Sexe Oral - La séduction en couple avec Sandra Brutus
Episode Date: December 28, 2023Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d’expériences et d’opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d’un.e sexologue ou autre professionnel ...de la santé. Cette semaine sur le podcast, on reçoit pour la 2e fois la coach PNL Sandra Brutus. On jase de séduction dans le couple et on revient sur son premier passage au podcast. ----- Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast Pour suivre Sandra: https://www.facebook.com/sandrabrutuscoaching?mibextid=LQQJ4 https://www.instagram.com/sandrabrutuscoaching/?next=%2F https://www.sandrabrutus.com/ ---- Pour collaborations: info@studiosf.ca Pour toutes questions: sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/
Transcript
Discussion (0)
Le podcast d'aujourd'hui est présenté par ma voix mielleuse,
accompagnée d'Héros et compagnie.
Ceux qui sont responsables du plaisir de tout le Québec en ce moment.
C'est incroyable. Merci à tous.
Je présente, on présente un jouet sexoral à tous les semaines depuis quelques semaines
et aujourd'hui, je suis rendue à vous parler de la petite vitre sexorale.
C'est un jouet.
En fait, on a choisi ces produits-là
parce qu'ils sont très performants, très résistants
et surtout, ce produit-là, il va dans le bain.
Donc, la petite vite, c'est un jouet vibrateur
à tapotement au niveau vaginal
et ici, au niveau du clitoris externe,
c'est une petite langue,
une genre de petite mini-langue.
Ton clitoris va entrer, Il y a comme un trou, là.
Je ne sais pas si vous voyez sur YouTube, là.
Il y a un trou.
Il y a comme une grotte
que ton clitoris va aller dedans.
La grotte.
Puis une fois dans la grotte,
il y a comme une petite langue
qui fait...
de même.
Ça fait que c'est vraiment...
C'est vraiment spécial comme sensation
et nouveau, surtout.
Ça fait que voilà.
Ça, c'est la petite vitre,
si vous voulez.
Une petite vitre. Puis c'est quelque chose de différent si vous voulez, une petite vite, puis que c'est
quelque chose de différent. On a
un code promo qui s'appelle Sexoral
qui vous donne 15 % de rabais sur
tous nos produits sur
erossescompagnie.com et tous les autres produits
aussi également. Ça fait que grattez-vous.
Joyeux Noël. Joyeux jour de l'an. Joyeux
tout. Je sais pas on est quelle date, mais
il y a du fun dans la parouette.
Une production du Studio SF.
Au podcast d'aujourd'hui,
nous recevons à nouveau Sandra Brutus,
qui a été bien controversée.
Ha! Bien oui, de la gagne!
Au dernier épisode où elle était là.
On va tout clarifier ça aujourd'hui.
Elle revient sur certains points.
Peut-être que vous allez la découvrir
sous un autre angle aujourd'hui,
que vous allez mieux comprendre, j'espère.
C'est une belle personne,
super pertinente, qui apporte des bons points.
Elle a que des bonnes intentions.
Oui, c'est ça. C'est tellement doux.
J'aime tellement la façon qu'elle
prononce les mots. Je ne sais pas comment le dire.
C'est vrai.
On dirait, quand j'étais jeune, qu'elle lisait des mots. Je ne sais pas comment le dire. C'est comme, on dirait,
quand j'étais jeune, qu'elle lisait des livres comment bien draguer.
La façon que c'était écrit,
elle parle comme c'était écrit.
J'aime ça, j'aime ça.
C'est comme si ça gratte la bonne place de mon cerveau.
C'est vrai.
Ce qu'elle nous a dit tantôt,
c'est qu'il y a
de plus en plus...
Il faut vraiment rester quand même dans un oeil ouvert
et il ne faut pas trop non plus attaquer les personnes,
les professionnels ou whatever,
parce qu'à un moment donné, c'est ce qu'elle dit.
C'est correct de donner son avis
et c'est correct de donner son opinion,
mais il y a une façon de le faire aussi.
Parce qu'à un moment donné, les professionnels,
c'est ce qu'elle dit, ils se mouillent de moins en moins,
ils veulent de moins en moins
venir, justement. Tu sais, nous, on a des gens qui refusent
de venir parce que, justement, ils ont peur
des impacts et tout.
Puis ça, bien, à un moment donné, ça va faire
que si, de plus en plus,
ils ne voudront plus parler, puis ils ne voudront
plus s'exprimer, puis c'est là que
les informations puis les conseils,
ils ne seront plus partagés ouvertement.
Puis c'est important, fait que c'est correct partagés ouvertement puis c'est important.
Ça fait que c'est correct
de dire son opinion
puis c'est correct
de ne pas aimer des podcasts
puis de ne pas aimer des personnes
mais de le faire dans le respect
puis voilà.
Ça fait qu'il y a
un autre podcast avec elle
puis on l'aime
puis on le sait
qu'elle n'a que
des bonnes intentions.
Bon podcast.
On l'aime beaucoup.
On l'a entendu.
On l'a entendu, on l'aime beaucoup!
Allô Sandra!
Allô!
Bienvenue, merci d'être de retour avec nous.
Ça me fait plaisir.
On va commencer direct dans le le sujet Allons-y
On a des petites clarifications à faire par rapport au dernier podcast
Certainement
On a reçu des messages comme quoi
T'étais bien controversée finalement
Visiblement
Et pour vrai, il y a eu tellement de messages
Mon dieu, t'as changé notre vie de dating
Puis il y a eu d'autres messages
qu'il y avait des propos antiféministes
puis tout ça. Fait que c'est pour ça que...
Bien, c'est pas pour ça que tu reviens, là.
On voulait que tu reviennes pour parler du couple,
mais pour commencer,
s'il y a des choses que tu veux dire
ou que tu veux clarifier
pour... – Oui, oui, oui. Bien,
déjà, moi, ce que j'ai senti,
j'ai l'impression, c'est une fatigue.
J'ai eu l'impression de sentir les femmes
qui se disaient, moi, je suis fatiguée. Je suis fatiguée
de travailler, de me développer.
Puis j'aimerais ça aussi que
les hommes fassent un effort. C'est ce que j'ai eu l'impression
d'entendre. C'est juste...
Il y avait d'ailleurs un commentaire qui disait,
tu sais, on dit que les femmes
aiment les connexions émotionnelles.
Bien, est-ce que ce ne serait pas aussi aux hommes de faire cet effort-là?
Fait que là-dessus, c'est vrai.
On a parlé beaucoup du point
de vue du côté féminin, mais moi,
j'encourage les hommes à développer
leur intelligence émotionnelle pour justement
mieux rejoindre le côté féminin
des femmes, mais aussi eux-mêmes apprendre
à être mieux dans leur peau, apprendre à se définir
aussi au-delà de leurs compétences.
Et par rapport à ça,
j'ai eu envie aussi de donner l'espace aux hommes.
Pour l'instant, j'avais du coaching
avec tout le monde, mais j'ai ouvert des ateliers
pour les hommes aussi parce que je me suis dit
on va aussi rendre ça plus accessible
d'en parler aussi entre eux.
Donc, il y avait ça.
Il y a aussi,
en fait, quand je nommais
et je disais aux femmes,
je pense qu'il y a ce qui est associé
au mot vulnérabilité.
Quand je disais, c'est important d'être fière,
oui, ça vaut la peine, on est chanceuse,
je me considère chanceuse d'être une femme au Québec,
d'être émancipée,
de pouvoir être fière, je pense qu'on a
raison d'être fière de nos réalisations.
Et j'encourageais les personnes à montrer aussi autre chose. Dans le fond,
j'encourage les deux sexes à,
oui, être fiers de leur réalisation, de leurs compétences,
de leur profession, mais de démontrer
aussi une vision plus globale d'eux-mêmes,
leurs idées, leurs goûts, leurs traits de personnalité,
leurs qualités émotionnelles
parce que ce que ça fait, en fait,
c'est que ça stimule le désir
et c'est aussi une façon d'enrichir
sa vision de soi-même, son estime
de soi, finalement, au-delà de
seulement la confiance en soi. Dans le fond, je dis
la même chose pour les deux, mais l'idée,
quand je parle de tendance relationnelle,
en fait, ce sont des faits. Donc, ce sont des faits qui ont
entre autres été supportés par
Sébastien Bollard, qui est
spécialiste en neurobiologie moléculaire
et qui parlait des renforceurs primaires.
Donc, on parle de l'histoire.
Bien sûr, il y a plein d'autres facteurs qui entrent en jeu là-dedans.
C'est en constante évolution.
Mais puisqu'il y a ces bases-là, ces tendances-là qui sont là,
ça vaut la peine d'en tenir compte.
Mais le but, ce n'est pas d'enfermer les gens dans des rôles traditionnels.
C'est plus de dire que c'est là,
on réagit encore à différents niveaux à ces stimuli-là
et tenons-en compte parce qu'on est dans les tout débuts,
dans les premiers rendez-vous.
Puis je voulais aussi rappeler que ça, ça se passe en mode virtuel.
Et dans le monde virtuel, il y a plein de biais cognitifs.
Il y a beaucoup plus une nécessité de filtrer.
Ce n'est pas la même chose que quelqu'un qui nous est présenté
par nos parents ou par notre cercle d'amis et on sait déjà que c'est une personne qui est intéressante, qui est référée. Il faut filtrer un petit peu plus. Oui. Ça, c'est quoi le... Je comprends. Je pense que c'est important
parce que n'importe qui
peut s'auto-proclamer coach
en ce moment.
Ça fait que ça vaut la peine
de vérifier
si qui se dit coach
a une réelle certification.
Donc, dans mon cas,
j'ai une certification
en programmation neurolinguistique.
Pour avoir ce titre-là
de coach professionnel
certifié en PNL,
ça prend une formation
de minimum 1000 heures. Qui est en PNL, ça prend une formation de minimum 1000 heures,
qui est en PNL, qui inclut aussi d'autres approches,
dont le coaching limbique dont je parlais la dernière fois.
Et à ça, j'ai aussi mes formations.
Donc, je suis allée au cégep en sciences humaines.
Je suis détentrice d'un brevet d'enseignement
pour les écoles primaires et secondaires en arts,
mais il y a aussi des cours de psychologie,
de l'enfant, de l'adolescent, de l'adulte.
Et j'ai fait un an en psychoéducation
dans un baccalauréat qui, à ce moment-là,
équivalait à un certificat en psychologie générale.
Puis il y a aussi le fait qu'il y a une partie
qui est autodidacte.
Donc moi, j'ai grandi dans un milieu intellectuel.
Comme je disais, mon père était psychiatre.
Ma mère aussi était intellectuelle.
Donc on avait beaucoup de livres à la maison, que ce soit sur la littérature, autant les classiques que les romans, l'actualité, que ce soit la philosophie.
Donc, il y a aussi une partie autodidacte où on a toujours encouragé chez moi la lecture, la curiosité intellectuelle. Puis, entendons-nous, un bac en séduction, ça n'existe pas. À l'université,
cela dit, si ça existait, je pense que je l'aurais.
Donc, il y a toute une partie
où j'ai suivi les coachs
en séduction européen,
français, américain. Puis d'ailleurs, ça ne se passe
pas de la même façon dans d'autres
cultures. Et ensuite, j'ai fait
on va dire une synthèse de tout ça
où j'utilise,
oui, la neurosciences, le coaching, la PNL,
les sciences humaines, ce que j'ai
observé aussi en enseignement, parce que j'ai
longtemps travaillé avec des garçons et des filles
séparés, donc comment ils
apprenaient ou comment ils étaient motivés de façon
différente, ça aussi, il y avait des choses
qui étaient intéressantes à ce niveau-là,
et aussi en fonction de ce que j'observe dans ma pratique.
Le but
après ça, c'est toujours un défi
quand on parle du domaine humain,
de synthétiser et de nuancer à la fois.
Donc, je vais essayer aujourd'hui
de parler un petit peu plus des sources,
mais de continuer de garder ça concret aussi.
– Bien oui. – Voilà.
– Bien oui.
On te fait confiance,
puis on a vraiment aimé le podcast,
puis merci d'avoir clarifié des choses.
Le mot coach, c'est ça.
Vu que les gens, tu disais tantôt,
tout le monde peut se proclamer coach.
Ce n'est pas un genre de...
Ce n'est pas un titre réservé.
Ce qui donne un indice, c'est si ce coach
peut émettre des reçus.
Par exemple, dans mon cas, je suis reconnue
par une association. Je peux émettre des reçus
en naturopathie.
Et donc, l'association a considéré, a pris en compte les études que j'ai et les formations.
Ça fait que ça, ça donne un indice de pouvoir émettre des reçus.
Ce n'est pas le seul, par exemple.
Je ne veux pas dire qu'il y a des coachs qui n'émettent pas de reçus qui sont aussi très bons.
Mais c'est vrai que ça vaut la peine d'être vigilant.
De se poser des questions.
Oui.
La dernière chose que je l'ai carifiée,
je ne l'avais pas terminée,
c'était le mot vulnérabilité.
Oui.
Je ne sais pas si vous avez entendu parler du livre
Le pouvoir de la vulnérabilité de Brownie Brown.
En fait, quand je disais que j'invitais les femmes
à se montrer vulnérables,
ce n'est pas dans le sens de faiblesse.
Ce n'est pas de se rapetisser.
C'est plutôt d'oser montrer qui on est.
En fait, la vulnérabilité,
c'est montrer qui on est.
Mais montrer qui on est
dans son entièreté, finalement.
Voilà.
Je pense que j'avais compris quand tu disais
justement que, mettons, à une date,
des fois, de faire une activité,
c'est correct de montrer
que t'es peut-être moins à l'aise
ou que tu es peut-être moins bonne
à faire, je ne sais pas, lancer du javelot
ou je ne sais pas. Moi, c'est le même.
J'avais compris de ne pas juste faire
des choses que tu montres que tu es bonne
et que tu es...
Exact. Puis des deux côtés, c'est comme tu disais,
tu disais, moi, un homme qui ne fait que de parler
de ses prouesses, à un moment donné,
c'est pour tout le monde.
En fait, pour tout le monde, en fait.
En fait, pour tout le monde,
parce que c'est ce qui rend l'autre attachant, souvent.
C'est ce qui nous donne envie d'en savoir plus.
Oui.
