Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #76 – Spécial ComediHa! (Michel Courtemanche et Cathl
Episode Date: August 8, 2016https://youtu.be/OPSsvyk6SVI Pour ce deuxième épisode enregistré devant le public de Québec au ComédieHa! Mike reçoit Cathleen Rouleau qui nous parle de ses projets et le légendaire M...ichel Courtemanche qui nous parle à coeur ouvert de ses succès et des obstacles qui ont tracé son parcours. ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
Discussion (0)
...
Directement du ComédiaFest,
bienvenue à Mike Ward et sous-écoute!
...
Merci!
...
Merci beaucoup!
Merci, c'est notre deuxième épisode
du Comédien.
On a eu bien du fun.
On a fait un show tantôt.
Et pour de vrai,
moi, souvent,
quand je bois,
je fais comme...
Je me sens que je n'ai pas de l'assise sous que ça.
Et là, c'est comme si je regardais
dans un miroir pendant un blackout et j'ai fait, il faut que n'ai pas de lait si saoul que ça. Et là, c'est comme si je regardais dans un miroir
pendant un blackout, puis j'ai
fait, il faut que j'arrête de boire.
Mais c'était le fun. On a eu
du fun. J'espère que vous avez aimé ça.
La semaine passée, cette semaine, ça va être le fun
aussi. Et dans le dernier podcast,
pour ceux à la maison qui ne comprennent pas,
on a tourné deux épisodes
back-à-back. Dans le premier épisode,
je ne savais pas où étaient les toilettes.
Elles sont là-bas, les toilettes, pour le monde ici, dans le chapiteau.
C'est juste à côté.
Elles sont super propres.
C'est ça qui est cool.
Ça fait une semaine que le festival roule.
D'habitude, tu vas d'un festival après six minutes.
Toi, tu sens le diarrhée, mais ici, c'était clean, c'était super clean,
mais c'est là que tu vois que je suis une petite poule de luxe.
Moi, je suis rentré dans la toilette chimique, puis j'ai fait ça.
Moi, je voulais allumer une lumière, puis j'ai fait, non, il n'y a pas de lumière.
Ça fait que là, j'ai commencé à pisser, c'était super propre,
c'était juste désagréable, vu qu'il y avait un monsieur qui n'arrêtait
pas de dire « Il y a déjà quelqu'un! » T'es en train de faire quelqu'un. C'était...
Ça, c'est désagréable. Non, c'est ça. Cette semaine... Est-ce que vous êtes prêts
pour commencer le show? Yes! J'ai très hâte de faire ce show.
Tabarnak, qu'elle est prête!
C'était un cri.
C'est sa fête.
Hé, viens, viens sur scène.
On va te voir à l'écran.
On va te voir à l'écran.
On va te parler un peu.
C'est très hot.
C'est ta fête.
Cool.
Applaudissez.
Hé, qu'est-ce que t'as de la soule, là, c't'est.
J'aime ça.
Bonne fête.
Bonne fête.
Assieds-toi ici.
Bonne fête.
Pointe ça.
C'est ta fête. Assieds-toi ici. Bonne fête. Pointe ça. C'est ta fête.
Quel bonheur.
Ben oui, es-tu contente que c'est ta fête?
Ben, j'aime ça en ta présence.
OK. Ben, merci. T'es bien fine.
Pis là, ton amie,
elle te fait...
Ben oui. Non, t'as pas le droit.
Dégage-la, ça, c'est...
Mais bonne fête. T'as quel âge?
Quel âge ça nous donne?
Quel âge que je te donne
qui est tout le temps une question piège,
je vais dire 11 ans.
T'as-tu 11 ans?
Comment tu m'en donnes?
Hein?
T'as pas 11 ans.
Déconnisse!
Je sais pas pourquoi je faisais une joke de pédophile.
Mais,
t'as-tu fêté?
T'es-tu allé super avec tes amis?
Tu passes une belle fois?
Je suis en tout début de processus.
T'es en début de bras. J'aime ça.
Et on est venu te voir, toi.
Parfait.
J'espère que tu vas être
mort.
Mais, tu veux-tu...
Je vais te faire un verre, là.
Tu veux-tu... Hey, Jason, tu veux-tu
ramener la chaise?
Puis, pour de vrai,
tu vas être... On va te laisser
sur scène, là,
pendant le podcast. Puis même, on va
laisser ton ami qui filme
mais discrètement
sur le côté, comme ça si vous êtes
désagréable, on peut vous sortir
pis ça paraît pas, c'est ça
moi j'aime ça
y'a-tu deux chaises?
ben oui y'a rien, y'en a une
non non, non mais
ok, oh yes
il t'amène ça,
un tabouret,
puis ils sont proches en estie,
parce que ça a l'air saoule un peu,
j'ai peur que maintenant,
ils fassent comme...
Puis là, on entend comme...
OK, fait que là,
mais pour de vrai, attends,
je suis comme stressé,
tu peux-tu débarquer une seconde, mais pas de vrai. Attends, je suis comme stressé. Tu peux-tu
débarquer une seconde, puis on va juste
le réavancer, parce que j'ai peur que tu tombes
par en arrière, pas de vrai.
Non, mais ça serait mauvais, Carlis.
Moi, là, j'aime ça
rire des handicapés, mais pas tant que ça.
Tu sais, moi, on peut-tu...
On voit... Fait que si...
...
...... On peut-tu? On voit. Fait que si.
On va les applaudir.
Yann, filme-le.
Yes.
Puis, as-tu vu? Vu que c'est ta fête à toi,
j'ai mis... Attends, mais le monde, il faut qu'il embarque.
Tu sais, parce que si tu te mets là,
le monde ne peut pas embarquer,
à moins de te piler sur la face.
Il faut... Non, mais il faut que tu le mettes là,
parce que sinon, le monde ne peut pas embarquer.
Quand est-ce que c'est compliqué
d'expliquer?
OK. Excellent.
Tu veux-tu...
Attends, je vais vous donner...
Tu veux-tu de quoi en boire?
Il y a une vue qui ne se passe rien,
mais la musique de Benny Hill ou quelque chose.
J'aime ça que...
OK.
Fait que, bien, bonne fête.
Puis là, cette semaine,
on a vraiment un show
que je suis content, les deux invités. Là, en plus, c'est ça que j'aime Bonne fête. Cette semaine, on a vraiment un show.
Je suis content.
Les deux invités.
En plus, c'est ça que j'aime d'avoir vous autres.
Parce que moi, je me sens que je suis feeling pour eux autres.
Mais là, on est trois feeling.
Contre deux à jeun.
Team Alcool gagne encore une fois.
J'aimerais ça.
Est-ce que vous êtes prêts pour commencer le show?
Puis là, vous autres,
c'est important que vous ne parlez pas pendant que nous autres, on parle.
C'est ta fête, mais...
Non, mais Chris, ton amie,
elle parle beaucoup.
Si elle parle, tu lui donnes un petit coup de coude
en arrière, elle décoallisse.
On a un ambulancier
qui va le coallisser dans le recyclage en arrière. Ça décalisse. On a un ambulancier qui va le calisser dans le recyclage
en arrière.
Ça va bien aller. OK. Fait que là,
c'est ça.
Pour de vrai,
moi, je m'en calisse sortir
une fille que c'est sa fête.
OK. Yes!
Est-ce que ça vit?
Du coup, j'étais comme, hey, c'est le fun,
c'est sa fête. Puis j'étais comme c'est une fun c'est sa fête pis j'étais comme
on devrait pas monter
le monde sur scène
ok
bon
est-ce que vous êtes prêts
pour commencer le show
ok
j'aimerais ça
s'il vous plaît
donner de l'amour
donner une grosse
grosse grosse
bonne main d'applaudissement
à Kathleen Rouleau
Michel Courtemarche.
Il y a du monde jusqu'à dehors.
Il y a du monde jusqu'à dehors.
Je savais que ça marcherait si tu m'invitais.
Là, vous en... C'est ça qui est drôle, parce que...
Moi, c'est ça.
Je brûle pas mal,
pis vous autres, vous buvez fuck out.
OK.
Fait que je veux juste pas être trop saoul.
Si je suis trop saoul, dites-moi le...
On va continuer à t'en donner.
OK, ouais, ouais.
Dites-moi le, pis non, pas de vrai.
Ben, je te le dis, moi.
Non, non, c'est une joke.
OK.
Non, non, mais tu as pas...
Tu supportes bien l'alcool.
Moi, je supporte bien l'alcool,
mais j'ai oublié de souper.
Aujourd'hui, ce n'est pas une bonne chose, je pense.
C'est une bonne chose.
Non, non. C'est vraiment mauvais.
En plus, tu es diabétique.
Moi, je suis diabétique.
Je n'ai que des qualités.
As-tu des chances que tu tombes à terre?
Il y a plus de chances que je ne tombe pas à terre.
Mais non, c'est ça.
Ce n'est pas vrai. Il y a un moment donné, je ne tombe pas à terre. Mais ce n'est pas vrai.
Il y a un moment donné,
moi, je t'ai vu.
Tu avais une marque rouge qui partait du front
et qui allait jusqu'ici, jusqu'à la huitième.
Et tu m'as dit
que je suis tombé en pleine face.
Et à cause
que tu es diabétique,
la marque est restée là
six mois.
Six mois,
madame, monsieur. Fouite!
Slut face!
Moi, là, quand je me fais mal,
vu que je suis diabétique, je ne guéris pas.
C'est ça. Moi, un moment donné,
j'ai pogné un coup de soleil à Hawaii.
J'ai gardé mon coup de soleil pendant deux ans et demi.
Deux ans et demi,
juste ses jambes. Ça ne paraissait pas dans ma face,
mais mes jambes
étaient rouges pendant deux ans
et demi. C'est fou.
Es-tu hémophile?
Non, j'aime les femmes.
Mais je suis...
Non,
hémophile, c'est que ton
sang, tu coagules pas.
Puis quand tu coagules, tu saignes pour toute la vie.
Un peu.
Vu que j'ai tout le temps peur de faire
une crise cardiaque, fait que je prends des aspirines
22 fois par jour.
J'ai tout le temps dans ma tête, je suis comme,
c'est mon bras qui est engourdi.
Je suis plus
stressé.
Je ne sais pas si ça répond aux questions.
Non, non, non. Ça ne diagnostique pas ça,
stressé.
Par exemple, toi, t'étais...
Oui, quoi?
T'as tout arrêté de boire en quelle année?
Il faut faire le calcul.
Ça va faire 16 ans le 23 août.
OK. OK.
Merci.
Pas douce.
Bon!
C'est beau.
Ça fait 16 ans.
Mais j'avais intérêt.
Je n'avais pas de slot face,
mais j'avais intérêt à arrêter.
Mais toi, c'est ça.
Ça a-tu été dur d'arrêter de boire?
Ça a-tu été dur? Ça a été dur, je'est ça, ça a-tu été dur d'arrêter de boire? Ça a-tu été dur?
Ça a été dur, je te dirais, pendant peut-être un an,
de boire, consommer, une sorte de drogue.
C'est parce que ça s'en va lentement.
C'est ce qui est long, deux ans à avoir les jambes rouges.
Oui.
Ça, ça ne pardonne pas.
Mais un an, ça a été tough.
Après ça, 15 pardonne pas mais un an, ça a été tough pis après ça, 15 ans
non, c'est
c'est quand que t'as arrêté
de faire du live
faire des shows sur scène
ça fait-tu plus que 16 ans
ou c'est à peu près ça
oui, ça fait plus que 16 ans
ça fait quasiment 25 ans
fait que là, le show
parce que tu vas faire
un numéro d'un gars là,
ça va être la première fois
de ta vie que tu es sur scène
à Jean.
Oui!
Je vais!
Merde!
Je voulais te donner une congé.
Non, non, non.
Je n'ai jamais consommé pendant que je jouais.
Pendant que j'ai fait de la tournée, des shows, tout ça. Jamais, jamais, non. Mais je n'ai jamais consommé pendant que je jouais. Pendant que j'ai fait de la tournée, des shows, tout ça.
Jamais, jamais, jamais.
Jamais pas avant, juste avant.
En fait, j'ai commencé à consommer quand j'ai eu mon divorce.
C'est plus ça qui est parti de l'affaire.
Puis j'ai consommé pendant trois ans.
Mais en esti.
Ah oui, j'étais ceinture noire.
C'est épouvantable.
Puis toi, t'étais boisson, drogue, tout?
Boisson, drogue,
pilule, pilule légale,
pas légale,
cocaïne. Attends, il me reste plus rien!
T'étais même
équinacée.
De la clôture.
Masseuse.
Mais,
quoi?
Monsieur Chappé.
D'où le divorce.
D'où le divorce.
Trois ans de masseuse.
Mais ce que je vais dire,
et de danseuse.
Mais bon,
c'est ça.
Alors, moi, ça a juste
duré... Ça a répondu à la question?
Oui, oui, non, ça répond. Mais toi, t'as jamais bu de ta vie?
Hé, écoute, c'est tellement plate, mon anecdote
à côté de lui.
J'ai jamais bu de ma vie.
Mais t'as-tu déjà pris une gorgée?
Je vais te dire, j'ai bu une bière.
Sans faire exprès?
Wow, qu'est-ce qui se passe?
Elle est en train de tomber dans ma bouche. Non, j'ai... Oh, qu'est-ce qui se passe? Ah! Ça coule dans ma bouche.
Elle est en train de tomber dans ma bouche.
Non, j'ai bu une bière.
J'avais 18 ans.
Pis écoute, c'est un peu pathétique, mon affaire.
Ma mère m'a sortie dans un bar.
Mais elle avait organisé un party avec mes amis, là.
T'sais, j'étais comme pas toute seule
avec ma mère dans un bar.
Ça sent hot, ça.
Ça fait très point.
On va s'habiller pareil.
Puis, on était allés
dans une place où il y avait un chansonnier.
En haut, il y avait aussi un club,
mais en bas, il y avait un chansonnier.
À un moment donné, le chansonnier fait « Il y a des anniversaires
ce soir. Moi, je vais la faire sans venir,
gros comme le bras. » Fait que je me revire
tranquillement. Et là, ma mère,
elle me revire vers la scène
et elle me pousse sur la scène.
