Sexe Oral - Vos histoires d'horreur au lit (Spécial Halloween)
Episode Date: October 31, 2024Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d’expériences et d’opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d’un.e sexologue ou autre professionnel ...de la santé. Cette semaine sur le podcast, on lit vos témoignages de vos pires histoires d'horreur au lit. Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast Le podcast est présenté par Oxio. Pour plus d'informations: https://oxio.ca/ Code promo pour essayer Oxio gratuitement pendant un mois: SEXEORAL ---- Pour collaborations: partenariats@studiosf.ca Pour toutes questions: sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/
Transcript
Discussion (0)
Le podcast d'aujourd'hui est présenté par Eros et compagnie.
Et aujourd'hui, je vais vous parler de jouets qui...
Je vous ai amené des jouets d'Halloween,
parce que c'est l'Halloween dans Barwet.
Puis c'est comme les jouets qui me faisaient penser à l'Halloween.
Fait qu'à commencer par le Casper, évidemment,
parce qu'il a de l'allure d'un petit fantôme,
un beau petit fantôme qui est mon masturbateur pour pénis préféré.
Donc, t'as plein de textures à l'intérieur
si tu veux faire vivre une masturbation incroyable
à ton ou ta partenaire qui a un pénis.
Le Casper, il est moelleux à l'intérieur.
Il est incroyable.
C'est une des textures les plus folles
que j'ai senties de toute ma vie.
Et tu as l'option vibration aussi
avec une belle lumière d'Halloween.
Bien, d'Halloween, pas d'Halloween, une lumière
tabarouette. Deuxième jouet, on a
le magicien. Clairement,
c'est pour ça que je l'ai emmené, parce qu'il s'appelle le magicien
et à l'Halloween, mon petit exemple magicien,
qui est un de mes préférés aussi.
Le magicien, il fallait le voir sur mon Instagram, si vous voulez
une belle vidéo explicative de moi
qui vous montre comment l'utiliser.
Alors, sur ma page,
Joanne Grenier, deux.
Magicien qui est un trois en un.
Vibrateur vaginal, vibrateur clitoridien et t'as aussi un pulsion d'air
qui est très populaire.
Et là, on entre dans la luminosité
d'Halloween. On a ici
le dildo de la compagnie Ouch
qui est le glow in the dark.
Fait que c'est un jouet avec un
harnais. Donc, un harnais que tu peux mettre
sur ta tête, comme ça.
Tu peux la mettre
n'importe où, où est-ce que ça tient.
Et tu peux faire
ce que tu veux pour l'Halloween.
Tu vas avoir beaucoup de plaisir
et ça va allumer
à l'intérieur de la personne
et partout. Il y a aussi
Émilie, ma belle-sœur, qui a fait faire
un dildo qui s'appelle le Lumos.
Fait que, mettons, si tu veux pas le petit
harnais, tu veux juste le dildo, c'est le
Lumos qui allume dans le noir. Il est orange.
Il est super beau. Il y a une courbe
super belle pour aller chercher
votre point G. Donc,
tous ces beaux produits-là d'Halloween, parce que
c'est des produits que je considère d'Halloween,
vous pouvez vous les procurer sur erosecompagne.com
avec le code SEXORAL. Joyeux
Halloween, tout le monde!
Une production
du Studio SF.
Bonsoir,
mesdames et messieurs.
Aujourd'hui, nous allons vivre
une expérience hors de
l'ordinaire. Nous allons
lire des histoires d'horreur de l'ordinaire. Nous allons lire des histoires
d'horreur pour
l'Halloween, puisque c'est
l'Halloween.
Alors, vous allez
vivre de la peur, peut-être,
de l'angoisse
et
de l'excitation aussi,
parce qu'on est à
sexe oral.
Alors, bon frisson.
Notre podcast est présenté par nos bébés de chez Oxio, le premier fournisseur Internet
que vous pourriez réellement aimer.
Un fournisseur avec qui ça clique.
Vous pouvez dire bye aux négociations interminables,
aux promotions malhonnêtes, aux rabais qui expirent. Vous êtes tranquille
avec une facture mensuelle
qui reste la même à tous les mois.
Il n'y aura jamais de surprise,
pas de contrat à long terme.
It's a one-time thing
dans l'honnêteté, la transparence
et l'amour.
Lise a le pari avec son cœur.
Pour ajouter le petit mot
à Lise, il y a aussi une garantie de 60 jours.
C'est tout ce que je voulais dire.
Et vous avez ici,
vous allez pouvoir aller sur oxyo.ca
et utiliser le code SEXORAL
pour essayer Oxyo gratuitement pendant un mois,
voir si c'est un bon fit avec toi,
ce qui, évidemment, va être le cas.
Merci, Oxyo.
Bonne journée.
Bonne journée. Bon podcast.
This is Halloween, this is Halloween.
Halloween, Halloween.
Je la connais pas.
Ah non? C'est comme tu redis la même phrase. Ah non? Ah bon.
C'est comme tu redis la même phrase.
Ah ok, ok, ok.
Tu sais ce qu'on a fait?
Non.
Ok, c'est bon.
This is Halloween.
This is Halloween, tout le monde.
On est plus contentes.
On s'est donné pour notre...
Allez, on est vraiment désolées.
On avait des plans de grandeur qui sont tombés à l'eau.
Donc, nous voici avec des chapeaux de cow-boy.
Et nos plans de grandeur impliquaient des canards. C'est pour ça que vous allez
voir dans les décors des petits canards cachés
ici et là. C'est l'idée
du projet qu'on avait qui est tombé à l'eau.
Il est tombé dans l'eau comme un canard.
Sacrament!
Aujourd'hui,
on est des car-girls.
Si vous voulez aller voir, on est des petits
car-girls. On s'est mis un petit chapeau.
On est des car girls voyantes.
J'ai rajouté un élément à la liste pour nous rajouter.
C'est toi qui as fait ça.
Oui, c'est comme une boule de cristal.
C'est une bonne idée.
Aujourd'hui...
Pardon.
Pour la thématique de la...
Elle n'a pas pris sa médication aujourd'hui, Joannie.
Vous allez le percevoir à de l'heure. Elle n'a pas pris sa médication aujourd'hui, Joannie. Vous allez le percevoir
à travers l'épisode.
D'ailleurs, je viens de me brûler sur ton fer
encore allumé en le déplaçant.
Parce que je l'ai pris par le manche.
Voilà, ça c'est dit.
Mais aujourd'hui, c'est l'Halloween.
Donc, on va faire
des lectures de vos
témoignages d'histoires d'horreur
en lien avec la sexualité
donc toutes les fois où il l'a mis dans le cul
quand c'était pas supposé
ben ça c'est pas une histoire d'horreur pour toi
ça dépend pour qui
pour moi c'est une petite joie, une petite victoire
oh il est fin
il m'a mis dans le cul
mais non
ok on va les lire.
On va commencer.
Moi, c'est mes podcasts.
Non, mes podcasts prévus tout le temps.
OK.
Avant, as-tu une histoire d'horreur que tu veux nous partager?
Qu'on n'a jamais dit.
C'est sûr qu'on n'a jamais dit.
C'est parce qu'on a tout dit.
On a pas mal tout dit. Mais attends, récemment, une histoire d'horreur. Non, mais je l'ai dit. C'est parce qu'on a tout dit. On a pas mal tout dit.
Récemment, une histoire d'horreur.
Non, mais je l'ai dit à l'autre podcast.
Mon histoire d'horreur, c'est quand ma fille nous a surpris.
Je n'ai pas dit ici,
mais en gros,
elle nous a surpris.
Nous, on est allés dans la petite cuisine,
en bas, dans la cuisine fermée,
pendant que ma fille adormait.
Ma fille, quand elle se réveille, elle se lève, mais elle crie, genre
« Maman, papa! » Fait que, tu sais, on le sait,
qu'elle se réveille. Fait qu'on est
descendus. On ne l'a jamais entendu
indescendus, des marches
tout le long, sans parler,
comme un petit sourire. Elle le savait, on dirait.
Il y avait quelque chose. Elle le savait. Elle voulait nous pogner
en flanc. « Grand-déli, tabarouette, ça n'a pas de bon sens. »
Puis elle est arrivée, tranquillement. Puis à un moment donné,
j'étais en train de faire
la plus incroyable fellation à mon jeune
que je me suis donnée,
mais comme jamais que j'avais faite.
J'ai fait des techniques que je n'avais jamais essayées encore.
Et elle était là, dans le cadre de porte.
C'est une histoire d'horreur, les amis.
J'en parlais, j'ai des frissons.
Ça n'a pas de bon sens, c'est un cauchemar. Mais tu sais, ça arrive, c'est une histoire d'horreur, les amis. J'en parlais, j'ai des frissons. Ça n'a pas de bon sens, c'est un cauchemar.
Mais tu sais, ça arrive.
Mais tu ne sais pas si ça faisait
combien de temps qu'elle était là, maintenant?
Non, mais ça ne faisait pas longtemps.
Je ne pense pas. Je ne peux pas craindre.
Mais je ne sais pas.
As-tu vu juste le dos de ta tête?
Non, ça ne faisait pas longtemps
parce que, mettons, Louis était
sur le mur,
puis moi, j'étais là.
Fait que non, c'est le côté.
Non, non, elle l'a toute vue, là.
Ah, mon Dieu.
C'est un cauchemar.
Puis là, après ça, genre, on arrête, là.
Céliane, elle s'en va, elle se cache.
Puis là, on est comme, là, on capote.
Mais quelqu'un m'a dit, tu sais, c'est pas tant l'acte,
parce qu'elle sait pas c'est quoi, tu sais.
Fait que c'est plus le fait qu'on capotait
que ça l'a fait de capoter. Elle a pens parce qu'elle sait pas c'est quoi. Fait que, c'est plus le fait qu'on capotait que ça l'a fait capoter.
Elle a fait... Puis là, elle a l'air pensée
qu'elle avait fait quelque chose de mal.
Comme, tu sais, petite cocotte, là.
Mais non, là.
Puis nous non plus, là, tu sais, techniquement, c'est juste que
crème, là. Là, on le sait plus, là,
où faire ça, là. Puis, en tout cas,
regarde, on va... Là, on le sait, là, on va juste...
Pas faire ça quand elle... Bien, ça...
Bien, non, mais il faut qu'on s'achète une poignée qui se barre, là, puis qu'on va le faire dans la chambre. On va juste pas faire ça. Ben non, mais il faut qu'on s'achète
une poignée qui se barre, puis qu'on va le faire
dans la chambre. Ça va être ça.
Toi, ton mission d'horreur
récente ou dans les dernières
études? Il n'y a plus d'horreur
récemment. C'est mon bébé qui avait un petit
rhume, puis qui toussait
tout le temps. Puis quand il tousse, ça le réveille.
