Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #57 ( Dave Morgan et Alexandre Bisaillon)
Episode Date: March 28, 2016Cette semaine, Mike reçoit Dave Morgan et Alexandre Bisaillon qui nous parlent de leur tatous et leurs influences en humour. ★ Support this podcast on Patreon ★ ...
Transcript
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En direct du Bordel Comédie Club, voici Mike Ward sous écoute.
Merci beaucoup.
Merci. Bonsoir, bienvenue à Mike Ward sous écoute.
Là, hier, j'ai enregistré deux podcasts. On en refait deux
aujourd'hui. Il y a du monde qui m'a demandé
pourquoi tu fais autant de podcasts dans le
mois de mars. La raison, c'est que
moi, je veux, quand tu vas mourir,
avoir huit ans de podcast
en réserve.
Que quand tu vas mourir, tu vas faire,
c'est triste, il nous reste juste onze années
de lui en train de se tuer lentement avec de l'alcool.
Mais c'est ça, hier, la semaine passée, vous l'avez sûrement vu pour ça à la maison,
pas pour vous autres, mais on a vu Guillaume Pinault qui a bu vraiment beaucoup, puis pas tant que ça.
Il était scrap,
scrap, scrap, mais il n'avait
pas bu tant que ça, et c'était magique.
Aujourd'hui, sur Facebook, il faisait
encore à tout le monde qu'il y avait une gastro.
Fait que j'aime ça
qu'il assume pas son lendemain de veille.
J'étais... C'est ça,
on a eu bien, bien, bien du fun. On a de la grande visite
aujourd'hui. Julien
Bernatchez, bien du fun. On a de la grande visite aujourd'hui. Julien Bernatchez qui est là.
Tu veux-tu venir dire salut au monde avant qu'on commence le podcast?
Très fort. Julien Bernatchez qu'on a eu ici à l'émission et tu es devenu une star grâce à tes talents culinaires.
J'ai encore les cheveux mouillés.
Comment ça? J'ai pris ma cheveux mouillés. Comment ça?
J'ai pris ma douche.
OK.
Je ne fais pas les bons moments pour faire ça.
Sais-tu juste que tu les as laissés mouillés pour prouver qu'ils étaient propres?
Je fais attendre les rumeurs.
Je les lave parfois.
OK.
Je ne sais pas ce qui est parfait que j'avais annoncé en exclusivité.
Ici?
Ici.
Oui, c'est ça.
Puis, ça a été une catastrophe, comme convenu.
Oui, mais c'était hallucinant.
Pour de vrai, je riais fort.
C'était vraiment drôle.
C'était vraiment drôle.
Est-ce que tu imagines rire fort chez vous?
Oui.
Mais le pire...
Ha! Ha! Ha!
Moi et ma blonde, on avait dit qu'on allait le regarder ensemble, puis à tous les jours,
je le regarde des lives,
sans y dire, puis après je le réécoute avec ma blonde,
puis je riais aussi fort,
restez que c'était vraiment bon.
Tu m'as vraiment fait
très, quand t'as fait le gag,
sur la fille qui avait un tattoo d'un triangle
dans la face, puis tu disais,
ben elle, j'imagine que ça voulait dire
quelque chose pour elle.
Quand elle avait 17 ans.
Elle trippantait par là que c'est un triangle, je t'ai dit.
Puis c'est drôle qu'à un moment donné, elle dit, moi j'ai déjà eu des problèmes
de consommation, puis t'es comme, t'as un triangle de tatoué dans la face, on le
savait tous.
On l'avait deviné un peu.
Les gens étaient bien brusqués parce que c'était
une compétition culinaire.
Je savais pas faire à manger.
T'as eu de la haine sur Internet?
Même moins que j'aurais cru.
J'ai été un peu... Un peu déçu?
Un peu déçu, à la limite. J'aurais aimé ça
qu'il y ait plus de ma tante qui me détruise.
Mais c'était la semaine que moi je je suis en cours, fait que je me suis attiré.
Oui, ça peut en faire. Claude Jutras est assez content que ça sorte, cette affaire-là.
Claude Jutras, merci à moi.
Merci, Julien. Merci.
Très drôle. Bien, merci d'être là. On va finir sur ce malaise-là.
T'es sûr d'avoir un verre, vu que je suis venu parler?
Tu veux-tu? On peut-tu y payer un drink
je vais y payer un drink
chaque fois que t'as soif
t'as juste à venir
prendre un restant
merci
c'est apprécié Mike
je te souhaite un bon show
merci beaucoup, merci
bonne main d'applaudissement
Julien Bernatchez
qui est devenu mon co-animateur de cette émission-là.
Aujourd'hui, à l'émission, je suis très content d'avoir ces deux jeunes hommes-là.
J'haïs ça de dire « jeune homme ». On dirait que… Je ne sais pas pourquoi j'haïs ça.
Dans le fond, je ne devrais pas haïr ça, mais ça me tape ses nerfs.
Le monde qui dit « bienvenue jeune homme », j'ai le coup de col, c'est un coup
de poing dans le ventre.
C'est peut-être moi.
Je pense que c'est vraiment...
Julien, reviens, mais non.
Très content d'avoir ces deux gars-là.
Mesdames et messieurs, bonne main d'applaudissement
pour Alex Bissarion, Dave Morgan.
Salut Alex. Salut Dave, ça va?
Merci beaucoup d'être là
Merci à toi Mike, bonsoir à vous 30
Merci, salut
C'est cool que Julien
soit monté
Je suis honoré que Julien soit là à notre podcast
Moi aussi
Ça va Ben?
Salut Dave, ça va?
Ça va très bien
J'ai payé une fête là, tu vois.
J'ai payé une patate il y a deux jours.
T'as payé une fête?
T'as payé une valentine.
Julien Bernatchez rentre dans une pataterie, je suis déjà là avec Sam Breton, on revenait
d'un spectacle.
Et t'as Julien Bernatchez qui rentre, pis tu regardais s'il y avait pas des stimés
en spécial.
T'sais, l'affaire qui coûte bien cher dans la vie.
C'est quoi le prix, mettons, d'un stimé régulier? Un stimé régulier, c'est 99 cents.
OK.
Fait que lui, il voulait celui-là à 49.
Il voulait celui-là à 59 cents.
Il voulait celui-là à 59 cents pour un coup.
OK.
Là, je le voyais au loin, il était emparé.
Je disais, c'est ce qu'il cherche.
Là, je lui dis, on le fait à l'eau,
puis il vient nous voir,
puis finalement, il a donné des patates.
Fait que c'est un peu, c'est une mouette qu'on aime beaucoup.
Ah oui, mais oui. Fait que je suis content de ce qu'il y a là. Amenez-en un burger.
Ça, c'était la nuit, j'imagine. Oui, il était tard.
OK.
Oui, oui, Julien, t'étais chaud un peu. T'étais sourd, hein? Moi, j'étais à
Jean, chauffé.
Julien, te souviens-tu la fois où j'étais dans l'autobus et tu es tombé sur moi?
Attends, mais Julien, monte, monte.
Tout le monde croise.
On a-tu un autre micro?
On peut-tu trouver un micro pour Julien?
On peut se le partager.
C'est quoi?
Non, je ne m'en souviens pas, Alexandre.
Je m'en doutais un peu.
Écoute, c'était un super beau moment.
Il y a quelqu'un qui est tombé sur moi.
C'est à 24.
On s'en fout tellement, c'était où?
On veut savoir, direction Est ou Ouest?
Ouest.
Pour que ça marche.
Est, c'était Est.
Je ne sais pas si je m'en allais.
Il y a quelqu'un qui me tombe dessus.
Il se retourne d'abord.
Je fais comme, Bernadette,
il fait comme, hey, content de te voir.
J'ai une très mauvaise...
Je suis vraiment pas capable de t'imiter.
Il t'a tombé dessus, je crois.
Il a juste fait...
Il est tombé.
Il y a bien des marches dans l'autobus,
ça shake, tu sais.
Mais là, je vais en aller où, là?
Tu tombais dessus.
Je te demande à toi,
puis tu t'en rappelles clairement pas.
Non, je me rappelle pas.
Il tombait sur toi en gag, vu qu'il t'avait reconnu ou juste il tombait sur tout le monde?
Non, parce que pour vrai, si je ne disais pas « Hey », il tombait endormi.
Il était carrément…
Non, mais c'était pour le gag.
Oui, décide-toi.
Il y a plein de bonnes rencontres avec toi sur l'île, Julien. C'est le fun à voir.
On peut vous croiser partout au centre-ville.
As-tu une maison? Moi, c'est ça que je me demande.
J'habite à quelque part.
Je n'ai pas de four, mais oui, oui.
Confirme. C'est à côté, en plus.
C'est ici. Merci, man, d'être là.
Merci à vous, les amis.
Merci. Yes.
La seule fois que tu veux une bière,
ça revenait.
Vous-même, vous connaissez de où?
Ben, vous autres, mais vous et Julien.
Les trois?
Oui.
Ben moi, j'ai connu Julien à cause de Mathieu Saint-Ange.
Je faisais des trucs sur le web avec.
Ça fait quand même longtemps, là-dessus,
j'avais eu le show web à ZooFest,
qui n'avait pas le VO.
Puis c'est là que j'ai connu ce gentil personnage. C'est à l'époque de son Lucky Luke? le show web à Zoofest qu'elle ne veut pas lever haut.
C'est là que j'ai connu ce gentil personnage.
C'est à l'époque de son Lucky Luke?
C'était-tu? Oui, mais
je ne consommais pas beaucoup de Julien à l'époque.
Je le connaissais juste parce que je le voyais dans des
parties de brosse avec un gars
qu'on ne peut plus dire son nom.
On va dire Monsieur Roy.
Il se tenait ensemble et c'est là qu'on s'est connus.
Avec Gabroi.
Je l'ai dit. je l'assume.
Non, non, tu te tenais pas avec Gab Roy, par exemple.
Tu te tenais avec ses petites lombes de 15 ans.
Moi, j'avais, tu sais, j'ai sorti un album anglais
que j'avais enregistré pendant le ZooFest,
puis il y avait une des captations, j'écoutais, Gab était dans la salle,
puis il était avec une fille
qui était pas mal jeune,
mais tu sais, elle avait genre 18-19.
Oui, mais c'est ça, Gab a comme 30 ans,
c'est tout.
J'avais fait des jokes de pédophile
à ce petit pédophile
avec ta petite blonde de 15 ans.
Puis là, quand je l'ai réécouté
avant de le sortir,
j'ai fait « Oh, fuck! »
J'y faisais des gags de pédophile.
Je faisais des gags de pédophile
à un pédophile.
C'est ça!
Combien de fois c'est arrivé dans ta carrière?
Tu le sais pas? Il y en a peut-être d'autres que t'as pointé.
T'as peut-être du flair, moi.
C'est peut-être un Sherlock Holmes
du pédophile.
Tous les pédophiles du Québec sont comme,
« Chris, faut pas que Mike Ward me voit,
il va le savoir, puis il va le dire. »
Mais, ouais, c'est ça.
C'est ça, mais pour moi,
parce qu'on parle beaucoup de Julien,
mais moi, puis le beau Alex, ça fait trois ans
qu'on se connaît.
On s'était connus dans un open mic à Gatineau.
OK.
Puis ensuite, ou avant, t'es...
Là, ça, tu le dis parce que...
OK.
Moi, il m'a écrit, c'était très weird, il m'a écrit
c'était très weird, il m'a écrit il y a deux semaines
sur Facebook un samedi soir
à 9h
Alex c'est quand
d'où on se connait
j'ai demandé ça, c'est fou
mais je demande ça à mes amis
moi des fois j'aime ça, je suis nostalgique
comment notre amitié est née
c'était comme ça
il y avait-tu des émoticons
c'était des ballons
qu'il faisait
il m'a envoyé un gift
d'un chat
je suis gêné
bref
pis c'est ça
que je t'ai répondu
tu réponds comme si
tu le savais
je le sais
parce que je m'en suis rappelé
on s'était connus à Gatineau
c'était un peu louche
on sait pas trop
je pense que c'était
un open mic
à Gatineau
pis on a fait de l'escalade
aussi un moment donné
avant l'open mic parce qu'à Gatineau ils font ça c'est une soirée c'ineau. Puis on a fait l'escalade aussi un moment donné, avant l'Open Mic.
Parce qu'à Gatineau, ils font ça, c'est une soirée,
c'est le mardi gras, ça fait l'instar,
ils invitent plein d'humoristes une fois par saison.
La grosse soirée en Ottawa qui était...
C'est vraiment le fun.
Le bar change de nom aux deux ans.
L'Addiction, l'Addiction.
L'Addiction, c'est le mardi gras,
puis la soirée de mercredi.
Au début, c'était la surlutte.
Ah ouais?
Ouais.
La surlutte. La surlute. Ah ouais? La turlute.
T'es-tu allé turluter là-bas, toi, Mike?
Non, mais moi, turlute,
c'est le mot français pour une pipe.
Je sais pas pourquoi ils ont appelé ça
la turlute.
Ben t'sais, ils parlent pas mal anglais là-bas,
ils sont pas au courant de tous les mots en français.
Ouais, peut-être. Mais c'est drôle, t'sais.
Ben là, le mardi gras, puis les soirées de mercredi, c'est weird.
C'est ça, on avait eu plein d'activités de payés, puis on s'était fait du fun, puis c'est bromôle, tu sais. Ben là, le mardi gras que les soirées de mercredi, c'est weird. C'est ça, on avait eu plein d'activités de payés
pis là, on s'était fait du fun.
C'est bromance qui a commencé là.
C'est là qu'on est devenus
des BFF.
Pis en plus, après,
il est devenu...
T'es rentré dans la même boîte
de gérance que moi,
qui est production feedback.
Ouais.
Le gérant qui est là,
il peut applaudir,
il est au fond.
Junior.
Junior.
Salut Junior.
Junior, qui est mon partner
de badminton.
Ah ouais?
Pour vrai?
Ouais. Il y a deux ans... Tu disais pas de ça. Non, mais il y a
deux ans, on s'était dit, on était
sous un soir dans un party, pis là,
j'avais fait, « Chris, ça me prendrait un gars
pas en shape pour faire
du sport avec. » Pis il avait dit,
« Ah si, moi aussi, je pensais à ça. Chris,
on va faire du badminton. » Deux ans
plus tard, on n'est jamais allés.
Mais une fois par année, c'est juste un email.
Ça marche ça encore.
« Wow, un moment donné. » Avez-vous vos raquettes?
Oui.
Tu t'es dit d'acheter une raquette?
Non.
Non.
Vous n'êtes pas arrivé à cette étape-là.
Mais j'ai joué une fois l'été passé avec une raquette que j'ai achetée dans un petit kit à Canadian Tire.
Même pas de junior?
Non, mais il était pas là. J'étais à Magog.
Il devait être un tabarnak.
C'est la première fois qu'il l'entend.
Il faut partir.
Mon colis! Il m'a trompé.
T'étais-tu avec un autre gars qui était
en manque de souffle? J'étais avec
un gars, pas aussi
pire que moi, mais un gars qui fume
beaucoup, beaucoup de potes, qui boit
autant que moi.
Il avait le pain, Mike.
Moi, je fume pas, mais j'ai
commencé à fumer la cigarette à 11-12 ans.
J'ai arrêté, genre,
il y a 5 ans. Moi,
je suis mort en dedans depuis 6 ans et demi.
Il y a de la résine.
Oui, c'est ça. Je ne suis vraiment pas en chèque.
À 11 ans, tu fumais des tops.
Moi, je dis que j'ai commencé à 11 ans,
tu as fumé ta première top,
mais tu as refumé à 14 ans.
J'ai commencé à fumer à 11 ans.
Ah oui?
Je dis 11, j'ai peut-être 12.
J'étais jeune en crise.
Deux, trois tops par jour.
Une quinzaine par jour.
C'est ça.
Oui, oui. Mais mon frère, mon frère... C'est ça, moi, j'étais jeune en crise. Deux, trois tops par jour. Une quinzaine par jour. C'est tard.
Mais mon frère,
c'est ça, moi, j'étais... Fait que t'es pas en t-shirt, t'es toute noire.
Moi, mon frère, il avait
quatre ans de plus que moi,
puis on a commencé à fumer en même temps.
Mais lui, il fumait en cachette, moi, je fumais
en dedans. Puis là, après les repas,
moi, j'avais 12 ans.
Mes parents me laissaient
fumer en dedans parce qu'on avait une ferme. Puis ils avaient peur que son feu m'en cachait.
On allait casser le feu à la ferme. Fait que là, ils ont dit…
Ah ben oui. Ah ben, c'est logique, ça.
Non, non, mais… C'est quand même logique.
Non, mais c'est parce que… Aussi, dans le quartier qu'on était, c'était un quartier
résidentiel. Fait que…
Il y avait gros à brûler.
Non, mais il y avait… La ferme à mon père, il n'avait pas le droit de rénover.
Puis ça passait au feu, il ne pouvait pas rebâtir.
Il voulait se débarrasser de la ferme.
Fait que là, mon père aimait mieux
que je fume en dedans que dehors.