Mais c'est important aussi de parler de ses réalisations parce qu'il y a un ingrédient admiration
dans la séduction
qui peut venir des réalisations,
mais qui peut venir aussi d'autres qualités.
Les deux, pour moi, sont moins bons,
moins attirants. Quelqu'un qui est trop
et quelqu'un qui n'est pas assez, qui se dit tout le temps
« je ne suis pas bonne à ça, je ne peux pas faire ça »
Juste le milieu.
Exact, d'être dans l'équilibre.
Quelqu'un qui est au courant de ses forces
et ses faiblesses et qui a une bonne lecture de soi-même,
ça, c'est très sexy.
Tout à fait.
Très, très sexy.
On a des questions, déjà? Oui. soi-même, ça, c'est très sexy. Tout à fait. Très, très sexy. Vraiment.
On a des questions, déjà? Oui, oui.
Puis, bien, évidemment,
moi, je vais couper à chaque question pour en poser 15, probablement,
parce que ça m'intéresse.
Puis on avait hâte, le dernier podcast,
tout le long, on avait le goût de te poser des questions
par rapport à notre couple, mais je sais que c'est pas mal, ça marche.
Un petit peu.
Est-ce qu'on va...
Ça, on a revu que c'est pas mal que ça marche. Un petit peu. Est-ce qu'on va voir si je l'ai déjà fait?
Oui. Ça fait que tout ça, on a revu.
C'était un petit...
Ça va faire un petit survol du dernier.
Je peux peut-être préciser aussi la séduction.
Je sais qu'il y en a, quand on entend le mot séduction,
j'avais dit, c'est à mauvaise presse.
Il y en a qui entendent manipulation,
mensonge, le fait de se mettre de la pression,
de ne pas pouvoir être authentique.
C'est pas ça.
En fait, ce n'est pas une séduction saine.
Une séduction saine, c'est une connaissance des processus de séduction,
mais qui s'appuie sur le développement
de l'autonomie affective, de l'intelligence émotionnelle
et dans un rapport de réciprocité des deux côtés.
Oui, puis ce n'est pas...
C'est vraiment comme tu disais,
c'est au début, début aussi.
À un moment donné, tu t'as plus autant besoin.
Bien, je sais pas, on va le voir aujourd'hui.
Mais, tu sais,
c'est pas de pas être toi
tout le temps. Faut que tu sois quand même
toi-même. C'est pas ça qu'elle disait.
Parce qu'il y a des gens, des fois, qui vont dire que je sais pas.
– Bien, c'est ça.
C'est bien d'être authentique.
Après ça, c'est de
s'assurer qu'on s'ouvre progressivement,
qu'il y a une réciprocité aussi dans cette ouverture-là.
Parce que si on est les seuls à se montrer vulnérables,
à s'ouvrir émotionnellement,
puis de l'autre côté, il n'y a pas de réciprocité,
bien, il peut y avoir un déséquilibre.
Fait que l'idée, c'est de vérifier
est-ce que c'est un espace assez sécuritaire aussi
pour que je puisse me confier,
que je puisse me dévoiler.
Exact. Très bon.
Bon, fait que là, on est rendu dans le coup?
Tu disais qu'il fallait qu'on parle un peu de dating au début.
J'ai compris que les gens aussi auraient aimé avoir des conseils de dating pour tous.
Oui, OK.
Moi, j'avais juste envie de parler un petit peu des biais cognitifs, justement.
Parce qu'on se rappelle, c'est ça, mon but, c'est de synthétiser tout ça
et d'amener ça en 2023 sur les applications de rencontre,
comment on peut rendre ça le plus concret possible.
Et Nicolas Gueguen a fait beaucoup de recherches
sur les biais cognitifs dans les applications de rencontre.
Ça ne fait pas si longtemps.
Tinder a été inventé en 2012.
Donc, l'idée, c'est de se rendre compte
que parce qu'on est dans un mode virtuel,
il faut faire attention, entre autres, au mode catalogue.
Le mode catalogue, on pourrait dire, c'est une évaluation conjointe.
Ce que ça veut dire, c'est que parce que j'ai plein d'autres profils,
je peux avoir tendance à rapidement balayer,
plutôt que vraiment prendre la peine de me dire
« est-ce que je donnerais une chance à cette personne-là,
même si elle n'a pas toutes les caractéristiques que j'ai nommées? »
C'est ce qu'il fait, entre autres, parce qu'il y en a qui disent,
est-ce que les algorithmes fonctionnent?
Le problème n'est pas tant l'algorithme,
parce que oui, si tu nommes des critères à l'algorithme,
ils devraient, en général, fonctionner.
Le problème, c'est le choix
qu'on va mettre dans l'algorithme.
Parce que parce qu'on est en mode catalogue,
bien, des fois, on va mettre des critères
que, dans la vie, on n'aurait pas été si intransigeants.
Et souvent,
ce qu'ils ont remarqué, c'est que les caractéristiques
de statut vont prendre
plus de place que dans la vie,
les qualités de personnalité,
par exemple, les qualités émotionnelles.
Donc, une façon d'éviter
ça, c'est de se donner
un temps limite et un nombre de profils limite.
Donc, par exemple, je sais pas,
moi, je passe une demi-heure ou une heure
et je ne regarde que 20 profils.
Ça fait que ça, ça permet, là,
on tombe dans une évaluation d'approfondissement
plutôt qu'être en mode catalogue.
Et je me demande, bien,
si j'avais cette personne-là devant moi,
on imagine qu'il y a vraiment une humain de l'autre côté de l'écran,
est-ce que je donnerais une chance pour
en savoir un peu plus? Plutôt que
est-ce que c'est le partenaire de mes rêves
ça, ça vient aider
c'est un des trucs
que je peux donner dans ce monde-là
il y en a aussi
j'ai quelques clients qui me disent
ben moi, je fais ça un peu à temps perdu
quand j'écoute la télé
j'envoie des messages ici et là
mais ça vaut la peine d'être disponible
pour saisir le momentum,
mais aussi si on veut se donner une chance
de trouver une relation, on va dire,
qui pourrait se développer vers une relation engagée,
bien, ça vaut la peine de bien faire les choses,
dont le message d'approche.
Donc, j'ai quelque chose de drôle à dire aujourd'hui
parce que j'ai un client que j'ai eu, j'ai demandé.
Maintenant, Tinder offre l'option d'utiliser
des réponses automatisées, OK, comme première
phase d'approche. Mais le problème,
c'est que c'est bien beau l'intelligence artificielle,
mais si après, on ne peut pas soutenir la conversation,
ça ne donne pas grand-chose. Donc, lui,
ce qu'il me disait, c'est qu'il avait reçu un message
qui disait « Je n'ai jamais vu un chat jongler
avec une pastèque. » C'est drôle.
Il a répondu
moi non plus.
Et elle, de répondre, ha ha ha,
bon, je vais l'imaginer alors.
On s'entend que la conversation a terminé là.
Il y a un autre message
que lui, il avait choisi, qui était
est-ce que tu préfères le chocolat ou la sauce
aigre douce? Parce que c'était dans
les réponses que maintenant
tu peux envoyer. Elle a répondu.
Tant que c'est une intelligence artificielle qui a envoyé ça.
Oui, oui, oui.
En fait, c'est des questions proposées maintenant
qui sont des phrases d'approche.
Mais voyons.
Elle a choisi.
C'est elle qui a choisi d'envoyer ça.
Oui.
Puis lui, il me disait, parce qu'on n'a rien,
il me disait, moi, j'ai envoyé,
est-ce que tu préfères, je ne sais pas,
la sauce aigre douce ou le chocolat?
Elle répond du chocolat.
Je dis, OK, mais qu'est-ce que tu réponds après?
Il dit, bien, je ne sais pas.
Je dis, on s'entend qu'on peut développer.
Fait que l'idée de l'intelligence artistielle,
comme il y en a en ce moment qui utilisent ChatGPT
pour créer leur profil.
C'est une bonne idée, non? Bien, c'est une bonne idée
si ça te correspond, puis tu l'utilises
comme base. Mais ChatGPT,
si tu l'utilises comme un outil,
faire comme, OK, je vais me donner
des idées, puis tout, puis qu'après, tu l'adaptes.
Oui, mais j'avoue que là, faire copier-coller...
Quand on utilise que ça
sans développer ses habiletés de communication,
ça ne sera pas plus aidant.
L'idée, c'est plus de développer
ses capacités.
Est-ce que ça serait bon aussi de diminuer un peu
certains critères de recherche?
Justement, comme tu disais,
on est peut-être trop...
Là, on est sur l'application, on voit, on peut décider
couleur de yeux, couleur de ci, whatever,
je sais pas, je suis pas là-dessus.
Ça serait-tu bon de peut-être, si tu veux,
diminuer? Puis si oui, ça serait
par quoi que tu diminuerais, toi? C'est quoi les critères
un peu que tu trouves qu'ils sont...
– Bien, ce qui est intéressant
déjà, c'est de se dire qu'est-ce qui est non négociable
et qu'est-ce qui est négociable
pour moi. Fait que déjà, de voir
est-ce que cet intérêt-là,
je dois absolument le faire
avec mon partenaire ou je pourrais le faire avec des amis
quand on cherche des intérêts.
Est-ce qu'à chaque critère
qu'on va choisir, dans un cas
particulier, si la personne gère bien
cette situation, est-ce que je serais ouverte ou ouverte?
Quand on se dit oui, on ne met pas ce critère-là.
Parce qu'en fait, il y a trois facteurs
qui vont prédisposer
ou favoriser le développement d'une relation amoureuse.
C'est les réactions aux imprévus,
donc la capacité de réagir aux imprévus,
la capacité de régler
les conflits et les moments
de qualité passant ensemble.
Ça, c'est les trois...
Les trois facteurs principaux qui vont favoriser
le développement
d'une relation amoureuse à long terme.
Attends, peux-tu me répéter ça?
Oui, je pense que je vais l'adapter à mon couple.
La capacité de réagir aux conflits.
Oui, OK, oui.
Au conflit entre nous.
Entre eux.
Ah, OK.
Au début, ça va être des malentendus.
Oui.
Éventuellement, ça deviendra des conflits
parce que si on a un conflit au deuxième rendez-vous,
on a un problème.
Oui.
Donc, la capacité aussi à réagir aux imprévus.
Les imprévus en dehors du couple.
Ce qu'il y a autour de nous, comment on réagit en équipe.
Exactement.
Et qui touche le couple aussi.
Qui ne marche plus.
Oui, c'est ça.
Voilà.
Et les moments de qualité passés ensemble.
Ça, c'est les trois affaires pour qu'une relation…
Qui vont être déterminantes.
Elle est en train de s'en foutre.
Je vous les donnerai.
Tu le réécouteras, Joanie.
Je vais pouvoir vous donner ça.
Donc, ce que ça veut dire, c'est que c'est...
Si vous remarquez, c'est des qualités émotionnelles, ça.
Bien oui.
Donc, si on est dans des recherches de statut
dans l'algorithme, par exemple,
on passe un petit peu à côté de ce qui est réellement important.
Oui, c'est difficile de voir sur un profil
si vous allez bien gérer les imprévus ensemble.
Bien, vous allez le voir dans le début.
Parce que là aussi, quand je dis de frustrer le désir,
si quelqu'un est chez soi en train de dire,
« Bon, là, j'attends deux heures, je pars ma montre,
je réponds pas tout de suite au message »,
on n'est pas dans quelque chose qui est sain.
Ce que j'encourage, moi, pour se préparer au dating,
c'est de vraiment développer ses piliers de vie,
d'épanouissement personnel.
Donc, j'ai des amis, j'ai une famille,
j'ai des loisirs, j'ai une carrière.
Et donc, nécessairement, ça fait que je ne serai pas disponible
du jour au lendemain pour ouvrir toute ma vie.
Alors, nécessairement, il y a des moments
où je ne serai pas disponible.
Et ce n'est pas dans le but de tester l'autre.
C'est plus que je vais être observateur ou observatrice de comment l'autre réagit quand je ne suis pas disponible. Et ce n'est pas dans le but de tester l'autre. C'est plus que je vais être observateur ou observatrice
de comment l'autre réagit quand je ne suis pas disponible.
C'est plus dans ce sens-là,
ce qui est, on va dire, une séduction saine.
C'est très important.
Et de ne pas arrêter ce que tu fais.
Mettons, justement,
si tu es en train de souper avec tes chums de filles
et que là, tu arrêtes ce que tu fais
pour répondre à ton Tinder,
techniquement, tu aurais pu juste continuer ton moment
et attendre un peu.
Exact.
Des fois, les réactions,
comme tu disais, des réactions,
dès le début, tu le sais, si c'est comme
sain ou pas.
Mettons, j'ai une amie
qui est dans le dating,
elle s'est déjà faite répondre,
ça va, si tu peux me le dire,
si t'es pas intéressée.
Exact.
Là, j'étais comme, ok, donc clairement, red flag,
ça va.
Ça, justement, ça fait écho
à la capacité à réagir aux imprévus.
Clairement, c'est quelqu'un de
brisé qui s'est fait,
qui a eu de la peine.
Oui, puis il y en a beaucoup.
Ou quelqu'un qui est contrôlant et qui veut que
quand lui, il veut ses qui veut que quand lui,
il veut ses réponses quand lui, il veut.
Moi, je le voyais de même.
Ça passe pas. Non.
Il me semble que j'en ai vu des commentaires sur le dernier podcast
de monde qui sont comme, mais oui, mais quelqu'un qui
prend du temps, moi, ça ne m'intéresse plus.
Mon Dieu, c'est parfait. Va-t'en.
C'est ça. Je crée, le monde
en est vie. Ben oui, ben oui.
Oui, tout à fait
J'arrête tout
Oui, mon beau, preux chevalier
Mais c'est pour ça que je trouve que ça vaut la peine
De faire un bilan amoureux
Pour se mettre dans un état de disponibilité
Quand on va les rencontrer
Donc de conserver
Qu'est-ce que j'ai appris
De mes anciennes relations
Parce qu'en fait, le dénominateur commun C'est soi-même, de toutes ces anciennes relations Donc qu'est-ce que j'ai appris de mes anciennes relations? Parce qu'en fait, le dénominateur commun,
c'est soi-même, de toutes ces anciennes relations.
Donc, qu'est-ce que j'ai appris?
Qu'est-ce qui me convient à partir d'aujourd'hui?
