Sexe Oral - Le Sexe de Vanessa Duchel

Episode Date: May 13, 2021

Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d’expériences et d’opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d’un.e sexologue ou autre professionnel de la santé.Cette semaine, les filles reçoivent Vanessa Duchel qui vient parler de son parcours sexuel.Le podcast est présenté par Éros et CompagnieUtiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabaishttps://www.erosetcompagnie.com/Les jouets dont les filles parlent:https://www.erosetcompagnie.com/page/podcastLe podcast est présenté par Manscaped.Pour plus d'informations: https://ca.manscaped.com/Code promo pour 20% de rabais et la livraison gratuite: SEXEORALPour suivre Vanessa:https://www.instagram.com/tresduchelle/ ---- Pour collaborations:[e-mail] Pour toutes questions:[e-mail] Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoral Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/See omnystudio.com/listener for privacy information.

Une production du Studio SF amie, Vanessa Dichel. Elle vient nous parler de son parcours amoureux, du fait qu'elle a un peu navigué. Elle a changé... Comment tu as dit ça tantôt? Elle a un twitch? Elle a fait un transfert. Transfert! Oui, oui. J'ai bien aimé ça.

Mais tu sais, l'orientation sexuelle, c'est un... C'est un aspect. Mais c'est pas... Ça varie. Ça fluctue. Puis c'est ça qu. Ça varie. Ça fluctue. C'est ça qu'elle nous parle aujourd'hui. Elle nous parle un peu de son chemin là-dedans.

C'est bien intéressant. Je la trouve extraordinaire. Je l'aime d'amour. J'ai appris à la connaître et à te connaître un peu plus. On en apprend un peu plus sur vous. À la fin, on parle d'Annal. Mon mot de presse. parce qu'on en apprend un petit peu plus sur vous. Puis, à la fin, on parle de anal. Fait que... Mon mot de presse.

Oui. C'est de l'âme. Non, bébé, non, non. On parle d'anal. De suppositoire et de tout ça. Fait que l'épisode est présenté par Éros et compagnie, qui donne un rabais de 15 % avec le code... Sexe oral.

Et puis, notre podcast a maintenant un compte Instagram. C'est sexeoral.podcast. Podcast.sexeoral. Sexeoral.podcast. Sexeoral.podcast. Fait que ce n'est pas son podcast qu'on lit. Sexe, avec un E à sexe,

oral.podcast. C'est pour nous retrouver sur Instagram. Il va y avoir des extraits, des citations. Des citations qu'on a. Des jouets, quand on en parle, ça va tout être là-dessus. La communauté, si ça vous intéresse, elle est là.

Les gens qui pensaient l'avoir déjà liké, il a été supprimé. Il faut aller reliker parce qu'il n'est plus là, celui-là, que vous avez déjà liké. Bon podcast. Allô! Bonjour! Allô! Salut! Sous-titrage Société Radio-Canada Ça me rend mal à l'aise. Aujourd'hui, on voulait parler de ton parcours au niveau de ta sexualité. C'est long.

Parcours? C'est long, parcours. C'est parce que moi, je t'ai connue en tant que femme hétérosexuelle quand on s'est rencontrées. Puis là, bien, tu as une copine. Bien, oui. Il va falloir que tu aies un abord là-dessus, mais aujourd'hui, tu as une copine depuis combien de temps? Presque un an. Presque un an.

Comment ça s'est fait, ce transfert-là? Ce transfert-là? Comment? Super vite fait, c'est juste que... Non, mais prends ton temps. On a 45 minutes à couvrir. Quand moi, je dis vite fait, c'est que... Bon, vas-y, prends ton temps.

Mais c'est ça, c'est que, dans le fond, j'étais toujours en train de fréquenter des gars, puis sur Tinder, puis Badoo, puis toutesest ça, dans le fond, j'étais toujours en train de fécander des gars, puis sur Tinder, puis Badoo, puis toutes ces affaires-là, je m'étais toujours goffée juste pour avoir de l'attention. C'est vraiment, je l'assume, je voulais juste qu'on me dise que j'étais cute et tout. Fait que là, j'habitais

avec Rosalie, le soeur, puis un moment donné, pendant le début de la pandémie, elle me dit « C'est super pâte, on n'a rien à faire, on swipe dessus. » Elle se met sur Tinder, et là, moi, je n'ai pas Tinder, et là, elle me dit « Mets Tinder, puis on va swiper. »

Je me dis « Ok. » Je me goffais, juste pour le fun encore. Finalement, je tombe après 5 minutes sur ma blonde, puis là, je la swipe à droite, évidemment, mais je me dis « Elle ne me swipera jamais, je la swipe à droite, évidemment, mais je me dis, elle me swipera jamais. Je la trouvais bien trop belle. Puis, finalement,

ça a pris 5 minutes qu'elle m'avait swipe back. Sauf qu'entre-temps, moi, j'étais comme, elle va pas me swiper, elle va pas me swiper, je vais aller la stalker. Je vais aller la stalker sur Instagram. Puis là, je me suis dit, je peux pas y écrire si elle me swipe pas parce que ça fait vraiment creep, là, tu sais, de se dire, quoi que j'ai déjà fait ça dans le passé, écrire du monde qui souhaite pas parce que ça fait vraiment creep là tu sais de se dire

quoi que j'ai déjà fait ça dans le passé écrire du monde qui me connaissait pas juste pour aller prendre un verre mais ça c'est l'île comment vous vous êtes rencontré comment tu sais ça ben parce que j'écoute tu l'avais raconté à un moment donné

comment t'avais rencontré ta meilleure amie ah oui en tout cas. Je m'en rappelle plus dans quel podcast, mais soit avec nous, soit avec moi que t'avais parlé de ça. Ça se peut. Ou avec un autre podcast que j'ai entendu de ça. Mais tu sais, ça m'arrive pas souvent de faire ça. C'est vraiment, ça m'est arrivé deux fois en fait. Puis c'était plus fort que

mon feeling. En fait, j'ai pas écrit à ma blonde non plus. J'ai attendu qu'elle me souhaite, mais je l'aurais fait sûrement. Mais c'était plus fort que moi. C'était comme s'il y avait quelque chose qui me disait, il faut que tu le fasses. Puis elle, c'est devenu à ma blonde non plus. J'ai attendu qu'elle me swipe, mais je l'aurais fait sûrement. Mais c'était plus fort que moi. C'était comme s'il y avait quelque chose qui me disait « Il faut que tu le fasses. » Puis elle, c'était ma meilleure amie. Puis la deuxième fois, c'était ma blonde.

Je pense qu'il faut que j'écoute un peu mon instinct quand je ressens le besoin de faire des choses qui sont inhabituelles des fois. C'est ça. Je l'ai swipé, elle m'a swipé. On a commencé à s'écrire. À partir de ce moment-là, on s'est dit que c'était la semaine du 15 juin. On ne s'est pas lâchés pendant une semaine.

On se facetimait tous les soirs, pendant 5-6 heures la nuit. Ce sont des affaires qu'on ne faisait pas d'habitude. On ne facetime pas des inconnus d'habitude. Nous deux, ce n'est pas notre genre. On a vraiment fait des choses qui ne nous ressemblaient pas au début parce qu'on voulait voir parler à l'autre. Puis, après une semaine, moi, j'ai dit, ça ne se peut pas que ça soit trop parfait comme ça.

Fait que j'aimerais juste qu'on se rencontre pour vraiment vérifier les choses, voir si, tu sais, c'est ça. C'est des deux côtés. Oui, puis de voir si c'est vraiment... Confirmer ce que je ressens jusqu'à maintenant. Voir si le chat n'a pas de poc. Fait que là...

Fait qu'on s'est rencontrés. En fait, ma première date en plus avec elle, c'était vraiment weird. J'avais comme donné mon chat à une madame malade parce qu'elle était toute seule. Puis moi, j'étais super allergique à mon chat. Puis je cherchais un lieu pour le faire adopter, en fait, parce que je n'étais plus capable de respirer avec lui. Fait que là, la madame est malade

à dire, je vais le prendre, blablabla. Un mois après, elle me dit, j'en veux plus. Fait que là, moi, je me disais, OK, je vais aller le rechercher. Fait que là, je dis à ma blonde, bien, je ne vais pas dire son nom, on dirait, je suis quand même gênée de dire son nom. Mais en tout cas, je vais l'appeler Estelle. Fait que là, je dis, je ne sais pas pourquoi,

mais en tout cas, j'ai dit, écoute, on peut se voir lundi, mais faut que j'aille chercher mon chat. Fait qu'elle a fait, je vais venir avec toi. Puis elle est venue chez nous. Ça, c'était votre première date. Première date, elle est venue chercher mon chat dans un appartement qui sentait la pisse. C'était épouvantable, c'était mal propre là-bas.

Comme... Je me souviens, ça l'écoute, le podcast. Tu l'avais donné, puis tu savais que c'était comme ça? quand je dis mal propre, c'est parce que c'est une madame qui était handicapée elle avait sûrement de l'aide qui venait une fois de temps en temps je ne suis pas tombée sur la bonne journée c'est ça, elle était super fine la madame

c'est juste que finalement elle avait mal évalué que c'était important de prendre soin d'un animal bref, c'est ça ma prendre soin d'un animal. Fait que... Bref, c'est ça. Estelle est venue avec moi. J'haïs ça. Imaginez quand ça va être Estelle, j'haïs ça.

