Sexe Oral - En couple et enceintes en même temps avec Joanie et Noémie

Episode Date: February 15, 2024

Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d’expériences et d’opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d’un.e sexologue ou autre professionnel de la santé. Cette semaine sur le podcast, on reçoit Joanie et Noémie qui viennent nous raconter leur histoire incroyable sur la façon dont elles sont tombées enceintes en même temps! ----- Page Facebook donneur de sperme et mère porteuse au Québec : https://www.facebook.com/share/ineHryVkvnDUHjaA/?mibextid=K35XfPSite internet : https://en.coparentalys.com/Pour suivre Joanie:https://www.instagram.com/p0ule/?hl=fr-caPour suivre Noémie:https://www.instagram.com/noemie.beau.regard/?hl=fr-ca Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast   ---- Pour collaborations: [e-mail] Pour toutes questions: [e-mail] Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/

Le podcast d'aujourd'hui, comme tous les autres, sont présentés par Eros et compagnie. Et aujourd'hui, mes amis, on a une surprise pour vous. On a une promo qui, c'est la promo qui pogne le plus. À chaque année, on a vraiment des bons commentaires. Satisfyer revient, donc c'est-tu beau qu'une démonstration pour le mois de mars, donc elle se fait au mois de mars, ça peut être n'importe quand, en semaine, en week-end, n'importe quand, tu reçois automatiquement un jouet, un vibrateur haut de gamme, satisfaillant,

gratuitement, ça c'est en plus de tous tes autres cadeaux d'hôtesse, parce que quand tu es hôtesse, tu te mérites pas mal beaucoup de choses, fait que, pour ça, tu peux réserver ta démo chez vous, tu vas dans l'onglet présentation d'invitiel sur le site Terrasse et compagnie, et tu réserver ta démo chez vous. Tu vas dans l'onglet Présentation officielle sur le site

Terrasse et compagnie et tu réserves ta démo dans l'onglet Références. Il faut juste écrire Sexe oral. Sexe oral. Parce qu'elle était innoticée par mes lèvres. C'est pour ça qu'elle était comme... C'est frou, pas vrai? T'as vraiment un beau genre ici.

À ton arche de lèvres en haut, c'est vraiment frenchable. J'ai juste le goût du goûter. Merci. Je vais prendre le commentaire. Super. Je vais le... Merci, la gang. Bon, bonne démo, pour vrai. Amusez-vous avec tout le monde.

Hé, en passant, les amis, si vous voulez faire ça en gang d'amis, mais aussi au travail, comme vous en aimez moi, ça rapproche beaucoup de faire une démonstration de Tupperware. C'est le bon... Tu sais, t'as une gang de Tupperware. Oui, mais Tu au travail, comme les gens d'Amois, ça rapproche beaucoup de faire une démonstration de Tupperware. C'est le bon. Tu sais, t'as une gang de Tupperware. Ouais, mais Tupperware de Vibrant. Non, mais tu sais, là, je sais pas, mais t'as

une ambiance de travail qui est comme so-so pis tu veux vraiment, genre, hey, on va avoir du fun. Tabarouette, y'a rien de mieux qu'une démo de produits érotiques. C'est drôle, ça brise la classe. Tabarouette, oui. Go. On va faire ça. Merci. Salut à tous. Salut.

C'est comme la job à Joannie de passer sur le podcast. Merci d'être là. Aujourd'hui, Joannie n'est pas avec nous. Son petit de partir sur le podcast merci d'être là aujourd'hui Joannie n'est pas avec nous son petit bébé est à l'hôpital donc elle est à l'hôpital présentement et on a une nouvelle co-animatrice qui est là c'est Vanessa Dichel

l'animatrice du podcast détestable exactement, on parlera pas de date aujourd'hui non c'est ça, peut-être en fait j'aimerais bien ça. Si vous voulez. Voulez-vous nous dire un peu vite, vite votre... Ça va loin, là.

Notre histoire. Oui, mais c'est ça. Je ne veux pas se tauler pourquoi vous êtes ici. Commençons par votre première date. On y reviendra. Dans le fond, on est un couple de deux femmes. On a des drôles de... On a beaucoup d'ambition

dans la vie, puis on est non-conventionnels, je pense. On a eu deux bébés en même temps. Dans le fond, moi, j'étais enceinte en premier. Puis Noémie est enceinte pendant ma grossesse. On a eu deux bébés de sept mois de différence.

Oui. Est-ce que c'était ça le plan dès le début, que c'était ça que vous vouliez faire? Oui, puis non. On voulait avoir nos enfants rapprochés. On voulait vivre ça comme tout ensemble, mais on n'était pas sûrs si moi, j'étais fertile au début. Je pensais que je ne l'étais pas. Fait qu'on s'est dit, on va se prendre

d'avance. Puis ça a marché la première fois. On les voulait rapprocher, mais on ne savait pas que ça allait pogner comme à ce point-là. Oui. Finalement, ça a marché les deux du premier coup. Puis ça a toujours été un désir, depuis que vous êtes ensemble, d'être mère? Pas de notre

première année. On ne s'est pas rencontrées en se disant, OK, on va être mère ensemble. On s'est rencontrées, puis loin de là, on était un couple ouvert. Ah oui? Oui, on n' mère ensemble. » On s'est rencontrées, puis loin de là, on était un couple ouvert. Ah oui? Oui, on n'était pas là partout au début. Mais les deux, on travaillait ensemble,

on était éducatrices en garderie. Je pense que de baigner là-dedans, à un moment donné, ça nous a donné envie d'avoir notre famille à nous. C'est quoi le déclic? Excuse-moi. Maman, je... J'aligne tout ça, mon habitue. Vas-y.

Ben non, vas-y. Je me souviens un peu que j'allais dire, vas-y. Bon, parfait. C'était quoi le déclic? Qu'est-ce qui vous a fait vouloir devenir mère? Est-ce que vous avez vu quelque chose, ressenti quelque chose? Ben moi, j'ai toujours voulu. Tu sais, c'est comme mon objectif de vie.

Je voulais vivre ma vie à 100 %, voyager, tu sais, triper. Puis après ça, je me suis dit, c'était toujours, je me visualisais avant une famille. Puis au début, quand que, parce que je suis devenue lesbienne. Moi aussi. Puis après ça, c'est comme, ça a tout le temps été, ah, ça va-tu fonctionner?

Ça se fait-tu avec deux mamans? C'était comme cette question-là qui revenait. Puis avec elle, ça a été tellement une belle connexion, qu'on s'entendait tellement bien puis qu'on se disait, bon, on est capables. Tu sais, rendu là, c'est comme... On va être capables de ça de plus. Parce que ça a beaucoup d'enjeux, tu sais, d'être...

Maman, on est tout le temps ensemble, 24-7, tu sais, aussi. – Oui, parce que l'on travaille encore ensemble aussi. – Est-ce que vous êtes encore en garderie? – Non, c'est ça. Dans le fond, on s'est acheté une maison cette année. Puis là, notre objectif, c'était de faire une garderie à la maison, garder nos enfants avec nous. Mais on a aussi une business en ligne, dans le fond.

Puis finalement, ça, ça roule vraiment bien. C'est quoi la business? C'est un MLM, un réseau marketing. Les produits naturels. Mais bref, finalement, ça marche pas mal plus qu'on pensait. Ça fait qu'on a commis notre projet de garderie de côté pour pouvoir avoir plus de temps de qualité aussi avec nos enfants

est-ce que ce que je me disais c'est en garderie vous étiez habitué un peu à avoir des enfants pleins puis vous occupez tout en même temps mais là quand c'est vos deux enfants c'est pas la même c'est pas pareil pas en tout on se pensait d'ailleurs beaucoup plus

relax que ça parce que on était dans le plaisir avec les enfants de la garderie. Pourtant, on les prenait comme si c'était nos enfants. On était vraiment proches d'eux. Mais quand c'est devenu nos enfants, on a réalisé que Joanie était vraiment plus poule. Depuis qu'elle a accouché, elle est tombée poule.

Ah oui? Tu savais pas que t tu allais être comme ça? Je m'en doutais un peu parce que j'ai toujours été très protectrice des gens que j'aimais, ma mère, mes soeurs et tout, mais à ce point-là, je ne m'en attendais vraiment pas. On dirait que c'est genre maladif ou quoi?

Non, non, non. Je travaille sur mes sorties de zone de confort, mais mettons que... Je ne sais pas. Je suis très protectrice. Mais mettons que... Je ne sais pas. Je suis très protectée. Mettons, on a un plancher. Notre cuisine est en céramique. Au début, c'était de la lave.

Les enfants n'avaient pas le droit d'aller sur la lave. Ils étaient comme, non, d'un coup. Mais je pense qu'avec le deuxième, c'est plus facile. On a une préparation un peu. Aussi, j'apprends à faire confiance à mes enfants. Ils sont bons. Mais au début, quand ils découvrent et tout,

ça me tombe qu'ils découvrent sur un tapis. C'est assez ravi. Oui, c'est ça. C'était quoi vos démarches pour faire comment on part, on veut des bébés? La première chose qu'on a faite, c'est qu'on a appelé à OVO. C'était la clinique qu'on avait choisie pour la fertilité. Fait que, tu sais, on a commencé les démarches par moi.

C'était moi qui étais censée porter en premier. Fait que là, il y a comme plein, plein, plein de démarches. Tu sais, tu as des rendez--vous comme Une réserve barrières Après ça, ils te font T'as un rendez-vous avec une psychologue Ils te font aussi des trucs pour déboucher les trompes Et tout, tu sais, ils font comme plein de tests Pour s'assurer que la femme a peu

Tu sais, comme, que ça peut Pour déboucher les trompes Ça fait mal en plus Ah ouais Je m'attendais pas à ça C'est juste au cas, pour être sûre Que c'est 100% optimal Oui, bien, il envoie quelque chose. Ça fait mal, en plus. Ah, oui. Oui, je ne m'attendais pas à ça. Oui. Puis, tu sais, c'est juste au cas,

pour être sûre que c'est 100 % optimal. Oui, ils veulent mettre toutes les chances que ça fonctionne de leur côté. Bien, oui. Puis, la réserve ovarienne, tu sais, ils vous prennent... Non, c'est juste regarder. Ils vous prélevent quelque chose ou ils regardent... OK.

Un écouche. Tu sais, le monde, tu sais, je ne sais pas pourquoi, ils t'enlèveraient les ovaires. Non, non, non, non, non. Ils regardent combien tu as de follicules et tout ça pour être sûr que ça vaut la peine, être sûr que tu es fertile et tout ça.

