Mike Ward Sous Écoute - MIKE WARD VOUS ÉCOUTE #005 - Q&A avec Jean-Thomas Jobin

Episode Date: June 6, 2019

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En direct du Bordel Comedy Club à Montréal, voici Mike Ward, vous écoute! Moi j'ai une question pour Mike, as-tu un hobby ou un passe-temps? Tu sais quand tu vas, mettons, te déconnecter de l'humour, tu n'as plus pensé à ça, ou peut-être que tu es éloigné. Ou quelque chose que tu fais avec ta blonde. Ça va sonner comme un gag, mais je viens d'acheter

une vapoteuse de potes. C'est vraiment ça. Je n'ai pas d'AB, je n'ai rien. C'est l'alcool et le pote. Pour vrai? Oui. C'est l'alcool pis là, le pot à cette heure. Pour vrai? Oui. Cheers aussi.

Oui, c'est ça. Pis avec ta blonde, y'a-tu des activités que vous faites ensemble, admettons, des affaires que vous allez au quai ou je sais pas trop. Non, vraiment pas. Moi, je pense, j'ai mis trop d'énergie

pis d'amour dans l'humour, que là, je suis rendu à un âge que ça me prendrait des hobbies. Comme là, je vous ai envoyé en gag, quand j'ai vu, on a fait ça avec Patreon. Puis là, je me suis dit, je vais faire une pièce dans mon sous-sol avec plein de cochonneries que je voulais quand j'étais petit cul. Genre, une machine à boules, une machine à hockey avec un dôme.

C'est ça mes hobbies. C'est des affaires que j'aimais quand j'avais 7 ans. Ou la boisson. Parce que tu gamais un peu à un moment donné. Oui, mais j'ai réalisé que j'aime plus les jeux. C'est là que je vois que je suis rendu un Christ de bonhomme. Les PS3 en droppant.

J'ai acheté un PS4, j'ai acheté l'affaire de VR, puis j'aime mieux les jeux PS2, PS1, PS... Même pas de PS. Je suis très bonhomme. Je réalise que je suis rendu vieux.

Marie-Elle, c'est quoi que... Quand vous allez en Floride, vous faites quoi ensemble? Là, en ce temps, je vais aller manger des Impossible Burgers. Parce qu'il y a quatre places qui en vendent à Tampa Bay.

J'ai vraiment... Je sais. Il y en a un, il est à 52 minutes. Un à 1h05. Là, je suis comme si on atterrit à Tampa ou si on atterrit à Saint-Pied c'est 12 minutes de route moi ça va être que manger

du Impossible Burger moi j'ai manqué genre un petit bout puis je reviens et ça parle du Impossible Burger c'est comme s'il y avait une ellipse. Il parle encore de ça. Parce que j'ai pas de... Non, mais c'est parce que il me demandait si j'avais des hobbies.

J'ai pas d'hobbies. Photoshop. Oui, Photoshop. Photoshop, c'est un peu un hobby. Ben, c'est un peu... C'est ta vie. Ouais, ouais. C'est peut-être plus au stade du hobby. C'est rendu au stade de... Je pourrais, moi, je me considère comme professionnel.

C'est vrai, mais il va falloir faire le show PowerPoint pour le prouver, mais... Effectivement... Le pire, c'est vrai, mon seul hobby, c'est le Photoshop. Le fait que je t'ai participé, ça t'a vraiment mis dans la merde? Parce que c'est moi qui t'ai donné ta réponse. Oui, oui, oui.

Ça faisait deux minutes que je faisais « Je sais pas quoi aller, ça. Je sais pas quoi aller. J'ai pas encore répondu. » Prochaine question, y'a-tu une autre question? Y'a pas d'autre question. Ah, tabarnak, pis là... Mais ouais, non, mais le Photoshop. Ouais, c'est ça, mon hobby. Jean-Thomas, t'en as passé quoi, toi, de toute c'est ça mon hobby.

Jean-Thomas, tu en as pensé quoi de toute l'affaire de Nantel? Tu en penses quoi, mettons, de la job? Il parle de Guy Nantel. OK, merci. En fait, moi, je ne me suis pas exprimé sur le sujet, premièrement, parce que je n'ai pas vu son show, puis moi, je trouve ça vraiment important, parce qu'au-delà de la liberté d'expression puis de

des commentaires qui sont d'opinions divergentes sur le sujet, je trouve ça important de savoir quand même de quoi on parle. Je comprends que le gag a été contextualisé dans la mesure du possible, mais je ne l'ai pas vu sur scène. Donc, moi,

je trouve ça important de le voir en salle avant de faire un commentaire. De toute façon, je n'ai pas fait de commentaire parce que des fois, il y a aussi une notion de... Avec les réseaux sociaux, je sens aussi des fois une notion de saturation, de... Il y a trop d'opinions.

