Mike Ward Sous Écoute - Stéphane Rousseau et Julien Lacroix

Episode Date: June 15, 2020

Cet épisode est une présentation du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec. - http://www.sapscq.com/ Pour vous procurer un masque de Sous Écoute - http://www.sousecoute.ca Dans cet épisode de Sous Écoute, Stéphane Rousseau nous gâte d'une tonne d'anecdotes de métier et de la France, et Julien Lacroix nous parle de ses projets à venir! -------- Patreon - http://Patreon.com/sousecoute Twitter - http://twitter.com/sousecoute Facebook - https://www.facebook.com/sousecoute/ instagram - https://www.instagram.com/sousecoute Twitch - https://www.twitch.tv/sousecoute Discord - https://discord.gg/6yE63Uk ★ Support this podcast on Patreon ★

Salut tout le monde, bienvenue à Mike Ward sous-écoute, cette semaine on a un gros show, on a Stéphane Rousseau, on a Julien Lacroix. Stéphane Rousseau, première fois au podcast, Julien Lacroix l'a souvent fait et c'était tellement le fun de les voir ensemble, c'est le fun d'écouter Stéphane Rousseau. Quel gars généreux, talentueux, merci beaucoup. Merci Stéphane. Merci à Julien aussi. Tu sais, Julien, les premières fois qu'il a fait sous-écoute, il n'était pas encore connu. Là, il est devenu une grosse... Probablement dans le top 5 des plus grosses vedettes au Québec en ce moment. Puis il continue à faire sous-écoute.

Il n'a pas changé. Merci beaucoup Julien. Puis bravo pour tout ton succès. Avant de commencer ce podcast-là, je voulais vous parler de quelque chose. Moi, quand il y a eu le début de la pandémie et je voyais le monde sortir avec leur masque, je me disais que ce serait drôle de faire des masques de sous-écoute. Tu sais, faire le masque que le monde portait aux Oliviers avec le X rouge. Fait que c'est ça que j'ai fait.

J'ai fait faire des masques, des masques blancs avec le X rouge, un masque noir avec le X rouge et un masque sous-écoute. Juste un masque noir avec le logo de sous-écoute. Ils sont super confortables. Je vais vous le montrer. Puis, comment tu veux montrer que quelque chose est confortable? Ah, c'est confortable! Non, mais il attache en arrière de la tête. Comme ça, tu n'as pas peur. Il n'y a aucune chance qu'il descende. Il est fabriqué au Québec. Il est fabriqué à Laval. Il est cousu à Laval.

Il est imprimé à Longueuil. C'est 100% québécois. Allez sur sousécoute.ca pour acheter ça. Sousécoute.ca. C'est juste 15$. C'est 15$ pour ces deux-là. Il y a trois différentes grandeurs ou grosses âges, je ne sais pas comment. Tu dis, il y a

pour les hommes, pour les femmes et pour les enfants. Parce que oui, mon public cible a 7 ans. C'est 15$ pour ça et 16$ pour lui. C'est juste 3$ de shipping et c'est Michel qui fait le shipping. Lui-même. C'est Michel et Laurence.

Et moi, c'est ça. Parce que Michel a le temps, maintenant, vu que ses artistes ne travaillent plus. Fait qu'il n'y a rien que ça à faire à s'occuper de mon merch. Merci beaucoup, Michel. Merci, Laurence. Et merci à vous autres. Sousécoute.ca. C'est 15$

plus 3$ de shipping. t'es au Canada. Les autres pays, je sais pas c'est combien. C'est sûrement plus cher. Pis tu peux en prendre jusqu'à 4 pour 3$ de shipping. Pis c'est Michel le touché. Fait que si t'es un weirdo qui capote sur Michel, quand tu le reçois

avant de le porter, tu peux faire comme ça sent Michel. Ça sent Michel. Ça sent Michel. » Puis tu le portes juste à blonde, à rante. Qu'est-ce que tu es en train de faire? Rien! Pourquoi tu te masturbes en disant « C'est moi Michel. »

Tu peux faire ça. Ça te tente. Bon, avant de commencer le podcast, souvent, tu sais, dans les débuts de podcast, je vous annonce un produit ou je vous parle d'un produit. Cette semaine, c'est un peu différent. Cette semaine, c'est le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec, S-A-P-S-C-Q-C-S-N, qui m'a demandé de vous livrer un message.

Ils veulent se faire entendre par le gouvernement. Parce que les politiciens sont toujours prêts à parler de sujets sexés politiquement, mais ils oublient tout le temps les travailleurs de l'ombre qui tiennent à bout de bras le réseau correctionnel en assurant la garde des détenus et prévenus sans obtenir la reconnaissance qu'ils méritent. Là, c'est un message pour le premier ministre Legault et Mme la ministre Guilbault. Parce que c'est ça, mon peuple flexible, c'est un message pour le premier ministre Legault et Mme la ministre Guilbeault.

Parce que c'est ça, mon peuple flexible, c'est des enfants de 7 ans et le premier ministre Legault et Mme la ministre Guilbeault qui écoutent les deux. Tu le vois souvent, tu sais, quand ils font des points de presse, souvent Legault, tu sais, si Arruda dit quoi, t'entends Legault faire « brag ». Il fait « oh, on a aplati la courbe, brag.

J'aimerais remercier les gens du CLSC. Sors avec. Le message pour le premier ministre Legault. Désolé, M. Legault, je vous ai appelé ministre Legault. Et Mme la ministre Guilbeault, qui

assurera la sécurité? Et là, là, je vous parle du fond de mon cœur. Je ne suis pas en train de lire un texte. Qui assurera la sécurité de la population si nous ne sommes plus capables de recruter et de retenir nos agents à l'emploi? Que le taux d'absentéisme augmente

et que nous tombons au combat. Un site web, je contribue? Vous, Mame la ministre, vous devez agir pour freiner l'hémorragie. Vos agents et agentes sont au front chaque jour pour servir et maintenir la sécurité de nos établissements et de la population. Nous sommes un service essentiel.

Pas moi, eux autres. Je parle des agents de la paix qui sont un service essentiel. Moi, fuck all, service essentiel. Moi, t'es un humoriste. T'es un humoriste, je fais des jokes. C'est ça. Je suis le moins essentiel.

Eux autres sont essentiels. Fait que j'aimerais ça, si le premier ministre Legault entend ce message, s'il vous plaît, parlez aux représentants SAPS, CQCSN. Ils veulent se faire entendre. Merci beaucoup tout le monde. Bon podcast. Amusez-vous.

Soyez... C'est ça. Arrêtez d'être des mardes sur Internet. Il y a trop de petites graines de stin ici. Arrêtez de vous insulter, puis amusons-nous pendant une couple d'heures, puis après, on va retourner à nos vies de marte. All right. Salut.

Pas salut. Il y a un podcast qui commence. Mais je te garantis que c'est la cause du gourou. Oui, oui. J'ai déjà fait avec Mehdi mais je te garantis que c'est à cause du gourou ouais ouais ça m'a trop énervé j'ai déjà fait avec Mehdi

on faisait 35-35 en tournée pis les deux fois qu'on a fait nos premières j'ai fait 15 minutes mais le même temps c'était votre cachet ou c'était le temps qu'on devait faire. Pour vrai, j'ai tellement gaulé que j'ai fait 15 minutes, je suis sorti de là genre « Wouh! »

Bien joué. Il y avait les médias. T'avais-tu eu des belles critiques? Je sais qu'au temps de marche, j'avais fait ça aussi. Oui, il avait shorté un peu. Oui, quand même. Moi, on dirait, j'ai remarqué que je suis capable de faire des shows quand je suis chaud

sur le vodka, sur la bière. Mais mettons, sur le gourou, c'est impossible. Moi, je ne vais pas plus vite, mais je me mets à faire, j'ai l'impression que je suis en train de faire une crise cardiaque. J'ai le cœur qui fond, puis là, je suis comme,

tout le long, je pense à là je suis comme tout le long je pense à si je devrais faire du sport je veux pas mourir de même t'es tough shape toi non mais pourquoi t'es en chaise roulante c'est ça le début de la pandémie j'ai pas bougé

au début mes jambes étaient assez fortes pour pousser la chaise, mais là, il faut que ma blonde vienne me chercher. Tu as changé de lieu, tu n'es plus dans le bureau. Non, c'est le même bureau, c'est juste que j'ai changé l'axe de la caméra. Tu as des barrières? Non, c'est qu'au début j'avais genre ma bibliothèque mais tous mes livres tu sais maintenant quand tu montes tes livres

tu veux que ça soit des livres, tu as de l'air intelligent moi tous mes livres me font avoir de l'air encore plus stupide que je le vois moi j'ai des livres tellement c'est tous des livres que j'ai il y a un côté de la bibliothèque c'est ma blonde c'est tous des livres très hot il y a mon côté c'est tous des livres que j'ai... Il y a un côté de la bibliothèque, c'est ma blonde, c'est-tu des livres très hot. Il y a mon côté, c'est-tu des livres que j'ai reçus en cadeau.

Tu sais, la biographie de Céline Dion, la biographie de Dominique Michel, c'est juste des bios. La biographie de Colombo, Peter Falk. Moi aussi, c'est que des bios. L'autre fois, j'avais... J'ai retrouvé,

il y avait une bio de Juste pour rire écrite par Jean Beaunoyer, mais c'était pas une vraie bio, c'était juste, il a repris, il a copié et pasté ses critiques de galas au fil des années. Il commence tous ses articles en disant, je me rappelle,

en 87, le festival, il y avait une frénésie, puis là, il parle d'un gala, mais il décrit chaque numéro de façon comme si, tu sais, ça prend une page au complet pour décrire un gala, puis t'es comme, OK, c'est clairement juste un copy-paste.

C'est le genre de livre que j'ai. La biographie de du gros, du grand. En arrière de toi, quel genre de livre que tu as? Pour vrai, honnêtement, je lis quand même pas mal. C'est juste là où on voit les bébés en arrière, mais ici,

c'est tous des livres... Je lis quand même beaucoup. J'ai commencé tard parce que j'étais pas bon à l'école et j'aimais pas ça. À un moment donné, j'ai pogné le goût à la lecture parce que c'est la seule affaire que quand tu le fais, tu es obligé d'être à 100% dedans. Je suis tellement hyperactif

qu'on va dire, je vais écouter un film, je vais texter en même temps, je vais écrire en même temps. Puis le livre, je vais me branler en même temps. Oui, ça, ça arrive. À la minute que tu éjacules, c'est terminé. Non, mais je me suis comme...

Tu lis 13 fois la même page, pis t'es comme call-in, fait que t'es obligé de te concentrer, fait que c'est un petit peu le truc. Fait que là, je lis en ce moment La Bête, le troisième de David Goudreau. C'est vraiment intense, mais c'est bon. C'est trash.

Tu lis combien de livres par semaine ou par mois? Ça varie. Là, depuis la pandémie, je te dirais que depuis deux mois, je n'ai peut-être lu 7-8. Mais, il n'y a plus de show. Le soir, ça m'aide

à m'endormir. J'ai beaucoup d'insomnie. Il y a ça ou prendre un petit verre pour me tenir. On va alterner. Un soir, tu te saules? Un soir, tu lis? Ça ne serait pas le vrai calcul calcul mais on peut dire ça comme ça mais ça fait du bien pour moi

ça gosse j'essaie d'expliquer ça à mes frères qui sont un peu comme moi mes plus jeunes inciter quelqu'un à lire c'est fucking compliqué si tu trêves pas tu trêves pas j'ai essayé d'expliquer Alice de Patrick Sénégal c'est un des premiers que si tu ne traites pas tu ne traites pas j'ai essayé d'expliquer Alice de Patrick Sénégal

c'est un des premiers livres que j'ai lu ça allait allumer quelque chose j'essaie de donner des livres, pas qu'on t'oublie Albert Camus, c'est ça si tu n'aimes pas lire, les premières affaires vont t'allumer j'essaie d'alterner, de donner des livres à chaque cadeau que je fais dans la vie, c'est des livres comme ça

quelqu'un qui ne lit pas, tu décris la sensation d'un livre, ça sonne décevantement. C'est comme un film, sauf que ça dure une semaine et il n'y a pas d'image. C'est vraiment ça. Quelqu'un qui n'a juste pas

l'amour de la lecture. L'amour de la lecture. Non, mais c'est parce qu'à l'école, on t'oblige à lire. Puis moi, je me souviens, je louais les films à chaque fois parce que je ne voulais pas lire le livre. Puis, à un moment donné, ça a décliqué. Puis j'ai fait « Ah! » Fait que j'essaie, mais c'est compliqué à expliquer à quelqu'un.

Moi, j'ai bien du mal à lire. À t'installer. Hein? À t'installer puis lire, c'est impossible. Non, j'aime ça m'installer, lire. J'achète des livres, j'ai de la misère à les finir. Même, j'ai déjà fini des livres, genre, cinq pages avant la fin.

Ah, wow! T'essaies-tu de deviner ce qui arrive ou tu es juste tellement décroché? Je m'en doute. Je m'en doute. Mais le pire, à un moment donné, je lis. C'est rare que je lis. J'ai beaucoup de difficultés parce que je suis dyslexique et c'est long, à un moment donné, je lis le livre.

C'est rare que je lis vraiment. J'ai beaucoup discuté parce que je suis dyslexique, puis c'est long. Il faut que je lise tout le temps les mêmes pages. Je trouve ça un peu épouvant, mais je me donne la discipline. Ma blonde a dit cinq livres par semaine. Mon fils est un lecteur. Moi, j'ai un peu de misère. Mais un jour, je lis le parfum de... C'est top!

Tu connais ça? Bernard Gilbert. Oui, ça. J'ai pas été capable. tu connais ça? Bernard Gilbert Patrick Lefebvre j'ai pas été capable non mais c'est pas si pire ça c'est un en tout cas je trouve ça le fun je suis en vacances, je lis ça, je trippe puis suite après ça

je pars de Cancun pour m'en aller à Paris j'arrive à Paris puis il y a Franck Dubas qui me dit, viens on a un événement il dit, ce serait le fun qu'onasse qui me dit bien on a un événement il dit c'est le temps qu'on se voit il dit moi on va travailler un peu mais tu vas voir c'est un petit papetage moi je m'en venais pas je dis ok je débarque tout bronzé tout cute je m'installe dans le party pis il m'a donné je te présente un de mes chums il dit lui ici il connait pas personne fait qu'on se met à jaser ensemble pendant que franck il fait ses entrevues pis entrevues. À un moment donné, le gars dit

« Tu fais quoi? Tu aimes la lecture? » « Oui, justement, je suis en train de lire Bernard Weber. Je suis content. » Tu arrives à Paris, tu as lu un livre. C'est super bon. C'est le voyage. Il me regarde et il rigole un peu. J'y compte un peu.

Il me dit « Arrête, tu déconnes. » Je comprends finalement que c'est lui. C'est drôle. Moi, je ne le savais pas. J'y compte, je lis, que je venais de lire. J'avais l'air d'un petit imbécile. Tu ne fais pas le livre, par exemple. Ça aurait été horrible que tu fasses

comme tu es en train de lire un livre. J'embarque pas, c'est mal écrit. Il y a des chances que je tombe sur l'auteur que j'ai lu ça arrive rarement je pense au monde mais est-ce que quand t'es allé en France justement des affaires comme ça pour être allé récemment en faisant des shows

on dirait que pas t'essaies de prouver quelque chose mais tu deviens au début quand t'es pas authentique pis que tu essaies de prouver quelque chose, mais tu deviens, au début, quand tu n'es pas authentique et que tu ne sais pas un peu la personnalité française, tu essaies de bien parler, mais aussi, tu ne veux pas avoir l'air taré, tu es tout le temps en train de marcher sur des choses, sur des trucs,

tu ne sais pas. Moi, j'ai réalisé que le trois-quarts des humoristes étaient musulmans. À Montréal, on m'a dit à mes amis, on boit après les shows. Tous mes amis humoristes, on va prendre un verre. Mais là, ce n'est pas cool nécessairement, parce que là, tu sais, on va se prendre un verre pour avoir du fun,

là, c'est, oh non, alors là, tu es comme un shit. Une de mes deux ressources vient d'être. J'imagine qu'on ne baissera pas non plus. Non, c'est ça. Mais est-ce que tu as eu un peu des plaques comme ça à t'adapter? Oui, bien, moi, ça m'aa pris du temps à m'adapter.

Au début, je m'adaptais beaucoup trop. J'adaptais beaucoup trop mon langage. J'essayais beaucoup trop d'être français. Parce qu'il y a du monde qui te met de la pression là-bas pour que tu y sois aussi. Puis, à un moment donné, ça a commencé à marcher mieux quand j'ai lâché ça un peu. Quand je suis devenu un peu plus québécois. Mais tu ne peux pas être complètement québécois parce que sinon, ils ne te comprennent pas.

C'était-tu le Stéphane qui te mettait cette impression-là ou c'était tes producteurs? C'était la prod ou c'était l'attaché de presse ou c'était toujours quelqu'un qui venait dire « Attention Stéphane, là c'était tout québécois, on ne comprend pas, on aimerait, on ne comprend pas. »

Moi, au début, je suis allé un peu, puis on est tous pareils, on arrive là-bas, mais franchement, j'ai dit du beurre, comment c'est que je comprends pas, tu sais, puis tu comprends que c'est vrai qu'ils comprennent pas, finalement. C'est bizarre, mais ils comprennent pas. Parce qu'on fait beaucoup de contractions, tu sais, on va dire, à maudit,

à maudit, eux autres, déjà, tu les as perdus bien raides. C'est bizarre.ils comprennent pas c'est fait qu'il ya ben ben ici short cut comprend que moi j'étais comme mes chums il choquait souvent il a demandé des idées il essayait d'articuler des patates pilées. Des patates pilées! J'étais là, lâche, t'as beau articuler comme tu veux,

donc on va pas faire ça. Il y a rien, en plus... Pommes purées, là. Oui, patates pilées, en France, ça serait pommes purées. Excusez, Stéphane, je pense que je te ferais mettre tes écouteurs de temps à temps. Yann, je savais que tu me dirais un enfant de monde, je disais, il apparaît pas pour rien. Tabarnak! Yann a entendu parler

de patates pilées. Il a dit, il faut que j'en barre. C'est quoi la recette? Attends, j'ai juste des gros... C'est ça. Mais AirPods. Moi, j'ai des écouteurs ridicules. J'ai comme un

kit de Ron Burgundy l'agent de sécurité c'est parce que j'avais tout le temps mes earbuds pis ça me gossip je joue avec fait que là j'ai fait je vais mettre ça tu sais

look un peu agent de sécurité ou genre Bernard de Rome des années 70. J'aime bien ça. J'ai André Duchamp qui me dit. Je vous entends bien. Tantôt, c'était pas ça. Non, non, non. Vous aviez des bizarres

de voix. Je n'entendais rien. Ah oui, c'est vrai? J'aime ça que tu es vraiment poli. Tu n'entends rien. Mais tuentends pareil je lisais ses lèvres son anecdote c'était au hasard c'était comme je voyais quelque chose avec la France

je pense qu'il parle de la France j'ai de quoi avec le beurre je vais en parler surtout que j'ai pas d'image en plus j'ai du temps ça serait malade tu nous vois pas tu te mets à parler dans mon dos

j'allais parler oh excuse moi est-ce que vous avez déjà travaillé ensemble on a fait un court métrage ensemble genre en 2003 faut pas que tu commences de même Mike moi je commence toujours On a fait un court-métrage ensemble, genre en 2003. Non, mais il ne faut pas que tu commences de même, Mike. Moi, je commence toujours en disant…

C'est un court-métrage de l'histoire. Non, plus! Moi, je dis qu'on l'a tourné dans un film américain. Ah oui, oui, excuse. Parce que c'était un film américain. Mais le réalisateur est américain, en tout cas. C'est quoi? C'était bon, là.

Ça se fait. Je me rappelle quand les producteurs m'en avaient parlé, ils vantaient que c'est le court-métrage avec le plus gros budget de l'histoire. C'est ça qu'ils disaient. Mais ce qui était totalement faux, tu sais, à moins que quelqu'un a eu

ce petit gros cachet, parce que il me semble que c'était juste une journée de tournage bien normale. Ben oui, ça s'appelait de low-queen mode. Je ne sais toujours pas ce que ça veut dire mais je t'avais dit tu jouais un chanteur qui m'a jeté comme le l'animateur ouais mais moi je faisais juste chanter chanter quando quando quando je pense c'est dégueulasse. Mais toi, t'es allé le voir, ce film-là, hein? Non, je l'ai reçu. Il me l'a envoyé

à un moment donné, ou je l'ai cherché sur Internet. J'ai pas été voir ça. Ah, je pensais que t'avais invité... Je suis parti à L.A. voir ça. Mais c'était pas bon? C'était correct. C'était un court-métrage

correct avec une participation honnête de nous autres. Mais qui d'autre qu'il y avait, disons? Bruce Willis. Non, mais ça, c'est son passage juste pour rire, puis on dit toi, toi, puis... Non, non, je me rappelle, c'était tous les acteurs,

c'était les enfants de grosses vedettes des années 70. Il y avait la fille à Sissy Spacek. Oui, c'est vrai. C'est de même qu'on m'avait vendu ça. La fille d'une autre actrice ou acteur. C'est genre, c'était-tu

une des filles à Ron Howard? C'est peut-être pas Ron Howard, mais... Oui, c'est possible. Quelqu'un dans ce genre-là que tu fais, wow, c'est bien cool. Jusqu'à temps que tu arrives, tu fais... On s'en crée ça. J'ai plein de monde dans ma famille qui n'ont pas de talent. C'est ça.

Ça ne veut rien dire. Ce n'est pas un gage de succès. Oui, exact. J'allais dire que c'était le fun à faire. C'était le fun à regarder. Moi, j'étais la dernière scène et je me rappelle... Pour le 2? Oui, mais il fallait genre que je présente

puis là, il avait dit on va shooter de même, de même, de même. Puis finalement, vu que la journée était quasiment finie, je pense que j'avais fait ma scène en voix off. Puis est-ce que... Puis là, je me fais... Est-ce que vous chilliez ensemble à l'époque de Juste pour Ritou? Il y a toujours des gangs.

Vu que moi, je suis arrivé à peu près 10 ans après Stéphane. Tu as commencé en quelle année? Deux ans après Dodo. On a à peu près le même âge. Stéphane, tu as commencé à 15 ans à peu près? Oui, 13 ans. 13 ans, tabarnak!

C'est une première que tu faisais dans les bars avec Roméo Pérusse? Oui. À 13 ans? Oui. Ça, c'était vraiment mes premiers. J'en ai peut-être fait 3-4 à 13 ans, puis je suis tombé à 14 ans, puis là je n'ai fait plus

parce que Roméo m'a demandé de faire ses premières parties. Je me suis mis à faire des shows quand même. Avec lui, à un moment donné, on avait fait 15 dans une semaine. C'était un kid. Mais moi, pour partir... À 14 ans,

ta mère, allait-tu avec toi ou elle te laissait avec Roméo? Elle était morte! Ah oui? Ah, Christ! Vos deux mamans, elles sont décédées. Toi aussi, tu étais jeune? Non, moi, j'avais 25 quand elle est morte. OK. Moi, décédée, j'avais 12.

C'est ma soeur parce que c'était comme pour me faire oublier ça. Un peu, ma soeur m'avait embarqué dans un concours amateur. OK. Pour m'occuper. Elle savait que j'aim pour me faire oublier ça, ma soeur m'avait embarqué dans un concours amateur. OK. Pour m'occuper, elle savait que j'aimais ça faire des niaiseries, puis je faisais bien des shows à l'école, puis tout ça. Ça fait que c'est la partie-là. Puis j'ai gagné comme la deuxième place dans ce concours-là. Puis Roméo Pérusse m'avait demandé, il était sur le jury,

il m'avait dit que ça tentait de faire mes premières parties. Il prenait la différence d'humoriste pour faire ses premières parties. Puis moi, j'étais plus jeune, forcément. Mais il a demandé à mon père. Mon père me suivait. On allait faire des shows. Mon père m'a accompagné au début. Puis à un moment donné, il me laissait aller. C'est un esti d'école, ça paraît.

Vu que lui, il est revenu au Pérusse à cette époque-là. Lui, il va à 60 quai. Je ne sais pas. C'est absurde comme show. Un monsieur de 64 ans. Oui, c'est vrai. Il avait un tuxedo bleu pâle.

Un cheveu sur la tête. Des boucles d'oreilles. Il avait tout un look. Après ça, je l'ai fait avec le capitaine Bonhomme dans le temps. Je croisais tous les gars comme Claude Blanchard. Je me souviens Bonhomme dans le temps. Je croisais tous les gars comme Claude Blanchard, mais dans les bars. Je me souviens,

le capitaine Bonhomme, il avait voulu me voir après un de mes shows, Michel Noël. Il y avait trois affaires qui marchaient bien gros dans mon show. C'était mon imitation de Rambo, mon imitation de Kenny Rogers, puis une autre imitation, je ne sais plus quelle. Je m'en vais le voir à Michel Noël

après pis je veux juste te conseiller un peu. Pis il m'avait demandé d'enlever ces trois numéros-là. C'était les trois seules affaires qui marchaient dans mon vide. Étais-tu jaloux? Il y avait du fait de faire voler Nadia? J'avais trouvé ça très weird.

Mais tu sais, c'est drôle aussi les conse conseils, parce que visiblement, t'étais jeune, pis les conseils, t'es toujours un peu en deux chaises, t'es comme... Moi, j'étais le genre à prendre le conseil, pis l'appliquer, même si je savais que c'était faux, mais on m'a donné un conseil, je vais le faire. Fait que là, t'es là, pis on m'a dit, moi, si je parlais vite,

pis je bougeais plus, ça allait être gagnant, mais c'était pas moi. Fait que là, tu le fais, pis t'es comme... Ben non, c'est ça, comme on a dû dire à Louis-Joe de parler moins vite à un moment donné. Ouais. Ben le fait, il crie pas. Ouais, mais ça fait quand même partie de ça, tu sais. Ben c'est ça. Il m'a dit, ça serait bien si t'étais plus vulgaire.

Ouais, mais ça fait quand même 50% de mon personnel. Ouais, c'est drôle, tu sais, quand tu commences en plus, tu sais, tu dis, ah, cette personne-là, ça fait 20 ans qu'ils font ça, ils ont eu beaucoup de succès, ils doivent connaître ça plus

que moi, puis après tu réalises que c'est différent pour tout le monde puis tu connais jamais vraiment ça j'ai jamais osé donner un conseil à quelqu'un c'est ça que j'allais dire, les conseils moi j'ai tout le temps dans la chaise moi je suis conscient qu'il n'y a aucun

conseil qui marche, mais je passe mes journées à donner des conseils. Quand les jeunes me demandent des conseils, ils vont me demander, j'aimerais-tu closer avec ça ou ça? Je passe deux heures de temps à leur donner toutes mes théories d'humour.

Puis c'est clair, ça ne marchera pas pour eux autres. La vie, c'humour. Puis c'est clair, ça ne marchera pas pour eux autres. La vie, tu sais, c'est ça. Mais toi, surtout, Marc, en humour, les gens, les plus jeunes sont vraiment fans de toi. C'est sûr que quand tu donnes un conseil, ils l'appliquent en esti. Puis si ça ne marche pas, ils sont comme

« Soyez jaloux » puis ils essaient de me crosser. Je ne suis vraiment pas fait pour ça. Ce n'est pas le bon métier. Non, mais au moins, je suis conscient et je leur dis tout le temps, regarde, écoute, tout le monde, il faut que tu en prennes

et t'en laisses. Mais on dirait que je veux tellement aider. Je sais pas pourquoi. Je me rappelle, tu sais... Je spin sur un part-time. Quand j'ai commencé à faire de l'humour, Guy Lepage, un moment donné, m'avait donné un conseil.

J'étais tellement content que Guy Lepage me donne un conseil qu'on dirait... Aussitôt qu'il y a des nouveaux, je veux leur donner des conseils vu que dans ma tête, je suis comme le Guy Lepage de 82. Vous autres, regardez-vous regardez la caméra ou vous

regardez moi quand je parle et tu regardes Mike quand il parle? Moi, je regarde vous autres, mais j'ai mis mon ordi en arrière de ma caméra. Fait que t'as les deux, toi. Ouais, je regarde les deux.

Toi, Stéphane? Je suis bien fourré en ce moment. Moi, au début, là, j'ai trouvé un spot que ma caméra et vous autres, c'est à peu près le même angle parce que les premiers épisodes, souvent,

j'avais juste l'air d'un gars qui louche. Tu ne veux pas être le gars qui regarde trop direct non plus sinon, tu as l'air d'un petit copain. Honnêtement, j'ai pris un petit verre et j'ai tout le temps l'air d'être de même. Je veux juste être brûlé. Toi, tu as une bonne caméra, l'image est belle.

On dirait que tu es en 4K. Tu as-tu une équipe derrière ça? Non. Non, mais en plus, c'est un vieil ordi et tout. Mais je pense que c'est con parce que depuis le début, je ne l'avais jamais lavé. Parce que j'avais mis un tape pour ne pas me faire

checker d'un coup. C'était sitwear et ils disaient que la caméra, on peut se faire. Là, je l'ai lavé parce qu'il y avait plein de tape dedans. J'ai reçu un message. J'ai reçu un message. Il y avait plein de tête. Quand on est jeune, c'est ça.

Moi, j'ai reçu un message dernièrement comme quoi quelqu'un qui me filmait pendant que... Moi aussi, j'ai un tête sur ma caméra. Ça fait des années que j'ai un tête sur ma caméra. Mais quand même, tu sais, des gars qui essaient de t'arnaquer, de t'hameçonner. Qui te disent que tu sais les choses.