Comme elle a fait avec son amie, tu sais, en gros.
Elles sont encore là.
Et j'ai...
C'est pas que je les ai dans le dos.
De temps en autre.
J'ai essayé de m'en sortir. J'ai fait à croire aux chansonniers
que j'étais ses médicaments, puis que je ne pouvais pas
boire d'alcool. Puis là, ils m'ont dit,
mais qu'est-ce qu'on boit quand on est ses médicaments? J'ai en tout cas pas de l'alcool. Pis là, il m'a dit, mais oui, mais qu'est-ce qu'on boit quand on est sur les médicaments? J'ai en tout cas pas de
l'alcool. Pis ma mère, qui m'a vraiment choquée, elle a fait, c'est pas vrai, pas
de médicaments! Fait que j'ai comme été obligée de boire de l'alcool à cause de
ma mère. C'est vrai, mais c'est la seule fois? C'est la seule fois. Mais je prends
beaucoup de drogue dure. Ça aurait été hot, pareil,
que tu deviennes vraiment
une alcoolique
scrap.
À tous les jours, tu appelles ta mère
et tu fais « C'est à cause de toi! »
T'as-tu vu sur Facebook
les gars qui ont battu une sans-abri?
« C'est à cause de moi! »
Non, mais c'est ça.
C'est ma mère
qui m'a dévergondée.
Elle m'a amenée au 2,81 aussi.
Oh, la première fois
qu'elle avait juste le choix.
Non, ça, non, moi,
j'arrête là.
J'arrête là.
Avec ta mère,
c'est comment voir
tes pénis avec ta mère?
Étrange.
En faisais-tu?
Ça ressemble à ton père.
Mais ça, là...
Mais tu sais,
ce qui aurait été plus étrange,
c'est de voir des vagins avec ma mère.
Ou pas, mais en tout cas.
Ah oui, ta mère qui fait...
Mais ta mère,
elle semble
parter parce que les deux anecdotes,
c'est comme...
C'est clair que ta mère connaît
Dominique Paquette.
Elle te connaît de moi, en tout cas.
Elle me connaît, oui, mais
je suis jamais allé aux danseuses
avec ta mère. Mais es-tu allé aux danseurs?
Je suis déjà allé aux danseurs.
C'est vrai? Moi, je suis déjà
allé, attends, c'est quand que je suis allé
aux danseurs? Je me rappelle, je suis déjà allé
aux danseurs, mais je me rappelle pas dans quel contexte.
Pis je me rappelle que
j'étais comme, là, ils en font
trop. Tu sais, parce que...
Tu sais, mettons, je suis jamais allé,
mettons, d'un danseur gay, mais
les 2,81, ils font...
Hey, c'est du spectacle qu'on fait!
Pis là, ils ont de la mise en scène,
ils ont de la pyrotechnie, ils ont des équipes de vin,
ils ont des costumes.
Les filles, le seul truc qu'elles ont,
c'est « je vais regarder lui
dans les yeux ».
C'est ça que tu as besoin.
Je vais faire à croire
qu'il a des chances avec moi.
C'est juste ça que tu as besoin.
Apparemment, ce n'est pas indifférent
d'un club de danseurs
et d'un club de danseuses et d'un club de danseuses.
J'ai aucune idée de quoi vous parlez.
Mais, paraît-il
qu'il y a des endroits où
les filles...
Les filles...
Je suis déjà allé aux danseuses.
Je ne m'en rappelle pas.
Moi, je suis déjà allé aux danseuses... Je peux difficilement parler, je m'en rappelle pas. C'est ça l'affaire.
Moi, je suis déjà allé aux danseuses une fois
qu'une fille m'a parlé de toi par exemple.
Fuck you, esti!
Tu veux juste mousser des cordes d'écoute.
Des cordes d'écoute, Chris Internet.
C'est...
Ah, c'est toujours bien ça?
Non, mais c'est vrai que la fille était super fine,
mais là, j'avais... C'est toujours bien ça. Non, mais c'est vrai que la fille était super fine, mais là, j'avais...
C'était fucking...
C'est weird ce que je vais compter.
Oui, je sais.
Mais ça n'a rien à voir avec moi.
Non, ça n'a rien à voir avec toi.
Ça ne te met pas dans la main.
Mais il y avait un moment donné, j'avais été au hockey.
J'avais rencontré un gars qui était propriétaire d'un club de danseuses.
Puis, il commence à parler.
Puis, il dit, moi, j'ai tout le temps aimé ça, l'humour, j'ai tout le temps rêvé
de faire de l'humour, puis moi, aussitôt que je parle
à n'importe qui qui me dit qu'il rêve de faire de l'humour,
je suis comme, j'y donne des conseils,
tu devrais faire ça, je deviens
Daniel Fichaud,
je suis comme, fais-ci,
fais-ça, puis là, le gars, il m'a
dit, Chris, on s'entend bien, on devrait
faire un brainstorm ensemble. Fait que là, le gars, il m'a dit « Chris, on s'entend bien, on devrait faire un brainstorm ensemble. »
Fait que là, je fais « Ben oui,
OK, je lui donne mon numéro, mais j'ai oublié
que je lui donne mon numéro parce que je suis
sous mort. » Et là, le gars,
trois semaines après, il est comme « Aïe!
C'est quand notre brainstorm? »
Puis là, je...
Tu pensais que c'était Jean-Michel Anctil,
donc tu as dit quand même à toi. Non, non, mais j'ai pas répondu
puis là, il a dit « Aïe!
C'est Mike du Soleil de Gaulle. C'est quand qu''ai pas répondu. Puis là, il a dit, c'est Mike du Solid Gold.
C'est quand qu'on fait notre brainstorm?
Puis là, je fais,
c'est vrai, j'ai rencontré le gars du Solid Gold.
J'ai dit qu'on allait faire un brainstorm.
J'ai fait, ça va être drôle.
Là, je fais,
je vais aller faire le brainstorm.
Je suis allé au Solid Gold un après-midi, avec le gérant ou propriétaire,
un gars qui s'appelle Mike, et il y avait
une danseuse qui a dit,
elle est drôle à tabarnak,
on va sortir des idées de sketch.
Pis là, j'étais comme, asti
que c'est weird, ce que
je vis. Mais étais-tu habillé ou pas?
Non, non, elle était
habillée, pis tu sais, les danseuses,
c'est des humains.
Ils n'arrivent pas de...
« Moi, j'ai un flash.
Mets-moi un Saint-Piace dans le rectum.
Je vais te dire une règle de trois. »
Mais la fille était vraiment drôle.
Elle était super drôle, pour de vrai.
Mike aussi était super drôle,
mais elle était vraiment bonne.
Un moment donné, j'ai dit, « Christ, ça. Puis Mike aussi était super drôle, mais elle, elle était vraiment bonne. Puis, tu sais, un moment donné, j'ai dit,
« Christ, ça serait drôle, le style.
Tu devrais faire tes jokes. » Puis là, un moment donné, à la fin du brainstorm,
je me suis fait, « Bon, je m'en vais. »
Puis elle a dit, « Je connais Michel Coutamache. »
Puis là, j'ai fait, OK.
Il me semblait que c'était pas supposé le mettre dans la merde.
Non, mais bien pire.
Mais elle te connaît.
Fait que je sais pas si
de où que t'as connaît,
mais elle t'a pas pluggé en début
de brainstorm.
C'est à la fin.
C'est à la fin.
C'est ça.
Mais il était drôle.
Si jamais,
si jamais t'as rencontré
une danseuse dans ta vie,
celle qui est drôle, je l'ai rencontrée.
C'est celle-là.
C'est celle-là.
C'est ça qui est drôle.
On voit que t'as commencé à faire de l'humour
dans le temps que tu penses que t'as un qui est drôle. On voit que tu as commencé à faire de l'humour dans le temps que tu penses que tu as un micro-casque.
Que...
Tantôt, tu parles
et ton micro est là.
Je suis juste comme en réaction.
Je t'écoute parler,
je suis crampé.
On peut savoir
un des stams qu'on avait tantôt
Jason
que
yes
là on a Yann qui dit
il a zéro respect
Michel Courtemange
qui est une légende
de l'humour
et tu le traites comme un astide guené
de ah ouais tasse-toi légende de l'humour et tu le traites comme un astide guené de... Ah ouais,
tasse-toi, Carlis!
Il te traite...
Il te... Non.
Carlis!
Mais encore une fois, tu l'as pas dit
dans le micro, c'est ça?
Non, mais moi, je te projette, je peux parler.
T'es un homme
de théâtre.
Ou les acteurs.
Pas vraiment, non.
Toi, non, c'est ça, demain,
c'est ta première fois solo
sur scène depuis quand?
Moi, ce qu'on comptait tantôt.
Le dernier show que j'ai fait,
ça remonte en 1996.
Hé, Chris!
En Europe.
En fait, je suis en Europe, dans le sud de la France.
Après ça, j'ai terminé à Paris.
Et là, j'ai fait OK.
Répète pas ça fort, s'il te plaît.
Attends, tu souffles des réponses.
Et, euh...
J'ai envie de toi.
Ah!
Elle dit,
« Je suis pas une danseuse,
mais je monte mes boules à tout le monde. »
« Moi aussi. »
Ce que je vais dire par là,
je ne sais pas.
Mais c'est ça.
En 96, j'ai tout terminé.
J'ai arrêté de faire des spectacles.
Donc, ça fait 25-30 ans
que je n'ai pas...
Mais avec le...
C'est ça, tu as quand même...
Le bye-bye.
Non, mais tu as toujours...
Tu as continué à faire de l'humour
sans faire de la scène.
Oui, mais j'étais plus genre mis en scène.
Tu sais, aider du monde.
Le bye-bye, ça a été...
Je ne vais pas dire en pili-mé un erreur,
mais ça a été... Je ne voulais pas le faire.
Je ne voulais pas le faire.
C'est un hasard.
Pas mal plus un hasard qu'autre chose.
En fait, c'est un de mes chums qui m'a convaincu
de le faire, et j'ai fait de tort.
Mais lui, c'est vrai, c'est un bon conseil.
C'est Joel Legend.
Non, non, non.
Non, mais ça aurait pu.
Ça aurait pu, ça aurait pu.
Non, mais...
Non, ça n'est pas...
Juste dire le nom à Joel Legend, le monde va... Ah, c'est pas pu, ça aurait pu. Non, mais... Mais non, ça n'est pas... Ça aurait pu être un malaise. Juste dire
le nom à la gendre, le monde va
« Ah, c'est pas cool, ça! »
Ceci n'est pas drôle.
Mais non, c'était Louis
en fait qui m'a appelé.
Tu le regrettes? Tu regrettes d'avoir fait les bye-bye?
Non, j'ai trouvé ça tough la première
année, parce que moi, je ne suis pas un imitateur.
Comment je fonctionnais, c'est que
je recevais des textes,
j'allais voir Pierre Verville, je dis « Imite-moi-les, lui! » Puis t'imitais Pierre Verville?
Puis là, moi, j'imitais Pierre Verville.
Ah, c'est-tu que lui, il devait regarder le bye-bye en faisant…
Tu peux se dire « C'est le moins sacriste! »
« Je suis mal payé! »
Oui. Oh, ça, oui.
Lui, c'est tellement une bonne personne.
Tu le connais-tu, Pierre Verville?
C'est le meilleur imitateur au Québec. C'est le meilleur.
Oui, je le connais un peu,
mais on ne prend pas le thé ensemble.
Moi, j'avais fait un tournage avec lui
il y a une couple d'années.
Il m'avait dit...
Il savait où je restais.
Il avait dit, toi, tu restes...
Il prend des marches à côté de chez nous.
Il prend des marches à côté de chez nous. Il prend des marches à côté de chez nous.
J'aimerais remercier ma mère, mon père.
Je ne sais pas si ça va aider.
Je pense, pour toi, Kathleen,
que ça va bien aller.
C'est un poteau à téléphone.
Il va y avoir une naine qui va se frotter
le vagin dessus.
Elle va venir te voir et elle va dire
« Je connais Mike Ward ».
Elle va venir te voir et elle va dire « Je connais Mike Ward. »
C'est pas ça qu'on va faire demain.
Il m'avait dit, il avait dit
« Hey, je sais où tu restes. »
Je connais ta femme.
Non, mais...
Moi, c'est ça.
Je sais où tu habites.
C'est zéro encore.
Puis j'avais fait...
J'avais fait...
Il dit, « Je passe tout le temps devant chez vous.
Des fois, je chevauche. »
Puis j'ai dit, « Hey, tu devrais arrêter un moment donné. »
Puis là, je vais arrêter un moment donné.
Puis il est arrêté un moment donné.
Puis il est tellement fin.
C'est vrai.
Moi, la première joke,
moi, j'ai souvent des jokes méchants sur le monde.
C'est trop.
Ça ne sort pas des médias,
mais il y avait mon premier gag méchant
que je faisais sur quelqu'un,
c'était sur Pierre Verville.
Je l'avais fait dans un gala juste pour rire.
Puis, Jacques Chevalier,
dans le temps qu'il s'occupait des galas,
m'avait dit, il avait dit,
« Hey, Pierre a entendu ta joke. »
Puis là, moi, j'étais comme,
je le connaissais pas,
je suis comme,
« Asti, il était-tu en tabarnak? »
Puis il a dit,
« Non, il m'a juste dit,
pourquoi est-ce qu'il m'aime pas? »
Puis j'avais fait,
« Ah, tabarnak, que je te demande, Asti. »
Puis j'avais,
j'ai arrêté de faire cette joke-là six ans après.
Mais j'ai, non,
non, non, pour de vrai, pour de vrai, j'ai enêté de faire cette joke-là six ans après. Mais j'ai... Non, pour de vrai,
j'ai enlevé le gag.
Tu sais, c'est les premières années
que les gars-là jouent au risque, c'est deux soirs.
Puis là, le deuxième soir,
j'avais fait le même gag,
mais j'avais comme improvisé un punch
qui était nul à chier, parce que je me disais,
je veux pas...
Tu sais, Pierre Verville, en plus, c'est tellement une bonne personne.
Tu l'imagines, c'est tellement une bonne personne. Tu l'imagines,
c'est le seul gars
qui... Je vais payer
un voyage pour voir des oiseaux.