Fait que mon chum qui essaie d'avoir une sexualité,
c'est entrecoupé de mon enfant
qui se réveille 150 fois.
C'est comme, oh, un petit coup de bassin,
OK, ce ne sera pas long, je vais voir le bébé,
je reviens, un petit coup de bassin, OK, ce n'est pas long.
Ça prend vraiment longtemps si on veut finir,
conclure.
Ce serait de mentir,
de vous dire que si je n'ai pas arrivé,
que j'ai fait, laisse-donc faire tabarnak.
On va aller chercher le bébé, puis on va dormir. »
Évidemment.
C'est ça, mon histoire d'horreur.
C'est que tu n'es pas capable de...
Tu ne peux pas juste faire...
Mon chum, il est comme « Non, c'est pas grave. »
Je suis comme « Ben non, je viens d'allaiter.
Je suis off-red.
Mes seins viennent d'être utilisés par mon enfant.
Ça ne me tente plus que tu me touches. »
C'est vraiment dommage.
Nos histoires d'horreur de maman, la gang.
C'est vraiment plate, on est désolés.
On a hâte de lire vos histoires d'horreur
de célibataire, de trou de cul
que vous rencontrez sur Tinder.
Tellement.
OK, on les commence.
Première histoire.
J'étais avec mon chum de l'époque
et on se gare à l'entrée d'une forêt
où il n'y avait personne pour faire nos affaires.
Il éteint les phares
de la voiture et on se retrouve
dans le noir total.
Je mets une ambiance parce que c'est l'Halloween.
On commence à s'embrasser
puis à se toucher.
L'atmosphère se réchauffe
jusqu'au moment
où on entend un cri
venant de la forêt.
Très, très, très fort.
Sans même se parler, on s'est regardé, il a remis son pantalon
et on a filé à toute vitesse de cet endroit.
Je ne saurais comment expliquer ce qu'il s'est passé,
mais ce cri m'avait glacé le sang.
Et j'y repense encore parfois.
Fait qu'on ne sait pas...
Ben là, c'est parce que là, il faudrait voir.
Moi, mon style, c'est de regarder les nouvelles après,
voir s'il y a quelqu'un qui est mort.
Hey, un gros cri, là.
Ben oui, mais il n'était pas curieux de voir ce qui se passait.
Ben non, on vit ça dans la forêt., quelqu'un qui crie au meurtre.
T'es-tu malade, moi, chaque mois au camp?
– Premièrement, c'est peut-être quelqu'un qui les a vus
et qui a fait le saut.
– Oui, ça pourrait être ça.
Moi, j'imagine le pire.
– Ou quelqu'un qui est en détresse
et qu'ils peuvent la sauver.
– Ils sont deux.
– Ah non, moi, ce n'est pas une option pour moi.
Non, mon option, c'est genre une option pour moi. Ah non? Non, non.
Non, mon option, c'est genre,
sauvons-nous, mais... Sauvons notre cul.
Mais, sauvons-nous,
mais après ça, d'appeler la police.
Clairement.
Ouais, ça, c'est...
Oui.
Peut-être qu'elle s'est pognée le pied
en dessous d'une roche,
mais c'est pas nécessairement
quelqu'un qui l'attaque.
J'espère que vous vous sentez coupable
à ce jour.
OK.
C'est une histoire d'horreur.
Numéro 2.
Première relation sexuelle sous les effets du cannabis.
J'étais out of my mind.
Ça a commencé au début par un bon French, un classique.
On se frottait tout habillé.
On se touchait légèrement.
J'ai descendu ma main doucement le long de son ventre pour finalement flatter son zizi bandé. Elle a écrit zizi, parfait. Pendant 5-10 minutes, c'est là l'horreur, c'est l'emploi du terme zizi. Et voilà, fin de l'histoire. Pendant 5-10 minutes. Jusqu'à ce que je réalise qu'il est étrangement vraiment trop dur.
Tout ce temps,
je touchais sa hanche. Quel malaise.
J'ai crossé sa hanche
pendant un peu trop longtemps.
Il était sûrement trop malaisé
pour m'avertir puisque j'ai continué
sans qu'on m'arrête.
J'ai aussi totalement fayqué un orgasme
à la fin de notre session de sexe.
Trop dans ma tête et dans mon monde imaginaire
pour réaliser qu'il était
dans moi. »
Elle était bien pétée sur la marijuana.
Ah, mais c'est
bon, là. Genre, la personne
a des
bonnes hanches.
C'est parce que
mon chum, quand j'ai rencontré lui aussi,
il était un peu sur le côté,
les hanches rentraient un peu.
Clairement, je peux comprendre.
C'est quelqu'un
qui n'est pas trop en chair.
Pourquoi tu penses ça?
Ça m'est déjà arrivé à moi
que quelqu'un pense que c'est
ma zone vaginale
et que c'est clairement...
Oh, wow! Je pensais... C'était ton pubis.
Genre, ça, c'est déjà arrivé.
C'est vraiment malaisant.
C'est ça, hein?
Mais est-ce que tu l'as dit ou t'as juste fait...
Je l'ai sûrement pas dit.
Il va s'en rendre compte
éventuellement qu'il est en train de me flatter
entre les deux yeux.
J'exagère, mais...
Oups, c'est pas ton clitoris.
Excuse.
Ça devait pas être un gros monsieur.
Mais, ouais,
OK, mais à date,
on date
des bonnes histoires.
Numéro 3. Pour votre épisode
d'Halloween,
voilà, OK, c'est ça qu'elle a juste dit ça
mais l'histoire est après
bon, un jour
un jour
j'étais avec mon chum de l'époque
il me donnait le meilleur cunni
de toute ma vie
par derrière, je comprends pas
par derrière
de dos pis il mange
ah ouais
t'as-tu déjà fait ça, toi?
Je me suis déjà faite manger par derrière,
ouais. Ah, le cul?
Ben non. Tu vas manger le cul?
Tu peux te rendre un anulingus.
Ben oui, mais tu peux aller
proche du vagin par en arrière aussi.
Ah, ouais!
J'ai jamais vécu ça.
Toi, t'as déjà fait ça?
T'es en doggy, tu manges pas en dessous
ben ouais mais
c'est vrai toi tu dis souvent que l'écart entre ton anus
et ton vagin est loin
ouais c'est ça
j'ai l'impression que c'est
vraiment comme collé là quasiment
tu peux voir en arrière facilement
wow
c'est fou ça
quand même d'âme
ben je pense que je vais demander à Louis qu'il essaye tu manges la nune par en arrière? Wow! C'est fou, ça. Quand même d'âme.
Je pense que je vais demander à Louis qu'il essaye.
Oui, voir si ça se fait pour vrai.
Si mon vagin est trop décollé
ou pas.
Bref, il m'a mangé par derrière.
J'étais à quatre pattes
dans le lit.
Et lui, dernièrement,
avec un cunnilingus et avec un anulingus.
C'était incroyable
et long. J'avais l'impression
de jouer à l'infini.
Et la bave de mon chum coulait
partout sur ma vulve.
Quand même nice. Le long de mon
ventre jusqu'à mes seins.
J'ai eu une crampe dans la cuisse.
Je me suis donc retournée face
à lui, couchée sur le dos,
pour réaliser que depuis le début,
ce n'était pas de la bave que je sentais couler.
J'étais tellement jouie.
J'ai tellement jouie que j'ai des veines qui ont pété.
Je ne sais plus où.
J'avais du sang partout sur le ventre
et mon chum autour de la bouche.
Je vous assure que j'étais
pas menstruée.
C'est une histoire d'horreur.
Ouais, quand même.
Elle fait des sons fantômes.
Elle est glacée du sang.
Je me sens...
Elle me fait peur. Oui, quand même. Je me fais... Un peu.
Oui, quand même.
Tu me parles de ton téléphone.
Oh, pareil.
Quand même.
C'est intense, pareil.
Tu repenses un peu.
C'est comme excitant, du sang, un peu.
Pas...
Du sang qui vient du vagin, on dirait que ça ne me dérange pas.
Oui, mais là, elle dit que ce n'était pas son sang de vagin.
C'est genre une veine qui a éclaté quelque part.
Mais c'est quand même étonnant qu'une veine éclate.
Mais ça doit être des veines à l'intérieur. Je ne peux pas croire.
Tu sais, dans le sens...
Oui, peut-être.
Oh, mon Dieu.
Je n'ai jamais compté ça à personne tellement c'est gênant.
Ouh! J'adore.
Il y a de ça 4-5 ans,
j'avais matché avec un gars sur Tinder
et j'avais fait 3 heures de route aller-retour pour aller le chercher et le ramener chez moi.
Sacrement, t'as de la motivation.
Oui.
Il n'avait pas de domicile fixe et squattait chez des amis, mais je n'étais pas à l'aise d'aller le rencontrer dans ces conditions, mais il avait l'air gentil.
Finalement, il était crotté.
Oh mon Dieu. mais il avait l'air gentil. Finalement, il était crotté. Je lui ai fait une pipe de peine et de misère.
Avec un condom, je ne fais jamais ça,
mais je ne voulais vraiment pas prendre de chance.
Je me suis couché avec lui complètement gelé à côté de moi.
Je suis allée le reporter le matin.
Je n'avais pas dormi.
Je n'étais pas capable parce qu'il puait.
Et j'avais peur qu'il fasse de quoi sans mon consentement.
Je suis allée le dropper dans un parc
parce qu'il n'avait nulle part d'autre où aller. Il m'a fucking fait sentir quoi sans mon consentement. Je suis allée le dropper dans un parc parce qu'il avait nulle part d'autre
où aller. On m'a fucking
faite sentir mal à cause de ça.
Bref, le gars a oublié son sac chez nous
et j'ai découvert que c'était un dealer.
Il avait de la drogue, beaucoup de drogue
et deux cellulaires, puis un sac écrit
GH. Je pense
que j'ai bien fait de ne pas dormir
cette nuit-là.
Évidemment. Ça, c'est la plus grosse histoire de l'heure que j'ai bien fait de ne pas dormir cette nuit-là. Évidemment.
Ça, c'est la plus
grosse histoire d'horreur que j'ai entendue de toute ma vie.
Moi, j'ai bien trop peur.
Je ne ferais jamais ça, aller chercher quelqu'un,
il faut le loin, puis le ramener chez nous.
De base, c'est une histoire d'horreur,
moi, d'aller chercher un inconnu, puis le ramener chez nous.
Faire trois heures de route.
C'est ça, l'histoire d'horreur.
Oui, mais Carlis, tu arrives là,
puis tu es comme, il sent le tabarnak,
puis là, tu pognes une heure et demie de char
de retour, qui est assis à côté de toi,
puis tu es comme Carlis qui pue.
C'est pour ça que
moi, je vous conseille tout le temps,
mettez-vous à un point repère.
Allez prendre un petit café ou un petit verre avant,
puis au pire, finissez chez vous.