Oui, c'est ça, mais ça ne se pouvait pas, ce qu'ils savaient. Mais quand même, j'ai fait une plainte à Société des plaintes. Qu'est-ce qui se passe? Hein? C'est quoi la société des plaintes? Ça ne s'appelle pas de même, mais tu peux faire une plainte

si quelqu'un essaie de te hacker. Parce que Florence Foresti me disait, pour faire du name dropping, mais il y a quelqu'un qui a pris des photos dans sa maison, chez elle, avec son ordi. Ah, ouais! Il a dit, je vois des photos de ma fille

dans le salon, puis tout ça sur le net. Il a dit, il n'y a personne qui a accès à ça, puis il a calculé que l'angle, en fait, c'était son ordi qui avait pris des photos de sa fille qui jouait à quatre pattes dans le salon. Ouf! C'est dégueu!

Mais la place que tu as faite une plainte, es-tu au Québec ou en France? Non, non, ici, il y a à peu près trois semaines, Société des plaintes du Québec. T'as-tu une réponse? Ils m'ont juste fait arrêter d'écrire ici. En vrai, je pense que c'est eux autres qui vont t'arnaquer. Société des plaintes du Québec.

OK, là, M. Rousseau, merci d'avoir appelé l'associé des plaintes. Pour vous aider, ça prend votre code de Wi-Fi. Ah, bien, c'est ça. J'ai tout donné, ça. Là, votre nip, là. On aurait besoin d'une photo de votre pénis. J'avais une. J'ai des caméras de sécurité chez nous, puis elles ne marchaient pas.

j'ai des caméras de sécurité chez nous puis ils marchaient pas puis j'ai checké l'adresse pour aller les appeler je m'en vais sur le site web mais j'étais pas sur le bon site web je me suis trompé d'une lettre

vu que je l'ai écrit vite on va dire ma caméra c'est une Arlo mais j'avais écrit genre allo.com puis c'était le même logo que ma caméra, c'est une Arlo, mais j'avais écrit genre allo.com. C'était le même logo que ma caméra. Puis là, je me mets à chatter avec quelqu'un. Puis là, il me disait, OK, on peut t'aider, mais ça va prendre votre numéro de carte de crédit.

Puis là, j'étais comme, ça me semble weird ça. Tu sais, la seule raison que j'ai acheté ces caméras-là, c'est pour avoir des images gratuites sur le web. Puis là, il voulait que je l'appelle. Puis là, je suis devenu stressé et nerveux. Oui, c'est ça. Je n'ai pas de faire mon affaire, mais j'ai comme paniqué et j'ai brûlé mon orgueil.

Attends, je prends des noms. J'ai été fraudé, moi, récemment. J'ai déménagé il y a peut-être un an. Il y a quelqu'un qui a fait une demande de carte de crédit pour mon ancienne adresse, avec mon nom et tout. Mais comme, sûrement

qu'il m'avait peut-être reconnu, il a fait mon nom avec l'adresse et tout. Il y a des cartes de crédit que tu ne savais même pas qu'elles existaient. Il y a des marques de cartes de crédit que je... Moi, dans ma tête, il y a Mastercard, Visa, mais là, il y a comme Spring, je ne sais pas quoi, en tout cas. Il a fait une demande

et ça fait chier. Je n'ai pas de punch, sauf... J'ai appelé... Il a-tu été accepté? Oui, il est accepté. Tu m'as vu que le gars, il vole ton nom. Tu sais, il prend un endosseur.

J'ai dit oui, parce que c'est un bon Jack. Non, mais c'est la nouvelle personne qui vit à la place. Elle m'a appelé, elle m'a dit, il y a un gars qui est venu cogner chez nous pour demander le courrier qu'il venait le récupérer en mon nom. Fait qu'il disait, Julien m'a mandaté pour venir chercher le courrier.

Ouais, pis là, la personne a eu fucking peur, parce que, tu sais, ça n'a pas rapport et tout, pis ça, en tout cas, on se connaît. Fait qu'elle avait eu mon courrier, elle me l'aurait donné. Fait que, ça a foutu la chaîne, pis là, j'ai appelé... Ça, c'était des plaintes? Oui, c'est ça!

Pis là, je dois 47 minutes. En plus, tu sais, si je peux aider les fraudeurs qui nous écoutent, le gars est calme en crise parce qu'un coup qu'il a la carte de crédit, il aurait juste à appeler la compagnie de carte de crédit et dire « Finalement, j'ai déménagé. » Puis là, il donne une autre adresse que c'est genre une boîte à mal d'une maison d'une vieille madame qui, lui, peut aller prendre… La chercher. Ou même chez eux, à la limite. Parce qu'il avait mis...

Quand j'ai appelé pour faire suivre, il avait mis son numéro de téléphone. C'est en vrai? Ben, je sais pas. J'ai posé à appeler. Mais, tu sais, je suis dans un schlag. Peut-être que le gars, il est habitué, puis il est rodé. Puis c'est un numéro d'un cellulaire que tu... Après ça, Chris, au public. Stéphane, est-ce que t'es là encore?

J'essaie de baisser les écouteurs. Vous êtes tellement forts. Non, mais c'est... J'ai l J'essaie de baisser les écouteurs. Vous êtes tellement fort. J'ai l'ordinateur à ma blonde, je ne comprends pas. Mike, est-ce que toute la sécurité fonctionne toujours aussi bien? Oui, c'est ça. Jamais pas vu, tu avais un spring de même. Oui, c'est ça. Je voulais un truc de même comme ils ont aux nouvelles. Oui, oui.

Pour Internet, les seuls qui vendent ont un spring. Il faudrait que je l'étire. Mais si je l'étire, je vais avoir l'air d'un clavieriste d'un band des années 80. J'avais une question pour vous autres, les gars. Voir si vous êtes... Si on est superficiel ou pas. Attends, j'avais préparé des questions. Une question.

Si vous aviez le choix d'être entre Nelson Mandela, Bob Dylan ou The Rock? Mais, tu sais, Nelson Mandela, il faut que tu ailles vécu en prison. C', Nelson Mandela, il faut que tu ailles vécu en prison.

C'est Nelson Mandela quand? Maintenant ou à l'époque qu'il était vivant? Toute sa vie. Il est mort! Toute sa vie. Moi, je pense... C'est trois choix. Moi, j'irais avec Bob Dylan. Vu qu'il n'a jamais vécu en prison, puis il est encore vivant.

The Rock, moi, j'ai honte de mon corps. The Rock a passé 20 ans de sa vie en bobette en public. Je me serais tellement gêné. Je pense que je serais Nelson Mandela, mais je pense que je n'ai pas le courage pour affronter tout ce qui est vécu. J'aurais

choqué vraiment. C'est pour ça que moi, je vais prendre The Rock, puis à trois, on va faire tout un trio. Toi, ça t'a plu, par exemple? Moi? Ben, c'est d'après toi. Réfléchis, tabarnak. Regarde mon passé.

Non, mais je ne sais pas. Non, mais je pense que j'aime bien The Rock. Pour vrai, moi, là... Je le trouve sympathique, ce gars-là, quand même. Moi, juste avant le début de la pandémie, The Rock, il fait des vidéos de motivation sur YouTube. De motivation? C'est hallucinant.

Il y en a un, c'est les Lakers qui l'engagent pour qu'ils donnent un pep talk au gars avant un match de playoff. C'est malade. J'écoutais ça et j'étais comme, ben oui, c'est vrai, tabarnak. Je n'ai pas à être motivé.

Je le suis. Je le suis sur Instagram et je l'aime bien. Il est super. Je regarde ses films avec mon gars, Instagram et je l'aime bien. J'en ai assez. Je regarde ses films avec mon gars, mon trip. C'est du fun. Il y a de quoi dans Instagram. On dirait le gars dans un demi-sous-sol avec un Pepsi qui est comme, il a raison!

J'aime ça, mettons, The Rock ou Kevin Hart ou du monde qui a un work ethic que j'en me lève à 4h du matin moi quelqu'un je me lève peu importe

la job, la carrière s'il faut que je me lève à 4h du matin je vais faire non j'aime mieux être un figurant dans le film de The Rock que de me lever à 4h le matin pour m'entraîner tous les jours il parle à ses fans il est dans le film de The Rock. Il m'a levé à 4h le matin pour m'entraîner.

Ah non, puis à tous les jours, il parle à ses fans puis il est dans le gym. Des fois, j'ai vu, il fait des shots de tequila avant d'aller s'entraîner. Il vend sa tequila. Il fait des shots de tequila genre à 8h le matin avant d'aller s'entraîner. Ça ne doit pas lui faire grand-chose sur le body qu'il a.

Mais moi aussi, je fais ça. C'est juste que je ne m'entraîne pas. C'est juste que je m'entraîne pas. Mais t'as vu Michael Jordan? T'as vu Écouter de l'Ancien? J'ai pas fini. Les deux derniers sont sortis lundi. J'étais pas à la fin. Non, c'est ça.

Mais ils fument des cigares tout le temps avant de rentrer. Ils fument des cigares avant d'aller jouer. Même dans l'avion ils sont dans leur jet privé moi, ouais, c'est ça ça avec, c'est le fun des gars de même, ils sont tellement inspirants

pis ça me fait capoter un peu que ce online, il y avait du monde qui chialait, vu qu'il était compétitif, pis il intimidait un peu les autres joueurs un peu, moi je te garantis que c'est vraiment beaucoup. Comme Kobe aussi,

Kobe, je regarde, il intimidait Shaquille O'Neal, puis il s'est même battu avec, écoute, pour te battre avec Shaquille, il faut que tu sois sûr de toi. Mais ça passe mieux en sport, parce que tu sais, un chef d'entreprise ou dans un milieu culturel, un gars de même, ça tombe, aujourd'hui en tout cas là ça va vite

en sport on dirait qu'ils ont encore c'est sûr qu'il y a des joueurs de l'équipe qui rentraient chez eux et qui n'avaient pas envie de revenir à la pratique demain il est intimidant il fait peur c'est une légende il est là il joue encore il a l'oeil

mais c'était quand même impressionnant et tout. The fuck it I, il appelle. That's it. Mais moi, j'aurais... On dirait, mais j'aimais ça, le fait qu'il ait tellement... Il a une image tellement parfaite, de voir, qui est un peu hautain.

Dans l'avant-dernier épisode, il y a Reggie Miller qui parle de... Il ne l'a pas vu? Non, je sais. Là, tu vas te ruiner la série. J'ai vu un épisode, vous pouvez y aller. Mais Reggie Miller, la première fois qu'il l'a rencontré,

il a fait un petit commentaire à Michael Jordan, puis là, Michael Jordan l'a détruit sur le court. Il disait au début, après un quart, j'avais plus de points que lui, puis là, Michael Jordan l'a détruit sur le court. Il disait au début, après un quart, j'avais plus de points que lui. Puis là, je fais comme c'est ça, Michael Jordan. Puis genre, il a fait un petit call

à Michael Jordan. Là, Michael Jordan est allé de 4 points après un quart à 60 points à la fin de la game. Puis Michael Jordan, il a dit, never mess with Black Jesus. Puis il s'appelait Black Jesus. Il dit, plus jamais je l'ai appelé Michael Jordan, je l'ai appelé

le chat noir. Je l'ai appelé Air, Black Cat, Air, ou Black Jesus. Mais t'as-tu remarqué à quel point, parce que le méchant de la série, c'est comme le directeur. Le gros boss avec une face de cul.

Oui, un peu Harvey Weinstein. Oui, lui, que personne n'aime. Il fait des jokes, lui. Il est timide. Ils sont comme neuf joueurs autour des grands blacks. Ils sont comme, lui, il n'a pas fini sa croissance. C'est le seul qui est pas en entrevue. C'est la dernière équipe.

La dernière année de l'équipe, après ça, on change d'équipe. Lui, il ne doit pas dormir. Il est pauvre, gros. C'est le seul qui n'est pas en entrevue. Oui. Je ne vais pas tout prendre de douche ensemble. Je suis malchance.

Il est décédé. C'est pour ça qu'il n'est pas en entrevue. C'est-tu vrai? Oui. Il est décédé, c'est pour ça qu'il n'est pas en entrevue. C'est-tu vrai? Oui, il est décédé. Bon, putain. Tu le savais-tu? Dans ta face, Julien. Yann, es-tu un fan de Jerry?

Comment il s'appelait? Il s'appelait Jerry? Oui. Non, j'ai googlé. Je google tout le temps. Il est mort. Mais pourquoi il ne le dit jamais? Il me semble qu'il est mort.

Dans le dernier épisode. Non, je l'ai vu hier. T'as-tu fait, quand tu l'as googlé, la même chose, tu fais tout le temps, t'as écrit genre, Jeffrey, je sais pas trop son nom de famille, puis après Jeffrey, je sais pas trop son nom de famille, nude. Non, mais des fois, je me choque,

je pingue les méchants dans les documentaires. Tu sais, comme admettons, un avocat qui a un avocat que j'ai pas aimé, puis là, je m'en vais les troller sur Twitter, je ne peux pas m'empêcher. C'est toi, ça! Tu voulais, déjà dans le documentaire, ce petit bossu-là,

il a 71 ans en 92, il doit avoir 109 ans, toi, pendant une pandémie mondiale. Tu voulais intimider un vieil homme. Tiger King

t'insultait la fille des Premières Nations qui n'a plus de bras. Tu es comme un fardou. Tiger King. Je suis allé squatter le Twitter et le YouTube de Carole Baskin. Ah oui? J'aime ça faire ça.

Malade. Quelle hystérie parfaite ça. Il est mort en 2017. Le dernier épisode, je n'ai pas regardé par exemple. Celui qu'ils ont sorti après, ça n'a pas de l'air bon. Non, c'est un genre de pot.

C'est comme... Mais ils s'en sensent. Ils sont comme idiots. potes, ben là, c'est comme il arrête pas de le faire. Mais ils s'en tendent, ils sont comme, ils disent aux hommes, ils sont tous rendus avec des dents, pis c'est comme, c'est comment d'en participer au plus grand, à la plus grande série documentaire au monde, pis t'as le gars qui est rendu avec des dents qui est comme, c'est des losers,

c'est tout du monde un peu décriste. C'est pas gentil. Eux autres, eux autres, ils ont la vie maintenant, y'a pas quelqu'un Eux autres, ils ont la vie maintenant de pas quelqu'un qui a gagné à 6,49 qui peut vraiment changer la vie.

C'est tout du monde qui a gagné à mini loto. Fait que, ils peuvent tous acheter des nouvelles dents, un pick-up puis après,

dans six mois, ils sucent des graines pour du crystal meth. Oui, mais dans, ouais, peut-être dans un fils de cul, ils vont être payés.

Ouais. Puis ils le disent tous, genre, justement, on a entendu que je faisais de la drogue même si on m'aime avec des tics de bébé ça a l'air salé moi la fin qui m'a marqué de Tiger King c'est comment le Tiger King

il sortait juste avec des gars hétéros avec des problèmes de crudelum, que on dirait qu'il voulait se faire sucer par des gars qui pleurent. Tu sais, qui sont comme super à l'aise. J'aime pas ça.

Je le dis vraiment pas, mon genre. Mais crée ce que j'aimerais savoir, le nouveau Kato. Ah man, c'est tellement élevé comme... Ah non, c'est quelque chose, quand même. Mais moi, j'étais déçu quandvé c'est quelque chose moi j'étais déçu quand ça s'est terminé je pensais pas que ça finissait de même je pensais que ça durait plus longtemps je t'ai dit fuck c'est fini

je me demande quand t'es dans un documentaire de même si tu le réalises un moment donné que c'est un dîner de con c'est comme l'off story c'est une télé réalité pour eux et ils C'est comme Love Story. C'est comme... C'est une télé-réalité pour eux, puis ils deviennent des stars. C'est du monde. Tu travailles dans un zoo,

puis tu es sur le cristal net. Je pense que les autres, c'est comme... Puis tout le long, il se faisait en sensé de vous vivre avec quoi. Il y a quelque chose qui se passe. Non, mais tous les personnages sont fabuleux. Celui, le plus costaud avec toutes les filles autour de lui,

avec son harem et les cheveux longs. Ah oui, oui, les cheveux longs, oui, oui. C'est du personnage par un espèce de preacher un peu. Puis,

il a travaillé sur Ace Ventura puis il a fait tous les films en 1990 puis il y a 16 filles dans son lit puis il y en a deux

qui sont sorties puis ils sont comme c'est vraiment une secte, on n'a pas aimé ça. Ouais, ouais, ouais. Malade. Ah non, c'est vraiment une secte, on n'a pas aimé ça. » Ouais, ouais, ouais. Malade.

Ah non, c'est... Mais ils sont tous parfaits. Même son partner à la fin qui est comme un gars habillé très curve, pantalon de cuir. Un bandana en dessous de la casquette. Avec la nounou.

Ouais, un foulard en dessous de la casquette. Avec la nounou. Un foulard en dessous de la casquette. C'est magique. Même le gars qui fait le réalisateur, il n'a pas de bon sens. C'est le producteur. Celui qui fume non-stop.

Oui, c'est ça. Qui a une voix très nasillarde. Au Québec, je pense qu'on est. Qui a une voix très nasillarde, là. Putain. Mais au Québec, je pense qu'on est trop gentils. Je pense pas qu'on ait des personnages de même. Il y en a, là, des tout-croches, là. Ah ouais. Réal Bélan, il allait les voir, d'ailleurs, dans ses

taux. Oui, mais tu vois, je suis sûr qu'aujourd'hui, on ferait « C'est pas gentil ». Il est dans le temps qu'il y a des vox-pop avec du monde bien normal qui sont au métro, bien ri. C'est comme il rit des gens pauvres le monsieur travaille chez Hydro-Québec et il est zéro pauvre imagine si on faisait un documentaire sur qui est mort encore

j'allais parler de la télé-réalité sur Michel Richard celle de Claude Dubois ça en était deux dîners de cons tu me rappelles la série sur Michel Richard, il y a eu une série celle de Claude Dubois, ça en était deux dîners de cons. Oui, oui. Tu me rappelles la série sur Michel Richard? Il y a eu une série sur Claude Dubois? Oui, oui.

Avec sa jeune femme, Christelle. Christelle. Oui, oui. Christelle. C'était à TQS. C'était à TQS. C'est clair, c'était à TQS. Non, c'était au début de V. C'était au début de V. C'était dans les deux premières années. Ça, c'était genre, tu sais, ce genre de show-là, c'était au début de V. C'était au début de V, c'était genre dans les deux premières années. Ça, c'était

genre, tu sais, ce genre de show-là, c'était genre soit à TQS ou genre les dernières années de Musique Plus, MusiMax, qui était comme, ça nous prend quelque chose. Oui, oui. C'était basé, c'était les années

où ils venaient de découvrir The Osborne, tu sais, que c'était le fun d'avoir une télé-réalité. C'était comique. On pouvait se moquer. Il cherchait notre dîner de cons. Un qui aurait été vraiment bon au Québec, c'est Michel Pagliaro. Étant donné.

Quand tu vois Michel Pagliaro, sa vie, c'est tout le monde autour de lui. Je m'excuse pour le monde autour de lui, s'il entend. Mais c'est tous des personnages. Ah oui! Puis lui, il est parfait. Ils sont tous parfaits.

Tout son entourage est magique. Je ne pense pas qu'il accepterait même s'on lui donnait un million. Ah oui! Il est quand même intègre au bout. Il ne ferait pas ce genre d'affaires-là, je pense. Mais tu sais, en même temps, moi, je ne trouve pas que Ozzy Osbourne

ça l'a affecté, sa crédibilité. Il y a de quoi de drôle de voir un vieux rocker tout crache. Ben oui, ben oui. Éric, honnêtement, si Éric Lapointe fait ça, je serais bien allé l'écouter. Ben oui. Ah non, mais ça, ça serait un hit demain matin.

Éric Lapointe, je paierais cher en est pour voir ça. Parce qu'il y a tellement d'élu autour, je ne sais pas ce qui est vrai, je ne sais pas ce qui se dit, puis on fait le tour des salles, puis le lien qui dit ça, qui a entendu ça, il paraît qu'il n'était pas capable de se lever, puis il a fait le show, puis tu entends plein d'affaires, mais j'aimerais ça.

En même temps, pour lui, c'est quasiment plus gagnant de ne pas savoir. C'est que ce soit toujours... Jean Leloup, Jean Leloup, on a toujours l'impression... J'entends des affaires, il paraît qu'ils l'ont vu, puis tu fais... On dirait que j'aimerais ça. On ne le connaît pas, Jean Leloup, on sait... Il est peut-être...

Je ne sais pas si vous, vous le connaissez, mais on sait que c'est un bon pote à toi. Oui. Moi, j'ai donné des conseils sur l'humour pendant 4 heures de temps je suis pas un humoriste, je suis une légende musicale, j'ai fait parfait

j'ai fait un rap talent prends ce que tu veux moi je suis toujours surpris que Jean Leloup quand je le vois, il me reconnait je me dis tout le temps il me connaitra pas lui Johnny, Carlin, Leloup, quand je le vois, il me reconnaît. Je me dis tout le temps, il ne me connaîtra pas, lui, Johnny, Colin. À chaque fois que je le croise dans les parties,

dans les parties de la disque ou des trucs du genre, il vient toujours me saluer. Il est toujours super smart et super curieux d'où j'en suis. À chaque fois, je suis là. C'est bizarre.

Il sait ce qui se passe. Faut-il dire moi, Jean Leloup, je m'en rappelle même pas, je sais que j'ai déjà été dans la même pièce que lui, mais je pense que j'ai jamais parlé, je suis sûr qu'il y a aucune idée de ce qui est. Ben moi je dis ça, je l'ai vu deux ou trois fois dans ma vie, mais à chaque fois, j'étais là, ah, il m'a reconnu. J'étais comme surpris. Surtout, Jean Leloup, on l'imagine qu'il ne connaît rien. Ça te sonne comme ça?

Non, mais qu'il connaît son univers. Mais tu sais que, mettons, tu l'imagines quasiment qu'il se fait bouquer à tout le monde en parle pis il faut que tu expliques c'est quoi tout le monde en parle ouais c'est ça ses albums, ses affaires lui c'est qui le parle pour le film que j'ai fait avec Adip

que Stéphane a coproduit nous autres on voulait que la chanson de la fin ce soit Jean Leloup. On voulait que ce soit le Dome, qui est une de nos deux chansons préférées. On essayait de le trouver, mais à un moment donné, il n'y a pas de gérant. Il n'y a pas de gérant. Comment tu le trouves? Ah, là, il est parti en voyage. Là, tu entendais des enfants.

La personne que j'ai appelée, j'ai texté Guilla Lepage, parce que la seule place qu'on le voit tout le temps, c'est à tout le monde en parler. Guilla, il m'a dit que des fois il est arrivé qu'ils se pointaient pas faq est toujours stand by il est arrivé une fois que il était fâché parce qu'il pensait être invité mais qui était pas là cette fois là c'est genre pas fort moi c'était pas fort j'aurais dû être là cette semaine. Ben, t'aurais dû le dire. On le veut n'importe quand, pis il est en crise chez eux, là, comme, ça aurait dû être ma

semaine. Je pense que tu le croises sur l'oreiller. Moi, je le croise souvent au coin de chez nous, là, il est dans ce coin-là, pis je le vois. Des fois, je le salue. Il me salue, mais je sais plus s'il me reconnaît encore ou pas. Ou s'il fait juste me saluer parce qu'il se dit bon

il est sur le plateau beaucoup ça doit être rare, j'ai l'impression que ça doit être rare le monde qui ne te reconnaisse pas tu sais, j'ai l'impression que ça crée, ça a commencé à 13 ans t'es dans nos vies depuis

les plus jeunes ne me connaissent pas toujours puis je n'en ai même plus de notion finalement dans nos vies depuis? Oui, mais les plus jeunes. Les plus jeunes ne me connaissent pas toujours. Chez nous, je n'en ai même plus de notion, finalement. Les plus jeunes te connaissent quand même. Ils me connaissent, mais je parle des jeunes de 5 ans et moins.

Oui, ça, ils ne sont pas allumés. Moi, ça me traumatise. Moi, techniquement, personne en bas de 20 ans devrait me reconnaître mais ça arrive des fois que j'ai des kids qui écoutent sous écoute puis là ils m'écrivent qu'ils m'aiment puis je suis comme

ah tabarnak c'est moi qui boit puis qui sac tes parents ils font pas leur job. Moi, c'est quand je vais reconduire mon gars à l'école, des fois, d'autres petits boys dans la cour d'école ou des filles,

il y en a un qui vient me voir l'autre fois, il dit « Ouais, est-ce que je peux avoir votre autographe, M. Sylvain Rousseau? » « Sylvain Rousseau? » Non, il voulait pas une autographe, il voulait une photo. F t'a amené sur le verre, rousseau. Oui. Non, il ne voulait pas une autographie,

il voulait une photo. Fait que là, je dis, ben oui, mais c'est Stéphane. OK. Attends, là, il dit, fait que là, il dit, on peut faire une photo? Je dis, ben oui.

Fait que là, il dit, OK. Fait que là, je dis, ben vas-y. Ah, mais il dit, j'ai pas d'appareil. Fait que là, il dit, j'arrête de me faire peur de mon temps, je l'ai giflé. C'est vrai. Mais pour qui... Tu sais, d'habitude, quand le monde se trompe dans ton prénom,

c'est qu'ils te prennent pour quelqu'un d'autre. Mais tu sais, les Sylvains humoristes, il y a Lara, il y a Sylvain Ouellet qui est mort en 97. Il est comme... Tu sais comme ça me surprendrait qu'un kid connaisse Sylvain Boilette mais c'est vrai que ça ressemble un peu à La Roque

les gens me disent souvent ça même Karsten non mais on me prend souvent pour plein de monde par exemple c'est encore au moi aujourd'hui mais à l'époque on me prenait souvent pour Alain Choquette ou Luc Delaroche. Qui n'est pas

de bleu compliment. Ce n'est pas non plus... Ils ne sont pas laids, mais... Ce n'est pas genre, Christ, ça ressemble à Magnota. C'est quand même des gentilles personnes. Il paraissait bien

Magnota. Il était folle. Il a pris du poids. Prends ce bras d'asiatique mort dans tes mains. Il a laissé ta queue. Oh my God! Est-ce que vous avez

vu le documentaire Don't Fuck With Cats sur Netflix? est-ce que vous avez vu est-ce que vous avez vu le documentaire Don't fuck with cats de Netflix de Magnotta ah non c'est ça j'ai jamais vu c'était quoi Don't fuck with cats mais veux-tu te dire

ce qui est fou c'est que tu réalises on a des Carlo Molka au Québec et tout mais on fait jamais de documentaire et là il parle à tout le monde ils ont accès à l'appartement, la mère à Magnota, puis c'est juste, ils ont l'argent. C'est ça mon plus beau question.

Mais c'est qui qui l'a fait? Netflix. Les Américains? Ah oui? Oui, oui. Mais, c'est-tu bon? Pour vrai, c'est intéressant puis c'est fou de voir ce genre d'histoire-là ici. On dirait qu'on est tellement habitués. C'est comme, ok, j'ai vu récemment. Ah, est-ce que vous avez écouté Tribal? Savez-vous c'est fou de voir ce genre d'histoire-là ici. On dirait qu'on est tellement habitués. C'est comme... Ok, j'ai vu récemment. Ah, est-ce que vous avez écouté Tribal?

Savez-vous c'est quoi? Non. Tribal, c'est celui qui faisait le podcast avec Bizarion, Mike, Guillaume, Guillaume. Pas motivateur, mais psychologue, coach de vie. Ouais, mais le gars, il s'en va dans des... Il va dans des tribus,

il rentre là-dedans, puis tu sais que quand c'est un Québécois qui te parle, on dirait que tu y crois. Ça vient plus te chercher, tu te dis « Ok, c'est possible, comme Maniota, Chris est à Montréal-Nord, je ne sais plus, il est envers d'entre eux. » Tu es motivé par ça, tu fais « Moi aussi, je pourrais tuer. » Non, mais on dirait que c'est moins loin, puis tu te dis « Ah, Chris, ok, c'est vrai que c'est... » Mon astuce, ça a l'air dur. Non, mais je voulais juste rajouter, ce qui est intéressant

avec le documentaire de Magnota, c'est qu'il y a un côté de l'histoire qu'on a moins connu. Nous autres, on a connu l'histoire à partir du moment où ils ont trouvé les morceaux. Mais tu sais, aux États-Unis, ça a commencé avec des histoires de vidéos. J'aime ton respect pour le

monsieur qui est mort. Le monsieur qui est mort, il y en a un qui l'appelle l'asiatique, l'autre qui l'appelle les morceaux. Ça n'a rien à dire. J'aimerais ça qu'Yann envoie un message aux parents de ce monsieur-là qui fasse « Je m'excuse pour la perte

de vos morceaux. » Nous autres, on entend tu parler quand tu as des morceaux. Oui, quand tu as des morceaux, mais l'histoire commence bien avant. Il cherche Magnotta parce qu'il a commencé avec des vidéos de chats. Il tuait des chats, oui.

Oui, c'est vraiment le sentiment. Tu penses que tu connais cette histoire-là, mais on en connaît juste 25 % tellement l'histoire est riche. Je ne sais pas si c'est le même pour vous autres, mais depuis une couple d'années, on dit tout le temps, les psychologues disent que les tueurs en série commencent souvent quand ils sont jeunes en tuant des animaux et en blessant des animaux. On dirait

les premières fois que j'ai entendu ça, je me suis rappelé du weirdo à mon école qui tuait des chats. Puis là, j'étais comme, mais je ne veux pas, il est trop tard pour appeler quelqu'un. Je ne le disais pas quand j'étais petit.

Puis là, à cette heure, appeler 9-1-1 et faire « arrête, cherchez ». Je pense que ça s'appelait Chad ou Todd, je ne suis pas sûr. Mais moi, jeune, avez-vous déjà tué un animal, vous autres, jeunes? Moi, par accident, j'ai...