Plutôt que d'arriver, on va dire,
extrêmement chargé, négativement souvent,
et de ne pas finalement se donner la chance,
parce que là, on va avoir ce type de réaction-là
qui va faire feu.
– Bien, vice-versa, oui.
– Et vice-versa, oui.
– Ma réaction à sa réaction
va le faire fuir
si
il m'a pas fait fuir
c'est ça
mais oui
non je comprends
ok
Lou
moi je suis vraiment excitée
j'attendais ça
avec
impatience
la séduction dans un couple
oui
on dirait que
c'est quelque chose
que probablement
on n'en entend pas parler
vraiment pas
puis je suis vraiment curieuse
de savoir
c'est quoi ton opinion là-dessus.
Oui. Bien, déjà, il faut voir,
quand on parle de séduction dans un couple,
est-ce que le terrain est fertile?
Moi, j'appelle ça le jardin amoureux.
OK.
S'il y a plein de mauvaises herbes,
si c'est un terrain plein de frustrations et de blessures,
ajouter de la séduction, ça se peut que ça ne passe pas.
Fait que la première étape, c'est de défricher.
Ça se peut qu'on décide d'arroser une fleur
et qu'éventuellement, on ait besoin de faire de l'espace
pour que cette fleur-là se propage, disons.
Mais c'est sûr qu'il faut vérifier ça.
Donc, ce que je dirais avant de vouloir ramener
de la séduction dans son couple,
il faut voir s'il y a des enjeux importants
qu'on a besoin d'adresser.
Parce que c'est ce qui va assainir le climat.
Ça ne veut pas dire que tout soit parfait
parce qu'il y a des conflits
qu'on va dire qui sont des conflits insolubles.
Donc, c'est normal qu'on soit un peu toujours
en train de les négocier.
Mais ça, ce serait la première étape.
Mettons quelque chose qui revient
parce que deux personnes
sont fondamentalement de même, puis il va tout le temps
avoir un petit clash, mais il faut faire des petits rappels
une fois de temps en temps. Non, ça va être beau.
C'est correct. – Bien, je les ai ici parce que j'en ai dit tout le temps.
Donc, je les ai ici, les sept sources
de conflits insolubles. – Alors, on essaie
de les deviner. – Oui, allez-y.
Famille. – Oui. – Argent.
– Oui. – C'est sûr. – Ménage.
– Oui. – Oui.
– Famille, argent, ménage. – Sexualité. – Oui.. Oui. Argent. Oui. C'est sûr. Ménage. Oui. Famille, argent, ménage.
Sexualité. Oui.
T'es bonne, mais attends.
Je ne dirais jamais rien.
Ah, les valeurs.
Les valeurs, ça va être sous-entendu.
Amical, familial. Tâche.
Équilibre, travail, famille.
Loisir, amie.
L'équilibre entre tout ça, oui.
Éducation des amis. Ah, travail, je n'ai pas dit. L'équilibre entre tout ça, oui. L'éducation des enfants.
Ah!
Et la croissance personnelle.
Et la croissance personnelle.
Oui, parce que des fois, il y en a un qui va être beaucoup dans le développement personnel,
l'autre, il n'est pas, puis ça, ça peut amener des conflits.
Ah, bien oui.
Moi, je suis beaucoup dans le développement.
Non, mais à un moment donné,
c'est comme quand j'ai commencé à aller dans les doshayoga,
puis là, je m'en venais vraiment
un peu comme beaucoup
peut-être spirituel, puis genre,
je remercie mon café.
Louis, es-tu conscient
de comme c'est correct qu'on prenne
un temps pour le café? Puis là, Louis,
t'es comme, OK, c'est beau du gosse. Je veux juste prendre mon café
puis rapido. Je m'en venais
un petit peu trop là-dedans.
À son goût.
Oui, à son goût.
Ça, ça nous avait un peu...
Lui, il avait peur. Il avait vraiment peur.
Il dit là, j'ai un peu peur
que c'est ça.
C'est intéressant parce que je suis capable de mettre
des gens autour de moi,
sur chacun des trucs.
L'idée, moi, ce que je trouve intéressant là-dedans,
c'est que l'objectif,
ce n'est pas d'arriver à des ententes parfaites.
Donc, insoluble veut dire
qu'on a juste à négocier les différences
pour trouver des ententes gagnant-gagnant,
de chercher à ne pas imposer sa façon de faire,
mais plus se dire,
bon, toi, tu vois ça de telle façon, c'est correct.
Moi, je le vois de telle façon.
Comment on fait pour se retrouver les deux?
Ça fait que ça, c'est correct. Moi, je le vois de telle façon. Comment on fait pour se retrouver les deux? Fait que ça, c'est...
OK, sept.
On peut-tu les répéter?
L'argent, les tâches ménagères, la sexualité,
la belle famille, l'éducation des enfants,
l'équilibre travail-famille-loisir-amis
et la croissance personnelle.
La belle famille, ça, je l'avais skippé.
Ou les familles reconstituées.
Ah, bien oui.
Mais il y a tout un petit peu
d'affaires en ce moment
dans chaque, je trouve.
Moi aussi, je suis capable de tout mettre
un petit quelque chose qui...
Ça met le doigt sur...
Si on a...
Pour vrai, on a une vraiment bonne entente en général.
Vraiment.
Mais je suis capable de tout pointiller
comme là-dessus, ce serait ça.
Là-dessus, ce serait ça.
L'idée, ce n'est pas de se dire que ça va être parfait.
Il n'y en a pas. C'est pour ça qu'on appelle ça
insoluble. On va toujours les négocier.
Mais que ce soit assez sain pour se dire
là, il y a de l'espace pour ramener de la solution.
Juste de savoir les catégories.
Tu t'assoies avec un verre, là, avec ton chum, tu te dis,
bon, ça, c'est nos sept catégories. On se situe par rapport
à ça, par rapport à ça, par rapport à ça.
– Oui. – Tellement. – Ce qui est conseillé...
– Oui, mais c'est... – Un par semaine, au pire.
– Pour faire un coaching de couple, c'est qu'on commence
avec le plus important. – OK.
– Et là, on passe au travers.
– La belle fin. – Souvent, le fait
d'adresser le plus important
va aussi créer des cercles vertueux. C'est comme si ça
va des fois régler d'autres choses. On n'a pas toujours
besoin de passer à travers la liste.
On les met en ordre de priorité parce que tous les attaqués
de front...
Une chose à la fois.
Chaque couple va trouver sa recette.
Donc, des fois, il y a
plein d'idées qui vont sortir, un peu comme un brainstorming.
Le couple va se dire, bon, mais moi, j'essaye
telle chose. Ça se peut que ça marche, ça se peut que ça marche pas.
Puis ça va se réajuster. Puis finalement, il y a quelque chose
qui va fonctionner pour les deux.
Est-ce qu'on pourrait avoir un exemple?
Bien, un exemple,
ça pourrait être comment
les partenaires gèrent l'argent.
Donc, il y en a un qui a tendance à être
plus dépensier, plus spontané. Il y en a un
qui veut mettre l'argent de côté,
qui veut conserver.
Donc, une des idées, ça peut être de faire un compte commun
de façon à ce qu'il y ait une portion aussi
qui va sécuriser celui qui a besoin de mettre de l'argent de côté.
Et chacun a aussi un compte privé
qui lui permet de dépenser son argent comme il a envie.
Ce serait une des façons, par exemple.
C'est bon, ça. C'est très bon.
J'ai aussi une application qui s'appelle
Slip It Twice.
Je ne sais pas si c'est le nom, mais Slip It Twice.
Slip It Twice.
Puis ça, ça a changé, ça a réglé notre...
Je peux-tu le lire?
Juste pour le fun de pouvoir dire c'est quoi le...
C'est Split Wise.
Bon.
Ça ressemble à ça, C'est comme ça.
Split it twice.
Puis ça, cette application-là a vraiment
réglé
une bonne partie. Comment ça marche?
Dans le fond, c'est que
split it twice.
Attends. Split it twice. Tu mets vraiment
trop de lettres pour rien. OK. Check ça.
Bon. Maintenant.
Compte conjoint. Compte conjoint.
Là, toutes, nous,
on a une carte exemple
de crédit parce qu'on fait des points.
Fait qu'on met tout ça sur les points.
Mais là, à chaque fois, parce que nous,
ce qui arrivait, c'est « Ah, j'ai payé ça. »
Ça fait plein de fois que c'est moi qui paye ça.
C'est moi qui paye ça. À un moment donné,
on accumulait chacun.
Lui, il pensait qu'il en payait plus.
Moi, je pensais. Il y avait plein de non-dits.
Maintenant, on écrit tout. C'est pasil en payait plus. Moi, je pensais, il y avait plein de non-dits, fait que maintenant, on écrit tout.
C'est pas compliqué, là. Je fais plus,
j'écris souper, restaurant.
Juste, puis là, j'écris
le montant, puis là, j'écris, tu coches
payer par toi et partager équitablement
ou payer par moi,
Louis me doit tout.
Puis des fois, t'es pas obligé de choisir, tu peux juste
faire une liste de ça, sur qu'est-ce que
toi, tu achètes, qu'est-ce que lui il paye
c'est drôle parce que
Claude et moi on est dans ces discussions-là
c'est super sain encore une fois
mais c'est vraiment comme, hey pour vrai
mettons là on vient d'aller en Floride
pis moi ça a donné que c'est moi qui ai payé tout le long avec ma carte
parce que c'était moins compliqué pis on s'est dit on check rock quand je reviens
finalement je suis là
ouais tu me dois tant
pis là il check pis c'est lui qui avait payé
les billets d'avion puis d'autres affaires. Puis finalement, c'est moi
qui lui dois de l'argent, tu sais. Mais moi, je pensais
qu'il me devait du gros cash. Finalement, c'est moi
qui lui dois de l'argent. Bien, c'est ça. C'est pour ça
que Louis puis moi, on écrit chacun
notre bord. Tout ce que nous, on paye. Je sais pas
que Louis, il achète de quoi. Il s'en va faire la commande. Il le met
là-dessus. Moi aussi. Fait que ça fait qu'à la fin
du mois, là, on a tout ça.
« Hey, bien non, c'est moi qui ai payé l'hôtel.
C'est toi qui as payé l'hydro. »
À la fin, on n'a plus de chicane.
C'est qui qui doit plus à qui? On le sait-tu?
Ben là, en ce moment, moi, je dois
1000 $ à Louis. Bon, tu vois.
Mais, moi, dans ma tête, c'est tout le temps
lui qui me doit du cash.
Regarde, une chance qu'on a ça.
Ben, c'est une bonne idée.
Des fois aussi, il y en a qui vont,
dépendamment de la différence de salaire,
ils vont s'organiser de façon à ce que les deux soient bien.
Comme je disais, chaque couple a sa recette,
mais comme tu le nommais, des fois, c'est flou.
Le fait de le mettre sur papier, de le mettre dans une application,
au moins, ça vient clarifier les choses.
Bien oui, puis il n'y a pas de...
Oui, mais là, je paye tout le temps ça,
puis il n'y a plus de cette chicane-là.
En effet, lui et moi, on n'a pas le même...
Je paye des affaires,
puis lui, il paye d'autres affaires.
On n'a pas le même salaire.
Mais ça, au moins, il n'y a plus de problème.
On est vraiment...
Ça a réglé l'aspect monétaire quand même.
C'est très bon.
Ah bon. Bravo.
Je vais te le donner après.
Oui, j'aimerais ça.
On dirait que je me trouve ridicule
lorsque j'essaie de cruiser mon chum,
quelqu'un nous dit.
Des conseils?
Ben, déjà, c'est de voir
pourquoi cette personne a envie de cruiser son chum.
Puis c'est de voir, est-ce que c'est parce que
j'ai entendu dire ailleurs qu'on devrait être encore là-dedans
ou c'est vraiment ce que nous, on a envie?
Fait que déjà, quand on parle de séduction, c'est de voir
est-ce que c'est quelque chose qui me tente,
moi, dans mon couple.
Des fois, c'est peut-être
de se demander quel est le sens
du couple actuellement. Parce qu'on avait des raisons
pour lesquelles on s'est mis en... on s'est rejoints
au début. Ça se peut que ça ait changé, que ça ait évolué.
On a peut-être besoin de redéfinir
c'était quoi nos projets, qu'est-ce qui va nous stimuler aujourd'hui.
Peut-être qu'on a... je ne sais pas, moi, les enfants sont grands.
Donc, c'est vraiment de voir qu'est-ce qui pourrait nous nourrir aujourd'hui.
Puis après ça, moi, ce que j'aime dans cette question-là, c'est, bon, quand je me sens ridicule,
je trouve qu'on parle beaucoup de séduction, c'est bien de vouloir reséduire son partenaire.
Mais je pense que la première étape aussi, c'est est-ce que je me sens bien, moi, dans mon corps, dans ma peau?
Donc, est-ce que je me trouve
attrayante?
Est-ce qu'il y a des choses que je peux faire qui vont faire que je vais
me sentir mieux dans mon corps, par exemple?
Ou juste reconnecter avec ma sensualité,
que ce soit d'avoir des draps
de soie ou d'avoir... De prendre le temps,
je pense que je t'ai entendu, Monique, dire que tu voulais juste
te mettre de la crème dans le visage, tu sais.
Mais de prendre le temps de se mettre de la crème,
de prendre soin de son corps, c'est une première étape aussi
qui peut faire en sorte qu'on est dans un meilleur état d'esprit
pour séduire.
Après ça, c'est d'y aller avec des petits pas.
Donc, on n'a pas besoin du jour au lendemain
d'imaginer le gros scénario,
mais de réinjecter tranquillement de la séduction.
Fait que moi, un truc que j'aime beaucoup,
c'est d'avoir un canal séduction.
C'est-à-dire, quand on a des responsabilités
communes, on peut avoir,
on peut s'échanger par texto,
par exemple, mais on réserve
Messenger pour ce qui est la séduction.
Puis on commence à nourrir ça.
« Tu étais vraiment beau,
belle aujourd'hui. J'ai aimé tel habit.
Juste, on s'est embrassés ce matin.
Ça m'a fait sentir de telle façon.
Comme ça, quand sur ça, la notification sur,
mettons, Claude Bégin Instagram.
Oh! Ah, c'est vrai.
C'est pas nécessairement de la merde.
Ça va peut-être être...