De se faire un petit point de rencontre,
de « Hey, on va-tu se rejoindre à tel café? » Comme ça, au pire, tu peux prendre un café, se faire un petit point de rencontre, de « Hey, on va te surjoindre à tel café. »
Au pire, tu peux prendre un café,
ça crée ton camp.
Tu n'es pas obligé d'aller
au petit bar, juste prendre un petit verre.
Quelque part.
Comme ça, premièrement, tu n'es pas chez vous,
il n'y a pas ton adresse. C'est super dangereux, ça.
C'est fou.
Non, ne faites pas ça.
Elle dit qu'elle n'a jamais dit à personne.
Elle nous l'a dit. Elle a refropu, c'est sûr. C'est fou les parents, ça. C'est fou. Non, ça, faites pas ça. Ça fait peur. Elle dit qu'elle l'a jamais dit à personne. Ben, elle nous l'a dit.
Elle a refroidi, c'est sûr. J'espère.
C'est fou les peurent, ça. Ça peut arriver
plein d'affaires. Faites ça, là.
Sois prudente. Ouais.
Elle dit telle, hein,
qu'elle a tellement fait d'affaires.
Elle a pas sûr. Hey, t'as fait du pouce,
toi, hein. Ça fait peur. Qu'est-ce que tu veux dire?
Cauchemar. Ben, t'as fait du pouce?
J'ai fait du pouce en Inde pour aller acheter de la vodka
sur une moto d'un Indien.
J'étais de même.
Oh, j'avoue que c'est sécuritaire.
J'étais à un arrêt...
OK, j'ai raconté.
Ça n'a pas rapport.
J'étais à un arrêt d'autobus en Inde.
On attend le bus pour changer de ville.
Puis moi, j'ai plus d'alcool.
Puis je suis bien saoule.
Il est genre deux heures l'après-midi.
Puis là, il y a un Indien qui passe en moto.
Puis là, je lève ma main. Je suis là, hey, hey, hey. Il arrête. Je suis là, tu peux-tu m 2h l'après-midi. Il y a un Indien qui passe en moto. Je lève ma main.
Je dis « Hey, hey, hey! » Il arrête.
« Tu peux-tu m'apporter un dépanneur proche
où il y a du phare? »
J'embarque en arrière de sa moto.
Il me traîne à une coupe de coin de rue.
Je dis « Bye » à mes amis.
Il m'apporte une coupe de coin de rue. Je sorte de sa moto.
Je m'en vais chercher un 26-11 de Rome.
Je rembarque sur sa moto. Il me ramène.
Mais le gars, il aurait pu crisser son camp avec moi sur le dos de sa moto. J'aurais eu mon 26-11, Rome, genre, je rembarque sur sa moto, il me ramène. Mais le gars, il aurait pu crisser son camp avec moi sur le dos
de sa moto. J'aurais eu mon 26-11,
mais j'aurais perdu 3-4 membres. Je suis revenue,
je suis là, je suis prête pour l'autobus.
Je rentre dans l'autobus avec mon 26-11.
Non, non, une débile, en Inde.
Genre, le pire endroit sur la planète pour faire
une affaire dans la même. Ça n'a pas de sens, Liz,
que tu sois encore ici. Je sais, je sais.
Bon Dieu.
Ah, aïe, ils ont pris soin de toi.
Ça n'a pas de bon sens. Je ne peux pas croire.
Je ne peux pas croire. Tu n'es pas à un moment
où est-ce que là-bas, mettons...
Je trouvais qu'il y avait l'affaire. Tu n'avais pas peur.
Vu que tu étais seule, tu n'avais plus
d'inhibition, j'imagine.
Tu étais comme...
C'est drôle.
C'est quand même drôle.
Je pense qu'à la base, j'ai juste
demandé au gars s'il n'y avait pas
une place proche.
Il a dit embarque.
C'est ça. Je ne pense pas
que j'ai demandé de s'arrêter pour embarquer
sur sa moto. J'ai dit où est-ce que je peux en trouver
et il m'a dit embarque.
C'est quasiment pire.
Je ne sais pas. En tout cas, moi, je n'en avais pas.
Tu as un petit chapeau de cow-boy.
Ne faites pas ça. On est-tu rendu aux 5? Je sais pas. En tout cas, moi, j'en avais pas. T'avais un petit chapeau de cowboy. Faites pas ce que c'est.
Faites pas ça.
On est-tu rendu aux cinq?
Allô, Joanie Lisandre.
Allô.
Mon histoire la plus glauque.
C'est quoi ça veut dire, ça, glauque? C'est bizarre.
La plus glauque, Oli,
s'est passée avec un one night
dans ma jeune vingtaine.
J'avais rencontré ce mec dans un bar
et les deux, on était pas mal
sous l'effet de l'alcool.
Le gars m'invite à finir la soirée
chez lui. Il habitait pas
trop loin, donc on s'est mis à marcher.
Pour se rendre à son domicile
plus rapidement, nous avons décidé
de passer par un raccourci,
soit un cimetière.
On s'agaçait pas mal et ça devenait chaud entre nous.
On a décidé de calmer nos pulsions
directement dans le cimetière.
Il m'a prise par
l'arrière en deux guistelles
pendant que moi j'étais à côté
sur une pierre tombale.
C'est cochon.
Pas correct, mais c'est cochon.
C'était quand même hot, malgré que
c'était vraiment weird.
Une petite vite de la mort,
si je peux me permettre le jeu de mots.
Sur le coup,
j'avais...
Sur le coup, j'avais regardé
quel nom se trouvait sur la pierre tombale
que j'ai profanée, mais je ne m'en souviens plus.
Heureusement que Dieu est son âme. Amen.
On va faire une petite réaction.
C'est le plus d'accidents que ce bonhomme-là a eu dans très longtemps.
Imagine que tu es en paix dans ta tombe, tu te chiles,
puis là, comme ça fait 100 ans que tu es là,
puis là, whoop, deux adolescents qui s'en viennent de ta tombe fourrée,
tu es comme ça, vraiment bon matin.
C'est très drôle. Ça fait 100. T'es comme ça, vraiment bon matin.
Ça fait 100 ans que tu dors en paix, toi.
La première chose que tu vois,
c'est deux innocents qui foncent sur ta pierre tombant.
Tac, ramas!
Ça fait de l'action.
Les autres, ils n'ont jamais d'action.
Moi, je pense que c'est correct.
Mais c'est plus le fait que... En fait, c'est pas correct de le faire.
C'est pas légal.
Imagine la petite famille qui arrive
pour venir porter des fleurs.
Non, non, non, c'est ça. Mais moi,
si j'étais morte...
Grand-maman!
Non, non, moi, si j'étais morte, c'est ça.
Ça ne me dérangerait pas.
Dégusteur, sous-maton, il n'y a pas de problème.
Moi, je vous invite.
Peut-être que tous les gens qui meurent pourraient remplir un formulaire
pour dire si ça ne leur dérange pas, puis écrire sur la pierre
tombale, oui, vous pouvez fourrer ici
ou pas.
Non? Ça pourrait
être un...
Non, mais je comprends. Je comprends que tu déclines
ma proposition. Non, non. C'est une bonne idée.
J'y pensais. Tu préfères écrire ça sur
ta tombe. Vous pouvez fourrer ici. Oui,
je le mets sur mon testament. C'est vrai. Donnez-moi du...
Donnez-moi de l'action. Je suis
morte calvaire. Ah, c'est ça que je veux-moi de l'action, je suis morte calvaire. C'est ça que je veux.
Fais écrire ça, ça.
Parfait.
Quand j'ai commencé à sortir
avec mon chum actuel, je suis
présentement dans la quarantaine. Il avait déjà
un enfant de 10 ans. Son fils était
le genre d'enfant qui avait eu sa période de croissance
très tôt. À 12 ans, il mesurait
déjà autour de 5 pieds 10.
Bref, un week-end où il était chez sa
mère, on était un peu plus sensuels que
d'habitude. On était encore à l'étape de
s'embrasser. Quand je vois une ombre
sans visage dans le cadre de porte,
c'était dans le noir total. Il était
impossible de voir qui c'était. Je vous
jure sur ma vie, pendant 10 secondes,
j'ai su que c'était la fin.
J'ai lâché un cri de meurtre
tellement fort que nos voisins de condo se sont mis à la porte
vers minuit. Notre beau-fils
avait tout simplement décidé de dormir à la maison
vu qu'il était chez un ami juste à côté.
La pire peur de ma vie.
Je crois qu'on n'a pas eu de relation sexuelle
pendant plus d'un mois suite à ça.
J'étais traumatisée.
Je pensais qu'elle allait dire
qu'elle avait frenché son beau-fils en pensant
que c'était son chum parce qu'il faisait noir.
Je suis vraiment soulagée.
Finalement, c'est son beau-fils
qui les a pris en flagrant délit, c'est ça?
Il était sensuel, c'est ça.
Mais ils ont fait le saut.
Sacrement, j'ai eu peur.
Je pensais que c'était comme un voleur.
C'est ça. On était encore à l'étape
de s'embrasser quand je vois une ombre sans visage
dans le corps de porte.
Je pensais que c'était comme
elle parlait de commun.
En tout cas.
Oui, oui.
S'arrêter.
Ça, s'arrêter.
Terrible.
Cauchemar, cauchemar.
Imagine.
Imagine.
Ben là, au crime,
il n'aurait pas embrassé.
Elle arrive.
Ouf.
Je pense, tu sais,
c'est la prochaine.
Oui.
Cauchemar.
Ou taper le cul sans faire exprès.
Tu te pognes et tu es comme, oh fuck.
Mais ça, c'est ma pire peur.
Tu le sais, là.
Que quelqu'un te pogne.
Non, que quelqu'un rentre chez moi.
Genre, je serai ton beau-fils.
Non, elle ne le savait pas.
C'est un nombre sans tête qu'elle a vu. Tu comprends.
Sans visage.
Ça a pas été là, ouais, tu comprends.
Mais ça, je serais traumatisée
pis je serais comme figée.
Parce que quand ça m'arrive, moi,
mettons, j'entends un bruit, etc., ou n'importe quoi,
je fige, mais genre,
je respire pas, genre,
jusqu'à tant que...
OK, OK, là, je suis qui a tant que. OK, OK.
Là, c'est juste mon chat.
Je le dis, je le dis.
Je suis tellement peureuse.
Tu dis quoi?
Il faut que je te raconte quelque chose.
C'est une histoire d'horreur.
C'est pour ça que ça fit,
mais ce n'est pas en lien avec la sexualité,
mais ce n'est pas grave.
Je vais vous le dire.
Je ne sais pas si je l'ai déjà dit.
Non, je ne l'ai pas dit.
Je ne l'ai pas dit.