Ils mettent vraiment plus de chance de notre côté. OK, quand même. Puis après ça, bien là, c'est une fois que tu as tout... Juste l'appel, c'est long de se faire appeler parce qu'il y a quand même beaucoup d'attentes. Le processus, c'est... Tu parles de combien de temps environ?

Un an. Presque un an que ça le plonge. Quand ça commence à te tenter, commence à y penser. Si tu n'es pas dans un couple hétéro, puis que ça fonctionne, un gars et une fille ensemble, parce que des fois, encore là, ça ne marche pas tout le temps. Si tu veux faire affaire par une autre façon,

c'est mieux de te prendre d'avance. Ça faisait combien de temps que vous étiez ensemble? Quand vous avez décidé de... Ça faisait pas longtemps, ça faisait un an et demi à peu près. Ça fait près de trois ans et demi, quatre ans qu'on est ensemble à peu près. Ça fait que, ouais, ça faisait un an

et quelques. On s'est quand même décidé vite, mais tu sais, on est des lesbiennes. Ça fait quatre ans qu'on est ensemble, qu'on habite ensemble, qu'on travaille ensemble. Ça fait que c'est comme dix ans. On a la même histoire. Ah oui? Mais oui.

Après ça, c'est de trouver le donneur qui te plaît. C'est quand même long ça. Parce que tu ne veux pas n'importe lequel. Est-ce que vous avez fait affaire à un genre de catalogue? Oui. On en a scrollé une coupe, puis on ne trouvait pas de coup de cœur.

Ça tourne autour des 1500-2000 US par don d'esperme. À chaque fois. Nous autres, c'était comme un... Ce n'était pas nécessairement l'argent qui allait nous freiner, mais si, admettons, on met 10 000 $ et que ça ne fonctionne pas, c'est quand même ça.

C'était quoi vos critères de sélection? On aimait le bronzer de notre nationalité pour faire une unité entre nous. Vu qu'il y a les deux, on savait qu'on voulait porter. Si, mettons, moi, j'avais porté tous nos enfants, on aurait pris un donneur

qui ressemble à Noémie et vice-versa. Mais là, vu que les deux, on voulait porter, on voulait un donneur qui allait avoir des traits plus prononcés peut-être et que les deux, on voulait porter, on voulait un donneur qui allait avoir des traits plus prononcés peut-être, puis que les enfants se ressemblent quand même. Fait que c'est ça, on a pris un donneur noir d'enfants haïtiens.

Puis là, bien, on a des petits métisses. – Qui sont adorables. – Elles sont tellement cute. – OK, fait que, mais c'était ça le critère de sélection numéro un. – Oui, alors,, on ne voulait pas plus loin. Il y en a qui regardent beaucoup parce que tu peux avoir autant sa scolarité, qu'est-ce qu'il fait dans la vie.

Comme nous, ce n'était pas ça nécessairement. Comme la santé aussi. Ah bien oui, ça c'est sûr. Oui, oui. Comme il a fait tous ses tests médicaux et tout. C'est sûr que ça pesèsait dans la balance aussi. Puis tu sais, au début, moi, je voulais 5 enfants. Fait que tu sais, c'est pour ça aussi

qu'on se disait comme « Ah, on en achète combien? » Parce que si on veut que tout soit le même donneur, il faut comme t'en achètes une base. Oui, parce que c'est pour vrai que dans 3 ans, le donneur, il donne plus. Ils ont comme une certaine limite de dons qu'ils peuvent faire. Fait que c'est comme, est-ce qu'on en achète'ils peuvent faire. Est-ce qu'on en achète 10

one-shot? Est-ce qu'on en achète 3? Vous l'avez trouvé dans un catalogue, lui. Finalement, non. Non, pas le catalogue, mais moi, c'est ça. Mais avant d'aller avec ça, je voulais savoir, toi, tu n'étais pas certaine d'être fertile, mais qu'est-ce qui a fait que

vous avez commencé avec toi quand vous saviez que c'était quand même beaucoup d'argent à mettre pour essayer je pense que mon désir était plus grand d'être maman puis finalement on s'est posé la question puis elle elle se demandait c'est plus un genre mettons tu sautes dans le vide, qui va en premier

comme il y a quand même être enceinte c'est une expérience c'est comme accoucher moi j'étais un peu plus peureuse. J'étais comme, OK, vas-y, fais-le. Moi, j'aimais bien mieux y aller en premier. Je me disais, c'est fait. Pour Noémie, dans le fond,

elle a assisté à mon accouchement. Elle était enceinte. J'ai pas eu un accouchement parfait. Elle m'a regardée et elle était comme, c'est parce que je vais passer là dans quelques mois. J'étais déjà enceinte quand elle a accouché no turning back j'étais comme ok je peux pas choker

c'était comment de vous accompagner dans la grossesse ça c'est un beau plus parce qu'on se comprenait beaucoup on se comprend, on vit un peu la même affaire même si c'est différent elle était vraiment pas chaleuse quand elle était enceinte

elle flottait c'est différent. Elle était vraiment pas chaleuse. Quand elle était enceinte, c'était comme elle flottait. C'était le premier bébé. Toute notre attention était sur ma grossesse, si on veut. Deuxième bébé, on avait... Deuxième grossesse, on avait un bébé naissant. On était peut-être moins après sa bédaine qu'elle

le premier. J'avais tellement peur d'accoucher que je voulais pas mettre l'accent là-dessus non plus. Je t'ai comme montré... Ah, il va être là quand il va être là. Je vais être contente quand il va être là, mais d'ici là, je veux pas y penser. Je suis un peu dans le déni, mettons. Puis quand tu l'as vu accoucher,

est-ce que ça a été pire, ta peur, ou ça s'est calmé un peu? Oui, mais sur le moment, non. Je me rappelle, la dernière rencontre avant qu'elle accouche, j'ai failli tomber sur la connaissance parce qu'elle acceptait un stripping. Tellement qu'à la couche, j'ai failli tomber sans connaissance parce qu'elle a accepté un stripping. Tellement qu'on était connectés.

C'est comme... Ils vont décoller le placenta, dans le fond, pour aider à déclencher le travail. Ça lui a fait mal. On était vraiment... On a toujours été très connectés. Moi, j'ai senti sa peur, sa douleur. J'ai failli tomber sans connaissance.

J'étais assise. Je me suis dit, ça va être quoi, l'accouchement? peur, sa douleur. J'ai failli tomber sans connaissance. J'étais assise. Je me suis dit, ça va être quoi à l'accouchement? On est sortis du rendez-vous. J'ai dit, ta mère, finalement, elle va être là avec nous. À l'accouchement. Parce que je trouvais que c'était beaucoup. Je me disais, je ne serais pas capable. Enceinte, en plus, je suis plus faible.

Finalement, la journée de l'accouchement, c'était comme... C'était parfait. En même temps, vous n'avez pas non plus, mettons, les mêmes désirs, j'imagine, face à votre grossesse, face à votre accouchement, face peut-être à l'allaitement, même, vous avez clairement...

Vous n'êtes pas la même... Comment vous... On a eu comme la même douleur pour le prénatal. En fait, on a fait des cours avec elle, on a fait un refresh avec Noémie. Moi, je savais que je ne voulais pas me faire un plan d'accouchement parce que je savais que ça n'arrive jamais comme tu veux, des accouchements.

On s'était fait un peu des idées de comment on voulait que ça arrive, mais rendu là, mettons, moi, je voulais être proactive, bouger, mais rendu là, je suis comme, touchez-moi pas. Laissez-moi, c'est assez bien. Finalement, elle, elle laissez-moi ça si bien, genre. C'est clair. Finalement, elle, elle voulait être proactive aussi. On a essayé quand même pas mal.

Finalement, non. Mais je suis moins endurante. C'est pour ça que j'avais autant peur parce que je sais qu'elle est très endurante à la douleur. Pis là, j'étais comme, si elle était comme ça, tu sais, je serais pas grave. Moi, j'ai accouché à quasiment 42 semaines. La petite, elle faisait 9 livres et 6. Puis, j'ai décidé de prendre l'épidural,

qui n'a pas fonctionné, finalement. Elle a arrêté juste avant le début qu'elle pousse. Ah, mon Dieu. Là, il était trop tard. Fait que tu as un 9 livres, toi, qui est passé. Et 6. Le 6, c'est important. C'est énorme.

Oui, oui, mais ça ne passait pas non plus. Elle a fait son chemin. Caline. T'as-tu été chopée? Non, ils m'ont laissée déchirée du début à la fin. Elle était super bonne. Oui, honnêtement. Rendue là, c'est quasiment une libération.

Tu le sens que ton bébé sort. Moi, c'est avant, quand elle était poignée là, je me disais qu'elle ne sortira jamais. Je me disais dans ma tête tu es moi, puis sortez-là, parce que ça ne se fera pas de même. Je demandais à une césarienne, elle me disait, tu ne peux pas, ton bébé est là.

On voyait la tête. Elle était pognée. Le moment où mon docteur a fait chop-chop avec ses ciseaux, j'étais genre, merci, c'est le plus beau jour de ma vie. C'est ça. Mais aujourd'hui, je suis contente qu'il l'ait pas fait parce que ça l'a super bien guéri.

Ça l'a guéri vraiment rapidement. Mais sur le coup, j'étais genre, voyons que personne fait quelque chose. Je regardais maman en pleurant, puis je dis, maman, fais quelque chose. Avec l'oeil. Elle est restée forte tout le long. Ça m'a surpris.

Oui, je me suis surpris moi-même. Elle nous a rassurés à mon accouchement puis à son accouchement. Parce qu'elle, l'épidural a fonctionné. J'ai été en travail pendant 24 heures. Ça a été long pour ça. J'ai quand même souffert. Je trouvais ça difficile.

Elle, elle trouvait ça difficile de me voir comme ça parce qu'elle se disait le pire s'en vient. Elle se rappelait. Mais moi, une fois que l'épidural a marché, elle a marché trouvait ça difficile de me voir comme ça parce qu'elle se disait, le pire s'en vient. Elle se rappelait. Mais moi, une fois que l'épidural a marché, elle a marché jusqu'à la fin. Moi, ma peur, c'était qu'elle arrête de me fonctionner. Mais là, ça a marché jusqu'à la fin. Fait qu'elle était comme, oh non, le pire s'en vient, le pire s'en vient.