Mais mon frère, lui, il allait dehors.
Puis à chaque fois qu'il allait dehors,
je faisais, pas dehors, moi, je vais fumer une cigarette.
Je me regardais, ce Christ de beurre
avec une cigarette dans la gueule.
Ah, c'est drôle ça!
J'ai commencé à boire et à fumer, puis j'ai perdu ma virginité,
tout dans le même été à peu près.
Ça a brassé?
Oui.
On n'a pas la même enfance.
Puis tout avec mon manon.
Les trois affaires!
Dans la vanne.
Non, mais dans la vanne.
Moi, c'est que je suis diabétique,
puis l'été que je suis devenu diabétique,
là, j'avais peur que les autres kids allaient me niaiser.
Avec ça, j'ai fait, je vais devenir le gars le plus fucking trash
qu'ils vont avoir peur de me niaiser.
OK.
C'est une bonne raison de ne pas faire attention à sa santé.
Oui, exactement.
12 ans, je n'en reviens pas encore.
Toi, tu n'as jamais fumé?
Je n'ai jamais fumé de ma vie.
Je n'ai jamais fumé.
Moi, j'ai commencé tard.
J'ai commencé à fumer à 22 ans.
Oui, tu lui as dit, il va pas,
puis il craque sa vapoteuse.
Là, je suis sa vapoteuse,
mais j'ai fumé deux ans.
OK.
J'ai commencé à 22 ans.
Pourquoi tu as commencé à 22?
Parce qu'il est influençable que le cas, l'issue.
Pas pas en tout, j'étais tout seul.
J'étais tout seul dans mon sol,
puis j'avais écouté un film d'auteur français,
puis c'était un poète.
Tu voulais devenir lui.
C'est vrai.
Le gars, il fumait des clopes, puis ça allait bien,
il était sa dactylo.
Puis Christy avait plein d'idées,
il avait des bonnes idées, puis là, pa-pa.
Je reconfirme que tu es influençable.
Tu as bien raison.
C'est quoi le nom du gars?
Je ne me souviens plus.
Je me souviens de la masse de ses...
Tu as se grappé de la santé pour un gars.
Je veux devenir lui,
pourquoi, je ne sais pas.
Il fait mes torts noirs et blancs, c'est dur de se souvenir.
Mais je savais qu'il fumait des dumouriers.
Puis, j'ai commencé à fumer un demi-paquet par jour,
du jour au lendemain.
OK.
Asthmatique.
Ça fait que ça n'allait pas bien, là.
Ah.
Puis quand tu as commencé les vapoteuses,
as-tu arrêté de fumer?
Oui.
Oui, oui.
Mais pour un an,
puis après ça,
je fume une fois de temps en temps
une vraie cigarette.
La vapoteuse,
ça n'a pas de sens, là. C'est comme dire, je vais aller voir de la porne pour ne pas coucher, tu sais, avec fois de temps en temps une vraie cigarette. La vapeur, ça n'a pas de sens.
C'est comme dire, je vais aller voir de la porn pour ne pas coucher avec trop de filles.
Tu finis pareil par faire les deux et perdre du temps.
Ce n'est pas génial.
Moi, je ne suis pas d'accord.
Je n'aime pas ça, la vapeur.
Moi, c'est parce que je n'ai jamais fumé de ma crise de vie.
J'haïs ça de mourir.
Pourquoi tu as dit ça?
Parce que je trouve que c'est pertinent de s'acquérir à ce moment-là.
Je ne comprends pas vos... Tu fumes-tu... Tu ne me tues pas?
Non, non, même pas.
Même pas, non, je bats triple là-dessus.
Mais tu vois, par exemple, à 12 ans, j'ai eu mon premier tattoo.
C'est comme... J'avais un ami qui a une machine de trop jeune.
Mais chacun ses vices.
Mais non, la top...
Ah, moi, j'avais 11 ans aussi, mon premier tattoo.
Ah non, moi, c'était à 16 ans, mon pote.
Pour vrai! Grosse été, mon pote!
Ouais, grosse été. Vraiment une grosse été. C'est-tu tout mon oncle non, moi, c'était 16 ans, mon pote. Pour vrai, gros été, mon repas. Gros été. Vraiment une grosse été.
C'est-tu tout mon oncle qui savait?
Non, non, non, mais c'était tout du monde différent.
Mais moi, c'était, dans le temps,
il n'y avait pas de tatoueur à Québec.
J'avais trouvé un gars qui était sorti de prison.
Puis il m'a vraiment dit,
je l'ai compté ici, mais il m'a vraiment dit,
il a tatoué mon chum,
puis après, il a tatoué moi, puis il n'a pas changé l'aiguille.
Puis j'ai fait, tu ne changes pas d'aiguille,
puis il a fait, arrête de faire ta collisse de tapette.
Puis là, c'est comme, excusez-moi, monsieur,
je vais avoir l'esthida pour ne pas être un esthite tapette.
Wow!
C'était quoi ton premier tatou?
Mon premier tatou, c'était un bulldog.
Vu que mon père trippait ses bulldogs,
je me suis dit, il va être en tabarnak que j'ai un tatou,
mais vu qu'il aime les bulldogs,
il va faire « Oh, yeah, nice! » »
Mais t'as grandi, puis
il est venu d'Anouin. Il était ici, puis là,
il a juste tassé. Il a monté.
Puis mon chum qui a eu le même tatou
en même place, lui, il a baissé un peu.
Ça fait que ça a l'air ma peau étire
bizarre. Elle monte vers le haut, la tienne.
Oui, elle monte vers le haut.
C'est cute.
On apprend des choses.
On apprend plein d'affaires.
On avait les deux le même tatou.
On avait les deux sorti notre cash.
Vous avez payé en plus, ce gars-là?
Oui.
Il y avait une de nos amies de fille qui l'avait sucée pour un tatou.
Tabarnak, ça a brassé dans ton haut-de-mouille.
Oui, ça a brassé.
C'était quoi un tatou. Tabarnak, ça a brassé dans ton haut-de-bois! Oui, ça a brassé en esti.
Bien, c'était quoi son tatou?
Elle, je ne le sais pas.
Vu qu'elle est allée après nous autres,
je ne le sais pas.
Moi, j'ai des amis qui m'ont tatoué de la marde dans la vie,
comme des moustaches,
des espèces de...
J'ai une game de brosse, de tic-tac-toe,
une année qu'on avait faite.
Une vraie game de tic-tac-toe que j'ai jouée sur moi.
Ça, j'aime ça quand même.
Ça, tu peux voir.
T'en veux pas un.
Donc, tes tattoos, c'est tous des jokes.
Des jokes de brosse.
J'ai comme une poche de t-shirt
de tatouage. J'aime bien ça aussi.
Comme un petit crayon tout le temps de stand-by.
« Hey, t'as vu ça? » C'est des tattoos de brosse. La gag'aime bien ça aussi. OK. Comme un petit crayon tout le temps de stand-by. « Hey, t'as vu ça? »
C'est des tattoos de brosse, moi, que...
La gag est bonne, ça abrace, puis le lendemain,
tu fais comme « OK, je l'assume. »
Tu sais, Steve-O avait « Your name » sur le cul.
Moi, j'étais bien fan de Jackass quand j'étais jeune.
Je me suis fait faire le « Your name » sur le cul.
Fait que là, je vais voir le monde. « Ah, j'ai ton nom sur mes fesses! »
T'as vraiment... T'as ça pour vrai?
Ouais, j'ai « Your name » sur le cul.
Props, hein?
Yeah, merci.
C'est quoi le tattoo que tu t'aimes le moins que toi?
Mon chest piece, ça fait depuis que j'ai 18 ans que j'en ai.
J'ai 28 ans et c'est slack.
Il faut que quelqu'un fasse des cover-ups.
Il faut que quelqu'un passe par-dessus et fasse de quoi.
Il y a une manière de se dire que je m'en crisse.
Je m'en fous.
Ça reste là.
C'est comme un oeuvre inachevée. Je le laisse là. Je m'en fous. Ça reste là. C'est comme un oeuvre inachevée.
Je le laisse là.
Je m'en fous.
Tu en as combien?
J'ai les deux bras.
J'en ai un peu comme...
J'ai ma petite soeur, quand elle avait 14 ans,
elle m'a tatoué un coeur.
Elle a écrit « Sister ».
Ça, je le trouve nice, mais il est tout croche.
Ça semble que c'est proche de la graine.
Il est là.
Il est là.
Il est là, puis je porte dans ce bord-là. C'est correct. Non, non, il est là. J'avais peur quand je l'ai pointé. Il est là et je porte dans ce bord-là.
C'est correct.
Non, non, il est-tu ça?
T'as vite ta graine d'accoté sur sa tête.
Ah, mon tatouage!
Tu sais, elle a gâché mon beau moment.
Moi, je trouvais ça...
Non, mais c'était un beau moment avec ma soeur.
Elle me tatouait.
Elle avait 14 ans.
Elle était contente.
Ça l'a fasciné, les tatouages.
Elle était trop jeune pour me l'avoir.
Elle m'a tatoué avec la machine de mon ami.
Il n'y a pas eu d'inceste là-dedans.
Jolie.
Est-ce que tu as une belle-soeur?
C'est une jolie demoiselle, mais elle a juste 17 ans.
17, 18.
J'allais faire une joke de pédophile.
Après, je me suis rappelé
qu'on a déjà parlé de gamrois.
On a fait le tour.
Fait qu'à juste 17 ans, t'as ça.
Ouais, j'ai deux.
J'en ai une de 17, une de 24.
Celle de 24, elle t'a-tu tatouée pendant que t'avais la poche?
Non, je trouvais qu'elle était rendue trop vieille.
J'ai laissé tomber.
Fait que là, toi, t'as un kit de tatou?
Non, c'est des amis à moi qui ont des kits de tatou.
C'est à cause de ça que j'ai plein de tatous de marde.
Puis, ça a dégénéré avec le temps.
Fait qu'eux autres se pratiquent sur toi, genre?
Ouais, ouais. Je suis comme
leur feuille mobile, tu sais, qui font
un gribouillis sur moi.
Ouais.
C'est gratuit, tu sais. C'est ce que c'est, le mot de la relève, Mike.
T'as-tu déjà
payé pour un tatouage?
Un peu, oui.
Mais jamais vraiment cher.
Passons à parler de mes tatous de marde.
T'en as-tu un, un tatou de marde?
Moi, j'en ai zéro.
T'as un puceau du tatou?
Oui, j'ai un puceau du tatou.
C'est une bonne affaire.
Moi, je préférais être plain.
Moi, dans le temps, mon premier tatou, j'avais fait, moi, je veux être différent.
Puis, dans le fond, la même manière d'être différent,
c'est de ne pas avoir de tattoo.
Vous, casteurs, c'est écrit, c'est des dentistes
qui ont des manches.
Non, c'est ça. Non, c'est over.
Tout le monde a ça. Même ça, ça m'achève.
J'ai toujours voulu en avoir un, mais je ne sais pas.
Je ne sais pas quoi.
Ça commence à quelque chose de raciste dans le front.
Un triangle.
Oui, un triangle. comme Bernard Shaw a dit.
Non, mais, tu sais, ma mère...
Voyons, ma mère.
Ma grand-mère est décédée il y a une couple d'années.
Elle décroche.
Non, mais je me suis dit, peut-être que je pourrais faire
un tattoo de ma grand-mère.
T'étais-tu proche avec ta grand-mère?
Pas tant.
Je me suis dit, non, mais il y en a bien qui font genre
« Grandmother, I love you »,
puis tu sais, les dames.
Il y en a bien.
Il y en a bien.
Il y en a, tu sais, rien.
Oh, non.
Grandmère.
Oui, on s'accorde.
J'ai vu ça, sa grand-mère.
Hein?
Ta grand-mère.
J'ai vu ça dans des films.
T'en as deux, ils sont tellement remplaçables.
Non, mais c'est...
OK.
Ah, je pensais que c'était...
Non, ta mère.
C'était mon écourant.
Ta mère. La mère, oui.
Pas la grand-mère.
Moi, j'aime l'impulsivité d'un tattoo.
La grand-mère, avoir un tattoo
de ta grand-mère, c'est comme avoir
le tattoo de ton prof de français
en secondaire 3.
J'avoue que...
Tu n'auras pas de meilleur nom.
J'avoue que...
Ok, je peux te passer la main. Je suis désolé de ta grand-mère.
Il était sur un projet avec un tatoueur
sur Saint-Denis.
Je suis content de ne pas l'avoir fait.
Imagine, j'arrive ici.
C'est quoi ton tatou?
Ma grand-mère me fait juger par tout le monde.
La face de ta grand-mère.
Je n'ai rien. Je n'ai pas de tatou.
J'aurais aimé s'en parler pendant une heure. Ça, j'ai pas de tattoo. J'aurais aimé ça en parler pendant une heure,
comme dit, mais j'en ai pas.
Non, mais ça n'en a pas.
Moi, le monde qui se tattoo dans la face,
ça m'a tout le temps...
Même le cou, à la limite, j'en ai un peu ici.
On se fait un family dans le cou.
Aussitôt que t'as dans le cou,
tu viens de t'assurer que t'auras jamais
une vraie, vraie job.
Non, mais quoi que,
l'autre fois, j'ai... J'ai pris l'avion, puis le gars,. Non, mais quoi que, l'autre fois,
j'ai pris l'avion
puis le gars de TSC
qui check tes bagages, il y avait
un tattoo qui commençait là puis qui finissait
dans sa face. C'était-tu Mike Tyson?
Non, mais c'était
comme un genre de tattoo Mike Tyson.
Lui, c'est clair qu'il a un syndicat
puis il n'y avait pas ce tattoo-là
dans la face quand il a pogné sa job.
C'était à l'aéroport de Montréal.
Moi, c'est sûr que je n'ai pas mis mes billets.
Moi, c'est sûr que je vois un gars
qui fait partie de l'équipe de l'aéroport
et il a un tatouage.
Je ne l'ai pas fait, mais j'aurais dû faire.
Quand son superviseur n'était pas loin,
faire.
Faire un mot comme
« J'ai écouté ton conseil.
Ça a bien été.
Ça a fonctionné.
Moi, j'y donne une petite enveloppe d'argent.
T'as l'air
louche avec un tatou d'enfer. T'as pas l'air
un gars à qui tu veux prêter de l'argent.
Il y a comme encore ce préjugé-là
pis je suis beurré tout croche.
Un tatou dans le visage, il y en a beaucoup
qui se font ça sur le côté, ce temps-ci, des beaux garçons, là, les filles qui apportent là-dessus ont des Instagram à 10 millions de likes, ça n'a aucun sens, tu sais, mais non, je pense que c'est d'aller trop loin dans, bien, tout le monde a des tattoos, moi, je vais aller la coche de plus, je m'en mets un en face, mais, tu sais, comme, il y a bien des filles, en plus, avec des plus qui sont belles, mais avec le
tatou d'enfant, si tu fais crise,
ça fait trash,
mais sexe, vu que tu es jeune,
mais dans 12 ans, tu vas juste avoir
l'air d'une vie d'ange.
Ça vieillit.
Une fille de 52
avec un triangle dans le front,
c'est ordinaire
un peu.
Des tatous d'enfants. Moi, je trouve ça dégueulasse. dans le front, là. C'est ordinaire un peu. Des tattoos dans la face.
Moi, je trouve ça dégueulasse.
C'est freaky, par exemple.
Moi, je vais souvent en Floride
et il y a beaucoup, beaucoup
de latinos avec les larmes.
C'est parce que tu as fait de la prison, je pense.
C'est supposé être pour le monde
que tu as tué. C'est ça que j'avais entendu dire. prison c'est supposé pour le monde que t'as tué
ah ok
c'est ça
j'avais entendu dire
fait que tu sais
des fois t'en vois
y'en ont comme 4
t'es comme
mais Chris
je vais arrêter
moi je pensais
c'était des années de prison
mais tu es
t'as tué
t'amènes à faire de la prison
moi honnêtement
je pensais pas
que c'était un code
pis je voulais m'en faire
faire un
ben oui Alex
une petite lampe de côté
style manga
que je pleure de côté
non mais pas...
Pour vrai, c'est du monde que tu as tué. C'est ça que j'ai entendu dire, mais j'ai
entendu dire ça sur Internet vu que je n'ai jamais demandé un.
J'ai jamais fait « Hey! Hey! »
« Are you crying? »
« Ça là, ça... ». Pourquoi t'as ça?
Four?
Ah, mais aux États-Unis,
il y en a plus aussi, je trouve.
Oui, oui.
En Floride, t'en vois-tu plus,
les tattoos d'enfants?
Les tattoos d'enfants,
j'en vois pas souvent, souvent,
mais j'en vois.
Mais le monde est plus beurré,
je trouve, aux États-Unis.
Mais encore, ça dépend où.
C'est raciste.
Je pense Californie.
Mais la place, j'ai vu le plus de tattoos louches,
moi, j'ai de la famille en Arizona.
C'est le festival du tattoo bas de gamme.
Ah oui?
C'est genre juste une tête de loup.