Ma maison à Terrebonne. J pas dit ma maison à Terrebonne
j'habitais à Terrebonne dans une maison
ok, pis dans ma maison dans le sol
il y avait, moi je l'appelle
on l'appelait notre man cave
c'est genre, tu rentres dans un
affaire, une petite porte
comme Blanche-Neige
tu rentres dans une petite cabane
pis tu rentres là-dedans, pis là tu as un petit
passage, pis là c'est tout en bois y'a rien, pis après ça y'a une un petit passage. C'est tout en bois. Il n'y a rien.
Il y a une autre pièce. C'est tout du bois.
Il n'y a rien.
C'est comme une petite place pour mettre du stock.
Il y a une petite porte.
C'est là qu'on chill, nous autres.
Les amis, c'est là qu'ils fumaient.
Dans cette petite pièce-là,
dans le temps qu'on n'avait pas d'enfants.
C'est ça, tout ça.
Là,
j'ai vécu là
genre deux ans. Pendant deux ans,
il est arrivé des affaires, puis je pensais
tout le temps que c'était mon chat.
Genre, tu vois, c'est à pas de bon sens.
J'entendais
souvent, mettons, j'étais seule avec
quelqu'un ou n'importe quoi, puis c'est
après que j'ai comme fait réaliser que c'était tout le temps là
quand j'étais seule avec une autre personne.
J'entends des genres de grattements,
genre, de même.
De même, OK?
Puis là, moi, je pensais que,
j'ai toujours dit,
ah, là, le monde, ils sont comme,
c'est quoi ça?
Qu'est-ce qui gratte?
Puis c'était en bas.
Le bruit, c'était vraiment comme
ça concordait à cette pièce-là.
Puis j'ai toujours dit, ah, c'est mon chat.
Genre, mon chat, c'est ça, c'est mon chat.
Il doit... Parce que ma litière
était à côté.
Ça fait logique. Mais j'ai pas de litière.
En fait, techniquement, j'ai pas de litière qui se ferme.
Je sais pas où est-ce qu'il grattait, mais
oui, c'est mon chat. Qu'est-ce qu'il veut faire? Il grattait quelque part.
Puis, il y a pas de griffe en passant où c'est mon chat,
je vais vous le dire. Mais en tout cas, je disais que c'était mon chat.
Puis, je pensais que c'était mon chat.
Pendant tout ça, avant de déménager, pas longtemps,
j'étais avec Guillaume, mon beau-frère.
Puis on a passé une soirée ensemble parce que mon chum était...
En tout cas, on a passé une soirée ensemble, puis on jouait à des jeux de société.
Mon chum, il revenait plus tard.
Puis là, on a entendu le bruit, le même bruit.
C'est encore le gratte-mâne même.
Puis là, Guillaume, il est genre, c'est quoi? Qu'est-ce qui gratte? Je lui bruit. C'est encore le gratte-mâle même.
Puis là, Guillaume, il est genre,
c'est quoi, qu'est-ce qui gratte?
Je dis, c'est mon chat, tout ça.
Là, Guillaume, il est genre, ah, ton chat?
Mon chat, il était genre là.
Puis là, je suis genre,
je suis comme, qu'est-ce qui se passe?
Puis là, je ne capotais. Fait que je ne sais pas à ce jour.
Tu as peut-être juste des souris dans tes murs.
Non, mais...
Ben, c'était comme un bruit de litière.
Puis ça a l'air que quand tu entends des grattements,
comme si c'était ça, de même,
ça a l'air que c'est des esprits maléfiques pas gentils.
En tout cas, tu as déménagé, Chris, de bonnes nouvelles. Oui, gentils en tout cas t'as déménagé, crise de bonnes nouvelles
oui c'est ça j'ai déménagé j'entends plus
ben avoue hein ça fait peur
genre ton chat, ah lui qui est là
celui qui est assis à côté de toi
j'ai tellement peur moi de ça
fait que voilà, prochaine histoire
sacrement
t'as-tu l'équipe d'histoire de même toi?
oui oui mais ben c'était pas épeurant T'as-tu l'équipe d'histoire de même, toi? Oui.
Oui, mais... Ben, c'était pas épeurant.
C'était comme réconfortant.
Mais mettons une situation que je peux pas expliquer, genre.
OK.
Pis ce que je peux pas expliquer aussi, c'est pourquoi...
Je peux pas expliquer mes comportements dans cette situation-là.
C'est ça qui est bizarre.
T'as été possédée, genre?
Non.
Mais j'ai eu des envies que je ne comprenais pas pourquoi.
Là, on parle ici de moi
au primaire, OK?
Ma grand-mère,
elle s'appelle Joanne,
puis ma grand-mère,
j'en ai parlé à plusieurs reprises
dans le podcast,
c'est une femme...
Amérindienne.
Non, elle n'est pas...
Elle pense qu'elle est
de Première Nation,
elle n'a aucune origine
de Première Nation.
J'ai fait le test 23 et demi,
j'ai zaro, zaro, zaro Première Nation, fait qu'a aucune origine de Première Nation. J'ai fait le test 23 et demi. J'ai zaro, zaro, zaro Première Nation.
Elle non plus, c'est sûr.
Bref, mais elle est très connectée
avec la spiritualité.
Puis tout ça.
Puis elle avait une amie qui s'appelait Ouvive.
Ce n'est pas une farce.
Son nom, c'était Ouvive.
Puis cette dame-là,
elle avait un collier dans le cou
avec un genre de cristal
au bout de son collier.
Puis là, j'ai été voir au vif.
J'étais comme, je peux-tu t'emprunter ton collier?
Je voulais absolument
qu'elle me prête son collier.
Là, je suis au primaire. Je ne me souviens pas pourquoi,
mais j'étais comme, il me le faut.
J'étais comme, écoute, je te laisse dormir
avec mon collier, mais il faut que tu me le redonnes
demain matin.
Fait que j'ai passé la nuit avec son collier.
Puis?
Non, pas souvent.
Mais regarde,
tu sais, je suis comme, qu'est-ce que j'ai
déformé au fil des ans,
l'histoire, mais ça, c'est le souvenir que j'ai.
Fait que j'ai dormi,
puis là, cette nuit-là, je me suis réveillée en panique. Un genrehistoire, mais ça, c'est le souvenir que j'ai. Fait que j'ai dormi, puis là, cette nuit-là,
je me suis réveillée en panique,
un genre de « ah » comme ça,
puis je n'avais plus le collier dans le cou.
Il était plus là.
Non, Liz, non.
Je me suis rendormie,
puis le lendemain matin, quand il était
temps de me réveiller,
j'ai l'impression que quelqu'un me flatte le visage.
J'ai l'impression que quelqu'un me réve le visage. J'ai l'impression que quelqu'un me réveille
en me flattant. J'ouvre les yeux,
il n'y a personne, mais j'ai le collier dans le cou.
Ça, mettons, je ne comprends pas.
Attends, je veux juste redire
ce qu'elle a dit. Ah, mais ça ne fait pas peur.
Elle a dit ça. Si on recule
le podcast, elle a dit
ça ne fait pas peur. C'est réconfortant. Elle a dit c. Si on recule le podcast, elle a dit « Ah, mais ça fait pas peur. »
C'est réconfortant. Elle a dit
« C'est réconfortant. » Excuse-moi, c'est la pire
peur que tu m'as faite de toute ma vie. Si ça, ça m'arrête,
genre, je meurs, je meurs, je meurs et je meurs.
OK. C'est parce que
je me souviens que je me sentais en sécurité.
Je sentais
que j'étais protégée. Je sentais que c'était comme
des ondes positives, que c'était
une flatouche de... Tu comprends? C'était comme... ondes positives, que c'était une flatouche de...
Tu comprends? C'était comme... Je sentais pas
que c'était quelque chose de maléfique.
Je sentais pas quelque chose de maléfique.
Moi, je sentais que, genre, j'ai eu
une protection. Il y a quelqu'un qui a voulu
me faire comprendre qu'il était là.
C'est tout par rapport à comment tu reçois
l'expérience. Je l'ai reçue de façon
super positive.
Mais, tu sais, mettons que je pense à qu'est-ce qu'il y a
de mon passé que je ne peux pas expliquer,
il y a ça qui me vient.
Mais tu sais, je suis comme, est-ce que j'étais trop jeune
puis finalement, je l'ai
enlevé puis dans mon sommeil, je l'ai remis
puis finalement, c'est ma mère qui est passée.
Tu sais, genre, mon cerveau rationnel
a le goût de... Non, non, non, non,
pas du tout. Ça s'est vraiment passé.
Ça s'est vraiment passé.
Je te rassure, je suis sûre.
Je suis sûre.
Pour vrai, je ne peux pas croire.
OK, OK, OK.
Moi, j'ai déjà vu, j'étais jeune, moi, avec...
Tu sais, quand tu es jeune, on revient après,
quand tu es jeune, tu penses que tu es comme...
Moi, j'ai vu quelqu'un en vélo,
j'étais devant chez nous, puis il faisait genre... Quel quelqu'un en vélo. J'étais devant chez nous.
Il faisait genre...
Quelqu'un en vélo.
Il s'est retourné le visage.
Il n'y avait pas de visage.
Je te le dis.
Plein d'autres affaires.
Il y a quelque chose.
On dirait que...
Je commande deux mondes.
On dirait.
Il y a eu plein d'affaires.
Vas-y, go, raconte.
C'est pas grave, là.
C'est horreur, Halloween.
Il y a plein d'autres choses.
Puis c'est encore une fois quelque chose
que je ne peux pas expliquer.
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Parce qu'on aime, Axel.
Merci.
On vous aime.
Bonne journée.
La deuxième histoire qui s'est passée,
c'est pas épeurant.
C'est pas épeurant.
Ben oui, je le sais. Ça va être épeurant, c'est sûr.ée c'est pas épeurant ben oui je le sais ça va être épeurant c'est sûr
mais c'est encore une histoire de
pis encore une fois
c'est quelque chose que je ne comprends pas
pourquoi j'ai agi comme ça
c'est jamais quelqu'un d'autre
c'est tout le temps pourquoi
je comprends pas pourquoi j'ai une pulsion de faire quelque chose
pis finalement je le fais
mes parents m'avaient forcé à aller dans un camping
un été pis ça me tentait pas.
Moi, je voulais rester à la maison, gosser
sur mon ordinateur, puis faire des affaires.
Puis là,
tout le long du camping,
je suis en tabarnak, je participe pas,
j'ai pas le goût d'être là, je suis une adolescente.
Je suis gossée.
Là, à un moment donné, je fais comme, bon, je vais aller
prendre une marche tant qu'il n'y a rien de calcé sur un
camping puis qu'il n'y a pas de réseau.
Je pars prendre une marche, puis on est sur le bord de la mer.
Puis entre
le camping et la mer, il y a un gros,
gros champ.
Puis là, je marche, puis à la moitié du champ,
il y a une genre de vieille cabane
qui est en décrépitude
au fin fond du champ.