Je suis vraiment tanné d'entendre trop d'opinions, trop engagées sur des sujets. On dirait que des fois, Moi, j'aime le côté très ludique des réseaux sociaux. Je marque des gags ou j'interagis avec... C'est que souvent, mettons,

savoir que, mettons, Carey Price fait quelque chose, tu veux avoir deux, trois opinions de joueurs de hockey, qu'est-ce qu'ils pensent de ça, mais rendu à 60e opinion, tu fais... Il y a quelque chose de... qu'est-ce qu'il pense de ça, mais rendu à 60e opinion, tu fais « Ah, tabarnak! »

Parce qu'il y a quelque chose de... On est dans une ère de... J'ai-tu aidé à ton affaire? Oui, mais dans le sens qu'il y a comme une... En ce moment, dans la période qu'on vit, il y a une lourdeur, je trouve. Sur les réseaux sociaux, elle se transpose beaucoup,

la lourdeur. Quand tu as envie de ludique, de te changer d'idée, etc., tu arrives sur Twitter ou sur Facebook, puis tout le monde parle d'un sujet. Il y a comme une saturation, puis il y a aussi une saturation d'avoir envie de t'exprimer sur le sujet parce que tu fais comme tout a été dit.

Puis c'est pas une question de pas vouloir ou de vouloir défendre Guy qui a réussi à avoir plus de back-up que Mike. Mais moi, j'ai pas vu son show, je n'ai pas vu son show. Je n'ai pas vu son show, je n'ai pas vu le gag, le contexte. J'ai senti qu'il y avait des opinions qui semblaient structurées

sur les deux versants, mais moi, je n'ai pas vu le show. Je ne commencerais pas à dire que je suis pro-Guy ou anti-Guy. Je n'ai pas vu le show. Je voudrais voir le show. De toute façon, j'avais aussi une écoeur en titre. Parce que les gens,

tu vois sur ton fil Facebook, sur ton fil Twitter, tu vois des gens qui se prennent au bec et sont comme « tu es un épais de penser ça ». Tu vois des gens qui se querellent. Tu fais comme « ça gâche ta journée ». Tu avais le goût d'une journée légère. Tu es comme alourdi par des opinions

bien trop virulentes et méchantes. Fait que c'est un peu pour moi. C'est mon aspect de la situation. Moi, je vais aller pisser aussi. Fait qu'on va faire une question. Moi, ça, c'est bizarre à t'assister.

J'ai mal partout sur mon corps. J'ai jamais envie de pisser, puis là, si je pèse pas, je vais chier de la bouche. OK. Qu'est-ce que c'est weird? Qu'est-ce qui est weird, ça? Ça, c'est fucking weird, moi, ça.

Fait que j'espère qu'il y a une question pour moi qui reste, parce que prochaine question, j'espère qu'il reste une question pour moi dans toutes les questions. Non, mais pisser, j'ai comme peur que ta diarrhée explose. On est-tu bien ensemble pour vrai? On a-tu besoin de Mike Astic? Non.

Je t'entends moi sous-écoute, au bordel. En fait, pour vrai, c'est le moment que j'espérais le plus. On y est arrivé. Si Mike peut mourir aux toilettes. Mais non. Vous savez comment je l'aime. Y a-t-il une question pour moi?

Ils me font comme, j'entends-moi, on s'en colle ici. Ah ben, on a une ici. En fait, ça peut être une question pour Mike que je réponds aussi. Allô, je te vois pas, mais bonjour. C'est quoi ton prénom? C'est Philippe Allô Philippe

Où est-ce que tu te vois dans 5 ou 10 ans humoristiquement parlant? Où est-ce que je me vois humoristiquement dans 5 ou 10 ans? Je me vois en fait C'est que moi, en fait Ma théorie ou ma façon de voir Mon côté artistique, ça a toujours été de go with the flow,

de suivre un peu comment les choses se passent et de m'adapter au fil des événements. En fait, j'aimerais ça continuer, parce que pour moi, mon plus gros défi en tant qu'humoriste, c'est d'essayer de me renouveler sans me dénaturer.

J'essaie de le faire au fil de mes shows. J'ai essayé d'atténuer mon personnage de scène. Mon premier show, c'était comme un personnage très robotique, stoïque, très hermétique, qui dévoile aucunement ses émotions, qui parle de rien et qui est super cérébral. Dans mon deuxième show, j'ai atténué un peu ça.

Dans mon troisième show, ça reste mon côté absurde, mais je dévoile un peu plus qui je suis. Je parle un peu plus des expériences de vie. Je parle de mes parents, etc., de qui je suis comme personne dans la vie. Je dirais que je voudrais peut-être amener ça encore plus loin, de parler encore plus de qui je suis et de ma vie,

qui est parfois absurde à la base, sans que je le veuille. Je dirais que j'aimerais ça continuer à progresser là-dedans, pas que je dénigre mon passé, absolument pas, mais quand tu veux essayer de faire des choses qui sont différentes. Pourquoi les gens rient? Es-tu comme Jean-Christ Tailleul? On s'ennuie de Mike?