Tu as tué un cheval par accident. Avec une hache. Je vais te laisser... Je vais juste dire vite. Moi, quand j'étais petit, on avait... mon père avait une ferme. Je vais te laisser, je vais juste te dire vite. Moi, quand j'étais petit, mon père avait une ferme et on avait le monde dont on paie les chats chez nous. À un moment donné, il y avait

jouets aux dentistes avec les petits chats. Puis là, pour une raison que je ne comprends pas, je m'étais dit que je vais arracher les dents de ce chien là vu que je vais au dentiste t'es rêvé en esti

puis après le chien il est mort j'ai arraché les dents j'ai arraché les dents j'ai arraché les dents voyons donc puis là après j'y en ai pas repensé puis quand je suis devenu adulte j'ai arraché les dents voyons donc pis là après j'y en ai pas repensé pis quand je suis devenu adulte j'ai fait

tabarnak c'est bien trash même si j'avais juste 4-5 ans j'aurais dû le savoir t'es sûr que t'es 13 c'est sûr que t'es 13 c'est vrai que j'étais jeune mais non mais à 5 ans t'as même pas retenu une paire de pinces j'étais assez assez habile on. Mais non, mais à 5 ans, tu n'as même pas retenu une paire de pinces. J'étais assez habile.

On s'entend-tu pour vite? Non, mais mettons vite. Mettons vite. Mettons vite, puis j'ai arraché peut-être juste une dent, puis le chat s'est sauvé. Non, c'est ton histoire. J'ai chatouillé dans le cou. Tu es un malade, non?

Mes souvenirs à moi, j'avais 7-8 ans, j'ai arraché des dents, ou 5, puis j'ai arraché des dents, puis elle est morte après. Oh! T'as rattrapé tout seul. Mais je suis encore des chats.

Que pour le plaisir. Moi, j'ai dissué un peu quand j'étais jeune, mais parce que c'est de mon époque, mais on avait des carabines à pellets. Nos parents nous achetaient ça en cadeau. Moi, j'ai eu ça à 14 ans,

une carabine à pellets, avec mon chum Justin. Évidemment que tu te promènes la journée longue dans le bois avec ta carabine à pellets, tu finis par tirer un oiseau. Mais je me souviens, on avait tiré un oiseau. finis par tirer un oiseau. Mais je me souviens, on avait tiré un oiseau. J'avais tiré un oiseau puis je l'ai enterré après. J'ai mis une petite croix puis j'étais mal.

Ça a fini de même pour mon premier mot. Tu l'avais-tu... Quand t'as tué l'oiseau, tu l'avais-tu blessé au début puis il a fallu que tu le tues ou tu l'as vraiment tué avec... Non, il était mort. Il était mort sur le coup. Je fais avec la crosse.

Il n'a pas souffert. Mais après ça, pendant une couple de jours, on cherchait des affaires à tuer parce qu'on n'avait pas ça quand même. On avait chacun une autre carabine, on voulait l'utiliser. C'était plus le fun, quelque chose en mouvement, quelque chose de statique. On se mettait bien des cibles et tout ça. Mon père était chasseur,

donc il était des exemples quand même. C'était dans une école primaire. qu'on se mettait bien des cibles, tout ça. Puis mon père était chasseur, fait que t'sais, t'as des exemples quand même. Puis à un moment donné... C'était dans une école primaire. Là, on trouvait rien. Puis à un moment donné, on s'est dit, fuck. Puis on s'est rappelé que Paula, une vieille femme, elle nourrissait les écureuils dans son plat pilote

en avant de chez elle. On a tiré deux Suisses dans son plat pilote. Ils sont hors d'un plat pilot. Fait que quand elle est sortie pour nourrir ses écureuils, elle avait deux Suisses morts sur sa galerie. Un dans son plat pinot pis un sur sa galerie. On les a pas nés tous les deux.

Son mari était venu nous chicaner parce qu'on était deux seuls gars au camping qui se promenaient avec des carabines tout nus dans la canne de 10. On avait 14 ans tout nus avec des carabines tout nus dans le camp nudiste. On avait 14 ans tout nus avec des carabines à pellets. C'est facile à spotter. Oui, c'est vrai. C'était ton père qui était nudiste?

Toute la famille, oui. Mon père, ma mère, ma soeur. Comment? Mais t'avais-tu un... Un holster? Un holster? Oui, tu te promenais à poil avec ton gun dans le dos

comme ça fait quasiment un petit paradis porn de Walking Dead. Exactement. T'as une anecdote d'animaux morts? Ben, c'est juste que à un moment donné, mon chien était décédé l'hiver pis que mon père avait dit

« Chris, on ne peut pas... » Deux fois, on les avait enterrés dans la cour avec la croix, un petit peu tout le temps. J'étais juste allé porter les poubelles le lendemain et j'avais vu le chien dans la poubelle. Qu'est-ce que tu fais d'autre avec? Il est décédé, il est mort. J'avais juste tellement eu de la peine

de le voir dans la grosse poubelle noire. J'avais un chien qui s'appelait Rex. C'est une espèce de mélange entre un pergèlement et un bâtard. En tout cas, je ne sais pas trop. Puis, un jour, j'arrive de l'école et il n'est plus dans la cour. Mais il y a un trou en dessous de la clôture. Mon père m'a dit, il a fait un trou et il s'est sauvé. Je suis là encore.

Puis, ma soeur, le soir, elle me dit, mais il n'a pas fait de trou pendant tout., c'est pas pas qu'il a fait le truc sa pelle pis il l'a tiré sur le carabine c'est ça c'est ça l'autre fois à quel point on avait aucun respect pour les animaux à l'époque tu sais moi mon premier chien

on l'appelait Lucky tu sais chanceux pis il a passé sa vie attachée dehors. C'est la vie la moins chanceuse. Tu sais, t'étais un chien, tabarnak, t'as six pieds de chêne.

God, c'est triste, cet épisode-là. Oui, oui, ben oui. Monde, t'écoutes. Ah, c'est triste. R Monde, écoute! Rousseau, il est bien dark! Oh my God! T'es jeune, t'es fou.

J'adore les animaux, soit disant pas ça. T'as-tu... Là, il s'en va tuer un oiseau. J'ai le mot. Si, vraiment, c'est un rack attends Stéphane ça quand la bouche ta bouge avec ta bouche tu peux-tu le remettre

si je suis comme un attardé mental si tu deviens chaud de nager je suis comme ça m'a impressionné moi j'ai pas quand tu as ça sur la tête, tu bouges ta bouche, la bouche du chien bouge. C'est tout ce que je peux faire, oui.

Mais toi, depuis le début de la pandémie, c'est ça que j'ai remarqué. On dirait que tu as acheté au fil des années bien des petits costumes, puis des cossins. Tu as beaucoup de cossins chez vous. J'ai un peu de cossins, mais pas tant que ça non plus.

Oui, oui, non. Mais ça, disons, tu passes, tu le vois pis tu dis... On dit dans le vie que je suis minimaliste. J'ai genre juste des chemises blanches pis des chandails blancs. J'haïs ça que ça traîne. J'aime décorer pis tout, mais j'aime... Chaque objet, c'est comme... Ça, ça veut dire quelque chose. Sinon, astuce... Mais tout, c'est charogn ça veut dire quelque chose mais tout

c'est charognard, tu pognes un peu partout puis tu t'en balances, tu t'accumules t'es the order non parce que c'est quand même je tiens beaucoup à mes choses qui sont bien rangées en général mais j'ai une place pour ça j'ai toujours gardé ce qui avait

de la valeur pour moi ce qui était de qualité. J'aime ça, les props. Mais depuis que je suis petit, on avait été au Lake George avec mon père et ma mère, puis ils m'avaient acheté une fausse roche. Ça m'a fasciné, ça. Une fausse roche?

Oui, une fausse roche. Genre des corps, là. Oui, puis je capotais, mais j'aimais bien ça, le faux. Même que longtemps, je voulais m'en aller dans les décors ou dans les maquillages, j'avais essayé de me mouler à face dans un bac à vaisselle sur le balcon à Ville-la-Salle chez ma mère

pis je suis resté pris la face dans le plat les cils, t'es poigné dans le plat je suis pris à m'enlever la face du bac parce que je voulais faire des masques pis j'ai toujours aimé ça j'en ai beaucoup pis je collectionne ça depuis toujours. Mais souvent, c'est des pièces intéressantes.

Ce qui est un peu scrap, je ne garde pas. Et comme à Mme Jager, elle est où? Elle est dans ton sol? Elle est juste à terre. Pendant la pandémie, je te l'offrais, je fasse un truc avec elle. Je l'ai sortie du garde-robe.

Oui, elle est lesbienne. Ah! En fait, je n'ai rien fait avec parce que là, j'étais là, les personnes âgées, c'est assez touché. Il y a peut-être un axe intéressant à aller faire avec Mme Jager. En même temps, je trouvais ça un peu délicat. Mme Jager, par exemple, ce n'est pas vraiment

une personne âgée. Mais pas jeune non plus. J'avoue, comme mettons, c'est une... Oui, c'est vrai. Elle a 67. OK, ah oui. Puis oui, c'est ton personnage. Non, mais je dis ça

parce que moi, c'est un mix-up de plein de petites madames que j'ai rencontrées dans ma vie. Dans le temps, on dirait une madame fin cinquantaine début 60 probablement plus 67-70

il y a aussi je vois des photos de Pauline Marois dans les années 80-90 elle a l'air plus vieille qu'aujourd'hui il y a eu une mode au Québec où les madames se plaçaient elle avait l'air 9 fois plus vieux qu'aujourd'hui. Je me suis mis

à acheter des cartes de hockey. À cause de la série de Michael Jordan, j'étais comme, pourquoi il n'y a pas de carte de basketball? J'ai acheté la carte recrue de Michael Jordan, vu qu'il y a des cartes de basketball, mais je me suis mis à acheter des cartes de hockey.

Ça, c'est la carte recrue à Guy Lafleur. C'est une vraie? Je connais pas ça au sport. Regarde, Guy Lafleur, asti, il est recru. J'essaie de le vendre. Il y a un couple de joueurs qui ont vendu des vagues. Tabarnak, j'ai 46 ans, je fais pas attention à moi,

pis j'ai de l'air de ça. Pis lui, c'était un athlète de haut niveau. Tu sais, c'était le meilleur joueur de hockey de son époque. Il y en était un qui fumait sur le banc, ça, d'ailleurs. Ah oui, ça! Ça fumait sur le banc des joueurs dans le temps.

Moi, l'affaire qui m'impressionne le plus de la flamme, en plus, moi, je l'ai juste rencontré une fois, puis genre, il n'y a pas si longtemps que ça, puis il fumait encore. Ah oui? Puis il était, c'était genre en Afghanistan. Dans le temps, il envoyait,

il y avait une affaire qui s'appelait Team Canada qui envoyait des anciens joueurs de hockey pour jouer au deck hockey contre les militants. Puis Guy Laflamme était là pour jouer au deck hockey. Puis, tu sais sais il fumait encore puis c'est comme cresse quand même impressionnant il doit être sur le bord de 60 ans

il fume encore, il joue au hockey c'est intense as-tu déjà fait des shows toi pour l'armée en Afghanistan oui oui ben oui j'ai fait bien des shows pour l'armée mais juste une fois l'Afghanistan.

OK. J'avais vraiment aimé ça. As-tu déjà fait ça? Non, on me l'a proposé déjà deux, trois fois, puis j'avais trop peur de me retrouver avec Richard Petit. Non, mais tu sais, il y a des réguliers là-dessus. Non, mais j'ai pas envie de... Je sais pas, ça a pas donné dans le temps quand ils me l'ont proposé, mais ça doit être une expérience quand même pas assez

capotée. Tu mettais-tu une ceinture par balle et un casque? Il nous donnait les frag vests, la veste par balle, un casque. Moi, la fois qui m'avait pas traumatisé, mais un peu, c'est quand je faisais mon show à CAF, qui est la grosse base militaire à Canada.

Ils m'ont dit, c'est la première fois que c'est un show surprise, parce qu'à chaque fois qu'on annonce des shows deux, trois jours d'avance, les employés de la base, qui sont des Afghans, le disent aux talibans. Puis il y a tout le temps des attaques pendant le spectacle.

Ils envoient genre des missiles pendant le show par-dessus le mur pour essayer de tuer les artistes. Puis là, c'était la première fois qu'ils l'annonçaient, genre le jour même, pour ne pas donner le temps au monde de le dire aux talibans. Puis à la fin du show, ils m'ont dit,

c'est la première fois qu'on finit un show sans qu'il y ait une attaque. Mais ce n'était pas des attaques dangereuses. C'était genre, vu qu'il n'y avait pas de... Il envoyait des missiles, mais il n'y avait pas de missile launcher. Fait que, tu sais, mettons, au lieu d'avoir un bazooka avec l'affaire qui va dedans, c'est que il mettait ça, genre,

sur une chaise, à côté sur une roche, il créait ça un coup de marteau. Fait que la plupart du temps, les attaques à base militaire, c'était la personne qui essayait d'attaquer qui crevait, là. Mais c'était la personne qui essayait d'attaquer qui crevait. Mais c'était impressionnant de voir leur vie.

Moi, j'ai vraiment aimé ça. Oui, t'as aimé ça? Je me sentais... J'avais l'impression que la demi-heure, j'étais sur scène. Pendant une demi-heure, ce monde-là oubliait qu'il était à la guerre. Puis il avait l'impression d'être...

C'était comme un show d'un festival. La seule affaire qui était weird, tout le monde avait des guns. Ils gardent leurs guns tout le long du show. Si tu parles à quelqu'un et que tu fais une joke sur quelqu'un dans la salle, il a un gun.

C'est weird de faire une joke. Tu ris de quelqu'un qui a un fusil. C'est bizarre. T'as jamais fait ça? Un show pour des soldats? Non. Moi, je suis allé jouer en France, en Suisse. Mais sinon, c'est les seules places

où j'ai joué d'autres qu'au Québec. Et là, t'as été faire quoi? T'es parti pendant quelques minutes. Je vais être totalement honnête. J'avais envie de pipi avant le podcast, je me suis retenu, mes vestiaires et mon pénis étaient gorgés de pisse. On fait une pause, on revient tout de suite. Mais tu dois avoir eu des offres pour faire des shows pour l'armée? faire des shows pour l'armée?

Ben moi, honnêtement, on dirait que je suis tellement... J'ai tellement pas trippé en corpo. Dans la vie, je suis vraiment pas à l'argent. Je suis bien content de mon petit bonhomme de chemin. Je refuse des trucs. J'écris mes projets et je fais mes affaires. Corpo, j'ai mis ça tellement élevé, le cachet

qu'on demande, parce que je sais que ça m'angoisse. J'ai pas tant de plaisir. C'est tellement fort l'argent que tu demandes super cher. C'est quoi élevé pour toi? Je sais pas si ça se dit.

C'est pas un DJ. Ah ouais? Je dirais pas. Mais je demande quand même un petit peu cher. Les fois que j'en fais... J'aimerais ça savoir comment tu demandes. Je sais pas ça, c'est combien. Moi, j'aimerais ça savoir comment tu demandes. Moi, j'ai un magasin de tapis. C'est le party de Noël. J'appelle ton gèle.

J'ai demandé à Alexis c'est combien? C'est des tapis perçants que tu charges plus cher. Déjà, un magasin de tapis, ils sont deux employés. Un magasin de tapis, on a deux employés. Un magasin de tapis, on a une business qu'on installe du tapis.

On a le contrôle du centre du Québec. On est numéro 3 en Outaouais. Ça grossit, il faut que je motive les troupes. Avec tes jokes, tu pourrais les allumer. On a un entrepôt sur la rive sud de Joliette et c'était le grand moment. J'ai eu un gars un moment donné

qui était venu me voir après un show, puis là, il me parlait de sa business de tapis. Puis je me sentais tellement mal pour lui, parce que je me disais, je ne lui ai pas dit, je me disais c'est qui qui ail cagait du tapis en 2000, mettons,

c'est en 2018. Pour les escaliers, là? Ouais, mais tu sais... Moi, je me souviens, j'avais mes chums qui installaient des tapis. Tu sais, des tapis mur à mur. Avant, on mettait ça beaucoup dans la maison, tu sais. Tu sais, ils installaient ça avec leurs genoux.

Il y a comme une machine avec des clous qui rentrent dans les caisses des coups de genoux là-dessus. C'était assez viril quand même. Ça m'a donné le goût. Ils m'avaient dit, viens voir le job. Ça me tentait de faire ça. Ils devraient donner ce job-là aux gars un peu violents

pour les guérir de battre leur femme. Oui, parce que ça passe. Il faut que tu t'étires de ta... Oui, pourquoi pas? Tu tires de tu, tu donnes le coup du nid en faisant « Tiens, ma calice! » Tu vas installer ton tapis dans le sous-sol et tu vas me lâcher! Regarde-moi pas dans les yeux!

C'est la femme à la main. Je ne sais pas ce qu'ils disent. Je ne sais pas. Je suisils disent. Je ne sais pas. Je suis content de voir les gars. Ça fait longtemps. Oui, ça fait longtemps. Moi, ça faisait un bout en plus. Je te vous laisse, je t'écoute.

Tu étais booké pour le faire devant le public. Oui, oui. Avec qui? Ça fait longtemps que je pouvais le faire en plus. Avec qui? La première fois que tu étais... Avec Julien ou rien. ça fait longtemps que je suis prêt de le faire en plus avec qui? la première fois c'était avec Julien ça fait longtemps

que je suis booké pour aujourd'hui ils m'ont booké hier j'ai harcelé Mike moi dans le temps, j'ai dit si un jour Stéphane Rousseau le fait, je veux être là tabarou mais c'est surtout que je n'ai pas posé encore mes questions. Parce qu'à un moment donné,

on avait tourné une vidéo ensemble pour mes capsules. Je ne me souviens pas. Mais tabarnak. Sérieux? Hein? Avec Rosalie et Yannick. Ne me dis rien. Mike, je ne mens pas. Non, mais pour vrai, tu sais, Michel m'a dit aujourd'hui. Ben non, je t'attaquais. Ben oui, je la regarde

dans le loup. Tu sais, Julien... Julien, ça va bien. Ça va très bien, sa carrière. Il s'en va dans le tabarnak, ses affaires. Tu as fait des vidéos avec tout le monde. Puis là, Michel, il me disait, quand j'ai dit à Julien

qu'il va être avec Stéphane, il est capoté, il était excité, il avait de l'air ému. Tu capotes vraiment ce Rousseau. Non, il avait de l'air ému. Tu capotes vraiment ce Rousseau. Non, mais moi, c'est sur le parcours artistique, l'homme aussi, parce que je trouve que

t'as vécu genre trois vies, puis on dirait qu'on entend, c'est pour ça que j'ai écouté le podcast avec J.D. Tom, que j'invite les gens à aller voir parce que c'est fucking intéressant puis vous jasez des affaires, puis on dirait qu'on sort du... On le sait que t'as commencé à 13 ans avec Roméo Pérusse mais c'est une des premières fois que t'es allé un petit peu ailleurs puis c'est intéressant

je suis tellement fan d'humour que je me souviens les belles années de Juste pour rire de quand c'était les parties puis je le sais parce que je regardais à Canal D les choses graphiques puis tout puis tout puis de t'entendre en parler de cette époque là je trouvais ça fascinant d'être allé en France, tu sais, il y a Kavana,

mais qu'on a moins entendu, mais moi, ça me fascine, puis tu sais, je voulais aller manger avec toi, puis Véro, mais tu étais avant ton exposition, fait que c'était plus complexe, mais ça me fascine de vivre en France, puis de faire, Christ, tu laisses quand même ton monde de côté, mais tu dois faire des allers-retours, fait que tout ça, moi,

ça me fascinait, fait que j'ai des questions. Ben oui, mais tu dois faire des allers-retours. Tout ça, moi, ça me fascinait, donc j'ai des questions. Oui, mais on va le faire. Parce que moi, je suis très fan de Julien aussi. On l'a tous remarqué, son talent indéniable et complètement disjoncté que tu as. Tu es bon, puis tout le monde t'aime. En plus, tes cheveux sont magnifiques.

Mais là, son gars, quel crisse. Mais c'est gentil. Non, mais... Non, mais c'est gentil mais non mais non mais j'ai deux questions on pourrait puis on tourne

pas de casque c'est des fans vous pouvez juste fourrer non mais attends c'est des fans d'humour qui écoutent

je vais aller avec Yann les laits on va faire notre podcast il est dans le garage complètement défoncé. Yann, il m'attend, tu sais, avec ses

blottes et ses oeufs. Il m'en va reculer, Yann. Il l'applique. Ben oui, je pense que Yann va remplacer Guilderoy dans District 32. Mais c'est quoi tes questions, Julien? C'est pas des questions

précises. Il est en couple. Non, attends, j'ai deux questions. Premièrement, en France, est-ce que, parce que tu es revenu quand même beaucoup avec le show de Rousseau et compagnie, mais est-ce que c'est que là-bas tu étais tanné?

Pourquoi ton retour, disons, puis pourquoi ton arrivée? Est-ce que tu as eu du fun là-bas? Mais honnêtement, parce que c'est vrai, puis ça serait beau de comprendre, mais t'avais-tu du fun? Parce que t'es quand même tout seul, tu te fais des amis, oui, mais c'est des Français, puis il y a quand même toujours, tu sais, c'est prouvé, en tout cas, mais j'aimerais ça entendre un peu là-dessus.

Non, mais c'est vrai. Oui, mais c'est des Français, c'est tellement bénéfique. Non, non, mais c'est prouvé qu'on va trouver quelqu'un. C'est des Français. Non, maisest des français quand tu viens de quelque part t'es tanné avec du monde qui connecte pour des raisons et tu retournes toujours vers d'où tu viens il y a du monde de région qui vient à Montréal

mais Chris après ça, ils ont besoin de la tranquillité ils s'achètent un chalet pour le vivre là-bas d'être en France à un moment donné, oui c'est utopique, c'est fascinant c'est une autre gang, mais est-ce qu'à un moment donné, tu fais Chris, qu'est-ce qui se passe? On dirait, Jean-Marie, ça, t'entendre un peu parler de l'expérience. Pour de vrai,

j'ai vraiment tripé très, très fort parce que tu vis des privilèges que t'as pas ici. Tu vis une sensation de star system encore plus grand qu'ici. Fait que tout est comme plus gros, plus... C'est très très très raffiné par moment il est tout se découvre détruire ce voyage tu rencontres des

gens avec des histoires extraordinaires des paysages fabuleux piti capote souvent mais tu t'ennuies souvent aussi c'est vrai que moi je me suis fait plein d'amis la bombe, mais en même temps, comme tu te dénatures un peu pour être là-bas, t'es comme pas vraiment exactement toi-même. T'es une version de toi-même qui est un peu différente.

Je te souviens d'envie aussi. Envie aussi, quand même. C'est rare que j'étais complètement... Moi, j'ai toujours tenu à avoir des techniciens québécois. Au moins pour avoir ces racines-là. Je pense que c'est Michel Courtemange qui m'avait donné ce conseil-là

à l'époque. C'est drôle parce que deux fois, je parle de lui et il m'a appelé aujourd'hui. C'est rare qu'on se parle. Il m'a appelé aujourd'hui aussi. C'est bien drôle. Michel m'avait dit, essaie d'avoir des Québécois dans ton équipe parce que même si besoin de tebou et si j'ai des amis français que j'adore profondément

mais il ya quand même si ce truc qui est pas pareil l'humour la simplicité dans les rapports est rarement aussi incroyable qu'au québec c'est un peu différent il ya souvent des filtres plus ils sont plus les vraies affaires on est si incroyable qu'au Québec. C'est un peu différent. Il y a souvent des filtres plus. Ici, on se dit plus les vraies affaires. On est plus dans le real. Je pense très souvent, là-bas, ils analysent tout. Ils se protègent beaucoup plus qu'on se protège nous autres.

J'étais un peu fatigué de ça. Puis, malgré le succès, parce que sincèrement, toutes mes tournées ont bien marché là-bas. C'est qu'on vient bien march là-bas c'est combien bien marché disons, parce qu'au Québec souvent c'est 100, 200, 300 000 en France, je sais que c'est plus grand

c'est quoi bien marché? pour moi, ça tournait autour du 200 000 dans ces eaux-là fait que j'étais tout le temps très content mais c'est bien plus demandant, c'est beaucoup de dépenses aussi. Tu fais un peu plus d'argent là-bas.

Mais en même temps, j'en aurais peut-être fait plus ici si j'étais resté ici. Finalement, tu t'en vas, tu perds un peu ta place. Puis c'était compliqué de le cuire entre deux chaises. Là-bas, t'es accepté.

Ils m'ont accepté dans la famille quand même, c'est pas évident, c'est pas tout le monde qui réussit à passer entre les brèches pis se faire une petite place au soleil là-bas. Moi, j'avais réussi, mais je sentais toujours que j'étais le Québécois de service quand même, t'sais, t'es un petit peu, à chaque entrevue,

ils te parlent du sirop d'érable pis de la chemise à carreaux pis du caribou, pis moi, je suis capable de jouer le jeu, puis ça me fait plaisir avec un accent. Même quand tu prends ton accent français, il se moque de ton accent québécois. Ça te donne une idée que si tu parles en vrai québécois, il ne te comprend pas pas en tout. Et même si tu es tanné, il faut que tu fasses quand même le « oui ». Mais tu es comme, ça fait 900 ans que tu m'appelles à Chris de Joe. Oui, oui, vraiment.

Puis j'ai senti pour la première fois dans ma vie du racisme face à moi. Je n'avais jamais senti ça avant au Québec. Un blanc francophone aussi. Oui. Je l'ai vu quand j'étais sur Astérix. On tournait cinq mois en Espagne. J'ai vu qu'il y avait une espèce de racisme face… On se moquait de mon accent tous les jours quand j'arrivais sur le plateau.

Mais à un moment donné, tu fais... Ça fait quatre mois que tu niaises mon accent à tous les fucking matins. À un moment donné, je parlais avec un comédien et j'étais là, OK, moi, m'ouvrer, même s'il est un peu fatigant, puis que ça fait... Mais moi, m'ouvrer.

Puis je commence à parler de la mort de mon père, ce jour-là. Puis à un moment donné, je de mon père, Joe. Puis, à un moment donné, je le vois qui rigole. Il dit quelque chose. Ah non, non, excuse-moi, t'as vu, t'as entendu comment il dit la mort de mon père? Je suis là, il me niaise.

Je t'en ai dit, tu as parlé, tabarnak, de la mort de mon père. Puis, il se moque sur la manière que je l'ai dit. Ça, c'est des petites affaires à même j'en ai quelques unes c'est vraiment une vidange c'est une vidange

pour vrai que pour vraiment tu devais t'en tenir pour pas être colsé à un coup point de sa gueule pour pas être colsé à un coup point de sa gueule et surtout quand tu joues on a des gens qui sont descendants depuis le début du tournage pis on a une manière d'ab déjà des gens qui sont descendants depuis le début du tournage maintenant tu fais

ok puis on a une manière d'aborder les gens tu sais moi dans la vie même si je comprends des fois pour gagner la sympathie du monde ça a toujours été ma façon

depuis que je suis jeune je joue le nigo tu sais pour me faire des amis je suis toujours le nigo c'est toujours moi qui va faire le taré parce que c'est même

j'ai appris à me faire des amis ou puis d'assumer de faire le nigo oui quand tu as ce rôle-là aussi puis que là on te taquine on puis d'assumer, ben oui, fait que quand t'as ce rôle-là aussi, puis que là, on te taquine, on te taquine, on te taquine, ok, mais quand c'est un sujet

où c'est tabou, tu peux pas péter une coche d'un coup, parce que ça a l'air d'un malade mental, mais ça te touche profondément, pis ça, on a tout un peu ce pattern-là d'humour, quand quelqu'un, humoriste, est toujours un peu taré, ben c'est ça le rôle, fait que quand tu pètes une coche, parce que là, ça te touche,

là, t'as l'air d' ça le rôle. Quand tu passes une coche, je coche parce que là, ça te touche. Là, tu as l'air un astide fou. Tu ne veux pas aller là. Le fait que tu m'as senti, j'avais reçu un coup de poignard. Je n'avais jamais ressenti ça chez nous. Je me sentais loin de chez nous. C'est un peu là que ça a commencé sur Astérix. C'est un peu, des fois,

où je m'ouvrais dans une soirée, tu vois que le monde, il t'écoute, mais il t'écoute parce que, oui, donne-moi ça encore, je vais m'en servir contre toi éventuellement. Je trouve ça weird. Est-ce que tu crois que c'est parce que, si tu ne veux pas, c'était la honte française, c'est les grands artistes, c'est les grands réalisateurs.

Il y a ça aussi. Oui, tu ne peux pas mettre toute la France dans le même paquet. C'est sûr que c'était les grands artistes, c'est les grands réalisateurs, fait qu'il y a ça aussi. Oui, oui, oui, tu peux pas mettre toute la France dans le même paquet, c'est sûr que c'était le parisianisme aigu, c'était la hôte quand même, fait qu'il y a des cas de respecter la hiérarchie là-bas, c'est hyper important, j'avais vécu un moment très, très

weird quand je suis arrivé sur ce tournage-là, il me venait dans un hôtel qui était super bien, à flamme montagne, j'étais là, wow, on va passer cinq mois ici, c'est malade. Le lendemain, il y en a un qui... Je ne vais pas expliquer pour le monde qui écoute, cinq mois au Québec, un film, c'est 32 jours. Oui, exact.