Moi, j'arrive là-bas,
et Chris a le cheveu humain à 11 ans.
Je suis le kid qui est là.
J'ai un de mes cousins, là,
il est devenu légume parce que
quand il était petit, sa mère, c'était une poubelle.
On la salue.
Ma cousine,
qui s'appelle Diane, d'ailleurs.
Mais ma cousine Diane, elle,
pour faire rire ses amis, elle faisait fumer du pot
à son kid de 4 ans.
Fait que lui,
là, puis après, lui lui il ya tombé dans
deux pieds fait un nouveau lacide qui est devenu légumes que j'en ai fait un
genre de psychose moi un jeune jeune jeune puis le moi j'entendais ça quand
tu allais en arizona tout le monde est comme ça sont tous de même. C'est tous des genre de, tu sais,
Dog the Bounty Hunter.
Ils ressemblent à Dog the Bounty Hunter.
Ils ont tous des gros couteaux.
Tatoo cheap, puis des gens
des dents de
tigre. Ou d'un gars
à qui ils se sont battus.
Tout le monde, t'es comme, ah, quoi?
C'est épeurant, weird.
J'ai une image, je fais oncle va à chaque année en Arizona,
puis il ne nous a jamais dit pourquoi il allait.
Puis là tu me dis tout ça, puis là je commence à faire des « ok, mon oncle c'est ok, mon oncle il est weird ».
Mais tu sais, en même temps, il y a bien un certain nombre de Québécois qui vont en Arizona,
vu que c'est moins cher que la Floride.
OK.
Puis la raison pourquoi c'est moins cher que la Floride, c'est que tu risques de te faire poignarder.
Par quelqu'un qui met de l'argent pour du crystal meth.
Ah, OK.
Mais, il n'y a pas des... es-tu un golfeur, toi?
Non.
OK.
Mais, j'avais une question à l'égard du golf. Il n'y a pas des maudits beaux terrains de golf en Arizona?
Pas vraiment, vu que c'est juste du sable partout.
Oui, mais c'est sûr, ça fait tout le temps beau.
Mais il fait beau.
Mais la Floride a des plus beaux terrains, apparemment.
OK.
Mais, tu sais, ma blonde, elle avait un de ses cousins qui restait en Arizona.
Puis lui, il était riche, riche, riche.
Fait que lui, tu sais, il avait du gazon.
Mais, tu sais, moi, ma tante, il avait du sable.
Non, mais c'est parce que
quand tu vis dans le désert, c'est juste
pas être multimillionnaire pour avoir du gazon.
Sinon, il y a quelqu'un de pauvre.
T'allais jouer là-bas ou en Arizona?
C'est-à-dire que tu stand-up?
Non, non, non. Moi, les fois que je suis allé en Arizona,
c'était quand j'étais plus jeune voir ma tante.
OK. Ma tante Diane, la folle?
Non, ça, c'est ma cousine qui était une fois.
OK. Mais, ouais, ma tante...
Fait que, dans le fond, toi, tu étais à Québec,
tu fumais des tops bien jeunes,
mais tu n'étais jamais aussi paix que tes cousins
qui t'avaient fumé du weed à 4 ans.
Ça n'a aucun sens, ça.
Oui, famille de...
Quand même, c'est une belle...
On est des trailer park trash.
Mais, oui, c'est ça.
Mais ils m'ont fait capoter.
Mes cousins, tu sais,
il y en a un qui est devenu légume.
Les deux autres ont fait de la prison.
Jeunes.
Ils ont leurs larmes.
Oui. C'est le bordel.
Mais quand j'ai...
C'est ça, j'ai vu.
J'ai fait...
Ah, tu sais, l'Arizona les a discrepés bien.
Ah oui.
Admettons, quand tu vas avec ces cousins-là,
je ne sais pas quand tu les as vus la dernière fois,
j'ai une question, moi.
Tout le monde, ça nous brûle les lèvres.
Ça nous brûle les lèvres. Mike, vous étiez, adm ne sais pas quand tu les as vus la dernière fois, j'ai une question moi, tout le monde, ça nous brûle les lèvres.
Mike, aux États, mettons, quand tu vas là, dis-tu comme, tu fais de l'humour, sont-tu au courant de ton statut? Parce que c'est un microclimat au Québec, ça m'intrigue ça.
Bien, ma famille le sait, mais quand, tu sais, le part du monde ne me connaisse pas
de la boue, tu sais.
Bien, j'imagine parce qu'ils ne consomment pas de télé québécoise, mais…
Oui, c'est ça.
Mais, puis ils ne comprennent même pas
que...
Le statut que tu peux avoir,
admettons,
dans la province de Québec
ou au Canada.
Je ne pense pas.
Ah oui?
Je ne pense pas.
Je ne sais pas,
je ne leur demande pas
parce que ça serait weird
de faire...
Tu sais-tu que...
Tu sais-tu que...
Tu choisis n'importe quel numéro
dans le 418,
appelle-le,
je vais les faire capoter.
Non, c'est ça.
Oui, c'est moi.
Non, mais même moi, les premières fois, mon père,
les premières fois, je me faisais
reconnaître qu'il ne comprenait pas.
Ton père? Tu me rappelles, un moment donné,
on était au Saint-Hubert,
on attendait en ligne, quelqu'un a fait
« Hey, parle, parle. »
« Bravo pour ce que tu fais, blablabla. »
Le gars s'en va, là, mon père me regarde et il fait « C'est qui, lui? » Je fais
« Je sais pas, c'est bien, il est venu te parler. » J'ai fait « Ouais, mais ils m'ont
parlé de mon... » Non, tu le connais. Tu es allé à l'école avec...
Mais ton père, il parle français, puis écoute...
Ouais, mais mon père, tu sais, les premières années, il y avait eu un moment donné, je
avais déjà animé un gars là, je ne veux pour rire, mon père avait découpé dans le Gazette,
ou dans le Globe and Mail, un annonce, un concours pour un humoriste envoyant une vidéo de toi,
et le gagnant allait gagner un cours d'impro au Second City, à Toronto.
Tu sais, fait que tu allais gagner un cours, comment faire de l'impro dans un bar.
Moi, est-ce que tu sais que j'anime un gars-là juste pour rire?
Mon père m'envoie ça, mais il le faisait même pas en niaisant.
Là, il a compris que c'est un job, mais avant…
C'est drôle ça.
C'est comme si son fils était avocat.
Moi, il a une petite DEP en mécanique, je ne tente pas! »
Oui, puis ma famille, par exemple, j'ai de la famille au Texas, qu'eux autres, ils
savent vraiment ce que je fais, pas aussitôt que je fais n'importe quoi. Les podcasts,
ils les écoutent, ils parlent la moitié... Ils parlent français, mais
mon cousin, c'est un anglo,
mais il écoute mes affaires en français
pareil, puis il est très beau.
OK. J'aimerais ça en faire en anglais.
Tu parles-tu assez anglais pour enfants?
Je pourris. C'est un peu ça le gag.
J'ai un nom en anglais, puis
je suis un tonnement.
Mettons, dis, genre,
demande-moi, il est quelle heure?
What time is it?
Ben, c'est correct.
Je parle, comme je disais à la bise, je parle en anglais comme un stow-bird qui a un condo en Floride.
J'ai pas le bon accent.
Alex, il est bon, lui, il est parfaitement bilingue.
C'est comme une vieille biche du West Island.
Tu parles pas en anglais.
Comment ça? Comment tu peux t'app Island. Tu parles pas en anglais. Comment ça?
Comment tu peux t'appeler Dave Morgan
pis pas parler en anglais?
Ben, c'est David Morgan.
Pis Morgan, ben c'est...
Moi, mais...
David Morgan, David Morgan.
Non, mais je trouve qu'il est...
OK, là, je crois.
On va changer de sujet.
C'est David.
C'est mon grand-père.
Je porte le nom de mon grand-père.
Pis c'est un vieil alcoolique fini,
le classique irlandais,
pourri.
Il était tellement saoul, il a oublié d'enseigner la langue à ses enfants.
C'est un peu ça.
À 8 ans, ma mère s'est ramassée comme en famille d'accueil.
Elle n'a pas eu l'éducation anglaise de son père ivrogne,
qui était un peu mort du sol avec sa bouteille.
Il devait m'emmener en anglais tout seul.
Je n'ai pas eu ça. C'est un peu regrettable. J'aurais puis il devait m'en remonter en anglais tout seul. Non, fait que j'ai pas eu ça.
C'est un peu regrettable.
J'aurais aimé ça, moi, faire du stand-up en anglais.
Même toi, il y a des petits contrats,
TFO, Ontario, tout ça, ça va bien.
Mais c'est en français.
Ah oui?
Ah oui, TFO, c'est en français.
Non, mais moi, aussitôt que c'est en ontarien,
t'es en anglais.
Télévision franco-ontarienne.
Je vais envoyer mon CV.
Attends, attends.
Envoyer mon CV attend je vais envoyer mon CV fait que là
télévision franco-ontarienne
non mais moi c'était inatteignable
j'ai jamais pris le temps
de checker les lettres
qu'est-ce que tu voulais dire
fuck
je dirais Junior
va falloir que
t'es un peu dyslexique
le chum
non mais je sais pas
c'était quoi les lettres
mais oui t'es ok fait que c'est en français là-es un peu dyslexique, le chum. Non, je sais pas. Je savais pas c'était quoi les lettres. Mais oui, t'es... OK.
Fait que c'est en français, là-bas.
Un peu.
OK.
C'est quoi que tu fais à TFO?
À TFO, je fais des capsules.
Ils m'ont commandé une couple de capsules.
Dans le fond, c'est TFO 24-7.
OK. En français, là.
En français.
Et je fais des capsules.
Un peu comme ce show avec Mike Ward, mais c'est ça, c'est
moins Mike Ward, là.
C'est très grand public et on parle de la francophonie ontarienne hors Québec.
Comme Mike Ward, comme ce show.
Exactement.
Fait que c'est des petites affaires de même, puis c'est ça.
Mais t'es pas franco-ontarien.
Ouais. T'es-tu franco-ontarien. Oui.
Tu es-tu franco-ontarien?
Oui.
De où tu viens?
Vas-tu me frapper?
Non, non, non.
Moi, j'adore.
Moi, je viens d'Ottawa.
Ah oui?
Je suis né à 10 minutes du Parlement.
OK.
Moi, je n'ai pas assez proche de ménager à Ottawa.
Pour vrai?
La raison pourquoi je ne suis pas déménagé à Ottawa,
c'est que c'était trop propre, trop blanc, trop beau.
J'avais été pour faire un programme d'études là-bas.
En revenant, j'avais fait un styjaïste à Cris de Ville.
J'ai arrêté à Montréal.
J'ai trippé sur Montréal.
J'ai fait « fuck off, je vais revenir à Montréal ».
C'est vrai que c'est trop propre.
C'est trop corporatif.'est trop… Corporatif.
Puis les sans-abri à Ottawa sont épeurants comme tabarnak.
Oui, pour vrai.
Parce que, tu sais, on dirait tout est beau, tout est beau,
puis après, il y a des « ah! »
Puis là, moi, je me suis fait crier après par des sans-abri.
Tu sais, à Montréal, tu ne te fais pas crier après.
Ils vont marmonner, ils vont faire comme Bernatchez,
puis ils vont tomber dessus.
Ils vont regarder le prix des hot dogs.
Je suis maudite merde.
Je retourne sur le coin.
Ah, puis tu es parti d'Ottawa quand?
Moi, à 19 ans.
Moi, j'ai auditionné à l'école de l'humour.
Moi, j'ai pris une année off
en sortant de l'école le secondaire.
Ah oui, c'est vrai, c'est vrai.
J'ai fait ça, moi.
Une année off.
Parti voyager, finalement, pas pantoute.
Fait que là,
j'ai comme écrit un one-man show
très mauvais.
Parce qu'il y a un de mes profs
qui m'avait commandé ça.
Parce que tu savais, je faisais de l'humour.
Fait qu'il m'a commandé ça.
Fais-tu commenter ça?
Il a fait, je veux que tu viennes faire un show d'une heure.
J'ai fait, je suis prêt.
Fait que j'ai écrit une heure de show.
Ça ressemble à un mauvais film de Disney.
Puis je me suis dit, écoute, je me suis dit, si ça va bien,
j'additionne à l'école de l'humour.
Ça a été correct.
Fait que je me suis dit, je vais additionner à l'école de l'humour.
Et j'ai été prêt à 19 ans'école de l'humour. Ça a été correct. Je me suis dit que je vais m'additionner à l'école de l'humour. J'ai été prêt à 19 ans.
Je suis parti.
Il est bébé.
Je vais avoir 25 dans 9 jours.
On va faire notre fête ensemble.
Je vais avoir 28.
Lui, il va avoir 25.
Au café au port, vous êtes invité.
Vous tentez de voir de la place.
Le 19 mars.
Au café au port, le bar de l'autant.
Oui. Avec Dave Hainer, BOMB, ils organisent des parties.
Puis, Wax & Monson, ils ont une business qui s'appelle Best & Finest.
Ça va être la deuxième année qu'ils organisent mon party de fête.
Puis, c'est le Carnaval Morgan et le Cabaret Biz cette année, c'est comme incrusté.
Puis, il y a des Dancers Burlesque.
Ils sont fucking f, ces parties.
Son Instagram, c'est un autre... Comment il s'appelle l'espèce de gros douchebag,
la mitraillette tout le temps?
Kazarian.
C'est ça, Dave Hennar, c'est notre
Brazzarellian du Québec.
Il y a tout le temps des guidounes avec,
puis il est tout le temps en train de...
Ils ont l'air qu'on s'entendent, je pense.
Oui, oui.
Moi, je l'ai vu au Rockfest,
pis il y avait une des filles qui était dans la fenêtre,
pis elle était comme, « Hey, what? »
Non, non, non.
Les filles trippent au bout, mais...
Mais oui, ils sont formés.
Après, c'est comme une rockstar qui a pas de benne, en plus.
C'est ça qui est drôle.
Il est tout le temps en train de jouer la rockstar,
mais il y a de Chip Trill en ce moment
mais avant
il y avait
les Baiters
qui étaient un autre
de ses bands
mais qui n'ont pas
vraiment de gig
les gars
dans la côté band
mais ils se la jouent
au Rockstar
c'est Dave and her
ils organisent des parties
pis pour vrai
c'est des maudits
beaux parties
l'année dernière
je ne me rappelle pas
de grand chose
mais c'était hot
pis là cette année
au Cléopâtre
il va y avoir
un cracheur de feu
pis tout le monde avec des serpents. Il est tout à un nain, quelque
part. Je trouve ça toujours un peu Chris, parce qu'il est genre, je le dépasse d'à
peine 6 pouces, là. Il y avait vraiment un grand nain, l'année passée, avec eux autres.
Là, les gars, c'est pour ma fête, t'as pogné ça, un vrai medjet, là.
C'est vrai que l'air contact, il était juste...
Ouais, c'est drôle que le nain arrive en même temps que toi.
Crise de bonne guéguette.
Ça ressemblait à ça.
Le monde payait des shots à lui, il pensait que c'était moi.
Mais là, cette année, avec Biz, on va avoir du fun au Cléopâtre.
Mais le podcast va passer et les gens vont manquer ça.
Le 19 mars, c'est samedi.
OK, ça va avoir passé. Ça va avoir passé. Le podcast va passer et les gens vont manquer ça. Le 19 mars. C'est samedi. OK.
Ça va avoir passé.
Ça va avoir passé.
Suivez la page de Best and Finest.
Je vais organiser des parties et d'autres événements avec eux autres prochainement.
J'ai un concept d'une course qui s'appelle Donner en léger que j'organise avec eux et ma boîte de gérance.
On fait ça le premier mois.
C'est officiel.
C'est cool, non?
Donner en léger.
Toute la pub s'en vient.
Ça risque de sortir sous peu incessamment.
Le concept, je l'explique, ça fit avec
Best & Finest. C'est pour donner des vêtements
à Saint-Vincent-de-Paul. On va tous se réunir au Lapin Blanc
dans l'Hochelaga. Tu amènes les vêtements
que tu veux donner. De toute manière, ils vont avoir un signal
à go. Tu te mets tous les vêtements
le plus possible sur le dos.
Tu cours jusqu'à Saint-Vincent-de-Paul
qui est 1.9 km, je pense Mike tu pourrais le faire
rendu là-bas, tu drop les vêtements
que tu donnes à Saint-Vincent-de-Paul
pis tu repars en bobette
tu sues dans le linge pis tu le carroches au fond
le dernier t-shirt il va être ouette un peu
en gros c'est ça, tiens, quand même la gang de colliers
ben oui, ben ils lavent là, ils vont le laver
pis l'idée c'est de faire un stunt
ah c'est cool
la Saint-Vincent-de-Paul c'est laver. L'idée, c'est de faire un stunt. C'est cool. Oui, c'est super.
La Saint-Vincent de Paule,
ils ne font pas ça pour le cash.
C'est vraiment pour donner aux gens démunis.
Je trouve ça cool.
L'idée du stunt de courir en bobette,
j'ai déjà fait à Joliette dans ma ville.