Je me retourne, je regarde la cabane,
puis je me dis, je le jure,
puis je l'ai dit à voix haute parce que j'étais comme, je veux pas
m'imaginer que c'est ma tête qui me joue des tours.
J'ai regardé la cabane, j'ai dit,
si je vais voir la cabane, au milieu de cette
cabane-là, à terre, il y a un serpent.
Je l'ai dit à voix haute, j'étais comme,
je le sais. J'ai marché
un pas à la fois en me disant, je m'en vais voir un serpent.
Je m'en vais voir un serpent. J'arrive dans la cabane,
je regarde en plein milieu à terre,
il y a une coulève de la cabane.
Ça, c'est... À ce jour, je suis revenue
au camping, j'avais le shake. Puis là, j'essayais
de l'expliquer à tout le monde, tu sais, puis tout le monde était comme,
« Mais oui, tu sais... » Mais j'étais comme,
« Moi, je sais ce que j'aime vivre. »
Ça, c'est l'autre affaire que j'ai aucune idée que je peux pas expliquer.
Tu as clairement
des entités, là, genre que... Ça, c'est une autre affaire. Je vais te l'autre affaire que j'ai aucune idée que je ne peux pas expliquer. Tu as clairement des entités.
Ça, c'est une autre affaire. Je vais te l'expliquer ce que j'ai fait, mais j'ai fait récemment quelque chose,
un échange énergétique.
Bref. Puis, les entités, c'est ça.
C'est genre, c'est comme des gens
qui sont décédés puis qui vont...
Puis, ils ne vont pas te faire
des entités. Ce n'est pas tant. Ce n'est pas négatif.
Il y a des entités diaboliques, genre
whatever, mais ce n'est pas ça. La majorité, ce n'est pas tant. Ce n'est pas négatif. Il y a des entités diaboliques, genre whatever, mais ce n'est pas ça.
La majorité, ce n'est pas ça.
Ils peuvent t'influencer à faire des affaires,
mais rien de genre...
Clairement, c'est des entités.
Dans toutes, comme mettons,
dans ces deux histoires-là qui sonnent vraiment tirées par les cheveux
et j'en suis consciente,
le cerveau rationnel essaie de tout expliquer.
Non, je ne sais pas.
C'est vrai.
Je ne suis pas, genre,
comme j'ai une tête sur les épaules, je ne dirais pas.
Moi, je n'en ai pas.
Pardon?
C'est une joke.
Mais ces expériences-là, pour moi,
je ne sentais pas qu'ils étaient,
c'était super enveloppant.
C'était super comme, c'était comme si j'arrivais
dans une genre de bulle de protection.
Je me sentais vraiment bien.
Je n'ai jamais été voir le serpent me dire
« Oh my God, un serpent. »
J'étais vraiment comme « Il va y avoir un serpent.
Il m'attend. C'est correct.
Ça va prendre le temps que ça va prendre.
Je vais arriver là. Il va m'attendre.
Je vais le voir. »
C'était vraiment ça.
Quand même.
C'est fucké.
Pardon pour la petite pause.
Nous sommes back.
Donc, as-tu une autre histoire, toi?
Parce que j'en ai compté deux. Toi, as-tu une autre histoire toi, parce que j'en ai compté deux.
Toi, as-tu une autre histoire un peu fuckée
que tu ne peux pas expliquer?
Ben, ma mère, elle a vécu
beaucoup d'affaires, genre des histoires
comme, c'est con, mais elle a joué
à Ouija. Évidemment,
t'ouvres le portail,
elle a joué à Ouija. Puis après ça,
ils ont fini de jouer à Ouija.
Puis, il est arrivé quelque chose, genre les lumières ont éteint. joué à Ouija. Puis après ça, ils ont fini de jouer à Ouija. Puis
il est arrivé quelque chose, genre
les lumières ont éteint.
Puis là, ils ont crié
aux meurtres. Puis là, tout le monde a
genre capoté. Puis il y avait un
couteau au milieu de la table.
C'est quelqu'un qui était là qui a foutu la main.
Peut-être. Peut-être. Mais ma mère,
à ce jour, elle dit...
Mais ça, ça... C'est comme ton père qui s'est rentré un siphon dans le cul, ça.être. Mais ma mère, à ce jour, elle dit... Mais ça, ça...
C'est comme ton père qui s'est rentré un siphon dans le cul, ça.
C'est tes parents, là.
Ça, c'est vrai.
Ça, c'est une vraie histoire, en passant.
D'horreur, mais une vraie.
Puis l'autre affaire, ma mère...
C'est pas ma mère, c'est vous.
Il est tombé dessus.
Mon père est tombé sur un siphon en glissant du bain.
Je veux juste le dire.
Puis mon père, il a la sclérose en plaque,
donc il a une
perte d'équilibre. Et le siphon
était à côté
du bain, mais il était en bois.
Il a failli mourir.
C'est une tragédie.
Puis il veut
que j'en parle. En passant, ça ne les dérange pas. Les gens sont
comme « Oh mon Dieu, j'entends. »
– Ça aurait pu passé par en bas.
Oui, c'est ça.
Un siphon jusqu'à dans la tête.
Tu trouves ton père de même. Tu ne dis pas qu'il est tombé.
En plus, il est mort.
Il ne peut pas nous le dire.
Ah, il est mort d'un siphon.
Tombé sur un siphon.
Dans le cul.
Lui, tout le long, on se rappelle
du dernier souvenir que, comment il est mort.
C'est le bébé.
Comment il est mort, ton père?
Ah, il est tombé sur un siphon.
Qui a traversé le corps de bord en bord.
Mais c'était un accident, tu sais.
Oui, oui. Personne va te croire.
Parfait.
Lise, c'est vrai.
OK.
Je fais confiance à mon père.
Je comprends.
Oui, on ne se rendrait pas un siphon en bois dans le cul,
qu'on allait.
Puis sinon, il ne nous le dirait pas siphon en bois dans le cul, colique.
Puis sinon, il ne nous le dirait pas ouvertement.
Il ferait comme... Il aurait peur que vous l'appreniez
en voyant ça. Son dossier médical,
il dirait mieux de leur dire que je suis tombée.
Non, mais c'est parce que c'est ma mère qui l'a ramassée.
Elle a du sang, puis tout.
C'est ça, ta mère l'a poignée. Il n'avait pas le choix.
Il a été pris au pied du mur.
Numéro 7.
Numéro 7, OK.
Donc, vas-y, parce que là, je ne l'ai pas encore.
Quand un autre duo d'amis
est mon ami et moi,
on est entrés par infraction dans une porte arrière
qui menait un chemin étrange.
On s'est rendu compte que c'était une église.
On a fait l'amour en duo à côté
et j'ai sucé mon ami en pleine paroisse.
Que Dieu me pardonne.
Ah, mais on dirait que ça me fait moins peur
que nos histoires qu'on se racontait.
Je comprends.
Là, c'est ça, c'est des histoires de peur.
C'est pas des histoires de peur, c'est des histoires de genre...
Mais comme ça, c'est correct.
Que Dieu me pardonne.
Moi aussi, j'ai déjà fait l'amour dans une église,
avec une fille en plus.
Ah!
Dans le petit cabinet pour se faire pardonner au péché?
Non.
Oui.
C'est pas vrai.
J'ai fait du lesbianisme dans une cabine.
Y a-tu le petit monsieur qui est venu après? Y a-tu quelqu'un qui vous a vu?
Ben non, y a jamais personne.
Ben oui, Liz.
Ben non, ils sont jamais là.
Hein?
Ben moi, dans mon souvenir, en tout cas, j'en étais toute seule.
Ben, je sais pas où t'habites, mais moi, à la Valdé, y avait un petit monsieur.
Ben, il passait à sa journée de date?
C'est ça.
Quand il voyait qu'il y avait quelqu'un, il venait.
On a dû s'arranger que personne nous voit.
Oh my God.
Ça commence à faire longtemps, mon lesbianisme.
Lui, il s'en allait.
Venez vous voir.
Salut Camille.
J'espère que tu vas bien. Je suis contente de savoir
que maintenant tu as un enfant
Vous êtes belle, toi et ta copine
Je me disais, elle est encore lesbienne
Ben oui, elle est encore lesbienne
Mais c'est vrai, ça change ça
Ben moi oui, ça a changé, pas elle
Vite
Histoire plus drôle qu'autre chose
Mais vraiment pas loin de l'horreur pour moi
Mon ex
Il avait tendance à avoir le king
de venir sur mon ventre ou sur mon dos.
Jusque-là, pas très spécial.
C'était assez commun, à mon avis.
Dès qu'il a commencé à se sentir plus à l'aise,
il s'est mis à lécher et manger son sperme.
OK.
Ça, c'est excitant quand même pour les...
Ça l'aime ça.
Toi? Pas toi qui disais qu'il avait... Ah non, c'était excitant quand même pour les îles. Elles aiment ça. Toi?
Non, c'était ton jus de nôtre.
Mon jus.
On ne parle pas ici d'une petite lichette.
Il venait quand même abondamment.
J'ai toujours voulu donner la liberté
à mes partenaires d'exprimer leur désir.
Mais ça, j'étais juste pas capable.
J'avais un peu le dédain du sperme en général.
Donc, une fois où il y en avait beaucoup
et qu'il s'est mis à le manger sur mon ventre,
j'ai dû me lever parce que je pensais
que j'allais littéralement vomir.
Bref, notre relation a duré quelques mois encore quand même.
Je te laissais la chance au coureur.
Et après, mais c'était trop dur pour moi.
Honnêtement, je comprends.
Genre, juste lire l'histoire,
j'ai un peu le goût de gaguer.
Ben, quand les clés se nisent, moi,
moi, j'ai déjà vomis dans ma bouche en ce moment.
Je l'ai avalé.
Ça n'a pas de bon sens.
Imagine, OK. Louis, t'as bien sur le chest,
une grosse crise de l'ode de sperme.
Puis là, il commence à tout...
Ça, c'est la périssoire d'horreur
d'aujourd'hui.
Pour vrai, c'est faux.
Et puis, je comprends
d'accueillir ton partenaire dans
tous ses fantasmes et tout, mais call this!
Mais moi, je l'accueille
sur le bord de la porte.
Non, mais je l'accueille pour le bord de la porte Non mais je l'accueille pour vrai Je comprends que c'est
Moi je suis certaine qu'il y a des filles qui entendent ça
Oui c'est ça exact
C'est pas fait
On est pas obligé
Si il y a quelque chose
Si mettons lui son fantasme
C'est genre de te passer un rouleau piquant
Et que tu saignes
Ben non je suis désolée, ça ne marchera pas.
Tu comprends?
On ne peut pas tout le temps accepter, accueillir.
Moi, si ça ne marche pas,
moi, le sperme, excuse-moi,
j'ai une chose que je n'aime pas,
c'est le sperme.