N'importe qui
qui dépense 6 000$
pour voir...
C'était...
Mais ma joke, c'était...
Je faisais un gag
je faisais un gag
sur Pierre Vervin, je me rappelle pas c'était quoi le gag
pis ça faisait un genre de
c'était voulu que ça fasse comme un
là je faisais, non non regarde
le show business c'est comme un centre de ski
pendant que moi je monte le chairlift
lui il descend en pente
fait que je peux lui cracher sur la tête pis il peut pas me toucher
c'était
ok c'est ça de 100 pentes. Fait que je peux lui cracher sur la tête pis il peut pas me toucher. C'était...
C'est ça, c'est ça.
C'est ça. Fait que t'as intérêt à faire du ski nautique?
C'est ça, c'est ça.
Mais moi, c'est ça. Fait que...
Mais c'était plus drôle que ça.
Mais là, que je viens de dire
que ça l'a blessé,
personne va faire...
Fait que lui, il a ce type
de petits oiseaux.
Mais je suis allé une couple de fois chez eux
et effectivement, quand tu rentres,
il y a un cadran, les 12 heures,
c'est 12 moineaux différents
qui chantent 12...
J'ai eu tellement peur que c'était
« Il y a 12 Mike Ward. »
Mais ah oui, il y a douze...
Douze criées différentes.
Je me rappelle bien, là.
Je ne suis pas resté là toute la journée.
Toi, tu as ça avec douze femmes différentes, hein?
Douze criées différentes.
Ça, ça me...
Ça me fait...
On dirait que je suis comme un agresseur.
Non, ça, c'est pour soit la fille
que c'est sa fête et son ami.
Moi, je n'en veux pas. C'est gratuit. C'est pour soit la fille que c'est sa femme qui est son amie. Moi, j'en veux pas.
C'est gratuit.
C'est gratuit.
C'est drôle que t'aies dit, on dirait que je suis un agresseur
parce que je te l'ai déjà dit, moi j'avais
peur de toi avant
parce que tu disais des
ben pas des vachetés, mais tu disais
des affaires vraiment éveillées, pis moi j'avais peur de toi
je me disais, ce gars-là mange des foies d'enfant mort
pis le soir. Mais toi, en plus des affaires vraiment élevées. J'avais peur de toi. Je me disais, ce gars-là mange des foies d'enfants morts.
Mais toi, en plus,
c'est drôle que tu avais peur de moi, vu que
tu fais de l'humour noir.
Tu as commencé
en faisant de l'humour noir.
C'est weird que tu avais peur de moi.
Tu aurais dû être semi-excité.
Tu aurais dû dire,
« Chris, c'est qui?
C'est qui cette lesbienne-là? »
« Elle me tente! »
« Ouais, ben ouais, ouais, mais non.
Je suis désolée. »
« Pas grave. »
« Là, ça a fait comme un malaise que tout le monde fait. »
« Pis j'étais comme dedans.
T'as-tu... Moi, ma blonde capote sur tes livres.
C'est vrai.
Vraiment, vraiment, vraiment.
J'écris des livres pour ados.
Pour ados.
Ma blonde, elle a 11 ans.
Fait que c'est comme fucking Target.
Non, non, mais...
Moi, pour de vrai,
c'est de même chose.
Moi, je me promène dans ma van, je rouvre la porte,
il y a une photo
de Kathleen Trudeau.
Je suis là, hé, embarque!
Non, mais ce qu'il faut dire, c'est que
il y a plein d'adultes qui l'ont vue, qui ont adoré ça.
Moi, ma blonde, elle a mon âge.
Mais, pis...
Non, mais, je sais pas pourquoi le monde
rit. Le monde, on rit
sur ma blonde et mon âge.
Mais, moi,
non, c'est ça. Moi, ma blonde, vraiment,
à triple, là...
T'en as écrit combien?
J'ai écrit... En fait, j'ai une première série.
J'ai quatre tomes. Mais ça, c'est des livres un peu plus, je vais dire, lourds.
Parce qu'il n'y a pas d'image.
Puis le personnage meurt tout le temps.
Il meurt tout le temps.
Il s'appelle Kenny.
Mais ça, c'est quatre tomes.
Après ça, j'ai commencé une autre série
pour les lecteurs moins assidus, je vais dire.
Il y a des images, il y a des mots en couleurs. Ces affaires-là, c'est pour les gens. Ça assidus, je vais dire. Il y a des images,
il y a des mots en couleurs, ces affaires-là.
Ça s'appelle un magazine.
C'est des autres écrits.
Il y a un horoscope.
J'ai fait trois horoscopes.
Il y a des conseils beauté.
Oui, oui.
Ça s'appelle moi et compagnie.
Mais tes livres, c'est tous des best-sellers?
Je vais dire oui, parce que ça look bien.
Mais pour vrai, j'ai vendu, la première année,
j'ai vendu autour de 5 000 tombes.
Puis ça, c'est très bien.
Au Québec, best-seller, c'est combien?
C'est 1 000 ou 500?
Je pense que c'est 2 500.
2 500? Je ne sais c'est 2500. 2500?
Je ne sais pas trop.
J'aime ça que tu demandes.
Comme s'il y a quelqu'un dehors de la tente.
Il y a un gars en arrière.
En avant, il dit oui.
J'ai 2500.
C'est qui qui a plus?
J'ai 3000.
Désolé, continuez.
J'ai plus de ton mœur.
Ça n'existe plus.
Il n'y en a plus,
donc achetez-les pas.
Toi, as-tu déjà pensé
sortir un livre?
Moi, j'ai une BD
qui va sortir dans un an et demi.
J'ai travaillé sur un projet
pendant à peu près 14-15 ans
sur un scénario de film
de science-fiction.
C'est-tu ton affaire avec le gars dans le sous-sol,
c'est ça?
Non, ça, c'est moi, ça.
Il est encore là, d'ailleurs.
Mais non, c'est une BD que j'ai écrite
pendant 14 ans, puis là, ça va sortir
sous forme de trois...
Elle doit être longue, Nasty.
Ça a pris 14 ans à écrire.
C'est 9400...
C'est long.
Elle le sait.
Mais c'est long.
Ça n'a pas de bon sens.
Au bout de 14 ans,
je l'ai présenté à Brian Perreault,
celui qui a écrit Amos d'Aragon.
Et il va éditer 3 BD.
Mal.
C'est bien.
Je suis content.
C'est quoi le nom? Merci. C'est quoi le nom? Hein? C'est bien. Je suis content. Nice. Hé! C'est quoi?
C'est quoi le nom?
Merci.
C'est quoi le nom?
Hein?
C'est quoi le nom de la BD?
Ça s'appelle SideFX.
Ok.
En fait, c'est un récit de science-fiction.
Ok.
Mais tu écris beaucoup, toi.
Oui.
Voilà.
C'est dit.
Voilà.
Comme beaucoup, là.
Ouf!
C'est beaucoup, ça. C'est quoi la question?
Mais je ne sais pas si j'ai le droit de le dire, mais tu as travaillé sur un film?
Ah oui, oui. Bien oui, mais je travaille sur plusieurs trucs. Mais ça, c'était pour être un film.
OK.
Mais c'est en le présentant qu'on fait… On ne peut pas vraiment en faire un film, bien pas ici.
On ne peut pas en faire un livre non plus. L'ADN d'un scénario ne peut pas vraiment en faire un film, bien, poésie, on ne peut pas en faire un livre non plus. L'ADN
d'un scénario ne peut pas
nécessairement devenir un livre, comme un film
ne peut pas devenir
un livre. Alors,
on va t'éditer sous
trois tomes différents, parce que l'histoire
est sur 200 pages, mais c'est du scénario.
Donc, en fait, livre, je ne sais pas
combien ça donnerait,
mais ça prendrait au moins trois livres pour expliquer toute l'histoire.
C'est ce qu'on appelle en anglais un graphic novel.
Un round of patch, you wrote it.
Non, mais...
Quoi? Mon anglais n'est pas bon, c'est ça?
Non, mais tu sais, parce qu'en t'entendant en français BD,
tu t'attends à genre soit un Archie ou un Spider-Man, le 14 pages, mais là...
Honnêtement, là, je lis tellement peu de BD que je ne pourrais pas le comparer à quelque chose.
OK.
Si je connaissais ça un peu...
Parce que moi, j'ai déjà fait une BD il y a longtemps, mais c'était vraiment de la merde.
Que tu avais écrit ou que tu avais joué dedans?
Qui avait été édité, oui, chez Dargo en France.
OK.
Et j'étais dedans.
J'étais comme le personnage
principal, puis c'est moi qui avais écrit la BD.
C'était vraiment mauvais.
C'était un mauvais.
Ils n'ont pas réimprimé un autre
batch. En fait, ils ont dit,
on a tout vendu.
Ça, c'est plate un peu,
mais je me rattrape avec ça.
Je pense que j'étais plus
doué à écrire des histoires que plus
à faire juste des jokes sur BD.
Ben, tu sais, moi,
depuis le temps que je te connais,
t'es un gars qui a tellement
de bonnes idées, mais qu'on t'a
connu, tu sais, le Québec t'a connu,
pis la planète t'a connu,
comme un gars du monde physique, mais
on réalise pas à quel point
t'écris bien, tu sais. Toutes les affaires que...
Moi, je trouve que tu écris vraiment bien.
Bien, tu es bien gentil.
Ce n'est même pas sorti encore.
Non, mais...
Parce que tous tes numéros
étaient...
Tu sais, l'humour à base, c'est l'écriture.
Oui.
Même l'humour visuel, c'est l'écriture.
Mais oui, mais surtout, quasiment Même l'humour visuel, c'est l'écriture. Mais quasiment surtout
l'humour visuel, parce que
il faut...
Tu as tellement d'affaires à penser.
Il n'y a pas d'autre façon
d'expliquer. Tu peux le dire
de même. Si tu l'écris,
il faut que tu l'expliques.
C'est quelque chose
qui s'écrit mal, mais quand tu as la personne devant toi et que tu l'expliques. Alors, c'est quelque chose qui s'écrit mal, mais que
quand un coup, tu as la personne devant toi, puis tu l'expliques
comme il faut, ben quoi que,
j'avais un gérant à l'époque tellement imbécile,
j'y ai expliqué mon numéro du
batteur, il n'a jamais rien compris.
Tu sais, un chevreuil devant un char.
Ok.
Il a fait, ok, c'est correct, tu sais,
il ne comprend rien, puis il n'a pas trouvé ça drôle.
Mais quand je l'ai fait, OK, c'est correct. Il ne comprend rien et il n'a pas trouvé ça drôle. Mais quand je l'ai fait live,
que pas le monde comprenait,
ça a fait le tour du monde.
Ça dépend aussi
de qui tu as devant toi.
Toi aussi, tu écris bien quand même.
J'en regarde tes numéros, tes gags,
c'est super bien tourné, c'est super bien écrit.
Aimerais-tu ça, écrire quelque chose?
Un livre, un film?
Pas des livres,
pas des films. Moi, j'ai vraiment découvert, avec le temps,
je suis un gars de stand-up. Moi, j'aime ça.
Moi, l'année passée, j'ai fait 400
shows. J'aime ça,
mettons, des soirs, comme la semaine passée,
il y avait deux des soirs, j'ai fait
trois shows. Moi, c'est ça que j'aime
faire. J'aime ça monter sur scène.
J'aime pas faire des vrais shows. Moi, j'aime ça
faire des dix minutes dans une petite
soirée.
Si j'avais une blonde
riche qui
me suivrait partout,
je serais comme, je vais aller faire trois minutes là,
je vais aller faire cinq minutes là.
Malheureusement, il faut que...
Malheureusement, elle est pauvre.
Elle me suit nulle part.
Fait que là, je suis obligé de faire des vrais shows.
Toi, ton show...
Dernière fois que j'avais parlé,
t'avais le show,
puis ça a sorti pas mal des médias, ton show
avec Anthony Cavanaugh, pour la télé.
Qu'est-ce qui arrive avec ça?
J'ai-tu le droit d'en parler, Sylvain?
Il est où? Il est pas là. Je vais en parler. C'est-ce qui arrive avec ça? J'ai-tu le droit d'en parler, Sylvain? Il est où? Il n'est pas là.
C'est mon gérant.
Il a décédé.
Sylvain qui est ton gérant,
ton chum,
ton producteur,
le gars qui me fait chier des fois.
Non, mais...
Ça doit être weird quand tu te pongues
avec ton chum que tu travailles avec
c'est weird
tu le suces-tu mal
il fait ça
j'essayerais pas de le vendre
en Suisse
les dents vont sortir
non mais c'est weird
quand
check moi bien, esquiver la question
je je veux juste voir s'il y a des graphines quand... Check-moi bien, esquivez la question.
Je veux juste voir s'il y a des graffings à la graine.
Excuse-moi, tabarnak,
mais je suis le seul qui a bu, Carlis.
Hé, les deux fêtés ont disparu.
Hé, ils sont partis.
Ils sont partis.
Ils ont choisi quelqu'un d' partis. Ils sont partis, ils sont partis.
Ils ont choisi quelqu'un d'autre.
C'est plus leur fête.
C'est weird, c'est ça que je voulais dire par le gars qui me fait chier des fois,
c'est parce que c'est weird de travailler avec ton chum,
parce que des fois, on ne s'entend pas professionnellement comme n'importe qui.
Tu t'entends-tu toujours avec ton gérant?
Avec, qu'est-ce qui est weird?
Moi, mon gérant, ça fait tellement longtemps qu'on est ensemble,
on est devenu comme une personne.
Puis vraiment, des fois, comme aujourd'hui,
il a fallu qu'on se calme les deux parce que, mettons,
on va arriver à quelque part, on va faire,
c'est quoi cette petite bouteille-là?
Un qui dit ça, l'autre qui fait,
« Chris, ça n'a pas de sens. » « Non, t'as pas l'air que ça n'a pas de sens. »
« Chris, on devrait dire à lui. »
Puis là, on se pompe.
Puis là, un moment donné,
il y en a un des deux qui fait
« Hé, t'as pas... »
« OK, il faut... »
« Chris, faut arrêter. »
Fait qu'on est devenus...
Moi, je pense...
Moi, je pense, Michel,
je l'ai juste imaginé.