Et moi, j'étais comme, ça va bien aller. Je la rassurais, je rassurais ma mère. Les températures, comme je la dis tant. Fait que l'épidural, toi, le bébé s'est sorti aucun stress. Bien, c'est ça, le coeur a décéléré. Puis c'est ma cousine qui est infirmière, qui nous a accompagnées à l'accouchement, mais dans un hôpital.

Puis je m'ai sentie comme qu'elle n'était plus comme d'habitude. Elle me brassait plus. Elle était une fourmilière dans le chambre. Il y avait du monde partout. Puis tu sais, dans le fond, elle, à son accouchement, on avait la petite. Tu sais, moi, j'allais être exclusivement. Fait que la petite, elle n'avait pas le choix d'être avec nous,

surtout qu'elle a été comme 24 heures en travail. Fait qu'on l'avait mise comme dans une autre petite chambre avec ma mère. Finalement, la petite, elle a fait une crise. Puis tu sais, moi, je pense que l'enfant, elle voulait comme faire partie du processus et tout. Fait qu'on l'a amenée, ma mère, puis la petite, dans le champ. La petite, elle assistait à l'accouchement

de son frère. Il y avait genre plus personne. Pendant que le coeur du petit décélérait, il était descendu comme à 20. La petite, elle a pris la face à ma mère, puis elle a collé son front. Elle avait 7 mois. Oui, c'était vraiment

cute. C'est là qu'on a su que ça allait bien aller. Puis là, c'est là qu'on a su que ça allait bien aller puis là c'est ça j'ai vu que ça bougeait mais j'étais comme je le sens que ça va bien aller arrêter de capoter mais là on le sort là j'étais comme ok c'est correct

parce qu'au début je voulais que ce soit plus naturel puis après ça j'étais comme non l'important c'est qu'il sorte puis qu'il soit en santé puis que ça aille bien ils m'ont coupé ils ne me l'ont pas dit par chance parce que ça m'aurait peut-être fait de l'anxiété, mais sur le coup, je ne le savais même pas.

Tu étais fendue? Tu ne le savais pas? Non. À cause de l'épidural? Oui, c'est ça. Je ne regardais pas ce qu'elle faisait exactement. Je n'avais pas mal. Non, mais ça ne faisait pas mal.

Oui, j'imagine. Je me rappelle qu'au début, je me disais, mais je peux-tu essayer de pousser un peu? J'étais comme, parce que je voulais essayer de participer un peu. J'étais comme, c'est-tu bon? Elle était vraiment drôle.

Sérieux. Mais là, à ce moment-là, elle la capotait parce que comme... Est-ce que tu aurais pu, mettons, te lever de bout ou pas? Je pense que non. OK, t'étais bien gelée, là. Bien, j'ai pas essayé. Je voulais pas,

parce qu'elle, c'est quand elle s'est levée que ça a l'air arrêté, son épidural. Je disais non. L'épidural a fonctionné, comme, dilaté de 7 à 8, 9. Puis là, ils m'ont dit, lève-toi, puis tout. Moi, j'étais comme, non, je veux rester ici. Finalement, je me suis levée.

Puis là, mes contractions sont revenues fois mille. Puis là, ça march rester ici. Finalement, je me suis levée. Mes contractions sont revenues fois mille. Ça ne marchait plus. Je demandais des boosts. J'étais comme tant qu'à l'avoir dans le dos, donnez-moi ça. Ça ne faisait rien. À un moment donné, elle m'a dit, il faut juste que tu pousses.

Je suis comme, tu ne comprends pas. Je ne pousse pas. Mais finalement, oui. Pourquoi je ne pousse pas? J'avais l'impression que je n'avais plus de jus, plus rien. J'avais vraiment mal. Je ne connais pas.? J'avais l'impression que je n'avais plus de jus, plus rien. J'avais vraiment mal. Je ne connais pas. Désolée. On a skippé un bout.

Si on rewind la clinique. Qu'est-ce qui se passe? Comment ça se termine? Parce qu'on a su avant. Comment on sait que ce n'est pas ça la finalité? Finalement, on regardait. Il y avait quand même beaucoup de choix, mais il n'y a rien qui nous faisait un coup de cœur. a su avant. Comment dire que c'est pas sûr la finalité. Finalement, c'était pas tout. On regardait. Il y avait quand même beaucoup de choix.

Mais il y a rien qui nous faisait un coup de coeur. On s'est dit, on va le sentir. Au pire, on attend un peu, mais on regardait. Il y en avait des nouveaux qui apparaissaient. C'était pas de coup de coeur. Mais les coups de coeur, ça vous aurait fallu quoi? Un physique plus attirant? Je pense,

dans un certain sens. Des traits qu'on aimait. Quand on en trouvait un et qu'il y en avait deux, on était d'accord. Lui, il a tout le background qu'on aimerait. Souvent, il restait un ou deux dons. Moi, je voulais deux à trois enfants.

Elle, elle en voulait cinq. Déjà, ça ne marchait pas vraiment. Ça fait sept-huit. Non, c'était moi 5 pis elle 2 fait qu'on allait en avoir 5 ok ben là finalement on va en reparler j'avoue je vous ai additionnées non non non

mais c'est ça fait que finalement on a appris qu'il y avait des donneurs artisanales que c'est sur des sites où est-ce que t'as quand même des critères pis t'sais c'est quand même super bien ok fait que c'est sur des sites où est-ce que tu as quand même des critères, puis c'est quand même super bien. OK, fait que c'est quand même une place où tu peux les... C'est comme un catalogue, mais... Sauf que, tu sais,

tu ne payes pas pour ça. Parce qu'au Canada, ce n'est pas légal de vendre son sperme. Fait que c'est vraiment des dons. Oui. Fait que c'est ça comme la différence. Souvent, nous, mettons, avec la Clinique OVO, c'était des catalogues comme des États-Unis. Et tout, là. Fait que c'est ça, la grande différence,

je dirais. – Puis c'est à toi de mettre tes critères, puis tu te dis qu'est-ce que tu recherches. Il y a des femmes, des mères porteuses. Il y a de tout, là. – Des dons de vue. – C'était quoi votre... Comment vous avez trouvé ça? – Bien, c'est qu'on a mis

notre annonce. – Où ça? – Sur le site. C'est un site... Comment vous avez trouvé ça? Bien, c'est qu'on a mis notre annonce. Sur le site. C'est un site pour ça. OK. Puis, si vous voulez, après, on pourrait les mettre. Je ne sais pas comment ça marche, là, mais il y a comme deux sites. Où est-ce qu'ils ont... C'était pas sur Marketplace, là. Non, parce qu'il y a eu ça dernièrement. On a vu ça.

Ah oui? Ah non, non. Ça fait des semaines qu'on entend parler des donneurs de sperme en série. Ah, bien oui, j'entends-tu parler d'un reportage sur un gars qui a donné, qui a fait 100 bébés. Oui, il a fait beaucoup d'enfants. Mais nous, on s'est assurés, on a une bonne relation avec notre donneur. On a encore accès à lui parce que

lui s'est engagé à faire notre famille. À faire quoi? Notre famille au complet. Comme si on veut d'autres enfants. Les deux, c'est du même donneur. Ça, c'est signé, le papier. Oui, mais c'est sûr que lui, il pourrait décider comme c'est fini, c'est fini. Il pourrait mourir au pire.

Je veux dire, il y a des choses qu'on a au-delà de notre contrôle. Mais oui, on a fait un contrat avec lui comme quoi il ne pourrait pas revenir prendre ou demander la garde d'un ou des deux enfants. À l'inverse, nous, on ne peut pas aller demander de l'argent. C'est un don. C'est vraiment...

Il y a une place sur Internet où on peut trouver le contrat. Sur un site gouvernemental. C'est légiféré. Oui. C'est à nous de faire. Nous, on pense beaucoup que, tu sais, quand tu fais bien les choses, ça arrive bien.

Mais on a pris le temps de parler, de voir c'était quoi bien les choses, ça arrive bien, tu sais, mais on a pris le temps de parler, de voir c'était quoi ses valeurs, pourquoi il faisait ça, c'était, tu sais, est-ce que lui, il voulait... Pourquoi il faisait ça? Pour faire un don de vie, pour quelqu'un qui... une famille qui n'est pas capable d'avoir naturellement, tu sais, deux enfants, des enfants.

Je pense qu'il y a aussi une partie de lui qui était comme fière de participer à un métissage aussi. Oui, on en a parlé de ça. Puis lui, il y avait comme... C'est ça, ses valeurs allaient beaucoup avec nos valeurs. On sentait le feeling, c'est fort le feeling, que c'était vraiment une bonne intention.

Ça a pris combien de temps avant que vous le fassiez, mettons? Est-ce que vous avez parlé longtemps? Est-ce que vous avez correspondu? Vous vous êtes vus? Bien, on a parlé longtemps. Nous, on lui a fait faire comme une série de tests médicaux. Ah oui? Ça, ça a été long, le processus.

Nous, on voulait vraiment que ça soit fait et qu'on ait tous les résultats avant de faire comme let's go. Vous avez mis ce genre de test que vous voulez qu'il passe? Oui. Puis là, quand on a reçu les résultats, on a fait des tests d'évaluation, puis ça a marché le premier coup. Puis les cliniques le savent, ça. Quand, mettons, un donneur s'en va pour ça, ils savent quels tests faire. OK, c'est ça.

C'est quand même… Puis nous, on a fait comme ça, mais on s'est renseignés, puis on pourrait passer aussi… Ce qui est plus recommandé, c'est de passer par la clinique. Après, on ne savait pas à ce moment-là. Oui. C'est sûr que… C'est ça, c'est ça. Bien, mettons, tu peux prendre un donneur artisanal, puis faire le processus de passer par la clinique. Après, on ne le savait pas à ce moment-là. – Oui. C'est sûr que... Ben, mettons, tu peux prendre un donneur artisanal, puis faire le processus quand même dans une clinique. – Comme ça, t'es safe, t'es encore plus sûr. – Pour éviter

la manipulation. Puis je pense qu'eux aussi peuvent nettoyer le sperme, etc. – Il y a plus de chance. – Oui. C'est un processus qu'ils font. Ils lavent le sperme qu'ils font. – Oui. Ils gardent les meilleurs. – Je peux pas t'expliquer comment ils font. C'est comme un tri.