Fait que ne viens pas le manger dans ma face,
le crème.
Fait que moi, c'est sûr que moi,
ça ne marcherait pas,
mais il y en a d'autres, comme tu dis.
Il y en a pour tous les goûts.
Moi, j'ai une amie qui a triple sur le sperme.
Elle a triple. Elle a fait son petit masque.
Elle dit que c'est super bon pour la peau.
Je dis oui, oui, c'est ça.
T'as amené le sperme à la ouïe?
Non, non, non.
Puis quand je dis sperme, c'est aussi comme...
C'est parce que moi, je ne peux pas m'empêcher
de m'imaginer qu'il y a des petits grumeaux dedans.
Tu sais, ça file comme des petits caillots
de sang de menstruation. Des petits caillots de sang de menstruation.
Des petits caillots de sperme.
Puis que le gars, il prend le temps
de bien avaler puis goûter.
Limite, il mâche. Je vais vous remercier.
J'ai vraiment été trop loin.
Je suis désolée.
Je suis désolée. J'aurais dû mettre un stop
à ce que j'étais en train de dire.
Je suis allée trop loin.
Je suis vraiment désolée. Ça m'écoeure.
Mais on ne veut pas sonner comme des personnes
qui jugent. Mais...
On ne juge pas.
Non, dis-nous nos préférences.
Nos préférences, c'est que ça m'écoeure.
C'est une joke.
Nos préférences, ce n'est pas ça.
Est-ce que, mettons,
on y va,
je dis ça par hasard.
Claude, le jour le lendemain, il t'annonce
qu'il y a un fantasme, genre ça,
qu'il n'a jamais réalisé,
puis qu'il dit que ça lui pèse lourd,
puis que pour lui, c'est une des raisons
pourquoi votre couple ne va pas à 100 % bien,
c'est parce que...
il ne peut pas avaler son sperme.
Qu'est-ce que tu ferais?
Est-ce que tu penses que tu serais quand même ouverte
à y faire un peu avaler,
genre un scoop ou quelque chose?
Absolument.
Je serais super ouverte
parce que je l'aime, j'ai un enfant avec lui.
On a bâti quelque chose.
Je serais super ouverte.
Imaginez que Claude
prend une bonne cuillère
de son sperme,
ça me fait rire en sacrament.
Ben là, vous l'avez cuit,
vous l'avez mangé.
Wow!
Ben, c'est...
Tu l'avais déjà dit?
Non?
Ben, en tout cas,
quelqu'un de bord,
pas nécessairement Claude,
mais je sais que tu as
déjà fait ça, non?
Non, peut-être pas.
OK, prochain. C'était peut-être pas. OK. Prochain.
C'était peut-être quelqu'un d'autre.
On avait goûté. Ça goûtait les oreilles de Chris.
C'était comme une joke.
C'était comme une joke. Il est venu dans un petit
shooter, il l'a viré dans une poêle.
Ça fait honnêtement comme des oeufs. Ça goûte un peu
genre le petit contour de blanc d'oeuf.
C'est-tu comme un
genre d'affaire à faire sur TikTok?
Les gens font ça ou non? Ben non. C'est quoi ta vision
sur TikTok? Ben je sais pas.
J'écoute pas vraiment ça. La personne qui
dirait ça sur TikTok se ferait pas anir.
On se fait une petite crève au sperme le matin.
C'était comme une joke.
On a pas genre mangé avec appétit.
Des oreilles de
câline. Excuse-moi, ça goûte bon.
Ben ça goûte pas mauvais. Peut-être que
t'aimerais plus ça cuit. Tu pourrais peut-être
à chaque fois demander à Louis de le cuire.
Il se dit, si tu veux que je mange ton superbe,
cuit-le.
C'est dégueulasse!
Ok, vas-y, attends.
On trouvait ça drôle, c'était dans l'humour.
Ce n'était pas cochon.
Ce n'était pas une expérience excitante.
C'était comme...
C'est où tu as pris cette idée-là?
C'était pas mon idée.
Voilà une histoire... Voilà une histoire assez horrifique
et comique à la fois.
Après quelques mauvaises surprises en faisant de la nalle,
des petits résidus, entre parenthèses,
j'ai décidé d'essayer un lavement
avec le truc en forme de poire.
Ça fait déjà quelques fois que je m'en sers
et j'avais déjà développé l'habitude d'aller faire un squat
dans le bain pour m'assurer qu'il ne reste plus rien.
Juste au cas où. Je fais mon squat,
rien ne sort, on est good, c'est parti.
On a du fun, on s'amuse,
des préliminaires en masse avant d'aller passer
la porte arrière afin que je sois
bien détendue. On réchauffe la machine, quoi.
Monsieur prend le temps de bien
préparer mon anus avec du lubrifiant.
Je suis à genoux sur le matelas, la face
est tempée dedans et donc les fesses bien remontées.
Monsieur est derrière moi, il insère
un doigt, puis deux, et tout d'un coup,
un jet sort de mes fesses, direct
sur son chest.
Oups.
Une minute de silence.
On va faire une minute de silence
pour elle.
Pour ce gars-là aussi.
C'est quand même lui qui a mangé le gel.
On fait une minute de silence pour ces deux personnes-là.
Yo.
Ça n'a pas de sens.
Ça n'a pas de sens.
Je ne peux pas.
Un gel brun
qui a eu le temps de bien macérer.
C'est un bout qui était là. L'eau a eu le temps de bien macérer. Ça fait un bout qui était là,
que l'eau a eu le temps de bien s'imbiber du reste.
Est-ce que vous voulez que j'arrête de détailler
les histoires dégueulasses en rajoutant?
Mais non, c'est ça qui...
C'est vraiment désolant.
C'est excellent.
Ça fait des bons extraits aussi.
OK, mais moi, le petit jet, dans le fond,
moi, j'aimerais savoir d'où il vient.
Pourquoi c'est arrivé?, moi j'aime ça
comprendre les choses
moi je pense que la poire
après avoir fait
la poire, ce qu'il faut qu'elle fasse
il faudrait qu'elle se mette à quatre pattes et qu'elle pousse
je pense que c'est ça qu'elle a fait, mais peut-être pas assez fort
elle a fait son squat
elle l'a mis
mais d'après moi, elle a fermé son cul
pour faire un autre petit jet peut-être quand tu vois qu'il n'y a rien qui sort, parce que si tu mets de l mis, mais d'après moi, elle a fermé son cul après. Pour faire un autre sujet peut-être,
quand tu vois qu'il n'y a rien qui sort.
Parce que si tu mets de l'eau et qu'il n'y a rien qui sort,
ça veut dire qu'elle est encore dedans.
C'est ça, là.
C'est ça, là.
C'est vraiment une belle théorie.
Tu es une bonne analyste.
Tu pourrais analyser les sports comme le hockey.
Oui, je pourrais aussi...
Je pourrais aussi vouloir mettre fin à mes jours, mais il y a des choses qu'on ne fait pas.
Histoire classique
de moi qui fréquente
un gars sérieusement pendant 4-5 mois.
Je le voyais comme le père
de mes enfants. Littéralement,
aucun red flag.
J'ai toujours été hypochondriaque sur les bords.
Je me fais donc très souvent tester.
Avant de le fréquenter, je savais que j'étais clean parce que j'avais passé un test il y a quelques semaines de ça
et je n'avais pas eu de nouveau partenaire entre-temps.
Encore une fois, je passe un test après quatre mois de relation
pour apprendre que j'ai une belle chlamydia.
Je le confronte et lui, il fait comme si c'était impossible que ce soit lui.
Gros lol.
Je l'ai bien sûr cancellé après ça.
J'étais complètement sous le choc.
J'ai finalement reçu un message d'une fille quelques semaines plus tard
me demandant si j'avais une chlamydia parce qu'elle avait pogné de ce gars-là aussi.
Un vrai dégueulasse.
On s'est finalement présenté chez lui pour le confronter.
Je n'ai jamais vu quelqu'un aussi sous le choc.
On l'a forcé à nous prouver
qu'il allait se faire tester et se faire médicamenter.
On a réussi à avoir les confirmations de prescription
et tout le kit. Conclusion, faites-vous tester
constamment.
Où protégez-vous?
Et protégez-vous, en fait.
Pas où, pour faire les deux.
Mais...
Ouais, non, c'est ça.
Ben, c'est ça. C'est comme...
Moi, là, dans ma tête,
si, mettons, tu te protèges pas
pis que tu fais l'amour
avec quelqu'un, ben,
oui, c'est de sa faute, mais c'est de ta faute.
Parce que c'est aussi... C'est à toi.
C'est toi qui dois protéger ton corps.
Je pense. Moi, c'est
ma philosophie. Genre, je dirais pas donner de la merde au gars.
Si moi, je me suis pas protégée. Si moi, je me suis protégée,
si je me suis protégée,
puis que là, finalement, je l'ai attrapée en plus,
puis j'y ai demandé, puis tout ça, là, oui.
Mais là, si je me protège pas,
regarde, c'est my bad, crée-moi ça, le colique.
Mais c'est un câble.
C'est un été pareil.
Surtout si tu sais qu'il y a ça,
puis qu'il continue d'avoir des relations sexuelles.
Oui, exact, c'est ça.
Puis ça, légalement, il y a le roi,
mais ça devrait même pas, là, je trouve.
Quand t'es conscient que t'as quelque chose
qui peut être vraiment dangereux,
que la média, elle le dise,
que si la média n'est pas traitée.
Toi, t'avais ton affaire infectieuse, là.
Non.
C'est pas que la média est infectieuse?
C'est quoi?
J'ai eu une arthrite infectieuse.
Ah!
Mais quand ils ont fait des tests...
Pourquoi je suis française?
Parce que ce que j'ai raconté,
c'est que dans les théories
de les gens qui pognent des trucs infectieuses,
il y a des gonorrhées qui peuvent causer ça.
Mais moi, ils ont fait des tests
pour voir si c'était une gonorrhée
et je savais pas de gonorrhée dans mon sang.
Ah! OK.
Mais ça aurait pu être ça.
Chlamydia infectieuse, yo.
Non, c'est une arthrite.
Je t'ai développé une nouvelle bactérie.
C'est super.
Tout le monde va se mettre à penser
que j'ai une chlamydia infectieuse.
Gonorrhée, ouais, ça.
Bon, mais j'ai déjà une chlamydia, par exemple.
Ça, oui.
Moi, non.
T'as jamais...
Non.
Puis je m'attendais à ça.
J'étais comme, à un moment donné,
je suis comme, tout le monde, pogne ça.
Tout le monde, tout le monde. Ah, je vais pogne, tu aimes tout le monde, je n'ai jamais eu.
Je suis vraiment chanceuse.
J'étais dans un bar
avec des amis et j'ai décidé
de rentrer avec le doorman
chez moi à la fin de la soirée.