Elle a son nom, mais... En tout cas, finalement, ça a super bien coulé. On s'entendait bien comme si ça faisait des mois et des mois qu'on se connaissait. Puis j'avais rarement ressenti ça avec quelqu'un. Puis je n'étais pas intimidée. Elle n'était pas intimidée.

C'était naturel. Oui, c'était super naturel. Puis après ça, on a eu, tu sais, elle me disait au départ, en plus, tu vas voir, moi, je ne suis pas quelqu'un qui découche. Ça prend vraiment du temps avant de dormir chez quelqu'un d'autre. J'haïs ça. Je n'aime pas non plus que le monde vienne dormir chez moi. Puis là, moi, je suis comme, OK, parfait, pas de problème. Puis moi non plus, je n'ai pas cette habitude-là

parce qu'en 31 ans de vie, quand je l'ai rencontré, je n'avais jamais eu de relation sérieuse avec quelqu'un. Je suis toujours fréquentée du monde, puis le monde finit par me taper ses nerfs. C'est quoi la plus longue relation que tu avais eue avant? Quatre mois. Mais quand je dis relation, je ne veux pas dire en couple officiel.

Je veux dire des fréquentations. Je n'ai jamais été game, premièrement, de dire oui, on est en couple. Puis aussi, ça ne me tentait pas. Je n'aimais pas ça, penser que je devais quelque chose à quelqu'un. Je n'aimais pas ça, penser que je pouvais déce à quelqu'un. J'aimais pas ça, penser que je pouvais décevoir quelqu'un, de penser aussi que quelqu'un pouvait me laisser.

Qu'est-ce que tu penses qui a été différent avec elle? Elle est compréhensive. C'est une fille qui est super compréhensive, puis qui cherche aussi à... Puis en plus, elle a un passé quand même lourd, fait que je pense que son passé lourd fait qu'elle est plus empathique à ma situation. Elle a vraiment

assisté à moi qui strugglais vraiment avec mon apparence. C'était tough pour moi d'avoir un premier rapport avec une fille parce qu'elle est super standardisée. Quand je dis standardisée, c'est comme elle a un corps vraiment comme, je ne veux pas dire parfait parce que tous les corps sont parfaits, mais elle a un corps standardisé.

Fait qu'un corps enviable selon la société d'aujourd'hui. Puis c'est ça. J'avais super peur d'aller dans l'intimité avec elle à cause de ça. Comparer quand tu es avec un gars, oui, un gars va te dire, ça se peut qu'il te dise, ah, t'es pas mince, arc, whatever, mais tu te compares pas avec cette personne-là. Je pensais que ça allait être moins dur

avec une fille au début, mais ça a été plus dur. Ah ouais, tu penses? Pour moi, tu sais. Pour moi, ça a été plus dur à cause qu'il y avait la comparaison là. Tu sais, quand j'étais avec un gars, j'étais pas comme, oh my God, regarde ses cuisses, mes cuisses, regarde son ventre, mon ventre, tu sais, je faisais jamais ça, là. Je sais, quand j'étais avec un gars, je n'étais pas comme « Oh my God, regarde ses cuisses, mes cuisses. La nana, regarde son ventre, mon ventre. » Tu sais, je faisais jamais ça, là. Je me disais « Ah, sûrement

que je suis la plus laide qui a pogné. » Des fois, je me disais ça, mais... Mais avec elle, c'est ça. Même avec... J'ai pas... J'avais jamais eu une relation sexuelle avec d'autres femmes. Par contre, j'ai eu des petites... Des petites aventures.

Des petites aventures, mettons. Avec, mettons, 3-4 femmes avant elle. OK. Mais ça n'a jamais allé jusqu'au bout parce que je ne ressentais pas le... L'attirance? Mettons, l'attirance sexuelle, oui, mais pas... Oui, c'est ça.

On dirait que d'aller jusqu'au bout puis de vraiment dire « J'ai fait de l'amour avec une femme », ça ne venait pas me chercher tant que ça. Je savais que j'avais de l'attirance envers une femme. Sauf que, un peu, je pense que pour les hommes aussi, ça me prend quelque chose de plus. Je ne peux pas juste faire « ce soir, j'ai envie de coucher avec quelqu'un, je m'en vais coucher avec quelqu'un et c'est fini ». Ça me prend vraiment plus. Puis, vu qu'une femme, pour moi, c'était nouveau,

ça m'en prenait encore plus pour aller jusqu'au bout. Pis il y avait aussi la nervosité de, je sais pas, comment ça fonctionne, moi, manger un vagin. Ouais. J'avais jamais fait ça, fait que ça me stressait super. T'as-tu regardé des vidéos sur YouTube? Non, pas toutes. Vraiment pas. Parce que, tu sais, je sais que

le porn, des fois, ça te donne des scénarios pas possibles pis des corps bleachés pis tout pis t'es comme crème mon corps est pas comme ça fait que ça empoisonne ton esprit là tu te sens vraiment mais je dis pas que j'écoute pas de porn au contraire mais au contraire

c'est ça qu'on faisait nous autres dans nos activités des fois on s'était écouté des vidéos ah tu le disais je peux-tu le dire? tu peux dire, c'est dans mon passé. C'est genre des gangbangs black. C'est genre une fille à 15 black.

Là, on s'envoyait ça. J'ai vu ça. C'est en 14 minutes. À ce parquet. Il fut un temps où j'étais... C'est son passé. J'avais beaucoup de pulsions.

Non, mais j'ai encore... Je suis une fille qui a beaucoup de pulsions, tu sais, dans la vie, mais... Est-ce que tu as toujours, comme, su que tu avais une attirance... Tu te considères, mettons, est-ce que tu te considères... Avant, est-ce que tu te considérais plus aux hommes, puis après ça, plus, mettons, parents?

Bien, mettons, mon parcours, quand j'étais plus jeune, mettons, au secondaire, j'avais une prof. Ça va paraître bizarre ce que je vais dire, mais elle avait, tu sais, à l'époque, c'était vraiment les brassières padées, que les seins étaient ronds, parfait,

parfait, parfait, mais tu sais, c'était vraiment padé, padé, tu sais. Puis, je regardais, je comparais ses seins avec les miens, avec les autres filles, j'étais comme, tabarnage, elle a des gros seins, puis je regardais ses seins tout le temps, puis sans être, sans, je la sexualisais pas, tu sais, mais je comparais son corps avec

nos corps d'ados, tu sais. Puis, après ça, un moment donné, je me suis surprise, puis j'ai fait, « Ben, Valérie, pourquoi tu regardes les seins de ta prof, là? Pourquoi tu fais ça, un moment donné, je me suis surprise, puis j'ai fait « Ben, Valise, pourquoi tu regardes les scènes de ta prof, là? Pourquoi tu fais ça? » Puis là, je me suis posé des questions quand j'étais plus jeune. Mais je me disais « Ben non, je suis pas lesbienne, j'aime les gars. » C'était « Ah, vieux, j'aimais vraiment les gars.

Tu sais, j'aime toujours les gars. » Mais quand je dis « j'aime les gars », je suis attirée encore par des hommes, mais il y a rien jusqu'à maintenant qui m'attire plus que ma blonde. Mais c'est ça, quand j'étais jeune c'était ça puis après ça cette étape là a comme passé, j'étais vraiment focus sur les gars, après ça

j'étais focus sur les personnes qui étaient intéressées par moi d'à-t-il parce que là je me sent laid d'une période de ma vie où je me sentais dégueulasse. Fait que toutes les personnes qui étaient attirées par moi m'intéressaient. Ça n'a jamais donné des bons choix, évidemment. Mais au final, moi, j'avais un peu ce que je voulais. J'avais

l'attention du monde. Puis, tu sais, en tant qu'artiste, je pense que c'est aussi quelque chose... Oui, la création, c'est important, mais en tant qu'artiste, je pense que l'attention vient avec. Tu veux la création, c'est important, mais en tant qu'artiste, je pense que l'attention vient avec. Tu veux l'attention. Moi, en tout cas, je peux dire que chanteuse, comédienne, auteur, peu importe ce que je fais, j'ai besoin de l'attention du monde.

Tu sais. Fait que sur les réseaux sociaux, je vous disais, c'est pas vrai que je parle à mon téléphone pour rien. Je veux l'attention, je peux pas mentir. Fait que je sais que mon parcours amoureux a été vraiment biaisé par ça aussi, parce qu'il y avait plein de personnes qui me donnaient

de l'attention. Fait que moi, je prenais tout. T'allais faire ça. Attention, je pense. Puis c'est ça. Puis après ça, je me suis un peu plus choisie après une aventure un peu fucked up qui m'est arrivée. Fait que, je me suis plus choisie. Je me suis écoutée, puis je me suis dit, crime fucked up qui m'est arrivée. Je me suis plus choisie.