Oui, probablement. Ils gardent les meilleurs. Oui. Mais ça, c'est tout le temps comme ça en clinique. C'est comme une petite douche. Non, honnêtement, je sais pas. On n'a pas posé cette question-là. Mais oui.

Puis c'est ça, ils suggèrent de passer par la clinique pour éviter la manipulation et tout. Mais si tu veux le faire à la maison, nous, on a été chercher un pot stérile au CLSC. Le CLSC en donne. Des seringues, ça s'achète

en pharmacie. Puis c'est ça. Puis on avait acheté aussi un petit Pre-Seed qui augmente la fertilité. Bien, le chance que... Un quoi, c'est ça? Pre-Seed, que ça s'appelle, c'est la pharmacie. C'est un petit gel que tu mets à l'interne

puis que ça va augmenter les chances que ça pomme. Comme si ça dirige au bon endroit. Mais il y a un autre point qui a pesé dans Balance, c'est pourquoi on ne l'avait pas fait en clinique. C'est que c'était pendant le COVID. Puis je ne pouvais pas assister. Je ne pouvais pas être là pour créer mon bébé.

Oui, c'est vrai. Ils m'ont dit, ouais, mais tu pourrais l'appeler FaceTime. Oui, c'est vrai. Je ne vais pas FaceTime-er. Je croyais que tu voulais dire l'enfant. Non, non. FaceTime-er. Pendant l'insémination, maintenant que je me fais inséminer, bien là, je la FaceTime, tu sais.

Bon, tu vois. Non, moi, ça m'a mis... Est-ce que vous pouvez nous parler de votre processus d'insémination? Comment est-ce qu'on le fait? Oui. C'était-tu un beau moment? C'est fucking drôle.

Oui, elle, c'était plus drôle. Mais dans le fond... Oui. Dans le fond, on a fait ça dans le confort de notre maison. Attends, les deux, vous avez pogné du premier coup? Oui. Oh shit! Oui. On ne s'attendait pas

à ça. Très fertile. Ben oui. Finalement, la crainte était non fondée. Oui. Fait que c'est ça, on était dans le confort de notre maison. On avait comme deux chambres. Moi, j'étais dans une chambre, parce que finalement, c'est ça, c'est moi qui est tombée enceinte en premier. Moi, j'étais dans une chambre avec, on avait mis le pre-seed que là, moi, j'étais dans une chambre, parce que finalement, c'est ça, c'est moi qui est tombée enceinte en premier. Moi, j'étais dans une chambre avec... On avait mis le pre-seed.

Fait que là, j'étais couchée avec les pattes en l'air. Ils disent de faire ça comme 15 minutes avant. Puis là, elle était comme entre les deux chambres. Dans la cuisine. Puis lui, il était dans une autre chambre. Oh, il est venu? Oui, oui. Parce qu'en fond, c'est ça. L'esperme, c'est bon 30 minutes.

Il est bien venu. Oui, c'était drôle. Quand il est parti,'est bon 30 minutes il est bien venu c'était drôle quand il est parti on était comme merci d'être venu mais ouais c'est ça lui il était dans une autre chambre moi je pensais que le gars il avait envoyé ça par la poste mais non mais je sais pas ça va dans un petit compartiment il fait ça dans un petit pot

dans le fond il est scellé, lui l'eau il fait ce qu'il a à faire il le referme tout de suite pis il s'en va pis là nous on fait on moi j'ai mis c'était pas la première fois

que vous le rencontriez en vrai oui ouais on a pris le temps de se tirer le contrat tu sais mais il y a comme un petit genre de

comme ouais on a jardin avec lui avant ouais tu sais comme on le connait pas c'était longtemps qu'on s'en va après ça il est comme

ouais ben tu sais tu veux-tu le code du Wi-Fi? Tu veux-tu une tablette? C'est comme, ce bout-là, il était malaisant. Oui, parce qu'il fallait le banquier faire ce petit business. Mais que ce soit à la maison ou à la clinique, il y a ce thème.

Oui, c'est naturel. C'est ça. Mais là, c'est ça. Après ça... Lui, il était-tu gêné? Il était-tu... Un petit peu, je pense. C'était la première fois qu'il faisait ça.

Oui, c'était sa première fois. Puis c'est ça, je pense. C'est la première fois qu'il faisait ça? C'est la première fois. Nous, on s'est assuré d'être les seuls. Ou sinon, qu'ils nous le disent. Je ne voudrais pas que nos enfants tombent amoureux. Je comprends. C'est un contrat, ça? Oui. S'il décide de donner à d'autres familles.

Ce n'est vraiment pas son intention. C'est ça. On ne prendra pas de chance. Je comprends, c'est vraiment pas son intention. Mais c'est ça. On prendra pas de chance. Ben oui, non, je comprends. Puis tu sais, c'est parce qu'ils suggèrent aussi, ils disent partout que ça pogne plus quand tu fais l'amour pour de l'air et que t'as un orgasme.

Ouais, les contractions, il y a être comme à... Tu sais, j'avais pas envie d'être... On avait pas envie d'être en clinique à ce moment-là. Fait que c'est ça qui a beaucoup penché aussi. Par FaceTime. Moi non, c'est ça qui a beaucoup penché aussi. Par FaceTime. Vous avez procédé pendant que vous faisiez l'amour?

Oui. Ça a augmenté. C'est le fun parce qu'on a conçu notre bébé ensemble. À ce moment-là, il était parti. On lui a dit qu'elle a pris le petit pot. Elle a pris le petit pot, elle a traversé le champ et il n'y a pas d'hiver.

J'ai presque pas d'hiver. J'avais comme trois ans. C'est où la porte. Arrange-toi. Mais tu sais, tu n'as pas le temps de niaiser. Tu as une demi-heure pour... Mais non, c'est clair. Dégage.

Tu sais, tu vas être dans ta bulle. Tu ne veux pas penser que c'est un don. Oui. C'est comme, je suis en train de te donner mon enfant. Puis nous, on croyait beaucoup en la visualisation. Puis comme, on socialisait, là, tu sais que... Qu'ils sont allés à la bonne place, puis que ça allait pogner. Puis là, on est restés longtemps et pas de 10 heures,

parce qu'ils disent que, mais je sais même pas si ça marche. Regarde, on mettait toutes les chansons de l'été. Bien oui, je comprends. Oui. Ça fait que ça, ça a été ça pour moi. Puis pour Noémie, dans le fond... Ça a été plus un coup de tête. On voulait être sûres que ça marche.

Fait qu'elle, on l'a fait deux fois dans la même semaine. Back à back, deux jours. Deux jours de suite. Est-ce que vous savez quelle fois a pogné? J'ose espérer que c'est la deuxième. Vous allez comprendre pourquoi. Parce que dans le fond, il s'est déplacé à la maison pour la première fois. Puis il habite quand même loin.

Fait que la deuxième fois, il s'est dit, tu sais, je peux peut-être pas me déplacer. On peut-tu faire comme moitié chemin ou quelque chose? Fait qu'on est allés faire moitié chemin, puis on avait loué comme une chambre de motel. Mais, on pouvait pas, c'était encore pendant la COVID, je pense, ou... On ne pouvait pas

rentrer les trois dans la même chambre. C'était deux personnes maximum. Fait qu'il a comme laissé la chambre, puis on a fait ça dans la même chambre. C'était deux personnes maximum. Fait qu'on lui a comme laissé la chambre. Puis on a fait ça dans la voiture. Oui. Dans le cours d'un motel, finalement. Impossible. Fait qu'on se dit que notre plus petit a été conçu

dans le balai. C'est tellement nice. Dans une vallée. Mais non, en arrière. C'est tellement nice. Mais tu sais, on était dû, je pense. Puis tu sais, on voulait, à la première grossesse, on voulait des jumeaux.

Puis finalement, on s'en est créés. Parce qu'on dirait vraiment des jumeaux aujourd'hui. Puis à la deuxième, je voulais encore des jumeaux. Puis après, je me suis dit, oh, une chance que c'était pas des jumeaux. Parce que c'est quand même de la jambe. Non, c'est clair. On est comme deux mamans monoparentales ensemble.

On a toujours les bras pleins. Si c'est pas un, c'est l'autre. Puis est-ce que vous avez un lien plus particulier avec l'enfant que vous avez porté? C'est une question qui revient souvent. Je pense que c'est ça qu'on en a parlé en fin de semaine encore. Puis ça se fait un petit peu plus... Tu sais, je veux dire, à l'allaitre, j'allaitre. Quand tu allaitres ton enfant,

quand tu l'as accouché, tu as un petit lien de plus, mais je pense qu'en vieillissant, ça va comme... Quand on allaitera plus, ça va. Vous seriez pas à l'aise d'allaiter l'autre enfant? On a essayé. Mais dans le fond, le petit... Tu sais, moi, j'ai allaité toute seule la petite pendant sept mois.

Fait que j'avais déjà comme un un petit quelque chose d'instauré. Puis là, quand le petit est né, pas longtemps après, il a fait un peu de muguet. Là, on ne voulait pas mélanger, que tout le monde fasse du muguet, parce que ça peut aller sur les seins, puis ça peut aller dans la bouche de l'autre. On a été quelques semaines à ne pas penser à ça.

À un moment donné, il n'en avait plus. On a essayé, mais il était trop tard. Le petit ne voulait rien savoir de mon sein. Elle a têté une fois et elle a fait genre... Elle a regardé. Ce n'est pas ma maman lait. Au début, on disait, quand je n'avais pas encore couché, c'était maman lait, maman bruit.

Parce que moi, je suis bruyante. Je fais tout le temps des dégâts. Oui. C'est ça. Finalement, on n'a pas... Mais tu sais, c'est sûr que si j'étais une journée au complet avec les deux, c'est sûr que les deux prendraient le sein. On n'a pas insisté plus que ça.

Je pense que je ne voulais pas prendre la chance que ça stoppe mon allaitement. Genre qu'elle me boude après. Moi, je trouvais ça vraiment spécial, mon lien. Ça a été plus dur pour elle, son allaitement. Je ne sais pas pour toi, mais ça a été dur quand elle a

commencé la montée de lait. Ça lui a fait mal. Versus moi, non. Je n'ai pas senti venir. J'avais déjà du lait. Ça, c'est une autre affaire. Elle se disait, OK, là, t'as accouché, mais prépare-toi.

La montée de lait, ça fait vraiment mal. Elle demandait à sa mère d'aller chercher du chou et tout ça. Moi, j'étais comme, ça a l'air que c'est à la peste. Manger ou mettre en chou? Mettre des feuilles de chou. Il calcine.

