Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD SOUS ÉCOUTE #89 – (Silvi Tourigny et Daniel Grenier)
Episode Date: November 21, 2016Cette semaine à Sous Écoute, Mike reçoit Silvi Tourigny qui nous parle de ses projets à venir avec "Carole Aide Son Prochain" et Daniel Grenier qui a peut-être un problème de "hoarder".... https://youtu.be/9ueT2WM_OY0 ★ Support this podcast on Patreon ★
Transcript
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En direct du Bordel Comedy Club, voici Mike Ward sous-écoute!
Merci!
Bonsoir, bienvenue à Mike Ward sous-écoute, qui est comme...
Là, c'est ça, avant le show, il y a une gang qui faisait « On aime ça quand t'es saoul. »
C'est comme une intervention, mais parfaite.
C'est comme si t'avais une intervention
que là, ça serait plein de monde qui font
« Là, on trouve que tu bois pas assez. »
On te regarde,
t'es pas fille de la face, mais tu déballes pas, fait que prends des doubles. Là, avant de commencer le podcast, cette semaine j'ai regardé dans les rankings des podcasts les plus populaires au Canada,
les rankings des podcasts les plus populaires au Canada.
Puis, j'étais très
content de voir que Yann Thériault,
dans les podcasts vidéo,
était 21e.
C'est impressionnant à Chris,
mais qu'est-ce qui est weird?
C'est
Crapule. C'est
bande dessinée. Parce que c'est lui qui fait
les dessins de Crapule, les coups de téléphone
de Jean-Claude Gelina. Puis là, j'étais excité pour lui. Puis après, c'est lui qui m'a dit « Ouais, mais c'est lui qui fait les dessins de crapules, tu sais, les coups de téléphone de Jean-Claude Gelina. Puis là,
j'étais excité pour lui, puis après, c'est lui qui m'a dit
« Ouais, mais c'est pas un podcast. »
J'ai fait « Ouais, Chris, c'est vrai,
ça, hostie. »
Ils sont plus en ligne,
puis t'es dans le top
25. C'est weird,
en Chris, c'est plus en ligne,
puis c'est pas un podcast.
On dirait qu'iTunes, c'était une niaise,
ça, c'ti.
Après moi, c'est le show à Philip Bond
qui revient, pis il fait,
il va capoter, c'ti.
Mais c'est ça.
Le Mike Watt sous-écoute,
j'ai regardé, parce que j'ai fait
Chris Yann, son podcast,
son pop-podcast.
Ton podcast, il est où,
Nain Chart?
Oui.
OK.
C'est ça qui est drôle, parce qu'il y a un podcast qui est excellent,
qui s'appelle Le Stream, que je vous conseille de l'écouter.
Il est très, très bon.
Puis, il y a Crapple, qui n'est pas un podcast,
qui pue sur Internet, mais c'est l'affaire qui marche le mieux.
Puis, qu'est-ce qui est drôle, j'ai regardé tous les podcasts
vidéo et audio québécois.
Crapple, c'était numéro un.
Fait qu'ils battaient trois bières, ils battaient
Mike Woods sous écoute, ils battaient
tout.
C'est-à-dire, ils battent tout le monde
avec quelque chose qui n'existe même plus.
C'est là que tu vois que c'est un
king. J'aimerais ça qu'on l'applaudisse.
Applaudissez-le très fort.
Je veux qu'il se sente aimé
parce qu'il va apprendre après le show
qu'il ne revient pas la semaine prochaine.
Là, le nouveau par exemple,
il est bon à Calice.
Vous allez le voir.
Non, je veux, avant de commencer le podcast,
juste vous rappeler,
si vous voulez,
si vous allez en vacances
et que vous voulez vous faire un 40 piastres,
là, ça sonne comme si,
« Rentre-toi ça dans les fesses. »
Puis, ça serait mal payé,
40 piastres pour te rentrer de quoi dans les fesses.
Moi, le pire, c'est ce que je ferais,
juste pour être milliardaire ou gagner, mettons,
à 6,49, 50 millions.
Je ferais des moves de même.
Je dirais à quelqu'un,
regarde, si j'ai une manière pour que tu te fasses
5 000$, mais il faut que tu te rentres
de quoi dans le cul, juste pour
voir qui qui accepterait.
Puis finalement, ça ne serait pas
un sac de coke. ne serait pas un sac de coke,
ça serait juste un sac avec genre de la farine
puis un chèque de 5 000 $.
Juste pour, dans le fond,
je veux voir du monde se rentrer des affaires dans le cul.
Je trouve que 5 000 $, c'est un bon prix à payer.
Non, c'est par exemple,
tu prévois prendre des vacances,
si t'as jamais pris
réserver tes vacances
avec Airbnb, Airbnb c'est comme
le Uber, mais des hôtels,
fait que tu vas rester chez le monde,
mais quand t'as jamais fait ça, là, tu te dis,
ça va être dégueulasse, je vais arriver,
il y a des bobettes dans le tiroir,
c'est pas ça, là, tu sais, la part du monde
qui loue Airbnb,
c'est comme louer une chambre d'hôtel,
mais c'est un appart à place.
Si vous utilisez l'adresse mwbnb.ca,
vous allez avoir un 40 piastres de rabais.
Puis moi, je me fais 40 piastres avec ça.
Si vous n'avez jamais pris Uber,
vous vous inscrivez sur Uber, vous utilisez le code Uberchien.
Vous avez un lift de 20 pièces gratuits.
Puis moi, j'ai un lift aussi. Puis si vous voulez acheter des affaires sur Amazon, allez à www.amazon.ca.
Là, moi, j'ai 6 %.
Puis toi, tu n'as rien, mais tu asas acheté de quoi sur Amazon, fait que t'as ça, fait
que dans le fond, t'as l'affaire que tu voulais, pis tu me donnes l'argent, fait
qu'en gros, c'est ça.
Celui-là, ça prendrait un meilleur deal pour vous autres, mais il y a le deal, tu
peux avoir Amazon Prime un mois gratuit, mais il faut que tu t'inscrives pour un an, Amazon
Prime, ça, ça veut dire que tout ce que tu commandes à Amazon,
tu le reçois
deux jours après. C'est vraiment
vite. Des fois, même, c'est le lendemain.
C'est très, très cool pour ça.
Moi, à ce temps-là,
j'achète tout de Amazon.
Quasiment. Pas la bouffe, là, mais
même, j'ai commandé
de la bouffe l'autre fois
sur Amazon, puis c'est
ça, c'est arrivé le lendemain. Fait que j'étais content, c'était des biscuits qui
ne vendent pas au Québec, puis là, j'ai fait, Chris, je vais checker Amazon, le lendemain
j'avais mis les biscuits, j'étais heureux, c'est ça. Fait que dans le fond, moi, ce
qui me rend heureux, c'est la boisson et les biscuits.
Pour ça, je vais mourir bientôt.
Fait que là, on va...
Je pense pas que je vais mourir bientôt.
Moi, ma grand-mère, elle est morte à 101 ans.
Puis, elle faisait pas attention
à sa santé.
Si elle faisait attention, d'après moi,
elle aurait topé le 110.
Mais, elle est morte jeune.
Vu qu'elle faisait pas attention.
Moi, je vais commencer à faire attention.
Là, ce soir, je suis très content.
Mes invités sur le podcast,
je vais présenter tout de suite.
Mes invités sur le podcast,
très contents de les avoir.
C'est chacun leur deuxième fois au podcast.
Mesdames et messieurs,
j'aimerais ça qu'on donne
une bonne main d'applaudissement à Daniel Grenier
et Sylvie Tourigny.
Salut, Sylvie, ça va?
Salut.
Je ne sais jamais.
C'est ça qui est...
Vu que je te voyais avec ton drink,
je me disais, Chris,
elle va renverser son drink sur Daniel.
Ou te crever un oeil.
C'est ça l'on.
T'aurais peur que
je t'attaque.
Là, Daniel qui a un oeil au bernois,
ça paraît pas vraiment.
Quand même.
Ça, c'est Guynantel
qui t'a fait ça? Non, non, non.
J'ai fait un show hier et j'ai foncé dans un
ping de métal.
Pour le gag, c'était-tu...
Je vais te dire.
Je t'ai dit, il fait du burn-out.
Non, il y avait un entraque de cinq minutes. Il fallait que j'aille placer mes valises rapidement.
Il y avait un ping de métal que personne ne voit jamais.
Moi, j'ai foncé cinq minutes avant d'entrer sur la scène.
C'est drôle. Rentrer dans quoi vis-à-vis ton oeil?
Mais tu étais aveuglé
à cause du spot?
Non, c'est juste que c'était tout en noir.
C'est des genres de grands écrans qui descendent
et qui mettent une rote de métal dans le bas
pour que l'écran ne bouge pas.
La rote de métal était à hauteur
de mes yeux.
Tu devrais le baisser, ça.
Je devrais le baisser, mais ils ne l'ont pas vertu.
T'avais-tu tes lunettes?
Je n'avais pas mes lunettes.
Peut-être pour ça que tu es rentré dedans.
Oui, oui.
C'est bon, je brainstorm.
Tu ne mets jamais tes lunettes, ça sert.
Non, non, non.
Tu devrais peut-être commencer.
C'était pas à cause de ça.
Tu penses ça?
Je pense que c'est vrai.
Je suis mis up.
Je suis mis up. Mais en tout cas, ça surprend. C'est comme à cause de ça. Mais t'es sui-up? Je pense que c'était vraiment non, je suis sui-up. Je suis sui-up, mais en tout cas, ça surprend.
C'est comme le monde qui font,
« Hey, ouais, t'es tombé, c'est peut-être la boisson. »
Non, non, non, pas grave.
Souvent, je déboule les marches.
Je mange des carottes à tous les jours,
je bois très bien.
Là, mais, fait que t'as rentré là-dedans.
J'ai foncé dans le bing, moi. Pis après, il fallait que tu retournes. Ben là, il fait que t'as rentré là-dedans. J'ai foncé dans le bim.
Pis après, il fallait que tu retournes.
Ben là, il fallait que j'aille trois minutes après,
mais là, j'étais dans les loges avec une bouteille d'eau.
Pis après, ben, j'ai fait le show,
pis pendant le show, mon aîné...
Là, tu gonflais, gonflais.
Pis y'avait des jokes que j'étais pas capable
de faire le même genre de sourcils que d'habitude.
Asti, c'est drôle.
Y'avait-tu du sang?
Ça l'aurait été autre, tu commences à s'ennuyer.
J'ai affondi un peu, mais bon.
Mais ça, t'as de l'air,
moi, mon père,
il est rendu avec des yeux de même, vu qu'il y a
80 quelques années.
Les vieux, un moment donné,
tout explose dans leur face.
Ils ont comme
des pocs, des bleus.
Ils ont des veines qui perdent dans la face.
Mon père aussi, des fois, il y a des petites...
Oui, tu as l'air de ça.
Tu as pogné un petit coup de vieux.
C'est où, la salle?
C'était à Coaticook.
C'était quoi le nom de la place?
C'était dans la polyvalente de Coaticook.
Il y avait un gars-là qui remettait des prix.
Après, je faisais le spectacle.
C'était genre prix polyvalente de Potico. Il y avait un gars qui remettait des prix. Après, je faisais le spectacle. C'était un genre de prix de l'école?
Non, c'était pour un organisme qui ramasse des objets récupérés
et qui font des œuvres d'art avec.
C'est un affaire un peu recyclable, mais c'est vraiment cool.
La ressourcerie, ça s'appelle.
C'est tous des objets que j'ai dans mes valises.
Je ne capote pas.
C'est tous des accessoires. Ils m' dans mes valises, puis que je capote mes rêves, là, tous des accessoires.
Fait que, ils m'ont dit,
« Hey, si tu veux venir faire le spectacle, tu peux venir visiter la shop avant, puis te choisir des
gogosses. » Hey, je capotais.
Ah oui, c'était vraiment le fun.
Fait que, t'as pris,
c'est quoi, t'as pris? Ah, ben, j'ai
pris, j'ai pris des boîtes en métal,
ils m'ont donné un toutou, ils m'ont donné
deux cochons qui font l'amour.
Je ne sais pas pourquoi.
Ils m'ont fait des cadeaux de main avec des gars-gosses.
OK.
Là, vous allez faire une tournée ensemble.
Oui.
Est-ce que vous avez commencé?
Non.
En tout cas, on marche nos premières dates après les fêtes.
C'est quoi que ça s'appelle?
Daniel et Sylvie jouent ensemble.
OK.
Oui.
C'est un peu la même formule
que Bellefeuille et Simon Leblanc
ont fait dans le temps, Matza Fortin.
C'est deux 45 minutes, mais
on va quand même avoir quelques numéros ensemble.
OK. Genre
ouverture-fermature. Oui,
peut-être des interactions aussi.
C'est comme pendant, mettons, mon 45,
pendant son 45. OK.
On a déjà tourné la pub, en tout cas.
Oui, on a déjà tourné deux pubs.
On a eu bien du fun,
que ça va sortir bientôt.
Pas mal en même temps que le podcast.
En tout cas, dans mi-novembre, genre à peu près.
Oui, peut-être. Parce que nous, on vient les deux
de Victor, on vient les deux
de Victoriaville, on se connaît,
depuis un bout. Moi, je voulais aux oliviers
que Sylvie soit absolument là aussi, quand on avait fait des oliviers.
Quand j'étais hôtesse, oui.
Oui, oui, oui.
Mais vu que toi, tu as 10 ans de plus jeune que Daniel, tu ne le connaissais pas de Victor.
Elle connaît ma blonde.
Oui, moi, j'étais à Napoléon avec sa blonde.
Ah, mais c'est vrai, c'est vrai.
Mais moi, je me souviens de Polyvalente,
Polyramix, vous aviez fait
des sketchs, moi j'étais en secondaire 5.
Ah, c'est Claude,
chose Bruno qui animait, comment
il s'appelle, l'animateur
qui a le nez bouché,
qui a Bruno.
J'avais été vous voir un moment donné,
lui là, c'est un mystère,
comment un gars qui a une voix de marde
de même peut...
C'est qui qui a
mal dit dire, écoute, Pierre,
va te moucher.
Tout ce temps, il n'y aurait plus
de carrière.
Il n'y a aucun autre pays sur la planète
que leur plus gros journaliste
sonne de même. C'est un personnage.
On dirait un cartoon.
Oui, mais c'est...
On l'appelle.
Lui, c'est un gars de Victo.
Je me rappelle, avant de partir
de ma tirade, que j'insultais Pierre-Bruno.
Mais j'avais été voir les tchèques
un moment donné.
Vous faisiez un show à l'école secondaire.
C'était Pierre-Bruno qui animait.
Il y avait Robin qui était là. Robin qui a baissé ses culottes et a montré. C'était Pierre-Bruno qui animait. Je pense que c'était...
Il y avait Robin qui était là.
C'est Robin qui a baissé ses culottes
et il a montré ses fesses à Pierre-Bruno.
Je ne me rappelle pas de ça.
Mais je me rappelle de Pierre-Bruno.
Ah oui? OK.
Mais écrit, je ne me rappelle pas.
Mais il me semble que je me rappellerais
de Robin qui monte son cul.
Mais il montrait son cul à tout le monde, Robin.
Même à tout le monde en face.
Oui, il avait montré son cul à tout le monde en face. Mais pourquoi il en parlant. Il avait montré son cul à tout le monde en parlant.
Mais pourquoi il monte ses fesses?
Il monte ses fesses. Je ne sais pas pourquoi.
Il aimait ça. Dans le temps, il s'est calmé un peu.
Tout le monde en parle.
Tout le monde en parle.
Il faut vraiment aimer ça, monter ton cul.
Que tu te dis,
« Ah oui, on le fait. »
Sais-tu, il y a Lepage qui avait dit,
« Montre ton cul. »
Oui, je pense qu'il avait ouvert la porte à ça.
Oui, parce que sinon, c'est weird de faire.
Hey, Guy, je veux te montrer de quoi.
Avant d'avoir ma carte d'année,
tu as dit quelque chose.
Tu as dit glisser la carte dans le crac.
Fais un retrait.
Fais un retrait, mon dernier.
C'est qui qui avait fait la split?
C'était-tu... Simon-Olivier
Fecteau, il avait fait quelque chose.
Ou Olivier, il n'avait pas fait...
Je ne sais pas.
Je ne regarde pas tout le monde en parler.
Ah, c'est quelqu'un qui avait fait la split.
Tout le monde en parle.
Ah, oui, oui, ça me dit quoi, ça?
Il me semble que c'est Simon. Ah, oui, ça se peut. Je ne sais pas, mais oui, il y a quelqu'il y avait de la split? Tout le monde en parle. Ah oui, oui, ça me dit quoi ça?
Me semble que c'est Simon.
Ah oui?
Ah, ça se peut, je ne sais pas.
Je ne sais pas, mais oui, il y a quelqu'un qui fait de la split.
Tout le monde en parle.
Je sais qu'il y en a un qui l'a déjà fait à la guerre des clans.
Dans le temps.
Oui, l'électionnée faisait la split.
À la fin de chaque émission, il faisait la split.
C'était comme sa marque de commerce.
C'était absurde ça, comme marque de commerce. Il est fâché quand le monde y en parle.
Ah oui?
Parce que tout le monde y parle juste de ça.
Il a fait ça pendant des années à tous les soirs.
Dur oublié.
Dur oublié.
Une split pendant 10 ans.
10 ans de split.
Je ne sais pas s'il est encore flexible demain.
Je ne sais pas.
Mais moi, je pense qu'il serait capable de la faire à cause de la gravité.
Juste, vu qu'il est rendu gras, il commencerait et à un moment donné, il tomberait.
Il y a-tu quelqu'un qui peut m'aider?
C'est toi qui est sur le camion?
Oui.
Ça me semble que je ne saigne pas des culottes dans le temps.
Pas mal de mes culottes sont en train de saigner.
Toi, à cause du karaté, tu dois être flexible.
Es-tu capable de faire la split?
Non, je ne fais pas la split.
Je suis assez souple, mais je ne fais pas la split.
Mettons, mais...
Oui, c'est ça.
Je vais te faire la réponse.
Je suis perdu une troisième fois.
J'en vais être encore sans réponse.
Oui, je suis capable de lever ma jambe par exemple à la tête.
Ah, mais regarde.
T'es assis, c'est facile.
Non, mais il faut que je sois quand même un peu réchauffé.
Mais oui, c'est ça.
Ok.
T'aimes-tu ça, le karaté?
Oui, j'aime vraiment ça.
T'es de ceinture noire?
Oui, je suis de ceinture noire.
Double dents. Deuxième dent.
Oui, deuxième dent. Qu'est-ce que c'est quand même? Oui, je suis de ceinture noire. Deuxième danse. Oui, deuxième danse.
Ça sera à combien de danse?
Ça finit plus. Tu peux faire ça jusqu'à temps que tu meurs.