Hein? Ah, c'est-tu comme Jean-Christ Tailleul? On s'ennuie de Mike? Hein? C'est Mike qui a une question. Non, mais... T'as-tu fait un diarrhée ou... Je me suis un peu chié, c'est vrai. Avez-vous une question, monsieur? Non, attends. Je vais laisser parce que j'avais pas de question.

J'aurais dû improviser une question. Chris qui est pas punché. J'ai pas de question. Je suis le gars le moins punché de Chris, qui n'est pas punché. Je n'ai pas de questions. Je suis le gars le moins punché de l'histoire. Mais est-ce que vous avez fait vos besoins? J'ai fait un petit peu pipi, beaucoup caca. Vous êtes quand même assez punché, monsieur. Santé.

À votre diarrhée. Lui, je pense qu'il a une bonne question. Merci pour la question, Philippe. J'espère avoir répondu. Une question pour le monsieur alcoolique qui s'en vient sur la scène. T'as pris le temps de te rappeler de leur nom? Ben oui, moi je suis un humain, moi, Mike.

C'est fort. Parce que moi, j'aimerais ça me rappeler de mon nom, Jean-Thomas, moi. Jean-Philippe. Mais oui, prochaine question. Une question pour Mike. J'ai vu qu'aujourd'hui, ton nom serait ajouté à la programmation du Mobilo. Oui. Je voulais savoir si tu allais faire

quelque chose de différent que ce que tu offres d'habitude ou si tu voyais avec du trash. Ça va être la même calisse de vieille marque que je présente partout. Non, ça va être une nouvelle heure de matériel au mobilo. Oui, c'est ça.

C'est une nouvelle heure. Moi, j'ai appris cette semaine que j'avais une nouvelle heure. Ça m'a rendu vraiment heureux parce qu'il y a de quoi de weird quand tu es humoriste. Une heure, c'est

beaucoup. Là, j'étais comme, j'ai pas mon nouveau show, j'ai pas mon nouveau show, puis là, je viens de découvrir, j'ai une nouvelle heure. C'est un trois-quarts de show, en fait. J'ai mon show. Il te reste du temps aussi pour finir et rajouter des affaires.

Mais ça finit là. Moi, j'arrête. 60 minutes, t'es content? Ça va être 60 minutes moindrement rodées. Qui va faire ta première partie? Il n'y en aura pas, mais je vais aller pisser un moment donné pendant le show. Je pourrais venir répondre à des questions.

Non, mais pour le mobilo où tu parles en tournée. Je parle en tournée. Tournée, moi, j'aimerais ça, le prochain show, avoir deux premières parties. J'aimerais ça avoir... Moi, Éric-Étienne, qui...

C'est quoi son nom? C'est bien que c'est le nom de personne. C'est Preach. Non, mais je me sens mal. Je l'ai tout le temps appelé Éric, mais Preach, j'aimerais ça qu'il anime. J'aimerais ça avoir une première partie. OK.

C'est un beau projet. C'est un astide beau projet. Je t'encourage là-dedans. Je ne sais pas s'il y a déjà eu un aussi long silence dans l'histoire de ce sujet-là. Non, il n'y a jamais eu. Mais le pire que j'ai fait, je pense que ça va rire.

En le faisant, je ne sais pas si je suis trop saoul pour ne pas savoir ce qui est drôle et ce qui ne l'est pas. Je ne voulais pas devenir le gars qui est comme... Ça finit là. OK.

Je n'aurais pas nécessairement de deviner s'il y aurait eu un rire ou non. Ah, ça finit là. OK. Mais dans ce sens, je n'aurais pas nécessairement de deviner s'il y aurait eu un rire ou non, en fait. Fait que je suis peut-être moins sûr que toi, mais je n'aurais pas plus su. Je ne sais pas trop.

Je trouvais ça drôle, moi. Tu n'aurais pas su... Moi, je trouvais ça drôle le long silence, mais comme je suis le pire identifiaire de ce qui est drôle ou non dans la vie,

je me suis dit, ah bien, c'est juste moi qui trouve ça drôle. Nuit. Nuit. Quelle question? Il y a une question du web. Hé, mais moi, il y avait une question

que je voulais parler, puis je ne l'ai pas. J'ai mon téléphone, je ne le trouverai pas. Tu te rappelles la question? Il y a une madame qui m'a écrit, puis une madame. Elle avait 19 ans. Mais non, il y a une madame qui m'a écrit. Une madame. Elle avait 19 ans. Il y a une fille qui a écrit.

Je t'ai déjà entendu dire à la radio que si quelqu'un arrivait avec une photo de toi à ton show, tu allais les laisser rentrer gratuitement. J'ai vu ça que j'ai fait. C'est quoi cette question-là?