Ça cuit sur tes seins. C'est ça, c'est Ça cuit sur tes seins. Elle, elle l'avait faite. C'est ça, c'est une job. Non, non. Je suis sérieuse. Ah! Dans la pince. T'avais pas essayé ça, toi? Non.

T'as-tu eu mal quand t'as eu tant de filets? Bien, pas vraiment, mais moi, j'ai l'impression que mon opération au sein puis mes piercings au mamelon, ça m'a comme... Ça fait que je sens plus rien. Je suis comme... Ça m'arrive... C'est pas rare que j'ai les seins à l'air. Je m'en rends pas compte.

Trois femmes qui allaient sur leur... Oui, c'est ça. C'est le bon. Oui, mais c'est ça. Elle avait acheté le chou et tout ça. Puis elle a rendu, en plus, quand j'ai accouché, j'ai fait une hémorragie après. C'est ça, tout ça.

Vraiment, il y avait tellement de sang qu'ils ont pris 10 paquets de 10... Oui, une centaine de compresses. Ils ont arrêté de compter et ils m'ont envoyé faire un écho pour être sûr qu'il n'en restait pas en dedans. Tellement qu'ils en avaient pris. Mais encore là, moi, j'étais comme, ça va bien. Je n'étais pas stressée.

Tu étais gelée taille, toi? Non, mais j'avais mon bébé sur moi. J'étais comme, allez-y, fais te recouser. Du à ça, peut-être que mon allaitement allait être plus difficile, plus reliant. Ah, ouais? Il voulait que je fasse du tire-lait, puis tout ça, entre mes allaitements. Puis là, j'étais comme, non, je le file pas, tu sais.

Puis je me suis écoutée, puis finalement, rendue à la maison, l'infirmière est venue une journée d'avance, puis j'avais déjà eu mon lait, puis... C'est genre la petite maudite. Elle a pas senti l'allaitement, elle a pas senti l'accouchement. Fait qu'on s'est dit que pour notre troisième enfant... Ah, vous en voulez un autre? Si, on sera en toi-même.

Pas tout de suite, mais éventuellement, oui. Elle allait l'accoucher, puis moi j'allais l'allaiter. Mais on allait l'essayer en partant. On dit ça, on va essayer. On va voir. Est-ce que vous sentez que vos enfants ont une préférée? Ça va un petit peu.

Je m'excuse, mais c'est vraiment une question que je me pose. Je pense que c'est par moment. Mais mettons, c'est sûr que la petite, celle que j'ai portée, quand elle est vraiment fatiguée ou elle s'est vraiment faite bobo, elle va être plus portée à venir vers moi. Mais moi, j'ai le lait qui la réconforte aussi.

Il y a probablement ça. Il y a un lien aussi. Je suis très couveuse. Même si quelqu'un le débrouille, je suis comme, donne-moi mon bébé. Mais tu sais, je suis même avec le petit aussi. Quand il se fait mal, je suis comme, donne-moi le lait. Mais vous sentez, là, les deux que c'est ça. Parce que, non,

moi, je veux avoir votre place. Puis tu sais, je pensais à ma blonde, puis moi, qui ultimement voudrait avoir des enfants dans longtemps. Est-ce que... Parce que ce serait elle qui porterait, mettons. Mais j'ai toujours peur que cet enfant-là, genre, il réussisse pas à avoir un lien avec moi

vu que je l'aurais pas porté, tu sais. Est-ce que c'était une peur, vous, que l'autre enfant ait pas de lien ou que vous ressentiez pas l'amour que vous ressentez pour l'enfant que vous avez porté, tu sais? Je pense que c'est une question que toute mère se pose, comme on a eu une situation avec une de nos amies en fin de semaine, puis même avec

ton deuxième enfant que tu vas avoir accouché, il y a cette crainte-là. Je vais-tu l'aimer autant? Je vais-tu, tu sais? Puis, tu sais, oui, notre première, moi, j'ai quand même un gros lien avec elle versus elle un peu moins avec le deuxième, qu'on a remarqué, mais tu sais, notre première, on a beaucoup plus de temps qu'on est avec elle. On la peu moins avec le deuxième qu'on a remarqué. Mais notre première, on a beaucoup plus

de temps qu'on est avec elle. On la connaît depuis plus longtemps. C'est notre premier bébé. Le deuxième, de jour en jour, on en crée de plus en plus. C'est que j'apprends à le connaître. Elle, elle a comme neuf mois d'avance sur moi. Moi, de plus en plus, j'apprends à le connaître.

Mettons la petite, j'ai les yeux fermés. Je suis dans une autre maison au pire, puis je sais qu'est-ce qu'elle a, comme je la connais par cœur. Le petit, je ne le connais pas autant par cœur. On dirait que c'est comme un apprentissage. Ça me fait quoi? Ça me fait quoi?

Bien, je ne me dis pas que ce n'est pas moi qui l'ai porté. On dirait que je le prends comme si c'était moi qui l'avais porté. Je ressens pas que je l'aime moins ou que j'ai moins un lien, mais le lien, il est différent. C'est dur à expliquer. Il y avait un exemple, mettons un couple hétéro.

Quand t'as ton premier enfant, que tu l'allaites, tu le couvres, puis là, il vieillit, puis là, t'as ton deuxième enfant, mais souvent, ça va être le papa qui va s'occuper du plus grand. Puis là, tu as le lien avec le deuxième. Puis le papa, il a le lien avec le plus vieux. Je comprends. Mais là, on est les deux couveuses en ce moment.

Oui, c'est parce que... Tu sais, après l'allaitement, ça va être différent. Mais pour le moment, on est comme en train de couver encore. Mais c'est aussi, comme tu as dit, tu as appris à connaître ton petit gars dans ton ventre. C'est particulier. Oui, vraiment. as dit, dans le sens que tu as appris à connaître ton petit gars dans ton ventre, c'est particulier. Oui, vraiment. La même situation dans le sens que Claude, mettons,

le bébé est né, il apprend à le connaître, comme tu as dit. C'est plus long. Quand c'est toi qui as porté l'enfant, il naît et tu es comme... Pas nécessairement tout le monde, mais dans le sens que c'est plus facile probablement pour une mère qui a porté mais ça va venir comme tu dis

comme juste là mon bébé il y a 9 mois puis je l'aime encore plus qu'à ses 6 mois c'est comme ça ça grandit de jour en jour fait que tu le porterais le troisième, tu l'allaiterais est-ce que c'était un plan de base que vous voudriez allaiter les deux bébés

c'était-tu quelque chose à quoi vous pensiez au début oui comme en théorie c'était un plan de base que vous voudriez allaiter les deux bébés? C'était-tu quelque chose à quoi vous pensiez? Au début, oui. En théorie, c'était ça. En pratique, non. Je pense que j'ai vraiment eu peur que ça mette un frein à mon allaitement avec elle. Je ne suis pas prête

encore. Je sais que je ne l'allaiterai pas jusqu'à ses huit ans. Mais les mois qu'on peut avoir encore ensemble, je préférais peut-être pas prendre la chance de mettre un terme à ça. – Tu sais, j'ai un conseil à donner à ceux qui veulent faire ça comme ça. C'est aussi de pas te mettre trop d'attentes.

– Oui. – Tu sais, parce que ça va être comme ça va être, puis c'est parfait comme ça, tu sais. C'est super beau qu'est-ce qu'on vit à la maison, puis tu sais, on est super bien, puis si elle est plus avec la petite, puis moi plus avec lui, puis c'est parfait comme ça. C'est super beau ce qu'on vit à la maison, puis on est super bien. Si elle est plus avec la petite, puis moi plus avec lui, c'est correct comme ça. On est bien, on est heureux. Il va y avoir des vagues, dans le sens que...

La première année, deuxième année, ça va être les plus difficiles sur ce côté-là, mais un coup, nos deux allaitements terminés, il n'y aura plus de différence, il n'y aura plus de lien séparé. Parce que, tu sais, mettons, Noémie, elle décide de partir chez sa mère toute la journée.

Mais il faut qu'elle parte avec le petit. Puis moi, je reste avec la petite. Si je n'y vais pas, mettons, tu sais. Fait que souvent, les gens, ils nous disent, ah, sur les réseaux, on dirait que Joanie, elle partage plus de photos avec Liv, puis Noémie plus avec Azaï. Mais ce n'est pas parce qu'on les aime plus l'un et l'autre, c'est parce qu'on est plus souvent avec eux

du fait qu'on les allait, tu sais. Mais comme il n'y aura plus cette séparation-là bientôt, puis ça va faire plus comme une unité, probablement. Comment votre couple a évolué? Depuis qu'on a eu des enfants? Depuis que vous avez des enfants, le premier,

la première, le deuxième. Une chance qu'on a quand même une très bonne communication parce que c'est vraiment un défi. Oui. Parce que là, c'est deux postpartums en même temps. Juste nos règles en même temps, c'est quelque chose, deux femmes.

Vous avez recommencé à avoir vos règles? Non, mais dans la vie, tous les jours. Deux femmes qui sont... Tu sais quand tu as tes règles avec ton amie, en même temps, tu es comme, ça l'accroche plus vite. Mais là, c'est deux postpartum, puis on l'oublie, le postpartum. On est tellement dans... Ça va vite que des fois, je suis là,

puis je passe de 0, 1, 2, puis à 100. Puis là, je suis comme... C'est souvent au plein lune, postpartum, mais tout en même temps, les hormones sont... Même si on a l'aide, puis qu'on n'a pas nos règles, on a cette semaine-là. Nos cycles sont quand même là. Oui, les hormones sont... Même si on allait et qu'on n'a pas nos règles, on a cette semaine-là. Nos cycles sont quand même là. Oui, les hormones fluctuent pareil.

Moi, je les oublie souvent. Puis là, ça me rattrape. Je suis comme... C'est vrai que j'ai tendance à oublier ça, que les hormones fluctuent pareil. Oui. Ton année, au moins, ton année après ton accouchement,

il faut se donner une chance. On se donne de l'amour. On a une très bonne communication, au moins, ton année après ton accouchement, il faut se donner une chance. On se donne de l'amour. On a une très bonne communication, une chance. Parce qu'honnêtement, je ne sais pas si notre couple aurait duré aussi solide si on n'était pas solide avant, mettons. C'est vraiment un passé du bien, s'il y a deux femmes qui veulent deux bébés en même temps. Mais c'est super beau.