C'était vraiment nice.
Ils m'aident là-dedans cette année
pour la promotion.
Je veux parler de ton show.
C'était-tu cet été que tu avais fait ton show?
Tu commençais à jouer pour une personne. Oui. C'était-tu cet été que tu avais fait ton show? Tu commençais à jouer pour une personne?
Oui. C'était à ZooFest. Je l'ai décrit mal en estime.
Non, mais en gros, on appelait ça l'ascension. Ça a l'air prétentieux, mais je partais avec un char. Il y avait cinq personnes dedans. C'était l'auto ZooFest.
Puis l'idée, c'était d'augmenter le public dans des lieux inédits. Après ça, j'avais un ascenseur. Il y avait 12 personnes, les ascenseurs, des bureaux, juste pour rire.
Après ça, j'augmentais ça.
Tu faisais le show dans l'ascenseur?
Ils étaient dans l'ascenseur.
On a laissé les stations d'entente,
donc je ne pouvais pas rentrer.
Les portes étaient barrées,
puis je faisais ma gig dans l'entrée des bureaux, juste pour rire.
Je pense qu'une des sœurs aux ondes qui est passée,
qui est en tabarnak de prendre les escaliers, c'est drôle.
C'est vrai.
Puis eux autres, par exemple, ils restaient debout tout le long. Non, il y avait des bains,
on installait ça, il y avait quand même une bonne technique.
Ah merci, c'est fin ça.
Tu peux-tu nous l'amener un aussi,
monsieur qui dort avec la moustache?
Mais ouais, c'est ça, c'était cool.
Je finissais à l'Agora de l'UQAM,
puis on a eu 250 personnes.
Fait qu'à tout le show, il y avait tout le temps de plus en plus de monde.
Ça, c'est une affaire qu'on veut répéter.
Le show qui me parlait le plus, c'était le show avec 5 personnes.
C'était comme le show au ciné-parc.
Je veux répéter ça.
Tout le monde était dans le char.
Tout était à l'extérieur avec ton micro.
Le son était dans leur auto.
C'était coin Saint-Laurent-Sainte-Catherine.
Je pense que c'était le show le plus nice,
mais le plus tough que j'ai fait de ma vie.
Pour avoir des feedbacks de leur risque,
je lui disais «flash it out» ou « «klaxonner». Si tu ris aux larmes, mets
du lave-glace. J'ai eu une fois ou deux du lave-glace, mais pas tellement.
C'était combien de temps ce show-là?
J'ai fait 60 minutes.
Non, mais je suis assez fier de ça. C'est comme de quoi je n'aurais jamais fait.
Qu'est-ce que faire 60 minutes devant 5 personnes, ça veut dire que tu as fait 4 heures de gag.
J'ai travaillé fort.
Il y a eu des moments où il y a du monde qui passait devant moi.
Il y en a des itinéraires dans ce coin-là.
Ça porte devant moi.
« Où es-tu, Jean? »
Cette semaine, je fais un show.
Mais, tu sais, M. et Mme, tout le monde n'est pas au courant que ça se passe là.
Je ne peux pas y en vouloir.
Je vais en faire un peu avec.
Mais, sans être vrai, il devait penser que ce gars-là est encore plus fucked up que moi.
Lui, il a trouvé que nous étions dans la rue, mais lui, il pense que c'est un spectacle.
Moi, quand je fais du squeegee tranquille, et toi, tu fais des blagues aux gens,
la concurrence est trop forte.
C'était cool, c'était vraiment nice.
J'avais été à Juste pour rire en direct avec ça.
J'en parlais avec Pat Grou, j'étais content.
Ça avait fait du blabla un peu.
Il y en a tellement des bons, tu sais plus quoi faire.
Parce que Zoufess, c'est juste...
Aujourd'hui, Guillaume Wagner
en a parlé un peu dans la presse,
il disait que Zoufess exploite
la relève, ce qui est
un petit peu vrai. On n'est pas vraiment payé
beaucoup, genre.
Mais l'idée, c'est ça.
Quand tu as des cashs, c'est ça, tu payes mais
oui c'est ça, si tu peux avoir… La visibilité, c'est payant pour ça.
Oui, oui. Moi cet été-là, sur ma fanpage, j'ai
eu beaucoup de roulements, j'ai eu des likes des gens qui se sont abonnés à moi et qui
ont vu que j'existais, ça sert à ça. Même Biz aussi avec ton show, c'était ton
premier 60 minutes, ça a servi à faire comme « Allo, je suis là », ça sert. On sœur. On ne le fait pas pour l'argent, pas en tout. Surtout un show avec cinq personnes
dans un char, je te jure, tu ne te payes pas un hot dog.
Les cinq, les cinq, ils payaient-tu?
Oui.
OK.
Oui. Puis il y avait une fille d'Urbania, il était venu comme il a donné, une fille
de la presse. Il y avait quatre billets vendus.
L'autre, c'est un billet média.
C'est quand même drôle.
En plus, tu le sens en criant.
C'est où la journaliste?
Oui, parce que c'était quatre amis
avec quelqu'un qui ne connaissait pas tout dans le milieu.
C'était cool, pour vrai.
As-tu une belle critique?
Oui, mais elle comprenait le niveau aussi.
N'importe qui ne fait pas de convenu. C'était d'autres
choses. Ça poussait plus loin.
Pas que ça poussait plus loin, c'est ça que je veux dire, mais
c'était pas dans les normes, dans les
barèmes d'un stand-up comique.
Tu faisais ça dessus, t'avais pas de black. Ça aurait été
weird. Tu disais au monde, quand il y a une musique,
faites ça.
J'avais pas de mise en scène.
T'as de la lumière.
Je revenais.
Ça aurait été curieux si t'avais un régisseur. le 27 mars je revenais ça aurait été que Rens
t'avais un régisseur
t'as ton régisseur
c'est drôle
t'avais-tu une première partie
non
non ça
je n'ai jamais eu
je pense
j'aurais pu le demander
mais
prochaine fois
ça valerait la peine
ben c'est ça
je vais répéter cet été
en refaisant des shows
ciné-parc
des comédies-parc
le titre n'est pas décidé encore
mais on veut refaire ça
répéter ça, des shows avec des
chars, avec des chars vintage. En plus,
j'ai des chums qui ont des lowriders. On va créer une ambiance
de ciné-parc.
Les gens amènent leurs chaises, s'assoient dans les chars,
un peu pique-nique.
Il y a des bons concepts, Dave.
Moi, j'aime ça, l'idée d'amener des concepts.
Parce qu'à un moment donné, c'est ça que je disais.
C'est la style d'humoriste qu'il y a à 20 pièces.
Non, c'est ça.
Mais c'est quand même... Il y en a plein des bons.
Moi, je trouve qu'avec des concepts, à un moment donné,
tu sors du lot. Avec un bon podcast,
tu peux parler de toi.
Avant ton podcast, Mike, le jeu, ça va pas.
Non, c'est ça.
Je me suis fait découvrir.
Avec ton sortin.
Moi, c'est tout le temps les concepts des podcasts.
Les scandales.
Faire semblant d'aller en cours avec un chanteur que j'ai engagé.
Des faux scandales.
Ah, ça serait malade que dans cinq ans, tu disais que ce n'est pas vrai.
Moi et Gab, on soupe ensemble.
Le petit Gabriel, à tous les semaines, c'est mon ami.
C'est mon cousin du Texas qui a fumé du weed quand il avait quatre ans.
Ah, ça serait hot.
Je suis content d'en parler seul.
Il va-tu m'actionner moi avec?
Non, mais tu l'as appelé Gabriel en plus.
Je pense que c'est Jérémie Gabriel.
Tu t'es trompé avec...
Je pensais que tu t'étais trompé avec Gabarou.
Non, je dis son nom de famille.
Moi tout, je te regarde pas.
Non, mais son nom de famille, je trouve que ça fait plus poli.
Il y a moins de danger qu'il m'enveille.
Monsieur Gabriel.
Monsieur Gabriel.
C'est un monsieur.
Il n'est pas complet,. Gabriel. M. Gabriel. C'est un monsieur. C'est un monsieur.
Il n'est pas complet, mais il est monsieur quand même.
Moi, je réponds pas.
La gorgée est venue vite.
Bon, bien, à la semaine prochaine, tout le monde.
Non, ça, oui, c'est ça.
On change de sujet, hein?
Non, on peut.
C'est de quoi vous voulez parler?
Ah, bien moi, j'aimais ça.
J'aimais ce qu'ils disaient.
J'aimais que je me mette dans l'eau chaude.
Oui, j'aime ça.
Il est chaud dans mon coton ouaté.
Bon, le 60 minutes à Abyss était hot.
Bizarillon, tu avais fait de quoi de hot cet été.
Oui.
C'est ça.
C'est tellement tough à ZooFest de voir tous les shows possibles.
Tu as bien rempli ta salle quand même à Toastpole
moi j'ai pris une salle
vraiment vraiment
c'était vraiment, je sais pas, Théâtre La Chapelle
et voilà
c'est en haut de Sherbrooke
tu pognes une petite ruelle
tu te dis, il doit pas y avoir de show ici
c'est direct là
écoute, c'était vraiment
mettons le quartier des spectacles,
puis il fallait que tu montes quasiment 25 minutes
en haut de Sherbrooke.
C'est pas juste rage basse.
Ah oui, mais ça, c'est là qu'ils faisaient
les premières années, les parties,
after party, je dirais.
Oui, ça a du sens parce que c'est quand même une grosse salle.
Mais moi, j'adorais
cette salle-là parce que mon show était plus,
c'était pas mon best-of.
L'été dernier, c'était comme
un show concept.
Je traite beaucoup sur Bo Burnham.
C'était un peu un show vidéo.
J'avais du faux piano.
Je chantais un moment donné. Je pense que je chantais.
J'étais très mauvais, mais je chantais.
C'était un show concept de même.
J'avais besoin d'une salle.
Tu dis que tu penses que tu chantais. Je chantais, mais'était un show concept de même. J'avais besoin d'une salle. Tu dis « je pense que je chantais ».
Non, mais je chantais, mais c'était ridicule.
Je ne peux pas dire que c'était chaud.
C'était comme ça. C'était recherché.
J'avais trois comédiens sur mon show.
J'avais besoin des grosses loges.
On avait des gros bacs d'accessoires.
Un de ces comédiens était Anthony Montreuil
qui était à ce show dans le film.
Il n'était pas full patch.
Je suis déjà ses comédiens quand même. c'est des comédiens quand même.
C'était des comédiens pareils.
Il faisait ma première partie, 5 minutes de flûte.
Mais c'était très mauvais.
On dirait qu'en pitch,
mais c'est vraiment drôle.
Anthony, il s'appelle-tu Mike Dallas?
Oui, Mike Dallas.
Mais là, à ce temps, Mike Dallas, c'est fini.
Non, sa psychose est finie, donc il a repris son vrai nom. Non, non, non, là, il y en a un nouveau, c'est fini sa psychose est finie
fait qu'il a repris
son vrai nom
ok
non non non
là il y en a un nouveau
c'est DJ Fracassé
ouais
ok
lui je trouve
il devrait faire du stand-up
chaque fois je le vois
ça le stresse beaucoup
il me fait beaucoup rire
mais il a fait l'open mic
ok
il y a un mot
je suis venu le voir
je l'ai trouvé excellent
ok
pis là
on le pousse
en tout cas moi je le pousse
on l'aide on l'aide
mais c'est parce que moi
j'ai fait faire son premier show
il y a un an. Tu sais où il a fait son deuxième
récemment.
Ça y va tranquillement.
Il y a peur, c'est ça.
Colline qui est bonne
dans les personnages,
il est malade. On parle de quelqu'un que personne
connaît, mais il est drôle. Anthony Montreux,
il est bien actif sur Snapchat,
la fin des petites filles. Il y a-tu tout le monde sur Snapchat?
Ah, c'est ça. En tout cas, il est bien actif sur Snapchat, l'affaire des petites filles. Il y a-tu tout le monde sur Snapchat? Ah, c'est ça.
En tout cas,
il est pas gros,
Mike Dallas,
mais il a un astide gros bat.
Il m'avait montré son pénis.
Il a vraiment un gros pénis.
Il y avait un soir
après ce show,
on avait été chez nous.
Moi, lui,
Julien,
puis là...
Julien avait,
il est bien membré,
ça a l'air.
Mais j'ai pas vu la graine
à Julien,
mais j'ai vu la graine à Mike.
Tu veux-tu venir la montrer,
Julien? Une bière gratuite.
Il faudrait lui donner une autre bière.
Voyons, on est 30,
ça fait un pouce pour chaque personne.
Ouais.
Ça, ça vient montrer ton château.
Il a montré ton château de saucisse.
Il hésite, en plus.
Il a le goût de venir le voir.
Il est hyper, oui.
Viens passer.
Chris, yolo.
Moi, s'il y a un pénis qui se monte pendant le podcast...
Attends, tu verras ce qui se passe.
Tu verras ça.
C'est parce que...
Quand c'est filmé, j'hésite.
Tu veux-tu...
Pelez-le.
Anyway, vu que...
J'ai un employeur, puis bon...
Non, mais vu que c'est sur YouTubeeur pis bon non mais vu que
c'est sur Youtube
fait que techniquement
on a pas le droit
mais ouais
fait que
ben t'as un bon pénis
tu veux-tu le montrer
juste aux gens
ben non
parce que c'est filmé
il y a trois caméras
je veux pas
je veux pas vraiment
il va le blurrer
ben c'est une belle soirée
j'ai ça Mike
l'autre soir
fait que
ouais cette soirée-là c'est qui Mike Dallas a sorti sa queue qu'est-ce soirée chez toi, Mike, l'autre soir. Cette soirée-là, c'est qui?
Mike Dallas a sorti sa queue?
Qu'est-ce qui est arrivé?
Parce que moi, j'ai une toilette japonaise chez nous.
Il m'en a parlé.
Il l'a bouché.
Avec son gros bat?
Non, pas avec son bat.
Il s'est flushé le bat.
Il s'est flushé.
Moi, j'étais
trop gêné pour aller chier. Je voulais pas que ça
pue à l'étage.
C'est sûr que c'est toi
qui as bouché à la plage. Non, je confirme,
c'est pas moi. Il est allé chier et il a bouché à la toilette.
Après ça, je sais pas si
il y a de l'eau, je sais pas quoi. Mais t'as pas un bidet, Mike?
Il me semble que t'as un bidet. Non, mais c'est une
toilette japonaise.
C'est toilette plus bidet
plus séchoir.
Tu n'as pas besoin de papier.
Ça, c'est japonais, ça?
C'est plus luxueux.
Moi, j'ai l'impression que j'ai pas de nez.
Non, mais en Asie, ils ont tout.
Tu te fais rincer le père.
Mon cul, il est aussi propre que ses cheveux.
Quand je sors de chez nous,
j'ai le cul qui ressemble
à la tête à Julien.
Un peu mouillé.
Ça sent bon.
Oui, quand même.
Merci, merci.
C'est vrai.
Mais moi, c'est ça.
Il m'a écrit, Anthony,
cette semaine, genre,
« Hey, Julien,
connais-tu quelqu'un
qui vous cherche du moche? »
Il gagne sa vie comme il peut.
Je sais pas. Je demande il peut. Je sais pas.
Faudrait que je demande aux gens.
Je sais pas si t'as du Facebook là-dessus non plus.
Faudrait que je demande aux gens.
Quand tu dis que je demande ça aux morts...
C'est une belle...
D'après moi, il va passer sa bâche ce soir.
Pour de vrai...
Quand j'avais comme 15 ans, à 33,
je demande plus aux morts.
Pour de vrai, s'il te réinvite à faire,
tu sais, il y a un souper pressé par fils,
souvent, il nous ramène le monde.
Tu devrais mettre du moche dans la sauce à spaghette.
Je pense que c'est illégal.
Essaye-le. Essaye-le.
Oh oui, je vais le ramasser.
Tu le blâmeras sur moi.
T'inquiète pour ça.
Hé, 10 sur 10.
Hé, le château était gros.
J'ai remarqué qu'il n'y avait pas de château
dans le château de saucisse.
Je suis moi qui l'ai remarqué.
C'est parce que le moche goûte la marde.
J'imagine que tu es au courant de ça.
Je n'ai jamais mangé du moche.
Son château de saucisse avait l'air
de goûter la marde aussi.
Une coche moins. Ça goûte la marde aussi. Une coche moins.
Ça goûte la marde vu que ça pousse dans la marde,
mais tu peux enlever la marde.
Non, mais il n'y a pas de marde dessus, Mike.
C'est pas ça.
On n'est pas allé au cégep, nous autres.
Dis-nous comment ça marche.
Ça ne goûte pas bon.
Il faut toujours des manières créatives
de prendre du moche quand on en prend.
Supposons que c'est avec des toasts au beurre d'épinote ou bien
te boucher le nez.
Te boucher le nez?
Tu vois que je suis créatif en cuisine, là.
Pis tu dis, il faut trouver des façons créatives
comme se boucher le nez.
Là, le monde, c'est comme,
wow! Quelle création!