Je me suis écoutée et je me suis dit que Crime Valence, c'est correct de ressentir ce que tu ressens quand tu le ressens. Ça se peut que pendant trois mois, tu ne sois pas attirée par une fille ou par un gars. Peu importe. Ce n'est pas grave. Ça se peut que ça revienne. Toi, tu es la preuve. Ça a fluctué vraiment dans ta vie,

tes attirances. Des fois, c'était les deux en même temps, là, aussi. Ça l'arrive vraiment à tout le monde, je pense. Il n'y a pas... C'est un spectre. La sexualité, c'est pas stable. En tout cas, pas pour tout le monde. C'est ça. J'ai dit tout le monde, mais

je sais que c'est pas tout le monde qui est ambigu, là. Pas être ambigu, c'est pas une hésitation non plus. C'est aim une hésitation non plus, c'est aimer les deux, être attiré par les deux. Il n'y en a pas un plus valable que l'autre. C'est ça.

J'ai accepté ça un moment donné. Je me suis dit, pourquoi pas, je pense que c'est en 2015, je me suis dit, pourquoi pas, sur un site de rencontre, mettre gars et filles. Parce que jusqu'avant ça, j'avais juste mis gars. J'ai mis gars et filles. J'ai rencontré une fille. Elle était vraiment, vraiment

gentille et bonne pour moi, mais je n'avais pas ce papillon, mettons. Oui, c'est ça. Puis, des fois, je la rappelais parce que j'étais comme « Crime, elle est bonne pour moi. Peut-être que, peut-être que, peut-être que. »

Mais ça venait pas vraiment. Après, je me suis dit « Vanessa, tu vois bien, ça marche pas, t'es pas lesbienne. Mais en même temps, c'est comme avec les gars, c'est pas tous les gars avec qui tu veux coucher. C'est pas tous les gars avec qui tu veux bâtir une vie non plus. » Fait que tu t'es posé des questions longtemps. Vraiment longtemps.

Mon meilleur ami, il était en train de me dire « Vanessa, essaie avec une fille, essaie avec une fille!» J'étais comme «Non, je ne suis pas lesbienne!» Je ne suis pas, ouais. J'étais comme «Je ne suis pas lesbienne!» Puis je me braquais vraiment contre ça. Puis là, il était comme «Essaie, juste pour voir. Tu vas voir. Tu vas peut-être aimer ça. Si tu n'aimes pas ça, ça va être réglé. »

Après ça, j'ai rencontré une autre fille sur «Her», l'application. Je ne sais pas si vous connaissez ça. Oui, oui. Non, non. Je connais sais pas si vous connaissez ça. Oui, oui. Non, non. Je connais Réseau Contact. C'est tout? Fruit.

Fruit? On dirait une marque de boba. Non, non, non. Her, c'est une application pour les femmes. C'est vraiment bien fait. C'est cool. Ils organisent aussi des événements

chaque année, chaque été, en fait, pour que tout le monde se rencontre. Ça a l'air vraiment cool. J'ai jamais fait ça, mais ça a l'air vraiment cool. Puis là,

j'ai rencontré une fille. C'était vraiment purement de l'attirance. C'est encore mon amie aujourd'hui. C'est-tu Y? Bien, Y, je pourrais dire oui.

Bien, le prélèvement, la première lettre. Ah, ça, c'est la première. Ça, c'est la première. L'autre, c'est M. Ah, M. C'est qui? T'as l'âge écologique. Ah, OK, oui.

Fait que c'est ça. Je comprends tout. Ouais, je comprends tout. Fait que là... Je me situe. Tu dis quoi? Je me situe. Ah oui, c'est ça.

Fait que L, c'était vraiment... C'était de l'attirance. On ne c'est ça. Fait qu'elle, c'était vraiment... C'était de l'attirance. On ne savait pas trop où ça menait, tout ça. Puis finalement, les deux, on a back-off. On a fait... On a peut-être mis en tant qu'amis. Il y a eu un petit flirt après qui a continué, mais ça n'a jamais été comme la grosse flamme et tout.

Puis après ça, je suis retournée vers les gars. Puis après ça, il y a eu ma blonde. Entre-temps, évidemment, j'étais parsemée de petits... T'aimes peu importe, t'aimes la personne. Je l'avais dit, c'est long. J'avais dit courant. C'est excellent. Comment que ta copine, mettons, a vu ça, elle...

Est-elle? Comment que Estelle, elle a vu ça, que toi... Parce qu'elle a vu ça? Parce qu'elle est lesbienne, je veux pas... Elle a été avec des gars aussi. Elle a été avec des gars aussi. Là, elle se considère plus lesbienne. Ça fait plusieurs années quand même, elle. Comment est-ce qu'elle trouve ça que ce soit

la première avec qui tu découvres ça? Vraiment. Je vais pas parler pour elle, sauf que je pense que c'est insécurisant et insécurisant en même temps. Parce qu'elle se dit, mon Dieu,

elle m'a choisi moi, pas juste en tant qu'orientation, mais en tant que personne, parce que je n'avais jamais choisi d'être avec quelqu'un dans le passé officiellement. Elle a choisi de passer. Puis moi, j'aime pas ça niaiser et perdre du temps. Fait que si j'étais pas intéressée par elle, je me serais pas investie à ce point-là

parce qu'il y a eu beaucoup de travail jusqu'à maintenant qui a été fait des deux côtés. Fait que c'est sécurisant parce que j'ai choisi d'être avec elle, mais c'est insécurisant aussi parce que j'ai jamais été en couple, puis parce que j'ai été attirée par un autre sexe avant. Fait que je pense que pour elle, il y a ça, des fois, qui penche la balance. Des fois, c'est plus comme si elle veut se rassurer, ça va faire comme,

je sais pas pourquoi elle voudrait se rassurer, mais mettons, elle va se dire, c'est moi qu'elle a choisi. Puis d'autres fois, ça va être comme, ah ouais, mais il y a peut-être d'autres monde aussi qu'elle voudrait, ou maintenant qu'elle m'a essayé en tant que femme, peut-être qu'elle va vouloir aller voir d'autres femmes. Oui, c'est ça. Maintenant que la glace est brisée, la clôture est pétée,

le capot va sauter, bien, c'est ça. Souvent, c'est ça aussi. On a vu ça plusieurs fois. Tout le monde a des amis homosexuels qui n'étaient pas assumés. Ils s'assument d'un coup, puis là, ils veulent vivre. Fait qu'ils vont essayer plein de monde, oui, de techniques, de choses, là ils s'assument d'un coup, puis là ils veulent vivre fait qu'ils vont essayer plein de monde, oui, de techniques

de choses, juste parce qu'ils veulent rattraper le temps perdu moi est-ce que je me sens comme ça, rattraper le temps perdu? Non je veux dire, en tout cas parce que t'as essayé des humains quand même, avant je veux dire, t'as attendu longtemps

avant d'être avec quelqu'un, avec ta personne. Même si c'est ta première femme ou si tu es la première blonde, je veux dire, tu vis quelque chose de beau. Tu ne te récrisserais pas. Je ne me sentais pas. Je ne me suis pas sentie refoulée non plus dans les années passées.

Je ne me suis pas sentie comme si je m'empêchais de vivre. Mais là, c'est ça. J'avais sauté lise'est pire mais le sait ce que j'avais sauté j'avais sauté les ou si même pas sauter lise mais je vais sauter par dessus l'histoire mais c'est ça j'avais y m puis après ce j'avais vu lise qui était avec qui avait des amis on avait des amants communs j'avais vu dans une vidéo YouTube, à Frenchy, une fille. J'étais comme, elle a l'air de bien Frenchy,

cette fille-là. Je m'étais juste dit, je vais y écrire pour aller prendre un verre avec elle. Mais ce n'était pas nécessairement dans le but de coucher avec, vraiment pas. C'était juste la Frenchy? Je pense que oui.

Je voulais juste la rencontrer. Pas parce que j'étais fan. Je ne l'assumais même pas. Je m'étais mis à la suivre la journée où je l'avais vue dansétais fan. Je ne l'assumais même pas. Je m'étais mis à la suivre la journée où je l'avais vue dans la vidéo. Je ne savais pas c'était qui. Je l'avais juste trouvée. Chill.

Oui, oui. Chill. Oui, vraiment. C'est ça. J'ai écrit comme ça avec une excuse vraiment bidon. J'avais juste trouvé une de mes photos à moi

qui était full maquillée. Je me suis dit, vraiment, je suis tellement sur ma photo. J'ai écrit, je disais, il y en a une photo qui se ressemble. C'est vrai? J'avais un montage.

C'est sûr que t'étais en vente à mon livre, vous avez... Oh wow! J'avais fait un montage un peu... De sa photo à côté de la mienne. C'est vrai. J'avais fait ça. Puis toi, comment t'as réagi? Qu'est-ce que t'as été crampé, c'est sûr? Qu'est-ce que t'as dit tu devais être jaignée non

je pense que j'étais contente j'ai quand même j'aime ça les femmes qui aiment les femmes qui ont tout de suite un genre de j'ai envie de te connaître pis je sentais que c'était juste de la curiosité saine pis de l'envie c'était pas sexu comment j'ai envie de te connaître pis je sentais que c'était juste de la curiosité saine pis de l'envie de...