C'est vraiment le fun. C'est vraiment le fun, la chimie qu'on réussit à avoir aussi. On se comprend. Des fois, on se regarde, on sait. C'est quoi vos plus grandes... Genre, vos trucs communs en tant que maman que ça, vous êtes vraiment pareil, vous voulez les mêmes affaires?

Mon Dieu, j'allais... C'est pas tout à fait la même affaire, mais j'allais demander, c'était complémentaire, j'allais demander, est-ce complémentaire, est-ce que vous voulez élever vos enfants de la même façon? Oui, c'est ça, oui. Si je peux me permettre, je pense que nous,

notre idéal de vie, c'est d'élever nos enfants à travers les voyages. Comme là, à la base, on voulait une maison. Là, on a eu notre maison. Là, on veut voyager. La petite, elle vient d'avoir un an, puis on s'en va à notre troisième voyage déjà. C'est où qu'elle a été?

On a été à Orlando, dans le fond, pour la business. Puis en même temps, on a été à Walt Disney, c'est sûr. On est allés au Mexique il y a trois semaines. Puis on s'en va jeudi au Costa Rica. Wow, wow! On voyage, j'en jure.

Puis on était supposés partir un mois en République, là, tout le mois de janvier, mais ça, on va... On va voir, on va y repasser. C'est quand même quelque chose, voyager, tu sais, c'est le fun, mais c'est... T'as deux bébés? Ah, mon Dieu! Tu sais, là, on emmène

la poussette en voyage, parce que des fois, tu sais, comme tu peux pas laisser tes... C'est comme une avec une, deux, des fois, c laisser tes... C'est comme une station sur t'attacher. T'es safe 5 minutes, tu peux aller te laver. Ouais. Ah mon Dieu. Mais mettons, dans votre quotidien, la chose que vous deux, vous êtes...

Vous vous rejoignez le plus, mettons. Je vais mettre un pause. Vous voulez-vous aller voir? Vu que ça hurle quand même. Je sais pas, ça se peut que ce soit le mien aussi. Je pense que si je vais, ça va être pire après. Oui, je comprends. Elle va échanger les idées.

C'est un test, on pense. Mais si ça crie, il y a un certain plan. Oui, on le reconnaît. Je vais y aller, mais là, ça va, je comprends. Mais c'est quoi qu'on disait? Mettons, dans votre quotidien, c'est quelque chose sur quoi vous vous entendez et quelque chose sur quoi vous... Vous entendez moins. Oui. Là, c'est comme chose sur quoi vous vous entendez puis quelque chose sur quoi vous...

Vous entendez moins. Oui. Que là, c'est comme une source de conflit, mettons. Exemple. Claude, lui, il est vraiment dédaigneux. Peu importe les affaires que mon bébé touche à terre, il est comme... Puis moi, je suis genre,

mets-toi n'importe quoi dans la bouche, dans le sac. Oui, c'est ça. Mais ça, c'est des choses que je ne m'attendais pas parce qu'avant d'être enceinte, elle n'était pas tant comme ça. Elle a comme... Les hormones ont changé. Autant que moi, j'étaisais pas. Parce qu'avant d'être enceinte, elle n'était pas tant comme ça. Elle a comme... Les hormones ont changé. Autant que moi, j'étais la fille la plus patiente du monde.

Puis là, je découvre que je suis impatiente. Ah oui? Tu n'as pas de l'air. Tu as l'air d'une douceur. Elle n'est encore pas... Elle ne pète pas de coche. Non, mais je veux dire, elle est encore très douce. Mais des fois, elle a comme des petits moments que... Mais tu sais, ça ne dure pas.

Puis c'est juste cute. Elle ne pète pas sa coche. Mais tu sais, ça ne dure pas et c'est juste cute. Elle ne pète pas sa coche, mais là, ça ne va pas. Oui, elle pleure. Mais je dirais qu'on ne s'attendait pas à ce que je sois aussi poule. Il y a ça, des fois, qui vient comme... Peut-être.

Tu dis mère poule. Oui, mère poule. Ça peut être un défi, mettons. C'est un défi, c'est bien dit. Quelqu'un qui a pris un verre d'alcool, moi, je juge, c'est correct, elle a l'air correcte, mais elle, c'est comme un verre,

ça va la stresser. Un verre, non. Mais si je vois que la personne a commencé à être en état d'ébriété, tu ne prends pas mes bébés. Oui, mais il y a des décrets que... Ça arrive vite. Oui, c'est ça.

Mais c'est ça. Je travaille là-dessus. Elle, elle me ramène sur Terre, puis elle fait confiance. Ils ont le cran de mou, anyway. Jusqu'à quel âge, là? Ah, bien ça, je pense que vous êtes en recherche, là.

Je pense que ta plus vieille, c'est réglé. C'est bien formé. Mais, oui. Je pense que c'est ça le plus... C'est ça, dans les attentes,. Je pense que c'est ça le plus... C'est ça, dans les attentes, justement, moi, j'aurais peut-être plus voulu qu'on échange l'allaitement, puis finalement,

elle avait une longueur d'avance, puis elle était comme, finalement, je me sens mieux à juste allaiter. Puis au début, c'était dans mes plans aussi. Je voulais donc qu'on ait cette unité-là et tout, puis finalement, c'était pas ça quand j'ai... Quand tu as essayé, tu t, c'était pas ça quand j'ai... À côté des biais,

si, mettons, quand t'as essayé, que t'étais comme... Tu sais, t'aimais pas ça, maintenant. Quand même. Bien, ça m'a fait de quoi, mais je me suis dit, je vais pas la regarder. Puis, non. Mais tu sais, c'est sûr que les bébés l'ont ressenti, dans le fond, tu sais.

Mais c'est parce que c'est vrai que c'est un lien comme... Puis j'imagine que tu le comprends avec ton bébé. Mais moi, je suis pas pareille là-dessus. Mais je suis juste différente puis c'est parfait comme en Calais puis c'est parfait comme en France. Mais je pense que si ta mère

avait encore du lait dans ses seins, tu lui permettrais d'aller faire aussi ça que tu fais. En parlant de ça, on dirait qu'il y a quelque chose que je n'ai pas caché. Je fais un petit... Je reviens quelques minutes au paravent. Oui. Elle, elle fait des recats. Non, mais c'est parce que je me souviens,

ça vient de me popper. Le prochain, tu le porterais, puis tu allais très... Dans le meilleur lieu. Mais comment? Mon lait va être encore... Bien, si j'allais être encore, je vais juste continuer. Puis il y a aussi des hormones, je pense.

Oui, sinon aussi. Oui. Puis il y en a des femmes qui vont recommencer à faire du lait. Ça se tient un peu. Puis comme si elle allaitait encore, mettons, le petit, mais le lait, comme il s'adapte aux plus petits des bébés. En spécial.

Le lait, il s'adapte à tout. Tu remarqueras, des fois, tu tires un peu ton lait, il change de couleur selon comment ton gars est. Si t'es malade. L'été, il va avoir plus d'eau. S'il est malade, il va être bleu. Plus qu'il vieillit, passé comme 12 mois, il y a plus de protéines dans ton lait, etc.

On n'a pas pu faire l'inverse au début parce que j'étais enceinte. J'ai pas pu prendre la pilule qui stimule parce que c'est une pilule contraceptive. Ça doit être spécial de découvrir son premier bébé quand t'es enceinte. Oui, c'était quelque chose. Mais je l'aimais tellement.

C'était notre prunelle. Mais comment... Je sais pas comment... J'ai trouvé ça difficile parce que moi, je suis très chialeuse pendant que j'étais enceinte. C'était pas drôle. J'étais fatiguée. J'avais mal au coeur.

Elle avait pas eu mal au coeur pendant sa grossesse. J'étais ultra fatiguée. Elle était super fine là-dessus parce qu'elle m'a laissée dormir toute ma grossesse. Quand la petite venait de naître, les nuits, c'était elle qui les faisait avec. On était toutes dans le même lit parce qu'on faisait du co-dodo. Mais moi, je dormais là.

C'est ce que je comprends. J'aurais aimé ça, être plus là pour la petite. Il y a des choses, ça me fâchait. J'avais mal au dos, je me rappelle. J'avais beaucoup mal au dos. J'avais moins de flexibilité avec la bédaine. J'avais de la misère à la prendre avec la bédaine. Ça me fâchait de ne pas avoir toute ma mobilité

pour être toute là à 100 % pour elle. En même temps, tu as été là à 100 % pour lui. Oui, j'ai été à 100 % pour elle, mais moi, je voulais plus jouer à terre. Je voulais plus. Mais je pouvais pas tout le temps. Ça a fait que, tu sais, aussi, au début, ça a fait aussi que elle a plus couru, tu sais, parce que...

Mais tout est parfait, puis tu sais, je changerais pas rien de ce qu'on a fait. Ben oui, c'est ça. Puis est-ce qu'il y a eu des frustrations pendant vos deux grossesses? Par rapport, ben, une à l'autre ou... Elle, je dirais que ce qui ressortait beaucoup,

c'était le stress de l'accouchement. Fait que comme toute son neuf mois de grossesse, elle l'a passée anxieuse, là. Oh, vraiment beaucoup, oui. Fait que, tu sais, ça, c'était rough. Puis j'ai dit, tu vas passer par là no matter what. Fait que, genre, profite, tu sais, de ta grossesse. Puis là, elle disait, oui, mais j'ai un peu mal au coeur, j'ai ça. Tu sais, dans disait, « Ouais, mais j'ai un mal au cœur. J'ai ça. »

Tu sais, dans le fond, le gros problème, c'est qu'elle voulait pas accoucher. Fait que tout le long, sa grossesse, c'était de la marde, comme qu'elle disait, mais... Puis moi, je me disais... Moi, j'ai vraiment un mental assez puissant. Fait que tout le long, je me disais, je vais pas y penser.

Je vais y penser rendu là. Fait que tout le long, je profitais de ma grosse... Mais j'étais très anxieuse aussi, par exemple. Moi, j'avais peur de perdre mon bébé. C'était ça, ma grosse peur. On a acheté le Baby Doppler. On écoutait son coeur. Le médecin disait, écoutez-le pas trop souvent,

vous allez capoter. Vous l'écoutez quand même tout le temps? Oui, au moins une fois par semaine. C'était rendu... Je disais, une fois par semaine une fois par semaine parce que tu sais il y a eu beaucoup de pertes de bébés dans ma famille moi on dirait que c'était comme ma grosse peur

c'est probablement ça qui perdure à cette heure qu'ils sont sortis c'est comme encore pire dans Béden ils étaient protégés là non ils ne sont plus protégés je pense que c'est comme c'est un apprentissage. Avoir des enfants, tu n'es jamais vraiment prêt à ça. Tu t'apprends.