Je pense pas qu'il existe pour de vrai.
C'est juste le moins quand tu as...
Ah, il est là.
Il est là,
mais il a même pas répondu.
Le barduch! Non, mon chat! C'est juste le moins quand tu as ça. Ah, il est là. Il est là et il n'a même pas répondu. Le barbu?
Non, mon chum.
Ça se peut pas, le barbu, là.
En tout cas, mais tout ça pour dire que True Love, ça avance, on est en développement.
Puis on espère que ça sera en ondes bientôt.
C'est muet?
C'est non-verbal.
Non-verbal.
C'est quoi la différence entre non-verbal et muet?
C'est parce que nous...
C'est la même affaire.
Mais ça, c'est-tu comme les hosties de crédit d'impôt
de « c'est un show de variété,
c'est pas un talk show ».
C'est un peu
la même affaire que pour quelqu'un.
Quelqu'un qui est non-verbal va faire des sons,
va faire « eeeh », mais quelqu'un qui est muetverbal va faire des sons. Tu sais, il va faire... Mais
quelqu'un qui est muet va rien faire. Il va pas
faire de son. C'est la même chose, tu sais.
Non-verbal, c'est qu'on a des...
Yes! Oh!
Tu sais, on va entendre des onomatopées.
Ou des mots qui sont...
Du gremolo. Du comment? Du gremolo.
Du gremolo. C'est comme parler, mais sans rien dire.
Chris! Pourquoi?
Pourquoi je ne le prends pas lui?
Michel serait, Chris,
mille fois meilleur qu'Anthony.
Non, mais... Mais toi, dans le fond,
qu'est-ce que tu faisais? C'était du non-verbal?
Oui.
Souvent, tu sais?
Oui, oui. En fait, je donnais l'impression que je parlais.
Mais je ne parlais pas du tout.
Si je faisais un personnage italien, plutôt que juste agir, j'aurais juste l'accent italien.
Je ne dis rien, mais on semble comprendre quelque chose.
Il y a-tu des Italiens dans la salle?
Oui, il y avait une affaire.
Je me rappelle la première fois que j'avais vu
Michel live, c'était...
Réagir au ralenti.
Les reviers sont plus là.
Il est aussi chaud.
Il est assis dans les marches, puis il va tomber.
Il vient jouer au ronzoé, lui.
Oui, c'est Jason qui vient de...
Jason, viens t'asseoir.
Non, mais ça sent bien. Il travaille là-dessus.
Non, mais moi, Chris, ça fait depuis 92, je suis chaud.
Tu t'en vas, tu t'en vas!
Excuse-moi, je suis...
Reste, on va changer.
Oui.
Je peux changer, tu sais.
Mais moi,
je me rappelle
une des dernières,
une des premières fois
que j'avais vu
Michel sur scène,
je t'avais souvent vu
faire des trucs
à télé
puis c'était
tout le temps
non-verbal.
Je t'avais vu
dans un gala
que t'animais
puis tu sais,
les galas,
mettons,
quelqu'un fait
20 minutes,
ils vont chopper ça.
Toi, en plus, tu étais le genre de gars
que tu étais capable de faire une demi-heure.
Je me rappelle, j'étais en coulisses
et je le regardais faire.
Tu avais fait comme une demi-heure
et c'était drôle.
Ça n'avait pas de crise à l'heure.
Il y avait des bouts que tu parlais,
d'autres bouts que tu ne parlais pas
et ça marchait au bout.
Je ne comprenais pas ou j'ai
jamais compris. Pourquoi on t'a
jamais vu le côté stand-up
de Michel Courtamache?
Ben, c'est pas ce que les gens
peut-être voulaient, mais cette fois-là,
cette demeure-là que tu parles,
c'est que c'est moi qui animais le gala.
J'avais beaucoup d'invités
français sur le show.
Fait que ça fallait que ce soit drôle un peu.
Fait que ça fallait que tu m'aimes.
Et là, il n'y en a pas un, Carlis,
qui avait adapté son matériel pour le Québec.
Ils ont tous fait comme,
« Je vais vous, je suis connu,
elle va t'aider, elle va ramener,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va t'aider,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle va aller,
elle va aller, elle a une, elle devait faire huit minutes. Au bout de trois minutes, elle a fait,
putain, horreur, elle est partie.
Là, j'avais une salle de gens frustrés dans la salle.
Ça n'avait pas de bon sens.
Et ça m'a tellement mis en tabarnak
que ça m'a, là, je suis devenu déchaîné.
Et là, j'ai fait, OK, là, il faut que ça arrive.
Il faut que ça arrive dans la salle.
Ça, c'est mon gala.
Je ne veux pas qu'on se fasse chier.
Il faut que le monde s'arrive.
Je suis parti sur une chire.
C'était un gag après l'autre, un gag après l'autre.
J'étais désespéré aussi en même temps.
Au moins, au bout d'une demi-heure,
la salle a levé.
Il est arrivé en français.
Ça devait être weird, par exemple,
de le faire.
Ok, j'ai zé, j'ai zé.
C'est beau, c'est beau. J'ai zé, j'ai zé. Ok. C'est beau, c'est beau.
J'ai zé.
Ah, tabarnak.
Ouais.
C'est...
Oh, hey, le gâteau,
il est prêt.
Ah, tu viens
d'éternuer dedans.
Ok.
Hey, check la tarte.
Hey, je suis pas.
Non, on est ça.
Ok.
C'était pour ça,
cette fois-là.
Puis, c'était-tu
toute l'impro
ou c'était des affaires
que t'avais écrites?
Ben, moitié-moitié, là.
Il y avait des bouts
de stand-up
que je savais
qu'ils passeraient pas à la télé,
mais que je savais qu'ils étaient bons pour la salle.
Puis le reste, j'ai improvisé,
juste parce que, à un moment donné,
il fallait que je pense à quoi de nouveau.
Mais juste pour...
Moi, j'improvisais beaucoup dans mes shows,
parce que, comme toi,
tu faisais comme six shows par semaine.
Oui, oui.
C'était l'enfer, là,
j'en faisais un nastie des shows.
Fait qu'il y a des fois où je me disais,
mais je suis bien tanné de faire ce number-là. OK, j'arrête le number en plein milieu, j'en faisais en estie des shows. Il y a des fois où je me disais, je suis étonné de faire ce number-là.
OK, j'arrête le number en plein milieu,
j'improvise. Je prenais quelqu'un dans la salle,
son nom, ce qu'il a envie,
sa famille, tout ça.
Je faisais 15 minutes avec ça.
Mais c'était juste pour moi quasiment.
Moi, ça me...
Parce que tu n'as pas l'impression de créer
quand tu fais trois ans en ligne avec le même show.
C'est toujours la même assise d même assistante qui s'est faite.
Bon, y'a plus rien de drôle pour toi.
Mais au bout de 500 shows, t'es tanné.
Surtout que toi, t'avais ta carrière en France,
t'avais ta carrière en Allemagne,
t'avais...
Belgique, Suisse, l'Asie aussi.
L'Asie, c'est juste par la télé.
Je devais aller faire un show
que je n'ai jamais été.
En fait, j'ai arrêté
parce que je suis en train de faire un show
en Allemagne de deux heures à la télévision.
C'est un spécial pour Noël.
À la fin du show,
il y a un producteur qui est venu nous voir
et il m'a dit que je le veux quatre mois
à Berlin.
Gros show, patati patata.
C'est bien payant.
Excuse, mettons, côté argent comparé à la France ou le Québec, l'Allemagne,
c'est-tu plus payant, moins payant ou c'est comparable?
Bien, c'est sûr que l'Allemagne était le pays le plus fort monétairement parlant.
OK.
Puis, tu avais les Anglais aussi, avec le pound.
Mais je pense qu'on n'était même pas à l'euro dans ce temps-là.
Puis même la France, je veux dire, il me payait encore en franc.
Mais les plus payants, c'était Angleterre et Allemagne.
OK.
C'est quoi que tu voulais demander?
Mais non, mais c'est parce que, toi, l'improvisation,
c'est-tu quelque chose, c'est-tu comme une seconde nature?
Parce que moi, j'haïs ça, j'ai de la misère avec ça.
Je me dis, c'est-tu quelque chose qui se travaille?
C'est-tu quelque chose qui peut s'acquérir?
Oui, tu peux faire des ateliers, tu peux faire un raccord d'affaires.
C'est comme l'humour visuel.
Ça demande un certain travail, il y a des techniques.
Mais moi, ça a toujours été nature naturel l'improvisation
j'ai commencé par ça parce que
ce qui est pas bon c'est que ça crée
une paresse intellectuelle
ce qui fait que plus t'improvises, moins t'as le goût d'écrire
alors tu fais beaucoup confiance
à ce que tu fais mais
tu dis j'ai être drôle sur le coup
fait que pourquoi travailler
mon numéro avant
la façon dont je travaillais,
c'est que je prenais un personnage, un sujet,
un début, une fin,
puis toutes les
embûches que j'ai à traverser
pour arriver à ce but-là.
Mes feuilles, ça ressemblait à
« tel affaire arrive, tel affaire arrive, ça, ça arrive, ça, ça arrive, ça arrive. »
Je les mettais en ordre de plus drôle
ou plus méchant, whatever.
Et là, moi, c'était pas vraiment une bonne idée,
mais je travaillais sur scène directement avec le public dans la salle.
Ça fait que, à ma première à Paris,
j'ai cassé quatre numéros le même soir.
Mais c'était vraiment kamikaze.
Vraiment, vraiment kamikaze.
Il y a un numéro qui n'avait pas marché du tout,
qui s'appelait le Samouraï.
Ça peut être drôle, le Samouraï.
Et c'est le seul numéro qui n'avait pas marché ce soir.
Ça, je me rappelle de ce numéro-là.
Ça marchait, mais moi, je dois avoir vu la version 9,
la version 704.
Je te dirais que la...
En fait, la version France
était meilleure que la version québécoise.
La version chienne.
En fait, ce qui est bien bizarre,
et ça c'est un détail, nous on nous fait toujours rire,
ce ne sont pas les histoires, ce ne sont pas les mouvements,
ce n'est pas rien qu'il faut changer quand on change de pays.
C'est tous les sons.
Un téléphone ne sonnera pas de la même façon à Montréal,
en France, qu'en Allemagne, qu'en Italie.
Fait que là, je suis où?
C'est quoi, mettons,
un téléphone au Québec?
C'est plus les ambulances qui m'ont marqué.
Oui, c'est ça.
Déjà, une ambulance à Montréal, c'est tough en tavernant.
Mais en France... Il n'y a comme pas d'urgence.
Il y a toujours
le système Doppler. Tout le monde connaît ça.
Puis en Allemagne, c'était un autre son.
Aux États-Unis, c'était pas pareil.
En Allemagne, c'est quoi?
Je m'en rappelle plus, moi.
Faut-tu te rappeler quand j'étais drogué?
C'était peut-être juste
que t'étais bêché et t'étais comme
« C'est pas pareil! »
C'est pas le même son!
Tu pointais l'ambulance et t'étais comme
« Ça sonne pas pareil comme ça à Montréal! » Puis le gars dis! L'ambulance! Tu pointais l'ambulance et t'étais comme, tu sonnes pas pareil
comme ça à Montréal, pis le gars disait
« Je suis un taxi! »
Ah!
Voilà!
Il a-tu rappé, hein?
C'est vrai qu'ils sonnent pas pareil. En France,
on dirait qu'ils sont pas pressés d'aller te sauver.
Tu sais, nous autres, c'est comme
la police, pis là nous autres, c'est comme... La police,
là-bas, c'est...
Moi, c'est vrai, c'est très relax.
C'est comme...
C'est évaluant.
On va arrêter, prendre un petit café.
C'est ça.
Tabarnak!
Il est en feu!
Jason est en feu!
Cheers!
Alright! Il est en feu. Jason est en feu. Cheers. All right.
Ils sont plus là.
C'est pas juste moi.
Tu veux-tu un autre bouteille d'eau?
Il y a une bouteille d'eau ici.
Oui.
Je me rappelle des couleurs et des formes.
OK.
Mais pas du goût.
Non.
C'est fini!
C'est fini.
Merci, bonsoir.
C'est fini, merci.
Bon.
C'est le premier cas...
Non, j'allais faire un gag de « On vient d'être cancellé ».
Après ça, peut-être.
La première émission web cancellée.
Mais ça se fait-tu, se faire canceller
une émission sur le web?
Juste si tu meurs.
Pour de vrai, si je meurs,
ça serait pathétique
qu'il y ait une face.
On a l'équipement,
on va continuer d'inviter du monde.
Ils parleront entre eux.
Il va y avoir deux.
Des fois, plus ça va aller, plus on va le tasser.
Il va juste avoir un mannequin de toi.
Mais le stand-up,
parce que c'est ça,
vu que tu as arrêté avant
que le stand-up
arrive vraiment au Québec.
Ça te fait
chier des fois quand
tu te dis, j'aurais dû continuer
ou toi, tu es heureux
d'avoir arrêté.
Mais j'en ai toujours fait.
J'en ai toujours, toujours fait.
Dans chaque spectacle, j'en faisais.
Dans le deuxième show, ça représentait
peut-être, sur deux heures et demie, ça représentait une heure de stand-up. Alors, j'en faisais. Dans le deuxième show, ça représentait peut-être, sur deux
heures et demie, ça représentait une heure de stand-up. Alors, j'en faisais beaucoup.
C'était plus une illusion pour les autres. Les gens, ils faisaient de l'humour visuel,
ils faisaient des grimaces, puis ils dataient de dans le sol. Mais j'en faisais beaucoup.
J'improvisais beaucoup.
Mettons que tes shows, c'as écrit Combien t'as improvisé
Ben je te dis
Ça dépend
Tu me pognes au début
Avec
Ah c'était réservé
Mais il est parti
Ah menstruel
Ok bye
On s'en va tous
Alors
Ben ça dépend
Je pouvais partir
Il y a quelqu'un qui travaillait avec moi au début
De ma carrière
Qui pouvait m'écrire peut-être 5-6 jokes
Pis moi je m'arrangeais le soir même
Pour tout ajouter
La fioriture autour.
Avec 15 minutes, je peux faire une heure.
OK.
C'est fort ça.