Non, non, vraiment pas. Comment je l'ai abordé, c'était vraiment pas comme... J'ai pas pensé une seconde, ça. Je voyais vraiment une fille qui veut être, genre, être amie. Mais je pense que jusqu'à la dernière minute, je suis pas une fille qui affiche ses couleurs tant que ça.

Non, j'avoue. Je suis pas arrivée en disant non, non, non. Ça n'a jamais été ça. Ça a été ma job. Ça, c'est toi. Moi, je tord le terrain et elle a

faux le terrain. Est-ce qu'il y a déjà eu des sentiments? Est-ce que vous vous êtes peut-être posé des questions s'il y avait plus que de l'amitié entre vous? Moi, oui. Toi, oui. Moi, oui, mais tu sais, c'est ça l'affaire,

c'est que c'était ma première... C'était une amitié qui a vraiment été fusionnelle rapidement. Oui, on était tout le temps, tout le temps, tout le temps ensemble. Ah oui. On s'est rencontrés une soirée, puis... La soirée même, j'allais dormir chez vous.

Je restais trois mois. Après ça, ça ne l'a pas arrêté. On s'est vus non-stop à la ville des Chums et j'étais là pareil. C'était vraiment... Je ne partageais pas le lit. Mais on se voyait quand même. C'était tout le temps.

On était tout le temps ensemble. On n'habitait pas même, c'était ça. Fait que c'était tout le temps, on était tout le temps ensemble, on n'habitait pas loin, tout le kit. Fait que c'est ça, j'avais jamais eu de relation autant fusionnelle avec quelqu'un. Il y a aussi le fait que la première soirée,

je t'ai dit que t'étais mon genre de fille, je t'ai pogné la face pour te frencher. Je veux dire, ça n'a pas été... Oui, oui, non, c'est ça. Ça a été rapide, comme contact. On a pris contact rapidement. C'est parfait. Oui, puis c'a pas été... Oui, oui, non, c'est ça. Ça a été rapide, comme contact. On a pris contact rapidement.

C'est parfait. Oui, puis c'était vraiment bizarre comme situation. C'était comme tout était en oeuvre pour qu'on se rencontre. J'y avais écrit, mais en même temps, elle m'avait dit, c'est ma fête ce soir, je t'aurais écrit, je ne sais pas quand. Je suis comme, OK, parfait. Puis moi, le soir même, j'allais voir un show d'humour.

Oui, c'est vrai. Au jockey. Puis on ne s'était jamais vu de notre vie. J'arrive au jockey, elle était là. Oui, c'était fucké. C'était vraiment fucké. On avait... On était dû pour elle.

Oui, on n'avait aucune idée qu'on allait là, ni une ni l'autre. Fait que là, on se voit là-bas, puis on était vraiment gênés les deux parce que je venais d'y écrire dans la journée. J'étais comme, mais voyons, c'est quoi les chances que je n'ai jamais vu cette fille de ma vie. J'ai écrit la journée aujourd'hui, puis je la vois le soir même, tu sais. Puis après ça, on s'est recroisés comme une semaine après. On s'était réécrit, mais on était malaisants, tu sais.

Alors cette soirée-là, je pense, après le jockey. Je m'en souviens pas. En tout cas, puis après ça, on s'est recroisés encore par hasard au festival Juste pour rire. Puis c'est cette soirée-là que ses amis étaient partis, puis j'ai dit, bien, bien, t'es avec nous autres. Puis finalement, elle est rentrée, puis elle m'a laissée là. Eh bien, et bien tu allais voir d'autres mondes mais c'est pas rare c'est à la fin à la fin juste nous voir en me disant on va de chez vous chez nous ah pour vrai oui oui

c'est ça qu'elle m'a dit à la fin de la soir demandé si tu venais chez vous, Liz. Si tu ne m'avais pas connue, j'ai un boisson. Je l'aurais faite. Ah oui, pour une vidéo, nous autres. Non, c'était,

elle était part animal. C'est vraiment, j'étais part animal, mais, elle était une coche de plus. Oui, oui. Mais je ne l'ai pas connue, moi, comme ça,

mais, je ne sais pas. Non, je ne l'ai pas connue. C'est une fille de risque c'est une fille qui veut pas regretter le temps à pas avoir de fun ok ouais

elle veut tout vivre à 100% ouais ouais vraiment penses-tu que c'était un peu de dans ta partie de je suis intéressée à n'importe qui qui s'intéresse à moi genre tu sais ça non parce que c'est moi qui a fronté c'est moi qui s'intéresse à moi genre c'est ça non parce que c'est moi que franck et c'est moi qui t'a écrasé si il y avait eu aucun contact avant puis que toi tu étais venu voir peut-être à ce moment

là je l'interprète comme ça mais vu que c'est moi qui te contacter je pense pas mais c'est ça puis là après ça on est devenus super proches. Puis là, finalement, elle a choisi un autre... un autre quelqu'un avec un pénis à ce moment-là. Puis ça m'a pris du temps de m'en remettre. J'étais vraiment... C'est ça. J'étais vraiment pas contente. J'étais genre méga jalouse.

Puis j'étais là, oh my God, cette personne-là, je la déteste. Puis oui, c'était vraiment bizarre. Elle me textait. Puis on continuait de se frencher, même si j'étais avec. Oui, oui. Mais tout le long, ça a été ça. Oui. Mais c'était comme correct toi dans le fond est-ce que tu gardais un espoir

non j'avais pas d'espoir est-ce que je profitais de ce moment là peut-être mais ça a pas pris ça a pas pris tant de temps avant que je décroche amoureusement on était vraiment à mi-vite ça a pris une couple de... Non, on était vraiment, tu sais, à mi-vite.

Oui, bien c'est ça. Ça a pris une couple de mois, mettons, peut-être six mois que j'ai fait. OK, là,

c'est bon. Je veux dire, je décroche. Puis tu voulais la garder dans ta vie. Parce que, tu sais, tu aurais pu juste faire,

OK, elle n'est pas attirant vers moi puis c'est trop pour... Mais j'étais attirant vers elle, tu sais, clairement. Non, mais attirer,

mettons, amoureusement. Tu aurais pu faire, si t'as des sentiments, puis faire juste arrêter votre amitié, mais tu as réussi quand même à rester amie avec elle. Oui, oui, j'ai vraiment décroché amoureusement.

L'attirance est restée un petit peu parce qu'on entretenait ça, pour le fun. Pour le fun, on buvait un peu pour nos soirées. C'était olé, olé. Mais olé, olé, j'ai 72. Amenez-moi mon brandy.

Mais c'est ça. Ça m'a vraiment juste confirmé que je n'étais vraiment pas indifférente aux femmes. Ça m'a vraiment confirmé. C'est les âmes qui t'ont... Ça m'a vraiment confirmé. On en a même parlé. Elle me disait qu'on parlait de son passé avec des filles. Puis là, elle m'a été attirée par des gars.

J'étais comme, oui, c'est normal que j'ai été attirée par des gars, puis je suis attirée par des filles. Puis je peux être attirée encore par des gars, par des filles. Ça fait que ça, elle a comme... Puis j'en viens aussi beaucoup encore aujourd'hui. C'est sa liberté. C'est super enviable, sa liberté, cette fille-là. J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi libre.

Puis moi, je me sentais complètement à l'opposé d'elle. Fait que je pense que les opposés aussi s'attirent à ce niveau-là. Puis c'est ça qui fait que notre amitié est aussi belle aujourd'hui. Puis anyways, avec le recul, je sais que ça n'aurait jamais pu fonctionner amoureusement.

On se serait entretués. Jamais, on se serait, c'estul, je sais que ça n'aurait jamais pu fonctionner amoureusement. On se serait entretuées. Jamais, on se serait, c'est ça, complètement tuées. Tu sais, fait que... C'est ça. Fait qu'aujourd'hui, je la remercie pour ça. Qu'est-ce qu'elle t'a apporté

puis qu'est-ce qu'elle t'a appris, puis... Oui, parce que si elle n'avait pas été là, j'aurais pas été avec ma blonde aujourd'hui. Qu'est-ce que tu penses qui a changé dans ta façon de te percevoir depuis que t'es en couple? Y a- façon de te percevoir depuis que tu es en couple? Y a-tu quelque chose qui... Ah oui, 100%. Mon Dieu, ma blonde,

elle m'a tellement... Ma blonde, elle m'a beaucoup apporté... Toi, tu as toujours été la personne qui me disait qu'elle me trouvait belle, peu importe. Tu ne remarquais pas quand je perdais ou quand je prenais du poids. Tu ne remarquais pas ça. En fait, je pense que on t'aurait dit Vanessa Gros, tu aurais fait... Non prenais du poids, tu ne me manquais pas ça. En fait, je pense qu'on t'aurait dit, Vanessa, elle est grosse,