Cinq mois, c'est malade. Vraiment, avec une vue sur la mer, c'était fou. Le lendemain, il vient de me voir, il me dit, si tu sais, on s'est trompé d'hôtel. Je me suis dit, non, ils m''ont mis dans un trop bel hôtel. Il dit, non, non, ça c'est l'hôtel des techniciens. Il dit, vous, on va vous prendre une vie là,

c'est une fille qui s'est trompée, vous ne connaissez pas, on l'a mis à la porte. Je lui dis, calmez-vous, je suis très bien ici. Il dit, non, non, on ne peut pas rester là. Non, non, mais moi, je suis devenu chum avec les techs et je m'entends bien avec eux autres, je veux rester là. Et c'est monté à haute direction.

On a fait trois réunions. À chaque fois, il me disait, non, mais vous ne pouvez pas rester là. D'accord, c'est très embêtant, mais là, il y a des gens qui vont perdre leur emploi si vous restez là. Ils m'ont fait visiter des hôtels de luxe. Non, non, je ne veux pas être tout visiter des hôtels de luxe. Non, je ne veux pas être tout seul dans un hôtel de luxe ou dans une villa tout seul.

Je préfère être avec les techs. Moi, je mangeais avec les techs. Même à un moment donné, les techs m'ont dit « Stéphane, tu serais mieux d'y aller avec eux parce que ça va retomber contre nous. » Ça va retomber contre nous. Ah, ouais!

En fait, j'ai réussi à tenir mon bout, puis rester là, mais ils m'ont donné des privilèges. Genre, ils m'ont dit, OK, quand vous avez une semaine de vacances, vous nous dites où vous voulez aller, on vous envoie où vous voulez aller. Fait que, là, je dis, OK, où je vais tenir ma blonde, puis j'aimerais ça partir là, puis... Fait que, chaque fois que j'avais des temps à moi, ils m'envoyaient dans des endroits de luxe, puis ils étaient contents, puis j'aimerais ça partir là. Fait que chaque fois que j'avais des temps à moi, il m'envoyait dans des endroits de luxe,

puis il était content. Mais c'était plein d'embêtant que je sois avec les techniciens. Mais faire 5 mois de tournage, ça veut dire que pendant 5 mois, tu ne pouvais pas faire de show? Non. Je crois

que j'avais 2- trois shows de bouquets. J'avais un gala juste pour rire de bouquets là-dedans qu'il fallait que je fasse. J'avais pris l'avion juste pour venir faire le gala. Puis je suis retourné là-bas le lendemain. Ça avait été assez... Puis j'avais fait aussi... La fois où

c'est le plus weird, je pense que j'avais animé à Monaco un gros gala, une grosse affaire. Puis le lendemain soir, je suis au festival du cochon. C'est une perte d'étude, genre ici. Puis là, j'étais là dans une loge où je voyais les vidéos de monde qui essayait de traiter un cochon graisseux.

La veille, tu sais, c'était comme le monde le plus du set. La scotte, puis le foulard, puis... Puis là, c'est comme bien set, mon carré. Il a pas eu la tabarnak. Il a pas eu la tri, un petit. C'est magique. En plus, c'était

une décadence. J'étais là, what the fuck? Des pieds dans la boîte à faire un show. C'était assez fucké. Mais André Pau. Ah non, vas-y. Non, non, vas-y. Non, vas-y. Non, mais pour le vivre encore là, est-ce que tu le vivais avec Véro ou avec une équipe

ou c'était à l'aller-retour là, pour le faire avec des affaires de genre, viens une nuit parce qu'on tourne, mais que toute la journée après ça, je fais en promo puis que ça, je vais faire un show, puis qu'il y a finalement ça. Le vivre à deux, c'est pour ça que moi aussi, mon équipe technique, c'est tous des amis proches pour garder pour pas être tout seul dans ce loop-là, parce que c'est ce qui devient plate.

Est-ce que t'étais entouré ou plus ou moins? Sur ce film-là, qui était vraiment un gros budget, il m'accompagnait. C'est débile. Pour Astérix, entre autres, ils ont tellement peur que tu ne sois pas à l'heure en quelque part, que si tu prends deux vols,

tu as une escale quelque part, il y a quelqu'un qui t'attend pour t'amener d'un avion à l'autre. Pour être sûr que tu n'arrives pas à ton avion. Pourquoi ils font ça? Est-ce parce qu'ils voient les vedettes comme des imbéciles ou ils pensent que vous êtes tous à la drogue?

Un peu des deux. Non, mais ils ne veulent pas prendre le risque. Les autres, ça leur coûte bien plus cher si tu n'es pas là sur le tournage parce que tu t'es trompé de vol ou que tu n'es pas parti à la bonne place. Tu as payé un gars qui fait un vol, deux. Ah oui, qu'avoir 300

figurants qui n'attendent pas rien et huit autres acteurs qui sont là et que toi, tu es « Excusez-moi, je suis à New York! » Non, mais en même temps, c'est impossible de te tromper de vol vu que tu donnes ton billet à un employé que sa job, c'est impossible de te tromper de vol vu que tu donnes ton billet

à un employé que sa job, c'est de faire le vol à Paris si c'est écrit Miami dans le bas. Ils ne prennent pas de chance. Pas en tout. Sincèrement, ce tournage-là, je n'ai jamais vu ça ailleurs.

C'est vraiment une méga production. Si je m'étais assis dans le vide, je pense qu'il y a une chaise qui serait arrivée en arrière. Je n'aurais pas pu tomber à terre. Il y a quelqu'un qui est là pour toi, tout le temps. Puis Mike, j'ai ma prochaine question. Puis les deux,

on va dire, moi, dans ma vie, la personne la plus impressionnante que j'ai rencontrée, disons, il y a Jacques Parizeau et Yvon Deschamps. Donc on va dire, c'est les personnes que moi, j'ai été le plus chéquier. Les deux, tu as joué beaucoup en anglais aussi, Mike, mais ce serait qui la personne que tu fais... Moi, la personne

qui m'a le plus impressionné, c'est Claude Meunier. Tu l'as rencontré et tu l'as fait tabarnak. Je ne le réalisais même pas que, j'ai été fan du monde que dans ma tête, je suis plus fan de cette personne-là que j'ai été fan de Claude Meunier. Mais Claude Meunier,

je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas pourquoi, là, ça sonne quasiment comme je l'insulte, mais première fois que je l'ai rencontré, j'étais comme, ah, c'est Claude Meunier, je n'étais pas bien. Puis je l'ai revu cinq ans après que j'étais rendu un peu plus connu. Puis même affaire, je l'ai revu genre ans après que j'étais rendu un peu plus connu. Puis même affaire,

je l'ai revu genre il y a deux ans que je serais jamais plus connu que je suis en ce moment. Je suis encore comme un enfant fébrile. T'as croisé quand même Louis Ciquet, t'en as vu du monde quand même. Claude Meunier, ça a été... Claude Meunier, c'est celui qui m'a le plus impressionné.

Moi, j'en ai plusieurs, mais Claude Meunier, c'est vrai qu'il fait partie, parce qu'on se souvient comment il a été? Claude Meunier, c'est celui qui m'a le plus impressionné. Moi, j'en ai plusieurs, mais Claude Meunier, c'est vrai qu'il fait partie, parce qu'on se souvient comment il a été marquant. Moi, je me souviens, quand j'étais kid, j'ai entendu Ding et Dong la première fois, puis Paul et Paul, puis tout ça, je suis...

On n'a pas nié de quoi en crise. Je me souviens, je montais sur la rue Saint-Denis, puis le monde écoutait l'album de Dingue et Dongue, Ses terrasses. Le monde n'écoutait pas de musique, il écoutait Dingue et Dongue. Tout le monde faisait Dingue et Dongue, c'était malade mental. Et moi, je me suis mis à l'imiter comme un fou. J'avais été voir un spectacle de Dingue et Dongue à Place des Arts, habillé en Dingue et Dongue, habillé en Dongue.

Et après le show, on a attendu que les lumières se ferment la Place des Arts, habillé en dinguedong, habillé en don. Puis après le show, on a attendu que les lumières se ferment à la Place des Arts et tout ça. Puis j'étais avec mon chum burger

puis on est parti puis on a dit on va aller le saluer. Tiens, mon chum burger. C'est Mario. Le beau chum. Puis on est parti

puis on est arrivé en arrière. Le monde en France te voyait comme un gars qui n'est pas de la haute bourgeoisie avec ton chum burger. C'est parce que t'étais allé au 425

à Ville-la-Salle, je faisais des hamburgers, du hamburger, on l'appelait burger. Là, on a été... Écoute, je vais essayer de la faire courte, mais on a passé derrière, on est passé à côté du portier, de la place des arts, et lui, il pensait que c'était Claude Meunier.

Parce qu'il venait de faire des choses, et il m'a vu avec une peau de vache, je me suis pas posé de questions. Un périte noir, ma petite lunette noire, il me laissait passer. Donc, t'arrivais devant sa loge, j'ai cogné à sa porte, pis ça répondait pas. Pis là, j'ai tourné la poignée, pis elle était ouverte. Pis on est rentrés dans la loge,

t'as ding et dong, pis là, il y avait toutes les costumes, les vraies côtes en peau de vache, là, je touchais à toutes, là, je capotais, j'étais là, on a pas le droit d'être là. Pis il y avait un paquet, les vraies côtes en peau de vache. Là, je touchais à tout. Là, je capotais. J'étais là, on n'a pas le droit d'être là. Puis, il y avait un paquet de cigarettes Cravenay qui était Serge Thériault. Puis là, j'ai écrit un petit mot.

J'ai écrit dans le paquet, excusez, je n'ai rien volé, mais je suis venu, je voulais vous saluer. Vous n'étiez pas là. Puis, quand j'en ai parlé, il y a plusieurs années plus tard, Claude ne se souvenait pas de ce paquet de cigarettes-là. Ah, c'est ça.

C'est malin. Mais c'est drôle parce que même, on dit moi je suis né en 92 pis je pense la petite vie a fini en 97, 18, 19 à part les spécialités j'ai fait l'émission première fois pis l'affaire premièrement, ils m'ont donné un costume, ils m'ont fait faire un costume

de Marc Messier dans la petite vie qui est régent, ils me l'ont fait faire un costume de Marc Messier dans La Petite Vie qui est régent, ils me l'ont fait faire sur mesure puis Claude Meunier m'a signé une bouteille du Claude Thérèse, c'est pas le Château Ragu puis j'étais là, j'étais un mot de Claude Meunier j'étais comme 4, j'ai la Petite Vie en DVD

je l'ai en VHS je l'ai mais cet homme-là, il a marqué le Québec. Moi, mon gars, il regarde La Petite Vie en ce moment, puis je l'ai... Il a quel âge? Je n'ai jamais entendu rire de même depuis que je le connais, il y a 11 ans. C'est drôle.

Il ne sait pas que moi, un moment donné, je joue... Je ne sais pas si je suis seul. Tu es le deux-poids. J'ai joué deux personnages, en fait. J'ai joué Scott Tawal, puis j'ai joué Stimé dans Petite Vie. Je ne sais pas s'il y a quelqu'un d'autre qui a joué deux personnages dans Petite Vie.

Je pensais à ça l'autre jour. Il va pogner de quoi quand il va arriver là? Je ne l'ai pas dit. Quand il va arriver à l'épisode, il va être surpris. Honnêtement, pour les avoir vus un million de fois chacun, tu es le seul qui a joué deux fois deux personnages. Oui.

C'est top de voir ça. les avoir vus un million de fois chacun, t'es le seul qui a joué deux fois deux personnages. Ouais? Ouais. C'est fucked up de voir ça. Même Patrick Huard qui est jeune, à un moment donné, il fait un épisode, t'as Normand Brattoy. Moi, ça me fascine. Quand j'étais en meeting la première fois avec eux autres, parce que moi, j'ai croisé Claude Meunier, il était venu à CKMF, je travaillais à CKMF,

j'ai montré une photo de moi habillant Claude. Je vous imite, je vous imitais. Il a dit, ah ouais, fais-moi les dents pis là je commence à le faire il m'a regardé, il dit, voyons, voyons, ça n'a pas de bon sens pis là il capote il dit, mais tu m'as, mais vraiment il me revient une couple de semaines après, il dit

j'aimerais ça que tu joues mon frère dans la petite vie pis là je capote ma reste je me retrouve en meeting, mais là avec Diane Lavallée, avec Michel une couple de semaines après, il dit « J'aimerais ça que tu joues mon frère dans la petite vie. » Fait que là, je suis capable de bien rêver. Je me retrouve en meeting, mais là, avec Diane Lavallée, avec Michel... Marc Labrèche. Marc Labrèche, tout le monde. Là, je suis comme super content. Puis, pendant qu'on fait la lecture, moi, il me vient

des idées de gags, tu sais. Fait que là, je me mets à lancer des gags, des fois, tu sais. En clôture munie. « Hé, voyons-y, ça va-ie. Et il va dire ça, il va dire... Puis là, tout le monde, c'est comme le silence autour de la table parce que personne n'ose réécrire un truc ou rajouter une virgule

à un texte de Claude. Puis lui, à chaque fois, il rit. Tout le monde, ils sont comme... Marc Bessier, puis Rémi Girard vient de le voir. Non, mais tu sais que c'est rare qu'il ne dise pas un mot. Il dit, on n'en revient pas, là. Puis, il dit, on est malade. pis il dit on est peut-être décorante pis en fait quand j'ai réussi, on a fait Donnée de Donne pis on a fait une couple d'affaires ensemble

mais je réussissais à quand même écrire un peu, à imiter l'écriture de Claude c'est fou, pis Serge Thériault qu'on voit moins, qui a comme quitté le milieu artistique, mais nous aussi c'est une légende tu sais cet acteur-là, ce humoriste-là ce coméd mais nous aussi, c'est une légende. Cet acteur-là,

ce humoriste-là, ce comédien-là, c'est fou. Les Boys, Gaspar Blu, La Petite Vie, Dénédane, Paul Épaules, c'est fou. Une grande sensibilité extraordinaire. Un de nos plus grands acteurs.

On dirait que je souhaite, et encore là, c'est le fan qui parle, mais qu'un jour, il y ait une grande entrevue. Je ne sais pas ce qu'il fait, je ne connais pas, qui parle mais qu'un jour il y a une grande entrevue je sais pas ce qu'il fait pis je connais pas mais qu'on le revoit juste à la limite pour une grande entrevue je veux qu'on apprenne

qu'est-ce qu'il fait que visiblement il est un petit peu brisé ou importe qu'est-ce qu'il se passe j'ai tellement envie qu'on en sache davantage sur lui

parce que ça me fait chier que mes frères de 18-20 ans aient aucune idée qui est Serge Thériault quand t'as deux frères? j'ai chier que mes frères de 18-20 ans n'aient aucune idée de qui est Serge Thériault t'as deux frères? j'ai trois frères j'ai 27, 25, 23

20 deux frères qui te ressemblent un peu pis un fuck out un qui me ressemble un peu Mathieu ressemble aux deux autres Mathieu qui travaillait au bordel ah mais t'as sûrement déjà rencontré Mathieu lui il te ressemble moi je trouve pas qu' Mathieu ressemble aux deux autres. Mathieu qui travaillait au bordel, puis les K.O. Ah, mais t'as sûrement déjà rencontré Mathieu. Oui, lui, il te ressemble.

Ah, moi, je trouve pas qu'il me ressemble, Mathieu. Oui, il te ressemble. Oui, moi, je trouve que tu te ressembles. C'est vrai. Je suis là, mais y'a une pouche à qui? T'es allé... C'est quel party de Noël t'es allé, Stéphane? K.O.

K.O. Là, c'est-tu parce que... Toi, ça fait combien de temps que t'as pas fait de show-scène? Ça fait trop longtemps, là. C'est sérieux. Je commence vraiment... Ça me manque. Mais ça fait 4 ans, 5 ans, à peu près. Ah, vraiment?

Fait que là, si tu disais, je vais aller au party K.O., je vais créer, je recommence à faire des shows, la pandémie arrive. Ben oui, sérieux, c'est un peu ça quand même. Puis c'est correct dans le sens que ça me donne encore plus de temps. Mais là, ça me manque vraiment parce que depuis deux ans, bon, j'ai fait mon show de TV. Ça fait trois ans que je n'ai rien fait à peu près.

Ça fait un an. Le show de Rousseauau c'était il y a 2 ans 1 an? il y a eu ça c'est quand même à tous les soirs c'était autre chose ça a pris du temps avant que je sois bien la deuxième saison j'avais plus de fun c'est pas ma force d'animer un show de TV

pis ta prochaine j'attends ça J'avais plus de fun, mais c'est pas ma force d'animer un show de télé. Puis, ta prochaine... Attends-toi. J'avais fait le... Non, non, c'est Barthier qui fait du vrai au fond. Ça va? Oui. Je viens de passer à la télé. J'avais fait le pilote de

Choua Rousseau. Je sais pas si t'en souviens. Oui, ben oui, t'as fait le pilote et après t'es revenu... Avec Oui, tu as fait le pilote et après tu es revenu avec Adil. Oui, deux fois. Tu es-tu allé toi Mike? Moi je suis allé, moi en plus je fais zéro télé puis

j'aime beaucoup Stéphane puis là j'avais été le faire, j'avais eu vraiment beaucoup de fun. J'avais vraiment aimé ça. Puis moi je suis all, je suis allé... Je suis allé soit fin de la première ou début de la deuxième. Puis le show

roulait super bien. On dirait, mais ce qui t'ennuie là-dedans, c'est que tu sais, Salvaille était rodé au quart de tour. Quand t'arrives à super remplacer quelqu'un... J'ai pris ça un peu à la légère aussi. au quart de tour. Quand t'arrives à super remplacer quelqu'un... Oui, oui.

J'ai pris ça un peu à la légère aussi. Ça va, ça va. Tu avais fait le gag. L'année que les Grandes Gueules étaient parties de la radio la première fois, il y avait un moment donné

le gars qui était le boss de l'énergie qui était juste venu demander, je ne sais pas s'il voulait faire rire les gars, il demandait, il était comme, hey, ça tenterait-tu de remplacer les Grandes Gueules l'année prochaine? J'ai fait, non, je vais remplacer

les gars qui vont se péter à gueule en essayant de remplacer les Grandes Gueules. C'est dur, c'est rentrer quand quelqu'un score. Oui, c'est vrai. Malgré tout, c'était quand même un hostie d'animateur qui donnait un show.

Il était hyper rodé. Moi, quand je l'ai fait, t'étais en feu. C'était parfait. Ça m'a pris 3-4 semaines à me placer. C'est long à TV, 3-4 semaines. C'est ça le défaut aussi

du Québec. Si on était un marché qui avait un vrai budget, tu ferais, regarde, là, Salvaï s'en va. Ça va être tough. On va le comparer. On va prendre, Stéphane, on va faire deux mois de show pratique,

show pilote. On prend les meilleurs moments. on crée ça sur le web, ça va faire de la promesse. Si tu avais fait ça, tu serais rentré et tu aurais 9 millions de codes d'écoute. Mais au Québec, on fait, OK, on va faire un pilote, on va faire un épisode

dans ton jardin, puis après, on rentre en onde. Oui, c'est ça. Mais avais-tu le goût d'aller faire ça? C'était quoi le... Parce que tu revenais de France, c'était quoi le... Non, mais le fantasme de n'importe quel humoriste,

quand tu fais un talk show, c'est dur de dire non. C'est intéressant. Surtout notre génération. Excuse, Stéphane, je te coupe le regard. Non, c'est parfait. Moi, j'étais jeune. Aux États-Unis, je ne suis pas encore. Non, c'est parfait. Mais, tu sais, quand moi, j'étais jeune, tu sais, aux États-Unis, il y avait Johnny Carson.

On dirait que c'est rentré dans la tête que tu sois anglophone ou francophone. Ah oui. Tu es un humoriste, mettons, qui a 40 ans et plus. Tu veux être Johnny Carson. J'y regarde encore des fois. Puis, O'Brien, moi, j'aime beaucoup. Tu sais, il aime beaucoup que je regarde.

Jimmy, évidemment. J'ai toujours été fan de ça. On dirait que là, depuis que je me suis arrêté, j'en regarde presque plus. Ça me fait trop mal au cœur. C'est une autre chance. C'est vrai, à chaque fois que tu regardes un talk show,

quoi qu'il rigole les tabarnaks ah oui ça me fait mal je suis le con j'aurais dû j'aurais dû réussir cette affaire là pourquoi je ne me suis pas forcé j'aurais dû me forcer

il crie devant tout le monde en parle c'est nul dans sa version, il anime et il donne les cartes. L'animateur, il fait juste crier devant son écran. Je me souviens, j'étais un peu dans le déni total les premiers jours quand je regardais

l'émission. Les bouts que je n'avais pas, je les avançais. C'est toi! Mais c'est normal. Pour! Mais c'est normal, mais pour vrai, c'est normal de faire ça. Mais ça dépend, quand tu veux t'analyser, non. C'est nul, ça te donne rien de ne pas le regarder.

Tu le sais. Mais c'était pas mal, honnêtement, le monde a été sévère. Moi, pour vrai, quand je l'ai fait, c'est plus ça qui me surpris, c'était wow, ok, le monde est plus bien l'ai fait, c'est plus ça qui me surpris. Quand je l'ai fait, t'étais vraiment rendu bon.

T'étais vraiment rendu bon. Je ne dis pas ça pour te têter. T'étais rendu bon, mais c'est ça. C'est un gars de la... Non, c'est ça. Mike, c'est quoi l'affaire qui t'a fait que tu t'es le plus planté? Il parle pas dans tes...

Genre, t'as fait pitié? Ah, qu'est-ce? Il y avait un show, je me rappelle pas c'est quoi le nom du show au Québec, mais il y avait un show aux États-Unis qui s'appelait Street Smarts, qui était un était comme un mix entre un quiz et un vox pop.

C'est Patrice Éclier qui animait à Radio-Can. La version américaine, c'était très, très, un peu trash. La version Radio-Canada, c'était clean à mort. C'était Patrice qui animait. Puis quand Patrice est parti, ils ont fait, on va continuer la série, mais on va rendre ça un peu plus trash. Puis là, ils m'avaient engagé moi pour faire le pilote

et c'était égal. Mais c'était surtout, même aujourd'hui, je ne serais pas bon pour animer ça. Mais c'est resté au niveau pilote? Mais j'ai fait le... On a juste fait le pilote. C'est ça, Louis.

Puis en le faisant, j'étais comme, vous devriez prendre quelqu'un d'autre. Je me rappelle, quand je parlais au monde dans la rue, j'étais drôle, j'étais allumé. Mais quand je lisais les questions, moi, j'ai été éduqué en anglais.

Fait qu'on dirait, chaque fois que je lis en français, je viens nerveux, puis je veux pas être comme, je sais pas c'est quoi ce mot-là. Fait que là, chaque fois, j'étais comme, sur 100 Québécois, combien? Puis j'avais l'air d'un attardé mental. C'était dégueulasse. C'était horrible.

Mais il a jamais été en ondes? Il a jamais été en ondes. On n'a jamais été en ondes. On a fait un pilote. Mais ce n'est pas un vrai plantage. J'en ai fait des pilotes qui n'ont jamais été en ondes. Mais tu sais, sinon, j'ai déjà fait des shows où je me suis fait huer.

Mais tu te fais huer en faisant du stand-up. Tu t'en vas, personne ne le sait. Mais ce qui est plate, c'est quand tu mets tellement d'énergie dans un projet, tu te donnes, tu te fais créer. Si j'en vas, personne ne le sait. Ce qui est plate, c'est quand tu mets tellement d'énergie dans un projet, tu te donnes, tu fais criche, si j'y crois, puis là, ça ne marche pas, tu fais comme... Moi, Nathalie Pétrovski,

tous les projets que j'ai faits, on s'entend bien, elle est drôle, la madame, elle sait me faire rire. C'est un personnage, une Denise Bombardier, mais chaque fois que j'ai un projet, elle n' aime pas ça. Je suis une merde.

Puis en même temps, ça me fait rire parce que c'est tellement éveil des fois que tu fais mais là, tu sais, je peux pas comprendre qu'il y a pas un juste milieu entre chaque fois que je le vois dans l'écran, je pourrais le tuer. Et elle me dit en stand-up, ça va, mais à la minute, je fais quelque chose de fiction.

Il y a quand même le film Écadible, il y a Projet 2000, il y a Les Prodiges avec Yannick. Il y a une couple d'affaires quand même que j'ai écrites. Chaque fois, je mange. Ça ne me fait rien. Je te jure, j'écoute. C'est juste la TV. Si, mettons, on ne filmait pas, qu'est-ce que tu penses d'elle pour vrai?

C'est comme je l'aime, la madame. Non, mais honnêtement. Tu l'aimes, ça ch Non, mais honnêtement. Ça chie sur toi. Je te jure. Depuis 10 ans, tu l'haïs. Je te jure, Mike. Tu l'haïs. Je te jure que non.

Les critiques, ça ne m'a jamais dérangé. Mon ami Walid, on a eu des critiques divisées. Ça me motive. Je lis et je fais « Christ, peut-être que les gens, quand quelqu'un te fait une joke et motive, je lis, puis je fais, Chris, ah, peut-être que les gens, là, ils ont tout... Tu sais, quand quelqu'un te fait une joke, puis ça te fait un peu de peine, c'est que tu sais qu'il y a un petit peu un fond de vérité.

Puis je vois les critiques un peu comme ça. Chaque fois qu'ils disent de quoi, tu fais, là, c'était trop éveil, mais Chris, il y a peut-être un fond de vérité. Fait qu'à chaque fois, je vois des enfants de même, puis le seul affaire où j'ai été écopé de A à Z, c'est mon gars-là avec Adib, juste pour lui. Puis le One Man Show, c'était comme...

J'ai mangé aucune... Tu as juste eu des bonnes critiques pour les deux projets? C'est les seules enfants que j'ai eu que des bonnes critiques, mais le reste, j'ai toujours entre les deux. Puis je fais, ben, tu sais, presque, il va falloir que je travaille ça. Ça me motive, mais c'est comme une blague dans un party avec un pompette.

Tu fais, tout le monde a ri parce que c'est un peu vrai. Mike, tu prends bien de la critique? Moi, ça dépend tout le temps ça vient de qui. Mettons que j'ai une mauvaise critique, puis après je vais voir ce qu'ils ont aimé.

Si c'est des affaires que je trouve dégueulasses, je trouve ça drôle que pour eux, moi, je suis une vidange. Mais c'est arrivé une couple de fois qu'ils disent, ah, c'est mauvais,

là, je suis un imbécile qui ne connaît rien pis là, je vais voir ce qu'il a aimé pis c'est exactement ce que moi, j'aime. Ah oui! Ah, tabarnak!

Oui, oui. C'est comme moi, quand quelqu'un nous ramasse ses réseaux sociaux, des fois, on va voir c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, c'était qui, réseaux sociaux, des fois, on va voir c'était qui cette personne-là. Puis ça, tu te dis, OK, c'est beau, t'as dedans.

Mais d'autres fois, tu te penses, OK, c'est une fille cute ou un gars qui a du bon sens ou qui a... Tu vois qu'il y a un... Il est docteur. Ou whatever. Puis là, tu fais, ah, tu fais ça me fait plus chier

on dirait que le monde ne le réalise pas mais mettons, dans la tête de monsieur madame tout le monde qui envoie des commentaires ils se disent, la relève ils vont entendre mon commentaire, vu que

ils sont nouveaux, fait qu'ils vont voir ça, mais, tu sais, un Mike Ward ou un Stéphane Rousseau, que ça fait 20-30 ans qu'ils font ça, ils ne sauront pas, fait que je peux chier dessus, comme si ils venaient de battre mon enfant, puis t'es comme,

c'est un sketch que j'ai fait, tu sais, tu sors cette haine là pour Rocco Magnato pas pour moi avec mes petites chansons ben c'est ça moi j'en ai eu une la semaine passée qui m'a dit sois beau et tais-toi

mais au moins elle dit t'es beau elle m'a ramassé pendant un paragraphe le lendemain elle finit avec ça mais est-ce que justement tes vidéos

qui sont quand même plus absurdes qui je pense te ressemblent quand même beaucoup est-ce qu'il y a du monde qui ont suivi les années 90

début 2000 qui sont comme c'est pas le Stéphane qu'on connait c'est sûr que ouais il y a du monde qui débarque en chemin

là c'est sûr mais t'en as d' qui débarque en chemin, c'est sûr. Mais t'en as d'autres qui en barquent. Moi, j'aimais mieux ceux qui en barquent que ceux qui débarquent. Il y en a qui me suivent depuis le début et qui sont encore là. Il y a du monde qui m'écrivait quand je faisais mes capsules sur le web. Et une,

elle m'a dit, j'allais vous voir à l'Escale, à la Chine. J'avais 16 ans quand je faisais des shows là. C'est un bar? Elle est là, elle me suit depuis ce temps-là. En tout cas, elle ne me suit peut-être pas. C'est-à-dire, mais...

C'est capoté, pareil. Ça me fait super plaisir dans ce temps-là. Tu vois, il y a du monde qui me rappelle des souvenirs d'époque. Ah, je t'ai vu au bourbon en spectacle on dirait mais c'est ça

mais pour vrai Stéphane toutes les affaires t'as sorti depuis le début de la pandémie à chaque fois on dirait il faudrait que tu fasses non je pense mais pour vrai il fallait que je rote je pense qu'il faudrait que tu fasses... Non, je pense que mes pauvres, il fallait que je rote. Je pense qu'il était ému.