Ok, on va à 40 danse.
Ça, je ne sais pas trop,
mais je veux dire, le karaté, tu peux en faire toute ta vie
et tu t'adaptes avec comment ton corps
se transforme.
J'ai plein d'affaires de même.
Ça prend combien d'années de devenir ceinture noire?
Ça dépend du monde. Mettons que ça fait 14 ans que j'en fais.
Si t'es attaqué dans une ruelle, t'es correct.
Je me souviens pas.
C'était-tu weird quand t'as commencé, t'avais 28, ça veut dire?
30.
Mettons que t'as commencé, tes ceintures blanches ou jaunes,
qu'ils te mettent avec d'autres ceintures blanches ou jaunes,
souvent, il y a des kids de 7 ans.
Tu faisais-tu du karaté contre des enfants?
Non, mais on l'a déjà fait.
On a...
C'est facile.
Qu'est-ce qu'il y a?
Même si t'es pas flexible,
tes kicks d'enfants, c'est facile.
Ils montent plus vite.
C'est ça.
Plus ils grandissent, plus il devient flexible.
C'est ça son truc pour nous rendre flexibles.
On commence avec des petits, puis après, il grandit.
Mais ça, qu'est-ce qu'ils font?
Ils doivent...
S'il n'y a pas d'autres adultes, c'est toi contre le Sensei?
Non, il y a tout le temps d'autres adultes.
Sinon, il nous a déjà fait travailler avec des enfants
juste pour qu'on voit
qu'est-ce que c'est travailler avec un enfant
pour que le monde va trouver notre côté enfant
et notre cœur d'enfant.
C'est cool, pareil, la dynamique de travailler.
C'est d'autres choses.
Tu ne peux pas...
Tu sais, puis...
Il faut que tu sois moins raide
dans les coups de poing, c'est ça.
Faut pas que tu lui pètes les dents, t'sais.
À moins que c'est ça, c'est dans le bébé.
Ça serait bien que t'invites...
Ou t'invites ta mère pour te voir te battre.
Comme l'embarquement.
Ah ouais, je suis vraiment bon.
T'as ton père pis ta mère qui sont là,
qui applaudissent.
C'est bon.
Kick-lay!
Kick-lay ça ailleul! Il faut ça ailleul! Femme et ta mère qui sont là, qui applaudissent. C'est bon. C'est une dernière liée. Qu'est-ce que c'est? Qu'est-ce que c'est?
C'est à la gueule.
Il faut oser à la gueule.
Toi, tu fais-tu un sport?
Pas vraiment.
Je fais du vélo stationnaire dans mon salon.
Je suis plate de même.
OK.
Puis je fais sept marches.
En regardant la télé?
Sept?
Sept.
Je suis rendue à sept.
Mais sept.
Moi, je n'ai aucune assiste-force dans les bras.
C'est ridicule.
Mais tu étais à combien au début? J'étais à quatre. OK. C'est un peu triste. Ah oui. Mais non, je n'ai aucune assise de force dans les bras. C'est ridicule. Tu étais à combien au début?
J'étais à 4.
Ah, ok.
C'est un peu triste.
Ah, oui.
Non, non, je n'ai aucune force.
Et des vrais push-ups de gars.
Ah, oui.
C'est à mes 7.
Non, non.
Et puis 7, je fais des cris de femmes qui accouchent sans les faisant.
Ah, oui.
Non, non, c'est ridicule.
Je n'ai aucune force.
Ton but, c'est de te rendre à quoi?
Oh, je...
J'essaie de te demander...
À vite?
Ah, oui.
Non, mais j'augmente de 1 par semaine. Ahessaie d'augmenter. À vite? Ah oui. Non,
mais j'augmente
de un par semaine.
OK.
Ça fait trois semaines.
Oui,
oui,
oui.
Ah oui.
Je ne fais pas grand
qu'on parle de mes objectifs
de push-up,
mais oui,
oui.
Mais non,
écoute,
si je me rends à 20,
je vais capoter.
Mais non,
mais c'est ça.
Comme j'ai commencé
à trois semaines
avec mon cap.
C'est hot,
c'est hot.
Mais non,
écoute,
c'est sport,
non.
Moi,
le plus sportif, c'est la moto, je te dirais. OK. C'est hot. C'est hot. Mais non, le côté sport, non. Moi, le plus sportif,
c'est la moto,
je te dirais.
OK.
C'est ça,
ça c'est mon sport.
Puis,
jeune,
étais-tu sportive?
Oui,
je jouais au volleyball,
moi,
à Poly.
Ah oui,
oui.
Oui,
j'étais capitaine.
La vie chaos.
Oui,
la vie chaos.
Les vies chaos.
Les vies chaos.
Les vies chaos.
C'est ça le nom?
Oui.
C'est quoi,
ça veut dire? C'est quoi ça veut dire?
C'est pas un genre de guerrier?
Vu de gain, mais vu de chaos, je sais pas.
Non, je sais pas.
Non, je veux au volleyball, au soccer.
Oh oui, non,
au football, au touch football.
Ok.
Mais j'ai comme ça avec le temps.
Je fais mon petit entraînement,
je relaxe à la maison.
Ça existe-tu?
Mais flag football ou touch football,
c'est-tu mix ou c'était juste des filles?
Moi, c'est juste filles, oui.
Ça existe-tu le football
pour les filles?
Ah, bien, nous autres,
l'année que j'étais à...
L'année que j'étais à Polly, moi, j'ai fait un an
de mes secondaires.
Tu n'as pas de niaisage.
J'ai des push-ups à faire.
Non, mais il y avait une fille
dans l'équipe de football.
Oui, nous autres, nous avions une fille dans notre équipe.
Tu as peut-être la même.
Peut-être.
Ça doit être le genre de sport
que la fille a fait.
C'est cool, je suis bonne.
Puis après, à un moment donné,
les joueurs de football, c'est des gars
de 400 livres qu'à un moment donné, même si je suis bien. Puis après, à un moment donné, les joueurs de football, c'est des gars de 400 livres
qu'à un moment donné, tu sais,
même si je suis bien musclé,
je suis quand même un gars de 400 livres.
À la fin de la poli, tu dois...
Oui, c'est ça.
Parce qu'au hockey,
mettons, les filles qui jouent au hockey,
il y a le hockey de Canada.
Puis Manoréon avait joué...
Ah oui, avec vous, il était bon.
Pour Tampa.
Elle était bonne.
Il aurait dû
la signer comme backup.
Juste pour le marketing.
À Manon Réon.
À Manon Réon.
Moi, je me rappelle
ce qui m'a impressionné. Elle est plus vieille que nous autres, je me rappelle, c'est quand même impressionnant.
Elle est plus vieille que nous autres, je pense.
Il me semble que j'étais petit
quand elle était à jouer.
C'est quelque chose.
C'est weird qu'elle n'a pas eu d'autres
après.
Mais tu sais,
il me semble, elle, en plus,
là, les joueuses canadiennes,
il y en a qui sont super bonnes.
C'est drôle qu'il y en a.
Comme si on fait, on a eu une.
C'est correct.
On sait peut-être aussi que l'équipe canadienne,
comme ils s'en vont, qu'ils jouent là-dedans.
Ils l'espèrent.
C'est ça, beau.
Écoute.
Ça serait cool.
Il faudrait demander à l'informateur de Buckingham
de faire un petit dossier spécial
sur les joueuses de hockey.
Vous avez combien de dates pour votre tournée?
On a 20-25.
Ah oui?
Moi, je ne suis pas trop courant.
C'est mon gérant qui book les shows.
À date, on est rendu à une vingtaine de shows.
C'est super cool.
On ne fait pas de première médiatique.
Pour l'instant,
on fait des shows
et on va voir où ça mène.
Est-ce que vous allez faire
genre, ça va être tout le temps
le même pacing ou ça va être genre
un soir, toi tu closes,
l'autre soir c'est lui?
Moi, j'aimerais mieux ouvrir tout le temps.
On en changera. Moi, j'aimerais mieux ouvrir tout le temps, je pense. On en changera, mais dans le sens que...
Moi, des fois, Daniel pourrait partir en tournée tout seul.
C'est une machine quand même.
C'est quand même très bon, tu as beaucoup de matériel.
J'en m'en stocke, mais c'est une bonne première...
Parce qu'on a fait tous les deux...
Moi, je faisais les premières parties.
C'est moi qui allais faire les premières parties avec Cathy.
Puis les diffuseurs en région,
des fois,
ils ne veulent pas
prendre le risque
parce qu'ils ont juste
voulu faire des 15 minutes.
Ils disent,
ah oui,
on va vous prendre
pour une heure et demie.
Ils font comme,
45 minutes chaque.
Parfait,
j'ai aimé ma première partie.
C'est une bonne première tournée.
En plus,
si tu dis ça,
ça va attirer le public
à Cathy,
le public à Mike.
C'est ça.
C'est le fun pour ça.
Mais j'ai l'impression
qu'il y a beaucoup de choses.
J'ai pas le feeling que le premier show qu'on va faire
versus le 25e va être le même.
Autant dans nos interactions
ensemble qu'autant dans nos 45.
Ça va beaucoup bouger.
Moi, je le vois vraiment comme laboratoire, exploratoire.
On s'amuse.
Tu vas-tu faire Carole?
Oui, c'est ça.
Je vais ramener Carole
puis je vais peut-être
explorer d'autres personnages
aussi parce qu'avant,
je faisais pas mal
des personnages
à l'école de l'humour.
J'ai mis ça de côté.
J'ai juste gardé Carole
qui était comme mon bébé.
C'est dégueulasse de dire ça
que Carole était mon bébé.
Carole est mon bébé.
Carole est mon bébé.
Un beau bébé, Carole.
Un beau bébé.
Mais c'est ça.
Mais là,
j'ai l'impression
qu'avec ce genre de tournée-là, ça va me permettre
de pouvoir peut-être explorer comme d'autres personnages.
J'ai envie de voir, essayer d'autres trucs.
T'aimes-tu mieux faire des personnages ou tu t'en es pas?
Ben, vraiment, les deux.
Tu vois, ça, dans les deux dernières années,
je me suis plus concentrée sur Sylvie.
Sylvie, toi.
Moi, moi.
Son autre bébé.
J'essaie.
J'ai le lard bipolaire.
Oui, ça fait.
Tu devrais faire ça.
Je suis concentré sur Sylvie.
Je parlais avec Sylvie l'autre fois.
Je suis concentré en vain.
Je suis concentré en vain.
On fait des pochons pas ensemble.
Qu'est-ce qu'on fait des pochons?
On en fait quatre.
On en fait trois. À deux, on'est ça. Qu'est-ce qu'on fait des pochettes? Elle en fait quatre, moi j'en fais trois.
À deux, on en fait sept.
Mais c'est ça.
Bref, je ne sais même plus
que ce que je dis.
Que tu as mis en fait.
Oui, oui, c'est ça.
Mais là, je me suis rendu compte, cet été,
j'ai ramené mon personnage de Carole pour le gala de Cathy
et Laurent Paquin.
En le ramenant, je me suis rendu compte
que je m'ennuyais de Carole, de mon air de marde.
Tu m'ennuyais de mon air de marde.
Oui, mais vraiment.
En plus, il y a de quoi de magique, je pense,
de mixer Carole et Daniel.
Daniel, il est tellement
souriant.
C'est le bonheur incarné.
La vie est belle.
C'est sûr qu'il va avoir de quoi faire avec Carole et Daniel. J'aime assez Carole en plus. C'est tellement bonheur incarné. La vie est belle. Ah oui, c'est sûr qu'il va y avoir de quoi faire
avec Carole et Daniel.
J'aime assez Carole en plus.
C'est tellement hot comme personnage.
Je me suis rendu compte qu'elle me manquait.
Je la ramène pour la scène.
Et on la ramène sur le web aussi.
Ah, c'est cool.
J'ai tout le temps pensé que ce personnage-là
serait un bon personnage de film.
Ah, bien là, c'est ça.
De voir plus son univers
en profondeur.
Pendant la boutte, on développait quelque chose,
la télé, c'est très long, très laborieux,
et souvent, ça ne mène à rien.
Mais on avait développé un documentaire
sur la vie de Carole.
On découvrait sa famille,
ses parents, ses voisins.
C'était cool, parce que même nous autres, à l'écriture, on était comme, ah, ses parents, ses voisins. C'était cool parce que même nous autres à l'écriture,
on était comme « Ah, ses parents sont noirs ». On avait vraiment du fun à développer
tout ça. On s'est morts dans l'oeuf.
Ses parents, c'était-tu des noirs bien high energy ou il était comme elle?
On n'était pas rendus là encore dans le descriptif,
mais il n'était jamais aussi drape qu'elle.
OK.
Y a-tu quelqu'un de plus drape
que Carole sur la planète, tu penses?
C'est sûr.
Mais en réalité, oui.
Oui, oui.
Tu l'as-tu pensé sur quelqu'un?
Non, elle est vraiment née de l'opposé
de ce que je faisais d'habitude
comme dans la vie, puis même sur scène.
C'est ça, comme...
Tu sais, tous les vendredis à l'école,
il faut tout le temps écrire un nouveau number
à l'école de l'humour.
Puis une semaine, je n'avais plus quoi faire,
donc je me suis dit,
bon, je vais essayer d'être drôle en faisant le contraire.
Fait que je vais être bête,
je vais tout le temps parler sur le même ton,
je vais avoir réponse à tout.
Puis dans le temps, j'étais très forte sur les décolletés,
fait que là, je me suis dit, je vais mettre un col au rou les décolletés. Je me suis dit, anti-casting total.
Et Carole est née de même.
D'après la première fois que je l'ai faite,
je savais que je tenais un beau bébé.
Un beau bébé bite.
Tes autres personnages, c'était quoi là?
C'est quoi là?
Il y en avait un.
C'était weird. Ma relation avec les personnages, c'était des asexués. C'était ni l'anon? Écoute, il y en avait un, tu vois, c'était comme un... C'était weird, moi, ma relation avec les personnages.
C'était tous des asexués.
C'était comme ni gars ni fille.
Tu sais, Carole, elle a une sexualité douteuse.
Ah, c'est vrai.
Carole aussi, c'est un nom de gars.
Oui, oui, oui, en effet.
C'est tout le temps weird, un gars qui s'appelle Carole.
C'est un nom de...
Ah non, mais non.
C'est un nom de madame ou de monsieur.
Mais non, j'avais un bowling-homme compulsif aussi,
qui était comme moitié homme, moitié...
Un quoi?
Un bowling-homme compulsif.
C'était quelqu'un qui trippait comme une crise mentale sur le bowling.
OK.
Ça, je l'ai comme fait un petit bout.
Il s'appelait quoi?
Je ne sais pas.
Oui, il s'appelait quoi?
Mais c'était comme un nom weird, encore ambigu, quel Christ.
Comme même quand tu disais son nom, tu n'avais aucune idée que c'était un gulfé.
Je ne sais pas.
Mais sinon, j'avais comme un genre de graine.
Mais ça, c'était...
Chris, ça va bien.
Un gulfé.
L'autre, c'était un gulfé.
Puis après, j'ai une graine.
Non, mais pour moi, une graine...
OK.
L'autre, c'était un gulfé. Puis moi, j'ai une graine. Qu'est-ce que c'est, madame? Non, mais une graine. OK. Je vous explique c'estai une graine. Non mais pour moi, une graine... L'autre tu l'avais coupé, puis moi j'ai une graine.
Mais non mais une graine...
Je vous explique c'est quoi une graine.
Dans le sens que tu plantes.
Non mais une graine c'est comme...
Je suis sûr, je peux pas dire que ça vient de Victo, parce que ça vient de quelqu'un.
Non mais une graine, quelqu'un de...
Mais non moi j'ai déjà entendu.
Quelqu'un poche un peu.
C'est comme une graine qui cherche à la mort.
Ah, vas-y.
Oui, genre.
Mais là, je n'ai pas... Lucette.
Je n'ai pas fait longtemps Lucette.
Il n'y a pas d'espoir en Lucette.
Lucette.
C'est plate que ton personnage de loser s'est fait flusher de ton répertoire, tu sais.
Crisale.
Ton personnage de personne qui a zéro respect.
Mon personnage est abandonné.
Oh, Lucie!
Ça,
t'as-tu déjà pensé
monter comme un show,
sketch,
quelque chose que t'aimerais,
genre pour la télé?
Ben, peut-être.
C'est ça,
en ce moment,
je suis comme en questionnement
parce que,
tu sais,
en termes de filles dans Relève,
il y en a beaucoup en ce moment
pis ils sont fucking bonnes.
Ils sont très, tu sais, ils ont toutes des couleurs très, tu sais, mettons, Marina Madza, En termes de filles dans Relève, il y en a beaucoup en ce moment. Elles sont fucking bonnes.
Elles ont toutes des couleurs.
Mettons, Marina Madza,
c'est du rouge.
Elle est très éclatée.
Elle est très définie comme personnage de scène.
Katlevac, même chose.
Elle, c'est quelle couleur?
Je ne sais pas moi, du jaune.
Je dis n'importe quoi,
mais c'est des personnages très définis de scène et c'est des machines
dans ce qu'elles font
fait que moi
dans mon stand-up
tu sais comme
je suis bonne
mais je suis comme
pas une machine
de ah wow
esti Sylvie Tourny
c'est malade mental
fait que
là tu sais
je me rends compte
que comme tu sais
une de mes forces
en ce moment
c'est Carole
fait que c'est pour ça
que je me dis
ah tu sais
je ramène Carole
puis je vais comme
explorer peut-être
un peu plus
ses personnages
je vais voir peut-être
que c'est avec ça
que je vais me démarquer comme peut-être
que non. Comme tu regardes
Martin Perizzolo, tu sais, les premières
fois qu'on l'a vu, tu sais, Peritz,
en plus, tu sais,
Peritz, il me disait l'autre fois,
il se faisait dire à l'école, toi, t'es intelligent,
c'est intelligent, qu'est-ce que tu fais?
Fait qu'il essayait tout le temps de faire de l'humour intelligent,
mais chaque fois qu'il jouait un
osticolon,
c'est là que ça pognait. Comme Poudi ou son Christ
d'innocent du fromage.
C'est des caves.
C'est des caves.
On dirait qu'il est plus
efficace en caves.
Mais il se faisait tout le temps dire
que c'était intelligent.
Bref, je suis comme en mode.
C'est pour ça que je trouvais que ça tombait bien
de partir en 2-45 minutes avec Daniel
parce que j'ai l'impression que ça va me permettre d'explorer un peu plus ça.
En plus, ça me mène.
Toi, tu vas-tu faire des personnages
qui se faisaient d'un chip?
Vous n'êtes pas rendu là encore.
Non, mais on brainstorm sur...