tu aurais fait, hein? C'est pas vrai. Non, mais c'est vrai, elle ne me parlait jamais de ça. Elle ne comprenait pas, on dirait, quand je parlais de ça. Puis, elle me trouvait belle. Des fois, je me maquillais, puis elle se mettait à se sentir laide parce que j'étais maquillée, puis pas elle. Puis, j'étais comme, voyons donc, que tu ne sois pas maquillée,

on s'en fout, tu es mince. Je me disais ça tout le temps, ce n'est pas grave, si tu n'es pas maquillée, tu es mince, tu passes partout, il faut que je me'étais pas maquillée. Je me disais ça tout le temps. Ce n'est pas grave, tu n'es pas maquillée. Tu passes partout. Je suis grosse. Mais elle, elle aimait maquiller. J'avais jamais vécu ça avec une amie standardisée

qui se comparait à moi et qui pouvait se sentir moins jolie pendant un certain moment. Ça m'a vraiment donné un peu d'estime, parce que c'est une fille qui est vraiment belle, puis en plus d'être vraiment belle, elle est standardisée. J'étais là, my God, cette fille-là

me trouve belle, peut-être que je suis vraiment belle. Puis après ça... Je te confirme, t'es très belle. Merci beaucoup, c'est gentil. Mais après ça, elle est venue ma blonde, en plus de t'es très belle. Merci beaucoup, c'est gentil. Mais après ça, elle est venue, ma blonde, en plus de me trouver belle, elle m'a aimée vraiment

sous toutes mes coutures et mes ongles et mes formes. Elle a aimé ce qu'elle a vu habillée et ma blonde a aimé ce qu'elle a vu tout nu, ce qui était ma plus grande crainte. C'est deux femmes super importantes dans ma vie. Pour ça, elle, c'est ça. Elle, c'est deux femmes super importantes dans ma vie. Elle, c'est pas mon extérieur,

mais mon intérieur aussi. Elle m'a aimée habillée, puis l'autre, elle m'a aimée tout nue. Les deux ont vraiment boosté ma confiance. Je ne dis pas que je suis une fille confiante aujourd'hui. Par contre, je pense que je m'estime plus. Mais il ne faut pas... Ça, c'est un piège.

Des fois, il y a des gens qui vont essayer de trouver l'estime dans leur conjoint ou conjointe, qui vont dire, OK, si elle me trouve belle, si elle me trouve beau, ça me rassure, je me sens mieux comme ça. Mais il faut s'aimer avant qu'une personne te trouve beau ou belle. C'est super important. Mais je ne me trouvais pas...

Je me suis jamais trouvée laide, mais je me suis toujours trouvée dégueulasse par rapport à mon corps. Je me trouvais pas laide, mais dégueulasse. Non, mais ma face, j'ai jamais trouvé laide. Je me suis jamais dit « Oh my God, il faut que j'aille à la chirurgie. » Mais passer le menton

à partir du double, ici, jusqu'en bas ça a toujours été une hantise pour moi ma blonde elle elle me trouve belle comme ça puis genre quand je disais je vais vraiment perdre du poids ça n'a pas de bon sens comment je suis laide

elle était comme super du pouce parce que quand tu montes la sclérite et souffle c'est pas parce que tu te sens laide. Elle a toujours été comme super ouverte par rapport à ça, de discuter de poids.

Puis au début, tu es comme, je peux-tu t'appeler? Tu peux dire que je suis grosse. Tu peux dire que tu es grosse? Je suis comme, oui, ce n'est pas négatif, c'est le mot.

Puis ça a pris des mois avant de dire que j'étais une grosse personne. Ce n'est pas comme si elle disait, Vanessa, la grosse personne, elle ne parle pas de moi comme ça. » Quand elle dit, « Vous, les grosses. » Au début, ça a été vraiment compliqué

et gênant pour elle de le dire. Maintenant, elle embrasse ça. Le fait qu'elle embrasse ça, ça me fait plus l'embrasser aussi. Le fait qu'elle n'ait pas honte de dire que ma blonde est grosse, qu'elle n'a pas honte, quand on rentre au IKEA,

de me pogner la main, qu'elle n'a pas honte de me donner un bec devant d'autres mondes où ça me fait du bien. C'est vraiment quelque chose que j'avais besoin dans ma vie parce que les autres personnes avec qui j'étais avant, je n'osais pas m'imposer

à ce niveau-là parce que je ne voulais pas qu'elle ait honte de moi. Je ne voulais pas prendre la main de peu importe la personne avec qui j'étais parce que je n'avais pas peur que la personne la fasse comme « Hum, il y a une monde qui nous regarde. Je voulais pas faire honte à personne, mais elle, elle frotte ça, c'est elle qui va venir me prendre la main, c'est elle qui va, tu sais.

Fait que j'ai jamais rencontré, je sais qu'elle est comme ça aussi, ça ne la dérange pas, mais c'est pas ma blonde, tu sais. Je vais m'étouffer dans pas long. Mais c'est ça, c'est pas ma blonde, fait qu'elle, elle s'en fout, elle n'a pas besoin d'assumer ça. Moi, c'est mon amie, mais si quelqu'un m'écœure,

elle ne revient pas. Dormirait-elle avec moi? Tandis que, quoi que, tout le temps, on avait une maison. Avec toi? Oui, on dormait tout le temps une chez l'autre. L'an dernier, on avait des projets.

Se saouler. Se saouler. Se saouler, oui, on avait des projets. Se saouler. Se saouler. Se saouler. Oui, c'est ça. Côté, mettons, sexuel, avec tes relations et tout, là, tu disais qu'aujourd'hui,

tu n'as pas 100 % confiance, mais est-ce que tu es capable aujourd'hui de plus te laisser aller et pouvoir profiter de ton plaisir? De plus en plus, je vous dirais. Vraiment de plus en plus, mais ça a pris du temps pour moi d'assimiler que quelqu'un avait du désir pour moi. Ça m'a pris vraiment du temps.

Je suis encore dans ma tête. Ça fait dix mois qu'on est ensemble et je suis encore dans ma tête quand ça se passe. Je suis genre, oh my God, je suis correct. Je peux me poser une question. Des fois, c'est difficile de vivre le moment présent quand tu es dans ta tête tout le temps.

Elle, elle le sait. Je lui ai dit et je ne suis pas gênée de lui dire que j'étais dans ma tête et que je lui ai dit, puis je suis pas gênée de lui dire, comme, « J'étais dans ma tête, j'étais pas là. » Puis, tu sais, elle va jamais me dire, comme... Là, c'est vraiment plate. Des fois, là, tu penses trop... Tu sais, jamais, jamais,

jamais. – Elle comprend. – Ah, elle comprend, puis c'est ça qui fait sa force, puis c'est ça qui fait que... Tu sais, on s'entend pas sur tout, on se comprend pas sur tout non plus, mais pour ça, pour mes problèmes d'acceptation, elle est vraiment empathique à ce niveau-là. Elle va me dire qu'il n'y a pas de problème, on prendra le temps que ça prendra.

Même quand quelqu'un a des différends, elle va venir me dire que j'ai besoin que tu fasses ça. Elle est capable d'exprimer ses besoins. Maintenant, je suis capable d'exprimer mes besoins puis maintenant je suis capable d'exprimer mes besoins des choses que je ne faisais pas avant j'acceptais ce qu'on me donnait puis je donnais ce que je pouvais donner tu avais peur de demander quelque chose

puis justement de te faire dire non oui, vraiment puis juste me faire peux-tu me prendre comme ça ça me rendait super mal à l'aise encore aujourd'hui j'ai de la misère avec ça je ne peux pas dire ces affaires-là fais-moitu me prendre comme ça? » Ça me rendait super mal à l'aise. Encore aujourd'hui, j'ai de la misère avec ça. Je ne peux pas dire ces affaires-là. Je ne peux pas dire « Fais-moi l'amour comme ça. »

Ou même pendant, je ne peux pas dire « Fais ça. » Comme le sextalk, ça me rend super mal à l'aise. Mon but ultime, ma blonde n'est pas mal à l'aise avec ça, mais mon but ultime, ce serait d'être capable de communiquer. Tes désirs, tes besoins sexuels. Pendant, surtout.

Puis en même temps, j'ai aussi de la misère désirs, tes besoins, c'est-tu vrai? Pendant, surtout, tu sais. Puis en même temps, j'ai aussi de la misère à me faire dire, ah, moi, j'aime ça, telle affaire, puis de l'appliquer le soir même parce que j'ai peur de ne pas être à la hauteur de ce qu'elle pensait. Fait que, tu sais... T'as du travail que tu veux faire encore sur... Ah oui, bien oui, ça, c'est sûr.

Puis ça a toujours été, j'ai toujours eu du travail à faire parce que quand j'acceptais trop, il fallait que j'accepte moins. Quand je ne voulais pas assez, il fallait que je me respecte. Je ne me suis pas toujours respectée non plus. Fait que j'ai toujours eu du travail à faire par rapport à ça parce que j'ai toujours voulu faire un peu de caméléon

puis d'aller avec une personne puis de plaire à cette personne-là. Moi, mon plaisir, ce n'était pas important. À l'IAD, je veux dire que la personne soit satisfaite de notre échange. Là, es-tu capable de penser un peu plus à ça, à ton plaisir? Genre, tu vas-tu être déçue si à la fin, tu es comme, ah, calé, je ne suis pas venue

ce fois-là, mettons. Non, parce qu'en fait, les deux... En tout cas, les deux, je pense qu'on a vraiment la conscience de l'autre et qu'on veut faire plaisir à l'autre dans toutes les sphères, que ce soit sexuelle ou dans... Peu importe. Genre recevoir, mettons. Recevoir, ça ne me dérange plus maintenant.