De toi avec eux, quand même, pas juste de toi. Oui, mais même, ou de moi avec eux, mais c'est que j'avais dit à un moment donné, à la radio, que si quelqu'un arrive, parce qu'il y avait un gars qui est là, c'est le frère à Ger Alain qui a tatoué un gars

avec ma face sur sa jambe. Puis là, j'avais dit, si t'arrives avec ma face sur ton corps, t'as un billet gratuit. Puis si t'arrives avec ma face puis ton nom, t'as deux billets gratuits. Puis si t'as ma face sur ta

face, là, c'est quatre billets gratuits. Ça, c'est cheap. Non, mais c'est parfait. Ça pourrait être des billets gratuits pour le, c'est cheap. Non, mais c'est parfait. Ça pourrait être des billets gratuits pour le reste de leur vie. Non, mais à chaque show, n'importe où que je joue,

si tu as ma face sur ta face, partout où je suis, tu es là. C'est génial. Oui, c'est... Ça serait stressant, de tout le temps faire « Hey, Mike, regarde, puis là... »

Mais pas une photo. Je prends... Tu sais, les photos, on crée... Tout le monde a une caméra. Mais surtout que j'ai compté ça, peut-être que j'ai compté à New York, mais une des œuvres d'art

qui m'a fait le plus rire dans ma vie c'est le gars qui s'est vraiment fait littéralement tatouer sa face dans sa face c'est-à-dire que dans le milieu de sa face, il y a sa propre face c'est fucking bozant

quand tu le regardes mais je trouve ça vraiment génial comme oeuvre d'art tu fais comme, Christ c'est vraiment une idée fou mais par contre c'est un problème une œuvre d'art. Tu fais comme, Christ, c'est vraiment une idée fou, mais par contre, c'est un problème, une fois que l'art a été consommé, tu fais comme... Ah, c'est cool comme œuvre d'art. Bonne chance pour le reste de l'échec.

Oui, c'est ça. Clairement qu'il venait pas d'une famille riche, en plus. Il y a pas de pantalon à 200$. C'est pas les Bronfman qui font, « Hey, j'ai n'aura pas un plan! à 200 places. C'est pas les Bronfman qui font « Hey, il est n'auraient un plat! » « I did it! »

Non, mais c'est ça. Je trouvais vraiment que c'était une idée que je trouve vraiment... Je jalousais l'idée. Qu'est-ce qui est triste, par exemple, c'est que ce bonhomme-là va vieillir et il va avoir tout le temps sa fâche jeune. Vous n'avez pas ri assez,

mais c'est très drôle. Il va falloir qu'à chaque année, il fasse comme, tu peux-tu mettre des lignes? Mets des lignes là, mets des cheveux blancs sur mon nez. Pour vrai, c'est super drôle. Je le sais vraiment donc.

Est-ce que c'est effectivement un problème? Parce qu'il va s'arrêter devant le miroir et il va tout le temps se dire, voici ce que je ne suis plus. Il va se regarder, il va tout le temps se dire, voici ce que je ne suis plus. Il va se regarder, il va tellement fixer sa face, il va faire, je suis encore jeune.

Il va triper, il va faire comme, c'est la perfection. Moi, c'est ça. Toi, Yann, tu mettrais-tu ta face sur ta face? Non. C'est-tu comme un désaveu de ta face? Tu mettrais-tu la face à Gildor West?

Y a-tu une autre question? Y en a une pas pire, écoute, mais je l'aime. C'est Philippe Savoie-Lemay qui demande quel est votre film préféré à chacun? Moi, je le sais, mais vas-y dans l'ordre que tu veux.

Il y a un film que... Ce n'est même pas mon film préféré, mais cette semaine, j'ai passé comme 12 heures à essayer de le trouver sur Internet. J'ai réalisé à quel point je l'aimais. C'est Plains Trains and Automobiles de John Candy et Steve Martin. Quand je l'aimais. C'est Plains Trains and Automobiles. John Candy et Steve Martin.

Quand je l'ai vu, j'étais content. Je l'aimais. C'était drôle. J'aimais vraiment ce film-là. Je ne sais pas si c'est mon film préféré. Moi, mon film préféré, c'est Super Niche. Il y en a des gens qui vont dire de quoi tu parles, mais c'est le film

Le Goût des Autres d'Agnès Jaoui Jean-Pierre Bacry qui a gagné un César en 2000 ou 2001 vous en parlez je comprends mais pour vrai

pour ceux qui attends je vais parler du rodéo rectal non mais c'est vraiment un super beau film je vais juste expliquer c'est quoi le nom du film Le goût des autres

Le goût des autres et ça parle du fait que des fois dans la vie... Moi, j'aime ça des fois. C'est un drame. Non, c'est une comédie dramatique. Très dramatique, mettons. Mais ça parle... C'est pas tant de comédie. Il y a des goûts très drôles.

Mais ça parle du fait que des fois dans la vie, on juge des gens et on les catégorise comme des gens qui peuvent rien nous apporter parce qu'ils ont des goûts différents de nous. Puis on se dit, il peut rien m'apporter. Mettons, il tripe sur quelqu'un qui me dit, je tripe sur les Backstreet Boys,

mettons. Puis là, je fais comme, ah, quel épais. Mettons, je dis ça. Puis là, je bloque toutes sortes de choses qui pourraient potentiellement m'apporter parce qu'il y a un goût trop différent de moi je trouve ça intéressant je me suis moi-même posé la question par après des fois

que je suis dans une date je vais dans une date dans une fille tu vas dans une date dans une fille la fille a dit je tripe sur Con Air Con Air c Con Air! C'est un bon exemple de film. Un film qui est tellement loin de moi.