On l'a tous senti. J'allais vivre une émotion. Ça me gênait la boule de la crotte. Si tu n'étais pas là au funérail à ma mère, j'aurais fait mon switch. Je pense qu'il faut que tu tousses. Attends, je t'interromps parce que tu me fais penser à un truc, mais au funérail à ma sœur,

moi je suis d'école ici, évidemment, ma sœur vient de mourir, puis on était assis là dans un salon de, j'allais dire dans un salon de broseur. T'es en France, le gars de Corrigeran en faisant, il a dit sœ Oui, c'est ça. Exactement. Là, j'étais assis dans la salle et tout le monde va aller parler, dire un petit mot, dont moi. Mais juste avant, il y a une fille, je suis là, c'est qui elle? Dans les funérailles, ils te demandent toujours

c'est qui elle? Ça, c'est la sœur de... Mais comme moi, tout le monde est mort autour de moi et personne ne peut me dire c'était qui. Là, je suis là, je la connais. Elle dit Louise, c'est une femme extraordinaire. Là, je la reconnais, c'est une de mes fans. Qui n'a jamais rencontré ma soeur. Mais qui est rentrée.

Qui est venue. Oui. Elle a fait un speech. Pour parler de ma soeur. C'était fucking weird. Il n'y a pas de cute, mais fucking dangereux. Un peu too much.

Si c'était plus facile d'avoir des guns au Québec, tu serais mort aussi. Je pense qu'on le rendrait à côté. Peut-être pas à côté. Au funérail de... Mike, au funérail de... au funérail de Mathieu pas de Mathieu Pepper

du père à Mathieu Pepper qui fait ma première partie qui est un excellent humoriste son père je connais Mathieu j'ai suivi son live hier soir son père est décédé

et Mike moi mon gérant mon frère on s'en va c'est funérail mais il faut savoir

que les deux parents Mathieu ont travaillé un peu dans une église et qui sont un peu plus vieux. Et que c'est pendant la fin du petit Jérémy et tout. Ouais, c'est ça. Fait que t'sais, du monde

ultra religieux, tu vois moi arriver, pis l'antéchrist. Attends, pis t'arrives, mon gars, je me souviens, on avait ri parce qu'Alexis, on comprend après, mais tu rentres demain avec tes lunettes de soleil pis je vois tout le monde qui se retourne. Chris et Mike Ward qui sont là.

Je te dis, tout le monde est tombé en amour avec toi parce que tu étais là. Il y avait Alexis qui ramenait, que j'adore, c'est mon gérant, c'est l'homme de ma vie. Mais il ramenait ça parce qu'il y a un malaise avec les malaises. Ah oui, Chris. Il remet ça.

Il avait perdu son grand-père. Mais Alexis, il y a du monde de même qui sont tellement pas à l'aise avec la mort que tu sais, puis moi je l'ai vu quand ma mère est morte, puis c'est la femme qui me t'appelle le plus, c'est non. Au lieu juste de me dire, hey, je suis désolé pour

toi, il voulait faire hey, je sais c'est quoi perdre quelqu'un, moi, maolé pour toi. Il voulait faire, je ne sais quoi, perdre quelqu'un, moi, ma mère. J'étais comme, regarde, ta mère, je suis triste pour toi, mais aujourd'hui, c'est à propos de ma mère. Je m'en calisse de ta mère ou ton cousin. Alexis, son gérant,

c'était que ça. Il parlait juste du monde que lui, il avait perdu dans sa vie. C'était genre le chien de son meilleur ami qui joue au baseball. Il n'a jamais perdu quelqu'un de proche. Fait que c'était tout le temps, je me rappelle mon coach de baseball

quand j'avais 7 ans pis j'étais comme, Chris, il a perdu son père. Tu vas-tu comparer ton coach de baseball? On s'en colisse de ton coach de baseball. Il a un cancer calisse de ton coach de baseball. Il a un cancer de la prostate et il a 75 ans. Viens d'avoir la flash.

Vu qu'il parlait de son esti de coach de baseball, pendant qu'on était au funérail, j'ai pris mon téléphone et j'ai commandé une statuette de coach de baseball sur Amazon. Attends. On est sur Amazon. Attends.

On regarde les fleurs puis à un moment donné, je jouais juste un. Mike fait, connais-tu l'adresse à Alexis? Je dis oui. Viens-t'en. Regarde ce qu'il lui a acheté.

C'était un petit bonhomme qui jouait au baseball. Il y avait un bonhomme qui jouait au baseball. Je ne l'avais commandé trop. J'avais commandé des fleurs. Des fleurs. Un petit bonhomme qui jouait au baseball. Je n'avais commandé trop. J'avais commandé des fleurs. Un petit bonhomme qui joue au baseball et une mythe en céramique.

Il est tellement plus... C'est la personne la plus sensible. C'est lui qui m'a montré à être plus généreux. Je suis tellement dans mes affaires que j'oublie la date de fête de quelqu'un où je ne suis pas là. Mais c'est juste que sa façon de combattre ce genre de malaise-là. La mort,

moi, j'ai remarqué, je suis la pire personne au monde pour délire avec la mort. Moi, même la mort de ma mère, j'ai... Excuse, j'ai encore arrêté, mais... Aussitôt que je

ressens un malaise de peine, je veux tout le temps faire des gags. Bien oui, je comprends. Mais tu sais, c'est pas... Toute la famille du côté de maman, j'en ai perdu quatre à date cette année, puis je vais

tout le temps au funérail, puis j'ai tout le temps l'air d'une marde vu que je suis tout le temps en train de faire des petites jokettes pour détendre l'atmosphère. Oui, mais en même temps, c'est normal. Moi, j'ai enterré une gang, puis à chaque fois, on a eu des fous riz sur le bord du cercueil avec mes cousins. Quand t'as pas le droit de riz, c'est tout le temps là que c'est le plus horrible. Moi, je me souviens quand mon oncle Henri est mort.

Là, j'étais à Montpique. J'étais vraiment très, très connu. C'était mon premier show. Je pense que j'avais 28, 30 ans. J'arrive là-bas. Le monde est bien content que je sois là. Je m'en vais saluer mon oncle Henri. C'était mon oncle que j'aimais le plus.

Il était tellement sweet. Il était drôle. Il m'a donné envie de faire de l'hum C'était mon oncle que j'aimais le plus. Il était tellement sweet, il était drôle. Il m'a donné envie de faire de l'humour. Je suis arrivé sur le bord du cercueil. Je suis là, je suis en train de me recueillir. Il y a une femme qui était venue voir et qui m'a dit, je sais que ça ne se fait pas, mais on doit partir. Peux-vous nous signer ça?

Elle avait mis le papier sur le cercueil de mon oncle Henri. Oh, ça! Comme si le papier était sur l'épaule. Au moins, elle n'a pas viré le cercueil de bord signe si l'épaule a mal carré elle ferme le couvercle il m'a géré de l'avant à lever, il m'a dit ben non pas ici

pis on est sorti après, pis là j'ai signé son autographe ou pas, je sais plus pis là moi je me mets à broyer mais je broye ma vie sur le perron du salon funéraire. Je suis avec mon gérant, puis lui, il est mal à l'aise,

puis tout le monde vient nous voir quand même, puis le monde me jase comme si je ne pleurais pas. « On adore ce que vous faites, M. Rousseau! » Puis là, je broye, moi, là, je broye. Ma femme, elle vous aime, puis c'est-tu possible une petite photo? Puis, ils me parlent.

Ils sont pas capables de... Mais je comprends. Ils sont tellement contents de me voir qu'ils sont pas... Ils trouvent ça bizarre que je pleure. Ils sont pas capables de read the room, là. Non, pas en tout. Mais il y a une scène de Martin Mat... Je sais pas si vous avez

écouté les Beaumaleys. Oui, je me souviens dans son char. Dans son char, il braille et quelqu'un cogne dans la fenêtre. Moi, la journée où je me suis séparé, j'ai déménagé. Je commence à être un petit peu connu. J'étais en pleine tournée pour le film. Et le one-man show, je commence. Je pleure toute la journée.

Je suis détruit. J'ai de la peine. Puis le soir, je monte sur scène. Puis après ça, c'est genre un high d'énergie puis après ça c'est un shutdown les photos après c'est comme ça te garde un peu mais tu sais que le long j'ai le moton t'as l'impression d'être dans un film quelqu'un pourrait te dire

j'ai regardé ton spectacle avec ma fille ça a été le plus beau moment de ma vie je pourrais flancher à quelqu'un et dire tes ongles sont bien coupées. » C'est des fragiles

que le corps liste. Je me souviens juste de partir en auto et juste faire « crache ton pleur. » C'est loser et c'est pas loser. Moi, c'est dans deux. Moi moi c'est rare que je pleure

surtout en vieillissant je pleure on pleurait devant un film moi je pleure juste pour des affaires pas touchantes à ce temps tu sais mettons j'apprends que quelqu'un proche de moi est mort je fais ah Chris pas, mais tu sais,

ça fait partie de la vie. » Mais je regarde une pub à ce petit cotonnel d'un père qui joue du piano avec son fils. Je suis comme « Ah, son bébé! » Ça, c'est que vous vous mentez. C'est comme hier, j'ai pleuré à la fin de Michael Jordan, mais je sais, c'est l'accumulation de quoi

il y a plus de deux semaines. Tu pleures. C'est ça. Ma copine, elle sort, elle me regarde l'accumulation de quoi entre les deux femmes. Tu pleures toute ta vie. C'est ça. Ma copine, elle sort, elle me regarde, je suis en train de brailler, puis après, ça va, je sais que c'est vraiment pas le temps, je vais dans la douche, puis juste un...

Moi, je pleure vraiment tout le temps. Tu sais, moi, ma blonde, surtout depuis le début de la pandémie, tu sais, on regarde, mettons, plein de séries, plein de films ensemble. Puis aussitôt qu'il y a de quoi de moindrement touchant, je mets mon bras de même. Ben comme, t'es pas en train de pleurer

pour ça. J'avais ce qu'il y a de cousin esti, pis t'as l'air qu'il vient de réaliser qu'il est gay. Pis l'autre l'accepte. J'ai pleuré en regardant Jumanji 2 cette semaine avec The Rock

The Rock taverna que j'aurais braillé moi aussi avec mon gars quand je sais que mon gars j'ose pas trop pleurer parce que mon gars il pleure pas beaucoup en plus fait que je me sens non mais je pleure

je veux au moins que ça soit legit quand je pleure. Que je pleure pour une vraie affaire. Pas parce que The Rock s'est fait mal. Mais non, c'est vrai que c'est vrai. Quand tu as un fils, tu ne veux pas être qu'il fait... Quand The Rock a fait

telle affaire, mon père a pleuré. Quand moi, j'ai eu mon diplôme du secondaire, mon père a fait... C'est cool, j'ai eu mon diplôme du secondaire, mon père a fait... C'est cool, ça. Oui, c'est ça. Là, mon gars, mon fils est extraordinaire. Je ne le capote, je l'aime. Comme je n'ai jamais aimé de ma vie.

Oui, c'est ça. Mais il est rendu que... Moi, je fais bien des jokes avec. Beaucoup trop, je pense. Et côté discipline, c'est plus sa mère. Moi, je suis plus... Il sait quand il vient chez nous, c'est plus sa mère moi je suis plus il sait quand il vient chez nous c'est un peu on fait des jokes pis on déconne pendant 3-4 jours pis après c'est retourne chez sa mère pis il fait ses devoirs pis il fait ses affaires

pis mais là c'est rendu cette semaine il me disait... C'est tellement chien je te dis c'est vraiment chien pour la mère Non parce que c'est pas chien parce qu'elle le fait très bien elle aime ça, pis moi j'enseigne autre chose, j'y monte iMovie chaque fois que chaque fois que son fils revient, sa mère elle fait, pourquoi tu sens le rhum

mon père a voulu me montrer des affaires c'est un peu ça, des fois même ok, ça c'est peut-être trop tôt. Je gauge mes affaires. Il y a quel an qu'ils sont, là? Il y a 11 ans. Là, c'est un semaine.

Il y a un piercing dans le mamelon et il y a un deux-tattoo parce qu'il y a des affaires. Non, mais c'est un semaine, il me dit, hé, bro, man, il faut que tu voyes ça. Là, je fais, non,

là, tu vas garder une petite gêne. Il y a quelques femmes. Il regarde-tu l'humour un peu? Énormément, mais il capote ses prodiges, il capote vraiment... Tu connais les humoristes québécois? Oui, je l'ai télécrite,

il capote sur toi, puis Yannick, puis il aime beaucoup les killings, puis en même temps, il regarde la petite vie, fait que j'essaie, puis je monte aussi des trucs américains, des trucs anglais. Là, il est bien commis.

C'est lui qui filme tes affaires que tu fais en ce moment? Pas quand je suis sous mort. Quand tu es sous mort, tu as un trépied. Oui, c'est ça. Si tu fais le montage le lendemain, tu check. Moi, j'avais le premier podcast que j'ai fait en anglais.

Ça s'appelait Drunk Talk. C'était moi dans ma salle de bain. Je voulais parler une heure de temps à ma caméra sous raide, aux toilettes. À chaque fois que je le réécoutais le lendemain, j'étais comme, je peux mettre deux minutes et après, ça vire juste

un style de conspiration et racisme. Il faut qu'on efface ça. J'ai beaucoup d'art tech. Oui, c'est clair. En même temps, je ne suis jamais sous mort, mais je suis tout le temps un peu

buzzé. Pour certains types, en même temps, je ne suis jamais sous mort, mais je suis tout le temps un peu buzzé. Ben, buzzé. Pour certains types, quand je me laisse aller et que j'improvise une soirée au bar, oui, là, j'ai... Non, mais tu n'es pas chaud, raide, tu es cocktail. Votre batterie est faible.

Oh, my God. Je pense que ma blonde n'a pas l'habitude. C'est parce que ma joke n'était pas drôle Non, c'est parce que je suis cocktail J'ai fait une joke Ta batterie doit être faible C'est pas drôle C'est fini

Yann, on a-tu pendant que Stéphane Trouve une nouvelle batterie pour son ordi T'as-tu des questions Puis moi je vais aller me faire un vodka C'est bien cool, on l'a pour combien de-tu des questions? Puis moi, je vais aller me faire un vodka coq d'hier. Mais c'est bien cool. On a combien de temps encore? Il n'y a pas vraiment de règlement. Ça fait deux heures. On pourrait arrêter

là, mais j'aime ça finir avec des questions. C'est dégueu, Mike. Tu es en train de se chier à vie. Non, non, mais Chris, il faut que je rate. Attends, Guildor va nous parler. Guildor, tu es là. Tuite, mon Denis. Mais,

excuse-moi, c'est que d'habitude... C'est une autre chambre d'hôtel. C'est une autre chambre d'hôtel. Puis là, ça fait quatre bières que je bois. Tu commences tes phrases, tu commences tes phrases, mais au lieu de faire...

Tu commences avec toute la confiance du monde pis ça fait, mais moi j'ai de quoi non mais c'est que je suis habitué au podcast je bois des vodka coke d'hier pis là je mixe la bière pis il y a trop de gaz en bière c'est ça le problème

c'est pour ça que je bois du champagne mais du champagne on s'entend, je bois du mousseux c'est Paris Balta t'aurais le droit que je bois du champagne. Du champagne, on s'entend. Je bois du mousseux. C'est Paris-Balta. Tu aurais le droit de boire du champagne. T'as assez travaillé fort. Je ne donne pas ce droit. D'après moi, tu prends du champagne, tu vides ça dans une bouteille de mousseux

avant que la caméra s'allume. Oui, j'ai gagné ça en 99. C'est une bonne bouteille. Regarde ça. C'est le plastique. Il y a du Wallahoutrell. J'aime des bulles. J'aime ça que ça pétille. Moi aussi, puis tu bois moins vite.

Pas sûr. C'est-tu vrai? Rassemble-moi mes pires brosses de l'histoire. Il y avait tout le temps des bulles. Non, parce qu'on va dire que je bois du vin blanc et dans la vie, moi, tout, je fais vite. Je bois de l'eau vite, je vais caler une bouteille d'eau, je vais caler tout vite.

Des bulles, tu ne peux pas boire trop vite, parce que ça fait comme toi, tu fais. Oui, oui. Moi, ça me donne même un peu de... Tu sais, ça brûle un peu dans le tuyau. Mais hier, ça brûlait. C'est pour ça qu'aujourd'hui, je ne suis plus... Mais le vin blanc, je trouve que ça me saoule un peu vite.

Oui, mais le vin rouge, ça me fait dormir. C'est ça ça qu'aujourd'hui, je suis plus... Mais le vin blanc, moi, je trouve que ça me saoule un peu vite. Oui, mais le vin rouge, ça me fait dormir. C'est ça. C'est ça le bout du début. Puis votre coda, là, maintenant, je suis rendu trop radieux. C'est pas bon. Attends, puis juste vous dire, les deux, j'imagine l'odeur de vos... Ça sent le pépéroni, puis ça prend le sang, là. Moi, je n'ai pas mangé de viande, donc c'est clair que ça ne sent pas le pépéroni. Puis Mike, ça prend le sang. Un jour, je n'ai pas mangé de viande.

C'est clair, ça ne sent pas le pépéroni. C'est vrai, Mike. Mais un jour, je prends une brosse avec mes chums à côté. Très tard, on mange toutes les assises de cochonnerie toute la nuit. Puis le matin, je me rappelle que j'ai un brunch le lendemain matin.

Il faut apporter un cadeau je m'arrête, à l'époque il y avait Arthur Quentin sur Saint-Denis, boutique chic de petite madame où t'achètes petite madame c'est peut-être péjoratif mais t'achètes des beaux sous-verres des napkins, des verres, des affaires j'arrive là-bas, je suis le premier client

il est 9h le matin mais moi je me couche à 6h15 j'ai mis 2h30 j'ai mangé chez John le Grec, j'ai bu pas mal. J'arrive dans le magasin, puis on est deux. On est deux dans la boutique, ça sent juste le pot pourri, ça sent bon.

Je trouve une affaire, mais je suis en arrière de madame qui, elle, elle check une affaire. Je fais un petit burp. Un petit silencieux. La madame d'Outremontesse, elle s'est retournée et elle fait « Piuu! » Elle me voit

mélanger. C'est Stéphane Rousseau qui m'a roté ça dans le cou. Elle a dit « Il y a du vent chaud ici de sa nuque avec une odeur intense je me suis excusé

moi il y a un show que je fais que je me dis Christ je suis l'homme de ma nouvelle c'est à la fête d'un bon ami fait le spectacle mais tu sais je prends un verre de vin avant le show fini je prends un verre de vin après puis on va prendre les photos et il y a juste un jeune qui fait ah ça pue! »

Je sais que je sens l'alcool et je me mets à suer et je sais que je sens l'alcool, donc ça devient un cercle du dieu. D'ailleurs, je suis plus un des deux gras de 15 ans et comme ça pue,

je suis comme « Ah, ça pue! » C'est tellement joli, je fais comme ça. C'est une petite photo-là. Oh là là, t'es tellement gêné pis t'es crétin, là. Ah, c'est... Je pense que c'est Julie Snyder qui faisait ça il y a longtemps

avec des enfants. C'était comme des rêves d'enfants, je sais pas trop, pis y'a une petite fille qui était venue me voir, pis genre à TV, elle m'a dit « Oh, t'es mauvaise à l'aide! » Je ne sais pas trop. Il y a une petite fille qui était venue me voir. Genre à la télé, elle m'a dit « Oh, t'es mauvaise à l'aide! » Je te dis que tu perds ton glamour assez vite. C'est tellement net un enfant.

Mais heureusement, vu que c'est un rêve d'enfant, cet enfant-là est mort aujourd'hui. C'est correct. Cet enfant-là est mort 4 jours après Fait que c'est toi qui gagnes dans cette histoire-là Pis Stéphane est allé au funérail Pis il s'est fait demander un autographe

C'est moi un autographe C'est la tête de la petite Y'a-tu beaucoup de questions? Oui, y'a Marilyn Qui demande à Stéphane Depuis quand tu peins? Quelle est ton inspiration? C'est si long. Moi, je m'en vais me chercher un autre joint.

Petite parenthèse, comme ça, ton chien s'appelle-tu Banksy? Mon chien s'appelle Banksy. Moi, je peins, ça fait peut-être une vingtaine d'années, mais j'ai toujours dessiné. Avant ça, je dessinais. D'ailleurs, c'est un peu du dessin encore que je fais même en peinture

c'est quand même assez graphique ma soeur peignait non ah c'est qu'il n'y a plus de batterie il n'y a pas plugé son laptop j'en ai une pour toi de bord Julien j'adore tes baby boomers ils ont crissé leur camp

j'ai deux idoles de jeunesse J'adore tes... Les Baby Boomers, ils ont crissé leur camp. J'ai deux idoles de jeunesse, puis il y en a un qui doit aller chier, puis l'autre qui n'est pas capable de plugger son laptop. Oh my God! Vas-y! J'adore tes mini-séries

et ton film. Comptes-tu faire d'autres et est-ce que c'est pour toi une alternative au stand-up? Honnêtement, oui, je travaille. Le luxe que j'ai, c'est que je me suis fait dire oui sur des projets avant le confinement.

Moi, j'ai passé mon confinement à écrire une suite pour Projet 2000 qui s'appelle Projet 2005, des projets de films que j'ai en tête avec plusieurs personnes, fait que je travaille sur ça et le stand-up, c'est comme mon noyau depuis toujours c'est le truc que je fais 5 soirs semaine, 6 soirs

semaine, que je fais ces mêmes 5 soirs semaine là, je suis allé faire 4-5 shows quand j'étais en rodage je fais mon show mes 4-5 fois, fait que non, on dirait que je vis des deux c'est la première fois depuis 6 ans, disons, que je fais pas de stand-up. Pis ça fait du bien de se concentrer

sur quelque chose d'autre, mais l'affaire que je m'ennuie le plus, c'est monter sur scène en ce moment. Ah ouais? Tu commences à t'ennuyer de la scène? Ben oui, parce que j'ai toujours tout fait en même temps. Que ce soit, je disais, je redais mon show, pis j'animais un gala avec Adib, pis pendant ce temps-là, on faisait la promo du film. Fait que, tu sais, en ce moment, je suis pas monté sur scène, je suis même stressé, j'animais un gala avec Adib puis pendant ce temps-là on faisait la promo du film fait que tu sais en ce moment

pas monter sur scène, je suis même stressé j'ai hâte T'es-tu le genre de personne-là qui a besoin de plusieurs de plusieurs projets en même temps pour te tenir motivé, tu sais au lieu de tout le temps être sur le même puis de perdre ta motivation tu te tiens sur

plusieurs projets, fait que comme ça ça te tient motivé tu peux permuter d'un à l'autre? Honnêtement, c'est que je suis tellement, un, je suis hyper actif puis deux, je suis tellement heureux de faire ça qu'il n'y a rien de négatif à je peux dormir trois heures

le matin, je suis en tournage le midi, je suis en brainstorm puis le soir, je suis en spectacle puis on recommence ça pendant des mois moi, c'est ma vie depuis trois ans, puis le soir, je suis en spectacle, puis on recommence ça pendant des mois. Moi, c'est ma vie depuis trois ans, puis ça va être ma vie pour un moment, là, tu sais. Il n'y a pas juste... Puis après le spectacle,

on va prendre un verre, les gars viennent souper chez nous. Tout est le fun, puis ensuite, je vais retourner le lendemain matin. Tu sais, j'ai besoin de quatre heures de sommeil, puis je suis partant. Excuse-moi, j'ai les rottes comme Mike, là, mais... Ben ouais, tu t'en viens. Tu as les rottes. Mais honnêtement, tu sais, j'ai toujours rottes comme Mike. Ben oui, tu t'en viens. Mais honnêtement, j'ai toujours vécu comme ça. Mais c'est un idole,

Mike. Stéphane est parti aussi? Non, il est en pleine réponse. Son ordinateur, il a perdu sa batterie. Ça a comme coupé. C'est ça qui est chez eux en ce moment. Il est comme, Minou, vas-tu t'aider? Il faut que je fasse le ride.

Oui, c'est ça. Tiens, il est là. Il s'en vient. On le... Yes. On va continuer avec ta réponse. Tu disais que... On va continuer avec ta réponse. Tu disais que tu peignais depuis quoi? 20 ans? Puis ça a commencé comment?

Oui, ça fait une vingtaine d'années que je peigne. c'est ma soeur qui peignait à la maison aussi, mon oncle qui dessinait pour Walt Disney, il venait dessiner à la maison souvent, pis ça m'a donné envie. T'as-tu dessiné pour Walt Disney? Ouais, ouais. Il a dessiné toute sa vie pour Walt Disney.

Dans le temps, c'était un dessin genre Cendrillon, un dessin, un dessin, un dessin, un dessin. Exact, ouais. Pis lui, je pense, si je me souviens bien, il m'avait dit qu'il était comme une centaine de gars dans une salle à dessiner le même personnage et le faire avancer.

En le basia, c'était comme, toi, tu occupes le ballet et juste un peu comme ça, un peu comme ça. Il était-tu riche? Non. Il a fini sa vie, il travaillait dans le parc en avant de chez nous, à la la salle à ramasser des papiers avec un piquet T'as-tu des dessins lui, du genre de

truc qu'il a fait pour Disney? Il m'en a donné deux, puis je les ai perdus ça me fait tellement chier Mais t'as gardé la petite plante qui fait ça Oui Toutes les autres que je donnerais

que t'as dans ton sous-sol. C'est ça. C'est qui tes inspirations? Todd. C'est vrai, c'est Mario Kart. Ah ouais. C'est qui tes inspirations pour tes... Tu sais, c'est qui,

admettons que tu admets que tu suis la carrière et que tu t'inspires pour tes propres toiles à toi? Il y en a tellement que j'aime. Oh mon Dieu, on a le vedette. Rock'n'roll. Admettons dans le street art, moi j'aime beaucoup un gars qui s'appelle Cléon. Il s'appelle comment?

Cléon. Cléon. Comment qu'on écrit ça? Cléon. Cleon. Comment on écrit ça, Cleon? C'est ça. Ah, oui. Ça, c'est Christian Eaton. Il y en a plein que j'aime beaucoup, mais ça, c'est Damien Hirst.

Ça, c'est Good Morial. Ça, c'est Chris Dyer. Ça, c'est Michael Romolo. Ça, c'est Night Shows il y a une autre gueule de Montréal avec la canne de sirop d'érable en arrière

j'en aime plein mais après ça j'aime les classiques évidemment, Picasso, Basquiat Dali et compagnie mais j'ai toujours été curieux de tout ça les arts picturaux, visuels ça m'a toujours intéressé tu sais, mettons quand tu étais petit

tu te voyais-tu c'est quoi que tu te voyais faire plus tard tu te voyais-tu comme acteur, comme humoriste comme peintre ou c'était juste l'art en général tu savais pas si t'allais jouer, chanter peinturer je te dirais que c'était plus le côté showman

qui m'intéressait. C'était comme entertainer. C'est ce qui me vient, parce que j'ai regardé ça avec ma tante Mary, qui est anglophone, puis elle, elle montrait tous les shows américains. C'était... C'était beaucoup de l'humour, mais il y avait tout le temps un petit peu de danse. Il y avait tout le temps un petit peu de chlà. C'était beaucoup de l'humour, mais il y avait tout le temps un petit peu de danse,

un petit peu de chagrin. C'était vraiment un peu beaucoup de la comédie musicale ou des trucs du genre, mais il y avait beaucoup d'humour quand même. Des shows comme Carol Burnett aussi. C'était vraiment

l'humour en premier plan, mais après ça, tout ce qui gravitait au dos m'intéressait. Je pense que je t'avais entendu avec Jay, ou peut-être dans la vraie vie, je ne sais plus, mais tu sais, de vivre, puis Mike, tu l'as vécu aussi, mais tu sais... Oui, tu m'as juste entendu roter de côté, mais...

Mais trois fois, mais je n'ai pas name-dropped, parce que ça pue le pépéroni jusqu'ici, mais je me disais, de passer des générations, tu sais, on va dire de ça, c'est à la mode, j'ai fait des compromis, je n'ai pas fait ça, mais j'ai fait ça, j'ai été moi.

Mike, tu as animé des galeries, je pourrais dans le temps que stand-up, stand-up, non, il fallait qu'il y ait une parade et tout. Est-ce que vous adaptez, Mike, je pense que toi, tu es dans ton air de qualité, c'est stand-up pur qui est à la mode, c'est ce que tu fais. Stéphane, est-ce que tu t'es qui est en mode. C'est ce que tu fais. Stéphane,

est-ce que tu t'es remis en question des fois pour des choses que tu fais? Pourquoi je ne serais plus ça si c'est moi? Mais Chris, ce n'est plus ça qui est là? Je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire. Oui, mais encore aujourd'hui, j'hésite beaucoup parce que j'ai envie de faire un show. Je n'ai pas fait un show de stand-up pur depuis mes années de bar.

Après ça, j'avais envie de show. Des années de bar ou beurre? De beurre. Qu'est-ce que j'ai dit? Ça sonnait beurre. Après ça, j'avais envie de chaud. Tes années de beurre ou beurre? De beurre. Ça sonnait beurre. Je me souviens que j'avais un peu raté. Du beurre ou un beurre? Au final, on s'en balance parce qu'il y a du stand-up-puff.