Avez-vous eu de la jalousie pour la grossesse de l'autre? Est-ce que vous avez envié? Oui, mais pas maladif. Pas maladif, mais oui, j'étais comme, t'as été chanceuse. Où t'étais plus forte? J'aurais aimé... J'aurais moins aimer être plus forte

pour vrai je pense vraiment qu'il y a quelque chose dans le corps aussi qui est différent parce que c'est pas possible que deux femmes ont la même grossesse pis il y en a une qui tripe pis il y en a une qui a pas de fun c'est pas la personne le problème pis sa vision nécessairement parce que moi j'ai été comme toi

ma grossesse, la plus belle chose qui m'est arrivée de ma vie, j'ai jamais été aussi belle, aussi genre en forme, aussi... Puis là, j'ai la même femme à côté de moi qui est comme, pour vrai, genre aussi bien morte, comme moi, que j'ai pas de fun. C'est sûr qu'on a pas la même expérience, là. Mon ventre, c'était...

Ben, c'est ça. Moi, on dirait que chaque fois qu'il arrivait quelque chose, mettons, moi, j'ai eu mal dans le dos tout le long de ma grossesse, mais c'était handicapant. Mais je me disais toujours, je porte un bébé. Il y a un bébé qui nous a choisis. Le mal de dos, le haut-yable. C'était surtout ça que je me rappelais

souvent. Puis, on dirait que c'était tout le temps comme... À la base, elle était un peu hypochondriaque. Aussitôt qu'il y avait un petit bobo, elle était comme, là, là, c'est de la marde. C'est-tu grave? C'était plus difficile à ce niveau-là. Je pense que c'est dans nos personnalités aussi.

Non, ça fait le sens. Mais au final, on a deux bébés en santé. C'est vraiment ça qui compte. Vous ne voulez pas... Excuse-moi. Je me rappelle qu'un autre défi qu'on a en ce moment, c'est le dodo. Ouais. En ce moment, parce qu'on fait

les deux du cours dodo. Ah, vous ne dormez pas ensemble, donc? Non. Parce que ça a été trop difficile au début. Comme, on ne dormait juste plus. Ah, c'est clair. Tu sais, les quatre ensemble, dès qu'il y en a un, l'autre, c'est un petit cauchemar. Non, c'était quelque chose.

En plus, tu tiens très fort à ton sommeil. Ah, c'est fou. C'est fou. Ah oui? Oui. Oui, oui. Oui. Fait que là, on a dit, bon,

on a fait deux chambres, puis là, on s'est dit, ça va être ça le temps d'eux. Mais là, des fois, moi, je suis comme, tu sais, je m'ennuie comme plus de nos dodos. Mais en même temps, je veux qu'elle soit de bonne humeur et relaxée.

Elle va dormir un petit peu. C'est parce qu'elle, elle pourrait se coucher à faire ses fils puis dormir. Elle dort dur. Moi, je ne dors pas dur. Si je dors, puis que les bébés se réveillent, ils font juste bouger un après l'autre. Moi, je ne dors pas.

Je me réveillais pour les deux bébés. J'étais genre, ça ne peut pas marcher. Il faut que tu m'aimes. Au début, on s'était dit, une nuit, tu m'invites dans ta chambre. On se trouvait ça cute. Mais même la nuit, finalement, elle a pogné le vent. En plus,

je ne sais pas si ça fait ça à tout le monde, mais l'allaitement, ça diminue beaucoup la libido. Vraiment beaucoup. Je dis oui, comme si je savais. Moi, enceinte, j'avais vraiment la libido dans le tapis.

Je pouvais me frotter ces murs. C'est genre j'ai mal dans le dos, mais moi, de Guy, ça va faire du bien. Ça va me replacer. Oui, mais non, c'est ça. Mais tu sais, là, comme il y a un podcast qu'on a écouté, il y avait un petit collègue, je pense, mais non c'est ça mais tu sais là comme on essaye comme il y a un podcast qu'on a écouté

qu'il y avait un petit collègue je pense puis il disait de faire un câlin de 10 minutes François Renaud mais bref on essaye de se donner de l'amour comme différemment hier on a pris une douche ensemble on a mis les deux bébés dans des stations dans la salle de bain

on a pas rien fait que se laver vite de bain. Si on n'a pas rien fait, que se laver vite, mais on était en proximité. C'était comme quelque chose de plus. C'est de se trouver des trucs parce que on peut facilement l'échapper. Votre rapport à votre corps. Quand vous avez accouché,

est-ce que vos perceptions de vos corps ont changé? Moi, en tout cas, envers mon corps, beaucoup. Mais moi, j'ai eu des vergetures. Puis c'est sûr que même si on ne veut pas rentrer dans la comparaison, je me suis comparée. Elle, elle a lâché un pet et retrouvé sa shape de 18 ans. Elle a eu une vergeture.

C'est où qu'elle avait son piercing de nondrie. Ça ne s'apparaît pas. Ça ne sert à quoi, chérie? Je suis contente. Non, mais je suis contente. Il y a comme une petite amour. paraît pas mal moi j'ai les marques de lundi mais c'est beau moi et c'est beau parce que c'est pas surtout et mettez c'est ma perception de mon corps a changé beaucoup peut-être que ceux ci ça rentre comme en ligne de compte aussi peut peut-être dans ma libido et tout, mais

on fait attention, tu sais, je veux dire, on s'alimente sainement et tout, fait que je me dis, tu sais, même si mon enveloppe n'est pas comme que j'étais avant, mais tu sais, au moins, je me sens bien dedans, puis tout, puis j'ai porté la vie, tu sais. Oui, c'est ce qui a été une maison.

Oui, j'ai été une maison. Mettons que les bébés font une sieste en même temps. Je ne sais pas si ça arrive des fois. C'est déjà arrivé. On est en 6-49. Oui. Quand les bébés font une sieste en même temps, puis que là, vous pouvez choisir

ce que vous faites de ce temps-là. Dormir. Non, ce n'est pas vrai. Ce n'est pas tout le temps. Il y a des fois où on s'est fait une petite date du souper, mais ça ne dure pas longtemps, la sieste. C'est ça., c'est pas tout le temps il y a des fois où est-ce qu'on s'est fait une petite date du souper mais ça dure pas longtemps la sieste c'est ça, il faut qu'il dure plus longtemps sur nous

quand on les dépose les deux puis que les deux dorment, on est comme ok, on fait la vaisselle on se lave et on fait quoi c'est ça qui est particulier parce que hier on a été, Claude m'a invité à un podcast puis là j'étais genre c'est le fun, c'est quand le bébé danse parce que t'as le choix, soit que tubé dort, c'est parce que tu as le choix.

Soit que tu fais la vaisselle, soit que tu fais une sieste ou soit que tu prends du temps pour toi. Souvent, le temps pour toi, il prend le bord et tu vas en profiter pour faire des choses que tu as à faire. Là, Claude est juste à côté et c'est le fun. Elle n'a même pas considéré la sexualité. Tu sais, lui, à chaque fois, la première chose qu'il ferait, c'est « Yes, il dort, on faut! » Moi, je suis comme, je veux juste dormir, faire la vaisselle.

Vous autres, mettons, est-ce qu'il y a eu une source de quand c'est le temps de la sieste ou quand c'est le temps qu'il dorme? Comment vous délèguez ça? On a essayé ça quand il dorme ou whatever, mais drôlement, il se réveille toujours assez rapidement. Drôlement.

Moi, je ne suis pas à l'aise de poursuivre jusqu'à la fin quand tu as ton bébé à côté. Ah, c'est clair. Non, moi non plus. Puis on a, au début, mais j'étais encore enceinte en plus à ce moment-là, mais on a essayé de...

Sa mère nous a offert une journée au spa. Puis elle a loué une chambre, elle aussi, proche pour avoir la petite, parce que vu qu'elle allait exclusivement, elle n'a pas le choix d'être proche. Fait qu'elle nous a loué une chambre, puis elle s'est louée une chambre aussi pour garder. Ouais. Pure, tu vois. Mais la petite a fait

une crise tellement forte, tu sais, qu'elle vous me sait, puis tout, puis là, on est comme, bon. Mais tu sais, on venait de commencer à essayer de faire de quoi, puis là, ça m'a appelée. Ouais. C'est tout le temps comme, bon, tu sais. Ouais, fait que... Mais il va falloir qu'on se trouve d'autres trucs. Mais ils vont grandir, un moment donné, les gens. Ben oui. Tu sais, c'est tout le temps comme... Bon, tu sais. Oui, ça fait qu'il va falloir qu'on se trouve d'autres trucs.

Mais ils vont grandir, un moment donné, les enfants. Ben oui. C'est ça, c'est de ne pas se faire trop d'attentes. Parce que moi, en tout cas, je suis facilement déçue. Ça fait que j'essaie de me dire que ça va être une surprise si c'est un plus. Un jour, vous n'allez plus à l'été. Les bébés vont faire des dodos.

Ils vont aller chez leur maman, aller chez... Oui, exactement. Je pense que le pire est derrière nous. Le plus jeune, il est rendu à 6 mois déjà. D'après moi, quand je vais avoir terminé mon allaitement, elle va arrêter aussi. Je pense qu'elle est déjà un peu tannée.

Ah ouais, pour vrai? Elle, elle aime ça, avoir sa liberté. Pouvoir le faire garder. J'ai plus de facilité à... à m'éloigner un peu. À te détacher, oui, c'est ça. Moi, le cordon, il est encore bien petit.

Je l'allaiterais jusqu'à son cégep. Je l'ai déjà dissocié. Quand vous pensez à votre couple ouvert, est-ce qu'il y a des facettes de ça qui vous manquent aujourd'hui? C'est drôle que tu en parles parce qu'on s'est

dit ça en une semaine. Au pire, on va prendre une troisième personne qui va combler chacun nos besoins pendant que l'autre est... Non, ce n'est pas quelque chose qui me manque. Honnêtement. On a commencé comme ça. Je pense que c'était plus la philosophie de « on ne s'appartient pas ».