Comme si c'était de la merde.
Pour une fois, il va pas...
Pour une fois, il va pas...
Non.
On fait notre communication dans les conflits.
Moi, je parlais plus d'un
estime plate.
Un jeu de mots.
C'est une bonne idée. Mettons par texto.
Nous, on ne sait jamais, donc on pourrait garder ça par texto.
Par exemple,
t'es belle ce soir, mon bébé.
Nous aussi, on a des canals, mais nous,
nos canaux sont vraiment mélangés.
Mais j'ai l'impression que par texto,
il y a un peu plus d'amour. C'est vrai.
Je vais regarder par texto avec mon chat.
Voilà. Vous essayerez ça.
Oui. Facebook.
Ça permet de commencer
à nourrir
ce jardin-là dont je parlais. Parce que si on arrive
du jour au lendemain avec la grosse scène,
peut-être que si on ne l'a pas nourri,
ça va être un peu bizarre.
J'aime ça.
En tout cas, dans mon cas,
tu me diras ce que tu en penses,
moi, de rendre service à l'autre,
mettons,
on a le goût de passer une bonne journée ensemble.
Si les deux, on commence avec
j'ai besoin de ton aide, j'ai besoin de ton aide,
puis là, on ne s'aide pas, puis on fait juste être en conflit
parce que les deux, on a besoin de faire nos affaires séparément,
puis là, ça ne marche pas.
Mais de prendre le moment pour l'autre,
faire comme, OK, là, en ce moment, je vais t'aider à faire ça.
Bon, là, en ce moment...
Puis ça, toute la journée, à la fin de la journée,
ça donne le goût de s'aimer pas mal plus,
de prendre le temps d'être là pour l'autre.
– C'est que là, vous devenez des coéquipiers.
– C'est ça.
– C'est ça.
– Je n'ai pas l'impression de jouer contre lui un peu.
– Oui, tout à fait. – Au lieu de faire chacun de nos affaires à notreipiers. C'est ça. C'est ça. J'ai pas l'impression de jouer contre lui un peu. Oui, oui.
Tout à fait.
Au lieu de faire chacun de nos affaires à notre bord
puis qu'on a cédé les deux.
Le but du couple, c'est de mettre les forces de chacun
au service du couple.
Et on n'a pas les mêmes.
Donc, des fois aussi, c'est de se dire,
écoute, moi, si je fais telle tâche-là,
ça va me prendre trois fois plus d'énergie
que si toi, tu l'as fait.
C'est de voir qu'est-ce qui est le plus économe
en termes d'énergie
et le plus facile
pour chacun.
Je vais garder cet argument-là
si un jour,
il me demande de faire
à souper.
Moi, c'est énormément
de mon énergie gaspillée.
C'est ça.
Peut-être que t'aimerais ça aussi.
Ah bien, il aime ça.
Oui, des fois,
c'est peut-être aussi
d'apprendre
à développer certaines choses.
Je pense, oui,
de,
mettons-le,
un exemple, sortie de main. Mettons-le. Un exemple.
Sortie de nulle part.
Sortie de nulle part.
Une amie.
Une amie, là, mettons.
Le chum de cet ami-là.
Le chum de cet ami-là.
Il s'appelle Claudio.
Il s'appelle Claudio.
Moi, je le dis.
Non, mais attends.
Lui, il fait à souper.
Ça, c'est un service qui rend en famille.
Mais lui, il aime ça faire à souper.
Ça compte-tu comme un service?
Il aime ça faire à souper.
En fait, on tombe dans les langages d'amour.
Je pense que vous en avez déjà parlé.
Mais on a souvent tendance
à exprimer son amour d'une certaine façon
puis parfois, on s'attend à recevoir la même chose.
Fait que déjà, c'est intéressant de s'en rendre compte
parce qu'on va se dire,
des fois, on se dit, bien, moi, par exemple,
je fais souvent des services, l'autre ne le fait pas, ça veut dire qu'il ne m'aime pas.
Mais quand on regarde les langages d'amour,
bien, on se rend compte que l'autre nous aime d'une autre façon.
Fait que déjà, il y a ça
et après ça, c'est de nommer,
bien, j'aimerais ça aussi recevoir
telle chose ou moi, j'aime mieux
des paroles, par exemple. Moi, j'aime mieux des
cadeaux. C'est vraiment de préciser.
Parce qu'en fait, c'est comme si on mettait
de l'essence dans sa voiture. Bien, plus on va,
même quand on va séduire, plus on va utiliser
le langage d'amour de notre partenaire,
plus ça va mettre du moteur,
de l'essence dans le moteur qui va faire que
on va avancer plus longuement. Puis on va étirer cetteur qui va faire qu'on va avancer plus longuement
et on va étirer cette énergie-là qu'on vient d'amener.
Donc, de connaître la base,
ça serait de connaître le langage et l'amour de son partenaire.
Principal, oui.
Principal, puis après ça, c'est ça.
Comme toi, tu as dit, c'est des moments.
Non, act of service, ça serait ton chat?
Oui, il rend beaucoup de services.
Oui, vraiment, clairement.
Il est tout le temps en train de vouloir...
Donc, lui, c'est probablement son langage principal.
Ça fait du sens.
Des fois, il faudrait ça qu'il s'assoie.
Lui, ça veut dire que ça serait...
Voulez-vous que je les renomme, les langages?
Il veut que toi, tu rendes service.
Ça, je les connais par...
Oui, on va les dire aux gens.
Quoi?
Si, mettons, ton chum, c'est act of service,
les actes de service,
est-ce que ça veut dire qu'il faut que...
Mettons, moi, c'est pas ça mon langage.
Mon langage, c'est...
Écoute, je sais même pas c'est quoi,
mais c'est vraiment pas ça.
Mais...
Moi, j'aime...
Rentre service, c'est pas ça du tout.
Mais ça serait...
En tout cas... Comment t'aimes recevoir de l'amour, ça du tout. Mais ça serait... En tout cas...
Comment t'aimes recevoir de l'amour, Joanie?
Ben, je pense...
Sais-tu que je les nomme?
Oui, oui, oui, c'est ça.
Les paroles, recevoir des paroles valorisantes,
des mots d'amour, des cadeaux.
Non.
Des moments de qualité passant ensemble.
Moments de qualité, c'est ça.
Moi, c'est vraiment ça.
Il y avait les services rendus.
Puis il y a le toucher qui peut être sensuel
Non, non, non, je ne sais vraiment pas ça
Même pas je touche, même pas tant
Ok, mais, ok, donc mettons Louis
ou Jean-Paul, Jean-Paul lui
c'est les actes de service que lui
il aime faire, ça veut dire que c'est lui
qui aime se recevoir aussi, souvent ton
langage... Souvent, bien l'idée c'est de tenir compte
de ce que l'autre fait, même si c'est pas
le même langage d'amour ou les langages d'amour
que soit, parce que déjà ça permet d'avoir une perspective, ah bien c'est pas le même langage d'amour ou les langages d'amour que soi, parce que déjà, ça permet
d'avoir une perspective. Ah, bien, ce n'est pas parce
qu'il ne fait pas ça, il me le montre d'une autre façon.
Puis d'ailleurs, moi, je trouve qu'il y a deux autres
langages d'amour qui ont été ajoutés à ça, que je trouve
super intéressant. C'est fait par un coach en séduction
qui s'appelle Stéphane Édouard.
Et je le nomme pour ça, mais je ne veux pas dire que je soutiens
tout ce qu'il dit. Ça le dit,
il a ajouté le fait de supporter l'autre,
de l'aider à avancer.
Ça, c'est un des langages.
Puis l'autre, c'est de s'inquiéter pour l'autre.
C'est des langages qui sont plus intangibles.
Fait que des fois, on ne les voit pas,
mais quelqu'un qui vérifie comment ça va,
es-tu correct,
qui vérifie, il y a du verglas aujourd'hui,
je veux être sûre que tu ne vas pas glisser, etc.
C'est une façon aussi d'aimer.
Puis des fois, on ne les voit pas parce que c'est moins concret.
Mais j'aime ça. Je trouve ça cool.
C'est intéressant.
Fait que toi, dans le fond,
Claude, il faudrait que tu lui fasses des soupers des fois.
C'est ça. Je pense vraiment.
Non, c'est ça. C'est lui en sent le besoin.
Mais c'est ça l'affaire.
C'est que lui, mettons,
il est comme, je veux nous rendre service,
je fais un souper.
Il aime ça faire un souper. » Non. Il aime ça, faire à souper.
Ça compte pas comme un service.
Moi, je fais la litière. J'aime pas ça,
faire la litière. Ah oui, c'est ça qu'il fait la litière.
Ben, c'est mes chats. Non, mais
Giniaise. Évidemment, Giniaise,
mais c'est vraiment... Je comprends.
C'est juste, on parlait de prendre les forces
du couple, mais c'est pas juste. Mais force, c'est
enlever de la barbe. C'est pas ça, des fois,
quand on a le temps,
c'est de mettre les tâches
et de voir comment on peut équilibrer ça.
De façon à ce que ça convienne à tous.
Clairement, il y en fait beaucoup.
Énormément. C'est correct.
Mais toi, tu l'aimes beaucoup, énormément.
T'aimes.
Correct.
Prochaine question.
Des conseils pour une relation à distance.
Pour tout ce qui est
flirt et tout,
garder la passion.
Flirt, ça dépend, on est à
quel stade, disons,
de la relation, mais c'est sûr que c'est intéressant
de garder des ponts, on va dire des ponts
de séparation, de s'entendre
sur le fait qu'on s'appelle,
je sais pas moi, le matin, le soir,
mais que ce soit pas juste factuel, qu'est-ce que tu as fait aujourd'hui,
mais vraiment de se faire des dates, même si on est à distance.
Ça peut être une façon de garder ce lien-là vivant.
Ça, c'est une des façons.
Puis de tout de suite prévoir quand est-ce qu'on va se revoir et de nourrir.
Qu'est-ce qui va se passer quand on va se revoir?
Tu veux dire des dates en FaceTime, là-dedans?
Ça pourrait.
Il y en a qui vont faire des jeux, il y en a qui vont se prendre un ver? Ça pourrait. Il y en a qui vont faire des jeux,
il y en a qui vont se prendre un verre de vin,
il y en a qui vont être plus érotiques.
Mais ça ne devient pas juste un échange des formations
en attendant qu'on se voit, par exemple.
OK.
C'est vrai, c'est une bonne idée.
Oui, vraiment.
Des rendez-vous FaceTime.
Que tu as à faire le souper,
puis ensemble, chacun de leur côté,
mais qu'on se jase avec un petit verre de vin.
Ça pourrait, oui.
C'est une bonne idée.
Je me demande, j'ai une idée.
On pourrait adresser
comment régler chaque des sept
conflits?
On pourrait, mais plus qu'on
se concentre sur la séduction.
Ah ouais, ok. Moi aussi, j'ai vraiment
le goût, mais... J'avoue.
Est-ce que, sinon, mais ça, tu penses
qu'il y en a pour un bon podcast?
On peut toujours faire des... Mais non, parce que sinon, tu penses qu'il y en a pour un bon podcast? On peut toujours faire des...
Mais non, parce que sinon, on peut aller
là-dessus puis revenir pour la séduction.
Non, mais c'est juste parce que
moi, je me dis, c'est séduisant
quelqu'un qui règle ses problèmes,
mais je comprends.
C'est une habileté à développer.
Apprendre
à les négocier aussi.
Trouver des ententes en fonction de...
Par exemple, on va parler d'éducation des enfants.
Souvent, il y en a un qui est plus permissif,
puis il y en a un qui est plus encadrant.
Mais la première étape, c'est de reconnaître
que les deux sont importants.
Plutôt que de dire, ma façon de faire est meilleure que la tienne.
Déjà, si on arrive avec une ouverture,
on ne cherche pas à voir la vérité,
on va moins se braquer.
Après ça, c'est de dire, c'est quoi mon besoin derrière ça?
Moi, mon besoin d'encadrement,
c'est de m'assurer qu'il y a un équilibre,
il y a une routine, par exemple, puis ça fait que je ne suis pas surchargée.
Mon besoin, c'est d'être dans de la légèreté.
L'autre, ça va être la permissivité.
Je trouve ça important, la spontanéité.
J'aime ça qu'il y ait de l'espace pour
des surprises. Je ne sais pas, je dis ça comme ça.
Puis l'idée, c'est de voir, est-ce qu'on peut faire des moments
pour les deux, par exemple? Est-ce qu'on peut
s'attendre, on donne un exemple,
pendant les journées d'école, la semaine
que c'est plus encadré, mais la fin de semaine,
on a un temps plus spontané où là, ce n'est pas grave,
c'est plus lousse, même pour
les heures de manger.
Ça fait que ça s'applique à tout, dans le fond.
Ça s'applique à tout, puis comme je disais, il n'y a pas de recette.
C'est vraiment, chaque couple va essayer.
Puis l'important, c'est que ça convienne aux deux.
Si ça convient juste à un,
ça ne fonctionne pas.
Bon, tant qu'il apprend le premier problème,
puis qu'il fasse un terrain d'entente, parfait. Ça, c'est réglé.
OK. Mais exemple,
tu sais, la famille,
la belle famille.
Oui.
Bon.
On est au compte.
L'idéal. C'est sûr qu'on a le goût de parler de nos problèmes. L'idéal...
On a le goût de parler de ses doutes, on a le goût de parler de nos problèmes.
L'idéal...
On va passer vite, vite.
L'idéal, c'est... De toute façon, on a déjà vu un peu
l'argent, les tâches ménagères. Puis même là, comme je vous dis,
c'est de façon générale, il n'y a pas de recettes.
Après ça, des fois, ça vaut la peine aussi d'aller
consulter parce que quand on est seul, on a des...
On voit moins bien, disons,
ou on est impliqué émotivement.
Donc, qu'est-ce qu'on dit?
On était rendu à la belle famille, idéalement.
Je comprends que tu parles d'une amie aussi.
Oui, oui, oui.
Idéalement, le but, c'est de bien s'entendre.
Mais si ce n'est pas possible,
on peut aussi réduire le temps qu'on passe
de façon à se respecter,
mais à permettre à notre partenaire,
on peut reconnaître que c'est important.
L'autre chose, des fois aussi, c'est d'avoir des frontières.
Des fois, il y a des belles familles
où ils ont la clé pour rentrer.