Fait que ça,
avaler ton vomi, c'est...
Ben, essentiellement, ouais. Ça serait moins pire, ça, ouais. Fait que c, avaler ton vomi, c'est... Ben essentiellement, oui.
Ça serait moins pire, ça, oui.
Fait que c'est difficile.
Fait qu'après ça, faire manger du moche à des gens.
Pis bon, après ça, on aurait le charme comme en tout ça.
Fait que je sais pas, je sais pas.
Mais qui sait, si je vais au All-Star.
Tu penses qu'ils vont t'inviter?
Je pense que oui.
Je pense que t'es loin.
Ça serait hâte que tu prennes des cours
pis que tu deviennes vraiment fort.
Ouais, pis là...
T'es comme Rick Casanova. T'asnes des cours pis que tu deviennes vraiment fort.
T'es aimé le tabarnak.
Je suis le meilleur cook de Montréal.
Mais ça arrivera pas, ça.
Mais c'est sûr que si j'y retourne, ça prendrait une autre approche.
Je peux pas refaire la même affaire
parce que là, ils vont le savoir.
Ils vont savoir qu'il va faire encore de la merde.
Toi, en plus, ils donnent de l'argent pour le repas.
Ils donnent 300$.
Je pensais que c'était 500$.
Ça a coûté 8$ à peu près ton repas.
Moi, la légende veut
que tu ne voulais pas trop dépenser
parce que tu savais que tu ne gagnais pas
et que tu gardais quand même un peu de cash dans tes poches.
D'où viennent les légendes?
Dom Massy.
Toutes les légendes à mon sujet
viennent de Dom Massy.
Je le salue d'ailleurs. Dom Massy, Toutes les gens de mon sujet viennent de « Dom Massy » Je le salue d'ailleurs
« Dom Massy » des Pique-Bois
Ben oui, on l'aime
En plus, j'ai réalisé pendant que je faisais mon château de saucisses
que je n'avais pas suffisamment de patates
En plus
C'est plate, ça ne se vend pas des patates
C'est comme d'armandes
C'est pas achetable
C'est rendu aussi cher qu'est estimé
chez Valentine.
Quand venait le temps de faire les châteaux de saucisses,
j'ai réalisé que j'avais sept patates.
Ce qui représente moins...
Moi, je connais pas les recettes.
Moi non plus.
Dans un château de saucisses, ça prend combien de patates d'habitude?
Je pense que personne connaît cette recette, Mike.
Normalement, tu reçois de la visite, tu sais,
t'as au moins
plus que ça de patates.
Ils ont-tu écrit, ah non, ils l'écrivent pas
un souper presque parfait,
la recette, parce que j'aimerais ça
aller sur le site de V, voir la recette.
Dans les règlements,
t'es obligé de remettre la recette,
pis quand tu commences ton repas,
avant que tu commences quoi que ce soit,
tu passes ta recette en entier avec l'équipe technique
qui check si tu as tous tes ingrédients.
Ah non, finalement, tu n'as pas de sucre, tu n'as pas de nien.
Fait que, non, c'est...
Tu n'as rien. Fait que, non,
c'est structuré. Tu es obligé de remettre une recette.
Tu n'as pas le droit de remettre une recette non plus que tu as
comme copié-collé d'Internet, en tout cas dans
les règlements, parce que ça, j'ai fait en réalité.
Mais tu n'as pas le droit de
copier-coller une recette. Il faut que ce soit réellement une recette personnelle. Fait ça, j'ai fait en réalité. Mais tu n'as pas le droit de copier-coller une recette.
Il faut que ce soit réellement une recette personnelle.
J'ai réellement remis ma recette, et la recette que j'ai remise
est réellement sur le site.
Fait que les gens peuvent...
Y a-tu du sel?
Ça doit, je sais pas.
C'est une date Tinder qui l'aurait déjà à ma place.
Fait que je sais pas...
Moi, ce qui m'épate là-dedans, c'est que je pense
que chaque humoriste devrait faire un souper presque parfait.
Ça booste ta visibilité.
Un souper presque parfait.
On les bloquait à l'avenir.
Un souper presque parfait et chaud
avec la bite.
La Goldwater.
C'est-tu que j'aimerais ça de voir la Goldwater?
Ils vont ensemble me voler mes patates
au Valentine.
Il me doit 8$.
J'avais 8 patates, ma recette,
il m'en a volé une.
Il a enlevé un like sur...
Il avait liké mon statut,
il a enlevé son like.
Je l'amène à l'arbitre.
Ça serait drôle, ça.
Je ne sais pas, l'arbitre, s'il check ça.
D'après moi, toi, il te laisserait passer.
Je suis assez BS pour...
Fais la demande, Julien.
C'est là, on lance ça.
Je n'ai pas le temps.
Tu devrais dire que je t'ai blessé
avec un gag
pendant mon podcast.
Est-ce que tu irais avec moi?
Oui, j'irais avec toi.
Tu irais avec moi?
Oui, j'irais avec toi. Tu irais avec moi? Oui, j'irais avec toi.
J'aimerais même Julius Gray.
Je vais arranger ça.
J'en ai eu 100 000 de beaucoup.
Je vais faire les démarches pour que moi et Mike allons à l'arbitre.
Alors, je m'engage à le faire.
Mais il faut trouver une raison.
Tu es hot en estime.
Des choses se passent.
Des choses se passent.
On déplace des montagnes.
Je suis obligé de montrer ton pénis
à une salle de monde.
Devant trois caméras.
Devant trois caméras.
Je prends trois ans, ça fait pas pitié.
Tu prends une photo juste de toi
qui pleure avec ta graine bleuée.
Mike m'a obligé à montrer mon sexe.
Elle n'est pas bleue, ma grande?
Non, blurry.
Ah, blurry, OK.
Blurry.
Je ne l'ai jamais vue aussi sérieuse.
Elle n'est pas bleue, ma gueule.
Il était insulté.
Elle n'est pas bleue.
Pourquoi elle serait bleue?
Comme saumon?
Je ne sais pas quoi.
Tu parles-tu de l'odeur
ou tu parles de la couleur?
Dom Massy a une graine assez
grise, je dois dire.
Grise? J'ai à le préciser,
vu qu'il est tout le temps en train de partir des rumeurs
à mon sujet. Moi, j'ai entendu
dire que le port du monde,
leur graine est plus foncée
que le reste du corps.
Moi, ma graine est exactement la même couleur que mon corps.
Je pense que c'est juste les gros pénis qui ont ça, Mike.
Moi, avec, j'ai une cure.
Les gros pénis sont plus foncés.
Les gros pénis, ça devient foncé sur le bout.
Il y a de quoi qui est mal géré.
Parce qu'ils sont plus proches du soleil.
C'est une belle théorie.
Où tu as eu cette information-là, toi?
C'est moi qui l'ai dit.
C'est dans les gros pénis, la couleur foncée.
Qui t'a dit ça?
Non, mais j'ai des chums qui ont des gros pénis.
Souvent, les chums ont des gros pénis.
C'est pour ça.
Non, mais Anthony, il a le pénis plus brun.
Pis tabarnan, ça fait longtemps qu'on parle de queue, hein?
Fait que si vous cherchez du moche...
Ou un gros pénis brun,
il a juste besoin d'une adresse
si vous cherchez comment l'abrêter
ça va me trouver
je vais vous laisser
à Julien
à toi que tu viens ça lève
c'est comme
dans le temps il y avait
c'est quoi le nom du show avec Jeannette Bertrand
qui avait la serveuse?
Tu sais...
Elle cuisinait.
Ça, c'est avant votre génération, mais elle faisait un souper.
C'était comme un souper presque parfait.
Puis la serveuse arrivait.
Parler pour parler. Puis là, la serveuse
arrivait. Puis là,
elle comptait. Tu sais, deux,
trois affaires. Julien, c'est...
C'est là qu'ils se sont dit que ça ne marche pas que des gens
trop... qu'ils veulent trop être polis.
On va mettre des inconnus.
Car l'expérience...
Julien, il m'a fait rire un peu presque parfait.
Il était chaud au bas.
On parle bien trop de lui. Toi, Bess, ça va?
Ça va, là, j'ai rien de...
Qu'est-ce que je fais, quoi?
Je suis en train d'assassiner
ma lime. C'est quoi que tu bois? Ça, c'est-ce que je fais, Cori? Je suis en train d'assassiner ma lime.
C'est quoi que tu bois?
Ça, c'est un gin and tonic.
Ça fait très Ottawa, ça.
Surtout, dis-moi.
TFO.
Ça fait très TFO.
Tu trouves? De la façon que je l'ai dit?
Non, non, non.
On dirait que tu es de suite.
Qu'est-ce que tu fais?
J'étais tellement dans mon monde pendant une seconde.
Là, tu te considères-tu québécois ou franco-ontarien encore?
Très bonne question. Je me pose la question à chaque jour.
Parce que moi, ma mère est québécoise. Mon père, c'est un vrai franco.
Mais mon père est quasiment québécois dans le sens où lui est né à Ottawa.
Il va avoir 60 ans cette année.
Puis, il a de la misère à parler anglais.
Quand il parle anglais, c'est un peu comme Dave.
Hello, yeah, I speak English.
Non, non, tu rushes.
OK?
Puis, ma mère, elle, elle vient du Québec.
Elle est déménagée à Ottawa avec mon père.
Je pense, je ne sais pas si je suis québécois ou francophone.
Mais, tu es meilleur en anglais qu'eux autres
non? ma mère est solide
non j'ai perdu mon anglais
ton père il a-tu l'accent franco-ontarien?
non il est vraiment
genre tu croises mon père il roule pas ses airs
comme ça là
mais tu sais aussi les franco-ontariens d'Ottawa sont tellement
collés au Québec ça je pense cet accent là
c'est plus genre
surtout dans le sud
vous avez déjà entendu un accent sud-burien? collés au Québec. Ça, je pense, cet accent-là, c'est plus genre... Surtout dans le sud. Sudbury, là.
Vous avez déjà entendu un accent sudburien?
Ils ont des billes à vivre,
les autres.
Non, non, mais pour vrai, je trouve pas ça...
C'est un accent...
Il y a un esthète bon. Tu devrais aller le faire.
Il y a un esthète bon festival du monde à Sudbury
qui s'appelle LOL.
Oui.
Puis c'est vraiment cool, l'affaire. Vraiment cool.
Cette année, c'est la première année...affaire. Vraiment cool. Cette année,
c'est la première année. Ils ont tout le temps
des gros noms, mais gros noms
canadiens que tu fais
« Ah! »
Non, non, non.
Mais tu sais, genre,
cette année, ils ont eu Bill Burr, c'était comme
leur gros nom.
Oh, OK.
Mais les autres années, c'était genre,
il y avait Martin Short
ou Mike Myers.
C'est-tu drôle du Mike Myers
en stand-up?
Il n'en fait pas. Il ne fait pas de stand-up.
Il fait des questions-réponses.
Il fait comme on fait là,
mais avec des dents jaunes
et des lunettes.
Il est super drôle, Mike Myers,
mais je pense que ça ne fit pas pour la scène.
La manière, moi je le vois.
Mais c'est ça, eux autres, moi j'avais fait mon show en français là-bas,
j'avais vraiment trippé.
Puis Sudbury, c'est une ville francophone.
Oui, j'y ai été une fois.
Très décevant comme place, mais le festival doit être sur la coche, comme tu dis.
Moi j'ai l'impression que c'est comme la B-T-B, mais riche.
Oui, c'est exactement ça.
C'est aussi laid que la B-T-B, mais le monde a plus d'argent.
Les pick-ups sont plus beaux, puis il y a un gros Saint-Seine.
Un gros Saint-Seine?
Oui, c'est la grosse Nicole.
Puis ça, tout le monde, quand tu vas à Sudbury,
« Hey, allez voir la grosse Nicole! »
Puis c'est un gros Saint-Seine.
Ah, c'est un gros Saint-Saëns La grosse Nicole
C'est leur joke quand ils disent
Ils rient avec un rire gras
Mais t'as fait un show en français là-bas?
Non pas en tout
J'allais à un festival de théâtre avec le secondaire
T'en as plein?
T'en as plein
Mais en anglais tu serais capable
Mais même en français
T'as fait une tournée...
C'est ça, on oublie tout le temps au Québec...
Il y a une tournée francophone au Québec.
Moi, en plus, je suis le pire là-dessus.
Aussitôt que je sors du Québec...
Tu cherches des choix en anglais.
Non, je pense que personne ne parle français.
Je me rappelle une fois, ça avait fait très mablon dans le temps.
Je mangeais encore de la viande.
On avait arrêté le premier McDo en Ontario,
puis je voulais une poutine, puis là, je suis comme
« Hey, can I get a poutine? »
Puis là, la madame
m'a dit « Ok, une poutine! »
Puis là, je suis comme « Ah oui,
c'est vrai! » Puis il y avait une affaire, je l'ai dit
en show, puis c'était vraiment arrivé,
moi, quand j'avais un de mes chums,
ils faisaient tout le temps le même gag, aussitôt qu'on allait aux États.
Tu sais, quand tu sors du Québec,
ton cerveau, ça prend un bout de temps
avant de réaliser qu'ils ne nous comprennent pas.
On arrivait au Burger King
et ils faisaient,
« Écoute, ma grosse astuce,
je vais prendre un Whopper,
ma grosse crise de vache. »
Puis là, moi, je faisais comme ça.
Tu m'as eu, tu m'as eu.
À un moment donné, j'y avais fait, mais en Ontario.
Puis la madame, j'ai vraiment vu qu'elle a fait comme...
Quoi, Mike Ward me traite la torche?
Ah, si, je vois ça, ça m'a reconnu, mais elle m'a compris.
Elle a reconnu la langue.
Puis j'ai pas mangé mon hamburger parce que j'ai fait ta part.
Elle a frotté son gros vagin de toque.
Son gros vagin ontarien.
C'est ça, tu devrais...
L'année que j'ai fait l'école,
il y avait un gars dans mon année qui s'appelait Éric Lard
que j'ai nommé un de mes chats
à cause de lui, Éric Lard.
Éric Lard, il j'ai nommé un de mes chats à cause de lui, Éric Lard. Puis, Éric Lard, il faisait des shows en Ontario.
OK.
Il y a un assez petit gros marché pour les humoristes franco-ontariens.
Bien, là, moi, je suis porte-parole pour le concours LOL qui se passe en Ontario, justement.
C'est un concours dans les écoles secondaires.
Puis là, je fais Toronto, Cornwall, Ottawa.
Ah, j'ai fait une vidéo pour ça.
Oui.
Le concours LOL, c'est ça.
Puis, je me promène. Puis, il y a un gros marché. Puis, tu sais, même, moi, je me souviens, je suis arrivé à l'ai fait une vidéo pour ça. Oui, le concours-là, c'est ça. Fait que je me promène, puis
il y a un gros marché, puis tu sais, même,
moi, je me souviens, je suis arrivé à l'école de l'humour,
le monde me disait, tu viens d'où, Ottawa?
Puis là, comme, hein, t'as pas d'accent
anglais? Je suis comme, non.
On a vraiment l'impression d'être tout seul sur notre île,
au Québec. Mais non, tu sais, comme
Winnipeg, il y a full, full, full francophone.
J'ai jamais cru ça, moi.
Oui, c'est Saint-Boniface.
C'est une ville au complexe.
C'est français.
C'est juste pour y organiser des tournées.
Nous autres, on s'entend,
l'Ontario, c'est plus proche,
c'est proche, mais partout au Canada,
il y a des francophones.
Au Québec, on oublie tout le temps qu'ils existent.
Ils vivent là.
Ils vivent de quoi, ces gens-là?
Ils sont bilingues, c'est ça que je veux dire.
Non, tu sais, il y en a qui parlent juste français.
Ils ont leur petite communauté.
Ils se tiennent ensemble et ça continue de parler français
et ça a des jobs.
Qu'est-ce qui est weird?
Moi, la première fois que j'avais été
jouer à Winnipeg, qu'est-ce qui m'avait fait
capoter, c'est qu'on parle
la même langue,
mais ils ne comprennent pas nos références.
Si tu as une joke sur
Ariane Moffat, ils ne savent pas
qui ou quoi Ariane Moffat.
Blague de ciseaux avec Ariane Moffat,
ils ne comprennent pas.
Je parlais à un gars et j'avais
dit, regarde, je suis conscient, je ne ferai pas de référence
québécoise, à moins d'être ultra clair.
Genre, Yvon Deschamps. Là, il me regardait les yeux danscoise, à moins d'être ultra clair, genre Yvon Deschamps.
Puis là, il me regardait, genre les yeux dans le vide,
puis j'ai fait, tu sais c'est qui Yvon Deschamps?
Il a fait, comment?
Il était un politicien.
Comment est-ce un comédien?
J'avais pas de joke sur Yvon, mais si j'en avais, ça n'aurait pas marché.
Ah oui, tant que ça, non, c'est fou.
Mais moi, je trouve ça nice qu'au Québec, justement, on ait ce petit côté-là
de, on sort,
on fait 5 heures de route,
admettons, comme toi, Mike,
ça ramène,
ça torque ground,
d'arriver à New York
et d'être capable
de torcher
dans les comédies,
les comédies club,
mais personne
ne sait vraiment
t'es qui, tu sais.