Si ce n'est pas toi, on s'en crisse. Il y avait une époque, Mike, quand j'ai commencé à l'humour, c'était comme, il faut un tabouret, une bouteille d'eau le stand-up c'est mille affaires ben ouais mais moi je me sentais pas accepté

au niveau des puristes pendant longtemps ça m'énervait parce que je suis tellement un fan de stand-up j'ai tellement un respect pour l'humour en général sur toutes ses formes ça me faisait chier pis j'étais là je pour l'humour en général sur toutes ses formes, que ça me faisait chier, pis j'étais là, je vais leur en faire un. J'avais envie, pis j'en parlais avec Martin Matt, qui était sur mon quai l'année passée, pis il dit « Non, Steph, fais ce que tu as envie de faire. »

Pis il dit « Call it a story » de ce que les... Pis on a envie de plaire à nos pères, on a envie de plaire à nos amis, on a envie de plaire au milieu, pis ou on a envie de plaire au milieu. Puis moi, de faire du stand-up devant un mur de briques, j'ai envie de le faire aussi, mais je ne l'ai jamais fait. Puis je trouve ça beau, puis je trouve ça pur. Pendant longtemps, on m'a dit, tu n'as pas besoin de tous tes artifices, tu peux faire rire,

puis c'est plus fort que moi. J'aime ça mettre des costumes, j'aime ça mettre des bébés. Mais justement, je trouve qu'il y a aussi que j'ai réalisé que la génération d'avant je l'ai été cette personne là veut toujours confronter la génération

moi j'ai critiqué la génération, je me souviens de faire Mario Jean, c'est de la crise de la mort on pense tout le temps que notre génération est un peu plus forte que nous autres quand t'es jeune c'est la seule raison que tu commences à faire de l'humour. Si tu avais

20 ans et que tu voyais ceux de 30, 35 qui faisaient de l'humour, tu faisais « Wow, eux autres, ce qu'ils font, c'est parfait. Je ne peux jamais faire ça. » Il faut tout le temps que dans ta tête, tu te dis « Oh, tabarnak! Je serais le meilleur. » Oui, c'est ça.

Patrick Huard avait dit, j'avais écouté une grande entrevue qu'il avait faite à Radio-Can avec Franco Novo de quoi même pis il avait dit c'est quand même

les plus jeunes sont supposés avoir raison dans la mesure où on est supposé avoir fait de quoi qui nous fait grandir pis nous confronter

c'est pour ça que je trouve ça cool tu sais Stéphane pis Mike Chris Mike t'es un gars qui a fait des podcasts avant tout le monde même ça cool, tu sais, Stéphane. Puis Mike, Chris Mike, t'es un gars qui a fait des podcasts avant tout le monde, même si t'as 66.

Puis Stéphane... Non, non, mais même Stéphane, tu sais, Chris, t'es revenu sur Instagram quand, tu sais, tu jouais dans une petite vie. T'es capable de venir sur Instagram puis de te réinventer. Moi, je trouve que c'est ça la beauté du truc. Puis c'est pour ça que je vous dis les deux gars, les jeunes, pour les

voir souvent puis faire partie d'une génération, ils vous adorent, tu sais. Moi, je sais pas c'est ça la beauté du truc pis c'est pour ça que je vous dis les deux gars les jeunes pour les voir souvent pis faire partie d'une génération ils vous adorent moi je sais pas c'est quoi Instagram mais juste te dire enfoiré

tu me suis pas Mike pis j'aime vraiment pas ça ah ouais il me suit pas non plus là hey mon est punk non tu me suis là

là ok attends Mike sinon je débarque chez vous pendant ta sieste avec ta blonde. C'est drôle parce que Jean-Michel Anctil m'a écrit à son passé et il dit, j'aimerais ça que tu viennes lire

un de tes vieux textes sur mon podcast ou je ne sais pas trop. J'ai dit, Jean, je ne suis pas à l'aise avec ça. Je me suis dit, moi fouiller dans mon vieux stock, ça ne m'intéresse pas. Puis c'est weird, je ne suis pas capable de retourner en arrière. Ça ne me dérange pas de revoir un truc

que j'ai fait, mais d'aller relire un de mes textes... Tu n'es plus ça. Non. Mais je trouve ça gagnant. Parce que moi, je suis nostalgique, mais je suis capable de closer. Puis, il y a un truc aussi, justement. Dire non, parce que...

Si tu n'es pas venu à Sous-Écoute avant, c'est sûr que tu as été invité mille fois. Dans la vie, je commence justement, dire non parce que si t'es pas venu à Sous Écoute avant, c'est sûr que t'as été invité mille fois dans la vie je commence à devoir dire non à des collègues, à dire non à des amis qui t'appellent personnellement pour des affaires pis je sais pas qui devoir dire, pis c'est parce que je sais que c'est un podcast

Sous Écoute c'est les plus grands fans d'humour fait que Mike doit te faire te faire texter pour des affaires, t'es t'aimé avec tout le monde de, hey tu veux participer à mon émission pis là c'est personnel, grands fans d'humour. Mike, tu dois te faire texter pour des affaires. Tu es allé avec tout le monde de participer à mon émission. C'est personnel. Tu as le texto. Tu dois répondre. Comment tu réponds? Moi, en plus, j'ai

arrêté totalement la télé il y a 4-5 ans. Ça donne une raison au moins. On dirait que quand j'ai vécu mon genre de scandale, avant de lancer mon dernier show, j'ai voulu faire une coupe de shows télé juste pour montrer que la raison qu'on ne me voyait pas à télé,

c'était un choix, et pas parce que j'étais barré partout. J'ai fait 4-5 shows, puis après, j'ai totalement arrêté. Mais le monde le prenne tout le temps personnel, tu sais. Puis ils vont dire, voyons, Chris, on a eu Yvon. T'essaies de me faire accroître.

Tu sais, ils essaient de te faire fléchir comme si tu penses que tu vaux plus qu'Yvon Deschamps. Lorsque tu dis, toi aussi, t'as eu Yvon? Ouais, ouais. Non, mais juste pour revenir sur Jean-Michel pis je trouve ça bien correct ce qu'il fait Jean-Michel parce que

si tout le monde était à l'aise avec le fait de relire un texte tant mieux c'est juste moi là-dedans qui n'étais pas à l'aise dans ces exercices mais tu veux quand même un ami ouais c'est ça qui n'est pas évident

moi j'ai c'est ça qui n'est pas évident moi j'ai c'est ça lire mettons des vieilles jokes des jokes que tu as écrit en 91 déjà tu as des commentaires

qu'on a fait et on se rappelle tout des commentaires qu'on a fait il y a 4 ans que tu fais je « Hé, Chris, je parle un peu de même. » Fait qu'imagine, en 91, j'aurais tellement honte de voir, tu sais, comme moi, j'ai Jason qui s'occupe de mes réseaux sociaux,

que... Le gars d'Halloween? Non. Non, c'est le gars du Nouveau-Brunswick. Mais, tu sais, j'avais demandé, j'avais dit, pendant que je suis en tournée, les Jeudis sortent des vieux extraits de moi en stand-up. Oui, oui, oui.

Je suis conscient qu'il est intelligent, fait qu'il ne mettra pas des affaires gênantes. Mais des fois, il m'envoie des messages, il fait, OK, j'ai mis tel extrait, mais j'ai enlevé le bout que tu dis que le monde qui récite, c'est des imbéciles. Ouais, ouais, ouais. Exact.

Non, c'est ça, moi ça me gênerait pas de montrer des des fois j'ai mis un extrait d'une Madame Jayer sur Instagram je trouvais ça drôle de revisiter le passé mais pas de nécessairement d'y aller plus que ça. De le refaire. Moi, c'est ça que je trouve dur. En ce moment,

on dirait que j'ai écrit du stand-up comme j'ai rarement écrit, mais je suis conscient que du stand-up, si tu l'écris là, dans un an, si tu ne le testes pas tout de suite, c'est weird. Là, je suis comme, ça va être juste

des affaires qui sont drôles ce mois-ci ou que je pense qu'elles sont drôles. Puis quand je vais les tester dans un an et demi, ça va être gênant. Mais là, avec qu'est-ce qui se passe avec toi? T'es en tournée, ça s'est arrêté,

puis tu sais pas quand est-ce que ça reprend, évidemment. Je sais pas quand ça reprend. Même affaire, Julien, c'est ça que je trouve plate. On repousse des dates. Moi, je ne veux pas canceller le show parce que je veux que le monde qui veut me voir puisse me voir.

Mais en même temps, je veux que le monde qui ne veut plus me voir, s'ils ont la chienne, peuvent se faire rembourser. C'est weird. Moi, dans un monde idéal, je cancellerais ma tournée, puis je dirais, regarde, quand on va être,

quand on va pouvoir faire des shows, je vais continuer ma tournée, mais... Comment vous voyez ça, l'idée, éventuellement, qu'il y ait des salles virtuelles qu'on peut jouer sur le net? Moi, honnêtement, c'est pour vrai, j'écris de la fiction

dans la vie pour faire de la fiction. Je fais de la scène parce que c'est être sur scène, puis je dois jouer six fois au bordel, puis trois fois dans deux jours parce que j'aime jaser avec le public. Louis-José a dit quoi de cool, tout le monde en parle. Il a comme fait un... Moi, je vais revenir quand ça va être des

shows qui se peuvent, parce qu'on le sait que ça va se pouvoir. Tu sais, j'ai écrit un spectacle qui est rendu à moitié de tournée, j'ai hâte de le refaire, j'ai hâte de remonter sur scène, ça se fera pas le même show, parce que, Christ, on vient de vivre une pandémie, mais je reviendrai pas avec 5 sièges de distance, une personne avec un

masque, 5 sièges de distance. Le but, on le sait que ça va passer, ça me fait chier, parce que je m'ennuie de faire de la scène. On va peut-être trouver un compromis, mais je n'irai pas jouer ça. Deux fois en podcast,

Stéphane, tu es parti et toi, tu as roté. Je ne voudrais pas qu'on soit punis. Je catche un peu la vibe. J'ai trop d'amour pour la scène. Je peux trouver ma fiction puis mon plaisir avec la caméra ailleurs

je vais avoir hâte que la scène revienne de faire de l'humour moi c'est ça je vais faire des vidéos en jump cut avec du monde puis je vais rejoindre le public mais faire du stand up ça existe depuis moi je me sentais

au début quand Fellerwein m'avait appelé pour voir si je ferais le Wi-Fi Comedy Club, j'aurais l'impression de faire semblant de faire du stand-up. Ça ne me tente pas d'aller dans mon salon

avec mon téléphone dans les mains et faire « Bonsoir, êtes-vous en forme? » Je vais attendre. C'est un peu ça le show. Il y en a qui sont super bons. Moi, j'ai... Avec Chris, j'ai fait

« Oh, tabarnak, il est bon! » Moi, on dirait... Mais tu fais plus ta job chez vous? C'est exactement comme nous en ce moment. C'est ça qu'ils font. Moi, je serais capable de le faire, mais je trouverais ça inacceptable.

Non, mais attends, attends. Même Phil, il l'a expliqué. Oui, non, c'est pas un vrai number. Tu peux pas faire du stand-up comme ça. Fait que c'est une dynamique différente. Puis, tu sais, Phil doit être rodé, doit être une machine honnêtement. Phil, il est drôle pis il est bon. Les invités qui viennent, ils sont forts

aussi, mais c'est juste que moi, ce que je recherche en ce moment, disons, c'est le stand-up pur. Le pur, ça veut pas dire... Le pur, ça veut dire avec la scène pis du public. Pis c'est impossible de le retrouver ailleurs. J'aime mieux faire un show dans ma ruelle à Montréal à deux mètres

que, tu sais, du casque. C'est beau même que je l'ai dit, honnêtement. Moi, je pense, j'ai eu un meeting cette semaine avec mon booker puis moi, si on est

capable de faire des demi-salles, je vais recommencer. Moi, une demi-salles, je vais recommencer. Moi, une demi-salle, je trouve ça acceptable. Mais un quart de salle, je trouve ça inacceptable. Puis de faire du stand-up dans mon salon, je trouve ça inacceptable. Je suis d'accord. Je pensais que tu avais freezé, Stéphane.

Ou que tu avais fait un ACV. Non, je vous ai montré un bébé alien. Oh, et il ya aux cris j'ai pas vu ça c'est ce que je fais que tu peux reculer yann on peut circuler il ya un recul et c'est tout en douceur ça s'est fait tout en douceur c'était subtil ok là je là, je le vois. Je l'ai sorti pour vous. J'avais acheté ça à New York. J'avais, je pense, 20 ans.

J'ai ramené ça de New York. J'étais tellement content d'avoir trouvé ça dans un magasin à New York. Il était dans un pot de formol, mais j'ai pété le pot. Tabarnak. Si tu étais pauvre, tu vivrais dans une maison mobile. Définitivement. Avec des pièces à skidoo sur la table de cuisine. Moi, je me suis déjà battu

nu avec un gars qui avait des pièces de skidoo sur sa table de cuisine dans une maison mobile qui avait un trou dans le toit. Tabarnak! Parce qu'on jouait au strip poker avec nos blondes,

puis étant tabarnak, parce qu'il trouvait que j'avais trop regardé sa blonde ou je sais pas trop, on s'est retrouvés, nous autres, on était déjà à poil, on s'est retrouvés à Zibat, tout nus. Et lui, il pognait les nerfs quand il choquait, puis pis il m'a sauté dessus. Pis j'étais content, je me suis rendu compte que j'étais plus fort que lui cette journée-là. J'étais bien content

parce que tout nu se battre, c'est jamais l'idéal. Pis je l'avais pitché sur la table pis il y avait des carburateurs là, ce qui est doux pis toute la table tombait à terre pis les filles criaient pis tout le monde était tout nu. Pis on est partis après ça, On est rentrés à la maison. C'est bien fort, ça. Je savais que ça te ferait plaisir, cette anecdote-là. Hey, Yann, on va... On a perdu Julien. Il était-tu choqué par l'anecdote de Bataille à Pouelle? Probablement.

Hey, on va finir. Yann, je t'entends pas. T'es-tu muté? Non. Non, non, non, non, non, non. Je n'ai pas le doigt, ça gâchote. Oui, excusez, excusez, c'est moi qui suis muté. Yann, j'irai avec une dernière question. Oui, j'en ai une.

En fait, c'est plusieurs personnes qui demandent ça. Pourquoi ne pas faire un talk show sur le web? C'est à l'heure que tu as entrepris l'Internet et tu as l'air de t'amuser là-dedans. Ça ne te tenterait pas de faire un talk show sur Internet, un peu comme faisait Tom Green dans le fond? Écoute, quand le show de Rousseau s'est arrêté, sincèrement, on avait tellement une belle gang, puis l'équipe était tellement avec moi,

puis on était tous déçus que ça s'arrête. On s'est dit, « Fuck you, on continue sur le web demain. » Puis tout le monde était prêt à le faire. Puis on a choqué, finalement. Moi, j'ai choqué, les producteurs ont choqué. Ils se sont dit, « Combien de temps on va tenir ça? » Une semaine. Puis au départ, on s'est dit, « On le fera au moins une semaine semaine, mais les caméramans, tout le monde était prêt à y aller.

Oh wow! Je pense qu'on aurait dû, ça aurait été un beau pied de nez aussi quand même parce que, je pense que les invités seraient venus et on était dans le vibe du show. En fin de compte, c'est un peu moi qui ai choqué et les producteurs. Ça s'est arrêté là. Mais tout le monde était derrière moi pour qu'on le fasse. Un soir de brosse. Puis là, au format réduit, ça ne te tente pas d'en faire un?

Ça ne te tenterait pas de lancer un projet dans ce genre-là? Je ne sais pas si c'est là que je suis à mon meilleur. Je m'aperçois que quand je suis complètement libre si c'est là que je suis à mon meilleur. Je m'aperçois que quand je suis complètement libre, c'est là que je suis à mon meilleur. C'est vrai que sur le web, d'avoir la liberté totale de faire un talk show comme je l'entends,

mais est-ce que j'aime mieux faire des fictions tout simplement? J'aime bien ça et j'en ai des personnages en banque. Créer des personnages, c'est un truc que j'ai bien du fun du fun et je m'abandonne là dedans. Là tu fais ça juste sur Instagram? Là j'ai fait ça juste sur Instagram mais je ressortais sur Facebook aussi. une petite toune, une petite toulette le matin avec un Snapchat, un filtre de Snapchat. Je me souviens plus de quoi. C'était un écureuil

qui chantait une petite toune de glan. Puis, ils m'ont censuré sur Facebook. Ah! J'étais là, un filtre d'un écureuil qui chantait le glan, le fait de tête, une petite affaire ben cute. Ils m'ont censuré

même 4 heures plus tard vous avez le mot gland? oui! je trouvais ça quand même fucking weird Mike a déjà été censuré c'est parce qu'il y a eu un signalé oui Lucie Laurier s'est fait bloquer plein de fois à cause de ça.

Elle, tu le tends des commentaires de conférences ou des tonnes de... Mais c'est vrai, mais tu sais, imagine... C'est Bill Gates qui vous contrôle. Oui, mais t'imagines, tu penses comme ça dans la vie, tu penses que tout est un complot,

puis tu fais bloquer ton Instagram, ton Facebook, ton Twitter. C'est encore plus de comme, ils savent que j'ai raison, ils me bloquent. Moi, ce que je ne comprends pas, c'est que mon écureuil, j'ai fait ma tourne sur Instagram,

il n'y a pas eu de problème, Instagram, c'est Facebook pareil. Oui. Moi, j'aimerais ça qu'aussitôt qu'ils te bloquent de Facebook, il y a automatiquement un message de Bill Gates en DM qui dit « Je sais ce que tu veux. »

Attends, il faut que je continue à boire. Je ne suis pas aussi chaud que toi. Il n'y a personne qui est aussi chaud que moi. On ne réussit pas là-dessus. Moi, je suis pas honnête. Pourquoi on ne fait pas le plus long podcast que tu as jamais fait, Mike? Non, il l'a déjà fait. Ça va être interminable. Ah oui?

Ça vire weird. Ça va durer combien de temps? Deux heures et demie, deux heures et quarante. Non, c'est bien plus long que ça. On a déjà fait. Le premier version lockdown qu'on a fait, 2h30, 2h45. Non, c'était bien plus long que ça. On a déjà fait... 4h. La première version lockdown qu'on a faite, il a duré 4h15.

Ah ouais, ouais. C'était n'importe quoi, là. Mais même Mike, honnêtement, avec du public, c'est pour ça que Stéphane va revenir, mais avec du public, t'es encore plus, t'es au bordel, il amène de la bière, ça rit, tu te relances, tu te taquines. on est tous un peu chez nous pis on veut pas que ça arrête parce que après ça, ça va être la vie

des deux derniers mois non mais c'est ça aussi avec les parties Zoom, tu fais le party avec tes chums pis après ça, t'es tout seul les deux dernières fois, j'ai annulé parce que tu finis chaud d'air, parce que t'as tellement de fun, pis là t'es tout seul sur la terrasse t'es comme

ouais les gens savent pas qu'on est tous dans la même maison en ce moment les sous-écoutes qu'on a faites le plus long qu'on a fait dans les dernières semaines c'était avec Christine Morancy pis Jay Dutamp pis c'était Christine qui voulait qu'on continue

fait qu'on a continué moi je continuerai. Là, Jay a fait, bon, ben, OK, ben, moi, je m'en vais. Tu sais, mais on était plus en onde, pis là, on a resté encore deux heures de temps avec Christine. C'était bien le fun. Pour de vrai? Après?

Oui. Quand c'était plus en onde? Hum. Quand c'était plus en onde. Mais ça, je serais plus d'onigne parce que j'ai des affaires à dire. Ah ok, vous étiez peu en ondes, ok. On était peu en ondes. Non, mais moi, si vous voulez continuer après, on est peu en ondes.

Là, ça fait chier pour le monde qui écoute. Non, mais je suis d'accord. Mais ça, ça devrait être une passe un peu plus chère. Mais je... Ou que je fasse chier... Non, mais là, c'est 100$. Vous venez d'en cours à Mike.

Vous venez avec nous d'en cours à Mike, puis on prend peut-être un spa. Es-tu au chalet, Stéphane, ou t'es à Montréal? Non, je suis au chalet. Mais mon chalet est plus à Montréal. Ma maison est en campagne. J'ai rien compris.

Dans le sens que ma maison principale est à la campagne, puis à Montréal, c'est un petit pied de la terre. C'est plus mon chalet. Là, j'étais en campagne. Ton petit pied de la terre, c'est genre 4 500 pieds carrés?

6 000. Non, mais ton pied à terre, c'est combien de pieds carrés? Ben non, moi, c'est une petite affaire. Je suis sur Saint-Joseph, proche de Papineau. C'est bien normal. C'est bien ordinaire.

T'as toujours fait culotte? Énorme. Je suis né là. Non, non, non. Ça fait un an que je suis là. J'étais sur le plateau avant, mais là, j'ai bougé il y a un an à peu près. J'aime ça parce que mon voisin en haut est bien fin.

Martin. Je lui dis salut, Martin. Avec sa blonde, Amélie. Ils sont bien cool. Et Guy, leur chien Enzo. On les passe nos chiens. Mais non, on ne s'est pas vus depuis la COVID. Puis à Paris, tu vivais où? Est-ce que tu avais un appart, tu louais ou tu achetais?

Comment ça fonctionne? J'avais acheté avec mon ex. À Paris? Oui. Ah, ton ex était comédienne, mais tu achetais à Paris quand même? Oui, j'achetais à Paris. Si Stéphane Rousseau n'a pas lesienne mais s'acheter à Paris quand même Ouais ouais j'ai acheté à Paris Si Stéphane Rousseau il n'a pas les moyens de s'acheter un condo

à Paris Non mais moi je commence à comprendre combien vaut les choses tantôt un corpo c'est combien beaucoup d'argent c'est combien je me souviens à un moment donné l'émission à Véronique Loutier

c'était comme dit la véritéviens, à un moment donné, l'émission à Véronique Loutier qui était comme, dis la vérité, non, verdict, quelque chose comme ça, qui allait là et il y avait des statistiques. Oui, oui, oui. Puis genre, dans les grosses années, Jean-François Mercier, il avait dit qu'il avait fait 300 000. J'avais comme,

jeune, un peu calculé, comme, en tout cas, l'argent au Québec, c'est tabou. Je ne sais pas combien c'est beaucoup. Combien vaut un divan qui vaut cher? Combien vaut une passe d'autobus? On dirait que je n'ai pas cette conscience-là.

Vous savez, la série Grégory sur Netflix. Avec Grégory Chal? Non, sur un enfant. C'est un enfant en France qui s'était fait assassiner. C'est une famille ultra pauvre. Puis là, il explique que la famille de ce petit gars-là

n'aimait pas les parents, lui qui était riche. Puis la raison pourquoi il pensait qu'il était riche, c'est qu'il avait un divan à cuire. Puis j'étais comme, voyons, tabarnak! Quand tu vas au bruit, il y en a à partir de 600$. Lui,

ton enfant, parce qu'il a 600$ qui te rend un divan. En plus, les divans, tu n'es même pas obligé de payer les cashs. Tu peux le financer sur 4 ans. Tu peux même avoir tu peux même avoir

un soft touch à 350 soft touch qui donne l'impression d'être du cuivre ça se décalisse quand le soleil pogne dessus surtout quand un chien pisse dessus pendant 2 ans moi j'en avais un moi soft touch mon chien a pissé dessus pendant deux ans, puis j'ai osé

le vendre à un de mes chums. Il ne m'a jamais payé. Il s'est revangé, dans le fond. C'est Pierre ou Ymètre. Ah, Pierre! Moi, j'ai la radio avec. Que Pierre, qui est réaliste et les vous écoute que je fais. Je l'ai entendu l'autre fois,

toi, parce que moi, je t'écoute à chaque fois que je vais courir. Je t'écoute pas souvent. OK. Mais Pierre, il est malade. Moi, Je l'ai entendu l'autre fois et toi, parce que moi, je t'écoute à chaque fois que je vais courir. Je t'écoute pas souvent. OK. Mais Pierre, il est marrant. Moi, je l'ai connu à Mike Walshow. Ouais, il est drôle en plus. Il est hilarant. C'est un bon ami de Denis.

Non, mais je t'écoute. Sincèrement, je t'écoute à chaque fois que je vais courir et je vais deux ou trois fois par semaine et j'écoute toujours ça. OK. Je peux pas l'écouter au complet. Je cours 15 minutes. Tes épisodes préférés? C'est pas de 9 heures.

Toi, Stéphane, Pierre, tu l'as rencontré quand tu faisais de la radio à Québec? Oui, il écrivait des jokes pour moi en 92. Toi, mettons, tu as commencé quand tu avais 13 ans. Puis, ton premier big break, c'était quoi? C'était la radio Magog.

Que tu n'as pas compris, big break. Hein? Oui, non, c'est ça. C'était un mini break. Mais écoute, j'ai fait de la radio-homagogue à 6 mots sans 6. Ça a duré, même pas 6 mois, on est devenus numéro 1, puis le Québec a dit, OK, on veut t'avoir à Québec. Fait que je suis parti à Chic FM,

mais là, il y avait le FM 93 avec le zoo le matin qui marchait à fond. Fait que nous autres, on est arrivés là, on a fait du bruit, mais on n'a jamais réussi vraiment à se carrer face à cette institution d'humour le matin. Tu avais quel personnage quand tu es arrivé à Québec pour te battre contre le zoo? J'avais à peu près Mme Jager.

Mais tu avais déjà Mme Jager? Oui, mais elle existait plus ou moins dans le sens qu'elle commençait. Mais j'avais Madame Jigger, j'avais peut-être le voisin. Ah, ta crisse! Avec une bédaine. Avec une bédaine.

Il y avait des jokes comme « Ma femme, elle va nourrir des pigeons au parc, mais là, il a voulu qu'elle arrête parce qu'elle a trop mal au sein. Puis il y avait, tu sais, comme mettons, la première fois que tu as fait de Madame Jäger sur scène, toi, tu avais déjà ton image dans la tête, vu que tu l'avais faite à la radio pendant plusieurs années. C'était-tu weird, la première fois?

Comment tu as dit à la personne qui l'a fabriquée qu'est-ce que tu voulais? C'est-tu toi qui l'as dessiné? Oui, j'ai dessiné un premier jet, puis lui, il dessinait aussi. Il l'a fait plus belle que moi, j'avais fait. J'ai gardé sa version à lui. C'est un gars, Christian Hamel, qui a fabriqué Mme Jager.

Il l'a dessiné, il l'a fabriqué. Il l'aimait comme de la famille. Puis Mme Jager était rendue très sophistiquée à un moment donné, parce que moi, je ne suis pas un marionnatiste. J'opérais Mme Jager, mais il y avait un gars en coulisses, c'était lui, Christian. Lui, il avait un remote control. Je pourrais vous le montrer, tout ça est à côté.

Mais un remote... Mais oui, on veut voir ça, on est là pour ça. Comme pour diriger un avion et le guider. Lui, il fermait les yeux de Mme Jaeger. Elle clignait des yeux. On veut voir. Non, mais là, c'est trop loin. C'est un petit de Christ,

de soirée de marde. Il n'y a pas d'éclairage, je fais noir, tabarnage. Mais je pense, pour vrai, on va arrêter l'épisode là. Ah, fuck you! Fuck you, Mike! Fuck you!

Fuck you! Fuck you! Fuck you! Fuck you! Mais d'abord, on va continuer. Mais j'allais dire, on va continuer à parler sans être filmé parce qu'on ne voulait pas être le gars qui va

deux fois pour des refills pendant un podcast. Ma blonde écoute en bas, dans la cuisine. Fait que tantôt, quand je suis allé chercher mon refill, je suis bien éteint. Puis je le dis, ma blonde écoute. Tu veux-tu que je la

ferme-tu là, le stream? Non, non, on va le laisser. Attends, non mais attends, Chris, Stéphane Rousseau pis Mike Ward, est-ce que t'as des questions pour eux? Ça, c'est mon père. C'est la tête à guénantelle, ça.

Le petit premier ministre du Québec. Oh là là. Le broche-créneau. Le broche. Il sait c'est qui le président de l'Ukraine. Il ne sait même pas lui non plus. Yann, as-tu des questions pertinentes? Question? Yann, as-tu des questions pertinentes? Oui.

Question. En ta carrière, Stéphane... Une pour Julien, s'il vous plaît. Il n'y en a pas. Non, je n'en veux pas. Moi, j'écoute. Il y a Samuel Boudreau qui demande, ma question est pour Stéphane.

En ta carrière humoristique et cinématographique, laquelle des deux as-tu le plus aimé? Ben, définitivement humoristique, parce que j'ai pas joué assez au cinéma, j'ai pas joué autant que j'aurais voulu jouer, en fait, mais j'aime ça,

je tournais le film de Ian England, malheureusement, ça s'est arrêté en plein milieu, je suis pas au-dessus de ça, mais j'aime ça jouer,'aime ça vraiment fatal bazooka en france j'avais fait ça c'est devenu cute mais c'était vraiment de l'humour c'était fun j'ai trippé à fond mais jouer du drame c'est le fun aussi mais mais c'est autre chose. T'as-tu déjà chillé avec Jean Dujardin? T'as-tu déjà chillé avec Jean Dujardin?

Ah oui, j'ai chillé avec Jean parce que j'ai tourné un film avec sa femme, son ex. Alexandra Lamy. Alexandra Lamy. Un très mauvais film, je pourrais dire. Un parmi mon lot. Je n'en ai plus rien que ça. Mais j'avais à peu près ce couple-là aussi dans ce film-là d'ailleurs.

Et Jean, oui, très cool, Johnny. Après son Oscar, j'ai eu un malaise avec Jean, par exemple. Pourquoi? Parce qu'on était bien chumis, c'était bien cool, il était un peu jaloux, il m'avait dit il a fallu s'asseoir ensemble et discuter entre gars, il avait un peu peur quand je partais avec sa femme tourner un film.

Ah ouais? Après ça, j'ai dit écoute, j'ai imaginé. Mais il fallait que tu expliques, regarde on fait semblant Jean. Ouais, exact. Là je vais abaiser, mais c'est psych, c'est psych, regarde, on fait semblant, Jean. » Oui, exact, exact. Là, je vais la baiser, mais c'est juste, vraiment, c'est tout ça. Je vais juste rentrer le bout. Exactement. Il n'y a pas plus que ça qui va rentrer, là.