Con Air! Con Air avec Nicolas Cage et Steve Bucci. Non, mais... Je peux te donner un autre exemple pour un film extrême si il y a un gars. Les filles, dès que leur film préféré est sorti il y a 28 ans...

C'est un exemple que je te donne. Si la fille me dit qu'elle tripe sur un film que je méprise, faudrait-il que, instinctivement, je la catégorise comme « je ne peux pas finir ma vie avec parce qu'elle tripe sur le film Airbagnard ». Je pense qu'il ne faut pas que je fasse ça.

Mais j'ai effectivement le réflexe de faire ça. C'est un film qui parle de ça, et c'est vraiment beau et touchant, et c'est très, très drôle. Ça s'appelle Le goût des autres. Et là, qu'est-ce qui est mauvais? J'ai juste en tête Connor. Je vais arriver à la maison, je vais googler Connor. C'est ça le film

que j'entends me parler. Je vais faire, pourquoi Steve Beauchemin a fait ça? Tu vas faire 14 heures de Photoshop bien à côté. T'as-tu vu aussi, mettons qu'il y a deux volets à la question, mon film que j'écoute

au moins une fois par année, c'est Field of Dreams avec Kevin Carson. Kevin Carson, qui est un assez bon film. Moi, je tripe sur le baseball. C'est comme un film où le côté un peu vieillot du baseball, puis il y a un côté sentimental, la relation avec le père qui n'est pas réglée.

C'est vraiment, c'est un super beau film. Moi, il y a un film qui a vraiment marqué ma vie, qu'à l'époque, je le regardais tout le temps, puis j'ai arrêté de le regarder quand ma mère est morte, mais c'était Mr. Saturday Night de Billy Crystal, qui jouait un humoriste qui est devenu connu, mais pas tant que ça. Puis là » de Billy Crystal, qui jouait un humoriste qui est devenu connu, mais pas tant que ça.

Puis là, tu le vois, le film commence il y a cinq ans, ça finit il y a 80 ans. Puis tu le vois, comme quand il était en trentaine, il est passé à ça de devenir comme une top star. Puis il est juste devenu une merde méprisante,

à mère. Il y a une scène où, quand sa mère meurt, il fait un number draw à ses funérailles. C'est à cause de ce film-là que j'avais fait un numéro aux funérailles à ma mère. Ça m'a vraiment marqué, ce film-là. J'aimais vraiment beaucoup ça. L'année passée, j'ai commencé à l'écouter.

J'ai fait... Après 10 minutes, on dirait que je trouvais tout faux et cheap, vu que c'est un film de 1982. Là, j'étais comme... Je n'aimerais pas le film. Je l'ai arrêté pour pas que ça... Ça te replonge dans les...

Non, pour pas que je fasse... C'est cheap, ce film-là. À chaque pas que je fasse ce qui est cheap, ce film-là, puis qu'à chaque fois je pense à ce film-là, je voulais pas mettre ma mère, je voulais pas associer ma mère à cette merde-là. Dans le sens que pour toi, le souvenir était devenu

beau dans l'association, puis là, tu l'as pas appris. C'était tellement beau comme film, puis je serais comme « Ah, ça, c'est beau », puis j'ai fait ça pour ma mère, que c'était beau. « Ça, c'est beau ». Fait que là, si ça, c'est beau, j'ai fait ça pour ma mère, c'était beau. Ça c'est beau. Si ça c'est de la merde, je ne voulais pas que ma mère se fasse salir par cette crise de merde-là. Je comprends, ça fait du sens.

C'est un beau film. Je pense que c'est mon meilleur film de tous les temps. Y a-tu une autre question? Y en a plein. John Tom, qu'est-ce que t'as fait comme emploi avant de devenir humoriste? J'ai travaillé dans un marché aux puces Au marché aux puces de Sainte-Foy Ah c'était que tu devais fêter

Dans un marché aux puces Quand on t'entend avec ton Tu parles bien Moi je suis sûr que tout le monde qui va dans un marché aux puces T'entendend parler et ils font « Il est en train de me juger. » Non, mais le pire, c'est que moi, quand il y avait

plusieurs postes au marché aux puces de Sainte-Foy, tu pouvais être celui qui va collecter l'argent aux tables. Moi, j'étais celui qui était l'agent de stationnement à l'endroit où personne ne voulait aller parce que tout le monde se faisait crier des noms. « Il reste de la place, tabarnak de calice!

Laisse-moi rentrer, Chris! » Personne ne voulait y aller. Moi, j'étais comme... « Moi, y aller, Chris! Faut me faire crier après. Moi, leur dire, ben, allez voir. Puis revenez parce qu'il n'y a plus de place. » C'était tout le temps ça que je faisais. J'étais comme... « Ben, il n'y a plus de place. J'ai mis un traiteau parce qu'il n'y a plus de place. Il en reste, tabarnak! J'en ai vu!