Oui, oui.
Parce qu'il y en a ici,
des fois,
ça se pète les bretelles,
parce que ça va bien
leurs affaires,
mais c'est un microclimat
quand même. Ça, je trouve ça beau dans notre métier d'humoriste québécois, de
pouvoir faire des jokes de même, d'être connu, d'en se faire hêter, mais on est
juste 8 000 clients, tu sors de chez vous, ça fait 4 heures de char.
Moi, je trouve la beauté des soirées du monde maintenant, puis moi, je viens de la
génération qu'un coup que tu étais connu,
tu ne jouais plus jamais dans les bars. À l'école de l'humour, ils nous apprenaient
que les bars, c'était pour
les astilles sales puis les crottés,
mais que des stars, ça jouait
au Saint-Denis. Puis ce n'est pas ça la réalité.
Il faut que... Louis-José,
il vient tester ses jokes, s'il y va au
jockey, c'est pas...
Il faut se mettre en danger.
Tu as besoin de ça. Tu as besoin d'arriver dans une place
que le monde ne trippe pas tant que ça sur toi
pour voir si t'es encore dehors.
Ou ils trippent sur plein d'affaires.
C'est ça.
Tu viens au bordel,
il n'y a pas vraiment de chouchou.
C'est ça.
Louis-José, c'est Louis-José.
Toi, c'est toi.
Les gens savent tous.
Puis qui?
Mais quand même,
il y a de quoi qu'ils ne viennent pas.
Ils n'ont pas acheté un billet juste pour toi
puis d'un bar.
C'est ça.
C'est plus rare.
Il peut y avoir un peu de...
Des fois, jouer à côté de machines à sous,
c'est le coup que tu ne capotes pas, mettons.
Tu dis ça parce que c'est un problème de jeu.
Mais tu sais,
souvent, le monde plus connu
il rodent le numéro de leur prochain show
dans leur show.
Moi, je n'ai jamais fait ça
parce que c'est des conditions
trop faciles.
Un gag, il faut qu'il marche
devant tout le monde, devant toutes les conditions.
Tu sais, comme, mettons,
un show,
si t'avais juste rodé tes affaires dans des
salles de spectacle, puis après,
on t'envoie jouer
devant un char avec
quatre personnes puis une journaliste.
T'aurais chié dans tes culottes.
Ah, c'est sûr, c'est sûr.
Il y a tellement de conditions
fucked up dans les bars tout le temps.
Mais le bordel, c'est le fun.
C'est quoi le pire
bar que vous avez fait?
Moi, c'était Nicolette.
Un show pour...
Claude Genet.
Oh, Claude Genet, que lui, il aime ça montrer son pénombre.
Je pense qu'on pourrait l'appeler là.
Claude Genet, je vais juste contacter un anecdote.
Vous ne savez pas c'est qui Claude Genet.
Claude Genet, c'était
il y a une couple d'années, Jean-François Mercier,
il y avait un gars-là juste pour rire.
Il y avait un gars qui sortait.
Il se montrait à la graine dans le gala Il y a une couple d'années, Jean-François Mercier, il y avait un gars-là juste pour rire. Il y avait un gars qui sortait.
Il se montrait à la graine dans le gala à Jean-François Mercier.
Il a fait deux ans d'affilée.
C'est un gars qui aime montrer son pénis.
Et dans le temps, il y avait
au McDo,
il vendait des petits chandails
du Canadien. C'était l'année
de pas peut-tuer de pénis.
Puis lui, il faisait, je vais vous faire mon pas peut-tuer de pénis. Il se baissait les culottes. Puis là, il y avait sa graine dans le chandail des Canadiens, pis c'était l'année de puppetry the penis, pis lui, il faisait, je vais vous faire mon puppetry the penis,
il se baissait les culottes, pis là,
il avait sa graine dans le chandail des canadiens,
pis c'était l'année que
Sakukoi Wu avait le cancer,
fait qu'il disait, Sakukoi Wu,
est-ce que tu as vu son cap?
Son cap,
de mauvais goût,
mais hilarant.
Il y avait un moment donné, j'avais fait un show à Shawinigan,
puis là, il m'avait dit, «Check, ben, je peux me sortir de la graine. »
Personne n'a remarqué.
Il regarde juste dans les yeux.
Fait que là, il dansait.
C'est la piste de la danse avec la graine sortie.
Puis personne n'a remarqué.
Puis même Guy Nantel était assis, puis il parlait à quelqu'un.
Puis là, Claude s'est mis à frotter son batte sur l'oreille à Guy.
C'est vrai, c'est vrai cette histoire oui j'étais là
puis là Guy
il parlait
c'est un personnage
moi j'étais allé à sa soirée à Mont Carmel
c'est à Mont Carmel
moi j'ai fini par avoir du fun
j'étais habitué à des conditions de bord
mais récemment j'ai eu une avoir du fun parce que j'étais habitué à des conditions de bord. J'ai eu du fun là-bas. Mais récemment,
j'ai eu une gig, moi,
qu'il y avait une fille
qui avait 18 ans
et sa tante tripe sur l'humour
de la relève, surtout.
Puis elle m'appelle
pour un contrat.
Elle dit,
viens jouer pour ma nièce.
Elle a 18 ans.
Mais j'arrive là-bas,
je ne le sais pas,
toute la journée,
elle a dit à sa nièce,
il y a un go-go boy
qui s'en vient.
Donc là, elle pense
qu'il y a un strip-teaser
qui s'en vient pour elle.
Mais là, finalement, dans une minute, s'en vient pour elle, mais finalement,
dans une minute, ça attendait.
Il dit, non, c'est Dave Morgan, l'humoriste!
Entre parenthèses, pas connu.
C'est la belle surprise.
Là où ça ne se finit pas,
il y a un peu de gens déçus.
Ce qui est weird, c'est qu'il y avait des enfants dans la salle.
Ils s'attendaient à avoir un go-go boy.
Il y avait un enfant,
Tommy, je me rappelle son nom,
il était handicapé intellectuel.
Il avait l'air
autiste ou je ne sais pas.
Il s'est approché très très proche de moi
avec sa chaise parce qu'il n'y avait pas
de stage, rien. Non, non. Puis lui, il s'est approché
et il a dit, je veux qu'il vienne à ma fête, moi aussi.
Je veux qu'il vienne. Il fallait que je fasse une demi-heure
pour cinq minutes. Il criait ça.
J'étais comme supposé d'être un strip-teaser qui se faisait crier après par un enfant handicapé.
Tu sais, des gigs, des fois, ça ressemble à ça.
Toi, avec ta gig avec Claude Jeunet.
Moi, c'était mon Carmel, mais là, ça me fait penser à un show qui était pire. Moi, c'était un gars qui criait au Machinassou.
On va gagner!
À chaque 20 secondes.
Mais à chaque 20 timés.
Tu sais, comme tu faisais une prémisse,
puis quand mon pote, on dirait qu'il
voulait me faire chier.
Après,
là, il y en avait un autre.
J'étais en corpo, puis je sortais de l'école de l'humour.
Tu sais, quand tu sortes de l'école de l'humour, tu as un bon 5.
Moi, mon bon 5 minutes,
je parlais de la fois
où je me suis fait rentrer une caméra dans le pénis.
Mais là...
Le pire, c'était bouqué.
Non, mais là, il y avait des enfants.
Et au moment où j'ai commencé
à parler du pénis, fouille-moi pourquoi,
ils ont commencé à ramper vers la scène
et monter sur la scène
pendant que j'imitais
mon phallus.
Et on a ça sur caméra.
Ah ouais?
Et c'est le pire feeling de toute ma jeune carrière.
C'est là que tu apprends, tu faut t'analyser ton public.
Des enfants qui rompent sur scène pis t'es juste, non c'est pas ça.
T'as fait combien de shows dans ta vie?
En tout et partout?
Ouais.
Tu sais ça toi-même, combien t'as fait de shows dans ta vie? L'autre fois j Oui. Tu sais ça toi-même?
Combien tu as fait de choses?
Là, j'ai assez de faire le calcul.
Moi, je fais une moyenne de 3 par semaine.
3 par 65.
Mettons 165 par année.
500?
Ok. Mettons, oui.
Je n'ai jamais pris le temps de calculer ça moi-même.
Moi non plus, mais là, ça doit faire ça.
Parce qu'en plus, l'agenda, c'est farce sur ton affaire.
Je sais pas, mais...
Mais c'est en haut.
C'est vrai.
J'aime ça que t'as eu un bon rire sur
l'agenda.
L'agenda, c'est farce.
Fan d'agenda.
T'as comme 15 ans qui parlent d'agenda.
Ça fait 52 semaines que je viens. Ane qui parlent d'Altajano. Ça fait 52 semaines
que je viens.
Anecdote d'alcool.
C'est un autre génération.
Cette génération-là de Claude Jeunet
qui sortait à la bisoume.
C'est ce vibe-là que t'as connu.
Les rape years.
Non, mais il est spécial.
Non, il avait une bonne gamme
non mais
Claude c'est un Chris
de bon gars
mais pour vrai
pour vrai oui
mais il est
moi je l'adore
c'est un personnage
c'est un personnage
moi je suis sorti de scène
ça se dit-tu
il est en tuxedo
tout le temps
des fois il y a une pin
grand rire de Québec
d'autres fois
il y a une pin
juste pour rire
dépendamment
de où il est plus proche
quand il est tout nu
il met son peignoir grand rire ou juste pour rire mais il est super fin il est plus proche. Quand il est tout nu, il met son peignoir, grand rire
ou juste pour rire.
Il est super fin. Moi, je le connaissais. La première gué que j'ai eu avec lui,
il disait « Hey, si tu vas l'écrire, je te prenne mon chalet. »
Je le connais pas. Mais il y a pas de chalet, non.
Il y a pas de chalet.
C'est vraiment Chris qui a un chalet.
Moi, j'en ai trois.
Il y a trois chalets. Il roule, là, Claude.
Non, peut-être.
Moi, c'est ce qui me fait rire.
Il m'a...
Un moment donné, tu sais, j'avais fait
un show pour...
Il a été bien cool de faire ce show-là.
Mon frère, il chauffe des chars
de course. J'ai mis ton nom sur son
char de course.
Puis là, je suis comme...
OK, est-ce que... Puis là,
je ne comprenais pas pourquoi après mon show
il me donne une photo du char de course
avec mon nom
lui il est capable
il fait du genre
du mode
photoshop
tu sais comme dans Ghost
de la poterie
il a fait un char
en poterie peinturéerie. L'autre jeune, il a fait de la poterie. Il a fait un char en poterie,
peinturé avec mon nom.
Il me donne ça.
J'étais comme, Chris, c'est...
C'est spécial.
C'est drôle, c'est weird, en estime.
Il l'a-tu diminué de ton cachet?
Non, non, non.
Non, non, non.
Un char en poterie?
Un char en poterie.
Il l'a-tu fait avec le truc qui tourne dans la main?
Non, non, non.
C'était comme une sculpture.
C'est top, OK, OK.
Non, non, j'imagine uny a pas pour moduler son pénis pratique avec la femme est un moment
ni je me rappelle je l'avais blessé sans vouloir parce qu'on fait un show à
sherbrooke il allait sortir pour montrer sa graine pilote je le vois plus là
quelqu'un me dit qu'il va être sur 5 pis là, je fais, tabarneur,
il va encore montrer son petit pénis
pis il est tout le temps bandé
en plus, un petit pénis tout le temps
bandé, pis le fait que j'ai dit
qu'il y avait un petit pénis
ça l'a blessé, j'ai vu qu'il a fait
comme
comme si il se dit
le fait qu'il est tout le temps bandé, peut-être le monde
ne le remarque pas, qu'il n'est pas gros.
Mais il me semble que tu le remarques encore plus.
Une graine longue de même, pas bandée, tu fais peut-être bandée, elle est grosse.
Mais là, longue de même, bandée, tu es tabarnak.
Ah, tu as insulté son outil de travail.
J'ai insulté son pénis.
Mais il était souvent à Sherbrooke.
Moi, je l'ai revu il y a à peine deux ans.
Claude Jeunet moi je l'avais rencontré
dans le temps
avant qu'il travaille en humour
il était gérant d'un bar à Saint-Georges-de-Bosse
puis j'avais fait un show
à Saint-Georges, je m'en vais au bar à côté
puis là Claude c'est le gérant
puis il fait tabarnak
les boys ça vous tente de triper
fait que là on fait ok
je vous fais faire le tour de la villeait que là, on fait, OK, yes,
je vous fais faire le tour de la ville.
Fait que là, il nous avait amené, au début,
vous avez fait le tour de la ville de la Beauce?
Il nous amène à un bar de danseuse,
un autre plan, puis là, il a fait,
Chris, les boys, je vais vous amener
d'un bar gay. Puis un bar gay
de la Beauce des années 90,
c'est l'affaire la plus fucking ridique.
Il y avait, tu rentrais là, pis c'était tout des
statues de graines,
des chandelles en graines.
Over-assumé. Trop de pénis.
Pis c'est ça.
Fait que là, il est sorti.
Non, il a pas sorti.
Ouais, c'est ça.
Je suis finalement à la maison.
Il est devenu gérant de ce bonhomme.
Ouais, il a plein de...
C'est drôle. Toutes les anecdotes que monde-là avec! Oui, il y a plein de...
Oui, c'est drôle. Toutes les anecdotes que j'ai avec Claude, il est en train de sortir son pénis.
Toi, Biss, tu sors-tu ta queue des fois?
Jamais. C'est mon jardin secret.
La première fois qu'on s'est connus, moi et Biss, j'avais la queue à l'air.
Ah, c'est-tu que c'est stressant? Un gars, un toucheux de même.
Moi, je suis même.
Oui, mais moi, tu es... T'es peut- tête proche un peu. Surtout, tu fais,
toi, tu sors-tu ton pénis et après, là...
Si j'avais eu un tattoo
que ma petite soeur
m'aurait tattooé,
il me l'aurait touché.
Il aurait vraiment
la main droite dessus.
Non, mais moi, je suis gagne.
C'est de la bromance.
C'est-tu déjà arrivé
que tu pognes la graine
dans quelqu'un
sans faire par exprès
parce que t'étais proche?
Non, c'était volontaire.
Pour vrai, c'était pas loin.
Ton petit doigt
était pas loin.
Qu'est-ce que t'allais dire
avec tout ça?
Non, non, mais c'est parce
que vu qu'on parlait de pénis,
c'est la première fois qu'on s'était connus à Gatineau.
J'avais la queue à l'air le lendemain matin.
Mais non.
T'as de l'air d'un gars qui sort souvent la graine.
J'aime ça, mais pas dans des circonstances.
T'as de l'air à l'aise avec ton corps.
Oui, mais j'ai pas...
Il est très à l'aise.
J'ai pas...
Je devrais pas être à l'aise, en fait.
T'as-tu un gros batteau?
Non, non.
Mais vu que t'es petit, il doit avoir de l'air gros. C'est un petit trapu. OK. Vu que t'es petit, il a-tu à l'aise, en fait. As-tu un gros bâton? Non, non. Mais vu que tu es petit, il doit avoir de l'air gros.
C'est un petit trapu.
OK.
Vu que tu es petit, as-tu de l'air gros?
Non, c'est parce que les grosses cuisses, ça s'annule.
Non, non, il n'est pas...
Tu as un petit pénis trapu.
C'est un trapu, là.
C'est un petit Patrick Gros.
Tu sais, c'est un Pat Gros.
C'est un petit Pat Gros.
Il a une craque entre les dents.
Oui, j'ai une bonne forme durette.
Salut, Pat. Non, mais je vis bien avec le corps, j'ai une bonne forme durette. Salut, Pat.
Non, mais...
Non, non, je vis bien avec le corps que j'ai là.
Oui, oui, j'aime ça le sortir des fois.
C'est important ça.
Pour autant que Julien et tous les copains
qu'on a parlé tantôt, mais...
Moi, quand j'étais plus jeune, à 16, 17, 18, 19 ans,
j'étais le gars que s'il n'a pas sorti sa queue
dans la soirée, il ne fait pas bien.
J'étais plus le talent.
Ok, call it! Mais maintenant que tu t dans la soirée, il ne fait pas bien. J'étais plus le talent. Ok, call it.
Mais maintenant que tu t'assagis.
Il ne fait pas bien.
C'est quoi ta grande gag?
Un petit peu de fier.
Vas-y ça.
J'aimais ça me sortir le pénis, moi.
Je me sors la zone d'un bord.
Le monde rit.
Non, mais je ne le dis pas, tu ne l'annonces pas.
Un peu comme Claude Jeunet.
J'étais le Claude Jeunet de mes chants.
Tu es Claude Jeunet de Joliette.
Oui, c'est ça.
Même ça, quand tu te dévoiles trop,
les filles, elles se disent plus genre
« Ah, elle est mystérieuse. »
« Ah, il était saoul, il fait à Joliette. »
Ah, c'est vrai ça.