Il y a quelque chose aussi que tu as fait, qu'on a parlé tantôt,
puis que moi, je veux que les gens sachent ça parce que c'est magique.
Tu as aussi fait des annonces de saucissons.
Oui.
Oui, tu étais porte-parole.
J'étais même porte-parole de saucisson.
En France.
Attends, attends, attends.
Comment ça s'appelait?
Attends, attends.
J'y pense, là.
Ça s'appelait...
C'était les...
Le bâton berger.
Le bâton berger.
Les saucissons, le bâton berger.
Voyons l'hostie.
Mais tu sais, tout le monde rime...
Le premier avec votre job, c'est...
Tout le monde rime, mais ça devait être tellement payant.
C'était épouvantable.
Il y a tellement d'argent en Europe.
Ça n'a aucun ciboire de sens.
Tu pourrais m'acheter et me vendre, là.
Moi, j'ai juste peur.
Mais ça, tu fais ça avec un Parisien.
Tu l'achètes au prix qui vaut,
puis tu le revends au prix qui pense qu'il vaut.
Là, tu fais de l'argent d'abord.
Mais oui, c'était effectivement très, très pay tu fais de l'argent d'abord. Mais oui,
c'était effectivement très, très payant.
C'est un peu bizarre parce que c'est comme si
un Français venait ici au Québec et qu'il se mettait
à faire de la pub pour du sirop d'érable.
Le souci, ça, en France, c'est extrêmement important.
Mais là, il visait les jeunes.
OK.
Pour ceux qui m'ont...
T'as été porte-parole
combien de temps?
Si je me rappelle bien,
je dirais deux ans.
Puis au Québec, t'étais porte-parole
Coke Diet.
Je l'ai fait pour Shell,
je l'ai fait pour Coke Diet,
je l'ai fait pour Danone,
je l'ai fait pour Bell Canada,
j'en ai fait pour...
si j'en oublie là.
Quand tu faisais Danone, t'étais-tu obligé de manger une cuillerée
les yeux fermés? Oui, même celui
qui était au cocombe.
Il y avait-tu un Danone
au cocombe? Non.
Qu'est-ce que c'est que ça?
Les deux filles encore?
Cocombe?
Fait que...
Non, c'était aux chevilles,
tout ça, mais
étrangement, c'était le patron
qui voulait m'avoir comme
porte-parole, mais ceux qui avaient
le dossier, la compagnie de pub
qui avait le dossier, ne pouvaient pas
me sentir. J'étais tellement
imposé que ça
a été chier, solide,
tous les tournages que j'ai faits
pour Danone, ça a été un enfer.
Ils voulaient me rendre
la vie difficile.
Ils ont réussi parce qu'à la fin, je les écoute,
c'est fini. Moi, je travaille plus avec ces gens-là.
À un moment donné, t'as le droit aussi.
C'est ça.
Ah!
C'est ça.
Ah, ils se sont changés.
J'aime ça, mais j'adore votre confiance.
J'adore la confiance de venir en avant.
Ouais, mais là, la fille, elle a une moustache.
La confiance de la moustache.
C'est magique.
Ça, c'est de la confiance en essai.
Ah, maintenant, ils sont habillés.
Puis, par solidarité pour toi, ils sont habillés dans tes couleurs.
On dirait que vous pourriez être
un couple weird,
un threesome.
Sérieux, les deux autres sont rendus où?
OK!
Comme ça.
Pour peu près, c'est juste lui qui s'en colle.
Tout le monde,
tous les autres ont peur.
Il est bien agressif
le plus
avec le moustache
je pensais que t'allais dire
par solidarité
pourquoi ils te sont laissés
pousser la moustache
non non non
asti
que j'aurais dû
t'as pas de moustache
je te le dis à vous moustache
non non
mais j'arrase
c'est pour ça
ah
tu te
non
je suis chanceuse
pour vrai parce que ça là? Je suis chanceuse pour vrai
parce que je ne suis pas...
Tu tires-tu
parce que tu es fuck-out?
Je n'en ai pas.
Je n'en ai pas.
Je suis vraiment chanceuse
à ce niveau-là.
Par exemple,
en dessous des bras,
c'est fourmi.
Moi, j'ai...
Moi, j'ai...
Ben là!
Il y a une affaire
que j'ai remarquée.
Tu as-tu des frères, des soeurs?
Oui.
Ils sont poilus.
Oui, c'est ça.
Trois frères, une soeur.
Ceux ne sont pas bien poilus, juste par tes sourcils.
Moi, j'ai remarqué, tu sais, Marie-Pier Morin,
elle a des sourcils qui commencent
et arrêtent à Boucherville.
En fait, elle a un front.
Puis, un moment donné, j'ai rencontré son frère sourcils qui commencent, citent, puis arrêtent à Bouchagville. C'est leur front.
Puis, un moment donné, j'ai rencontré son frère, puis sa
barbe a fini là.
Fait que là,
mais j'ai remarqué, la fille...
Son fil, ça, c'est les poils du cul.
Mais le sourcil de la fille
égale la face
de tous ses frères. Ah oui?
Fait que sont comment mes sourcils? Tes sourcil de la fille égale la face de toutes ses frères. Ah oui? Fait que sont comment mes sourcils?
Tes sourcils sont...
T'as des beaux sourcils.
OK.
Mes frères sont beaux.
Moi, je trouve qu'ils sont en bonne place.
T'as des beaux sourcils en bonne place.
Pas poilus, mais pas...
Tu sais, comme moi, j'ai des astuces de sourcils pathétiques.
Oui, ils sont un peu diffus dans les coins.
Moi, il faudrait que je fasse comme un René Lévesque avec mes sourcils.
Moi, pour de vrai, j'ai fait ça un moment donné.
Vu que là, mes sourcils poussent, puis j'écoupe.
Mais un moment donné, j'ai fait, crèche, j'écouperai pas.
Je vais peigner les sourcils.
Puis j'avais des astides beaux sourcils.
Mais c'est vraiment drôle quand tu peignes pas tes sourcils,
à quel point on est laid avec les sourcils mélangés.
Check bien ça.
Moi, j'ai quasiment un rigolo.
C'est laid.
C'est laid.
Non?
Peut-être pas.
Je ne sais pas.
Mais c'est weird.
C'est juste weird.
On dirait qu'on fait...
Pourquoi elle a dormi dans la forêt?
La madame, ça fait très... Elle a été dormait dans la forêt, la madame?
Ça fait très...
T'as été élevé par des ratons laveurs.
C'est lui, ouais, c'est ça.
Moi, j'ai presque un grégoire.
Un grégoire? Ah ouais?
Tu t'épules-tu les sourcils?
Ben, quand je pense...
Quand je me regarde, je suis comme...
Mais tu rases-tu dans le milieu?
Ouais, ça, j'ai comme une laine au nid. la pomme mais tu rases-tu dans le milieu ouais et ça j'ai comme
la noni
pis là
mais tu l'as rasé
dernièrement
par sa paresse
pas quand même
tu l'as-tu déjà fait
genre trop
pis un moment donné
t'avais genre
deux petits Hitler
deux Hitler
t'es très mort t'as la face très mort non mais Un moment donné, tu avais genre deux petits Hitler. Deux Hitler!
Tu es très mort.
Tu as la face très mort.
Non, mais... Tu m'as fait penser à quelque chose.
J'ai oublié.
Non, j'essaie de regarder, mais parce que tes sourcils
n'ont pas de l'air.
Tu n'as pas beaucoup de sourcils.
Tu es un peu comme moi. Tu n'as zéro sourcil.
Mais si tu en as dans le milieu...
Excuse-moi.
On a vécu qu'on se joue.
Ça serait drôle que tu recommences à boire.
Qu'est-ce qu'il y a, Michel?
Un sourcil!
On te trouve dans la rue,
en train de prendre de l'héroïne.
Mike Warren!
J'ai fini j'ai fini d'improviser là
toi tu t'écoutes tes sourcils aux ciseaux
c'est ça que je comprends
t'es comme le père fourreux des sourcils
moi qu'est-ce qui est absurde là
moi j'ai zéro barbe
moi j'ai une mini moustache et du poil de cou,
mais ça pousse
vite. Moi, là,
je serais, techniquement, mon poil
pousse plus vite que Laurent Paquin.
Tu sais, Laurent qui est poilu, poilu...
Laurent Paquin, il pousse pas bien, bien.
Non, mais Laurent, tu sais, c'est un gars
qui a une barbe solide.
Il a une barbe d'homme, là. Laurent, c'est...
Tandis que moi, je suis comme
M. Miyagi.
Même M. Madame Miyagi.
Plus, tu sais.
Mais moi, qu'est-ce qui est weird...
C'est comme un skinhead de barbe.
Mais ça pousse vite. Fait que le monde,
tout le temps, des fois,
j'arrive dans un tournage, puis là, ils me maquillent,
puis ils sont comme, « Tu veux-tu qu'on maquille ta...
Tu veux-tu qu'on mette ta moustache brune? »
Puis tu es comme, « Cré, j'ai pas de moustache,
tabarnak, mais c'est juste, vu que
c'est le seul poil que j'ai dans la face,
eux autres font, « Ah, il doit être répé,
ça doit être un look. »
Mais c'est vrai que t'es pas très...
Tu sais, t'as comme la peau...
Sur les côtés, t'es absolument fuck-up.
Mon père, qui a 86 ans,
vient de commencer
d'avoir du poil ici.
À 86.
OK.
Moi, dans la mode hipster
dans 40 ans,
je vais être le hipster le plus hot
du Québec.
Moi aussi, j'aurais un peu comme toi,
mais je pense que c'est à force de me raser.
On parle-tu vraiment de ça?
On est-tu aux échanges?
Parce qu'on est partis les deux.
À force de raser,
ça a poussé.
Mais là, ce qui est noir et gris ici,
en ce moment,
vous pouvez voir la maison.
Où est-ce que tu vois?
Ah oui, moi aussi, j'ai vu. C'est vrai, ça paraît dans ta base.
Ridicule.
Ton pubis, c'ai ça. J'ai un là. Ridicule. Ton pubis,
il est quand même...
Ça pose quoi?
J'ai mal compris.
Moi, je me rase
au complet.
Moi, je suis une forêt
dynamité.
Même le chest et tout?
J'en ai pas sur le chest. J'en ai sur le chest, mais j'est une forêt dynamité. Ah, même le chest et tout? Ah, j'en ai pas sur le chest.
En fait, c'est pas vrai. J'en ai sur le chest,
mais moi j'ai une tâche de naissance
très difficile à voir de l'espace,
mais quand même ici.
C'est vrai.
Super Paul, Super Paul, Super Paul.
Une tâche de naissance grosse de même.
Ouais, grosse de même.
C'est peut-être une sumère.
Grosse de même.
Mais pas de vrai, tu penses pas ça. C'est peut-être une sumère. Je vais te chercher un fond de grosse de même. La galère, va!
Mais pas de vrai, tu penses pas ça.
Il y a juste là qu'il pousse du poil.
Un poil de temps à autre.
Hé! Un Mexicain.
Wow!
Arrira!
Fait que là, puis, puis, puis.
Puis là, un peu des yeux, c'est réglé.
Mais c'est pas le cancer de la peau, ça.
Oui, c'est ça. Ah, maudit.
De la frette.
T'étais pas docteur dans une autre vie?
Ouais, non, c'est ça.
Est-ce que c'est généralisé, toi, ton inverbité?
Moi, je suis...
Ça serait malade que j'ai zéro barbe.
Mais que t'aies le dos poilu.
Le dos, juste...
Au début, c'est juste du poil.
Après, des boutons. T'as la coupe longuère jusqu'à la bouche à l'arrivée. Mais non, j'est juste du poil. Après, des boutons.
Mais non, j'ai zéro poil nulle part.
J'ai zéro poil nulle part.
C'est quoi la quantité de femmes ici qui aiment les poils?
Y'a-tu une femme ici?
T'aimes les poils?
Toi, t'aimes les poils?
Moi, là.
Mettons, Sylvain, que t'es comme... Bien, viens-t'en, Sylvain. Bien, viens-t'en, Sylvain est comme...
Viens-t'en, Sylvain.
On va faire une démonstration.
Le barbu, là!
On vient-tu avec le barbu, là?
C'est pas sa barbe, c'est son pubis qui est dépassé.
C'est ça.
Non, mais moi, je comprends pas
les gars qui se rasent le chest.
Je suis pas d'accord avec ça, les gars.
On s'en calisse?
Non, mais... Ben non.
On s'en calisse que je sois pas d'accord avec ça, les gars. On s'en calisse? Non, mais... Ben non. On s'en calisse que ce soit pas d'accord?
Ben non.
On va le faire pareil, mon gars.
Regarde, regarde, regarde.
C'est moi qui décide.
Ah, OK.
Comme tous les autres.
Non, mais pour vrai, je suis pas d'accord avec ça.
Vu que tu veux un mâle-mâle...
Ben, je veux pouvoir m'agripper, là, s'il arrive de quoi.
Ah!
Tu me pointes-tu?
Dans le...
Non, mais mettons, on va
rentrer pis je tombe du manège, là.
Ah, tu t'agrippes après son poil. C'est ça.
Faut que tu passes le compte, le t-shirt
pis le poil. C'est ça.
Qu'est-ce qui est absurde? Tu sais, tu tombes d'un manège,
tu vas juste arracher
son poil pis sa peau,
pis là, on va le voir,
il va être très, j'ai perdu ma blonde,
pis j'arrête pas de saigner du
pardon.
C'est pas cool.
Tu vas mourir avec une partie de lui.
Ça va être extraordinaire.
Moi, j'ai une maladie
contre les poils, je peux pas supporter
les poils.
J'ai une fille ou j'ai une maladie contre les poils. Je ne peux pas supporter les poils. Chez une fille ou chez trois?
Les deux.
Je suis mardeux parce que je n'en ai pas nulle part.
Mais moi, c'est une maladie quasiment.
Tu t'es-tu déjà mis du nez
de sa poche?
Tu sais, dans le temps,
le nez... Moi, le pire,
je suis sûr...
Attends, attends, attends, Mike.