Allez-y! » Puis ils revenaient et ils étaient comme...'il n'y avait plus de place il y en reste tabarnak j'en ai vu allez-y il revenait il n'y avait plus de place j'étais comme en pleine gloire t'as fait ça combien? 14 ans? non j'ai fait ça de 16 à 36 j'ai fait ça deux étés

ensuite de ça j'ai travaillé comme préposé dans un centre de personnes âgées où je répondais au téléphone et j'ouvrais les portes des locaux pour des gens qui venaient jouer au Scrabble. J'ai été assistant gérant dans un marché au pouce. Dans quelle place? C'est quoi le nom de sa place?

Ça s'appelait l'école ressources. Pour les vieillards. C'est le centre de loisirs de l'école ressource. Ça doit être mauvais quand tu as 71 ans et que tu vis à l'école ressource. Moi, je n'avais pas 71 ans. Tu parles des gens...

En fait, eux autres, c'était comme leur centre de loisirs qui était dans une école pendant l'été, pendant que l'école, il ne se passait rien. Ils ne vivaient pas là. Ils ne vivaient pas là, non. C'est des gens qui venaient jouer au billard et au scrabble et moi, j'ouvrais la non. C'est des gens qui venaient jouer au billard et au scrabble. Moi, j'ouvrais la porte. C'était vraiment...

Ça n'avait aucun intérêt. Je l'ai fait pendant un bout de temps. Sinon, après ça, j'ai travaillé comme assistant gérant dans une animalerie avec un monsieur qui disait toujours « Attends cinq minutes. » Encore aujourd'hui, je suis attaché à cet homme-là parce qu'il parlait aux animaux. Il disait toujours « Attends cinq minutes. » Puis encore aujourd'hui, je suis attaché à cet homme-là parce qu'il parlait aux animaux.

Parce qu'il disait toujours « Attends cinq minutes. » Quand il était comme irrité et impatient, il disait « Attends cinq minutes. » Puis à un moment donné, on est en train de faire le nettoyage des cages. Puis il y avait un chat qui était tanné et qui avait sûrement faim et qui n'arrêtait pas de miauler.

Puis à un moment donné, il ne savait pas que je l'écoutais. Puis il a dit « Attends cinq minutes. » En parlant au chat. Puis moi, j'ai eu un fou rire dans la pièce d'à côté parce que j'étais comme « Chris, il est rendu fou! » Sa phrase, il a dit tellement sans arrêt qu'il a dit au chat qu'il m'y a dit « Attends cinq minutes! »

C'est la seule phrase qu'il a dit. J'ai travaillé là deux ans et il a juste dit « Attends cinq minutes! » Je pense que c'est mes trois jobs. T'as jamais eu de job quand t'es arrivé à Montréal non en fait c'est pas vrai j'ai fait des tests pour Anafarm

Anafarm qui est des essais cliniques tu prends des pellules pour vrai c'est l'argent la plus fun que j'ai fait dans ma vie c'est quoi qu'ils te donnent ils te donnent genre 500$ si tu prends telle cellule, tu parles,

est-ce que j'ai des totons? Non. Non, mais c'est super bien payé en plus. Puis moi, mon père était médecin puis j'y envoyais toujours

parce que quand tu signes le formulaire, il te donne... Ton père devait être stressé, tu sais, médecin qui fait, OK, mon fils,

pour 186, il s'injecte de la chimiothérapie dans l'œil. Non, ce n'était pas aussi fou, mais dans le sens que c'était quand même vraiment payant. Mettons que tu allais là un week-end, puis tu sortais du là du week-end avec un genre de 2300$, clair d'impôt. Tu ne savais pas si tu avais vraiment le générique? En fait, moi, c'est qu'ils me donnaient je n'ai fait qu'une, mais la dernière que j'ai faite,

c'était comme un générique de Tylenol. Ce qu'ils font, c'est qu'ils donnent à la moitié le vrai Tylenol et à d'autres le générique. Puis là, tu as un cathéter dans le bras. Puis ils te font des prises de sang sans arrêt. Tu joues à des jeux de société

avec du monde vraiment bizarre. Mais en même temps, ils devaient sûrement me trouver bizarre aussi. On écoutait des films, il se passait rien. J'avais rien à voir. T'aurais dû, la dernière heure, mordre quelqu'un. Sauf...

Tu pars comme un Walking Dead. Ah! tu pars comme un walking dead il y a quand même un protocole il y a des médecins sur place j'ai eu vraiment un énorme mal de tête je pouvais rien avoir si on me donnait quelque chose, ça aurait altéré l'étude.

C'était comme endur ou votant. J'ai enduré, mais c'était le plus gros mal de tête que j'ai eu de toute ma vie. Je me suis endormi. Le lendemain, je me suis réveillé sans mal de tête. J'étais content. Avec 2000$, c'était en quelle année? Mettons 2000$.