Ça marchait-tu avec les filles où ils font?
Je pense que ça dépend.
Tu sais, toi, t'es beau bonhomme
pis t'as de la confiance.
Ça l'aidait peut-être, mais beau bonhomme,
c'est selon de...
C'est vrai, les filles, ta blonde
est super belle, fait que j'imagine...
Elle a des bonnes balles. Vous faites un beau...
Je te l'ai déjà dit,
pis j'ai dit à elle chaque fois que je la vois,
je trouve que vous faites un beau couple, vous vous fitez
bien ensemble. Ah, t'es fin, Mike. On cherche un appart,
justement, si quelqu'un, 6,5, 5,5, pas cher.
Ouais, j'en ai un. Ah ouais? Ouais.
On en reparle tantôt.
Non, mais on cherche des... Ouais, ouais, ça va super bien, mais merci, t'es fin, Mike. Mais je pense que je en reparle tantôt. Pour vrai? Non, moi, je cherche des...
Oui, oui, ça va super bien.
Mais merci, t'es fin, Mike.
Mais je pense que je suis un gars qui...
Oui, ça m'aidait à...
Mais tu sais, je suis un petit bout d'homme.
Je suis tout le temps le gars, le petit.
Je ne suis pas...
Il te faut over la confiance
parce que tu es tout le temps le gars
qui se fait dire vite...
Je ne sais pas.
Me sortir la queue,
puis ça allait bien.
Sors le méchant.
C'est drôle que...
M'embrouiller.
Pour pouvoir... Tu sais, parce que ça, tu ça allait bien. C'est drôle que... Pour vous, de...
Ça, tu sonnais bien au début.
Moi, c'était pas évident.
Je me suis sorti à queue, puis ça allait bien.
C'est le pire.
D'habitude, tu entends ça, genre,
dans un documentaire sur le viol.
C'est ça.
Je n'ai pas de confiance avec les filles,
mais je me suis sorti à queue.
Je me suis sorti à queue. Ça allait bien pas de confiance avec les filles, mais je me sortais la crème. Je ne t'apprêtais pas.
Ça allait bien, pas pour eux autres, mais...
Non, mais j'ai eu cette phase-là, je me sors la queue, je ne fais pas à star.
Tu n'es déjà pas née comme Misha, mais maintenant...
Tu sors de secondaire?
Non, non, quand tu commences à sortir d'un bar 17, 18, 19 ans,
tu sors illégalement, puis en plus, tu fais des affaires qui n'ont pas de sens,
tu te sortis le pénis.
Attends, moi, je suis normal, si je ne sortais pas mon pénis.
Faites-vous...
Moi, il y a une affaire
qui me faisait bien rire.
Moi, mon premier gérant,
c'est un Français,
lui, il avait peur des urinoirs.
Il n'aimait pas les urinoirs, vu qu'il avait dit
qu'en France, on n'a pas d'urinoirs sur le temps de cabine.
Fait que lui,
il disait, t'as peur de quoi?
J'ai peur que l'autre personne pisse,
ça m'arrose, ça m'envole dessus.
Ce qui arrive.
Fait que là, lui, ce qu'il faisait,
il allait aux toilettes dans la cabine,
et là, moi, je me mettais, tu sais,
la petite craque de porte,
j'accotais ma graine là-dessus,
et je pissais dans la cabine.
Tout, tu pissais sur tes amis.
Pour pisser sur la jambe.
Là, il criait.
Ou tu sais, je pissais
comme en dessous pour qu'il en aille
ses pieds. Mais c'est ça, il y a un ami qui sort sa queue,
un ami qui pisse sur l'autre.
Moi, sur l'ami, il était l'ami qui pissait.
J'ai fait ça un moment donné à Guillaume Wagner
en France.
J'étais en train de pisser, puis là,
je le vois passer, puis je commence à lui parler,
puis j'y jasais, mais j'ai continué
à pisser. Pisser sur...
Pisser à terre
dans la discothèque pis je trouvais ça
bien drôle. Mais t'as pas pissé sur Guillaume?
Pas pissé, non, vu que Guillaume
il me voyait la graine, je le regardais
mais non,
moi je trouvais ça bien drôle.
Pis c'est à terre. J'ai pas vécu grand chose
moi à Ottawa. Ah ouais, vous êtes
tranquille là-bas? Ottawa c'est trop propre
pour pisser à terre. Non mais tu sais, moi je pensais que j'avais vécu
quand même une adolescence.
Pas en tout.
Mais tu as encore ton adolescence
qui est devant toi.
Pour vrai, c'est hot.
J'aimerais ça avoir des anecdotes de même.
Mettre la garde d'enfant.
Quand tu bois...
C'est à toi que je savais
cette anecdote-là.
Mais toi,
ça, je pense, le monde qui ont
ces anecdotes-là, toi, quand
tu bois, es-tu le genre qui
n'arrête pas? Ou à un moment donné,
tu te dis, OK, je commence à être chaud,
on va se laquer un peu. Non, je peux
boire
non-stop. Fait que d'habitude, c'est
ce monde-là qui ont les meilleures anecdotes, qui n'arrête pas.
Moi, je disais tout le temps, et c'est vrai,
l'alcool, c'est juste aller aux anecdotes.
On fête notre fête ensemble le 19 mars.
Je m'arrange pour que tu sortes ta queue.
Je m'arrange pour que tu sortes ton pénis.
Non, je ne veux pas faire ça.
Tu as une blonde?
Non.
C'est ça que je me prépare pour le 19.
Il faudrait faire comme le party,
tu sais, comme Julien engage la blonde
à wavy des vues pour l'enculer.
En plus, c'est lui qui organise le party.
Je fais, regarde.
Là, j'ai peur parce que là, ça se passe.
Ça, ça serait weird que pour ta fête,
tu t'enculer.
T'es comme, moi, je suis pas à l'aise.
Bonne fête. Non, mais il faut que tu T'es comme, moi, je suis pas à l'aise. Bonne fête.
Non, mais il faut que t'essaies des choses, Alexandre.
C'est pas exactement ça.
Il y a un petit peu qu'on n'entend pas.
J'aime qu'il dit, c'est pas exactement ça.
C'est comme genre, il y avait du lubrifiant.
C'est juste ça qui manque dans l'anecdote.
C'est pas exactement ça.
C'est pas exactement ça.
dans l'anecdote.
Pas exactement ça.
Mais c'était avec Myraï que Julien t'avais fait des cochonneries?
Elle te le dominait?
Ouais, vous en avez déjà parlé.
Là, je sais pas si vous avez des questions,
ça peut être des questions pour nous,
ou des questions sur la fois que Julien s'est fait enculer.
Ça fait combien de temps
qu'on est là?
Là, ça doit faire une heure,
je devrais mettre le time, ça doit faire une heure je devrais mettre le time
ça doit faire une heure et demie à peu près
je ne sais pas si vous avez des questions
il y a une main là
ah oui, question puis je vais
dis ton nom
puis d'où tu viens?
Mike de Montréal
puis là je répète mais je pense qu'on va t'avoir entendu
et ta question?
je veux savoir si c'est tout le temps juste des gars ou pas? si c'est tout le temps juste des gars Mike de Montréal, puis là je répète, mais je pense qu'on va t'avoir entendu. Et ta question?
Si c'est tout le temps juste des gars, ou presque.
Il y a une fille qui s'en vient tantôt.
Oui, tantôt. La semaine prochaine, on a Corinne Côté. Il y a plus de gars que de filles.
Et ce n'est pas une question de « moi, je n'aime pas les filles humoristes ».
C'est juste qu' Il y en a tellement moins
que c'est
dur en bouquet. Même en faire...
Si tu regardes, la plupart de mes
invités sont des gars blancs.
Mais la raison, c'est
que la plupart des humoristes...
Tu parles pas aux noirs, Mike!
Tu vois des noirs,
tu sais, « Chris, j'aiai peur je te verrais dessus Eddie King
puis Mike
jamais dans la même pièce
sache-le
mais ouais c'est ça
mais on a une business
c'est ça qui est drôle
l'humour c'est vraiment
une business
Chris
on dirait que
c'est une autre époque
tu sais
c'est rare
il n'y a pas beaucoup
de filles
il n'y a pas
oui mais les filles
qui vont bien
vont bien
parce que justement
ils sont 5-6
tu sais c'est comme on en connait des 4-le-vacs des Marianne Amaza tu sais il y a une place les gens beaucoup de filles. Oui, mais les filles qui vont bien, vont bien parce que justement, elles sont 5-6.
On en connaît,
des quatre-le-vacs,
des Marianne Amaza.
Il y a une place.
Les gens, ils veulent en consommer,
de l'humour de fille.
Moi, ça me fait tout le temps
capoter.
Souvent, le monde fait
que c'est plus dur pour une fille.
Moi, je trouve que c'est plus facile
pour une fille
parce qu'il y en a moins.
Exact.
Parce que tout est une question,
moi, je pense, de casting.
Vous n'êtes pas d'accord, les gars?
Ah, OK.
Ça, c'est le timing pour l'étouffement.
Mon côté hypochondriaque
fait comme ça, ce n'est pas normal.
Quelqu'un est en train de mourir.
Non, non, mais c'est vrai.
Parce que c'est ça, quand même, l'humour.
Les gens en jettent un casting qui est différent des autres.
Des petits blancs québécois qui font des blagues, il y en a quand même beaucoup.
Moi, je pense le même.
C'est quasiment dangereux.
Surtout une fille qui est cute,
elle va se faire offrir un gala crissement trop vite dans sa carrière.
Comme Kim Lizotte s'était faite offrir un gala en sortant de l'école,
elle n'était pas prête.
Elle a eu une carrière plus de chroniqueuse, l'auteur,
mais humoriste, elle l'a tuée.
La première fois que le grand public l'a vue, elle n'était pas prête pour être là.
C'est ça, c'est ils pressent le citron trop rapidement.
Tandis qu'un gars blanc, je pense, vu que c'est plus long, t'es plus peur.
On fait nos classes à trop longtemps même.
Mais tu ne trouves pas que vu qu'il y a moins de filles en humour, ceux qui commencent ou
qui se lancent dans des open mic ou des fois peuvent tomber dans le piège d'essayer de ressembler à une Lise Dion
ou, tu sais, vu qu'il n'y en a pas beaucoup.
Je ne pense pas.
J'ai un petit vibe des fois de...
Je ne sais pas, mais c'est une question que je me pose.
Moi, je pense, par exemple, qu'est-ce qui doit être tough,
c'est que vu que, tu sais, mettons,
dans les loges, c'est des discussions de gars
et c'est des...
C'est très bro.
C'est très...
On dirait qu'on... C'est comme bro. On dirait que c'est
comme une game de football.
C'est très gars, puis très
des jokes de graines sur l'oreille.
Fait que c'est pas très, très...
Comme je dis souvent, Mariana Maza a déjà vu
mon pénis, puis j'ai déjà vu le sien.
C'est le même.
Mais ça, je trouve
que ça doit être tough pour les filles
de faire tabarnak, c'est ça ma vie. Surtout les filles plus féminines. Non, tu sais, je trouve, ça doit être tough pour les filles de faire « tabarnak, c'est ça ma vie ».
Surtout les filles plus féminines.
Non, tu sais, mettons, moi, c'est ça.
Ça prend des filles un peu.
C'est pour ça qu'il y a beaucoup de lesbiennes, pas au Québec,
mais tu sais, quasiment toutes les vedettes américaines de stand-up,
c'est toutes des lesbiennes parce que, tu sais,
il y a juste une lesbienne qui peut endurer huit gars qui font des jobs de viol non-stop.
Je ne sais pas s'il y a une autre question.
C'est une bonne question.
Oui, c'est une très bonne question.
Oui.
Attends une seconde.
Ton nom.
Là, je ne sais pas si on l'a-tu entendu, tu penses?
OK.
C'est ça.
Le milieu de l'humour évolue vite.
Ça fait cinq ans que tu fais ça.
Tu trouves ça beaucoup changé.
C'est même cinq ans et demi, six ans.
Cinq ans et demi.
Ça évolue vite.
Son sous-texte, c'était « Pourquoi tu n'es pas plus connu? » Oui, c'est ça.
Vas-y.
T'es fin.
Ben, c'est tellement le concours de circonstances sur plein d'affaires.
Mike, je sais pas si tu aurais comme une théorie par rapport à ça, t'as plus d'expérience.
Moi, c'est...
Tu sais, de mon oeil à moi, ça dépend de plein d'affaires.
C'est plein de mini-facteurs qui fait que des fois, ben, t'es amené à être...
Des fois, il y en a plein, moi, je pense, qui passent plus vite
pis qui le savent, qui sont moins prêts que d'es amené à être... Des fois, il y en a plein, moi, je pense, qui passent plus vite, puis qu'ils savent qu'ils sont moins
prêts que d'autres qui attendent de plein bout.
Moi, je pense, tu sais, comme, mettons, un gars,
tu sais, comme Julien Tremblay, je pense
des chances pour
changer de ligue ou aller dans
whatever, là, tu sais, percer ou comment tu veux
l'appeler. On a tous plusieurs
chances. Il faut juste être prêt
quand la chance arrive. Tu sais, Julien
avait eu des chances dans le temps
et il n'était pas prêt.
Puis là, après, il n'a pas eu de chance
longtemps, longtemps.
Julien, il se fait 10 ans qu'il est prêt
pour devenir la plus grosse vedette au Québec.
Mais il n'avait pas ces chances-là
et là, il l'a.
Il sortait un one-man show à 21 ans
et il présentait...
Il faisait de la grosse radio à côté, à l'énergie.
Il avait 21 ans.
Là, tu sais, c'est ça.
Là, tu as nos moments qui sont comme...
Il est drôle, le gars avec sa guitare qui se brosse la tête par en arrière.
Ça fait longtemps.
Il a fait un gala Juste pour rire en 91.
Oui, il a été signé, mais Juste pour rire, super jeune.
91.
Lui, la seule raison qu'il a fait l'école d'humour, c'est que
Juste pour rire l'avait signé, puis il allait
le lancer, puis ils ont dit, fais l'école,
ça va t'aider.
Ça lui a nuit à mort.
Mais c'est ça,
il n'y a pas de recette.
Mais humainement, je trouve que Julien, il est tout
cérébralement prêt à en arriver
à devenir un icône de l'humour
au Québec, de vendre des billets.
Parce que des fois, tu es concours de circonstances,
tu es amené trop rapidement en avant,
tu n'es vraiment pas prêt.
C'est dangereux ça, à la limite, d'être connu trop vite.
Qu'est-ce que le monde souvent ne comprend pas,
c'est que ce n'est pas parce que tu vends plus que tu es meilleur.
Il y a du monde qui sont hallucinants,
qui ne vendent pas, qui ne vendront jamais. Il y a du monde qui sont hallucinants, qui ne vendent pas,
qui ne vendront jamais.
Il y en a d'autres qui sont moyens,
qui marchent au bout.
Tu ne sais pas...
C'est une bonne question.
C'est une bonne question avec une fin un peu down-hand.
Oui, mais ça...
On ressort-tu la graine à quelqu'un?
Dans la queue, il sort la dôme.
Il y a-tu une autre question?
Ça prendra une question.
On n'a pas assez de questions à propos du sexe à Julie.
Oui.
Non, non, on n'édite rien.
Qu'est-ce qu'on consomme comme humour?
Moi, je consomme...
J'aime l'humour, mais je ne peux pas dire
que je consomme vraiment... Je suis fan de
Doug Stanhope. Je suis fan
de...
Je suis fan de Jimmy Carr. J'aime souvent le monde
que j'ai rencontré, que j'ai vu
et qui m'ont impressionné. Jimmy Carr,
là, il sort son
Netflix special et j'ai
hâte de voir ça. Je ne consomme pas assez
d'Américains, moi.
Moi, je consomme beaucoup, beaucoup d'Anglais,
beaucoup de Britanniques,
beaucoup d'Américains.
Mais français, je trippe solide sur Jean-Marc.
J'aime vraiment Jean-Marc.
Jean-Marc Parent?
Jean-Marc Parent, moi, je suis de la génération
que toute ma génération avait un manque de respect
pour Jean-Marc.
Le monde faisait, si c'est facile,
c'est juste improvisé.
Moi, je me rappelle, je l'avais vu
en show. Puis, tu sais, moi, je consommais juste
de l'américain. Puis là,
je voyais ce que Jean-Marc faisait. Puis je faisais,
tabarnak, c'est du même calibre que
tout le monde qui était...
Tu écoutais déjà du style.
Puis je voyais, mettons, nos...
Tu sais, mettons,
Patrick Huard que je faisais.
Il fait semblant d'être éveillé, mais c'est pas vraiment...
Tu sais, je trouvais que dans le temps, on faisait semblant,
puis Jean-Marc ne faisait pas semblant.
Fait que moi, j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup
de respect pour Jean-Marc.
Tu écoutes plus en anglais, Biz?
J'essaie d'écouter le...
Ouais, j'essaie d'écouter un peu ce qui se passe
ailleurs, puis moi, Bill Burr,
ma flabbergasté, là, Bill Burr,
j'ai aussi
vu Jim Jefferies en live à Montréal.