C'est-tu moi ou j'ai vraiment entendu ça
te mets-tu du nid de sa poche
faut t'attendre sur le sous
faut t'attendre après le souper
pourquoi tu m'engages pas à RDI
c'est ça que tout le monde
se demande
Mike Ward pose des vraies questions.
Des vraies questions.
Je suis... Non, même, je voudrais...
Hey, Chris.
Denis Lévesque parle à Madame
avec un chien qui s'est fait enculer.
Moi, je demande
si t'as-tu mis du nez de sa poche.
Ben, je suis obligé de te répondre non.
OK. Mais t'aurais dû, vu que t'ai oublié de te répondre non. OK.
Mais t'aurais dû, vu que t'aimes pas le poil,
ça, Chris, c'est facile.
T'es-tu fait, genre, la cire?
Je pensais que ça l'aurait calmé, moi, le nez.
Mais non, Chris, y'a rien qui me calme.
Poil, poil, nez.
Poil, poil, cire.
Poil, poil, arrêtez, arrêtez.
Il faut qu'on lisse.
Mais la cire, y'a-tu des gars qui font ça sur leur partie?
Moi, j'ai essayé ça sur ça de ma jambe.
Je pensais mourir.
Ma reine s'en approche.
Ça doit pas être agréable.
Moi, je suis sûr
que ça a un petit bout de peau
qui reste là, comme après
la cire, c'est sûr.
C'est déjà quelqu'un qui a essayé? Y'a-tu c'est une larve. C'est sûr qu'il y a un petit bout de peau qui reste là, comme après la cire. C'est sûr. C'est déjà quelqu'un qui a essayé?
Y a-tu quelqu'un qui...
Lui, il a une face de gars.
Oui, lui, c'est un moustard.
Il ressemble à M. Monopoly, en plus.
Ah oui, c'est vrai.
C'est vrai, le monoc.
Le monoc.
Lui, c'est clair qu'il connaît le professeur Plum.
Lui, là.
Il y a le colonel Moutarde qui l'attend dans le charme.
Avec un chandelier.
Avec un chandelier.
Avec un chandelier.
Je pense que c'est lui qui l'a tué.
La fascinatrice qui a...
Toi, le poil?
Moi, le poil...
Parce qu'on n'en a pas assez parlé.
Moi, c'est ça, je suis 0-0-0 pour lui.
Non, mais es-tu quelqu'un qui aime le poêle... Parce qu'on n'en a pas assez parlé. Moi, c'est ça, je suis zéro, zéro, zéro poêleux. Non, mais es-tu quelqu'un qui aime le poêle?
Non, je te donne un mode de poêle, es-tu content?
Je suis vendu comme ta maman.
Non, mais non, j'aime pas le poêle, non.
Je suis pas fan de poêle, non, je suis zéro fan de poêle.
Ta casse suce un gars, là.
Ta casse suce un gars.
Moi, j'aime ça.
Cheers!
Moi, j'ai rien à boire.
C'est drôle, là, le pire... Yann pourrait, puis Jason
pourrait prendre un extrait facile,
parce que t'as dit, quand tu suces un gars...
Ouais, t'as fait ça, même.
Moi, j'allais faire un gag,
puis j'ai fait, moi, j'aime ça.
Puis j'ai arrêté là.
Fait que ça fait, toi, quand tu suces un gars,
puis j'ai fait, moi, j'aime ça.
Puis là, ce qui est cool,
c'est que personne n'avait jamais eu l'idée.
Puis Jason vient de rentrer
sa crise de face acadienne.
Hey, Jason,
je prendrais une autre bière, moi.
Il est pas tête, tu sais.
Son pas tête. Tabarnak, c'est pas...
Il est vétant pour quelqu'un qui vient du Nouveau-Brunswick.
Mais...
C'est qu'on n'a pas le droit...
Ouais, c'est ça.
On a juste le droit de boire de la baréale.
C'est pour ça que j'ai
quelqu'un backstage.
Si vous autres, vous voulez de l'eau, il y a de l'eau aussi.
Il y a de l'eau.
Ça fait combien de temps, Yann, qu'on est là?
Un an récord.
Je me demandais de me flasher un an.
Si il y a...
Il est dans le char.
Je fais des années sans l'air d'en y être.
Si il y a des questions... Moi, j'en ai. S'il y a des questions...
Moi, j'en ai un.
Ah, mais on va commencer avec Yann.
Je ne sais pas si c'est un mythe, Michel,
mais il paraît que tu as déjà failli...
Ah, je cite.
Ah!
Je ne sais pas si c'est un mythe,
mais on m'a dit que tu avais déjà failli
être Jar Jar Bing dans Star Wars.
Non, c'est tout à fait vrai.
Pour vrai?
Oui.
Puis, ils ont basé le personnage sur toi, right?
Exactement.
Des mouvements puis la voix.
Et puis, ils m'avaient donné le rôle.
Mais oui, c'est une bonne affaire qu'ils n'ont pas faite.
Parce qu'ils m'ont donné le rôle qu'on devait aller tourner au Maroc, peut-être en Tunisie,
je suis sûr.
Et finalement, ils ne m'ont pas rappelé, ils ne m'ont pas rappelé, ils ne m'ont pas rappelé,
ils ne m'ont pas rappelé, le problème,
c'était que je n'étais pas assez grand.
C'est Yasson Lepage qui l'a fait.
Ils ont remplacé le nez par des babounes,
et c'est ça,
ça s'est passé comme ça.
Mais j'ai quand même travaillé quatre jours
avec George Lucas,
et ça, c'est une expérience inoubliable.
C'est vraiment capable.
Pour de vrai, travailler quatre jours avec George Lucas. Et ça, c'est une expérience inoubliable. C'est vraiment capable. Pour de vrai travailler quatre jours avec George Lucas,
es-tu meilleur ou aussi bon
que faire mon podcast?
Si je veux!
Si j'avais le choix, là!
Ah, il ne marche plus.
Je ne peux pas répondre à la question.
Mais c'est sûr que je viendrais faire ton podcast.
Merci!
Merci!
pour répondre à la question.
Mais c'est sûr que je viendrai faire ton podcast.
Merci. Merci.
Il est blessant.
Podcast, Will,
il y a quelque chose qui ne fait pas mon affaire.
Si tu avais été
Jar Jar Bink, tu aurais fait
des mouvements.
Tu n'arrêtes pas de poser des astides questions.
Moi, je tripe.
Tu as l'air d'un astide gars
sur un message room qui est comme
« Pour de vrai, là... »
On rit bien,
mais je veux dire...
Non, mais ça me fascine, j'ai appris ça il n'y a pas longtemps.
Surtout que Jar Jar Binks a été
voté le personnage le plus désagréable
de toute l'histoire
du cinéma. Yes!
J'ai chié!
Non, c'était pas...
Mais à la place,
je suis tombé sur le tournage.
Mais pour de vrai, quand
finalement, Jar Jar Binks
a sorti que le monde
l'hait ici, tu devais faire comme
même moi je l'ai ici.
Mais sûrement qu'il l'aurait pas haï, c'était toi qui le faisais. Aucune moi, je l'ai fait.
Sûrement qu'il ne l'aurait pas haï, c'était toi qui le faisais.
Aucune idée, c'est dur à dire.
Peut-être, mais...
Est-ce que c'est vrai que finalement, tu as doublé la princesse Léa?
Oui.
Il lui a fait la perruque.
Tu disais-tu,
tu t'es-tu mis dans la peau
du gars qui l'a fait,
parce que pour de vrai,
mettons que chaque fois
j'ai de la haine sur les réseaux sociaux,
je fais « Hé Chris,
t'es pas bien. »
Quand t'es Jar Jar Binks et que t'as tous les fans
de Star Wars qui font
« Asti, il a scrappé la série. »
Ça doit être dur.
Moi, je ne l'ai jamais vécu
parce que c'est tout de suite tombé sur un autre nom.
Moi, j'aurais aimé ça parce que tu aurais recommencé à boire.
C'est vrai que...
Non, non, je consommais dans ce temps-là.
C'est vrai? OK.
OK.
Beaucoup.
Je consommais et j'avais les cheveux
bleachés.
Ben oui, Chris, même tous les gars
avec les cheveux bleachés consomment.
Ça consomme.
Il n'y a personne
d'agent qui fait,
« Hey, brûle-moi la tête! »
Et puis, Dieu sait, n'est-ce pas, mesdames,
que ça fait mal en tabarnak. Ça fait mal en esthétique.
Surtout si tu es shampooiné la tête avant.
Tu te lèves, tu te shampooines,
« OK, j'y vais! » Puis, ils te mettent le stuff
bleu
dans les cheveux et ça chauffe.
Mon gars, là. Les gosses
vont exploser.
C'était pourvantable.
Il y a de la peste.
Ça chauffe, mais ce n'est pas bleaché.
Ah, d'accord.
Moi, j'avais, mais
je n'ai jamais les cheveux bleachés.
Dans le temps que j'avais les cheveux bleus,
il faut qu'ils te bleachent avant.
À chaque fois, pendant une demi-heure,
je me disais, pourquoi je fais ça?
Je pourrais
m'acheter du sucre.
Je pourrais
avoir une meilleure personnalité.
Une perruque.
Je ne sais pas.
Je l'ai fait.
Tu as été en plus plusieurs années
bleaché. Tu as été trois ans
bleaché.
Non, non, non.
J'ai vu des reprises.
Mais tu n'as pas été plusieurs...
Non, ça a duré un an.
Un an? OK.
C'est en même temps que Martin Petit
était bleaché? Oui.
Et son frère, Richard.
Les trois ont été bleachés. C'était sont prêts, Richard. Les trois ont été bleachés.
C'était magique de voir
toi et Martin ensemble.
Deux gars qui ont la même coupe
de cheveux.
Il y a de quoi de
vraiment drôle. Tout le monde pensait que...
Comment tu faisais ça tantôt?
Que je suis ça, Martin.
Mais c'est pas le cas. On parle encore
de poils. Non, on parle encore de poils.
Non, on parle de sucers.
Je veux pas te contredire.
On parle de sucers.
Mais il est comment le pénis Saint-Martin?
Attends, non.
C'est parce que,
c'est votre walk-out.
C'est Ronnie James Dio qui va venir.
On va y aller.
Hey, y'a-tu une autre question?
On a-tu...
Oh, yes. Jason va...
Ah non, c'est Yann qui donne
le micro.
T'es fort.
Oui, question. Dis ton nom
et d'où tu viens.
Ici, ton pubis
est bleaché.
Non.
OK, non, j'aime ça.
Je m'appelle Jean-Claude Martel, je viens de Matane.
Oh, Matane!
Ah, ça salue!
Je suis allé à Matane il y a trois jours.
Oui, c'est justement une question concernant Matane
que je vais te poser, Mike Ward.
C'est quoi ton vécu que tu as eu avec Matane?
Matane, moi, là, c'est drôle,
à chaque fois que je vais à Matane,
le monde va, « Hey, tu nous haïs, hein? »
Parce que...
Moi, j'avais fait
un gag dans mon
premier one-man show
sur Matane, que le monde sont susceptibles.
Puis,
la raison pourquoi j'avais fait
ce gag-là, il y avait des soirées d'humour
où, je pense, c'était
avant que tu commences à faire de l'humour,
c'était une place qui s'appelle
Vieux-Loup-de-Mer. As-tu fait ça,
Vieux-Loup-de-Mer? Vieux-Loup-de-Mer,
il y avait, c'était deux propriétaires,
c'était deux frères jumeaux,
mais qui s'haïssaient,
pis qu'ils
ronnaient le bar, genre à garde partagée.
Fait que si t'arrivais
la semaine que le gars
qui aimait l'humour était là,
t'étais traité comme un roi,
le show startait à bonheur,
quelqu'un parlait, le col, tu sais, dehors.
Pis la semaine d'après, si t'étais là
pendant l'autre gars,
lui, il parlait pendant le show,
il donnait, c'était deux pour un
sur la grosse bière, c'était dégueulasse.
Puis moi, je ne savais pas qu'il y en avait deux,
personne ne savait qu'il y en avait deux,
vu que c'était des jumeaux, c'est ça,
le petit côté malsain des jumeaux.
C'est comme les films des magiciens.
Son rang, les tabarnaks,
moi, je n'arrêtais pas de dire
à tous mes amis, tous mes amis faisaient
« C'est mauvais, ma tante,
c'est malade, ma tante. »
Mais à un moment donné, je suis arrivé
pendant le mauvais jumeau.
Le mauvais gars?
Le mauvais jumeau, il ressemblait à Chuck Norris, les deux gars.
Puis, il y avait
une semaine, j'arrive,
je fais « Il est où le boss? »
Il est dans le sous-sol en train de s'entraîner.
Puis là, je vais dans le sous-sol,
il est en train de puncher dans le vide.
Puis je suis comme « C'est bien agressif! » C'est-tu comparé il est en train de puncher comme dans le vide, pis je suis comme, c'est bien
agressif, c'est-tu comparé à
d'habitude,
hé tiens, voilà deux bières,
fait que là, j'y parle,
pis il est pas cool,
le show était à neuf,
il était annoncé à neuf,
finalement, j'ai joué à onze et
demi, pis c'était,
le gars, il avait mis deux pour un sur la grosse bière.
Moi, je me disais, si je suis bon pour improviser,
c'est la place de faire des jokes.
Je vais parler de boisson.
J'arrive sur scène et je me dis,
« Est-ce qu'il y a du monde sous? »
Il s'assoit, il y a Mme Asselet.
Elle fait, « Allez, boire des acides alcooliques. »
Elle me lance sa bière.
C'était comme dans les années de Roadhouse. C'était le film avec Patrick Sosier. Là, c'était comme'alcoolique, puis elle me lance sa bière. C'était comme, c'était dans les années de Roadhouse,
c'était le film avec Patrick Sosy,
puis là, c'était comme tabarnak,
puis j'ai fait de mon show,
puis il y avait, tout le monde parlait,
tout le monde me criait des affaires,
tout le monde m'incitait,
puis il y avait deux filles en avant
qui essayaient de me cruiser,
puis là, il y avait une des filles,
elle me regardait, puis elle était comme,
ma blonde est rasée du vagin,
mon ami est rasé du vagin, Je vais lui licher le vagin.
Puis là, j'étais comme, est-ce que c'est weird?