Non, mais il était très jaloux, ça fait que c'était compliqué un peu. Vraiment, il est devenu chum. C'était cool. Puis, je ne sais plus ce que je te raconte il t'a parlé vous êtes assis je trouve ça drôle d'avoir une perte de mémoire de ma vie mais on est pas là c'est la meilleure prémisse au monde je ne sais non c'est qu'est-ce que je vais dire je ne sais paséphane, on devrait faire... Si vous voulez la suite, ça va coûter 100. Si vous voulez la suite, ça coûte 100 $. Vous restez des noms. Non, mais...

Attends, moi, j'ai le verre. J'en ai pas le même, encore une seule coupée dans sa face. Non. Hé, attends. Sérieux, monsieur? T'as pas la fin? Ah, il a peu et pas de pièce au monde. Pour vrai, c'est ça que j'aime.

Puis moi, tu sais, Stéphane a rencontré plus de gros noms que moi. Je m'en souviens. OK. Je vais pas t'en faire. Mais tu sais, les premières vedettes que tu rencontres, tu te rappelles de toutes. Ouais, ouais. Tu rencontres huit, puis t'es comme,

moi c'est vraiment arrivé que j'ai plusieurs idoles de jeunesse que je fais, je ne l'ai jamais rencontré, puis après je vois une photo avec, puis je suis comme, tabarnak c'était mon idole de jeunesse. Puis je me rappelle d'avoir passé

une heure et demie avec à lui poser plein de questions, il est parti, puis c'est comme, ça a rôlé. Non, je me souviens, puis je me rappelle aussi pourquoi je voulais l'oublier peut-être, mais on avait passé quelques bons moments ensemble,

Jean et moi, sans dire qu'on est devenus des grands body, mais quand même. On a pris une couple de petites cuites ensemble. Puis, après qu'il ait gagné l'Oscar, je le revois dans un soir de première à Paris. Puis, il vient me voir. Il est assis avec ses copains, avec Gilles Lelouch, avec

Bec Bédé, avec Nicolas Berthiaus. Ça me fascine, ça. Attends, t'as vu Bec Bédé quand il était saoul en chronique? Ben oui, ben oui. Mais ce soir-là, je les ai vus quelques fois, mais ce soir-là,

je me souviens, c'est le premier soir où je le revois après son Oscar et tout le monde me dit « Ah bon, il a repris un gros steak, whatever. » Je le vois et je me dis « Stéphane, putain! » Il m'assoit sur son genou puis il était avec

Bègue Bédé puis Nicolas Bédé moi je suis assis sur son genou mais je suis pas bien tu sais puis je suis comme je reste là parce que je sais pas quoi faire

puis je suis assis sur le lit puis là on parle puis à un moment donné il me dit faut que je me lève fait que là elle m'a dit ma blonde de l'époque

elle vient me chercher. Elle vient me voir. Qu'est-ce que tu foutais sur son genou? Je lui ai dit, il m'a assis. Il m'a assis sur son genou. Oui, mais c'est pour te diminuer qu'il a fait ça. Tu ne restes pas là. Je lui ai dit, nous autres au Québec,

on n'a pas ces assises de codes-là. Tu m'assoies sur tes genoux. Tu te nommes bien. Tout est dit. Oui, c'est tes genoux, tu te nommes bien. Tout est dit. Ouais, fait que c'était un peu... Là, je ne trustais pas. J'avais trouvé ça un peu pire. C'était juste sympa.

C'était peut-être juste sympa, mais peut-être pas non plus. Peut-être pas non plus. Mais après... Ça te jouait dans la tête. Ça m'a un peu joué dans la tête quand même. Parce que Paris, ils ont des codes. C'est ça que je te disais tantôt.

L'espèce de code qu'on ne connaît pas ici. Moi, les seules vedettes américaines et françaises que je connais, chaque fois que je les rencontre, je m'assois sur leurs genoux. Tu viens de comprendre? Chris, c'est vrai. Tu ne m'entends pas? Pourquoi tu fais le même? Je viens de comprendre. Chris, c'est vrai. Tu ne comprends pas pourquoi tu fais le même?

Mais il y a de quoi d'absurde d'être sur les genoux d'un genre. J'étais mal et en même temps, j'étais content. T'es comme Chris, viens de gagner un score. Je t'espère le score. Ah!

Il y a un moment où tu es comme, on a du fun. Il t'humilie, puis là, tu es gone. OK. Ça t'a pris combien de temps avant que ça l'aille dû?

Yeah, c'est bien une bonne, hein? Ah, ouais! Je vais peut-être me faire gêner. 49 minutes, là! Ça n'a pas duré longtemps, mais trop longtemps. C'est un genre de 3 minutes. Attends, j'imagine

t'as 30 minutes. Wouhou! Wouhou! Wouhou! Il m'a reconnu. Il m'aime bien. OK, il rit de moi. OK, il se fout de ma gueule. Ah, OK. Je suis une merde.

God, il est ça. C'est là... Chaque fois que t'entends ces histoires-là, c'est là que tu vois à quel point on est chanceux au Québec c'est ça je me suis jamais assis sur les genoux à Yvon

même si Yvon techniquement pourrait m'obliger de m'asseoir il pourrait tout le temps s'asseoir mais plus aujourd'hui j'aimerais tellement ça on rentre dans un bar, Mike, t'es assis, c'est genre

Xavier Dolan, pis il est comme petit trouble, t'es comme « Wouhou! » Sincèrement, ça m'a plus insulté que ma blonde, que moi. Moi, je m'en cogne ça un peu. Mais y'a de quoi de drôle. Je te comprends de ne pas être insulté c'est weird, c'est un manque de respect

mais je ne suis pas insulté c'est juste drôle mais j'aurais eu de la peine sûrement honnêtement pendant 2-3 semaines mais tu ne sais pas si c'est vrai ou pas c'est ça qui gosse c'est quoi 2-3 semaines dans une vie c'est d'avoir de la peine,

c'est lourd. Oui. Quand tu te sens trahi, quand tu te sens blessé, humilié. Mais en même temps, je l'ai recroisé dans un mariage dans le sud de la France. Le mariage de Clovis Corniak, un acteur.

Tu sais, à qui c'est, nous, combien? J'avais jamais vu un mariage de même. Écoute, c'est Moments Factory qui a fait les images. C'était malade. C'est une autre réalité. Et puis,

je les avais recroisés et là, j'ai été assis dix minutes cette fois-là sur ses genoux. Non, non. Là,

je ne me suis pas resté sur ses genoux. Pas sur ses genoux, Non, non, mais vous avez jasé un peu. Non, mais il y a eu un moment où on jasait avec Beck Bédé,

Nicolas Bedos et Jean Dijardin. Encore une fois, parce que c'est des grands chums. Et Gilles Lelouch. Puis, j'ai dit quelque chose. Puis, je n'ose pas trop parler quand je suis avec eux autres. On est si brillants quand même. En tout cas, Beck Bédé puis Bedos, cédric Thivitt

en crise. Fait que moi avec mon sourd à quatre de la salle, je me tiens tranquille. Tu sais, quand même. Mais ce soir-là, moi, je pense que dans ces moments-là où on se sent un peu soit diminué ou soit inférieur ou complexé,

je pense qu'il faut que tu parles avec ton cœur. Je l'ai fait dans différents scénarios, comme ça, si tu parles avec ton cœur, ils sont fucking baisés. Parce qu'eux autres, ils ne le font pas, puis ils n'osent pas le faire. Quand ils le font, ils l'ont intellectualisé avant, puis ils ont réfléchi.

Donc, si c'est authentique, ça passe. Si c'est dit avec le cœur, puis c'est authentique, c'est clair. C'est difficilement discutable puis il y en a ceux autres qui font les gens m'assoient sur ses genoux chacun leur tour

moi j'avais vécu ça par exemple à l'époque souvent quand les journalistes voulaient me faire passer pour un imbécile à cause de mon humour je voyais que voulais me faire passer pour un imbécile à cause de mon humour. Je voyais qu'il me traitait comme un imbécile. Puis là, moi, je disais juste ce que je ressentais.

Oui, exactement. À l'écran, eux autres avaient l'air des crétins. Puis moi, j'avais juste l'air d'un gars honnête qui disait vraiment ce que je vivais, ce que je ressentais. Vu que la différence entre quelqu'un qui honnête qui disait vraiment ce que je vivais, ce que je ressentais. Vu que, tu sais, la différence entre quelqu'un qui a son secondaire 2 puis quelqu'un

qui a 4 maîtrises, elle est pas si grosse que ça. On est un animal un peu stupide. Le plus intelligent puis le plus stupide, on s'en ressemble un peu. Puis on dirait qu'on oublie ça. Surtout le monde qui sont

plus... Yann, est-ce que ça bote? C'est-tu moi qui lag? Non, c'est juste Julien. Non, c'est moi. Ouais, pourquoi? J'avais-tu mon aller-pour-venir? Non.

Ça tient, là. Ça semble tenir. Moi, je sais pas si c'est mon ordi, mais Julien, ça semble tenir. Moi, je ne sais pas si c'est mon ordi, mais Julien, il est moins drôle depuis 11 minutes. Tu ne fais juste plus, tu ne lagues pas, mais... Je ne comprends pas pourquoi tu as gagné tous tes oliviers.

Vous autres, ça, c'est l'espèce de pattern qu'on voit, la mosaïque qu'on voit avec les quatre images en ce moment. C'est moi qui ai inventé ça. C'est toi qui as inventé ça. C'est quoi ça? Ça vient de Patreon?

Non, non, ça c'est, en ce moment, on utilise StreamYard. StreamYard. Comme Zoom? StreamYard, c'est comme la version du monde qui est parlant d'OBS. OBS qui est une version de... Yann, si tu veux l'expliquer, tu vas être meilleur que moi.

Dans le fond, c'est... Je vais aller me chercher un autre drink, moi aussi. Moi, je me suis mis un petit seau de champagne à côté. C'est une plateforme pour faire de la diffusion. C'est comme Zoom, mais Zoom, c'est plus orienté vers

faire des réunions, tandis que StreamYard, c'est plus orienté vers faire des broadcasts comme ça, des espèces de talk shows à plusieurs. C'est-tu toi qui choisis le petit fond brun en arrière? Oui, tu choisis le petit fond brun. Tu peux découper.

Ah oui, OK. Oui, puis je peux mettre des gens en plein écran. Tiens, je peux mettre… C'est hot, en arrière, ton Magritte avec le Stormtrooper oui c'est une dot moi aussi je peins, ça c'en est une c'est toi qui fais ça? oui c'est des toiles

je fais des toiles geek un peu j'essaie de mélanger merci beaucoup c'est bien gentil j'aime bien ça faire ça attends je vais te refaire en live bouge pas. Julien est revenu? Il était-tu pas... Ça buguait.

Le podcast est-ce fini non t'as encore live le podcast n'est pas fini le podcast n'est pas terminé c'est où que t'as pogné ça il est en train d'en prendre un bâtoyer en arrière t'es-tu un gay

t'es-tu un gay qui aime le Star Wars pis toi Stéphane pas du tout. Non? Non, non, oui, oui, j'aime ça. Tu demandes à un gars qui a dépensé des milliers de dollars pour acheter des kits de Star Wars, t'aimes-tu ça, Star Wars, toi?

Je sais pas, mais Thomas, t'as clairement payé 4200. T'en es-tu? J'aime bien les affaires, t'sais. Moi, j'ai plein d'affaires. J'ai plein d'affaires. J'ai une bonne question pour Stéphane. Oui? T'as-tu suivi

un peu les histoires de vols, de blagues de la France, ici au Québec? Est-ce qu'il y a des humoristes là-dedans que tu connaissais, que tu avais des liens? Est-ce que tu as suivi ça un peu? Non. Stéphane?

Oui, oui. Non, mais c'est parce que, oui. Oui, oui. Oui, j'ai suivi ça, effectivement. C'est quelque chose qu'on connaissait tous de toute façon. Moi, je l'ai subi aussi. C'est qui qui t'a volé des jokes? Stéphane, tu vois les oeufs

sur lesquels tu marches? On s'en calisse. Non, attends. Il est là. Il ne veut pas les nommer, mais conte-nous l'anecdote sans les nommer. On va deviner à la fin. Il est là, il ne veut pas les nommer, mais il compte nous l'anecdote sans les nommer. Oui, n'en mettez pas contre nous l'anecdote, on va deviner la fin. Le pire, un style animateur.

Non, mais, c'est assez incroyable. Un soir, moi, j'étais au Bataclan à Paris, puis je fais un numéro où j'ai chanté une chanson à la guitare, puis à un moment donné, je disais cette chanson-là est assez spéciale parce que je l'ai fait pour mon père

et mon père est ici ce soir. Et là tout le monde aaaaaah! Salut mon père, je t'aime beaucoup et c'est pour toi que je l'ai fait. Et là le monde se retournait et essayait de voir mon père, mais mon père n'est pas dans la salle pantoute. Et je disais non c'est pas vrai mon père est mort plein de monde il y a un artiste un humoriste qui vient voir mon spectacle qui est une très grosse vedette un humoriste un humoriste et je m'en va voir son spectacle à l'Olympia une couple de semaines après là je le vois prendre sa guitare et il dit j'aimerais chanter cette chanson pour ma maman, ma maman qui est ici ce soir tout le temps, ça se peut pas que ce soit une maligante comme moi

le monde se retourne, même gimmick, il dit « Non, elle n'est pas là. » Le monde part à rire et elle est morte. Merci, Carl. Il est venu voir mon show il y a deux semaines, tabarnak. Est-ce qu'à Paris, tu avais fait les petits comédie-clubs ou direct la grande scène et tout? J'ai fait beaucoup de petits comédie-clubs quand même. Oui, des petits, mais quand tu dis petits, j'en ai fait.

Je me souviens que... Le paname et des trucs comme ça? Quand tu es arrivé, par exemple, il y avait... Tu sais, comme là, en ce temps, il y a des vrais community clubs. Oui, oui, non, il n'y avait pas trop ça.

Mais il y en avait en région. Oui, puis, tu sais, moi n'y avait pas trop ça. Mais il y en avait en région. Oui, puis tu sais, moi je ne suis pas allé souvent, mais je me rappelle dans ces années-là, j'y allais puis dans le genre d'open mic, ils ne servaient même pas du micro. C'était très... C'était des petites scènes ouvertes,

mais c'était loin de stand-up. Non, je l'ai fait en rodage en région, en fait, pas à Paris. À Paris, je n'ai loin de stand-up. Je l'ai fait en rodage en région, en fait. Pas à Paris. À Paris, je n'ai jamais joué vraiment dans des petits... Je ne sais pas. Caralère! Julien, il est allé coller ça une volée à sa blanche.

Collisse! Il y a de la bataille ici. Il est venu du bruit, mais collisse! Il était fort, peut-être un rousseau. Maud! Ressais de... Mets-le mon pot! J'ai oublié de lui dire bonne fête

à ta blonde la semaine passée. Bonne fête. Stéphane a dit bonne fête. Il dit... Il dit un bon merci. J'aurais un message pour Jason. J'aimerais ça

que quand cet épisode là va sortir gratuite tout le monde sur Youtube sur Spotify puis partout, que la photo ça soit Stéphane sur les joues on t'en plaît pas une casse ah oui excellent

c'est la bonne non elle est pas bonne et qu'elle a des beaux bras qu'est-ce qui est drôle c'est que ma. Non, elle n'est pas bonne. Et qu'elle a des beaux bras. Qu'est-ce qui est drôle, c'est que ma blonde est en train d'écouter ensemble dans le sous-sol. Dans le sous-sol, dans la cuisine. Parce que je vis dans le sous-sol. Puis j'ai dit,

Marie, tu devrais monter. Non. T'es dans le sous-sol, toi, là? Quoi? Ah! Ça va, Mo? Elle nous a pas en poutre. Tout le fuck, elle se dit...

Est-ce que t'as envie que t'avais le nez rouge? Je suis en direct. Est-ce que t'as envie que t'avais le nez fucking rouge? T'avais le nez... Elle t'a-tu dit, tu m'avais dit de te le dire, que t'avais le nez fucking rouge? Qu'est-ce qu'il y a à ton nez j'ai pas nié un coup de soleil va t'en, je suis même pas supposé être en couple

va t'en, ferme la porte Alexandre Barrette es-tu devenu Alexandre Barrette t'es pas gentil ah, il dit t'es-tu Alexandre Barrette pourquoi ben là, il a le nez rouge non, ces-tu Alexandre Barrette. Pourquoi? Ben là, il a le nez rouge. Non, c'est pas Alexandre Barrette,

c'est d'autres mondes des mêmes années. Mais là, je t'en prie, pas une casse. Ah! Avec ton vrai mode, sais-tu ce que mode devrait commencer à faire? Des critiques de spectacles d'humour qui sont des captations,

qu'après chaque joke, elle fait un commentaire sous la plaque de « Je comprends pas ». Je sais pas pourquoi il dit ça. Ça, c'est un peu... Je te jure, mais c'est surtout que je vous entends, mais elle, elle est juste genre... C'est ça qui est fucked up.

C'est combien de temps fun. C'est fini. C'est fini. C'est pas grave. On fait 6 heures. Mais t'as raison, c'est ça qui est le fun. Moi, d'habitude, quand on fait les sous-écoutes au bordel, j'allais jamais pisser. Là, je sais pas

pourquoi, dans ma maison, je suis plus à l'aise. Je vais pisser à chaque épisode. Mais ma blonde écoutait dans la cuisine, fait que chaque fois que j'allais pisser, je vous entendais, fait que j'avais l'impression de faire partie de la discussion, mais en pissant.

Ah, c'est bien cute! C'est dommage qu'on t'entendait pas pisser, par exemple. Non. On aurait pu voir tout, tu dois commencer. Ça doit être la grosse pisse. Non, lui, ça doit être... Non, non, c'est plus de la grosse pisse à nos âges. Ça diminue.

Moi, en vieillissant, ma pisse est de plus en plus foncée. J'ai l'impression que dans 5 ans, je vais pouvoir pisser sans neige et le monde va être capable de la rouler. C'est bien une bonne blague. Ah oui, c'est beau. J'apprends rien

Stéphane Mélan je te la donne j'avais écrit quelque chose je me suis écrit des pensées positives parce que ma blonde a dit faut que t'arrêtes parce que ma blonde est bien dans les pensées positives t'sais

tantôt j'avais écrit excuse moi Stéphane, je te coupe, mais tu viens de dire que ta blonde est pas assez positive, puis tu l'as sorti comme si c'était quelque chose de négatif. Bien, je trouve ça dur des fois, parce que c'est confrontant, parce qu'elle, tout ce qui est négatif, elle veut pas

de m'entendre parler à peu près. Fait que moi, je me suis... Tantôt, j'écrivais tout ce qui me venait par la tête que j'ai qui je me fais chier assez souvent dans le but de débarrer j'ai dit moi je serai pas sûr pas tu dis ça ton cerveau parce qu'on savait pas de deuxième degré on sait où il comprend pas les deux indiris lui ce qui dit je me fais chier au sud et jeter un con et il va il va prendre sur du cash puis tu vas vivre avec.

Elle me dit qu'il faut que tu essaies de dire des mots positifs. Sinon, ça ne va pas bien aller. Ce n'est pas ça que je voulais vous dire. Si vous avez les choix... Ça sent la malade dans la tête. Il ne fait pas tant que notre artiste préféré. Je ne suis pas rendu loin.

Non, ok. Ah oui, j'ai une anecdote j'ai pris en note une anecdote c'est encore du name dropping je veux pas vas-y non t'es obligé un soir je suis je suis à Cannes

fin de soirée dans un bar ma main ça me tape sur l'épaule c'est Audrey Toutou pis je sens qu'elle me crouse un peu, puis Mablon est occupé, fait que je m'en vais jaser avec Audrey toutou. Non, jaser avec... Parce que Mablon, elle jaser avec

Vincent Cassel. Fait que moi, je suis parti avec Audrey toutou. Puis là, Audrey elle me dit, mais t'en as pas marre toi de calme et tout. Puis j'ai dit oui. C'était comme mon deuxième calme de vie. « Mais t'en as pas marre de calme. » Je trouvais ça drôle de dire « Oui. »

C'était pas rien par-dessus. Non, mais ouais. Mais en affaire de même, la première fois, ça doit être... J'en ai vraiment marre de tout ça. Déjà, la deuxième fois, ça doit être blasant. Sincèrement, je l'ai dit avec un peu de cœur, parce que c'est vrai

que c'est un peu blasant. En même temps, t'es tellement bien reçu, puis c'est quand même un côté tellement glamour, puis tellement bon pour ton Instagram, que tu te dis, bon, je comprends les trucs. Mais c'est quand même Audrey Doudou, tu sais. Oui, oui. C'est drôle, parce que

vraiment, on jasait, puis elle me dit, je t'ai vu à la télé. Je n'ai pas trouvé que c'était toi-même. C'est puisque ça. » Son chum est arrivé et il nous a séparés. On était tous en couple. Une grosse soirée.

Excusez, ma blonde va venir s'asseoir. M'asseoir sur ses genoux. Oh! That I like! On est toujours live, là. On va défloguer ça comme ça, tu vas entendre le monde. Attends, je vais aller réveiller ma blonde. Très bien. On savait pas que c'était ce genre de soirée-là.

M'assois sur ses genoux. Mais c'est drôle parce que tantôt, quand la batterie a lâché de l'ordi, c'est son ordi, je le connais pas. Là, j'ai crié, chérie! Fait qu'elle est descendue à poil pour brancher l'ordi. Là, j'ai crié, chérie! Fait que descendu à poil pour brancher l'ordi. Ouais, elle était à poil, là j'étais là,

ouais, mais ça va rallumer à un moment donné, là, tu sais, cette affaire-là. Fait que je l'avais comme cachée avec une touche, une grosse touche. Pas moi, personnellement. Mais, non, mais j'ai une perruque de Bob, Bob... Bissonnette

Bob le pain voyons pas l'éponge je m'en vais salut ben non va t'en pas de même là Marie Marie Marie Marie est-ce que c'est vrai que Mike la dernière fois il faisait une sieste quoi

ben je l'ai texté la dernière fois pis il m'a dit que je fais une sieste. Quand on était dans le tourbasse. Mais t'es bien belle, Marie. Merci. Ah, la city charmeur, man. Chris, 25. Non, mais quelle sieste.

Attends. Vas-y, Julien. Non, attends. T'as Stéphane Rousseau qui te crouse, man. Tu vas te faire un pétail. J'en profite. Vas-y. C'est quoi l'histoire? Marie, son gros turn-on, c'est un gars qui mange la nonne pis il rate dans la cuisse.

On est pareil, toi et lui. C'est quoi l'anecdote? Je veux savoir. Que Mike était dans... Non, c'est que la semaine passée, quand il m'a texté pour dire... Mais j'ai même pas dit quand il m'a texté pour dire... Mais je n'ai même pas dit que tu m'as texté.

Je n'avais pas, en fait. Mais quand on est allé faire une sieste dans le tourbasse... Je vais te faire une anecdote. Chez ma grand-mère, j'irais prendre un drink chez vous, puis là, j'ai fait... On dormait dans le tourbasse. Oui.

Vous êtes vraiment des gars de camping. Imagine, c'est la vérité ce qu'on dit, puis ça a l'air de le montrer, vu que Marie est comme, on n'a pas de tourbus. On dirait que je n'aime pas ça, c'est que vous vivez dans la maison,

vous êtes allés dormir dans le tourbus. On avait une sortie, on voulait prendre une sortie. Je me suis maquillée pour aller dans le tourbus. On avait une sortie. On voulait prendre une sortie. Je me suis maquillée pour aller dans le tourbus. Ben voyons donc. C'était ça votre party? Moi, j'aime pas ça. Moi, j'adore ça. Vous êtes bien clairs. Ils vivent à Longueuil, esti.

Fait que si on est allé dormir dans le parking, c'est la place Longueuil. C'est fascinant. Pour vrai, vu que ça faisait tellement longtemps qu'on était dans le carliste de la carliste de maison, on a fait on va prendre le tour bus, on va aller chiller dans le tour bus, on va avoir l'air de voyager

un peu. Vous êtes allé où? On est allé chercher où qu'il y est, puis on l'a ramené chez nous. Ah, si! Moi, j'aime pas ça. C'est vrai.

Moi, j'aime ça. J'ai vécu quoi d'un peu de même plus jeune? Avec ton oncle. Mon oncle Simon. Ça sent le rock. Je vais aller finir la vaisselle. Moi, j'ai... OK, j'ai une anecdote. J'ai une anecdote.

Une confession. Est-ce que vous avez une confession à faire, les gars? On finit ça bientôt? Non. Je vais me plugger. Désolé. Tout le monde est parti moi je suis encore là ok

excusez j'ai une confession, c'est-tu... Ah, c'est-tu... Ah, c'est-tu... Ça fait... Ça fait qu'après, je me suis écrit des mots positifs. Je suis très bon. I am incredible. I am invincible. Je suis fier de moi. Mais c'est pas ça que je veux te dire.

J'ai une confession. Tu t'es écrit ça quand? Un matin. Mais tu fais encore ça? Tu te fais des petits mots de motivation? Je ne fais jamais ça. Non, j'ai fait ça un matin. Je n'avais pas fait ça depuis 20 ans.

Il y a un enfant, par exemple, excuse-moi, Chris, j'ai tout le temps l'impression de te couper. J'aime ça. Julien Lacroix m'appelle en ce moment. Allô? Allô? Allô? Je suis là, OK.

Parce qu'on m'acceptait pas. Hé, j'ai une confession que vous faites. Mais il faut que vous en fassiez une. Oui. OK, ben oui. Je me massurbe juste avec la pornographie gay depuis 11 ans. Twist.

Tu m'as volé mes notes. J'ai vu dans que t'as un miroir en arrière de toi. Non, mais j'ai déjà refusé un autographe à un handicapé. C'est-tu vrai? Ah, tu devais

te sentir. Pourquoi? Je m'étais couché genre très tard. Il dégueulait? Même pas. Non, non. On était en France. Non, mais je m'étais trouvé un peu dégueulasse après. Mais on était en France

et on a fait le party jusqu'à 6h du matin. Notre autobus nous a attrapés à 7h30. Peux-tu dire qu'à 1h30 de Fait que, peux-tu te dire qu'à 1h30 de sommeil, j'étais pas frais. Quand ils sont venus frapper à ma porte, j'étais couché tout habillé dans mon lit. Là, je me suis levé, puis je suis sorti de l'hôtel, puis le gars, il me dit « il y a du monde qui t'attend dans la porte », parce qu'en France, c'est souvent ça, tu sais. Les femmes te suivent à ton hôtel, puis ils t'attendent.

Fait que là, il y a une handicapé en fauteuil roulant avec son papier et son crayon. Je suis passé à côté de lui. Non, moi je sais. Je suis rentré dans l'autopédistère. Mais j'étais là. Je trouvais qu'il abusait de ses privilèges. Parce que

il était venu au théâtre la veille. J'en ai pas. Je suis désolé. J'ai ai pas. Je suis désolé. Je m'en prie. J'essaie. Mike, il voit aucun problème.

Il aurait un handicapé. Mais non. Oui, c'est ça. Il n'était pas seul. Il y avait d'autres mondes. Puis, j'étais tellement pas OK. Mais aussi, c'est parce que c'est des n'était pas seul. Il y avait d'autres membres. Puis, j'étais tellement pas OK. Mais aussi, c'est parce que c'est des chasseurs d'autographes, en fait. Non, mais que ce soit moi ou un autre. La morale de l'histoire, c'est que les handicapés,

c'est des chasseurs d'autographes. Non, pas lui. Non. Non. Non, non, non, non. Là, là, s'! Non! Non! Non! Non! Non! S'il y a des jeunes qui écoutent là, des handicapés,

c'est des signatures. En France, il y a des fans qui sont des chasseurs d'autographes qui vont à tous les spectacles et ils sont là dans une quantité. Je pense que c'est ça. Puis, ils revendent-tu après? Non, ils s'échangent entre eux autres. Je ne sais pas que c'est ça. Puis, il revend tu après? Non,

il s'échange entre les autres. Je ne sais pas ce qu'il fait. Moi, j'avais la première fois que j'ai vécu ça, les premières fois que je faisais Just for Laughs, il y a tout le temps des assises weirdos qui demandent ton autographe en espérant que tu deviennes connu. Puis, moi,

je suis tellement habitué, désolé, je viens encore de rater dans le micro. Oui, ça aide, ça ne lâche pas. Mais à chaque fois, quelqu'un me demande un autographe, tu sais, j'ai la mentalité de c'est quoi ton nom? OK, Raymond, Steve, whatever. Tu sais, tous mes fans s'appellent Raymond et Steve.

Mais j'écris le nom, mais eux autres, à chaque fois que je faisais, c'est quoi ton nom? Ils disaient, non, je ne veux pas mon nom. Je signe ton nom, mais j'ai 40 photos de toi. Oui, c'est ça. Tu vas vendre ça sur eBay.

Il est où, Julien? Il est parti encore? Il est parti. J'ai dit le nom, Raymond, il est allé se cracher. C'est ça. Oh my God. Moi, j'ai l'impression, c'est ça. Moi, ma blonde... Il est rentré un chip au pickle.

Oh, monsieur! Depuis la pandémie, je me saoule moins qu Depuis la pandémie, je me saoule moins qu'avant la pandémie, mais je bouille vraiment plus que la pandémie. C'est ça que tu disais, j'ai écouté avec Dan Grenier et... C'était-tu avec

Pat Gros? Oui, exactement. C'est ça que tu disais, que t'as pris du poids, que tu buvais plus. Souvent, ça veut dire que tu cours souvent à tes temps de chef. Non, mais j'essaie de courir. J'haïs ça, courir. Souvent, je marche. Des fois, je finis d'écouter sur le balcon

parce que je veux montrer à ma blonde que j'ai couru plus longtemps. En fait, je fais juste écouter sur mon balcon. Bon, c'est Julien encore. Là, Yann, accepte Julien, je pense. Ta barnaque! Il y a le monde de Second Zone.