Il était beau et gentil et on a fini
par coucher ensemble.
C'était bien au début, mais vers la fin, j'avais
envie de dormir seule et pas lui.
Il est donc resté à dormir
parce qu'il devait aller chercher
sa fille chez une amie tôt
et la porter chez sa femme
avant son prochain
chiffre de job. J'ai donc
appris après l'acte qu'il avait une femme
et je n'étais pas
vraiment d'âme de ça, disons.
Je n'ai rien dit parce que j'étais jeune
et timide, mais j'aurais dû car
ce n'était pas fini.
Je dormais tranquillement lorsque
j'ai senti sa présence ouvrir
mes jambes et recommencer pour
une ride 2 avec le
même condom que la ride 1.
Arrgh! Puis, dans tous
les cas, OK, ouais, c'est un...
C'est un abus sexuel, un viol, ça?
Ou ça veut-tu dire?
Ben, en tout cas, bref, je sais pas,
mais on dirait que c'est ça.
Bref, j'ai été choquée de voir qu'il pensait
avoir mon consentement toute la nuit,
alors que non. Non, clairement, c'est ça.
C'est une histoire de rare
que énormément de personnes
vivent. Ça n'a pas de bon sens. Ça n'a pas de bon sens. Si on dit oui une fois, il pense que c'est une histoire de rare que énormément de personnes vivent, ça n'a pas de bon sens
ça n'a pas de bon sens
un consentement c'est à chaque
seconde, ça se peut que tu veux
les cinq premières et ça ne te tente pas
les cinq d'après
le consentement tu peux le retirer à tout moment
tu peux dire à tout moment
je retire mon consentement
très important
même quand tu es en couple moment, je retire mon consentement. Très important. Oui.
Même quand tu es en couple, hein?
Absolument.
Back in the days, j'étais célibataire et je voyais plusieurs garçons
souvent. Un soir, un gars
avec qui j'avais parlé quelques fois, mais j'en ai
vu, m'écrit pour me demander si je voulais venir
chez lui. Je faisais rien de cette soirée-là,
puis le gars, je le trouvais quand même cute.
Donc, j'ai accepté. Rendu chez lui, je lui ai demandé
si on pouvait aller prendre une petite marche avant.
Question d'apprendre à le connaître un peu.
Et aussi parce que je suis anxieuse en général,
donc j'aime savoir à qui j'ai affaire.
Il accepte, puis
on va marcher, on parle. Le gars est
chill et le vibe est bon, donc on retourne chez lui.
Une chose en entraîne une autre et on
finit dans son lit. Bing bang, il me met
en doggy, à tâte, tout va bien.
Out of nowhere, il glisse sa main sous l'oreiller,
sort une petite machette et me la met sous la gorge.
Je fige.
Je me dis que c'est la fin.
Mes minutes ont compté.
Quand il a vu que j'étais littéralement apeurée,
il a arrêté puis m'a demandé si j'étais correcte.
Je me suis levée le plus vite possible.
Je me suis rhabillée en me dirigeant vers la porte
et j'allais entendre me dire que c'est juste un kink
et qu'il s'excusait.
Mais voyons donc!
Il ne voulait pas me faire peur.
Hein?
Je suis retournée chez moi et je l'ai bloquée de partout.
Depuis, je ne fais plus de one night
parce que je n'ai pas envie de mourir.
Lol.
Mais merci!
C'est juste un kink.
On l'a dit et redit, là.
Si tu as un kink, OK? Si et redit. Si t'as un kink,
si t'as quelque chose
un peu qui sort de l'ordinaire,
parlez de tout ça avant.
Au bord,
vous êtes comme toi, t'as-tu des choses
que... Si vous savez que vous allez avoir une relation
sexuelle, parlez de sexualité avant d'en avoir.
Comme ça, il y a des limites
qui sont déjà établies. Moi, j'ai quelque chose
qui m'excite, c'est ça. Toi, c'est-tu quelque chose
que tu serais ouverte? Premièrement, peut-être qu'elle aurait
dit oui. Peut-être qu'elle aurait même tripé
et qu'elle n'aurait pas eu peur.
C'est quand même une machette.
Je savais rien.
Yo, une machette.
Non, une machette, Liz.
Je pense que je m'imaginais que c'était
les petits
genre de petits bâtons. Une machette, yo que c'était les... Tu sais, les petits... Les petits genres de...
Des petits bâtons.
Une machette, yo, c'est ça que tu fais.
Non, je suis en train de m'imaginer que c'était les petits bâtons
de policiers, là. Comment ça s'appelle?
Ah! Ah! Ah!
Mais c'est ça, attends, là! Machette, attends.
Non, non, non, une machette, c'est le gros couteau, là.
T'as raison, c'est moi qui étais perdue, là.
Je sais même pas si on peut chercher ça sur Google sans se faire arrêter.
Sans se faire... Yo, check, c'est quoi? C'est un gros criseis perdue. Je ne sais même pas si on peut chercher ça sur Google sans se faire arrêter. Sans se faire arrêter.
C'est quoi?
C'est un gros crise de couteau.
C'est pas...
Rendu là, je pense pour vrai...
Comment ça s'appelle?
Je serais morte.
Je ne serais pas morte physiquement,
mais je serais morte de peur.
Bâton de policier, non.
Le tomf.
La matraque, je mélangeais
avec une matraque.
Non, moi, l'histoire, voulez-vous que je vous le dise
ce qui s'est passé? C'est que lui,
c'est un tueur en série, OK?
Puis là, lui, il voulait
faire une victime de plus, probablement.
Puis là, crime, il a fait
genre, fuck,
il y a quelque chose que j'ai pas fait. Genre, j'ai pas amené
le sac à la bonne place ou j'ai oublié le sac ou quelque chose. Il a réalisé qu'il avait ou y a quelque chose que je n'ai pas fait. Je n'ai pas amené le sac à la bonne place
ou j'ai oublié le sac ou quelque chose.
Il a réalisé qu'elle avait oublié quelque chose.
Elle,
c'est une survivante.
Ça n'a pas de sens.
Tu es une survivante, ma belle.
Je veux juste te le dire.
Remercie la vie à chaque jour.
Tu serais morte. C'est impossible.
Ça n'existe pas. C'est impossible. Là, ça n'existe pas.
C'est sûr que c'est ça qui est arrivé.
Puis là,
j'ai oublié le fucking,
j'ai oublié le tape ou j'ai oublié le sac.
Il s'en allait la tuer.
Puis il a réalisé qu'il avait oublié le sac.
Arrête. L'appel aussi.
Il avait oublié quelque chose.
L'appel.
Les briques la collent dans le fleuve.
C'est une survivante.
Elle pourrait faire des...
Elle pourrait écrire un livre
sur sa survie.
Ça va de mon sens.
Moi, je serais comme,
j'ai survécu.
Tu peux le dénoncer, ce gars-là?
Oui, appelle la police, il va trop tard.
Je vais appeler, je, je vais le dire.
C'est sûr, c'est un soin en série.
En tout cas, là, là,
je ne veux pas passer
dans les kinks,
mais pour vrai,
une machette, pour moi,
c'est dangereux.
C'est un arme.
C'est un arme.
Le monde du BDSM,
c'est le monde
où c'est le plus
des règles établies.
Une notion de consentement,
une notion de respect.
Il y a bien plus
de respect, de consentement dans le milieu BDSM que dans tous les est notion de consentement, une notion de respect. Il y a bien plus de respect et de consentement dans le
milieu BDSM que dans tous les estis
de One Night, de petites relations vanilles.
Parce qu'eux, ils savent qu'ils jouent
un peu entre guillemets avec le feu, fait que c'est tellement
important de savoir où tout le monde se situe.
Des affaires de même, c'est pas
quelqu'un qui est dans le monde BDSM, parce que si t'es dans le monde
BDSM, tu sais que c'est pas même ça marche.
C'est pour ça que je t'ai dit que c'était un tuant en série.
Oh my God, je te crois. Tu m'as eu.
OK, mais... Yo, appelle la police.
Yo, ouais. Puis donne-nous des nouvelles.
OK?
Ça va pas ton sang. Allez là.
Le dernier, Joanie.
Je suis trop... Je suis comme
en panique en ce moment. J'ai goûté appeler la police pour vrai, genre
comme pour elle. Yo, on est...
OK. Je te mets en contexte. On est deux
filles à un podcast. Puis là, il va être comme ça.
On a lu un témoignage
anonyme. On pense que quelqu'un
va tuer quelqu'un prochainement. On veut juste le dire
qu'il m'achète. C'est genre Julia
qui écrit n'importe quoi, puis elle fait semblant
à ne pas trouver de témoignage. C'est tout elle qui a écrit
de la marge. Non, c'est impossible.
Mais non, Julia. On va y envoyer.
On va demander à Julia. Imagine-tu toi.
Parce que sinon, c'est vraiment... J'aimerais mieux. J'espère si c'est elle qui l'a inventée. Imagine.
Parce que sinon, c'est vraiment... J'aimerais mieux.
J'espère que c'est Julia qui l'a inventée.
On demande à Julia.
Ça fait aucun sens, sinon, Liz.
Ça n'a pas de sens.
Ok.
Numéro 13.
13.
C'est qui?
C'est toute la fin.
C'est vraiment long.
Ça va être toi, hein?
Mais t'es bonne, mon bébé.
Aie confiance.
Puis si t'es tannée en plein milieu,
je vais continuer.
Bon, t'as dit. J' milieu, je vais continuer. Bon, t'es tannée.
J'ai passé la soirée...
Je vais arrêter au pire, littéralement,
puis tu vas continuer. C'est bon ça? OK.
J'ai passé la soirée à un party
avec des amis. Et à un moment donné,
l'ambiance a changé.
Donc, j'ai décidé de partir
avec un gars et deux de mes amis.
On était très sous.
La soirée s'est terminée dans deux chambres séparées.
Moi avec le gars dans une chambre et mes amis dans l'autre.
La chambre, les chambres étant à côté et mes amis dans l'autre.
Les chambres... Non.
Ça, ça veut dire... c'est trop pour moi.
OK.
Vas-y.
T'es bonne.
Continue.
Non, mais ça fait trois fois que j'en lis la même phrase.
Les chambres étant côte à côte,
pendant qu'on était en train
de commencer les préliminaires,
le gars m'a mentionné
qu'il avait les ongles longs.
Ça, là,
tu veux me turn off?
Dis-moi que t'as les ongles longs.
Genre,
hey, attends, tu te rappelles au secondaire
quand il y en avait tout le temps qui se faisaient des pics?
Non.
Juste sur le petit doigt ici?
Il y a personne qui faisait ça.
Tu faisais la cocaïne, genre?
Non, on était opprimés en secondaire.
C'est pas la seule...
Il se faisait le petit doigt, là.