C'est ça, tu appelles ça cruiser, toi. C'est juste une crise de folle.
Non, non.
Après ça, elle a dit, je connais Michel Courtemange.
Oui, c'est ça.
Je n'aime pas le courtemange.
Oui, c'est ça.
Mais la fille n'arrêtait pas de me dire qu'elle allait manger son amie
et qu'elle était rasée du vagin.
Dans les années 90,
rasée du vagin, c'était comme...
C'était contre la loi.
C'était pendant la charte.
La charte. La charte.
Mais là, moi,
j'étais sur scène, puis
c'est là que j'ai vraiment découvert
que les deux
filles, j'y sais plus que
le reste du public, puis que j'étais comme
eux autres, ils me détestent. Vous autres,
vous maïssez. Priez, tabarnak.
C'est là que j'ai vu que...
Je suis débarqué de scène.
L'organisateur était comme,
« Excuse, j'avais fait.
Trouve la porte d'en arrière. »
Il a dit, « Il n'y a pas de porte d'en arrière. »
J'ai fait, « Tu vas fabriquer une porte d'en arrière.
Tu vas péter une fenêtre.
Je suis décaliste. »
Ils ont vraiment rouvert une fenêtre. Je suis décaliste. Puis ils ont vraiment rouvert une fenêtre, puis je suis sorti
du vieux loup de mer.
Puis j'ai... Fait que moi,
j'avais... Fait que
veux, veux pas, je trippais pas tant
que ça sur ma table. Parce que
moi, je suis quelqu'un
si un public est le fun,
j'adore la ville. Si un public est
mauvais, je les déteste. La ville, c'est de la merde.
Comme j'ai fait il y a 3-4
ans, des shows à Barcelone.
Barcelone, pour moi, c'est la ville
la plus laide au monde.
Tu sais, moi,
je faisais des jokes
sur ma table, puis le monde l'a pris
personnel, mais j'ai fait des shows la semaine passée
à ma table, puis j'ai trippé solide.
T'as poigné le bon jumeau?
Non, le mauvais jumeau est mort.
J'étais heureux.
Vive le bon jumeau!
Vive le bon jumeau!
Y'a-tu une autre question?
Oui?
Il faut...
Attends.
Fait que lui...
Hé, mais Yann, moi, je te trouve lâche
en crise que tu choisis juste
des gars assis à ta table.
Ben, à une distance, je me suis fait...
Je me suis fait placer pour venir jusqu'à Yann.
OK, parfait.
Fait que toi, comment ça te déplaçait, Yann?
Le micro est ici.
La question est pour Michel Courtemanche,
un de mes titulaires de jeunesse.
Tu m'as fait beaucoup rire.
Est-ce qu'un jour, tu crois faire
une réédition de tes vieux spectacles
du monde physique?
Que ça veut dire?
Sur vidéo?
Oui, oui.
Ou live?
Sur scène? Sur scène?
Sur scène, ouais.
Non.
Non?
Oh non, c'est bien trop essoufflant.
Toi?
Moi, j'ai arrêté
parce qu'il y a un médecin
qui m'a dit d'arrêter.
Parce que j'étais à bout.
J'avais plus de gras,
je brûlais mes muscles.
C'était l'enfer.
Quand il m'a dit d'arrêter,
en plus, j'avais trois ans
de tourner en fer.
Fait que... C'est trop essoufflant. Comme là, demain, je fais un numéro, je fais un, en plus, j'avais trois ans de tournée à faire. Fait que c'est trop essoufflant.
Comme là, demain, je fais un numéro, je fais un...
Ben là, j'en fais un, remaster d'un nouveau, d'un ancien numéro.
Le monde va capoter quand il va le voir.
Je ne sais pas.
Ils vont capoter.
Pour de vrai, là, ça va être malade.
Ça ne sera pas long, il parle.
Excuse.
OK.
Alors, demain, je fais une réédition du batteur. Ça, c'est un vieil... excuse ok alors demain ça va être bon
demain je fais une réédition
du batteur
ça c'est un
vieil
c'est au gala
ça c'est vieux
demain
au gala
de Mario Jean
non
c'est pas demain
c'est demain
c'est pas demain
je m'en vais
parce que je suis pas prêt
à essayer de le faire
j'ai dit
oui vraiment
c'est un coup de tête, c'était cet été
l'été passé, je me rappelle, il y a 15 ans
je vais pouvoir pas te le faire
j'aime qu'il te laisse pas finir
ta réponse
je sais pas
ton vieux stock est déjà sorti
il est déjà valide, peut-être
si tu veux faire une réédition de ce vieux stock
un jour, est-ce que ça va être possible en fait, l valide, peut-être si tu veux faire une réédition de ce vieux stock-là, un jour, est-ce que ça...
En fait, l'idée, ça serait
de réunir des comiques
visuels qui pourraient
faire chacun,
mettons, 8 clowns ou 9 clowns,
whatever, qui font chacun un numéro
de moi, ce que je faisais avant.
Ça, ça serait possible. Ça serait
à envisager. Mais,
de toute façon, ce qu'il y a sur Internet,
tout le monde ne me donne rien de le rééditer.
Donc, il faudrait faire quelque chose de nouveau,
mais un peu réinventé,
parce que je ne peux pas arriver, moi, demain,
avec le numéro intégral.
Parce qu'il y a des bouts que je n'aime pas pantoute.
Là, celui que j'ai refait, d'après moi, il est mieux.
En tout cas, il est mieux pour moi au niveau du cardio.
Au bout de deux minutes, je suis comme...
Là,
il est mieux pour moi en ce moment,
cette version-là.
Une affaire que je pense que serait vraiment le fun pour les fans...
As-tu le micro?
Une affaire qui serait vraiment le fun pour les fans,
ce serait un documentaire
sur ta vie.
Il y avait eu un documentaire sur...
C'est-tu Canal Vie, Canal...
Non, Canal Quechon.
Mais c'était plus sur ta maladie.
Bien, il y a déjà eu un documentaire
qui a été fait il y a longtemps.
Puis là, les deux autres documentaires,
c'était sur la maladie de polarité
et sur la consommation.
Mais ça serait le fun,
un documentaire sur Michel Courtemarche,
le Michel Courtemarche
de Seine. Vu que c'est ça que les fans
veulent voir, ils se crissent de tes problèmes
pis t'en coûter eux-mêmes.
Mais ça serait
assez court parce que ça
va de 1986 à
85. Mais t'as marqué la planète,
t'as marqué la planète.
T'es un calisse. T'as marqué la planète, t'as marqué la planète. T'es un calisse.
Calisse.
Je les ai tous abandonnés.
Je ne sais pas si vous le savez,
vos applaudissements, ça ne se rend même pas à un dixième
de dans le temps.
Ils se crissaient du monde de dans le temps.
Imagine comment ils se calisse de vous autres.
Il se calisse de toi. Il taillit.
Avec ton restit de grosse fache
chaude.
Et là, ça répond-tu à ta question?
Oui, oui.
De toute façon, il s'en fout.
Y'a-tu...
Y'a-tu... Attends, on va...
C'est ma toune. F fait qu'on va attendre.
Un autre
toune des années 80, Mike?
Oh, yes, OK.
Prochaine question. Y'a-tu une autre question?
Y'a... Y'a... Attends.
Mais c'est qui qui a le micro?
T'es-tu allé chercher... Chris, j'ai dit
va chercher le micro.
Tabarnak!
Ils sont bien lâches, les grands souillés.
C'est...
Chris!
Il est là, il attend.
OK, excuse.
Ah, t'as une belle check.
OK, vas-y.
Je t'écoute, moi, depuis que tu fais
« Michael is full of shit »,
mais j'aime beaucoup ce que tu fais.
Ben, merci, mais là, tu dois maillir un peu,
mais merci, t'es bien fait.
Ma question est pour Kathleen.
Il n'y a pas longtemps, tu as présenté un personnage,
un nouveau personnage, lorsque tu étais au
Chapiteau féminin.
Comment est-ce que tu es venue à développer ce personnage-là?
Hé, je ne m'en souviens pas.
Oh, tabarnak!
Non, mais...
Tu sais!
Mes personnages partent souvent d'une face.
Parce que mon premier, premier, premier personnage d'humour à vie
est parti de cette face-là.
Et j'ai développé là-dessus.
Tu parles des personnages avec une face?
Oui, avec une face ou avec une énergie.
Puis là, il est plus de même, je te dirais.
C'est vraiment niaiseux, ça part d'une face.
Puis j'avais le goût de faire quelque chose aussi.
J'avais déjà fait, moi, un personnage de nerd avec des lunettes épaises. « Parle comme ça! » J'avais eu bien du fun à le faire. J'avais le goût de faire une version un peu différente, mais pas trop loin de ce personnage-là.
loin de ce personnage-là.
Puis, je trouvais ça très drôle de faire un personnage
de gars pas clair qui fait des oraux
de français.
Ce qui est cool, c'est qu'il est renouvelable à l'infini.
Je fais 15 minutes, c'est one-on-ish,
mais je peux faire 15 minutes
sur n'importe quoi. Je pourrais parler de Mike.
Ça serait pas intéressant.
OK, je vais le faire.
Je suis comme stressé, j'étais mal.
J'étais comme, qui est ce style?
C'est quelque chose que je suppose.
Pour une fois, ce serait quelqu'un qui est de toi.
Puis d'un peu inverse.
Ça, c'est blessant.
Tu peux m'actionner si tu veux.
Veux-tu une autre bière?
Oui, je prendrais,
mais mon esti de barman
est assez dans la première rangée.
M. Nouveau-Brunswick?
M. Nouveau-Brunswick?
Il s'en va voler de la bière de caillou.
Je suis assez. C'est le nouveau Brunswick. Il s'en va voler de la bière de caillou.
Tu vois, par exemple,
tu travailles-tu sur un one-man show?
Je travaille sur un show.
Il est encore trop tôt pour dire on sort d'un one-man show.
Parce que là, t'avais-tu peur?
Je faisais, c'est pas moi ton pénis.
Ça serait mon genre.
Ce serait ton genre.
Non, mais j'écris un show.
J'écris quelque chose qui pourrait s'appeler un show.
Seul ou avec...
Non, tout seul.
Non, non, non, attends, j'écris avec des gens.
Mais je veux dire,
tu ne voulais pas appeler ça
comme un one-man show.
C'est-tu parce que tu écris quoi
que tu vas avoir d'autres personnages ou c'est toi tout seul?
Non, ça va être moi tout seul sur scène.
C'est juste que, tu sais, je n'ai pas de date encore précise de dire, on sort le one-man show le 12 février.
Tu sais, je n'ai pas de date, mais c'est sûr qu'un one-man show, ça me tente.
Puis, c'est sûr que je travaille dans ce but-là.
Là, j'ai une heure que je teste du matériel,
du nouveau matériel. Ça sera
éventuellement dans un show ou pas.
Hey!
Hey!
J'aime ça. J'aime ça.
Hey!
Ah!
Oh, nice. Oh, yes.
Cache les verres.
Quand j'ai vu le nombre de verres vides
que j'ai fait, ça fait deux shows
qu'on fait.
Ça me surprend vraiment.
C'est le seul à boire?
C'est à quelque part.
Mais ça répondait-tu
à ta question?
Oui.
Il est parti.
Oui.
Il est parti.
Il est parti.
Ça prendrait...
Ça fait combien de temps, Yann, qu'on est là?
Ben, trop longtemps.
Quatre jours.
Yann, je te racise, tu craches ça plus.
Ça fait...
OK.
Fait qu'on va faire une dernière question,
mais ça prend...
Toi, t'as une face de gars
qui a pas une bonne dernière question.
Ça prend...
Quelqu'un...
Asti, que...
Il faut être pertinent, toi,
avec tes call-list de jokes.
Ça va être... Moi, j'aimerais... Hé, attends, non, non,
j'aimerais que ce soit Jason
Babin qui choisisse. Je veux
que ça soit... C'est comme le mec
du loft du
podcast. Je veux
que, Jason, toi, tu vas décider
lequel de
ces petits Québécois-là
va poser une question.
Ça serait le fun.
Une question.
On va faire.
Levez la main si vous avez une question pertinente.
Pas des hosties d'affaires.
À propos de ma graine.
À propos de l'alcool.
À propos des danseuses.
Quelque chose qui a rapport avec l'humour.
OK.
Il y a lui. l'humour. OK. Fait qu'il y a lui,
il y a lui, il y a lui.
Mon sang au sac,
hein, Gun?
Mais on va prendre le gars de Nirvana.
Tu sais, je l'ai insulté,
mais il est mieux d'être bon de ta
calisse de questions.
Parce que t'as une face de ce petit gars.
OK.
Non, ma question, c'est pour Michel.
Par contre, tu parlais que tu aimais ça faire
d'impro, puis que dans tes shows, tu devais faire
de la vente. Puis je voulais savoir, selon toi,
comment ça, ça a pas marché, le show que t'as fait
d'impro à Montréal,
puis que ça a juste...
Ça, ce qui est arrivé, c'est que ça a été...
En fait, ça devait pas être un show de même.
Moi, j'avais demandé qu'on me remplisse une salle,
que je rentre sur stage, que je discute avec les gens, qu'on discute de mes shows, de mes
numbers ou ce qu'ils veulent savoir. C'était plus un Q&A, poser des questions, répondre,
et en même temps, tout le temps que je faisais le show, je montais un sketch avec le public,
je montais ça, et à la fin, complètement, je montrais un 10 minutes ou un 15 minutes
qu'on avait tous fait ensemble.
Ça a mal tourné parce que
là, mon ancien gérant, puis
la prod, eux autres, ils ont fait venir
tous les journalistes de Montréal,
ce qui n'avait aucun sens.
Tout le monde était là.
Et ça a été
un soir où je me suis dit, tiens, je pense
que je vais essayer de jouer,
mais sans prendre de calmant,
parce qu'à la fin, je prenais beaucoup de calmant
avant les spectacles, parce que
je n'arrivais plus à jouer normalement.
Une heure avant le show,
une demi-heure avant le show, cinq minutes avant le show,
j'étais là, comme ça.
Fait que là, je l'ai fait, je suis rentré sur scène,
puis en voyant
ce que les gens voulaient dans la salle,
et les critiques de ça,
qui allaient critiquer mon show qui n'avait pas à être critiqué, ça m'a mis sur le nerf au bout.