Pendant que j'étais à l'école de l'humour, j'ai fait 3-4 fois des études qui m'ont donné des gens de 2000 2200 piastres moi j'aimais vraiment ça faire ça mais effectivement il y a des affaires il y a des études ou des documents que je recevais

puis j'envoyais à mon père il dit ben là tu vas peut-être devenir extrêmement poilu ça fais-le pas non mais pour vrai il y avait des effets secondaires ils disent les eff Non, mais pour vrai, il y en avait qui avaient des effets secondaires. Ils disent les effets secondaires potentiels, puis il y en a des plus dramatiques, puis il y en a que c'est comme vraiment le générique de Tylenol, c'était

comme mot de tête. Ça devait être stressant de ton père, par exemple, de savoir que j'ai créé un fils qui me dit, regarde, pour 2000 piastres, je vais peut-être avoir une queue de 9 pieds et des

picots dans la face. » C'est un bon point que mon père va faire. Il ne t'a jamais jugé. Non, mais il aurait pu se dire « Mon fils est rendu là. » Mais il ne l'a pas fait. Je vais checker ce qu'ils vont me donner. Il comprenait que ça ne me tentait pas non plus

d'être serveur. Parce que j'aurais été épouvantable. J'étais aux études, etc. Puis je faisais comme de façon concentrée quand même pas mal d'argent. Oui, moins de 2000$ pour une fin de semaine pour avoir mal à la tête. C'est bon.

Puis les autres fois, je n'ai pas eu mal à la tête. J'ai écouté Crocodile Dundee une couple de fois. Que tu avais amené ou c'était ça? Non, c'est qu'il y avait des choix de films et le monde écoutait toujours Crocodile Dundee. Je me suis fait imposer Crocodile Dundee une couple de fois et j'ai fini par aimer ça. Je pense que je le connais par cœur à ce temps.

C'est un petit bon film, ça. Est-ce que tu le regardais en français ou en anglais? En français. Je ne pense pas vraiment que le monde parle anglais dans cette petite crise de manège-là. Tu te rappelles-tu... En français, ça devrait être mauvais. Parce qu'en anglais,

c'était le gars qui sortait son couteau et il faisait... Et là, il faisait... Et il sortait son gros couteau d'attardé mental de l'Australie. Puis là, il faisait « That's not a knife. This is a knife. » Puis il sortait son astuce de gros couteau d'attardé mental de l'Australie. Je ne peux pas dire que je me rappelle la traduction de Crocodile Monday.

Je m'excuse. Tu t'en rappelles, toi? Ça fait un couteau. Ça, c'est un couteau. C'est un informateur. On se créerait en Australie. C'est-tu l'informateur de Buckingham, lui? Parce qu'il a quasiment autant d'informations. C'est le stool de Sydney.

Y a-tu, Yann, je pense, on devrait faire une dernière question. Une dernière question? Je ne sais pas s'il y en a qui vient du public. Moi, je prendrais un autre drink. Si je peux avoir un autre drink. Parce que la question... Je prendrais un autre drink. Si je peux avoir un autre drink. Parce que la question... Si la question est

est-ce que Mike veut un autre drink, je prendrais un autre drink. Fait que cette question-là, oui, je prendrais un autre drink. Yann, c'est... C'était pas une question du public? C'était comme largué. On a comme...

Oui, c'est ça. S'il y en a dans la salle qui veulent venir poser une question, j'aime que Yann ne s'est aucunement préparé. Non, bien, j'en ai plus des bonnes. C'est ça. Toutes les affaires de Signe-moi Michel. Tu peux peut-être y répondre.

Il y en a un qui demande, licherais-tu l'arrêt d'un itinérant où tu boufferais la mort d'Agent Thomas? C'est le genre de questions. Je peux-tu dire oui ou deux? On a une question de quelqu'un. C'est la tabarnak. J'ai du filet mignon.

C'est en rapport avec les autres podcasts avant, dans les autres semaines. Est-ce que tu as regretté, Jean-Thomas, d'avoir dit ce que tu as dit ici? Avec les bottins et la mallette de poker. Non. Pour Euh, non. Non, pour vrai, non. T'as-tu eu du monde qui t'ont parlé de l'affaire de la mallette de poker?

Ben oui, là. Des fois, il y a du monde qui m'envoie des mallettes pis qui disent comment t'as trouvé. Ça te rend-tu un peu horny? Non, non, mais dans le sens que, pour répondre à ta question, non, parce que c'est vraiment quelque chose que j'assume et qui est arrivé dans le flot de la discussion. Aussi, le podcast est très niché.

Monde de stars a fait un article pareil. Oui, c'est vrai. T'avais-tu peur que ton mononcle Denis tombe la dune qu'il fasse? Jean-Thomas, je le connais. Jean-Thomas, j'ai bien Jean-Thomas. Jean-Thomas, j'aime bien m'effoirer

sur le pénis mou. Je ne le connais pas tant que ça. Je ne le connais pas tant que ça. Non, mais non, pour vrai,

je n'ai vraiment pas de regrets parce que pour moi, le fun du podcast, c'est d'un peu baisser toutes ces barrières.