C'est peut-être de dire, moi, j'ai besoin de savoir
avant qu'ils viennent, d'établir des limites,
notre bulle à nous.
Donc, c'est des petits trucs pour l'instant
que je peux dire sans aller en profondeur.
Oui, oui.
Tu as toutes les questions précises, Joël?
Oui.
Non, mais pour vrai, je connais la réponse.
Donc, c'est correct.
Je sais ce que c'est quoi qu'il faut faire, je pense.
C'est couper le cordon ombilical, quoi.
Non, non, non, mais ce n'est pas ça.
C'est oui, bien oui, puis non, regarde.
C'est juste comme...
C'est juste parce que, mettons, moi, je me mets dans une façon que...
Je te donne un exemple.
Moi, mes parents, tu sais, je réagis d'une façon avec mes parents.
Puis, il y a des choses que j'accepte,
puis il y a des choses que je n'accepte pas.
Bien, mettons, mon chum, il y a des choses...
Ce n'est pas la même chose.
C'est lui, il n'a pas les mêmes affaires.
Puis, il n'a pas le même dialogue non plus avec ses parents que moi, j'ai.
Ça fait que c'est ça que je trouve difficile des fois.
C'est qu'il y a des choses des fois que je suis comme, ben voyons, tu sais,
puis que lui est comme, ah, ben non, tu sais, je suis comme,
puis aussi dans, puis ça, c'est
de mon côté, aussi dans l'éducation aussi,
je veux pas, quand les grands-parents,
tu sais, moi, c'est ma mère qui garde
les enfants, mais tu sais, ça aussi, tu sais, mon chum
des fois, il y a des conflits un peu avec moi parce que
tu sais, ah, ben ta mère, elle donne
plein de chocolat, plein de bonbons, tu sais, je suis comme,
ben oui, mais non, je suis comme, c'est vraiment, je suis grand-maman, fait que tu sais, il y plein de chocolat, plein de bonbons. » Je suis comme « Oui, mais... »
C'est vraiment...
Je suis grand-maman. Il y a tout le temps
des petits, que ce soit de mon côté ou de
son côté, ça revient quand même.
La belle-famille
et les grands-parents et tout.
Ce qui est particulier, c'est que c'est exponentiel
à qui on est. Mettons,
exemple niaiseux,
moi, je suis... Mettons, Claude est pas mal
plus clean freak
que moi, ça me dérange pas
de rentrer avec mes bottes en dedans
mais Claude il fait juste se dire
t'as pilé dans la marde dehors c'est sûr, le bébé joue sur le plancher
il met ses mains dans sa bouche, il est en train de manger de la marde
Claude c'est ça qui se dit
bon, mais moi je fais des compromis
avec ça au quotidien, j'essaie de faire
attention, de pas laisser
jouer le bébé dans le bol de toilette. Je fais attention
parce que je sais que Claude, ça le rend fou.
Mais mon père, il est ça, expose
en vain. Il ne voit
pas, il ne remarque pas. Quand mon père
est à la maison,
mon pauvre Claude, il est là,
le bébé est en train de littéralement
jouer dans son caca.
Des affaires de même. C'est vraiment
comme si c'était
l'exponentiale des belles familles
de qui on est, nous. Comment nous,
on a été élevés. C'est sûr que ça
active
ces choses-là.
Après ça, c'est toujours de communiquer,
de voir ce qui est vraiment important.
J'arrive pas à passer par-dessus de là où je peux
faire un compromis.
Ça en dit long sur le couple, je trouve. Mettons, je regarde ce qui va... En tout cas, c'est par-dessus de là où je peux faire un compromis. Oui. Mais ça en dit long sur le couple, je trouve.
Mettons, je regarde ce qui va...
En tout cas, c'est intéressant.
Les autres, vite, vite, mettons.
On avait dit qu'on allait passer vite, vite.
La sexualité.
Oui, la différence de libido.
Ça, c'est... On ne va jamais forcer la sexualité.
Donc, s'il y a une différence de rythme,
on va toujours aller au plus bas.
Parce que si on ajoute de la pression là-dessus, ça ne fonctionne pas. Puis souvent, il faut voir qu'est-ce qui fait qu'il y en a un qui a moins envie. Des fois, c'est parce que c'est son rythme à lui, il faut le prendre personnel. Des fois, c'est de voir aussi, est-ce que, comme je disais, il y a beaucoup de fatigue, il y a beaucoup de stress.
Des fois, il y en a qui vont avoir
envie tout le temps. Il y en a d'autres
qui ont besoin de se mettre dans un état de disponibilité.
Donc, est-ce qu'on peut permettre à celui qui a besoin
de se mettre dans un état de disponibilité de le faire?
Fait que déjà, c'est d'être conscient de comment
il fonctionne, mon désir. Est-ce que tu l'as un peu
n'importe quand, tout le temps? Est-ce qu'il est plus là quand je sors du gym?
Est-ce qu'il est là quand j'ai eu ma bulle avant?
Et ça peut être de planifier, mais planifier sans exiger qu'il y ait une sexualité. Parce qu'encore là,, il est plus là quand je sors du gym, il est là quand j'ai eu ma bulle avant. Et ça peut être de planifier, mais planifier
sans exiger qu'il y ait une sexualité.
Parce qu'encore là, on ne veut pas la forcer,
mais ça peut être qu'on a un moment ensemble.
Peut-être qu'on va se masser, peut-être qu'on va se coller,
peut-être qu'on va écouter un film, puis peut-être
qu'on fera l'amour, mais on a planifié
ce moment-là, comme ça, celui qui en a envie,
il se dit que ça s'en vient.
Puis celui qui a besoin de se rendre disponible,
il sait déjà que ça s'en vient, il peut penser parce besoin de se rendre disponible, il sait déjà que ça s'en vient. Il peut penser
parce que c'est de l'énergie aussi, la libido.
Il peut penser à « je vais économiser
mon énergie ou je vais pouvoir me mettre dans cet état-là ».
J'ai peut-être
un truc me concernant.
Ma libido, mettons,
je veux dire, est moins élevée
qu'elle a déjà été en ce moment.
Mais quelque chose qui va fonctionner pour moi,
c'est de le sortir de la chambre
à coucher, mettons.
J'ai associé notre routine
sexuelle
à le lit,
puis à des choses qu'on fait tout le temps, depuis
longtemps, puis que je suis comme,
autant qu'à faire la même affaire.
Fait que, mettons, d'aller dans la douche,
d'aller sur la chaise berçante, d'aller dans un parking
dans l'auto, moi, c'est ça
qui va faire que ma libido est comme
« Ah! » C'est autre chose
qu'on ne fait pas d'habitude. Fait que c'est comme
pas... Je ne sais pas
ce qui s'en vient nécessairement, puis ça fait que
je suis moins comme « Bon. »
– Tu nommes en fait le facteur de nouveauté.
C'est vraiment un facteur, parce que
c'est ce qui se passe dans les débuts de relation, on ne sait pas où ça s'en va.
Comment ramener de la nouveauté dans son couple?
Ça peut être justement briser la routine
en changeant de pièce.
C'est une excellente idée ce que tu dis.
Ça peut être la même chose pour manger dans une autre pièce.
On mange tout le temps à la salle à manger,
on va s'installer sur le salon, on va se mettre une couverture au sol,
on va se faire une ambiance.
Des fois, ça n'a pas besoin d'être gros,
c'est juste qu'on change justement l'association dont tu parles.
Ça doit être un bon truc dans la séduction.
C'est un couple
de la disputer ailleurs.
De se faire
romantique dans le salon.
Comment, toi, mettons, tu dirais
que dans ton couple, tu utilises
la séduction en ce moment? Comment que tu fais
savoir à ton chum que tu...
Comment tu le séduis?
Au quotidien. En ce moment comment que tu fais savoir à ton chum que tu comment tu le sais du v au quotidien en ce moment ouais en ce moment non parce que je suis vraiment dans un mode comme
je suis dans le mode vraiment je veux dissocier un peu les actes de la sexualité
je suis en mode avec Louis que
je veux qu'on apprenne à se coller sans faire l'amour
pour ça, je veux qu'on se colle
mais je veux pas qu'on fasse l'amour
je suis vraiment dans ce mood là
des fois c'est difficile
mais je résiste
je veux vraiment qu'on casse
ce genre de mood là
avant c'était rendu ça.
C'était vraiment genre, bon, il me spoon.
Il me colle. Je sais
qu'il veut faire l'amour.
Ça venait tout le temps ça. Puis moi, ça m'a créé
une irritabilité.
Ça m'a créé vraiment que dès qu'il voulait me coller,
maintenant, je pensais vraiment juste tout le temps
qu'il veut faire l'amour. Il ne veut pas me coller
parce qu'il veut me coller, parce qu'il veut me dire qu'il meurt.
C'était ça que je trouvais ce poche
à la fin, quand j'ai réalisé ça avec le sexologue.
J'étais comme, c'est
ça qu'on vit en ce moment, puis je n'ai pas
envie que ça soit ça. J'ai envie que je puisse
me coller avec mon chum, puis qu'il n'y ait pas
pénis qui est là, genre
« Ah, je vais te fourrer! »
On peut-tu juste se coller et s'enfourrer?
Voilà, en ce moment, c'est ça.
C'est que là, vous êtes en train d'apprendre un autre
mode qui est
la sensualité, le ché, etc.
Fait que c'est ça. Fait que c'est le coller
sans sexualité, puis de...
On apprend à se recoller, puis
il y a rien. Fait que tu colles ça en espérant
qu'à un moment donné, tu veux coucher avec?
À l'hôtel, c'était ça.
Puis là, il était comme...
Non. Puis j'étais comme,
non, j'ai pas envie.
Là, il était comme un peu...
Il dit, « Mais là, on est à l'hôtel.
Je l'emmène. » Justement!
Regarde, tu es correcte des fois.
Penses-tu que c'est une bonne façon de...
Non, j'arrête.
Non, non, c'est pas bien.
Ça dépend de chaque couple. Ce que j'entends, c'est pas bien. Ça dépend de chaque couple.
Ce que j'entends, c'est quel était son besoin.
Et ça a été entendu.
Après ça, c'est de voir comment ça va évoluer.
Mais des fois, ça peut être une bonne façon
de désassocier.
On parle toujours d'association,
de désassocier ça.
Ensuite, comment on peut ramener
le plaisir aussi d'être ensemble.
Des fois, ça peut être de créer
un peu plus de désir
sans pouvoir passer à l'action tout de suite.
Exemple, s'embrasser passionnément
cinq minutes avant de partir au travail.
Ça fait qu'on est un peu
dans le début, on retourne un peu dans cette frustration-là
de désir. On va peut-être y penser toute la journée.
Ça prend cinq minutes, ça nous a
reconnectés. Il y a peut-être des chances que le soir,
il se passe quelque chose.
C'est des petits rituels.
En fait, ce qu'ils ont vu,
c'est que les couples heureux
passent à peu près 5 à 10 fois plus
de temps à se faire des compliments
que les couples qui sont malheureux.
C'est aussi de nourrir le positif.
Et ça, ça alimente le terrain.
Ça, c'est une des façons.
Maintenant, j'en ai un truc pour vous
qui est pour tout le monde
et on minimise le pouvoir de l'odorat.
Oui.
Oui, donc en fait, c'est parce que suite au COVID,
il y a eu beaucoup de recherches sur l'odorat
parce qu'il y en a qui perdaient l'odorat justement,
même qui sont en train de travailler sur des nez artificiels,
des prothèses nasales, oui.
Ils sont en train de travailler là-dessus.
Et ils se sont rendus compte que le sens de l'odorat, c'est celui qui a
le chemin le plus direct.
Donc, il est associé beaucoup à la mémoire
sensorielle, émotionnelle.
Ce qui fait que quand on sent
une odeur de biscuit, on sent quelque chose
qu'on a vécu quand on était jeune, ça revient tout de suite,
que ce soit positif ou négatif.
Mais là, si on se rappelle au début,
si on avait par exemple un parfum,
ça vaut la peine de le remettre, ce parfum-là.
Parce qu'on va réactiver cette période-là dans laquelle on se courtisait au début.
Puis des fois, ça peut être tout simplement de changer de parfum aussi.
Il paraît que ça pourrait réactiver le désir.
Maintenant, c'est un parfum qui nous va bien.
Donc, ce qui est important, c'est que ça ne vienne pas masquer complètement notre odeur corporelle
parce qu'il y a les phénomènes aussi qui entrent en jeu.
L'idée, c'est de se trouver un bon parfum,
de reprendre celui qu'on avait déjà
ou d'aller s'en choisir un nouveau.
Voilà.
Moi, je suis mûre sauvage depuis que j'ai 12 ans.
Mon chum est écœuré.
Mais, tu sais,
il me fait bien.
C'est comme mon parfum depuis
dans un jardin.
J'avais un parfum
parce qu'on s'est rencontré
à une télé-réalité.
J'avais un certain parfum
à ce moment-là.
Tu pourrais le remettre?
Je l'ai déjà remis une fois. J'ai fait un test.
Il n'a pas vraiment marqué.
Moi, je sens cette odeur-là.
Moi, ça me le fait que je suis propulsée
à ce moment-là.
C'est vraiment pas un goût de parfum.
Il n'aime pas ça.
Ça peut être pour toi aussi, des fois,
si tu veux t'aider à te remettre dans le mood.
Ça peut être aussi d'utiliser des odeurs...
On parlait de cuisine, de biscuits,
de diffuseurs, mais les odeurs
peuvent vraiment aider à créer une ambiance.
Est-ce qu'on a des odeurs associées?
Il semblerait que les odeurs plus épicées sont plus sensuelles.
Mais maintenant, ça dépend parce que ça n'ira pas à tout le monde.
Je pense que c'est quelque chose de plus personnel.
Les hommes, ça a l'air que la vanille, ils sont plus sensibles à ça.
Ah oui?
Vanille.
Les parfums vanille,
les crèmes, mettons, pour le corps,
plus vanille.
Ça, c'est...
Bien, c'est ça encore, là.
Je propose à chacun, là.
Mais aussi, ce que je faisais au début
de notre relation,
que je pourrais ramener,
c'est que j'avais une chandelle
que, quand j'allumais cette chandelle-là,
c'était...
C'est une odeur afro-diac.