Et je me suis mis à faire des astignaiseries que je fais d'habitude.
Fait que j'étais en train de servir la même crise de soupe, puis en même temps, je me suis dit,
je pense que je t'ai curé de faire ce métier-là. Je pense que je ne suis plus capable. Je suis arrivé au bout, je n'en ai rien à foutre. On arrête tout cela. C'est fini. On va vous rembourser. Merci beaucoup. Au revoir.
show. Puis le lendemain, là, justement avec Danone, il a fallu que je fasse un autre show. J'ai fait un 50 minutes ou 60 minutes. Là, au moins, je ne me suis pas planté ce
fois-là. Mais c'était pour faire mes adieux. Mais je n'ai pas fait des adieux normaux.
Moi, je suis parti de la scène et je suis allé me cacher. Ce n'est pas comme les joueurs
de hockey que je ne joue plus. À la grosse conférence d'après, je ne joue plus, je
ne pose plus de pas. Yeah! Il s' Il s'en va, prend sa retraite.
Pour moi, ce n'était plus ça.
J'ai décidé de disparaître
parce que ce n'était plus ça pour moi,
de faire de l'humour.
Ce n'était plus ce que c'était devenu.
Ça ne te rendait plus heureux?
Non.
C'est pour ça que tu vis au Mexique à ce temps-là?
Non, en fait, c'est pas mal plus
par rapport à ma maladie mentale,
parce que je suis bipolaire,
et ce qui est très important
chez le bipolaire, c'est le sommeil,
ce que je n'avais plus avant.
Et de voir des Mexicains.
Quand tu commences à être au VQ, il est temps que tu reviennes
à Montréal.
Il y a le sommeil,
le soleil, la chaleur.
Ce sont les trois choses qui aident énormément quand tu es bipolaire.
Et depuis, ça fait quatre ans quand même que je vais là-bas.
Et depuis que je suis là-bas, ma santé, elle a explosé.
OK.
Ce qui fait que je n'ai pas pu pouvoir rester là.
Parce que moi, plus de soleil.
Tu sais, avoir des hivers à trois heures et demie, tu n'as plus de soleil.
Puis à six heures le matin, tu n'en as pas plus.
Je suis sûr ici que l'hiver, ils font comme bou de soleil. Pis à 6h le matin, t'en as pas plus. Y'en a beaucoup, je suis sûr, ici,
que l'hiver, ils font comme
BOOM! C'est saisonnier.
Alors, là, je me suis dit,
moi, je suis pas marié.
J'ai pas de blonde, j'ai pas d'enfant.
Avis aux intéressés.
Et,
j'ai un enfant de maman.
Tu veux au Mexique, t'as le pénis bronzé.
Un peu.
Ouais, mais c'est pas une grosse surface à bronzer, là.
Il paraît qu'il a déjà été rouge pendant deux ans et demi.
Moi, vu que je suis diabétique,
j'ai le soleil sur la graine depuis neuf ans.
Ça a été long comme réponse, mais c'était ça.
Je veux juste souligner le fait qu'il a vraiment posé une question pertinente.
Oui, mais vraiment, c'était le pire.
Quand tu as commencé ta question, j'ai fait...
C'était comme genre, parle-moi de ton mononcle qui t'a violé.
Mais là, c'est malade.
On devrait l'applaudir.
Et là, je vais faire
la pire erreur de ma vie.
On va demander à ton chum
avec la moustache.
As-tu une question, toi?
Ou toi? Non, non, toi.
Décide, c'est qui qui va poser
la dernière question.
Oh, lui en arrière.
Tu devrais prendre... On dirait. Cid, c'est qui qui va poser la dernière question? Ah, lui en arrière.
Tu devrais prendre lui.
Oui, il y en a pas mal.
On dirait.
Ah, c'est le même gars-là.
C'est comme moi.
Ah non, c'est...
Oh!
Donc... Elle vient d'accoucher, celle-là.
Elle a l'impression qu'elle est tombée.
Un question pour Mike Ward. Oui? J'avais déjà lu quelque part que c tombait. La question est pour Mike Ward.
J'avais déjà lu quelque part que tu étais
supposé faire un Joe Rogan live.
Donc, je sais pas si tu as d'autres histoires.
Où est-ce que ça s'en est rendu avec cette histoire-là?
C'est quoi?
Joe Rogan?
J'avais lu que tu étais supposé faire Joe Rogan.
Oui, j'étais supposé faire le podcast
avec Joe Rogan parce que je suis chum
avec Ari Shaffir. Puis Ari,
il a parlé de moi à Joe
dans son podcast.
Puis là, Joe, il a demandé à Ari
que je fasse son podcast.
Puis là,
il a demandé mon email.
J'ai donné mon email.
Puis il ne m'a jamais gossé.
Puis moi, je ne suis pas...
Moi, je ne suis pas genre...
Quand le monde fait, on devrait faire telle affaire.
S'il ne me rappelle pas, je ne rappelle jamais.
Faire, tu te rappelles-tu de moi?
Je pense que Joe Rogan, je vais finir par le faire.
Mais, ça va être long vu que je ne veux pas être un astide gosseux.
Oui, c'est ça. Je ne veux pas être un gosseux.
Hein?
Oui, il parle de moi souvent.
Joe Rogan parle de moi.
L'affaire que j'étais vraiment content, par exemple,
ce n'est même pas pour moi,
c'est le lendemain du gala des Oliviers
ou trois jours après le gala des Oliviers
ou à peu près.
Sur le Facebook du Joe Rogan Experience,
il y avait un de ses
posts, il avait mis une photo
de Julien Tremblay,
Bellefeuille
et Stéphane Rousseau avec le
masque avec le X rouge.
J'avais fait, ah, Chris, écoute.
Mais je ne sais pas, peut-être que je vais
faire le Joe Rogan,
Joe Rogan, Chris.
Peut-être pas dans cet état-là, mais... Non, peut-être que je vais faire le Joe Rogan, Joe Rogan, je ne sais pas. Peut-être pas dans cet état-là, mais...
Non, mais sûrement que je vais être
pire que cet état-là.
Mais non, je vais,
mais c'est ça, je ne veux juste
pas le gosser. Je ne sais pas si vous autres,
vous êtes de même. Moi, là...
Moi, je n'aime pas bien ça.
Moi, ma blonde, souvent,
il y a une affaire.
On dirait que je traite tout le temps le monde de la manière dont je vais être traité.
C'est ma blonde qui me ramène tout le temps à la bonne place là-dessus.
C'est que moi, j'ai eu, mettons, ça fait 20, on va dire ça fait 25 ans que je fais ça.
Puis les 10 premières années, j'étais comme le gars qui voulait se faire engager.
Ça fait 15 ans que je suis le gars qui engage.
Même si je n'engage pas une personne,
mais j'engage, j'anime des galas.
Je fais ci, je fais ça.
J'ai assez de monde qui viennent me gosser,
qui sont comme, tabarnak, assieds-moi là.
J'ai fait assez.
Puis là, je suis comme, ah, ils sont lourds.
Je ne veux pas devenir ce gars-là.
Souvent, ma blonde, elle me dit, comme mettons pour Joe Rogan, je suis comme, ah, c'est-tu qu'ils sont lourds. Fait que je veux pas devenir ce gars-là. Puis souvent,
ma blonde, elle me dit, tu sais, comme mettons pour Joe Rogan,
que, hey, hey,
j'ai eu, en même temps,
j'ai eu
Marc Maron, qui fait WTF,
qui m'a envoyé, il a tweeté,
on s'est parlé sur Twitter,
il a tweeté qu'il voulait m'avoir sur son show.
J'ai envoyé un message
j'ai dit si tu me veux voici mon email
puis il m'a pas réécrit
puis là ma blonde a fait
pourquoi tu n'as pas réécrit
je veux pas être agressant
tu peux pas
quand tu lui as dit
ça change rien
si tu lui dis une fois ou quinze fois
s'il veut t'avoir
il va profiter de la fois où tu y es.
Oui. Moi, c'est ça.
J'ai tout le temps peur d'avoir l'air du gars
qui est comme, hé tabarnak,
moi là, parlant anglais,
moi là, drôle,
en tabarnak.
Mais ma blonde,
l'affaire qu'elle m'aide, par exemple, c'est qu'elle me dit,
mettons, comme pour
Joe Rogan, j'ai envoyé un message.
Puis là, en fait, il t'avait dit qu'il te voulait,
vous n'avez pas ceté votre date.
Après trois mois, tu pourrais y écrire,
« Hey, tu m'avais dit que tu voulais une date. »
Puis tu ne serais pas l'esthéticien agressant.
Mais c'est juste...
Il doit y avoir une façon
de faire les choses.
À place de dire, je parle anglais.
Ça pourrait être ton agent
même qui envoie un message.
Ça, c'est cool.
J'ai remarqué que les Américains
aiment ça dealer
avec l'artiste.
Vu que je suis dans le show business, quelqu'un aime ça dealer avec l'artiste. En tout cas,
vu où je suis dans le show business,
je suis comme
les grosses ligues
des petites ligues.
Je suis comme tous les gars
qui sont comme les hosties de gérants
et les hosties de producteurs,
c'est-à-dire des grosseurs.
Je m'entends bien avec mon gérant,
mais je vais aller faire ton show
Bon
J'espère que ce n'est pas la dernière question
Moi là
Ça va nous prendre des rires en canne
On peut-tu rajouter des rires
Chris on va demander
À Luigi
De finir
La question Super Wario Luigi de finir la question.
Super Wario va nous finir ça.
T'as pas de micro.
Super Wario.
Tu ressembles à Super Wario.
Il marche sur des champignons.
Mais c'est vrai.
Je suis pas le premier
qui dit que tu ressembles à Luigi.
Pour de vrai.
Non, non, non.
T'as-tu un frère qui s'appelle Mario?
Non, je serais malade.
Ta blonde, s'appelle-tu Peach?
La question, c'était pour Michel.
J'espère que je ne t'ai pas participé,
mais tu parles que tu vas au Mexique.
Combien de temps par année?
Il vit au Mexique.
Les premiers temps, c'était vraiment pas long.
On a-tu parlé tantôt?
Non, j'ai juste dit que je vivais là-bas.
Ça faisait 4 ans.
Cette année, je vais être là toute l'année.
Qu'est-ce qui serait malade?
Tu dis que tu vis...
Je parlais.
Moi, c'est comme mon...
Non, mais je n'ai pas entendu.
Dans quel coin? Dans quel coin?
Dans quel coin?
C'est dans le Yucatan.
OK.
Guantanamo.
OK.
Je vais aller me promener là.
Ça leur a été malade vu qu'il a dit,
apparemment, tu vois, tu sais,
tu passes combien de temps par année
si tu avais dit 10 jours?
C'est cool. On ne peut pas dire que ce qui fait la bonne
c'est le passé.
Là, je vais être là toute l'année.
Même l'été.
La chaleur.
45 degrés ici dehors.
Ça sent bon au Mexique.
As-tu une blonde mexicaine
ou une blonde québécoise?
Avant que j'ai une blonde mexicaine ou une blonde québécoise? Avant, j'avais une blonde mexicaine.
Il va falloir vraiment que je vive
comme un ermite la bobe le reste de ma vie.
Elles ne sont vraiment pas belles.
C'est parce que c'est des mayas.
Les mayas ne sont pas très hautes.
Ils font trois pieds et rien à peu près.
Ils ont tout un gros torse.
Ils ont tous des petits sautons
avec du gros torse. Ça, tous des petits sautons du gros torse.
Ils ont un...
Ça, c'était foiré.
Oh, c'est...
Pourquoi...
Pourquoi tu fais pas
comme les cartoons,
t'en mets une par-dessus l'autre
avec un imperméable
pour la face de la première?
T'es sûr?
Ah ben, Christ, ton vagin a des dents.
Ah ben!
Quand on lisse.
Je pense qu'on est rendu à la fin.
Vraiment.
Je pense, à moins que...
Moi, j'ai pas de questions.
T'as pas de questions. Je pense qu'on va
finir là. Oui!
Merci, merci beaucoup.
Merci, Michel.
Merci, merci.
Merci.
J'aimerais...
Viens, viens.
Les deux qui ont volé la place
je veux qu'on vous voit
qu'on voit
Chris, vous étiez pertinent
vous étiez hot, on va faire une pic
bonne main d'applaudissement pour
Yann Thériault, Jason Babin
merci beaucoup tout le monde
à la semaine prochaine, merci salut tout le monde, bienvenue à cette capsule de la nouveauté
podcast de la semaine, cette semaine je vous parle
d'un sujet que j'ai essayé d'éviter longtemps, mais coudonc, on n'a pas le choix, c'est un sujet incontournable.
Je vous parle de podcast geek. Pourquoi j'essayais d'éviter ça? C'est parce que, de toute façon, ceux qui écoutent des podcasts geek connaissent déjà tous les podcasts geek, les bons podcasts geek.
restent déjà tous les podcasts geeks,
les bons podcasts geeks.
Mais là, je n'ai pas le choix de parler de celui-là.
Évidemment, il y a l'incontournable,
il y a les mystérieux étonnants qui sont probablement le top du top.
Mais il y en a d'autres que moi, j'aime bien.
Il y en a un que j'affectionne particulièrement.
C'est Réalité Augmentée.
C'est un super bon podcast.
C'est animé par JB Gagné, Luc Desormeaux,
Daniel Caro, celle-là.
C'est un super bon podcast.
Ils vont parler de jeux vidéo, ils vont parler de culture pop.
Ils vont faire des critiques de films et ils font des super bonnes critiques de films.
Les gars sont super bons pour s'exprimer, pour faire, pour amener leur point.
Ça dure à peu près 1h30, ça s'écoute super bien.
Le son est bon, les gars s'expriment bien.
C'est disponible sur iTunes, c'est aussi disponible sur la plateforme RZO.
Si vous voulez écouter le mien, mon podcast, ça s'expriment bien. C'est disponible sur iTunes. C'est aussi disponible sur la plateforme RZO. Si vous voulez écouter le mien, mon podcast,
ça s'appelle Le Stream.
Et c'est disponible sur le yanterio.com.