On brainstorm quand même. En ce moment, là mais on brainstorm sur on brainstorm quand même
en ce moment
on brainstorm
non mais
oui c'est ça
c'est déjà script éditeur
non mais
c'est ça
je sais pas trop
où ça va aller
moi je vais continuer
je pense
je sais pas si
je vais faire des personnages
il y a Roger
quand je faisais
des chickens
mais c'est pas
c'est pas c'est Madone mais tu sais je suis pas mais çaenswell, mais c'est pas moi. C'est pas moi.
Oui, c'est Madone, mais tu sais, je suis pas...
Mais ça, en plus, vu que c'est tellement juste un quickie, ça peut être...
Pendant mon 45.
Oui.
Et Roger a les cheveux rouges longs aussi.
C'est peut-être ma soeur.
Ta soeur avec une pomme de date.
Puis Roger, Roger, ça fait nom aussi.
Ben oui.
Ça fait Carole un peu aussi. Ah oui, oui. Ah oui. C'est l'inversé. Roger, oui fait nom aussi. Ben oui. Ça fait Carole un peu.
Ah oui, oui.
Ah oui.
C'est l'inversé Roger.
Roger.
Ça n'existe pas.
Comme nom, il y a-tu des femmes qui s'appellent Roger?
Roger, ça doit être plate pour eux autres.
C'est sûr qu'il doit en avoir.
Ça là, tu vois que tes parents voulaient un gars.
C'est clair.
Ils t'ont viré de bord trois fois.
Il y a-tu une graine à quelque part?
Non, non, c'est un vache-voix.
Ça sonne la déception.
Mets ton doigt dedans, pis tiens, il reste.
Aïe, aïe, aïe.
Mais Roger,
est-ce que t'aimes pas ton enfant?
Mais y'avait une mode, à un moment donné, dans le temps de nos parents,
quand y'avait 14 enfants,
ils nommaient, mettons, Lucien, Lucienne, Roger, Roger.
Oui.
Il doit y avoir des Rogers.
C'est pas sérieux.
Il manquait de créativité.
Oui, mais non.
Mais c'est parce que, aussi, dans le temps,
il y avait 8 noms.
Les filles, c'est tout...
Marie,
Nicole, Pierre, Paul, Jean.
C'est du lisafon.
Je ne sais pas si c'était de même dans toutes les familles,
mais j'ai un de mes tantes qui m'a dit que c'était la soeur à ma grand-mère qu'ils avaient toutes nommées.
La soeur à ta grand-mère?
Tu sais, mettons, la tante des enfants,
elle disait, OK, ça, c'est...
Tu sais, comme moi, ma tante...
Moi, mes parents avaient décidé un nom,
puis c'est ma tante qu'il fallait qu'elle aille à la réception
dire mon nom, puis elle a changé de nom.
Tu sais, eux autres n' autres avaient pas choisi Michael.
Ils voulaient m'appeler Richard,
fait que je suis content. J'aime mieux Mike
que Richard.
T'as tort, t'as l'air, c'est pas quand c'est drôle.
Mais ils étaient, non, mais c'est parce qu'ils
voulaient des noms bilingues.
Pis, t'sais,
t'as Richard ou Richard.
Ils étaient entre Patrick pis Richard,
vu qu'aussi c'était des noms en mode.
Puis elle a fait...
C'est Michael.
Donc, ton vrai nom, c'est Michael.
Oui, c'est Michael.
Je ne sais pas s'ils attendaient de voir la face
du bébé.
Non, je pense pas.
Peut-être que oui, parce que...
C'est vrai, dans le temps, ils ne savaient pas.
Ils ne savaient pas si c'était un gars ou une fille.
Ils attendaient plus pour la face. Ils ne checkaient pas la face.
Oui, c'est plus la grève.
Peut-être qu'ils gardaient la face.
Ils checkaient plus.
Puis après, ils faisaient Carole. Ah non, c'est un gars.
Carole. Ça m'a levé le E.
Ah non, Chris, Carole.
Ah non, ouais.
Sur le Maxstar, il y a juste un E de
gribouillé.
Il doit y avoir beaucoup de E de gribouillé. Il doit y avoir beaucoup de E
de gribouillé sur les matins. Mais Carole
fille, tu sais comme...
Carole fille, ça prend un E.
Carole gars, pas de E, c'est ça.
J'ai jamais rencontré
Carole. Ben, Carole gars?
Moi, je l'ai déjà rencontré, hein. Ah, ouais?
Oui. Étais-tu bien vieux? Bien fin.
T'es bien vieux.
Il y a un nom qu'on n'entend plus.
Tu l'entends pour des filles,
mais Camille pour un gars,
tu n'entends plus ça.
Ce n'est pas vrai.
Des filles, il y a des Camilles. Oui, mais des gars aussi.
Camille.
C'est bien drôle.
C'est absurde.
C'était-tu en gag
qui a fait ça?
Non.
Non, non, mais...
Mais lui, ça y va tellement bien en plus.
Camille, Camille, Camille, Camille.
Camille, ouais.
Camille, je trouve, mais c'est Camille ou Camille.
Ok.
Ok, c'est un nom qui revient à moi.
C'est ça qui est drôle, tu sais, il y a plein...
Ben, tous les noms reviennent.
Mais je ne sais pas si... Sylvie n'est pas sur le bord de revenir. C'est sûr qui est drôle. Tous les noms reviennent. Mais je ne sais pas si...
Sylvie n'est pas sur le bord de revenir.
C'est sûr que ça va revenir.
Dans le temps, il y a
20 ans, il n'y avait pas d'Arthur.
Puis là, Arthur...
Je comprends.
Sylvie va revenir en même temps
que Chantal.
Oui, genre.
Nathalie.
Nathalie, oui.
Mais c'est sûr qu'ils vont revenir.
Là, il n'y a plus de jeunes Patrick.
Oui, c'est vrai.
Des Patrick et des Richard,
il n'y en a pas 100 000,
mais dans 10 ans, Roger.
Il y en a moins.
Roger doit être aveugle de revenir.
Roger, c'est le prochain.
Oui, Roger, c'est le prochain. C'est le prochain, c à veille de revenir Roger il est sur le point c'est le prochain c'est Alice
Roger
Astic c'est pas un beau nom pour un enfant
ça sonne
c'est le mec qui naît avec un pin
on va l'appeler Roger
il a une moustache grise
comme s'il avait fumé
il y a deux ans
il est un peu misogyne et raciste.
Il fume les Mark 10.
Il est comme ça.
Ça, c'est Roger.
Je t'appelle Roger.
Il va me faire un lunch, call it.
Il n'y a que son ventre.
On va chercher le pick-up.
Là, vous autres, en tournée,
est-ce que vous avez...
Vous partez avec un tech,
deux techs ou zéro tech?
C'est pas en tout.
J'imagine que c'est le moins de techs.
Mais le moins de techs, c'est zéro.
On n'a pas tant de techs que ça.
On n'a pas tant de techs.
Mais le tech de la plage, j'imagine.
Oui, mais c'est très...
C'est de me dire de tourner.
C'est simple, nous autres.
C'est simple.
Je pense qu'on va arriver là et on va faire nos affaires.
Chris, est-ce que vous êtes vendeur?
Est-ce que vous êtes vendeur?
Que du marketing depuis le début.
Moi, en stand-up, je te reste là.
Mais là, ça va être simple.
On explore.
Tabarnak.
Moi, être le monde à la maison, je serais comme Chris.
Si, aussi, je peux acheter des billets.
Je suis sur le site d'admission, je serais refresh.
Refresh.
Chris, il n'y a pas de billets en vente.
Le site doit être un vrai bonnet.
Il y a une autre chose ce soir-là, dans ma ville.
C'est qui qui vous produit?
On s'auto-produit.
C'est peut-être pour ça qu'il n'y a pas de billet.
Non, non, mais pour vrai, sérieusement,
c'est comme une petite tournée
sympathique.
Mais ça va être super bon.
Est-ce que pour ça, le monde va être surpris?
Oui, oui, mais ça a l'air sérieusement que les diffuseurs
sont super contents parce que c'est ça, comme ils nous ont vus
les deux en première partie, puis ils ont beaucoup aimé ce qu'ils ont vu, fait qu'ils sont super contents que c'est ça,. Ça a l'air sérieusement que les diffuseurs sont super contents parce qu'ils nous ont vu les deux en première partie
et ils ont beaucoup aimé ce qu'ils ont vu.
Ils sont super contents qu'on fasse de quoi ensemble
et de voir ce que ça va donner tous ensemble.
Pour vrai, je ne suis pas inquiète. Je suis convaincue que ça va être super bon
et qu'on va vraiment avoir du fun.
En ce moment, on est en train de travailler là-dessus.
C'est pour ça qu'on n'est pas...
On ne l'a jamais fait encore.
Vos numéros
solos, tout est rodé.
Oui, oui.
Mais comme nos pubs,
comme les deux pubs qu'on a tournés,
on peut vous dire qu'ils sont écœurants.
Ça, c'est bon, c'est fait.
Ils sont montés, ça c'est cool.
Mais le reste, je suis convaincue.
C'est drôle comme nom.
Oui, oui, Daniel et Sylvie jouent ensemble.
C'est notre côté enfant aussi.
On joue ensemble. C'est comme notre côté enfant aussi. On joue ensemble.
C'est comme quand on est jeunes.
On joue ensemble.
On joue ensemble.
On est conscient que ça sonne très country aussi.
On pourrait borderline sortir un disque avec ça.
Surtout avec vos noms.
Daniel et Sylvie, ça fait CD qu'on a jeté sur le bord de la main.
Oui, on pourrait aller à Saint-Diètre avec ce show-là,
d'après moi. Daniel et Sylvie
vont à Saint-Diètre.
Jouent ensemble à Saint-Diètre.
Ça va être quoi,
le poster, est-ce que vous le savez?
Ou est-ce qu'il y en a un?
Oui, bien là...
Ça peut être ça.
Est-ce qu'on est pas...
Moi, je te raconte.
Non, mais...
On aurait peut-être dû attendre
d'un vrai tournée.
C'est une vraie tournée, votre affaire.
Ça va de l'air sérieux.
Un poisson d'avril, d'Halloween.
Non, non, mais...
Ça peut être ça.
Ça sera sûrement, oui.
On a comme fait un shooting improvisé
en tournant nos pubs, mais c n'était pas supposé être ça.
C'est balançoire.
Ça, c'est la première pub qu'on joue ensemble.
Il y en a une où on a fait une parodie
de les jeunes qui se grappent.
Explique-le-moi.
À un moment donné, c'est comme deux enfants
qui sont dans un bain.
Ils sont comme père resté de peinture dégueulasse.
Le père les chicane.
Ils ne comprennent pas.
On a fait une parodie de ça. Comme ça, on a joué ensemble. On est full peinture dégueulasse. Comme le père les chicane, ils ne comprennent pas. On a fait un peu une parodie de ça.
Comme ça, on a joué ensemble,
on est full peinture.
Visuellement, c'est super coloré.
Notre show va être super coloré aussi.
Quelle couleur?
Est-ce que vous avez peur
qu'en noir et blanc,
ça va avoir l'air du blackface?
C'est ça qui est mauvais.
Tu es en verre.
Tu es comme un petit zébron.
Là, ça sort dans le journal en noir et blanc.
Triste de racisme.
Ben là, on a du rouge, du jaune et du noir.
Ça va pas bien.
On a toutes les faces.
Tu disais, c'est ton gérant qui est beau.
Qui est ton gérant?
Jean-François Renaud.
OK.
OK, je l'aime, Jean-François.
Oui.
Il a gagné pour une sixième année consécutive à la 10.
C'est vrai?
Oui, non, non.
Ça va bien.
Il est vraiment gentil.
Vraiment gentil, c'est ça.
Ça a été mon premier booker.
Dans le temps à Spectra.
Dans le temps que j'étais chez Spectra.
C'est là qu'il a commencé.
Oui.
On l'aime bien.
On l'aime bien.
C'est ça qui est weird.
J'ai remarqué, ça arrive tout le temps.
Tu sais, mettons, quand on parle de quelqu'un
que personne ne connaît,
puis je fais juste, ah, il est vraiment cool,
ça finit tout le temps sur un...
Tu sais, on dirait,
tu peux parler de monde que personne
ne connaît. Comme des garoles.
Si tu... Non, mais si,
mettons, tu fais « Mon cousin,
il a fait telle affaire, telle affaire. »
Là, le monde va rire, mais si tu fais
« Mon cousin, il est fin.
Il est fin. Tu devrais rencontrer
mon cousin Denis, un chic type. »
Ça fait juste un rire.
C'est bien mauvais comme anecdote.
Il est ami avec un Roger.
Roger, c'est un marte. Roger, c'est un marte. Roger, c'est le même mauvais comme anecdote. Il est tenu avec un Roger. Roger, c'est un marde.
Roger, c'est un marde.
Il cherche le truc cul-salle.
On peut faire 10 minutes sur Roger.
Roger.
Pour qui?
Mais c'est rare
qu'un Roger est prétentieux.
Tu sais, des Roger, c'est des bons gars.
Oui, ils sont pas prétentieux.
Ils sont pas méchants.
Là, c'est des bons gars. Oui. Ils sont pas méchants. Là, c'est exactement
comme du racisme de nom.
C'est très...
C'est encore avec les Roger. Demain,
Front Page Journal de Montréal, Roger Poitras
viole ses enfants.
Pis là, je vais être comme...
Je vais rappeler Yann.
Tu peux-tu faire du montage? Je sais qu'on fait pas du montage,
mais fais juste raj rajouter Steve.
Change le nom de famille.
Steve, ça sonne prédateur sexuel.
Plus que Roger.
C'est vrai, Steve, ça fait...
Serge aussi.
Serge. Ouais, Serge. N'importe quel nom. Marcel, mon nom. Serge aussi Serge
n'importe quel nom
Marcel
n'importe quel gars que tu peux faire
soit des jeux de moins
marcellement sexuel
Marcel
tu sais Serge
ça rime avec verge
ah non ça c'est une autre affaire c'est quoi Ça rime avec verge.
Ah non, ça, c'est une autre affaire.
C'est quoi?
Non, Laval, c'est quoi?
Il vient de Laval.
Ah, oui.
Crise de joke de mon oncle.
De Roger.
Ça, ça finissait tout le temps avec « elle vient d'Anjou ».
« Elle vient d'Anjou ».
« Laval dérapeuse ».
« Laval dérapeuse », « elle vient d'Anjou ».
Crise de joke.
Une chose, ils ont arrêté de la dire.
Je suis désolé de l'avoir ramenée.
Oui, c'est ça.
Ça, est-ce que vous allez l'avoir?
On commence avec ça.
Ça va être malin.
Tu es de ouf, Sylvie.
Ah ben, t'as bordé, j'ai pas.
Mais ça serait drôle, ça, par exemple,
un duo de...
Non, non, mais...
Tu sais que toi, t'embarques
fuck all, mais lui,
il fait de l'humour de mon oncle.
Ah, mais avec Carole, ça serait bien.
Ouais, juste le regard.
Ah ouais, non, t'as s'entorche.
Ah ben, j'ai une couple
de jokes de mon oncle.
Je vais sortir, je vais sortir. T'ai une couple de jokes de mon oncle. Je pourrais les sortir, je pourrais les sortir.
Ah, t'as jamais été très joke de mon oncle?
Non, non, non.
À moins que j'ai un mon oncle vraiment absurde, là.
Ah oui, non, c'est ça.
J'ai des valises avec des choses.
Des accessoires.
J'ai un mon oncle avec des accessoires.
J'ai un mon oncle avec des accessoires.
C'est louche, hein, est-ce que tu dis?
Mon oncle louche avec des accessoires.
Ah, c'est ça.
Des jouettes, des... T'autre en estime du monde. Des jouettes.
T'as juste pas de bonbons.
C'est ça ce que tu penses?
Là, c'est ça que
toi, quand t'avais commencé à faire
du solo, tu disais assez cool
qu'est-ce qui est le fun
d'être tout seul.
J'ai pas estimé l'affaire
à traîner. Mais là, t'es redevenu.
T'as plus de stock que les chics
avec. Ça n'a pas de sens.
Ça n'a pas d'allure, mon gars.
Quand tu vas faire un heure et demie,
ça va te prendre un gros camion
juste pour tes cochonneries.
Mais ça traîne-tu
dans une valise? Oui, mais tu sais,
c'est parce que je suis rendu avec trois valises de Joe.
C'est tout serré dans des petites boîtes.
En plus, à l'intérieur, ça devient
crackpot.
Je suis allé en Belgique la semaine passée.
Et rentré, me promener
à mon show là-bas,
avec une guitare sur le dos, des valises,
mon carry-on.
J'ai l'air d'un âne.
En plus, c'est des
vieilles valises vintage.
Je ne transporte pas très bien.
Tu as l'air d'un sans-abri.
Il y avait fait,
l'autre fois,
on était...
C'est où qu'on est allé?
À Val d'Or.
À la sécurité, à Styx-Tedron.
Oui, c'est parce que non,
c'est à cause des détecteurs de métal.
Dans le fond, parce que trois valises,
ça coûtait comme 200$, mais deux valises, c'était 60$.
Je vais mettre une couple d'accessoires dans mon carry-on,
dont un petit bébé en poupée
qui fait « ah, ah, ah », qui rit.
Puis là, au détecteur de métal,
ça a passé, puis il checkait ça,
puis il y avait plein de monde.
« Ah, non, non, non, non. »
Puis là, la madame a dit au gars, pis là, il checkait ça, pis il y avait plein de monde, pis j'étais là, oh non, oh non, pis là, la madame a dit
à son
gars qui était là, il dit, ben,
faudrait-tu checker la poupée de monsieur?
Pis il sort la poupée du sac,
pis il dit, qu'est-ce que ça fait?
Pis ça arrive.
Mais moi, est-ce que
je comprends pas, pourquoi t'as pas juste
dit, regarde, je suis un humoriste, un accessoire de show. »
Il y avait plein de monde, pis j'étais comme « Ben, c'est parce que, ben, c'est que, ben, pis... »
Parce que, en juste en disant rien, t'as l'air d'un pédophile.
T'as vraiment...
Non, mais, pis en plus, quand on est revenus, par exemple, là, pis qu'ils me l'ont fait en sortant encore,
le mec était avec moi, pis quand ils ont vu qu'il leur sortait de Mike, j'ai fait « Qu'est-ce que c'est que ça? » Tu voulais pas revivre? Je voulais pas être ass Le mec est avec moi, puis quelqu'un a vu qu'il a ressorti de Mike. Je sais que c'est ça qu'il voulait.
Tu ne voulais pas revivre.
Je ne voulais pas être assasiné à ça.
Déjà, imagine, dans la tête du monde,
moi, je blesse des enfants
avec des gags, puis ma première
partie blesse des enfants avec son pénis.
Ça serait...
Mais oui, c'est ça. Mais je n'ai pas ça serait... Ma petite poupée!