Vous autres, votre génération puis le web. Là, Julien, il faut que tu comprennes que le show business, il y a les vedettes qui étaient là avant 2003 puis il y a les autres que vous êtes là avant 2003 puis il y a les autres que vous êtes en dessous de nous autres.

Mais vous, les A, c'est fou. Parce que là, je jase avec deux A puis vous êtes rendus des C, puis moi, j'arrive, je deviens un A. Tu sais, quand tu as ramené le compte... Oui, ça dure un temps. Attends, je peux te dire un truc drôle.

Stéphane je me souviens que la première année des échangistes t'avais dit à Alex Perron oui c'était

mais attends mais honnêtement j'avais les échangistes la première année c'était le non non c'était la première émission

première émission il y a Guy Lepage Véronique Doutier Stéphane Rousseau et dès le début de l'émission Alex Perron moi je le trouve super sympa et tout mais je le regarde Première émission. Première émission, il y a Guy Lepage, Véralique Doutier, Stéphane Rousseau. Et dès le début de l'émission, Alex Perron, moi je le trouve super sympa et tout, mais je le regarde et je me dis, Chris, il est carlissement mal habillé.

C'est agressant tellement ça ne se fait pas. Et là, tu sais, tu regardes, il y a quelque chose qui te gosse. C'est comme quand quelqu'un a une marde ici, tu fais comme, voyons, voyons, voyons. Et là, Stéphane fait juste faire, je pens pensais que les gays vous s'habillez toujours bien il dit Chris c'est tellement laid comment t'es habillé et là c'est tellement pas bien passé mais c'est tellement drôle

pis honnêtement tout le long je me disais ça m'agresse comment il est habillé il est supposé avoir du goût juste parce que tu sais ça parait quand tu fais un verre, je te dis. Ah ouais? Non, mais moi, je l'ai toujours dit, plus gay

friendly que moi, me franculer. Ça passe pas sur la radio canadienne. Ça, quand t'avais dit ça, t'avais-tu eu de la marde avec la communauté gay ou fucker? Un petit peu, mais pas beaucoup. Ben non, c'était pas méchant, mais écoute, ben, c'est vrai

que je... C'était laid comment il était allé, honnêtement. Non, mais j'ai pas pensé. C'était peut-être mal amené de ma part, là. Je l'ai pas... Mais je trouvais ça rigolo, drôle excusez excuse moi je me suis excusé à Alex

je voulais pas lui faire de la peine j'ai senti qu'il était vraiment shaky il savait pas que c'était très laid comment il était habillé c'est ça qui est pas je pensais que c'était beau Alex il m'aime bien il sait que j'aime la mode

j'ai toujours aimé ça, m'habiller. C'est là que j'ai fait le prix personnel. En fait, c'était bien relatif, tout ça. C'était peut-être bien hot comment il t'a habillé, puis que nous autres, on était dans la chambre. Honnêtement, c'était super laid. Oui, mais ça me faisait de la peine de se faire de la peine, parce que je l'aime beaucoup, Alex,

je le trouve très drôle, puis je voulais pas non plus, je suis assez stigmatisé, pas besoin d'en rajouter ne voulais pas non plus être assez stigmatisé. Pas besoin d'en rajouter une couche non plus. Mais je pensais faire un compliment détourné et en fin de compte, je me suis un peu planté. Comment ça, tu pensais que c'était

un compliment détourné? Un compliment à la communauté gay. Ok. En disant que oui, ils ont toujours de bons goûts. Là, toi, tu l'échappais à soi. Mais ce n'était pas... J'ai une dernière question de femme. Je pense que l'affaire dans ma vie

qui m'a fait le plus rire en télé, il y a eu que j'adore Martin Perizzolo avec Expédition Extrême. C'était drôle, ça. Mais Martin que j'adore. Puis ça a été tough pour lui. Mais il a réinventé la télé à cause de ça. Et l'autre truc,

c'est les recettes pompettes avec toi, Stéphane. Oui. T'as-tu vu, Mike? Je l'ai pas vu. Tabarnak, je te jure, j'ai jamais pleuré de rire de même. Mais ça, j'avoue, j'ai jamais entendu parler d'un truc comme ça.

Et il y a un groupe de fans qui le regardent tous les jours sur Facebook. Il y a un groupe qui se met ensemble pour regarder cet épisode-là, encore aujourd'hui. Je le vois tous les jours. Hier, je l'ai cherché, je ne l'ai pas trouvé. Je l'ai regardé au moins dix fois.

C'est hilarant. Mais j'avoue que ça avait été pas mal grosse soirée. Tu brises la télé et il est arrogant, il est tannant, mais ça paraît que ça serait... Tu sais comment je peux être tannant? Quand tu pètes tes lunettes pour qu'on chille ensemble

ou quoi de même. Là, ça paraît que ça devient ça. C'est beau, c'est drôle. C'est du fun. Si que c'est drôle. Je dois avouer que j'allais l'appeler Serge Serge Thériault Eric

avait été fabuleux parce qu'il me passait la balle tout le temps il était bon là-dedans quand même il y a des fois ça apparaît tout le temps parce que tu ne peux pas jouer à çadedans quand même. Oui, il y a des forces. Ça apparaît tout le temps. Parce que tu ne peux pas jouer à ça tout seul quand même.

C'est comme faire l'amour. Bonne fin de soirée. Non, mais cet épisode-là, je te jure, honnêtement, je pense que tu es allé chercher un public. Parce que tu dis les générations. Mike, le monde avec le web, t'ont connu rapidement. Les plus jeunes t'aiment.

Stéphane, cet épisode-là, il y a du monde qui était comme, Stéphane Rousseau, c'est Stéphane Rousseau. Je commençais l'humour et le monde était comme, Christ, les recettes pompettes, il nous a compris. J'ai compris le buzz quand j'étais à la première du film de Xavier Dolan

et qu'Antoine-Olivier Pilon, que je ne connaissais pas, est venu me voir et m'a dit, « Excuse-moi, Stéphane, tes recettes pompettes, on regarde ça en boucle. » J'étais, « Ah ouais? » Puis, le lendemain, je pense, des recettes pompettes, pour de vrai, j'avais eu 800 messages. « What? » Ah non, ça avait vraiment clenché, j'avais eu 800 messages. What?

Ah non, ça avait vraiment clenché. J'étais content au bout. Même des fois, je dois vous avouer que à l'occasion, une fois par six mois, je le regarde. Non, mais c'est... T'es authentique, t'es drôle, pis t'es débile. Honnêtement?

Ben, ben, ben, ben, du fun. T'es l'invité. Pis ça me tentait pas d'y aller. Je me souviens juste que ça me tentait débiles, honnêtement. J'ai eu bien du fun. T'es l'invité. Ça ne me tentait pas d'y aller. Je me souviens juste que ça ne me tentait pas d'y aller. Quand je suis parti faire le show-là, c'est de bien savoir qu'on m'avait appelé, que tu as les recettes pompées. J'avais fait comme bien de promos.

Je me suis dit, ah tabar, c'est sérieux. Tu sais, quand tu deviens un peu... Un autre salut, bonjour, ça ne me tente pas. En fait, donc, très bon move. C'est ça qu'il faut remettre en question. Des fois, c'est notre attitude

qu'on a quand tu es chez vous, tu es seul et tu te dis, je n'ai pas envie d'aller faire ça. Ça va peut-être être le meilleur move de ta carrière. Tu ne veux pas y aller. Il y a une affaire, on dir, qu'on dirait, moi, dans les dernières années, j'ai vraiment tourné mon dos à télé,

puis dans ma tête, je veux pas faire de la télé, je veux faire du web, mais on oublie souvent que quand tu fais un truc télé, il y a, mettons, 200 000 personnes qui le voient, 500 000, mais ils prennent cet extrait-là, ils le créent

sur le web, c'est ça qui devient viral. Oui. Les meilleures vidéos virales, je trouve, sont des trucs de télé. C'est vrai. Mais c'est vrai. Les recettes

Pompette, on l'a vu sur Vimeo, on l'a vu sur YouTube, mais tout ça, on l'a vu, même toi Mike, ton épisode des recettes Pompette qui était l'a vu sur Vimeo, on l'a vu sur YouTube et tout ça, on l'a vu. Même toi, Mike, ton épisode des recettes de Pompette qui était dans une période un peu trouble. Moi, j'ai fait un blackout. Je suis le premier blackout des recettes de Pompette. Il y a eu plusieurs blackouts?

Ben, il a fallu... Moi, c'était plus Éric qui était sur le bord de faire un blackout que moi. Moi, j'étais le... J'ai dit que je suis le premier blackout et que c'était le dernier épisode qu'ils ont tourné. Mais je ne voulais pas le faire parce que je buvais gros et que j'étais en dépression.

Quand on a commencé à le faire, j'avais amené un flasque pour boire de la vodka, vu que c'était de la vodka diluée. Il a fait un jeu et il avait mis six shooters chaque de vodka diluée

et j'avais fait, quand il parle à son équipe, je vais les boire les doses et après, je suis devenu juste scrap, scrap, scrap. J'ai fait un blackout et à un moment donné, Marie-Pierre Morin arrive.

Après, je me rappelle, je suis parti. J'ai demandé à ma blonde dans le char en s'en allant à la maison. J'ai fait, c'est fréquent weird que Marie-Pierre Morin est arrivée. Elle était comme, c'est toi qui l'as appelée.

J'ai fait, ah tabarnak. Ils m'ont sauvé dans le montage. J'ai fait, ah tabarnak! Ils m'ont sauvé dans le montage, mais j'ai une vidange. Moi, je n'ai pas vu que ça finisse. Je suis en feu. Moi, je pogne des fois,

et j'aime ça quand je pogne cet état-là. Tu ne sais jamais quand ça va arriver, quand tu vas être super en forme, super énergique, super envie de faire la fête et que ça ne finisse plus. Moi, j'adore ça quand je suis comme ça.

Tu sais, mettons que tu es chaud. Je ne fais pas ça. Tu fais-tu chaud d'air des fois? Mettons que tu es chaud live. Zéro drink. Non. Même pas trop. Un drink des fois. mettons tes shows live non zéro drink non même pas même pas trois

un drink des fois un drink avant mais si ça attend là attends ça passe de zéro zéro à des fois je prends

un petit verre de vin non mais des fois je vais aller souper avec l'équipe on boit un bloody caesar avant le show mais je pense qu'il parlait

de tes lives puis tes instants ah ok ah ben oui pour certaines mais je bois une petite b parlait de tes lives puis tes instants ah ok oui pour certaines mais je bois une petite bouteille de champagne en même temps que je fais ça mais normalement je ne fume même pas ma bouteille donc je ne suis pas défoncé

non mais il y a quand même je ne me souviens même pas ce que je voulais dire ça fait chier tu as de la soupe et tu te ridiculises en ce moment. Mike, t'as une chanson difficile, man. C'est pas ce qu'il y avait.

Ta photo, là, excuse-moi, ton carré, t'as l'air d'un gars dans sa demi-sous-sol qui va bâcher du monde. Qui, sans moi? C'est à cause du rouge, la couleur de la violence. Le rouge pis le rideau, lui, il a l'air d'un millionnaire que tout va bien,

toi, t'as l'air d'un nastie de fou. Toi, t'as l'air d'un intellectuel, c'est la brosse. Mais le pire, c'est ça qui est fucked up de... T'sais, moi, les premiers sous-écouts que je faisais, j'étais comme

je vais mettre des... On dirait, tu te dis dans ta tête,étais comme, je vais mettre des... On dirait, tu dis dans ta tête, tu fais, je vais mettre des trophées en arrière de moi et montrer que j'ai du succès. Tu fais, ah non, j'ai de l'air d'un gars qui se vante. Fait que moi, je pense, pour vrai, je trouve ça beau

ce qu'il y a en arrière de moi. C'est beau. Je me branle depuis tantôt tellement je trouve ça beau. Moi, je vais être honnête, j'haïs ça et ça me fait chier. C'est vrai? Ça m'a fait chier. Mike, ça m'a fait chier avec les trophées

comme si j'allais me passer bon. J'en m'écarte. T'as tous tes trophées. T'as tous tes trophées. T'en as tellement pas beaucoup. Ah oui, mais ils sont bruns. C'est que t'en vu pas tes trophées. Ils sont où, tes trophées? T'en as tellement pas beaucoup. Ah oui, mais ils sont bruns. Je me fais mon brun. C'est que t'en as pas assez pour que je les remarque.

T'as combien d'oliviers? Olivier, j'en ai 11. T'as 11 d'oliviers? J'ai 11 d'oliviers. Je pense que j'ai 11 d'oliviers. Je suis pas mal ça. J'ai perdu. Moi, 4. Je pensais que j'allais vous péter. Non, moi, j'ai 11, Olivier. Je suis pas mal sûr. J'ai perdu. Moi, 4, je pensais que j'allais vous péter.

Non, moi, j'en ai 3 ou 4. Moi, avoir 4, Olivier, je me pendrais. J'aurais honte. Oui, mais lui, il a un Oscar. Le gars à côté de nous a un Oscar. Non, moi, je n'ai pas d'Oscar personnellement, mais le film a un Oscar.

Mais j'ai un génie. Pour ton jeu jeu dans quoi? Les Invasions barbares. Génie qui était... C'est les Gémeaux canadiens. Non. Non, non. C'est les Jutras canadiens.

C'est les Jutras canadiens, oui. J'ai une question pour toi. Est-ce qu'en France, tu as été plus connu avec les invasions barbares ou du basse-quiétois? C'est arrivé à peu près en même temps, mais c'est arrivé, les invasions, c'est arrivé en... Mon premier hit en France, c'était Monsieur Mus. Quand j'arrivais à mon costume

de Monsieur Mus, j'avais fait une émission qui s'appelle Graines de stars. Ça faisait bien rire. Mais avant tout ça, là? Ouais, ça, Graines de stars, c'est le premier truc, j'étais en costume de Monsieur Mus, je chantais une toune de rug voisine ou de, moi je savais changer, non là-bas je chantais, j'aurais voulu être culturiste, la version de, j'aurais voulu être un artiste, avec mon costume, je mettais des habillés, je restais petit, avec mon costume Monsieur Mus qui est en dessous. Ça ça a été mon premier hit en France où je me suis sorti le lendemain et tout le monde me reconnaissait dans la rue.

Après ça, pas longtemps après, il y a eu les invasions barbares. Il y a eu un show avec Franck, je pense. Après ça, il y a eu les invasions. Après ça, il y a eu un autre show avec Franck. Après ça, Florence Foresti aussi. Mais c'est vraiment... Les invasions, ça a fait...

Le monde était fourré parce que là-bas, il pensait vraiment que j'étais un acteur. Il y a beaucoup de monde qui pensait que j'étais un acteur sérieux, informatique et que je n'étais pas un humoriste. Il était un peu surpris de me voir en humour. Voilà. Ça fait que c'est un beau mélange de tout ça. C'est un très beau mélange

de tout ça. Non, Yann va venir gâcher la... Non, Yann, si il veut donner la... Dans toutes les anecdotes, t'en as aucune de Gérard Depardieu. Tu dois en avoir une. Il est tellement intense. Tu t'es travaillé avec. T'en as une à moi?

J'ai zéro anecdote de Gérard Depardieu. C'est pas Depardieu, c'est Depardieu. J'en ai beaucoup de Gérard, puis des fois, je ne veux plus en raconter parce que je me sens toujours raconter une histoire de Gérard. Puis je me sens toujours mal. Un jour, j'étais à Paris dans un pub avec Anne-Élisabeth Gosset et Mounia Chokri, pour ne pas les nommer,

qui me disaient « Ah, il faudrait que je vous raconte un truc. » Elle a dit « J'espère que ce n'est pas que Gérard a perdu. » Je me suis fait ma gueule depuis. Ah oui? Comme si tu l'avais trop fait? Ben, pourtant, je n'ai pas raconté de temps, mais on dirait que tout le monde a une anecdote avec Gérard Depardieu, où on veut tous

en savoir plus sur Gérard. Mais la seule que je peux vous raconter, ben en tout cas, je vais raconter une couple, mais une qui est amusante, c'est un jour, un matin, il rentre de mauvaise humeur, mais de très mauvaise humeur parce que ça a très mal fini la journée d'avant sur le plateau d'Astérix sur le plateau d'Astérix

le matin il rentre pis il est en tabarnak Gérard pis Gérard il est ben le fun quand il est le fun mais quand il est pas le fun c'est moins le fun fait que là il est pas de bonne humeur il est fâ acheter le producteur puis il est en tabarnak tabarnak puis c'est comme c'est comme cyrano quand il rentre tu sais pis SAUTEZ! tout le monde sort c'est comme sa grosse voix pis il est en tabarnak moi je peux pas sortir fait que là il s'assoit devant moi pis qu'est-ce qu'on tourne? putain Fait que là, il s'assoit devant moi, pis... Qu'est-ce qu'on tourne? Putain, allez, on tourne!

Le réalisateur vient, ok, on fait le truc... Moi, j'avais vu dans un scénario, c'était écrit « Contine ». Il y avait un petit mot, genre, « Contine » de style enfant. Pis, il n''avait pas de texte ok le matin j'arrive là-bas ben y'avait un petit bout de texte

mais c'était genre je sais pas trop tatatitatata pis là je fais ok on tourne on tourne l'équipe est même pas en place

tout le monde calme Gérard Gérard calmez-vous on tourne putain on tourne j'essaie de pas crier trop fort pour pas réveiller ma blonde qui dort au-dessus de moi. Nue? Nue, effectivement. Fait que là, on tourne, on tourne, go go go, attendez Gérard il détache même les couettes d'obélix qui sont détachées sur sa tête, fait qu'il détache

il est pas prêt à tourner pendant tout, on voit encore son tatouage, on s'en fout putain, tourne moi je suis en face je vois bien qu'il est un peu stressé le bonhomme on passe ça il doit me dire il me fait moi je dois faire

là je réponds le réalisateur, coupez. Non, Stéphane, la comptine, comme quand on était gosses. Je dis, OK, comptine, comme quand on était gosses. Je dis, allez, putain. Donc là, 3, 2, 1, action. Là, dans ma tête, je ne sais pas plus ce qu'il veut dire. Je fais, coupez, putain, qu'est-ce qu'il veut dire. Je fais « Taratitaritata »

« Coupez, putain, qu'est-ce que tu fous? » Je dis « Je sais pas, je dis... » Ils ont pas tenté de l'expliquer. « On tient comme quand on était gamins! » Oui, attendez. Moi, tout se passe bien. Moi, tout se passe bien depuis

quatre mois. Mais attends, moi, ce que je vois, c passe bien depuis 4 mois et j'ai rare là ce matin là moi ce que je vois c'est le plus gros loser au monde qui veut pas dire comme passe partout mais je suis vraiment suisse, j'ai aucune idée c'est quoi passe partout mais c'est exactement ça là un moment donné

là moi je comprends pas trop fait que là j'ai mon petit texte à la tête, là je regarde ça je me dis « Oh, ils sont fous! » Et là, l'autre, il fait « Allez, on y va, Gérard est très énervé, on y va! » On le fait « OK, comme quand on était gamins! » Je dis « Oui, mais moi, je suis québécois! » « Oui, oui, oui, allez, allez! » Et là, il fait repart la même affaire.

Moi, je le sais que mon homme a remonté là. Il part droit de l'une, action, l'autre « T'auras dit, t'as dit, t'as dit. Et lui, il dit, on va faire la même chose que lui. Je dis, t'auras dit, t'as dit, t'as dit. Il dit, putain, il fait le même truc que moi. L'autre, coupé.

On va arrêter quelques minutes. Gérard répond, on s'arrête. Il m'amène de côté. Stéphane, la cantine, comme quand on était gamins. T'auras dit, t'as dit, t'as, on s'arrête. Là, il m'amène de côté. Stéphane, la cantine, comme quand on était gamins. T'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu? Je dis, oui, mais j'en connais pas votre petite cantine de tabarnak. On n'a pas ça au Québec.

Fait que là, il dit, je vais te la montrer. Là, il me montre la cantine, mais moi, là, je suis à côté de la roulotte de Gérard. T'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu, t'arrêtes-tu?otte, je vais rentrer. Là, je suis là, OK. OK, attends. Fais-moi l'aise.

Fait que là, j'arrive à se dire, je suis stressé comme le tabarnak. Est-ce que tu les prends? Ça va? Allez, on le fait. Putain, go! 3, 2, 1, action! Action! Moi, je ne sais plus où je suis. Je t'arrête, t'arrêtes, t'arrêtes!

Coupé! C'est pas ça, putain! C'est pas... Je dis, arrête. OK. Stop, Gérard. C'est sûr que quand je te dis, parle avec ton cœur. Je te dis, Gérard,

moi, là, il faut me stresser un tabarnak. Toi, t'as réussi, t'as maintenu, t'es en crise, t'es chicané avec le producteur hier t'es fâché t'as le tabarnak je suis québécois, je connais pas vos hosties

de comptines, du crise je sais pas de quoi vous me parlez le matin, pis là je suis stressé j'ai pas de fun tu me jures? je te jure il s'est arrêté et il m'a dit

t'as raison on est des gros cons je suis désolé regarde puis il me l'a montré tranquillement un petit ton c'est beau puis là j'ai fait ça

puis ça a été super cool après on l'a fait une take puis c'ai fait ça pis ça a été super cool après, on l'a fait une take pis c'était fait, mais là j'étais c'est-tu man pis après ça il m'a regardé le temps, mais déjà qu'il m'a bien quand même, mais là cette journée-là il était bien bien énervé

je vous raconterai pas ce qui s'était passé la veille parce que celle-là est vraiment fucking crocker mais c'est pour ça qu'il était bien bien en tabarnak de mêmecker. Mais c'est pour ça qu'il était ben ben en tabarnak le même matin. Mais c'est plus après le podcast. Je pourrais te la raconter, mais c'est trop long à texter. Ah lalo.

Hé, Mike, c'est quand même 3h33 de podcast. Tu veux-tu qu'on arrête, vu que tu es rendu tout le boss du showbiz québécois? C'est ça. Non, c'est que t'es un...

Quand on arrête, quand on va dire que ça finit, ça finit. Mike, c'est que je t'aime. Tu sais que t'es un ami à vie. Sauf quand tu fais des siestes comme un porc. Mais man, tu l'aides pas. Ça fait 3h33.

Je l'aide pas j'ai amené les podcasts au Québec qu'est-ce qu'il faut pas entendre tabarnak honnêtement je t'aime d'un amour profond mais tu l'aides pas Christ a dormi la moitié des anecdotes

à Stéphane au moins il dormait pas au bout du chevet mais là qu'est-ce que tu veux qu'on fasse au moins il dormait pas bouche ouverte mais fait que là qu'est-ce que tu veux qu'on fasse tu veux qu'on arrête Yann il a l'air d'aller fumer une smoke

non ton public c'est pas que tu fumes Yann là je vais demander à quelqu'un que je paye son hypothèque Yann j'étais-tu à quelqu'un que je paye son hypothèque, Yann j'étais-tu bon ou j'étais pas bon?

Yann, honnêtement j'ai l'idée le show ton ostie de punk en noir a pas du tout l'idée c'est moi qui ai tout fait c'est moi qui ai tout fait c'est son premier podcast Yann, c'était qui? mettons,, t'as pas mal. C'est son premier podcast.

Yann, c'était qui? Mettons, si c'était les Olympiques, médaille or, bronze. Tout le monde est d'accord pour dire que médaille d'or, c'est Stéphane Rousseau. Stéphane, bronze, c'est qui? Stéphane, c'est Michael Jordan Stéphane, c'est Michael Jordan

je suis moi je suis Scotty Pippen toi t'es le gros bossu qui est comme t'es un petit débile toi t'es l'autre Chris the Punk avec des ben oui Stéphane moi j'en ai des deux

t'es-tu en train de dire que je suis Dennis Rodman ben oui t'es-tu en train de dire que je suis Dennis Rodman? Ben oui, t'as un gros gué refusé Moi j'ai été avec une fille que Dennis Rodman C'est vrai? On est frères de graines, Dennis et moi

Je pense pas qu'on est Chaque fois que tu fourrais la fille, t'entendais de l'écho Non, c'est drais de l'écho. Non, c'est drôle, il disait la même chose. Mais il est gay, il paraît, non? Pas soit,

parce que moi, je... Fait que Chris, il avait du poulet popcorn. Il avait du poulet popcorn, de mon nez, commeêtre la gueule ensemble. Fait que là, Yann, tu avais une dernière question, je pense. Il y a-tu beaucoup de montage et des faits spéciaux? Non, je n'avais pas de question.

Il y a pas mal de montage. Il y a rien. Stéphane, tu es au chalet? Oui. Asti, je serais débarqué même mais toi t'es pas dans le bois

depuis un bout oui mais je suis viré fou fallait que je revienne à Montréal le truc quand Julien arrive chez vous

il fait une sieste je dis que tu fais une sieste avec ta blonde il décolle il est naïf c'est comme un incident je t'aurais accueilli moi à broussevers.

Mike, tu ne sais même pas à quel point je vais débarquer ce soir. Je te dis. Ah, fuck. C'est sûr que Marie ne va pas triper, mais je m'en viens. Moi, je suis poigné tout seul. Ben, tout seul. Tu n'es pas poigné tout seul. Ta blonde est là.

Je ne suis pas poigné tout seul. Ta blonde est là. Pas tout seul. Ça m'éclate. Ma blonde dort depuis une heure au moins. Il est quand même minuit moins vingt. Es-tu minuit moins vingt? Oui. Ça passe vite pour un bon compagnie. Tu fais quatre fois que je pisse dans mes culottes.

Quand même. Tu es chanceux. Ça a été un magnifique podcast. C'était un plaisir. Merci beaucoup. Pour vrai, merci les gars d'avoir été là. Et puis, Résumateur, oui. Non.

Je ne sais pas. Je ne sais pas ce que je fais. Mike, il est naturel qu'il n'y ait personne. Mike, tout le monde l'aime, mais ce qu'il a, c'est la merde qu'il sort des oreilles pis qu'il pense qu'il est un DJ connu. J'ai hâte qu'on fasse ça devant du monde.

On se refait ça devant du monde au bordel. Non! J'aimerais ça! Même illégal, tout collé. On rend 500 personnes au bordel. Non, venez sur mon blog! Aujourd'huihui je parlais excuse moi Julien t'as coupé mais

j'ai hâte au show illégal moi en plus je suis diabétique si je pogne le COVID-19 je m'en vais dans quelques secondes mais j'aimerais faire un show illégal

on se frotte avec du Vix. On ne voit plus ça. Non. Je me souviens d'un bar à Québec, pas à Québec, à Paris, qui s'appelle le Favela Chic. Favela, c'est normalement des endroits pauvres. C'est bizarre qu'ils appellent ça de même.

C'est des villages pauvres du Brésil. C'est un bar brésilien qui Ça s'appelle Favé de Chic. Et ce plat, tu manges super bien, mais après ça, ça devient comme une discothèque. C'est tellement tassé et tout le monde t'embédonne que tu te colles dans le sueur de tout le monde. Je pense que ça ne réouvre pas tout de suite.

C'est comme ça que je voulais dire. Merci. Bonsoir. Tu sens bien. Vous savez, les gars, ça fait 4 heures qu'on te tend en direct j'aimerais savoir ton volume t'as du volume moi c'est c'est gré

it's over Alexis là Mike il veut rester en direct et Stéphane va pas bien du tout Alexis Alexis non je sais Stéphane va correct bien

Mike veut que ça soit sur la famille ça fait 4 heures qu'il dure le call et ça se casse non mais on va finir moi je suis prêt pour finir il y a une heure et demie. Il y a plus que 4 heures.

Il y a 12 heures, t'as dit... Je vais vous laisser partir. Depuis tantôt, ma blonde conne sa femme en disant qu'elle va être détruite en carrière. OK. Honnêtement, ça a été le plus beau podcast au monde. Stéphane, écris-moi sur Instagram.

J'ai un petit projet web. Mike, tu ne sais même pas à quel point je m'en viens en taxi. Il y a un petit problème. Non, mais après, si, mettons, il vient te rejoindre, moi, j'aimerais ça que vous rejoigniez, ouvrez une autre bouteille.

Ah oui, on se rappelle? Ben oui. Si je n'étais pas chez nous, j'ai un fusil. Je veux juste... C'est parce qu'honnêtement, Chris, il n'y a pas de colis de taxi, mais peut-être Maud va vouloir conduire. Essaye-toi.

Non, elle dort tellement. Ça fait trois heures que je la réveille. Ah, si. Je rentre, puis on pète, puis je suis dérangeant. Maud? Elle rompt-tu, ta blonde? Ah, mais non. Le pire, c'est que Maud, c'est même pas sa blonde,

c'est sa soeur. Pourquoi je ne sais pas? C'est trop deaud c'est même pas sa blonde c'est sa soeur c'est trop de cul ce man cheap shot mais Yann Thériault est heureux de sa gag Stéphane merci beaucoup les gars de m'avoir fuck le gouvernement Charest

ça c'est bien dit attention à vous autres les boys ça a été un plaisir merci Stéphane je suis vraiment content de t'avoir eu Julien merci beaucoup ça fait mille fois que t'es venu

t'es tout le temps aussi bon puis Yann Mike Mike j'en parlais avec ma blonde ce gars là Pis Yann, va te faire un foot, est-ce que tu... Mike, Mike, t'es extraordinaire, Mike. On t'aime. J'en parlais avec ma blonde, ce gars-là est naturel. Mike, l'avantage, c'est que peu importe la personne, tout le monde t'aime.

Et écoute, on fait la chanson qu'on avait pratiquée. L'amour est pas, l'humour réussit. L'amour est pas, l'humour est aussi. L'amour est pas, l'humour est aussi. L'amour est pas, l'humour est aussi. L'amour est pas, l'humour est aussi. L'amour est pas, l'humour est aussi. you