais de l'humour. Au début, j'essayais de faire tout le temps 200 shows par année. Puis depuis 5 ans, j'essaye de faire... J'essaye de faire 300.

Puis l'année passée, je me suis dit que je vais faire 400 shows par année. Qu'est-ce que tu fuis? Je... Choupidou, chaté, toutou. Je fuis tout sauf ta soeur. Nice!

Il faudrait aller la voir quand même, tant qu'en parler. Non, mais c'est ça qui est weird. C'est que moi, j'ai... C'est ça qui est fucked up. Tu sais, comme toi, quand t'as commencé, puis je trouve qu'on se compare un peu là-dessus. Moi, je faisais des shows en anglais, en français,

mais qu'est-ce qui est weird? Quand tu fais des shows en français puis en anglais, tu te dis, je vais essayer de faire 100 shows par année, mais tu te dis, je vais essayer de faire 100 shows par année. Mais tu te dis, je vais faire 100 shows par année en français, 100 shows en anglais. Là, tu es déjà rendu à 200. Là, tu es comme crispassé.

Je vais faire 150, 150. Mais là, tu es rendu à 300 shows. C'est énorme. C'est n'importe quoi. Ça n'a pas de sens. Moi, maintenant, je suis rendu cette année je vais en avoir fait pas loin de 190 200

je trouve que c'est pas pire moi je trouve que c'est de la merde je trouve que c'est pas pire je trouve que c'est pas pire mais je serais prêt à en faire 250 300 l'année prochaine parce que c'est de même que ça progresse t'as aucune chance de percer avec ça c'est un peu pour ça que c'est dur ces relations ça progresse, mais t'as aucune chance de percer avec ça. Fait que là...

C'est un peu pour ça que c'est dur ces relations de couple, notre métier aussi. Il faut que la blonde soit pas jalouse. C'est pour ça que ma blonde m'a dit « audace ». Ça fait longtemps que t'es avec. Ma blonde est ici à soir, elle vient jamais me voir. Puis elle est ici à soir, je sais pas où elle est. Elle est où Marie? Elle est là-bas Marie.

Marie, on peut l'applaudir. C'est là, c'est là. C'est vraiment dur de se faire là. C'est pas n'importe quelle femme qui peut sortir avec un humoriste. Non, absolument pas. Ça prend beaucoup de compréhension. Ça prend une femme avec pas de standard. Moi, ça me prend une belle

femme intelligente qui manque de jugement complètement. Mais c'est exactement ça. Ça prend une fille. Moi, là me prend une belle femme intelligente qui manque de jugement complètement. C'est exactement ça. Ça prend une fille... Moi, là, Marie... Marie, l'affaire qui m'a le plus surné en au début, c'est qu'elle était drôle. Elle m'a fait rire pour pisser dans mes culottes.

Puis, moi, mes commentaires stupides, elle riait. Fait que c'est ça. C'est ça. Et sur ce, je vais aller à fourrer la cité.

Fait qu'on va arrêter le show. On va arrêter le show. C'est correct. Puis ça fait du bien qu'on fourre quelqu'un d'autre que ma soeur. On va. Mais. On va. Mais non. Je vais fourrer ma blonde. Sylvain va fourrer ta soeur. mais on va mais non je vais fourrer ma blonde

Sylvain va fourrer ta soeur et moi si appreneuse il veut des enfants merci beaucoup merci les gars merci merci tout le monde si vous voulez aller

j'aimerais ça qu'on donne une bonne main d'applaudissement à Yann Thériault Merci tout le monde. Si vous voulez, allez, j'aimerais ça qu'on donne une bonne main d'applaudissement à Yann Thériault, qui est juste là. Pour les gens à la maison, là, j'ai eu l'air d'un gars qui n'arrêtait pas de m'insulter, mais Yann, c'est un génie du podcast. Si vous allez sur le stream,

googlez Yann Thériault. Allez googlez LeStream.com Yann Thériault, Crépule, whatever. Allez le voir, écoutez ses shows. Il est malade mental. Donnez-y de l'argent. Envoyez-y de l'amour.

Il est trop vieux pour avoir de maladies vénériennes. Envoyez-y ben, ben, ben des virus. Merci. Merci beaucoup. Salut tout le monde. Sous-titrage Société Radio-Canada.