Mais ouais,
c'est ça. Mais j'ai pas compris pourquoi t'as pas dit
« Hey, je suis un humoriste. » Ouais, je sais.
Mais si on dirait que c'était...
Je me sentais pas si bien que ça
qu'il monte une poupée devant plein de monde
que ça en allait dans le sud.
C'était drôle, parce qu'après, il a dit
« Moi, j'aime... » Il était bien sérieux.
Il était comme « Moi, j'aime mon humour était bien sérieux, il était comme, moi j'aime mon humour,
mais des fois,
j'ai honte.
Ah, c'est beau ça!
C'est ça, sur scène,
j'adore l'humour que je fais, mais dans la vie,
j'ai honte.
Parce que j'ai une autre affaire aussi, que je joue au clair de la lune
avec des jouets de chiens qui font pipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipipip, vip, vip, vip, vip, vip, vip. » Mais sauf, pour trouver les notes d'Au clair de la Lune,
il a fallu que je cherche
80 sortes de choses
dans le magasin.
Puis un moment donné, j'oublie
que je suis dans le magasin et que je cherche
juste les notes.
Puis j'entends, dans le rangé de la côté de madame,
qui crie « Coudonc, c'est la première fois
qu'il voit des jouets de chien, lui! »
C'est ça, dans la vie de tous les jours, c'est lourd.
C'est lourd à porter des jouets de même.
Mais comment ça s'est passé en Belgique?
C'était super cool, j'ai adoré ça.
Oui, les Belges ont compris les jokes.
Les Belges ont compris ça. Ils ont compris mes jokes. Les Belges ont compris les jokes.
Ils ont compris mes jokes.
C'est souvent des jokes visuels que je fais.
Je danse avec un chat.
C'est assez universel.
Tout le monde danse avec des chats partout.
Oui, c'est un classique.
Ça a super bien été.
J'étais vraiment content.
T'avais-tu des affaires dans ton carry-on
qu'il fallait que tu expliques aux grands Belges?
Mettons, une horloge grand-père, ils connaissent pas ça.
Fait que c'est ça, je pouvais pas foutre.
Mettons, une horloge grand-père, ça existe pas.
Pis mettons, j'enlève mes masques.
J'ai une affaire, j'enlève plein de masques.
Pis un moment donné, je viens vraiment forger.
Choc et noir, c'est pas une expression.
Non, son rouge de colère.
Fait qu'il faut juste peinture un masque rouge.
Tu l'as-tu peinturé en rouge?
Ouais, ouais.
Qu'est-ce que t'aurais-tu juste pour pas faire cette joke-là?
Non, mais tant qu'à être obligé à se peinturer dans en rouge. Qu'est-ce que t'aurais dû juste pas faire cette joke-là? Non, mais tant qu'à être obligé
à se peinturer dans l'avion,
là,
t'avais-tu peinturé ça en...
Avant de partir.
C'était cool, mais sauf que quand je suis arrivé
à la répétition, la peinture avait collé
sur l'autre masque, donc ça ne marchait pas.
Mais non, mais c'est ça.
Il y avait une couple de gars qui a fallu que j'adapte, mais pas tant que ça.
Parce qu'ils comprenaient à 90%.
Maintenant, j'ai fait un 45 minutes
aussi, puis il y a 90% du 45 minutes
qui ont super bien compris.
Ils vieraient beaucoup, sauf que le drummer de Kiss,
ça ne marche pas pour que ça soit le batteur de Kiss.
Ça, tu l'as-tu appris
sur scène?
Non, il me semble, j'ai appris avant.
J'ai demandé à du monde.
Mais tu sais, c'est quand même, c'est ça,
c'est assez simple. Tu sais, on dirait même
notre cerveau. Tu sais, moi, je m'en vais en Suisse
dans deux semaines, là.
Puis j'ai envoyé, je vais faire mon
numéro, j'ai un numéro sur
Viagra, que c'est pour la
télé, là-bas. Je l'ai envoyé.
Puis là, en lisant, j'ai vu,
j'avais une joke avec le mot « sacoche ».
J'ai fait « sacoche », mais ça me semble que c'est québécois.
Là, j'ai googlé, puis j'ai vu.
Sac à main.
Ça fait que c'est pas... On le sait,
la part du temps.
Même des fois, même si c'est quasiment extrême,
tu dis de quoi, tu fais comme
« c'est juste nous autres qui dit ça »,
puis là, t'apprends que non.
Il n'y a pas tant de différence que ça. Oui, puis genre, mettons, « c'est pas fou », ça, ça se dit, « c'est juste nous autres qui dit ça, puis là, t'apprends que non. Il n'y a pas tant de différence que ça.
Oui, puis genre, mettons, c'est pas fou,
ça, ça se dit, c'est pas fou.
C'est une bonne idée, ça, ça se dit là-bas,
mais centre d'achat, ça ne marche pas,
c'est centre commercial.
Mais quand tu dis centre d'achat, ils disent centre commercial,
bon, ils le savent.
Oui, parce qu'il y a le mot
achat et centre,
ça fait qu'ils ont comme assez de...
D'informations.
Ils sont pas comme...
Dès qu'il nous parlait.
D'où est-ce qu'il vient ce type-là?
Fait que c'est choqué rouge.
Rouge de colère.
Rouge de colère.
OK.
Choqué rouge.
Mais c'est normal.
Choqué rouge.
C'est normal.
Vu que tu viens rose, tu viens pas noir.
Moi, je trouve que je suis choqué noir. Même pour'est normal. Vu que tu viens rouge, tu ne viens pas noir. Moi, je trouve que tu chocs est noir.
Même pour que quoi, ça?
Bien, c'est très, très marché.
Ça doit être des idées noires.
Bien, tes yeux deviennent...
Non, tes yeux ne changent pas de couleur quand tu es en crise.
À nous, ça ne te fait pas ça?
Il y a juste le vol que c'est juste.
C'est ça qui est vert, lui. Son oeil au beurre noir. Oui, choc est noir. Choc au beur ça, son oeil au beurre noir.
C'était le choc et noir.
On dit ça au beurre noir?
On dit ça au beurre de pinot?
Non, ça n'a pas rapport.
Là, tu as suivi?
Maintenant que j'ai perdu un bout.
Un oeil au beurre noir?
Un oeil au beurre noir.
On dit ça au beurre de pinot?
Non.
On a un nom catégorique. Un oeil au beurre noir. C'est pas le beurre de pinot. Hé, on dit ça, un oeil au beurre de pinot? Hein? On a un nom catégorique.
Un oeil au beurre de pinot.
Ça dit quelque chose, quelqu'un?
Oui, ça dit quelque chose.
En Abitibi, ça se dit un oeil au beurre de pinot.
Ah ben, tu vois, je savais que ça venait de quelque part.
J'ai déjà entendu ça.
Qu'est-ce que c'est, c'est un oeil au beurre noir?
Oui, c'est un oeil au beurre de pinot.
C'est absurde de dire ça, un oeil au beurre de pinot.
Tu sais, moi, j'ai tout le temps dit un oeil au beurre noir, mais c'est au beurde de dire ça, un oeil au beurre de pinot. Tu sais, moi, je suis tout le temps disant un oeil au beurre noir,
mais c'est au beurre noir.
Ah, c'est du beurre.
C'est du beurre noir.
Au beurre noir, ouais.
Tu sais, je ne sais même pas.
Tu le disais dans un mot, toi?
Ben, tu sais, je disais un oeil au beurre noir.
Au beurre?
Non, non, mais c'est beurre noir.
Ah, OK.
Je n'ai jamais dit beurre noir.
Oh, beurre noir.
Non, non, mais tu sais, je disais un oeil au beurre noir. Ça, beurre noir! Non, mais tu sais, un oeil au beurre noir.
Ça sonne pareil.
Ça sonne français, un oeil au beurre noir.
Ça sonne bien.
Un oeil au beurre noir.
Mais c'est du beurre.
C'est du beurre qui a poigné dans la poêle, peut-être.
Qui est solide.
Ben, c'est ça.
Ça doit devenir de l'eau.
On est rendu sur l'origine des expressions.
Ben oui.
Il n'y a pas un gars, là, tu dis,
qui fait des recherches sur les filles
qui ont été pour après en noir?
L'informateur de Buckingham
va avoir du travail.
C'est quoi l'informateur de Buckingham?
C'est arrivé un moment donné dans le podcast.
Yann, veux-tu l'expliquer?
Moi, je bois, puis je me rappelle...
me rappelle... Ah oui, c'est vrai.
Il y avait un gars,
il connaissait quoi sur Boom Desjardins?
Puis là, on l'a surnommé
l'informateur de Buckingham.
OK, madame.
Là, il y a trois comptes Twitter d'informateurs de Buckingham. OK, madame. Là, il y a trois comptes Twitter
d'informateurs de Buckingham.
OK, OK. Ah, madame!
C'est tout le temps des gags
sur Boom Desjardins.
Fait que c'est genre
Boom Desjardins vient de vendre
un Dodge Durango.
C'est tout le temps...
Vu que là, il est rendu, il travaille
chez un concessionnaire. Ah, je pensais que t'as Jean Immobilier. Non, non que là, il est rendu, il travaille chez un concessionnaire.
Ah, il est pas... Je pensais qu'il était agent immobilier.
Non, non, là, il vend des autos.
Ah, il a changé, il a changé les chars.
Hé, Carole a l'aime, Boum.
Oui, oui, Carole, c'est une fan de Boum.
Carole a l'aime, Boum.
Ah, oui, oui, Carole fantasme sur Boum.
Ah, c'est vrai.
Carole fantasme-tu encore sur Boum?
Non, mais là, elle avait changé cet été, c'était Paul Doucet.
Ah, c'est vrai.
Georges, dans une UT9, là. Ah, il y a eu
des rapprochements.
Tu l'as-tu donné un bec à Paul Doucet cet été
pendant le galop? Non, mais il venait me respirer fort dans le cou
et je pognais une fesse.
Écoute, en répète, l'après-midi,
on s'est autopogné le cul à peu près
40 fois, je pense. C'était tellement absurde.
Parce que c'est ça, comme ça, le number finissait
avec une claque sur une fesse. Là, au début, c'était supposé être Carole qui gravait que c'est ça, comme ça, le number finissait avec une claque sur une fesse. Puis au début, c'était supposé être
Carole qui gravait vers le cul.
Puis après ça, finalement, le metteur...
Alors, on pratique ça genre 15 fois de suite.
Puis après ça, le metteur enceinte disait « Non, finalement,
il dit « Paul, pogne les fesses à Carole. »
Ça a comme été 15 minutes
de pognage de cul. « Non, non, pogne même.
Tournez-vous un peu plus de même. Pognez-vous plus de même. »
C'était comme... C'était tellement absurde.
Ça fait 40 jours qu'il m'a fait pogner le cul
par Georges dans l'UT9.
C'est-à-dire que tu l'actionnes
et qu'il est en prison.
Georges, c'est comme le gars de...
Georges, c'est l'aumônier.
L'aumônier, OK, oui.
Il est super fin, Paul.
C'est juste absurde.
C'est le doigt.
Il y a du monde.
Moi, j'avais appris quand j'étais...
Je ne sais pas c'est qui qui m'a dit ça,
mais les personnages d'Unité 9,
ils reçoivent des lettres de madame de...
Tu sais, genre...
Oui, lâche pas Marie, on est avec toi.
Oui, mais Guylaine Tremblay reçoit des lettres.
« Hey, Guylaine, je vais me parker devant. »
Puis si tu veux...
Tu sais, mais le monde l'appelle Guylaine.
Fait que tu sais, on dirait qu'ils sont assez intelligents
pour comprendre que c'est un personnage,
mais je vais aller t'attendre devant la prison.
Imagine.
M'en vais à Lietville mardi à 7h.
Elle a un hélicoptère.
Lietville, en plus, ça existe-tu?
Non, non.
C'est une ville, ça, Lietville?
C'est une vraie ville?
Non.
C'est un bon nom, ville.
Ça sonne village.
Il y a peut-être...
Il faut l'informateur de Buckingham.
Peut-être que c'est à côté de Buckingham.
Oui, ça devrait être l'informateur de Lietteville.
Que lui, c'est juste des scouts pour ce qui se passe à la cantine.
Ils ont-tu décroché de la calisse de cantine?
Oui, oui, oui.
Cantine, ils ont arrêté ça.
Parce que moi, ma blonde avait fait,
regarde ça, tu vas aimer ça. Puis là, j'ai fait
regarder des madames qui vivent
dans un chalet, qui travaillent dans une cantine
à un moment donné.
J'ai une crise que j'ai décrochée.
Tu sais, quand ils ont changé le chantilly,
ça ne ressemblait pas.
C'était pas pareil.
Ça, je n'ai jamais compris pourquoi ils ont pas juste fait
bon elle
il y en a un autre qui est un peu rock
ouais mais il devait avoir trop de jus
avec ce personnage là
mais tu sais en même temps
elle joue comme une
charagne
des charrues en prison
il doit pas en avoir juste une
il peut avoir un autre nom.
Oui, c'est ça.
Il peut avoir...
Je ne sais pas.
Essaye de trouver un nom.
Shandy.
Quand tu nommes ton enfant
Shandy, t'espères qu'elle
devienne prostituée.
Tu n'as pas des gosses à temps.
Quand elle va danser, elle ne serait pas obligée de changer de nom.
Non, restez.
C'est vrai que ça fait nom
de danseuse. Ça existe-tu comme nom?
Shandy.
Par Shandy? Shandy, c'est le
nom du brevet. Je sais quand tu mixes
euh...
C'est des Twishandy. C'est de la bière
pis du ginger ale.
C'est du shandy.
Ça s'appelle du shandy.
Dans les années 80, il avait sorti le Twish Andy,
qui était la première bière twist-up.
Oui, c'est comme les Bacardi Breezer.
Oui, oui, oui.
Le Twish.
Twish Andy.
C'était juste la bière qui goûtait moins de bière.
C'était une light, mais avec plus de calories.
En gros, quand t'as des goûts, t'ère. Tu sais, c'était une light, mais avec plus de calories. Tu sais, en gros, là,
quand t'as le goût d'être à jeun, mais gros.
Moi, dans le temps où je buvais de la bière,
c'est ça que je prenais avant les shows.
La shandy?
Bien, je prenais une bière, puis du 7-Up Diet.
Puis comme ça, mettons, si j'avais le goût de boire...
Un panaché?
Ça? Non, mais c'est un Shandy,
moi, du coup.
Mais t'es toi, Shandy.
Moi, je pense,
le vrai Shandy,
moi, j'ai comme le deuxième Shandy.
Moi aussi,
il a changé de Shandy
mais je ne l'ai pas dit à personne.
Fait que c'est un Shandy...
Il s'en a un peu
à la première Shandy
mais avec des cheveux
plus guérissants.
Ça leur a été hâte, tu sais,
elle a joué dans une série,
Boomerang.
Ça leur était hâte
qu'ils changent son personnage
pour Suzanne Clément,
qu'elle arrive, elle,
la deuxième saison.
Ils n'en parlent pas.
Ils ne se rient pas.
Ils vont juste tout le temps
changer de personnage.
Ça m'a été vraiment hâte, ça.
Mais ils faisaient ça dans le temps,
la télé, tu sais, Roseanne,
il y avait une des
sœurs que c'était pas le même
personnage. La sorcière
bien-aimée, elle a changé de mari,
mais il s'appelait encore le même nom.
Oui.
Oui, oui.
Mais c'est prendre
le public pour des imbéciles
mais en même temps si ton public écrit
hey Marie je vais être devant la prison
elle doit faire
car il y a Shandy
elle a pogné un petit coup de jambe
c'est clair
en plus la Shandy
la nouvelle elle est comme 15 ans
plus jeune
un bon 10-12 ans.
Oui, peut-être.
C'est une nouvelle Shandy.
C'est une nouvelle Shandy.
Il y a une nouvelle
Twish Shandy.
C'est tellement horrible comme mot
qu'ils ont trouvé ça du Twish Shandy.
Twish Shandy. Je comprends pourquoi
ils ont arrêté d'en faire. Mais tu sais, ils appelaient ça
Twist parce qu'à l'époque, c'était comme...
C'était comme une révolutionnaire.
Oui, c'est ça que j'ai dit tantôt.
Excuse-moi, c'est un peu caché.
Non, c'est les premières bières « twist cap » au Canada.
Parce qu'il y avait en même temps, il y avait la Miller Lite,
qu'eux autres, c'était des « twist cap »,
mais ça s'appelait « bottle open bottle ».
Puis tu avais...
En dessous, il y a du tapis.
Oui, pour vraiment comme un astuce d'ivrogne.
Ah, oui, oui.
C'est comme s'allumer avec tes tops, là, tu sais.
Mais, tu sais...
Ah!
Puis le pire, elle s'ouvrait en « twist-up », mais les pubs, c'était ça.
Fait que là, les gars buvaient, buvaient, buvaient.
Ils s'endormaient au volant.
C'est vraiment absurde de mettre un affaire pour vite à bien en dessous de l'eau.
Bien, quand même des inventions
qui n'existent plus.
Moi, c'est ça.
Qu'est-ce qui est drôle?
Hier, je parlais de ça avec ton frère.
Daniel, c'est le frère de Michel,
mon gérant. On parlait
qu'on est la dernière génération
qu'on se rappelle
du temps qu' on changeait de bar
puis on prenait nos chars, mettons,
on allait sous la telle place,
c'est plat, c'est, on s'en va.
Surtout, le monde qui n'était pas à Montréal
ou Québec, mettons, t'es comme,
c'est plat, c'est, on s'en va à Drummondville.
Puis là, vite, on a un char sous red.
C'est quand même.
Moi, c'est surprenant que je n'ai pas tué personne.
Dans mon jeune temps, là, je sais que c'est surprenant que je n'ai pas tué personne. Moi aussi.
Moi aussi.
C'est surprenant que je ne t'ai pas tué.
Moi, le premier
souvenir que j'ai de Daniel,
on était sous d'un bar,
c'est genre la première ou deuxième journée
de l'école, puis là, il est comme,
« Tu veux-tu un livre? »
Là, on roule sur Saint-Denis.
Sur Saint-Laurent.
Puis après ça, on tourne à droite sur Saint-Denis. Sur Saint-Laurent. Puis après ça, on tourne à droite.
On a tourné à droite sur Saint-Denis.
OK, oui.
Le bout ici, c'est un one-way.
Puis là, on montait.
Puis là, le monde klaxonnait.
Puis là, j'étais comme, je pense qu'on est dans la mauvaise direction.
Mais ça a pris un bout avant.
Oui, oui, oui.
Mais ça a pris un bout, là, tu sais, avant.
Ouais, ouais, ouais.
Ouais.
Pis là, après, ça a été tourné.
Ouais, c'était assez... Ça, vous vous êtes rencontrés à l'école de nouveau?