On se voit parce qu'on a envie de se voir. Puis, tu sais, on était vraiment ouvertes. On parlait avec qui d'autre qu'on voyait. Puis, tu sais, c'était full open. Puis, on sortait les deux d'une relation de trois ans. Fait que, tu sais, on était comme « non ». Vous ne voulez rien savoir. Non, oui.

Mais finalement, on passait tout le temps dans l'autre. Puis là, on a réalisé que c'était comme, ça s'est fait tout seul. Puis c'est peut-être parce qu'on a fait un couple ouvert que, tu sais, on s'est attachés, c'était vraiment puissant. Comme, ouais. Ouais, puis avec, tu sais, notre relation a commencé

un peu en même temps que le COVID aussi. Fait que là, si on voulait se voir, fallait qu'elle soit, mettons, chez nous avant 8h, puis qu'elle passe la nuit. Fait que là, si on voulait se voir, il fallait qu'elle soit, mettons, chez nous avant 8 h, puis qu'elle passe la nuit. Fait que c'est allé vite que finalement, elle a emménagé chez moi pour avoir son adresse. – Elle n'est pas lesbienne. – Oui, non, mais c'est parce que...

– C'est mon histoire. – Tu pouvais juste... Tu sais, moi, j'avais une coloc. Puis si t'avais une coloc, t'avais pas le droit de visite. Fait que... Oui, c'est vrai que ça va plus vite, les lesbiennes. – Ah, qu'est-ce que c'est? – Ça m'étonne que t'aies pas encore d'enfants. Pas moi, ça m'étonne pas.

Moi, j'ai vraiment peur. Ah oui? J'ai peur, oui, puis j'ai aussi peur de... Parce que je sais que ça va me... Comme toi, ça va me posséder entièrement. Toi aussi, j'imagine. C'est juste que je vivrai plus. Je sais que je ne vivrai plus. Je vais juste être dégueulasse.

Mais c'est une belle vie quand même. C'est différent. Nous, on était prêtes, c'est sûr. On était rendues là. Je sais qu'on ne peut pas dire ça. Mais mettons. Le deuxième, il n'existe pas. Est-ce que vous changez d'idée?

Vous en avez rien qu'un? Non. Non. Je ne suis pas... le deuxième il n'existe pas est-ce que vous changez d'idée vous en avez rien qu'un non non non je suis pas non mais c'est une bonne question mais non parce que c'est

tu sais oui des fois on va être là je suis là c'est beaucoup mais non c'est tellement mettons la balance de tout ce que ça apporte

versus la complicité qu'ils ont ensemble c'est tellement beau de les voir jouer ensemble ah oui c'est déjà beau de les voir jouer ensemble. Ah oui, déjà?

Oui, ils sont les deux sur le chopper. Mais le petit, on dirait que sa grande soeur, c'est sa personne préférée. Il peut être comme bougon, il chigne un peu, puis elle arrive, puis il est crampé. Elle ne fait rien, mais il est crampé. Il ne fait pas ça avec nous.

En plus, c'est hot. Dans une famille, mettons, hétéro, ça peut pas arriver qu'il y ait aussi peu de... C'est son jumeau. 7 mois, oui. Il va être dans la même classe à l'école. C'est ça? C'est hot, là?

7 mois de faveur. Son nez, pour qu'il soit dans... C'était pas voulu, mais je veux dire... Ils vont être dans la même classe. Aïe, aïe. Mais tu sais, c'est vraiment... On est capable beaucoup de se comprendre. On est capable... Tu sais, moi, au début, justement, je suis vraiment contente d'avoir eu

la grossesse pour mieux la comprendre. J'avais de la misère à comprendre. Qu'est-ce que tu ne comprenais pas? Bien, c'est quoi être enceinte? C'est quoi accoucher? C'est quoi l'été? Non, non, mais... Tu ne te comprenais pas, vraiment? Non, mais tu sais, c'est quoi? Puis là, après ça,est quoi accoucher? Non, non, mais... Non, mais... C'est quoi, puis après ça, de sentir que t'as accouché, puis là, moi, je laissais toute la place

aux décisions, beaucoup plus, parce que j'étais comme à l'accoucher, à ceci, moi, je sais pas c'est quoi. Mais maintenant, je prends plus ma place sur les décisions de la famille, puis sur des choses. Non, je pense que c'est la plus belle chose qu'on a faite. Oui, vraiment. Puis le fait qu'elle est tombée enceinte avant que j'accouche

aussi, parce que sinon, je pense pas. Je pense qu'elle aurait choqué. Ah ouais? Mais c'était quelque chose, l'accouchement. C'était... J'aurais peut-être pas choqué à 100%, mais j'aurais peut-être attendu plus ou... Pas nécessairement la difficulté avec l'enfant après.

Ça, c'est super beau, mais c'était juste l'accouchement qui me traumatisait. Avec du recul, aurais-tu aimé être la première à porter, finalement? C'est une bonne question, mais je pense que non. Je pense que je n'échangerais vraiment rien. Tant mieux, parce que moi, je n'aurais pas été la deuxième, je pense. Ah oui? Pourquoi? Bien, moi, je suis comme ça.

Il faut que je le fasse en premier, comme... Un bélier. Non, je pense. Ah ouais? Pourquoi? Ben moi, je suis comme ça. Il faut que je le fasse en premier. Une bélier. Non, même pas. Je vais te donner une deuxième chance. En tout le temps. En tout, les podcasts, ça les essaye, puis ça marche. T'es ascendant bélier. C'est ça, t'es ascendant bélier. Ça lune.

Ouais, c'est ça. Je sais pas, par exemple. On essaye, on essaye. Oui, au moins t'essa ça. Je ne sais pas, par exemple. On essaie. Oui, au moins, tu essaies. Tu n'as pas peur de rien. J'entends un affache. Ça commence par B. C'est balance. Oui, c'est balance.

Balance à 100 ans verso. Puis ma fille est pareil. Elle est balance à 100 ans verso. J'ai failli la coucher dans le fond à ma fête. Comme je t'ai dit, trois jours plus tard, finalement, elle est restée très longtemps.

Elle est restée jusqu'à 42 semaines. Ça n'a pas de bon sens. Oui. Toi aussi, elle était plus longue. 41, puis si je ne me le sortais pas maintenant, je vais le faire moi-même. Comme ça. Oui, non, je te feel.

Bien, moi, j'étais bien. Mais je me disais, elle fait juste prendre du poids. Elle fait juste prendre du poids. OK. OK, tu'étais déjà pour le... OK, non, dans le sens... Dans le sens que j'ai juste un petit trou. Je pensais que tu disais, elle va être en sécurité

plus en santé. Non, non, non. Je comprends, je comprends. C'est quoi ton signe pendant qu'on est là? Attends, je veux deviner. Imagine, j'allais... Eh, cancer. Oui! T'en allais Eh, cancer. Oui! Bien, c'est sûr, je me...

Bon. Tu t'en allais là, toi aussi. Bien, parce que je suis ascendant cancer, le nom est cancer, puis j'avais des petits... Des traits. Je suis très cancer. Oui, ça paraît.

Tout le monde le sait. Non. Pour les matières, pour le familial. Oui. Pour le familial? Oui. Très.

C'est la mère du... Bien, vas-tu le dire? Du Zodiac. C'est la mère du Zodiac, le cancer'as-tu le dire? Du Zodiac. C'est la mère du Zodiac, le cancer. C'est le signe maternel de tous. Moi, j'étais à un jour

d'être cancer, vous savez, mais tu ne le sais pas. Bon. Merci, les filles. Vous êtes extraordinaires. Vous avez une belle dynamique. Vous êtes belles. Votre famille est belle.

Merci. Vos enfants sont beaux. Merci. Merci d'avoir accepté de venir. Félicitations, c'était bonne. C'est un très bon podcast, bravo. Merci. On va vous revoir partout.

Je suis super certaine de ça. Tu me dis que tu vas à moi ou... Non, mais c'est parce que nous autres, on en a encore 3 ou 4 à tourner ensemble, certains. Non, demain. Demain, tu reviens? Non. Une autre journée chargée. C'est moi tout seul demain? Ah oui?ôt, c'est tout. Demain, tu reviens? Non. Une autre journée chargée.

C'est moi toute seule demain? Ah oui? Bon, tu vois. Je ne savais pas. C'est pour ça que je ne disais pas merci. Je t'ai l'aspiration. Ah, elle est là toute le mois! Merci énormément, les filles. Est-ce qu'il y a des choses que vous aimeriez qu'on laisse dans la bio? Genre des liens, des trucs? Oui, on pourrait laisser des liens dans la bio.

Peut-être, mettons, des sites pour diriger les personnes vers les bons endroits. Parce que j'ai vu, j'ai déjà vu une fille écrire qui cherche un donneur. Elle dit, « Je veux ce soir dans la région de Montréal, qui est dispo? »

Comme ça, je ne le suggère pas. J'aime mieux rediriger vers des endroits sains. Je veux qui est dispo. comme ça, je ne le suggère pas. Fait que j'aime mieux rediriger vers des endroits sains. Et, ouais. Je veux que tu t'y dispo. Ouais, je te jure. Je suis défrissante. Vanessa, son lien de son podcast va être dans la description.

Pour l'entendre. Ben oui, c'est sûr. Merci Vanessa d'avoir été ma co-animatrice. On envoie des ondes positives à Joanie. Oui. À elle et son bébé, à Louis, à Soleil, à toute la famille. Merci. Bravo!

Bienvenue sur la plateforme officielle Patreon Sexe Oral. Je suis là. En arrière. Je suis là, j'arrive. Lise en ado. Qu'est-ce que tu peux t'attendre sur notre plateforme Patreon? C'est des shows en live qu'on n'a jamais montré à personne que tu vas pouvoir voir. Vous allez pouvoir poser des questions

pour des invités qui s'en viennent. Vous allez voir un podcast bonus par mois. Des fois, c'est des shows live. Des fois, ça va juste être nous ici qui jam. Après les podcasts qu'on va avoir enregistrés, on va aller direct sur Patreon pour filmer des after-shows. Des annonces à l'avance, des billets,

des accès à des shows live. Peu importe ce que vous choisissez comme whatever, on Des annonces à l'avance, des billets, des accès à des shows live. Peu importe ce que vous choisissez comme whatever, on vous remercie d'avance. Ça fait une grosse différence pour Sexe oral. C'est quelque chose qui grandit. C'est notre bébé. On est fiers, on est contents. Oui. Merci énormément. Sous-titrage Société Radio-Canada