La seule personne que je connais
qui fait ça c'est parce que c'est un gros
criss de croquet
tu l'utilises quand même un petit coeur
j'ai jamais fait ça
c'est pas quelqu'un de proche de moi
c'est quelqu'un que je garde
éloigné
c'est vrai là
je sais que t'as eu anti-drug
je parle de mon lit pis ils me disent
je suis comme, non.
J'ai vraiment offre la drogue des gens qui font la drogue.
J'en fais même pas.
Je sais.
On a fait genre deux fois dans ma vie.
Pas de la coke, du mon lit.
Du mon lit?
Non, mais je suis juste...
Regarde, c'est choix.
Ta vie, t'es choix.
Mais c'est juste, moi, je... Je m'imagine être en couple avec quelqu'un qui, genre'est choix. Ta vie, t'es choix. Mais c'est juste, moi,
je m'imagine être en couple avec quelqu'un
qui fait ça.
Tu consommes régulièrement.
Bye.
Off. Tu veux me mettre off?
Garde ton petit doigt long
pour te faire une clé de temps en temps.
Wash.
Ça m'écœure. Parfait.
Maintenant, je vais mettre mes jugements de côté
et poursuivre l'histoire.
Pendant qu'on était en train
de commencer les préliminaires, le gars m'a mentionné
qu'il avait les ongles longs.
« Wash ». Mais étant bien avancé dans la soirée,
je n'ai pas vraiment bien compris ce qu'il voulait dire.
C'est pas toi qui avais les ongles longs,
plein de Cheetos, puis que t'as comme doigté un cul,
puis le cul plein de Cheetos.
Ah, non, non. Ça, premièrement,
c'est Louis, l'autre fois,
qui m'a doigté, puis il a mangé des nachos.
Pas des Cheetos, des nachos.
Ça s'est recruté.
Puis là, merde, je suis capotée.
Mais il n'y avait pas les ongles longs.
Les ongles longs.
Prends le temps de faire sa liaison.
Il n'y avait pas les ongles longs.
Je t'avoue.
OK.
Je n'ai pas vraiment compris ce qu'il voulait dire.
On a donc continué.
Mais rapidement, j'ai eu l'impression
que j'étais beaucoup trop mouillée.
Bon, elle a saigné avec ses gros cris de ongles longs.
De ses ongles longs.
Des ses ongles longs.
Genre, beaucoup trop. Quelque chose n'allait pas.
Je lui ai demandé d'attendre pendant que j'allumais la lumière.
Et là, j'ai vu une scène qui semblait tout droit sortir.
Il y avait du sang partout, littéralement partout sur lui, sur moi
sur le matelas, sur le sol
le gars me regardait complètement traumatisé
coupe tes ongles
tes ongles longs, coupe-les
j'ai crié
et mes amis sont venus en courant, imaginez la scène
lui en boxeur, couvert de sang et choqué
moi nue avec du sang partout
mes deux amis qui ont instantanément dégrisé en voyant ce qui se passait
la soirée s'est terminée avec moi sous la douche.
Mes deux amis me regardaient en train de me laver
et de constater les dégâts.
Finalement, je me suis rendue compte qu'ils m'avaient déchiré
toute la paroi vaginale avec
ses ongles longs.
Non, non, non. Ça, c'est pas...
C'est que mes cœurs...
C'est des histoires d'horreur qu'on a eues
aujourd'hui, hein? C'est fou.
C'est à glacer le sang.
On a vécu tout un...
Ah, attends, j'ai une dernière histoire.
Impossible.
Vas-y, je t'écoute.
Vas-y, tout fait.
J'ai une dernière histoire, mais par rapport à ma fille.
Tu fais ça...
OK.
Ben non, mais c'est pas en rapport à la sexualité.
Mais quand même, une dernière histoire à frissonner le sang.
À frissonner le sang.
Ça existe pas, ça? C'est à glacer le sang. Ah, bon. Ben, j'ai dû frissonner le sang à frissonner le sang ça existe pas ça?
à glacer le sang j'ai dit frissonner le sang
ma fille
elle s'en va chez mon grand-père
ma grand-mère est décédée
puis ils habitent toujours dans la même maison
où ils ont vécu toute la vie
ma fille elle s'en va là
avec ma mère
puis elle s'en va chez mon grand-papa.
Ils ont passé la journée là-bas,
puis il y avait aussi son... En tout cas, bref.
J'ai ça.
Ma fille, elle revient à la maison, puis tout ça. Je dis, ah, comment
t'as aimé ta journée? Là, là, là. Elle a passé la journée
avec son arrière-grand-père, dans le fond.
Puis là, elle me dit,
ah, j'ai eu beaucoup de plaisir. Là, là, là.
Je dis, ah, qu'est-ce que t'avais fait? Là, là, là. Puis là, elle me dit,
à un moment donné,
« Grand-maman m'a montré les oiseaux,
ils étaient super beaux, la la la. » Puis là, je suis comme « Hein? Grand-papa? »
Elle dit « Non, grand-maman, elle est tellement gentille, la la la. »
Je suis comme « Gentille? »
Puis elle est comme...
Puis en fait, elle s'est parlée, là,
comme rendue que je comprends tout ce qu'elle disait.
Puis je dis « Grand-papa, ma cocotte,
c'est grand-papa que tu parles? »
Elle dit, « Non, grand-maman, elle a montré les oiseaux,
puis tout ça. » Là, je suis comme...
Je m'en vais chercher la photo de ma
grand-mère, genre de deux grand-mères.
Puis mes deux grand-mères sont décédées,
fait qu'elle les connaît pas, les deux. Fait que je me dis,
puis j'ai une photo de mes deux grand-mères.
Là, je dis,
« C'est-tu quelqu'un là-dedans? » Elle dit, « Oui, elle, puis c' mes deux grand-mères. Là, je dis, c'est-tu quelqu'un là-dedans?
Elle dit, oui, elle.
C'est ma grand-mère.
Je suis sûre.
Là, je commence à caboter.
Là, je suis comme,
je ne comprends pas,
elle a montré quoi?
Là, elle a montré
une horloge.
Parce que chez nous,
ma grand-mère, je sais c'est quoi qu'elle
allait montrer, ma grand-mère, parce que quand j'allais
chez ma grand-mère,
elle nous montrait tout le temps l'horloge d'oiseau.
Fuck off! Je te le jure.
Elle prenait le temps de vous montrer l'horloge d'oiseau.
Ma mère, quand j'en ai parlé, elle me dit
cette horloge-là, elle vous le
montrait tout le temps, tout le temps, tout le temps.
Moi, je m'en rappelle. Mais tu ne penses pas que c'est ton grand-père qui a une photo de ta grand-mère maintenant sur l'horloge-là, elle vous le montrait tout le temps, tout le temps, tout le temps. Moi, je m'en rappelle.
Tu ne penses pas que c'est ton grand-père qui a une photo de ta grand-mère maintenant sur l'horloge
et qui était comme, regarde, c'est l'horloge de la grand-maman.
Non?
J'ai demandé à ma mère,
qu'est-ce qui se passe?
Est-ce que grand-papa est allé montrer l'horloge?
Elle a dit non.
Pourquoi?
Ma mère était là.
J'ai dit, OK, vous étiez où?
Elle disait, on était dehors.
Elle m'a donné...
Écoutez une émission en dedans.
Impossible.
Là, je suis comme...
Comment tu fais pour
ne pas penser à rien?
J'ai expliqué ça à ma mère.
Ma mère capotait.
Ma mère a dit ça.
Ma grand-maman l'aait fou le sur l'âge-là
puis tout ça, puis elle lui a montré.
Mais regarde, c'est bien la montre,
puis grand-maman, puis c'est elle, puis elle est très gentille,
grand-maman, elle l'a maintenue. Je veux bien, là,
mais là... – Elle a fait le choix entre les deux,
le grand-maman. – Tu sais, elle a fait le choix en plus
avec les deux. Puis chez moi, je capotais.
J'étais comme, non, c'est pas vrai. Elle va dire l'autre.
Je sais pas, tu sais. C'est vraiment bizarre.
Fait que voilà. – Wow! – Mais c'est une belle histoire, ça.
Les enfants sont connectés avec l'au-delà,
je crois, ça. Oui. Il y a quelque chose
dans l'enfance qui fait qu'eux sont plus ouverts.
Ils ont moins...
Moi, j'ai tellement peur que
j'imagine que... Tu l'éloignes.
Ouais, ouais. Venez pas, s'il vous plaît.
Moi, là, je vais être tranquille.
Restez loin, les entités.
Ouais, ouais. Moi, vous pouvez bien me voir. J'aime ça. T'sais. Moi, je me sens enille. Restez loin, les entités. Moi, vous pouvez bien me voir, j'aime ça.
Moi, je me sens en sécurité, ils sont fines.
Check.
Je viens de donner des becs à mes deux entités sur mes épaules.
En fait, c'est peut-être ça.
Toi, tu es un peu possédée depuis que tu es jeune.
En fait, je n'arrête pas de parler de dépersonnalisation.
C'est parce que je suis à moitié ailleurs.
Au vrai, ça ferait du sens en ta barouette
parce que depuis que tu es jeune, tu te fais... Ça n'a pas de sens, c'est ça. Je suis connect moitié ailleurs. Au vrai, ça ferait du sens dans ta barouette parce que depuis que tu es jeune, tu te fais
« Ilise, ça n'a pas de sens, c'est ça que j'ai. »
Je suis connectée avec l'au-delà.
Ce n'est pas ton... en tout cas.
Je suis ici avec toutes mes entités.
Tu ne le sais pas, mais on est 40 dans la pièce.
Oui, parce que c'est pour ça que tu as plein d'enfants dans ta tête.
Tu penses tout le temps à plein d'affaires.
Tu es tellement bonne aussi parce que tu as plein de gens.
Elle, elle calcule.
Elle, elle retient. T'as genre plein.
C'est celle qui retient à Slack.
Ma mémoire,
celle qui s'occupe de la mémoire à Slack.
Reveille.
Amène-en une autre, s'il te plaît.
OK. On espère que vous avez aimé ça.
Nous, on a full aimé ça.
Moi, je n'ai pas.
Je suis désolée encore pour
si j'ai donné des détails ou on n'en voulait pas.
Je suis désolée si j'ai donné des jugements
ou on n'en voulait pas.
J'ai peut-être parlé plus que j'aurais dû aujourd'hui.
Non, Liz, c'est ça qui est le fun.
Quand il y en a un qui chiale, ça y est.
Genre, c'est un casse-à-yeule.
J'écris en dessous à Nicole.
Moi, je tag Nicole maintenant.
Je suis comme Nicole, vidange.
Genre, j'ai stocké vidange, vidange, vidange. On vous aime. Gros bisous. Merci, je tag Nicole maintenant. Je suis comme Nicole Vidange. Genre, j'ai stocké
Vidange, Vidange, Vidange.
On vous aime. Gros bisous.
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