Ouais, ouais.
Ça fait un petit bout de...
Ça fait 25 ans qu'on se connaît.
Ouais, ouais.
Ça fait long.
26 ans, ouais.
Je pense que c'était tu qui t'as présenté Michel.
Ouais.
Ben, j'avais été à Victo avec Francis.
Je couchais chez Francis.
Là, Francis, il avait rencontré une fille
et il était parti avec la fille.
Moi, j'étais comme, tabarnak!
Où sais-je que je dors?
Tu m'as emmené dans une ville
que je ne sais pas où tu restes.
Je ne connais pas ta mère.
Je savais que
le frère à Daniel
travaillait là. Fait que là, je pense
qu'on s'était peut-être rencontrés, puis je suis allé
voir, puis je suis allé coucher. Je sais pas si toi,
t'étais là ce soir-là, ou je pense que c'était juste
Michel, je suis allé coucher chez ta mère.
Puis là, Francis s'est jamais
excusé. Après, tu sais, le lendemain,
j'ai juste fait « Qu'est-ce qui est arrivé? »
Puis il a fait « Ah, il était cool, la fille. »
« Ben oui, oui, Chris » Moi, tabarnak,
on s'est proches de dormir dans la rue.
Ah, non.
Dans le temps de l'Évase,
moi, c'est ça que je me souviens,
pas d'avoir conduit saoul de Montréal à Victo,
mais dans le temps, à Victo,
il y avait comme deux bars à l'intersection,
l'Évase et le Christophe.
On laissait nos manteaux à l'Évase.
On traversait comme en plein hiver, on restait'évas, on traversait en plein hiver,
c'était à moins 40,
on traversait sans camisole,
jusqu'au moins pour ne pas payer deux vestiaires.
On alternait tout le temps.
Ça, c'était à l'issue de ne pas payer des vestiaires,
mais on les laissait des fois dans le char.
Moi, j'arrivais...
50 ans, ne pas y avoir une grippe,
ça coûte 40$ de médicaments.
Ça, ça doit se faire encore.
Ça doit se faire encore. Ça doit se faire encore.
C'est sûr.
On avait comme 16 ans.
Moi, le pire, qu'est-ce qui est absurde,
je ne trouve pas ça absurde d'avoir fait ça,
mais ce que je trouve absurde, moi, à Québec,
des fois, j'attendais en ligne,
mettons, pour rentrer au DAG,
mais en T-shirt.
Vu que j'avais laissé mon code dans le char.
C'est moi, de février,
j'attendais 42 minutes. La mort j'avais laissé mon code dans le char. Moi, de février, j'attendais 42 minutes
pour la mordre au nez.
C'est con, là.
On faisait ça.
C'est vraiment absurde.
Moi, j'ai réussi à commencer
à rentrer dans les barges vers 16-17 ans.
J'avais l'air fucking trop jeune
tout le temps. Mais j'allais veiller
en bicycle à pédales.
Peut-être pour ça, je me faisais carter aussi.
Je m'en venais en bicycle à pédales,
mais comme je faisais un détour pour ne pas passer
devant le bord, je me parquais.
J'allais rejoindre mes chums.
Mais nous autres, c'était comme chacun pour soi.
Si tu rentres, tant mieux, tu ne regardes pas derrière.
Si tu ne rentrais pas,
just too bad, on t'abandonne.
Même moi, pour vrai, trois fois sur quatre, j'étais comme « tabarnak, je vais vous demander mes cas ».
Moi, je faisais tout le temps le truc, vu que j'avais de l'air bien jeune, je portais quelqu'un d'un peu plus vieux en ligne,
puis j'y demandais « peux-tu faire semblant d'être avec toi? »
Ça marchait?
Quand je leur disais ça, ils disaient tout le temps non.
Ce que je faisais à la place, je je leur parlais. Je faisais genre,
« Excuse-moi. » Mais en marchant,
« Excuse-moi. » Je leur parlais
avec ma main sur l'épaule.
Le donnant me disait, « Ça doit être son chum. »
C'est pas fou, ça.
Moi, j'avais de l'air bien jeune.
Moi, dans le temps à Québec,
ils me laissaient juste rentrer
dans les bars, ça a vu Saint-Jean.
Vu que ça a vu Saint-Jean, ils ne cartaient personne.
Ça fait que c'était soit des soldats ou des enfants de 15 ans.
Ah!
C'est ça!
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
Ça avait une ambiance.
C'est ça!
Ambiance weird.
Ah oui!
Oui.
J'avais eu un de mes chums un moment donné, on attendait en ligne au DAG.
Puis le DAG, c'est le bar le plus dur à rentrer, il cartait au bas.
Puis là, mon chum,
il était dans les réserves,
tu sais, il avait
ses dog tags, puis là,
il disait, le DAG
n'acceptait pas les militaires, mais il avait dit,
non, non, je vais faire semblant que je suis dans les Air Force,
il laisse le monde rentrer
dans les Air Force, je vais lui dire, je suis pilote.
Puis là, tu sais, il avait de l'air
de 12 ans avec ça.
Puis là, il avait dit au gars, tu sais, le gars avait fait
« Non, vous êtes trop jeune », puis il avait dit « Je suis pilote ».
Puis là, il avait juste dit « Mais retourne dans ton
avion, puis décolle. »
Puis là, on était comme « Ah, ouais. »
La vérité, il parlait de nous autres.
« Ah, il a parké son avion sur le toit. »
Là, ça, on était humiliés.
Quand j'ai vu le film, 1987,
tu sais, Ivo Dag,
ça m'a rappelé tellement de souvenirs.
J'étais comme, « Ah, c'est qui qui a jamais ça, le Dag? »
Tu viens d'où?
Moi, je viens de Québec.
OK.
Oui, je viens de Québec.
Cet été, c'était-tu cet été ou...
Pas cet été, l'été passé, j'avais fait un entrevue à Québec.
Puis là, ils m'ont dit, ça te prend un endroit que tu as marqué.
Mais tu sais, moi, l'école, je n'ai pas de beaux souvenirs de l'école.
Mes beaux souvenirs de Québec sont tous des souvenirs depuis que je ne reste plus là.
Je n'ai pas le genre de souvenirs depuis que je reste plus là. J'ai pas le
genre de resto préféré que je vois. Je commence, je suis nostalgique. Mais le DAG,
ça, je suis vraiment nostalgique. J'ai dit, je vais le faire au DAG. C'était le fun
d'être... Il y a de quoi que j'aime d'être dans un bar quand il fait clair. Tu vois
que tu fais... Tout est sale.
Tout est dégueulasse.
Ça roule-tu encore comme dans le temps,
aujourd'hui?
Moi, c'était le jour.
C'était pour « salut, bonjour ». Il était 8 heures le matin.
Ça roule un peu mollo.
Mais je pense que ça roule
encore. Pas comme dans le temps,
mais je pense que ça roule encore.
Moi, c'est ça.
Moi, c'est ça.
C'est ça, ça fait des années. Oui, ça fait...
Moi, j'ai fêté leur...
Ils m'avaient engagé
pour fêter leur 30e anniversaire
il y a 10-12 ans.
Ça doit faire 40 ans
que ça existe.
Puis déjà, nous autres,
c'était hot aussi quand ils avaient fait
le 30e anniversaire,
sous le show, il y avait moi, Peter McLeod,
PA, puis Guillaume Wagner.
Guillaume, il commençait.
C'était gratuit pour rentrer,
puis il faisait tirer un char qui valait 30 000.
Pour fêter les 30 ans.
C'était weird.
Le gars qui avait gagné, il était même pas content.
Tu sais, tu gagnes un char de 30 000,
tu devrais faire ta mère.
Il était juste monté sur scène, puis il avait fait...
Il a pris ses clés.
J'ai vu un premier ambassadeur.
Non, mais j'avais demandé...
J'avais fait...
Le gars m'avait dit,
j'avais fait, pourquoi t'étais pas heureux?
Puis il a fait, Asti, viens m'acheter un Audi plus haut que cet Asti Dodge-là. Puis dit, j'avais fait, pourquoi tu n'étais pas heureux? Puis il a fait, je viens de m'acheter
un Audi plus haut
que ce style Dodge-là.
Puis là,
j'étais comme,
mais Chris,
montre-moi.
Il y avait plein de monde
de 20 ans.
Ben oui,
qui avait le capotin.
Oui,
d'avoir un char gratuit.
Tu ne gagnais pas le char,
mais tu avais une location
gratuite pour deux ans
ou trois ans.
C'est quand même
quelque chose de cool.
Souris au moins.
Ça vaut 30 minutes ton sourire.
Les chics,
vous avez adligné au Dac?
Oui, c'était vraiment hot
quand tu faisais un bon gag.
Il y avait du monde en haut au deuxième étage
qui voyait sur des écrans.
Quand le gag était bon,
il tapait le tuyau.
Moi, j'ai gardé, je fais encore ça en star,
quand, mettons, j'anime des soirées,
puis je sais que là, là, j'ai dans le sous-sol,
je dis au public de taper.
Tu sais, hier, j'animais pour un show pour Barf,
puis là, j'ai dit au public,
taper du pied, tu sais.
Il y a de quoi de très bien, tu sais.
Le feeling est vraiment quelque chose.
C'est comme stressant.
Surtout, le DAG, c'était vraiment cool.
Il n'y a pas eu...
C'est la seule soirée d'humour
qui rentrait de mort, je pense.
Toi, tu as commencé à faire de l'humour
en quelle année?
2009.
Ok, ça faisait longtemps que tu étais mort.
Oui, je suis revenu le DAG. J'ai étéétait mort, le DAG. Oui, non, je ne me souviens pas du DAG, non.
Bien, j'ai été veillée au DAG, mais je ne sais pas.
En 2009...
Tu n'as pas été veillée à un basic de fictos.
Non, mais en pas tant que ça.
Je n'étais pas si craint.
En 2009, c'était quoi les soirées du monde, la femme?
2009, Saint-Cybe.
OK.
Oui, le Saint-Cybe qui est comme mort depuis...
Oui, qui a comme passé au feu.
On dirait qu'il n'y a personne qui a pensé.
On pourrait reconstruire.
Non, mais je pense qu'ils ont reconstruit.
Ils ont-tu construit?
Parce que cet été, la terrasse était ouverte.
C'est peut-être la seule chose qui n'a pas brûlé.
Mais non, les soirées du mot ne sont pas revenues, en effet.
Mais non, Saint-Cybe, c'était comme mythique.
C'était cool.
C'était vraiment...
Ça, puis sinon...
Ben, Saint-Lazare, Gatineau...
Saint-Lazare, ça, c'est 20 ans, cette année.
Malade, quand même.
Oui, oui.
Ah non, oui.
Non, Saint-Lazare, c'est ça.
Quand tu réussis cette bouquée-là, c'était comme...
Oh, shit, yes.
OK.
Saint-Lazare, Gatineau aussi.
C'est comme les trois. Saint-Lazare aussi, c'était comme « Oh shit, yes ». Saint-Lazare-Gatineau aussi, c'était comme les trois.
Saint-Lazare aussi, c'était genre...
C'était pas n'importe
quel headliner qui pouvait...
Non, non, non.
C'était quand même, même les premières
parties, il fallait que
quelqu'un comme l'animateur, à la limite, t'aille vu
au moins faire un 10-12-15
comme t'as pris en première partie.
Mais non, ça c'était... Il y a de quoi de le fun, ces soirées-là. Par exemple, parce que là, tu as pris en première partie. Mais non, ça, c'était...
Il y a de quoi de le fun,
ces soirées-là.
Par exemple,
parce que là,
tu te sens vraiment
comme si tu as accompli quoi,
tu sais.
Oui, oui, oui, non, non.
Il y a comme un sentiment
de...
Nous autres, c'était le DAG.
Tu sais,
quand tu es de l'Aïno au DAG,
tu ne faisais plus jamais
de première partie.
C'était comme si
tu avais réussi.
Tu avais fait tes preuves.
Oui.
Les chics, c'est ça.
Ça marchait bien.
Vous étiez pas mal les seuls qui ne faisaient pas de stand-up qui marchait bien au DAP.
Oui, oui.
Il n'y avait pas tant de monde qui faisait des sketchs.
Qu'est-ce que vous faisiez pour les coulisses?
On emmenait tout le temps un rideau avec du tape.
On traînait nos coulisses.
C'était un peu compliqué pour les tchèques de jouer partout. un rideau avec du tape, on s'arrangeait avec, on traînait nos coulisses, on s'arrangeait,
c'était un peu compliqué pour les chasseurs de jouer partout,
on avait joué beaucoup en région,
mettons, avec la tournée à Snappy,
puis à Saint-Marie-de-Beau, tout ça,
on emmenait nos coulisses, nos micro-casques,
on mettait
nos stocks sur des chaises,
puis on se cachait en arrière de deux rideaux des hauts plafonds.
Quand même.
Moi, le premier soir,
j'aurais fait « fuck off ». Je vais faire tout ça dedans.
Pourtant, tu as déjà joué dans un de nos
sketchs sur scène.
Oui, bien oui.
Je l'avais fait pendant le festival
de la vache quichée.
À Victo, il y a le festival
de la vache quichée.
À Victo. Pourquoi je ne peux pas vous prendre deache qui chie. À Victo? À Victo.
Pourquoi je ne peux pas vous parler de ça?
Elle est tombée sick sûrement, elle n'est pas rendue.
Elle est restée poignée dans le tas de marde.
Mais où, puis quand, puis quoi?
Dans l'aréna, il y avait...
Dans l'expo?
Il y avait un stage, un bout de l'aréna.
Puis là, le reste de l'aréna,
il y avait des numéros à table, des carrés.
Puis là, une vache qui marche.
Puis le public sont là que si la vache
chie sur leur numéro,
ils gagnent 1000 piastres.
Puis pendant, en attendant que la vache chie,
il y avait les chicken swell
qui faisaient de l'humour.
En attendant qu'elle chie?
En attendant qu'elle chie.
C'est une belle leçon
d'humilité, ça.
Mais t'as pas...
Ça peut prendre 5 minutes,
comme ça peut prendre
une demi-heure, comme...
Oui, oui, oui.
Je le sais.
Tu sais, le monde
est assis devant
où est-ce que la vache
se prend,
mais nous autres,
on est dans les fonds,
là-bas.
Fait que là, on joue,
on essaie de faire notre show.
Le monde check juste la vache?
Le monde check la vache
puis au lieu de nous écouter, ils sont comme, elle va chier, elle va faire quelqu'un, elle va chier, elle va chier, puis nous autres, on essaie de faire notre show. Le monde check juste la vache. Le monde check la vache. Puis au lieu de nous écouter, ils sont comme,
« Elle va chier, elle va faire quelqu'un, elle va chier, elle va chier! »
Puis là, nous autres, on essaie de faire notre show.
Puis du coup, c'était...
Ah, mon Dieu, mais c'est terrible!
C'était moyen.
Vous l'avez fait combien de temps avec la chute?
On se fait upstager par un guin-quin, une vache.
Puis, tu sais, les chicks dans le temps, c'était Daniel puis Francis.
Puis il y en a un troisième qui faisait...
Puis c'était tout le temps Francis Pellerin dans ce temps-là
qui
il venait faire genre des poétiques
mais là ils se sont dit Chris on est pas pour
payer quelqu'un
pour...
je pense que c'était ça
c'était cette fois-là que Francis avait dit
viens on va faire ça
le soir
tu te rends à la chambre.
Le jour où tu vas faire partie
des chicks, puis le soir, je vais t'abandonner.
Ouais, c'est ça.
C'est une belle leçon du ministère.
Ouais, ça, c'est une belle leçon du ministère.
C'était quoi le caméo que t'as fait?
Je suis juste rentré en Louis-Charlie.
Ah, ouais, ouais, tu passes en Louis-Charlie.
Ouais.
Je m'en rappelle pas, mais je me rappelle la vache.
Moi, j'avais peur que la vache chie
pendant que je suis sur scène.
Puis là, tout le monde face.
C'est bien mauvais.
Mais c'est terrible.
Je le sais, c'était pas...
Ça devait être chrismement mal payé.
C'est parce que d'habitude, quelqu'un qui t'engage...
C'était moins que 1000$.
C'était comme une diversion.
J'avais pris une couple de numéros
pour que je t'arrête la vache sur mon carré.
Mais c'était quoi, tu penses?
Ça devait être...
350$.
C'est quand même bon.
En sortant de l'école,
vous étiez peut-être même à l'école à cette époque-là.
300-400$, ça vaut la peine.
Oui.
Mais c'est donc bien.
Ils ont fait ça une année d'attente, là.
Non, mais ça me...
Ça revient tout le temps.
Il y a plein de films.
Comme les canards, la course des canards.
Ah oui, oui.
Non, mais ça, ça a fait un petit bout de temps.
Il n'y en a plus de canards?
Non, non, ça me dit que non.
Ils l'ont fait comme des canards dans les rivières.
Ils font ça à Saint-Jean-sur-Richelieu.
Tu sais, c'est tellement mauvais pour l'a lancé comme des canards dans la zone de l'hiver. Ils font ça à Saint-Jean-sur-Richelieu. Tu sais, c'est tellement mauvais pour l'environnement.
T'as pas rien à faire.
Est-ce que tu vides de l'huile?
Sur un canard.
Sur un canard.
Sur un canard.
Non, non, non.
Lui qui est capable de me voler encore,
qui gagne mes pièges.
C'est ça qui est drôle, par exemple.
Tu sais, vu que toi, là,, vu que tu as recommencé solo,
tu as recommencé à faire des affaires
comme le festival de la vache qui chie.
Ton show que tu as fait pour les réfugiés syriens,
il a fait un show pour des réfugiés syriens.
Là, ils se disaient que c'était cool.
C'était j'aide du monde qui en a besoin.
Mais de l'humour, c'est le fun si le monde te comprenne.
C'est ça, oui.
J'avais des pancartes que j'avais traduit
en...
En arabe.
Mais ils montrent des pancartes à...
Premièrement, un, c'était des
enfants, fait que tu ne savais pas comment lire.
Les adultes sont dans un pays de guerre,
fait qu'ils ne savent pas comment lire non plus.
Ils sont traumatisés.
Toi, en plus, tu leur montres des lettres
comme ils ont vu que l'État islamique
a sur leur bâtisse.
Ils devaient être traumatisés.
Ça a été moyen, puis à la fin, c'est là que quelqu'un est venu me voir.
C'est une belle leçon d'humilité.
Ah non, mais voyons donc!
Quelle leçon!
Quelle mépris!
Mais c'est quand même moi.
Qui t'a engagé ça? Pourquoi?
C'est quelqu'un avec qui je fais du karaté, justement,
qui m'a dit, « Hey, tu voudrais-tu venir? »
J'ai dit, « Oui, moi, y aller, c'est sûr. »
Fait que je suis allé, puis c'était calme.