Depuis ce temps-là,
je suis aussi ses specials.
Tout ce qui se passe un peu sur Netflix,
j'écoute ça.
Jim Jefferies,
je fais
des shows à Edinburgh, je vous l'ai dit.
J'ai son attaché de presse qui s'occupe de moi
à l'Europe. C'est cool. J'ai son attaché de presse qui s'occupe de moi pour l'Europe.
C'est cool. C'est pimp.
Quand même, si t'étais célibataire,
tu pourrais peut-être avoir une pipe avec ça.
Ouais, un bon pick-up line.
Mais t'aurais... Non, j'aurais
juste des hosties de freaks
qui me souceraient la graine à cause de Jim Jefferies.
Tu penses juste à Jim tout le long.
Je vais te soucer la graine parce que
tu connais un peu un Australien quiien. T'as déjà été en CC
en email avec Jim.
D'un gars qui n'est pas vraiment connu.
OK.
Moi, comme je disais, j'en consomme pas assez.
Moi, je suis fan de mon quotidien, de mes chums.
Veux, veux pas, vu que je fais bien des choses,
j'écoute bien les gens
que je croise en spectacle.
Moi, je suis vraiment fan de la nouvelle génération.
Votre génération, je trouve que vous faites
l'humour pour les bonnes raisons.
Moi, j'ai tout le temps eu ça.
Pour le cash!
Non, mais, tu sais, à cette heure,
tu le dis, puis c'est clair, c'est un gag,
mais moi, je suis de la génération
qui en avait, qui faisait ça juste pour l'argent.
Oui, parce que la relève,
dans le temps, mettons, ça faisait un headline,
c'était bien payé.
Il y avait une belle tournée vous étiez moins
il y avait du cash
dans le temps, tu écrivais un show
tu t'engageais 4 writers
t'allais dans un chalet, t'écrivais ça
moi je suis arrivé après ça
je pensais que t'étais dans ce vibe là
j'étais dans ce vibe là
mais j'étais tellement underground
que moi, personne n'achetait mes billets sauf des tout-croches.
Merci aux tout-croches.
Mais c'est ça.
Mais mettons, le monde écrivait leurs shows,
ils ne rôdaient même pas, ils se bookaient leurs tournées,
ils faisaient leurs petites salles.
Ils faisaient 53 shows par année,
pis that's it. Pis ils gagnaient
3 millions, t'sais. C'est fou, hein?
Ouais, c'était... T'sais, être un
humoriste dans les années 80-90,
c'était tellement facile. C'était
tellement facile. Ben, c'était tellement facile,
je pense, parce qu'il y avait aussi un côté, t'sais,
social de vouloir te lancer
dans ce milieu-là qui était artistique,
même pas, je pense, souligné artistique, c'était juste comme, ça dépend des jokes. Fait que c'était quand même audacieux de vouloir te lancer dans ce milieu-là qui était artistique, même pas, je pense, souligné artistique. C'était juste comme
« ça va être pas des jokes ». Fait que c'était
quand même audacieux de vouloir dire
« moi, je fais ça ». Il y avait quand même
on peut donner ça. Mais sauf
qu'est-ce qui était mauvais, c'est que dans le temps,
c'était
genre deux personnes qui décidaient
si t'étais une star ou non. Si tu faisais
un hit dans un gala, je veux pas ouvrir, t'étais une star.
Sinon, t'avais pas de carrière.
Fait que si le monde qui bouquait le gala
ne t'aimait pas,
tu étais dans la marte.
Tandis qu'à Star,
si, mettons, juste pour rire,
tu n'aimes pas,
tu as Comedia.
Si Comedia ne t'aime pas,
tu peux passer par le web,
tu peux passer par la télé,
tu peux faire des shows.
Tu peux mixer tout ça.
C'est ça, en fait, en ce moment,
il faut que tu sois polyvalent.
Le défaut, par exemple, moi, je trouve à Star, le web est plus important que la télé. tu peux faire des shows, tu peux mixer tout ça. C'est ça en fait en ce moment, il faut que tu sois polyvalent.
Le défaut par exemple, moi je trouve à ce temps-là,
le web est plus important que la télé,
mais la télé donne encore de la crédibilité.
Mettons, une star du web,
Julien c'est une star du web et il n'y a personne qui le respecte.
Je vais te dire, je t'ai blessé, mon tabardac.
Non, non, mais c'est vrai,
j'ai l'impression que ça prend encore
la télé pour donner
une espèce de crédibilité.
Le fameux saut de, ok, c'est un humoriste
connu, parce qu'il a passé.
Moi, j'ai aussi l'impression,
l'étiquette de, j'ai un one-man show ».
On dirait que c'est si fou
parce qu'avoir un one-man show, c'est du travail.
Des fois, il y en a qui en ont parce que
ils ne se sont pas plus là rapidement.
Les gens entendent ça.
« Tu es humoriste. As-tu un one-man show? »
« Tu es réparti de famille. Tu dois être comme moi. »
Ça le fait dire par les matins que c'est mon nom.
« J'avais un 60 minutes au ZooFest. » C'est quoi ça? c'est quand tu vas sortir ton one mac j'avais un 60 minutes au zoofer c'est quoi ça
moi c'est souvent le monde qui me dit
t'étais bon, lâche pas
on roule 4-5 shows par semaine
je fais comme, je lâcherai pas
non
t'as pas vu toute la merde que j'ai passé
depuis ma sortie de l'école
il voit un affaire qui va va pas bien, ils sont comme
« Pas facile, hein? »
Ça fait chier, ça.
C'est quoi votre...
La meilleure chose qui pourrait t'arriver,
mettons, ton souhait
en humour, c'est quoi tu veux
devenir, c'est quoi tu veux être, c'est quoi tu veux carrer?
My God, c'est une bonne
question, ça.
Que toutes mes flashs
sortent exactement
comme je les ai dans ma tête
et qu'ils prennent
tout ce que tu crois être drôle
ok
ça serait mieux
tu sors parfaitement et le monde fond
c'est ça
c'est important
c'était une bonne réponse
c'était deep
tout le monde l'a compris.
Puis lui, il était comme, ça va-tu marcher?
Non, mais il y avait le jeu errant en moi.
On va pas te cacher que ça.
C'est une crise de questions, Mike.
On va dire comme mon chum biz.
Répète.
Ah oui, des textos, ça rentre.
Oh, tout le temps.
Honnêtement, tant que tu peux être créatif
et de ne pas avoir
de barrière
par rapport aux autres
c'est super peut-être
qui est temps
de dire
moi c'est ça
que j'ai goûté
puis c'est accepté
c'est un peu
la même affaire
c'est exactement
ce que j'ai dit
mais c'est parfait
on va finir là-dessus
je ne sais pas
si vous avez
de plugger
vos Facebook
à moi ma fanpage j'aime bien quand les gens la suivent Dave Morgan puis je mets tout là-dessus. Je ne sais pas si vous avez de plugger vos Facebook, vos...
Moi, ma fanpage, j'aime bien quand les gens la suivent.
Dave Morgan, puis je mets tout là-dessus.
Je mets des blagues, je mets mes shows.
Puis le monde qui me donne de l'amour, je suis très
reconnaissant. Fait que je peux
vous franchir de la gang si vous voulez.
C'est le fun, il est con aussi.
Alexandre Bizayon, merci.
C'est ça. Fait que, ok, parfait.
Excellent. Je ne suis pas bon à plugger mes enfants.
Et Julien Bernatchez.
Julien.
Suivez.
Bande passante, vient-en.
Son pénis a une page Facebook.
Vous pouvez le voir.
C'était probablement...
Moi, à date, ça m'a donné trois pintes,
cette soirée-là.
T'as eu trois pintes, là?
C'est à quatre minutes de chez nous de marche.
Ça valait amplement la peine.
Ah oui, une question pour Julien.
Oui.
Il parle fort, lui. Qu'est-ce que tu parles fort?
Tu fais tout le temps un micro.
Elle parle plus fort.
OK, bon, avec, tu sais,
le gros Eric,
avec tout ça,
est-ce que le gros va encore pointer encore pointer le bobo dans la société?
C'est une horrible question de marde.
Je vais répéter pour que le monde comprenne.
Attends, attends, attends.
C'est ça.
Avec tout l'humour qu'il y a, est-ce que l'humour peut encore pointer le bobo?
Je suis fait de bobos.
J'ai juste des bobos partout sur la peau.
Fait que je ne peux pas croire que l'humour
ne peut pas toucher parfois à ces bobos-là.
C'est très...
Christ, c'était bien deep, ça.
Quand tu t'appelles, qu'est-ce que tu fais à la soirée?
Le Valentine sur Saint-Denis, c'est là qu'il va.
Oui, à 50 de scène.
Là, au moins...
Avez-vous d'autres questions?
Là, je suis pas dans une conférence de presse.
Là, qu'est-ce qui est...
T'as-tu une blonde, là, ou...
Parce que toutes les filles, en fait...
Ah, c'est deep, mais il est plein de bobos.
Ben, c'est en suspens, là.
C'est comme bien des affaires.
OK.
Ouais, un jour à la fois.
OK.
Il est célibataire, la gang.
Il est célibataire.
Ça dépend quand tu vas l'écouter,
mais probablement qu'il va être célibataire à ce moment-là.
Oui.
Il va avoir du Wi-Fi à la maison,
il va retomber célibataire.
Tinder, c'est incroyable.
Il y a-tu d'autres questions? Oui incroyable. Il y a d'autres questions?
Oui, il y a d'autres questions
qu'à voir Julien ici.
C'est épouvantable.
Julien, tu étais quasiment à voler le show,
mais c'était le fun de te voir là.
Oui, c'était correct.
Ça valait le déplacement.
On aurait dû être les trois tout le long.
Mais on n'a pas assez de micro.
Là, tu es comme, c'est cool, c'est cool. Puis, il est comme, je n'ai pas de micro. Ce n'a pas assez de micro. Là, t'es comme, c'est cool, c'est cool.
Pis Biz, il est comme, j'ai pas de micro, moi.
C'est pas grave.
Pis ton...
Qu'est-ce qu'il se passe avec toi?
Là, tu vas voir...
Mon premier one-man show.
J'ai déchaîné.
Déchaîné, Zerdar.
C'était, ouais, qu'il y a trois fautes dans le titre,
dont dans mon nom.
Ça sort 2017.
Ça parle des relations homme-homme.
Ça va être une chanson.
Les relations strap-on.
Sur le poster, j'ai comme des chaînes,
mais comme il éclate.
Hé, mais j'aimerais ça.
On va finir avec deux...
Tu as une série qui va...
Es-tu un pilote?
C'est-tu sérieux, ça?
C'était sérieux?
Tu sais, l'affaire... Je ne sais pas si je peux en parler. Le preview, c'est toi série qui va jouer. C'est-tu un pilote? C'est-tu sérieux, ça? C'était sérieux? Tu sais, l'affaire…
Je ne sais pas si je peux en parler.
Le preview, c'est toi.
Ça existe.
Ça s'appelle Bancher 2.0.
Puis, on a filmé pour l'équivalent, dans le fond, d'une douzaine de minutes, peut-être,
dans le fond.
Puis là, probablement, on recherche le financement.
Ça fait que c'est ça.
Il y en a qui veulent voir Bancher déchaîner en 2017.
Peut-être que ça va financer.
Est-ce que vous allez faire du crowdfunding?
Je ne vais pas faire ça. Je ne vais pas comme têter le monde. Je ne 2017. Est-ce que vous allez faire du crowdfunding? Je ne vais pas faire ça.
Je ne vais pas têter le monde.
On ne va rien faire à place.
Je ne vais pas...
Je ne vais pas...
Tu dis 10 piastres, tu dis 20 piastres.
Après ça, je suis redevable de plein de monde.
Je dors mal.
Il fait pour des patates au Valentine pis de la bière.
Pour des patates? Moi, on peut me payer en patates.
Mais sauf que ça...
Pour du vias, je sais pas.
Je suis pas à l'aise.
Ça fait que...
Tes critères, c'est de la marre.
J'ai aucun critère.
Ça m'a mené nulle part à date.
Mais je suis là, là. J'ai eu trois peintres.
Ben non, ils t'ont parti à ville.
Va falloir que tu le payes tout à l'heure.
Ben, Louis Delay, la réalisation,
qui a réalisé le documentaire de Mike Warren.
Ah, oui, oui. Absolument.
Il est un peu focale. Il fait une tonne de spots.
Mais il est très cool. Sa réalisation est hallucinante.
Oui, oui, il est vraiment bon.
Très talentueux. On est très contents d'avoir avec nous.
Deux massifs à l'écriture avec nous.
Puis on aimerait ça que ça prenne vie, là.
Le teaser était bon.
Merci beaucoup.
Il est très bon.
Allez voir ça.
Aussi, pour les gens à la maison,
vous autres aussi,
quand vous allez être à la maison,
à la fin du podcast,
Yann Thériault va vous donner des suggestions
parce que c'est ça le monde du podcasting.
Il va vous donner de la gonorrhée.
Il ne donnera pas de la gonorée,
mais il y a beaucoup de bons podcasts
au Québec, puis à chaque semaine,
Yann va vous faire une suggestion.
Fait qu'encouragez
les podcasts locales, vous autres,
partez-vous des podcasts.
C'est une bonne idée, Mike.
Merci tout le monde.
Merci, Yann.
Merci.
Merci, le monde. Merci la gang. Merci. Merci.
Merci.
Salut tout le monde. Bienvenue à cette première capsule
de la nouveauté podcast de la semaine. En gros, c'est quoi l'idée? C'est de Sous-titrage Société Radio-Canada mieux étonnant. Il y a sous-écoute. Et puis, je vais essayer de vous en faire découvrir des noms qui sont peut-être un petit peu moins connus,
des productions qui sont faites ici
qui sont très, très bonnes. Cette semaine,
je vous ramène dans le temps.
C'est l'année 80-90. C'est un projet qui s'appelle
Retour vers le rétro.
C'est disponible sur YouTube seulement.
C'est une production vidéo.
C'est dur à décrire parce qu'ils ont
plusieurs séries, mais en gros,
ils ont une série où ils testent des jeux vidéo,
des vieux jeux des années 80-90.
Mais il y a une série qui s'appelle Invité.
C'est une série où est-ce qu'ils reçoivent
un invité par semaine.
Ils reçoivent une personnalité,
ça peut être une personnalité des gens peut-être un petit peu moins connus.
Moi, je suis passé par là. Il y a eu l'agent de Mike,
Michel, qui est passé par là. Il y a Daniel Grenier
qui est passé par là. Il y a plusieurs personnes
comme ça qui sont passées.
Et puis, c'est à peu près 20 minutes.
Une interview d'à peu près 10-15
minutes. Puis après ça, Cédric, l'animateur,
Cédric Duquette,
ce qu'il fait, c'est qu'il nous lance un défi.
Il nous fait jouer à un jeu vidéo. Tu sais, ça peut être de
passer un tableau. Ça peut être de...
Ça peut être de se rendre jusqu'à la fin.
Ça peut être de juste survivre 5 minutes
selon le défi.
À chaque semaine, c'est un défi différent.
Si on perd son défi, on a une punition.
Il faut faire de quoi?
C'est une espèce de do or dare.
Moi, dans mon cas, j'ai dû faire un coup de téléphone à la Marcelin.
Drette-le sur le gun devant eux autres.
C'est bien, bien le fun.
C'est à peu près juste 20 minutes.
Ce n'est pas éternel. C'est très court. C'est bien bien le fun, c'est à peu près juste 20 minutes C'est pas éternel
C'est très court, c'est très condensé
C'est très le fun, on en apprend
Beaucoup sur les invités
C'est des bonnes interviews
Je vous invite à écouter ça, à aller taper dans
Youtube, Retour vers le rétro
Il y a plein d'épisodes comme ça avec les invités
Il y a plein d'autres séries comme ça
Si vous voulez découvrir d'autres podcasts, je sais que les gens
Ont le réflexe d'aller sur iTunes.
C'est la plateforme, probablement,
où est-ce qu'il y en a le plus.
Mais pour les podcasts québécois,
les podcasts français, c'est bien, bien dur
de trouver les chaussures à son pied.
C'est comme...
C'est perdu à travers les monstres,
les gros podcasts les plus populaires aux États-Unis.
Si vous voulez un endroit où est-ce que c'est le fun, où est-ce que
tout est réuni, c'est bien fait.
Tant qu'à moi, à mon avis, c'est mieux
fait encore qu'iTunes. Allez voir
une plateforme qui s'appelle
RZO.
RZOweb.com
Tous les bons podcasts québécois sont
là-dessus. C'est bien fait.
C'est bien répertorié.
Vous pouvez vous abonner. C'est une fait, c'est bien répertorié, vous pouvez vous abonner, c'est une plateforme
là. iTunes
devrait acheter RZOM.
C'est vraiment la meilleure place
pour découvrir de nouveaux podcasts
et de nouvelles productions. Retour vers le
rétro, disponible sur YouTube. On se voit la
semaine prochaine. Merci tout le monde.