Ça ne me dérange plus, mais ça prend du temps. Ça ne te dérange pas ou ça te tente? Ça me tente, oui, c'est ça. Ça me tente, mais en même temps, je me sens... Quand je reçois, quand je suis la seule à recevoir, des fois, je suis comme, oh my God, il faut que je donne en retour. C'est la varnoche. Ça, c'est plein de monde. je donne en retour. C'est la varnoche. Ça, c'est plein de monde.

On est de même. C'est fou. C'est difficile à enlever ce côté-là. Je l'avais aussi. Des fois, il revient. Il ne veut pas. Je pense qu'il faut essayer de se dire qu'il y a des gens qui aiment juste ça, donner. Élise, elle aime énormément.

Je ne parle pas sexuellement parlant. Je parle dans la vie de tous les jours. Elle donne beaucoup au niveau matériel, mettons. énormément, je ne parle pas sexuellement parlant, je parle dans la vie de tous les jours, c'est vraiment, elle donne beaucoup, comme, au niveau matériel, mettons, là, elle donne beaucoup. Mais du temps, ça dépend, ça dépend de la situation. Tu es capable d'en donner du temps, là.

– Oui, oui, puis si la personne, elle t'aime vraiment, elle t'aime, elle va vouloir que tu ailles du plaisir, puis elle va avoir autant de plaisir à t'en donner qu'à recevoir, puis je ne sais pas pourquoi, mais des fois, on ne le comprend pas vite, ça. Moi, ça a été long, aussi, avant de comprendre que mon chum ma blonde voilà j'ai jamais de bon en fait mon chum il peut avoir du plaisir à m'en donner fait que'est ça. Je pense qu'il y a beaucoup de personnes que c'est comme ça et que c'est long. Il faut se laisser...

Il faut se laisser... Gâter. Il faut se laisser gâter. À gâter aussi, c'est égoïste aussi. On est des humains. On est des êtres égoïstes. Moi, quand je donne, c'est égoïste. J'ai le goût de faire ça pour moi.

C'est vrai. C'est pour se faire plaisir. Elle me le disait aussi. Moi, j'aime ça. Je ne suis pas obligée de le recevoir tout le temps. J'aime ça. C'est impossible que tu me donnes une soirée et que moi, je fais comme...

Parfait. Excusez-moi. Parfait. Je ne donne pas un échange. Je me sens mal, tu sais. Mais elle, elle dit, mais moi, j'aime ça. Je suis bien là-dedans. Ça me fait plaisir. J'imagine, là, si ta blonde est exactement comme toi.

Si tout le long qu'elle donne, elle sent mal. Mais tout le long qu'elle reçoit, elle sent mal parce que c'est son tour de donner. Genre, comment c'est comme, ah, deux personnes qui ont du sexe ensemble, que c'est juste ça, tu sais, tout le long qu'elle reçoit elle se sent mal parce que c'est son tour de donner comment c'est comme deux personnes qui ont du sexe ensemble que c'est juste ça tout le long t'as pas tant de fun à donner

à recevoir parce que tu penses à donner les deux arcs mais elle est exceptionnelle pour ça elle me fait pas sentir mal à zéro point c'est la meilleure partenaire que j'aurais jamais pu avoir C'est la meilleure partenaire que j'aurais jamais pu avoir. C'est vraiment particulier aussi

la chimie qu'on a, que ce soit dans l'intimité ou dans la vie de tous les jours. On a vraiment une chimie particulière. On se comprend bien, encore une fois, dans l'intimité ou dans la vie de tous les jours. Qui est dans l'intimité aussi, la vie de tous les jours, qui est dans l'intimité aussi, la vie de tous les jours, fait que, tu sais, on se comprend juste vraiment bien, on a beaucoup de compréhension,

beaucoup d'affection, puis on est capable, c'est ça, de plus qu'avant, puis de plus en plus, j'espère, de se mettre dans la position de l'autre, de se dire, OK, là, tu sais, quand tu connais minimalement quelqu'un, tu peux dire, OK, là, Vanessa est peut-être pas à l'aise à ce moment-là,

je vais faire d'autres choses. Parce que je sais pas, moi, peut-être que là, il fait trop clair pour elle, je vais essayer de... Tu te mets à sa place, maintenant. Ouais, c'est ça. Fait qu'elle va se dire, OK, là, je sais qu'elle sera pas bien parce qu'on voit son ventre, ou elle sera pas bien parce que c'est l'affaire de l'affaire,

elle me le dira pas, mais je veux savoir, je veux le sentir qu'elle fait des gestes pour me rendre à l'aise. Fait que je pense que c'est ça, je pense que jusqu'à maintenant, puis j'espère que ça va durer pour le reste de ma vie, mais jusqu'à maintenant, c'est la

meilleure partenaire que j'ai eue, la meilleure amoureuse que j'ai eue aussi. Toute personne confondue. Fait que c'est ça. J'espère que tout le monde

qui ne se sent pas écouté dans l'insimilité va rencontrer une Estelle. C'est important de trouver. Je pense aussi que si tu rencontres quelqu'un qui ne te fait pas sentir comme Estelle me fait sentir, il faut changer le partenaire.

Je suis d'accord. Moi, je dis « On change. » Quand ça ne marche pas, on change. Non, non, non. Mais pas aussitôt qu'il y a un petit problème. Je ne suis pas ça. Oui, moi, je trouve que c'est super important cet aspect-là. Parce que c'est vrai que

moi, en tant que femme, ça a été difficile aussi, ça a été long. Je travaille encore sur moi, sur le fait de pouvoir accepter, de recevoir du plaisir, parce que moi aussi, j'aimais beaucoup plus s'en donner. Puis c'est vraiment important, comme tu dis. Fait que si c'est pas quelque chose que tu retrouves avec la personne,

puis que c'est important pour toi, je pense pas tout le monde que c'est important, mais en général... Non, c'est pas tout le monde. Je pense qu'il y a des gens pour qui la sexualité, c'est important pour toi. Je pense pas tout le monde que c'est important, mais en général... Je pense que il y a des gens pour qui la sexualité, c'est pas tant important. Tu sais,

c'est correct, il y a vraiment pas de problème là. Fait que si c'est pas important, baser vos priorités sur d'autres choses, OK. Je dis pas que la sexualité c'est une priorité, sauf que c'est une hostie de bonne base dans une relation. Si, au niveau de la couchette, ça ne fonctionne pas, je me demande comment ça peut fonctionner

super bien au Ikea. Parce que sinon, c'est de donner des colocs et des amis à ces gens-là. Parce que c'est ça qui définit la différence entre Liz et moi, ma blonde et moi, c'est parce que je couche avec ma blonde. Puis est-ce qu'avec tes expériences avec des hommes versus

expériences avec les femmes, est-ce que javec tes expériences avec des hommes versus expériences avec les femmes, est-ce que, j'imagine que tu préfères avec les femmes, mais est-ce qu'il y a quelque chose qui te manque? Non. Non, pas du tout. Au début, j'avais vraiment peur, parce que si tu ne voulais pas me marquer, je suis quand même costaude.

Puis j'avais juste peur. Elle n'avait pas remarqué, ça fait six ans, elle se disait, « Chris, Vanessa, elle est grosse! » À chaque fois qu'elle dit ça, je ne comprends pas de quoi elle parle. J'avais peur de ne pas me sentir poignée, de ne pas me sentir...

Parce que, tu sais, un gars, c'est souvent des plus grosses mains, puis c'est souvent plus fort, puis... Elle te fait-tu sentir masculine? Elle ne me fait pas sentir masculine. Non, c'est souvent des plus grosses mains. C'est souvent plus fort. Elle te fait-tu sentir masculine? Elle ne me fait pas sentir masculine. Non, c'est ça. Vraiment pas. Je ne voulais pas me sentir masculine.

Oui, c'est ça. Ma blonde, ce n'est pas une fille que tu regardes et que tu fais comme elle est vraiment très masculine. Elle a juste une énergie d'entrepreneur. Elle ne me fait pas me sentir comme masculine.