C'était quand même cool avant, le show, puis après.
C'est juste que j'étais en vitesse.
Hey, ça doit être weird que des réfugiés
te prennent en pitié.
Que les réfugiés fassent pour lui.
Il n'a pas une belle vie, ce monsieur-là.
Je suis en train de me réfugier.
Mais qu'est-ce qu'ils faisaient, eux autres, pendant le show?
Parce qu'ils comprenaient-tu que c'était un show?
Ils regardaient un peu.
Non, non, non.
C'était...
Il y a un moment donné, il y a un petit gars qui a voulu venir prendre le show.
Mon show avec quoi je dansais.
Tu l'as kické dans la face.
Je ne serais pas capable de le lever jusqu'à la tête.
Mais non.
Ils comprennent un peu.
Mais je te dirais que ce n'est pas ma meilleure performance.
Il aurait fallu que tu joues quasiment plus clownesque.
Oui, peut-être.
Mais bon, je n'ai pas pensé sur le coup.
Mais non, c'est ça.
Il y en a des gigs.
En soirée, c'est ça. Il y en a des gigs. Tu sais, il y a des gigs comme...
À Sorel, c'était rock and roll.
Cette semaine, on a joué à Sorel,
puis c'était rock.
C'est la fois que j'ai reçu le plus de messages
de monde qui s'excusait de la ville.
Puis on espère que tu vas revenir.
Il y a du monde qui a parlé.
On a adoré tes gangs, mais on s'excuse par ailleurs.
C'est la fois que j'ai reçu le plus de messages.
C'est drôle.
Ça arrive souvent même que
les shows qui vont pas bien,
c'est là que t'as le plus de monde.
C'est là que t'as le plus d'amour.
Moi, cet été, j'avais eu un show en Écosse
qui avait pas bien été. C'est le soir que j'ai eu
le plus de messages.
Mais c'est des messages
de monde qui sentent mal pour toi.
Ils font comme, non, non, tu es bon.
Mais ils disent juste ça pour que tu te suicides.
Mais oui, c'était spécial, ça reste.
C'est assez rough.
Ça reste, cette tournée-là, mais la tournée,
Découen fait à Cathy G Catico, c'est son deuxième
show, il y a un gars qui avait flashé sa
graine, là, à Sorel.
Dans le public? Oui, dans le public.
On a deuxièmement rangé, il s'est levé sur son banc, puis il a
flashé son pétrole. C'est quand même un théâtre.
Oui, oui, oui, oui, vraiment.
Non, fait que quand on est allé à Sorel avec ce show-là,
pas trop catholique, on avait comme des attentes.
Moi, j'ai dit, je sais pas.
Flashé sa graine?ère, la crème.
Je ne sais pas qui était tout seul.
Parce que moi, mettons...
Non, sa blonde était très mal à l'aise.
Hé, Christ, moi, là, être sa blonde,
c'est clair, je fais...
On va parler dans le chat.
Il y a des moves qui sont cool.
Ça, c'est peut-être pas correct.
Oui, oui, non.
Qu'est-ce qu'il pourrait t'en dire plus longtemps.
Non, sa blonde n'est pas contente.
Dans notre show,
peut-être qu'il y a du monde qui va flasher sa graine.
Peut-être.
Ça va être malade.
Faudrait que si quelqu'un flash la graine,
il faudrait que Roger rentre et
« C'est ma graine! »
« C'est ma graine! » Ça serait malade. C'est ma graine, il faudrait que Roger rentre et « C'est ma graine! » « C'est ma! »
« Ça serait malade. »
« C'est ma graine. »
Ça, c'est une affaire que j'ai jamais
compris. Tu sais, comme toi,
tu reçois-tu bien des
photos de graines?
J'ai entendu dire que les filles humoristes
recevaient bien des photos de graines.
Pour vrai? Ah, mais ouais.
Non, mais pour vrai, moi, non. J'ai jamais reçu des photos de graines. Hein? Pour vrai? Ah, mais ouais. Ouais. Ben, non, mais pour vrai, moi,
non. OK. Non, j'ai jamais reçu de photos
de graines. Mais...
Non, mais je comprends pas. Mais en même temps,
est-ce que vous vous êtes déjà fait flasher des boules dans un show,
maintenant? Euh, oui, moi, oui.
Pour vrai? Oui, oui. Malade. Souvent?
Euh, ça fait longtemps.
Malade. Ça fait longtemps. Malade.
C'est malade.
Oui, je fais la première partie de Mike,
j'ai fait flasher des boules. La première partie de Cathy,
j'ai fait flasher des grilles. Ça va pas être!
Malade!
Moi, ça fait longtemps, longtemps que c'est pas arrivé.
Dans le temps
que je faisais des bars, comme dans les années 90,
que là,
vu que j'étais comme rock,
les fées voulaient faire Chris.
Ah, moi, quand je suis allé voir Bon Jovi
j'ai flashé mes tatons
il va faire la même affaire, mais tu sais pour l'humour
ça fit pas
c'est pas comme une toune
que tu t'envoies
tu sais comme il y a
quand on tourne le Mike Ward show
il y a une gang qui viennent tout le temps
pis ils sont dans Piri pis ils ont du fun
mais en riant ils font tout le temps, puis ils sont dedans, puis ils rient, puis ils ont du fun, mais en riant,
ils font tout le temps ça, puis là,
je suis comme, c'est weird de se rire
en faisant
des signes de rock.
Il y a de quoi d'absurde.
Puis à chaque fois, je suis comme,
c'est weird.
Mais je suis pas content.
Ils sont quatre.
Ils sont quatre.
Puis ils trippent solides.
Ils ont du fun.
Ils rient aux bonnes places.
Mais vu qu'il y a des bandes
métal, on dirait
qu'ils font ça pendant le band.
C'est un réflexe.
Ils rient pendant le band.
Tant qu'à avoir le mauvais réflexe.
Il y a des brabes sur les paroles.
Il parle des crabes.
Ce corps-là, il est malade.
Un dos, un dos.
Mais c'est weird.
L'autre fois, je ne me rappelle pas
c'est quel invité j'avais.
C'était-tu l'homme?
Je ne me rappelle pas c'est qui,
mais je me rappelle l'invité,
à un moment donné,
il a fait un gag,
ça rit fort,
puis il a eu le débat.
Puis là, j'ai senti qu'il était déstabilisé
il était comme
c'est quand même rare
ça ça arrive jamais
vous êtes-tu à ce temps-là
dans les années 90
on va voir en 2020
moi
moi je ne tiens pas une photo de grande.
OK.
C'est correct.
Oui, oui, oui.
Ce n'est pas une demande.
Ce n'est pas une demande.
Ça va très bien.
Ça m'emporte bien.
Mais non.
Non, en effet.
Ça m'emporte à gauche très bien.
Non, mais c'est ça.
Mais autant que...
Qu'est-ce que ça dit?
Les yeux de mou un peu plus en haut.
Ça m'emportes ta gauche.
Ah, OK.
Mais recevez-vous des photos de boules?
Non, moi, rien.
Moi, ça fait tellement longtemps que je suis avec ma blonde
et que je parle tout le temps de ma blonde.
Les envoyer à ta blonde,
ce sera correct, elle est bonne.
Non, mais je sais que Mercier
a reçu des photos de filles
et des dumbbacks.
Oui, c'est ça.
Ça nous dépend de qui.
Ça fait 20 ans que je suis avec la même fille.
C'est juste weird de m'envoyer
des photos de boules.
Moi, je ne reçois pas de photos de boules.
Je sais que vous ne m'avez pas posé la question.
Je voulais demander à tous les deux.
Un affaire qui est bien weird,
par exemple, dernièrement,
une vieille madame tripe sur moi. Recevoiraire qui est bien weird, par exemple, dernièrement, une vieille madame
trippe sur moi.
Recevoir des photos de boules,
ce serait des quinquagénaires
en mon temps.
C'est drôle, ça.
Il y a une madame dans le Mike Ward show qui s'appelle Yolanda.
Elle a 81 ans.
Elle t'a envoyé des photos.
Non, mais elle,
elle crisse quand même.
Elle dit tout le temps, toi, t elle, là, tu sais, elle crisse quand même, là. Elle dit tout le temps,
« Hey, toi, t'es tellement beau.
T'es tellement beau. »
Puis là, elle est comme, « C'est vrai, là.
C'est vrai.
Toi, je te ferais des affaires.
Là, je te ferais des affaires. »
Elle est tellement cute.
L'autre fois, j'ai fait un tournage chez eux,
puis elle voulait me recevoir à souper,
puis là, l'idée,
c'était qu'elle allait arriver avec
un strap-on.
Puis là,
elle arrive, puis là, elle compte ça
à sa voisine, OK? Fait que là, l'équipe,
elle jette un strap-on,
mais là, elle, elle compte ça à sa voisine, puis elle,
elle appelle ça une piscette. Fait qu'elle dit
à sa voisine, elle dit, là, ils vont me mettre
une piscette, puis là, je vais arriver, puis Mike va être surpris. Puis là, sa voisine, elle fait, j'en ai une piscette. Elle dit à sa voisine, là, ils vont me mettre une piscette, puis là, je vais arriver, Mike va être surpris.
Puis là, sa voisine, elle fait, j'en ai une piscette, moi.
Fait que là, elle lui a donné son vibrateur,
le vibrateur d'une voisine de 80 quelques années.
Et là, moi, j'arrive chez Yolanda,
puis là, je vois, c'est-tu un vibrateur
qui traîne dans la chambre à coucher.
Je me dis que ça doit être juste pour le gag.
Mais là, Simon, qui est le producteur, me dit que ce vibrateur-là, c'est le vibrateur de la voisine.
Pour ne pas, si elle te le sort, ne le mets pas dans la bouche.
Ne le fais pas.
Même si tu veux faire un gant.
Puis là, elle est arrivée, puis elle l'a sortie,
puis là, elle le frottait sur moi,
puis j'étais tellement pas bien,
j'étais comme...
C'était dégueulasse.
Puis après, par exemple,
elle est arrivée avec
le strap-on,
puis elle avait, dans mon chou, dans le temps, j'avais une affaire que je disais, que j'avais mis ma graine dans le champagne, Elle est arrivée avec le strap-on.
Dans mon show, dans le temps,
j'avais une affaire que je disais que j'avais mis ma graine dans du champagne.
Elle avait du champagne.
Elle voulait tremper son pénis,
son strap-on dans mon champagne.
J'ai fait ça.
Moi, dans ma tête,
elle a mis dedans.
La graine dégoûtait.
J'ai fait, ça va être drôle, je vais juste licher le bout.
Puis, dans ma tête,
mais quand je l'ai revue après,
je suis tellement pas à l'aise, là.
Dans ma tête, j'étais comme,
Christ, ça va être drôle, je vais le deep-throater.
Mais j'ai vraiment juste fait un deep-throater.
De même, avec une face de dégoût.
J'ai choqué, moi.
Même avec un pénis en plastique, je ne suis pas capable.
Mais elle, à la base, cette madame-là, c'est comme juste quelqu'un du public qui venait voir le show.
Non, c'est l'attente d'une des productrices.
Elle, elle nous avait dit, parce qu'on a eu un problème avec l'UDA,
qu'on n'avait pas assez d'argent pour avoir deux chroniqueurs par show.
Fait qu'on s'est dit,
on va prendre du monde, pas UDA,
des non-acteurs, non.
Puis on va leur faire faire des niaiseries.
Puis là, Heather, ma productrice,
elle a dit, ah, je connais,
j'ai ma tante qui a toujours voulu faire la télé.
Puis dans le temps qu'Ether était en Musique Plus,
Yolanda l'appelait et elle était comme,
si jamais tu as besoin de moi,
mais c'est dur, une petite madame de 80 ans,
qu'est-ce que tu fais avec?
Elle l'a placée quelque part.
Elle l'avait envoyée voir mon show.
Elle faisait une critique de mon show.
Elle et sa soeur,
ils venaient voir mon show.
C'est drôle, elle était tellement cute
et elle s'est endormie pendant mon show. T'as vu, c'est drôle, tu sais, elle est venue voir, elle était tellement cute, pis elle s'est endormie pendant mon show.
Fait que t'as vu, tu sais, dans le public,
elle dort.
Pis là, après, quand t'as vu, elle fait, j'ai tellement aimé ça.
T'en connais pas mon nom, tu sais,
je m'en rappelle plus
comment qu'elle m'appelait, mais elle était
tellement bonne, pis elle a trippé, pis sa soeur
aimait pas ça. Pis tu le vois
dans le premier topo, tu sais, elle,
elle parle, elle se dit, pis elle brouille, pis elle a du fun, pis sa soeur est juste, elle se dit que j'aime pas ça, j'aime pas ça. Tu le vois dans le premier topo, elle, elle parle, elle brouille, elle a du fun.
Sa soeur est juste,
j'aime pas ça, j'aime pas ça, je veux m'en aller.
Elle, elle a trip au bout.
Moi, mon but, j'aimerais ça,
le show Les Détestables,
ça existe ça encore?
Oui!
Je veux essayer de la
plugger là-dedans.
Elle serait tellement bonne.
On l'a envoyée au salon
de tatouage.
C'est fait de tatouage.
Mais on ne voulait pas qu'elle se fasse tatouer.
Elle a fait, va me faire tatouer.
Elle s'est faite tatouer.
Quand elle m'a vue, elle a dit,
c'est quoi le nom du gars qui m'a tatoué? Je ne savais même pas
qu'elle était tatouée.
Qu'est-ce qu'elle s'est fait tatouer?
Une rose s'est achevée. Puis là, elle a dit, parce que là, mes voisines veulent'a tatoué, je ne savais même pas qu'elle était tatouée. Qu'est-ce qu'elle s'est fait tatouer? Une rose s'est achevée.
Puis là, elle dit, parce que là, mes voisines veulent toutes un tatouage,
je vais y envoyer de la business.
Ah, c'est drôle.
Elle est tellement fun.
C'est ça qui est hot.
Elle fume, elle boue, elle a 80 quelques années.
Elle utilise le vibratoire de sa voisine.
La piscette.
La piscette de sa voisine.
Elle utilise la piscette de sa voisine.
Ça coûte chez eux.
C'est quelqu'un qui m'a fait réaliser.
Souvent, quand le monde
pogne la 80e,
tu arrives chez eux,
ça sent weird.
Ça sent tel jeune.
Non, mais, c'est ça,
ça sent jeune.
Hé, la lumière est allumée, ça fait combien de temps
qu'on fait? Non, Rémi? Fait qu'on va
aller, à moins que vous avez
de quoi que vous voulez...
Ben, notre show, ça va être simple,
on sait pas trop.
Non, mais ça va être bon. Ça va être vraiment cool.
C'est sûr qu'on va avoir du plaisir.
On va aller partout dans le Québec.
C'est quoi les villes que vous faites?
Pour vrai,
je ne sais pas que faire des villes.
On va être à Vitaux l'été prochain.
Oui, on a une couple de dates à Vitaux.
Une couple de dates à Vitaux
pour le festival Lavage-Quichy. J'espère que non. à Vitaux l'été prochain quand même. Oui, on a une couple de dates à Vitaux. Une couple de dates à Vitaux au Festival de la vache qui chie.
Ça serait hâte d'avoir
une vache juste
dans le stationnement
puis le monde découvre après
si la vache a chié sur ton char.
Ça, ça pourrait être pas pire.
Ça serait le meilleur concept d'être obligé
de faire un choix à côté de la vache.
Mais c'est ça.
Les dates vont être assurées.
Même qu'on fasse le lancement officiel d'ici quelques semaines.
Est-ce qu'il va y avoir un site genre…
Ça va être sur Facebook.
OK.
On va avoir un site…
Puis le show, c'est Sylvie et Daniel.
Sylvie et Daniel…
Daniel et Sylvie jouent ensemble.
Daniel et Sylvie jouent ensemble.
OK.
Puis pourquoi Daniel et Sylvie, non Sylvie et Daniel?
Ça sonne mieux que Daniel et Sylvie jouent ensemble.
Sylvie est plus...
On ne sait pas au plus ce que c'est une guerre.
C'est dans l'esprit de...
C'est comme...
Moi, à chaque fois que j'ai fait des duos,
c'est tout le temps comme Simon et Henri.
On n'a jamais pensé à Henri et Simon.
On s'en crie.
C'est tout le temps ça.
Allez voir ça sur Facebook.
Là, si vous avez des questions, c'est le temps des questions.
Fait que l'idéal... Oh, yes, il y a déjà quelqu'un.
J'ai une question pour Daniel Grenier.
Dans le podcast de Louis T,
Louis T s'est fait pogner le paquet par ta cousine.
Puis t'as dit qu'en échange,
elle allait chier dans un de ses restaurants.
Je voulais savoir si tu l'avais fait ou non.
Ou en fait, tu peux développer.
Malheureusement, quand je suis passé 120, je n'avais pas envie de caca.
Non, je n'ai pas fait ça.
Non, je n'ai pas fait ça.
Non, je n'ai pas fait ça.
Oui, je n'ai pas fait ça.
Ça, ça serait dur après à expliquer, par exemple, à tes oncles et tes tantes,
pourquoi tu as chié dans le restaurant de ta cousine.
Oui, non, je n'ai pas fait ça. Je me suis retenu.
Je l'ai dit, par exemple, mais je ne l'ai pas fait.
Tu vois, des fois, c'est important de faire ce qu'on dit,
mais là, je n'ai pas fait ça.
C'est ça qu'on apprend, tu n'es pas un gars de parole. Tu n'es pas, mais là, t'es pas fait. C'est ça qu'on apprend, t'es pas un gars de parole.
T'es pas fiable.
Finalement, on va pas en tournant ensemble.
Il va te remettre plein d'affaires,
puis finalement, il chiera pas nulle part.
Je peux-tu avoir un autre vodka?
Yes.
Merci.
Oui, c'est ça.
Ça, tu veux-tu pas plus élaborer?
Parce que ça, juste une affaire.
Je vais faire une affaire, puis après, on va changer de sujet.
Mais je sais que
sa cousine était comme en tabarnak.
Ou blessée.
Elle a appelé...
Elle a appelé Michel.
Elle a appelé... As-tu appelé toi aussi?
Elle a appelé tout le monde.
Elle ne m'a pas appelé.
C'était... Une étape dans cette vie, on va dire. Elle a appelé. As-tu appelé toi aussi? Elle a appelé tout le monde. Elle ne va pas appeler.
Elle ne va pas appeler.
C'était... C'était...
Une étape dans sa vie,
on va dire.
Très bien.
Très bien.
Très bien.
Christ de...
Pas de réponse, hein?
Oui, non.
Une étape dans sa vie.
Fait qu'on va aller
avec une autre question.
Si possible, quelque chose qui n'a pas rapport avec...
Un chien quelque part dans la toilette.
Ou à côté.
Je voulais savoir où est-ce que vous allez jouer, Victor.