C'est une chandelle érotique. Oui. Puis que j'avais associé vraiment cette chandelle-là, c'est une odeur afro-diac, c'est une chandelle érotique,
puis que j'avais associé vraiment
à le plaisir en couple.
Tu fais combien de temps que tu n'as pas allumé
cette bougie-là?
Avant mes bébés.
Soliane, je l'avais refaite.
On avait fait une soirée Saint-Valentin,
puis j'avais fait.
Puis depuis, je ne l'ai pas refaite,
cette odeur-là.
Tu sais, tu serais peut-être ça.
Est-ce que tu te souviens de bord la dernière fois où tu...
Genre, ça peut être banal.
Genre, tu l'as texté pour dire je t'aime.
Tu sais, la dernière chose que tu as faite pour lui montrer que tu l'aimais, mettons.
Un matin, j'ai donné un bisou et j'ai dit bonne journée avec mon petit garçon.
OK.
C'est ça.
Mais tu sais, la dernière relation que j'avais eu vraiment du plaisir, c'était la fois où est-ce que je t'ai dit bonne journée avec mon petit garçon. OK. C'est ça. Mais tu sais, la dernière relation
que j'avais eu vraiment du plaisir, c'était la fois
où est-ce que je t'ai dit que
on s'était couché en petite cuillère
puis que c'était moi
puis là, je le spoonais moi-même
mais lui, il me spoonait pas parce qu'il voulait pas
me montrer qu'il...
whatever, c'est au début quand on avait la discussion.
Puis là, moi, je le spoonais, je le spoonais, je le spoonais
puis c'est devenu de plus en plus fluide dans les deux.
Ça faisait comme 45 minutes qu'on faisait la vague comme ça, puis c'est l'excitation full montée.
Puis je ne me rappelle pas avoir eu autant de plaisir en faisant rien.
Genre, je n'ai même pas eu de pénétration, rien, puis j'avais du plaisir.
Mon clitoris était rempli de sang, là. J'étais comme…
Parce que dans le circuit, on va dire, du plaisir,
si on revient à notre triatome,
qui est l'organe de pulsion,
dont je parlais avec Sébastien Bollard,
il va y avoir une récompense de dopamine à trois moments.
Quand on est à la recherche d'un objet de désir,
indépendamment de ce que c'est,
on a envie d'acheter quelque chose,
on a envie de courtiser quelqu'un,
on a envie d'atteindre un objectif.
Au début, pendant qu'on l'anticipe,
il y a de la dopamine qui est envoyée.
Quand on atteint l'objectif, il y en a encore,
parce qu'on a réussi, on est récompensé.
Et dépendamment si on sait ou pas si ça va arriver,
quand il y a un effet d'incertitude,
il y en a encore qui est sécrété.
Donc, c'est ce qui fait qu'entre autres,
dans la phase de la lune de miel,
on en a tout le temps,
parce qu'on ne sait jamais,
on anticipe l'autre, c'est nouveau,
on l'admire, on ne le connaît pas.
En plus, il y a du mystère,
on travaille fort,
donc on se mobilise,
ce qui fait qu'on reçoit plus de récompenses,
puis on ne sait pas comment va être le résultat.
Et quand on est en couple,
l'effet anticipation,
on est plus dans la routine,
il est moins là.
Les trois, c'est incertitude.
Anticipation.
Le fait de faire des efforts pour atteindre l'objectif et quand on l'atteint.
Je les mets ensemble.
Et l'incertitude qui est reliée au résultat.
Incertitude.
Donc justement, on s'entend que l'incertitude.
Je ne sais pas si c'est votre réponse.
Voilà.
Puis que l'être répond.
C'est ça.
Quand on est en couple,
il y en a beaucoup qui s'en vont.
L'idée, c'est comment je peux ramener de l'anticipation.
C'est justement en planifiant.
Puis planifier, je sais qu'il y en a qui vont dire
que c'est tellement anti-romantique de planifier.
Il y en a qui n'aiment pas ça.
Mais il peut y avoir beaucoup de surprises
dans la planification.
On peut, par exemple, choisir,
dépendamment de son horaire,
il faut que ça nous convienne,
qu'une fois, une heure ou deux semaines, on a un rendez-vous et chacun est libre de choisir ce dépendamment de son horaire, il faut que ça nous convienne, que une fois, une heure ou deux
semaines, on a un rendez-vous, puis chacun est
libre de choisir ce qu'on va faire. C'est une surprise, par exemple.
Fait qu'il a l'anticipation,
il a le « je sais pas ce qui va arriver ».
Donc ça, ça peut être un peu plus
excitant. Et on sait
quand même qu'on va être disposé pour
se concentrer au couple. J'aime ça, ça.
Parce que souvent, c'est souvent moi
qui va prévoir, parce que...
Oui, c'est ça. Mais...
Il y en a aussi,
je vais en parler brièvement, il y a le jeu
Créa Souvenir aussi qui est intéressant,
qui vient d'arriver. C'est un jeu qui est inclusif.
Et pour ceux qui n'ont pas d'idée,
cette personne-là, elle a pensé à ça.
Donc, c'est vraiment l'idée de choisir
des cartes et d'avoir
plein d'idées. Il y a un défi plus
osé, il y a un défi plus classique, il y a
différentes activités qui sont selon les budgets.
Ça donne des idées pour ceux qui ne savent pas quoi faire.
Oui, c'est une fille chez Ross
qui a fait son jeu avec son chum.
Il est dispo. Je ne l'ai même pas encore ouvert.
Justement, il faudrait qu'elle m'envoie.
Il est super intéressant pour ça. Il s'appelle Créer un souvenir.
Créer un souvenir.
Comme une boîte orange.
Il est beau. Je vais'appelle Créer un souvenir. Créer un souvenir. Comme une boîte orange. Il est beau.
Je vais t'envoyer.
Tu vas le faire?
Ben oui.
Tu as le calendrier de l'avance.
On va le faire, ça.
C'est hot.
Anticipation, donc, de cette façon-là.
Très bonne idée.
Puis ça, c'est une bonne façon
de ramener ça. Parfait.
Je comprends. Des petits rituels aussi. Je parlais du matin,
mais ça peut être, ça peut être cinq minutes, mais pas pour
échanger sur ce qu'on a à faire aujourd'hui.
Cinq minutes où on est en mode amoureux.
Oui.
Sur l'heure du dîner ou quand ça
donne. Hier soir, là, mettons,
j'ai réalisé que je
le trouvais irritant. Il était à côté
de moi.
Attends, ça va quelque part.
J'étais assise sur le divan à côté de lui
puis il se rongeait les ongles. Puis là, j'entendais
le son de chaque ongle qu'il arrachait.
Puis là, j'ai dit
voyons les vieux ongles rongés.
Puis il était comme, ah, tu maïs.
J'étais, non, je m'excuse, mais c'est parce
que j'étais en train de faire autre chose. Puis j'ai réalisé
que j'étais comme irritée par lui parce que j'étais en train de faire autre chose, puis j'ai réalisé que j'étais comme irritée par
lui, parce que j'étais en train
de faire autre chose, puis fait que j'ai
éteint mon téléphone.
Je l'ai mis mode avion, j'ai arrêté
tout ce que j'étais en train de faire,
puis je l'ai accompagné pendant qu'il faisait la souper,
puis je suis restée avec lui, puis je l'ai écouté, puis on a passé
une belle soirée. Parce qu'au moment où j'ai
réalisé que je commençais à être irritée, c'est parce que
je le voyais juste comme un
accessoire sur le côté qui fait du bruit.
Mais la seconde où j'ai coupé tout ce que j'étais en train de faire
puis que je me suis concentrée sur lui,
automatiquement, on a passé une extraordinaire
de belle soirée. On l'a fini dans la douche,
la lumière rouge, pendant que le bébé dalle.
C'est vrai? Bien, bravo, en tout cas,
d'avoir été capable de te réajuster.
C'est intéressant.
J'ai réalisé que, dans le fond,
pourquoi je suis irritée, c'est parce que
je lui donnais pas
d'importance à ce moment-là.
J'entendais juste un petit cri de bruit de fond,
de bave sur des ongles.
Ça peut aussi avoir un lien
avec son besoin
d'espace.
Ça peut arriver dans un couple. Souvent, il y en a un
qui a envie plus d'être fusionnel. Il y en a un qui a envie de plus d'aut. Ça peut arriver dans un couple, souvent, il y en a un qui a envie plus d'être fusionnel,
il y en a un qui a envie
de plus d'autonomie. Fait que des fois,
quand on est dans ce...
Ce qui est souvent, ce qui est assez
récurrent, c'est de donner de l'espace
à celui qui en a besoin, et ça,
ça peut faire en sorte qu'il est plus disponible.
Parce que des fois, ce qui peut arriver, c'est que celui qui a plus
envie d'être avec l'autre, il est tout le temps en train de courir après,
il est toujours en demande. Fait que celui qui en veut pas, il est encore plus enautre, il est tout le temps en train de courir après, il est toujours en demande.
Fait que celui qui n'en veut pas, il est encore plus en train de s'éloigner.
Puis là, on est dans un cercle vicieux.
Fait que c'est important de dire, des fois, ça peut être de le planifier aussi.
Moi, j'ai mes bulles à moi, ça n'a pas besoin d'être tellement long,
mais au moins, je les ai.
Et comme ça, l'autre, il peut les respecter.
Ça va lui donner envie d'être plus présent.
C'est ce que des fois, le concept de la bulle, la personne, elle ne comprend pas, vraiment.
– Bien, si on n'en sent pas besoin,
c'est pour ça que c'est important de le clarifier,
puis des fois, de vraiment l'inscrire,
parce qu'effectivement, ou de rappeler,
« moment bulle ». – Je n'ai pas rapport, je pense, oui.
Je n'ai pas rapport.
D'abord, je crois que pendant ma bulle,
il vient s'asseoir sur le lit avec le bébé pour me parler.
– Parce que lui, il n'en sent pas le besoin.
Oui, non, c'est ça.
Puis que le « momambule » n'est pas assez clair.
Oui, exactement.
Comme qu'elle dit « momambule »,
ou sinon tu t'achètes une petite affaire,
tu mets sur ta porte « momambule ».
Ne pas déranger.
C'est parce que quand tu parles de ton irritation,
ça peut aussi créer ça,
le fait de ne pas avoir ces « momambules ».
C'est ça.
Donc, si on parle de séduction,
on a besoin d'espace un peu.
Donc, de réaliser aussi
que c'est important pour toi,
même si c'est des petits moments,
ça va jouer sur la disponibilité aussi.
Oui.
Comme lui, quand il fait caca,
mettons, genre,
il veut tout le temps être seul,
mais moi, je me rends compte
que je ne lui donne pas sa bulle
parce que moi, j'entre,
puis il faudrait que je...
Respecte ça.
Oui, c'est ça. Ça en fait réaliser ça. Mais pour moi, j'entre. Il faudrait que je... Respecte ça.
Ça me fait réaliser ça.
Pour moi, ce n'est tellement pas important parce que
quand je fais ça, il n'y a pas de problème.
Mais lui, je pense que c'est son petit moment.
Tu me nommes bien.
Ça va être gagnant pour les deux, en fait,
de le respecter, ce moment-là.
Bulle, peu importe
quelle est l'activité,
disons, de la bulle. Mais c'est important
aussi que celui qui a tendance à être plus
autonome, plus
indépendant, priorise
et planifie
des moments en disant, bien,
c'est aussi important pour l'autre qu'on cultive.
C'est ça que j'ai réalisé hier, parce qu'à force,
mettons, de ne pas avoir mes moments
complets où je suis seule,
bien là, j'ai fini par être irritée, mettons, dans mon pas avoir mes moments complets où je suis seule, bien là, j'ai fini par
être irritée, mettons,
dans mon quotidien, que je vais être comme
« il est tout le temps là, si, il est tout le temps là »
bien, en place.
Mais là, évidemment, j'exagère
pour les besoins de la cause, puis je trouve ça drôle,
puis je l'aime, je l'aime, je l'aime, je l'aime.
On le sait, je suis en manière avec ça.
Mais justement, de faire « ok,
lui, clairement, il voudrait que je sois disponible, puis que je me laisse, mais justement de faire ok, lui clairement
il voudrait que je sois disponible
puis que je me laisse
qu'on passe un moment ensemble
parce que là on est tout le temps ensemble mais zéro moment de qualité
fait que justement de faire ok, bien check
je vais fermer mon téléphone
de faire le premier pas
puis après ça, ça va être plus facile
pour moi de faire ok, là je veux ma bulle
l'idée aussi c'est de
privilégier
la qualité au-delà
de la quantité. Parce que des fois,
quand on vit ensemble,
on passe beaucoup de temps ensemble, mais pas
de bonne qualité. Des fois, c'est de dire
« J'ai un passe-temps, je vais prendre
un temps pour moi, puis
on se verra ensemble et je serai
disponible, plutôt que d'être toujours dans des entre-deux. »
Ben oui, c'est sûr.
Je l'ai souvent entendu. Ben oui, mais on a passé
la fin de semaine ensemble, mais en réalité, non.
On essaye vraiment,
maintenant, à partir de
quand ma fille arrive de la garderie,
de ne pas être sur le téléphone de 5 à 7.
C'est le temps qu'elle a.
Je suis comme... Il y a un deux heures,
quand elle va à la garderie,
on peut-tu ne l'avoir pas sur nos téléphones?
Ça, ça l'aide vraiment.
Je trouve que depuis qu'on fait ça,
autant je me sens mieux aussi
avec la relation que j'ai avec mon enfant
et avec mon chum.
Les deux, on n'a pas de téléphone.
Mais c'est ça.
C'est des ajustements au fil du temps.
Qu'est-ce qui te...
Rebonjour. Désolée pour la petite pause. ajustements au fil du temps. Qu'est-ce qui te... Oui.
Rebonjour. Désolée pour la petite pause.
Yes. On sait quoi qu'on disait avant de se quitter.
En fait, je voulais
vous expliquer les phases du couple.
Oui. Donc,
on en a parlé un peu au premier.
La première, c'est la lune
de miel. Donc, la passion.