J'avais peur avec une fille de me sentir masculine. Même si toi, mettons, tu as une énergie aussi entreprenante et dominante, tu as quand même une énergie qui est féminine. Tu n'as pas une énergie masculine en tout cas selon moi. Tandis qu'elle quand même une énergie qui est féminine. Ouais. T'sais, t'as pas une énergie masculine zéro, en tout cas, selon moi, là. Tandis que elle, même si elle a,

t'sais, genre des beaux grands cheveux, corps parfait, t'sais, tout ça, elle a une énergie beaucoup plus masculine que toi. Ouais. 100%. Vraiment, vraiment. Fait que c'est ça qui fait qu'on se complète bien à ce niveau-là, c'est qu'elle me... Même si c'est pas... Elle ne fasse pas qu'elle est la plus

forte, son énergie est plus dominante que la mienne. Fait que je me sens... Je veux pas dire en sécurité, c'est pas ça que je veux dire, mais je me sens vraiment... Je sais pas comment... Entreprise, je me sens prise

en main, tu sais. C'est vraiment bizarre peut-être à dire, prise en main. Non, mais un peu comme tu dis, je trouve que c'est quand bizarre peut-être à dire prise en main non mais un peu comme tu dis je trouve que c'est quand même en sécurité je trouve que c'est sécurisant pas nécessairement je sais juste que

il y a bien des affaires auto les autres vous êtes équipé j'ai un rouleau de tête il y a un beau rouleau de tête après on fait du bondage restez là J'ai un rouleau de tête à côté de moi. Il y a un beau rouleau de tête. Après, on fait du bondage. Restez là!

Mais oui, c'est ça. Avec des gars, moi, j'allais souvent voir des gars qui étaient... Quelqu'un, je ne sais pas, je voulais me sentir serrée, avec la force, puis finalement... Des muscles.

Des muscles. Ah oui. En fait, je pense que je voulais juste me sentir plus féminine. C'était ça, je pense, avec mes relations, parce que j'ai eu des relations avec des gars vraiment plus petits que moi. Puis je ne me sentais pas féminine,

mais ça n'a rien à voir avec l'orientation finalement. C'est l'énergie. Oui, et c'est la façon que quelqu'un te traite. Quelqu'un qui te traite bien, ça fait sentir plus femme. Ça n'a pas rapport avec

même l'énergie. J'ai été avec des femmes féminines qui m'ont fait sentir vraiment femme juste parce que je me sentais respectée et aimée dans ce que je suis. Juste ça, je suis une femme, je me sens respectée, je me sens féminine.

Aimer. 100 %. Elle, il n'y a pas de rôle non plus chez nous. Non, non. C'est elle, le gars. C'est quand même moi qui lève les affaires fucking lourdes. Mais elle, elle me fait vraiment me sentir au quotidien féminine. C'est ce que moi qui lève les affaires fucking lourdes mais elle me fait vraiment me sentir au quotidien

féminine, pis c'est ce que j'avais besoin aussi dans toute ma vie, je me suis super sentie masculine, j'arrêtais pas de dire j'étais un gars manqué mais je suis pas vraiment un gars manqué non pas du tout tu sais Elisande est limite plus masculine que moi

physiquement elle est super féminine mais son énergie pasande a une limite plus masculine que moi physiquement elle est super féminine mais son énergie pas limite elle est plus masculine que moi je suis quand même plus énergique je suis avec des gars

mais j'ai trois frères mon père moi aussi je trouve énergie mais physiquement je suis quand même pas si peu je suis un petit peu plus

mais là j'ai un côté là nos jours c'est quoi physiquement féminin ou masculin il n'y en a pas vraiment il n. De nos jours, c'est quoi? Physiquement féminin ou masculin? Il n'y en a pas vraiment. Il n'y en a pas aussi. Est-ce que vous avez

un beau gros tiroir plein de strap-on? Je ne savais pas si je pouvais aller là. Depuis tout à l'heure, on peut dire non. On peut dire non. Même toi, tu es la fois. C'est quoi, la 16?

Dis-moi quand t'as... C'est-tu toi qui as... C'est ça qu'on voulait savoir depuis le début. On voulait juste savoir ça. Non, mais c'est sûr qu'on est imaginatifs. Des cocombes. Elle est une fan de... Des fois, des petits cocombes anglais.

C'est pas ça. Des petits cocombes anglais des petits coquons libanais ah les anglais ben le français des oignons j'ai jamais essayé un oignon français j'espère pas

je l'ai assuré comment c'est un oignon français c'est des échalotes. Ah, des petites échalotes. Mais non, j'aime ça. On va essayer. Mais regarde, c'est pas ça que je voulais dire. C'est ma cousine.

Elle a un peu le même... C'est ça, tu me fais vraiment penser à ma cousine. Elle a eu un peu le même parcours que toi. Elle a tout le temps été en couple avec des hommes. Elle a tout le temps eu des relations sexuelles avec des hommes. Puis là, elle est avec une femme. Puis eux, mettons, elle, avant...

En fait, ma cousine, elle n'aime pas les jouets sexuels. Pas du tout, pas du tout. Parce qu'on dirait qu'elle se sent comme... Je sais pas, on dirait qu'elle sent que c'est comme entre... C'est pas pour tout le monde. Oui, c'est ça. Mais sa blonde, elle, c'est comme... C'est-tu pointant, vous l'avez dit, comme moi.

Elle aime ça. Non, mais... Mais mettons... OK, ma question, c'est comme... Tu t'es-tu pointée en vous disant comme moi, elle aime ça? Non, mais... Mais ton mot! OK, ma question, c'est la suivante. Il faut que j'arrête de penser. Oui, vas-y. Je vais poser ma question. Si je ne suis pas dans la question,

je vais faire mes petites affaires. Je suis en train d'offenser. Vas-y. Je suis tout le temps à moi. Je fais plus peur que ça. Non, non, mais c'est parce que c'est ça. Regarde. Ah, un bébé qui pleure. C'est peut-être... C'est un garderie, c'est-tu? Ça tient ou pas? Non, non, non, pas la parce que c'est ça. Ah, un bébé qui pleure.

C'est à tiens ou bien? Non, non, non, pas la mienne. J'aime tellement ça les podcasts parce que c'est fun. J'ai pas à penser à le nouveau-né. Nouveau-né, trois mois, Caroline. Mais c'est pas ça que je voulais dire. On parlait de Deldo. Est-ce que ça te manque, la pénétration?

Est-ce que, mettons, justement... C'est sûr que je pensais, avec ma cousine, j'ai dit, c'est sûr que vous avez des strapones, parce que, clairement, il me semble, c'est le fun d'une pénétration. Des doigts, ça peut être en masse. Oui, pour le point G, exact. Mais est-ce que c'est quelque chose

que tu trouves qui est nécessaire, toi, ou non? Les doigts, cunnilingus, doigts, ça fait la job. La sexualité avec un homme ne me manque pas. Est-ce qu'on pallie à certains trucs des fois? Oui. Est-ce que des fois, non? Oui aussi. Ça dépend vraiment de la vibe du moment.

C'est pas nécessaire. C'est pas nécessaire, ni pour elle, ni pour moi. C'est parfait de même. Puis, je me sens super bien là-dedans. Parce que des fois, même avec un gars, il y a des fois que ça tente pas. Puis, tu as juste envie d'un service en particulier. Puis, c'est tout.

C'est vrai, des fois, tu veux juste l'entrée. Tu veux pas le souper. C'est vrai, ça arrive. Même affaire avec une femme. Des fois, ça tente all-in le buffet. C'est vrai. C'est-tu arrivé avec une femme. Des fois, ça te tente all-in le buffet. C'est vrai. C'est-tu déjà arrivé que tu t'es laissé faire au complet sans donner un retour que t'as fait oui?

Oui. C'est-tu déjà arrivé? Oui. Quand? Quand la date. Oui, plusieurs fois. Parce qu'elle, c'est ça. C'est vraiment un giver.

Il a fallu que j'accepte ça. C'est le fun. Quand tu sens que la personne tente de donner, c'est le fun de recevoir. Moi, mettons de faire manger par quelqu'un que je sens une corvée comme elle. C'est impossible

que je vienne. Mais quelqu'un qui est comme « Oh my God, c'est la meilleure affaire que j'ai faite de ma vie. » C'est comme... Puis il dég God, c'est la meilleure affaire que j'ai faite de ma vie. » C'est comme... Puis déguste. Genre, « Open door. » C'est bien plus le fun quand l'autre s'entend pour vrai. Ben oui, mais c'est particulier aussi.

C'est un sentiment que je n'avais pas eu nécessairement dans le passé. Ou à un moment, je ne l'avais pas décelé chez l'autre personne. Mais de se sentir non redevable, je trouve que c'est vraiment un feeling nice. Puis quand tu ne l'as pas vécu, c'est comme si tu ne sais pas que ça existe.

C'est vraiment bizarre. Quand tu ne l'as pas vécu et que tu t'es toujours sentie redevable, puis là, d'un coup, il n'y a même pas de pression. Tu sens que la personne est repue. Elle est contente de ce qu'elle a eu, parce que pour elle aussi, cette personne-là,

la giver, c'est souvent comme disait Lisande, c'est une satisfaction aussi égoïste. Parce que la personne, ça lui tente ça, c'est ça qu'elle a. Puis c'est tout. Mais quand tu n'es pas consciente que ça existe, je pense que tu penses

que ça va être toujours réciproque. Mais non. Même moi, des fois, ça me tente juste de donner puis ça ne me tente pas de recevoir. Il y a des fois où je ne le feel pas, ça ne me tente pas de le vivre, mais des fois, ça me tente juste de donner.