Est-ce que ça va être à la Foire agricole?
Non, même si on est des fans de l'Expo agricole.
Oui, on s'est vus cette année à la Foire de l'Expo agricole,
à côté des chemins qui tournent en rond.
Oui, bien oui.
Non, ça va sûrement être au Carré 150,
une des salles, mais pas la grande, grande salle,
sûrement la salle au bord, en tout cas.
Mais au Carré 150, à tout le monde.
Oui, c'est vraiment cool.
C'est bien, ça.
Ah, vraiment, nice.
C'est là que des trisomiques ont eu un standing,
puis pas toi.
C'est là que des trisomiques ont eu un standing,
puis pas toi.
Ça, c'est en haut de la côte.
C'est en haut de la côte.
Ah, c'est à quoi?
À quoi?
Ah, c'est pas ça.
Non, non, non.
OK, c'est la nouvelle salle qui a remplacé le cinéma.
Oui, mais à côté, il y en a une autre plus petite.
On ne joue pas dans la salle qu'on a faite ensemble.
On joue à côté qui a 150 ou 300. Oui, jouer à côté. Dans le Carré 150, il y a trois salles.
Il y a-tu une salle avec 150 places?
Ou c'est l'adresse?
Pourquoi ça s'appelle Carré 150?
C'est l'adresse, je pense.
Ça doit être l'adresse.
OK.
À suivre.
Oui, c'est ça.
Ça nous prend l'informateur de Buckingham.
Ah oui, vraiment.
Il va travailler.
Overtime.
Il va être comme Carlis.
Il va recommencer à fumer.
Yes.
Oui, Rénal.
Oh, Chris.
Rénal de Laval.
C'est-tu vrai
que Daniel Grenier
vous fouille dans les poubelles
pour construire
des décors,
enfin?
J'avais fort connu
le...
Ça, pour les gens à la maison
qui n'ont pas vu,
c'est Guy Nantel
qui a posé la question.
Qui tu?
Avec son personnage.
Non, mais...
Oui, ça arrive souvent
que je vois des gokhas.
Mettons, j'ai vu un bain cette semaine.
Je me dis, wow, il est bien trop beau.
Je ne vais pas l'acheter.
Je l'ai tout peinturé.
J'ai peinturé un oiseau dessus.
Mais je récupère des affaires.
Mettons qu'ils ont fait une bâtisse à côté de chez nous.
Je vais s'acheter une vieille maison d'un rang de campagne pour un jeu d'hôpitaux.
Puis le deuxième étage, il n'était pas fait.
Il était tout besoin d'une bâtisse.
J'ai ramassé les plantes.
Je les ai coupées.
J'ai fait des murs avec ça.
Je récupère des choses.
Je trouvais ça plate d'aller acheter du bois qui a l'air vieux pendant qu'il y a 10 minutes.
Ben, qui est vraiment vieux, tu sais.
Ça fait la même affaire.
Mais ta blonde doit être capotée.
Tu ramasses tellement d'affaires.
Mais je ramasse moins qu'avant.
Mais là, c'est mes accessoires de choses.
Parce que ta cour en arrière, ça doit avoir l'air d'un marché aux puces.
Mon bureau a l'air d'un marché aux puces pour un enfant
comme ta pièce à toi d'accessoire
j'ai des gosses
quand je fais un show
on voit les jokes qui fonctionnent
mais il y en a beaucoup qui n'ont pas fonctionné
que j'ai dans mon bureau
tu gardes les affaires pour te rappeler
tes échecs
comme à la leçon du lycée
tu devrais engager un petit syrien qui te regarde t'as rappelé tes échecs. Pour ma leçon du lycée.
Tu devrais engager un petit syrien juste qui te regarde
et qui sourit même pas.
Ouais, non, c'est ça.
Mais j'ai plein de gogosses chez nous.
Ça n'a pas d'allure. Sérieux, ça n'a pas d'allure.
Mais bon, j'ai garde parce qu'à un moment donné,
j'ai plein de gogosses qui n'ont pas marché.
Puis à un moment donné, je disais, je vais faire un sketch
de jokes mortes.
De jokes qui n'ont pas fonctionné,
puis avec une musique super triste.
Fait que, peut-être...
Mais tu vas-tu les jeter, éventuellement?
Parce que si t'es un hoarder, là, pour de vrai,
c'est un problème mental, là, tu sais.
Non, mais, tu sais,
t'as-tu déjà vu une show hoarders,
tu sais, qui ont comme,
tu sais, à ce titre-là, ils n'ont plus de place,
fait qu'ils dorment dans la cuisine parce qu'ils ont des journaux avec des chats morts en dessous, là, tu sais, qui ont comme, tu sais, à ce style-là, ils n'ont plus de place. Ça fait qu'ils dorment dans la cuisine parce qu'ils ont des journaux avec des chats morts en dessous.
T'as-tu déjà perdu un chat dans ta maison?
Je perds beaucoup de gens, mais pas les animaux.
Mais je m'en viens pas près.
Je fais le ménage de mon bureau assez souvent, puis je replace mes affaires,
mais ça m'a pris du temps avant de le faire. J'ai aimé aller jusqu'à
temps que je voyais comment je peux pour aller à mon ordi.
Mais là, bien...
Comment tu fais voir la différence entre les vidanges
et tes affaires?
Si ça fait rencontre de la musique,
c'est quoi? J'y jette pas.
Si ça fait un bruit
funné, potentiel.
Oui, regardez ça.
Mais serais-tu capable de jeter des affaires,
mettons...
Je suis sur le bord d'être capable.
Mais tu sais, à la limite, c'est pour l'environnement
ou le recyclage.
Oui, oui, oui. Mais tu sais, je vais les porter, mettons,
à la Société Saint-Vincent de Pau,
ou des endroits comme ça, mes jouets.
Le bord des affaires, tu ramasses, par exemple,
un enfant ne serait pas heureux
avec ça.
Non, mais c'est vrai
le fils avant blonde il a dit
si jamais il y a des gags qui ne fonctionnent pas
tu nous donnerais-tu l'accessoire
la joke a-tu marché
ça sent donc
tu fais un gag de vibrateur
il n'a pas marché
je l'ai demandé je t'ai fait un cadeau Ah ouais? Chris, ça sent donc que tu fais un gag de vibrateur. Il n'a pas marché.
Je l'ai demandé.
Je t'ai fait un cadeau.
Non, mais tu sais, j'ai mes accessoires de show. C'est des jouets quand même souvent.
Mettons qu'il vient pour jouer avec.
Je serais comme, non, non, tu ne touches pas.
J'ai l'air d'un
parent qui ne veut pas que son enfant
joue.
Comme quelle affaire qu'il voulait jouer avec? Ben, tu sais, j'ai des genres de masques de Angry Bird. Mais tu sais, il ne veulent pas que leur enfant joue. Comme quelle affaire qu'ils voulaient jouer avec?
J'ai des genres de masques de Angry Birds,
mais il ne faut pas trop passer s'il est pète.
Il y a un genre d'oiseau qui fait
« quic, quic, quic, quic ».
Il y a un autre oiseau qui fait des bruits,
mais il a qu'une heure que ses amis sont venus
et il l'a cassé.
Il a cassé, il a fallu que je le retape.
L'instant, il est tapé, mais bon,
qu'est-ce que tu veux?
C'est comme ça,
mais ce n'est pas des outils de travail,
mais ça, c'est une pebelle.
C'est weird.
Ça doit être weird pour
l'ami,
ça, c'est l'ami de sa vie.
Ça doit être weird pour lui,
expliquer à ses parents
qu'est-ce qu'il a fait? J'ai joué avec
la job
à M. Grenier.
Oui, c'est bien.
C'est bien, c'est ça.
C'est comme ça.
Là, y'a-tu...
Ça finit sur un ton quasiment
dépressif. Y'a-tu un autre...
Ça, c'est une réponse longue
pour une question de guinantelle
qui niaisait.
Y'a-tu un autre
question?
Moi, Mike, t'as participé
à la Michigan Swill.
C'était un reclure.
Oui, c'est vrai.
C'est ça.
C'est qui qui a eu l'idée de ça?
C'est la chanson, je suis rentré dans le monde
de la salonerie.
Oui, c'était cool. Ça, c'est vrai suis rentré dans le monde. Ça l'a entendu venir. « Hey, moi, je t'aime! »
C'était cool.
C'est vrai que c'est le fun.
C'était cool.
Mais c'était les gars qui m'avaient demandé.
Je ne sais pas si c'était toi ou Francis ou Michel.
La toune est sur l'album Vito Racing.
Tu es venu en studio l'enregistrer.
Moi, j'avais dans le temps un personnage que je faisais
avec Dominique Paquette.
Je faisais les différents styles
de la clé. Je l'ai fait aussi avec Guy Nantel
à son gala.
Ils m'ont demandé, fais juste ça.
Un esthétique fatigant.
Juste qui crie.
Il est trop damn.
Moi, mon temps me paraît.
C'est ça qui est weird aussi.
Parce que là, je faisais... Je trouve que c'est les pires...
Tu sais, quelqu'un qui taillit,
tu peux lui fermer la gueule, puis le public va l'accepter.
Mais quelqu'un qui t'adore,
tu lui fermes la gueule,
tout le monde est comme...
Il vient te dire qu'il t'adore.
Tu sais, tu peux pas faire,
« Hey, on t'aime », faire ta gueule.
Je suis en train de travailler.
Je suis comme ce gars-là,
qui t'aime.
Le éclair amoureux.
Moi, ça me fait bien rire.
Le monde,
qu'est-ce qui passe dans la tête du monde?
Moi, j'ai...
Je me rappelle, avant de faire de l'humour, j'all la tête? Moi, je me rappelle,
avant de faire de l'humour,
j'allais voir des shows.
Souvent, j'avais un flash.
Je me disais, je vais faire crier.
Mais là, j'étais comme,
mais non, Christ,
je vais me faire humilier.
Surtout, la personne dans la salle,
vous autres, mettons que tu as une bonne idée,
tu cries.
Moi, j'ai un micro.
C'est impossible de gagner
quand tu es dans la salle,
surtout, soit tu cries,
tu parles moins fort,
l'autre a un micro,
puis éventuellement c'est toi qui se fait sortir,
je n'ai jamais compris.
Des fois c'est des bonnes affaires,
comme tantôt, il dit la piscite,
ça marche, ça coule, ça nous relance.
Mais il est barré, il ne vient plus jamais ici.
Non, non.
Moi, j'aime ça.
Un acteur qui crie quoi
qui est drôle.
Ça, j'aime ça.
Quand tu te fais insulter, moi, j'ai fait un show
d'un corpore habitant pour deux semaines.
En tout cas, pour trois semaines.
Il y a un gars qui n'arrêtait pas de parler.
Un moment donné, il crie.
Il dit, au moins, nous autres,
on a une vraie job.
Puis là, j'ai dit,
tu vois, dans ta job,
tu as un asthique fatiguant
qui n'arrête pas de parler tout le temps.
Ça a-tu fait un fait?
Oui, le monde a applaudi
parce qu'il n'arrêtait pas de parler.
Mais en fait, j'espère que non,
parce que ça serait vraiment plate pour toi.
Fait que les éclats sont plus agréables.
En plus, en plus,
il t'insultent de façon
« Asti, toi, tu gagnes ta vie
en vivant ton rêve. »
C'est
le contraire d'un insulte.
Il me semble que c'est le but.
Ça devrait être le but de tout le monde.
« T'as le courage que j'aurais jamais. »
« Tu réussis à
vivre sans faire du vrai travail.
Il y a de quoi de weird ici.
Il y a galère, galère, galère.
Il y avait-tu payé?
C'est un corpo avec des tabarons qui était une surprise.
Comme la fois que le gars t'avait crié à ton premier gag,
c'est pas ta meilleure. C'est ça.
C'est ça, mais il avait
bien répondu. Mais c'était la première partie.
C'était la première partie.
C'était mes caves.
C'était tes caves, c'est pas moi.
Il dit, c'est pas ta meilleure celle-là.
C'est son premier gag.
C'est un nouveau gag que j'essayais.
J'étais comme, c'est vraiment possible,
donne-moi une chance.
Tu lui avais dit, tu le sais pas,
peut-être c'est celle-là
ma meilleure.
T'as eu un bon réel, parce que ton premier
gag, ça ne sert pas.
Puis après, il y a quelques
minutes après, il a crié,
nous autres, c'est Mike qu'on veut voir.
Je sais pas, mais c'est impossible.
C'est impossible, dans le même soirée.
J'ai dit, donnez-moi une chance.
J'ai dit, Mike, il veut que je sois là.
J'ai dit, c'est veux que je sois là. Fait que soyez gentils avec moi.
Non, mais ça a été
une fois, mais après ça,
c'était correct.
C'est ça
qui est plastique. C'est dur
de te faire crier des affaires
méchantes. Moi, je me souviens, au lobby bar,
il y avait une soirée d'humour pendant un bout.
Je ne sais pas si ça existe encore, mais
il y a un gars qui était à toutes les semaines
pendant un bout, à un moment donné, il a fini par se faire barrer, mais
lui, à chaque personne,
il calait tout le long.
Il y avait 4-5 répliques, c'était à tout le monde
qu'il criait plus fort, tout ça.
Et lui, il venait nous voir après le show, puis il disait,
il dit, moi, je suis ça, puis il dit, moi, je vous teste.
Je sais qui c'est qui s'en sort,
qui c'est qui s'en sort pas. Moi, je suis ça
pour un peu vous aider, vous aider à vous faire un peu une carapace. Puis c'est comme, qui s'en sort pas. Moi, je suis là pour un peu vous aider, vous aider
à vous faire un peu une carapace.
C'est comme, mais voyons donc, Chris,
t'es qui toi pour décider
si je passe le test
ou pas? Voyons, moi, c'est ça.
T'as ta métaille, t'as ta métaille.
Il y a une soirée d'humour
en anglais dans un bar qui s'appelle
le Grumpy's sur Bishop.
Je suis allé là un moment donné,
puis le gars se vantait, il avait dit,
à style humoriste Mike Wallman,
il est venu ici, il a dit, c'est la pire soirée
du monde au Canada.
Puis là, j'étais comme...
J'étais comme, tu devrais pas te vanter
de ça.
Chris, tu sais, c'est comme te faire dire,
t'as la graine
la plus molle. »
« J'ai la pire
maille des malades. »
J'ai déjà vu des petits pénis
ou des pénis mous, mais des petits
pénis mous, c'est toi
le temps passé.
Moi, par exemple, là, il me dit ça.
Moi, j'allais là pour roder
pour le Nasty Show.
Puis là, je serais sur scène.
Puis là, le monde, ça parlait.
Puis j'ai réussi à aller les chercher.
J'ai travaillé tellement fort.
Puis moi, je voulais être là pour tester des gags.
Puis au lieu, j'étais comme asti.
En mode guerrier.
Oui, c'est ça.
Puis là, je suis débarqué de scène.
J'ai fait, je suis trop vieux, asti, pour être dans le pire.
Au moins, dans le pire. Au moins, un des
top 900.
Le pire au Canada.
C'était-tu vraiment le pire?
C'est horrible.
Par exemple, je disais aux autres humoristes,
les plus jeunes, je faisais,
mettons,
les nouveaux, je faisais,
c'est hallucinant comme place
pour vous autres parce que ça t'apprend comment jouer devant du monde qui se collisse de toi,
qui n'a aucun respect pour toi.
Si tu es capable de survivre ça, tu vas survivre n'importe quoi.
Si tu es capable d'aller les chercher, là, c'est vraiment hot.
Mais il y en avait un qui n'était pas vieux comme moi,
mais tu sais que tu faisais, mettons, 7-8 ans que tu faisais ça.
J'avais dit, toi, si tu viens ici,
tu fais juste perdre ta confiance.
Parce que j'avais fait des gags
que j'avais fait au Nasty Show l'année d'avant,
qui étaient des jokes que j'ai faits à la télé
et qui marchent tout le temps partout.
Puis là, ça marchait,
mais quasiment un gag sur deux.
Ça fait que c'était horrible. Tu ne peux pas... C'est ça. Tu ne peux pas. C'était horrible.
Tu ne peux pas...
C'est ça.
C'est tough, ça compte.
On dirait qu'un moment donné,
dans mes trois dernières années
de solo, on dirait qu'à un moment donné,
ça ne nous appartient pas tous non plus.
On fait des gags, puis à un moment donné,
il y a d'autres affaires qui rentrent en ligne de compte
que ça se peut que le gag ne marche pas.
Parce qu'à un moment donné, c'est d'autres affaires qui rentrent en ligne de compte, que ça se peut que le gag ne marche pas. Parce qu'un moment donné,
c'est ça, tu sais, il y a des salles
et des situations qui font que
la gag, tu sais, il y a des gags que tu fais
cent fois, il marche partout, puis ce soir-là, il ne marche pas.
Tu sais, bien là, il y a des tables
rondes, puis que c'est une surprise, puis que, bon,
que l'autre nuit, après, ça se peut que ça soit
peut-être pas le cas.
Oui, puis surtout, les cas
où souvent, tu sais, comme on a fait une place
que les tables étaient trop loin,
puis là, je suis arrivé et j'ai fait,
il faut que les tables soient plus proches.
Des fois, il y a une piste de danse.
Ah non, mais c'est parce qu'on n'a pas de staff
pour faire ça, puis j'ai fait, je vais le faire moi-même.
Je suis débarqué, puis là, ils ont fait,
OK, reste là, on va t'aider.
Ah oui, ah oui.
Mais sinon...
Il y a-tu une autre question? OK, on va t'aider. Ah oui. Ça n'a pas d'allure un trou. C'est comme si tu parlais à quelqu'un d'un autre pièce.
Y a-tu une autre question?
Oui.
Hé, pis Daniel, fais pas ça, parce que ça change rien.
Moi, je vois pas ça.
Je voulais juste voir la phrase du gars.
J'ai une question, c'est pour Daniel.
Oui.
Dans le podcast de la semaine passée,
il y a eu une anecdote comme quoi il y a une fille
qui a répondu à son cellulaire
pendant ton show.
Mike, tu avais raconté ça tantôt, non?
Tu t'étais fâché.
Je me demandais à quoi ça ressemblait d'être fâché.
Ah, mais non.
Je disais qu'à Sorel, tu t'étais choqué après le public.
On dirait que
c'est pas que je me fâche, mais je dis ce que j'ai à dire
et je me sens mieux après.
Parce qu'avant, je ne le disais pas. Je m'en allais chez nous
et je me disais,
je suis un con, je suis un con.
À cette heure, je le dis, je m'en vais chez nous,
j'écoute ma musique et je suis content.
Mais quand je suis fâché,
je leur dis, arrêtez de parler
de ceci-là. Comme l'autre qui était
sous le stage et qui parle.
Elle était assez sous le stage.