On est dans la fusion
on a plein d'hormones qui font en sorte que
on se synchronise facilement, on a plein d'énergie
on a cette hormone-là
dont la phélylithylamine qui est comparée à de la cocaïne
donc on est vraiment sur un high
après ça il y a une phase de désillusion
donc ça c'est entre 3 mois et à peu près
un an et demi, ça dépend des couples
ça dépend des styles amoureux
donc de façon générale il y a une désillusion
qui fait que ce cocktail d'hormones-là diminue,
on se rend compte que l'autre est imparfait,
il y a des défauts et vice-versa.
Et là, on se dit, bien, finalement,
je ne sais plus si on est compatibles.
Et là, le choix amoureux, c'est vraiment de dire,
on va construire la relation.
C'est pour ça qu'on dit que l'amour, c'est un choix.
Avant ça, c'est l'état amoureux.
Là, il y a ce qu'on appelle la lutte de pouvoir. Donc, en fait, on va s'estimer sur qui devrait faire quoi,
comment on devrait faire, qui a la meilleure façon de faire. Donc, c'est vraiment une lutte.
Et l'objectif, c'est de dépasser ça pour arriver au partage de pouvoir. Mais il y a beaucoup de couples
qui restent pris dans la lutte. L'idée, c'est de faire en sorte qu'on ne reste pas trop longtemps là-dedans
parce que là, on se fait mal,
il y a des frustrations, des blessures qui s'accumulent.
Donc, l'idée, c'est vraiment de sortir de ça
pour être dans le partage du pouvoir
où on met les forces de chacun au service du couple.
Et par la suite, on va être dans l'engagement
et la contribution, même l'ouverture à plus grand finalement,
une fois qu'on aura réalisé nos projets communs.
Une des croyances par rapport à la séduction,
à laquelle il faut faire attention,
c'est de croire que ça va être comme au début,
parce que ça a changé.
Donc, des fois, les gens vont dire,
je n'ai plus les papillons,
peut-être que je n'aime plus la personne,
mais ça n'a rien à voir.
C'est juste que ça s'est transformé.
Et si on cherche à retrouver la même chose,
on va pouvoir recréer certains éléments, on va dire,
mais on ne pourra pas retrouver la même chose.
Ça fait que la première chose, c'est d'avoir des attentes
qui sont réalistes par rapport à son couple
et à ne pas trop s'en demander, finalement.
Je suis capable de le mettre dans mon quotidien,
ce que tu me dis là.
Comment j'en parlais
tantôt, de sentir que
des fois, on joue l'un contre l'autre
et des fois, on joue ensemble.
C'est fou. Puis à la seconde
où on fait comme, on fait ça ensemble,
c'est un travail d'équipe.
Automatiquement, tout le reste
est moins grave
ou plus grave. Puis on est capable
de ce qu'on réalise qui est vraiment là.
C'est ça le secret.
Oui, c'est de devenir des équipiers.
Vraiment.
OK, ça.
Comment pousser les limites
dans la séduction en couple
après dix ans de relation?
Je n'ai plus d'idées.
Pousser les limites, dans le sens que...
Oui, je ne sais pas dans quel sens
on voudrait pousser les limites.
Peut-être qu'elle veut le dire.
Comment renouveler?
Bien, renouveler, c'est là où, au début,
j'avais parlé du sens du couple.
C'est peut-être de se dire, on est rendu où?
Qu'est-ce qu'on veut aujourd'hui?
Qu'est-ce que moi, je veux?
Parce qu'on parle beaucoup du désir envers l'autre.
Mais moi, dans ma vie,
qu'est-ce qui me donne envie de vibrer? Est-ce que j'ai des nouveaux que moi je veux? Parce qu'on parle beaucoup du désir envers l'autre. Mais moi, dans ma vie, qu'est-ce qui me donne envie
de vibrer? Est-ce que j'ai des nouveaux
projets aussi personnels? Si j'ai
focalisé beaucoup mon attention sur le couple
ou sur des projets communs, sur des enfants,
qu'est-ce que je peux faire aussi pour
nourrir ma vie? Donc, déjà là,
j'active mon propre désir.
Et ensuite, qu'est-ce que nous, on pourrait faire ensemble
qui va nous stimuler? Ça, je pense
que je commencerais par ça.
Après ça, pousser les limites, je ne sais pas
tout à fait dans quel domaine on est.
Elle doit se dire qu'elles ont tout fait.
Là, je me demande aussi, avec cette question-là,
est-ce qu'il y a eu
une discussion réelle
sur les besoins?
Parce que quand on dit « j'ai tout fait »,
est-ce qu'elle a l'impression, cette personne, de s'être épuisée?
Fait que j'ai l'impression
que ce que j'entends là, c'est
j'entends un besoin de discussion aussi,
peut-être. – Qu'il y a juste une des deux personnes
qui essayent. – Je sais pas, j'ai pas assez
d'informations, mais peut-être. Tu sais, quand on dit « j'ai tout
essayé », j'ai pas entendu dans la question « on a
tout essayé ». Fait que j'irais
voir est-ce que cette personne-là
a la sensation d'être seule à faire des efforts?
Est-ce qu'elle a bien nommé ses besoins?
Ça a été bien compris? L'autre aussi,
partenaire comme insistant, je pense que ça nécessite
une discussion peut-être plus
approfondie. C'est vrai.
Puis le couple, c'est vrai
que ça va bien mieux
un couple quand tu devais
trouver toi-même des
hobbies ou une activité ou un projet
personnel parce que
juste te focusser dans ton couple
et tes enfants, à un moment donné,
c'est comme là, moi, c'est ça.
Il faut vraiment que je me trouve quelque chose
parce que sinon, j'ai l'impression que je suis
uniquement juste ça et ça,
je n'ai pas envie d'être uniquement ça.
On s'entend, je travaille,
je suis... Mais c'est autre chose que... Puis ça, je n'ai pas envie d'être uniquement ça. Fait que, tu sais, on s'entend, je travaille, j'ai des choses.
Mais c'est autre chose que... Dans ton quotidien.
Oui.
Comme toi, t'as trouvé, tu sais,
bien, en fait, t'as trouvé,
t'as ton gym, là,
puis t'as trouvé vraiment ton...
Bien, Chris, je suis tombée sur une vidéo hier
qui disait comme,
on peut-tu comme arrêter de dire
qu'il y a les femmes qui prennent le temps de prendre une douche,
de se préparer
avant d'aller se coucher, de se préparer le matin,
c'est des temps libres. Non, c'est
l'hastie de base.
Depuis ce temps-là, je me dis,
mon temps libre, mon gym
techniquement, c'est la santé physique.
C'est l'hastie de base.
Fait que mon temps libre où je peux
juste m'effoirer le cul puis jouer à Zelda sur la Switch, lui, il est où, hein? C'est quand que je peux Mon temps libre où je peux juste me foirer le cul et jouer à Zelda,
c'est la Switch, lui. Il est où?
C'est quand que je peux juste dire,
la gang m'en va m'enfermer une heure, rien qu'à le c'est.
C'est ça, la dernière fois que j'ai fait ça,
je sais-tu.
Ça fait trop longtemps.
Un moment Zelda au calendrier.
Je veux juste jouer à fucking Zelda.
C'est vrai.
On dirait, moi, je veux juste sortir de la maison,
peu importe, mais c'est vrai que
l'entraînement, dans le fond, ça reste
que, tu sais,
c'est un...
C'est pas la même relaxation, disons.
Oui.
Ça peut être important qu'on a beaucoup de responsabilités
de le planifier et de voir comment on peut
s'organiser en conséquence parce que sinon,
ça ne viendra pas tout seul.
On va se retrouver happé,
disons, dans le quotidien.
Le temps, c'est quelque chose qu'on a, c'est quelque chose qu'on prend.
Puis pour vrai, si tu ne le planifies pas,
surtout quand tu es des enfants,
je ne sais pas comment le monde y fait
pour ne pas planifier.
Tu passes tout de suite.
Ah, ça fait combien de temps qu'on a fait ça?
Bon, six mois.
Il y en a qui ont un style plus spontané
et ça fonctionne pour eux.
Le problème, c'est quand ils sont insatisfaits
que là, ça vaut la peine peut-être
d'amener un peu plus de structure.
Puis, tu sais, on parlait d'espace.
Excuse-moi.
Non, non, non.
On parlait d'espace.
Justement, le fait de retrouver un loisir,
comme tu nommes, d'avoir quelque chose à toi
à l'extérieur de la maison,
pardon, je l'accroche souvent, ce micro-là,
ça va en créer nécessairement de l'extérieur de la maison, ça... Pardon, je l'accroche souvent, ce micro-là. Ça va
en créer nécessairement de l'espace dans le couple.
Et ça aussi, ça peut amener
plus de désir. Parce que, justement,
on n'est pas toujours là. On s'occupe
de sa vie aussi, pas juste de sa vie.
De couple ou de famille.
C'est vrai. Et de rester aussi, tu sais,
assez clair
sur les moments.
Tu sais, j'ai réalisé, mettons, que
j'ai dit à Claude,
je m'excuse, j'aurais pas dû dire, je vais me préparer,
je vais m'habiller.
Je sais que le mot préparer me fait peur.
Il a dit, ben oui, mais toi aussi ça te ferait peur si j'avais un mot
qui vacille entre 5 minutes et 2 heures.
Je comprends ce que tu veux dire.
Je comprends ce que tu veux dire, mais c'est vrai.
De pouvoir dire, hé, làest vrai, de pouvoir dire,
là, je vais prendre tant de temps
à être précis.
J'avoue que j'ai manqué beaucoup.
Ça ne crée pas d'attente.
Même dans la communication, souvent,
on va faire des demandes et les gens vont dire,
j'ai été claire, j'ai dit que j'avais besoin
qu'ils me montrent qu'ils m'aiment.
Ou inversement, mais ce n'est pas clair.
Spécifiquement, quels comportements
te font sentir aimée?
Quels comportements font sorte que
tu te sens séduite ou séduite? Ça vaut la peine de
préciser, toujours en comportement.
Et là, ça clarifie
les attentes, ça donne plus
de pouvoir à l'autre aussi pour y répondre.
Tu sais, on a vraiment tendance
à revenir dans son langage
à soi. Moi, c'est ça que j'ai la misère
à vraiment me remettre dans la peau à mon chum parce que moi, j'ai pas besoin d' à soi. Moi, c'est ça que j'ai de la misère. À vraiment me remettre dans la peau
à mon chum parce que moi,
j'ai pas besoin d'être ça. Moi,
j'ai tout le temps tendance à faire comme moi.
J'aime me faire aimer puis comme moi,
j'aime me faire sentir. Fait que je suis comme, ben là,
ça fait longtemps, on n'a pas eu un moment, mais tu sais,
c'est ça. Lui, il faut que je me rappelle que
Zach de service,
se coller,
ces affaires-là.
C'est important de s'en rappeler pour
honorer les façons
de l'autre, de nous aimer qui ne sont pas les mêmes,
mais c'est important aussi d'être rejoint dans son langage
et de nommer à l'autre, moi,
c'est ça qui vient me donner...
Mais les moments de qualité, c'est parce que j'y prévois.
Je n'ai pas besoin de...
Je suis quand même assez satisfaite là-dedans parce que
quand j'en veux un, je le prévois
et c'est correct, c'est fait.
Ton chum vient de t'écrire
« super belle journée » avec une photo.
C'est parce que j'ai dit que je l'aimais.
Ah bon!
Mais ce n'est pas un acte de service.
Il faudrait que j'aille chercher les vidanges
et que je les ramène à ma maison.
On est en train d'entretenir le jardin
de créer le terrain.
Oui, exact. Toi, manges-tu le pouentretenir le jardin, le terrain. Oui, exact.
Toi, manges-tu le poulet?
Il m'a fait un lunch.
Mais c'est ça, Louis, c'est comme...
Ah, petit cul!
Moi, je ne pense pas faire un lunch à Louis.
C'est comme toutes les petites affaires comme toi.
On s'en ressemble un peu là-dessus.
On a des bons chums.
Eh oui.
OK, donc, c'est quoi les autres?
J'ai perdu, c'est pas vrai qu' Là, j'ai perdu. OK, attends.
Comment garder un partenaire à long terme?
Le fameux cycle de trois mois, trois ans,
tu l'avais dit tantôt.
Des conseils de séduction pour des nouveaux parents.
Je voulais juste répondre à la première.
Oui.
Trois ans, c'est vrai que j'avais répondu,
mais moi, il y a une question que j'aime beaucoup
quand on se dit, pas une question,
mais un rappel quand on se dit de ne pas prendre l'autre pour acquis. C'est de que j'avais répondu, mais moi, il y a une question que j'aime beaucoup, qu'on se dit, pas une question, mais un rappel,
qu'on se dit de ne pas prendre l'autre pour acquis.
C'est de se rappeler, pas pour générer inutilement de l'anxiété ou de la paranoïa,
de se dire, à n'importe quel moment, ce partenaire peut m'être enlevé,
pour différentes raisons.
Et des fois, on le prend pour acquis, mais de se rappeler ça,
que oui, il pourrait me quitter, il pourrait arriver quelque chose. On ne veut pas devenir
prophète de malheur, mais se dire
cette personne fait un choix tous les jours aussi
d'être là. Ça fait aussi
qu'on peut retrouver
l'œil
nouveau qu'on avait au début, finalement.
Ça, c'est juste une question, mais se le rappeler
de temps en temps, on fait, ah oui, c'est vrai,
finalement, on dirait que je le vois ou je la vois un petit peu plus
comme au début.
De te faire dire ça en ce moment,
ça te fait sentir comment par rapport à lui?
Bien, oui. Ça, il faut que je me le redise
vraiment souvent parce que
de me rappeler qu'il ne m'appartient pas
et que ce n'est pas...
Non, mais de savoir qu'en ce moment,
il est là parce qu'il t'a choisi
et qu'il a choisi d'être avec toi.
Comme de te rendre compte de ça.
Ah bien, c'est ça.
Je suis une bonne personne aussi.
Et vice-versa, mais c'est que ça...
Oui, mais c'est vraiment important
de se le rappeler que
dans les deux moments,
puis ces temps-ci, je me le
rappelle souvent, j'essaie vraiment de me leur dire
que je suis chanceuse, qu'on est
chanceux de savoir, tu sais, les deux.
Ça fait sept ans, ça fait six ans, six, qu'on est chanceux de savoir, tu sais, les deux. Puis ça fait 7 ans, ça fait 6 ans,
qu'on est ensemble, 2018,
en tout cas, bref, ça fait un bout, tu sais,
puis j'ai l'impression qu'on est un nouveau couple.