Ses pantalons, puis il faut rire ton pénis mou sur un livre. C'est un peu ça le bonheur. C'est arrivé dans la conversation avec Thomas. En fait, c'est parce que le problème, c'est que Mike, qui a inventé n'importe quoi sur Occupation Double, je le sais qu'il va saisir des affaires pour faire un bon show. Puis là, quand Thomas a parlé de comment vous êtes masturbés la première fois, je savais que Mike le savait

parce que j'y avais raconté. Puis là, j'étais comme qui m'a regardé en voulant dire « T'es mieux de le compter, mon tabarnak ». Je suis mauvais. Je suis vraiment mauvais. Non, mais c'est vraiment zéro grave. Je suis un mauvais ami. Ben, t'es pas un mauvais ami du tout. Non, t'es un très bon ami.

Non, mais je l'assume, cette affaire-là, parce que j'avais même raconté dans les autres podcasts que j'avais essayé de faire un numéro avec ça en show, pis que les gens y croyaient pas tellement que c'est déconnecté, fait que ça marchait pas. Mais là, les gens y croient un peu plus, parce que ça se fait en show. Tu penses-tu faire un number, moi? C'est ça? Ben, là, c'est parce que je pense qu'il y a juste les fans de sous-écoute qui seraient comme contents,

les autres feraient comme deux, trois qui parlent. Tu aurais des rires trop gros et la confusion totale. Ça serait soit du « Ah! » ou juste... Si je le faisais, je pense qu'il faut vraiment que j'accuse le fait que c'est ici que j'en ai parlé pour la première fois et que je raconte que j'en ai parlé.

Il y en a peut-être qui le savent et que je détaille un peu plus. Mais je pense que j'ai vraiment tout dit de ce qui est humoristiquement drôle sur le sujet. Il y en a qui vont dire que c'était plus déprimant qu'autre chose, mais moi,

c'est pas rien. C'est pas quelque chose d'humiliant. En plus, qu'est-ce qui serait weird? Si tu faisais un number là-dessus, tu sais, t'as fait un numéro genre vulgaire ou de sexe,

mais qui était faussement sexuel, pis là, ton deuxième number, ça serait que tu t'effoires les pénis sur des escaliers ou des... Fait que là, le monde serait comme, OK, je comprends pas le troisième degré.

Guy Nantel pourrait venir nous l'expliquer. Tu pourrais finir à la fin, j'éjacule sur la Bible, c'était de la critique sociale, tu inventes un troisième degré. Non,

oui, je ne sais pas. Ça serait quoi non. Oui, je sais pas. Ouais, ça serait quoi la... Ouais, c'est ça. Je sais pas, qu'est-ce que tu pourrais faire à croire la raison. Je peux pas être pro-botin. Personne va faire comme, yeah! Mais tu pourrais finir en faisant

yes, on accueille les... Je ne sais pas. Dans le fond, j'essaie de trouver un punch. Il n'y a rien qui te vient. Il n'y a rien qui me vient. Vous se dites, qu'est-ce qui vient?

Moi sur un bottin. Les autres sont contents. Ils sont très contents. Je pense qu'on va finir là. On va finir là-dessus parce que... Deux raisons. Un, je suis

trop chaud pour ajouter, mais deux... Merci, j'entends. C'était le fun. Merci à toi. C'était vraiment cool. Merci à vous autres d'être restés jusqu'à minuit et dix.

C'est très cool. Merci à Yann Thériault. Applaudissez-le. Merci à Jason sur les réseaux sociaux. Merci à Jason, merci à Charles, merci à Michel. Merci à qui d'autre qu'on peut remercier? Louis T qui était là avant notre show.

Louis T qui était là au début et qui est venu pendant pour montrer ses pantalons il est en train de compter des allumettes sur le trottoir pour prouver au monde qu'il est autiste non mais merci d'avoir reçu ce téléphone on est toujours bien ici c'est que du bullying

que je fais ouais c'est-tu en remise en question en ce moment? non c'est zéro une remise en question c'est juste j'étais nostalgique j'étais comme c'était le fun le bullying

j'étais comme Christ a du bon vieux temps ça mais moi c'est ça merci beaucoup tout le monde puis Yann on enregistre peu ben j'enregistre encore mais tu peux

pourquoi non parce que si je pouvais m'en aller tu peux t'en donner merci tout le monde merci Yann continue à enregistrer Si je pouvais m'en aller. Oui, tu peux t'en aller. Tu ne veux pas dire merci au Patreon? Merci. Je vais faire... Yann, continue d'enregistrer.

Tu enregistres ça? Oui. Merci à tous les abonnés à Patreon. C'est grâce à vous qu'on est ici. Merci Patreon. Même aux mondes qui ne sont pas là, arrête d'enregistrer parce que le monde de Patreon

Ils se sentiront pas Privilégiés Merci à tout le monde qui regarde le podcast Merci à vous autres C'est très cool, bonne soirée Bonne soirée tout le monde