Le gars était sous le stage et qui parlait.
J'ai payé pour être... Arrête de parler, je t'entends.
Il rime super fort.
Il a répondu, j'ai payé pour être ici.
C'est pas un bon investissement chez vous.
Gratuit pour parler.
C'est vraiment drastique.
Tu sais, mais je me fâche
pas, mais je dis ce que j'ai à dire,
mais je suis jamais comme, ben là, tabarnak,
jamais je me fâche, mais je vais dire,
sérieux, là, sérieux,
là, tu sais, mettons que
à la fin du show, il y en a des filles qui...
J'ai quand même eu un standing
à Sorel.
Tu t'es choqué après le monde.
Ben là, les filles qui parlaient de moi, je dis, non, non, vous autres,'es choqué après le monde. Vivez-vous pas de moi.
Les filles qui parlaient de moi,
je disais non, vous autres.
Les gens disaient encore, encore.
Je disais non, vous autres pas encore.
C'est pas parce que vous avez jamais vu le show du tout.
C'est pour ça que vous voulez voir plus l'humour encore.
Vous arrêtez pas de parler.
Vous autres, c'est correct.
C'est un peu ça qui se passe quand je suis fâché.
Je vais juste m'exprimer en trouvant ça un peu drôle.
Je ne suis pas si fâché que ça.
Non, non.
Après, la fille est venue cogner dans l'autre.
Elle s'est excusée de toute façon, weird, mais... Oui, elle s'est excusée.
Elle disait que c'était la fête à ma chambre de fils pour ça.
Elle ne t'avait pas dit, je t'écoutaisais, mais tu as reçu un appel important.
Oui, j'ai écouté ton show, c'était vraiment bon, mais j'ai reçu un appel au début.
Après, je n'ai pas écouté.
Tu n'as pas écouté tant que ça.
Une fois aussi, quand on avait fait un show, il y a quelqu'un qui criait
« Tu peux continuer à faire des jokes, on n'est pas si difficile. »
Tu penses qu'il ne t'aimait pas mes jokes, on n'est pas si difficiles. » « Difficiles de quoi? »
« Tu penses que tu n'aimais pas mes jokes? »
« On n'est pas difficiles, genre, c'est chien pour ta blonde. »
Non, mais tu sais, des fois, c'est comme ça quand je me choque.
Ce n'est pas vraiment...
Oui, ce n'est pas choquer.
Ce n'est pas choquer, c'est juste que ça sort tout seul.
Choquer gentil.
Oui, tu es choqué gentil.
C'est quasiment un compliment.
Un compliment, un peu, mais tu sais, juste pour...
Non, non, je ne bouge pas. Je ne me choque pas souvent.
As-tu déjà été choqué, toi, Mike?
Oui.
Où?
Quand on était en Abitibi, puis Mike Brossard faisait des jokes sur comment tu stationnes le char.
Non, mais il n'arrête pas, tu sais.
Là, tu avais fait...
Non, non.
Ça m'arrête pas carrément. Ah oui, c'est vrai.
Tu étais comme là, là. Mon père, il me par c'est vrai t'étais comme là
mon père
il me parlait
le même
quand j'étais petit
pis j'aime pas ça
pis là t'es parti
pis t'as goûté
ah oui ben non
mais c'est parce qu'il faisait
comme
je t'apprécie
il faisait comme
si t'es mon père
non non
parle moi
comme si on était égale
faut que je le fasse
comme si
t'allais
paternel
bon
on peut parler égale
c'était ça
oui c'était bon
t'es vrai
t'étais parti.
Là, Mike m'avait dit,
il m'avait dit,
qu'est-ce que je pensais
que je pouvais le niaiser
et qu'il n'y allait pas qu'à moi.
Oui, mais ça dépend
comment c'est fait.
Quand c'est fait avec du respect,
tu peux le niaiser.
Mais quand je sens
que le manque de respect,
que le respect n'est plus là,
c'est ce qui est le plus important.
Si tu dépasses la limite du respect,
moi, je n'accepte pas ça.
Je vais prendre n'importe quoi,
mais si je sens qu'il n'y a pas de respect, comme mettons quand dans les shows, le monde parle, moi, je n'accepte pas ça. Je vais prendre n'importe quoi, mais si je sens qu'il n'y a pas de respect,
comme mettons qu'un des shows, le monde parle,
souvent, je comprends que le monde va avoir
du plaisir et qu'ils veulent passer une belle soirée,
mais quand ça devient un manque de respect
envers la personne, là,
ça passe tout.
Mais tu peux parler et on va avoir du plaisir
et on va dealer avec ça et on va t'aimer,
mais si je sens qu'il y a quelque chose
qui a... Parce que moi, l'affaire que j'entends le plus en show, c'est « Asti, t'es en film, tu penses? » on va dealer avec ça et on va taper. Mais si je sens qu'il y a quelque chose...
Parce que moi, l'affaire que j'entends le plus en show,
c'est « Asti, t'es en film, tu es bon. »
Tu sais, je l'entends, je l'entends, je l'entends.
Quel genre de peluche tu prends?
Je ne prends pas de drague parce que je ne peux pas.
Je reviens trop mêlé.
Non, mais c'est vrai, je l'entends.
Je l'entends tout le temps, tout le temps, tout le temps.
Avec les chics, « Asti, vous autres, vous vous fumez quand vous écrivez. » Non, non, non. Ça s'appelle l'entends tout le temps, tout le temps, tout le temps. Puis avec les chics, vous autres, vous vous fumez quand vous écrivez.
Non, non, non.
Ça s'appelle l'imagination.
C'est pas...
Je prends pas de drogue.
J'en prends pas.
C'est la phrase que j'entends le plus.
Puis là, ça, c'est gentiment, dans les dernières années,
c'est tout le temps comme...
Astic est épais.
Ça, c'est un compliment.
Ça, l'effet, vous savez pas ça, par exemple? Il y a jamais personne... Astic, t'es épais! » Ça, je vais te laisser. Ça, les filles, vous savez pas ça, par exemple?
Il y a jamais personne
« Astic, t'es épais! »
« Astic, t'es conne! »
Mais des gars, on a « Astic, t'es conne! »
« Astic, t'es épais! »
C'est vrai que les filles, ça a comme une autre connotation,
on dirait.
« Astic, t'es épais! »
Elle est folle!
Elle est folle!
Mais ça doit être équivalent.
Folle, c'est moins insultant qu'épais.
Tu sais, moi, parce que folle,
ça sonne colérique, fâché.
Tandis qu'épais, ça sonne...
Tu sais, comme s'ils vont te dire ça,
tu vas faire...
Je ne sais pas quoi dire. Tabarnak.
Il va s'en aller, puis deux jours après,
tu vas faire... J'aurais dû dire, va chier.
Asti.
J'ai pas été assez vite.
Chris, là, t'as marre d'être.
Ça me donne le titre, je suis plus allumé que ça.
Est-ce que je t'ai fait?
Est-ce que je t'ai fait?
Ouais, c'est vrai. Chris, il faudrait
ramener ça
pour avoir la vraie égalité des sexes.
Va falloir que les hosties
collons, là,
des nouveaux humoristes,
féminines préférées, dépêchent.
OK, comme...
C'est vous les idiots. Asti, t'es
dépêche, toi. Chris dépêche.
Asti dépêche.
Chris de conne
qui arrive, qui parle
de Marcel. Asti, miezeuse.
J'en reviens pas.
T'es pas barré.
T'es pas barré sur cette pince-là.
T'es pas barré sur cette pince-là.
Elle est pas barrée.
Ça, là, c'est la meilleure expression.
Ben, ça, c'est une expression qui fait colon.
Moi, j'avais un moment donné à Victor,
il y avait un gars, il était venu me voir.
C'est le moment que j'ai plus ri de ma vie,
un gars vient me voir.
Je faisais des coups de téléphone quand j'animais.
Il vient me voir et il fait,
« Mec, tu devrais appeler Jeannette Renaud. »
J'ai fait, « Hein? »
« Tu devrais appeler Jeannette Renaud. »
Je pensais que c'était comme...
J'avais appelé quelqu'un de connu,
vu que quelqu'un connaissait quelqu'un.
J'ai fait, « Tu la connais? »
Il a dit, « Non. »
J'ai fait, « Pourquoi je devrais l' il a dit, non. Puis là, j'ai fait,
ben pourquoi je devrais l'appeler?
Elle est pas barrée.
Puis là, j'étais comme,
est-ce que c'est weird
qu'ils viennent me voir
pour dire,
hé, j'ai eu un flash.
Asti, toi, tu fais des coups de téléphone,
Ginette Renaud, elle est pas barrée.
Un plus un égale magie. Golis. Asti pas barrée. Un plus un égal magique.
On lisse.
Asti d'épais.
Christ d'épais.
Je me rappelle,
c'était tellement stupide.
Il y avait Patrick Gros
qui était là.
J'avais dit,
« Hey, pap, pap,
viens écouter son idée. »
J'avais dit,
« Dis ton idée
à Patrick Gros. »
Là, il a fait,
il devrait appeler
Ginette Renaud.
J'avais fait, dis-moi pourquoi.
Dis-moi pourquoi.
Lui, il était con.
Lui, c'est un hostie
d'épaisse.
Un hostie d'épaisse.
Ça fait combien de temps?
Deux heures. Écris, ça.
Je pense que ça vient de finir.
Le podcast est fini. On aris ça, OK. Fait que je pense que ça vient de finir. Le podcast est fini.
On a fini là-dessus.
Je veux vous remercier. Merci beaucoup à tout le monde
d'être venu ce soir.
Jean Dubordel.
Merci.
Merci.
Merci à vous autres. Merci beaucoup.
Merci à
Astic.
Merci à tout ce qu'elle est comme.
Enfin! J'ai réussi! Pour de vrai, Astic, je'es conne. Merci. En fait, j'ai réussi.
Pour de vrai, Astic, je me sens très mal.
Si ça commence à arriver,
parce que s'il arrive à toi,
la semaine prochaine, tu vas rire,
vu que c'est frais, mais dans six ans,
tu vas être au Costco.
T'as quelqu'un qui va dire,
Astic, t'es pince.
Triste. Damn you, Mike Ward. T'as quelqu'un qui fait « Hey, c'est une épaisse! » « Damn you, Mike Ward! »
« T'es avec ton gars! »
« T'es avec ton gars! »
« Maman, pourquoi
les gens te mébrisent? »
« Faites-le pas, finalement.
Faites-le pas, puis arrêtez de traiter
les gars d'épais aussi. » Ça devrait être ça.
Oui, ça devrait être ça. Moi, mon idée d'égalité de sexe,
à place d'en faire,
on devrait traiter tout le monde avec du respect.
C'est comme vous ne nous respectez pas,
respectez pas eux autres non plus.
On est pareil, eux autres aussi,
c'est des astuces vidanges.
Traitez tout le monde comme des vidanges.
Non, c'est ça.
Respectez-vous les uns les autres.
Arrêtez de...
T'es un épais.
Ça a jamais été un compliment.
Non, mais c'est vrai.
Mais moi, je pense qu'il dit
genre ça en riant.
Ben tu sais, c'est comme dans le temps que
l'expression « gros » a commencé.
Moi, je me rappelle
les premières fois, tu sais, en plus, je n'étais même pas gras dans le temps. Moi, je me rappelle, les premières fois,
en plus, je n'étais même pas gras dans le temps,
je me faisais traiter de gros.
Je pesais à 150 livres.
Je me disais « Arnaque! »
Je me regardais et je me disais « Crache,
je suis gros. Tu ne traites pas
quelqu'un de gros. »
C'est une expression qui a apporté
mon éducation encore.
Peut-être un peu encore.
Peut-être un peu
à cause de moi
et de Perry.
Que ça a fait
plus longtemps.
Mais après ça,
c'est devenu
une expression de douchebag.
Tu sais,
c'est un gros,
c'est plus des gars
avec des gros bras.
Fait que,
c'est ça.
Mais traite pas
le monde de gros
ni de big.
Big non plus,
c'est mauvais.
Big.
Big, c'est pire que gros.
Il me semble. Ok, tu as traduit ça pour faire funner.
Big, ça va bien.
Il n'y a plus
en anglais
ou slim, ou n'importe quoi
de très...
Le maïs.
C'est comme...
Le premier gérant, le gérant
à Roquevoisine,
Paul Vincent,
son surnom, c'était
Tipolo.
Tipolo Vincent.
Pourquoi Tipolo?
Son nom, c'était Tipolo.
Ah, Tipolo.
Ah, le surnom.
Tipo.
Tipo, il devait y avoir des Tibbeux à Victo.
C'est sûr qu'il y a des Tibbeux.
Oh, il y en avait.
Au football, Tibbeux. Comment il s'appelait?
Ah, donc Taz. Il y a bien des noms bizarres.
Victo, c'est la capitale mondiale.
Flagos.
Flagos.
Non, il n'y en a pas, Flagos.
Chocolat.
Ça, c'était une itinérante habituelle.
Chocolat?
Elle dormait dans la cour d'école,
elle voulait se battre avec nous autres.
Chocolat?
Une sans-abri femme
qui n'aurait pas dû être chocolat.
Chocolat?
Non, mais chocolat.
Elle s'appelait chocolat,
son chum s'appelait Caramel
parce qu'il avait un manteau caramel.
Caramel et chocolat.
Je ne savais même pas qu'il y avait des sans-abri à Victo.
Elle, elle était le chocolat.
As-tu parti ça?
Elle est partie à la mode.
Ça n'a pas duré.
Mais quand tu es le seul sans-abri de ta ville
c'est dur
qu'a été vu que le monde
va comme ça
moi quand je suis déménagé à Saint-Jean
il y avait un sans-abri
des sans-abris à Montréal ça me fait pas peur
mais un sans-abri à Saint-Jean
chaque fois que je le voyais
je faisais un astuceau
je me rappelle
j'ai jamais barré une porte devant quelqu'un,
sauf lui, plusieurs fois,
que c'est genre, il arrivait,
pis c'est comme, écris-moi la porte.
Pis là, je baissais
la fenêtre de ça, pis je mettais
l'argent, il me faisait peur,
parce que je me disais,
comment tu peux être sans habillé
à 5 ans?
Ouais, ou parce qu'il élimine les autres?
Moi, je pense, oui.
C'est comme un sur-itinérant.
Moi, je pense, le problème,
qu'est-ce qui est arrivé? Il est à Montréal,
il a fait « Chris, fais-toi au fret,
je vais, astuce-moi, il faut que j'aille dans le sud. »
Puis, tu sais, comme la plupart
des projets des sans-abris,
deux heures après, il a oublié.
Fait que là, il s'est ramassé à Saint-Jean
et il a fait « Bon, c'est-tu que je reste? »
C'est-tu que c'est un changé, Montréal?
C'est-tu que c'est un tépé, les sans-abri?
Pis là, je le disais comme un call-back.
Ouais, ouais, call-back.
Je traite pas les sans-abri de tépé.
Non, mais c'est vrai, j'aime les sans-abri.
Sauf lui qui te fait peur. Sauf lui qui me fait peur.
Sauf lui qui me fait peur.
Lui, là, il était stressant.
J'espère qu'il va bien.
Mais il est stressant.
Le pire, la dernière fois que je l'ai vu,
c'était un astuce de move weird.
Tout le monde à Saint-Jean
avait peur de lui.
Il se mettait où les arrêts d'autobus
pour pas que ça soit louche qu'il y a un monsieur.
Pis là, c'est là que j'avais
vraiment peur. J'allais
devant l'arrêt d'autobus. Là, il y a
quelqu'un de l'arrêt d'autobus qui vient
vers mon char. Fait que c'est stressant,
tabarnak, là. Tu te dis que là,
je serais comme, qu'est-ce que c'est que tu veux?
Dans sa cachette.
Dans sa cachette. La pire cachette,
mais ça marchait.
C'est une mauvaise cachette.
C'est une mauvaise.
N'importe où, sans abri,
c'est mauvais, mais
Saint-Jean, c'est la pire place.
Là, il n'était pas si sans abri que ça.
Il avait un abribus.
Oui, c'est ça.
Sans abribus.
Avec abribus. C'est un sansabri avec abribus.
C'est ça qui est plate.
Les autres personnes qui attendaient pour l'autobus
faisaient « Débarque de mon terrain,
esti! »
« C'est chez nous! »
« T'es dans ma chambre, tu vas pas là-dessus,
c'est mon lit! »
« C'est dans le petit collant, pas de col porteur.
Bon, c'est ça.
Oui, c'est ça.
Si vous avez de quoi d'autre à dire, on peut le dire, sinon vous êtes libérés.
Ça va.
OK.
Yes.
On s'en va.
Allez, restez.
Allez voir la show qui doit être annoncée
en ce moment. Allez sur
chacun vos Facebook.
On va avoir un Facebook, Daniel et Sylvie jouent ensemble.
OK. Puis au pire, Sylvie Tourigny,
Daniel Grenier, vous allez les trouver.
Tu sais, c'est pas
compliqué, l'Internet.
Et merci beaucoup.
Merci à Yann Thériault.
J'aimerais ça qu'on lui donne
un bon moment d'applaudissements.
Alexis,
Michel, son frère,
mon gérant,
Daniel, tout le staff
du bordel du quartier latin.
Merci beaucoup. Merci à vous autres d'avoir été ici.
À la semaine prochaine, tout le monde.
Merci beaucoup.
Salut tout le monde. Bienvenue à cette capsule de la nouveauté podcast de la semaine. Cette semaine,
je vous parle d'un autre podcast d'entrevue avec des humoristes.
Celui-là est relativement nouveau.
Ça s'appelle Le corps est de sable.
C'est super bon, c'est un de mes meilleurs.
C'est animé par Pierre-Bruno Rivard.
C'est co-animé par Roselyne Kessy.
C'est vraiment bon, c'est des entrevues à chaque épisode.
Ils reçoivent deux personnes qui oeuvrent dans le monde de l'humour.
Ils vont parler évidemment d'humour, l'envers du décor,
le processus de création,
mais ils vont aussi parler de toutes sortes de sujets,
des sujets du quotidien,
la mort, la vie. C'est vraiment bon.
L'épisode que je suis en train d'écouter,
c'est l'épisode numéro 8, c'est avec Alex Rouve et Pogo, le gars de Connery Québec.
Et Pierre Bruneau ne se gêne pas
pour confronter et questionner
le créateur du site conneries.com
sur sa façon de faire avec son site web.
C'est vraiment bon.
C'est des discussions bien candides.
Ça s'écoute super bien.
C'est bien produit.
Le son est super bon.
C'est disponible sur iTunes.
Si vous voulez écouter le mien, mon podcast, c'est disponible sur iTunes.
C'est nouvellement disponible sur la plateforme RZO Web.
Et c'est évidemment disponible sur le y c'est nouvellement disponible sur la plateforme RZO Web et c'est évidemment disponible sur le