Tu sais, puis qu'on essaie vraiment des nouvelles.
Ça va faire 6 ans
au mois de février.
Fait que c'est vraiment le fun,
parce que je sens pas qu'on est un vieux couple.
Je sens vraiment qu'on travaille vraiment sur notre couple
pour essayer tout le temps de se redécouvrir
et d'essayer de nouvelles choses.
Puis il y a aussi des tempêtes de couple.
Oui, oui.
C'est-à-dire, par exemple, un enfant,
on considère que c'est une tempête,
de se demander dans les premiers mois
de renouveler la séduction, ce n'est pas réaliste.
La COVID a été une tempête aussi
et il y a eu une hausse phénoménale
de séparation et de divorce.
Puis des fois, c'est de se dire, on sait qu'on traverse
une tempête et on met une date.
Dans un an,
on en reparle, mais on remet pas notre couple en question.
Ça déjà, ça peut apaiser
les choses puis se dire, on a des attentes réalistes,
comment on fait juste pour passer à travers.
Après ça, c'est pas d'accepter des
comportements qui sont toxiques, par exemple,
ou des relations qui deviendraient toxiques.
C'est d'aller chercher de l'aide,
mais des fois, c'est d'avoir des attentes que ça
se peut que ce soit pas le bon moment, qu'on soit pas disponible
pour des moments de séduction.
Tant mieux s'il y en a, mais en ce moment,
on devient une équipe
et on traverse une tempête.
C'est bon de se faire une date
parce que, justement, bébé, on a un petit bébé, de se dire. C'est bon de se faire une date. Parce que, justement, bébé,
on a un petit bébé.
De se dire que c'est normal qu'on soit pour.
Tout à fait. Mais la date, mettons,
tu te dis que c'est une date pour...
On dit que c'est en général deux ans pour un enfant.
Ah, ouais?
Après ça, ça peut devenir plus doux.
Il y a des tornades, il y a des différentes tempêtes.
Mais ce qui peut aider, c'est de se dire
qu'on ne remet pas le couple en question.
Plutôt que, mon Dieu, on s'est perdu.
Bien, c'est normal.
On est en réajustement.
Ça fait qu'on se crisse pas là
tant qu'il n'y a pas deux ans. À ces deux ans-là,
c'est beau.
Idéalement, on va chercher de l'aide avant.
On va savoir que je ne suis pas là en tant que problème, c'est nous autres.
Ça dépend des circonstances.
Encore là, c'est de façon générale.
Mais ça va toujours aider de mettre une date.
Des fois, ça peut être juste aussi, là, on est dans une période de crise.
C'est la même chose pour les discussions.
Des fois, il y a quelqu'un qui veut parler
d'un sujet, l'autre, il se dit, je ne suis pas disponible,
quand est-ce qu'on pourrait prendre un petit temps?
Là, c'est au calendrier.
Tu m'imagines, Joannie et Louis, là, je ne suis pas disponible.
Là, en ce moment, on est en période de crise.
C'est tellement drôle.
C'est d'avoir
des rituels quand même. Ça peut être
des petits rituels. C'est pour ça qu'en
PNL, on porte toujours des petits pas.
Ça peut être trois minutes le matin,
dix minutes le soir.
Tant mieux si on peut s'offrir
et s'en prendre des escabades, des voyages.
Mais on peut
aussi faire ça avec des petits pas.
Puis tous ces moments-là calculés
viennent aussi
créer un tout.
Une autre affaire
que j'ai faite
puis que j'ai testée puis que ça semble
marcher.
Solène est rendue à
presque trois ans, est rendue qu'elle comprend
quand on se chicane ou s'assume.
On ne se crie pas dessus, mais tu sais, quand on se chicane,
elle va dire
« Non, maman! Non, papa! »
Puis là, je suis comme « Oh non! »
Oh mon Dieu! Mais non, là, ça me brise le cœur
parce que moi, mes parents, j'ai voyagé chicaner,
puis j'ai dit « Incapable! »
Genre, j'ai tout le temps vu mes parents
se chicaner, puis ça m'a traumatisée.
Fait que je disais à Louis,
genre, quand Soliane est là,
on ne se chicane pas, même si
on ne se chicane pas.
Après, quand elle va dormir,
là, on se parlera.
Mais en faisant ça, au début,
c'était difficile parce que ça se faisait
automatiquement.
C'est Soliane à nous.
Elle n'aimait pas ça.
Puis là, on est rendu bon.
Là, c'est vraiment ça.
Mais depuis qu'on fait ça,
on oublie des fois qu'on était chicanés.
Fait que là, je suis comme,
ah, ça, on était chicanés.
On avait eu une discussion.
Puis là, je ne m'en rappelle plus.
Fait que c'est quand même bon.
C'est que là, vous êtes dans l'état idéal
pour en discuter.
Parce que quand on est dans une charge
émotive intense,
il y a peu de chances que ça donne un résultat intéressant.
C'est pour ça que la première étape avant une discussion,
des fois, les gens disent, il faut que je parle.
Probablement pas.
Quand il y a une urgence, c'est probablement le signe
que tu as besoin de te décharger avant,
d'en parler avec des amis,
de l'écrire, d'aller bouger.
Et quand il y aura un apaisement,
le climat sera plus favorable.
Un autre truc pour les discussions aussi,
c'est de se donner un temps.
Parce que des fois, on a peur que ça dégénère.
Ça peut durer une heure, deux heures, trois heures.
Il y a des couples qui chicanent très longtemps.
Ça veut dire, écoute, on a un sujet
qu'on aimerait aborder, on se donne 15 minutes,
20 minutes, puis après ça, on voit si on peut continuer ou pas.
Puis si on ne peut pas, on recommencera demain.
Plus tôt que de tomber dans une escalade
qui ne donnera rien. Et ça va
rassurer les deux
ou celui qui a peur que ça dégénère, parce qu'on se dit
qu'on a cadré un temps.
C'est qui qui dit, ouais, non, là, 15 minutes...
Bien, un des trucs
peut être de faire sonner
le chronomètre du téléphone. Fait qu'en
15 minutes, on l'a parti.
Puis là, quand ça sonne, mettons, la personne
dit « Non, non, non, je suis partie! »
On respecte. S'il y a une personne qui dit « Je ne suis pas à l'aise
de continuer », ça ne donne rien, mais on se donne un rendez-vous.
Ça peut être dans une heure, après ça, ça se travaille,
ça peut être le lendemain. Ça dépend de la disponibilité.
C'est important de se redonner un rendez-vous,
de se donner les moyens aussi pour avancer.
Oui, parce que même aussi,
de toute façon, après 15 minutes sur le même sujet,
des fois, c'est comme tu te dis, bien, regarde, pour vrai,
je pense qu'aujourd'hui, on ne s'entendra pas.
Puis après ça, bien là, justement, le moment
de repos après,
après ça, ça te permet aussi de repenser à ça.
Puis finalement, moi, souvent,
je me dis, c'est vraiment pas grave.
Pour vrai, ce moment-là,
il est bon aussi pour ça après.
Ça fait que après 15 minutes de chicaner,
c'est quelque chose...
Ça dépend. Il y en a qui vont réussir à approfondir
la discussion parce qu'ils demeurent disponibles
et il y en a qui ont vraiment besoin d'une pause.
Le problème, en fait,
ce n'est pas le conflit. Le conflit, c'est une différence
de valeur ou une différence
de façon de faire. Le problème, c'est la chicane.
C'est l'escalade. Puis quand on est dans la
chicane, c'est pas là où on trouve des solutions.
Mais quand on est capable de revenir à la
source de « c'est parce que telle façon
me dérange et telle façon me dérange,
comment on peut faire pour être satisfait? »
Sur un ton qui est calme, c'est en l'escalade,
on a plus de chances qu'il y ait une solution.
Garder un ton raisonnable,
la quantité de
problèmes que ça règle dans un couple,
si c'était juste,
j'avais un conseil à donner
de communication à n'importe qui,
c'est baisse le ton,
laisse le partenaire avoir le même ton que toi,
c'est quasiment à moitié réglé,
pour vrai, parce que moi,
quelqu'un me crie après, j'entends absolument rien
de ce qu'il essaie de me dire,
puis si moi je te crie après,
mes idées sont toutes pêle-mêle, puis je ne sais même plus c'est quoi crie après, j'entends absolument rien de ce que tu essaies de me dire. Puis si moi, je te crie après, mes idées sont
toutes pères-mêles, puis je ne sais même plus c'est quoi
je veux dire parce que je suis juste concentrée sur te,
comme tu dirais, décharger
des émotions.
Fait qu'à la seconde, tu baisses le ton,
ça t'aide, toi, à prendre
le temps de penser à ce que tu vas dire,
puis de recevoir l'information de l'autre.
Ça, c'est numéro un.
Ça ne se fait pas du jour au lendemain.
C'est normal aussi de chicaner.
L'idée, c'est pas que les gens se sentent mal.
C'est chicane, c'est pas ça.
Mais quand on s'attrape à le faire... C'est un tabarnak de chien sale.
Moi, on dirait que le ton,
c'est pas juste de bas, c'est le ton aussi.
Oui, oui.
Moi, mettons, mon chum, quand il me parle
d'un certain ton, ça pourrait
me faire
chicaner encore plus
qu'il sait me crier après parce que
ce ton-là, je l'ai
associé à...
Joanie.
Le ton de mon ex que je te disais.
Joanie.
Ça, ce Joanie,
genre, oh my God, je ne là genre oh my god je suis pas capable
je ne suis pas capable
puis des fois Louis
il dit ça
comme sans rendre compte
puis je suis comme
je suis
incapable
j'aime mieux
que tu me cries après
que tu me dises
ça
c'est bon
fait que
c'est ça
de changer ton ton aussi
de
ton petit ton arrogant
genre
ou ton ton
que tu sais
qu'est-ce que
je comprends dans le ton aussi ben oui dans la communication de ton petit ton arrogant, genre ton ton que tu sais qu'est-ce que...
Je comprends.
Dans le ton aussi.
Oui, dans la communication,
la sphère non-verbale prend la majorité de la place.
C'est sûr que ça fait une différence,
le ton, la posture, l'énergie, l'émotion.
Prendre des pauses.
Les mots aussi qu'on utilise.
Des fois, on a l'impression
qu'on dit quelque chose qui fonctionne bien,
mais on commence en disant,
je pense que tu fais ça. La personne dit j'ai parlé au jeu. Oui mais il y avait quand même le tu tout de suite après. Je pense que t'es un tas de merde. Je pense donc j'ai raison. Voilà. L'écrit aussi moi ça a sauvé aussi. Maintenant car j'ai vraiment une grosse boule j'écris un
gros message puis j'y envoie tu as même pas besoin de l'envoyer si tu es dans le sens tu
peux vraiment juste l'écrire pour démêler des idées des fois c'est tout comme moi non mais
j'ai écrit je me démarre comme tu dis mais après j'ai envoie pareil parce que je veux pas regarder
ça pour moi mais je suis pas capable de le dire j'ai vraiment de la difficulté à m'exprimer verbalement,
mais quand je l'écris, je suis capable de dire des choses
que je n'aurais pas été capable de dire à l'audio.
Ça, c'est une façon de communiquer qui vous convient.
Mais ça pourrait ne pas convenir à d'autres.
D'ailleurs, on parlait de dating.
Je ne conseille pas de clarifier des choses par texto
parce qu'à l'écrit, il peut tellement avoir d'interprétation. Donc, ça vaut la peine pour vous, ça marche bien, mais des fois, c, tu te dis « Ah, mais ça, ça veut dire qu'il le dit de cette manière-là,
il le dit de cette façon-là. » Parce que tu connais bien
la personne, fait que tu t'interprètes
encore plus que quelqu'un que tu connais pas.
– Exact. Oui.
– C'est pour ça que ça vaut souvent la peine de vérifier.
Moi, j'ai l'impression de ça.
Est-ce que c'est ce qui s'est passé de ton côté?
Souvent, quand on vérifie, on va se rendre compte que
c'était pas l'interprétation qu'on a eue.
Mais on passe tout de suite à la conclusion.
C'est vrai. Sandra,
est-ce que tu resterais avec nous un petit 15 minutes de plus
sur Patreon? Tu es extraordinaire.
Merci. Merci énormément.
On le sait qu'on a beaucoup
parlé de nous
aujourd'hui. On voulait
que tu nous aides, nous. On n'a pas pensé
à l'audience du tout. On était comme, sauve-nous ça.
Mais les audiences se voient
en nous. Il y en a beaucoup
qu'il ne faut pas
sentir mal parce qu'il y en a une gang.
Ils sont dans notre bateau.
C'est parfait. Encore une fois,
moi, ça m'aide beaucoup. Ça m'a fait du bien.
Moi aussi. Pour terminer, Sandra,
avant d'aller sur Patreon,
tu as une plateforme.
Comment on fait pour te joindre
et être avec toi là-dedans?
sandrabrutus.com. Je pars des ateliers
pour hommes et j'ai l'intention aussi
de faire des événements de PNL
pour tous et pour les couples.
Et pour les garçons aussi, les personnes.
Atelier pour hommes.
Ah oui, excusez.
Les couples, les hommes,
tout le monde, les femmes aussi, tout le monde
et le bienvenue dans tes ateliers
merci, on va mettre ça en dessous du lien
le lien vous allez pouvoir cliquer sous l'épisode
merci à vous
bienvenue sur la plateforme
officielle Patreon
sexe oral
je suis là, j'arrive, je suis en ado
qu'est-ce que tu peux t'attendre sur notre plateforme
Patreon, c'est des shows en live
qu'on n'a jamais montré à personne
que tu vas pouvoir voir.
Vous allez pouvoir poser des questions pour des invités qui s'en viennent.
Vous allez voir un podcast bonus par mois.
Des fois, c'est des shows live.
Des fois, ça va juste être nous ici qui jam.
Après les podcasts qu'on va avoir enregistrés,
on va aller direct sur Patreon
pour filmer des after-shows.
Des annonces à l'avance, des billets,
des accès à des shows live.
Peu importe ce que vous choisissez comme whatever,
on vous remercie d'avance.
Ça fait une grosse différence pour Sexe oral.
C'est quelque chose qui grandit.
C'est notre bébé. On est fiers, on est contents.
Oui.
Merci énormément.
Une production du Studio SF