Elle comprend ça aussi. En faisant ça, des fois, des soirées que'intention juste de donner, puis elle comprend ça aussi. Puis en faisant ça, des fois, des soirées que, OK, c'est juste elle, c'est juste toi, en faisant ça, ça fait que ton cerveau, il n'est pas associé, je reçois, il faut que je donne. Parce que veux, veux pas,

dans mes autres relations aussi, c'était ça, je donnais, je recevais, c'était tout le temps ça. Fait que veux, veux pas, même si je me laissais aller, il y avait toujours un arrière-pensée de « il faut que je donne. » Est-ce que c'est assez long? Comme tu dis, est-ce que c'est trop long?

Le timer qui te part dans la tête, moi, ça me rend folle. C'est fou, c'était le petit timer. De penser « c'est trop long, c'est trop long, c'est trop long, c'est trop long, la personne est-elle confortable? Est-ce qu'elle est correcte? » Ça me stresse. C'est pour ça que c'est trop long, c'est trop long, la personne est-elle confortable, est-elle correcte, est-elle correcte? » Ça, ça me stresse.

C'est pour ça que c'est des téléphones, des soirées comme ça. C'est impossible de venir après ça. En tout cas, moi, à la seconde où je me mets à penser au temps qui est passé, là. Ou quand il te dit « t'es-tu venue? » Ça aussi, c'est sûr que non. Une sécheresse. Mon ouïte, il aspire.

C'est pour ça que c'est sûr que ce setup-là, il est important à faire une fois de temps en temps. Des fois, on fait une soirée juste pour le plaisir à son partenaire ou à sa partenaire.

Oui. Puis juste, tu dis, OK, à ce soir, it's you, OK? Je veux rien. Puis c'est la première fois que j'ai réussi à avoir un orgasme

avec quelqu'un, c'est exactement ça. Il m'avait dit, là, bébé, fente ta gueule. Je t'ai fait à avoir un orgasme avec quelqu'un, c'est exactement ça. Il m'avait dit, là, bébé, fente ta gueule. Je t'ai fait tout, je veux rien. Même si tu n'as pas d'orgasme, même si tu as un orgasme, tu n'en as pas, on s'en fout.

Je veux juste te donner du plaisir. Pour vrai, la chute, ça fait comme... Oui. Mais en même temps, qu'il te dise, même si tu n'as pas d'orgasme, ce n'est pas grave. Où ça s'arrête? C'est quoi son moment où il se fait voir comme, si t'as pas d'orgasme, c'est pas grave, où ça s'arrête? C'est quoi son moment où il s'est ouvert comme, je t'en ai là. C'est vraiment ça m'a resté.

Je pense que j'avais à ce moment-là, j'étais comme, ok, faut que je vienne, faut que je vienne. Parce qu'on dirait que c'est tout le temps là qu'on pense que ça finit la relation quand t'es venue, mais non, en réalité, tu peux avoir une relation sans avoir d'orgasme. La soirée où ça m'est arrivé,

j'ai eu un orgasme corporel. C'était tellement comme... C'était de tout mon corps parce qu'il stimulait tout mon corps au complet. C'était bien plus fort que juste un orgasme clitoridien. C'était vraiment corporel. C'était long. C'était long et c'était wow. Des soirées comme ça, on s'en fait encore

aujourd'hui. Allô, Louis? Des soirées... Mais, on parle pas de Donald. Des soirées comme ça, c'est le fun, parce que... Non, on entend pas. On s'en fait encore, fait que des fois, c'est lui, des fois, c'est moi, des fois, c'est lui, puis c'est le fun, parce que maintenant, je suis capable vraiment

de faire, OK, c'est juste moi, là. Faut pas que je pense à lui. Puis quand tu penses à lui, il faut que tu lui mettes des choses dans le cul. Femme! Pauvre Louis. Non, non, vraiment pas, là! Ça aussi, on l'a réglé. Parce que Louis connaît bien le J-pop.

À lui? Dans lui ou moi? Dans lui. Non, non, non, non, non. Le J-pop ne va pas à l'intérieur anal. Parce que... C'est parce que ça se peut que la boule décolle. Moi, je ne prendrais pas

de chance. Oh, putain. Moi non plus. Parce que c'est vraiment fait plus côté vaginal. Ce n'est pas écrit dessus. C'est vraiment pour le point G. Il n'a jamais essayé. Non, non, non. Même s'il pouvait... C'est proscrit. C'est proscrit.

Toi, il y a-tu des choses qui sont proscrites? Dans mon pêteux? Pêteux, c'est proscrit. Est-ce que t'as déjà essayé? Non. C'est quoi qui fait que t'as pas envie? L'odeur. Non, c'est pas vrai.

Non, c'est pas vrai. Je sais pas, c'est... L'odeur? Non, c'est pas vrai. Non, c'est pas ça. C'est pas vrai. C'est pas vrai. Je ne sais pas. C'est vraiment... Je ne sais pas. Dans tes fesses à toi ou dans les fesses des autres? Serais-tu game

dans les fesses des autres? Bien oui. Ah oui? Bien, pas tout le monde, par contre, évidemment. Toi, as-tu comme la peur qu'il y ait du caca qui sort? Non, bien moi, j'ai un ami.

Ceux-là, ça m'a peut-être traumatisé, mais j'ai un ami gay que j'ai lu dans le fond. J'ai eu peur que tu all ça m'a peut-être traumatisé, mais j'ai un ami gay. J'ai eu peur que tu allais raconter une histoire. En tout cas... On pète de nous. Non, non. Mais j'ai un ami gay que lui,

ça est arrivé souvent de se faire chier dessus, dans le fond. Juste une de ses histoires, il était couché, et là, il était en train de s'adamiser quelqu'un avec un dildo. Puis, quand il a retiré le dildo,

une avalanche de marde en face. Oh! Ça, juste cette histoire-là, ça m'a un peu traumatisé. Mais j'imagine, tu t'en vas jouer dans la boîte. C'est sûr qu'il y a des chances que tu ressortes beurré mais mais

non mais c'est vrai c'est vraiment, il faut déstigmatiser ça parce que c'est normal qu'il y ait des effluves c'est normal aussi que ça soit ça se fait quand même pas ça dépend de ce que t'as mangé la veille j'imagine mais

bonjour Ça fait qu'elle n'aide pas. Ça dépend de ce que tu as mangé la veille, j'imagine. Ah, excusez, allô? Bonjour. Allô? Ma mère a dit de ne pas m'appeler. Mais c'est ça. Il faut s'attendre à ça, mais c'est juste que dans un monde idéal, tu n'as pas de marre dans les yeux.

Comme ça ne te revole pas dans la face. Ça fait juste un peu peur. Ça m'a fait peur. Quand j'étais au secondaire, il y avait une histoire d'une fille et un gars qui se tenaient à faire l'amour sur le divan. Les parents étaient sortis de la maison. Ils font l'amour

sur le divan. Le père a oublié ses clés. Il revient. Le gars y sortit. La fille explose sur le divan. Là, c'est toutes des histoires. Sur les milliards et milliards de fois que ça va bien. Je te dis que je l'ai faite. Oui, excusez-moi, je ne sais pas comment lui, mon son.

Tu es sérieuse? Ferme ton téléphone. Non, mais Minou, c'est ça ta crainte. Ce n'est pas le fait que ça t'attire pas C'est juste parce que t'as peur Non c'est pas ça m'attire pas C'est juste que je l'ai Ça me manque pas

C'est comme un voyage Moi j'aimais pas les voyages avant Mais c'est pas que j'aime pas ça C'est que je ne sais pas vraiment De la mort à un voyage J'ai déjà inséré Un suppositoire je sais c'est quoi un peu le feeling

ben non ben c'est pas le fun on comprend je veux te faire tu veux me faire quoi non mais je comprends je prendrais une démonstration peut-être ben non mais là, je suppose toi. Moi non plus, j'ai pas de fan.

Mais toi, j'ai pas de plaisir. En tout cas, je sais pas. Ça fait combien de temps qu'on tourne? Ça fait une heure. Ça, c'est un plaisir. C'est vraiment le fun, Vanessa. Pour vrai, je trippe. Vous écouterez la fin de votre future own.

Elle n'existe pas. Elle ne vante pas des affaires. De quoi? C'est parce qu'on a peut-être des projets en cours, mais de toute façon, elle l'a dit tout croche, donc peut-être que le monde n'aura pas compris. C'est parfait. Merci, Vanesse. Vanesse, c'était vraiment le fun.

Ça finit de même. On parle de suppositoires. Moi, j'aimerais ça... On finit sur un Néo Laringobis. On finit sur... Je vais t'-Gobis. On finit sur... Je vais t'écrire après. Je vais te parler après. Je vais prendre des commentaires.

Je pense que c'est quelque chose qui pourrait agrémenter ta vie. On s'en parlera après. On s'en parlera. Je t'aime. T'es une personne extraordinaire. T'es pas trop mal à l'aise? Non, ça a bien été.

Moi, je suis parfaitement à l'aise super contente que tu sois heureuse ouais moi aussi c'est fini là c'est fini bye Sous-titrage Société Radio-Canada